m - Collections

Transcription

m - Collections
¥ Théâtre
m Musique
W Cinéma
Arts et spectacles
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
René et Nathalie
L'industrie mondiale du disque
s'en va-t-à sa grand-messe
«tournent la page»
avec un hit surprise
DANIELLE BONNEAU
L
a décision a été difficile
à prendre. René et Nat h a l i e S i m a r d ne p r é v o y a i e n t pas lancer leur
nouvelle chanson Tourne la
page avant le printemps. Ils
voulaient attendre encore
un peu avant d'amorcer leur
virage au Québec. A v a n t ,
justement, de t o u r n e r la
page. Mais on les a convaincus de modifier leurs plans.
Leurs appréhensions se
sont dissipées lors du congrès de Radio Activité, les
23, 24, et 25 octobre derniers. Pour tâter un peu le
terrain, ils ont loué une suite, au Grand Hôtel et ont
présenté leur nouveau v i dépclip aux nombreux rer
présentants de l'industrie
qui voulaient le voir. La réaction a été unanime. On
leur a fortement suggéré de
lancer Tourne la page le
plus tôt possible.
« O n avait peur, avouait
René la semaine dernière,
assis aux côtés de sa soeur
dans la salle de conférence
d e son i m p r e s a r i o , G u y
C l ô u t i e r . O n p r e n d un
grand risque en changeant
d'orientation et de look. On
ne yeut pas perdre ceux qui
nous ont suivis depuis 17
ans.
« Mais j'ai le goût d'avoir
mon propre son, mes propres couleurs, continuc-t-il.
De m'afficher et de m'affir-
mer. Avec Tourne la page,
c'est comme pénétrer dans
une forêt vierge. Il me semble qu'on est partis du bon
pied. »
M A R I O ROY
n
i en va des industries culturelles comme
de la politique : dans tous les congrès,
symposiums et autres instances dignes de
ce nom, les tractations les plus importantes se déroulent souvent en coulisses, loin
du vacarme et de la frénésie des salles de
spectacle, d'exposition ou de débat...
La 22 édition du M1DEM (Marché international du disque, de l'édition musicale et de la vidéo musique) qui s'ouvre à
Cannes, lundi, ne fera pas exception.
Pendant ces cinq jours, les quelque 100
personnes d'une trentaine de sociétés
composant la délégation québécoise (par
comparaison, plus d e 6 0 0 délégués vont y
représenter 137 compagnies américaines)
vont d'autant plus s'agiter dans les corri-
« Ça fait du bien de changer, de sortir un peu de ce
qu'on fait, renchérit Nathalie. C'est le fun de voir autre
chose. »
Redoutant la réaction des
Québécois, Nathalie et René
réservaient Tourne la page
pour la France, à laquelle ils
veulent s'attaquer. Ils prévoient enregistrer une série
d'émission à Paris, à la fin
de février.
e
« On est tellement identifiés, ici, commence Nathalie, en lorgnant du côté de
son frère, comme pour quêter son appui.
Gérard
Lambert,
de
Rock-Envol
— Regarde-moi pas, s'exclame René en riant. Tu t'es
aventurée sur un terrain
glissant, débrouille-toi.
dors que la participation officielle du Québec, qui en est à sa onzième présence làbas, est plutôt low profile. Par exemple,
seuie la violoniste Angèle Dubeau va être
invitée à se produire à l'un des galas pré-,
vus au programme du M I D E M . Paparazzi
— un duo c o m p o s é d e A n d r e i - M o r r i s
Starr et Le Berg, décrit c o m m e le plus européen des groupes d'Amérique — devait
se produire ; les négociations avec les organisateurs du M I D E M ont échoué à la dernière minute.
Cachant un certain dépit sous un mélange de résignation et d'indifférence, André
Di Cesare explique que « d e toute façon,
cette formule de spectacles ( l e s fameux
showcases, au nombre d e sept en incluant
les galas Jazz et Classique) n'est pas tou
jours très bien adaptée aux besoins des artistes québécois » .
Y être ou ne pas y être
.... Le président de l'ADISQ (Association
du disque et de l'industrie du spectacle et
vidéo québécois) ajoute que la machine
française du showbiz se préoccupe avant
tout de la mise en valeur de ses propres
produits et, dans un deuxième temps, est
plus portée à faire de la place aux grandes
vedettes anglo-saxonnes assurant de bonnes cotes d'écoute aux médias électroniques — le service Eurovision est de la partie — diffusant ces spectacles.
C'est pourquoi, à quelques jours de l'ouverture du M I D E M , l'ADISQ n'était pas
SUITE A LA
PACE E 3
Ulric
Breton,
du Festival
de Cranby
Gilles
Carïépv,
de l'Empire
des
futures stars
— C'est pas c h o q u a n t
c o m m e n t on est habillés
dans le vidéoclip, risque Nathalie, qui, avec Tourne la
page, apparaît pour la première fois à l'extérieur du
contexte du Village de Nathalie et affiche ses 18 ans.
On porte des jeans. C'est pas
sexy. Je fais juste suivre
mon âge. Mais ça ne veut
pas dire que je vais arrêter
d'enregistrer le Village de
Nathalie.
SUITE A LA PACE E 7
P H O T O PIERRE M C C A N N ,
l A PRESSE
I
L'Ontarien Norman Jewison
est un ^success story*. Son
dernier film, « Moonstruck », a
fait une recette de $5 millions
au cours du premier week-end.
Serge Dussault l'a joint à Toronto. Le réalisateur de'La Guerre
oubliée; que Luc Perreault a
rencontré à Montréal, se passionne pour les périodes de crise. De celle de 29 de* La Turlute des années dures», à celle de
la Première Guerre mondiale. À
lire en page E19.
I
P H O T O PIERRE M C C A N N ,
L A PRESSE.
Patricia
Holin
lignes
ACNÉS CRUPA
CLAUDE C I N C R A S
a Musica
Deuxième,
• « • • c ' e s t u n e . p i è c e sur
l'amour et la mort. Une pièce
sur toutes les amours humaines», dit Patricià.Nolin.
« U n e pièce sur l'enfance, i
sur la pureté de l'enfance » , .
mmWk 9 Orchestre MétropoSa
litain n'a pas seulement le droit d'être là. Il y a
vraiment nécessité pour un
deuxième orchestre. Les faits
le démontrent : nos salles sont •
pleines maintenant et lès réactions après les concerts sont
e x t r a o r d i n a i r e s . Pas seulement les applaudissements : il
y a beaucoup de gens, à la salle
Maisonneuve comme à l'église
Saint-Jean-Baptiste, qui viennent après les concerts nous
dire combien ils ont été heureux de découvrir telle oeuvre,
tel artiste... Il y a donc potentiel d'auditeurs, comme il y a
dira un peu plus tard Paul Savoie.
Patricia N o ! i n , 30 ans.d'un
cheminement en dents de scié,
ponctué, de silences, et Paul
Savoie, 2 0 ans d e présence
ininterompue, mais discrète,
sur les scènes québécoises,
interprètent les deux personnages de la nièce de Marguerite Duras qui vient de prendre
SUITE A LA PAGE E 4
SUITE A LA PACE EB
P H O T O BERNARD DRAULT, L A PRESSE
C O N C E P T I O N :CILLES
GILLES VIGNEAULT • LOUISE PORTAL
vJ'i.X
-
L i—
' S* /
UN FILM
s»
L
DE
ECRIT IT R I A L . S i r A K
_ liîJLLMNCiË'
JEAN-GUY NOËL
ACPAV • MALOFILM PRODUCTION » L'OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA
UUUANO MONTALDO
S»
DUSSAULT
E2««
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1S88
Radio-Canada
répond à l ' A P F V Q
Louise Cousineau
Presse Canadienne
Lance et compte perd
aux mains de L A Law
petite gymnaste Olga Korbut
qui, par sa seule présence à la
télé, a rendu la gymnastique féminine populaire aux U S A .
Certains commentaires valent le détour. Celui de Fred
Friendly, qui fut le producteur
du célèbre Ed Murrow: «La télévision commerciale fait tellement d'argent en faisant des
horreurs qu'elle n'a pas les
moyens de faire de son mieux».
Ou alors, un autre expert, sur
l'arrivée de la télévision: «On a
enfin découvert le plus grand
moyen de perdre son temps».
La série durera jusqu'au 14
mars et abordera chaque semaine différents sujets comme la
comédie, l'impact de la télévision sur le journalisme, et la
course à l'invention de la télévision.
La même série est à l'affiche
du canal 57 les mercredis à 21 h.
La page couverture de Newsweek
W ai adoré les deux preJet compte
miers épisodes de Lance
II, et prédit que la
deuxième série aurait autant de
succès que la première. l'espère
. que je ne me suis pas trompée.
Car le troisième épisode, diffusé jeudi soir dernier, était décevant.
Non seulement contenait-il
eu de ces surprises, de ces reondissements de situation que
le deuxième épisode nous avait
donnés, mais en plus je n'ai pas
compris précisément ce qui
avait porté Lucie Baptiste à faire une scène à son nouveau
chum le docteur. Ni la décision
très subite de Marc Gagnon de
démissionner, alors qu'à l'émission précédente, il a score un
but très important contre les
Russes. Ni l'attitude de Guilbeault avec Mercier, qui ne discutent pas de sa succession,
j'avais I impression qu'on avait
sauté des raccords importants
pour le téléspectateur.
Bref, l'émission s'est terminée et je me sentais flouée. Estce que j'étais saturée de télévision, incapable d'aimer encore
ce média qui m'occupe tellement? A 22h, j'avais la réponse,
donnée par l'épisode de LA.
Law à NBC, qui était fascinant
de la première à la dernière minute, avec sa mixture habituelle, mais aux ingrédients toujours renouvelés, d'humour et
de drame.
Il y a peut-être le fait que
Lance et compte II a fait l'objet
de tant d'articles de journaux
qu'on sait à l'avance ce qui va
se passer, du moins dans les
grandes lignes. Il y a aussi le
fait que dans une série de 13
heures, 11 y a toujours dès épisodes moins prenants. Espérons
que celui-là était une exception.
Parlant de Lance et compte, à
qui vous fait penser cette femme sur la page couverture du
Newsweek de la semaine dernière? Mais à France Zobda,
qui interprète le rôle de Lucie
Baptiste, ex-blonde de Pierre
Lambert. L'article explique une
nouvelle hypothèse anthropologique voulant que nous ayons
une ancêtre commune, une
femme ayant vécu il y a 200000
ans et dont les gènes se retrouvent en chacun de nous. La
nouvelle Eve habitait l'Afrique,
avait la peau sombre, était musclée et son paradis ne comprenait sans doute pas de pommier, arbre des pays froids.
Les yeux de l'Eve de News-
E
week ne sont pas bleus-verts
comme ceux de France Zobda.
Mais à part ça, la ressemblance
est frappante.
Pierre Nadeau
est grand-père
M La direction de Radio-Canada
estime qu'«un meilleur financement de l'ensemble de Radio-Canada» est la «seule solution au
problème soulevé par l'Association des producteurs de films et
vidéo du Québec ( Apfvq)».
La semaine dernière, entre autres reproches, l'Apfvq (producteurs privés vendant à la télévision d'Etat)dénonçait le déséquilibre entre les budgets horaires
des réseaux français et anglais;
dans le cas des dramatiques, ça va
du simple au triple.
Le vice-président Franklin Delaney reconnaissait hier dans un
communiqué qu'«une disparité
existe entre le réseau français et
le réseau anglais en ce qui a trait
au financement d e s productions».
Par ailleurs, soulignant le «caractère aléatoire» de comparaisons de coûts de production avancées par l'Apfvq entre celles de
ses membres et celles de la maison d'Etat, le communiqué dit
qu'«elles ne prouvent rien du
tout».
L'Apfvq, écrit Radio-Canada,
« utilise une base de calcul qui additionne pèle-méle des coûts de
reprise, de productions doublées,
de mini-séries prestigieuses, de séries à diffusion partagée avec Radio-Québec et de productions de
l'ONF».
• Pierre Nadeau de Radio-Canada est grand-père depuis
trois jours: sa fille Pascale, de
Télévision Quatre Saisons, a accouché mercredi d'une petite
fille de six livres qui s'appellera
Alexandra. La mère, l'enfant et
le père, Pierre Lessard des restaurants La Petite Ardoise, se
portent bien.
Un beau bébé? ai-je demande
au nouveau grand-père. «Elle
• Lundi soir à 20h au canal 33 ressemble aux autres bébés
(câble 14 chez Vidéotron à dans la pouponnière», de réMontréal), commence une série pondre le plus célèbre de nos
T U X images et aux propos fasci- animateurs qui semblait être,
nants: Television. La série oriour une fois, à court de mots.
ginale a été faite par Granada
1 a toutefois ajouté que la
en Angleterre, mais refaite par grand-mère France Nadeau le
les Américains avec des exem- trouvait très beau.
ples plus locaux.
Va-t-il garder Alexandra
Vous n'y apprendrez peut- quelquefois? Euh... oui, bien
être pas grand chose: la télévi- sûr. Oui oui. «j'avais prévu que
sion est ainsi faite q u ' e l l e ce serait un petit-fils et que je
n'analyse jamais profondément l'amènerais au hockey». Mais
les idées, esclave qu'elle est des on peut aussi amener une petite
images. Mais vous y reverrez fille au hockey, non? «C'est
justement des images extraordi- vrai, les temps ont bien channaires, comme celles de Walter gé».
Cronkite qui a envie de pleurer
Les couches aussi, d'ailleurs,
en annonçant la mort de John qu'on n'attache plus avec des
Kennedy. Un documentaire qui épingles, s'émerveille le noun'ennuie jamais.
veau grand-père qui, à mesure
Beaucoup de sports, dans cet- que la conversation progresse,
te première émission. Vous ver- se réchauffe à son nouveau
rez comment les premières rôle.
«D'ailleurs, conclut-il, j'espèimages de baseball étaient terriblement mal faites, et comment re avoir plusieurs petits- enles techniques développées par fants. Il est temps que mon .fils
le grand Roone Arledge du ré- se mette aussi à la tâche.»
seau ABC ont révolutionné non
Pascale Nadeau prendra conseulement la couverture sporti- gé pendant cinq ou six mois de
ve mais celle des autres nouvel- Télévision Quatre Saisons, hisles. Vous reverrez les perfor- toire de connaître en paix les
mances époustouflantes de la joies de la maternité.
UNE COMEDIE
LOUFOQUE
AVEC
Pierre Lenoir
Mark Camacho
Pauline Little
Babs Gadbois
Jean-Guy Bouchard
Hrothgar Mattews
i
Mise en scène
Roger Peace
V E N E Z NOUS AIDER
ARESOUDRE L E
MEURTRE L E PLUS
DRÔLE DEL'ANNEE,
V
h
U
L E S M A R D I S E T V E N D R E D I S A 20H30
Forfait
soirée/spectacle
fm
Billets: 12,00$ à 16,00$
disponible.
RÉSERVATIONS ET RENSEIGNEMENTS: 731-7771,731-9863
ÏÏia SUigence
Television: une
série à suivre
dès lundi
1 1 3 5 , boul, Deeari«(Mta*»-TtiM)
Mètre Namur
Denise Filiatrault
Jean-François Blanchard
Denis Roy
Linda Roy
dans
F
Tennessee Williams
traduction R e n é Qingras
mise en scène Michèle M a g n y
décor Michel Crête
costumes
Meredith Caron
éclairages
Michel Beaulieu
musique
Catherine Gadouas
régie Annick Nantel
réservations
263-8974
4359, Ste-Catherina
Est,
direction artistique: Jean-Luc
Montréal
Bastion
t h é â t r e denise-pelletier
Pascale Nadeau et son père, Pierre Nadeau
VOTRE SOIRÉE DE TÉLÉVISION
18 h 30 1 9 h 0 0 1 9 h 30 20 h 0 0 20 h 30 2 1 h 0 0 21 h 30 22 h 00 22 h 30
CHOIX D'ÉMISSIONS
par Louise Cousineau
16:00 © — Flash Varicelle
Le jeune journaliste de
l'émission a posé la question suivante au ministre
Claude Ryan: «Pourquoi
ne souriez-vous jamais?»
19:00 fj ® • — Juste pour rirel
Les Foubracs y seront.
20:00 CD 8 ) — Wondermerks
Frog: Une d r a m a t i q u e
produite par Shelley Du-
vall, qu'on a beaucoup
vue dans les films de Robert Altman, dans laquelle une grenouille parlante
est en realité un prince,
incarné p a r le chanteur
Paul Williams.
av.00 QD — A C o u n t r y M u s i c C e lebration
Pour les amateurs de musique country, le 30e anniversaire de la Country
Music Association, avec
tous les grands noms de
l'heure. Depuis Nashville,
bien sur.
2 3 : 3 0 09 — cinéma de fin de semaine
L'Amant de novembre (Sweet
N o v e m b e r ) . Ê . - U . 1967.
Comédie dramatique de R. E.
Miller avec Sandy D e n n i s ,
Anthony Newly et Theodore
Bikel. — Une jeune fille qui
n'a que peu de temps à vivre
connaît des relations éplsodiques avec des amants de passage. (Ce film remplace Les
Branchés du bahut).
Claude Ryan
o
lmpKt(18hW)
Juste pourrirai
es
C8S Evening N e w
Wonderful World of Disney
LeTéUjoumal
Country Music Association ÎOth Anniversary Special
ni
GD Mama'e FamSy
Simon & Simon
The F e e * of Lite
O
H I H il nnwnfni
He Snoots He Scows (3e de 13).
Wxler. its PiMHfti it Pittsburgh vi It Canadten d t M l
O
CM-cxtra: " t e Outiritr d» l'espac*" <18»«ï.
m
o
Clne-axfrs:
RoQkxttl Coctttet
Canadian Figure Skating Championship
Movfe^TtoWwIefofINryPfsisje^liraes^ett^defl^^lh}
QD
ABC Woftd N f w i
Star Search
D*y
m
"M.St-Ym"t17h)
Juste pourrirai
1 lot ILI i. l u T a w e m d i nututfi is la C m J e n da M l
CD
PepEtpnn
CD
Hockty Magadns
Canadian Fkjure Skating Chsnpionsliep
CD
tapKt(1Sh05)
Juste pourrirai
n o d d y : m w g o t t i CM nwouyn vi m wwasm o$ M L
CD
À ptetn temps
Vkfcfour
Pirtw poor pirtw
Sea Hunt
Star Trete The Next Generation
OoPy
ProfBtt of Kflture
Doctor Who
m
m
OoMen Girts
J J. Starbuck
Amen
M
Ctoerrtw dé rt«pac« (1 » > .
Performance
Sur la couine
Performance
Surbjcoine
,
OKm
Spenser For Hire
LeTW^oumal
t i w t w j i TWW t M M M e w/9 f nwwa»ie^i iw ww W W H ^ O T I I W V nww*
Chacun d m M i
Scfencs Edition 2
a
î
Qftèffij ou $Mibdk CcWftWcj0 \
Spenser For Hire
Uàwtymi^^^*toft»itr-.- /
Conversations
k
Austin CityLimits: Mghway lOI/OTCants.
WlHtudervm*. rTvCJ.
m
We*l(18h)
La Lutte Quatre Saisons
Cici^'tMCcdsmicluipi^
B
I^Pte«F«ii£ra:^Ban%srrlBro8<hi*y .
Ért;il• n
--l-J-l-- *
COfUUfl epOCeeWffi vwinKi\
rltrfcafa
ODQWW»
Le Grand Journal
PatraoHe du cosmos
JjJ.xtuUiu. H OoWn lluod Thi f j i l u i O s e n t Movie Specie* "The Longest Y a n f .
North Country Review TheMcLeugMnGrau; Woobttwodct: Froç.
.
wiwtioumai
1
Lawrence Weft
3rand»Travauxdumonde
Surlacolne
CteèM.%eir%afle'!(1 èra partie,* rte le 30 Janvier, 2%
es
S ) The Editors
Justice pour tous
Haute» Tensions
Phflppe Ftarck
WflwlRpS 0 | BOUfQH Le Journal (22h20)
Radto France (22hS0)
• Changement de dernière heure.
I
%
i
LA PRESSE, MONTRÉAL. SAMEDI 25 JANVIER 1988
La chronique des arts
1
Tourne, tourne, tourne
MARIO
ROY
T
out le monde le dit et néammoins, c'est
vrai: le disque québécois a connu, en
1987, sa meilleure année depuis les beaux jours
de l'étrange tandem chansonniers/groupes de
couleurs ( les habits blancs, roses, verts et jaunes) de la fin des années 60; et de la très prolifique granole montréalisante (Beau Dommage
et autres Harmonium ) des années 70.
Meilleure année en termes de quantité, de qualité et de succès de vente pour les gros canons de la chanson québécoise.
1987 aura en effet été l'année du million. En 12 mois, les
ventes d'enregistrements québécois ont atteint le million
d'exemplaires, estiment les plus modérés (les chiffres officiels
n'étant bien sur pas encore disponibles). D'autre part, Musicaction, qui a alloué depuis deux ans des prêts et des bourses à
plus de 75 artistes québécois, soutient que ses poulains ont
franchi à la fin de 1987 le cap du million de disques vendus.
Des années de vaches maigres qui ont précédé ce regain de
vigueur, les artistes québécois ont apparemment retenu quelques leçons, la principale étant qu'il n'est plus possible de
compétitionner avec les bonzes anglo-saxons sans recourir
aux mêmes armes qu'eux. Application et pragmatisme...
L'arme de la perfection technique, d'abord. L'époque des
enregistrements bâclés et des concerts sur le pouce est à jamais révolue. Le petit chef-d'oeuvre de Michel Rivard est
exemplaire à ce point de vue, comme nous l'avons déjà souligné dans ces pages: Un trou dans les nuages, disque et spectacle, atteint une perfection sonore à laquelle peu de musiciens
québécois nous ont habitués, à quelques notables exceptions
près comme nous le rappellent les deux classiques d'Harmoet Les cinq saisons, pressés à la fin de
nium, Harmonium
1987 sur disque compact et qui, sous cette forme, connaissent
une fascinante seconde vie.
Une autre leçon apprise: l'importance de la qualité de l'instrumentation et des arrangements musicaux. Il y a longtemps
qu'aux États-Unis surtout, même les plus kétaincs et sirupeux
clichés de la ballade ou du soft-rock sont servis dans de somptueux emballages musicaux, travaillés avec rigueur et professionnalisme. Dans le milieu montréalais des musiciens de studio, on estime que les artisans du microsillon Incognito
de
Céline Dion ont ouvert une nouvelle ère à ce point de vue,
nonobstant toute critique relative au nouveau personnage, artificiel et maladroit, que la jeune femme tente d'incarner.
Au fait, l'année qui vient de s'écouler aura également permis de détourner à notre profit un courant qui se manifeste
depuis un peu plus longtemps sur la scène internationale, celui de la fusion des genres. Les musiciens classiques, rock et de
jazz se fréquentent de plus en plus, échangent leurs inspirations et leurs techniques. En vertu de quoi une étoile montante comme le saxophoniste Martin Daviault, par exemple, met
la même application à interpréter du David Sanborn à L'Air
du temps qu'à concourir, en studio, au son du prochain disque de Martine Saint-Clair.
On a aussi appris que... lorsqu'on n'a rien à dire, on se la
boucle. Il n'est ni possible, ni souhaitable, pour un artiste
d'accoucher d'un microsillon par année.
Les meilleurs disques et spectacles de 1987 sont venus d'artistes inspirés, ayant pris suffisamment de recul, ayant accumulé suffisamment d'énergie et de vécu, comme on dit, pour
être ensuite capables de restituer tout cela avec plus-value au
bénéfice d'un public de .plus en plus difficile. Par exemple,
Marjo et Jean Millaire se sont, pendant deux ans, mis à la
retraite volontaire et ont pratiqué le blues à la petite semaine
avant d'enregistrer Celle qui va à la fin de 1986 et de remonter sur une grande scène au début de 1987.
DOSSIER
Le Québec au MIDEM : établir des
contacts, étaler de la documentation
Enfin, André Di Cesare souligné un dernier point d'intérêt :
« On n'en parle pas souvent, mais
le MIDEM permet aussi aux gens
de l'industrie q u é b é c o i s e de
mieux se connaître, de se parler
entre eux; ce qui, ici, n'est pas
toujours si facile que l'on pense... »
SUITE DE LA PAGE E 1
en mesure de confirmer la présence à Cannes — à défaut de
chanter, on peut toujours faire
des relations publiques... — de tel
ou tel artiste québécois : pour ne
citer que les noms les plus souvent évoqués, Belgazou sera-t-clle
là ou pas ? Et Marie Philippe ? Et
Daniel Lavoie ?...
Quoi qu'il en soit, ce dont on
est tout à fait certain pour l'instant, c'est d'une présence... documentaire. Les gens de PADISQ
vont en effet trimbaler dans leurs
valises des montagnes d'exemplaires d'un portfolio de confection récente, véritable who's who
de l'industrie québécoise. Ils vont
également garnir le kiosque dit
« Groupe-Québec », comme on
l'a baptisé, de ces coffrets de deux
disques compacts récemment
pressés et contenant 31 titres de
24 artistes et groupes d'ici; des
noms connus, de Jim Corcoran à
U Z E B ; d'autres qui le s o n t
moins, comme Toyo ou Hart
Rouge.
Pour confectionner ces outils et
assurer la présence du Québec au
MIDEM, les ministères québécois
du Commerce extérieur et des Affaires culturelles souscrivent
$104 000. Les ministères canadiens des Communications et des
Affaires extérieures y vont aussi
d'une assistance pour l'instant
impossible à quantifier.
Bref, ainsi équipé, on préfère
c o m m e n c e r le travail à Paris
avant même que ne s'ouvrent, à
Cannes, les portes du Palais des
congrès. « Le MIDEM constitue
un point de départ auquel il faut
assurer un suivi. En fait, le gros
travail se fait avant et après le MIDEM, en mettant à profit les contacts établis à Cannes », décrit Ginette Bonneville, de Distribution
Sélect, qui a fréquenté les dix dernières foires cannoises.
Ainsi, se sont envolés vers la
capitale française, cette semaine,
plusieurs producteurs québécois;
à commencer par Guy Cloutier,
qui se promet d'imposer aux Européens le tube Tourne la page
de René et Nathalie Simard, curieusement devenu le produit-vedette suscitant au sein de la délégation québécoise les plus grands
espoirs ( lire l'article de Danielle
Bonneau en page E l ) .
Une dure concurrence
Évidemment, les p'tits Simard
Doit-on déduire de tout cela que la chanson québécoise est
solidement remise sur ses rails? Sûrement pas. Voyons.
Plusieurs des titres qui se sont le mieux vendus au Québec,
l'an dernier, exploitent toujours des formules plus ou moins
folkloriques, passéistes, complètement déconnectées des
grands courants de l'industrie et de l'art; ces produits correspondent à des besoins, c'est certain, mais ils ne sauraient être
considérés autrement que comme étant des divertissements
ponctuels ne donnant aucune indication valable sur la santé
de notre culture.
. Ensuite, les nouveaux standards de qualité évoqués plus
haut vont, à toutes fins utiles, interdire l'entrée des studios et
des amphithéâtres à quiconque ne jouit pas d'une aide gouvernementale. Même nos monstres sacrés ont déjà dû y passer.
On connaît les conclusions de l'UNESCO sur la viabilité de la
culture dans les petites nations; de fait, la quasi-totalité des
disciplines artistiques, au Québec, sont déjà subventionnées.
Il est néammoins déprimant de devoir en arriver là avec des
produits d'aussi grande diffusion —et historiquement aussi
enracinés — que le disque et le spectacle.
Il y a un corollaire: la qualité technique, instrumentale et
musicale —bref, la compétence et le talent— se payant en
espèces sonnantes et trébuchantes, les choses ne vont pas devenir plus faciles pour nos jeunes artistes. II est patent que les
artistes les plus productifs et les plus intéressants portent presque tous des noms connus depuis dix ans et plus au Québec ; la
majorité d'entre eux ont fait leurs devoirs en 1987; les autres
— UZEB, Séguin, Saint-Clair, Tell, qui encore? — vont accoucher en 1988. Va-t-on finir autour du vieux poêle?
Bref, la relève —ce mot!— québécoise ne se heurte pas
qu'à des difficultés économiques. Elle affronte déjà des problèmes d'un autre ordre: des problèmes d'inspiration,
d'orientation, de confrontation aux grands courants internationaux. Bref, des problèmes d'identité, littéralement. Les uns
transplantent tel quel, sans questionnement préalable, le nouveau — et souvent insignifiant— son français; d'autres, soucieux de faire oublier qu'ils viennent de Saint-Bruno, se rebaptisent Mike Plant ou Mike LaRock pour assurer leur avenir de métalistes; au M1DEM, à Cannes, près de la moitié des
titres soumis par le Québec sont anglais.
D'un point de vue économique, on peut réussir de cette façon, certes; mais cela peut constituer aussi une forme de capitulation littéralement sinistre s'il devait s'avérer que, comme
tout courant artistique qui se respecte, ces tendances sont représentatives de l'état actuel de la nation.
E 3
Pierre Flynn
Industrie et technologie
Martin Jackson, Corinne Drewery et Andy Connell composent le
trio Swing Out Sister.
vont devoir se faufiler entre de
gros noms. L'interminable liste
des artistes invités à se produire
lors des différents galas comprend Tiffany, cette Américaine
de 15 ans qui vient de déloger
George Michael au sommet du
Billboard;
Swing Out S i s t e r
(Twilight World); Vanessa Paradis (foe le taxi);
les groupes
T'Pau, Communards et Squeeze
(ces derniers seront à Montréal,
en mars); et les Porte-Mentaux,
qui se sont produits ici il y a quelques mois.
Ces artistes vont s'efforcer de
séduire les quelque 6 000 à 7 000
professionnels présents, représentant le gratin de l'industrie mondiale du disque et du spectacle.
« Cet événement prend chaque
année de plus en plus d'importance. L'édition 1988 du MIDEM
a même ceci de particulier que
nous allons accueillir des délégations importantes des pays de
l'Est : de la Pologne, de la Hongrie, de la Yougoslavie; pas de
l'URSS cependant», dit Carole
Marniez, attachée de presse à la
permanence parisienne du MIDEM.
L'an dernier, cette foire, considérée comme la plus importante
du genre au monde, avait accueilli 7 666 professionnels représentant 1 624 sociétés de 53 pays.
Inutile, donc, de se le cacher :
« Au MIDEM, les Français sont
assaillis de toutes parts! Quant à
nous, nous avons l'habitude de
travailler à Paris; c'est là que
nous pouvons exploiter, parfois
quatre ou cinq mois plus tard, les
contacts établis à Cannes » estime
lui aussi Michel Bélanger, le patron des disques Audiogram; au
À Cannes, Européens et Amérir
cains vont prévisiblcment se livrer à de vigoureux ajustements
de leurs positions respectives sur
ce marché. Quelque 20 manufacturiers de disques compacts ont
confirmé leur présence; on sait
que seulement six manufacturiers
de disques audio-numériques
sont installés aux États-Unis et ils
affrontent 40 concurrents parmi
lesquels se trouvent les deux usines canadiennes de Drummondville et de Mississauga.
On comprend l'importance dû
développement technologique
dans le domaine du disque et du
spectacle. À Cannes, c'est un
dossier auquel on a traditionnellement consacré beaucoup d'attention, jusque dans ses aspects
les plus inattendus.
Tiffany
cours de la semaine qui vient, cette ramification de l'empire Spectel va tenter de vendre Pierre
Flynn aux Français, les autres
gros canons d'Audiogram, Michel
Rivard et Louise Forestier par
exemple, ayant déjà ratifié des
ententes outre-Atlantique.
Notons au passage que les Français ne font pas que subir les assauts de l'étranger : c'est au MIDEM qu'ont jadis été conclus les
accords ayant fait accéder au
marché québécois les Herbert
Léonard et autres Sweet People
(ces derniers, incidemment, ont
vendu 9 0 0 0 0 microsillons au
cours de la dernière période des
Fêtes!)
direction
yvette brind'amour mercedea palomino
/^"ZTd'ANTON "TCHÉKHOV"
~
S
l a cerisaie
Lun. au «en. 20h
Sam. 17 h, 21h
Dim. 15 h
IN fl)"AOIIUCIHIN AVIC I I T H f AIRF QU I R l U t N !
adaptation ROLAND LEPAGE
i
mise en scene
-mil-'.;-
rijjg"-; '"-[^
"
ïWÏZ^fit
Direction et coordination
MOLIERE
'Vê
ANDREE LACHAPELLE
J A C Q U E S GODIN
J E A N - L O U I S ROUX
- J E A N GASCON
•
MICHELINE BERNARD
L
ANDRE MONTMORENCY
| L . J-EAN L'ITALIEN
S I M O N FORTIN
|
J A C Q U E S - H E N R I GAGNON
%
CELINE BONNIER
%
GUYLAINE
TREMBLAY
M A R I E GINETTE
GUAY
JEAN-BERNARD
COTE
Jean Beaunoyer : Théâtre. Serge Oussault : Cinéma. Claude
Gingras : Musique. Denis Lavoie : Chanson et Comédie musicale. Jocclyne Lepage : Arts plastiques. Reginald Martel :
Littérature. Luc Perreault : Cinéma et Vidéo. Alain de Repentigny : Rock et Vidéoclips.
LE MISANTHROPE
k
;
Journalistes permanents
AVEC
ALBERT MILLAIRE LOUISE TURCOT
, ;
NICOLE FILION
MARCEL GIRARD
HÉLÈNE TRÉPANIER
CARL BÉCHARD
MISE EN SCENE
Avec la
participation de
Collaborateurs réguliers
X
Claude Goyette
t;à$iu'nft$ Français Barbeau • pctoiiiiqes Nick Cernnvilch
4664. rue St-Denis
Réservations de 12J; .1 I9h
Mè{ii)
844-1793
Laurier
sortie GiHotd •
YVAN BENOIT
REYNALD BOUCHARD
MICHEL ALBERT
PIERRE BENOIT
ALBERT MILLAIRE
Pupitre
Jean-Claude Dussault, Daniel Marsolais, Gilles Pratte.
y!
La question est loin d'être académique : on n'enregistre plus,
aujourd'hui, un seul disque pop
ou rock sans recourir à ce procédé; celui-ci, en principe extrêmement sophistiqué, s'est même démocratisé au point où la firme
Casio propose — sous sa propre
marque ainsi que sous licence —
de petits synthétiseurs munis
d'un dispositif d'échantillonage
numérique pour moins de $ 170!
V THEATRE DU RIDEAU VERT
Claudette Tougas, directrice adjointe de l'Information. Bruno Dostie, chef de division. Louise Cousineau, chef de section Radio, Télévision et Communications. Mario Roy, chef
de section Musique, Spectacles et Politiques culturelles. Fleurette Bélanger et Nicole Saint-Germain, secrétaires de rédaction.
Jean Basile : Essais. Jacques Benoit : Vin.
Danielle Bonneau : Rock. Pascale Bréniel : Danse. Alain Brunei : Jazz et
Nouvelle musique. Jean.Dumont: Galeries d'art. lacques
Folch-Ribas : Littérature française. Gilbert Grand : Roman
policier. Francine Grimaldi : Actualité artistique. Pierre
Huet : Bande dessinée. Françoise Kayler : Restaurants. André Noël : Livres pour enfants. Francine Osborne : Traduction. Louis-Bernard Robitaillect René Viau : à Paris. Gilles
Toupin : Poésie.
Les 25 et 26 janvier, un séminaire destiné aux avocats spécialisés va se pencher sur la question
des droits d'auteurs, qui n'est déjà
pas simple et qui l'est encore
moins depuis que la technologie
(l'échantillonnage
du sampling
numérique) permet à quiconque
d ' u t i l i s e r les sons c r é é s par
d'autres musiciens.
La guerre du disque compact sur le champ de bataille de Cannes...
GUILLERMO DE ANDREA
L'équipe des pages Arts, Lettres,
Spectacles et Télévision de La Presse
Justement, au moment où il se
vend 350 000 disques compacts
par mois au Québec — et plus
d'un million au Canada—, les
gens de chez Audiogram vont tester', à Cannes, les chances de succès d'éventuelles rééditions dans
ce format, au profit des marchés
québécois et français, de certain
titres de leur catalogue. « Nous
pensons entre -autres à des microsillons de Rivard ou de Piché,
dont certains ont fait l'objet de
nouveaux pressages sur vinyle ; ça
a été un succès, tout comme semblent vouloir l'être les rééditions
en mode numérique des premiers
disques d'Harmonium », explique
Michel Bélanger.
SCÉNOGRAPHIE
MARK NEGIN
(fsso)
!
ÉCLAIRAGES
GUY SIMARD
du jeudi 4 au samedi 13 février 1988 à 20 h 30
les dimanches 7 et 14 février à 19 h 30
•
_
1
centcnii^jawr^T !
7*»
réservations
288-3101
E4
LA PRESSE, M O N T R É A L , SAMEDI 23 JANVIER 1988
PHOT05 LA PRESSE. BERNARD BRAULT
Paul Savoie et Patricia Nolin
La passion selon Patricia, Paul et... Marguerite
num les interférences entre le
texte et les spectateurs, un peu
comme le suggère Marguerite Duras dans La vie matérielle, poursuit-il. Mats nous avons décidé au
contraire de nous impliquer entièrement, de prêter nos corps,
nos passés aux personnages.
Alors, forcément, on n'est pas
Admiration aussi pour le style
neutres, on arrive sur scène avec
de l'écrivain.
ce qu'on a vécu dans la journée.
On ne sait jamais si et quand les
larmes vont venir. »
Voilà. Paul Savoie repart, ses
deux disques de Serge Keggiani
sous le bras — il prépare actuellement un spectacle de chansons de
Pfévert et de Brecht avec Monique Leyrac. À peine essoufflé par
ses journées où il passe en quatrième vitesse de son rôle de Virgil Lefebvre daps lé téléroman
Robert et cie à celui de Michel
Nollet dans La Musica Deuxième.
