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UNITAR
LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET
L’INTERNET
UN ACCES GLOBAL
POUR UN PROBLEME GLOBAL
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SEARCH
ENGINE
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http://
Un manuel d’information pour les
Points Focaux de l’UNFCCC
des Pays les Moins Avancés
LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
ET L’INTERNET
UN ACCES GLOBAL
POUR UN
PROBLEME GLOBAL
Un manuel d’information
pour les
Points Focaux de l’UNFCCC
des Pays les Moins Avancés
TABLE DES MATIERES
QU’ EST CE QUE L’INTERNET
7
Bref historique de l’Internet
10
Comment fonctionne-t-il ?
10
Comment se connecte-t-on ?
11
Les services offerts sur le Web
12
Comment l’information est-elle organisée sur le Web ?
13
Quels sont les avantages du courrier électronique ?
15
Les outils que vous pouvez utiliser
15
THE WORLD WIDE WEB - LA TOILE
19
Une navigation intelligente
22
La protection contre les virus est impérative!
25
Informations générales sur la terminologie informatique
27
Lexique et acronymes
28
LES SITES WEB SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
29
Le site web du secrétariat de l’UNFCCC
31
Fonds pour l’Environnement Mondial
34
PNUE
35
PNUD
35
ONUDI
36
Banque Mondiale
37
Autres agences des Nations Uniess
39
Sites web des PMA
39
Quelques sites web de pays en voie de développement
39
Quelques sites web de pays industrialisés
39
Réseaux de recherche/Organisations non gouvernementales
40
Glossaires scientifiques
42
LISTE DES POINTS FOCAUX PARTICIPANT AU PROJET
43
REMERCIEMENTS
Ce manuel d’information s’adresse aux Points Focaux nationaux de la UNFCCC et à leurs équipes locales
travaillant sur les changements climatiques. Il informe sur la manière de communiquer par Internet,
d’obtenir des informations sur le web. Il vise en particulier à faciliter l’utilisation efficace de l’information
disponible sur les changements climatiques sur différents serveurs, notamment sur celui de l’UNFCCC.
Cette publication est le résultat des efforts conjoints des programmes de l’UNITAR sur les changements
climatiques et des technologies de l’information, en collaboration avec le secrétariat de l’UNFCCC, le
financement du FEM et l’appui du SAFEL, l’Agence suisse de l’Environnement du Paysage
Remerciements particuliers pour leurs contributions à Janos Pasztor, Kevin Grose, Moussa Diakhite et
Sharon Taylor du secrétariat de l’UNFCCC, Michael Williams du PNUE, Ajay Mathur de la Banque
mondiale, Avani Vaish du secrétariat du FEM, Richard Hosier, Rose Diegues et Jamil Bonduki du PNUD,
Jocelyn Fenard, Ron Valerio et Christina Ulardic de l’UNITAR. Odile Ambry, Pascal Renaud et Annie
Roncerel ont assuré l’édition et la traduction de la version française. Brandon Turner a édité la version
anglaise.
Des exemplaires de ce manuel sont disponibles au siège de l’UNITAR. Le document est également accessible sur
le site web www. unitar.org/cc.
Genève, avril 2002
Annie Roncerel, UNITAR, Responsable du projet
QU’ EST CE QUE
L’INTERNET
BREF HISTORIQUE DE L’INTERNET
I
nternet est le produit d’une longue histoire de recherche-développement qui a
finalement abouti grâce à l’association des
technologies de l’informatique avec celle
des réseaux de télécommunications.
modique. Il faudra attendre 10 ans avant qu’il ne
soit définitivement détrôné par Internet.
Dans le même temps, l’Agence américaine
de recherche militaire (ARPA) expérimentât
un réseau d’ordinateurs sans concentrateur ni
commutateur central, tel que l’avait défini le
chercheur Paul Baran dès 1964. Ce système, qui
fonctionnait indépendamment des opérateurs
commerciaux, offrait à la fois une très grande
sécurité et une totale indépendance. C’est en
1972 que 37 laboratoires furent reliés par le
truchement d’un réseau nommé ARPAnet. Cette
technologie sera ensuite améliorée par Vint Cerf
et Bob Kahn pour finalement créer le Protocole
Internet (IP). En 1984, la Fondation américaine
pour la Science (NSF) lança un programme
destiné à partager l’utilisation de supercalculateurs
(les ordinateurs les plus puissants) entre plusieurs
universités grâce à un débit de transmission des
données très rapide pour l’époque. C’est alors que
la technologie Internet fut sélectionnée comme
référence pour l’ensemble du réseau et NSFnet
constitua l’infrastructure technologique de base
de ce que l’on appelle l’Internet.
Dès le début des années 60, les grandes
entreprises, notamment les banques,
développèrent des réseaux de terminaux
dont certains traversaient l’Atlantique.
Toutefois, ces réseaux restaient centralisés
et ne permettaient que d’interroger les
bases de données. Il était rare qu’ils offrent
la possibilité d’envoyer des messages
électroniques vers l’utilisateur travaillant
sur un autre terminal. A cette époque,
il n’existait pas de connexion globale
et chaque réseau n’était composé que
d’ordinateurs et de terminaux ne dépassant
pas une centaine d’utilisateurs.
La mise en réseau de plusieurs ordinateurs
fonctionnant de manière autonome rendit
finalement nécessaire la définition d’une
norme de communication, aussi appelée
protocole. Les premiers protocoles de
réseaux furent qualifiés de “propriétaires”
car ils étaient mis au point par, et pour,
une marque et un type de machine. Ils
étaient protégés par des brevets. C’est
la mise au point de la première norme
non-propriétaire, appelée le «réseau à
commutation de paquets» qui va permettre
de relier un très grand nombre ordinateur.
Son usage s’est généralisé dans les pays
les plus industrialisés dès le début des
années 70. C’est l’expérience française du
Minitel qui apporta la synthèse du savoir
de l’époque en reliant des ordinateurs
hétérogènes à des terminaux grâce à cette
nouvelle méthode de communication.
Avec le Minitel, l’utilisateur dispose d’un
terminal bon marché, très simple à utiliser
qui lui permet de choisir un service sans
avoir à se soucier de la liaison et ni du type
d’ordinateur avec lequel il entre en contact
(compagnies de chemin de fer, compagnies
aériennes ou certains services publics) pour
d’obtenir des renseignements. Au début des
années 80, ce sont plusieurs millions de
Minitels qui seront mis en service en France
et dans quelques pays francophones. Le
premier réseau télématique grand public
était né avec ce service accessible à un coût
C’est finalement le Word Wide Web qui a donné
à Internet le visage que nous lui connaissons
aujourd’hui. Inventé au CERN (Centre européen
de recherche nucléaire) à Genève, par Tim
Berners-Lee en 1991, il était destiné à faciliter
l’accès à des bases de données hétérogènes et
dispersées à travers les laboratoires de physique
du monde entier. Les potentialités de cette
découverte vont en faire le grand standard
du multimédia. C’est grâce au CERN que
quelques années plus tard, Internet sortira des
milieux universitaires pour conquérir le grand
public. Il est indéniable que le caractère ouvert,
la publication des normes et des méthodes, la
gratuité des logiciels d’Internet et l’accès libre à
leur code sources ont considérablement favorisé
l’imagination et l’innovation. Aux services de base
que sont le courrier électronique, le transfert de
fichier et l’accès à distance (Telnet, pour Terminal
Network) vont très vite s’ajouter de nouveaux
services tels que les possibilités de «News»
(NNTP) et de «mailing lists», Wais (1990).
La croissance d’Internet est désormais
exponentielle. En 1999, il y avait plus de 143
millions d’utilisateurs dans le monde, connectant
aussi bien des universités, des instances
gouvernementales, des entreprises, des ONG
9
que des individus. Le rapport mondial 2001 sur
le développement humain du PNUD estime que
6,7% de la population mondiale est connectée
contre 2,4% en 1998.
des Réseaux». D’un point de vue institutionnel,
il est géré par plusieurs instances internationales
volontaires. L’IETF (Internet Engineering Task
Force, un sous-group de l’ISOC – l’organisation
mondiale Internet Society) gère les protocoles
TCP/IP. Le consortium WEC (World Wide
Web Consortium) est responsable des normes
multimédia utilisées par Internet et l’ICANN
(Internet Corporation of Assigned Names and
Number) gère l’attribution des noms de domaines
et des adresses IP. Toute nouvelle norme TCP/IP
est publiée dans une série de documents nommés
RFC (Request for Comments/Demande de
commentaires) qui fait l’objet d’une classification
adoptée par consensus par ces instances.
Actuellement, Internet reste un service
publiquement géré, coopératif et autonome
qui est accessible à des centaines de millions
d’individus (entre 450 et 513 millions de
personnes selon les instituts de statistiques) dans le
monde entier. Physiquement, il utilise les réseaux
de télécommunications publics pour relier des
ordinateurs en tous points de la planète, chacun
d’ entre eux étant relié à un système de réseaux
informatiques local. D’où son nom de «Réseau
COMMENT FONCTIONNE-T-IL ?
G
Interprétation de l’adresse IP
lobalement, d’un point de vue technique,
l’Internet reste caractérisé par l’ensemble
des protocoles TCP/IP - Transmission Control
Protocol/Internet Protocol, tels qu’ils furent définit dans les années 70.
T
out ordinateur connecté à Internet possède
une adresse IP, appelée aussi, mais plus rarement, numéro Internet. Cette adresse est un
ensemble de 4 chiffres, allant de 0 à 255, séparé
par des points. Ainsi, 212.27.191.132 est l’adresse
IP du serveur Internet de l’UNITAR.
Protocoles de communication
TCP/IP, le langage de communication de
base utilisé par Internet est un programme qui
comprend 2 couches logicielles:
Les adresses IP, comme celle de l’UNITAR
ci-dessus, sont parfaitement comprises par les
machines, mais absolument incompréhensibles
pour les utilisateurs. C’est pourquoi on assigne
à chaque adresse IP un nom de domaine
alphanumérique correspondant. Ce dernier aide les
usagers à retenir l’adresse IP qui va leur permettre
de communiquer avec d’autres ordinateurs (pour
envoyer des courriers électroniques ou accéder
à un site web). Ainsi, www.unitar.org est la
traduction de l’adresse IP 212.27.191.132. Ce
système, appelé serveur de nom de domaine (ou
DNS en anglais pour Domain Name Server) est
le dispositif utilisé par Internet pour localiser et
traduire les adresses IP.
• La couche supérieure, TCP, gère l’assemblage
d’un message ou d’un fichier en multiples
paquets transmis via Internet puis reçus par
une couche TCP qui, à son tour, rassemble
les paquets pour reformer le message
original.
• La couche inférieure, IP, gère l’adresse de
chaque paquet de telle sorte que le message
atteigne la bonne destination.
Chaque ordinateur de routage (routeur) installé
sur le réseau contrôle l’adresse indiquée pour
savoir où il doit envoyer le message. Même si
certains paquets appartenant à même message
sont routés différemment les uns des autres, ils
sont réassemblés à leur arrivée.
10
COMMENT SE CONNECTE-T-ON ?
P
our pénétrer et naviguer sur Internet, il faut
disposer d’un ordinateur relié à un point
d’accès Internet, c’est à dire à un autre ordinateur
connecté à Internet qui constitue le fournisseur
d’accès. Cette liaison vers le fournisseur d’accès
se fait généralement via une ligne téléphonique à
l’aide d’un modem.
choisir le contrat qui vous convient le mieux en
fonction des prix proposés et de vos besoins.
La qualité de la ligne étant très importante, il RÉSEAU INTERNET
vaut toujours mieux se connecter à Internet par
une ligne téléphonique directe, en passant par
un système de connexion automatique. Il existe
également des solutions techniques pour corriger
certains défauts, notamment atténuer le bruit et
les parasites qui peuvent être perçus.
Les fournisseurs d’accès à Internet
Un fournisseur d’accès à Internet (FAI) est une
entreprise auprès de laquelle vous vous inscrivez
(habituellement par abonnement) qui permet de
vous connecter à Internet. Ces entreprises offrent
également d’autres services à ses abonnés tels que
le courrier électronique, l’enregistrement de noms
de domaine ou l’hébergement de sites web. Pour
cela, elle propose généralement à ses abonnés un
«kit d’installation» comprenant un logiciel de
courrier électronique et un navigateur.
Si le point d’entrée Internet est situé localement,
vous n’aurez à acquitter que les frais d’un
appel local, et non d’un appel interurbain ou
international: vous bénéficierez donc d’un accès
au monde entier au coût d’un simple appel local.
Vous aurez à payer le tarif de votre FAI tel que
le stipule votre abonnement, mais sans coût
additionnel pour les sites que vous consultez au
cours de votre navigation.
