RAA_janvier_2009 - Préfecture de la Guadeloupe

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RAA_janvier_2009 - Préfecture de la Guadeloupe
PRÉFECTURE DE LA RÉGION GUADELOUPE
RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
JANVIER 2009
Désormais, le contenu intégral des textes et/ou les documents et plans annexés du Recueil des Actes
Administratifs est consultable à l'accueil de la préfecture et des sous-préfectures.
Rédaction :
Édition :
1
SOMMAIRE
CABINET...................................................................................................................................................7
BUREAUX DU CABINET.........................................................................................................................7
Arrête n° 2009-62 CAB du 16 janvier 2009 portant attribution de la Médaille d’Honneur Agricole –
Promotion du 1er janvier 2009....................................................................................................................7
Arrêté n° 2008-63 CAB du 16 janvier 2009 portant attribution de la Médaille d’Honneur du Travail –
Promotion du 1er janvier 2009....................................................................................................................9
SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE DÉFENSE ET DE PROTECTION CIVILES...............................35
Arrêté n° 2009-03 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0701 du port autonome de la Guadeloupe.............................................................................35
Arrêté n° 2009-04 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0702 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................36
Arrêté n° 2009-05 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0703 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................36
Arrêté n° 2009-06 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0704 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................37
Arrêté n° 2009-07 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0705 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................38
Arrêté n° 2009-08 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0706 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................38
Arrêté n° 2009-09 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0707 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................39
Arrêté n° 2009-10 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0708 du Port Autonome de la Guadeloupe............................................................................40
Arrêté n° 2009-11 SIDPC du 7 janvier 2009 fixant la liste des candidats admis aux épreuves de révision
du Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA) organisées le lundi 27 octobre 2008
à la piscine de Dugazon aux Abymes ........................................................................................................41
Arrêté n° 2009-12 SIDPC du 7 janvier 2009 fixant la liste des candidats admis aux épreuves du Brevet
National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA) organisées le lundi 27 octobre 2008 à la
Piscine de Dugazon aux Abymes ..............................................................................................................42
Arrêté n° 2009-13 SIDPC du 7 janvier 2009 portant renouvellement de l'agrément de la délégation
départementale de la Croix Rouge Française, pour l'enseignement et la pratique du secourisme..............43
MISSION SÉCURITÉ..............................................................................................................................44
Arrêté n° 2009-81 CAB du 22 janvier 2009 portant habilitation pour la circulation en zone réserve
aéroportuaire.............................................................................................................................................44
SECRÉTARIAT GÉNÉRAL....................................................................................................................44
MISSION ANIMATION DES POLITIQUES INTERMINISTÉRIELLES..............................................44
Arrêté n° 2009-20 SG/API du 9 janvier 2009 portant nomination des membres du Conseil Régional de
l'Emploi de la Guadeloupe........................................................................................................................44
Arrêté n° 2009-21 SG/API du janvier 2009 modifiant l'arrêté n° 2008-1866 SG/API du 8 décembre 2008
portant délégation de signature..................................................................................................................48
DIRECTION DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE ET DE LA RÉGLEMENTATION...................49
BUREAU DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE ET DES ÉLECTIONS...........................................49
2
Arrêté n° 2009-01 AD1/1 du 2 janvier 2009 publiant la liste des journaux habilités à recevoir les
annonces judiciaires et légales et fixant le tarif d’insertion de la ligne d’annonce, valable du 1er janvier
2009 au 31 décembre 2009 pour le département de la Guadeloupe...........................................................49
Arrêté n° 2009-17 ADI/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de l'entreprise
Pompes Funèbres LUREL, sise commune de Basse-Terre et représentée par M. Frank LUREL..............51
Arrête n° 2009-18 AD1/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de l'entreprise
“Pompes Funèbres du Nord”, sise commune de Saint-François et représentée par M. Vincent Paul
RAMLALL...............................................................................................................................................52
Arrête n° 2009-19 AD1/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de l'entreprise
“FOSS Assistance Funéraire”, sise commune de Bouillante, représentée par M. Bernard Boris
ABSALON................................................................................................................................................52
Arrêté n° 2009-65 AD1/1 du 16 janvier 2009 autorisation d'ouverture d'hippodrome et d'organisation du
pari mutuel................................................................................................................................................53
BUREAU DE LA CIRCULATION ET DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRES.............................................54
Arrêté n° 2009-31 AD1/3 du 13 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............54
Arrêté n° 2009-55 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant mise en place de la commission départementale de
la sécurité routière.....................................................................................................................................56
Arrêté n° 2009-56 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............60
Arrêté n° 2009-57 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............61
Arrêté n° 2009-58 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............62
Arrêté n° 2009-64 AD1/3 du 16 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............63
Arrêté n° 2009-72 AD1/3 du 21 janvier 2009 autorisant une course cycliste les 23, 24 et 25 janvier 2009
“Mémorial ARTIS Harry”.........................................................................................................................64
Arrêté n° 2009-88 AD1/3 du 26 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............71
Arrêté n° 2009-89 AD1/3 du 26 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière..............72
BUREAU DE L’URBANISME, DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE..........................73
Arrêté n° 2009-43 AD1/4 du 14 janvier 2009 portant ouverture d’une enquête publique sur la demande
d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf calcaire au lieudit Gampo commune du Gosier
présentée par la SARL BMJ......................................................................................................................73
Arrêté n° 2009-44 AD1/4 du 14 janvier 2009 portant ouverture d’une enquête publique sur la demande
d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf calcaire au lieudit Perrin commune de Petit-Canal
présentée par la Société ETPL...................................................................................................................75
Arrêté n° 2009-45 AD1/4 du 14 janvier 2009 de mesures d’urgence à l’encontre des Sablières de
Guadeloupe pour la mise en sécurité de sa carrière située au lieu-dit “Rivière Sens”, 97113 – Gourbeyre
..................................................................................................................................................................77
Arrêté n° 2009-67 AD1/4 du 19 janvier 2009 autorisant la société SGB à exploiter une centrale de béton
sur le territoire de la commune de Baie-Mahault.......................................................................................79
ANNEXE 1.............................................................................................................................................101
Liste des installations concernées par une rubrique de la nomenclature des installations classées..........101
3
Arrêté n° 2009-68 AD1/4 du 19 janvier 2009 portant suspension du fonctionnement de la distillerie
Montebello exploitée au lieudit Montebello, Carrère, commune de Petit-Bourg, en cas de non respect du
calendrier de mise en service de la station de traitement des effluents aqueux........................................102
Arrêté n° 2009-90 AD1/4 du 26 janvier 2009 mettant en demeure la Station Antillaise de Granulats
(SAG) de respecter les dispositions de l’arrêté du 22 octobre 2007........................................................104
Arrêté n° 2009-100 AD1/4 du 29 janvier 2009 de mise en demeure à l’encontre de la Société Anonyme
de la Raffinerie des Antilles (SARA) pour son dépôt d'hydrocarbures liquides de la Pointe de Jarry, sur le
territoire de la commune de Baie-Mahault..............................................................................................105
Arrêté n° 2009-101 AD1/4 du 29 janvier 2009 autorisant le défrichement d'un bois particulier situé sur le
territoire de la commune du Gosier, au lieu-dit Marcel...........................................................................108
Arrête n° 2009-102 AD1/4 du 29 janvier 2009 portant mise en demeure de M. CAMBRONE Pierre,
commune des Abymes............................................................................................................................109
Arrêté n° 2009-103 AD1/4 du 29 janvier 2009 de mise en demeure à l’encontre de la Société ÉCODEC
concernant l'installation de tri de déchets industriels banals et de valorisation des déchets de plastiques et
de pneumatiques exploitée à la Gabarre sur le territoire de la commune des Abymes.............................111
Arrêté n° 2009-104 AD1/4 de consignation à l’encontre du garage LAURENT situé rue Henri Becquerel,
ZI de Jarry, 97122 – Baie-Mahault..........................................................................................................114
DIRECTION DES ACTIONS DE L’ÉTAT ET DES AFFAIRES DÉCENTRALISÉES.......................115
BUREAU DU CONTRÔLE FINANCIER ET DES DOTATIONS DES COLLECTIVITÉS
TERRITORIALES..................................................................................................................................115
Arrêté n° 2009-14 AD/II/2 du 7 janvier 2009 portant versement de la recette à certaines communes de la
Guadeloupe au titre de la compensation de la suppression de la taxe sur les jeux automatiques - Année
2008 -......................................................................................................................................................115
Arrêté n° 2009-73 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des Régions Versement
d’acomptes pour les mois de janvier, Février et mars 2009 ....................................................................116
Arrêté n° 2009-74 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des départements – Versement
d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009......................................................................116
Arrêté n° 2009-75 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation de péréquation urbaine –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009....................................................117
Arrêté n° 2009-76 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation de fonctionnement
minimale – Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009.................................118
Arrêté n° 2009-77 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation de compensation des départements –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009....................................................119
Arrêté n° 2009-78 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des communes – versement
d'acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009......................................................................119
Arrêté n° 2009-79 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation globale de
fonctionnement des CA, des CC et des SAN – Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et
mars 2009................................................................................................................................................124
Arrêté n° 2009-80 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation de compensation des groupements –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009....................................................125
Arrêté n° 2009-105 AD/II/2 du 29 janvier 2009 autorisant la chambre de commerce et d'industrie de
Pointe-à-Pitre à recourir à un emprunt de 582 700 € (Cinq cent quatre vingt deux milles sept cents euros),
destiné à financer les investissements sur l'aéroport de Pointe-à-Pitre/Le Raizet....................................126
Décision administrative n° 2009-109 du 30 janvier 2009 relative à la centralisation de la formalité de
l'enregistrement et de certaines déclarations fiscales du département de la Guadeloupe, de la Collectivité
de Saint-Barthélémy et de la collectivité de Saint-Martin.......................................................................127
DIRECTION DES ACTIONS DE L'ÉTAT ET DES AFFAIRES DÉCENTRALISÉES........................129
4
BUREAU DU CONTRÔLE FINANCIER ET DES DOTATIONS AUX COLLECTIVITÉS
TERRITORIALES..................................................................................................................................129
BUREAU DU CONTRÔLE DE LÉGALITÉ.........................................................................................130
Arrêté n° 2009-36 AD/II/4 du 13 janvier 2009 fixant la composition de la commission départementale de
coopération intercommunale ..................................................................................................................130
DIRECTION DE LA SANTÉ ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL...................................................131
Arrêté n° 2009-35 DSDS/DIR PORTANT SUBDÉLÉGATION DE SIGNATURE..............................131
Arrêté n° 2009-59 PREF/DSDS du 15 janvier 2009 accordant délégation de signature des lettres
d’observation valant recours gracieux, adressés aux établissements publics de santé, au titre de l’article
38-4 du décret 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action
des services de l’État dans les régions et les départements à M. Alain PARODI, directeur de la santé et du
développement social de la Guadeloupe..................................................................................................132
SERVICE PLANIFICATION.................................................................................................................133
Arrêté n° 2009-66 PREF/DSDS/SP du 19 janvier 2009 autorisant l'extension de 50 à 62 places du Service
d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) “Lanbéli” géré par l'association “Kalitépouviv” 133
PROFESSIONS DE SANTÉ ET RÉGLEMENTATION SANITAIRES................................................135
Arrêté n° 2009-108 PREF/DSDS du 30 janvier 2009 portant désignation des membres du Comité
Départemental de l'Aide Médicale Urgente, des Transports Sanitaires et de la Permanence des Soins
(CODAMUPS)........................................................................................................................................135
DIRECTION DE LA SANTÉ ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL...................................................138
PHARMACIE.........................................................................................................................................138
Arrêté n° 2009-70 PREF/DSDS du 19 janvier 2009 portant enregistrement de la déclaration
d’exploitation d’une officine de pharmacie.............................................................................................138
EXAMENS – CONCOURS – V.A.E......................................................................................................139
Arrêté n° 2009-02 PREF/DSDS du 5 janvier 2009 portant composition du jury de validation des acquis
relatif aux épreuves de présélection dans les Instituts de formation en soins infirmiers au titre de la
Session 2009...........................................................................................................................................139
Arrêté n° 2009-02 bis DICE/VAE du 5 janvier 2009 modifiant la composition du jury de la validation des
acquis de l’expérience en vue de l’obtention du diplôme d’État d’auxiliaire de vie sociale (DEAVS) –
Session de janvier 2009...........................................................................................................................140
Arrêté n° 2009-16 DICE/EC du 8 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État d’infirmier 2ème
Session – Année 2008.............................................................................................................................140
Arrêté n° 2009-26 DICE/EC du 12 janvier 2009 modifiant l’arrêté n° 2009-02 du 5 janvier 2009 portant
composition du jury de validation des acquis relatif aux épreuves de présélection dans les Instituts de
formation en soins infirmiers au titre de la Session 2009........................................................................142
Arrêté n° 2009-27 DICE/EC du 12 janvier 2009 relatif à l’organisation du concours d’entrée à l’Institut
de formation d’ambulancier du CHU de Pointe-à-Pitre/Les Abymes - Session 2009..............................142
Arrêté n° 2009-29 DICE/EC du 13 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État d’aide médicopsychologique – Session de janvier 2009................................................................................................144
Arrêté modificatif n° 2009-31 bis DICE/EC du 13 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d'État
d’infirmier, 2ème Session de l’année 2008.............................................................................................145
Arrêté modificatif n° 2009-69 bis DICE/EC du 19 janvier 2009 relatif à l’organisation du Diplôme d'État
d’Infirmier, 2ème Session - Année 2008.................................................................................................145
DIRECTION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES..................................................................................146
Arrêté préfectoral n° 2009-106 PREF/DSV du 30 janvier 2009 portant création de la commission
régionale de la pharmacie vétérinaire de Guadeloupe.............................................................................146
5
Arrêté préfectoral n° 2009-107 PREF/DSV du 30 janvier 2009 portant création du Conseil de la Santé et
de la Protection Animales de Guadeloupe (CSPA).................................................................................147
Arrêté portant création du CSPA Composition du CSPA et des formations spécialisées........................151
DIRECTION DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE.........156
Arrêté n° 2009-23 bis PREF/DDTE du 9 janvier 2009 portant application des arrêtés préfectoraux n°
2008-1887 et 2008-1888 SG/API du 8/12/2008 portant délégation de signature à M. Vincent LEMAIRE,
directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe, pour les affaires
générales et pour l'ordonnancement secondaire.......................................................................................156
Arrêté du 15 janvier 2009 portant agrément simple d’un organisme de services à la personne...............158
Arrêté du 15 janvier 2009 portant agrément simple d’un organisme de services à la personne...............159
DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES...........................................................161
Arrêté n° 2009-25 PREF/DRAC du 12 janvier 2009 portant refus de licence d’entrepreneur de spectacles
à M. Christian-Georges EDWIGE HENRY-LÉO...................................................................................161
Arrêté n° 2009-69 PREF/DRAC/MH du 19 janvier 2009 portant inscription au titre des monuments
historiques de la maison BOUGENOT à Basse-Terre.............................................................................162
DIRECTION RÉGIONALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS DE GUADELOUPE...........163
Arrêté n° 2009-15 du 8 janvier 2009 SG/API accordant subdélégation de signature,.............................163
Arrêté préfectoral n° 2009-00010 portant renouvellement d'autorisation de mettre en oeuvre une
hélisurface à bord du navire “SKAT”......................................................................................................167
AVIS ET COMMUNICATIONS............................................................................................................168
BUREAU DE L'URBANISME, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE.........................168
Extrait de la délibération du conseil municipal de la commune de Gourbeyre, en date du 13 février 2008
................................................................................................................................................................168
Extrait de la délibération du Conseil municipal de la commune de Baie-Mahault en date du 23 juin 2008
................................................................................................................................................................168
6
CABINET
BUREAUX DU CABINET
Arrête n° 2009-62 CAB du 16 janvier 2009 portant attribution de la Médaille d’Honneur Agricole –
Promotion du 1er janvier 2009
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le décret du 17 juin 1890 instituant la médaille d'honneur agricole ;
VU le décret n° 76-422 du 10 mai 1976 relatif à la médaille d'honneur agricole ;
VU l'arrêté du 8 juillet 1976 portant délégation de pouvoirs aux préfets ;
VU le décret n° 84-1110 du 11 décembre 1984 relatif à l’attribution de la médaille d’honneur agricole ;
À l'occasion de la promotion du 1 janvier 2009 ;
Sur proposition de M. le directeur de Cabinet,
ARRÊTE
Article 1er. – La médaille d’honneur agricole ARGENT est décernée à :
- M. BEHARY Colbert
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Cambrefort - Moravie à Capesterre Belle-Eau
- Mme BENCHETRITE Marie-Christine née MIMAULT
Directrice des ressources humaines, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 12, lotissement Labelle à Baie-Mahault
- Mme CADET Murette née BERNARD
Technicienne agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Carrère à Petit-Bourg
- M. FICHER Raoul
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Bel air - Sainte-Marie à Capesterre Belle-Eau
- Mlle GAUCHER-CAZALIS Céline
Responsable , Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Résidence Fleur de lys - 7, immeuble Prince à Baie-Mahault
- M. GÉLABALE Georges
Technicien supérieur agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Tabanon à Petit-Bourg
- M. JOSEPH Jones
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Sainte-Marie à Capesterre Belle-Eau
- M. KANDASSAMY Alain
Technicien, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant 23, résidence les Flamboyants à Capesterre Belle-Eau
- M. LAKHIA Sylvie
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Cambrefort à Capesterre Belle-Eau
- M. MOMBRUN Emmanuel
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Bourg à Vieux-Habitants
- Mme MOULA Katia
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
7
demeurant 24, résidence le Moulin de Bas du Fort à Pointe-à-Pitre
- M. NUMITOR Gérard
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Ilet Pérou à Capesterre Belle-Eau
- M. ONAPIN Germain
Technicien supérieur agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Cambrefort à Capesterre Belle-Eau
- M. RAMLALL Jean
Technicien supérieur, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Blonzac - La Rose à GOYAVE
- M. SENE Jean
Technicien agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Carangaise à Capesterre Belle-Eau
- Mme TOBAL-GONZOLAN Maryse
Aide technique de laboratoire, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Cambrefort à Capesterre Belle-Eau
- M. VINGADASSALON Marc
Technicien supérieur agricole, CIRAD Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau
demeurant Bel air - Mon repos à Capesterre Belle-Eau
Article 2. – La médaille d’honneur agricole VERMEIL est décernée à :
- M. ANAÏS Lucien
Cadre de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 1421 résidence Bel Air Desrozières à Petit-Bourg
- Mme CHRISTOPHE Nadia née TOPSI
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Rue de l'Afrique - Bourg à Trois-Rivières
- M. FREDERIC Jean-Marie
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 43, lotissement la plaine - Sainval à SAINTE-ROSE
- M. MISTOCO Philippe
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Villers à Deshaies
Article 3. – La médaille d’honneur agricole OR est décernée à :
- M. BAUME Clotaire
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Belle-vue à Sainte-Rose
- Mme CHRISTINE Francine née MONDOR
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Chemin de la Princesse à Saint-François
- M. DUVALLON Philippe
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 12, lotissement sympa - Convenance à Baie-Mahault
- Mme MORTON Lydia née HAZAEL
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Immeuble de la Pharmacie - Carrefour Pliane - Dunoyer à Gosier
- Mme TICOUT Ketty née ANDREA
8
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Lotissement Bis à Sainte-Rose
Article 4. – La médaille d’honneur agricole GRAND OR est décernée à :
- Mlle MERCUL Quéty
Technicien IARD, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 13, lotissement les Hauts de Blachon à Baie-Mahault
- M. MUSQUET Claude
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 7, bd René Serge Nabajoth - Boisripeaux à Les Abymes
- Mme NININE Lydia née ABRAHAM
Employée de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 14, résidence les Gestrams - Bât. G à Les Abymes
- M. YSSAP Albert
Employé de banque, Crédit Agricole Mutuel de la Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Morne Tricolore à Sainte-Anne
Article 5. – M. le secrétaire général et M. le directeur de Cabinet sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la
préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 16 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------Arrêté n° 2008-63 CAB du 16 janvier 2009 portant attribution de la Médaille d’Honneur du
Travail – Promotion du 1er janvier 2009
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le décret n° 48-548 du 15 mai 1948 modifié, instituant la médaille d'honneur du travail ;
VU le décret n° 57-107 du 14 janvier 1957 relatif à la médaille d'honneur du travail ;
VU l'arrêté du 7 février 1957 de M. le secrétaire d'état au travail et à la sécurité sociale ;
VU la circulaire BC du 1er avril 1957 de M. le secrétaire d'état au travail et à la sécurité sociale ;
VU le décret n° 74-229 du 6 mars 1974 de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la population ;
VU la circulaire BC du 9 juillet 1974 de M. le ministre du travail ;
VU l'arrêté du 29 juillet 1975 de M. le ministre du travail ;
VU le décret n° 75-864 du 11 septembre 1975 de M. le ministre du travail ;
VU le décret n° 84-591 du 4 juillet 1984 portant délégation de pouvoirs aux préfets pour l'attribution de la
médaille d'honneur da travail ;
VU la circulaire BC 25 du 23 novembre 1984 de M. le ministre du travail, de l'emploi et de la formation
professionnelle ;
A l'occasion de la promotion du 1er janvier 2009 ;
Sur proposition de M. le directeur de Cabinet,
ARRÊTE
Article 1er. – La médaille d’honneur du travail ARGENT est décernée à :
- Mme ABAUL Romure, née NOËL
Employée d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant 18, lotissement les Hauts de Saint-Val à Sainte-Rose
- M. ABÉLA Frantz
Cadre technique, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 2 bis, impasse de la source - Poucet à Gosier
9
- Mme AGRICOLE Claudine, née JERUL
Gestionnaire santé et service aux personnes, Mutuelle Générale, Pointe-à-Pitre
demeurant 9, allée immortelle - Raizet à Abymes
- Mme ALEXANDRE Jocelyne, née SENNOAJ
Comptable, KARUCASH, Abymes
demeurant 12, lot. Pointe d'or à Abymes
- Mme AMÉ Marlène
Agent d'entretien, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 23 cité Albert Nelson - Rivière des pères à Basse-Terre
- Mme ANTÉNOR Catherine, née LAHAUT
Animateur de groupe, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 278, route de la plage - Saint Félix à Gosier
- M. ARETHUS Thierry
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Modette à Sainte-Anne
- M. ARTIS Jean-Claude
Contrôleur, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 31, les quartiers - Raizet à Abymes
- M. AUDOUI Frédéric
Chauffeur-machiniste, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Rue Marcel Azincourt - Saint-Phy à Saint-Claude
- M. AYASSAMY Hilaire
Assistant administratif et recouvrement, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Surgy à Sainte-Anne
- Mme BADE Francine
Cadre CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 4, résidence les tamarins - Fond Sarail à Baie-Mahault
- Mme BARBEU Judith
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 4, chemin Bellance - Rue Baden à Abymes
- M. BEAURAIN Serge
Chef ouvrier électricien, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 2, route des Hodges à Saint-Martin
- Mme BÉGARIN Lucile
Chef comptable, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant 51, lotissement les colibris - Convenance à Baie-Mahault
- Mme BELOT Flore, née LOBEAU
Responsable d'unité clientèle en assurances, Courtage Inter-Caraïbes, Fort-de-France Martinique.