Comédien peu connu du grand
public maigre ses trois-quatre
productions par année durant 20
ans —«d'une certaine manière,
ça m ' a r r a n g e » — Paul Savoie
souhaite quand un même un jour
avoir un « focus » qu'il n'a pas
m a i n t e n a n t . « P e u t - ê t r e dans
son
chemin
seule,
cavalière,
qui
n'est pas seulement un amas de Duras a eu envie d'ajouter un cinq, dix ans.» Et il rêve aussi
ra-t-elle par dire. Et puis, une
phrase qu'elle regrette aussitôt: ce est prête à payer le prix de chaque voyelles et de consonnes, mais un deuxième acte à leur, histoire, de d'interpréter un rôle qui le hante
les faire aller plus loin dans la depuis longtemps: celui du Rifruit*.
qui ressort de ce texte de Duras, émotion.»
c'est que «si l'on a véritablement
«C'est une femme puissante,
Paul Savoie: «Nous sommes nuit, vers le jour. La Musica chard III de Shakespeare.
aimé un être, ne serait-ce qu'une pas une femme de pouvoir, mais tombés en amour avec ce texte en Deuxième a finalement été créée
Un peu plus tôt, Patricia Nolin,
minute, et bien cette minute de- puissante, l'attendais ce rendez- le présentant il y a un an en lectu- en 1985, à Paris. Elle dure 1 h 40.
drapée dans un manteau noir,
vient éternelle». Puis, avec un vous là depuis longtemps.»
re publique à l'École nationale.
Un texte beau, dépouillé, tissé avait consenti à me dire quels ausoupir: «Tu vois, je ne voulais pas
Même admiration, exprimée Depuis, nous n'avons pas cessé de phrases qui disent tout sauf teurs elle aimerait jouer une fois
le dire, et je l'ai dit».
d'en découvrir toutes les cou- l'essentiel, et de silences qui di- que le rideau tombera définitivedifféremment, chez Paul Savoie:
sent tout le reste. Un texte qui re- ment sur La Musica
«On court tous après le bon- ches».
Deuxième.
La «grande» Marguerite
Marguerite Duras avait écrit La pose entièrement sur les épaules Mais e l l e se r é t r a c t e r a : « N e
heur. Marguerite Duras, elle, est
Patricia Nolin ne lève les barra- au-dessus de ça. Elle cherche la Musica dans les années 60, pour des acteurs, sur la magie qui opè- l'écris pas, je suis trop superstiges que pour parler de l'admira- beauté, mais pas nécessairement la télévision anglaise. Dans cette re entre eux. C'est un peu casse- tieuse». D'accord, nous, n'allons
tion sans bornes qu'elle voue à la le bonheur. La beauté, c'est aussi première version, qui durait 50 gueule, parce qu'on dépend tota- pas défier le hasard. Souhaitons
«grande» Marguerite. Elle de- celle du désespoir. On se dit voi- m i n u t e s , l e s p e r s o n n a g e s lement de l'autre, constatent les lui quand même que ça marvient même alors intarissable:
là, ça a été, maintenant il reste la — Anne-Marie Roche et Michel deux comédiens. Mais c'est mer- che...
hésite à aller au-delà des éviden• —————————————— ces. C'est une pièce sur l'amour
absolu entre un homme et une
**
femme, mais il pourrait tout aussi
v l'affiche au Café de la Place.
bien s'agir de l'amour d'un enIls s'y livrent à un intense et vj- fant pour un poisson rouge, finir
.brant duo d'acteurs rivés l'un à
«Pour moi, Marguerite Duras,
•l'autre par un « invisible cordon
'ombilical », selon les mots de Pa- c'est en quelque sorte un modèle
tricia Nolin. Par le souvenir d'un d'ainée. Tu sais, plus on vieillit,
.amour parfait, irremplaçable et plus il devient difficile de trouver
passé, selon les mots de son p a r t e • SUITE DE LA PACE E 1
naire.
Cordon ombilical
Rencontrés séparément, l'un
•'après l'autre, samedi dernier, Par
tricia Nolin et Paul Savoie n'emploient pas les mêmes mots pour
-parler de cette pièce mettant en
scène un couple séparé qui se ret r o u v e plus ou moins par hasard
le jour du jugement de divorce.
Mais tous deux insistent sur la
Complicité qui les lie sur scène, ce
«cordon ombilical» qui est présent au point d'être perceptible.
«Très tôt, dans les répétitions,
nous avons senti que l'essentiel,
.dans cette pièce, c'est de faire en
• s o r t e que ce lien ne soit jamais
c o u p é » , raconte Patricia Nolin.
Disons le tout de suite, Patricia
•Nolin n'aime pas les entrevues.
'.Elle l'affirme d ' e m b l é e : « S i
j'avais le courage de mes convie*
lions, je ferais comme Réjean Du.charme, je me c a c h e r a i s » . Et
/quand, à contre coeur, elle se plie
aux «exigences du marché», le
chemin de la conversation est hérissé de sens interdits.
Son personnage dans La Musica Deuxième? «le veux devenir
Anne-Marie Roche, je ne veux
pas analyser le personnage, Je faire passer par la raison, j'aurais
j l o r s l'impression de le trahir.»
Bon. Et la pièce? Patricia N o l i n
R
G
U
E
R
I
T
des modèles. Les gens autour de
nous ont abdiqué. Elle, elle n'a jamais abdiqué, elle est restée une
femme libre, personnelle, qui
n'adhère à aucune école, qui fait
mort. Et Marguerite Duras la regarde en face. »
Patricia Nolin: «Marguerite
Duras a une écriture élliptyque,
elle a une passion pour la précision du langage. Elle possède aussi l'art de faire en sorte qu'un mot
Nollet, victimes d'une passion qui
n'a pas résisté au quotidien — se
retrouvent à l'hôtel où ils ont
vécu leurs plus beaux moments,
et se quittent au milieu de la nuit,
sur un constat d'échec réaffirmé.
Pendant 2 0 ans, Marguerite
veilleux quand ça fonctionne,
ajoutent-ils.
Cette magie se crée différemment chaque soir, confie Paul Savoie, quelques heures avant la
cinquième représentation.
« Nous aurions pu jouer la pièce
autrement, en réduisant au mimi-
Patricia Nolin: «Pour moi, Marguerite Duras, c'est en quelque sorte un
modèle d'aînée. Elle n'a jamais abdiqué, elle est restée une
femme libre, personnelle, prête à payer le prix de chaque émotion. »
Paul Savoie: «Nous sommes tombés en amour avec ce texte en le
donnant il y a un an en lecture à l'École nationale. Depuis, nous
n'avons pas cessé d'en découvrir toutes les couches.»
E
Le Reine Elizabeth
armure
I lit
11 kl
• t U'I 1 1 I s • M i l >: M l \ l HM <,
.
préeanie
UNE RÉTROSPECTIVE MUSICALE ÉBLOUISSANTE
Avec
PATRICIA
Mise
NOLIN
en scène:
S c é n o g r a p h i e : François S a i n t - A u b i n
et
PAUL
DANIEL,
S A V O I E
ROUSSEL
Éclairages: Jocelyn Proulx Trame s o n o r e : Richard Soly
DU 13 JANVIER AU 27 FÉVRIER 1988
U n e
p r o d u c t i o n
d e
la
S o c i é t é
d e
l a
P l a c e
d e s
A r t s .
2
1/
Théâtre du Café
de
la Place
Place d o s A r t s
O
O
O
O
Du
ni.ml.
••• Will
. M,mli
men
l ' f t l t ' v . t n u ' iûi I S
1 0 S.H
12 S
sur
Vtl'uJffili t'I M H H *
M-l
847711?
II.Ï.>..I-
••
l u i i i d i f l r t 't.-. p h r . tltf / S
tffi
'
861-3511
LES
P R O D U C T I O N S DE LA B E L L E
VERSA
E P O Q U E INC
LOUISE LAPRADE
RENÉ GAGNON
DUCEPPE
VICE
\mmssTOM
LA DEPOSITION
DE HÉLÈNEPEDNEAULT
La Compagnie
Jean Duceppe
part en tournée.
Joignez-vous aux 29,453 spectateurs
qui ont été secoués par le rire
à la Place des Arts.
C'EST VOTRE DERNIÈRE CHANCE!
FÉVRIER
|9
La Sarre
Amos
Victoriavjlle
20
Mont-Laurier
3
Lévis
22
St-jovite
4
Rivière d u Loup
23
16 st-Laurent
Shawinigan
5
Rimouski
24
17
Sherbrooke
La Prairie
6
Ste-Marie de Beauce 25
Joliette
20
Drummondville
9 et 10 Trois-Rtvières
26
Buckingham
.
21 St-Georges de Beauce Il et 12 Valleyfield
Ste-Foy
26
Dolbeau
13
Ville LaSalle
30 et 31
27
Chtcoutimi
17
Rouyn
AVRIL
18
Val d'Or
28
Aima
I et 2
Laval
12
Beloeil
19
Granby
14 St-Jean
i
SOYEZ AU RENDEZ-VOUS:
e n c o l l a b o r a t i o n avec
MARS
let 2
CÏÏÎIS128
jtUU
TV
âvE-v«p«»;iw»Tiohi.i A N G E I E C O U T U
«Production du Theatre Experimental d e s F e m m e s »
DU 20 JANVIER AU 14 F E V R I E R 1 9 8 0
AMEUBLEMENTS
«mm
X
H K JASMINEDUBE
MISE EN SCÈNE CLAUDE POISSANT
ROGER FONTAINE • LE MAGASIN DE PEINTURE M T.L.
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E5
THÉÂTRE
LES PRODUCTIONS ISABELLE LAJEUNESSE PRESENTE:
Du 27 au
30 janvier
15$
Une comédie
et Isabelle
AVEC:
Guy
FRANÇOIS GUY, ISABELLE LAJEUNESSE
ET ANDRÉ CARTIER
Diane Jules
M E T T E U R E EN S C È N E :
André*
Mathieu
•La Déposition»: Louise Laprade
et René Gagnon
de François
Lajeunesse
475, boul. de l'Avenir, Laval
Que.
H7N 5N9
POUR RÉSERVATION ET RENSEIGNEMENTS:
667-2040
LA DÉPOSITION
Deux
personnages
criant de
vérité
JEAN
BEAU NOYER
OMNIBUS
ZIZI ET L A LETTRE
en première partie: L'EAU
mise en scène Juan Asselin
DU 2 AU 7 FÉVRIER;,.;
mardi, vendredi, samedi : 20li
dimanche'': I5fi
LÇS PRODUCTIONS
MA'CHÈRE PAULINE
m®,
TIENS TES RÊVES
B Un inspecteur et une femme accusée de meurtre. Une table, deux
chaises, deux moniteurs de télévision et un paquet de cigarettes.
Avis aux non-fûmeurs: les comédiens grillent toutes les cigarettes
. du paquet pendant la pièce. Enfin
on reconnaît quelques mérites à
, la cigarette: moyen de communication, incitation à l'écoute, appaisement de la nervosité et souJ vent un élément indispensable du
décor.
On fume et on se mesure pendant cette pièce. Louise Laprade
"et René Gagnon sont excellents
dans les rôles de l'inspecteur et de
.l'accusée. Ils sont criants de vérité, d'une présence sans faille,
- d'une complicité étonnante et ac. complissent l'exploit de défendre
• une oeuvre particulièrement littéraire.
m
de et avec Sylvain Hettï;
~"
Jean Lessard et Sylvie Provost
mise en s c e n e : Daniel Simard.
DU 9 AU 14 FÉVRIER
vendredi, samedi : 20h •
dimanche: I 5 h
L'ARRIÈRE-SCÈNE
TRAIN D E NUIT
OU LE PREMIER AMOUR DE ROY ROGERS
j
J?
texte et mise en scene :
;•'
Serge Marois
DU 16 AU 27 FEVRIER
/'
mercredi, jeudi, vendredi,
s a m e d i ; 20h, dimanche: 15h
Je ne sais pas s'il faut bouder un
certain genre littéraire au théât r e . Quand les mots éclatent,
quand les mots tuent, quand les
mots déchirent, quand les mots illuminent, c'est du théâtre.
Hélène Pedneault qui a écrit ce
texte et qui en est à sa première
expérience théâtrale, est certainement sur la bonne voie. Ses personnages sont beaux, riches et
fascinants. La pièce souffre cependant de certaines longueurs et
démontre encore une certaine timidité dans l'écriture.
Son personnage de l'inspecteur
est idéalisé, pas toujours vraisemblable dans ses fonctions, peutêtre détaché de sa réalité; mais
c'est tout de même un personnage intéressant, vulnérable qui sait
reconnaître la beauté qui l'entoure.
,
*
•
Léna Fulvi, l'accusée s'explique, se raconte et admet un meurtre qui n'en est pas un. Peut-on
tuer par amour? C'est la grande
question de la pièce.
Une pièce sobre, dépouillée,
-, magnifiquement interprétée et
qui impose avec force une bien
y grande douceur. Une douceur qui
traîne parfois en longueur. C'est à
peu près tout ce qu'on peut r e p r o c h e r à la pièce qui n'a pas été
construite avec les techniques du
suspense habituel.
!
1
En fait, le meurtre est pratiquement banalisé. C'est la connaissance des êtres en présence qui
importe. Des êtres qui dépassent
le commun des mortels, d'où une
certaine invraisemblance de l'inspecteur. Il n'interroge pas, il s'informe; il veut connaître cette
femme assez déroutante devant
lui. C'est évidemment elle qui
s'impose, mais c'est lui qui posera
la bonne question, la question fatale qui percera l'armure du personnage de la femme.
Un personnage longuement
étudié, expliqué par ses deux
* soeurs qui apparaissent subitem ment à l'écran. C'est là qu'Angèle
.- Coutu intervient avec brio. À peine quelques minutes, mais une
irésence et un jeu remarquable,
m
asmine Dubé. ajoute l'humour
dans ce personnage de soeur
naïve et complètement passive.
T H E A T R E
NÉVROSE
À LA CARTE
Texte: Normand Canac-Marquis
Mite en scène: Lorraine Pintal
Avec: Robert Lalonde, Hélène Mercier, Clément Caielais
Bell
u n e c o m é d i e d e moeurs d o :
CHRISTOPHER DURANG
mise e n scène':
SÉBASTIEN DHAVERNAS
traduction e t a d a p t a t i o n :
«J'ai beau fouiller dans ma mémoire, je ne trouve aucune création québécoise
montée depuis le début de la saison dans l'un de nos théâtres qui aille à la
cheville de celle-là.» Raymond Bematcbez, LA PRESSE. 28 février 1987
JEAN-PIERRE BERGERON
assisté d e :
VERA ZUYDERHOFF
DU 6 A U 30 JANVIER, 20H30
mettant en vedette:
Relâche le dimanche
JEAN-PIERRE BERGERON
SERGE DENONCOURT
CLAUDE GRISÉ
MICHÈLE DESLAURIERS
LUCE GUILBEAULT
GERMAIN HOUDE
LA
LICORNE
RESTAURANTBAR-THÉATRE
2075. boni. St-Laurent. Montréal H2X2T3
1514) M3-41G6
direction artistique: La Manufacture
DU 12 JANV. AU 6 FÉV.
dfcon:
MICHEL-ANDRÉ THIBEAUU
musique!
PIERRE VOYER
TREwQÛA
cottunwt:
. DALIA CHAUVEAU
100. «VINUE
DIS Pln i U T
RÉSERVATIONS:
0457277
LUC PRAIRIE
D U 13 JANVIER A U 6 FÉVRIER
LE P O O L
:
&f
1
A
1
En somme un spectacle intéressant avec une mise en scène aussi
efficace que sobre. Les comédiens
v occupent l'espace avec une rare
intelligence. Parfois distants, parfois proches, parfois absents, parfois intégrés, comme si chaque
pas transformait le propos.
I
I
La Déposition, t e x t e d e Hélène Pedneault,
mise en scène de Claude Poissant avec Louise
Laprade René Gagnon e t sur vidéo, Angela
Coutu e t Jasmine Dubé. A l'Espace Co Jusqu'au 14 février. -
If
D'APRES BEETHOVEN ET BLAISE CENDRARS
MISE EN SCENE: ROGER BLAY
ASSISTANCE A LA MISE EN SCÈNE ET REGIE: ROXANNE HENRY
DÉCOR: LOUIS H U D O N
ECLAIRAGES ET COSTUMES: D O M I N I Q U E GAGNON ' .
AVEC ROGER BLAY, BENOIT DAGENAIS, SILVY GRENIER ET SUZANNE LANTAGNE
1297, P A N N E A U METRO PAPINEAU
RÉSERVATIONS: 5 2 3 - 1 2 J l
MONTREAL
théâtre
d'aujourd'hui
E6
LA PRESSE. MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
SPECTACLES
ARTS PLASTIQUES
LES PRODUCTIONS ETC.
PRÉSENTENT
LES PRODUCTIONS ETC.
j PRÉSENTENT
BOB
HARRISSON"
AU
GRAND CAFÉ
PALO
Un prix pour le
R A M O S Musée David M.
au.
GRAND-CAFÉ
les jeudi 2 8 , vendredi 2 9 et
samedi 30 janvier, à 2 2 h 30.
Entrée 7
—
CE SOIR
22H30
S
Entree 5$
1720, rue Saint-Denis
1720, r u e S a i n t - D e n i s
2e étage
2e étage
' EN COLLABORATION AVEC"
rft*n|D
P R É S E N T E LE
FESTIVAL NVONDIAL
DUDWGETDONG
Stewart
• Le Musée David M. Stewart,
aménagé dans l'ancien fort de
l'Ile Ste-Hélène, a remporté ré*
c o m m e n t un Prix de mérite de
l'American Association for State
and Local History pour son exposition intitulée La découverte du
monde: Cartographes et Cosmographes présentée à Montréal en
1985.
Il s'agit d'un prix important
puisque |es activités de l'Association, qui a sop siège à Nashville,
Tennessee, sont parmi les plus
prestigieuses aux Etats-Unis.
Après sa présentation au Vieux
Fort de l'île, l'exposition, constituée d'objets et aie cartes anciennes de la collection du Musée Stewart, a circulé dans plusieurs musées canadiens en 1986 et 1987.
L e s f O b o t s chefs-d'orchostre du Chant des étoiles
Un premier prix aux
USA pour Hervé Fisher
UN C O N C E R T HISTORIQUE
JOCELYNE 1EPAGE
Allan HOLDSWORTH-guitare
Randy BRECKER-trompette
Stanley CLARKE-basse
Bernard'WRIGHT-claviers
Mardi
9 février
j
e
Steve SMITH(ex-joumey)-batterie
tu
• i n , s [ >tl f W H K I M
.HltkUtt It I Ht* UTf>
35 REPRESENTATIONS
29 mars au 5 juin
CRSJ^
ll'l'.L/CUM-Ol SIÏCfKWI
ryisirstoii/'ioiKs IKH IKON
, i . imnitt V / K W ( i
t\i
CÛ8ttt\
'JAZZ
,
j . ,—.. .
»i
. -
,
Hervé Fischer,
l'organisateur
des Images du futur d a n s le
Vieux-Port de Montréal, vient de
remporter un premier prix dans
un concours international annuel
organisé par la National Computer Graphics Association, pour un
court métrage réalisé sur ordina-
nateur où, par la magie de la haute t e c h n o l o g i e manipulée par les
robots, de j e u n e s chanteurs et
PRÉSENTE
musiciens francophones de diffé-.
rentes «couleurs» sont réunis en
un orchestre. Les paroles sont de
Luc Plamondon, la musique de
John Fer ley et Jean-A lain Rous-
sel. Le film a gagné son prix dans
la catégorie musique-vidéo. Si les
robots sont des créatures inventées, les chanteurs et musiciens,
eux, sont tous d'ici et de différentes origines ethniques. Et i.s
155*4 RUE ST-DENIS Ë Î B E R R l R E N S E I G N E M E N T S : 8 4 V - 4 7 1 1
BILLETS E N V E N T E A U THEATRE ST-DENIS 12H A 21H ET A U X C O M P T O I R S ® T U K T K N *
TEtf-TWJN* A C H A T S PAR C A R T E D E C R E D I T : 2 8 8 - 2 5 2 5
chantent tous en français.
G R O U P E S : 845-3535
^ ^ ^ ^ ^ ^ ^ ^
JEUDI 28 ET VENDREDI 29 JANVIER 20 h — PLACE DES ARTS
B i l U l t : 1 4 S O S - 1 6 , S O S - 1 8 , S O S o u » g u i t h o l . d . l a P l a c » d * t A r t i ml c o m p t o i r ! T U k . I r o n
r\
r\
S n l l n Wilfrid-Pollutior
£8118
WIITria r B i l o u u r
O U Place des Arts
MICHEL COTÉ • MARCEL GAUTHIER • MARC MESSIER
' Réservations téléphoniques:
5
l
48
4
22 1 1 2
Frais U o s e r v i c o
nodovjncodeU
s u r t o u t billet d e p l u s d e 7 » .
r,. ûirûitltn
:3 's tint . : • - » ; • ai
CLAUDE MEUNIER • JEAN-PIERRE PLANTE • FRANCINE RUEL • LOUIS SAIA
MICHEL COTÉ • MARCEL GAUTHIER • MARC MESSIER
10 A U 21 FÉVRIER
WZÛmSâ
288*261 BOLETS E N V E N T E A U G U J C H E T
D E L ' A R L E Q U I N ET D A N S T O U S
LES C O M P T O I R S T I C K E T R O N
CKAc273
RAMCCITE
cjmsizsc^Cî)
Une production à la Las Vegas de Leonard Miller
et George Reich, éblouissante de couleurs, de chansons et de danses.
En grande vedette : Tracey Brian.
THEATRE ST-DENIS
, IrJetH'l. « i p s t t
1-NUCIJI V
>•..>-• ><i « i u i i , - . i r . | ' I i*i>ii"
-
(frnu n*i« »'-'i»t^imf./»•{
.!.fMIN-
, ' t v • i.
i,'»,,...,
.•, » ' . T T i ( Ï U T W V # f
i-.jr.-
. .
Du lundi au vendredi : 21 h 00 et 23 h 00
•Lesamedi.
: 20 h 30,22 h 30 et 00 h 30
Composez-vous une soirée avec dîner et spectacle ou venez prendre un
verre en assistant à la représentation de votre choix.
Tel.: 878-9000, poste 206
••N'Inclut pas
consommations.
\
Ne s'applique pas aux groupes. 1
Hôtels»Canadienftdflque
•Desfraisd'entrée sont perçus.
D I S Q U E S ET CASSETTES DISTRIBUES PAR t C G R O U P E DE M U S I Q U E TRANS C A N A D A INC
mier ordre dans les milieux internationaux de la création par ordi-
nateur.
Réalisé au coût de $ 7 0 0 0 0 0 ,
soit $1 1 0 0 la seconde, Le chant
des étoiles est une production
franco-québécoise conçue par M.
Fisher à l'occasion du Sommet de
la francophonie à Québec, l'automne d e r n i e r . Le petit film
t e u r et intitulé Le chant des d'une dizaine de minutes raconte
étoiles. Tony de Peltrie avait mé- l'histoire d'un vaisseau spatial
rité le même h o n n e u r e n 1985 et aux a|lures de papillon, piloté par
reste depuis une référence de pre- deux robots Sympathiques qui visitent notre galaxie. 11 s'agit en
quelque sorte d'un petit opérarock en dessins animés sur ordi•
THEATRE ST-DENIS
•®
. i- :
T
te
rr
UlTÎ'Cilil
L'idée de M. Fischer est de
montrer que le français n'est pas
seulement la langue d'une vieille
culture mais aussi celle de la haute technologie; pas seulement une
langue blanche, mais une langue
de toutes les couleurs.
Tant sur le plan du financement que de la réalisation, Le
chant des étoiles, qui accumule
des prouesses techniques invraisemblables, a fait appel à un nombre considérable de collaborateurs. Ainsi, les images en trois
dimensions ont été réalisées en
France (SOGIDEC et TDI), les
images vidéo, le tournage, l'animation et le montage ont été faits
aux studios André Perry, et les
costumes portent la signature de
haut-couturiers français.
Pour Hervé Fischer, qui dirige
ia Cité des arts et des nouvelles
technologies de Montréal, Le
chant des étoiles, qui continuera
de courir tous les concours, est
devenue une splendide carte de
visite qui l'aide ces jours-ci à recruter d e s participants américains pour ses prochaines Images
du futur où les États-Unis seront
en vedette cet été.
D'ici juin, la Cité promènera
ses images canadiennes du futur à
différents festivals prévus en
France dont celui d'Angoûlème
pour la bande dessinée, et celui
de Rennes pour les arts électroniques où le Canada est le pays invité. L'exposition canadienne à
Rennes sera ensuite accueillie au
Centre Georges Pompidou.
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E 7
CHANSON
René et Nathalie Simard vont faire des
pieds et des mains pour percer en Europe
SUITE DE LA PACE E1
« L'émission ne m'empêche pas
de faire autre chose, continue-telle. De me comporter comme
une fille de 18 ans. l'écoute et
j'aime la musique à la mode. »
Romano a bien aimé
L'aventure a commencé il y a
tout juste un an, lorsque Guy
Cloutier s'est envolé vers Cannes
et est allé au M1DEM ( Marché international du disque, de l'édition musicale et de la vidéo musique) pour établir un premier contact avec l'agent du compositeur
italien Romano Musumarra.
« Romano est très c o n n u en Europe, explique Nathalie, il a écrit
des chansons pour la princesse
Stéphanie et pour Jeanne Mas. Il
a aussi écrit beaucoup d e bandes
musicales de films. »
« Guy a tout d o n n é à son agent,
continue René. Des photos et des
disques. Il ne pensait pas en réentendre parler, mais au moins, il se
disait qu'il avait fait sa part du
travail. Trois jours plus tard, il reçoit un appel téléphonique. Une
voix, au bout du fil, lui dit : " R o m a n o a écouté et a bien aimé. Il
veut travailler avec les jeunes". »
En avril, les deux Simard prenaient donc l'avion et se rendaient à Rome pour enregistrer
Tourne la page.
« On ne savait pas à quoi s'attendre, raconte le jeune homme
de 26 ans. C'est un grand compositeur, il aurait pu nous dire " a l lez, faites votre toune et repart e z " . Mais c'était tout le contrair e . Il n o u s a d i t q u ' i l a i m e
connaître ceux avec qui il travaille. Q u e c'était important pour lui
de nous rencontrer. O n a passé
dix jours très intenses avec lui. »
Avril 1987: René et Nathalie Simard entourent le producteur Romano Musumarra au studio Titania, à
Rome.
Un avant-goût
La chanson Tourne la page,
disponible sur disque 12 pouces,
sur cassette et sur disque compact, n'est qu'un avant-goût de ce
que René et Nathalie réservent au
public. Mais même le frère et la
soeur ignorent ce qui suivra. Guy
Cloutier s'est envolé vers la France samedi dernier pour participer
au MIDEM (voir l'article de Mario Roy) et en profitera pour rencontrer Romano Musumarra.
« Romano est en train d'écrire
un microsillon complet, explique
Nathalie. Ce sera dans le même
faveur. Et on amènera, en plus, »
un brin de notre culture. »
. *
Nathalie et René, qui prennent•*
des cours de danse quatre fois par '.
semaine, ont signé un contrat de i
trois ans avec la compagnie de •
disques française Tréma, qui représente entre autres Michel Sardou et C h a r l e s A z n a v o u r . '
«Qu'elle s'intéresse à nous, ça
nous fait un petit velours, confiejj
René. Dans ce métier, on ne sait *
jamais ce qui va arriver. Ils auraient pu nous signer pour un an
et décider ensuite s'ils renouvellent le contrat. »
\
genre que Tourne la page. On
aura une idée de la musique à la
fin du mois. »
« 11 e n r e g i s t r e r a la m u s i q u e
dans son studio, à Rome, ajoute
René. Le mix des voix se fera ici,
au d é b u t d e m a r s , à M o r i n
Heights. H viendra, à ce momentlà. »
Le microsillon (le 19 de Nathalie et le 4 6 de René) devrait
être disponible à l'automne. Le
j e u n e p a r o l i e r f r a n ç a i s JeanMarie Moreau, qui a écrit le texte
de Tourne la page et qui travaille
fréquemment avec Romano Musumarra, participera probablement au projet. Tout sera orchestré en fonction d'une éventuelle
percée en Europe.
e
e
Même si René est absent de la
scene depuis deux ans, il demeure J
l'enfant chéri de bien des Queuecuis. Son mariage avec Marie-jo- ;
sée Taillefer, l'été dernier, a attiré •
des foules et a fait les manchettes '•
des journaux. Ce qui lui a valu ;
une place de choix à Bye Bye 87 I
et à la liquidation des fêtes d e (
Rock et Belles Oreilles.
Mais le jeune chanteur a maintenant des fourmis dans les jam- !
bes. « Je m'ennuie, avoue-t-il. j'ai !
le goût de bouger, de m ' o u v r i r . }
l'ai pas eu de crise d'adolescence [
parce que je me suis extériorisé
dans mes spectacles, le vieillis, le j
veux revivre des sensations com- ;
me celles-là. »
On prend
un grand
risque
en changeant
d'orientation
et de look.
On ne veut pas
perdre ceux
qui nous ont
suivis depuis
17 ans...
Aussi est-il en train d e préparer
une tournée pour cet été, qui !
l'amènera dans une quarantaine
de villes au Québec, en Ontario et •
au N o u v e a u - B r u n s w i c k . Il e s t ;
également question qu'il a n i m e une émission de télé la saison
p r o c h a i n e ; « Ce n e s e r a p a s ;
RSVP,
assure-t-il. Ce sera une
émission qui me ressemblera. »
Et N a t h a l i e ? Elle a également
un projet de tournée pour cet été. '
Elle voyagera à travers le Q u é b e c
avec toute l'équipe du Village de •
Nathalie et donnera des spectacles dans une quinzaine de villes.
« l'aime les enfants et j'espère
c o n t i n u e r à a n i m e r l'émission
pendant un bon bout de temps,
affirme-t-elle. C'est bien parti.
« O n a tout à faire là-bas, fait
remarquer René. C'est pour ça
qu'on a changé un peu l'orientation de notre carrière. C'est pour
ça également qu'on a investi dans
un vidéoclip, le premier de notre
carrière. »
« Ça fait longtemps que Guy
veut aller à Paris, révèle-t-il. C'est
d'ailleurs lui qui a eu l'idée de
nous faire travailler e n s e m b l e ,
Nathalie et moi. Là-bas, il n'y a
pas de duo d e jeunes qui dansent
et q u i c h a n t e n t . C'est t r è s
américain c o m m e concept. Or les
Français aiment tout ce qui est
américain. Ce qui jouera en notre
« Les gens me demandent pourquoi je ne change pas, continue-telle. Mais pourquoi ? le joue le
rôle d'une fille de huit ans. Et
quand je sors du studio, j'enlève
ma robe et j'enfile mes jeans.
C'est un rôle, un métier. Pas toute
ma vie. Peut-être parce que j'ai
commencé ma carrière avec les
enfants, les gens attendent que
j'explose. »
LE PLUS POPULAIRE
AUPRÈS DES GENS CRITIQUES
Its
tens
"m
rjfl
une
soirée
He
ballet
''
'
•
René Homier-Roy..critique de cinéma
0
n
i
HKi:
™3QS
DESJARDINS
Lies gens critiques savent observer, analyser, décortiquer
a v a n t d'exj rimer u n e opinion. Ils ont «l'esprit criti jue »
et, a u m o m e n t d e contribuer à u n REER, ils choisissent
Desjardins, c o m m e d e s milliers 1' ::utres Q u é b é c o i s .
Economie d'impôt, r e n d e m e n t a v a n t a g e u x , préparation
d ' u n e retraite confortable i Desjardins ofire d e s REER qui
répondent à vos besoins.
LE PLUS G R A N D
Parce crue Desjardins est l e chef d e lile e n matière
d e REER a u Q u é b e c , c h a q u e caisse peut offrir u n e gamme
c o m p l è t e d e produits d e retraite pour répondre a u x
besoins d e ses m e m b r e s .
M o t o l i t e s d e s plus souples, c h o i x ries termes, contributions ::u REER :lu ernjoint, REER p a r v e r s e m e n t s o u prêt
pour u n REER... vous êtes assuré d e trouver c h e z Desjardins
la formule d'é; argne-retraite qui c o n v i e n t a vos ressources
et à vos b e s o i n s financiers.
LE PLUS P R O C H E
1
SOS
°
S
H É t u d l a n t o ot 3o  g o :
l^âr
17$
.I
^ — • J j T e s W R I A T I O N S DIABELLI de Brian Macdcnald,
• nr^s^uecte Beethoven.
•
^ P 5 S v . - b a U e t sinueux
A v e c plus le 1600 points d e service. Desjardins
APRESr«wW:{g de longue date, JU
.collaborateur^
ur
est aussi l e plus vaste r é s e a u financier a u Q u é b e c .
À c h a q u e caisse, v us p o u v e z c o m ; ter sur des conseillers
éclairés et attentifs à vos b e s o i n s financiers.
rfun
B u t l e r
,
^
idaC***»
A , u m o m e n t d e choisir votre REER, p a s s e z à votre c a i s s e et
renseignez-vous sur les : v a n t a g e s d e s REER Desjardins. Nos
conseillers n'attendent q u e l'occasion d e v o u s aider.
La c a i s s e p o p u l a i r e
Desjardins
La d a t e limite pour contribuer à u n VXEÏK est le 29 lévrier 1988 si vous désirez proliter
d ' u n e réduction d'impôt sur vos revenus d e 1/87.
0%
S a l l e Wilfrid-Pelletier
Place des A i t s
Reservations lewpnoniciues
r>i.i 842 2 1 1 ? . ,
,
Rcdovnitco <lr 1 » . '
:.ur tout Inllrl do plus lit'
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
MUSIQUE
Le Métropolitain, un orchestre de plus en plus présent
SUITE D E LA PACE E1
potentiel de musiciens, et il y a,
de part et d'autre, l'enthousiasme. »
Agnes Grossmann est radieuse.
L'Orchestre Métropolitain semble là « pour rester », comme dit
la chanson.
Le jeune orchestre est actuellement dans sa cinquième saison. Il
n'y a pas si longtemps encore,
tout indiquait qu'il ne se rendrait
pas jusque-là. La situation f i n a n cière était alarmante, les salles
étaient vides, des concerts étaient
annulés, le moral des musiciens
était au plus bas et leur rendement s'en ressentait.
Les observateurs étaient tous
d'accord sur la cause des problèmes: l'Orchestre Métropolitain
avait besoin —et un besoin urgent— d'un administrateur et
d'un chef.
On trouva un directeur artistique digne de ce n o m : Agnes
Grossmann. Viennoise, ellemême fille de chef d'orchestre
( Ferdinand Grossmann, dont on
trouve encore le nom sur bien des
disques). Nommée à l'OM en mai
1986, Agnes Grossmann avait fait
grande Impression peu de temps
avant comme chef invité à l'Orc h e s t r e du Conservatoire d e
Montréal ; elle dirigeait depuis
1984 les Chamber Players of Toronto, un orchestre de chambre
de quinze musiciens dont elle est
encore le chef, et la Singakademie de Vienne, choeur de cent
voix où elle retourne une fois l'an
comme chef invité.
Il fallait maintenant un directeur général. Hun Bang, le fondateur du Métropolitain —à qui
Mme Grossmann tient quand
même à rendre hommage— dut
être remplacé. Le financier Pierre
Péladeau prit l'OM en mains et
confia la direction générale à sa
collaboratrice Marie Rémillard.
Depuis, il faut bien le r e c o n n a î tre, la situation s'est améliorée.
Rien qu'au niveau des abonnés, le
^nombre est passé à 700.
fe-ï'Lé dernier concert, le 23 noNY.embre, attira une salle pleine
( 1 200 personnes) et on prédit la
même chose pour le concert de
lundi soir, 20 h, salle Maisonneuve, au programme bien r e p r é s e n tatif d e la politique du Métropolitain : une oeuvre québécoise. Monade III, de Clermont Pépin ; une
^ oeuvre du grand répertoire, la
Symphonie pastorale, de BeethoJ ven; et un soliste québécois, Denise Lupien, violon-solo de l'orchestre, dans le Concerto K. 218,
en ré majeur, de Mozart.
française de Adieu, Robert Schumann, de R. Murray Schafer; enfin, ta célèbre neuvième Symphonie de Beethoven, avec solistes et
choeur, lors d'un concert au profit de l'orchestre, le 12 mai, à
Saint-jean-Baptiste.
Le calendrier des prochains
mois c o m p o r t e de nouveau .quelques engagements au Festival
d'été de Lanaudière dont Turandot, opéra de Puccini, en version
concert.
Denise Lupien, qui a demandé
de partir, remplira cependant son
contrat jusqu'à la fin de la saison.
Sa soeur, Francine Lupién-Bang,
alto-solo, l'épouse de I ancien directeur général, vient de quitter
l'orchestre. En passant, Mme
Grossmann précise qu'elle signe
son contrat « un an à la fois ».
Nouvelle direction
Agnes Grossmann me reçoit
dans le grand salon tout blanc du
condominium de l'Ile-des-Soeurs
dont elle et son mari. Raffi Armenian, chef de l'Orchestre du Conservatoire et de l'Atelier lyrique
de l'Opéra de Montréal, viennent
de faire l'acquisition.
La direction de l'Orchestre Métropolitain a changé du tout a u
tout, explique-t-elle. Désormais,
les décisions ne relèvent plus exclusivement des membres de l'orchestre — lequel était coopératif
à ses débuts— mais du conseil
d'administration, présidé par M.
Péladeau, et de la direction artistique, auxquels se joint un comité
de six musiciens membres de l'orchestre, « qui forment un conseil
artistique avec moi ».
Actuellement, l'Orchestre Métropolitain groupe 52 musiciens
permanents (29 hommes et 23
femmes), tous payés régulièrement (le contrat cette saison va
du 12 octobre au 23 mai), auxquels s'ajoutent une vingtaine de
surnuméraires selon les besoins
des oeuvres, et qui sont payés au
service.
Cette saison, le Métropolitain
donne 30 concerts, dont plusieurs
dans le cadre' du programme
« Jouer dans l'Ile », et fonctionne
sur un budget de S1 600 000 cornrenànt deux subventions :
330 000 du ministère des Affaires culturelles du Québec et
.$ 190 000 du Conseil des Arts de
la C o m m u n a u t é u r b a i n e de
Montréal. Rien du Conseil des
Arts du Canada: le «cas» est
bien connu.