Le Modem
Les lignes spécialisées (LS)
Un modem (MODulateur DEModulateur) est
un boîtier (interne ou externe à votre ordinateur)
qui traduit les signaux numériques de l’ordinateur
(zéro ou un) en sons acceptables pour une ligne
de téléphone ordinaire.
La ligne spécialisée ou dédiée (dedicated or leased
line en anglais) est un moyen de télécommunication
entre deux points qui est disponible 24h/24 pour
un utilisateur identifié (entreprise). C’est une ligne
«physique», appartenant à l’utilisateur ou louée à
une compagnie téléphonique.
Son débit – ou bande passante – exprime la vitesse
à laquelle les données circulent à travers le modem
et la ligne. Les premiers modem avaient de très
faibles débits (de 300 à 1200 bit par seconde
ou bps). De nous jours, ceux à 2 400 bps sont
également devenus obsolètes. Ceux à 14,4 kbps
(kilobit par seconde) et 28,8 kbps furent des
étapes intermédiaires sur le chemin de systèmes
et de réseaux à plus haut débit. Depuis 1998, la
plupart des ordinateurs personnels sur le marché
sont dorénavant livrés avec des modems à 56
kbps, le débit maximum d’une ligne de téléphone
ordinaire.
FAI
LIGNES
TÉLÉPHONIQUES
Avant l’arrivée de l’ADSL (voir ci dessous),
les LS étaient la seule manière d’avoir un accès
permanent à Internet à prix forfaitaire. Ces lignes
sont principalement utilisées par les cybercafés et
autres lieux publics d’accès à Internet.
L’ADSL
U
n technologie nouvelle, l’ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) offrent des
débits de 128 kbps à 256 kbps en voie montante
(lorsque votre ordinateur envoie des données) et
de 500 Kbps à 1 Mbps (megabit par seconde) en
voie descendante (lorsque votre ordinateur reçoit
des données). Toutefois, les services ADSL ne sont
aujourd’hui disponibles que dans les zones urbaines, et seulement auprès de quelques fournisseurs
d’accès. L’installation de cette technologie suppose une modification des infrastructures locales
de télécommunication (centraux et répartiteurs).
Connections à Internet par les lignes
téléphoniques
Le modem doit être connecté à une ligne
téléphonique pour appeler le réseau informatique
de votre FAI, vous y connecter, et relier votre
ordinateur à Internet. A l’instar des services
téléphoniques, votre FAI offrira différents contrats
et systèmes de tarification depuis des forfaits
jusqu’à une facturation à la durée. Vous devrez
11
PRISE
MODEM
LE RNIS
villes. Les usagers, aussi bien particuliers que les
professionnels, qui installent une prise RNIS au
lieu d’un modem 56 kbps accèdent plus rapidement au web, notamment pour les pages contenant des images. Cependant, le RNIS nécessite
l’installation d’adaptateurs à chaque extrémité de
la transmission. Votre fournisseur d’accès doit
donc également être équipé d’une telle prise.
L
e Réseau Numérique à Intégration de services
(RNIS) est un service de téléphonie numérique. Il offre des débits supérieurs aux lignes classiques (de 64 Kbs à 128 Kbs) et une très grande
fiabilité. L’accès RNIS (ISDN en anglais) s’appuie
sur une infrastructure de téléphonie numérique et
n’est disponible que dans certains pays et certaines
LES SERVICES OFFERTS SUR LE WEB
Courrier électronique
Le World Wide Web
L
Toutes les ressources et les utilisateurs connectés
à Internet utilisent le protocole de transfert
hypertexte (Hyper Text Transfer Protocol - http),
qui permet l’accès au World Wide Web (Web).
Http définit un ensemble de règles permettant
d’échanger des fichiers (texte, images, sons, vidéo
ou fichiers multimédias) sur le Web. Ce protocole
appartient à la famille des protocoles TCP/IP.
e courrier électronique (email en anglais,
quelquefois traduit par le mot «courriel» en
français)) est l’échange de messages stockés sur
des ordinateurs. Les messages électroniques sont
principalement composés de texte, le plus souvent
codé en ASCII par le logiciel de courrier. Vous
pouvez également envoyer des messages non
textuels, tels des fichiers d’images ou de sons, en
pièces attachées au message texte.
Aujourd’hui l’usage du réseau des réseaux qui
reste le plus populaire est le courrier électronique.
Il fut l’un des tous premiers usages d’Internet et
génère un pourcentage important du trafic
total. Les emails peuvent être distribués à
des individus ou à des listes d’abonnés.
C’est est une nouvelle forme de texte dans lequel
des liens dynamiques permettent d’aller d’un
endroit à un autre sur une même page, mais aussi
de passer d’une page à une autre, d’un site web
à un autre. L’hypertexte permet aux utilisateurs
de suivre un chemin de lecture non linéaire en
passant d’un site à l’autre.
Le serveur de liste
Le protocole de transfert de fichier (FTP)
Une liste de diffusion est administrée automatiquement par un serveur de liste. Le
serveur de liste – ou encore un serveur
de liste de diffusion – est un programme
qui traite, d’une part, les demandes
d’inscription pour une liste de diffusion et
distribue, d’autre part, les nouveaux messages, les lettres d’information ou tout autre
envoi des membres à la liste entière des
abonnés; ces envois s’effectuent au fur et à
mesure de leur arrivée ou en fonction de leur préprogrammation.
Le protocole de transfert de fichier (File Transfer
Protocol ou FTP) est utilisé pour échanger des
fichiers entre ordinateurs connectés à Internet.
Comme Http qui transfère des pages web
affichables et les fichiers correspondants, et SMTP
(Simple Mail Transfer Protocol) qui envoie
des emails, FTP Il appartient à la famille des
protocoles TCP/IP.
FTP peut être utilisé pour transférer des
informations telles que des fichiers ou des pages
web que vous avez trouvées ou créés, et qui,
archivées sur votre disque dur local sont transférées
vers le serveur de votre fournisseur d’accès. Elles
peuvent dès lors être consultées depuis le monde
entier. Cela s’appelle télécharger un fichier sur un
serveur. FTP est aussi communément utilisé pour
télécharger des fichiers et des programmes sur
votre ordinateur depuis d’autres serveurs situés
dans le monde entier.
Il ne faut pas confondre un serveur de la liste
avec le serveur de mail qui est le système chargé
de traiter les messages entrants et sortants des
internautes.
12
Ces services seront développés dans la partie
suivante
COMMENT L’INFORMATION EST-ELLE ORGANISÉE SUR LE WEB?
• TLD génériques
Uniform Resource Locator ou URL
L’URL (Uniform Resource Locator) est l’adresse
d’une ressource ou d’un fichier disponible sur
Internet. L’URL contient:
• le protocole de cette ressource - son nom de
domaine
• le chemin et le nom du fichier (l’adresse par
exemple, dans l’URL
http://www.unfccc.org/resources/
library/index.html: le début «http» indique
le protocole; la suite «www.unfccc.org»
correspond au nom de domaine, le domaine
principal étant «unfccc.org», alors que
«www» est un pointeur vers un ordinateur
ou une ressource. Le reste, «/resources/
library/index.htm» est le pointeur vers un
fichier spécifique situé sur le serveur.
.com
Secteur commercial
.org
Organisations non
commerciales
.net
Fournisseur d’accès Internet et
réseaux
.nt
Organisations internationales
.edu
Education
• Nouveaux domaines génériques
En examinant le nom de domaine, on constate qu’il
fournit un moyen facile et logique pour l’usager
de se rappeler une combinaison alphanumérique
et ainsi de localiser l’adresse qu’il recherche. Elle
est composée d’un domaine de niveau supérieur
et d’un domaine de second niveau.
.biz
Business
.info
Media
.name
Nom
• Autres TLD réservés à l’usage exclusif
des Etats-Unis d’Amérique
.mil
Military institutions
.gov
Governmental institutions
Le nom de domaine de second niveau est en fait la
version «lisible» de l’adresse Internet. Sur le web,
le nom de domaine est la partie de l’URL qui
indique au serveur de nom de domaine, utilisant
le DNS (Domain Name Server), s’il doit - et où il
doit - envoyer une requête de page web.
Domaine de premier niveau
U
n nom de domaine de premier niveau (en
anglais TLD pour Top-Level Domain) est la
partie de l’URL ou de l’adresse Internet, qui identifie le type général de domaine Internet, tel
que «.com» pour commercial «edu» pour éducatif etc… Quand cela est justifié, un nom
de domaine de premier niveau peut être
géographique. Aujourd’hui, la plupart des
noms de domaine non-américains utilisent
un nom de domaine de premier niveau, basé
sur le code pays. Les TLDs ont été groupés
en plusieurs classe.
Exemple:
Dans le nom de domaine www.undp.org, la partie du nom
de domaine «org» indique le type d’entité (dans ce cas une
organisation non commerciale). C’est ce qu’on appelle le
nom de domaine de premier niveau. La partie «undp» du
nom de domaine définit l’organisation ou l’entité. C’est ce
qu’on appelle le nom de domaine de second niveau.
13
TLD nationaux pour les PMA
Afghanistan
.af
Libéria
.lr
Angola
.ao
République du Malawi
.mw
Bangladesh
.bd
Madagascar
.mg
Bénin
.bj
Mali
.ml
Bhutan
.bt
Maldives
.mv
Burkina Faso
.bf
Mauritania
.mr
Burindi
.bi
Mozambique
.mz
Cambodge
.kh
Myanmar
.mn
Cap-Vert
.cv
Népal
.np
Central African Republic
.cf
Niger
.ne
Comores
.km
Rwanda
.rw
République Démocratique du
Congo
.cd
São Tomé e Principe
.st
Samoa
.ws
Djibouti
.dj
Sénégal
.sn
Equatorial Guinea
.gq
Sierra Leone
.sn
Erythrée
.er
Iles Salomon
.sb
Ethiopie
.et
Somalie
.so
Gambia
.gm
Soudan
.sd
Guinée
.gn
Tuvalu
.tv
Guinée Bissau
.gw
Tchad
.td
Haiti
.ht
Togo
.tg
Kiribati
.ki
Ouganda
.ug
République Démocratique
Populaire Lao
.la
Tanzanie
.tz
Vanuatu
.ls
.vu
Lesotho
Yémen
.ye
.L’adresse
email
U
ne adresse email typique est composée d’un
nom d’utilisateur - le nom d’une entreprise,
d’une personne, d’un sigle ou toute combinaison
de lettres et de nombres permettant d’identifier le
récepteur final. L’adresse inclut aussi un nom de
serveur, un nom de domaine de second niveau et
un nom de domaine de niveau supérieur.
Exemple:
L’utilisateur appelé «Aongola» ayant un compte sur le
serveur «ministère de l’environnement et des ressources
naturelles » en Zambie à l’adresse email suivante:
14
QUELS SONT LES AVANTAGES DU COURRIER ÉLECTRONIQUE?
au même moment. De plus, vous pouvez
créer des forums de discussion ou des
serveurs de liste ;
C
omparé aux services de courrier traditionnel,
le courrier électronique a de nombreux avantages car il est:
Pratique. Ses données sont exploitables.
Le message reçu peut être annoté, corrigé,
sa présentation peut être modifiée et
réexpédiée;
Plus rapide;
Asynchrone: il n’est pas nécessaire que les
correspondants soient disponibles au même
moment ;
Facilement gérable. Les courriers peuvent
être classés et facilement retrouvés. La
plupart des outils d’emails permettent de
créer des répertoires pour les organiser et
disposent de moteurs de recherche intégrés
pour les y retrouver.
Economique: une fois que vous êtes
abonné auprès d’un FAI, vous payez la
communication sur la base d’un appel local,
que vous envoyez un message localement ou
dans toute autre partie du monde ;
Convivial. Il favorise la communication à
l’intérieur d’un groupe: un message peut être
explicitement envoyé à plusieurs personnes
LES OUTILS QUE VOUS POUVEZ UTILISER
L
l’adresse du destinataire (la rue/adresse
email)
’utilisation de services Internet nécessite des
outils spécifiques qui sont normalement fournis avec votre ordinateur au moment de l’achat.
Vous pouvez aussi trouver des outils complémentaires sur cd-rom (voir ci-dessous).
l’adresse de l’expéditeur (la rue/adresse
email)
mettre ce paquet d’information dans une
boîte d’envoi.
Les outils de messagerie
Les outils de messagerie sont des logiciels
établissant une connections avec d’autres serveurs
d’email pour envoyer ou recevoir des messages
et/ou d’autres documents multimédias. Il existe
de nombreux outils de ce type qui peuvent être
intégrés dans le navigateur web, comme c’est le
cas de Netscape Messenger, ou des fournisseurs
de courrier électronique tels que MSN Hotmail
ou Yahoo! mail.