demeurant 40, lot. les mimosas - Belcourt à Baie-Mahault
- M. BENOIST Elain
Manutentionnaire, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Papin à Abymes
- M. BENOIST Ignace
Manutentionnaire, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Papin - Rue Laurent Farasmane à Abymes
- Mme BÉNONI Gilberte
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Blachon à Baie-Mahault
10
- M. BERCHEL Alain
Chef d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Collège des Saintes - Petites Anses à Terre-de-Bas
- M. BERTHELOT Jean-Claude
Employé de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant Lot. 43 - Route de Concordia à Saint-Martin
- M. BLANCHARD Dominique
Cadre opérationnel, ANPE, Basse-Terre.
demeurant Marigot à Saint-Martin
- Mme BONBON Marie-Christine, née MONZA
Comptable, Caisse des Dépôts et Consignations, Paris 07 SP.
demeurant 57, lotissement Moulin à Eau à Capesterre Belle-Eau
- Mlle BOULA Danie
Technicienne achats, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 822, résidence Gauguin - Providence à Abymes
- Mme BOULA Lise
Employé administratif, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 71, rue Jean Jaurès - Raizet à Abymes
- Mme BOULOGNE Solange
Ingénieur en informatique, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Rousseau - Grands Fonds à Moule
- M. BOURDY Alain
Employé de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant 30, les Hauts de Concordia - Appt. 2 à Saint-Martin
- Mme BRISSAC Michelle
Réceptionnaire, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 601, résidence la Palmeraie - Morin à Saint-Claude
- Mme BRYAN Jo-Ann
Employée de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 5, bd Franklin Laurence - Grand Case à Saint-Martin
- M. CABARRUS Abel
Équipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Thomas à Bouillante
- Mme CARÈNE Louise
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant UBI - Lacroix à Baie-Mahault
- M. CASI Christian
Surveillant 1er degré, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Le Tuff - Cousinière à Vieux-Habitants
11
- Mme CASSILINGOM Mariline, née BALAGNE
Tarificateur, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Morne Rouge à Sainte-Rose
- M. CASSILINGON Éric
Magasinier, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Morne Rouge à Sainte-Rose
- M. CÉLIGNY Harry
Responsable commercial pôle frais, KARUCASH, Abymes
demeurant Route de coma à Abymes
- Mme CÉLIGNY Jacqueline
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Coma à Abymes
- M. CÉSAIRE Alain
Magasinier, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant Grand fond à Moule
- Mme CHINGAN Céline
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 9, résidence Aquarella - Oyster's Pond à Saint-Martin
- Mme COGNON José
Chef de secteur, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant Mare Café à Gosier
- M. CREANTOR Charlemagne
Technicien de maintenance, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 26, lot. communal de Bis à Sainte-Rose
- M. DAGONIA Gérard
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Bergnolles à Lamentin
- Mme DE CHADIRAC Mylène, née NUISSIER
Responsable clientèle, Air France, Pointe-à-Pitre
demeurant La Manzelle - Chemin des mineurs - Bois Sec à Goyave
- M. DESPLAN Serge
Responsable magasin, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant HLM Bât. H - N° 22 - Desmarais à Basse-Terre
- Mme DEVARRE Marie-Claire, née OMER
Collaborateur de ventes, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant Chastel à Morne-à-l'Eau
- Mme DIVAD Catherine, née CHELZA
Cadre CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 27, lotissement Marotte - Convenance à Baie-Mahault
- M. DIVAD Hilaire
Sous-Directeur CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 27 lotissement Marotte - Convenance à Baie-Mahault
- M. DJANOU Frantz
Vendeur, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Besson - - Rue Duhamel à Gosier
- Mme DOCTEUR Micheline, née BERTIN
Agent d'entretien, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 312, cité Grain d'Or à Basse-Terre
- M. ELIAZORD Ange
Chef ouvrier, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
12
demeurant 72, la Batterie - Friar's Bay à Saint-Martin
- M. ETILOPY Jean
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 480 ; chemin de morne à vent - Duquerry à Petit-Bourg
- Mme FIRPION Roselys
Agent d'entretien, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 1 cité Frantz Fanon - Petit-Paris à Basse-Terre
- M. FISSOT Denis
Chauffeur, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Morne Marigot à Vieux-Habitants
- M. FRANCISQUE Christian
Equipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Morne Marigot à Vieux-Habitants
- M. FRANCISQUE Paul
Equipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Monchy à BOUILLANTE
- Mme FRÉCINAT Suzanne
Aide-comptable, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Résidence Kassave 5 - Destrelland à Baie-Mahault
- Mlle FRÉDÉRIC Corinne
Employée d'assurances , GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Grands Fonds - Masselas à Sainte-Anne
- M. GENGOUL Dominique
Equipier commercial pôle fruits et légumes, KARUCASH, Abymes
demeurant 39, lot. Belle Espérance - Bosredon à Morne-à-l'Eau
- M. GÉRAN Sony
Comptable, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 99, lotissement Pasquereau à Baie-Mahault
- M. GIRAUD Laurent
Monteur exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Villa "Case a Yo" - Marigot à Saint-Barthélémy
- Mme GOVINDIN Jacqueline, née JOSEPH
Assistante administrative, CIRAD-Guadeloupe, Capesterre Belle-Eau.
demeurant Mon repos - Sainte-Marie à Capesterre Belle-Eau
- M. GRANDISSON Christian
Courrier archiviste, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Eucher à Sainte-Anne
- Mme HÉGÉSIPPE Juliette, née TURLET
Secrétaire, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 3, lot. Marie Gabrielle II - Montebello à Petit-Bourg
- Mme HEREM Claudia, née CLAVIER
Agent C.G.S.S, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Gissa - 12, impasse St Martin à Moule
- Mme HOURLIER Guylaine
Technicien conseil, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence les lauriers - Bât. A - N° 509 à Pointe-à-Pitre
13
- Mme ISAAC Guilaine
Agent de maîtrise, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Fonds Budan à Baie-Mahault
- M. JABOT Jean-Claude
Agent d'entretien, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 3, rue Virapin - Fonds Cacao à Capesterre Belle-Eau
- M. JACOB Michel
Coursier, SALVA-HERTZ, Jarry
demeurant Mare Gaillard à Gosier
- M. JACOBY KOALY Honorat
Contrôleur, KARUCASH, Abymes
demeurant Masselas à Abymes
- Mme JAVOIS Anne-Marie
Conseiller clientèle, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 75, la savane - Grand Case à Saint-Martin
- Mme JEAN Michèle, née POPSING
Technicien supérieur de gestion, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Vinty à Sainte-Rose
- Mme JEAN Rosémée, née LATCHAN
Agent administratif, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Surgy à Sainte-Anne
- M. JNO-BAPTISTE Anthony
Mécanicien électricien, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Résidence Pierre Turenne - Bât. C 4 - N° 331 à Basse-Terre
- M. JOSEPH Yves
Agent d'entretien, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Rue Noël - Rivière des Pères à Basse-Terre
- M. JUAN DE MENDOZA Philippe
Chauffeur, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 995, rue Benoît Esdras à Saint-Claude
- M. JUDOR Francesca
Cariste, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Route de Coma à Abymes
- Mlle JUSTINIEN Catherine
Technicien supérieur de gestion, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 8, chemin Christon - Tambou à Petit-Bourg
- M. KADELINE Luc
Manutentionnaire, KARUCASH, Abymes
demeurant 34, ruelle Marcel Lollia à Port-Louis
- M. KANDASSAMY Philippe
Chargé d'affaires expert, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Villa Hanson n° 7 -Lot. Morne O'Reilly à Saint-Martin
- Mme KIAVUE Viviane, née CALIXTE
Responsable de site, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 58 bis, rue Brion à Morne-à-l'Eau
- M. LACAZETTE Bertaud
Réceptionniste, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Marieule - Chemin Laroche à Morne-à-l'Eau
- M. LAMA Tony
Manutentionnaire, VIVIÈS Matériaux, Jarry
14
demeurant 19 cité HLM - Raisins Clairs à Saint-François
- M. LANCY Jean-Jacques
Technicien électronicien automobile, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 203, Mont d'Or - Clairfontaine à Baillif
- M. LASSERRE Yves
Agent , EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 3, lot. Audebert - Dugazon à Abymes
- Mme LE PAPE Josiane, née MALEAMA
Agent administratif, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 18, rue Joseph Maleama à Moule
- M. LEBOUIN Max
Chargé de préparation et/ou intervention, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 21, faubourg Alexandre Isaac - Cour Selbonne à Pointe-à-Pitre
- M. LÉDÉE Francis
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Grand Fond à Saint-Barthélémy
- M. LEFÈVRE Marc
Technicien aéronautique, AIR FRANCE, Pointe-à-Pitre
demeurant Morne Pétrelluzzi - Baimbridge à Abymes
- M. LIBER Jocelyn
Équipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 13, rue de Saumur à Basse-Terre
- M. LIENARD Alexis
Responsable technique, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 5, rue Paul Mingau à Saint-Martin
- M. LOUIS-ANATOLE Max
Equipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 10 résidence Cadet n°2 - Rivière Sens à Gourbeyre
- M. LUCE Omer
Technicien maintenance spécialisée, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 4 SCI Petit Acajou - Pointe d'Or à Abymes
- Mme LUCIDA Frangelle
Caissière, KARUCASH, Abymes
demeurant 1, allée des flamboyants à Anse-Bertrand
- M. LUCINA René
Agent BAI, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Sandy ground - 3, rue Bone Fish à Saint-Martin
- M. LUTAIRE Raymond
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Les villages de Concordia - Saona I - Appt. 3 à Saint-Martin
- M. MALAHEL Ronald
Préparateur cariste, KARUCASH, Abymes
demeurant Chemin du jardin - Cocoyer à Morne-à-l'Eau
- Mme MARIVAT Marie-Claire
Assistante d'opérations, SEMAG, Abymes
demeurant 622, résidence Vieux Bourg - Grand Camp à Abymes
15
- Mme MARSOLLE Ghyslaine, née LISETTE
Comptable, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant 19, résidence du port - Appt. 1931 à Pointe-à-Pitre
- Mme MATHIASIN Nicaise
Employée administrative paie, SAMMIG, Abymes
demeurant Résidence les vanilles - Logt 29 - Raizet à Abymes
- Mlle MATIGNON Christiane
Aide-comptable, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant 219, rue A. Roux - Grands Fonds à Moule
- Mme MATOU Karina, née BOSTON
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 23, Domaine de Gare Roza - Perrin à Abymes
- Mme MEPHON Paule, née MARIVAL
Caissière, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant 1384 section Tabanon à Petit-Bourg
- Mme MIXTUR Marietta
Employée de maison, Mme Maurice CAMPRASSE, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Amédée Fengarol à Moule
- M. MOESON Bruno
Directeur général adjoint, L'Express des Îles, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de l'écluse à Moule
- M. MOLZA Claude
Opérateur de prise de vue, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 48, les clémentines - Lotissement Crane à Lamentin
- M. NÉBOR Jean-Christophe
Technicien exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Duquerry - 137, chemin de Morne à vent à Petit-Bourg
- Mme NEPAUL Havenne
Conseiller clientèle, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Dubédou à Saint-François
- M. NESTY Bruno
Vendeur PR, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Matouba à Saint-Claude
- Mlle ONESTAS Bertina
Secrétaire médicale, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Les Collinettes Appt. 152 - Bât. 15 6 Grand Camp à Abymes
- M. PACQUETTE Jean-Pierre
Equipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 97, résidence les yuccas - Choisy à Saint-Claude
- M. PÉCOULT Frédéric
Technicien aéronautique, AIR FRANCE, Pointe-à-Pitre
demeurant Face au 141 bis rue des Nénuphars à Abymes
- Mme PÉRIANIN Colette, née DIHAL
Assistante commerciale, S.C.M. AGEPRO, Jarry
demeurant Route de Cacoville - Fonds cacao à Capesterre Belle-Eau
- M. PHIBEL Jean-Claude
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Immeuble Leclerc - Esc. 10 - Appt. 1031 - Le Raizet à Abymes
- M. PIECHACZ Guy
Chef de chantier en tuyauterie, Forcluméca Antilles Guyane, Jarry
16
demeurant 3, lotissement Leverger de Gissac à Sainte-Anne
- M. PLANTIER Emmanuel
Équipier de collecte, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant 68, nouvelle ville - Morne Chaulet à Basse-Terre
- M. POCHAL René
Manager Sce - Adjoint réception, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Labrousse - Rue de Réjoui à Gosier
- Mme PODAN Marie-Laure
Responsable informatique, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 16, résidence du Port - Pte 1612 à Pointe-à-Pitre
- M. POMMER David
Assistant d'exploitation, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 112, rue Gervais Anasthase - Bazin à Abymes
- Mme QUIKO Marie-Anne
Caissière, KARUCASH, Abymes
demeurant 703, résidence la Pépinière à Baie-Mahault
- M. RABOTEUR Sylvain
Employé de commerce, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Rue Marin Bonine - Beausoleil à Abymes
- M. RAMASSAMY Raymond
Assistant manager pôle frais, KARUCASH, Abymes
demeurant Valette à Sainte-Anne
- M. RAMDINE René
Assistant manager, KARUCASH, Abymes
demeurant Route de Pichon - Peltan à Port-Louis
- Mme REGELAN Roseline, née VULGAIRE
Comptable recettes, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant La Pointe des Châteaux à Saint-François
- M. RIPERY Marcel
Manager Pôle Sec, KARUCASH, Abymes
demeurant 512, résidence les Lauriers - Bât. C à Pointe-à-Pitre
- M. ROCHEMONT Georges
Agent de maîtrise, KARUCASH, Abymes
demeurant 4chemin Belle-Anse - Route de Chazeau - Rue Baden à Abymes
- Mme ROCHEMONT Micheline, née BARBEU
Aide-comptable, SOFROI S.A., Abymes
demeurant 4 chemins Belle Anse - Route de Chazeau - Rue Baden à Abymes
- M. ROCHEMONT Patrick
Technicien intervention électrique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 18, lot. Vanoukia - Rue du Château d'eau à Sainte-Anne
- M. ROMELLE Hugues
Agent de bureau, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Sainte Marguerite à Moule
- Mme ROSTAL Josie, née GERNIDAS
Agent administratif, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Cacao à Sainte-Rose
- Mme ROUSSEAU Lana, née BÉNIN
Employée administrative, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 1146, section Moreau à Petit-Bourg
17
- M. SALBOT Ruddy
Étalagiste, manutentionnaire, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Rivière Salée - Bât. Anthurium - 3ème étage - pte 331 à Pointe-à-Pitre
- M. SIBAN René
Technicien cartographie, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 66, rue Victor Hugo à Moule
- M. SITCHARN Aubert
Responsable de magasin, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Demere à Petit-Canal
- Mme STRAZEL Évelyne, née AZÈDE
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Beausoleil à Abymes
- M. TAGLIAMENTO Valéry
Marin naviguant, L'Express des Îles, Pointe-à-Pitre
demeurant 236, résidence Bois Joli - Bazin à Abymes
- M. TENIN Fred
Mécanicien, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Rue Guillaume Foccart à Gourbeyre
- M. TERRO Alin
Chauffeur, NICOLLIN Antilles, Basse-Terre.