« L'amélioration au niveau de
la qualité est assez étonnante depuis s e p t e m b r e , estime Mme
Grossmann. C'est la première fois
que je peux travailler régulièrement avec l'orchestre. L'orchestre se stabilise. Les cordes s'améliorent. Il n'y a pas de sections
vraiment faibles, mais, en même
temps, je trouve que toutes les
sections ont encore besoin d'amélioration. On n'est pas encore arrivé à ce que je veux et ça va prendre encore du temps. Nous réaud i t i o n n o n s des musiciens au
besoin, c e r t a i n s sont p a r t i s ,
d'autres sont revenus. L'attitude
des musiciens envers le travail est
S
La saison prochaine
3
Agnes Grossmann
extraordinaire. On sent chez tous
la volonté de « devenir mieux ».
La qualité est déjà mieux, mais il
faut que ce soit encore beaucoup
mieux! C'est très convenable, et
beaucoup plus que ça, et ça peut
devenir un orchestre de première
classe. C'est difficile, mais c'est
possible. »
Le français de Agnes Grossmann est remarquable, teinté
d'un joli accent germanique. Le
ton, surtout, est décidé.
Oui, deux orchestres!
Agnes Grossmann est convaincue non seulement que deux orchestres symphoniques peuvent
cohabiter à Montréal mais qu'ils
peuvent être tous deux de très
haut niveau.
« Ça existe presque partout en
Europe, deux orchestres de première classe dans la même ville.
Londres a quatre orchestres de
première classe, s'il vous plait! »
Considère-t-elle l'Orchestre
Symphonique de Montréal comme un «orchestre de première
classe»?
«Oui. je trouve que ce que
Charles Dutoit a fait avec cet orchestre est' incroyable. Il l'a mis
parmi les premiers orchestres du
monde. Ce que j'ai entendu est
vraiment excellent. »
Et comment voit-elle les succès
de l'OSM à l'étranger?
« Ils sont excellents pour le Canada et excellents pour le milieu
musical. »
Pour elle, les meilleurs orchestres du monde restent les Philharmoniques de Vienne et de Berlin.
« Et encore, ça dépend des chefs.
Berlin est excellent avec'Karajan. » Et le plus grand chef actuel? Elle nomme, sans hésiter,
Carlos Kleiber.
Elle place l'OSM «parmi les
vingt meilleurs orchestres au
monde » mais, avec ce sourire qui
la caractérise, se refuse à dire oji
elle situe le Métropolitain, qualitativement, par rapport à l'OSM
et à donner, par exemple, un
pourcentage sur le rendement actuel de son orchestre, se contentant de dire: « Il n'y a pas un orchestre parfait dans lé monde. La
Philharmonique de Berlin a aussi
ses faiblesses... mais, déjà, le niveau!!! »
Autre chose que l'OSM
Sur une autre tonalité, elle enchaîne:
« De toute façon, nous ne sommes pas là pour faire ce que fait
l ' O S M . Nous allons faire beaucoup de répertoire allemand — y
compris Schoenberg et la Nouvelle École de Vienne, qui peuvent
être très accessibles — et ce pour
deux r a i s o n s . Tout d ' a b o r d ,
l'OSM s'engage maintenant dans
une autre direction. Ensuite, parce que ce répertoire habitue l'or-'
chestre à « chanter comme un soliste». Et nous allons être.plus
présents. L'OSM va beaucoup
voyager. Je le sens. Nous allons
voyager aussi — au Québec. Et
puis, il y a l'opéra... et l'opérette.
L'OSM va bientôt ne plus faire
d'opéra. Notre but, c'est de deven i r l'orchestre de l'Opéra de
Montréal.»
Agnes Grossmann me demande de ne pas faire état de ce qui
est pourtant un secret de Polichinelle. À la direction de l'Orchestre Métropolitain et de l'Opéra de
Montréal, au Conseil des Arts du
Canada et au ministère des Affaires culturelles du Québec, un
plan est à l'étude à cet effet.
Nouveaux programmes
À cause de la récente restructuration au Métropolitain, de nombreux changements ont été apportés à la programmation de la
présente saison. Pour diverses raisons, notamment d'ordre budgétaire, on doit remettre à la saison
prochaine les deux concerts de la
«Série Serge-Garant» (la série
consacrée à la musique québécoise et canadienne) et plusieurs
oeuvres annoncées dans la « Série
classique»: Les Abîmes du rêve,
de J a c q u e s Hétu, l'opéra de Ravel
L'Enfant et les'sortilèges, la Symphonie de psaumes, de Stravinsky, l'orchestration Stokowski
( t r è s rarement jouée) des 7'ableaux d'une exposition,
de
Moussorgsky.
Mais la promotion des compositeurs et solistes québécois et la
programmation d'oeuvres très
peu connues ne sont pas pour, autant négligées. Agnes Grossmann, qui dirigera tous les concerts de série d'ici la fin de la saison (sauf un, confié à Raffi
Armenian), donne ici quelques
précisions.
Sont maintenus: la première
Symphonie de Mahler (avec le
mouvement additionnel, Illumine, dont ce sera la première
montréalaise) ; la grande neuvième Symphonie de Schubert; le
Concerto pour clarinette de Mozart, avec Gilles Carpéntier comme soliste; Chorégraphie I, d'André Prévost. Son ajoutés: le T e
Deum de Bizet; le Mouvement
symphonique. no 3 de Roger Matton; Litaneia, de John Rea; le
Concerto pour piano K. 466, en ré
mineur, de Mozart, avec MarcAndré Hamelin; un programme
Schumann comprenant la Symphonie rhénane et une version
ILE NOTRE-DAME
Une animation
L'Orchestre Métropolitain fut
créé, notamment, pour promouvoir nos compositeurs, solistes et
chefs. Compositeurs et solistes y
sont bien servis. Mais les chefs?
Agnès.Grossmann remarque,
connue mol, qu'ils sont rares... je
mentionne Gilles Auger, gagnant
du Concours de Besançon. « Oui,
nous avons l'intention d'engager
Gilles Augèr. »
Parmi les p r o j e t s dont elle me
fait part, Agnes Grossmann mentionne une « a n i m a t i o n », qui
précéderait chaque c o n c e r t . Elle
explique: « Cela p r e n d r a i t la forme de commentaires sur les oeuvres et les compositeurs; brefs
mais très bien faits, pour rapprocher la: musique et ses auteurs du
public;»
-
Du 2 3 au 3 1 j a n v i e r 1 9 8 8
Base météorologique radiométéo
Canada
Glissade (glissoire Lipton)
Patinage (bassin olympique et
lagunes) '
Promenades en traîneau
Ski de randonnée
Village Northern Telecom
Patinage 9 h à 21 h
Ski de randonnée 9h à 21 h
ACTIVITÉS QUOTIDIENNES
Samedi 2 3 janvier 1988
Envolées de montgolfières
71) à 151)
Activités continuelles 9h à 21h
Tours d'hélicoptères 10h à 161)
Vols captifs de montgolfières
10h a 10h
Atelier de deltaplane
ntiàlGI)
Démonstrations de cerfsvolants 121) à 101)
Démonstrations de
deltalplane 121) à 101)
Démonstrations d'avions
téléguidés 121)30 à 15h30
Saut de parachutistes 14h
m
LA FHTi; DKS Ni:icii;s
ACTIVITÉS QUOTIDIENNES
S a m e d i 23 janvier 1 9 8 8
D i m a n c h e 24 janvier 1 9 8 8
« Comme toujours, nous placerons les oeuvres très peu connues
avec des oeuvres très familières. »
Elle a de très sérieuses réserves
sur l'acoustique de la salle Maisonneuve. « Il est question d'installer soit une conque, pour projeter le son, soit un système de sonorisation nouveau qui permet,
parait-il, d'obtenir la même qualité de son partout dans la salle.
Bien sûr, la salle Claude-Champagne est la meilleure de Montréal,
mais son accès est difficile, surtout en hiver! »
-
ACTIVITÉS CONTINUELLES
Du 2 3 a u 31 janvier 1 9 8 8
Activités continuelles 9h à 21 h
Visite dos sculptures sur
neige 9h à 21h
Tours d'hélicoptères 10h à 16h
Activités pour personnes
handicapées
• hockey en luge 12h à 14h
• luge de vitesse 14h30à15h30
Démonstrations de conduite sur
glace Bell Canada 12h à 1Gh
Jeux d'hiver 12h à I6h
Animation ambulante 13h à 16h
Coloris-neige 13h à 16h
Maquilleurs ambulants
Esso 13hà16h
Dévoilement des gagnants du
concours Interprovincial de
sculpture sur neige 14h
Joute de curling; 14h à I5h30
Spectacle sur glace 14h et 16h
e
PARC MAISONNEUVE
ACTIVITÉS CONTINUELLES
Activités continuelles 9h à 21h
Concours interprovincial de
sculpture sur neige 9h à 21h
visite des sculptures
sur neige 9h à 21 h
Tours d'hélicoptères 10h à 16h
Démonstrations de conduite sur
glace Bell Canada 12h à 16h
Jeux d'hiver 12hà16h
• camping d'hiver, course au
trésor, curling, mini-golf sur
glace, patin à longue lame,
quilles sur glace, saut de barils,
ski de randonnée, tir
Activité pour personnes
handicapées
• ballon sur glace i 3 h à 14h
Animation ambulante 13h à 16h
Course de poneys sous-harnais
sur glace 13h à 16h
Maquilleurs ambulants
Esso 13h à I6h
Cérémonie douvertui
obuverture de La fête
des neiges par monsieur le
maire Jean Doré U n Radio Cité
lobe
Course de toboggans
Lipton 14h a 151)30
Spectacles sur glace 14h à 16h
Inauguration du château de glace
Northem Telecom 15h
Pour la saison p r o c h a i n e ,
Agnes Grossmann qui, pour l'instant, assure la préparation du
Choeur de l'OM, projette, quelues oeuvres chorales dont la
euxième Symphonie, le Lobgcsang («Chant de louange»), de
Mendelssohn, le Schicksalslied
(« Le Chant du destin »), de
Brahms, et les Quattro Pezzi sacri, de Verdi. Elle mentionne
également la version pour piano
et orchestre, de Liszt, de la Wanderer-Phantasie de Schubert, et
. un grand événement marquant le
double 175 anniversaire de la
naissance (en 1813) dè ces deux
grands de l'opéra, Verdi et Wagner.
m
En collaboration avec
Dimanche 24 janvier 1988
Confort au foyer
DU PLEIN-AIR SUR TOUTE LA VILLE!
VIEUX MONTREAL
ACTIVITÉS CONTINUELLES
Du 2 3 au 31 j a n v i e r 1 9 8 8
Exposition de photos et de collages
(Hall d'honneur de l'Hôtel de
ville) 8h30à16h
Concours de vitrines 9h à 21 h
Promenades en calèche (départ:
rue de la Commune) 9ha22h
Visite du parc historique national
Sir George-Etienne Cartier
(458. rue Notre-Dame est)
101) à I7h
Atelier de création des chandails de
La fête des neiges (Atelier
l'Empreinte 272, rue Saint-Paul
est) 10H30 à 17h
S a m e d i 23 janvier 1988
Activités continuelles
Animation ambulante
15h à 19h
D i m a n c h e 24 janvier 1 9 8 8
Activités continuelles
Parade des raquetteurs (départ:
Place Jacques Cartier) 9h30
Brunch dans les restaurants
111) à 151)
Crieur public
(à la sortie de l'église
Notre-Dame) 12li à 13h
Animation ambulante 13h à 17h
Concert d'époque
(parc historique national
Sir George-Etienne Cartier)
14h et 15h30
S e m a i n e du 2 5 an 2 9 janvier 1988
Activités continuelles
Concours mondial de sculpture sur
neige (place Jacques Cartier)
9hà21h
Programme scolaire 10h à 16h
Vote populaire du concours de
vitrines (boutique A la dérobée
— 34 rue St-Paul ouest)
101) à 171)
CLUB NAUTIQUE ET DE
PLEIN-AIR DE MONTREAL
RENSEIGNEMENTS: (514) 872.6093
S e m a i n e du 2 b au 2 9 winvier 1988
Ville de Montréal
Activités continuelles 9h à 21 h
Jeux d'hiver 9h30 à 14h
Programme scolaire 9h30 à 14h
Journée des aînés (28 janvier 1988)
tlhàlOh
Service des loisirs
et du développement
communautaire
crer
VIEUX-PORT
ACTIVITÉS CONTINUELLES
Du 2 3 au 31 j a n v i e r 1 9 8 8
Patinage 9h à 21 h
Glissade 9h à 21h
Ski de randonnée 9h à 21 h
Visite des sculptures sur neige
91) à 21h
Exposition de peintures
Amérindiennes 10h à 16h
Samedi 23 janvier 1988
Activités continuelles
D i m a n c h e 24 janvier 1 9 8 8
Activités continuelles
Journée de la raquette Radio Cité
9" à 2lh
Course de canots sur glace
14h à 161)
1
S e m a i n e du 2 5 a u
29 j a n v i e r 1 9 8 8
Activités continuelles 9h à 21 h
Programme scolaire 9h à 16h
COMPLEXE DESJARDINS
Samedi 2 3 janvier 1988
Anniversaire de Boule de neige
Cérémonie protocolaire du
jumelage de Bal de neige et
l a fête des neiges
111) à 12h
•
Lundi 2 5 et m a r d i 2 6 j a n v i e r 1 9 8 8
RADIO CITE
::£:::::::
efamvtitin
Si
CKAC3S73
L'Esprit de Montréal
Télévision
Quatre Saisons
Envolées de montgolfières
7h à 15h
Activités continuelles 9h à 21 h
Tours d'hélicoptères 10h à 16h
Vols captifs de montgolfières
1Gh a 161)
Atelier de deltaplane
111) à 161»
Démonstrations de cerfsvolants 12h à I6h
Démonstrations de
deltalplane 1 2 h à 1 6 h
Démonstrations d'aviohs
téléguidés 12h30 à 15h30
Le grand saut de deltaplane de la
tour du Stade olympique, -14h
980ckgm
Animation et exposition de
marionnettes géantes
11h à 151)
M e r c r e d i 2 7 et
jeudi 2 8 j a n v i e r 1 9 8 8
Matchs d'échecs sur échiquier
géant 111) à 16h
Simultanées avec Georges
Levtchook et Sylvain Barbeau
111) à I6h
Concours de solution tie problèmes
d'échecs 11 h à 16h
Kiosque d'information de la
Fédération québécoise des
échecs 11h à 16h
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E9
SPECTACLES
JOHN
rfMMON
ï
VENDREDI
29 JAN.
21 H 30
Q U B SODA 9 , 9 8 $
THE
JEFFHEALEY
BAND
SAM. 50 JAN. 21H 30- 5.98$
fMffl,
Vf
5240, avenue du parc inf. 270-7848
Billets au Club Soda et Ticketron
ORCHESTRE DE CHAMBRE McGILL
Chef dorchestre: Alexander Brott
À la découverte de 4 000 ans d'histoire
SUR LA CHINE
Photographies de Hiroji Kubota
Solistes:
FRANCO GULLI, violon
ENRICA CAVALLO, piano
Concerto pour violon et
piano: Chausson
Oeuvres de Rameau,
Yoon; Gllck
Lundi soir, 1er FEVRIER, 20 h 30
E3.
Quelques billets: $17 -$10
en vente à la Place des Arts
' La remarquable exposition d'un photographe japonais.
U n regard documentaire sur les mystères de la C h i n e ancienne et
sur les étonnants changements apportés par la récente
révolution culturelle.
Centre S aidyc Bronfman, Montréal.
' Du 27 janvier au 25 février 1988.
Vernissage le£7 janvier à 20 heures.
Invité d'honneur: Hiroji KuhotiL
L'exposition est organisée par The International
Center of Photography, et rendue possible par Fuji Photo Film
et.Mobil Corporation.
DU 23 AU 28 FÉVRIER - À LA PLACE DES ARTS LE?
f ^ T h é â t r e Maisonneuve
C T O Place des ArtS
"
L'itinéraire canadien de l'exposition a été rendu possible grâce à la générosité de
Pince des Arts
-
w.
Mobil Oil Canada, Ltd.
ECS!
Réservations téléphoniques:
5 1 4 2 8 88 --22552255F rFrais
ais d
dee service.
B i l l e t s à l a P.D.A. e t
a
a uuxx c o m p t o i r s T i c kk ce t r o n .
» « « juge!
Réservations (diaphoniques
514 8 4 2 2 1 1 2
Frais de sérvici
• it?
MARC DROUIN
G A G N A N T DE 3 FÉLIX
• Découverte dé l'année
• Metteur en scène de l'année
pour «Vis ta vinaigrette»
• Meilleur concepteur virléo '
pour «Remixez-moi»
tMïm
ISl
' mm*
sen IKL M
Hi.l
»5I
Une
présentation
de:
MOLSON
Commandes téléphoniques TELETRON ' 288-2525 Groupes 845-3535
LA PLUS IMPORTANTE COMÉDIE MUSICALE FRANCOPHONE JAMAIS PRÉSENTÉE AU QUÉBEC
NAPOLEON
943,000 spectateurs
ont acclamé cette SUPER-PRODUCTION en Europe
en collaboration avec
AIR
CANADA
1988
12-13-14-15
19-20-21-22
26-27-28-29
30$
35$
RADIO CITE
D
PRODUCTEUR T*,
JACQUES OUIMETTE
MAUDE INC
Produttnr d«l«ïue:
. Cl'YKOY
El
CKAcQz3
M mm
Mm
••••••••••• H
I n .
• ••*•••••*• 1 1 y i j H
• ••••••••••
wm^mrmm
LAIVIA
SERGE LAMA, CHRISTINE DELA ROCHE. DOZIER
ET 18 COMEDIENS - DANSEURS ET CHANTEURS QUÉBÉCOIS
Un spectacle conçu et réalisé par Jacques Rosny, Yves Gilbert et Serge Lama
Billets en vente aux guichets de la Place des Arts ainsi que dans tous les comptoirs Ticketron
PLACE DES ARTS
Salle Wilfrid-Pelletier Place des A r t s
VIVEZ
L'EVENEMENT
Réservations téléphoniques:
514 842 2112. Frais de service.
___J^it;vance de ] $
sur tout billet de plus de 7 $.
NAPOLEON
•
E 10
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 2 3 JANVIER 1 9 8 8
SPECTACLES
Performance
concluante
de Danièle Lorain
DENIS
en gros plan, et. une complainte
qui m'a donné envie d'aller la
1AVOIE
consoler, Ça servirait i quoi.
• Performance concluante. Danièle Lorain c o n f i r m e , à son
deuxième spectacle, le talent
qu'elle avait démontré à son premier show de chansons. Un peu
de retenue et une allure gavroche
en première partie, mais surtout
de bonnes chansons, humorist!*
ues de ton, et d'amour comme
e raison, dans ce spectacle Intitulé Vertfces.
Plus naturelle et sensible au retour de l'entracte, criarde avant
de devenir romantique et poétique, Danièle Lorain se singularise
surtout par la richesse des images
qui agrémentent ses chansons.
Musiques variées, tournures
qui font bien rire, sur des textes
ui ne manquent pas de contenu,
3
omme son Reggae Duvalier, une
?chanson
engagée, réactualisée
À l'heure de la promotion, les musées, à travers le monde, cherchent, au Salon international de la
tamment, pour leurs éditions d'art.
par la crise politique en ce pays
où les Québécois allaient traditionnellement se faire bronzer les
muséologie, un débouché, no- yeux fermés sur la misère.
Spectacle bien balancé, entre le
rire et les grincements de dents,
la satire des satyres et l'humour
de l'amour blessé ; mi-rock, mipop, ce show de Danièle Lorain
porte à rire, délibérément, de
propos pourtant tristes dans le
musées de science et des fonda- fond.
tions en tous genres. Coutellerie,
Bel habillage scénique fait dé
philatélie, toiles de Fernand Légrillages
métaliques et plastique
ger, meubles déco et holographies
cohabitent de même que bric-à- et de pièces d'autos. Bonne combrac et stands épurés. Le jeu de i ilicité des musiciens, en particuier pour l'interprétation de trois
«sélection du museum's digest*
n'a rien de facile. Il est malaisé de succès de l'époque yéyé: Loly
«condenser» la collection com- Pop, My Boyfriend is Back et Mr.
plexe d'un institution ou ses acti- Postman. Mise en scène serrée,
vités forcément éphémères com- trop encarcanante au départ; bien
me l'exposition par quelques ob- étudiée pour jouer avec les chanjets en une vitrine sur quelques sons. Un regard qu'on voudrait
pieds carrés. Certains s'en tirent
pourtant bien.
À retenir pêle-mêle et .forcément dans le désordre des expériences comme celles du Musée
français de Dole qui accroche
sans chronologie et ensemble toiles anciennes et oeuvres très contemporaines; le nouveau Mémorial de la Bataille de Normandie
ou « Musée de la Paix » ou celle du
Musée en herbe destiné aux enfants. Dans un autre esprit, la
nouvelle École du Patrimoine du
Musée du Louvre formera les muséologues de demain. Seuls 15 p.
cent de musées étrangers, presque
tous européens, étaient représentés. Pour sa prochaine édition
prévue en 1990 le SIME devra
mettre les bouchées doubles afin
de devenir le véritable événement
international auquel il aspire.
C'est la clef de son avenir.
300 musées s'exposent à Paris
RENÉ V I A U
collaboration spéciale
PARIS
• D'Ottawa à Québec, en passant
par Nimes ou Grenoble ou FrancTort ou Stuttgart... partout à travers le monde, les nouveaux musées poussent comme des champignons.
. Il n'est pas une ville du monde
qui ne tient à construire ou à consolider ses équipements museaux,
instrument de prestige, de promotion touristique ou de développement culturel. «Vedettes»
des années 80, ils sont plus de
2 0 0 0 musées à travers le monde
qui attirent de plus en plus de visiteurs. En France, on estime
qu'un Français sur trois les fréquentent et ta vjsite au musée représente la troisième destination
des sorties culturelles après le cinéma et la visite des grands monuments, totalisant 2 0 millions
d'entrées en 1985.
C'est donc en plein «boom»
muséal que s'est tenu, jusqu'à
mercredi, a Paris, le premier Salon international des musées et
des expositions — le SIME — regroupant en un même espace plus
de 300 musées, se présentant au
public en une centaine' de kiosques.
S'adressant tout autant aux
conservateurs qu'au grand public
amateur d'art, cette manifestation, unique au monde, vise tout
autant à mieux faire connaître les
musées aux quelque 4 0 0 0 0 visiteurs qu'à faire le point sur les
«années musées» actuelles. « A
l'heure où le monde des musées
vit une véritable révolution cultur e l l e , explique J e a n - F r a n ç o i s
Grunfeld, l'organisatur de ce Salon dont le budget dépasse le raillion de dollars, il fallait dépoussiérer l'image que l'on s'en fait
généralement.
Le musée, poursuit-il, en tant
qu'entreprise culturelle ne sait
>as, trop souvent, comment se
aire connaître.»
C h e v i l l e o u v r i è r e de c e t t e
transformation des musées, le
«nouveau» conservateur doit à
peu près tout faire. On lui demande d être un homme de culture et
de connaissance ; un chef d'entreprise ; un as du marketing et de la
gestion ; un homme de communication et de médias. H doit maîtriser dans une optique internationale, les problèmes traditionnels
de conservation et d'exposition
tout autant que l'informatique,
l'audiovisuel, les assurances, là
logistique des transports...
C'est aux besoins de ce «superconservateur» que tente de ré-
Ï
pondre le SIME. D'abord par ses
colloques faisant le bilan des initiatives en cours et confrontant
les expériences. Aussi en consacrant le tiers de son espace à environ 8 0 entreprises d'équipements
et services: sous-traitants; banque; gestionnaires de boutiques;
affichistes; imprimeurs; transporteurs; entreprises de sécurité
et de produits de conservation,
d'agencements; éclairagistes; encadreurs; informatique... Une
grande place est aussi accordée au
musée en tant qu'éditeur d'art. Ici
de nombreuses institutions museologiques dont le Metropolitan
Museum et le Musée d ' a r t
moderne de New York présentent leurs catalogues.
Véhicules d'échanges et d'information, les colloques, sur les
thèmes de «l'exposition» et de
«l'architecture du musée», ont
drainé les spécialistes, en Europe,
de ces questions.
Ce n'est pas à tous les jours que
l'on peut voir 300 musées en une
journée. La visite s'est avérée aussi passionnante que déroutante
tant les genres et lès provenances
se télescopent. Musées de réputation internationale ou au service
passionné de petites communautés ont comme voisins des kiosques d'explication de sites archéologiques; des écomusées; des
f
D'autres chansons ont été bien
applaudies, dont Adios, reprise
en rappel, Séduite et abandonnée, .Trouver quelqu'un et quelques autres qui ont un rythme accrocheur.
Entre le cynisme et l'amer, les
hommes n'ont pas le beau rôle
dans les chansons de Danièle Lo- '
rain, qui en dédie une à Jean-Paul
Belleau, Fais attention.
Très expressive et moqueuse, la
chanteuse livre en humour sentiments et passions qui autrement
feraient pleurer. Tranches de vie,
personnages caricaturés, elle se
rit d'elle-même, de nos habitudes,
de ce qui nous affecte.
Difficile de juger à une première rencontre de découverte d'une
chanteuse et de ses chansons. Difficile de faire preuve de son talent
du premier coup. Pourtant, de
chanson en chanson, j'ai applaudi sans effort la vibrante performance d'une artiste qui ne demande qu'à s'éclater.
Car avec le peu d'expérience*
qu'elle a, Danièle Lorain sait déjà
susciter de 6es réactions spontanés du public, qui ne peuvent
tromper, son verbe étant aussi accrocheur que ses mélodies. On reconnaît facilement'les caractères
et les sentiments qu'elle évoque,
on applaudi son réalisme, sa gestuelle calculée et sa sincérité.
VBTPCeS. 6t rautour-eompositcur-lntcrprtte DanlMe lonln, dans une mise en scene de
Denise Hllatrautt. scénographie et éclairages
d« Carole Caouette; avec: Nicolas Levac aux
daviers, Pierre tajoia a la basse, Denis Pouliot
a la batterie et Michelle Hamelin a la guitare
et a la direction musicale, sous la supervision
de André Cegnon. A l'Eskabel, jusqu'à demain
seulement.
Festival International d'Opéra
• présente
l'Opéra de Verdi
I
|
I
une production du Teatro Petruzzelli
De son début historique au Caire
A sa première éclatante à Montréal
lï* *"
"Un grand opéra à son meilleur"
"Une production d'un grand professionnalisme"
The Times, 26 sept.
I
Le jeudi 16 juin 1988
et le samedi 18 juin 1988
au Stade Olympique de Montréal
Supertramp
Prix des billets: 20 $, 30 $, 4 0 $ , 50 $, 7 0 $ , 9 0 $ , 100 $, 150$
I
^
1988
En vent» à tous les comptoirs Ticketron
et par téléphone (sendee Teletron) (514) 288-2525
et par telephone (semee Teletron) (514) 2 8 8 - 2 5 2 5
j
Les billets de Mécènes " O r " et "Argent" à 1000 $ et 500 $:
Festival International d'Opéra
2055 rue Peel
Suite 9 2 2
Montréal, Québec
H3C2H8
Tél.: (514)
845-7757
World
Migration
Live!
Jeudi U février 19b 50
Forum de Montréal
«Concert Bowl»
Billets;il, 50 J en vente aux guichets du
oirt Ticketron.
Forum et à tout les comptoirs
(• fruit ttr ttrvtctl
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 2 3 JANVIER 1988
SPECTACLES
APPRENDRE A COMPRENDRE LA PEINTURE
DISPENSE A PLUS DE500 PERSONNES DEPUIS 1982
Excellents billets disponibles pour toutes les représentations
^ ^ ^ ^
Ilriereste plus que
q u e l q u e s jours!
N e rriançjuèz'surtout.
pas «chats»!
Voici la possibilité de suivre
Nous étudierons aussi le marché de
un cours pour apprendre à mieux
l'art, dont, entre autres, la fiscalité et
comprendre, analyser et apprécier
les assurances.
les oeuvres d'art et ce, dans un
l a session débutera lefifévrier, pour
langage clair à l'aide d'exemples
une durée de huit semaines consécutives, soit les lundi, mardi ou mercredi,
pertinents.
de 19h à 22h15.
Il vise également à mieux vous faire
comprendre les différents langages et
Avec la participation d e M . Guy
tendances d e la peinture et l'évoluRobert et M . Robert Bernicr
tion de. celles-ci d u début du siècle a
nos jours.
D e plus, nous tracerons un parINSCRIPTION:
rallèle entre la peinture québécoise
Pour s'inscrire, il vous suffit
et canadienne, et les courants interde téléphoner.
nationaux.
BILLETS AU
THÉÂTRE ST DENIS
TICKETRON OU
TÉLÉTR.ON
288-2525
5
c ^
Illicntrc
••.
9
k
_ T
352, RUE ROY EST, MONTRÉAL, 8 4 9 - 5 0 4 9
^ B*'"
.
(entre Saint-Denis et Drolet)
1594 fui- S'-Denis
Reriseignemoms 849-421 r
Achats par carie de crr-rlii 288 2525
fil'IFt'HIS
T
lil Pn\
:.< il
":
523-8807
LES COURS APPRENDRE A COMPRENDRE LA PEINTURE
RACK)
CITE
•••••••••••
•••••••••••
•••••••••••
•••••••••••
PRESENTENT
TOÎUJ CURTIS
Mm
•••••••••••
LE T O U T N O U V E A U S P E C T A C L E DE
PATRICK NORMAN
LESLEÏI nnn M R E I I
mm
flu cintmfl QUATRE sflisons
:
Vi>:'*'.'.' v;'
.-.•..••.•••Al>.'.
LES COULISSES
D U SPECTACLE
(Portrait Of A Showgirl)
Une jeune danseuse
se fait des amis
et des ennemis
dans le monde du
spectacle de LAS VEGAS.
-LE CINÉMA QUATRE SAISONS
CE SOIR
L E S 4, 5 E T 6 FEVRIER
20 h
H i
O
FÉLIX
. MOLSONs INTERPRÈTE
MASCULIN
FEUX:
MICROSILLON
LE PLUS
VENDU
EN SUPPLÉMENTAIRES LES 1 1 , 1 2 ET 13 FÉVRIER
MONTRÉAL
Réseau
SUPER CABLE
Télévision
Quatre Saisons 3 5 5
CFJ -TV
CFAP-TV CFKS-TV CFKM-TV CFGS-TV
çjjBgj
m m
SU»
3
nouni
GRANDIT
ENSEMBLE
TELE-TRON ACHAT PAR CARTE DE CREDIT: 288-2525
18
GROUPES: 845-3535
/HEM
les piotfuctons
Cmùm
D~
Le
E
CO
J.
MOWN, Dl CESARE MANAGEMENT INC.
M PT
E*
portage m
VENEZ DANSER!
Du mardi au samedi, notre
orchestre
interprète les plus récents succès.
IBONAVENTURE HILTON 878-2332]
I
• ••
AnGLals
Cens
2
3
6
1
9
7
i
THEATRE
4RI.EQIJIN
MCIflO
1004^est, Ste-Catherine 288-4261
BERR.
Une
'
production
de
" ~ VJW*>?§
1
4
10
13
5
23
8
21
16
20
17
18
27
15
22
29
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
21
25
11
33
30
22
23
24
25
14
12
36
19
26
27
28
29
35 30
Got My Mind Set On You, > George Harrison
Michael Jackson
The Way You Make Me Feel
Inxs
Need You Tonightl'MII'llllll
Pop Goes the World.
Men Without Hats
Crazy.
VniitmiiiiiiitiiliiiiniiiiiinttimiMiiin Icehouse
Is This Love.. lllllllll I Illlllll.l Whitesnake
So Emotional I It I • M • I •• • M I I il II II1IIIIM. I Whitney Houston
M/A/R/R/S
Pump Up the Volume
Heart
There's the GirL,
Cherry Bomb.................................. John Cougar Mellencamp
Candle in the Wind Ml. I.. I. I I.... I.... I... Elton John
Faith..
iiinit.tiii.t.niiiiitiiiii.im.iiiiiiiimi George Michael
When a Man Loves a Woman....... Luba
Twilight World.-.-....-...
Swing Out Sister
Tell It to My Heart
• t •••••'••ut Taylor Dayne
Valerie
Steve Winwood
Never Let Me Down Again
Dépêche Mode
Hazy Shade of Winter.....
Bangles
In God's Country
U2
Crying Out Loud For Love
.The Box
.... Pet Shop Boys
What Have I Done
Foreigner
to Deserve This
...Pretty Poison
Say You Will
Paul Carrack
Catch Me (I'm Falling)....Don't Shed A Tear.
Prince
I Could Never Take the Place
Sting
of Your Man
....New Order
We'll Be Together.
..Bruce Springsteen
True Faith
Tunnel of Love
(I've Had) the Time of My Life
Bill Medley &
Jennifer Wames
1 Need A Man
Eurythmies
1
4
5
6
7
8
3
2
11
13
2.
3
4
5
6
7
8
9
10
Pourquoi? (Si difficile
de s'aimer),
I
I
I
I
.
M
I
M
I
M
M
I
I
I
I
I
I
I
IMarie-Denis* Pelletier
Nuance
Et moi qui croyais
C'est l'amour. MM t M M lit "U.IIMIIIIILeopold Nord et Vous
Ange ou Démon III • • • I II
I.—.Belgazou
•t.i
Claude Dubois
Tu peux pas
IIHIIIIIIIIII
Pierre Bertrand
Espérance
Julien Clerc
Hélène....
Daniel Lavoie
La Nuit se lève..;i
Bogart
En cas d'urgence
Volt
Nobody Knows
SBIÏEZle Découle (rasles tomto de 10 h à 12 h aval
el coatz btinicede otper on Hom jes Rifle enhsil n [fentn CXOI.
m
m
FUN:
Qu'ont en commun Dolly
Parton et la Reine Victoria?
"m m m "
m m m
m
•••••• **
mm»
-mt
m m m ••»
:•»
»
"
•_• —
•>x •••••• •••••• :
mm"'
-
Wtî
» >
mW
m m m
m m m
2
LA PRESSE, MONTREAL, SAMEOI 23 JANVIER 1988
E12
SPECTACLES
DERNIER SPECTMlEu
ô
\ :
B6I-58SI
J I 8 H I CATMIHINE O
O l l U I S A U S H I C I R U M I ' M(.K[t«ON
CONCERT MOZART
ORCHESTRE DE CHAMBRE McGILL
Chel d'orchestre: ALEXANDER BROTT
Soliste: LUDWIG SEMERJIAN, piano
Symphonie no 40 en sol mineur, K. 550
Concerto pour piano no 25 en do K. 503
LUNDI SOIR, 8 FÉVRIER, 20 h 30
Billets: 825 — $15
en vente au guichet de la Place des
Arts à partir du 21 décembre
Ç\
T h é â t r e Maisonneuve
C T O Place dos. Arts
V
''
,
,
,
Ml !SUFVilllcllis'il Jl' |lliMli:i|lli' S
•jll 84? 211?
I unad u SOIVICC
Rodi.'v;iiu:o de; 1 5
sut (OUI billet île plus dé /
'
L OPERA
DE MONTRÉAL
mettant en vedette :
Claude Corbeil et
Marie-Danicllo Parent
présenta:
accompagné par :
rosM
at:
Le choeur
de l'Opéra
de Montréal
Les 16,20.26
et 27 février
et2,8et7
mare 198a
20 heures précises
R
M
nFlteZ .
47,25 1 . 4 1 , 0 0 «
20,75 S • 10,25 S
Drectcurartistique:
Jean-Paul Jeannette
1
4
s
o
t
Chel d'orchestre:
Jean F o u r n i t
Mise en scène:
Daniel Roussel
Chorégraphie:
Son in Del Rio
Decors:
Marcol Dauphinois
Costumes:
François St-Aubin
fil.cM'l'",
Claude Accola*
Assistant chel d'orchestre:
Brian Law
Avec:
Kathleen Kutilmann
Antonio O r d o n a i
Lys* Guérln
Gnbriollrj Lnvigno
Phillip E n *
Grégoire Logcndro
ErikOland
Robert Mac La ran
RADIO
Cette production
est presentee grace
è la collaboration
de la Dnnquo N a t i o n a l *
et d'Air Canada.
K>J>
Lot compagnies suivantes ont contribué
b la présentation d'uno soirée d'opéra:
16 février Banque N a t i o n a l * — A i r Canada
70 lévrier Nabisco B r a n d * l t é *
25 février S u n U f a d u C a n a d a
27 février Rot h m . n i , Ban son & H e d g e * Inc.
2 mars
Fédération des calme»
populaires D * * i a r d m a de
Montréal *t de l'Ouest-du-Quéeac
5 mars
Banque Poy a la
7 mars
Trust Général d u Canada
Salle W i l f r i d Pelletiet
' ' Placé des ^ t v .
Pour
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
Ë 13
SPECTACLES
A
•StM
DE R E T O U R . . . L E S INK S P O T S de réputation mondiale
cAemmim
U
B
A
«Pour faire surgir nos plus
beaux souvenirs»
— Starring the Ink Spots
Mardi,
mtrcrtd'i
26,27, JAN,
20h
DIRECTEMENT
DE NEW YORK
RÉSERVATIONS:
731-7771
731-9*83
Ladiscothtquese
poursuivnii—'
le spectacle.
MOREL Aux couleurs du ciel
(Première mondiale)
BACH Concerto pour piano no 3,
en ré majeur. BWV 1054
Charles Dutoit, chef
Cypritn Katsaris, piano
Commanditaires:
26. Produit» Shell Canada Ltéo
27,|QMC8nodaLtte
Sur scène
du mercredi
au samedi
10 au 13 février
I
JEUm?8JAN. 2UH
Un*
8d SJSI
Sri CAlHIkint 0
OlUlli AU iCtllfc UM I I IICrtIllON
LISZT Fantaisie hongroise
-SPECTACLE TOUS LES SOIRS
/Wrier servi à partir de 1«h30 - Representation: 8M5
FORFAIT OiN EH-SPECTACIE
f ' joudi et vend. 3SS - taxes plus pourboire
. Tierc.