Le service de transmission doit:
L’email ressemble beaucoup à l’envoi d’un
courrier par la poste. Comme pour un courrier
postal, l’expéditeur d’un message électronique,
doit:
rédiger un message indiquant l’objet et le
nom du destinataire
Dans le cas d’email, le destinataire peut:
ramasser le courrier dans la boite d’envoi,
ajouter un timbre indiquant la date et le nom
du serveur
transférer le courrier
mettre le paquet dans la boite arrivée du
destinataire.
ouvrir la boite arrivée au moment qui
lui convient; il peut aussi être prévenu
vocalement quand un courrier arrive («Vous
avez un message!») qu’il peut consulter de
plusieurs endroits si son adresse est conçue
pour un accès global.
insérer le message dans une «enveloppe»
avoir une vision d’ensemble des messages
reçus et les ouvrir un par un.
écrire l’information sur «l’enveloppe»
15
Un agent de transfert de message (en anglais
Message Transfer Agent – MTA) prend les
messages sur Internet et les dépose localement
chez les destinataires ou les transfère auprès
d’autres MTA. Une norme appelée Simple
Message Transfer Protocol (SMTP) a été mis au
point pour que les MTA puissent échanger des
informations sur Internet. Un message SMTP est
un flux de caractères composé de 2 parties, l’entête et le corps.
En tête
A: [adresses des destinataires]
Date: [quand le message est envoyé]
De: [adresse de l’expéditeur]
Répondre à: [adresses où est envoyée la réponse]
Sujet: [objet du message (concis)]
Cc: [adresses des destinataires en copie]
Bcc;[adresses cachées de destinataires invisibles]
Message-Id: [numéro et références du message]
Corps
Cher monsieur Pasztor,
Je vous remercie de votre message précédent.
Veuillez trouver mes commentaires...
La signature email
Exemple:
U
ne personne qui reçoit un message ne peut
pas nécessairement vous identifier à partir de
votre adresse email ; il est donc important de lui
fournir votre nom, votre adresse et coordonnées
(numéros de téléphone, fax) ainsi que votre titre
et votre organisation. Cela facilite la communication entre des partenaires répartis dans le monde
entier.
Sharon Taylor
Librarian
Information, Outreach and
Administrative Services
Climate Change Secretariat
Bonn
Germany
Tel: (49-228) 815-1003
Fax: (49-228) 815-1999
La plupart des logiciels de messagerie offrent
cette fonctionnalité qui s’active à chaque nouveau
message. Habituellement, cette option est
disponible dans un menu appelé «préférences» où
vous pouvez choisir l’option «signature».
Voyez, par exemple, le texte de la signature d’email
automatique utilisé par la personne responsable
de la documentation et de la bibliothèque au
secrétariat de l’UNFCCC.
16
Gestion des emails
le bon document. Un double click sur le fichier
recherché l’ajoutera à la liste des pièces jointes :
vous pouvez alors envoyer l’email accompagné du
document souhaité.
S
i vous utilisez votre courrier électronique fréquemment, vous allez générer une longue
liste de messages qu’il sera important de classer
correctement. La plupart des outils de courrier
électronique offre une fonction qui permet aux
utilisateurs de créer des répertoires et d’organiser
leurs messages reçus et envoyés. Les outils de
messagerie offrent aussi la possibilité de créer (et
d’effacer) des sous-répertoires et d’y déplacer les
messages. Pour archiver un message sous forme
de fichier ou de mail dans un répertoire spécifique, sélectionnez, coupez et collez -- ou encore
glissez-le, dans le répertoire que vous aurez crée
au préalable.
Format de fichier
Les documents que vous pourriez recevoir ou que
vous souhaiteriez produire et envoyer, peuvent être
soit des fichiers purement textuels, des images, des
tableaux, soit un mélange de plusieurs d’entre eux.
Selon le programme que vous utilisez, ces fichiers
auront différentes abréviations, liées au nom de
fichier, après un point (exemple: réunion.doc
pour un document appelé réunion qui est sauvé
en fichier Microsoft Word).
Les pièces jointes
Pour plus d’information sur les extensions de
fichiers, consultez http://www.filext.com. Vous
y trouverez des informations précises sur les
extensions ci-dessous et sur de nombreux autres
formats de fichiers. Les formats de fichier les plus
courant sont listés dans le tableau ci-dessous.
Il est aussi possible de joindre un ou plusieurs
fichiers ou documents à votre email. Pour ce faire,
suivant l’outil de mail disponible, allez sélectionner
«pièce jointe» dans une des options de la barre de
menu. Une boite de dialogue s’ouvre alors et vous
permet de naviguer dans les répertoires de votre
ordinateur afin de sélectionner le bon fichier ou
FICHIERS TEXTUELS
.txt fichier texte ascii(ouverts sous
Notepad, WordPad, Word, ou
beaucoup d’autres programmes)
.doc (fichier de traitement de texte,
notamment MS-Word)
FEUILLES DE CALCUL
.xls (programme qui permet d’effectuer des
calculs)
.wks (feuille Lotus pour des calculs)
.rtf (rich text format, ce format
pourra être lu avec d’autres logiciels
de traitement de texte ou d’autres
systèmes que Microsoft)
FICHIERS COMPRESSÉS
IMAGES COMPATIBLES AVEC LE WEB
.zip (pour une économie d’espace
d’archivage)
.bmp - Windows bitmap file format
.tif-Tagged Image FIle Forrmat
.gif-Graphic Interchange file format
.jpeg-JPEG file format
.ai Graphique vectoriel d’Adobe
Illustrator
.pcx- PC Painter interchange file
.png-Portable Network Graphics
.tga- Targa file format
.wmf-Windows Metafile format
.pix- SGI/A/W image file format
WORLD WIDE WEB
.html (format W3C de page web
normal)
.pdf (format ADOBE pour la diffusion
de document qui permet de conserver
intégralement la mise en page d’un
rapport quel que soit l’ordinateur sur
lequel il est lu ou l’imprimante utilisée)
17
WORLD WIDE WEB
THE WORLD WIDE WEB - LA TOILE
Adresse générale sur le web
Le navigateur
L
U
n navigateur («browser» en anglais) est une
application qui propose un moyen de
consulter et d’interagir avec toute l’information
disponible sur le Web. Le terme «browser»
semble avoir été créé avant le web comme un
terme générique pour les interfaces utilisateurs
qui permettent de parcourir ou encore de
naviguer, à travers les fichiers et de les lire en
ligne. Techniquement, un navigateur web est un
programme client qui utilise Http pour effectuer
des requêtes auprès des serveurs web à la demande
de l’internaute. Ce logiciel de navigation établit
une connexion avec le site web et peut télécharger
ou retrouver pour affichage, le fichier ou la page
web demandé. Il existe un certain nombre de
navigateurs sur le marché; les plus répandus pour
les PC sont Netscape Navigator/Communicator
et Microsoft Internet Explorer.
es fichiers sur le web peuvent être localisés
grâce à leur adresse ou, comme expliqué
plus haut, grâce à leur URL. Quand on utilise le
protocole Http, l’adresse du fichier est composée
d’un nom de serveur, d’un nom de domaine de
second niveau, d’un nom de domaine de niveau
supérieur, suivi du chemin interne au serveur
d’hébergement.
Exemple:
Un fichier nommé «about-Internet.html» dans le sousrépertoire «Climate Change»du répertoire «training»
hébergé sur le serveur de domaine «www» dans Unitar
aurait l’URL suivante:
http://www.unitar.org/training/ClimateChange/
about-Internet.html
Qu’est ce qu’un site web?
U
n site web est une compilation de documents et fichiers en langage web, reliés entre
eux, qui inclut un fichier d’entrée, appelé la page
d’accueil. Les sociétés ou les particuliers vous indiquent comment accéder à leur site web en vous
donnant l’adresse (URL) de leur page d’accueil. A
partir de cette page, vous pouvez ensuite accéder à
toutes les autres pages du site donné.
Qu’est-ce qu’une page d’accueil Internet
•
Exemple:
L’adresse de la page d’accueil du site web du PNUE
est:
http://www.unep.org Cette adresse mène ensuite à
des centaines d’autres pages incluses sur le site web
du PNUE.
Attention !
Dans le terme «site web», le mot «site» évoque
un lieu géographique ce qui crée une confusion
avec le mot serveur. Un serveur est un ordinateur
au sein d’un réseau qui est utilisé pour fournir
des services (tels que l’accès à des fichiers, à des
périphériques partagés ou le routage de courrier
électronique sur un ou plusieurs sites). Un site
web, même s’il n’a une seule adresse nominale,
peut en fait être géographiquement hébergé sur
plusieurs serveurs qui sont situés en des endroits
très différents ou distants les uns des autres (cf:
l’exemple du site www.unep.org).
Pour un utilisateur d’Internet, la page
d’accueil est la première page Web qui
s’affiche à l’ouverture du navigateur.
Généralement, le constructeur du logiciel ou
le fournisseur d’accès, l’a configuré de façon
à afficher sa propre page d’accueil. Il est aussi
possible de sélectionner le site web de votre
choix. N’importe quelle adresse de site web
peut en fait devenir votre page d’accueil
lorsque vous l’aurez pré-sélectionnée. Vous
pouvez également opter pour une nonpage d’accueil et c’est une page blanche qui
s’affichera.
• Pour un développeur de site web, la page
d’accueil est la première page qui se présente
à l’internaute qui a sélectionné cette adresse
sur le web. C’est en fait est la porte d’entrée
du site web qui conduit vers d’autres pages
stockées telles que le répertoire et les sousrépertoire du site. Une barre oblique
– slash- (/) indique la séparation entre les
différents niveaux ou répertoires à l’intérieur
de la hiérarchie du contenu d’un site web.
Pour être accessible par un navigateur, une
page web doit être rédigée dans un langage
standard du type «HTML» (voir ci-dessous).
21
Créer une page d’accueil Internet
Chaque page web d’un site a également
une adresse web unique (URL) à laquelle
on peut accéder directement. Il n’est donc
pas nécessaire de passer par la page d’accueil
chaque fois que vous souhaitez accéder à
certaines pages spécifiques d’un site web. Il
vous suffit de taper directement cette adresse,
dans le cas bien sur, vous la connaissez déjà.
S
i vous souhaitez créer votre propre page d’accueil, grâce à HTML, il existe des logiciels
gratuits sur Internet qui expliquent le programme
et offrent des outils d’édition. En téléchargeant
ces outils (http://www.selfhtml.com.fr/) vous
pourrez construire votre page web propose site et
offrir vos propres informations climatiques sur le
web. D’autres logiciels gratuits (en anglais) sont
également disponibles aux adresses suivantes:
www.virtualmechanics.com (IMIS Web Dwarf
- file size 4.73mb) www.web-studio.cjb.net (Web
Studio 3 - file size 832kb) Pour d’autres outils et
logiciels, vous pouvez également consulter le site:
www.downloads.com
Hypertext Mark-up Language
H
ypertext Mark-up Language (HTML) est
un ensemble de codes ou de symboles de
balisage insérés dans un fichier destiné à être affiché par un navigateur web. Les balises indiquent
au navigateur la manière de mettre en page, d’afficher les images et le texte d’une page web pour
l’utilisateur.
Une navigation intelligente
E
HTML fournit une description du document
de la page qui peut être affichée ou imprimée
indépendamment de la configuration matérielle:
une page web au format HTML peut être regardée
sur n’importe quelle marque d’ordinateur équipée
d’un navigateur.
n raison de la croissance exponentielle de la
masse d’information disponible sur Internet,
il est difficile de trouver rapidement ce que l’on
cherche. Des outils de recherche ont été mis au
point qui vous aideront à trouver ce que vous
cherchez. Il en existe plusieurs que vous utiliserez
en fonction du type de votre recherche.
Cependant, chaque navigateur affiche les pages
web en fonction des capacités de l’ordinateur
et de la configuration spécifique effectuée par
l’utilisateur. En d’autres termes, la même page
web ne s’affichera pas de la même façon sur
chaque ordinateur, mais elle est fonction des
configurations individuelles.
Si vous ignorez l’adresse du site que vous souhaitez
consulter ou si vous recherchez de l’information
sur un sujet particulier, vous pourrez faire une
recherche:
par répertoire ou catalogue thématique
La version 4 d’HTML, développée par le
W3C (World Wide Web consortium: http://
www.w3.org) est le standard officiel. Cependant
la plupart des navigateurs admettent les autres
versions.
par index
par meta-recherche en utilisant une
combinaison d’outils
Conseils pratiques pour l’utilisation des outils de
recherche
Hyperliens
p
U
n lien hypertexte ou hyperlien, est une partie
de texte ou d’image (aussi appelée icône)
qui, lorsqu’il est sélectionné par un clic de souris,
ouvre directement un nouveau document web.