demeurant Rocroy à Vieux-Habitants
- Mme THERMES Catherine, née GONTOUR
Secrétaire de direction, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant La Lézarde à Petit-Bourg
- Mme THICOT Claudia, née GRANDISSON
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Section Papin à Abymes
- Mme TISSEUR Sheila
Secrétaire commerciale, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Résidence Ernestine Webbe - Bât. F - Appt. 42 à Pointe-à-Pitre
- Mme TORRENT Delphine
Secrétaire technique, SEMAG, Abymes
demeurant Cour Torudu - Chauvel à Abymes
- M. TREBER Claude
Chargé de surveillance et d'intervention, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 25, Concordia - Résidence la Colombe à Saint-Martin
- M. VIATOR Andy
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Résidence de l'Arche - Appt E 04 - Bât. E 21 à Baie-Mahault
- M. VIEILLOT Frédéric
Cadre administratif, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Carrère - Bois Sergent à Petit-Bourg
- Mme VILLAGEOIS Anick, née LOURI
Employée au coffre, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Saint Félix à Gosier
- Mme VIRANIN Mathilde
Cadre de production, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Impasse des trompettes à Petit-Bourg
- M. VIROLAN Marc
Cariste, SOFROI S.A., Abymes
demeurant Deshauteurs à Sainte-Anne
18
- M. YOUYOUTE Pierre
Manutentionnaire vendeur cariste, VIVIÈS Matériaux, Jarry
demeurant Besson à Abymes
- M. ZÉNON Michel
Électricien, FORCLUM Antilles-Guyane, Abymes
demeurant Chemin de Galéan - Saint-Charles à Gourbeyre
- M. ZIGAULT Enor
Capitaine de navire, L'Express des Îles, Pointe-à-Pitre
demeurant 17, lotissement Roche à Saint-François
Article 2. – La médaille d’honneur du travail VERMEIL est décernée à :
- M. ABAUL Philippe
Comptable, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant 18, lotissements les Hauts de Saint-Val à Sainte-Rose
- Mme AFFAYERE Maryse
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Cité Bergevin - Bât. C.O. - Appt. 13 à Pointe-à-Pitre
- Mme ALEXIS Lorène, née GOBERT
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 14, allée Isabelle - Le Raizet à Abymes
- M. ANGEBERT Alex
Agent technique principal, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 14, résidence les esses 3 - Appt. 1422 - Raizet à Abymes
- M. ANNEROSE Simon
Agent distribution eau, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Acomat à Pointe-Noire
- Mme ANTOINE Irmine
Femme de ménage, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Gensolin à Morne-à-l'Eau
- M. ARTIS Michel
Chargé de recouvrements, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Route de Sainte Marguerite à Moule
- M. AZÈDE Michel
Magasinier, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant rue Armel Menerville - Deravinière à Abymes
- M. BERCHEL Eric
Cariste 3, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 17, lotissement Caillou - Castel à Lamentin
- M. BLONBOU Patrice
Mécanicien, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 19, rue Maurice Flory à Abymes
- Mme BONDOT Renée, née RODANET
Employée d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Eucher à Sainte-Anne
- M. BORDELAIS Gilles
Agent technique d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Grand Bois à Gosier
- Mme BOTTE Marie-Louise
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Paul - Section Chartreuse à Lamentin
19
- M. BOUTIN-ALBRAND Jules
Mécanicien, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Gros Cap à Petit-Canal
- Mme BROOKS Olivia
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant 10, impasse Man Allen - Route de Friars Bay à Saint-Martin
- Mme CALIF Ghislaine, née MORMAND
Comptable, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Duquerry à Petit-Bourg
- M. CALISTE Omer
Mécanicien auto, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Impasse Bellon - Route Jacob Boucard - Terrasson à Abymes
- M. CARTI Jean
Contremaître distribution, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence les Créolines - Appt. 8 - Lot. 21 à Saint-Martin
- M. CERCI Bernard
Cadre de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 25, rue Schoelcher à Port-Louis
- Mme CLOE Frédéric, née DAVAGNAR
Cadre administratif CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Vincent - Route Nationale à Lamentin
- M. COCODEAU Patrick
Assistant informatique, Régime Social des Indépendants Antilles-Guyane, Fort-de-France.
demeurant Calvaire - Chapelle à Baie-Mahault
- M. COMMIN Charles
Agent de bureau, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Calvaire à Sainte-Anne
- Mme CORNÉLY Joëlle, née CRÉANTOR
Secrétaire, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Fond marchand - Prise d'eau à Petit-Bourg
- M. CROISIC Max
Chef d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Henri Rinaldo - Grande Savane à Grand-Bourg de Marie-Galante
- M. DABRICOT Max
Professeur technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Boisvin - Route de Beausoleil à Abymes
- Mlle DAIJARDIN Myriam
Employée de banque, BRED, Pointe-à-Pitre
demeurant 129, résidence les muscades - Belcourt à Baie-Mahault
- M. DAMPROBE Éric
Chef de service, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 34, lotissement "les domaines de Fond Budan" à Baie-Mahault
- M. DELORME Jean-Marie
Conducteur de travaux, DODIN Guadeloupe SNC, Baie-Mahault.
demeurant E, résidence Jardins Caraïbes - Arnouville à Petit-Bourg
- M. DESPLAN Saint-Cyr
Agent de distribution, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Acomat à Pointe-Noire
- M. DIAKOK Charles
Technicien intervention électrique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Duzer à Sainte-Rose
20
- Mme DIGAN Blaise, née LIVÈZE
Agent technique, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue de larayette à Sainte-Rose
- M. DOLLIN Lambert
Opérateur de contrôle moteur, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 23, rue Sainte-Claire Deville "Cité des Sources" à Capesterre Belle-Eau
- M. ÉDOUARD Mario
Professeur d'enseignement, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Morne Bourg - Bourg à Petit-Bourg
- M. ÉLICE Alex
Technicien ag. et reprographie, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Main Courante à Petit-Bourg
- Mme ERRIN Mirella
Technicien conseil, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 39, Lotissement les Hauts de Blachon - Gourdeliane à Baie-Mahault
- M. ÉTENNA Auguste
Opérateur chimie, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Sainte Geneviève à Petit-Canal
- M. ÉZELIN Richard
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 1, rue Léopold Molza - à Petit-Bourg
- Mme FABRIANO Lucienne
Gestionnaire du recouvrement, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 15, rue Adolphe Gatine à Basse-Terre
- M. FALLOPE Jean-Pierre
Chef de bloc, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Grande Terre - Appt. D01 à Abymes
- M. FÉDÉRO Judes
Mécanicien spécialiste automobile, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Réduit à Trois-Rivières
- M. FIDELIS Thomas
Chargé de mission, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 4, lotissement Saint John Perse - Café à Baie-Mahault
- M. FLEMING Philippe
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue de Galisbay à Saint-Martin
- Mlle FONDS Sonia
Employée de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 6, allée des papillons - Dothémare à Abymes
21
- Mme FONTAINE Danielle
Cadre administratif, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Rue Laurent Farasmane - Papin à Abymes
- M. FOUCAN Jacky
Technicien distribution, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Le Désert à Désirade
- M. GARAPHIE Maurice
Comptable, Courtage Inter-Caraïbes, Fort-de-France Martinique.
demeurant Impasse Casimir - l'Houëzel à Gosier
- Mme GARCON Marie-France
Chef d'unité affilié au service employeurs, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Rue du Docteur Raton à Saint-Claude
- Mme GONFIER Marie-Hélène, née CARMASOL
Secrétaire, CGM, Baie-Mahault.
demeurant William - Daube à Saint-François
- Mme GOSTYMEN Fortunée
Assistante chargée clientèle, Courtage Inter-Caraïbes, Fort-de-France Martinique
demeurant 32, lot. Saint Val - Bellevue à Sainte-Rose
- M. GRANDMAN Olga
Docker chef de panneau, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Lotissement Dorville - 116 Dalciat à Baie-Mahault
- M. GREAUX Gilles
Technicien logistique et maintenance, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Colombier à Saint-Barthélémy
- M. GREAUX Vianney
Agent de maîtrise, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant Vitet à Saint-Barthélémy
- Mlle GUERRY Marie-Betty
Assistante en gestion du personnel, Assedic Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Impasse Loulou - Matima - Route de Bazin à Abymes
- M. GUIZONNE Arthème
Mécanicien spécialiste auto, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 18, lotissement les lataniers - Sainte Marthe à Saint-François
- M. GUMBS Elio
Chef d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Route des Hodges - Rambaud à Saint-Martin
- Mme GUMBS Lydia, née SABIN
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant rue du Spring - Marigot à Saint-Martin
- M. JEAN-BAPTISTE-SIMONNE Bertrand
Responsable d'unité, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 2, résidence les araucarias - Nogent à Sainte-Rose
- M. JONES Auguste
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Saint James - BP 1102 - Morne Napoli à Saint-Martin
- Mme LABAN Viviane, née MARIE-ROSE
Agent vérificateur, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 74, rue Jean Jaurès à Pointe-à-Pitre
- Mme LACASCADE Maryse, née LARONNE
Employée d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
22
demeurant Poirier - B.P. 111 à Capesterre Belle-Eau
- M. LEE-YOU Félix
Chef de groupe, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Aquarelle - Rue des Hôtels - Montauban à Gosier
- M. LEMAR Claude
Chef de branche, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 2, allée des marguerites - Cité Bologne à Basse-Terre
- Mme LEMBERT Chantal, née LAURENT
Secrétaire, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Rue de la poterie - Providence à Abymes
- M. LEPIERRE Harry
Chargé d'affaires gestion privée, Caisse d'Épargne Provence-Alpes-Corse, Marseille
demeurant Route de Bois de Rose - Caraque à Abymes
- M. LOSIO Marc
Opérateur spécialiste : essayeur, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 13, résidence les salines à Saint-François
- M. LOSIO Martial
Agent reconnaissance de tri, IEDOM, Pointe-à-Pitre
demeurant 62, lot. French à Sainte-Anne
- M. LOUIS Gilbert
Comptable, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 11, lot. Frangipaniers - Allée Bois d'Inde - Carrère à Petit-Bourg
- M. LOUVIERS Jacques
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rousseau à Morne-à-l'Eau
- Mme LUBINO Lydia
Employée de banque, BRED, Pointe-à-Pitre
demeurant 48, rue Gilbert de Chambertrand à Pointe-à-Pitre
- M. MACAL Christian
Chef de bloc, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 4, lot. Mounouchy à Sainte-Anne
- Mme MADO Dominique, née VALTON
Employée de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 82, résidence Caillou - Route de Castel à Lamentin
- M. MAGDELEINE Eddy
Chargé surveillance et intervention, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Calvaire - Chapelle à Baie-Mahault
- M. MARTINO Frantz
Chargé surveillance et intervention, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Saint Alban à Baie-Mahault
- M. MARY Teddy
Chef de section administrative, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 19, résidence des citronnelles à Saint-François
- M. MATHIAS Faidherbe
Chef d'équipe atelier garage, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Périnet à Gosier
23
- M. MELT José
Cariste 3, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 2737, chemin communal - Duquery à Petit-Bourg
- M. MORANGE Pierre
Coordonnateur SPS Ingénieur, Apave Parisienne, Paris.
demeurant Résidence Jardin Caraïbes 100, Arnouville à Petit-Bourg
- M. NUPERT Luc
Agent BAI, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Passonne à Grand Bourg Marie-Galante
- Mme ONESTAS Marie
Agent d'hôtellerie, AIR FRANCE, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Gerty Archimède - Bât. Hibiscus - Pte 123 à Pointe-à-Pitre
- Mme PAJAMANDY Ida
Animatrice commerciale, Courtage Inter-Caraïbes, Fort-de-France Martinique.
demeurant Le Boyer à Sainte-Rose
- M. PAUVERT Paul-Louis
Inspecteur d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Chemin Gommier - Hauteurs Lézarde à Petit-Bourg
- M. PELMARD Jean-Luc
Chef d'agence d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Logement EDF à Désirade
- Mme PETIT Marlène
Agent réceptionniste - gestion des comptes et contrats, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Lotissement la batterie - Lot. 48, Friar's Bay à Saint-Martin
- Mme PETRIS Marie-Line, née ROMAIN
Agent technique, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Carangaise à Capesterre Belle-Eau
- Mme PIERRE-MICHEL Maryse, née FORESTAL
Employée de bureau, Française des Jeux Développement, Fort-de-France Martinique.
demeurant Impasse Mascotte - Labrousse à Gosier
- Mme PIRBAKAS Dominique
Cadre de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Horizon - 1 quai Foulon - Appt C201 à Pointe-à-Pitre
- Mme QUERRARD Jacqueline, née BERNIER
Agent administratif, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Curin à Saint-Barthélémy
- M. QUIMPERT Jean-Claude
Technicien maintenance III, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Saturnin Lousta - Fond Budan à Baie-Mahault
- Mme RAGHOUMANDAN Marlène
Technicienne supérieure de programmation, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Résidence Mérosier Narbal - Appt. P11 à Baie-Mahault
- M. RASTOGI Nalin
Cadre scientifique, Institut Pasteur, Paris
demeurant 83, Domaine de Pako à Baie-Mahault
- Mme RENÉ Jacqueline, née SOPHA
Employée d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Carrefour Dumonter - Pierrette à Lamentin
- M. RENÉ-CORAIL Alain
Employé de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
24
demeurant 13 résidence les œillets - Boisripeaux à Abymes
- M. RISEC Adrien
Informaticien, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 29, rue Roland Balthazar à Abymes
- M. ROTHER Pascal
Chef d'exploitation, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Maison EDF - Vitet à Saint-Barthélémy
- M. SALONDY Serge
Mécanicien auto, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Rue Narcisse Louis - Caraque à Abymes
- Mme SIBA Marie, née SAINT-CLAIR
Animateur d'équipe, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Champ grillé 1 - 9 rue des œillets à Moule
- Mme SILVESTRE Agnès, née VANTERPOOL
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence d'agrément - Lot. 28 à Saint-Martin
- Mme SOLVAR Anna, née PICHI
Employée de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 110, route du collège de Belle Plaine à Gosier
- M. TARER Jean-Luc
Cadre CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 17, allée des cocotiers à Saint-Claude
- M. TARER Philippe
Cadre service contentieux, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Champ Fleury - Bosredon à Morne-à-l'Eau
- Mme THIMODENT Josiane
Employée de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Poinsettia - 104 Tour Josepha Hamot à Pointe-à-Pitre
- Mme TURAM-ULLIEN Marie-Lyne
Employée de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Chemin de la chapelle Sainte Geneviève à Petit-Canal
- M. VAHALA Roland
Contremaître maintenance, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 49, rue Yellow Tail - Appt. 1 - Sandy Ground à Saint-Martin
- M. VIARDOT Ignace
Mécanicien spécialiste auto, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Port Blanc - Saint Guillaume à Moule
- Mme VIRANIN Lisette
Assistante de direction, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 10, allée des rhumeries - Domaine de Pako à Baie-Mahault
Article 3. – La médaille d’honneur du travail OR est décernée à :
- M. ABRAHAM Jacques
Chargé d'opérations, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Perrin - Rue de l'école à Morne-à-l'Eau
- M. ALEXER Alex
Agent administratif, IEDOM, Pointe-à-Pitre
demeurant 23, résidence les œillets - Boisripeaux à Abymes
- M. ALTONE Patrick
Informaticien, CGM, Baie-Mahault.
demeurant 29, résidence Emmanuel Condo - Belcourt à Baie-Mahault
25
- Mme ANGÈLE Léna
Assistante de service social - Responsable de service, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-àPitre
demeurant 55, rue Schoelcher à Pointe-à-Pitre
- M. ANGERVILLE Franck
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Calixte François - Section David à Abymes
- M. ANNE-MARIE Médard
Employé CAF, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 35, lot. Belle Espérance à Morne-à-l'Eau
- Mme ARMOUGON Mariane, née MARIMOUTOU
Secrétaire, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Mon Repos - Sainte-Marie à Capesterre Belle-Eau
- M. ARTHUR Fred
Gestionnaire de marchés publics, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence les Goyaviers à Baie-Mahault
- Mlle AUGUSTE Gilberte
Employée de banque, BRED, Pointe-à-Pitre
demeurant 422, résidence Belvèdère - Grand Camp à Abymes
- Mme BAPTISTE Nicole
Gestionnaire du contrat de travail, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Cocoyer à Saint-François
- Mme BAZAR Jeanne
Technicienne supérieure de gestion, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 26, rue des hibiscus - Raizet à Abymes
- Mme BEAUPIERRE Maguy
Assistante, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Montplaisir - Tambour à Petit-Bourg
- Mme BÉLIA Francette
Technicienne, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Pointe d'Or - Route de Simonet à Abymes
- M. BENGABER Georges
Gestionnaire d'exploitation, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Mulâtresse Solitude - Villa A15 - La Jaille à Baie-Mahault
- M. BOUCARD Firmin
Employé de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant Impasse Marie-Eliza - Caraque à Abymes
- M. BOUTIN Paul
Cadre spécialisé - Ingénieur du son, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant L'Habitation - Bois Sergent n° 353 à Petit-Bourg
- Mme BROSSEAU Franciane, née BERTHELOT
Cadre CAF, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 413, route de Gros Mombin à Gosier
- Mme CHAIBRIANT Marlène
Secrétaire de direction, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Général de Lacroix à Trois-Rivières
- M. CITTÉE Paul
Responsable d'une unité, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Champfleury à Morne-à-l'Eau
- M. COMBE Hugues
Chargé d'affaires, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
26
demeurant Lot. Boisripeaux - 15, rue Germain Calixte à Abymes
- Mme DAMBO Mireille, née SERVA
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 3, route de Jaspard à Abymes
- Mme DANINTHE Madly
Employée de banque, BRED, Pointe-à-Pitre
demeurant Cité Jean Jaurès à Lamentin
- M. DE KERDORET-ISIDORE Eddy
Chef de pôle ITT, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 6, lot. Petit Acajou - Petit Pérou à Abymes
- M. DÉBAR-MONCLAIR Christian
Employé de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 11, lotissement Beau vallon à Lamentin
- M. DECROUX Claude
Opérateur mécanicien, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 3, résidence Emmanuel Condo - Belcourt à Baie-Mahault
M. DEDESTE Alex
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 71, lot. Nelson - Champ Fleury - Bosredon à Morne-à-l'Eau
- Mme DELAG Solange, née ROUSSEAU
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Saint Luc - Appt. 57 - Baimbridge à Abymes
- Mme DHAMBAHADOUR Eulalie, née DIHAL
Secrétaire de direction, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 6, les hauts de Blachon à Baie-Mahault
- M. DORVILLE Philippe
Expert, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 27, lot. Bagatelle - La Rosière à Lamentin
- M. DOUGLAS Frédéric
Magasinier, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Résidence Bergevin - Bât. B3 - n° 323 à Pointe-à-Pitre
- Mme DUBLIN Anny
Assistante en communication, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 2, résidence les mimosas - Belcourt à Baie-Mahault
- M. DUPONT René
Agent d'exploitation 3° échelon, Générale des Eaux Guadeloupe, Les Abymes
demeurant 15, lot. Le Pré Marin - Dampierre à Gosier
- Mme DUVERGER Évelyne
Employée de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 55, résidence les Tamarins - Fonds Sarail - La Jaille à Baie-Mahault
- Mlle EDWIGE Maryse
Employée CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Charles de Gaulle à Port-Louis
27
- Mme FRANCIUS Marie-Hélène, née BASSIEN-CAPSA
Employée de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 56, lot. Moreau à Goyave
- M. FRÉDÉRIC Clovis
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 44, résidence les hibiscus à Petit-Bourg
- Mme GÉROMÉGNACE Nicole
Responsable de pôle, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Cabout - rue Joseph Copol à Petit-Bourg
- M. GIRDARY Timothée
Cadre spécialisé - Opérateur de son, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Balin à Petit-Canal
- M. GOMBS Adrien
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 19, Saint-Louis - Rambaud à Saint-Martin
- M. GONGON Gilbert
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Bien-Désiré à Saint-François
- Mme GORAM Christiane, née PAULOBY
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue du Docteur Hélène - Lotissement Faraux à Gosier
- Mme GOUDOU Nadia
Secrétaire de direction, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 37, rue Cesario Siban - Petite Guinée à Moule
- M. GOVINDIN Marc
Opérateur logistique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 21, résidence les muscades à Baie-Mahault
- Mme HILDEBERT Antoinette, née COUCHY
Technicien accueil expert sédentaire, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence les surettes - Bât. 1 - Concordia à Saint-Martin
- M. HIMMER Moïse
Cariste 3, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Haut du Bourg - Rue Léthière à Sainte-Anne
- M. JACOBIN Clément
Chauffeur, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rocade - Modette à Sainte-Anne
- Mme JEREMIE Josette, née LINON
Employée d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant 925, route de Géry à Vieux-Habitants
- M. JIOUNANDAN José
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Lauréal à Moule
- Mme JOTHAM France-Lyse, née NÈGRE
Gestionnaire des comptes, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Cocoyer à Gosier
- Mme JUSTE Marlène, née BELLEMARE
Responsable service commercial, CGM, Baie-Mahault.