Option spectacle seulement offerte tous les soirs
12$ plus minimum 2 consommations
PRESENTATION SUPPLEMENTAIRE samedi è 23 heures
JANACEK Tarass Boulba
SI disponibles. 100 billets seront vendus
à 6 1 une heure avant I* eoccert
Billets: 29$, 21$, 15$ et 10$
Sali» WHf rid-PelletiVr
Place des Arts
m t t
7389 boul. Décarie
• 7 3 1 - 7 7 7 1
Reservations teUphoniquos:
514 CA2 2112 Frais de service.
Redevance de 1$ sur tout billet de plus de 7$.
ll^MIOKC'MI-'S'rKI-'SVNII^IHJNK^l I
k . W J M i n i l ( ; l
MONTRLA1. « i Ï\ÏÛJ sITûiTT
;
McGiir
présente
L'ATELIER D'OPÉRA DE McGILL
COMMUNICATION GLOBALE présente
B E A C H
P A R T Y
À tout les dimanche
4 compter de
direction: Edith Delia Pergola
présenta
Une comédie
Extraits d'opéni tires sur les
oeuvres de :
musicale de
Dimanche; le 24 janvier
14h à 22h
FRIEDRICH SCHILLER
& SIR WALTER SCOTT
Jean Blanchette
orateur/accompagnateur
PAUL STEWART
> DIMANCHE 24 JANVIER i 20 H
Pour adolescents seulement
(12 a 17 ans)
Prix d'enîré*! S5/perso»B«
Salle de concert Pollack
SSS, r u t Sherbrooke ouest
Entrée
1234 de la Montagne,
libre
-
m
Montreal, Que. (514)3*7-1711
«
C
H
A
R
L
E
S
EN COLLABORATION AVEC
m e t l a n l cri VJMIIMIO
France Castel
•
JEAN m AN( MU Tl
rV\uttoùi i n M cm'
SLlty Wll I I A M S
: Chanson", angloises
ri bonde son orb
LUC LAI R A N C I :
'AdnpUthoii ul
^
^/aMs^B
Avec: ..
LEO MUNGER • RICHARD L A L A N C U î t .
Daniel Làflèch*.' • Richujd Lobbé
Catherine Lev or * René Daveluy
Dahîèlc Lalor.idt'('.Marin ÇlninK' Oubcou
OHJ.tR Sf'ECIACLE ;Du mord, uu samedi mcl. o 19h
SPECTACLE COCKTAIL k l > s a m e d i a 2 3 H 30
trijinsoiu françaises'
RENE D A V E I U Y
MUflC
RM1
LE NOUVEL HÔTEL
7-<lCvL>aule
stL'i ouest. Montiéol
RESERVATIONS:
9 3 1 - 8 8 4 1
A f f i l i e a LE N O U V E L H O T E L S.CVAI I N C .
Théâtre Maisonneuve
CTO Placeries A f -
. H42 '/ 1 1 2 l'.i
une présentation
28
Kentucky
9 au 2 0 FÉVRIER
THEATRE ST-DENIS
1594 RUE ST-DENIS Ë2JBERRI RENSEIGNEMENTS:849-4211
BILLETS EN VENTE AU THEATRE ST-DENIS 12H A21H ET AUX COMPTOIRS ®TïttETWJN*
tj^TtU-TWJN"ACHATS PAR CARTE DE CREDIT; 288-2525
fc^
GROUPES) 845-3535
ELlNE PION
CKAC5É73
APRES 15 ANS D'ABSENCE
RETROUVEZ-LA, LE JEUD117 MARS À 20H
n
U
Salle Wilfrid-Pelletier
U place des A n s
Mf .'•< ,ti. ins 't"ypliontii
I 8 4 2 :*112
tint production d«
E 14
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
CHANSON
J'cours les concours...
La loterie des aspirants à la gloire
croyaient que les producteurs
leur apporterait des chansons»,
rappelle l'attachée de presse Thérèse David, impliquée dans plusieurs de ces concours. Des jeunes
s'imaginent en effet qu'il ne s'agit
que d avoir du talent...
«J'ai enregistré une chanson
sous un nom d'emprunt pour vérifier, voir comment ça se passe
pour un nouvel artiste qui veut
faire un disque. Ça va me permettre de mieux conseiller les jeunes,
qui rêvent en couleur.», de dire
Gilles Gariépy, responsable du
concours l'Empire des futures
stars.
C'est que les organisateurs de
concours jouent un rôle déterminant dans le développement du
talent des apprentis artistes. «Ils
attendent beaucoup de commentaires», précise Gérard Lambert
du concours Rock-Envol. Il arrive
même qu'on doive materner ces
jeunes, insécures et inexpérimentés, souvent & leur première présence sur scène. O n leur procuré
aussi un soutien technique, etc.
LAW
vec des prix
A
qui vont jusqu'à $
un
100 000,
contrat de disque,
des
engagements
pour faire des
spectacles, une expérience de scène
ou de télévision, les conseils d'experts, etc.; les jeunes talents de la
relève sont gâtés par les nombreux concours auxquels ils peuvent participer. .
La cuvée 1988 des candidats à
la gloire va être bientôt brassée:
c'est en effet en février et en mars
que débutent les étapes préliminaires de sélection prévues par les
différentes organisations dont il
est question ici.
Intéressant : c'est souvent par la
voie de concours que des c l i a n -
$100000
Avec des prix de $100 000 pour
chacun de ses deux grands ga-
The Box
gnants, le nouveau concours Musicart de Télé-Métropole est sans
contredit le plus attirant. C'est
plus que ce dont peut disposer
une vedette pour enregistrer un
microsillon. Et c'est à cette fin
que doit servir ce prix. S'ajoute
rexpérience télévisuelle avec tout
le support de l'équipe de produc- I
tion.
Même le deuxième prix offert à
ce concours est supérieur aux premiers prix des autres concours,
soit $35 000 pour réaliser un 45
tours. Le troisième prix est une
bourse de $5 000. Quand on pense que c'est avec une... chanson
qu'on peut gagner tout ça! Une
telle générosité effraie presque.
Le Festival de la chanson de
Cranby compte offrir aussi des
rix plus intéressants, jusqu'à
25 000 au total, avec en plus de
l'équipement, une série de spectacles et un encadrement. Ce con- j
cours, qui célébrera cette année
son vingtième anniversaire, se
veut aussi une-véritable école de
formation pour ses finalistes. Et .
dès les auditions, les conçurent*
bénéficient de précieux conseils, '.j
5
teurs et chanteuses ont fait leur se disputent le privilège de découdébut. Les prix n'ont quand vrir les « futures stars», c'est devemême jamais été aussi alléchants. nu le canal privilégié de ceux qui
Un Fernand Giganac ou une Gi- aspirent à une carrière dans la
nette Reno, à l'époque, se conten- chanson.
taient d'une montre-bracelet
Les prix offerts sont alléchants,
comme grand prix!
et au lendemain du concours, le
Les gagnants de ces concours gagnant bénéficie souvent d'une
ne deviennent pas tous des vedet- large couverture de presse, d'aptes, et quand cela est, ce n'est pas paritions à la télévision. Mais
du jour au lendemain. C'est pour- c'est loin du succès espéré. Il aura
t a n t ce dont.rêvent beaucoup de
beaucoup à travailler encore. Ça
jeunes qui participent aux con- peut facilement prendre trois ans
cours pour amateurs, nous ont avant de percer, comme l'a expéprécisé les organisateurs de con- rimenté Marie-Denise Pelletier.
cours de chansons et de groupes, Et les gagnants des concours de
rencontrés par La Presse.
l'an dernier sont encore à se préparer à enregistrer leur premier
Les espoirs sont grands, car des disque.
carrières artistiques on ne retient
que les succès. Et ça semble si faDéception ? Il y en a qui décrocile, et si payant. Mais «les ga- chent après avoir remporté un
gnants d'un concours ne sont pas premier prix, signale Ulric Breautomatiquement prêts à enregis- ton du Festival de la chanson de
trer un disque. Et les producteurs G run by. D'autres verront s'ouont souvent des projets à réaliser vrir une carrière, sans être sortis
pour une année à l'avance », si- gagnants. D'autres encore reviengnale le producteur de disque Mi- dront l'année suivante en espéchel Bélanger. Il a «signé» des ga- rant mieux faire. Très peu congnants de concours, mais cherché naîtront le succès au lendemain
aussi ailleurs de nouveaux ta- de leur participation à un conlents.
cours.
«Il y a cinq ans, les jeunes qui
Comme les concours se multiplient depuis quelques années, et participaient à des concours Spa Romance
Marie-Denise Pelletier
o re
JEAN Me EWEN
Ii c
Beethoven
Scriabine
Ravel
LA PROFONDEUR DE LA COULEUR
DU 11 DÉCEMBRE 1987 AU 24 JANVIER 1988
OS M
présente
En association avec le Concouru
international de Musique
de Montréal
V e n d r e d i , 1? fev. 2ûh
Billets:32S. 24S et
on vente au guichet de la Place des Arts
h
Piano
Ci S.U. WllfrM-Ptltallw
OwPlaçadoArta .
Rasefvatiorts tétéptiomqura;
b l l 842 2112 rrj-s du cu»'Ci>,
Redevance do 1S sur tout • •
billet do plus do 7$.
Votre barbecue
a-t-il pris froid?
Le nôtre est toujours
MIROIR SANS IMAGE: TOUT REFLECHI
Des couleurs chatoyantes. L'opacité et la transparence des couleurs, du fond
à la surface. Brillance! Jean Me Ewen les peint à pleines mains.
Découvrez ce peintre poète grâce au Musée des beaux-arts de Montréal qui
vous ouvre la peinture abstraite. Rêvez!
Plus de la moitié des oeuvres présentées proviennent de collections privées
nord-américaines. Du jamais vu! Une première rétrospective.
Catalogue, affiche autographiée par l'artiste, audioguide, visites commentées
amicales.
Exposition
commanditer
par le Comité bénévole du Musée
Billets en vente au Musée — droits d'entrée habituels
Du mardi au dimanche, de 10 h à 17 h — le Musée est fermé le lundi
TABLE RONDE SUR LART CANADIEN DES ANNÉES 50
Le dimanche 24 janvier 1988, à 13 h 30
Auditorium Maxwell-Cummings du Musée — entrée libre
MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL
1379, rue Sherbrooke Ouest (métro Guy) (51-i) 285-1600
Visites commentées
de l'exposition Jean Me Ewen
ou de la collection permanente
Tournée du dimanche, à 13 h 30
Mercredi-Musée, à 11 h 30
Pause-Musée, jeudi à 12 h 15
Sans réservations
Lieu de rencontre: Accueil du Musée
Droits d'entrée au Musée
Viens visiter mon Musée
Une série de trois ateliers où
les jeunes préparent une visite
commentée pour leurs parents
Dimanches, 7,14 et 21 février 1988
De 10 h 30 à 12 h
Réservations : •
285-1600, poste 136
Droits d'entrée habituels du Musée
Table ronde — Dimanche à 13 h 30
La peinture cenadienne des années 50
Conjoncture et enjeux critiques
Animée par Constance Naubert-Riser
Participants : Serge Guilbaut,
François-Marc Gagnon, Marie Carani
et John O'Brian
Auditorium Maxwell-Cummings
Entrée libre
Chaud comme une belle journée d'été sur le patio.
Sur notre gril grésillent du bon pouletjuteux, de belles
grosses crevettes, du bifteck savoureux et de petites côtes de
dos bien tendres. Les délices de l'été cuits juste à point et servis
avec notre sauce barbecue maison, dù bon pain chaud, les
soixante régals de notre table de crudités, du riz, un légume et
une tarte aux pommes.
Allez! Sortez vous régaler chez la Mère Tucker. Nous vous
offrons la chaleur de l'été a prix très raisonnables.
Du lundi au jeudi, pendant une période limitée.
POULET BARBECUE
BIFTECK DE SURLONGE ou
BROCHETTE DE CREVETTES
BARBECUE
CÔTES DE DOS ou
POULET ET CÔTES
BARBECUE
1095$ ]295$
Chez la Mère
TUCKER© déO***Rosbif • Fruits de Mer • Grillades
CENTRE-VILLE: 1175, place du Frère André 866-5525
ST-LAURENT: 6971, chemin Côtc-dc-Liosso 737-0092
(à 5 min. de Décade, sortie Hlckmor»)
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E15
CHANSON
Les prix sont alléchants.
Au lendemain du concours,
le gagnant bénéficie souvent
d'une large couverture
de presse,
d'apparitions à la télévision.
Mais c'est loin
du succès espéré.
Il aura à travailler
beaucoup encore.
Ça peut facilement prendre
trois ans avant de percer,
comme l'a expérimenté
Marie-Denise Pelletier
U s différents prix offerts par
ce concours peuvent paraître dérisoires, mais la réputation de
l'événement et la qualité des services fournies comptent pour
beaucoup. De plus, quelques vedettes d'aujourd'hui y ont fait
leurs premières armes, y ont obtenu leur première reconnaissance.
Lès prix offerts sont ceux des
meilleurs auteur-cornpositeur-in-
térprète et interprète. Il y a aussi
des prix du public, de la presse, et
de la meilleure chanson. '
' Le grand prix du concours
Rock Envol de R a d i o - C a n a d a est
de $ 5 000 pour la réalisation d'un
microsillon. Le groupe rock francophone qui 1 emportera, cette
a n n é e , devrait aussi être invité à
présenter un spectacle en Europe.
Ljbs concurents se produisent au
Spectrum, dans un spectacle auquel participeront le groupe Paparazzi et Michel Rivard. le tout
étant radiodiffusé au AM de Radio-Canada le dimanche suivant.
Et les 16 participants repartent
avec cet enregistrement de leur
performance. ' On a encore jusqu'au 14 février pour s'y inscrire.
Insistant sur le texte, ce concours offre également un prix de
$500 au meilleur texte de chanson.
;
V Empire des futures stars de
CKOI-FM offre un contrat de six
mois avec une maison de disque
et la réalisation d'un 45 tours, au
groupe gagnant. Les trois autres
-finalistes aussi auront la possibilité de travailler avec une maison
de disques. S'ajoute un soutien
promotionnel. Les concurents
ont surtout l'occasion de se produire au Club Soda, où on retrouvera souvent des producteurs de
malsons de disques.
Le premier prix du concours de
Pop Express est dé $ 50 000 pour
LES GRANDS EXPLORATEURS
% SPECTACLE
rY>3
M'y"
la réalisation d'un 45 tours et
d'un v i d e o c l i p . Les groupes participants bénéficient par ailleurs de
huit heures de travail en studio.
Leur participation entraine une
apparition à la télévision, expérience non négligeable.
Pour le concours du Festival de
la chanson de Cranby, les concurents (auteurs-compositeursinterprètes, ou simplement interprètes) disposent encore de beaucoup de temps pour se préparer.
Ils peuvent s'informer dans les
stations de Radio-Canada & travers le pays. Les nouvelles condiConditions
Le concours Rock-Envol de Ra- tions d'admisssion (ouverture
dio-Canada s'adresse aux groupes aux duos) seront dévoilées en
dé rock, qui chantent en français. mars.
Les préliminaires du concours
Il ne faut pas être lié h un producteur ou une compagnie de dis- ont lieu à la mi-septembre et le
ques. On doit faire parvenir une gala des finalistes le 1er octobre.
cassette ou ruban pouvant conte- On peut s'inscrire en tout temps à
nir jusqu'à trois chansons origi- l'adresse suivante: Festival de la
nales. On a jusqu'au 14 février chanson de Granby, Granby
(Québec), C P . 41,12G8E2.
pour s'inscrire.
II est trop tard pour s'inscrire
L'adresse: Concours Rock-En- cette année au concours VEmpire
vol, a/s M. Gérard Lambert, So- des futures stars de CKOI-FM.
ciété Radio-Canada, 13 étage, Les inscriptions prenaient fin le 9
1400 boulevard Dorchester Est, janvier. Les conditions d'admisMontréal (Québec) H2L 2M2. sion : former un groupe de musiTel: 285-2954.
que populaire et présenter six
e
RECRÉER L'HISTOIRE DE SA VIE
Formation
t*r h journal intime intensif (risgtfr)
au Centre de santé d'Eattman
(514) 297-3009
avec Dénie* Neveu: 2734302
.
en
. psychopolanle
D é b u t : 2 9 iO • 3 1
janvier
Atelier
. Apprendre a s aimer
Fin d e s e m a i n e clos
6 • 7' f e v n e r '
ou 7 mercredis
D e b u t : 2 7 lanvier
;
525-7255
Rebirth
k
29
4
IBANÛUE
I NATIONALE
3 0 • 31 janvier
TAROT PSYCHOLOGIQUE
25 janvier
au 6 février
H'VVtHSITl
FOFLLAIHC
INITIATION
lès mardis du 9 février au
8 mars de 19 h à 22 h
DES CARAÏBES
À IJOCÉAN INDIEN
Les îles Créoles
(métro Sherbrooke)
DENISE
NEVEU
273-0302
wislink'.
ANTIGYMNASTIQUE
- i Ti-i
[^•ro
•niEMJIN
Iqjj
11)04 est. Stè-Calhurirïè l!8B-42b1
w**.'
Guichtli Ouverts ue* initli
Commands ie j j r i tarte te
credit 2m «t>1 dt l t à a lot.
" Lumploir HCuMHUN
• SEUAIHC
(MÉTHODE BERTHERAT)
Ces mouvements aeoegent les tentions musculaires, améliorent la posture et apportent
de la detente.
:
SESSION HIVER 88
•JEU VEN :>«.' nfc'gMK
"Les nui de sreqev * r peurenl Mit* précises lors •>. commande* lei
• Séance de jour ou de'soir
• Groupes limités à 6 eertonnei
Sol roes d'information pratuiio
25,26 et 27 janvier é IB r> 30
Acnsaignomonte
«t Inscription:
Une soirée inoubliable
dans un monde
d'illusion.
supplimànuires
Jotiarme Mireaurt, pratittem» ttijri.
YOG
Vk pmàm i compter du l^fév.
Y O G A
MÉDITATION
1 coure de 1 h 30
par sem.
(Métro Lourfer,
sortit sud)
C O R P . L'AUMISME
' (sans hut lucratif)
Un spcrutaclti qui voua transportera
, dans ii' duntntliu de, l'iniiiiissilile
598-5282 ou 381-8178
Peur l'énergie, le vitalité sexuelle et le soulagement de le tension et le douleur
«Portez des vêtements légers et confortables»
EDOUARD FANABERIA, instructeur senior de Shiatsu a dirigé,
depuis 1976, des centaines de séminaires aux Etats-Unis et au
Québec. Son travail et sa bio se retrouvent dans le livre
«LE FUTURE VÉCU»,
__«.
Editions de Mortagne 79. Prix spécialement réduit pour tous: 7 5 *
Démonstration libre le 6 février de 12 h à 13 h
à l'hôtel Lord Berri, salle Laf arrière,
1199, rue Berri — métro Berri-UQAM
Centre d e s Arts d e là Santé: 842-9119
L'ENSEMBLE NATIONAL D E FOLKLORE
ÉCOLE DE DANSE
Session Hiver 1988
ADULTES:
• Danse québécoise
• Danse internationale
• Gigue: niveaux I , II, III, IV
ENFANTS:
• Danse québécoise
et internationale
• Gigue: niveaux I , II
Début des cours: Mardi, le 26 janvier 1988
Inscriptions: du lundi au vendredi, de 9h à 17h
VOUS P O U V E Z V O U S INSCRIRE
DÈS MAINTENANT A U 274-5655
6560, rue Chambord, Montréal H2G 3B9 (Métro Bcaublcn)
LES FEMMES QUI AIMENT TROP
BILLETS MAR S MER. $1150ft850 / JEU
S1350ft1050 / VEN.. SAM.ftDIM. 11550
Conférence de Frédéric-André Hurteau
Mardi 26 Janvier i 19h30 au Holiday Inn Richelieu
& V 2 . S 0 i t F I U l S DE SERVICE)
EN VENTE AU GUICHET OU THEATRE
OUTREMONT. A TOUS LES
COMPTOIRS TICKETRON OU PAR
TÉLÉTROH AU 2M-2525.
(salon Hocbelsos)
SOS, rue Sherbrooke Cat (métra shwtrooew)
Ren..: 383-6550
ensemble
vocal
TUDOR
de montréal
LISE B E R N A R D
UN SPORT DOUX, UNE ACTIVITÉ COMPLETE
(Court de conditionnement physique m piscine)
NOUVEAUTÉ: HrnHBitf »s» « HeifcW. Wtliieti IrtMéMll issenm Htm es 0àm
BIENVENUE AUX NAGEURS AINSI QU'AUX NON-NAGEURS
Piscina aux 4 coin* de la villa
Intimation et Inscription583-6352,845-8255
Patrick Wedd,
Directeur artistique
Billets disponibles chez TICKETRON ou TELETRON (2&B-2525)
avec carte de crédit (Irais de service pour les deux) et au guichet
TUDOR: 932-3376
Atelier poor débutants I n samedi 6 et dimanche 7 février de 13 h à 17 H 30
Session: sem.
du 1er février
f|fe,
ANS D'EXCELLENCE!
"L'ÉBLOUISSANTE" SAISON 1987-88
PRÉSENTE:
BRUCE CLAUSEN, guitariste
Oeuvres de: Castelnuovo-Tedesco, Canteloube, Ravel
CREATION MONDIALE d'une nouvelle oeuvre de
Peter Berrlng "Quatre Chants d'Amour" pour
guitare d e Jazz et ensemble vocal
l e jeudi 4 février 1988 à 20h00
Salle de Concert Pollack (555 Sherbrooke ouest)
$15/88 étudiants et â g e d'or
Apprenez le S H I A T S U
279-3545
8 semaines: 50$
Jeu. 28 Jan. au Dim. 7 Fév.-20h00
Théâtre Outremont
Ç
II faut mettre du temps et du
travail, pour se lancer dans une
carrière après avoir remporté un
concours. Il est en effet exceptionnel que les artistes soient fin
prêts. C'était le cas pour le groupe
The Box, qui n'a pourtant pas
remporté de prix, mais retenu
l'attention d'un producteur.
Des gagnants comme Luc DeLarochelière et Jacques Gautreau
sont encore à se préparer.
D'autres comme Jean leloup sont
à enregistrer un premier disque,
trois ans après sa participation à
un concours.
Et parfois on change de direction en cours de route. Ainsi
Maude est-elle devenue chanteuse soliste après avoir remporté
YEmpire des futures stars avec le
groupe Spa Romance.
Certains artistes ont participé à
plus d'un concours avant de percer comme Marie-Denise Pelletier.
SIVANANDA YOGA
CENTRE VEDANTA
MfTM
W
chansons originales, dont au
moins trois en français. Il faut
aussi bien sûr ne pas être sous
contrat. On peut s'informer aux
organisateurs Gilles Gariépy ou
Robert Trépanier, a CKOI-FM en
téléphonant à 766-2311 ou 7662474.
Les concours Musicart et Pop
Express (ce dernier pour les
-oupes anglais ou français) de
élé-Métropole sont déjà en
cours. Mais on peut déjà se préparer pour l'an prochain. Pour Musicart, on ne demande qu'une
chanson originale pour participer. Mais d'autres exigences, souvent identiques aux autres concours, sont requises. 11 y a eu 300
inscriptions à Musicart. On en a
retenu 64 divisés entre les deux
catégories: ballade et chanson
rythmée. Ce concours s'adresse
aux compositeurs-interprètes. On
peut s'informer de ces deux concours auprès de Télé-Métropole.
Cours spéciaux
pour débutants
MOISSON
ReveePI
\
Renseignements et réservation: • SHIATSU • SHIATZEN
POUR DÉTENTE ET SANTÉ
(514)254-3255
Z E M O N D E _2iL-
v
Les trois bonzes des concours québécois: Gérard Lambert (Rock Envol); Ulrlc Berton (Festival de la chanson de Cranby); Cilles
Cariépv (Empira des futures stars).
29-30-31 janvier
»
:
COURS DE
RADIOTÉLÉVISION
•INSTITUT
ROI. A N D F
FORMAI
PIRU-
Pcut-itre détirei-voui réorienter votre
vte et entrer dsns l'untven de U radio-television...
En février p r o c h a i n débutera a Montréal
U première session du court d'annonceur
radio-télévision. Il t'awt d'un cours du
tâlr de 8 semaines qui permet SU candidat de se familiariser avec le travail au
micro, le studio, l'animation, les interv i e w s , la narration, l'improvisation et Is
caméra.
ROLANDE PERRÛ. directrice de «'Institut Format» possède une vstte experience de la radio-télévision et une
grande connaissance de ce milieu ayant
été speakrine à Radio-Canada pendant 9
ans et animatrice télévision de I960 a
J964: ROLANDE est fiére de constater
ue certains candidats des stages préeéems sont déjà * l'emploi de stations professionnelles.
3
L
AUCUN PRÉREQUIS
KWOBOBm tOUNK rOBO. UMai(9t.17U
L'INSTITUT DE PHOTOGRAPHIE
DE DAWSON
Cours pour débutants et amateurs avancés,
en soirée et en fin de semaine
INSCRIPTIONS: lea 26 et 27 janvier, 14 h é 19 h
Los Inscriptions tardives seront acceptées selon les disponibilités
Les cours de dix semaines débuteront durant la semaine du 1 er février
COURS DE DIX SEMAINES, 3 heures par semaine
• Initiation à l'epparell photographique
• Photographie 1 '
• Photographie 2
o Les techniques de laboratoire noir et blanc
• La composition créative
o i e portrait
ATELIERS DE FIN DE SEMAINE
Ateliers de 15 heures
• Techniques de base de laboratoire noir
et blanc
• La photographie de mariage
e Introduction au vidéo
• Production vidéo
• Montage vidéo 1
50%
• Photojoumallsme
DE
• Étude de la forme humaine • le nu
RÉDUCTION
• Les techniques de retouche
sur les frais
• Epreuve maîtresse noir et blanc
de scolarité
Ateliers de 9 heures
pour personnes
• Éclairage de studio: flash électronique
du 3e sge
selon les
• Effets spéciaux en photographie
disponibilités
• Maoro photographie et gros plan
Atellera de 6 heures
• Les photothèques
e Photographie de voyage
480, rue STE-CATHERINE ouest, bureau 700
(514)866-6588
Veuillez communiquer avec nous pour une liste des cours donnés^
en anglais, ainsi que pour des Informations concernant les
programmes en photographie commerciale.
Pour cette chronique
veuillez adresser vos lettres comme suit:
«Quoi faire aujourd'hui»
LA PRESSE, 7 Saint-Jacques, Montréal H2Y 1K9
Quoi faire en fin de semaine
E16
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
RELIGION
• La chorale mixte de la basilique NotreDame, sous la direction de M. Marcel Laurencelle, interprétera, demain, 4 11 h, la messe
• en l'honneur des saint martyrs », de Caslmiri ; a l'offertoire, \ : Ave Verum », drNoyon. A
l'orgue : M. Pierre Crandmaison.
• Demain, a l'église Salnt-Plerre-Apôtre, la
soprano Denise Bellay et l'organisate Jean Ladouceur réhaussent les messes de 9 h so et
de 11 h, en interprétant des oeuvres de Bach,
Bernier et Stanley.
• L'organiste Jacques Boucher jouera des
oeuvres de vierne, Bach et Litaize, aux messes de 17 h, aujourd'hui, et de 10 h et 11 h,
demain, a l'église Saint-Jean-Baptiste de
Montréal, a l'angle des rues Rachel et HenriJulien. La chorale de l'Université de Montréal,
dirigée par, Céline Asselin. participera a la
messe de 10 h. demain.
• Le Centre Chrtstus, centre de spiritualité
pour adultes, organise deux conférences publiques du poète et dramaturge Pierre Mathieu, auteur de Marie de Dieu, sous te thème
« Cheminement mariai par la parole ». Ces rencontres ont lieu les jeudis 28 Janvier et 4 février, a 19 h 30, au sous-sol de l'église NotreDame-des-Neiges, a coté de la station de
métro Cote-des-Neige*. Entrée: S3. Renseignements: 737-7201.
• Les personnes intéressées sont invitées à
prendre part a une session de gestuelle liturgique (répertoire de geste et créativité: gestuelle de base; attitudes de prière; gestes liturgiques et symbolique; les symboles dans
la liturgie). La session de huit semaine, se déroule les lundis, de 18 h 30 a 20 h 30, a partir
du 1er février, dans la salle numéro 3 de l'église de l'Immaculée-Conception (au coin des
rues Papineau et Rachel). L'animationn est
assurée par Cisèle Monette-Edglngton. Renseignements : 931-7311, poste 257 OU 258.
CONFÉRENCES
• La Société Canada-Chine, organisme de promotion des échanges culturels entre la Chine
et le Canada, présente une conférence intitulée • Les réformes rurales en Chine >, sujet
traité par Gérard Cachât, a 10 h 30, ce matin,
dans son local du 1072, boulevard Saint-Laurent, au troisième étage. L'entrée coûte $5
.(S3 pour les membres). Renseignements:
866-4119.
• Le Centre du Nouveau Penser présente une
conférence de M. Bernard Cantin intitulée
• La semence de vie », demain, dimanche, a
11 h, a la salle AM-050 du pavillon HubertAquin de l'Université du Québec, à l'angle des
J rues Saint-Denis et Sainte-Catherine. Entrée
libre. Renseignements : 254-2951.
le vendredi. Fin de semaine de ski alpin et de
ski de fond a La Calèche, a Sainte-Agathe, les
5,6 et 7 février ( nombre de participants limite a 40). Renseignements sur cette sortie et
sur l'ensemble des activités : Claude Milot,
492-6038.
• Le groupe de danse Les vtf Argent fait aujourd'hui sa soirée de spaghetti. C'est a l'école Louis-Dupire, 6400, rue Pierre-de-Coubertin. Renseignements : 389-5895 ou 322-4489.
• Le Centre de loisirs de la Cote-des-Neiges
organise une sortie de ski de fond, demain,
au Domaine de la Montagne, a Saint-Jean-deMat ha. Le départ se fait a 8 h, au Centre
même, 5347, Cote-des-Neiges. Le transport
coûte $15 par personne. Renseignements:
733-1478.
• La prochaine fin de semaine animée de l'auberge Le P'ttt Bonheur, ddu 29 au 31 Janvier,
a pour thème • A la découverte des pays d'en
haut ». Pour réservation : 875-5555 (ligne directe). L'auberge est tout près de SainteAgathe. Les fins de semaine thématiques
s'ajoutent aux activités de plein air. Elle est,
comme on sait, reliée au Centre immacuieeCohception.'
• Le club • Le Gourmet Rendez-vous », pour
célibataires, a son prochain souper-dansant
au restaaurant Chez la Mère Tucker,' 1175,
Place du Frère-André. Il v a cocktail a 18 h 30,
le repas, une heure plus tard, puis la danse.
Renseignements et réservations ; 335-1494.
• Une rencontre a laquelle sont conviées les
personnes seules qui veulent, se faire des
amis, se déroule ce soir, a partir de 18 h 30,
au restaurant Le Calumet, 2025A, rue Masson, au coin de le rue De Lorimier. Le souper
est suivi d'une danse, et il est accompagnée
d'une causerie. Renseignements ; 669-5851.
• La Ligue ouvrière révolutionnaire et les
Jeunes Socialistes organisent un échange politique sur le thème • Haiti, Israel : les dessous
de la politique canadienne », a 19 h 30, au
4274, rue Papineau, local 302. On s'attend a
une contribution volontaire de $3 ($1,50
pour les sans emploi). Renseignements : 5247992.
SANTÉ
• Le CLSC Métro, 1550 ouest, boulevard de
Maisonneuve, offrira, les cinq lundis de février, de 17 h 30 a 19 h 30, des rencontres
pour les femmes qui veulent en savoir d'avantage sur le syndrome prémentruel. Les réunions sont gratuites et se déroulent en français. Renseignements : Joanne, 934-0354,
poste 205.
DÉVELOPPEMENT
PERSONNEL
.
• Un avant-goût du printemps : la Société
d'horticulture et d'écologie de Longueull
. convie les intéressés a une conférence de Bruno Emard qui traitera de l'émondage des arbres en général et des fruitiers, en particulier,
- mardi (26 janvier), au gymnase de la Maison
' des aultes. 25, chemin Chambly, Longueull.
L'entrée est gratuite pour les membres, mais
elle coûte S 2 pour les autres.
• Le Centre de ressourcement Laval offre aux
personnes qui en ont besoin une session d'entrainement à l'animation, a la planification et
au travail en équipe. Le programme est dune
durée de 30 heures réparties en deux fins de
semaine, les 6 et 7 février, et les 12 et 13
mars, de 9 h a 17 h. Renseignements et Inscription : 668-3670.
• L'Association des chercheurs en sciences
cosmiques du Québec consacre la Journée
d'aujourd'hui a des conféreces placées sous le
, thème • Vie et lumière de l'homme unifie ».
C'est au collège Jean-de-Brébeuf, salle Drebeuf, de 9 h é 22 h, au 5675, rue Deçelles, a
l'angle du, Chemin de là Côte-Sainte-Catherine. La'participation coûte $20. Renseignements : 844-2869.
• Le Centre Saint-Pierre, 1212, rue Panet, offre une session de 30 heures consacrée a • la
bio-éntrglt et l'analyse transactionnelle 1-23 ». C'est une discipline qui permet de prendre conscience de son mode de communication avec les autres, les rencontres ont lieu le
mardi, de 1 9 h 30 a 22 h 30, du 2 février au 5
avril. C'est le tempe de s'inscrire. Renseignements : Monique Venne ou Thérèse Chaput,
524-3561.
RÉUNIONS ET
RENCONTRES
• Le Café Chrétien de Montréal, 7537, rue
Saint-Hubert, reçoit Cabrielle Foucault, missionnaire du Chili depuis plus de 20 ans, a
2 0 h 3 0 . Entrée gratuite. Renseignements:
272-2812.
• Le Centre de ressourcement Laval fait samedi prochain, 30 Janvier, sa soire» de danse
annuelle, avec la participation des danseurs
Monique et Jeannot Leduc ainsi que du théâtre • Face a face ». C'est au sous-sol de l'église
Bon-Paasteur, 4 0 0 , rue Laurier, dans le
quartier Laval-des-Rapides, a 20 h 30. Renseignements : 668-3670.
• Rencontre Jeunesse Montréal attend les
jeunes de 15 a 35 ans, à 16 h 30, pour le visionnement du film • Dieu a besoin des hommes ». Chaque renconre comprend iu visionnement du film, l'Eucharistie et un buffet
froid. Le tout est gratuit. C'est à la salle
Saint-louis-de-Gonzague. a l'angle des rues
Rachel et Fuilu.n (entrée par le 2320, Terrasse
Mercure). Renseignements: Léon D'Anjou,
844-6155.
• Le mouvement Porte Ouverte, pour veuves
- - et veufs de tous ages qui veulent sortir de
leur solitude, organise une fin de semaine de
rencontres et d'échanges les 5,6 et 7 février.
Renseignements ; Germaine Morin, 521-2477.
• Le CLSC Longueull Ouest invite les personnes qui ont connu récemment une séparation
ou un divorce, à une rencontre visant a améliorer leurs nouvelles relationas familiales.
C'est au CLSC, 201 ouest, rue Curé-Poirier, le
mercredi, du 3 février au 16 mars. On s'inscrit
S en téléphonant a Gisèle Rocheleau, de la Commission scolaire régionale de Chambly, au
670-3130. La série de rencontres coûte $10.
• Le souper-rencontre • Parler pour parler »,
a 18 h le samedi, a pour thème aujourd'hui
• La première qualité recherchée dans une
nouvelle relation ». La rencontre, qui s'adresse aux personnes seules de 30 ans et plus qui
désirent se faire des amis, a lieu au restaurant
L'Époque Charlie, 1244, Place L'Acadle-Beaumont, Outremont. Renseignements: Hélène
Gosselin, 279-7846.
• Le Centre Saint-Pierre, 1212, rue Panet, organise aujourd'hui et demain, de 9 h 30 a
12 h 30, une session sur le leadership pastoral, avec Martin Roberge. Elle se poursuivra
les 20 et 21 février. Renseignements et Inscription : Julie, 524-3561. poste 303.
• Jass Inc., un organisme sans but lucratif
organise, dans le cadre de ses ateliers-rencontres pour personnes seules Ides deux sexes)
qui veulent se faire des amis, tous les samedis
une marche de santé sur le Mont-Royal (départ a 14 h, é l'angle du boulevard Mont-Royal
et de l'avenue du Parc). Apres la marche, souper et danse aux endroits choisis par les
membres. D'autres activités sont organisées
en semaine. Une excursion de ski (randonnée
et descente) a lieu le dimanche. Renseignements : 388-8727.
• La • Banque d'amrtle », club social sans but
lucratif pour personnes series de 30 a 55 ans,
organise tous les samedis, a 18 h 30 un souper-rencontre avec danse, au restaurant Villa
d'Abruzzio. 88 ouest, rue Bernard (coin SaintUrbain). Durant la semaine, il y a souper-dansant le mercredi ou le jeudi, et ballon-volant
I
• Le Centre de ressourcement Laval organise
un atelier de massage a l'intention des couples désireux de rafraîchir leurs communications, soit les mercredis du 3 février au 23
mars, soit la fin de semaine des 11,12 et 13
mars. La personne-ressource dans ce cas est
Henriette Suppère, masso thérapeute. Renseignements et inscription; 668-3670.
6 février, de 10 h a 18 h, du mardi au vendredi, et de 10 h a 17 h, le samedi. Renseignements:488-9559.
au programme • louer dam l'île », sont invités
a présenter leur projet au Conseil des arts de
la Communauté urbaine de Montréal au plus
tard le vendredi 29 Janvier. Renseignements :
Andrée McNamara. 280-3580.
• * Les animaux d'hier et d'aujourd'hui sont
en montre, au Musée'd'histoire naturelle
Gecrges-Préfontaine de la Société de biologie
de Montréal, au 520, chemin de la Cote-Sainte-Catherine, Outremont, du mercredi au dimanche, de 10 h a 17 h. Renseignements : Denis Larocque, 277-9864 le Jour, ou 276-9642 le
soir.
• * L'exposition annuelle de crèches de Noël,
a l'Oratoire Saint-Joseph, est en coure, jusqu'au 2 février. Elle comporte 150 crèches,
provenant de 50 pays. L'exposition est ouverte tous les Jours, de 10 h a 17 h.