Un lien hypertexte peut pointer sur une autre section de la même page, une autre page sur le même
site, un autre site web ou encore déclencher un
script ou une application.
p
22
Utilisez en plusieurs car aucun outil de
recherche seul ne parvient à identifier
l’ensemble des contenus du web.
Renseignez-vous sur l’outil avant
de l’utiliser. La plupart des outils de
recherche informent les utilisateurs
sur la manière dont ils compilent
l’information et l’organisent, et sur la
façon d’obtenir les meilleurs résultats.
p
p
Vous pouvez aussi sauvegarder l’ensemble de la
page que vous venez de consulter afin de pouvoir
en relire le contenu sans avoir besoin de vous
connecter de nouveau.
Soyez précis. Si par exemple vous
faites une recherche avec l’expression
«émission des gaz à effet de serre»
au lieu de «gaz à effet de serre», vous
obtiendrez moins de réponses, mais
elles porteront plus spécifiquement sur
les émissions de gaz et non pas sur les
gaz à effet de serre en général.
Soyez conscients néanmoins qu’une page web
sauvegardée ne permet plus de naviguer, car tous
ses liens ne sont plus connectés au serveur.
Utilisez les fonctions de «recherche
avancée» vous permettant d’affiner
votre recherche à l’aide de combinaisons
de mots clés.
Gestion des sites favoris
U
ne alternative à la sauvegarde de pages est
la sauvegarde d’adresses de pages. Si vous
souhaitez retenir l’adresse d’un site web pour y
faire ultérieurement référence ou y accéder immédiatement plus tard, il est utile de stocker ces
adresses dans une liste de favoris (ou «signets»,
selon le navigateur). Pour accéder à l’une de vos
adresses favorites, allez dans «favoris» et cliquez
simplement sur l’adresse enregistrée.
La recherche sur Internet vous entraînera d’une
page à l’autre tout simplement en cliquant sur
les liens soulignés que vous trouverez. Vous
pouvez entamer, par exemple, un cheminement
sur le web qui, partant de la page d’accueil de
l’UNFCCC vous emmènera sur le site de l’UNEP
Nairobi, puis de Université de Wisconsin pour
finir sur le site de Greenpeace, etc. au coût d’une
communication locale!
Compléments sur les outils de recherche
Pour revenir à l’information que vous venez
de quitter
La plupart, si ce n’est l’ensemble, des outils de
recherche intègrent des logiciels qui indexent
le contenu du web. Une fois les pages d’un
site indexées, l’outil de recherche retournera
régulièrement sur le site pour mettre à jour l’index.
Certains outils de recherche s’intéresseront plus
particulièrement aux mots contenus dans les titres,
les objets, les mots clés dans les balises HTML, les
premiers mots d’une page et sur la fréquence de
récurrence (jusqu’à une certaine limite) d’un mot
dans une page. Chacun des outils de recherche
utilise des schémas d’indexation et de recherche
sensiblement différents.
U
ne première solution est d’aller et venir en
utilisant la flèche située en haut à gauche de
votre navigateur, mais il existe également d’autres
options qui vous permettent de:
·
Visualiser plusieurs pages en même
temps.
·
Voir une page que vous aviez
sauvegardée.
Vous pouvez visualiser plusieurs pages ou
documents en même temps. En général, une
solution pratique est de réduire une fenêtre sur
votre écran avant d’en ouvrir une autre; celle ci
sera donc toujours disponible en bas de votre
écran.
•
Par répertoire thématique
Au premier niveau, on trouve des répertoires
thématiques très génériques qui permettent
d’accéder à des sous-répertoires beaucoup
plus précis et détaillés. Ils sont utiles dans
une recherche pour une information
générale sur un sujet, par exemple «le
réchauffement global». Certains utilisateurs
utilisent le répertoire thématique comme
point de départ d’une recherche sur le web.
Des spécialistes ont classé les documents
web dans des schémas de classification ou
des taxinomies par domaines. Les sites se
rapportant à un même sujet sont donc ainsi
Vous pouvez appliquer la même procédure lors de
votre recherche Internet. Si vous souhaitez ouvrir
une nouvelle fenêtre: positionnez le curseur sur le
lien- cliquez avec le bouton droit de votre souris
et ouvrez le lien dans une nouvelle fenêtre. Vous
pouvez alors retourner à la page précédente et
sauter d’une page à l’autre.
23
moteur de recherche. Pour une recherche efficace
avec des moteurs de recherche, il importe de lire
les instructions indiquant comment saisir les mots
dans le champs de recherche (rubrique aide).
reliés par catégorie thématique, même si ces
sites n’utilisent pas toujours les mêmes mots
clés.
Par exemple une recherche sur les mots:
réchauffement global, changements climatiques et
gaz à effet de serre. Avec un outil tel que Yahoo
(www.yahoo.com), on trouve le réchauffement
global sous la rubrique Environnement et nature.
Des répertoires spécialisés tels que Climate Ark
(www.climateark.org, voir page 31) fournissent
des listes et une recherche en texte intégral des
sites web sur les changements climatiques (en
anglais seulement).
•
Si le mot saisi est peu précis ou trop générique, le
nombre de résultats que le moteur de recherche
fournira sera très important. Il vaut ainsi mieux
affiner la recherche en saisissant une séquence de
mots plus précise, en ajoutant:
•
Plusieurs mots qui ont un lien direct avec
le sujet exploré;
•
Des expressions qui qualifient votre
requête;
•
Des relations logiques entre les mots en
utilisant des combinaisons d’interrogation
de type «ET», «OU», «SAUF», appelées
des “opérateurs booléens”;
•
Des majuscules ou des accents dans les
mots recherchés.
Avec un moteur de recherche
Les moteurs de recherche par indexation utilisent
un robot qui scrute des millions de pages web
dans le but de constituer des bases de données
de contenus, en relation avec un index spécifique.
Plus tard, le robot suivra les liens de chaque page
déjà indexée pour créer des sous-index etc…Les
internautes utilisent le plus souvent un moteur
de recherche quand ils sont à la recherche d’une
information complexe car ces outils vont indexer
les mots ou les termes des documents recherchés.
Les moteurs vont alors utiliser des «spiders» ou
«robots» pour aller sur le web, trouver les pages
individuelles, les indexer et identifier les documents
recherchés. Ces robots sont des modules de code,
qui ont des approches différentes ; certains
mettant l’accent sur les mots-clefs placés dans les
titres de pages ou sur la fréquence d’apparition de
mots etc.; certains robots fabriquent des index de
contenus alors que d’autres élaborent des index
par expression ou mot significatif. Les moteurs de
recherche les plus connus sont les suivants:
Dans Alta-Vista vous pouvez combiner des mots
clés avec «AND» – en français “ET”-- (le moteur
recherchera les documents qui contiennent tous les
mots associés) et avec «OR» – en français “Ou”- (le moteur recherchera alors les documents
ayant au moins un des mots-clés listés). De tels
moteurs de recherche permettent une recherche
plus précise qu’avec un répertoire thématique.
Chaque moteur impose sa propre syntaxe, dans
certains cas, le «ET» est remplacé par un espace
ou un virgule, le ou par un «+»… Il convient donc
de toujours lire en détail les instructions données.
Pour accéder à un moteur de recherche, tapez
son URL (adresse) dans la barre de navigation.
Tapez dans le champ de recherche les mots
correspondant à votre recherche.
Alta Vista http://www.altavista.com
Yahoo http://www.yahoo.com
Google www.google.com
Google www.google.fr (en français)
Infoseek http://www.infoseek.com
Ask Jeeves http://www.ask.com/
All the Web http://www.alltheweb.com
•
Méta - moteurs de recherche
Les méta-moteurs vous permettent de faire
simultanément une recherche dans plusieurs
outils de recherche, sans avoir à saisir la même
requête dans chaque outil. Des méta-moteurs
tels que Ixquick (www.ixquick.com/fra/),
Surfwax (www.surfwax.com) ou Metacrawler
(www.metacrawler.com) doivent être utilisés
quand les répertoires thématiques et les moteurs
de recherche ne vous fournissent pas de résultats.
De nombreux outils de recherche proposent les
deux options combinées (notamment Yahoo):
recherche thématique et moteur de recherche.
L’utilisateur peut opter pour une navigation
dans les répertoires thématiques ou le lancement
d’une recherche via les fonctionnalités avancées du
24
de détruire ou de modifier les données qu’ils
contiennent. Ces macros virus peuvent se
transférer d’une plate-forme à une autre, et
se propager à chaque fois que vous ouvrez
un fichier infecté.
Les principaux autres méta-moteurs sont les
suivants:
Metasearch (www.metasearch.com) est relié à
Yahoo!, WebCrawler, InfoSeek, Lycos, Open
Text, TradeWave Galaxy et AltaVista.
• Chevaux de Troie
All4one (www.all4one.com) est relié à Yahoo,
AltaVista, Lycos et WebCrawler.
Les chevaux de Troie sont des programmes
d’apparence banale, voire même utile - ce
qui encourage à les faire fonctionner. Ils ont
pourtant un objectif caché : endommager
des fichiers ou placer un virus dans votre
ordinateur. Un cheval de Troie n’est pas
un virus à proprement parler, car il ne se
duplique pas, et ne se propage pas. En
raison de cette spécificité, les fichiers qui les
contiennent ne peuvent pas être réparés.
Enfin, les dernières versions des navigateurs web
permettent d’accéder à un éventail de moteurs de
recherche et de méta moteurs en cliquant sur le
bouton «search» .
• Vers
Les résultats de votre recherche sont alors affichés
de façon ordonnée (ou pas), conformément
à la fonction d’ordonnancement des critères
spécifiques que vous avez pré-établis.
Les vers sont des programmes qui
se dupliquent sans infecter d’autres
programmes. Certains vers se propagent
en se recopiant de disque en disque, à la
recherche de certains types de fichiers sur
un disque dur ou un serveur, afin de tenter
de les détruire. D’autres types de vers se
contentent de se dupliquer dans la mémoire
vive, en créant des centaines de copies d’euxmêmes qui vont s’activer ensemble et ralentir
considérablement le fonctionnement de
l’ordinateur. A l’instar des chevaux de Troie,
les vers ne sont pas des virus, et les dégâts
qu’ils causent ne peuvent être réparés.
La protection contre les virus est
impérative!
Le fonctionnement des virus
U
n virus informatique est un programme rédigé spécialement pour modifier le fonctionnement de votre ordinateur, sans votre permission
ni votre accord. Un virus attache des copies de
lui-même à d’autres fichiers qui, une fois activés,
peuvent endommager des fichiers, contaminer
le système d’exploitation, ou faire apparaitre des
messages. Les virus informatiques infectent les
fichiers système et les documents créés par des
programmes incluant des macro-instructions.
Certains virus sont programmés pour endommager des programmes, détruire des fichiers ou
effacer votre disque dur.
Le mode de propagation des virus
U
n virus demeure inactif tant que vous
n’ouvrez pas un programme infecté, ne démarrez pas votre ordinateur à partir d’un disque
contenant des programmes infectés ou n’ouvrez
pas un document infecté. Ainsi, dans le cas d’un
logiciel de traitement de texte contenant un virus,
ce dernier s’active à l’ouverture du programme.
Une fois que le virus est installé dans la mémoire, il
infecte tous les programmes que vous ouvrez. Les
virus peuvent se comporter de plusieurs manières
: certains restent actifs en mémoire jusqu’à ce que
vous éteigniez votre ordinateur, d’autres tant que
le programme infecté est en route. En éteignant
l’ordinateur ou en fermant le programme en
cours, vous enlevez le virus de la mémoire, mais
• Macro virus
Les macros virus sont des programmes
simples, conçus pour accomplir des tâches
répétitives dans un document ou des calculs
dans un tableur. Les macros sont écrits à
l’aide de logiciels comme Word ou Excel.
Ce sont des programmes nuisibles, conçus
pour se reproduire de fichier en fichier, afin
25
Exemple:
pas du fichier infecté, ni du disque. En d’autres
termes, si le virus est installé dans un fichier système, il s’activera quand vous démarrerez le système
d’exploitation de votre ordinateur. Si le virus est
dans un programme, il s’activera à chaque fois que
vous ouvrirez ce programme.
Je travaille sur le fichier montravail-01mar.doc et
je conserve sur une disquette - ou mieux, sur un
autre ordinateur - montravail-28fev.doc, montravail27fev.doc. Si montravail-01mar.doc est détruit par un
virus ou par un accident, je pourrais repartir avec un
jour de retard. Si je m’aperçois que le virus était déjà
là la veille. Vous pourrez appeler un spécialiste avant
de toucher au fichier précédent.