demeurant 2, lot. Village de Moreau à Goyave
- M. KARRAMKAM José
Chargé d'affaires, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
28
demeurant Meynard à Petit-Bourg
- Mme KLOCK France-Lise, née SONGEONS
Technicienne de surface, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Rue Vatable à Pointe-à-Pitre
- M. LACOSTE Philippe
Directeur Régional Air France, Pointe-à-Pitre
demeurant 13, lot. le Clos d'Argent - Le Helleux à Sainte-Anne
- Mlle LAKE Julie
Coordinateur réseau, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Immeuble Capitaine Moëde - Esc. 2 - N° 2601 à Abymes
- Mme LANDRE Catherine, née JEAMPI
Cadre de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant 614, route de Cocoyer - Besson à Gosier
- Mme LAROCHE Michelle
Employée de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 205, chemin de Fond D'or - Prise d'Eau à Petit-Bourg
- M. LATOUCHE Pierre
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 5 résidence autour de la piscine - Boisripeaux à Abymes
- Mme LAURENT Jacqueline, née GAMMALAME
Conseiller d'aide en action sociale, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 15, résidence Chantilly à Lamentin
- Mme LAURENT Nadia
Agent technique, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Lotissement Verepla - Bazin à Petit-Canal
- M. LESCOT Anatole
Comptable caissier, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Terrasson - Rue Caino Dufait à Abymes
- Mme LISO Lita
Assistante sociale, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 25, résidence les lavandes - Boisripeaux à Abymes
- M. LOUISE-LAURENCE-EUDOXIE Alphonse
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Résidence Bord de mer - Bât. C - Pte 13 à Pointe-à-Pitre
- M. LUGISSE Benoît
Informaticien, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Impasse Sinai Caniquitte - Boisvin à Abymes
- Mme LUNION Christiane
Assistante Marg., ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Morne Sinsson - Grand Bois à Gosier
- M. MAGDELEINE Guy
Chef de bloc, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Raiffer à Baie-Mahault
- Mme MAHABIR Ketty, née MIRRE
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Villa Pervenche - Bovis A198 à Petit-Bourg
29
- Mme MANDRET Bernadine, née DUCELIER
Employée C.A.F., CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 94 chemin de la hache - Grands Fonds - La Mineure à Moule
- Mme MARBOEUF Virginie, née COQK
Employée d'assurances, Assurances SEYMOUR-GERMAIN, Baie-Mahault.
demeurant Terrain Naigre - Boisvin à Abymes
- Mme MARTIAL Nicaise
Gestionnaire comptable, Agence Française de Développement, Baie-Mahault.
demeurant Pliane à Gosier
- Mme MEYNARD Angèle, née SAINT-CIREL
Cadre CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Raiffer à Baie-Mahault
- Mme MOÏSA Danielle
Conseiller clientèle, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Grand Anse - Maison BALLONARD à Trois-Rivières
- Mme MOUTOUSSAMY-SIVAGAMY Nicole
Responsable de site, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Résidence les Alouettes - Bât. I - N° 38 à Abymes
- M. PAINES Guillaume
Chef de quart, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Grand Case - La Savane à Saint-Martin
- Mlle PÉTRO Mylène
Technicien expérimenté, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 712, résidence du Port - Esc. 7 à Pointe-à-Pitre
- M. PIRBAKAS Tony
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 48, allée des marguerites - Jardin d'Arnouville à Petit-Bourg
- Mme PODAN Nicole, née LANCIEN
Agent de maîtrise au service allocataires, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Route de Conodor - Chemin de Belle Plaine à Sainte-Rose
- Mme POUCET Dominique, née BIGARD
Professionnel allocataires , ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 1247, Morne Bourg à Petit-Bourg
- Mme RÉPI Marie-Claude, née LESTIN
Employée de bureau, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Rue Paul Lacavé - Résidence les Lauriers - Bât. D, n° 513 à Pointe-à-Pitre
- Mme SAINSILY Eliane, née KARAT
Secrétaire, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 11, lotissement Beauplan II - Pichon à Port-Louis
- Mlle SAINT-SAUVEUR Marie-Chantal
Cadre CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 30, rue du Moule à Morne-à-l'Eau
- M. SALIBUR Gilbert
Assistant d'exploitation, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant Mortenol Sud prolongée - Esc. 7 - Porte 704 à Pointe-à-Pitre
- M. SANSOULI Vincent
Mécanicien, CGM, Baie-Mahault.
demeurant Rue Toussaint Louverture - Guery à Anse-Bertrand
- M. SERGIUS Julien
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
30
demeurant 248, Bel Air à Petit-Bourg
- Mme SIOUSARRAN Anita
Agent C.A.F., CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Schoelcher - Calvaire à Baie-Mahault
- M. TORMIN Jean-Claude
Informaticien, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant Les Hauts de Port Land à Moule
- M. TROBO Gaston
Employé de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 7, résidence Calaide Hatile - Baimbridge à Abymes
- M. VAÏTILINGON Gérard
Conseiller clientèle, chargé de bureau de commune, GFA Caraïbes, Fort-de-France
demeurant Papaye - Matouba à Saint-Claude
- Mme VIARDOT Chantal
Employée de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence les Aloès - Bât. 23 - Appt. 2301 à Petit-Bourg
- M. WILLIAMS Joseph
Docker, Générale de Services Portuaires, Baie-Mahault.
demeurant 40, faubourg Victor Hugo à Pointe-à-Pitre
- Mlle ZAMOUR Maguy
Agent technique, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Salle d'asile - Impasse Caniquitte à Abymes
Article 4. – La médaille d’honneur du travail GRAND OR est décernée à :
- M. ADDA Lucien
Employé de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Trézel à Saint-François
- Mme CALPAS Berthe
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant 14, avenue Nelson Mandela à Saint-Louis de Marie Galante
- M. CÉLESTE Jean-Yves
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 6, rue Voltaire à Capesterre Belle-Eau
- Mme CÉRIL Nicole, née AMBLAS
Contrôleur, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Pagès - Rue Loulou Félimard à Abymes
- Mme CHATELARD Robert
Employé de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Villa Romanche - Bonfils à Goyave
- M. CHOISY Charles
Contremaître ordonnancement, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Reilly Hill la Savane - BP 616 à Saint-Martin
- M. CITADELLE Gébert
Chargé intervention et surveillance, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Lolane - Bellevue à Sainte-Rose
- Mme CLÉMENT Chantal
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 111, alizés B - Raizet à Abymes
- Mme COMMIN Pierrette
Agent CAF, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant route de Bourgeuil, Palmiste, Rocade - Modette à Sainte-Anne
31
- Mlle DALMAS Liliane
Technicien créances spécialisé, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Karukéra - Appt. n° 3 - 1er étage à Pointe-à-Pitre
- Mme DAUPIN Patricia
Assistante de communication, ASSEDIC Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 44, domaines d'Orville - Dalciat à Baie-Mahault
- Mme DE CHADIRAC Annick
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Ernestine Webbe - Bât. B 42 à Pointe-à-Pitre
- M. DE LA RÉBERDIÈRE Modeste
Chargé de surveillance et intervention, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Duportail - La Boucan à Sainte-Rose
- M. DORANGES Esnard
Peintre auto, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Rue Albertin Landre à Abymes
- M. ÉGERTON Justin
Gestionnaire contentieux, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Georges roux - Esc. 6 - Appt. 611 à Pointe-à-Pitre
- Mme ERHARD Yannick, née ROQUES
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant Maisoncelle à Petit-Canal
- Mme GAZON Elita
Employée de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant Lotissement les carrières - Route du flibustier à Sainte-Anne
- Mlle GIRONDIN Josy
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 6 résidence Jamaïca - Bât A - 2ème étage à Pointe-à-Pitre
M. GOLABKAN Patrick
Employé de bureau, Transcaraïbes S.A., Baie-Mahault.
demeurant Bérard à Sainte-Anne
- Mme GOSNAVE Gastonnia, née EUGENIE
Agent CAF, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence le Lagon - Bât. M - Appt. 14 à Pointe-à-Pitre
- Mme GRANDISSON Yvelise
Femme de service, Union Immobilière Des Organismes de Sécurité Sociale, Pointe-à-Pitre
demeurant Eucher à Sainte-Anne
- M. HILAIRE Frantz
Employé de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Chemin de Caféière - Ziotte à Deshaies
- Mme HONORÉ Patricia
Secrétaire, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant 68, résidence les lavandes Boisripeaux à Abymes
- Mme JABOT Raymonde, née RAMSAMY
Employée de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 18, résidence Marquisat à Capesterre Belle-Eau
- Mme JACOBY-KOALY France, née LUCEL
Secrétaire de direction, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Chemin de Bordeaux - Bourg à Morne-à-l'Eau
- Mme KANCEL Enette, née MONTANTIN
Animateur de groupe, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Chemin de Ti Pauline - Gros Cap à Petit-Canal
32
- M. KODADAY Honoré
Responsable technique, RFO Guadeloupe, Baie-Mahault.
demeurant 3, résidence le Requin chagrin - La Retraite à Baie-Mahault
- M. LEDAN Christian
Technicien expert , EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 7, lotissement Horizon Bleu - Moudong Sud à Baie-Mahault
- M. LISO Yves
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Immeuble 9 - Appt. 902 - Résidence Robert Céleste à Abymes
- M. LUTIN-LAMARRE Alain
Employé de banque, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Petit Havre - Maison Fifi - Route de la plage à Gosier
- M. MACCÈS Michel
Estimateur VO, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Maison Morvan - Desmarais à Basse-Terre
- Mme MANGANE Francine, née LAVAURY
Conseiller clientèle privée, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 19, les Belles Vues - Convenance à Baie-Mahault
- M. MELISSE Jean
Cadre de banque, BFC Antilles-Guyane, Pointe-à-Pitre
demeurant 22, porte des Caraïbes - Morne l'Union à Gosier
- Mme MITEL Clémire
Conseiller juridique, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Gros Cap - Rue de Lagarde à Petit-Canal
- Mme MOLONGO Lydie, née BOYEAU
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 4, lot. Ilet Boyer à Lamentin
- Mme NAEJUS Maguy, née VIEILLOT
Agent C.A.F., CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Pavillon à Petit-Canal
- M. ONESIPPE Alain
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 18, rue des Roses - Raizet à Abymes
- M. OUJAGIR Jean
Technicien sédentaire accueil, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Letheil - 335, rue des acacias à Moule
- Mme PALLAS Josée
Responsable de formation, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 43, résidence les balisiers - La Jaille à Baie-Mahault
- M. PANDOLF Marie-Édouard
Employé de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 15, lotissement les domaines d'Orville - Dalciat à Baie-Mahault
33
- M. PHIBEL Alphonse
Magasinier, Auto-Guadeloupe Développement, Abymes
demeurant Desbonnes à Sainte-Rose
- M. PHILÉMON Willi
Chargé d'affaires, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Roche Blanche - Route de la Lézarde à Petit-Bourg
- M. PIERREVILLE Richard
Directeur d'agence, BNP Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Beausoleil à Vieux-Fort
- Mme PINEAU Monique
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 57, lot Vince - Arnouville à Petit-Bourg
- M. PINEAU René
Employé d'assurances, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant 20, lotissement Ti Bambou - Convenance à Baie-Mahault
- M. PORIER Jacques
Agent technique, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Pont Canal - Route de Sofaïa à Sainte-Rose
- M. SELBONNE Franck
Technicien clientèle, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Lotissement Grande Savane à Grand-Bourg de Marie-Galante
- Mme SELBONNE Maryse, née VERCAUTRIN
Technicien prestations spécialisé, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant lot. Providence - Mare Gaillard à Gosier
- Mme SOLVAR Josélita
Employée de banque, SGBA, Pointe-à-Pitre
demeurant 7, rue Félix Eboué à Gosier
- M. SOMMIER Marius
Rédacteur sinistres, GFA Caraïbes, Fort-de-France.
demeurant Vieux Bourg à Morne-à-l'Eau
- M. TERRA Marcel
Directeur des ressources humaines, Air France, Pointe-à-Pitre
demeurant Marisol à Gosier
- Mme THEOPHILE Roberte
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant 302, résidence les goyaviers - Dugazon à Abymes
- M. TROUDART Louis-Félix
Technicien enquêteur, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant à Moule
- Mme TURLET Henriette
Employée d'assurances, AGF Outre-Mer, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Labrousse à Abymes
- Mme URBINO Constance
Agent d'accueil, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Blachon à Baie-Mahault
- Mme VALENTINO Geneviève, née MOËSON
Gestionnaire du contrat de travail, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Route de Labrousse à Gosier
- M. VIGNEROL Arthur
Chef de section comptable, EDF Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
34
demeurant 6, lot. le Jardin de Perrin à Abymes
- M. VINCENT Laurent
Agent CGSS, Sécurité Sociale de la Guadeloupe, Pointe-à-Pitre
demeurant Résidence Pierre de Guillermier - Bât. 3 - Appt. 311 à Pointe-à-Pitre
- M. VIRIN Joël
Agent CAF, CAF, Pointe-à-Pitre
demeurant Bragelogne à Saint-François
- M. WEIL Philippe
Employé de banque, BDAF, Pointe-à-Pitre
demeurant 13, résidence Alfa - Village de la Jaille, à Baie-Mahault
Article 5. – M. le secrétaire général et M. le directeur de Cabinet sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des actes administratifs de la
préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 24 décembre 2008
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------SERVICE INTERMINISTÉRIEL DE DÉFENSE ET DE PROTECTION CIVILES
Arrêté n° 2009-03 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0701 du port autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret nû 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
(a sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0701 du port autonome de la
Guadeloupe, comprenant le terminal croisières de Bergevin, le quai n° 7 et la gare maritime
internationale de Bergevin, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
35
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-04 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0702 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n° 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0702, terminal conteneurs de Jarry, du
port autonome de la Guadeloupe, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-05 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0703 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n" 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
36
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0703, terminal pétrolier, du port
autonome de la Guadeloupe, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-06 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0704 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n° 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332^42 ;
VU le décret n" 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
37
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0704, terminal RoRo, quai n° 9 bis, du
port autonome de la Guadeloupe, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-07 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0705 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n" 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
Sur proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire N° 38, terminal vraquier quai n° 9, du port
autonome de la Guadeloupe, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-08 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0706 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
38
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n° 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0706, terminal vraquier quai n° 11/1 du
port autonome de la Guadeloupe, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-09 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0707 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n° 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
39
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire N° 0707, comprenant le port de BasseTerre avec la zone d'accès restreint du terminal croisières, du port autonome de la Guadeloupe, est
approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-10 CAB/SIDPC du 6 janvier 2009 approuvant l'évaluation de sûreté de l'installation
portuaire n° 0708 du Port Autonome de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les amendements à l'annexe de la convention internationale de 1974 pour la sauvegarde de la vie
humaine en mer (SOLAS) et le code international pour la sûreté des navires et des installations portuaires
(ISPS), adoptés à Londres par l'Organisation maritime internationale le 12 décembre 2002 et publiés par
le décret n° 2004-290 du 26 mars 2004 ;
VU le règlement (CE) n° 725/2004 du Parlement et du Conseil du 31 mars 2004 relatif à l'amélioration de
la sûreté des navires et des installations portuaires ;
VU la directive 2005/65/CE du Parlement et du Conseil du 26 octobre 2005 relative à l'amélioration de la
sûreté des ports ;
VU le code des ports maritimes, notamment ses articles R. 321-18, R. 321-19, R. 321-20 et R. 321-25,
R. 321-26, R. 321-27 ;
VU le code de la défense, notamment ses articles R. 1332-1 à R. 1332-42 ;
VU le décret n° 2007-476 du 29 mars 2007 relatif à la sûreté du transport maritime et des opérations
portuaires,
VU l'arrêté du 22 avril 2008 du ministre de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de
l'aménagement du territoire, définissant les modalités d'établissement des évaluations et des plans de
sûreté portuaires et des installations portuaires,
VU l'avis favorable du comité local de sûreté du port autonome de la Guadeloupe, émis lors de sa réunion
du 18 décembre 2008,
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'évaluation de sûreté de l'installation portuaire n° 0708 du port autonome de la
Guadeloupe, terminal sucrier de Folle Anse à Marie-Galante, est approuvée.
Article 2. – Le directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe, le directeur général du Port Autonome
de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui, compte
tenu du caractère confidentiel de l'évaluation de sûreté, ne sera pas publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
40
Fait à Basse-Terre le 6 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------Arrêté n° 2009-11 SIDPC du 7 janvier 2009 fixant la liste des candidats admis aux épreuves de
révision du Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA) organisées le
lundi 27 octobre 2008 à la piscine de Dugazon aux Abymes
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le décret n° 77-1177 du 20 octobre 1977 modifié, relatif à la surveillance et à l’enseignement des
activités de natation ;
VU le décret n° 91-834 du 30 août 1991 modifié, relatif à la formation aux premiers secours ;
VU l’arrêté du 23 janvier 1979 modifié, fixant les modalités de délivrance du Brevet National de Sécurité
et de Sauvetage Aquatique ;
VU l’arrêté du 5 septembre 1979 modifié, portant agrément des associations en vue de la préparation du
brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique ;
VU l’arrêté du 24 août 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’unité d’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 1” ;
VU l’arrêté du 14 novembre 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’unité d’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 2” ;
VU l’arrêté du 27 novembre 2007 fixant le référentiel national de pédagogie de sécurité civile relatif à
l’enseignement “pédagogie appliquée aux emplois/activités de classe 1” ;
VU la circulaire n° 82-88 du 11 juin 1982 modifiée, relative au Brevet National de Sécurité et de
Sauvetage Aquatique ;
VU le procès-verbal d’examen en date du 27 octobre 2008 ;
Sur la proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – Sont déclarés admis aux épreuves de révision du Brevet National de Sécurité et de
Sauvetage Aquatique, organisées le lundi 27 octobre 2008, à la piscine intercommunale de Dugazon aux
Abymes, les candidats désignés ci-après :
•
BEDOUET Frédéric, né le 20 septembre 1976 à Angers (49) ;
•
GAUDIER. Thomas, né le 20 août 1975 à Aubagne (13) ;
•
HAUBOIS Philippe, né le 26 avril 1974 à Reims (51) ;
•
LOUCHET Samuel, né le 16 mai 1975 à Hénin-Beaumont (62) ;
•
MERLIN Yann, né le 21 février 1975 à Boulogne sur Mer (62) ;
•
ROUCHOUSE Vincent, né le 02 mars 1968 à Saint-Étienne (42) ;
•
SAVARIT Emmanuel, né le 29 septembre 1972 à La Rochelle (17) ;
•
TANGUY Vincent, né le 13 janvier 1978 à Saint-Brieuc (22).