CINÉ, MUSIQUE,
SPECTACLES
• * Des tournois de Jacquet (backgammon),
se tiennent tous les dimanches, a 15 h, au
club Pips (dub privé de laquetl, 5774, rue
Saint-Denis, 2e étage, sous la direction de M.
David Woolf, ainsi que le mercredi, a 19 h 30.
L'entrée est gratuite, mais on exige une tenue soignée. Renseignements complémentaires : 284-0813.
EXPOSITIONS
GALERIE GRAFF (963, Rachel e.) — Oeuvres
des artistes de la galerie. Jusqu'au 2 février.
SUITE DE LA PACE E20
• Le Café Chrétien Centre-Sud, 1471 est, rue
Sainte-Catherine, reçoit les chansonniers JacMUSEE D'ART CONTEMPORAIN (Cité du Haques Morin et Gaétan Guérard, ce soir, a 21 h. vre) — Oeuvres de John lyman et Jannis KouEntrée gratuite, Renseignements : 522-7156. ncliis. Tous les jours de 10 h é 18 h, sauf lun.
«Ouverture» et •Rétrospective Marcel Oden• l e Ctftters (café de solidarité internatio- bach» (vidéos),
i '
nale), 4837, avenue du Parc (coin Villeneuve MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE MONTRÉAL
— metro Plàce-des-Arts et autobus 80 ou (1379, Sherbrooke o.) — Sam., dim., dé 10 h,
129) présente de la musique et des chansons a 17 h, exposition «Jean McEwen: la profonde la couleur.; dim., 13 h 30, -La peintud'Amérique du sud, avec Robinsopn et Sergio, - deur
re canadienne des années 50», table ronde,
Renseignements : 270-5336 ou 495-2349. avec Constance Naubert-Riser, Serge GuilContribution volontaire : $3. L'établissement bautt, Françoise-Marc Gagnon, Marie Caranl et
est ouvert du mercredi au dimanche de 11 h John O'Brian.
a 23 h. Les profits servent a financer des pro- MUSÉE MARC-AURÉLE-FORTIN (118. Saintjets dans le tiers monde, en particulier ceux Pierre) — Oeuvres de M.-A. Fortin. Tous les
jours de 11 h a 17 h, sauf lun. Jusqu'au 31 Jande Développement et Paix.
vier.
MUSÉE D'ART SAINT-LAURENT (615, bout.
• La chorale de la paroisse Saint-Edouard de Sainte-Croix)
— Expositions «La main, l'outil
Montréal (angle Saint-Denis et Beaublen) a et l'encyclopédie», «Dictionnaires A / Z : Rober
besoin de choristes en vue d'un concert sa- Raclne» et «La crèche et les santons québécré, le Vendredi Saint, 1er avril (• Les sept pa- cois». Du mar. au ven., dim., de 12 h a 17 h.
roles du Christ • et des extraaits des messes ARTE5 GALERIE D'ART (102, av. Laurier e.) —
Peintures, aquarelles, sculptures, estampes
de Requiem de Mozart, Gounod et Pauré. On a d'artistes
canadiens et internationaux.
surtout besoin de voix d'hommes. Les répéti- ARTICULE (4060, Saint-Laurent, suite 106) —
tions ont lieu le mercredi soir, 19 h 15 a 22 h, Sculptures de Laurent Roberge. Du mere, au
au jubé de l'église. Renseignements : Mme Ré- dim., de 12 h a 17 h. Jusqu'au 31 janvier. <
gira Perrault, 277-9415; Mme Ciselé Gag non, ATELIER J. LUKACS (1504, Sherbrooke o.) —
277-3608: Mme'Huguette Racette, 271-2073. Aquarelles et dessins de Lismer, Clarence Gagnon, Matthews et Aitkens. Du mar. au ven.,
de 9 h 30 à 17 h 30; sam., de 9 h 30 a 17 h;
dim., de 14 h a 17 h.
BAZAR
CENTRE SAIDVE BRONFMAN (5170. Chemin
• Si vous confiez les vieilleries dont vous de la Côte Sainte-Catherine) — A compter de
jeu., photographies de Hiroji Kubeta. Jusqu'au
n'avez plus besoin au Bazar bénéfice du 271- 25 février.
5106, vous participerez au financement d'un CENTRE OES ARTS VISUELS (350, av. Victoria)
projet d'échange franco-québécois dans le — Exposition «Textile a tout». Jusqu'au 6 fédomaine de la danse. On passera chez vous vrier.
CENTRE DESIGN UOAM (200, Sherbrooke e.)
gratuitement.
— Affiches contemporaines hollandaises. Du
mere, au dim., de 12 h a 18 h; jeu., de 12 h a
DIVERS
20 h. Jusqu'au 7 février.
CENTRE OU DESIGN (1600, Notre-Dame o.) —
• L'Atelier d'arts martiaux des femmes, Exposition «Art actuel». Du lun. au ven., de
2025, rue Gilford, offre des cours de karaté et 1 0 h à 1 6 h .
d'auto-défense aux adolescentes de 12 a 14 CENTRE INFODESIGN (Étage D, Place Bonaventure) — Exposition «Virtu 3» et photograans. C'est le temps des inscriptions. Rensei- phies de Christel Martin. Du lun. au ven., de
gnements : 273-5795 OU 596-0720.
9 h à 17 h; dim., de 12 h a 17 h. Jusqu'au 19
fév.
• La Fédération des Société d'horticulture et CONSERVART (5649, av. Monkland) — Oeud'écologie du Québec offre au grand public et vres des élèves de l'Atelier de Noreen Mallory.
aux horticulteurs amateurs une série de cours Tous les jours de 9 h 30 i 18 h; jeu., ven., de
sur l'aménagement paysager, les produits 9 h 30 à 21 h.; sam., de 9 h 30 a 17 h. Jusqu'au
30 janvier.
chimiques et les matérieux utilisés dans ce
domaine. Ils. s'étalent du 27 janvier au 6 avril, GALERIE ART & STYLE (4875 A, Sherbrooke
o.) — Peintures de Pauline Bressan, David
un soir par semaines, le mercredi, de 19 h a Brown, F. lacurto et Saint-Gilles.- Du mar. au
22 h, et sont donnés au 4545, rue Pierre-de- sam., de 9 h 30 a 17 h. Jusqu'au 15 février.
Coubertln. La session complète coûte $85, et GALERIE ARTLENDERS (318, av. Victoria,
l'inscription doit avoir été faite avant le le Westmount) — Peintures de John Miller. Du
commencement de la série. Renseigme- mar. au sam., de 12 h a 17 h. Jusqu'au 30 janvier.
ments : 252-3010, entre 8 h 30 et et 16 h 30.
GALERIE AUBES 3935 (3935, Saint-Denis) —
• L'Université de Montréal fait demain sa A compter de jeu., exposition -Living Inny».
mere, au dim., de 13 h a 18 h.Journée portes ouvertes. La Faculté des arts Du
GALERIE LAURIENNE-BAZINET (5451. Sheret des sciences invite toutes les personnes brooke o.l — Oeuvres d'Ayotte, Cosgrove,
qui désirent poursuivre des études a l'U. de Fortin, lemieux, Masson, Richard Montpetit, '
M. a se rendre au hall d'honneur du pavillon Pellan, Richard, Riopelle et Jori Smith. Du
principal (sous la grande tour familière), de mere, au dim., de 12 h a 17 h. Jusqu'au 29
10 h a 16 h. Conseillers et orienteurssur pla- février.
ce; l'occasion de visiter la toute nouvelle bi- GALERIE PIERRE-BERNARD (4515. Saint-Denis) — Artistes de la galerie. Du mere, au
bliothèque des sciences humaines et sociales dim., de 12 h a 17 h. Jusqu'au 15 février.
et les labos de chimie, de physique et d'infor- GALERIE RENÉ-BLOUIN (372, Sainte-Catherine
matique.
o.) — Oeuvres de Geneviève Cadleux. Du mar.
au sam., de 12 h a 17 h 30. Jusqu'au 6 février.
• Les organisations du domaine des arts GALERIE CHANTAL-BOULANCER (372, Sainted'interprétation qui souhaitent prendre part Catherine e., local 502) — Oeuvres de Fran-
MAISON DE LA CULTURE
• Le Club de conversation Transatlantique gramme : des mélodies françaises et québé(anglais, français, espagnol) entre lundi dans coises.
une nouvelle phase de ses activités. Rensei- • Musique classique : Le merecredi 10 février,
a 20 h, a l'auditorium du cégep Maisonneuve,
gnements : 844-2921 OU 844-3224.
3800 est, rue Sherbrooke, l'Orchestre métropolitain de Montréal, sous la direction de RafEXPOSITIONS
fi Armenian, avec la soprano Colette Boky. Un
• Pour souligner le 4e anniversaire de la fon- programme d'extraits d'opéras ( Mozart, Beedation du Musée Marc-Aurèl«-Fortln,il y aura, thoven, Lehar et Gounod).
demain, dimanche, projection a toutes les • Danse : le mercredi 3 février, a 20 h, a l'auheures, d'un vidéo sur ce grand peintre, a par- ditorium, du cégep Maisonneuve, 3800 est
tir de 13 h. Les prix de tous les articles de la rue Sherbrooke, l'exhubérante danseuse Marboutique sont réduits de 15 p. cent et le prix gie Oillis. Un langage visuel qui parle au coeur.
de l'entrée comprend le café. Le Musée est au • Cinéma : le mardi 2 février, a 19 h, a l'audi118, rue Saint-Pierre, dans le Vieux-Montréal. torium du cégep Maisonneuve, 3800, est, rue
Sherbrooke, le film de Randa Haines (1986)
Renseignements : 845-6108.
• Les enfants du silence ».
• Exposition Éphémère, 4532, rue Mentana • cinema : le mardi 9 février, a 19 h, a l'audi(au nord de la rue Mont-Royal), présente de- torium du cégep Maisonneuve, 3800 est, rue
main des sculptures de Martine Bordel eau. Le Sherbrooke, projection du film de David
musée est ouvert de 14 h a i l h. L'entrée est Lynch • Blue Velvet », accueilli avec enthougratuite. Renseignements : 532-7789.
siasme, en 1986. au Festival des films du
monde de Montréal.
• Il y a exposition d'oeuvres d'Andrée Lepa• Variétés : le vendredu 29 Janvier, a 21 h, a
ge, Jusqu'au 31 janvier, a la Bibliothèque
l'Édifice du Marché Maisonneuve, 4375 est,
Intermunicipale Plerrcfonds-Dollard-des-Orrue Ontario, la chanteuse Marie-Denise Pellemeaux, 13555, boulevard Werrefonds. La bitier inaugure la série de spectacles intitulée
bliothèque est ouverte de 10 h a 21 h les lun• Vendredi Soir». Mélodies chaudes et airs
di, mardi, Jeudi et vendredi, de 18 h a 21 h le
rythmées.
mercredi, de 18 h a 17 h le samedi, et de 13 h
• Variétés: le vendredi 5 février, a 21 h, a
a 21 h le dimanche.
l'Édifice du Marché Maisonneuve, 4120 est,
• La Maison du Brasseur présente des aqua- rue Ontario, le merveilleux down Orner Veilrelles de Clavet-Foumicr, a partir de demain, leux, créé par le comédien Yves Dagenais, fait
jusqu'au 11 mars. La galerie est au 2901, bou- rire et réfléchir..
levard Saint-Joseph, lachine. Elle est ouverte
du lundi au vendredi de 14 h a 17 h et de 19 h MARIE-UGUAY
a 21 h, et le samedi et le dimanche de 13 h 30 6052, boulevard Monk (872-2044)
• Exposition : • L'Energie encadrée », petits
a 17 h.
tableaux du peintre John Drew Munro, Jus• le Centre des arts visuels, 350, avenue Vic- qu'au 30 Janvier.
toria, présente Textile a tout, une exposition • Exposition: oeuvres du peintre Sylvain
d'arts textiles anciens et modernes en trois Foumier, sous le thème • Identité ou la foule
volets : les arts textiles,- échantillons, affi- du métro », Jusqu'au 30 janvier. .
ches, livres et catalogues anciens et moder- • Theatre : mercredi 27 Janvier, 20 h, • Jamnes; l'application du textile dans l'industrie mée », sur la vie concrète d'une femme traide la mode. L'exposition est ouverte jusqu'au tée en psychiatrie, avec Suzanne Beaucaire.
est le message sans équivoque du CISC Samuel de Champlain aux Jeunes que cela concerne. Attention : il faut d'abord téléphoner
au 465-4452, et demander Suzanne ou Chrisfi
tine.
• • Le Centre d'écoute Le Havre offre un service d'écoute aux personnes vivant des moments difficiles ou affligées par la solitude,
• * • Tu t e sens seul, tu t e sens down, tu fais du lundi au mercredi, de 12 h a 17 h; les Jeudes conneries, tu es agressif et tu n'as pas dis de 12 h a 20 h 30. C'est gratuit et conficonfiance en toi. Tu en as assez de tout. Alors dentiel. Renseignements: 844-8910 (Comviens nous rencontrer dans une ambiance de plexe Desjardins, 167, Niveau de La Place,
détente, le mercredi, de 18 h 30 a 21 h. » Tel angle Saints-Catherine et Saint-Urbain ).
'
• Le Mouvement des Jeunes travailleurs de la
Municipalité régionale de comté Deux-Montagnes convie des jeunes de 16 a 25 ans, a une
session de formation a l'emploi qui commencera le 1er février. On vise particulièrement
les jeunes sans travail qui ont quitté l'école
depuis au moins six mois et qui veulent entrer sur le marché du travail. On est prié de CÔTE-DES-NEIGES
téléphoner au 473-8050 ou de passer s'Inscri- 5290, ch. de la C.-des-Neiges (872-6889)
re au 136, rue Saint-Eustache, a Saint-Eusta- • Exposition : sculptures (fibres textiles) et
installations de Louise Beaudin et Guerino
che (Place du Chêne).
Ruba, jusqu'au 31 janvier.
• Les Ateliers Dire, organisme sans but lucra- • Jazz : mardi 26 janvier, 20 h. Jam Sessions,
tif, organise une série de séances susceptibles improvisations avec des spécialistes du gend'aider les personnes qui ne s'affirment pas re.
assez, ou le font trop et mal. On peut s'inscri- • Variétés : dimanche 31 janvier. 14 h, The
re aux séances de so crtoplx, parmi seize (il Bues Choral Society, chants d'église et negro
faut en prendre au moins trois), qui ont lieu spirituals.
tous les mercredis, du 27 Janvier au 25 mai.
Chacune de ces soirée a un thème particulier. MAISONNEUVE
On peut aussi choisir la session intensive qui a 4120 est. rue Ontario (872-2200)
lieu toute la Journée du 30 décembre. Pour en • Musique classique : le vendredi 5 février, a
savoir plus long, on communique avec • Les 10 h 30, a l'Édifice du Marché Maisonneuve,
beaux mercredis», 46, rue Lemoyne, Lon- 4575 est, rue Ontario, • Un matin qui changueuil, ou on téléphone au 646-1044.
t e », avec le ténor Paul Trépanler. Au pro-
4
• * Le centré MCC du Quebec (centre des minorités culturelles et collectives) garde une
ligne de téléphone ouverte sept jours par semaine de 8 h a minuit. Il organise aussi, pour
les gens qui se croient a part, différents des
autres et en souffrent, des réunions et des
ateliers d'échanges avec des animateurs spécialisés. C'est au 598-5802.
Mise en scène de Pierre-André Fournier.
• Cinéma : jeudi 28 janvier, « Un zoo la nuit »,
de Jean-Claude Lauzon.
NOTRE-DAME-DE-GRÂCE
3755. rue Botrel (872-21571
• Exposition : Jouets anciens. Intitulée « Lâchez la bride », elle est réalisée en collaboration avec le Musée de la civilation. Jusqu'au
24 janvier.
• Musique classique : le dimanche 24 Janvier,
à 14 h, le quintette à vent rsntaèdre.
• Musique classique : le dimanche 7 février, a
14 h, Concert du Conservatoire.
• Musique classique : le mardi 9 février, a
20 h, l'Orchestre Métropolitain, sous la direction de Raffi Armenian. Oeuvres de Mozart et
Weber, ainsi que des airs viennois.
• Musique classique : le dimanche 21 février,
a 14 h, le trio Arabesque (guitare, soprano et
flûte).
• Jazz : le mercredi, a 20 h
le 3 février, All Smiles
le 10 février, Guy Nadon et • La Pollution des
Sons»
• Theatre : le jeudi 18 février, a 19 h, • Le
sous-sol des anges », par les production du
Hang-Art (sur le thème du suicide chez les
adolescents).
• Théâtre : le Jeudi 28 février, a 19 h, « Circuit
Fermé ». par le théâtre de l'Atrium (spectacle-choc pour adolescents, sur la prostitution
des moins de 18 ans).
• Spectacle pour enfants : le samedi 30 Janvier, « Tempête dans un verre de lait », par
l'Illusion, theatre de marionnettes
• Spectacle pour enfants : le samedi 6 février, • Charlotte's Web ».
• Spectacle pour enfants : le samedi 20 février, • Histoire du boeuf qui a perdu son B »
(theatre-animation).
• Spectacle pour enfants : le samedi 27 février, «Le p'tit Noé», par le Théâtre de
Quartier.
• Danse : le Jeudi 11 février, a 20 h, l'exhubérante danseuse Margie Glllis. Un langage visuel qui parte au coeur. '
• Danse : le mercredi 24 février, a 20 h, < Cathédrale », par Hélène Blackburn et compagnie (la mort, nécessité et source de vie nouvelle).
m théâtre : samedi 30 Janvier, 14 h, « Tempête dans un verre de lait», avec Illusion,
théâtre de marionnettes
• Cinéma : FESTIVAL WOODY ALLEN,le mardi,
a 19 h
le 26 Janvier, • Stardust Memories », en anglais
le 2 février < A Midsummer Night's Sex Comedy », en anglais
le 9 février, « Zeilg », en français, en 16 mm,
et en anglais sous forme vidéo
le 16 février, • Broadway Danny Rose », en anglais
GALERIE CLAUDE-LAFITTE (1446, Sherbrooke
o.) — Oeuvres de Borduas, Riopelle, Pellan,
Fortin, Krieghoff, Motrice, Gagnon, Holgate,
Roberts, Lemieux, Jennifer, Homyak, Boudin,
Chagall, Kisling. Laurencen, Miro, Picasso, Renoir et Vlamenck.
GALERIE DES ARTS LAVAUN (1100, boul. Dorchester o.) — Exposition «De fer et d'acier».
Du mar. au sam., de 12 h a 18 h.
GALERIE L'EMPREINTE (272, Saint-Paul e . ) —
Gravures de Louise Ladouceur. Jusqu'au 28 février.
GALERIE LE RENDEZ-VOUS ENR. (1229, Crescent) — Sam., dessins, estampes, peinturés.,collages, céramiques, sculptures et photographies de nus.
i
GALERIE LES GATERIES (3443, Saint-Denis)
Pastels de Fernand Daudelln.
GALERIE LUDOVIC (1390, Sherbrooke o.) —
Oeuvres de M. Poissant, L. Chapdelaine, A.
Rousseau, J. Lamoureux, G. Hrabe, D. Desjardins, N. Hudon et A. BertoUnesque.
GALERIE NOCTUELLE (307. Sainte-Catherine
o.) — Exposition «Culture X», installation de
Richard Purdy. Du mar. au sam., de 11 h *
17 h 30. Jusqu'au 31 Janvier.
GALERIE N O V A ( 2 1 0 0 , Crescent)
Les oeuvres de Jannis Kouneklls
sont toujours exposées au Musée d'art contemporain. On remarque sur cette pièce-sans titre de 1967, un des ses fameux
«becs de gaz».
coise Boulet. Du mar au sam.. de 12 h à
17 h 30. Jusqu'au 6 février.
'
GALERIE CHRISTIANE-CHASSAY (20. MarieAnne oJ — Sculptures d'Andrew Dutkemych.
Ou mere, au sam., de 12 h a 17 h; ven., de 12
h a 20 h .'Jusqu'au 30 janvier.
GALERIE CRASHING THUNDER NORTH (5725,
Jèanne-Mance) — Photographies de Milan'
Sklenar. Dim., de 13 h à 17 h. Jusqu'au 31 janvier.
/
GALERIE DARE-DARE (4060. Saint-Laurent,
suite 211) — Photographies de Kate Freedberg et Sherul Medicoff. Du mere, au dim., de
12 h à 17 h. Jusqu'au 31 Janvier.
GALERIE DAZIBAO (4060, Saint-Laurent, suite
104) — Oeuvres de Cheryl Simon. Jusqu'au 31
janvier.
GALERIE DE L'UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL
(2332, Édouard-Montpetit) — Sam., dim., de
13 h 30 a 17 h 30, exposition «Azimuts».
GALERIE DES 5 CONTINENTS (1225, av. Greene) — Objets en métal, cuivre, bronze et fer
forgé. Jusqu'au 6 février.
GALERIE BERNARD-DESROCHES (1444. Sherbrooke o.) — Oeuvres de Maxirnilien Luce, Suzor Côté, Groupe des Sept, Marc-A. Fortin et
artistes de la galerie.'
-
dim., oeuvres de Paul Soullklas.
GALERIE OBORD (3981, Saint-Laurent, suite
4 9 9 ) — Installation vidéo de François Girard.
Du mere, au dim., de 1 2 h a 1 7 h. Jusqu'au 3 1
' janvier.
GALERIE OPTICA ( 3 9 8 1 , Saint-Laurent, suite
5 0 1 ) - r installation de Bill Bums et Alan Storey. Jusqu'au 3 1 janvier.
GALERIE P!NK ( 1 4 5 6 , Notre-Dame o.) - r
Sculptures sur verre de Serge Lotosky et
peintures sur verre de François. Giard. Jusa*
qu'au 3 1 Janvier.
GALERIE PORT-MAURICE (8400, boul. Lacerdaire) — Oeuvres de Jacques Pierre Amèe.
Lun., de 1 3 h a 2 1 h 3 0 ; mar., mere., Jeu., de
1 0 h â 2 1 h 3 0 ; ven., de 1 0 h â 1 8 h; sam, de
1 0 h a 1 7 h; dim., de 1 3 h a 1 7 h. Jusqu'au 3,1
Janvier.
• .'.
'•.-'.;
:••
GALERIE POWERHOUSE (4060, Saint-Laurent,
suite 2 0 5 ) — Oeuvres de Laurie Walker. Du
mere, au d i m , de , 1 2 h a 1 7 h. Jusqu'au 3 1
Janvier;
•X
GALERIE RELAIS DES ÉPOQUES (92, Sherbrooke o , suite 1 0 1 ) — Peintures de Lise Auger,
Marcel Delorme, Georges Dedoyard, Yvon
Provost, Monique Bèdard, Liane Paskaryk, Michel LeRoux, P.-Y. Lamarche, Jeannine Eve
Rell et Lise Paradis. Du mere, au sam, de 1 1 h
a 1 7 h; Jeu, de 1 1 h a 1 9 h.
GALERIESKOLI3981, Saint-Laurent) — Sam,
dim, de 1 2 h a 1 7 h, oeuvres de Joseph Branco, Michel Dalgneault, Monique Mongeau et
Monique Regimbald-Zeiber.
GALERIE SYMBOLE ART (2824, de Salaberry)
— Oeuvres de Lise Auger, Gilbert Breton, Jacques Fugère, Viateur Lapierre, Oubravko
Raos, Marcel Ravary, Michel Turgeon, Jeanne
d'Arc Le Clerc et Gilles Gingras. Du lun. au
mere, de 9 h a 1 8 h; jeu, ven, de 9 h à 2 1 h;
sam. de 9 h 3 0 a 1 7 h.
GALERIE 111 (363, Place d'Youville) — Oeuvres de Tony Albano. Jusqu'au 2 0 février.
GALERIE UOAM (Pavillon Judith-Jasmin, 1 4 0 0 .
GALERIE ÉCLARt "(4060, Saint-Laurent, suite
Berri, salle J-R 120) — Sam, d i m , de 1 2 h a
307) — Exposition «Tellure et texture en écri1 8 h, oeuvres. d'Anne Thibault et installation
ture». Du mere, au sam., de 12 h a-17 h. Jus«Les années lumière 1988-2000».
qu'au 28 Janvier.
GALERIE
2 0 4 3 (3877, Saint-Denis) — Artistes
GALERIE ESPERANZA (2144, Mackay) —
de la galerie.
Sculptures de Robert Cronin et Eva Tarlooki
GALERIE WESTMOUNT ( 4 9 3 5 A, Sherbrooke
et oeuvres de Pedro Frièdeberg. Jusqu'au 31
janvier.
o.) — Peintures et sculptures d'artistes carïa. diens. Jusqu'au 3 1 janvier.
LA GALERIE (2332, Édouard-Montpetit) —
A compter de lun, oeuvres de Claude Lacroix.
Du lun. au ven, de 1 6 h a 2 0 h; dim, de 1 3 h a
1 7 h.
MICHEL TÉTREAULT (4260. Saint-Denis) Oeuvres de Kevin Kelly. Jusqu'au 1 4 février..
SALLE RAYMOND-DAVID (1400, Dorchester
e.l —Oeuvres de René Tardif. Du lun. au ven,
le 23 février, • Hannah and Her Sisters », en
de 1 0 h a 1 8 h. Jusqu'au 2 8 janvier.
anglais, sous forme vidéo, et • La Rose pourpre du Caire », version française en 16 mm
le 1er mars, « Radio Days », en anglais.
PLATEAU MONT-ROYAL
465 est, avenue Mont-Royal (872-2266)
• Exposition: Deux artistes, un «Duo urbain». Il s'agit d'un ensemble de photographies en noir et blanc de Bertrand Carrière,
intitulée • Chroniques nocturnes », et de peintures de Colin Chabot, réunies sous le titre de
« Ciels de Montréal ». Jusqu'au 31 janvier.
• Musique classique: dimanche 24 janvier,
14 h, le quintette a vent Pantaèdre.
• théâtre : samedi 30 Janvier, 14 h, • Zlzi et la
lettre », spectacle de mime pour enfants,
avec la troupe Omnibus.
• Variétés : dimanche 24. janvier, 14 h, les
belles mélodies d'autrefois interprétées par
Monique St-Onge accompagnée par le pianiste Claude Émond.
• variétés : mardi 26 et mercredi 27 janvier,
20 h, les poètes Jean-Marc Dalpé et Patrice
Desbiens, de même que le chansonnier Richard Desjardins, offrent un spectacle de
poésie et de musique.
LA PETITE PATRIE
6707, avenue De Lorimier (872-1730); .
• Exposition : A partir du dimanche 24 janvier, jusqu'au 7 février, exposition de dessins
et sculptures de Denis Feeteau, oeuvres réunies sous le titre • De l'ocre rouge au monde
profane.
• Musique classique : le dimanche 7 février, a
14 h, sur la scène du Patro Le Prévost, 7355,
avenue Christophe-Colomb, représentation
de L'Atelier lyrique de l'Opéra. Au programme, notamment, deux actes de La Bohème
de Pulccini.
• Musique classique : le samedi 13 février, a
20 h, a l'église saint-Edouard (angle Saint-Denis et Beaublen), l'Orchestre Métropolitain
de Montréal, sous la direction de Raffi Armenian, avec la soprano Colette Boky. Un programme d'extraits d'opéras (Mozart, Beethoven, Lehar et Gounod I.
• variétés : le mercredi 3 février, a 20 h, au
Patro Le Prévost, 7533, avenue ChristopheColomb, un nouveau-venu du rock'n roll, Michael Breen.
NOTES
Les heures d'ouverture des maisons de la culture sont : les mardi, mercredi et jeudi de
13 h a 21 h; les vendredi, samedi et dimanche, de 13 h a 17 h.
L'entrée aux expositions est gratuite.
Pour les manifestations autres que les expositions, on doit se procurer des laissez-passer gratuits, disponibles au plus tôt sept jours
avant la date de l'événement, a la maison de
la Culture concernée.
HORS MONTRÉAL
'..
ATELIER DE GRAVURE (74, av. du Pacifique,
Laval) — Oeuvres de Franclne Simonin, Jocelyne Aird-Bélanger, Catherine Bourret, Gloè
Chisalita, Yves Dana, Elisabeth Dupont, Diane
Glguère, FrancineGobell, Juliana Joos, Andrée
Jutras, Jocelyne Petit et Cabrielle Sheloesser.
Du ven. au d i m , de 13 h a 17 h; mere, de
20hà23h.
\
B I B L I O T H É O U E M U N I C I P A L E D E S SOURCES
(110, Cartier, Roxboro) — Peintures de Susan
Heller. Jusqu'au 31 janvier. .
CENTRE DU VIEUX PALAIS (185, du Palais.
Saint-Jérôme) — Exposition «Propositions
picturales contemporaines». Mere, Jeu, veh,
dim, de 12 h a 17 h. Jusqu'au 28 février.
CAISSE POPULAIRE DE SAINTE-THÉRÈSE .DE
BLAINVILLC (37, Turgeon) — Peintures de Nicole Tremblay. Jusqu'au 5 février.
COMPLEXE RIVE-SUD (2750, boul. Marie-Vietorin e„ Longueull) — Sam, d i m , de 10 h, a
21 h, oeuvres de Januario Tomas Sousa Cordeiro (Lilisoh).
GALERIE DES ARTISTES-PEINTRES CRÉATEURS ASSOCIÉS DU OUÉBEC (206, Saint-Eustache, Saint-Eustache) — Oeuvres de peintres canadiens. Tous les Jours de 11 h a 17 h,
sauf lun, veh.
GALERIE D U CENTRE (250, Saint-Laurent.
Saint-Lambert) — Peintures et- maquettes
d'Alfred LeRoyer. Ou mar. au ven, de 12 h a
17 h et de 19 h à 21 h; dim, de 13 h a 17 h.
Jusqu'au 31 Janvier.
•
G A L E R I E D ' A R T DU COLLÈGE É D O U A R D -
MONTPETIT (945, chemin Chambly. Longueull) — A compter de mar, peintures de
Karen Bernier et Marc Dugas. Du lun. au jeu
de 12 h a 17 h; mere, de 18 h 30 a 21 h; dim!
de 14 h a 17 h. Jusqu'au 11 février.
GALERIE 8 (239, rue Principale. Saint-Sauveur
dès-Monts) — Sculptures d'Armand Vaillancourt. Tatiana Démidoff, Claude Brousseau
Jean-Yves Coté et tvahhoé Fortier. Ven, de
15 h a 22 h; sam, do 1J h a 22 h; dim, de
13 h â 19 b.
GALERIE ROUUIER (74, Valmont, Repentigny)
— Oeuvres de W. Armstrong, J. Rhéaume, M.
DeCarrier, A. Fortin, S. Perreault et M. lefort.
GALERIE MONIOUE-SALVAIL (120, J.-A.-Pré-
fontalne, Saint-Adolphe d'Howard) — Oeuvres de Domlngue, Ladouceur, Lafrance, lesueur, Bourret et Nadeau. Sam, dim, de 13 h
a 17 h.
MAISON DES ARTS DE LAVAL (1395. boul. de
la Concorde o , Laval) — Exposition «Papiersurface/Papier habité». Du mar. au ven, de
13 h 30 a 16 h et de 19 h a 22 h; sam, d i m ,
de 13 h 30 a 17 h et de 19 h à 22 h. Jusqu'au 7
février.
MAISON DES ARTS DE PIEDMONT (Piedmont)
— Oeuvres de P.-V. Beaulleu. F. lacurto, Riopelle, F. Nemeth, Rousseau, Pellan et Avorte.
MUSÉE MARSH (349. Riverside Drive, SaintLambert) — Vêtements de bébés et d'enfants du début du vingtième siècle. Du mar.
au ven, de 11 h a 16 h; dim, de 14 h a 17 h.
Jusqu'au 28 février.
L A P R E S S E , M O N T R E A L , S A M E D I 23 J A N V I E R 1 9 8 8
E 17
Dana la collection
La CEO se lance en télévision
Presse Canadienne
QUÉBEC
• La Centrale de l'enseignement
du Quebec (CEQ) se lance dans la
télévision. D'ici le mois d'avril,
une. série de 13 émissions de 30
minutes/produites par la centrale, sera diffusée par les canaux
communautaires de.tout le Québec.
L'Amfirlcanlté
tion, a indiqué hier M m e Rosette
Côté, vice-présidente de la CEQ.
Evidemment, c'est engagé p u i s q u ' o n y traite des grandes questions actuelles dans le monde de
l'éducation, des valeurs et de la
place qu'elles doivent occuper.
Selon les porte-parole de la
ÇEQ, là série intitulée Education
et société et produite èn collaboration avec'le Regroupement des
organismes communautaires de
c o m m u n i c a t i o n du' Q u é b e c
(ROCCQ) a coûté entre $150 000
et $200 000.
Les sujets abordés seront aussi
variés que l'informatisation à
l'école, l'enseignement du français, la formation professionnelle, les rapports entre garçons et
filles, etc. •
« C e ne sont pas des émissions
a endoctrinement ni de promo-
> ANS
les 23 et 24 janvier à 21 h
et du 26 au 29 janvier à 19 h
au Cinéma 0NF
du Complexe Guy-Favreau
200, boul. Dorchester ouest
Son C O R P S - . . £
^
Itinéraire
un film d'animation de
Bernard Longpré
'
Deux productions de
l'Office national du film
du Canada
m
E E \ / E E III
m"o^y
33K-0560
9
®
VIDEO CASSETTES
$29.
^
95
/
....
tmk
AU CINÉMA ONF DU COMPLEXE GUY-FAVREAU
DEUX PRODUCTIONS DE L'OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA
vim* -m >^
Office
National
national du film Film Board
du Canada
ol Canada
/
Au même programme:
SI eeufemertt.., un film d'animation de Marc Aubry
LES 23 ET 24 JANVIER A 19 H
ET DU 26 AU 29 JANVIER A 21 H
Prix d'entrée : 2 S
ICOMMOBOREfflB
57800 0 O U L . C O U I N
un film de Micheline Lanctet
Dans une société dominée par l'obsession de posséder,
que signifie pour nous être heureux?
avec
&
G
VISA
LOUIS
9
Office
national du film
du Canada
National
Film Board
of Canada
Lntfôo: 2S
Tft
i^orj
DÈS VENDREDI
LE 29 JANVIER !
V)
JBERT BROOKS HOLLY HUNTER
POUR
DIDIER F A R R É E T A C T I O N FILM P R É S E N T E N T
O u i pourrait empêcher un acteur
de tomber amoureux de sa partenaire ?
Ça durera une heure, une nuit, un mois,
aucune importance...
C'EST L'INSTANT
DE
GRÂCE!...
"Jean-Guy Noël nous livre
un filmremplide tendresse."
MINOU PETROWSKl
Les Belles Heures
Avec
GILLES VIGNEAULT • LOUISE PORTAL
SARAH-JEANNE SALVY
_ ROADCAST
©
It's the story of their lives. .gy
VERSION
v c n o i w n ORIGINALE
wnivjiimi-i.
flPrfonBBjJ
•
••
. PUT) *g*ï i*w
TA0US O f COHTTMT
* . - - • - Of Thr "îfi?
wwe PfttMNfÀftOM SPÊCIALCI
C O W O H I BT L A I S S C Z - P A S U R R C F U B I S
'-
fiiioEaVâï
ÉGYPTIEN
SQUARE DECARIE
CARREFOUR LAVAL
USSRUEPCEl WWM .
• UECAhjE. SUD OE JEAN 1.'.10N Jlli'90
NIVEAU INKRIEUS DES MURS JWNT-POYAl . .
2330 AUI DES LAURENTIDES 668-3664
UN HOMME
AMOUREUX
Un film de DIANE KURYS
avec GRETA SCACCHI - PETER COYOTE
JAMIE LEE CURTIS - CLAUDIA CARDINALE
- VINCENT LONDON
O
CKAÇw73
M^<5 Trkmion
ggaggg
DÈS VENDREDI LE 29 JANVIER I
«JEAN-GUY NOËL • »KGILLES VIGNEAULT • LOUISE PORTAI • SARAH-JEANNE SALVY
JACQUES FERRON • » « . . FRANÇOIS BEAUCHEHIN • H " " RENÉ CUEISSAZ
! E ! r MARC DAIGLE ET RENÉ MA10 •
. . < A C P A V • LE CROUPE MAL0FILM
m m w m
M
•• • ••mmriaariuOFFICE NATIONAL OU f l l M DU CANADA • «riti««iro<rnm<mmi»o<tt[>f TÉIÉFIIU CANADA
. SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DU CIHÉUA DU QUÉBEC • uomi I I C C U U M T I ADRÉNALINE RUSH ET PREMIÈRE
SUPER ÉCRAN (PREMIER CHOIX: TVEC INC.I iiiâcnirijiiciNRADIO-OUÉOEC
M
Ï V " MA10FILM DISTRIBUTION
LTOMÂTTHAU
DONNA DRÔN
CHARLES (iROIMN
UNE PRÉSENTATION
SPÉCIALE:
COUPONS
ET LAISSEl-PASSER
V E R S I O N ORIGINALE
REFUSÉS
A MICHAEL RITCHIE FILM
«ORIOH*™»»-*».
A LAWRENCE GORDON PRODUCTION
DAN AYKR0YD CHARLES GR0DIN " T H E COUCH TRIP" DONNA DIXON
RICHARD ROM ANUS DAVID CLENNON ARYE CROSS
aa4 WALTER H A n i l AU at "Becker"
"""R CORDON A. WEBB "R RICHARD A. HARRIS «SKÎ3S DONALD E. TH0RIN,.« .
.KttR KEN KOLB
STEVEN KAMPMANN. WILL PORTER « SEAN STEIN
PLACE ALEXIS NIH0H
NIVEAU OU MEIR0ATWAIER
Érîll
m\
51MJ16
SQUARE
i
DECARIE
«CARIE SU0 0E JIANTAIO* J4I 3190
CARREFOUR LAVAL
?330 AUT OfS LAURENTIOCS UiXU
i»
.
BR0SSARD
MAIL CHAMPLAIN 466-SW6
ASTRE
WO lACOROAIRE M7-M01
E18
LA PRESSE. MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
qu'on peut pasêthe
À l'affiche tous les jours au St-Denis. Sam.,
dim. aux Carrefour Laval, Montréal et Lonpieuil
LES CRITIQUES
ONT VOTÉ!