Logiciels anti virus
P
our parer à ces risques très réels, des logiciels
anti-virus doivent toujours être installés sur
votre ordinateur et régulièrement mis à jour.
Certains peuvent être téléchargés à partir des sites
ci-dessous:
Notons que les banques conservent au moins 15
jours d’activités en trois exemplaires qu’elles font
garder en trois endroits différents. Les Points
Focaux UNFCCC se doivent d’avoir la même
prudence.
• www.symantec.com: célèbre logiciel
antivirus très répandu. Une version est
disponible pour évaluation sur le site web.
R
• www.mcafee.com: comprend un pare-feu et
une protection antivirus (en anglais, français
et espagnol)
• www.sophos.com: comprend un système
permettant de jouer le rôle de passerelle ou
de serveur de courrier électronique; il est
offert gratuitement pour 30 jours sur ce site.
• www.grisoft.com: antivirus gratuit
disponible sur le site web.
Sauvegardes fichiers
Si les virus peuvent provoquer des dégâts
importants allant jusqu’à la perte totale de vos
données et la mise hors service de votre matériel,
ils ne sont pas les seuls facteurs de risque. L’erreur,
l’accident matériel (foudre, incendie, maladresse…
) peuvent provoquer des résultats au moins aussi
inquiétants.
Tout travail sur ordinateur doit donc être
systématiquement et méticuleusement sauvegardé.
Lorsque vous utilisez votre ordinateur à des buts
professionnels, il est recommandé d’effectuer
quotidiennement une copie des fichiers que vous
avez modifiés, de conserver si possible cette copie
(«Backup» en anglais) en un lieu différent. Enfin,
il est souhaitable de conserver au moins deux des
générations précédentes de votre travail.
26
INFORMATIONS GÉNÉRALES SUR LA TERMINOLOGIE INFORMATIQUE
En anglais:
whatis.com/
www.cnet.com/Resources/Info/Glossary/
En français:
www.css.qmul.ac.uk/foreign/eng-french.htm
www.dicofr.com
http://www-rocq.inria.fr/qui/Philippe.Deschamp/RETIF/
Glossaire informatique des termes de la Commission ministérielle de terminologie informatique
http://www.linux-france.org/prj/jargonf/ Le jargon informatique
En portugais:
www.public.iastate.edu/~pedro/pt_all/pt_internet.html
En espagnol;
http://www.moheweb.galeon.com/diccinformatic.htm
http://cursos.uacj.mx/InternetHistory/web%20pages/Diccionario%20de%20Terminos.htm
Spécial pour l’usage du français: vous trouverez sur le net un dictionnaire qui donne l’orthographe des
noms communs, noms propres, un atlas, des dossiers encyclopédiques et une grammaire du français à
l’adresse: http://www.francophonie.hachette-livre.fr/
27
LEXIQUE ET ACRONYMES
ASCII Text
Texte au format American Standard Code for Information Interchange – Le plus
ancien codage de signes ne comportant aucun élément de présentation. Ce codage
affecte des valeurs numériques aux lettres, aux chiffres, aux signes de ponctuation
et à certains autres caractères. En normalisant les valeurs utilisées pour représenter
les caractères, des fichiers en ASCII permettent aux ordinateurs et aux logiciels
d’échanger des données.
Bit
Binary Digit - Unité binaire représentant un élément d’information en deux valeurs
distinctes : 0 ou 1.
Bps
Bit per second - Unité de débit ou bande passante, c’est à dire le nombre de bits
transportés en une seconde.
Byte
Octet, c’est à dire un ensemble de 8 bits. A ne pas confondre avec bit.
DNS
Domain Name Server - Serveur de noms utilisé pour établir la correspondance entre
le nom de domaine et le numéro IP, c’est à dire traduire les noms d’hôtes en adresses
Internet.
FQDN
Fully Qualified Domain Name – Nom de domaine complètement défini
FTP
File Transfer Protocol - Processus permettant de transférer des fichiers ou de pages
web entre l’ordinateur local et un ordinateur distant en utilisant le protocole TCP/
IP.
HTML
Hypertexte Markup Language - Langage servant à écrire des pages web. Permet
d’ajouter au texte des codes de formatage, des images et des liaisons hypertexte.
L’hypertexte apporte aussi une méthode d’affichage permettant de combiner textes,
images, sons et vidéos.
HTTP
HyperText Transfer Protocol - Méthode utilisée pour transférer les pages web sur le
réseau.
IP
Internet Protocol - Ensemble de méthodes et de normes composant le langage
commun de tous les ordinateurs sur Internet.
ISDN
Integrated Services Digital Network ou RNIS Réseau numérique à intégration de
service - Norme de téléphonie numérique.
Kbps
kilobit par seconde= 1000 bps
SMTP
Simple Mail Transfer Protocol - Méthode de transfert et de surveillance de messagerie
électronique de la famille TCP/IP.
TCP
Transfer Control Protocol - Services de base pour la communication sur le réseau
Internet
TLD
Top Level Domain - Domaine de premier niveau.
URL
Uniform Resource Locator - Adresse d’un fichier accessible sur Internet.
28
LES SITES WEB SUR
LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
LES SITES WEB SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES
C
ette partie du manuel propose une liste non exhaustive de sites web offrant des informations sur
les changements climatiques. Il importe de comprendre qu’une telle liste peut devenir rapidement
datée. Cependant, l’accès à Internet étant encore souvent un défi dans de nombreux pays en voie de développement en raison de retards d’ordre technologiques, nous estimons que cette liste peut vous faire
gagner du temps, en vous proposant des adresses directes, indispensables pour votre travail. Comme il
est expliqué dans la partie technique du manuel, vous pouvez opérer une sélection des adresses les plus
pertinentes et les compiler dans votre liste de “Favoris”. Sur le long terme, la meilleure source d’information demeure le site web du secrétariat de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CNUCC, UNFCCC en anglais). Voir l’adresse électronique sous la rubrique:
Bibliothèque en ligne page 22. Ce site est régulièrement mis à jour et propose des liens vers les sites les
plus utiles.
Le site web du secrétariat de l’UNFCCC
Dès l’ouverture du site web de l’UNFCCC, vous
avez un accès direct à plusieurs sous-sections :
•
What’s new/Quoi de neuf?: les documents
les plus récents http://unfccc.int/wnew/
index.html
•
Basic
background
information/
Thèmes des sessions : un guide sur
le processus de négociation en cours à
propos des changements climatiques, et
un kit d’information sur les changements
climatiques http://unfccc.int/resource/
index.html
•
Textes relatifs à la Convention et au
Protocole de Kyoto: notamment l’état des
signatures et ratifications http://unfccc.int/
resource/convkp.html
•
Documents officiels de l’UNFCCC:
disponibles via un moteur de recherche
spécialisé et des aides à la recherche http:/
/maindb.unfccc.int/library Les documents
officiels se reconnaissent au fait qu’ils
contiennent en en-tête les logos des Nations
Unies et de l’UNFCCC, ainsi qu’un
symbole documentaire de l’UNFCCC. Ces
symboles (par exemple : FCCC/CP/2001/
6) sont construits selon le même modèle: ils
commencent par FCCC, puis indiquent les
organismes désignés pour une Convention
(«CP» pour la COP, «SBI» ou «SBSTA»
pour les organes subsidiaires ou «SB» pour
des documents destinés aux deux organes
subsidiaires) et se terminent par l’année de
création du document.
Les documents officiels précédant les
sessions de l’UNFCCC sont disponibles
avant une réunion de la CP, SBSTA or SBI,
le plus souvent dans les six langues officielles
des Nations Unies (anglais, arabe, chinois,
espagnol, français et russe). Les documents
qui suivent la session, en général les compterendus, sont également disponibles dans
ces six langues. Les documents en cours de
session ne sont disponibles que pendant les
réunions (CRPs, Ls, MISCs). Les documents
de type L sont en général traduits. Les CRP
et MISC ne sont disponibles que dans
la langue de la session. Les décisions, les
recommandations et les résolutions de la
Conférence des Parties (COP) se trouvent
dans la seconde partie des rapports des
COP. La première partie contient le rapport
sur le déroulement de la session.
Les suffixes suivants ne sont utilisés que pour les
documents avant-session et finaux :
/INF.- Documents d’information. Utilisés
pour la diffusion de l’information, non
traduits. Exemple : FCCC/CP/2001/
INF.5
/MISC. - Documents divers qui permettent
de diffuser les vues soumises par les Parties,
non édités, non traduits et sans en-tête.
Exemple : FCCC/CP/2001/Misc.4
/Add. - Additif au texte du document
principal : même type de diffusion que le
document original.
Exemple : FCCC/CP/2001/Misc.6/
Add.1
31
/Rev. - Nouveau texte (Révision) remplaçant
un document précédent.
Exemple: FCCC/CP/2001/L.27/Rev.1
http://unfccc.int/issues/index.html.
•
/Corr.- Ce suffixe indique que le
document a été corrigé. Des modifications
concernant certaines parties spécifiques
y ont été apportées (erreurs, syntaxe ou
réorganisation). Diffusion équivalente au
document d’origine. Exemple: FCCC/CP/
2001/INF.2/Corr.1
http://unfccc.int/press/webcast/
index.html
/TP: Document techniques.
Exemple : FCCC/TP/2001/2
•
/L: - Documents à diffusion limitée,
généralement disponibles en plusieurs
langues. Leur diffusion est restreinte aux
personnes directement concernées par les
travaux. Ils sont aussi disponibles sur le site
web du secrétariat.
•
Calendrier : notamment dates limites
de soumissions et agenda prévisionnel
d’événements:
http://unfccc.int/calendar/index.html
•
Articles de presse : notamment les derniers
articles important sur les questions de
changements climatiques
http://unfccc.int/press/index.shtml.
•
Non-papers - Documents disponibles de manière
informelle pour faciliter les négociations en cours
de session.
Information du secrétariat : postes
à pourvoir, programmes de recherche,
contacts
http://unfccc.int/secret/index.html
•
Country
information/Information
par pays : liens vers des documents de
communication nationale, des points focaux
nationaux, des documents de réflexion et des
sites web sur les changements climatiques,
par pays
Bibliothèque en ligne, : accès au catalogue
de la bibliothèque, ainsi qu’à d’autres
sources d’information sur les changements
climatiques : glossaires, librairies, revues,
répertoires, moteurs de recherche et
portails
http://unfccc.int/resource/library/
onlinecol.html
http://unfccc.int/resource/country/
index.html
•
Informations sur les sessions, les ateliers
et les réunions : notamment dates et lieux,
ordres du jour et programmes quotidiens,
contacts, documents
http://unfccc.int/sessions/index.html
/CRP - Document de réunion (pour
«Conference Room Paper» en anglais).
Une catégorie de documents uniquement
distribués en cours de session qui contiennent
de nouvelles propositions et ne sont utiles
que pendant cette session. Leur diffusion
est restreinte aux personnes directement
concernée par les travaux. Ils sont cependant
disponibles sur le site web du secrétariat, mais
presque toujours en anglais uniquement.
Exemple : FCCC/SBI/2001/CRP.5
•
Vidéos des réunions : notamment
les archives vidéo des réunions les plus
importantes, des conférences de presse de
l’UNFCCC, des délégations, des ONG,
ainsi qu’une sélection d’autres événements.
Informations relatives au processus de
négociation : notamment la mise en place
de la Convention, du Protocole de Kyoto et
les questions d’ordre institutionnel
32
Les sous sections des différents programme
de l’UNFCCC
supplémentaires consacrées à la technologie. Voir:
http://unfccc.int/program/technology/
techno.html
Le programme de mise en œuvre par les Parties
visées a l’annexe I est chargé d’examiner les
communications nationales de ces Parties, de
coordonner leur compilation-synthèse, de faciliter
les échanges d’information entre les Parties. Cette
page contient également un résumé de la première
communication nationale, de leurs compilationssynthèses et de la dernière soumission de leurs
inventaires de gaz à effet de serre. Voir:
Méthodologies et outils pour évaluer les
impacts des changements climatiques. La
décision 9/CP.3 prie le secrétariat de la convention
de « poursuivre ses travaux de synthèse et de
diffusion de l’information sur les technologies
et le savoir-faire écologiquement rationnels
propres à atténuer les changements climatiques
ou à faciliter l’adaptation à ces changements, par
exemple en accélérant l’élaboration de méthodes
de conception de technologies d’adaptation,
en particulier d’outils de décision pour évaluer
les différentes stratégies d’adaptation». Dans la
mesure où la première étape est de recenser la
disponibilité et l’utilisation actuelle de tels outils,
un recueil initial ces outils a été produit. Un
formulaire destiner à communiquer ce genre
d’information est également disponible à l’adresse
suivante:
http://unfccc.int/program/imp1.html
Le programme de mise en œuvre par les Parties
non visées a l’annexe I est chargé de faciliter
l’appui technique et les activités de renforcement
des capacités relatives à la mise en œuvre de la
Convention climat par ces Parties; d’aider le
suivi des négociations concernant les diverses
procédures à utiliser pour préparer et soumettre
leurs communications nationales; et apporter
le soutien nécessaire aux questions relatives aux
opérations sur les mécanismes financiers. Voir:
http://unfccc.int/program/meth/index.html
Fichier d’experts, L’Organe subsidiaire de
conseil scientifique et technologique (SBSTA),
lors de la onzième session des ses travaux (FCCC/
SBSTA/1999/14, para. 108 (b)) a noté que les
fichiers d’experts devaient évoluer en fonction
des besoins des organes de la Convention.