Article 2. – Le sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Région Guadeloupe, le chef du service
interministériel de défense et de protection civiles, le directeur départemental de la sécurité publique, le
commandant du groupement de gendarmerie nationale, le directeur départemental de la jeunesse et des
sports, le directeur départemental des services d’incendie et de secours, sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la région Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 7 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------41
Arrêté n° 2009-12 SIDPC du 7 janvier 2009 fixant la liste des candidats admis aux épreuves du
Brevet National de Sécurité et de Sauvetage Aquatique (BNSSA) organisées le lundi 27 octobre
2008 à la Piscine de Dugazon aux Abymes
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le décret n° 77-1177 du 20 octobre 1977 modifié, relatif à la surveillance et à l’enseignement des
activités de natation ;
VU le décret n° 91-834 du 30 août 1991 modifié, relatif à la formation au premiers secours ;
VU l’arrêté du 23 janvier 1979 modifié, fixant les modalités de délivrance du Brevet National de Sécurité
et de Sauvetage Aquatique ;
VU l’arrêté du 5 septembre 1979 modifié, portant agrément des associations en vue de la préparation du
brevet national de sécurité et de sauvetage aquatique ;
VU l’arrêté du 24 août 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’unité d’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 1” ;
VU l’arrêté du 14 novembre 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’unité d’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 2” ;
VU l’arrêté du 27 novembre 2007 fixant le référentiel national de pédagogie de sécurité civile relatif à
l’enseignement “pédagogie appliquée aux emplois/activités de classe 1” ;
VU la circulaire n° 82-88 du 11 juin 1982 modifiée, relative au Brevet National de Sécurité et de
Sauvetage Aquatique ;
VU le procès-verbal d’examen en date du 27 octobre 2008 ;
Sur la proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Guadeloupe
ARRÊTE
Article 1er. – Sont déclarés admis aux épreuves du Brevet National de Sécurité et de Sauvetage
Aquatique, organisées le lundi 27 octobre 2008, à la piscine intercommunale de Dugazon aux Abymes,
les candidats désignés ci-après :
•
AREF-BOURHAN Mohamed, né le 4 décembre 1972 à Djibouti (République
Djibouti) ;
•
ESCUDIER Guillaume, né le 8 novembre 1982 à Agen (47) ;
•
GAUTIER Erwan, né le 12 avril 1975 à Guingamp (22) ;
•
LEFEBVRE Jérôme, né le 31 mai 1973 à Roye (80) ;
•
NAKANRAKARI Christophe, né le 23 janvier 1965 à Port-Vila (Vanuatu (988) ;
•
PINTO-COELHO Jérôme, né le 22 avril 1977 à Aix en Provence (13) ;
•
POURTIER Florent, né le 26 janvier 1977 à Grenoble (38) ;
•
RICHARD Reynald, né le 15 avril 1975 à Tours (37) ;
•
SANCHIS Nicolas, né le 28 janvier 1981 à Agen (47).
Article 2. – Le sous-préfet, directeur de Cabinet du Préfet de la Région Guadeloupe, le chef du service
interministériel de défense et de protection civiles, le directeur départemental de la sécurité publique, le
commandant du groupement de gendarmerie nationale, le directeur départemental de la jeunesse et des
sports, le directeur départemental des services d’incendie et de secours sont chargés, chacun en ce qui le
concerne, de l’application du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la
préfecture de la région Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 7 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
------------
42
Arrêté n° 2009-13 SIDPC du 7 janvier 2009 portant renouvellement de l'agrément de la délégation
départementale de la Croix Rouge Française, pour l'enseignement et la pratique du
secourisme
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU la loi n° 2004-811 du 13 août 2004, de modernisation de la Sécurité Civile ;
VU le décret n° 82-389 du 10 mai 1982 modifié relatif aux pouvoirs du Préfet et à l'action des services et
organismes de l'État dans les départements ;
VU le décret n° 91-834 du 30 août 1991 modifié, relatif à la formation aux premiers secours ;
VU le décret n° 92-514 du 12 juin 1992 modifié, relatif à la formation de moniteurs des premiers
secours ;
VU le décret n° 97-48 du 20 janvier 1997, portant diverses mesures relatives au secourisme ;
VU le décret 2006-237 du 27 février 2006, relatif à la procédure d’agrément de sécurité civile ;
VU l'arrêté du 8 juillet 1992 modifié, relatif aux conditions d'habilitation ou d'agrément pour les
formations aux premiers secours ;
VU l’arrêté du 24 mai 2000, portant organisation de la formation continue dans le domaine des premiers
secours ;
VU l’arrêté du 22 octobre 2003 modifié, relatif à la formation de moniteur des premiers secours ;
VU l’arrêté du 26 juin 2007 fixant le référentiel national de pédagogie de sécurité civile relatif à l’unité
d’enseignement “pédagogie appliquée aux emplois/activités de classe 2” ;
VU l’arrêté du 24 juillet 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile à l’unité
d’enseignement “Prévention et Secours Civiques de niveau 1” ;
VU l’arrêté du 24 juillet 2007 fixant le référentiel national de pédagogie de sécurité civile relatif à l’unité
d’enseignement “pédagogie appliquée aux emploi/activités de classe 3” ;
VU l’arrêté du 24 juillet 2007 modifiant l’arrêté du 22 octobre 2003 relatif à la formation de moniteur des
premiers secours ;
VU l’arrêté du 24 août 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 1” ;
VU l’arrêté du 14 novembre 2007 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à
l’enseignement “premiers secours en équipe de niveau 2” ;
VU l’arrêté du 27 novembre 2007 fixant le référentiel national de pédagogie de sécurité civile relatif à
l’unité d’enseignement “pédagogie appliquée aux emplois/activités de classe 1” ;
VU l'arrêté préfectoral n° 2007-39 CAB/SIDPC du 11 janvier 2007, portant renouvellement de l'agrément
de la délégation départementale de la Croix Rouge Française en Guadeloupe pour l'enseignement et la
pratique du secourisme ;
VU la demande de renouvellement et le dossier présenté par la délégation départementale de la Croix
Rouge Française en Guadeloupe, relatif à son fonctionnement ;
SUR proposition du sous-préfet, directeur de Cabinet du préfet de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'agrément départemental est renouvelé pour une durée de deux ans (2), à compter du 29
décembre 2008, à la délégation départementale de la Croix Rouge française de la Guadeloupe pour la
formation de base aux premiers secours et l'organisation des sessions d'examen de prévention et secours
civiques de niveau 1 (PSC1), de premiers secours en équipe de niveau 1 (PSE1), de premiers secours en
équipe de niveau 2 (PSE2), de l’unité d’enseignement de pédagogie appliquée aux emplois/activités de
classe 1 (PAE1) et du monitorat.
Article 2. – Le sous-préfet, directeur de Cabinet, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le directeur
départemental des services d'incendie et de secours, le chef du service interministériel de défense et de
protection civiles, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'application du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 7 janvier 2009
43
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------MISSION SÉCURITÉ
Arrêté n° 2009-81 CAB du 22 janvier 2009 portant habilitation pour la circulation en zone réserve
aéroportuaire
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le code de l'aviation civile ;
VU la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens ;
VU la loi n° 2001-10620 du 15 novembre 2001 relative à la sécurité quotidienne ;
VU le décret n° 2002-24 du 3 janvier 2002 relatif à la police de /'exploitation des aérodromes et modifiant
le code de l'aviation civile ;
VU la loi 2006-64 du 23 janvier 2006 relative à la lutte contre le terrorisme et portant diverses
dispositions relatives à la sécurité et aux contrôles frontaliers ;
VU le décret n° 2007-433 du 25 mars 2007 relatif à la sûreté de l'aviation civile et modifiant le code de
l'aviation civile ;
VU le décret n° 2007-775 du 9 mai 2007 relatif a l'aviation civile et modifiant le code ;
VU la circulaire interministérielle du 3 octobre 2007 ;
Considérant le rapport des services de police en date du 22 août 2008 ;
Sur proposition de M. directeur de Cabinet du Préfet,
ARRÊTE
Article premier. – M. THÉOPHILE Steve est habilité pour une durée de 3 ans a circuler dans la zone
réservée de l'aéroport Pôle Caraïbes.
Article 2. – M. le directeur de Cabinet du préfet, M. le directeur départemental de la police aux frontières
sont chargés chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté.
Fait à Basse-Terre, le 22 janvier 2009
Le sous-préfet, directeur de Cabinet,
Pascal GAUCI
-----------SECRÉTARIAT GÉNÉRAL
MISSION ANIMATION DES POLITIQUES INTERMINISTÉRIELLES
Arrêté n° 2009-20 SG/API du 9 janvier 2009 portant nomination des membres du Conseil Régional
de l'Emploi de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
Vu le code du travail,
Vu le décret 2008-1010 du 29 septembre 2008 relatif à l'organisation du service public de l'emploi,
Vu l'article R. 5112-20 du code du travail,
Vu les propositions faites par les organismes, structures, associations, syndicats, définis à l'article R.
5112-20 du code du travail,
Vu l'absence de Maison de l'emploi conventionnée en Guadeloupe,
Sur proposition du directeur du travail de l'emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – Il est créé un Conseil Régional de l'Emploi pour la Guadeloupe.
44
Article 2. – Le Conseil Régional de l'Emploi de la Guadeloupe est présidé par le Préfet de Région de la
Guadeloupe.
Article 3. – Sont membres du Conseil Régional de l'Emploi de la Guadeloupe :
– Le directeur du travail de l'emploi et de la formation professionnelle ou son représentant
– Le trésorier-payeur général ou son représentant
– Le secrétaire général pour les affaires régionales ou son représentant
– Le directeur de la solidarité et du développement social ou son représentant
2) – Au titre de représentant de l'Université Antilles Guyane :
– M. Max NELSON
Rectoral d'Académie DAET-DAFCO
Boulevard de l'Union
Grand Camp BP 480
97183 – Les Abymes
3) – Au titre de représentants des organisations syndicales de salariés :
 CFDT
Titulaire : M. Henri BERTHELOT 8 Résidence Emmanuel Condo 97122 Baie-Mahault
Suppléant : Mme Lucie MAJOR Faubourg
97114 TROIS-RIVIERES
 CGTFO
Titulaire : M. Ruddy JEAN-PIERRE
312 Résidence les Quénettes
Wonche
97122 – Baie-Mahault
Suppléant : M. Patrick DAMPROBE
Lot. Reimonenq - Bellevue
97115
– Sainte-Rose
 CFTC
Titulaire : M. Georges PITER
18, les Carbets - le Raizet
97139 – Abymes
Suppléant : M. Patrick SAMAR
Chemin Champ Fleury
Bosredon
97111 – Morne-à-L'eau
 CFE CGC
Titulaire : M. Alex ANZALA
CFE CGC - CEFICA
Imm. la Verderie
ZAC Houelbourg - voie verte JARRY
97122 Baie-Mahault
Suppléant : M. Bruno COLARD
CFE CGC - CEFICA - Imm la verderie ZAC Houelbourg - voie verte JARRY 97122 BaieMahault
 CTU
Titulaire : Mme Catherine PETIT
CTU - 14 logement test Bergevin 97110 POINTE/A/PITRE
Suppléant : M. Luc JOBLON
CTU - 14 logement test Bergevin 97110 POINTE/A/PITRE
 UGTG
Titulaire : M. Elie DOMOTA UGTG
Rue Paul Lacavé
45
97110 Pointe-à-Pitre
Suppléant : M. Charly LENDO UGTG - Rue Paul Lacavé 97110 POINTE/A/PITRE
 CGTG
Titulaire : M. Claude KlCHETA-VERITAS CGTG - 4 cité artisanale de Bergevin 97110
POINTE/A/PITRE
Suppléant : M. Christian DIEPPOIS CGTG
4 cité Artisanale de Bergevin
97110 Pointe-à-Pitre
- Au titre des représentants des organisations professionnelles d'employeurs
 UDE-MEPEF
Titulaire : M. Jean-Luc LUBIN
MEDEF
Imm. SCI bât. B
Voie principale JARRY
97122 – Baie-Mahault
Suppléant : M. André BOREL
MEDEF
Imm. SCI bât. B
Voie principale JARRY
97122 – Baie-Mahault
Titulaire : M. Alain CASTORIX
Esc. I - porte 102
97170 Petit-Bourg
Suppléant : M. Aimé PIOCHE
Rue Schoelcher
97170 Petit-Bourg
 UNAPL
Titulaire : M. Alex MONPIERRE
BP 2107
97193 JARRY Cédex
Suppléant : Mme Micheline LAMBOURDIÈRE
Maison LANCELOT
Terrain Alone - Terrasson
97139 Abymes
 FNSEA
Titulaire : M. Louis-Guy FARO
Îlet Pérou
97130 Capesterre Belle-Eau
Suppléant : Mme Léonie JEAN-JACQUES
Ferme de Champfleury
Belle Espérance
97111 Morne-à-l'Eau
 MPI
Titulaire : M. Jean JOACHIM
Association MPI
BP 2325
97187 Jarry cedex
Suppléant : M. Laurent NESTY PRIM SA
BP 2174
97195 Jarry cedex
 UMPEG
Titulaire : M. Jérémy HUGUET
46
UMPEG
Angle des rues Nobel et Fulton
Z I Jarry
97122 – Baie-Mahault
Suppléant : Mme Vanessa BOURGUIGNON
UMPEG
Angle des rues Nobel et Fulton
Z I Jarry
97122 – Baie-Mahault
 CGPME
Titulaire : M. Patrick De LARROCHE CGPME
488 rue de la chapelle
Z I Jarry
97122 – Baie-Mahault
Suppléant : M. Robert ARNOUX
CGPME
488 rue de la chapelle
Z I Jarry
97122 – Baie-Mahault
Titulaires : Mme Gina THÉODORE-OPHELTÈS
Conseil Régional
Avenue Paul Lacavé
Petit-Paris
97100 – Basse-Terre
M. Jocelyn MIRRE
Conseil Régional
Avenue Paul Lacavé
Petit-Paris
97100 – Basse-Terre
Suppléants :
M. Patrice TIROLIEN
Conseil Régional
Avenue Paul Lacavé
Petit-Paris
97100 – Basse-Terre
– M. Alex FALÉMÉ
Conseil Régional
Avenue Paul Lacavé
Petit-Paris
97100 – Basse-Terre
 Au titre de représentants du Conseil Général
Titulaires : M. Félix DESPLAN
Conseil Général
Boulevard Félix Eboué -97100 – Basse-Terre
– M. Paul NAPRIX
Conseil Général
Boulevard Félix Éboué - 97100 – Basse-Terre
Suppléants :
– M. Élie CALIFER
Conseil Général
Boulevard Félix Éboué
97100 – Basse-Terre
– M. Guy GEORGES
Conseil Général
Boulevard Félix Éboué
47
97100 – Basse-Terre
 Au titre de représentants des communes
Titulaire : M. Alain MOUSTACHE-MAYEKO
Association des Maires CWTC
2ème étage, ZCI Jarry, 97122 – Baie-Mahault
Suppléant : Mme Roberte MÉRI-CINGOUIN
Association des Maires CWTC
2ème étage, ZCI Jarry, 97122 – Baie-Mahault
Titulaire : M. Max LAURENT
Mission Locale
Route de Petit Acajou
Lotissement Petit Acajou
97139 – Abymes
Suppléant : Mme Catherine CHOMEREAU LAMOTTE
Mission Locale
Route de Petit Acajou
Lotissement Petit Acajou
97139 – Abymes
9) - Au titre de représentant de l'AGEFIPH :
Titulaire : M. Benjamin LUREAU AGEFIPH
Centre Delgrès
Hauts de Dillon
Esc. E 1er étage
97200 Fort-de-France
Suppléant : M. Henri VILLERONCE AGEFIPH
Centre Delgrès
Hauts de Dillon
Esc. E 1er étage
97200 Fort-de-France
10) - Au titre de représentants du Pôle Emploi :
– M. Patrick DUMIRIER, Directeur Régional de Pôle Emploi ou son représentant.
Article 3 - Le secrétaire général de la préfecture de Guadeloupe, et le directeur du travail de l'emploi et
de la formation professionnelle sont chargés chacun en ce qui les concerne de l'exécution du présent
arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 9 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------Arrêté n° 2009-21 SG/API du janvier 2009 modifiant l'arrêté n° 2008-1866 SG/API du 8 décembre
2008 portant délégation de signature
Le Préfet de la région Guadeloupe, Représentant de l'État dans les collectivités de Saint-Barthélemy et
de Saint-Martin
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU la Constitution ;
VU la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances ;
VU la loi organique n° 2007-223 du 21 février 2007 portant dispositions statutaires et institutionnelles
relatives à l'outre mer ;
VU la loi d'orientation n° 92-125 du 6 février 1992 modifiée relative à l'administration territoriale de la
République ;
VU la lot n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les
administrations ;
48
VU la loi n° 2007-224 du 21 février 2007 portant dispositions statutaires et institutionnelles relatives à
l'outre mer ;
VU le décret n° 64-805 du 29 juillet 1964 modifié fixant les dispositions réglementaires applicables aux
préfets ;
VU le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 modifié portant charte de la déconcentration ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, modifié par le décret n° 20051621 du 22 décembre 2005 relatif aux préfets délégués pour l'égalité des chances ;
VU le décret n° 2007-1071 du 6 juillet 2007 relatif au représentant de l'État dans la collectivité de SaintBarthélemy ;
VU le décret n° 2007-1072 du 6 juillet 2007 relatif au représentant de l'État dans la collectivité de SaintMartin ;
VU le décret du 9 juillet 2007 portant nomination du préfet délégué auprès du représentant de l'État dans
les collectivités de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin : M. Dominique LACROIX ;
VU le décret du 21 novembre 2008 portant nomination de M. Nicolas DESFORGES en qualité de préfet
de la région Guadeloupe, préfet de la Guadeloupe, représentant de l'État dans les collectivités de SaintBarthélemy et de Saint-Martin ;
VU l'arrêté du 21 juillet 2008 portant nomination de secrétaire général des services de l'État auprès du
préfet délégué chargé des questions relatives aux collectivités de Saint-Barthélemy et de Saint-Martin :
M. Claude LIEGEON ;
VU les arrêtés de nomination et d'affectation de MM. Jean-Marie MARCON, Donzague
RAZAFINDRABE-NICOLI, Nicolaz GUYOVIC et de Mme Sylvie JULAN ;
ARRÊTE
Article 1er. – Le troisième alinéa de l'article 4 de l'arrêté du 8 décembre 2008 susvisé est ainsi rédigé :
“En ce qui concerne l'annexe de Saint-Barthélemy, délégation de signature est accordée dans les
mêmes conditions à Mme Olivia DESBOS, en qualité de responsable de l'annexe de SaintBarthélemy pour les questions suivantes :
“- cartes nationales d'identité et passeports ;
“- délivrance des titres de séjour des étrangers ;
“- délivrance des visas préfectoraux aux étrangers ;
“- délivrance des titres de circulation pour les étrangers mineurs ;
“- récépissé des déclarations d'associations.”