LES MEILLEURS
FILMS DE L'ANNÉE
" M a e s t r o M a s t r o i a n n i : Magistral une fois
de plus!"
«ATTENTION,
CHEF D'OEUVRE!»
— Gérard Lefort, - LIBÉRATION
"Un film dépouillé à l'extrême, mais qui
fascine de bout en bout. M a s t r o i a n n i y est
sublime, comme d'habitude."
— Gerard Edelstein, - L'ÉQUIPE
" A n g e l o p o u l o s raccourcit, rajeunit et
extrait de son miel une gelée royale pour
amateurs."
- PREMIÈRE
" U n t r è s b e a u f i l m / — FrancineLaurendeau,
-LE
DEVOIR
LION D'OR
VENISE'87
- NOUVEL
Le meilleur film français de l'année
— Bon Dimanche
«... parfaitement réussi
et profondément émouvant»
-RichardGay,
COIN 01 MAISOWiU'Vf
OBSERVATEUR
L'ACTUALITÉ
"l'événement cinématograp
de l'année.»
6 » 4SI
— LE QUOTIDIEN
DE PARIS
EN N O M I N A T J O N P O U R 1
GOLDEN G L O B E _ _
E L'ANNÉE.
D
MEILLEUR FILM ETRANGER
<... Un film
exceptionnel.
EN NOMINATION POUR
5 PRIX GOLDEN GLOBE
- Franche Laurendeau,
Le Devoir
00NT
MEILLEUR FILM
MEILLEUR ACTEUR - JOHN LUNE
MEILLEUR DIRECTEUR - BERNARDO BERTOLUCCI
«Un chef d'oeuvre
«'ILE DERNIER
E
VERSION FRANÇAISE DE
THE I AST EMpER®R
EN VERSION
FRANÇAISE
DAUPHIN
BEAD6IEN . IBERVILLE
12\ W W
VERSION ORIGINALE ANGLAISE
• Jmi.llliH.IMM
A CHAIEAU CHAMPLAIN
8614495
©
I
^ ^ L _ J
un film de THEO ANGELOPOULOS
MARCELLO MASTROIANNI • NADIA M0UR0UZI
SERGE REGGIANI
POUR EVITER
LES ATTENTES...
Présente
piles
noncompnses
Cette nuit-là, Faye Riley laissa
la fenêtre ouverte..^
un classique
ans*,
Ql ST H i B U T I O N
VOUS POUVEZ ACHETER V O S BILLETS
D'ENTRÉE A L'AVANCE.
AUX CINÉMAS: BERRI.
COMPLEXE DESJARDINS. FAUBOURG,
ÉGYPTIEN, ST-
!3fU4NCiËl
.Ai.
PALME D'OR
CANNES 198?
Par la p u i s s a n c e d e s o n s t y l e , sa f a ç o n d e tailler son
récit e n g r a n d s p a n s a b r u p t s , d e porter s e s a c t e u r s a u
sublime d e leur j e u , d ' e m p o r t e r l'émotion e t d e laisser
en m ê m e t e m p s , c o m m e u n e a r ê t e d a n s la g o r g e , le
subtil reliquat d u d o u t e , P I A L A T A P R O D U I T U N C H E F D'OEUVRE.
-LE MONDE
M a u r i c e Pialat signe u n e d e s e s o e u v r e s les plus
fortes. E t l e s plus p e r s o n n e l l e s .
—L'EXPRESS
J'ai revu «Sous le soleil d e S a t a n » a v e c un plaisir
r e n o u v e l é . Pialat réussit à n o u s interpeller a v e c autant
d e f o r c e , q u e B e r n a n o s 6 0 a n s a p r è s . L'intérêt d e
«Sous le soleil d e Satan» e s t a v a n t tout
cinématographique.
_
p eault,
LA PRESSE
L
u
c
les
entants
UN FILM D E LOUIS
D I S T R I B U T I O N
MALLE
BASILAIRE I
«C h e f
POINT
avec GASPARD M AN ESSE
•RAPHAËL FEJTÔ»
FRANCINE RACETTE
PHILIPPE M0RIERGEN0U0
|scenano et réalisation LOUIS MALLE
[4LU4NCÉ]
Ki^JflL/H
oirni» DESJAflDINS
2M-3I41
d ' o e u v r e .»
— LIBERATION
«Le plus beau film de l'année...
Un moment unique dans l'histoire du cinéma.»
— Luc Perreault. La Presse
Un film magique.
**•*
— LE JOURNAL
err
version française d e
'batteries n o t included
DU DIMANCHE
Epoustouflant... La m e i l l e u r e m i s e e n s c è n e de 1987.,
D'une t r è s , t r è s g r a n d e r i c h e s s e .
-
VERSION FRANÇAISE
IMOBUt S I 0 Ï N I S
du cinéma.»
-LE
COIN DE MAISONNEUVE « 9 Ji'.'
v
personnes espéraient
un miracle.
de simplicité.
Dès sa naissance,
Richard
Gay. BON
DIMANCHE
«Un chef-d'oeuvre... un pur enchantement.»
— Robert LévesQue. Le Devoir
845 3222
«Le miracle s'impose, magistral,
en douceur, à la première image... »
— LE MONDE
«Un bonheur cinématographique...
littéralement touché et porté par la grâce.»
- L'ÉVÉNEMENT DU JEUDI
GERARD
DEPARDIEU
SANDRINE
BONNAIRE
Sous LE SOLEIL
DE SATAN
Un-film de
MAURICE PIALAT
d'après le roman de GEORGES BERNANOS
jcenatio SYLVIE DANTON • photographie WILLY KURANT • caméia JACQUES LOISEIEUX
chelmonteurYANN DEDET» mixage DOMINIQUE HENNEQUIN
ffly/iyjfftj
musique HENRI DUTILLEUX Symphonie No.l INTERMEZZO r ^ ^ ^ ^ |
. « . M M DESJARDINS
BASILAIRt 1 288-3141
0k
«Un film réussi de bout en bout»
-L'HUMANITÉ
laVallcc
fantôme
' l'NHI.MDk
A L A I N T A N N E R
fllWfflfTT«f.U']i;!«
UASILAlRE I
JM J141
<4LLf<4NC£
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E 19
CINEMA
Moonstruck
SBRCB
DU88AULT
loonstruck
,
'de Norman
Jewison, sortait la
semaine dernière
dans 480 salles, au
Canada et aux
Etats-Unis. Recettes du p r e m i e r
week-end: un peu plus de cinq
millions. Un succès. À l'image de
la c a r r i è r e de jewison, qui est une
véritable success story... Il a tourné avec quelques-uns des plus
gros noms du box-office, Doris
Day dans The Thrill of It AU et
Send Me No Flowers, Sylvester
Stallone dans F.I.S.T., Jane Fonda
dans Agnes of God, Burt Reynolds et Goldie Hawn dans Best
Friends. Il donne l'impression
d ' a i m e r les acteurs et de leur laisser beaucoup de liberté.
Je l'attrape au téléphone entre
deux meetings, à Toronto, quelques jours avant la sortie de
Moonstruck. Il a eu une terrible
day... mais se montre extrêmement affable.
«Oui, j'aime les acteurs. J'ai
d'ailleurs commencé comme acteur et écrivain. Je considère que
le jeu des acteurs est plus exciting
que le travail de la caméra. C'est
relativement facile de tourner
une scène. Mais placer quatre acteurs dans un lieu donné et rendre ça intéressant, ce n'est pas si
simple. C'est pourquoi j'aime le
Déclin de l'empire
américain
d'Arcand. Un film fascinant!»
/ u n succès à l'image de Jewison...
On croit que Jewison est
américain. Mais il est né en Ontario en 1926. Il a été des premières
équipes de la télévision canadienne et a tourné ses premiers films à
l'ONF. Hollywood lui fait signe
en 1965. Il remplace Sam Peckinpah à pied levé et termine The
Cincinnati Kid à sa place. Premier film américain, premier succès. Il réalise ensuite The Russians Are Coming, the Russians
Are Coming et gagne un Oscar
l'année suivante avec In the Heat
of the Night.
Un pou tous les genres...
Quand on parcourt ln liste de
ses films, on cherche en vain un
dénominateur commun. I| a touché à un peu tous lés genres...
Moonstruck
est une comédie
dans le ton de Best Friends qui
n'a rien à voir avec F.I.S.T. ou In
the Heat of the Night. Ni avec
And Justice for AU, une satire
mordante de la justice américaine. Comment choisit-il ses
films?
«J'essaie de faire des films différents, je veux que chacun ait
son look, son style. Mais je me
rends compte que je me répète...
Je crois qu on retrouve dans presque tous mes fi|ms lè thème de la
trahison. Je suis un storyteller, un
conteur, je cherché des histoires
qui m'inspirent. Je suis aussi un
amimal politique, j'aime beaucoup les social issues... »
Pas de social issue dans Moonsr
truck, que Jewison à tourné à
New York et à Toronto. Mais une
peinture amusante, presque caricaturale, des Italiens de Brooklyn. Et un personnage secondai-
re, bien interprété par Olympia
Dukakis, qui demande sans cesse :
pourquoi les hommes courent-ils
après les femmes? « Because they
fear death* lui répond-on. Ou, à
la blague : « to get their rib back »
— pour reprendre la côte que
Dieu leur a enlevée pour créer
Eve...
Le thème de la trahison dont
parlait Jewison se retrouve dans
Moonstruck:
fiancée à Danny
Aiello après un premier mariage
raté, Cher le trompe avec son frère (Nicolas Cage), un robuste
boulanger que la pleine lune rend
amoureux.
Au festival de Berlin
|1 y a dix ans, Jewison est revenu au Canada. Il a maintenant
deux bureaux de production, l ' u n
à Toronto et l'autre à Los Angeles. Est-il redevenu un cinéaste
canadien?
« Je ne me c o n s i d è r e ni
américain ni canadien, jè suis un
filmmaker, period. J'ai travaillé
en France,, en Israel, en Allemagne, j'ai tourné Agnes of Cod au
Québec...»
.
S'il a émigré aux Etats-Unis, ex*
plique-t-il, c'est que dans les années cinquante l'industrie cinématographique canadienne était
ambryonnaire. En dehors de
l'ONF, peu de films se tournaient. La situation a changé.
« II se fait plus de film à Toronto, à Montré?! et à Vancouver
qu'aux États-Unis. À cause de la
faiblesse du dollar canadien , oui,
mais aussi parce que nous avons
de très bons techniciens. Au Québec, vous êtes encore plus sophistiqués et le fait de travailler en
français vous permet de tourner
des films qui ne sont pas sur le
modèle américain. »
Moonstruck a été invité au festival de Berlin qui aura lieu en fé-
Norman Jewison, lors du tournage dune séquence de Moonstruck
vrier. En compétition? Jewison
ne le sait pas encore. II ne croit
pas. D'ailleurs, il n'aime pas
beaucoup la compétition. Chaque
film, dit-il, est une chose en soi,
une chose unique, qu'il ne faut
pas comparer aux autres films.
Souvent considéré comme un
bon artisan plutôt qu'un auteur,
Norman Jewison a tout de même
l'impression d'avoir réalisé une
oeuvre.
«Vous savez, quand on regarde
sa vie, ce qu'on laisse à ses enfants... Les films durent comme
les livres parce qu'aujourd'hui,
dans un monde de communications, le cinéma a pris la place
qu'avait la littérature. C'est incroyable comment un film peut
être compris à l'étranger: quand
la Cinémathèque française a présenté A Soldier's Story, le public
s'est identifié de façon étonnante
aux soldats noirs...»
Jewison travaille actuellement
sur trois histoires différentes
dont une — qu'il tournera probablement au printemps — sur une
jeune fille dont le père a été tué
au Vietnam à l'âge de dix-neuf
ans.
«Elle ne l'a jamais connu et
cherche à le retrouver, par des
photos, des lettres...»
...ou l'effet de la /unasurles Wops
LUC P E R R E A U L T
• La lune brille sur New York.
Une lune énorme, beaucoup plus
grosse qu'une grosse pomme. Vu
de Brooklyn par temps découvert,
l'effet est magnifique. On dirait
Montréal vu du vieux port dans
Un ?oô la nuit.
Cette pleine lune, on la verra
briller trois nuits consécutives.
Un record que le Cuiness n'a pas
encore consigné, of course. Pas
étonnant dans ces conditions que
de petits chiens inoffensifs se
mettent soudain à hurler en sa direction comme des loups, qu'un
vieux couple se découvre des ardeurs d'il y a 25 ans et qu'en général dans la famille Castbrini
pas mal d'événements imprévus
surviennent tout à coup.
Cher, dans le rôle d'une veuve encore belle mais retirée de la
compétition.
Dans Moonstruck, il y a Cher
en chair et en os : superbe dans ce
rôle de veuve encore belle mais
retirée de la compétition. À 37
ans, Loretta Castorini sé contente
de peu : un obscur travail de
comptable sur lequel il n'y a rien
à dire, une vie de célibataire rangée au milieu de parents conventionnels et d'un grand-père original. Il faut la voir s'avancer dans
la rue, timide et effacée. La vie
semble l'avoir oubliée. De sa personne émane pourtant un éclat
intérieur. Tout à l'heure, elle va
revivre. On la verra se transformer. Cendrillon va, l'espace d'un
soir, découvrir son prince charmant qui n'est pas celui qu'on
avait d'abord cru.
Quand Scola dans La famiglia
déploie tout son talent pour rendre compte de quatre générations
d'une famille italienne, il ne va
pas plus loin dans le pathos que
Norman Jewison. Comment se
fait-il que ce juif torontois ait si
bien senti l'essence à la fois comique et profondément humaine
des Italiens de Brooklyn ? Car, on
l'aura deviné, Moonstruck est un
film aussi attendrissant et émouvant que divertissant et drôle.
Il faut reconnaître que le metteur en scène a pu compter sur le
scénario de John Patrick Shanley
qui repose, d'évidence, sur une
profonde connaissance du sujet
qu'il traite. Chaque détail sur cette communauté italienne parait
le fruit d'une longue observation.
Ce scénario est, par ailleurs, aussi
précis que du, papier à musique.
Les situations s y enchaînent avec
une souplesse et une grâce admirables. Dès les premières séquences sont posés les éléments du décor, notamment de l'opéra, qui
serviront de toile de fond à l'intrigue sans oublier les constantes
références à la lune. Puis, à mesure que cette partition se joue, on
sent Jewison user de ses comédiens — tous remarquables --comme un chef d'orchestre de ses
musiciens. Pas une fausse note
dans cette composition. Du début
à la fin, de rebondissements en
coups d'éclat, on aura droit au
numéro parfaitement maîtrisé
d'un illusionniste de talent.
Bien sûr, Jewison n'innove pas.
Ne cherchons pas dans Moonstruck un film qui va révolutionner le cinéma. Mais on s'en fout.
Le plaisir d'une exécution parfaite vaut bien la souffrance d'une
création difficile. Plutôt qu'un
Sauve qui peut, la vie jewison a
confectionné une sorte de Courez-y vite, la vie. (Les résultats du
box-office sont d'ailleurs là pour
en attester... )
S'il faut trouver à ce film une
filiation, on la cherchera du côté
de Billy Wilder et d'un vieux film
comme Avanti. Comme chez Wilder, Jewison projette le spectateur
dans un état second caractérisé
par une sorte de jubilation. Celleci ne peut provenir que du bon
dosage de ces ingrédients subtils
que sont la tendresse, la comédie
et la passion. Servi al dente, le
plat de Jewison se savoure sans
faim.
MOONSTRUCK, de Norman Jewison, aux
Loew's2etFairview1.
Une «guerre oubliée» inspirée de La Turlutte des années dures
jSSSSt&
^HBflHI
L
U
C
PERREAULT
ui se souvient de la
Première Guerre
mondiale? Cette
guerre oubliée
dont le théâtre
fut l'Europe, a-telle laissé des traces chez nous ?
Oui, répond catégoriquement
le cinéaste Richard Boutet. Il le
prouve par un long métrage mêlant documentaire et fiction
dont l'objectif est de faire revivre cette époque pour le moins
mouvementée et quelque peu
méconnue de notre histoire.
Le sujet de La Guerre oubliée
lui fut suggéré pendant le tournage de La Turlute des années
dures. La Crise d'octobre 1970,
rappelle-t-il, renvoit à la Crise
économique de 1929 mais cette
dernière trouve à son tour un
écho dans la Crise de la conscription de 1917.
«Des témoins intervenant
dans La Turlute m'avaient déjà
mis sur la piste de la guerre de
1914-1918, note Boutet. La continuité entre La Turlute et La
Guerre oubliée tient dans l'idée
de la crise. Entre la crise et la
guerre, le lien est très fort. »
11 ajoute qu'au moment où
germait l'idée de ce dernier
film, en 1983, pour la première
fois dans l'histoire on brandissait la menace de guerres nucléaires limitées. C'était aussi
l'arrivée au pouvoir de gouvernements conservateurs aux
Etats-Unis (Reagan) comme au
Canada (Mulroney) et même en
URSS (Brejnev). Il y avait selon
lui une analogie à faire entre ce
qui se passait alors et ce qui
s'était passé lors de la Première
Guerre mondiale, époque où le
Canada fut aussi dirigé par un
gouvernement conservateur.
Mais
Mais ilil fallait
fallait faire
faire vite
vite car
car les
les
derniers
, ) , „ . „ ; „ „ témoins
» A „ , „ : „ - de
J „ cette
«,,....» époA
que s'éteignaient doucement
dans l'indifférence générale.
Ceux qu'il a réussi de peine et de
misère à réunir pour les besoins
du film avaient en moyenne 9 0
ans. Il n'est pas convaincu,
moins de deux ans après le tournage, qu'ils soient encore de ice
monde.
La der des der
La propagande de l'époque a
prétendu que cette Première
Guerre mondiale allait mettre
fin à toutes les autres guerres.
Elle ne fut en fait que le prélude
à un nouveau genre de tueries
collectives. Pour Richard Boutet, elle mérite de porter le nom
de «première guerre mondiale»
parce que ce fut la première fois
où l'industrie fut à ce point mise
au service des armements.
Tant que la concription fut
volontaire, les Québécois ont assisté en spectateurs à cette guerre. Mais la société retournait à
des valeurs intégristes et les conservateurs étaient en faveur de
la guerre. Même si le Québec •=contrairement au reste du Canada — avait voté contre la Conscription, imitant en cela les Irlandais et les Australiens, l'engagement volontaire fit place en
1917 à |a conscription obligatoire.
Le point tournant fut l'entrée
en guerre des Etats-Unis euxmêmes. Un éditorial de l'influent New York Times cité
dans le film parait suffisamment
explicite : « Fusillez tous les Canadiens français qui s'opposent
à la Conscription». Le gouvernement Borden qui craignait ce
genre de réactions alliées décida
d'y aller à fond de train dans
l'envoi de soldats au front. Le
haut-clergé québécois en la personne notamment du cardinal
Bégin, personnifié dans le film
par le comédien Jean-Louis Paris, devait lui emboîter le pas en
soutenant l'effort de guerre.
d'opposition allait provoquer en
retour une forte répression par
l'armée dirigée par un général
d'origine francophone. 11 ne
s'agissait pas d'une armée d'opérette, signale Boutet, mais d'une
armée agressive. Pour la première fois, le gouvernement avait
décidé de faire appel à la loi des
mesures de guerre, la même
qu'on allait sortir de ses boules ù
mites en 1970. Il y eut des morts
et de nombreuses arrestations.
budget m
modeste
$ 3385
8 5 000000 ).) .
budget
o d e s t e (( S
Mais sans le Conseil des Arts qui
Mais s a n s l e C n n s « i l d e s A r t s n u i
a avancé les premières sommes
destinées à enregistrer d'urgence les entrevues avec les témoins
encore vivants, il n'est pas sûr
que le film se serait finalement
fait.
Curieusement, la forme adoptée par Boutet s'inspire directement des premières séances de
cinématographe telles qu'elles
se pratiquaient à l'époque du
Ouimetoscope, une forme en
somme contemporaine au sujet
traité.
«On pratiquait alors un mélange d'actualités filmées, de
films proprement dits (des Chaplin, par exemple) et de chansons illustrées, explique Boutet.
J'ai eu l'idée d'un équivalent
mêlant films d'archives, entrevues avec témoins, scènes reconstituées en décors naturels et
chansons d'époque tournées en
studio à l'ONF.»
L'originalité de l'oeuvre tient
précisément dans cette forme
assez inusitée qui rappelle le
Hitler de Syberberg (à cause de
l'utilisation de la projection arrière des documents d'archives ).
On songe également à Brecht
tant à cause de l'utilisation des
chansons que par la distanciation entre le spectateur et le sujet traité.
«J'ai cherché, reconnaît Boutet, à créer une tension entre
une esthétique de la distanciation et une esthétique de l'identification. Je voulais que les
spectateurs trouvent un plaisir
aux différentes séquences et en
même temps qu'ils aient assez
de temps pour réfléchir à ce qui
se passe entre ces séquences. »
Un retour au
cinématographe
Boutet aurait aimé faire un
film sur l'aspect contemporain
de la guerre. Mais cette approche aurait nécessité un budget
considérable. La Guerre oubliée
a donc été tourné grâce à un
Un parti pris théâtral
L'impression de théâtralité
dégagée par le film, notamment
par la présence de la chanteuse
Jo Bocan et l'entrevue de témoins survivants en tenue de
soldat de l'époque, n'est pas
étrangère à la forme adoptée.
~
~
Richard Boutet
raconte son dernier film
BSM1*MB*AI
De\t
"
t+*s4*
, LA PRESSE
Dans un premier temps, explique Boutet, les conscrits se sont
cachés, certains jusque dans le
fond des bois. Mais le travail
conjugué des policiers, des MP
(policiers de l'armée) et des
spotters (agents de recrutement
en civil inflitres dans la popular
tion) devait finalement porter
fruit. Par milliers, des Québécois étaient contraints de s'embarquer pour l'Europe. La résistance pourtant ne cessait de
croître. Elle devait culminer à
Québec lôrs de la Semaine sainte de 1917.
À la suite de l'arrestation de
jeunes gens, on a vu la population sortir dans la rue, déchirer les cartes de conscription
et exiger la libération de ces
deux jeunes. Cè mouvement
deux
T
Pour Boutet,
Boutet, ilil fallait
fallait en
en effet
effet rerePour
nouer avec le cinéma des dén o u e r a v e c le c i n é m a
les debuts, encore fortement influencé par l'esthétique théâtrale.
Il faut bien reconnaître que la
crédibilité du film repose fortement sur ce parti pris théâtral,
soulignant du même coup les limites et les faiblesses de cette
entreprise. On se demande d'ailleurs si ce projet n'aurait pas
mieux bénéficié de la scène plutôt que de l'écran puisque les
chansons, élément-clé du film,
auraient alors joui de conditions
idéales, c'est-à-dire la présence
réelle de la chanteuse. Le metteur en scène admet qu'une telle
idée, l'adaptation de son film
pour la scène, est loin de le laisser indifférent.
Ceci dit, il faut justement dire
un mot de ces chansons, quatorze au total, qui contribuent au
climat si particulier du film.
Certaines comme La Madelon
de la victoire empruntent carrément au répertoire français
mais la plupart, anonnymes,
proviennent du folklore québécois. Le Petit Conscrit en offre
un des meilleurs exemples.
Constatant certaines lacunes
dans ces chants populaires, Richard Boutet a pris l'initiative
de composer lui-même les paroles de deux chansons inédites
dont l'une, La Complainte de
Québec, ressemble dans sa forme à une chanson d'époque, La
Complainte du Pont de Québec,
qui date aussi de 1917.
Richard Boutet ne manque
pas de projets. 11 songe ù un documentaire sur le suicide chez
les jeunes qu'il aimerait traiter
par le biais de la poésie de Nelligan. En réaction, il caresse
l'idée d'une comédie qui porterait sur un enterrement de vie
de garçon. Enfin, Ln Guerre oubliée |ui a donné l'idée d'un sujet complémentaire : raconter
l'authentique histoire de la Madelon. Elle n'a pas cessé de faire
rêver les soldats en puissance
que nous sommes...
T
Les horaires de cette page doivent
parvenir avant mercredi au
Service des arts et spectacles,
LA PRESSE, 7 Saint-Jacques. Montréal H2Y 1K9
Les arts cette semaine
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
E20
CINÉMA
A BOUT DE SOUFFLE
Bogart (3): 19 h 30, 21 h 30.
AILES DU DÉSIR (LES)
Berri (4): 12 h. 14 h 30,17 h, 19 h 30, 21 h 55.
Dernier spectacle sam., minuit 25.
AMOUR À LA FRANÇAISE IL')
Carré Saint-Louis: 11 h 30,15 h 20.19 h 10.
APICULTEUR (L)
Cineplex (5): 13 h 10, 15 h 30, 17 h, 19 h 20,
21 h 40.
AU REVOIR LES ENFANTS
Complexe Desiardins (2): 12 h 45, 15 h,
17 h 10, 19 h 20, 21 h 30. Dernier spectacle
sam., 23 h 50.
BARFLV
Cinéma Égyptien (21: 13 h 10, 15 h 10,
17 h 10,19 h 15, 21 h 30.
Complexe Desiardins (4): 13 h, 15 h, 17 h,
19 h, 21 h. Dernier spectacle sam., 23 h.
BATTERIES NOT INCLUDED
Bonaventure (2). Sam., dim., 12 H15,14 h 30,
16 h 45,19 h, 21 h 15; en sem., 19 h, 21 h 15.
Cinema Egyptien (3): 12 h 30, 14 h 45. 17 h.
19 h 10, 21 h 15.
BEAUTÉ FATALE
Berri (3): 13 h, 15 h 15,17 h 30,19 h 45, 22 h.
Dernier spectacle sam., minuit.
Jean-Talon. .Sam., dim., 13 h 10, 15 h 10,
17 h 10. 19 h 10, 21 h 15; en sem., 19 h 15,
21 h 15.
Laval 2000 (2). Sam., dim., 13 h 30, 15 h 25.
17 h 25, 19 h 30, 21 h 30; en sem., 19 h 30.
21 h 30.
Longueull (2). Sam..-dim., 15 h, 17 h. 19 h 15,
31 h 30; en sem., 19 h 1S, 21 h 30.. :
BROADCAST NEWS
Carrefour Laval (5). Sam., dim., 13 h 30,
16 h 15.19 h, 21 h 45; en sem., 19 h, 21 h 45.
Dernier spectacle, sam., minuit 20.
Cinéma égyptien (11:13 h, 16 h, 19 h. 21 h 40.
Décarie (11. Sam., dim., 13 h, 16 h, 19 h,
21 h 45.
CENDRILLON
Uval (4l. Sam., dim.. 12 h 30,14 h 30.
Parisien (3): 13 h, 15 h.
Versailles (5). Sam., dim., 12 h 30,14 h 30.
C'EST PAS PARCE QU'ON EST PETIT QU'ON
PEUT PAS ETRE GRAND
Carrefour Laval (4). Sam., dim., 13 h.
Cinéma de Montréal (11. Sam., dim., 12 h,
13 h 40,15 h 20.
Longueuil (2). Sam., dim., 13 h.
Saint-Denis (3): 12 h 40,14 h 45,17 h.
CHANT DES SIRÈNES (LE)
Cineplex (7): 13 h 10. 15 h 10. 17 h 10,
19 h 10, 21 h 10.
CHRONIQUE D'UNE MORT ANNONCÉE
Cineplex (4): 13 h. 15 h 10, 17 h 20, 19 h 30,
21 h 45.
CINDERELLA
Dorval (4). Sam., dim., 13 h, 15 h.
Palace (3): 13 h. 15 h, 17 h.
CLASSICAL ROMANCE
Eve: 11 h 20,14 h 15,17 h 10, 20 h.
CLUB DE RENCONTRE (LE)
Berri (5): 12 h 30, 14 h 45, 17 h, 19 h 15,
21 h 30; jeu.. 12,h 30, 14 h 45, 17 h, 21 h 30.
Dernier spectacle sam., 25 h 45.
CORPS POUR UN CHANTAGE (SON)
Commodore: dés 10 h.
COUCH TRIP
Astre (4). Sam., dim., 13 h 15, 15 h 15,
17 h 15, 19 h 15, 21 h 15; en sem.. 19 h 10,
21 h 10.
Brossard (3). Sam., dim.. 13 h, 15 h, 17 h,
19 h, 21 h 10; en sem., 19 h, 21 h 10.
Carrefour Laval (6). Sam., dim., 12 h 50,
14 h 55, 17 h 05, 19 h 15, 21 h 25; en sem..
19 h 15, 21 h 25. Dernier spectacle sam.,
23 h 30.
Decarie (2). Sam., dim., 12 h 30.14 h 45,17 h.
19 h 30, 21 h 45; en sem., 19 h 30, 21 h 45.
Plaza A l e x i s - N i n o n (1): 12 h'30, 14 h 35.
16 h 40, 19 h, 21 h 20. Dernier spectacle
sam., 23 h 30.
CRI DE LA LIBERTÉ (LE)
Berri (1): 13 h, 16 h, 19 h, 22 h.
CRY FREEDOM
Faubourg Sainte-Catherine (2): 14 h, 17 h,
20 h.
DANSE LASCIVE
Cinéma de Montréal (2). Sam., dim., 16 h,
17 h 50, 19 h 40, 21 h 30; en sem., 12 h 20,
14 h 10,16 h, 17 h 50,19 h 40, 21 h 40.
DEATH WISH (4)
Faubourg Sainte-Catherine (3): 13 h 15,
15 h 15. 17 h 15, 19 h 15, 21 h 15. Dernier
spectacle sam., 23 h 15.
DEBBIE DOES DALLAS (2)
Commodore: dés 18 h.
DERNIER EMPEREUR (LE)
Dauphin (1). Sam., dim.. 13 h, 16 h, 19 h, 22 h;
en sem., 14 h, 17 h, 20 h; jeu., 17 h. 20 h.
DIRTY DANCING
Cineplex (2): 13 h 05, (5 h 15, 17 h 25,
19 h 35. 21 h 45.
DUDES
Saint-Denis (3): 19 h 10, 21 h 25.
EDDY MURPHY RAW
Dorval (2). Sam, dim., 13 h 15, 15 h 15,
17 h 15, 19 h 15. 21 h 15; en sem., 19 h 15.
21 h 15.
Palace (2): 13 h, 15 h 10, 17 h 20, 19 h 30.
21 h 40. Dernier spectacle sam., 23 h 50.
EMPIRE OF THE SUN
Dorval (4). Sam., 17 h, 20 h; en sem., 20 h.
Imperial: 13 h, 16 h, 19 h. 22 h.
EXIGENCES TRÈS SPÉCIALES
Bijou: 9 h 50, 12 h 10. 15 h 35, 17 h, 19 h 25,
21 h 50.
FATAL ATTRACTION
Palace (6): 13 h 15, 15 h 50, 18 h 25, 21 h.
Dernier spectacle sam., 23 h 30.
FILLES A CONTRAT (DES)
Carré Saint-Louis: 14 h, 17 h 50, 21 h 40.
FOR KEEPS
Dorval (3). Sam., dim., 12 h, 14 h 20,16 h 40,
19 h, 21 h 20; en sem., 19 h, 21 h 20.
Kent (1). Sam., dim., 12 h 30, 14 h 45, 17 h,
19 h 15, 21 h 30; en sem., 19 h 15, 21 h 30.
Palace (1): 12 h, 14 h 20, 16 h 40, 19 h,
21 h 20. Dernier spectacle sam., 23 h 30.
Versailles (4). Sam., dim., 12 h 30, 14 h 45,
17 h, 19 h 15, 21 h 30; en sem., 19 h 15,
21 h 30. Dernier spectacle sam., 23 h 45.
FULL METAL JACKET
Cinéma de Montréal (1). Sam., dim., 16 h 55,
19 h, 21 h 10; en sem., 12 h 45, 14 h 50,
16 h 55,19 h, 21 h 10.
Cineplex (9): 13 h 45, 16 h 15. 19 h 10,
21 h 30.
Omega (21. Sam., dim., 13 h, 16 h 55, 20 h 55;
en sem., 20 h 55.
CÉNÉRATION PERDUE
Berri (2): 13 h 15, 15 h 15, 17 h 15. 19 h 15,
21 h 15. Dernier spectacle sam., 23 h 15.
Carrefour Laval (11. Sam., dim., 13 h 05,
15 h 10, 17 h 15, 19 h 20, 21 h 35; en sem.,
19 h 20, 21 h 35. Dernier spectacle sam.,
23 h 45.
Cineplex (1): 13 h 05, 15 h 05, 17 h 05,
19 h 05, 21 h 05.
Paradis (2). Sam., dim., 13 h, 14 h 45,16 h 30,
18 h 15, 20 h, 21 h 50; en sem., 19 h, 20 h 50.
GOOD MORNING VIETNAM
Dorval (11. Sam., dim., 12 h, 14 h 20,16 h 40.
19 h 10, 21 h 30; en sem.. 19 h 10, 21 h 30.
Loews (1): 12h, 14h20, 16h40, 19h 10,
21 h 45. Dernier spectacle sam., minuit 15.
Westmount Square. Sam., dim., 12 h, 14 h 20,
16 h 40, 19 h 10, 21 h 30; en sem., 19 h 10,
21 h 30.
GUERRE OUBUÉE (LA)
Bogart (2). Sam., dim.. 13 h 15, 15 h 15,
17 h 15, 19 h 15, 21 h 30; en sem., 19 h 15.
21 h 30.
Université. Sam., dim.. 12 h 30, 16 h 50
21 h 30; en sem., 21 h 30.
JAMES BANDE OOSEX NO. 2
Bijou: 10 h 55, 13 h 20, 15 h 45, 18 h 10.
20 h 35.
JEU DU DÉFI (LE)
Astre (1). Sam., dim., 13 h, 15 h, 17 h, 19 h,
21 h; en sem., 19 h, 21 h. Dernier spectacle
ven., sam., 23 h.
Chàteauguav (1). Sam., dim., 13 h, 15 h, 17 h,
19 h, 21 h; en sem., 19 h, 21 h.
Greenfield (1). Sam., dim., 12 h, 14 h 20,
16 h 40,19 h, 21 h 20; en sem., 19 h, 21 h 20.
Laval (1). Sam., dim., 12 h, 14 h 20, 16 h 40,
19 h, 21 h 20; en sem., 19 h, 21 h 20. Dernier
spectacle sam., 23 h 40.
Parisien (1): 12 h 25, 14 h 45. 17 h 05,
19 h 25, 21 h 45. Dernier spectacle sam.,
23 h 50.
Versailles (1). Sam., dim., 12 h 55, 15 h 05,
17 h 15, 19 h 25, 21 h 35; en sem., 19 h 25,
21 h 35^Dernier spectacle s^m., 23 h 40.
JOURNEY (THE)
Bogart (2). Sam., dim., 13 h.
KENNY
Chambly. Ven., 19 h 30. 21 h 30; sam., dim.,
13 h 30, 19 h 30, 21 h 30; lun„ mar., mere.,
19 h 30.
Chàteauguav (2). Sam., dim., 13 h 15,15 h 15,
17 h 15, 19 h 15, 21 h 15; en sem., 19 h 15,
21 h 15.
Greenfield (3). Sam., dim., 13 h 20, 15 h 20,
17 h 20. 19 h 20, 21 h 25; en sem., 19 h 20,
21 h 25.
Laval (5). Sam., dim., 12 h 50, 14 h 55. 17 h,
19 h 45, 21 h 30; en sem., 19 h 15, 21 h 30.
Dernier spectacle sam., 23 h 35.
Parisien (2): 13 h 20, 15 h 20, 17 h 20,
19 h 20, 21 h 25; jeu., 13 h 20, 15 h 20,
17 h 20,21 h 25.
Versailles (2). Sam., dim., 12 h 45, 15 h,
17 h 10, 19 h 15, 21 h 30; en sem.. 19 h 15,
21 h 30. Dernier spectacle sam., 23 h 35.
LAST EMPEROR
Place du Canada. Sam., dim., 13 h, 16 h. 19 h,
22 h; en sem., 20 h; mar., 17 h, 21 h.
LEONARD PART VI
Palace (5): 13 h, 15 h 05, 17 h 10, 19 h 15,
21 h 20. Dernier spectacle ven., sam.,
23 h 20.
LIAISON FATALE
Laval (4). Sam., dim.. 16 h 40, 19 h 10,
21 h 40; en sem.. 19 h 10, 21 h 40. Dernier
spectacle sam., minuit.
Parisien (3): 16 h 40,19 h 10,21 h 40. Dernier
spectacle sam., 23 h 55.
Versailles (5). Sam., dim., 16 h 40. 19 h 10.
21 h 40; en sem., 19 h 10, 21 h 40. Dernier
spectacle sam., minuit. .
LUST INFERNO
Guv: 10 h, 12 h 20, 14 h 45, 17 h 10, 19 h 30,
21 h 55.
MASSEUSES DE HONGKONG (LES)
Carré Saint-Louis: 12 h 50,16 h 35, 20 h 30.
MOONSTRUCK
Fairview (1). Sam., dim,. 12 h 30, 14 h 45,
17 h. 19 h 10, 21 h 30; en sem., 19 h 10,
21 h 30.
Loews (2): 12h30, 14h45, 17h, 19h20,
21 h 30. Dernier spectacle sam., 23 h 45.
NUTS
Kent (2). Sam., dim.. 12 h, 14 h 20, 16 h 40,
19 h, 21 h 20; en sem., 19 h, 21 h 20.
Loews (3): 12 h. 14 h 20, 16 h 40, 19 h,
21 h 20. Dernier spectacle sam.. 23 h 40.
OVERBOARD
Bogart (1). Sam., dim., 12 h 15, 14 h 30.
16 h 45,19 h, 21 h 15; en sem., 19 h, 21 h 15.
Palace (3): 19 h, 21 h 30. Dernier spectacle
ven., sam.. 23 h 50.
PEEK FREAK
Eve: 10 h, 12 h 50,15 h 45,18 h 30, 21 h 30.
PERSONAL SERVICES
L'Amour: 12 h 20, 14 h 40, 17 h 05, 19 h 25,
21 h 50.
PETITE BOUTI0UE DES HORREURS (LA)
Omega (2). Sam., dim., 15 h 10, 19 h 10; en
sem., 19 h 10.