Plusieurs pages web ont été conçues pour aider
les Parties à mettre à jour leurs nominations
et/ou nommer de nouveaux experts pour le
fichier d’experts de la UNFCCC sur la base de la
nouvelle fiche d’inscription figurant sur le site en
réponse au mandat définit ci-dessus. Afin d’aider
les Parties, des instructions pour la mise à jour
des informations et la soumission de nouvelles
nominations sont disponibles sur la page web
intitulée «Guidance to the Parties: Updating of the
UNFCCCC roster of experts». Des instructions
techniques sur la manière de soumettre des
informations électroniquement sont disponibles
sur la page intitulées «Instructions for nomination
on-line and update in the UNFCCC Roster of
Experts». Voir:
http://unfccc.int/program/nimp1.html
Les activités mises en œuvre conjointe de la
phase pilote (MOC) y compris les informations
de références, les contacts sur les Autorités
nationales désignées pour les MOC la liste
des projets, une fonction de recherche de
projet, de la documentation sur les questions
de méthodologies, sur le cadre uniformise
de présentation, les programme nationaux
concernant la mise en œuvre conjointe et les
documents officiels de la conventions sur la MOC
sont disponibles à l’adresse:
http://unfccc.int/program/aij/index.html
Le site web concernant les changements
climatiques et les Technologies, y compris le
processus consultatif visé à la décision 4/CP.4,
la réunion finale de Bonn qui s’est tenue le 7
juin 2000, les rapports d’activités, les compte
rendu des ateliers régionaux d’Amérique Latine
et des Caraïbes, les soumissions par les parties, la
note technique sur les technologies d’adaptation
côtière (FCCC/TP/1999/1). TT:CLEAR,
(un prototype UNFCCC de clearing house
d’information technologique) et un lien externe à
un projet pilote visant a développer des pages web
http://unfccc.int/program/roster/index.html
La section sur le Mécanisme pour un
Développement Propre (MDP), y compris
l’information telle que les informations de
33
référence, les institutions du MDP, la description
du cycle de projet MDP et un kiosque ONG sont
situés à l’adresse:
actions de lutte contre quatre types de menaces
critiques envers l’environnement global: la diminution de la biodiversité, les changements climatiques, la dégradation des eaux internationales
et l’appauvrissement de la couche d’ozone. Le
FEM est aujourd’hui le mécanisme financier des
conventions internationales relatives à la biodiversité, aux changements climatiques et aux polluants
persistants organiques. Il soutient également les
travaux des conventions globales de lutte contre la
désertification, pour la protection des eaux internationales et de la couche d’ozone.
http://unfccc.int/cdm/index.html.
Le Joint calendar of event/Calendrier des
évènements communs est un calendrier
d’intérêt commun aux trois conventions, celle
sur les changements climatiques (UNFCCC), la
convention sur la Désertification (UNCCD) et la
convention sur la diversité biologique (CBD). Il
est située à l’adresse:
Le FEM - le seul organisme de financement qui
ait émergé des travaux du Sommet mondial - est
maintenant un acteur majeur dans la promotion
des technologies d’énergies renouvelables, et une
force d’intervention dynamique grâce à ses trois
agences opérationnelles : le PNUD, le PNUE et
la Banque mondiale. Les agences d’exécution du
FEM sont la FAO, l’ONUDI, la Banque africaine
de Développement, la Banque européenne
de Reconstruction et de Développement, la
Banque Inter-américaine de développement et
le Fonds International pour l’Agriculture et le
Développement.
http://unfccc.int/wnew/jlgcal.pdf
Le 2002 Responding to Climate Change
Calendar/Le Calendrier 2002: Répondre
aux changements climatiques a été publié à
l’occasion du 10ième anniversaire de la signature
de la Convention Cadre des Nations Unies
sur les Changements Climatiques. La version
électronique de ce calendrier complète le
calendrier imprimé distribué aux participants de
la 7ième conférence des Parties qui s’est tenue à
Marrakesh en 2001. La version électronique de ce
calendrier inclut toutes les dates importantes pour
le processus des négociations sur les changements
climatiques. Il est disponible à l’adresse:
Le site web du FEM (www.gefweb.org) recense
une série d’informations sur les activités du FEM
concernant les changements climatiques. Un
certain nombre de publications y sont disponibles
en français, en cliquant sur “Français” à la page
d’accueil. Elles relèvent de plusieurs grandes
catégories: intérêt général, thèmes particuliers,
stratégie et opérations et suivi et évaluation. Les
documents disponibles sous forme électronique
sont signalés par un lien visible. Les autres sont
disponibles sur demande, sous forme imprimée
uniquement, auprès du Secrétariat du FEM. Par
ailleurs, en anglais pour l’instant, le site permet
d’accéder à l’ensemble des sites des agences
opérationnelles qui travaillent sous son égide.
http://unfccc.int/calendar/index.html
PMA: Un site web dédié aux Pays les Moins
Avancés sera rapidement disponible à l’adresse:
http://www.unfccc.int/LDC
Pour plus d’information, prière de contacter:
Secrétariat de la Convention UNFCCC
Marthin-Luther-King-Strasse 8
D 53175 Bonn
Allemagne
Téléphone: +49-228 815 1000
Fax 49 228 815 1999
Email: [email protected]
Pour plus d’information, prière de contacter:
GEF Secretariat
1818 H Street, NW
Washington, DC 20433
USA
Fonds pour l’Environnement Mondial
L
e Fonds pour l’environnement mondial
(FEM, GEF en anglais) a été formellement
lancé en 1994, après une phase pilote de 3 ans,
pour développer la coopération et financer des
Téléphone: +1 202 473-0508
Fax: +1 202 522-3240/3245
E-mail: [email protected]
34
PNUE
PNUD
L
e PNUE offre une somme d’informations
multimédia sur les changements climatiques.
Le portail global www.Unep.net en cours d’élaboration a une composante thématique sur les
changements climatiques. Cette source d’informations sur les changement climatiques fait autorité. Elle est utilisée par le PNUE ainsi que par ses
partenaires lors des évaluations environnementales intégrées dans le processus de L’Avenir de
l’Environnement (Global Environment Outlook
– GEO, en anglais).
Le Programme de Nations Unies pour le
Développement, (PNUD) est une organisation
largement reconnue pour ses conseils fondés sur de
solides connaissances de terrain et son plaidoyer en
faveur d’une économie mondiale ouverte à tous.
Le PNUD est un organisme de financement et
encourage également la coopération Sud-Sud. Le
PNUD s’emploie à remédier aux causes multiples
de la pauvreté et à promouvoir le développement,
en incluant les questions de l’énergie et du
développement dans ses visées stratégiques (voir
www.undp.org/). De 1965 à 2000, le budget
consacré par le PNUD aux énergies renouvelables
et aux changements climatiques a atteint un
total de $ 1 651 millions. Le PNUD contribue
au travail sur les changements climatiques en se
préoccupant plus spécifiquement des énergies
durables, et en participant au FEM (Fonds pour
l’environnement mondial).
Les projets et l’engagement du PNUE au sein
du FEM (Fonds pour l’environnement mondial)
sont décrits (en anglais) à www.unep.org/
GEF/. Ses activités concernant les transferts
de technologie et d’énergie sont disponibles à
l’ adresse: www.uneptie.org/home.html. Les
produits informatifs à destination du grand public
(dont un kit de 30 fiches sur la vision scientifique
et politique des changements climatiques, et
un Guide pour débutant sur la Convention sur
les changements climatiques et le Protocole
de Kyoto) se trouvent à : www.unep.ch/
conventions/. Les Vital graphics sur les impacts et
les émissions de gaz à effet de serre se trouvent sur
le site www.grida.no/climate/. Enfin, d’autres
informations ainsi que des liens sont sur la page
d’accueil du PNUE, www.unep.org (en anglais).
En outre, le PNUE a mis en place et héberge
dorénavant le site du UNEP/WMO IPCC à
www.ipcc.ch/. Vous pouvez y avoir un accès
immédiat aux quatre derniers rapports du GEIC
2001 (texte et illustrations).
Le site web du FEM-PNUD (www.undp.org/
gef) offre toutes les informations concernant
l’ensemble des projets sur les changements
climatiques ($ 669 millions) qui ont été développés
de 1991 à 2000. Le site recense les projets, par
titre, description et mode de financement, ainsi
que par région ou par typologie. On y trouve
également la politique opérationnelle du FEM,
des références, des outils, et les programmes de
partenariat avec les entreprises. Une sélection de
ses programmes est présentée ci-dessous:
•
Pour plus information, prière de contacter:
United Nations Environment Programme
Information Unit for Conventions
Maison Internationale de l’Environnement
15, Chemin des Anémones
1219 Châtelaine, Suisse
Téléphone
+41-22-917 8242 / 8244 / 8196
+41-79-409-1528 (portable)
Fax: +41-22-797-3464
Email: [email protected]
FEM Small Grants Programme (SGP).
Mis en place en 1992, il offre un soutien
financier et technique aux projets des pays en
voie de développement qui visent à conserver
et restaurer l’équilibre naturel, tout en
améliorant la vie humaine et le bien-être, et
à démontrer qu’une action communautaire
peut aider à maintenir l’équilibre entre
les besoins humains et les impératifs de
l’environnement. Le SGP opère la liaison
entre les questions globales, nationales et
locales grâce à une approche transparente
et fondée sur la participation pays par pays,
comprenant les étapes de réflexion, mise
en place et implémentation. Pour plus
d’informations, et notamment les contacts :
www.undp.org/sgp
http://www.undp.org/sgp
35
•
FEM Country Dialogue Workshop
Programme (CDW).
Le CDW est
l’une des principales composantes de la
nouvelle stratégie de sensibilisation et de
communication du FEM. Son but est
d’encourager le dialogue billatéral entre le
FEM et les pays membres, et de renforcer
l’ancrage local du travail du FEM. Pour plus
d’informations (matériel pour les ateliers,
agendas, rapports, contacts)
du PNUD aux politiques de changements
climatiques,
voir:
http://www.undp.org/
seed/eap. Pour les informations concernant les
publications, notamment les résumés, les conseils
de téléchargement de documents, voir :
www.undp.org/seed/eap/Publications/
Publications.html
Pour plus d’information, prière de contacter:
www.undp.org/gef/workshop.
•
UNDP - Bureau for Development Policy
Sustainable Energy Programme
304 East 45th St.
New York, NY 10017 USA
FEM National Communications Support
Programme (NCSP)
Le NCSP a été mis en place par le PNUD et
l’UNEP, en collaboration avec le Secrétariat
de l’UNFCCC ; il travaille avec plus de 130
pays participants pour offrir un soutien
technique visant à améliorer les capacités des
parties non visées à l’Annexe I à préparer leur
communication nationale initiale. Pour des
informations sur le matériel de formation,
les publications, les modèles et les données,
les décisions du COP, les documents du
FEM, les activités permettant d’entrer
dans la phase II des communications, les
contacts et des liens vers plusieurs sites web
nationaux, régionaux et gouvernementaux
sur les changements climatiques voir :
Fax: +1 212 9065148
ONUDI
L
’ONUDI (Organisation de Nations Unies
pour le Développement Industriel) fut l’une
des toutes première agence des Nations Unies à
largement utiliser le réseau Internet en publiant
sur le web dès le début des années 80, et ce pendant cinq ans, son Bulletin intitulé «Environment
Awarness ». Ce bulletin offraient des informations
relatives à l’énergie industrielle et l’environnement.
http://www.undp.org/cc/
L’ONUDI a ensuite produit un site web
«Energie et Environnement» qui propose des
informations techniques concernant un certain
nombre de secteurs industriels dans le domaine
de la production plus propre et de l’efficacité
énergétique. Il est accessible à l’adresse http://
www.unido.org/doc/50285.htmls.