Article 2. – Le préfet délégué auprès du représentant de l'État dans les collectivités de Saint-Barthélemy
et de Saint Martin est chargé de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 9 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------DIRECTION DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE ET DE LA RÉGLEMENTATION
BUREAU DE L’ADMINISTRATION GÉNÉRALE ET DES ÉLECTIONS
Arrêté n° 2009-01 AD1/1 du 2 janvier 2009 publiant la liste des journaux habilités à recevoir les
annonces judiciaires et légales et fixant le tarif d’insertion de la ligne d’annonce, valable du 1er
janvier 2009 au 31 décembre 2009 pour le département de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU la loi n° 55-4 du 4 janvier 1955 modifiée concernant les annonces judiciaires et légales ;
VU le décret n° 55-1650 modifié du 17 décembre 1955, relatif aux annonces judiciaires et légales ;
VU les circulaires n° 004230 du 7 décembre 1981 et n° 155099 du 16 décembre 1998 du ministère de la
culture et de la communication ;
49
VU l’arrêté préfectoral n° 2008-1790 AD1/1 du 2 décembre 2008 portant constitution de la commission
consultative des annonces judiciaires et légales ;
VU l’avis émis par la commission consultative départementale des annonces judiciaires et légales lors de
sa séance du 17 décembre 2008 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – La liste des journaux habilités à publier les annonces judiciaires et légales dans le
département de la Guadeloupe pour l’année 2009 est établie comme suit :
– FRANCE-ANTILLES, Quotidien ;
– LA GAZETTE DES CARAIBES, Hebdomadaire ;
– SEPT MAG, Hebdomadaire ;
– LES NOUVELLES ETINCELLES, Hebdomadaire ;
– LE PROGRES SOCIAL, Hebdomadaire ;
– LE PROBANT, Hebdomadaire.
Article 2. – Le tarif d’insertion, taxes non comprises, des annonces judiciaires et légales, est fixé à 3,74
euros H.T. la ligne de 40 signes en moyenne en corps minimaux 6 (typographie) ou 7,5
(photocomposition). Le calibrage de l’annonce est établi au lignomètre du corps employé de filet en filet.
Le prix peut également être calculé au millimètre colonne, la ligne correspondant à 2,256 mm.
Article 3. – Le même tarif sera publié en ce qui concerne les annonces et publications relatives aux
affaires domaniales et administratives spécialement en matière d’expropriation pour cause d’utilité
publique.
Article 4. – Par dérogation aux dispositions qui précédent, le tarif réduit est de 1,87 euro H.T. la ligne :
– pour les publications relatives aux jugements de faillite, aux convocations et délibérations des
créanciers ;
– pour les annonces d’aide judiciaire.
Article 5. – Les remises sont interdites - les taux de remboursement forfaitaire des frais engagés par les
intermédiaires pour la transmission des annonces ne devra, en aucun cas, dépasser 10 % du prix de
l’annonce sauf lorsqu’il y aura intervention d’une agence spécialisée. Dans ce dernier cas, un taux de
commission pourra être admis comme il est d’usage dans la profession.
Article 6. – La présentation des annonces devra tenir compte des prescriptions suivantes :
a) – filet : chaque annonce sera séparée de la précédente et de la suivante par un filet ¼ gras. L’espace
blanc compris entre le filet et le début de l’annonce sera l’équivalent d’une ligne de corps 6 points Didot
soit 2,256 mm. Le même principe régira le blanc situé entre la dernière ligne de l’annonce et le filet
séparatif.
L’ensemble du sous-titre sera séparé du titre et du corps de l’annonce par des filets maigres centrés.
Le blanc placé avant et après le filet sera égal à une ligne de corps 6 points Didot, soit 2,256 mm.
b) – surface consacrée aux titres : chacune des lignes constituant le titre principal de l’annonce sera
composée en capitales (ou majuscules grasses) ; elle sera l’équivalent de deux lignes de corps 6 points
Didot, soit arrondie à 4,5 mm. Les blancs d’interlignes séparant les lignes de titres n’excéderont pas
l’équivalent d’une ligne de corps 6 points Didot, soit 2,256 mm.
c) – sous-titres : chacune des lignes constituant le sous-titre de l’annonce sera composée en bas-decasse (minuscules grasses) ; elle sera l’équivalent d’une ligne de corps 9 points Didot soit arrondie à 3,40
mm. Les blancs d’interlignes séparant les différentes lignes du sous-titre seront équivalents à 4 points soit
1,50 mm.
d) – paragraphes et alinéas : le blanc séparatif, nécessaire afin de marquer le début d’un paragraphe ou
d’un alinéa, sera l’équivalent d’une ligne de corps 6 points Didot, soit 2,256 mm.
Article 7. – Le prix d’un exemplaire légalisé destiné à servir de pièce justificative à l’insertion sera fixé
au tarif normal du journal auquel s’ajoutera le droit d’enregistrement.
Article 8. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le directeur
départemental de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes sont chargés, chacun
50
en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au Recueil des Actes Administratifs
de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 2 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Arrêté n° 2009-17 ADI/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de
l'entreprise Pompes Funèbres LUREL, sise commune de Basse-Terre et représentée par M.
Frank LUREL
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 2223-19 et R. 2223-56 à
R. 2223-65 ;
VU l'arrêté n° 04-1750 du 16 novembre 2004 portant habilitation dans le domaine funéraire des “Pompes
funèbres LUREL”, en matière d'organisation des funérailles, de soins de conservation et de fournitures de
prestations s'y rapportant, pour une durée de six ans et lui accordant l'habilitation n° 04 97-111, valable
sur l'ensemble du territoire national ;
VU l'arrêté n° 1752 du 16 novembre 2004 portant habilitation dans le domaine funéraire des “Pompes
funèbres LUREL”, en matière de transports de corps avant et après mise en bière pour une durée de trois
ans et lui accordant l'habilitation n° 04 97-1 15, valable sur l'ensemble du territoire national ;
VU la demande de renouvellement de son habilitation en matière de transports de corps par un véhicules
agréé à cet effet, formulée le 3 novembre 2008 par M Frank LUREL, responsable des pompes funèbres
LUREL ;
CONSIDÉRANT que les conditions requises sont réunies ;
SUR proposition du secrétaire général de la Préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – L'entreprise les pompes funèbres LUREL, située 1, allée du Capitaine Bébel, Champ
d'Arbaud, 97100 – Basse-Terre, exploitée par M. Franck LUREL, est habilitée à exercer sur l'ensemble
du territoire national, au moyen du véhicule de marque Citroën, immatriculé 896 AMM 971, l'activité
funéraire suivante :
> transports de corps avant mise en bière.
Article 2. – Le numéro de l'habilitation est 09-97-1 -01.
Article 3. – La durée de l'habilitation est fixée à trois ans, à compter de la date de notification du présent
arrêté
Article 4. – L'habilitation accordée à l'article 1er peut-être suspendue pour une durée d'un an maximum
ou retirée, après mise en demeure pour les motifs suivants :
– non respect des conditions auxquelles étaient soumises sa délivrance, définies en application des
dispositions des articles L. 2223-23 et L. 2223-24 du code général des collectivités territoriales ;
– non exercice ou cessation d'exercice des activités au titre desquelles elle a été délivrée ;
> atteinte à l'ordre public ou danger pour la salubrité publique.
Dans le cas d'un délégataire, le retrait de l'habilitation entraîne la déchéance de la délégation.
Article 5. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe, le directeur de la santé et du
développement social, le colonel, commandant la gendarmerie de Guadeloupe, le directeur départemental
de la sécurité publique et M. Frank LUREL sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 8 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
51
-----------Arrête n° 2009-18 AD1/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de
l'entreprise “Pompes Funèbres du Nord”, sise commune de Saint-François et représentée par
M. Vincent Paul RAMLALL
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 2223-19 à L. 2223-24 et
R. 2223-56 à R. 2223-65 ;
VU l'arrêté n° 03-796 du 24 juin 2003 portant habilitation dans le domaine funéraire des “Pompes
funèbres du Nord ”, en matière d'organisation des funérailles, de soins de conservation et de fournitures
de prestations s'y rapportant, pour une durée de six ans et lui accordant l'habilitation n° 03 97-1 06,
valable sur l'ensemble du territoire national ;
VU la demande formulée le 21 octobre 2008 par M. Vincent Paul RAMLALL, responsable des “Pompes
funèbres du Nord ”, relative à l'exploitation d'une chambre funéraire ;
CONSIDÉRANT que les conditions requises sont réunies ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Vincent Paul RAMLALL, en qualité de gérant de l'entreprise les “Pompes funèbres du
Nord ” est habilité à exploiter la chambre funéraire, située rue de la République 97118 Saint-François.
Article 2. – Le numéro de l'habilitation est 09-971-02.
Article 3. – La durée de l'habilitation est fixée à six ans, à compter de la date de notification du présent
arrêté.
Article 4. – L'habilitation accordée à l'article 1er peut-être suspendue pour une durée d'un an maximum
ou retirée, après mise en demeure pour les motifs suivants :
– non respect des conditions auxquelles étaient soumises sa délivrance, définies en application des
dispositions des articles L. 2223-23 et L. 2223-24 du code général des collectivités territoriales ;
– non exercice ou cessation d'exercice des activités au titre desquelles elle a été délivrée ;
– atteinte à l'ordre public ou danger pour la salubrité publique.
Dans le cas d'un délégataire, le retrait de l'habilitation entraîne la déchéance de la délégation.
Article 5. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le
directeur de la santé et du développement social, le colonel, commandant la gendarmerie de Guadeloupe,
le directeur départemental de la sécurité publique et M Vincent Paul RAMLALL sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la
préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 8 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrête n° 2009-19 AD1/1 du 8 janvier 2009 portant habilitation dans le domaine funéraire de
l'entreprise “FOSS Assistance Funéraire”, sise commune de Bouillante, représentée par M.
Bernard Boris ABSALON
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 2223-19 et R. 2223-56 à
R. 2223-65 ;
VU l'arrêté n° 07-152 du 2 février 2007 portant habilitation dans le domaine funéraire de l'entreprise de
pompes funèbres “Gwada Service”, en matière de fournitures de personnel, d'objets et de prestations
nécessaires aux obsèques ainsi que d'inhumations et exhumations, pour une durée d'un an et lui accordant
l'habilitation n° 07 97-1 11, valable sur l'ensemble du territoire national ;
52
VU les attestations délivrées les 28 et 30 septembre et le 14 octobre 2008 à M Bernard Boris ABSALON
par le centre de formation “Services Thanatopraxiques Montpellierrains” certifiant qu'il à participé aux
formations :
– de maître de cérémonie, porteur, fossoyeur et assistant thanatopracteur,
– de porteur, conducteur, fossoyeur,
– et de directeur d'agence de pompes funèbres ;
VU la demande de renouvellement de son habilitation en qualité de fossoyeur formulée le 17 novembre
2008 par M Bernard Boris ABSALON, dirigeant des pompes funèbres “Foss Assistance Funéraire + ” ;
CONSIDÉRANT que les conditions requises sont réunies ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – L'entreprise de pompes funèbres “Foss Assistance Funéraire +”, dont le siège social est
situé chemin communal 10, section Monchy, 97125 – Bouillante, dirigée par M Bernard Boris
ABSALON, est habilitée à exercer sur l'ensemble du territoire national les activités funéraires suivantes :
– fourniture de personnel et des objets et prestations nécessaires aux obsèques ;
– inhumations et exhumations.
Article 2. – Le numéro de l'habilitation est 09-97-1-03.
Article 3. – La durée de l'habilitation est fixée à un an, à compter de la date de notification du présent
arrêté.
Article 4. – L'habilitation accordée à l'article 1er peut-être suspendue pour une durée d'un an maximum
ou retirée, après mise en demeure pour les motifs suivants :
– non respect des conditions auxquelles étaient soumises sa délivrance, définies en application des
dispositions des articles L. 2223-23 et L. 2223-24 du code général des collectivités territoriales ;
– non exercice ou cessation d'exercice des activités au titre desquelles elle a été délivrée ;
– atteinte à l'ordre public ou danger pour la salubrité publique.
Dans le cas d'un délégataire, le retrait de l'habilitation entraîne la déchéance de la délégation.
Article 5. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe, le directeur de la santé et du
développement social, le colonel, commandant la gendarmerie de Guadeloupe, le directeur départemental
de la sécurité publique et M Bernard Boris ABSALON sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 8 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-65 AD1/1 du 16 janvier 2009 autorisation d'ouverture d'hippodrome et
d'organisation du pari mutuel
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU n° le acre n° 97-456 du 5 mai 1997, version consolidée du 14 novembre 2006, article 3, relatif aux
sociétés de courses de chevaux et au pan mutuel;
VU la demande d'ouverture de l'hippodrome Saint-Jacques à Anse-Bertrand et d'autorisation d'organiser
les courses et le pan mutuel présentée le 17 novembre 2008 par la société des courses hippiques Karukéra
pour l'année 2009 ;
VU du directeur des Haras nationaux, direction territoriale Nord, Est et Outre-mer, en date du 13 janvier
2009 ;
VU l'avis du ministre de l'agriculture et de la pêche, sous-direction du cheval, bureau des courses et du
pan mutuel, en date du 16 janvier 2009 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
53
AUTORISE
La société des courses hippiques Karukéra à organiser sur l'hippodrome Saint-Jacques à Anse-Bertrand
les courses hippiques ainsi que la prise de pari mutuels sur l'hippodrome, aux dates suivantes :
– 18 janvier 2009 ;
– 8 février 2009 ;
– 4 et 1er mars 2009.
Fait à Basse-Terre, le 16 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------BUREAU DE LA CIRCULATION ET DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRES
Arrêté n° 2009-31 AD1/3 du 13 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la route, notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-8 et R. 213-1 à R.213-6 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel du 8 janvier 2001 relatif à l'exploitation des établissements d'enseignement de la
conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU la demande présentée par M. Henri SÉRÈMES, gérant de la SARL “Auto École Espace la Rocade”,
en date du 5 juin 2008, en vue d'être autorisé à exploiter un établissement d'enseignement de la conduite
des véhicules à moteur et de la sécurité routière à Abymes ;
VU l'avis de la commission départementale de la sécurité routière (section auto-écoles) en date du 7
janvier 2009 ;
Considérant que la demande remplit les conditions réglementaires ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Henri SÉRÈMES, gérant de la SARL Auto école espace la rocade, est autorisé à
exploiter, sous le n° E 09 09A 9000 0, un établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite
des véhicules à moteur et de la sécurité routière, dénommé “Espace la Rocade” et situé Grand Camp,
Immeuble Espace la Rocade, 97142 – Les Abymes.
Article 2. – Cet agrément est délivré pour cinq ans à compter de la date du présent arrêté. Sur demande
de l'exploitant présentée deux mois avant l'expiration de la validité de son agrément, celui-ci sera
renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B.
Article 4. – Mme Suzanne MÉNADE exerce les fonctions de directeur pédagogique.
Article 5. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 6. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 12, y compris l'enseignant.
54
Article 7. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardés.
Article 8. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retiré selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 13 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-37 AD1/3 du 14 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la route et notamment ses articles L. 213-1 à L.213-6 et L. 213-8 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel n° 01-000-26A du 8 janvier 2001 relatif à l'exploitation des établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté préfectoral n° 05-065 AD 1/3 du 19 janvier 2006 portant agrément de l'établissement nommé
“Formatrans” destiné à l'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la
sécurité routière pour cinq ans à compter du 19 janvier 2006 ;
VU la demande d'extension d'agrément présentée par M. Cédric COLOMBO ;
VU l'avis favorable de la commission départementale de la sécurité routière du 15 septembre 2008 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Cédric COLOMBO est autorisé à exploiter, sous le n° E 04 09A 0382 0, un
établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité
routière, dénommé “Formatrans” et situé 48, centre commercial le Pérou, 97139 – Les Abymes.
Article 2. – Le présent agrément est valable jusqu'au 19 janvier 2011.
Le renouvellement de l'agrément aura lieu sur demande de l'exploitant présentée deux mois avant
l'expiration de sa validité.
L'agrément sera renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B - AAC - C.
Article 4. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 5. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 7, y compris l'enseignant.
Article 6. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardés.
Article 7. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retiré selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
55
Article 8. – L'arrêté préfectoral n° 05- 067 AD1/3 du 19 janvier 2006 susvisé est abrogé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 14 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-55 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant mise en place de la commission
départementale de la sécurité routière
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la route et notamment ses articles R. 411-10, R. 411-11 et R. 411-12 ;
VU le décret n° 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à réduction du nombre et à la simplification de la
composition de diverses commissions administratives ;
VU le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement de
commissions administratives à caractère consultatif ;
VU l’arrêté préfectoral n° 2008-1011 du 9 juillet 2008 portant nomination des membres de la commission
départementale de la sécurité routière ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Sous la présidence du préfet, la commission départementale de la sécurité routière est
composée comme suit :
1) – Représentants des services de l’État :
− le directeur départemental de l'équipement ou son représentant ;
- le directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ;
− le colonel, commandant la gendarmerie de la Guadeloupe ou son représentant ;
− le délégué interdépartemental du service de la formation du conducteur ou son représentant ;
− le directeur départemental de la jeunesse et des sports ou son représentant ;
2) – Représentants des élus départementaux :
- Conseillers généraux :
- Titulaire : M. Louis GALANTINE
- Suppléant : M. Jacques GILLOT
- Titulaire : M. Max MATHIASIN
- Suppléant : M. Christian COUCHY
3) – Représentants des élus communaux :
- Titulaire : M. Claude JACQUES
- Suppléante : Mme France Lyse TARER
4) – Représentant des collectivités territoriales :
- le directeur des routes de Guadeloupe ou son représentant.