PILES NON COMPRISES
Laval 2000 (1). Sam., dim.. 12 h 45, 14 h 50,
16 h 55,19 h, 21 h 05; en sem., 19 h, 21 h 05.
Longueuil (1). Sam., dim., 12 h 15, 14 h 30,
16 h 45,19 h, 21 h 15; en sem., 19 h, 21 h 15.
Paradis (1). Sam., dim., 13 h 15, 15 h 20,
17 h 25, 19 h 30, 21 h 30; en sem., 19 h 10,
21 h 10.
Saint-Denis (2): 12 h 10, 14 h 20, 16 h 40,
19 h, 21 h 15.
PLANES, TRAINS AND AUTOMOBILES
Loews (4): 13 h, 15 h 05, 17 h 10. 19 h 20.
21 h 25. Dernier spectacle sam., 23 h 35.
PROJECTIONS INTIMES
Commodore: des 18 h.
PUBLICITÉ 87, CA CHANGE LE MONDE OU
PRESOUE (LA)
Université. Sam., dim., 14 h 40,19 h; en sem.,
19 h.
0 UELIE NUIT DE GALÈRE ,
Omega (1). Sam., dim., 13 h, 16 h 30,20 h; en
sem., 19 h 30.
RED HEAT
Guy: 11 h 55, 13 h 20, 15 h 40. 18 h 05,
20 h 25.
RETURN OF THE LIVING DEAD (2)
Astre (3). Sam., dim., 13 h, 15 h, 17 h, 19 h,
21 h en sem., 19 h, 21 h. Dernier spectacle
sam., 23 h.
Bonaventure (1), Sam.,.dim., 13 h, 15 h, 17 h,
19 h 30, 21 h 30; en sem., 19 h 30, 21 h 30.
Carrefour Laval (4). Sam., dim., 15 h, 17 h,
19 h 10, 21 h 20; en sem., 19 h 10, 21 h 20.
Dernier spectacle sam., 23 h 20.
Place Alexis-Ninon (2): 13 h, 15 h, 17 h 10,
19 h 20, 21 h 30. Dernier spectacle sam.,
23 h 30.
RUNNING MAN
Palace (4): 12 h 25,14 h 45,17 h 05,19 h 25,
21 h 45. Dernier spectacle sam., 23 h 45.
SAMMY AND ROSIE GET LAID
Loews (5): 12 h 20, 14 h 40,16 h 50. 19 h 05,
21 h 15. Dernier spectacle sam., 23 h 25.
SATISFACTION A LA FRANÇAISE
Carré Saint-Louis: 12 h 40,16 h 30, 20 h 30.
SOUS LE SOLEIL DE SATAN
Complexe Desjardins (3): 13 h 45, 15 h 40,
17 h 45, 19 h 45, 21 h 45. Dernier spectacle
sam., 23 h 45.
SUPERMAN IV
Cinéma de Montréal (2). Sam., dim., 12 h 30,
14 h 15.
Omega (2). Sam., dim., 13 h 10, 15 h 10,
17 h 10.
THREE MEN AND A BABY
Fairview (2). Sam., dim., 12 h 50. 14 h 55,
17 h, 19 h 05, 21 h 10; en sem., 19 h 05,
21 h 10.
York: 13 h, 15 h 10,17 h 20,19 h 30,21 h 40.
THROW MOMMA FROM THE TRAIN
Cineplex (6): 13 h 10,16 h 30, 20 h.
Place Alexis-Ninon (3): 13 h 30, 15 h 30.
17 h 30, 19 h 40, 21 h 40. Dernier spectacle
sam., 23 h 30.
T00UÉE
Brossard (1). Sam., dim.. 13 h 45. 16 h 30,
19 h 10,21 h 35; en sem., 19 h 10.21 h 35.
Carrefour Laval (3). Sam., dim., 12 h 05,
14 h 20, 16 h 40, 19 h 05, 21 h 30; en sem.,
19 h 05, 21 h 30. Dernier spectacle sam., minuit.
Cineplex (8): 13 h 15, 16 h 10. 19 h 15,
21 h 40.
Crémazle. Sam., dim., 12 h 10, 14 h 30,
16 h 50,19 h 10, 21 h 25; mere., 21 h 25; en
sem., 19 h 10, 21 h 25.
Paradis (3). Sam., dim., 13 h, 15 h 10,17 h 20,
19 h 30, 21 h 40; en sem., 19 h 10, 21 h 20.
TREASURE BOX
L'Amour. 10 h 55, 13 h 20. 15 h 40, 18 h 05,
20 h 25.
TROIS HOMMES ET UN BÉBÉ
Laval (3). Sam., dim., 12 h 30, 14 h 40,
16 h 50, 19 h 05. 21 h 25; en sem.. 19 h 05.
21 h 25. Dernier spectacle sam., 23 h SO.
Parisien (5): 12 h 20, 14 h 30, 16 h 45, 19 h,
21 h 10. Dernier spectacle sam., 23 h 10.
Versailles (3). Sam., dim., 12 h 30, 14 h 40,
16 h 50. 19 h 05, 21 h 25; en sem., 19 h 05,
21 h 25. Dernier spectacle sam., 23 h 30.
VALLÉE FANTÔME (LA)
Complexe Desjardins (1): 13 h, 15 h 10,
17 h 20. 19 h 20, 21 h 40; nrerc.. 13 h.
15 h 10, 17 h 20, 21 h 40. Dernier spectacle
sam., 23 h 45.
VOYAGE (LE)
Bogart (2). Sam., dim., 16 h.
VOYAGES TOUS RISOUES
Greenfield (2). Sam., dim., 12 h 30, 14 h 35,
16 h 40,18 h 50. 21 h; en sem., 18 h 50,21 h.
Laval (2). Sam., dim., 13 h, 15 h 05, 17 h 10.
19 h 20, 21 h 30; en sem., 19 h 20, 21 h 30.
Dernier spectacle sam., 23 h 40.
Parisien (4h 13 h, 15 h 05, 17 h 10, 19 h 15,
21 h 20. Dernier spectacle sam., 23 h 20.
Versailles (6). Sam., dim., 13 h, 15 h 05.
17 h 10, 19 h 15, 21 h 20; en sem., 19 h 15,
21 h 20. Dernier spectacle sam., 23 h 25.
;
WALL STREET
Astre (2). Sam., dim., 13 h, 15 h 15,17 h 30,
19 h 45.22 h; en sem., 19 h, 21 h 15.
Brossard (2). Sam., dim., 13 h 50, 16 h 15,
19 h, 21 h 25; en sem., 19 h. 21 h 25.
Carrefour Laval (2). Sam., dim.. 12 h, 14 h 20,
16 h 45, 19 h 15, 21 h 45; en sem., 19 h 15,
21 h 45. Dernier spectacle sam., minuit 15.
Faubourg Sainte-Catherine (1): 12 h, 14 h 20,
16 h 40, 19 h 10, 21 h 40. Dernier spectacle
sam., minuit.
WHO'S THAT GIRL. LE FILM
Cineplex (6): 14 h 45,18 h 10, 21 h 35.
Omega (1). Sam., dim., 14 h 45, 18 h 15.
21 h 45; en sem., 21 h 15.
WITHNAIL AND I
Faubourg Sainte-Catherine (4): 13 h 20.
15 h 30, 17 h 30. 19 h 30, 21 h 30. Dernier
spectacle sam., 23 n 30.
T
CAFÉ THÉLEME (311, Ontario e.) — Sam.,
21 h 30, Bill Tracey Jazz Quartet.
CAFÉ TI MENÉS (4857, av. du Parc) — Sam*
22 h Ivan Symonds et Nathalie Michel.
LES JOYEUX NAUFRAGÉS (161, Ontario e.)
Mar dès 22 h, Daniel Bustamante.
LE RISING SUN l (286, Sainte-Catherine o.) ±
Lun., dès 21 h, Special Delivery.
POODLES (3699, Saint-Laurent) — Mar., dès
22 h, The Bamed.
KM/KILOMETRE / HEURE (4171, Saint-Denis)
— Lun., des 21 h, Aloes.
GOLEM CONCERT ROOM (3460, Stanley) ~Sam.. 20 h 30, Shirley Eikhard.
CHECKERS (4514, av. du Pare) — Groupe Ttnky Fox, dès 21 h 30. Jusqu'au 31 janvier. 3
SECRETS (40, av. des Pins o.) — Dim., des
21 h Landed immigrant et The Bliminals
CENTRE SHERATON (1201, Dorchester o.) —
La Croisette: Jacques Ouellet. Du dim. au ven.,
de 18 h i 22 h. — L'Impromptu: Gérard Lambert. Du km. au sam., de 21 h a 2 h. — le
Boulevard: Trio de Denis Boivin. Sam., de 19 h
à minuit. — L'Entre-Temps: Groupe Logan,et
Agnes Sobier. Du mere, au sam., de 21 h à 3,h.
LE REINE ELIZABETH (Salle Arthur) — «Folles
Folies». Présentation de La Belle Epoque.
Mere., jeu., ven., dim., 20 h 30; sam., 20 h,
22 h 30.
LE MÉRIDIEN (Complexe Desiardins) — Tibor
Ceasar. Du lun. au ven., de 17 h a 20 h. Francois Comeau. Du mar. au sam., de 20 h à minuit.
'.
LA DILIGENCE (7385, boul. Decarie) — «Rinee
Crime». Avec Pierre Lenoir, Marc Gamâche,
Pauline Little, Babs Cad bots, Hrothgar Matthews et Jean-Guy Bouchard. Mar., mere.,
20 h 45.
LE NOUVEL HÔTEL (1740, Dorchester o.) — «A
chacun son ciel — Hot Une to Heaven». Avec
France Castel. Du mar. au ven., 21 h; sam.,
21 h, 23 h 30.
LE CLAVIER (Hôtel Ramada aéroport, 6600,
Côte-de-tiesse) — Algisa di Cario. Du mere.au
dim.. 21 h.
SALLE ANDRÉ-MATHIEU (475, boul. de l'Avenir Laval) — Sam., 20 h 30, Céline Dion.
DANSE
Bill Cosby goûte à la cuisine de Pat Colbert dans une scène de son dernier film, Leonard Part 6.
VEUX NOIRS (LES)
Cineplex (3): 13 h. 16 h, 19 h, 21 h 25.
ZOO LA NUIT (UN)
Dauphin (2): 13 h 30, 15 h 45, 18 h 15.
20 h 45; jeu., 15 h 45,18 h 15, 20 h 45.
•
SALLES DE
RÉPERTOIRE
SAMEDI
ANIMAL CRACKERS (THE)
Cinéma V: 19 h-15.
BATAILLE D'ALGER (LA)
Conservatoire d'art cinématographique:
20 h 30.
BEST SELLER
Cinéma de Paris: 21 h 30.
BIG EASY (THE)
Cinéma V: 16 h 15,19 h.
BLEUS AU COEUR (LES)
Milieu: 19 h.
CAFÉ FLESH
Cinéma de Paris, minuit CHARADE CHINOISE
Complexe Guy-Favreau: 21 h.
DE L'AUTRE CÔTÉ DE MINUIT
Ouimetoscope: 21 h.
DERNIER DES HOMMES (LE)
Cinémathèque québécoise: 18 h 35.
DES CARAÏBES À L'OCÉAN INDIEN
Salle André-Mathieu (475, boul de l'Avenir, Laval): 19 h, 21 h 30.
DESPERATE LIVING
Cinéma V, minuit
DUCK YOU SUCKER
Cinéma de Paris: 19 h.
FAMILY VIEWING
Milieu: 21 h.
FAVORIS DE LA LUNE (LES) .
Ouimetoscope: 21 h 30.
GODS MUST BE CRAZY (THE)
Cinéma V: 21 h 15.
GUERRE ET AMOUR
Ouimetoscope: 19 h 30.
HOME OF THE BRAVE: LAURIE ANDERSON
Ouimetoscope: 21 h 15.
M. LE MAUDIT
Cinémathèque québécoise: 20 h 35.
NUIT DES JUGES (LA)
Ouimetoscope: 19 h.
POURSUITE CU BONHEUR (LA)
Complexe Guy-Favreau: 19 h.
PRINCESS BRIDE (THE)
Cinéma V: 16 h, 21 h 30.
ROLLERBALL
Cinéma V: 23 h 45.
SORCIÈRES DE LA GUERRE (LES)
Ouimetoscope: 19 h 15.
MUSIQUE
LESKABEL (1237, Sanguinet) — Mere., jeu.,
• ven., 20 h 30, «P.S.: M'as-tu vu te regarder?»,
chorégraphie de Cheryl Prophet et Daniel
Soulièrés. Avec Andrew Harwood, Hélène Leclair, Gregg Porks, Cheryl Prophet et Daniel
Soullëres.
>
THÉÂTRES
Université McGIII (Pollack Hall) - Auj.. 20 h, Orchestre symphonique de McGill. Dir. Timothy
Vernon. Andrei Malashenko, xylophoniste.
DIMANCHE
•From Zones beneath...- (Radford), Concerto
pour xylophone (Mayuzumi) et Symphonie no
5 (Tchaikovsky). Oem., 20 h, Atelier d'opéra
de McGill. Mar., 20 h, Alvaro Pierri, guitariste.
ANGELE
Musique contemporaine. Mer., 20 h, HarmoMilieu: 16 h 15.
nie du Massachusetts Institute of TechnoloANGEL HEART
gy. Jeu., 20 h, Marc-André Hamelin, pianiste.
Cinéma V: 15 h, 21 h 15.
Sonate .Concord- (Ives), Sonate no 50, en do
BLEUS AU COEUR (LES)
majeur (Haydn), 'Bénédiction de Dieu dans la
Milieu: 14 h, 15 h, 19 h.
solitude* et «Réminiscences de Don Juan»
CHARADE CHINOISE
(Liszt). Concert CBC. Ven., 20 h, Theodore
Complexe Guy-Favreau: 21 h.
Baskln, hautboïste, et Eugene Plawutsky, piaCHARIOTS OF FIRE
niste. Musique contemporaine. — Entrée liCinéma de Paris: 19 h.
bre.
DE L'AUTRE CÔTÉ DE MINUIT.
Grand Séminaire (Chapelle. 2065 o., SherbrooOuimetoscope: 15 h 15,20 h 45.
ke) • Auj., 20 h. Ensemble Sequentia, de ColoDES CARAÏBES A L'OCÉAN INDIEN
Salle André-Mathieu (475, boul de l'Avenir, La- gne. Musique anglaise médiévale.
Maison des Arts (Laval) - Auj., 20 h, Orchestre
val): 13 h 30,16 h.
symphonique de Laval. Dir. Gilles Bellemare.
DOCTOR ZHIVAGO
Ouverture «Egmont» et Symphonie no 5 (BeeCinéma V: 14 h.
thoven), Concerto pour flûte et harpe (MoEMIL AND THE DETECTIVES
zart).'
Cinémathèque québécoise: 15 h.
Centre culturel de Verdun (5955, BannantyEMPIRE DES SENS (L'I
ne) - Dem., 13 h, Ensemble Arion. Entrée liOuimetoscope: 13 h, 17 h, 21 h.
bre.
FAMILY VIEWING
Jardin Botanique - Dem., 15 h, Nicolas MorisMilieu: 21 h.
set et Maud Langlois, violonistes.
FAVORIS DE LA LUNE (LES)
Salle Tudor (Magasin Ogilvy) - Lun., 17 h 30,
Ouimetoscope: 13 h 30,17 h 30,19 h 30.
Jacqueline Lespérance, soprano, et Claude-RoGENERAL IDI AMIN DADA
Conservatoire d'art cinématographique: 19 h. bin Pelletier, ténor. Au piano: Hélène Trépanier. Oeuvres de Handel, Ponchlelli, Verdi,
HOMMES ENTRE EUX (LES) '
Rossini, Cilea, Donizetti, Bizet. Mar., 17 h 30,
Cinémathèque québécoise: 18 h 35.
Pierre Béluse et Marie-Josée Simard. percusKILLING FIELDS (THE)
sionnistes. Jeu., 17 h 30, Trio de Montréal.
Cinéma de Paris: 21 h 30. .
' Concerts Radio-Canada.
LESS THAN ZERO
Place des Arts (Salle Maisonneuve) - Lun., 20
Cinéma V: 19 h 15.
h, Orchestre Métropolitain. Dir. Agnes Crossmann. Denise Lupien, violoniste. Ouverture
MEN
de -Don Giovanni» et Concerto pour violon en
Cinéma V: 21 h 30.
ré majeur, K.218 (Mozart), «Monade III» (PéNUIT DES JUGES (LA)
pin), Symphonie no 6 (•Pastorale») (BeethoOuimetoscope: 13 h, 18 h 30.
ven).
POURSUITE DU BONHEUR (LA)
Place des Arts (Salle Wilfrid-Pellotier) • Mar.
Complexe Guy-Favreau: 19 h.
et mer., 20 h, Orchestre Symphonique de
PRINCESS BRIDE (THE)
Montréal. Dir. Charles Dutoit. Cyprien KatsaCinéma V: 13 h, 17 h, 19 h.
ris, pianiste. «Aux couleurs du ciel» (Morel)
TIMES OF HARVEY MILK (THE)
(création). Concerto pour piano en ré majeur,
Conservatoire d'art cinématographique: 21 h. BWV1054 (Bach), «Fantaisie hongroise», pour
piano et orchestre (Liszt), «Taras Bulba» (JanaUNTER DEN BRUCKEN
cek). «Grands Concerts».
Cinémathèque québécoise: 20 h 35.
Conservatoire - Mar., 20 h, Paola Secco, flûtisVACANCES DE MONSIEUR HULOT (LES)
te, et Sébastien Marquis, hautboïste. Mer., 20
h, Monique Sylvestre, saxophoniste. Ven., 12
Ouimetoscope: 15 h, 19 h.
h, Raymond Lemay, bassoniste, et Isabelle
WORKING GIRLS
Cossette, flûtiste.
Ouimetoscope: 15 h 30, 21 h 30.
Chapelle Loyola - Mar., 20 h, Camera ta Ars
Nova et Concordia Chamber Choir. Oeuvres
de Srebotnjak, Persichetti, Edward, Jones,
Glick. Entrée libre.
Place des Arts (Piano Nobile) - Mer., 12 h,
•Musialogue» sur «Aux couleurs du ciel» (Morel). Participants: François Morel, Charles Dutoit et Maryvonne Kendergi.
Université McGIII (Redpath Hall) • Jeu., 20 h,
Jean Fortin, altiste. Oeuvres de Bach, Brahms
• et Mann. Sonia Racine, mezzo-soprano. Oeuvres de Bizet, Salnt-Saéns, Duparc, Gluck, Debussy et Dvorak. «Début». Ven., 20 h, Harmonie de McGill. Dir. Richard Lawton.
Basilique Notre-Dame • Ven., 19 h 30, Orchestre Symphonique de Montréal et Choeur. Dir.
Charles Dutoit. Timothy Hutchins, flûtiste,
Heidi Lehwalder, harpiste, et Glyn Evans, ténor. Concerto pour flûte et harpe (Mozart),
•Ode to Saint Cecilia» (Handel). -Baroque et
classicisme».
CAFÉ DE LA PLACE (Place des Arts) — «La Musica Deuxième», de Marguerite Duras. Avec
Patricia Nolin et Paul Savoie. Mise en scène
de Daniel Roussel. Du mar. au sam., 20 h. Jusqu'au 27 février.
il
PLACE DES ARTS (Salle Port-Royal) — «Vice t
Versa», de Ray Cooney, trad, et adapt., par
Michel Dumont et Marc Grégoire. Avec Michel
Dumont, Roger Joubert, Monique Miller, Claude Michaud, Patrice L'Écuyer, Sylvie Gosselin
et Lénie Scoffie. Du mar. au ven., 20 h; sam.-,
17 h, 21 h; dim., 14 h 30,20 h. Jusqu'au 6 février.
THÉÂTRE DU NOUVEAU-MONDE (84, SainteCatherine o.) — «Phèdre», de Racine. Avec Sophie Clément, Anne Bédard, Denis Bernard,
Françoise Faucher, Sophie Faucher, MarieFrance Lambert, Gérard Poirier, Pascal Rollin,
Pierre Gendron, Gilbert Lachance et Denis
Trudel. Du mere, au ven., 20 h; sam., I6h,
21 h. Jusqu'au 6 février.
THÉÂTRE DU RIDEAU VERT (4664. Saint-Dénis) — «La Cerisaie», d'Anton Tchékhov. Avec
Andrée Lachapeile, Jacques Godin, Jean-Louis
Roux. Jean Gascon, Micheline Bernard, André
Montmorency, Jean L'Italien, Simon Fortin,
Jacques-Henri Gagnon, Céline Bonnier, Guylaine Tremblay, Marie-Ginette Guay et Jean-Bernard Côté. Du mar. au ven., 20 h; sam., 17 h,
21 h; dim., 15 h. Jusqu'au 13 février.
THÉÂTRE DENISE-PELLETIER (4353, Sainte-Catherine e.) — «La messagerie de verre», de
Tennessee Williams. Avec Denise Filiatrault,
Linda Roy, Denis Roy et Jean-François Blanchard. Ven., sam., 20 h 30. Jusqu'au 27 février.
LA LICORNE (2075, Saint-Laurent) — «Le Syndrome de Cézanne», de Normand Canac-Marquis. Avec Clément Cazelais, Robert Lalonde
et Hélène Mercier, 20 h 30. Jusqu'au 30 janvier,
i
,#
SALLE FRED-BARRY (4353, Sainte-Catherine
e.) — «Gauvreau», de Claude Gauvreau. Avec
Alain Foumier, Danielle Lépine, Pierre Moreau,
Miryam Moutillet et Lorraine Pintal. Du maf.
au ven., 20 h 30; sam., 17 h, 21 h. Jusqu'au 13
février.
THEATRE DE LA VEILLÉE (1371, Ontario e.) —
•Une mouche dans un verre de coke», de Clémence Simard et Martin Faucher. Du mar. au
dim., 20 h 30. Jusqu'au 31 janvier.
SALLE CAUXA-LAVALLÉE (3819, Callxa-Lavallée) — A compter de jeu., «Le bouc», de Rainer Wemer Fassbinder. Avec Renée Clément,
Daniéle Gameau, Isabelle Guilbeault, Norman
Helms, Francois Lamothe, Alexandra Malbrarique, Luce Pelletier, Jean Petitclerc, Francois
Richer et Gérard Soter. Du jeu. au dim:,
20 h 30. Jusqu'au 21 février.
ESPACE CO (5066, Clark) — -La déposition*,
d'Hélène Pedneault. Avec Louise Laprade, René Gagnon et, sur vidéo, Angèle Coutu et Jasmine Dubé. Du mar. au dim., 20 h 30. Jusqu'au 14 février.
THÉÂTRE D'AUJOURD'HUI (1297, Paplneau)
— «La bouche du ciel». Présentation de Le
Pool. Dû mar. au sam., 20 h 30; dim., 15 h.
Jusqu'au 6 février.
'
ÉCOLE NATIONALE DE THÉÂTRE (5030, SaintDenis) — Lun., 20 h, «Les guerriers», pièce lue
par Michel Gameau.
ESPACE LIBRE (1945, Fullum) — -La femme
d'intérieur». Avec Marie Laberge et Martine
Beaulne. Présentation du Nouveau Théâtre
Expérimentai. Du mar. au ven., 20 h 30; sam.,
17 h, 20 h 30. Jusqu'au 13 février.
••
THÉÂTRE DE OUATSOUS (100, av. des Pins o.)
— «Névrose à la carte», de Christopher Purang. Avec Jean-Pierre Bergeron, Serge Denoncourt, Michèle Deslauriers, Claude Grisé,
Luce Guilbeault et Germain Houde. DU mar.
ven., 20 h 30; sam., 17 h, 20 h 30. Jusqu'au I
février.
VARIÉTÉS
BIBLIOTHÈQUE GABRIELLE-ROY (350, Saint
Joseph e.) — A compter de mar., «J'ai fin», dé
Danielle Bissonnette, Ann Bois et Pauline LaSPECTRUM (318. Sainte-Catherine o.) —
pointe, 20 h. Jusqu'au 3 février.
Sam., 19 h 30, le Groupe Sanguin; dim., km.,
20 h. Ligue nationale d'improvisation; mar., ÉCOLE NATIONALE DE THÉÂTRE (Studio André- Page, 360, Laurier e.) — Sam., 20 h. •L'Im20 h, samedi de rire.
CLUB SODA (5240, av. du Parc) — Lun., prévisible», de Guy Beausolcil. Avec Pipo Gagnon, Louise Lavallée, Michelle Labonté e)
20 h 30, Juste pour rire; jeu., 21 h 30, The
Paul-Augustin Querton.
»
Swens,- ven., 21 h 30, John Hammond.
CENTRE D'ESSAI DE L'UNIVERSITÉ DE MONTLES FOUFOUNES ÉLECTRIQUES (97, Sainte-CaRÉAL
(2332,
Édouard-Montpetlt)
—
Sam.,
therine e.) — Sam., des 21 h, Anyst.
dim.. 20 h 30, «Les fenêtres dorées», de RoCAFÉ CAMPUS (3315. chemin Queen Mary) —
bert Wilson.
Lun., Ligue universitaire d'improvisation;
THÉÂTRE MORRICE HALL 13485. McTavish) 4
mere., JahCutta et Détermination, 21 h.
Mere., jeu., ven., 20 h, «Black Comedy-, de PeLESKABEL (1237, Sangulnot) — Sam., dim.,
ter Shaffer.
20 h, Daniéle Lorain.
AUDITORIUM DE LA POLYVALENTE ANTOINEMETROPOLIS (59, Sainte-Catherine e.) —
DE-SAINT-EXUPERY (5150, boul. Robert) —
Lun., 20 h 30, «C'est la faute a Elvis-, avec la
Mar., 20 h, -Le Lac Langlois», d'André Jeart.
troupe de Guy Cioutier et Raymond Paquin;
Avec Béatrice Picard, Jeanne Gameau, Jeanmere., 20 h, Lut»;
Pierre Chartrand, Normand Gélinas et Marc
LA FOLIE DU LARGE (1021, de Bleury) —
Proulx.
Mere., 21 h, place aux poètes avec Nana CouTHÉÂTRE DU MANOIR VERCHÉRES (614, Mazier, Charaies Mahony, Marie Discamp, Hans
rie-Victorin, Verehères) — Sam., 21 h, .Le b»Bédard, Isabelle Courteau et Carmen Bastida.
ron de Crac», de Réjean Wagner.
LA CHACONNE (542, Ontario e.) — sam., Sonia del Rio et Michael Laucke; dim., mar., Diane Goudreau, 21 h.
DIDDLES (2060, Ayimer) — Dim., de 19h a
minuit, B.T. Lundy, guitariste; lun., de 19 h a
POUR ENFANTS
u
minuit; mar., de 20 h a 1 h; mere., jeu., ven.,
—•
de 17 h a 22 h, Quatuor de Johnny Scott et
Geoffrey Lapp; du mere, au sam., des 22 h, CENTRE CAUXA-LAVALLÉE (3819, Calixa-La
Trio de Charlie Biddle.
vallée) — Sam.. 15 h; dim., 13 h, 15 h, «Coeur
LE BIJOU (300, Lcmoyne) — Michelle Sweea coeur». Présentation du Theatre de l'Oeil
ney. Du mere, au sam., dès 22 h.
BIBLIOTHÈOUE DU PLATEAU MONT-ROYAL
LA CAGE AUX SPORTS (2250, Guy) — Billy
(465, Mont-Royal e.) — Sam., 14 h, «Tempête
Georgette, 17 h «20 h.
dans un verre de lait». Présentation du ThéâL'AIR DU TEMPS (191. Saint-Paul e.) — Sam.,
tre l'Illusion.
'
dim., des 22 h., Jacques Labelle.
LA CHACONNE (342, Ontario e.) — Dim.,
LA MANSARDE (3225. boul. Gouin e.) — Sam..
13 h 30,15 h 30, down Arabeskue.
21 h, groupe Syhon.
GRAND CAFÉ (1720. Saint-Denis.) — Sam.,
voir EXPOSITIONS en page Ejjp
22 hSO, Paukt Ramos.
^
;
Robert Lalonde et Hélène Mercier dans Le Syndrome de Cézanne,
prix du meilleur texte et de la meilleure mise en scène l'an dernier
selon l'Association des critiques de théâtre, qui en est à ses derTv
nlères représentations à La Licorne.
•w
LA PRESSE, MONTREAL, SAMEDI 2 3 JANVIER 1 9 8 8
ClNEPLEX O P E 5 N
GUIDE
ÉGYPTIEN
1455. rue M
841-3112
LE F A U B O U R G
S1»Came<ln» O
B R O A D C A S T NEWS (Q) Dolby Stereo
1:00 - 4:00 - 7:00- 9 40
BARFLY (14 a n t )
1:10-3:10-5:10.7:15-8:30
B A T T E R I E S N O T I N C L U D E D ( G ) Dolby Stereo
12:30 - 2 : 4 5 -5:00^-7:10 - 9 : 1 5
BERRI
S i P o n n ft 5io Comonno
G E N E R A T I O N P E R D U E (14 a n t ) Dolby Stereo
1:15 - 3 : 1 5 - 5 : 1 5 - 7 : 1 5 - 8 : 1 5
Couche Tard: Sam, 11:15
.
B E A U T E FATALE (14 an») Oolby Stereo
1:00 - 3:15 - 1 : 3 0 - 7:45 -.10:00
Couche Tard: Sam, 12:00
BON AVENTURE
R E T U R N O F T H E L I V I N G D E A D »2 (14 a n t )
Sam. * t Dim.: 1:00 • 3:00 - S:00 - 7:30 • 9:30
• Sem.: T 3 Q - - 9 3 0
BATTERIES NOT INCLUDED (O)
Sam. et Dim.: 12:15- 2:30 - 4:45 • 7:00 - 9:15
Sem.: 7:00 - 9:15
TOOUÊE(O)
S a m . e l Dim.: 1:45 >.«:30 - 7:10 - 9:35
Sem.: 7 : 1 0 - 9 : 3 5
W A L L S T R E E T (O)
Sem. e l Dim.: 1:30 • 4:15 • 7:00 - 9:25
Sem.: 7 : 0 0 - fc2S '
.. ; .. .
' C O U C H T R I P (G )
Sam. e l Dim.: 1:00-3:1
3:00 - 5:00 - 7:00 • 9:10
Sem.: 7:00 - 9:10
FUU
METAL
JACKET
PLAC i . DU CANADA
j>f. cKôivbu CnarnpKsîn B 6 1 4 ' . V > Î J
THE LAST EMPEROR (Q). Dolby etéréo, 7 0
mm. Sem. e t dim. 1-00 - 4 * 0 - 7.-00 - « M O .
Som. 0:00. Coupons et lalssoi-peaser
PLACE ALEXIS NIHON
N I W M J U Ou Mi>fïO Aîwnl€*'
°J5<1?*1Ô
C O U C H TRIP (O)
12:30 • 2:35 - 4:40 - 7 * 0 - 9:20
Couche Tard: S a m . 11:30
R E T U R N O F T H E L I V I N G D E A D # 2 (14 ana)
Dolby Stéréo
1:00 - 3:00 - 5:10 - 7:20 - 9:30
Couche Tard: S a m . 11:38
THROW MOMMA FROM THE TRAIN (Q)
1:30 - 3:30 - 5:30- 7:40 - 9:40
Couche Tard: S a m . 11:30
'
W A L L STREET (G) Dolby Sléreo
S a m . e l Dim.: 12:00 • 2:20 • 4:45 • 7:15 - 9:45
Sem.: 7:15 • 9:45
C o u c h e Tard: Sam. 12:15
TOQUÉE (Q) Dolby Stéréo
S a m . e l Dim.: 12:05 - 2:20 - 4:40 - 7:05 • 9:30
Sem.: 7:05 - 9:30
..
C o u c h e Tard: Sam. 12:00
C'EST PAS PARCE Q U ' O N E S T PETIT... ( G )
Sam, el Dim.: 1:00
R E T U R N O F T H E L I V I N G D E A D «2 (14 ans)
Sam. e l Dim.: 3:00 - 5:00 • 7:10 • 9:20
Sem.: 7:10 - 9:20
Couche Tiird: Sam. 11:20
B R O A D C A S T N E W S ( G ) Dolby Stereo
S a m . e l Dim.: 1:30 - 4:15 - 7:00 - 9:45
Sem.: 7:00 - 9:45
Couche Tard: Sam. 12:20
ST-DENIS
1590-rue'Si-Dorm 8J5'3?22
PILES N O N C O M P R I S E 8 ( G ) Dolby Stéréo
12:10 - 2:20 - 4:40 - 7 * 0 - 8:15
C'EST P A S P A R C E Q U ' O N E S T PETIT:.. ( G )
12:40 • 2:45 - 5 * 0
DUDES(14sns) (Ir.).
7:10-9:25
SQUARE DECARIE
Docofio sud d o Jeon-lolon 341-3190
B R O A D C A S T N E W S ( G ) Dolby Stéréo
Sam. el Dim.: 1 * 0 - 4:00 • 7.-00 - 9:45
Sem.: 7:00 • 9:45
C O U C H TRIP (O)
S e m . e l Dim.: 1 2 : 3 0 -
C O U C H TRIP ( G )
S a m . e l Dim.: 12:50 - 2:55 • 5:05 - 7:15 - 9:25
Sem.t 7:15 - 9:25
C o u c h e Tard: Sam. 11:30
CENTRE-VILLE
2001 Université
Stanley Kubrick
B
ODF.ONLAVAI
Centré .'OCO Boni Si Mo.tiri 687 5207
PILES N O N C O M P R I S E S ( G ) Dolby Slôroo
Sam. ( I Dim.: 12:45 - 2 : 5 0 . 4:55 , 7:00 : 9:05
Sem.: 7:00 - 9.-0S
;
B E A U T E F A T A L E (14 ans)
S a m . el Dim.: 1:20 - 3:25 • 5.-25 - 7:30 - 8:30
Sem.: 7:30 . 9:30
1
BIVOSSARD
Miiii CtKimrjIain 465 50(W'
CARREFOUR LAVAL
?330 Ay! d*js lourenirdcî 668-3664
GÉNÉRATION P E R D U E (14 en»)
S e m . e l Dim.: 1:05 - 3:10 - 5:15 - 7:20 Sem.: 7:20 - 9:35
C o u c h e Tard: Sam. 11:45
Un film d e
LONGUEUR
'
•
,
Place lonauei/il 679-7451
PILES N O N C O M P R I S E S ( Q )
Sam. et Dim.: 12:15 - 2:30 - 4:45 - 7:00 0:15
Sem.: 7 : 0 0 . 9 : 1 5
C'EST P A S P A R C E O U ' O N E S T PETIT» ( G )
S a m , e l Dim.: 1:00
B E A U T E FATALE (14 ans)
Sam. et Dim.: 3:00 - 5 * 0 - 7:15 - 0 : 3 0
Sem.: 7:15 • 0 : 3 0 '
'
«Le meilleur endroit
pour se faire
introduire!»
GLOBE E T MAIL
1EAN1ALON
î'ruo» O Tint rie CiOlX lit '0011
BEAUTÉ F A T A L E (14 ans)
Sam. el Dim.: 1:10 - 3:10 - »:10 - 7 : 1 5 - 8 : 1 5
Sem.: 7 : 1 5 - 9 : 1 5
LES AILES DU DESIR ( G )
12:00 - 2:30 - 5:00 - 7:30 - 9:55
Couche Tard: Sam. 12:25
!
9J2 J121
2:00 • 5:00 • 8:00
D E A T H W I S H «4 (14 ans)
1:15-3:15-5:15-7:15-9:15
Couche Tard: S a m . 11:15
WITHNAIL AND I (G)
1:30-3:30-5:30-7:30-9:30
Couche Tard: Sam. 11:30
LE CRI OE LA LIBERTÉ ( O ) Dolby Stereo
. 1:00 • 4:00 - 7:00 - 10:00
LE C L U B D E RENCONTRE (55
12:30 - 2:45 - 5 : 0 3 - 7:15- 5:30
Couche Tard: Sam. 11:45
"LE M E I L L E U R
FILM D E GUERRE
J A M A I S REALISE."
WALL S T R E E T ( G ) Dolby Stéréo T H X
1 2 4 0 - 2:20 - 4:40 - 7:10 - 9:40
Couche Tard: Sam. 12:00
CRY F R E E D O M ( G ) 7 0 M M
288J115
E21
'
C o m d o Moiionneuv«
ASTRE
••
.
Si-Léonard 9480 lOCOrOoue 327-5001 < ^
049-4510
G E N E R A T I O N PEROUE (14 ana)
1:05 - 3:05 - 5:05- 7 0 5 - 9:05
DIRTY D A N C I N G ( G )
1:05- 3 : 1 5 - 5 : 2 5 - 7 : 3 5 - 9 : 4 5
LE8 YEUX NOIRS (G)
1:00-4:00-7:00-9:25
C H R O N I Q U E D'UNE M O R T ANNONCÉE ( G )
1:00- 3:10 - 5:20- 7:30- 9:45
L'APICULTEUR ( G )
1:10 - 3 : 4 5 - 7:20 - 9 : 4 0
. •
W H O S T H A T GIRL, LE F I L M ( G )
2:45 - 6:10 - 9:35
,
THROW MOMMA FROM THE TRAIN (G)
1:10- 4:30 - 8:00
LE C H A N T DES SIRENES ( G )
1:10-3:10-5:10-7:10-9:10
TOQUÉE ( G )
1:15-4:10-7:15-9:40
FULL M E T A L J A C K E T (Ir.) (14 ans)
'
*1:4S-4:15-7:10-8:30
COMPLEXE DESJARDINS
Bosilouo 1 288 3141
LA VALLÉE F A N T O M E ( G )
1:00 T 3:10 • 5:20 - 7:20 - 9:40
Couche Tard: Sam. 11:45
_ ^
A U REVOIR LES E N F A N T S ( G ) Dolby Stéréo
12:45-3:00-5:10-7:20-9:30
Couche Tord: Sam. 11:50
.