Pour plus d’information, prière de contacter:
UNDP-GEF
304 East 45th Street
New York, NY 10017 USA
Enfin, tout récemment, avec l’engagement
important de l’UNIDO dans la mise en œuvre
de l’UNFCCC, une nouvelle page a été créée sur
le Protocole de Kyoto et le Mécanisme pour un
Développement Propre (MDP). Elle permet de
diffuser les résultats de ses travaux sur l’industrie et
le MDP. Son point de départ est situé à l’adresse
http://www.unido.org/doc/310797.htmls.
Toutefois, dû à l’accroissement important des
l’informations contenues sur ce site, et du fait
du grand nombre de partenaires sur le réseau et
des activités de projets, ces informations ont été
transférées sur un nouveau site qui comprend un
moteur de recherche appelé KNITT, à l’adresse
suivante:
http://www.unido.org/knitt/.
Téléphone.: +1 21 906-5004;
Fax: +1 212 906-6998
Email: [email protected]
Energy and Atmosphere Programme (EAP).
L’EAP a été créé en 1994, afin de mettre l’accent
sur les activités soutenues par le PNUD dans
le domaine de l’énergie qui combine à la fois
l’énergie, l’environnement et le développement
socio-économique, ainsi que les questions
d’énergie liées à la pollution atmosphérique.
Pour des informations sur le concept d’énergie
durable, une vue d’ensemble des contributions
36
Des informations de référence et des conseils
d’utilisation sur le système de recherche offert
sur ce site sont accessibles à l’adresse: http://
www.unido.org/doc/48179.htmls.
//www.worldbank.org/climatechange
La Banque mondiale et le Fonds pour
l’environnement mondial oeuvrent depuis une
décennie pour le développement et la mise en place
de plus de 100 projets d’atténuation des gaz à effet
de serre dans le domaine de l’efficacité énergétique
et des énergies renouvelables, qui ont, a leur tour,
mobilisé plus de 5 milliards de dollars. Ce travail
a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives pour
l’efficacité énergétique, la fourniture d’électricité
hors réseaux, notamment dans les zones rurales
les plus reculées. Il a également permis d’élaborer
des leçons clés à partir d’expériences : ainsi le
fait que des réformes politiques sont essentielles
pour mobiliser des capitaux privés, encourager
la concurrence, et promouvoir des approches
alternatives aux services énergétiques. Ce travail
a également prouvé qu’il existe de nombreuses
options économiquement viables pour réduire les
émissions de gaz à effet de serre dans les pays en
voie de développement, lesquelles peuvent aussi
engendrer localement des bénéfices économiques
et environnementaux substantiels. Voir:
Pour plus d’information, prière de contacter:
UNIDO
Vienna International Centre
A-1400 Vienna
Austria
Téléphone:+43 1 26026/3705
Fax: +43 1 21346/3705
Email: [email protected]
Banque Mondiale
E
n ce début de 21ème siècle, les changements
climatiques sont devenus une préoccupation
centrale pour la Banque mondiale et ses clients.
La montée du niveau de la mer, le réchauffement
de la température, l’incertitude quant aux effets
sur les systèmes agricoles et forestiers, des modèles
météorologiques variables et volatiles auront sans
doute un impact significatif et surtout disproportionné sur le monde en voie de développement ;
là où résident les plus pauvres, les plus susceptibles
d’être touchés par les dommages et les incertitudes potentiels, inhérents aux changements
climatiques. La Banque vise à aider le monde en
voie de développement à bénéficier des énormes
investissements qui seront nécessaires pour lutter
contre ce problème global : en prenant en compte
ces considérations dans ses opérations de développement, en conseillant ses clients au regard de ces
options, en aidant à promouvoir l’efficacité sectorielle et les alternatives d’une énergie propre, et en
assistant ses clients dans les processus d’adaptation
aux impacts prévisibles, tout en recherchant des
réponses équitables à ce défi.
www.worldbank.org/gef
Le «National Strategy Studies Program», ou
Programme d’étude sur les stratégies nationales
est un programme qui a été lancé en 1997 en
coopération avec le gouvernement suisse et la
Banque mondiale. Ses objectifs sont de fournir
une assistance aux pays hôtes de projets de
type Application conjointe /MDP, pour que
ceux-ci améliorent leurs capacités à maîtriser
les mécanismes flexibles pour l’application du
Protocole de Kyoto, les échanges de crédits des
émissions de gaz à effet de serre. Avec le soutien
conjoint d’autres bailleurs (Allemagne, Australie,
Autriche et Canada), le programme du NSS vise
près de 30 pays clients de la Banque et promeut
l’intégration des questions des changements
climatiques globaux dans leur développement
durable. Voir:
L’équipe «Changements climatiques» sein du
département Environnement coordonne le
dialogue sur les projets et les stratégies
sur les changements climatiques au sein
de la Banque et offre un soutien technique
au Programme Banque mondiale - FEM.
Pour des informations sur les thématiques clefs
(atténuation, vulnérabilité et adaptation), les
organismes opérationnels (FEM, PCF et NSS),
les publications et autres ressources, voir: http:
www.worldbank.org/nss.
«Prototype Carbon Fund» - Le 20 juillet
1999, reconnaissant que le réchauffement
global aura un impact très important sur ses
pays emprunteurs, les directeurs exécutifs de la
37
Banque mondiale ont approuvé la mise en place
du Propotype Carbon Fund (PCF). Le PCF,
dont l’objectif opérationnel est l’atténuation des
changements climatiques, est destiné à soutenir
les projets visant à produire des réductions
d’émission de GES conformément aux règles
émergentes du Protocole de Kyoto. Son budget
repose sur un partenariat privé-public entre
les entreprises et les gouvernements ; le PCF
développera des projets de réduction d’émission
de grande qualité et construira et partagera ses
expériences sur les décisions d’investissement, la
détermination des lignes de référence, le suivi et
l’évaluation. Voir :
Pour plus d’information, prière de contacter:
www.prototypecarbonfund.org
CBD - Secretariat of the Convention on
Biological Diversity Montreal, Quebec Canada
www.biodiv.org
The World Bank
1818 ‘H’ Street NW
Washington, D.C. 20433
USA
Téléphone +1 202 473-1000
Fax:1+ 202 477-6391
email: [email protected]
http://www.worldbank.org
Autres agences des Nations Unies
«CDM Assist» - Le Mécanisme pour
un Développement Propre (MDP, Article
12 du Protocole de Kyoto, CDM en anglais)
permet aux pays en voie de développement
de réduire leurs émissions de gaz à effet de
serre, et de vendre ces réductions aux pays de
l’OCDE au prix du marché, tout en bénéficiant
d’améliorations sur l’environnement local,
de transferts de technologie et de l’apport de
devises étrangères. Le MDP est dans une phase
de mise en place, où les pays africains sont trop
faiblement représentés. Le «CDM Assist» http:
//www.worldbank.org/afr/cdm doit améliorer
les possibilités de l’Afrique à attirer des projets
MDP et renforcera les capacités de l’Afrique à
développer et coordonner de tels projets.
CITES - Secretariat of the Convention on
International Trade in Endangered Species of
Wild Fauna and Flora www.cites.org
FAO - Sustainable Development Dimensions
\www.fao.org/sd/index_en.htm (traductions en
français et en espagnol)
MP - Secretariat of the Multilateral Fund
for the Implementation of the Montreal
Protocol Montreal, Quebec, Canada http://
www.unmfs.org/
SIDS - Small Islands Developing States Unit
New York, NY, USA http://www.sidsnet.org/
h.html
ESMAP
(Energy
Sector
Management
Assistance Programme) est un programme financé
par la Banque mondiale et le PNUD. Il est géré
par la Banque mondiale. ESMAP se préoccupe
du rôle de l’énergie dans le développement
économique dans le but de contribuer à
l’allègement de la pauvreté, au développement
économique, à l’amélioration des conditions
de vie, et à la préservation de l’environnement
dans les pays en voie de développement ainsi que
dans les pays aux économies en transition. Pour
plus d’informations sur les thématiques liées aux
changements climatiques, voir :
UN - World Summit on Sustainable
Development (UN official website) http://www
.johannesburgsummit.org/index.html
UNCCD - Secretariat of the Convention to
Combat Desertification Bonn, Germany http:
//www.unccd.de/
UNESCO - Intergovernmental Oceanographic
Commission (IOC) Paris, France http://
www.ioc.unesco.org/iocweb/
UNU - United Nations University - Global
Environment Information Centre Tokyo, Japan
http://www.unu.edu/
www.worldbank.org/html/fpd/esmap.
UNITAR - United Nations Institute for
Training and Research http://www.unitar.org
38
Quelques sites web de pays industrialisés
WCCMS - Secretariat to the Convention
on the Conservation of Migratory Species
of Wild Animals, Bonn, Germany http://
www.wcmc.org.uk/cms/
Australie: http://www.brs.gov.au/greenhouse/
index.html
Autriche http://www.accc.gv.at/
WHO - World Health Organization (OMS en
francais) http://www.who.int/home-page/
Belgique: www.environment.fgov.be/Root/
tasks/atmosphere/klim/set_en.htm
WMO - World Meteorological Organisation
(OMM en français) Global Climate Observing
System (GCOS) Geneva, Switzerland http://
www.wmo.ch/web/gcos/gcoshome.html
Canada http://www.climatechange.gc.ca/
Etat Unis d’Amérique
•
CDIAC Oak Ridge National Laboratory,
The Carbon Dioxide Information Analysis
Center including the World Data Center
for Atmospheric Trace Gases: http://
cdiac.esd.ornl.gov/wdca/wdcinfo.html.
•
Centre agrée des données sur les
changements globaux et le centre
d’information et d’analyse du ministère
américain de l’énergie www.energy.gov/.
Sénégal: http://unfccc.int/resource/ccsites/
senegal/index.htm
•
Global change research information office
http://www.gcrio.org/index.shtml
Tanzanie: http://unfccc.int/resource/ccsites/
tanzania/
•
Global Change Research Program
http://www.usgcrp.gov/
Zambie: http://unfccc.int/resource/ccsites/
zambia/
•
National Oceanic and Atmospheric
Administration http://
www.ogp.noaa.gov/
Quelques sites web de pays en voie de
développement
•
The Ecological Society of America:
http://esa.sdsc.edu/climate.htm
Brésil: Ministry of Science and Technology and
Climate Change
http://www.mct.gov.br/clima/ingles/
Default.htm
•
Global Change Master directory NASA
http://gcmd.nasa.gov/
•
Global Climate Change Briefing Book,
Congressional research Service National
Library for the Environment
Sites web des PMA
Benin: http://www.sisei.net/nationaux/benin
Cape Verde: http://www.sepa-cv.org/clima/
index.html
Haiti http://unfccc.int/resource/ccsites/haiti/
index.html
Cuba http://www.centre.unep.net/Cuba/
AMA/index.html
• http://www.cnie.org/NLE/
CRSreports/BriefingBooks/Climate/
Ghana: Environmental Protection Agency (EPA)
http://www.epa.gov.gh/
•
USA Environmental Protection Agency
Global warming: http://www.epa.gov/
globalwarming/index.html
•
USA Environmental Protection Agency
GHG Emissions database/reports from
Developed Countries :
Mexique http://www.ine.gob.mx/ucci/cam_
clima/ccg.htm
Zimbabwe: http://unfccc.int/resource/ccsites/
zimbab/
39
http://www.epa.gov/ghginfo
Climate Action Network,
www.climatenetwork.org/
Communauté européenne
Climate Ark http://www.climateark.org/
SITE TRES UTILE
http://www.climnet.org/resources/
resources.htm#euenergy
•
Le site Climate Ark est le premier du genre: à
la fois portail et moteur de recherche, il intègre
et rend plus accessible les meilleures analyses
documentaires et l’information concernant les
changements climatiques sur Internet. Ce site web
est dédié à la promotion des politiques publiques
qui abordent les changements climatiques par le
biais des réductions de CO2 et autres émissions de
GES, la maîtrise de l’énergie, les sources d’énergie
renouvelables et l’abandon de la déforestation.