5) – Représentants des organisations professionnelles et des fédérations sportives :
- Chambre Régionale des Transporteurs Guadeloupéens :
- Titulaire : M. Jean-Robert VALÉRIUS
Cité Chaulet
97123 BAILLIF
- Suppléant : M. Ruddy HAGUY
Rue Baudot
97116 POINTE-NOIRE
56
- Conseil National des Professions de l'Automobile – La formation des conducteurs :
- Titulaire : M. Jean-Philippe VIRAPIN
Auto Ecole VIRAPIN
32, Avenue Paul Lacavé
97130 CAPESTERRE Belle Eau
- Suppléant : M. Christian BREGMESTRE
Tour Miquel III
Rue Martin Luther King
97110 POINTE-à-PITRE
- Comité Régional de Cyclisme :
- Titulaire : M. Clotaire BOECASSE
Section Boisbert
97129 LAMENTIN
- Suppléant : M. Daniel BEAR
Rue Massabielle – face église
97110 POINTE-A-PITRE
- Association sportive automobile de la Guadeloupe :
- Titulaire : M. Joseph ROBERT
Fouché
97180 SAINTE-ANNE
- Suppléant : M. Jean-Michel CHOVINO
Section Compérou et Papin
97170 PETIT-BOURG
- Comité Régional de Moto :
- Titulaire : M. Philippe MAGLOIRE
Cité Nélon - Petit Paris
97100 Basse-Terre
- Suppléant : M. Eric BENON
19, Résidence “Fleur d'Epée”
97190 LE GOSIER
6) – Représentants des associations d'usagers :
- Comité départemental de la Prévention Routière :
- Titulaire : M. Christian BREGMESTRE
Tour Miquel III
Rue Martin Luther King
97110 POINTE-à-PITRE
- Suppléant : M. Gérard BERGERON
Auto École CAFCA SYNERGIE
4, Rue Niel Armstrong – Bergevin
97110 POINTE-à-PITRE
- Association “Prévention MAIF” :
- Titulaire : M. Guy CORNET
7, Lotissement Palais Royal
97139 LES ABYMES
- Suppléante : Mme Laure LISE
13, Lotissement “Faraux”
La Jaille
97122 BAIE-MAHAULT
- Union départementale des associations familiales de la Guadeloupe :
- Titulaire : M. Ferdinand ALTIS
Saint Robert
97123 Baillif
57
- Suppléant : M. Julien CHABIN
12, Cité Jean Jaurès
97129 Lamentin
- Fédération des œuvres laïques de Guadeloupe :
- Titulaire : M. Robert GRAVA
Président de l'UFOLEP Guadeloupe
Résidence “Les Galbas”
97115 Sainte-Rose
- Suppléant : M. Yves MATOU
Délégué départemental
31, Les Seuils – Raizet
97139 Les Abymes
- Union fédérale des consommateurs :
- Titulaire : M. Judes GRIFFARD
Chazeau
B.P. 142
97139 Les Abymes
- Suppléant : Mme Monique MONLOUIS
Article 2. – Sont désignés comme membres de la commission de la section spécialisée “sécurité routière”
:
− le secrétariat de la section est assurée par : les services du Cabinet ;
− le directeur départemental de l'équipement ou son représentant ;
− le directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ;
− le colonel, commandant la gendarmerie de la Guadeloupe ou son représentant ;
− le délégué interdépartemental du service de la formation du conducteur ou son représentant ;
−un élu départemental ;
− un élu communal ;
− un représentant de la chambre régionale des transporteurs guadeloupéens ;
− un représentant du comité départemental de la prévention routière ;
− un représentant du conseil national des professions de l'automobile ;
− un représentant du comité régional de moto.
Le secrétariat de la section est assuré par les services du Cabinet du Préfet.
Article 3. – Sont désignés comme membres de la commission de la section spécialisée “conduite et
enseignement de la conduite” :
− le directeur départemental de l'équipement ou son représentant ;
− le directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ;
− le colonel, commandant la gendarmerie de la Guadeloupe ou son représentant ;
− le délégué interdépartemental du service de la formation du conducteur ou son représentant ;
− un élu départemental ;
− un élu communal ;
− un représentant du conseil national des professions de l'automobile - La formation des conducteurs ;
− un représentant du comité départemental de la prévention routière ;
− un représentant de l'union fédérale des consommateurs ;
− un représentant de l'union départementale des associations familiales de la Guadeloupe ;
− un représentant du comité régional de moto.
Cette section spécialisée est chargée, en particulier, de donner l'avis au Préfet sur :
1) - l'agrément d'exploitation d'un établissement d'enseignement de la conduite des véhicules à
moteurs,
2) - l'agrément d'exploitation d'un établissement destiné à la formation de moniteurs d'enseignement
de la conduite des véhicules à moteurs,
58
3) - l'agrément des personnes et des organismes dispensant aux conducteurs responsables d'infractions
la formation spécifique à la sécurité routière.
Le secrétariat de cette section est assuré par le service du bureau de la circulation.
Article 4. – Sont désignés comme membres de la commission de la section spécialisée “épreuves et
compétitions sportives” :
− le directeur départemental de la jeunesse et des sports ou son représentant ;
− le directeur des routes de Guadeloupe ou son représentant ;
- le directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ;
− le colonel, commandant la gendarmerie de la Guadeloupe ou son représentant ;
− un élu départemental ;
− un élu communal ;
− un représentant du comité régional de cyclisme ;
− un représentant de l'association sportive automobile de la Guadeloupe ;
− un représentant du comité régional de moto ;
− un représentant de l'antenne départementale de la prévention MAIF
− un représentant de l'UFOLEP Guadeloupe.
Cette section spécialisée est chargé de donner l'avis au Préfet sur :
1) - l'autorisation d'organisation d'épreuves ou compétitions sportives dont la délivrance relève de la
compétence du Préfet.
Le secrétariat de cette section est assuré par le service du bureau de la circulation.
Article 5. – Sont désignés comme membres de la commission de la section spécialisée “gardiens et
installations de fourrières” :
− le directeur départemental de la jeunesse et des sports ou son représentant ;
− le directeur des routes de Guadeloupe ou son représentant ;
- le directeur départemental de la sécurité publique ou son représentant ;
− le colonel, commandant la gendarmerie de la Guadeloupe ou son représentant ;
− un élu départemental ;
− un élu communal ;
− un représentant de la chambre régionale des transporteurs guadeloupéens ;
− un représentant du comité départemental de la prévention routière ;
− un représentant du conseil national des professions de l'automobile ;
− un représentant de l'antenne départementale de la prévention MAIF.
Cette section spécialisée est chargée de donner l'avis au Préfet sur :
1° - l'agrément des gardiens et l'installation de fourrières.
Le secrétariat de cette section est assuré par le service du bureau de la circulation.
Article 6. – La durée du mandat des membres de la commission départementale de la sécurité routière et
des sections spécialisées est de 3 ans.
Article 7. – L’arrêté préfectoral n° 2008-1011 du 29 juillet 2008 est abrogé.
Article 8. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l’exécution du présent arrêté dont un
exemplaire sera adressé à chacun des membres de la commission et qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 15 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
------------
59
Arrêté n° 2009-56 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la route, notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-8 et R. 213-1 à R. 213-6 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel du 8 janvier 2001 relatif à l'exploitation des établissements d'enseignement de la
conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU la demande de renouvellement d'agrément présentée par M. Frantz PIGEONNEAU, le 5 mai 2006 en
vue d'être autorisé à exploiter un établissement d'enseignement de la conduite des véhicules à moteur et
de la sécurité routière dans la commune de Pointe-à-Pitre ;
VU l'avis de la commission départementale de la sécurité routière (section auto-écoles) en date du 19
juillet 2006 ;
Considérant que la demande remplit les conditions réglementaires ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Frantz PIGEONEAU, gérant de l'Auto école est autorisé à exploiter, sous le n° E 09
09A 0259 0, un établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de
la sécurité routière, dénommé “Auto-École PIGEONNEAU Frantz”, et situé Tour Miquel Sud 4, 97110 –
Pointe-à-Pitre.
Article 2. – Cet agrément est délivré pour cinq ans à compter de la date du présent arrêté. Sur demande
de l'exploitant présentée deux mois avant l'expiration de la validité de son agrément, celui-ci sera
renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B - AAC.
Article 4. – M. Frantz PIGEONNEAU exerce les fonctions de directeur pédagogique.
Article 5. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 6. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 10, y compris l'enseignant.
Article 7. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardés.
Article 8. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retiré selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 15 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
------------
60
Arrêté n° 2009-57 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la route et notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-6 et L. 213-8 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel n° 01-000-26A du 8 janvier 2001 relatif à l'exploitation des établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté préfectoral n° 08-203 AD 1/3 du 25 février 2008 portant agrément de l'établissement nommé
“SARL Perl Auto École“, destiné à l'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur
et de la sécurité routière pour cinq ans, à compter du 13 septembre 2007 ;
VU l'annonce légale n° 2073 au journal des insertions judiciaires et légales n° 113 de l'année 2008 de
publicité de changement de dénomination de la société et de changement de gérants ;
VU la demande d'agrément de l'établissement présentée le 25 août 2008 par les nouveaux gérants, MM.
Robert GALPIN et Flavien DAUBERTON ;
VU la lettre du 10 novembre 2008 par laquelle M. Robert GALPIN est nommé directeur pédagogique de
l'établissement d'enseignement de la conduite de véhicules à moteur et de la sécurité routière pour les
catégories B et AAC ;
VU l'avis favorable de la commission départementale de la sécurité routière du 7 janvier 2009 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – MM. Robert GALPIN et Flavien DAUBERTON sont autorisés à exploiter, sous le n° E 08
09A 0337 0, un établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de
la sécurité routière, dénommé “Perle Conduite” et situé 16, Centre Plaza, 97110 – Pointe-à-Pitre.
Article 2. – Cet agrément est délivré pour cinq ans à compter de la date du présent arrêté
Le renouvellement de l'agrément aura lieu sur demande de l'exploitant présentée deux mois avant
l'expiration de sa validité.
L'agrément sera renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B - AAC.
Article 4. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 5. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 25, y compris l'enseignant.
Les plans de la salle de cours sont annexés au présent arrêté
Article 6. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardés.
Article 7. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retiré selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 8. – L'arrêté préfectoral n° 08-203 AD1/3 du 25 février 2008 susvisé est abrogé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
61
Fait à Basse-Terre, le 15 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-58 AD1/3 du 15 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la route et notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-6 et L. 213-8 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel n° 01-000-26A du 8 janvier 2001 relatif à l'exploitation des établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté préfectoral n° 04-1846 AD1/3 du 30 novembre 2004 portant agrément de l'établissement
nommé “Auto-École HÉDREVILLE” destiné à l'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des
véhicules à moteur et de la sécurité routière pour cinq ans à compter du 30 novembre 2004 ;
VU la demande de changement de local de formation déposée le 24 avril 2006 par Mme Venise
HÉDREVILLE ;
VU l'avis favorable de la commission départementale de la sécurité routière du 19 juillet 2006 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Mme Venise HÉDREVILLE est autorisée à exploiter, sous le n° E 04 09A 0030 0, un
établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité
routière, dénommé “Auto-École HÉDREVILLE”, et situé 26, rue Schoelcher, 97170 – Petit-Bourg.
Article 2. – Le présent agrément est valable jusqu'au 30 novembre 2009.
Le renouvellement de l'agrément aura lieu sur demande de l'exploitant présentée deux mois avant
l'expiration de sa validité.
L'agrément sera renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B - AAC.
Article 4. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 5. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 16, y compris l'enseignant.
Les plans de la salle de cours sont annexés au présent arrêté
Article 6. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardés.
Article 7. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retiré selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 8. – L'arrêté préfectoral n° 04-1846 AD1/3 du 30 novembre 2004 susvisé est abrogé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
62
Fait à Basse-Terre, le 15 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-64 AD1/3 du 16 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la route et notamment ses articles L. 213-1 a L.213-6 et L. 213-8 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif a l'enseignement de la conduite des véhicules a
moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté ministériel n° 01-000-26A du 8 janvier 2001 relatif a ('exploitation des établissements
d'enseignement de la conduite des véhicules a moteur et de la sécurité routière ;
VU l'arrêté préfectoral n° 04-1835 AD 113 du 30 novembre 2004 portant agrément de l'établissement
nommé “École de conduite Daniel MANICORD”, destiné à l'enseignement, à titre onéreux, de la
conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière pour cinq ans, à compter du 30 novembre 2004 ;
VU l'arrêté préfectoral n° 05-815 AD1/3 du 25 mai 2005 ;
VU la demande d'extension d'agrément présentée par M. Daniel Emmanuel MANICORD le 16 octobre
2008 ;
Considérant que les demandes remplissent les conditions réglementaires ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Daniel Emmanuel MANICORD est autorisé à exploiter, sous le n° E 04 09A 0080 0,
un établissement d'enseignement, a titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité
routière, dénommé “École de Conduite Daniel MANICORD” et situé Avenue Jeanne d'Arc, 97112 –
Grand Bourg.
Article 2. – Le présent agrément est valable jusqu'au le 30 novembre 2009.
Le renouvellement de l'agrément aura lieu sur demande de l'exploitant présentée deux mois avant
l'expiration de sa validité.
L'agrément sera renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilite, au vu des autorisations d'enseigner fournies, dispenser la
formation des catégories “B- AAC - A” ainsi que le brevet de sécurité routière (BSR).
Article 4. – Le présent agrément est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire, sous
réserve de ('application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 5. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 10, y compris l'enseignant.
Article 6. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardes.
Article 7. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retire selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 8. – L'arrêté préfectoral n° 04-1835 AD1/3 du 30 novembre 2004 susvisé est abrogé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
63
Fait à Basse-Terre, le 16 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-72 AD1/3 du 21 janvier 2009 autorisant une course cycliste les 23, 24 et 25 janvier
2009 “Mémorial ARTIS Harry”
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le code général des collectivités territoriales et notamment son article L. 2215.1 ;
VU le code de la route ;
VU le code du sport et notamment ses articles R.331.6 à R.331.17 et A.331.2 OA.331-7 ;
VU la demande formulée le 21 novembre 2008, par l'organisateur M. Jean RAMASSAMY, Président de
l'association AS DE CŒUR VELOS ;
VU le règlement de la manifestation et sa conformité aux dispositions générales d'un règlement type
établi par la Fédération Française de Cyclisme ;
VU l'engagement des organisateurs de prendre en charge les frais du service d'ordre exceptionnellement
mis en œuvre à l'occasion du déroulement de l'épreuve et d'assurer la réparation des dommages,
dégradations, de toute nature de la voie publique ou de ses dépendances imputables aux concurrents, aux
organisateurs ou à leurs préposés ;
VU l'avis favorable en date du 11 décembre 2008 du maire de la commune de Baie-Mahault ;
VU l'avis favorable en date du 25 novembre 2008 du maire de la commune de Petit-Bourg ;
VU l'avis favorable en date du 8 décembre 2008 du Commandant de la gendarmerie nationale de la
Guadeloupe ;
VU l'avis favorable en date du 8 janvier 2009 du directeur des routes de Guadeloupe Région/Département
;
VU l'avis favorable en date du 5 décembre 2008 du directeur départemental des services d'incendie et de
secours ;
VU l'avis favorable en date du 1er décembre 2008 du directeur départemental de la jeunesse et des
sports ;
VU la liste des 34 signaleurs fournie par l'organisateur ;
VU l'attestation d'assurance n° 97103051 en date du 6 novembre 2008 couvrant cette manifestation ;
VU les avis favorables de la commission départementale de la sécurité routière en date des 8 et 15 janvier
2009 ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Jean RAMASSAMY, président l'association AS DE CŒUR VÉLOS, est autorisé à
organiser une course cycliste les 23, 24 et 25 janvier 2009 sur le territoire des communes de BaieMahault et de Petit-Bourg.
ITINÉRAIRES ET HORAIRES PRÉVUS (en annexe)
Article 2. – Cette autorisation est accordée sous réserve de la stricte observation des dispositions des lois,
décrets, arrêtés et règlement précités ainsi que des mesures suivantes, arrêtées par les services chargés de
la voirie et de la surveillance de la circulation. Les concurrents et les organisateurs devront strictement
observer les règles de la circulation routière. Le port du casque est obligatoire pour les participants
conformément au règlement de la Fédération Française de Cyclisme. Cette épreuve ne bénéficie pas de
l'usage privatif de la chaussée.
SÉCURITÉ :
64
Le stationnement devra être interdit sur les voies sur lesquelles ont lieu le départ et l'arrivée. II devra être
mis en place par les organisateurs des barrières de sécurité pour le public aux points de départ et
d'arrivée.
SERVICE D'ORDRE :
Un minimum de 32 signaleurs, nommément désignés et identifiables au moyen de brassards marqués
"COURSE", devront être munis individuellement d'une copie de l'arrêté préfectoral autorisant l'épreuve et
placés sur l'itinéraire notamment aux intersections et endroits dangereux.
Pour l'étape n° 1, secteur de Petit-Bourg, un minimum de 32 signaleurs sera nécessaire pour pour assurer
la sécurité des coureurs sur la totalité de l'épreuve.
Pour les étapes n° 2 et n° 3, secteur de Baie-Mahault, les organisateurs devront s'entourer respectivement
de 10 et 15 signaleurs. Chaque intersection devra être tenue ainsi que les bretelles d'accès et sorties de la
RN 1 et de la RN 2.
Ils seront placés aux endroits définis par le responsable du service d'ordre qui est M. Jean
RAMASSAMY afin de garantir la sécurité des spectateurs et des compétiteurs.
SECOURS ET PROTECTION :
Les organisateurs devront se munir du matériel sanitaire et pharmaceutique nécessaire aux premiers
secours qui seront assurés par deux secouristes titulaires de l'attestation de stage aux premiers secours.
Ces secours devront être dirigés par le Docteur Jacques HECTUS, présent sur les lieux de l'épreuve.
EXPRESS Ambulances de Petit-Bourg encadrera cette manifestation.
Article 3. – La fourniture du dispositif de sécurité est à la charge de l'organisateur. Le personnel de la
gendarmerie effectuera la surveillance de l'itinéraire dans le cadre de son service normal, sauf s'il est
appelé ou employé à des missions prioritaires.
Article 4. – L'autorisation de l'épreuve pourra être rapportée à tout moment par l'autorité préfectorale, la
gendarmerie, par le président de l'association ou par son représentant, si les conditions de sécurité ne se
trouvent plus remplies ou si les mesures prévues pour la protection du public ou des concurrents par le
règlement particulier de l'épreuve ne sont pas respectées.
Article 5. – Les réparations des dégradations éventuelles du domaine public seront à la charge des
organisateurs ainsi que les frais du service d'ordre exceptionnel mis en place à l'occasion de la
manifestation.
Article 6. – Le jet de tracts, journaux, prospectus, objets ou produits quelconques sur la voie publique est
rigoureusement interdit.
Article 7. – La responsabilité de l'État ne pourra pas être engagée au cas où l'organisateur ne respecte pas
les dispositions précédentes relatives à la sécurité dans le déroulement de l'épreuve.
Article 8. – Le nombre de véhicules autorisés à précéder ou à suivre la course est de :
– 1 voiture ouvreuse ;
– 4 motos ;
– 1 camion balai.