S O U S LE SOLEIL DE S A T A N ( G )
1:45 - 3:40 - 5:45 - 7:45 - 9:45
Couche Tard: Sam. 11:45
BARFLY (fr.) (14 ans)
1:00 - 3:00 - 5:00 • 7:00 • 9:00
C o u c h e Tard: S a m . 11:00
CREMAZIE
51 Donls» Démolie 38e 4210
TOQUÉE ( G )
S a m . e l Dim.: 12:10 - 2:30 - 4:50 - 7:10 - 9:25
Sem.: 7:10 - 9 : 2 5
LE DAUPHIN
Ueoubien près d'Iborville
MONTRÉAL
721 6 0 6 0
[SHERBROOKE
LE D E R N I E R E M P E R E U R ( G ) Dolby Stéréo
S a m . e l Dim.: 1:00 - 4:00 • 7:00 - 1 0 : 0 0
Sem.: 2 : 0 0 - 5 : 0 0 - 8:00
1963 La Grande Évasion • 1982 Gandhi • 1985 ChorusLine»
1987 LE CRI DE LA LIBERTÉ. Le tout dernier film de
Sir Richard Attenbor.ough, un réalisateur toujours associé
à de grandes productions.
V O U S A V E Z AIMÉ "LE F L I C D E BEVERLY HILLS" !
W H Q O P I GOLDBERG
EST LE P E N D A N T D E E D D Y M U R P H Y
D A N S CETTE N O U V E L L E A V E N T U R E
R O C A M BOLESQU E !
Attenborough tient le spectateur rivé à
son siège pendant plus d e 2h30.
U n film à voir... N e serait-ce que pour
secouer, c o m m e dirait Arcand, notre
confort et notre indifférence.
Serge Dussaull. LA PRESSE
Bill Brownsleln. THE GAZETTE
L'histoire d e Steve Biko, c h a c u n g a g n e à
la connaître et c'est e n cela q u e les films
c o m m e L E C R I D E LA LIBERTÉ trouvent
. leur raison d'être.
U n véritable petit bijou cinématographique et une percutante dénonciation. U n film qui doit être vu.
Franco Nuovo. JOURNAL DE MONTRÉAL
Marcel Jean. LE DEVOIR
>
1
, w
U n e h i s t o i r e v r a i e , c e l l e d u j o u r n a l i s t e D o n W o o d s et d u l e a d e r n o i r S t e v e B i k o ,
Q
C K A C;*£73
^73-—
b a t t u s à m o r t e n p r i s o n le 1 2 s e p t e m b r e 1 9 7 7 .
VERSION
—
FRANÇAISE
i
VERSION
...
ORIGINALE ANGLAISE
E N EXCLUSIVITÉ
011
SI-OfNlS •
|pÛi
J
288-2115
t'ON
L A V A I
JEAN-TALON
r^MI(il!MIIJIIII»lfcTîTITÎÎ71
CENTRE 2000 • BOUl ST MljRTIN 687-5J07 4 t t i JON-TALO» ESI 72S-7O00 PLACE LWtfteUIL 679-7451 ÇIWtMA JOUETTE
!..
BFRKI
tb!6 STE-CATHCRINt 0 932-2121
éPJk
w
E22
,..t
LA PRESSE. MONTRÉAL, SAMEDI 23 JANVIER 1988
JM . :
CINEMA
Les fantômes de la liberté...
À propos de «Charade chinoise» de Jacques Leduc
SERGE
DUSSAULT
• Un week-end à la campagne avec des militants
d'hier qui ont accroché leurs patins et disent aujourd'hui : nous avons perdu nos illusions mais
pas nos rêves. Un week-end à la campagne organisé par le cinéaste Jacques Leduc qui regarde,
écoute, intervient. Pourquoi les militants d'hier
ont-ils si.vite décroché ? Ils sont une dizaine. Militants chauffés à blanc des années soixante et
soixante-dix. Aujourd'hui bien refroidis. Et facilement ironiques. « L'espoir, dit l'un d'eux, c'est
de me réveiller chaque matin. » Us voulaient
pourtant changer le monde et faire le bonheur
de l'humanité. Egalité, justice, indépendance! Ils
en ont bien rabattu. Pourquoi ? Le film de Leduc
ne répond pas à la question. D'ailleurs, qui sait
pourquoi ? Le courant était mondial et il a disparu presque partout en même temps.
Charade chinoise est aussi un plaidoyer pour
le cinéma documentaire. Un genre, rappelle Leduc, plus très à la mode. Pourtant, un cinéma nécessaire qui a le mérite de ne pas coûter cher.
Peut-être fait-il peur : sans les balises d'un scénario, sait-on ce qui peut apparaître dans un film ?
Le documentaire de Leduc n'est pas objectif.
« Comme pour les films de fiction, faire un documentaire c'est une autre façon de faire des films
au sujet de soi-même. »
Que reste-t-il du film ?
Charade chinoise, je dirais, est un film sur
l'amitié. Sur la fraternité des intelligences et des
coeurs. Peut-être est-ce cela que Leduc a mis de
lui dans son documentaire...
CHARADE CHINOISE, de Jacques Leduc, Cinéma 0NF Guy-Favreau.
Richard E. Grant et Paul McGanh dans une scène de Withnall and I
BEAUTÉ FATALE
(Fatal Beauty)
Film américain (1987) de Tom Holland. Scénario: Hilary Henkin et Dean Rlesner. Images:
David M. Walsh. Montage: Don Zimmerman.
Musique: Harold Faitermayer. Avec Whoopl
Goldberg, Sam Elliott, Ruben Blades, Harris
Yulin, John P. Ryan, Jennifer Warren, Brad
Dourif. 104 min. Version française, Berrl 3,
Jean-Talon (14 ans).
Jacques Leduc
• À bout de souffle (Bogart 3) Le premier Godard. Il voulait faire un film à l'américaine. Avec
Jane Seberg. Il a fait comme il
fera toujours par la suite : du Godard. J e a n - P a u l Belmondo est un
petit voleur d'auto qui tue un flic
et veut fuir avec une jeune Américaine... Avec ce film commençait
en France ce qu'on a appelé la
Nouvelle Vague. En quatrième
semaine au Bogart.
• Angel Heart (Cinema V, dimanche et lundi) - Un film policier avec une forte dose de fantastique. Robert DeNiro incarne le
Diable et Mickey Rourke un defective privé découvrant avec
horreur qu'il laisse des cadavres
partout où il passe. Un film
d'Alan Parker.
• Au revoir les enfants (Complexe Desjardins 2) - Un très beau
film, largement autobiographique, réalisé avec beaucoup' de
soin par Louis Malle, l'un des cinéastes français qui comptent le
plus. Les années de guerre, le collège, l'arrivée d'un nouveau que
la police vient arrêter parce qu'il
est juif. C'est la découverte de la
bêtise humaine. De l'abomination de la guerre.
• La Bataille d'Alger (Conservatoire d'art cinématogrphique, samedi) - Un film si vrai qu'on dirait un documentaire. Avec une
caméra mobile comme celle d'un
reporter... Le sujet? La lutte des
Algériens contre l'occupant français en 1954, le terrorisme, les rerésailles, les tortures. À revoir absolument.
• Cal (Cinéma de Paris, mercredi) - L'histoire d'un jeune terroriste irlandais (John Lynch) qui
devient amoureux de la femme
d'un policier tué par ses copains
de l'IRA. Un film de de Pat
O'Connor. Bien fait. Et le jeune
Lynch est excellent.
• Empire of the Sun (Imperial et
Dorval 4) Le dernier film de Steven Spielberg. Spectaculaire. En
1941, un garçon découvre la guerre à S h a n g h a i . La guerre et
l'aventure.
• Family Viewing (Avec s.t. fr.:
le Milieu) - Un excellent petit
film canadien fait avec peu d'argent et beaucoup de talent. L'histoire d'un homme obsédé par la
vidéo, de son fils veillant sur sa
grand-mère dont personne ne
s'occupe...
• The Killing Fields (Cinéma de
Paris, dimanche) - Drame de
guerre réalisé sans imagination
mais avec beaucoup de soin par
Roland joffe, dont c'est le premier long métrage. L'histoire est
authentique. En 1972, le journaliste américain Sydney Schanberg, en poste au Cambodge, a
pdur interprète et ami un Cambodgien qui lui sauvera la vie
quand les Khmers rouges entreront dans Phnom Penh. La guerre
dans toute sa bêtise et son horreur. Et les douteuses implications américaines en ExtrêmeOrient.
• Sammy and Rosie Get Laid
(Loew's 5) - Un Pakistanais —
l'excellent Shachi Kapoor — revient à Londres après avoir fait
fortune dans son pays. Il y retrouve une ville aux prises avec des
émeutes raciales, un bouleversement des moeurs, un changement
radical dans les mentalités. Sous
AVEZ-VOUS
VU?
Solveig Dommartih
les dehors d'une charge énorme,
Stephen Frears examine au scalpel l'état actuel de la société britannique.
• Sous le soleil de Satan (Complexe Desjardions 3) - D'après un
roman de Georges Bernanos,
adapté par Maurice Pialat. Un
prêtre en quête de sainteté (Gérard Depardieu), poussé à une
confrontation directe avec Satan.
Et une jeune fille (Sandrine Bonnaire) ne croyant ni à Dieu ni à
Diable. Un film qui a fait scandale au festival de Cannes le printemps dernier.
• Un zoo la nuit (Dauphin 2) Très noir, très fort. Des images
magnifiques. Les relations difficiles entre un père et son fils. Us apprennent à se connaître, la mort
les sépare. Avec Gilles Maheu
poursuivi par deux policiers véreux. Et Roger Le Bel, qui fait un
père émouvant. Un film à voir,
du jeune cinéaste québécois JeanClaude Lauzon.
• Les Vacances de M. Hulot
(Ouimetoscope, dimanche) - L'un
des premiers films de Jacques
Tati. Une merveille! Avec l'inoubliable silhouette dé M. Hulot en
vacances en Bretagne. Un film
que tout le monde connaît. Un
film à revoir. Une leçon de cinéma!
• La Vallée fantôme (ComplexeDesjardins 1) - Le dernier Tanner.
Et pas des moins bons! Un cinéaste veut tourner un film avec une
jeune actrice italienne qui a renoncé au métier. Il charge son assistant de la retracer et de la convaincre... Une réflexion sur le
métier de comédien, et sur l'image de la femme au cinéma, La
femme sans qui bien peu de
chefs-d'oeuvre n'auraient existé.
• Wall Street (Faubourg Ste-Catherine 1, Brossard 2, Carrefour
Laval 2 et Astre 2) - La cupidité
élevée au rang de vertu par un financier sans scrupules qui devient l'idole, puis le mentor d'un
jeune courtier aux dents longues.
Excellente interprétation de Michael Douglas et Charlie Sheen.
EN VERSION.
FRANÇAISE
• L'Apiculteur (Cineplex CentreVille 5) - Parmi les meilleurs
films de l'année. Un chef-d'oeuvre de mise en scène. D'une écriture admirablement dépouillée.
Un quyinquagénaire qui rêvait
autrefois de changer le monde
n'attend plus rien de la vie. Mais
la vie lui fait un dernier cadeau :
une étrange jeune fille rencontrée
par hasard... Avec Marcello Mastroianni et Nadia Mourouzi.
• Barfly (Complexe Desjardins 4.
V.o.: Cinéma Égyptien 2) - L'histoire d'un poète alcoolique écrite
par... un poète alcoolique. Et
interprétée par l'un des meilleurs
acteurs américains de sa génération, Mickey Rourke. Avec Faye
Dunaway qui boit autant que le
poète... Un film libérateur.
• Le Cri de la liberté (Berri 1.
V.o.: Faubourg Ste-Catherine 2) Un journaliste blanc prend la défense d'un militant noir en Afrique du Sud. Le militant est assassiné. La police veut faire croire à
une mort naturelle. Le journaliste
raconte la vérité et doit s'exiler.
Quelques moments forts dans ce
film signé Richard Attenborough.
• Le Dernier Empereur (Dauphin 1. V.o.: Place du Canada) De belles images tournées en Chine par Bernardo Bertolucci. Une
histoire intéressante, celle de Pu
Yi, dernier empereur de Chine,
monté sur le trône à l'âge de trois
ans, déposé quatre ans plus tard
et, après avoir subi un long lavage
de cerveau, devenu un humble
jardinier à Pékin. Mais un film
un peu froid.
• Full Metal Jacket (Cineplex
Centre-Ville 9, Oméga 2, Longueuil 1 et Cinéma de Montréal
1) - La guerre du Vietnam vue par
Stanley Kubrick dans un film
parfaitement maîtrisé. Ce n'est
pas la démence de Apocalypse
Now ni le réalisr : <î« Platoon,
mais un regard cru j sur l'esprit militaire et l'absurdité des
guerres. Sur les contradictions de
l'homme...
' • Kenny (Parisien 2, Laval 5,
Greenfield 3 et Versailles 2) - À
13 ans, Kenny est parvenu à vaincre un terrible handicap. Au milieu de sa famille, il aimerait bien
qu'on l'accepte tel qu'il est. Un
film courageux sur un sujet difficile signé Claude Gagnon, lauréat
du Grand Prix des Amériques au
FFM.
• Une femme flic, Rita Rizzoli,
travaille sous divers déguisements pour contrer le trafic des
stupéfiants à Los Angeles. Grâce
à ses contacts dans le milieu, elle
apprend que des revendeurs peu
scrupuleux font circuler de la cocaïne frelatée dont les effets sont
particulièrement dangereux, à tel
point que les connaisseurs ont.
donné à la mixture le surnom de
beauté fatale. Rita croit pouvoir
découvrir la source de cette drogue menaçante par l'intermédiaire d'un gorille professionnel qui
semble avoir partie liée avec un
homme d'affaires véreux.
DEATH WISH 4:
THE CRACKDOWN
Film américain (1987) de J . Lee Thompson.
Scénario: Gail Morgan Hickman. Images: Gideon Porath. Musique: Paul McCallum, Valentine McCalkim et John Bisharat. Avec Charles
Branson, Key lenz, John P. Ryan, Perry Lopez,
George Pickerson, Soon-Teck Oh. 99 min. Le
Faubourg 3 (14 ans).
• Des trafiquants de drogues ont
eu la mauvaise idée de fournir de
la cocaïne à une adolescente qui
se trouve être la fille de Karen
Sheldon, amie de coeur de l'architecte Paul Kersey. La pauvre
enfant en est morte et Kersey a
décidé de reprendre le rôle de justicier nocturne qu'il a déjà joué
dans trois épisodes de Death
Wish. Il s'en prend donc avec une
vigueur définitive aux vendeurs
de crack et autres substances délétères. D'ailleurs, il conservait
derrière son frigidaire une belle
collection d'armes à feu en prévision d'une telle éventualité. Il
provoque ainsi une guerre de
gangs entre les deux groupes qui
se partagent le marché des stupéfiants.
LES FAVORIS DE LA LUNE
Film français (1984) de Otar losseliani. Scénario: losseliani et Gérard Brach. Images: Philippe Theaudiére. Montage: Dominique Bellfort.
Musique: Nicolas Zourabichvili. Avec Pascal
Aubier, Katja Rupé, Hans Peter Cloos, Alix de
Montalgu, Jean-Paul Beauviala, Bernard Elsenschitz. 101 min. Ouimetoscope (G).
• Il y a une antiquaire mariée à
un armurier qui fournit des bombes à des terroristes en lutte contre la laideur; il y a un commissaire de police dont l'épouse est, a
été ou sera la maîtresse de l'armurier; il y a une coiffeuse qui vit
avec un serrurier fabriquant d'explosifs dont l'antiquaire a été la
maîtresse; il y a des voleurs, des
chanteurs et des prostituées; il y a
un vieux professeur, musicien
amateur et père de la coiffeuse. Il
y a surtout un tableau du XVIIIe
siècle et un service en porcelaine
de la même époque qui subissent
des dommages dans la folle sarabande où interviennent' les personnages ci-devant mentionnés.
GÉNÉRATION PERDUE
(The Lost Boys)
Film américain (1987) de Joe) Schumacher.
Scénario: Janice Fischer, James Jeremias,
Jeffrey Boam. Images; Michael Chapman.
Montage: Robert Brown. Musique: Thomas
Newman. Avec Jason Patrie, Corey Haim, Kiefer Sutherland, Jami Gertz, Dianne Wiest,
Edward Herrmann, Corey Feldman, Barnard
Hughes. 97 min. Version française. Berrl 2,
Cineplex 1, Carrefour Laval 1 (14 ans). .
• Nouvellement arrivé avec sa
mère et son jeune frère Sammy
dans une petite ville de Californie, un adolescent, Mike, entre
en conflit avec des motards de
son âge qui finissent pourtant par
l'admettre dans leur bande; ils lui
font cependant subir une initiation bizarre. Sammy, de son côté,
lie amitié avec deux frères préoccupés par les histoires de vampires et convaincus que de tels êtres
sont à l'heure dans leur milieu. Il
a la surprise de constater que
Mike commence à manifester certaines caractéristiques des vampires. Avec l'aide de ses deux nouveaux amis, il entreprend de
sauver son frère de l'influence
maléfique du groupe dont il fait
maintenant partie.
LA GUERRE OUBLIÉE
Film canadien (Québec 1987) de Richard Boutet. Scénario: Boutet. Images: Robert Vannerweghem. Montage: Francis van den Heuvel.
Musique: Tom Rivest. Avec Joe Bocan, Jacques Godin, Jean-Louis Paris, Eudore Belzile.
97 min. Cinéma Université, Bogart 2 (G).
• II y eut une guerre au début du
siècle en Europe qui dura quatre
ans, de 1914 à 1918, et qui devait
être la dernière. Des Canadiensfrançais y ont participés, certains
comme engagés volontaires
d'autres comme conscrits. Car le
gouvernement du premier ministre Borden fit passer en juillet
1917 une loi rendant la conscription obligatoire- Certains Québécois se cachèrent dans les bois
pour échapper à l'enrôlement forcé et des émeutes éclatèrent à
Québec en mars 1918 autour de
cette question. À l'aide de témoignages d'anciens, de documents
d'archives et de chansons d'époque le film fait revivre la tramé
québécoise de la Grande Guerre;
«S
m
m
m
Film américain (1987) de Paul Michael ciaser,
' Scénario: Steven E. de Souza, d'après un
roman de Richard Bachman (Stephen KingK
images: Thomas De) Ruth. Montage: Mark Roy
Warner,. Edward A. Warschilka et John
Wright. Musique: Harold faltermeyer. Av?c
Arnold Schwarzenegger, Maria Conchlta Alprjso, Yaphet Kotto, Richard Dawson. 101 min.
Version française. Parisien 1, Vcrsclllos i ,
Uval 1, Greenfield Park 1 (14 ans).
3
• En l'an 2019, l'émission dé télévision la plus populaire est un jeu
mortel; les concurrents doivent,
pour gagner, échappe! à la poursuite acharnée de chasseurs équipés d'armes redoutables. Le prix
offert au participant: assez habile
pour esquiver tous les pièges est
la liberté et une forte somme
d'argent, car les hommes ainsi
poursuivis devant les camera's
sont habituellement des criminels condamnés à de fortes peines. Aucun n'a réussi à remporter
la victoire jusqu'à ce qu'un nouveau gladiateur entre en lice: il
s'appelle Richards et ne manqué
pas de ressourcés musculaires et
cérébrales.
LEONARD PART VI
I
Film américain (1987) de Paul Welland. Scenario: Jonathan Reynolds et Bill Cosby. Imagés:
Jan DeBont. Montage: Gerry Hambling. Musique: Elmer Bernstein. Avec Bill Cosby, Torji
Courtenay, Joe Don Baker, Moses Gunn. fat
Colbert, Gloria Foster, Victoria Powell.-Js
min. Palace 5 (G).
1
• see
• Leonard est un ancien agent
secret devenu multimillionnaire
qui se repose sur ses lauriers. .11
sort de sa retraite anticipée pour
répondre à l'appel du chef dès
services secrets qui pleure la perte
de huit de ses meilleurs hommes.
Il entre ainsi en lutte avec une
certaine Medusa qui a entrepris
de soulever les animaux dans une
lutte à finir avec les hommes qui
les ont maltraités depuis les dîtbuts de la création. En même
temps, Leonard cherche à renouer avec sa femme dont il est
séparé depuis sept ans et veut empêcher sa fille adolescente de
tomber dans les filets d'un sexagénaire séducteur,
m
VOYAGE TOUT RISOUE
(Planes, Trains and Automobiles) g
Film américain (1987) de John Hughes. Scénario: Hughes. Images: Don Peterman. Montage: Paul Hirsch. Musique: Ira Newborn. Avec
Steve Martin, John Candy, Laila Robins, William Windom, Edie McClurg, Charles Tyner. 03
min. Version française. Parisien 4, Versailles
6, Laval 2, Greenfield Park 2 (G).
• Neal Page, publicitaire de passage à New York, veut rentrer^à
Chicago à temps pour fêter l'Action de Grâce avec su famille.
Mais les circonstances semblent
contre lui et il vient près de manquer le départ de son avion. Heureusement, le vol a été retarde.
Mais une tempête de neige bloque l'aéroport de Chicago et l'appareil se pose au Kansas. En compagnie d'un autre passager, Del
Griffith, représentant replet et
exubérant, Neal s'efforce de rentrer à Chicago par d'autres tripyens. Mais la malchance s'acharne sur lui, d'autant qu'il a de la
difficulté à souffrir son compagnon d'aventure dont les manières lui répugnent.
WHITNAIL AND I
• Liaison fatale (Parisien 3, Laval 4 et Versailles 5. V.o.: Palace
6) - Quelques invraisemblances
énormes, mais un récit tout de
même bien mené et un suspense
habilement entretenu. Avec Michael Douglas ayant avec Glenn
Close une aventure qu'il croit
sans lendemain. C'était mal la
connaître ! Elle s'accroche. La vie
de Douglas devient insupportable.
• Les Yeux noirs (Cineplex Cen• Les Ailes du désir (Berri 4) • tre-Ville 3) - Un film attachant
De toute éternité, un ange sur- qui mêle tragédie et comédie
veille Berlin et ses habitants. comme chez Tchékhov, dont le
Mais la condition humaine l'atti- réalisateur soviétique Nikita Mire irrésistiblement. Ah !- pouvoir khalkov s'est inspiré. Mastroiansentir le poids d'un objet, le pas- ni est sublime dans le personnage
sage du temps, la douceur fémini- (l'un a r c h i t e c t e r a t é d e v e n u
ne. Un hymne à la vie signé Wim amoureux d'une dame russe au
petit chien.
^
Wenders.
LE JEU DU DÉFI
(The Running Man)
Film anglais (19B6) de Bruce Robinson. Scénario: Robinson, d'après son roman, images:
Bob Smith. Montage: Alan Strachan. Musique:
David Dundas, Avec Paul McGann, Rlcharert.
Grant, Richard Griffiths, Ralph Brown, Michael Elphlck. 108 min. U Faubourg 4 (C>S{
• Whitnail et .Marwood, deux
jeunes acteurs sans emploi, partagent à Londres un logement minable. Fatigues de cette vie misérable, ils décident de se ravigoter
ar un séjour à la campagne,
/hitnail obtient de son oncle
Monty l'usage d'un cottage situe
dans une région lacustre, mais le
cottage en question n'est qu'une
cabane mal entretenue et la vfe
au grand air s'avère aussi désastreuse que leur existence urbaine.
L'oncle Monty vient leur rendre
visite et se montre sensible au
charme juvénile de Marwood, ce
«
1
1
Arnold Schwarzenegger ^ Gus Rethwisch dans The Running Man.
qui ennuie forticelui-ci.
i
LA PRESSE, MONTRÉAL, SAMEDI 25 JANVIER
I
r
F A M O U S
E23
1988
i
P L A Y E R S
«...de véritables splendeurs pour l'oeil et l'oreille»\~G^
— LucPernault.
LE
N O U V E A U
D E
F I L M S
1
F'
UNIVERSITE ©
18TC OTKICM! t
LA
l~S»J
PRESSE
P R O G R A M M E
U B
L
I
C I T
Pact M » OalaHa» Dupuis
MBTNO M R N M M A M
A I
m
Œ
2
A
n n dim
2:40-7x00
Tout les four* 7.-C0
EN N O M I N A T I O N P O U R
5
G O L D E N
G L O B E
DONT
MEILLEUR FILM (COMÉDIE MUSICALE)
MEILLEURE ACTRICE - CHER
Une comédie d'un charme irrésistible: CHER
dans son meilleur rôle jusqu'ici. TOUS les
personnages sont bien joués par TOUS les
; y
comédiens. TRÈS, TRES,
f.
TRÈS ATTACHANTS.
Une excellente comédie
romantique.
V h . ÉTOILES.
EN NOMINATION POUR
3 GOLDEN GLOBE
DONT MEILLEUR FILM
(DRAME)
— Richard Cay, BON DIMANCHE
«Moonstruck est
un enchantement... Le scénario
est ingénieux, le jeu inspiré et les
images séduisantes... J e w i s o n s'est
surpassé... CHER n'a jamais été si
convaincante.*»
(,<>U)IF: I L W N
PALACE
Tout les jour»
COUCHE TARD
samedi
11:10
«UNE COMÉDIE JOLIMENT
LOUFOQUE!»
'•
' •
1
AS
7:00-9:30
B A R B R A
S T R E I S A N D
R I C H A R D
D R E Y F U S S
NUTS
tarn dim
12:15-2:304:45-7:00-9:15
Tou$ le» four»
7:00-9:15
JVDCNS
g Hi k-vie oi.
©
m
3575 IW» du WBC
— Joseph Ceirrls, NEWS DAY
"•
Meilleure actrice (drame) BARBRA STREISAND.
Meilleur acteur de soutien (RICHARD DREYFUSS).
OVERBOARD I
— David Ansen, NEWSWEEK
m
Kl KT H I H H E I X
t k c i
V.VJftS6'|WW
•îBmSIRefl ^SCffY ŒVKai «ATORZEI MNNM ttlfflSQWRIZ.CBOMI
BOGART
-tBARBRASÎHBS/W) nMARTrJRiïT
3575AnduMRC
LOEWS
©
V.0&4STEC
AUCUN
LAISSEZ-PASSER
THE JOURNEY
MATINEES tomed»
FAIRVIEW
LE
J2:3O-*;<5-S:OO-r;»-»:30
COUCHE
TARD
samedi
11:45
som dim
Tou» Its Jour»
12:30-2:45-5:00-7:10-0:30
7:10-9:30
wumem |
EN NOMINATION POUR UN GOLDEN GLOBE
(3RD
PART)
dlmanohe
1:00
YOYAGB
(SE
PARTIE)
MATINEES
tamedl
dtmanc.it
4:00
TOM
SELLECK
LOEWS
LftMSTt CATHOWgq
©
WH1H3T,
&
KENT
L «100 SHERBROOKE 0.
13:00-3:20-4:40-7-00-0:20
COUCHE
TARD
carnet»
11:40
STEVE
GUTTENBERG
439-87Q3
lam dim
12:00-2:204:40-7:00-9:20
Tou» le» four»
7:00-9:20^
TED
DANSON
LIAIS
Ve f : - nn F f » f K * l t t d#
Peter, Michael et Jock connaissent une ou ïbux choses o propos des femmes.
Mais pource qui est des bébés, c'est le désastre.
MEILLEUR COMÉDIEN - ROBIN WILLIAMS
FATAL
ATTRACTION
Tout I t t four»
4:40-7:10-9:40
COUCHE TARD camedi
11 :iS
UNE FAÇON MERVEILLEUSE DE COMMENCER
L'ANNEE AU CINÉMA! ROBIN WILLIAMS EST BRILLANT
vmON ftANÇMH 01 TMtft MIN ANO A IAIY"
Ils ont changé ses couches. Elle a changé leurs vies
.
COUCHE TARD
Tou» le» four»
DANS LA COMÉDIE DE L'ANNÉE.
1 ) GOOD MORNING AMERICA • Joel Siegel
2) LOS ANGELES TIMES - Michael Wilmington
3) TIME MAGAZINE - Richard Schickel
lam dim
4:407:10-9:40
camedi
12:00
7:10-9:40
w
, V E R S A I L L E S ft) tarn dim
4:40-1
7:10-9:40
COUCHE TARD earned!
12:001
Tout le» Jour»
7:10-9:40
EN VERSION ORIGINAL!
ANGLAISE AU PALACE.
R
0
B
I
N
W I L L I A M S
LOEWS
©
12:20-2:40-4:$*-7:0S-0:tt
COUCHE TARD
samedi 11:26
Ul
RA
THE CONCERT
MOVIE ram
in
l:00-3;10-Srlt>
•7:30-0:10
COUCHE
TARD\
Mmtdl
11:50
A BARRY LBVINSON FILM
Tou»
ROBIN WILLIAMS m'MM^TOM"
^
m
i
m
^
m
u
M * * 1MRK JOHNSON*LARBYBREZNER o^^BARRYLBVINSON
tr.".Vj!tT!:rjïisihsjaDiiasiaIx
Color t j M LOB
e
Souodtnek oo AftM Recorii
btnj
AUCUN LAISSEZ-PASSER
som dim
12:00-2:204:40-7:10-0:30
Tou»
le»
four»
7:10-9:30
m
m
TOUCHSTONE
PICTURES
© 1987 Ttoochitûot Pletoe»
•
Le PARISIEN
LAVAL
ICEHTHEUMM.
DORVAL
©
samedi
HltO-î:tO-4:4S-7:00-9:10
COUCHE TARD «amedl
11:10
.11:30
Il
A BOUT DE
SOUFFLE
IBAN..
688 77re
r'VERSAILLES
Il
©
63,1 8586 J
tarn dim
12:00-2:204:40-7:10-9:30
Tou»
le*
Jour»
7:10-9:30
COUCHE,
TARD
TOUCHSTONE PCTURfS-»-.,K.ux-o.^ SILVER SCREEN PARTNERS H
"S JEAN FRANCOS LEPETTT/INTERSCOPE COMMUNICATIONS.INC. *"« LEONARD NIMOY
TOM SELLECK • STEVE GUTTENBERG • TED DANSON "TROIS H MMES ET UN BÉBÉ"
EDWARD TEETS T.!-'M JEAN FRANCOS LEPETtT "f ••»—»'-<»••- COUNE SERREAU
JAMES ORRiJMCRUICKSHANK " % TED FtELDf ROBERT W. CORT "V. LEONARD NIMOY
«80 STE-CATHERINE tt WtjfjS
LîftOAx.PQBvm.
M:00*J;*0-«.«0-7;10-»:4S
COUCHE
TARD
samedi
12:15
i
son d(m
J:«i
3:U-SfU-7:lt-0:lt
le» four»
7:16-9:15^
BOGART
tarn dim
12:30-2:40-4:50-7:05-9:25
COUCHE TARD tamedl
11:30
Tou» I t t Jour»
7:05-9:25
cam dim
12:40-2:55-5:05-7:10-9:25
COUCHE TARD camedi
11:40
Tout les jours
7:10-9:25
V.O. anglaise au YORK et FAIRVIEW
«44*470
DERNIÈRE
SEMAINE!
Tou» le»
four»
7:30-9:30
E24
LA PRESSE, MONTREAL. SAMEDI 23 JANVIER 1988
« T ' e s giio/?»
LE PLUS GRAND
MOLLY RIXGMLD
RANDALL BATIXKOFF
'FAMOUS
'PLAYERS
1,200,000
F» Keeps"
ucendvitfon
SUCCES
AU
EN 33
BOX-OFFICE.
JOURS!
Quoiqu'il advienne
on lâche pas.
DIRECTED BY JOHN G. AVILDSEN
nmsiuinua
OUfflCttatahcitm !
IarTuvam.bK
• ltfAtlDTHIOUCMCOtUM*IArKTUtfSO«CANAOA
AD LftlU Inmtrf
^VERSAILLES
©
PLACE VERSAILLES
kif PALACE
l O M STE CATHERINE 0
©
ven
7;J5-P:J0
tarn dim
12:30-2:45'
•5:00-7:15-9:30
COUCHE TARD samedi
11:45
Tout
let four*
7:15-9:30
12
-.00-2:20-4:40-7:00-9:20
COUCHE
TARD
vendredi
samedi
11:30
cam dim
12:30-2:30
&
KENT
DORVAL
y 6100 SHERBROOKE O
Sam dim
12:30-2:30
ven
7:15-9:30
sam dim
12:30-2:455:00-7:15-9:30
JTous
les jours
7:15-9:30
VERSION ORIGINALE ANGLAISE
AU PALACE ET D O R V A L
ThOkm DOnVAL
ven
7:00-8:20
sam dim
12:00-2:204:40-7:00-9:20
Tous
les fours
7:00-9:20,,
3 JOURS D'AVION,
DETRAIN, D'AUTO...
TOUT CE QU'IL VOULAIT
C'ETAIT SE RENDRE DE
NEW-YORK A CHICAGO!
OS
fjg AMÉRIQUES
ftsntu
DES FILMS Dl MONDE
•HMMil
Un film d e C L A U D E G A G N O N
Avec KENNY EASTERDAY
IHT
STEVE MARTIN JOHN CANDY
CAITLIN CLARKE ZACH GRENIER LIANE CURTIS It JESSE EASTERDAY Jr.
VôrST^Risô^
Le PARISIEN
y S19 BOULTASCHEREAU
1:20-3:20-5:20-7:20-9:25
COUCHE TARD
samedi
11:20
jeu
1:20-3:20-5:20-9:25
PARAMOUNT présente
un film de JOHN HUGHES
produit et réalisé par JOHN HUGHES
H un
GREENFIELD PARK
©
480 STE CATHERINE O
PLANES TRAINS AND AUTOMOBILES
H
KENNY
G R A N D PRIX D E S
LAVAL
67>8ttgJ
sam dim
1:20-3:205:20-7:20-9:25
Tout let jours
7:20-9:25
rVERSAILLES ©
PLACE VERSVULLES
y CENTRE LAMM.
tarn dim
12:45-3:00COUCHE
•5:10-7:15-9,;30
TARD tamedl
11:35
Tout Ut jours
7:15-9:30
tarn dim
12:50-2:555:00-7:15-9:30
COUCHE TARD tamedl
. 11:35 Tout let jours:
"T 2 GOLDEN GLOBE ! F Ï
«UN DES 10 MEILLEURS
FILMS DE L'ANNÉE»
«imam
i STEVEN SPIELBERG Him
. '.'.-.«IV
O B T T.V. I dmonton - Mimln-.il G a / r l l r
Le PARISIEN ©
M O
4U0 STE CATHEHINL O
GREENFIELD PARK
066 M 5 6 j
519 BOUL.TASCHEREAU
J:00-3:05-5:IO-7:J5-9:20
COUCHE
TARD samedi
11:20
sam dim
Tous
les fours
LAVAL
lCENTRE
sam dim
COUCHE
TARD
Tous
les jours
LOEWS
V954 STE CATHERINE O
©
»' ™'J
,1
OF
THE
Ottawa Citi/rn - Kdmonlnn Journal
\ \ indvor Slur
SUN i
N :i t " ' ii n I Board of Review
T i m e Magazine
A l T h e M o v i e s - R e x Reed
S n e a k Previews - Jeffrey Lyons
Playboy - B r u c e Williamson
12:30-2:35-4:40-6:50-9:00
6:50-9:00
PLACE VERSAILLES
sam dim
1:00-3:05-5:10 7:20-9:30
COUCHE
TARD samedi
11:40
Tous
les jours
7:20-9:30
VERSION
ORIGINALE
ANGLAISE
671-6129
& ^VERSAILLES
608 7776
LAVAL
A P*RAM0l'NT
HCtURl
©
3S3-78BO J
1:00-3:05-5:10-7:15-9:20
samedt
11:25
7:15-9:20
b- IMPÉRIAL ©
PLANES, TRAINS AND AUTOMOBILES
1:00-3:05-5:10-7:20-9:25
COUCHE TARD vtndr«dl samedi 11:35
.DORVAL
1HX
îtÛA.e DOfiVAl
6318586
sam dim
5:00-8:00
Tous les jours
8:00
1:00-4:00-7:00-10:00
SEM. DE
SUCCÈS!
DANS LES VIGNOBLES DU
M É D O C , L A PASSION
A SON
SÉLECTION
-OFFIGIELLE-
PRIX...
-CANNESet MONTRÉAL
W J
3
«Le film baigne tout au long dans un
climat sensuel très dense.» - v o g u e
Jean Zaloum prtsanle
SAM WATERSTON
[LA DÉCHIRURE]
MARISA
ARIELLE
BERENSOIM DOMBASLE
LAUREN
HUTTON
FLAGRANT
DESIR
version
française
un film de
CLAUDE FARALDO
TP.FT ENTEH1AINMEHT PICTURES/KEITH BARiSH PRODULTrfDNSft™i* TRI-STAR PICTURES A LINDEfl/ZINNEMANN PRODUCTION
ARNOLD SCHVIfflflZENEGGER «"THE RUNNING MAN" MARIA CGNCHITA AI0NS0 YAPHET KOnUIM) WMim
fflLTERMEYER ^ « « K E I T H BARISH««ROB COHEN
E. «SOUZA W..WT>JTtari • It W Ik Walla"
hRICIIARD BACHMAN hMoiW 1(1
I M 1NEMANN.EE0R6E UNDER uluirRfiUt
i r H I I I t MICHAEL
M
MICHAEL GIASER
GIASER
\
**m
D a
l.°^f^?j'
RELEASED THROUGH COLUMBIA PICTURES OF CANADA
AU PALACE
BERNARD-PIERRE D O N N A D I E U » A N N E ROUSSEL musique de GABRIEL YARED
inpQL»T
866 38S6
m
rVERSAILLES ©
Le PARISIEN ©
480 STE.CATHERINE O
yCENTRE LAVAL
DÈS VENDREDI 29 JANVIER
PLACE VERSAILLES
688 7 7 7 6 , /
li:25-2:45-5:0S-7:2S-B:4S
COUCHE TARD tamedl
11:50
!
^lYM?! >
tarn dim
12:55-3:05-5:15-7:25-9:35
COUCHE TARD tamedl 11:40
Tout let jours
7:25-9:35
LAVAL
GREENFIELD PARK
CENTRE LAVAL
tarn dim
12:00-2:20-4:40-7:00-9:20
COUCHE TARD tamedl
11:40
Tout let jours
7:00-9:20
519 TASCHEREAU BLVtt
""" «"«
T
o
u
t
jours
671«>
3)
12:00-2:20-4:40-7-.00-9:20
7:00-9:20
À