Ce site offre un très grand nombre de liens
avec des articles de presse qui sont mis à jour
quotidiennement, des archives très importantes
d’informations ponctuelles sur les changements
climatiques (10.500 documents produits à des
fins pédagogiques au cours de ces 3 dernières
années), une collection de plus de 500 liens
sur les changements climatiques et les énergies
renouvelables, des possibilités d’actions et un
forum de discussion.
et les dernières nouvelles sur les
changements climatiques en Europe:
http://www.climnet.org/news/
news.htm
France
•
•
Mission Interministérielle Effet de Serre
www..effet-de-serre.gouv.fr/
•
Agence française de Développement/
Fonds français pour l’environnement
mondial http://www.ffem.net
Japon:
•
Agence japonaise de météorologie: http:
//www.goin.nasda.go.jp/GOIN/
JMA/htdocs/jmac.html
•
Ministère de l’environnement: http://
www.env.go.jp/en/topic/cc.html
-
Climate Change and Human Health Home Page
(USA) http://www.psr.org/climate1.htm
Nouvelle Zélande:http://aqdb.niwa.cri.nz/
indicators/climate_change_indicators.htm
Climate Change Campaign WWF
http://www.panda.org/climate/
Pays Bas: http://www.nop.nl/
Climate Change World Resource Institute (USA)
http://www.wri.org/
Suisse: http://www.proclim.unibe.ch/about/
products_d.html
Climate Institute (USA) www.climate.org
Royaume Uni: http://www.defra.gov.uk/
Coastal Zone Management Centre (NL),
http://www.netcoast.nl
Réseaux de recherche/Organisations non
gouvernementales
Eco-Portal moteur de recherche qui permet aux
internautes de rechercher sur des milliers de sites
consacrés à l’environnement http://www.ecoportal.com/
Caribbean Planning for Adaptation to Global
Climate Change www.cpacc.org
Ecosustainable Hub comprehensive one-stop
web connection to resources and tools on the
environment and sustainability http://www.ecos
ustainable.com.au
Centre for Climate and Global Change Research
(CN) http://ww2.mcgill.ca/ccgcr/index.php3
McGill University in Montreal
CICERO: Center for International Climate
and Environmental Research – Oslo http://
www.cicero.uio.no
http://www.cicero.uio.no/publications/
Energy Research Centre of the Netherlands,
http://www.ecn.nl/
40
Environmental Defense (USA), www.environme
ntaldefense.org
Program (USA) http://www.toowarm.org/
South Pacific Regional Envrionmental
Programme www.sprep.org.ws/
Environnement et Développement du Tiers
Monde Energy Programme (Sénégal),
www.enda.sn/
Stockholm Environment Institute (Sweden)
www.sei.se (Stockholm office) and www.seib.org
(Boston office)
ENVORK
(Islamabad)
www.envork.org
est consacré à la recherche sur les politiques
sur les changements climatiques ainsi qu’au
développement de projets MDP, en particulier
dans la région asiatique.
TERI (India) www.ccasia.teri.res.in voir aussi
dans la section glossaires Acronymes climat et
développement.
Forest Conservation Portal: vast rainforest, forest
and biodiversity conservation news & information
http://forests.org.
The Ultimate Heating Season, University
of Wisconsin (USA) http://whyfiles.org/
080global_warm/index.html
Fragilecologies, web sur les interactions climatsociété-environnement www.fragilecologies.com
développé par le Environment & Societal
Impact Group (ESIG) du National Center
for Atmospheric Research (NCAR) Boulder
Colorado (USA)
Tiempo: Climat et développement, Climatic
Research Unit, University of East Anglia,
UK - Le «Tiempo Climate Cyberlibrary» est
un service d’information électronique sur les
changements climatiques en particulier dans les
pays en développement: www.cru.uea.ac.uk/
tiempo/.
Global Climate Change Information
Programme, http://www.doc.mmu.ac.uk/
aric/arichome.html Manchester Metropolitan
University (UK)
Union Internationale pour la Conservation
de la Nature (IUCN/IUCN): http://
iucn.org/; Propose plusieurs documents sur les
changements climatiques y compris «Wetlands
and Climate change» à l’ adresse : http://
iucn.org/themes/climate/wetlandscc.html
Global Climate Change, http://
www.globalchange.org/ A review of climate
change and ozone depletion (USA)
UK Climate Impact Programme
www.ukcip.org.uk
Global Warming International Center, http:
//www2.msstate.edu/~krreddy/glowar/
glowar.html Mississippi State University (USA)
World Climate Report http://www.nhes.com/
Wuppertal Institute for Climate, Environment
and Energy (Germany), www.wupperinst.org
Greenpeace International, www.greenpeace.org/
~climate/ (site archive) et site régulièrement
mis à jour: www.greenpeace.org/%7Eclimate/
climatecountdown/
Hadley Centre for Climate Prediction and
Research, (UK) www.metoffice.com
Helio International Sustainable Energy Watch:
http://www.helio-international.org
International Institute for Sustainable
Development (CN) http://www.iisd.org/
Pew Center on Global Climate Change
(USA)www.pewclimate.org
RIVM, National Institute of Public Health and
the Environment (NL) http://rivm.nl
Sierra Club Global Warming and Energy
41
GLOSSAIRES SCIENTIFIQUES
Acronymes concernant les sciences et les
gouvernements, Free University of Berlin,
Germany > 12,000
http://www.hwwa.de/Publikationen/Report/
2001/Report208.pdf
http://www.chemie.fu-berlin.de/cgi-bin/
acronym
Glossary of Terms Related to the Convention
on Biological Diversity
http://webbie.kbinirsnb.be/bch-cbd/
glossary.htm
Climate Change Resource Glossary produced
by the Environmental Protection Agency (EPA),
US Government
International
Development
Acronyms
(USAID) acronyms and terminology.
http://www.epa.gov/globalwarming/
publications/outreach/general/glossary.pdf
http://www.usaid.gov/hum_response/ofda/
fog/ch6txt.htm
Glossaire de terminologie de chimie
atmosphérique: International Union of Pure and
Applied Chemistry, Commission on Atmospheric
Chemistry. Glossaires des termes scientifiques
sur les changements climatiques définis par
ordre alphabétique, accompagnés d’informations
explicatives. Voir:
http://sunsite.wits.ac.za/iupac/reports/1990/
6211calvert/glossary.html#web
ISO Country Codes (Anglais et français)
Deutches Institut für Normung e. V., 10772
Berlin www.din.de/gremien/nas/nabd/
iso3166ma/codlstp1/index.html
Glossaire sur les changements climatiques du
Cooler Heads Coalition formée le 6 mai, 1997
http://www.globalwarming.org/glossary.htm
Glossaire sur les changements climatiques du
Tata Energy Research Institute
http://edugreen.teri.res.in/explore/
glossary.htm
Glossaires de terminologie sur les changements
climatiques du Center for Sustainable
Development in the Americas (CSDA). La
terminologie utilisée dans le processus de
négociation sur les changements climatiques a
été répertoriée, identifiant pour chaque terme
l’origine de cette définition:
http://www.csdanet.org/English/publications/
glossary.htm
Glossary of International Climate Policy
Terms International Climate Policy Research
Programme, Hamburg Institute of International
Economics, Neuer Jungfernstieg 21,20347
Hamburg,Germany
42
LISTE
DES POINTS FOCAUX
PARTICIPANT AU PROJET
LISTE DES POINTS FOCAUX PARTICIPANT AU PROJET
PAYS
POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL
TELEPHONE
Angola*
Lourenco Barao da Costa
+2442390840
[email protected]
Bangladesh
Sunil Kanti Bose
[email protected]
Bénin
Jeanne Josette Acacha Akoha
Fax
+880 2 861
+229 31 5058
[email protected]
Bhutan
Yangki T. Wangchuk Dechen
Tsering
+975223384
[email protected]
Burkina Faso
Mamadou Honadia
+226 31 2464
[email protected]
Burundi
Ferdinand Nderagakura
+257 221649
[email protected]
Cambodge
He Khieu Muth
+85523 213 908
Tin Ponlok
[email protected]
Cap-Vert
Manuel Leao Silva de Carvalho
+238 61 5716
[email protected]
Comores
Youssouf Hamadi
+269 736388
[email protected]
Djibouti
Moussa Ahmed Hassan
Fax +253 351020
[email protected]
[email protected]
Erythrée
Tekleab Mesghena
+291 1120311
[email protected]
Ethiopie
Bekuretsion Kassahun
+251 1517066
[email protected]
Légende:
Usage du français
*
**
Usage du portugais
Usage de l’espagnol
Usage de l’anglais
45
PAYS
POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL
TELEPHONE
Gambie
Bubu Pateh Jallow
+220228216
[email protected]
Guinée
Toure Idiatou Camara
+224464850
[email protected]
[email protected]
Guinée Bissau *
+245 202452
Malam da Silva
[email protected]
Guinée
équatoriale**
Haiti
+509 2457585
Gabriel Nicolas
Moise Jean-Pierre
[email protected]
Kiribati
Karibaiti Taoaba
+68628211
[email protected]
Lesotho
+226 317325
Bruno Sekoli
[email protected]
Lebohang Bulane
[email protected]
Madagascar
Randriassandratana Germain
+261202240909
[email protected]
Maldives
Mohamed Khaleel
+960 324861
[email protected]
Mali
+223292101
Mama Konaté
[email protected]
Mauritania
Oumar Fall
[email protected]
Mozambique*
Evaristo Florentina Baquete
+258 1465843
Marilia Telma Antonio Manjate
[email protected]
Légende:
Usage du français
*
**
Usage du portugais
Usage de l’espagnol
Usage de l’anglais
46
PAYS
POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL
TELEPHONE
Myanmar
U Thane Myint
+951221689
Than Htoo
[email protected]
Népal
Purushottam Kunwar
+9771245369
[email protected]
Janak Raj Joshi
[email protected]
Niger
+227722559
Hassane Saley
[email protected]
Ouganda
+256 41233559
Phillip Gwage
[email protected]
République
Centrafricaine
Lambert Gnapelet
République
Démocratique
du Congo
Kasulu Seya Makonga
République
Démocratique
Populaire Lao
Xayaveth Vixay
République du
Malawi
E.E.Lodzeni
+236618044
[email protected]
+243 34390
[email protected]
+856-21 218712
[email protected]
Fax +265773637
R.P.Kabwaza
[email protected]
Rwanda
Phocus Ntayombya
+25082628
[email protected]
Sao Tome and
Principe*
Adérito Santana
Samoa
Violet Wulf
+239 1221975
[email protected]
Fax +685 25856
[email protected]
Sénégal
Fatima Dia Toure
+221 8226211
Ndiaye Cheikh Sylla
[email protected]
Légende:
Usage du français
*
**
Usage du portugais
Usage de l’espagnol
Usage de l’anglais
47
PAYS
POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL
TELEPHONE
Soudan
Nadir Mohamed Awad
Fax +249 11 787617
[email protected]
Tanzanie
+213983/2118416
Richard S. Muyungi
[email protected]
Tchad
Moussa Tchitchaou
Fax +269 736388
Togo
Awadi Abi Egbare
+228 224836
[email protected]
Tuvalu
Fax +688 20178
Poni Faavae
[email protected]
Vanuatu
Fax +678 22310
Johnson Naviti
Rarua J. Nelson
[email protected]
Yémen
Mohamed Said El-Mashjary
Fax +967 12073
Anwar Abdulaziz Noaman
[email protected]
Zambie
+260 1229410
Aongola Lubinda
[email protected]
Légende:
Usage du français
*
**
Usage du portugais
Usage de l’espagnol
Usage de l’anglais
48
UNITAR
L
’Institut des Nations Unies pour la Formation et la Recherche (UNITAR) fut créé en
1965. Il jouit du statut d’institut autonome au sein de l’Organisation des Nations Unies
afin d’aider celle-ci à atteindre plus efficacement ses objectifs au moyen de la formation et
de la recherche. L’UNITAR est administré par un Conseil d’Administration et dirigé par
un Directeur Général. Les ressources financières de l’Institut proviennent de contributions
volontaires octroyées par les gouvernements, les organisations intergouvernementales, les
fondations et autres donateurs non gouvernementaux.
L’UNITAR assume les fonctions suivantes:
•
Concevoir et organiser des programmes de formation à la diplomatie
multilatérale et la coopération internationale, destinés aux diplomates
accrédités auprès des Nations Unies et aux responsables gouvernementaux
nationaux qui, de par leurs fonctions, sont appelés à participer aux activités
des Nations Unies.
•
Préparer et mener une gamme étendue de programmes de formation
dans le domaine du développement économique et social; la gestion de
l’environnement est devenu le secteur dans lequel l’UNITAR offre le plus
grand nombre de formations.
•
Effectuer des recherches en vue d’améliorer les résultats obtenus en matière
de formation pratique et plus particulièrement des travaux sur et pour la
formation; la conception d’outils pédagogiques y compris pour la formation
à distance (e-learning), les manuels spécialisés, logiciels et vidéos.
•
Établir et renforcer la coopération avec des centres universitaires et autres
institutions d’enseignement spécialisé, en particulier dans le domaine du
développement de la recherche sur et pour la formation.
UNITAR
Palais des Nations
CH 1211 Genève 10
Suisse
Tel: +(41-22) 917 85 82
Fax: +(41-22) 917 80 47
e-mail: [email protected]
Adresse :
UNITAR
Maison Internationale de l’Environnement
Chemin des Anémones 11-13
1229 Châtelaine, Genève
Suisse
website: http://www.unitar.org
DESIGN : ARNOLD GALLARDO
Adresse postale :