Ces véhicules devront être conformes à la réglementation prévue en la matière.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture, les maires des communes de Baie-Mahault et de PetitBourg, le Commandant de la gendarmerie nationale de la Guadeloupe, le directeur des routes de
Guadeloupe Région/Département, le directeur départemental de la jeunesse et des sports, le directeur
départemental des services d'incendie et de secours, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté dont copie sera adressée à l'organisateur.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------J M. 2003
Noms
Prénoms
Date de naissance
N°s permis
Adresse
65
1
BANCEUN
Léandre Paul
25 février 1959
871196100199
La Retraite BaieMahault
2
BARREAU
Pascal
29/03/67
850796200549
Bergnoles BaieMahault
3
BÉGARIN
RODIERE
Lucien
23/02/67
880396100178
Castelbon BaieMahault
4
CARMEL
Marius
07/10/73
930896100297
Bourg
Petit Bourg
5
CLOTAIRE
Tony
12 mars 1973
941096200117
6
ÉDOUARD LUCILE
Daniel
10 septembre 1965
850596100287
La Jaille
Baie-Mahault
7
GEOFFROY
Laurent
10 novembre 1974
970296200250
Chemin Lacroix
Les Abymes
8
JACQUIN
Yves
06/01/61
811096200280
Fonds Sarrail BaieMahault
9
KOUTIA
CAVOUDIN
Justin
08/08/56
790396100295
Daubin
Petit Bourg
10
JUSTE
Daniel
21 août 1952
760296200063
Bergevin Pointe-à-Pitre
11
LARAME
Roger
9 mars 1952
45485 73 97
12
MARGUERITTE
Willy
17/08/80
990896100032
13
MAURICE
Agnan Max
17 novembre 1966
880796100196
14
MAURICE
Constant Fred
05/10/71
920978400678
15
Eddy
27 août 1969
901096100284
Emmanuel
08/12/62
840575150618
17
MAXIMILIEN
FRANÇOIS
MAXIMILIEN
FRANÇOIS
NUBRET
Ken
10/06/68
870896200482
18
PETIT
Bruno
30/11/63
811224310197
19
PLOCOSTE
Frédéric
21 juin 1962
801096100015
20
RACASSIN
Jean Nicole
19 avril 1962
821196100172
21
RAMASSAMY
Alex
26 novembre 1970
911096100430
La Retraite
Baie-Mahault
22
RAMASSAMY
Jean
5 août 1959
790596100032
Bragelogne
Baie-Mahault
23
RAMASSAMY
Joël
12/12/62
930196100186
Bragelogne
Baie-Mahault
24
RAMASSAMY
Max
30 novembre 1964
860296100322
La Retraite
Baie-Mahault
25
RAMLALL
Benjamin Eddy
30 mars 1964
830396100316
Trioncelle
Baie-Mahault
26
RAMLALL
Robert
16 février 1963
820996100105
Trioncelle
Baie-Mahault
27
REIMONENQ
Jean Mary
27/11/79
980396200066
Belcourt
Baie-Mahault
28
RESON
Ruddy
22/06/73
910396100206
Calvaire
Baie-Mahault
16
Lauricisque Pointe-àPitre
Saint-Sauveur
Capesterre B/Eau
Sainte Marie
Capesterre B/E
Bourg
Baie-Mahault
Bourg
Baie-Mahault
Castel
Lamentin
Convenance
Baie-Mahault
Rés. Savannah BaieMahault
Donotte Lamentin
66
29
TOLÈDE
Daniel
12/09/59
800496200201
Trioncel
Baie-Mahault
30
ULYSSE
Mario
10 septembre 1962
850296200548
Bergnolles
LAMENTIN
LISTE DES SIGNALEURS AS DE CŒUR VÉLOS - Mémorial H. ARTIS - 2009
Liste des signaleurs
Motards Catégorie A
N°
Noms
1
2
JEAN DENIS
ONESTAS
3
4
RAMASSAMY
TOUSSAINT
Prénoms
Date de naissance
N° permis
Christophe
Serge
26 juillet 1964
17 février 1959
821196200541
791096100171
Marc
Georges
24 avril 1977
22 juillet 1965
980396100374
831196200208
Adresse
Viard Petit-Bourg
Colin Petit-Bourg
LISTE DES SIGNALEURS AS DE CŒUR VÉLOS - Mémorial H. ARTIS – 2009
VENDREDI 23 JANVIER 2009 1*" ÉTAPE :
CONTRE LA MONTRE INDIVIDUEL COLLIN PETIT BOURG/VERNOU
6.800 KM DÉPART : 14H
Départ Collin face au restaurant le VALET DE PIQUE - rond point Lézarde - Roche Blanche- Vernou
Arrivée : sommet de VERNOU : 17 h
67
Première étape :
Contre la montre individuelle
Collin Petit Bourg/ Sommet de Vernou
Horaire de passage
14:00 :00
14:00:45
14:05 :15
14:06 :45
14:12 :00
Catégorie route
ce
Dl
Dl
Dl
Dl
Lieu
Collin
Rond Point Lezarde
Roche Blanche
Cocoyer
Vernou
Distance parcourue
00 km
0.5 km
02 km
03 KM
6.8 KM
BAIE-MAHAULT DALCIAT/LA RETRAITE
50 km : DÉPART : 14 H00 - GS
70 km.
Départ fictif face Vélo Passion Caraïbes, Dalciat Baie-Mahault
Départ réel route de Dalciat ~ Rond Point de Dupuis - Wonche - Calvaire - Calvaire Capelle
- Fontarabie - Madelaine- Grippierre - La Retraite
Puis : deux fois ce circuit pour les GS
La Retraite - Raiffer - Digue – Bélair – Wonche – Calvaire - Calvaire Chapelle - Fontarabie - Madelaine Grippierre - La Retraité.
Puis la Retraite – Bragelogne – Madelaine – Grippierre - la Retraite
Trois fois pour les 3ème : Puis la retraite – Raiffer – Digue – Bonardel – Bragelogne - Madelaine –
Grippierre - La Retraite ; Arrivée : La Retraite : 17 H 00
Soit : 70 km
■• • PM
1er point km 10
2ème point km 27
3ème point km 44
4ème point km 61
68
DEUXIÈME ÉTAPE
Dalciat Baie Mahaut / la Retraite Baie Mahaut
DÉPART 14H
Horaire de passage
14H:00:00
14H:06:00
14H:14:00
14H:17:00
14H:21:00
14H:25:00
14H:29:00
14H:33:00
14H:41:00
14H:47:00
14H:51:00
14H:55:00
14H:59:00
15H:03:00
15H:06:00
15H:14:00
15H:20:00
15H:26:00
15H:30:00
15H:34:00
15H:38:00
15H:42:00
15H:50:00
15H:56:00
16H:02:00
16H:06:00
16H:10:00
16H:14:00
16H:18:00
16H:20:00
16H:26:00
Catégorie route
ce
D2
ce
D2
ce
ce
ce
ce
D2
ce
D2
ce
ce
ce
ce
D2
ce
D2
ce
ce
ce
ce
D2
ce
D2
ce
ce
D2
D2
ce
Lieu
DALCIAT D1
WONCHE
CALVAIRE
CALVAIRE CHAPELLE
GRIPPIERRE
LA RETRAITE
RAIFER
DIGUE
WONCHE
CALVAIRE
CALVAIRE CHAPELLE
GRIPPIERRË
LA RETRAITE
RAIFER
DIGUE
WONCHE
CALVAIRE
CALVAIRE CHAPELLE
GRIPPIERRË '
LA RETRAITE
RAIFER
DIGUE
WONCHE
CALVAIRE
CALVAIRE CHAPELLE
GRIPPIERRE
LA RETRAITE
RAIFFER
BONARDEL
GRIPIERRE
LA RETRAITE
Distance parcourue
00
03
08
10
12
14
16
18
22
25
27
29
31
33
35
39
42
44
46
48
50
52
56
59
61
63
65
67
69
70
73
69
DIMANCHE 25 JANVIER 2009
3ème ÉTAPE :
BAIE-MAHAULT LA RETRAITE/BAIE-MAHAULT LA RETRAITE
50 km : Départ 9 H00  GS
73.400 km
- 3ème
Départ : Foyer de la Retraite
La Retraite - Chantilly - Carrefour Raiffer - Digue - Bélair - Rond Point Wonche - Rond Point Dupuy Beausoleil - Arnouville - Daubin - la Retraite, trois fois ce circuit pour les GS
Puis : La Retraite- Bragelogne – Madelaine – Grippière - La Retraite : quatre fois pour les 3ème
Puis : La Retraite- Chantilly - Carrefour Raîfer - Digue- Bel Air - Rond Point Wonche -Wonche
-Calvaire-Bonardel-Madelaine-Grippière-La Retraite
Arrivée : Foyer de la retraite 12h00
PM
PM
JKmO
1er point km 10.5
2ème point km 26.5 3ème point km 39.5
-----------
Troisième étape
La Retraite/la Retraite
DÉPART 9H00
HORAIRE DE
PASSAGE
9h:00:00
9H:01:45
9H:05:15
9H:07:00
9H:12:15
9H:15:45
CATEGORIE
ROUTE
ce
ce
ce
ce
D2
N2
LIEU
LA RETRAITE
CHANTILLY
RAIFFER
DIGUE
ROND POINT WONCHE
BEAUSOLEIL
DISTANCE
PARCOURUE
00 km
01 km
02 km
03 km
06 km
08 km
70
9H:18:15
9h:21:45
9H:24:15
9h:26:00
9h:27:45
9h:29:30
9h:34:45
9h:38:25
9h:42:00
9h:45:35
9h:49:10
9h:50:55
9h:52:40
9h:54:25
9h:59:40
10h:01:25
10h:04:55
10h:08:25
10h:11:55
10h:13:40
10h:15:25
10h:17:10
10h:22:35
10h:26:05
10h:29:35
10h:33:05
10h:36:35
10h:38:20
10h:40:05
10h:41:50
10h:45:20
10h:50:35
10h:54:05
10h:57:35
11h:01:05
NI
ce
ce
ce
ce
ce
D2
N2
NI
ce
ce
ce
ce
ce
D2
N2
NI
ce
ce
ce
ce
ce
D2
N2
N2
ce
ce
ce
ce
ce
D2
D2
D2
ce
ce
ARNOUVILLE
DAUBIN
LARETRAITE
CHANTILLY
RAIFFER
DIGUE
ROND POINT WONCHE
BEAUSOLEIL
ARNOUVILLE
DAUBIN
LA RETRAITE
CHANTILLY
RAIFFER
DIGUE
ROND POINT WONCHE
BEAUSOLEIL
ARNOUVILLE
DAUBIN
LARETRAITE
CHANTILLY
RAIFFER
DIGUE
ROND POINT WONCHE
BEAUSOLEIL
ARNOUVILLE
DAUBIN
LARETRAITE
CHANTILLY
RAIFFER
DIGUE
ROND POINT WONCHE
CALVAIRE .
BONARDEL
GRIPIERRE
LA RETRAITE
10 km
12 km
14 km
15 km
16 km
17 km
20 km
22 km
24km
26 km
28 km
29 km
30 km
31 km
34 km
36 km
38 km
40 km
42 km
43 km
44 km
45 km
48 km
50 km
52 km
54 km
56 km
57 km
58 km
59 km
62 km
65 km
67 km
69 km
71 km
-----------Arrêté n° 2009-88 AD1/3 du 26 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le code de la route, notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-8 et R. 213-1 à R. 213-6 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
71
VU l'arrêté ministériel du 8 janvier 2001 relatif à ('exploitation des établissements d'enseignement de la
conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU la demande de renouvellement d'agrément présentée par M. Charles ERTUS, le 6 octobre 2008 en
vue d'être autorisé à exploiter un établissement d'enseignement de la conduite des véhicules à moteur et
de la sécurité routière dans la commune de Gourbeyre ;
VU l'avis de la commission départementale de la sécurité routière (section auto-écoles) en date du 7
janvier 2009 ;
Considérant que la demande remplit les conditions réglementaires ;
SUR proposition du secrétaire général de la Préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Charles ERTUS, gérant de l'Auto école est autorisé à exploiter, sous le n°
E 05 09A 0266 0, un établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur
et de la sécurité routière, dénommé “École de conduite Houëlmont”, et situé Blanchet – 97113
Gourbeyre.
Article 2. – Cet agrément est délivré pour cinq ans, à compter de la date du présent arrêté. Sur demande
de l'exploitant présentée deux mois avant ('expiration de la validité de son agrément, celui-ci sera
renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B AAC.
Article 4. – M. Charles ERTUS exerce les fonctions de directeur pédagogique.
Article 5. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra être présent de deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Par ailleurs, l'exploitant est tenu d'adresser une demande de modification du présent arrêté pour toute
transformation du local d'activité, ainsi que pour tout abandon ou toute extension d'une formation
mentionnée à l'article 3.
Article 6. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas être supérieur à 8, y compris l'enseignant.
Article 7. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardes.
Article 8. – L'agrément peut être à tout moment suspendu ou retire selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 26 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Arrêté n° 2009-89 AD1/3 du 26 janvier 2009 portant agrément d'exploiter un établissement
d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le code de la route, notamment ses articles L. 213-1 à L. 213-8 et R. 213-1 à R. 213-6 ;
VU le décret n° 2000-1335 du 26 décembre 2000 relatif à l'enseignement de la conduite des véhicules à
moteur et de la sécurité routière ;
72
VU l'arrêté ministériel du 8 janvier 2001 relatif à ('exploitation des établissements d'enseignement de la
conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière ;
VU la demande présentée par M. Blaise ROSNEL, gérant d'auto école Les Seuils, en date du 18
novembre 2008 en vue d'être autorise à exploiter un établissement d'enseignement de la conduite des
véhicules à moteur et de la sécurité routière à Abymes – Le Raizet ;
VU l'avis de la commission départementale de la sécurité routière (section auto-écoles) en date du 7
janvier 2009 ;
Considérant que la demande remplit les conditions réglementaires ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – M. Blaise ROSNEL, gérant de l'auto école Les Seuils, est autorisé à exploiter, sous le n°
E 09 09A 0397 0, un établissement d'enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur
et de la sécurité routière, dénommé “Auto-École Les Seuils” et situé 1, résidence Les Seuils, Le Raizet,
97139 – Les Abymes.
Article 2. – Cet agrément est délivré pour cinq ans à compter de la date du présent arrêté. Sur demande
de l'exploitant présentée deux mois avant l'expiration de la validité de son agrément, celui-ci sera
renouvelé si l'établissement remplit les conditions requises.
Article 3. – L'établissement est habilité, au vu des autorisations d'enseigner fournies, à dispenser la
formation des catégories B- MC.
Article 4. – M. Blaise ROSNEL exerce les fonctions de directeur pédagogique.
Article 5. – Le présent agrément n'est valable que pour l'exploitation à titre personnel par son titulaire,
sous réserve de l'application des prescriptions de l'arrêté du 8 janvier 2001 susvisé.
Pour tout changement d'adresse du local d'activité, tout changement de statut juridique ou toute reprise de
ce local par un autre exploitant, une nouvelle demande d'agrément d'exploiter devra titre présentée deux
mois avant la date du changement ou de la reprise.
Article 6. – Le nombre de personnes susceptibles d'être admis simultanément dans la salle
d'enseignement ne doit pas titre supérieur à 12, y compris l'enseignant.
Article 7. – Les droits des tiers sont expressément sauvegardes.
Article 8. – L'agrément peut titre à tout moment suspendu ou retire selon les conditions fixées par le
décret n° 2000-1335 susvisé.
Article 9. – Le secrétaire général de la préfecture est chargé de l'exécution du présent arrêté dont mention
sera insérée au recueil des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 26 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------BUREAU DE L’URBANISME, DE L’ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE
Arrêté n° 2009-43 AD1/4 du 14 janvier 2009 portant ouverture d’une enquête publique sur la
demande d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf calcaire au lieudit Gampo
commune du Gosier présentée par la SARL BMJ
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de l’environnement, Livre V, Titre 1er ;
VU la loi n° 76-629 du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature ;
VU la loi n° 83-630 du 12 juillet 1983 relative à la démocratisation des enquêtes publiques et à la
protection de l’environnement et le décret n° 85-453 du 23 avril 1985 modifié, pris pour son application ;
73
VU le décret n° 77-1133 du 21 septembre 1977 modifié pris pour l’application de la loi du 19 juillet 1976
relative aux installations classées pour la protection de l’environnement ;
VU le décret n° 2002-1341 du 5 novembre 2002 relatif à la désignation et à l’indemnisation des
commissaires enquêteurs ;
VU la circulaire du ministre de l’environnement en date du 29 avril 1985 relative à la publicité des arrêtés
d’ouverture d’enquête ;
VU la demande présentée par la SARL BMJ dont le siège social est situé à Cocoyer – 97160 Le Moule en
vue d’obtenir l’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf calcaire située au lieudit Gampo - 97190
Gosier ;
VU l’avis en date du 3 octobre 2008 de la direction régionale de l’industrie, de la recherche et de
l’environnement (inspection des installations classées pour la protection de l'environnement) sur la
recevabilité du dossier ;
VU la décision en date du 10 décembre 2008 de la présidente du tribunal administratif de Basse-Terre
désignant M. Philippe BLEUZE comme commissaire-enquêteur pour la conduite et l’animation de
l’enquête publique ;
CONSIDÉRANT que cet établissement rangé sous le numéro 2510-1 de la nomenclature des installations
classées pour la protection de l’environnement est soumis à autorisation et qu’il y à lieu d’ouvrir une
enquête sur la demande susvisée ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Une enquête publique d’un mois sera ouverte à la mairie du Gosier du jeudi 12 février
2009 au jeudi 12 mars 2009 inclus sur la demande d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf
calcaire située au lieudit Gampo, commune du Gosier présentée par la SARL BMJ.
Le siège social de cet établissement est situé à Cocoyer, 97160 – Le Moule.
Les activités d'exploitation de cette carrière sont soumises à autorisation par référence à la nomenclature
des installations classées pour la protection de l’environnement sous la rubrique n° 2510-1 : Exploitation
de carrières.
Article 2. – M. Philippe BLEUZE a été désigné en qualité de commissaire-enquêteur pour conduire
l’enquête publique.
Article 3. – Le dossier de l’opération ainsi qu’un registre d’enquête seront déposés à la mairie du Gosier,
du jeudi 12 février 2009 au jeudi 12 mars 2009 inclus.
Le jeudi 12 février 2009, à l’ouverture des bureaux, le commissaire-enquêteur ouvrira, cotera et
paraphera le registre d’enquête pour le mettre à la disposition du public.
Le public est invité à prendre connaissance, aux heures d’ouverture des bureaux, des différentes pièces du
dossier et à consigner ses observations sur le registre ouvert à cet effet ou les faire parvenir par écrit au
commissaire-enquêteur à la mairie avant la clôture de l’enquête.
M. Philippe BLEUZE, commissaire-enquêteur, siégera à la mairie du Gosier les :
- jeudi 12 février 2009, de 9h à 12h ;
- jeudi 19 février 2009, de 14h à 17h ;
- mardi 3 mars 2009, de 9h à 12h ;
- jeudi 12 mars 2009, de 14h à 17h.
Article 4. – Un avis sera affiché quinze jours avant l’ouverture de l’enquête publique et pendant toute la
durée de celle-ci, à la mairie du Gosier et dans les lieux publics.
Par ailleurs, les communes de Sainte-Anne et des Abymes se trouvant dans le rayon d’affichage fixé dans
la nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement, le même avis sera
affiché dans les mairies ci-dessus mentionnées.
Ces mesures de publicité à la charge du demandeur sur le plan financier seront justifiées par un certificat
établi par les maires du Gosier, de Sainte-Anne et des Abymes.
Le même avis, sera affiché par le pétitionnaire en un lieu situé au voisinage de l’aménagement projeté et
visible de la voie publique, pendant toute la durée de l’enquête.
74
Cet avis comportera tous les renseignements utiles sur :
* la nature de l’installation classée dont il s’agit, sa capacité de production et son lieu d’implantation ;
* les dates d’ouverture et de clôture de l’enquête publique ;
* le nom du commissaire-enquêteur désigné ainsi que ses jours et heures de permanence en mairie ;
* le périmètre dans lequel il sera procédé à l’affichage.
Par ailleurs, cet avis d’enquête sera publié, aux frais du demandeur, quinze jours au moins avant le début
de l’enquête et rappelé huit jours après l’ouverture de celle-ci, dans deux journaux locaux diffusés dans le
département (La Gazette des Caraïbes et Sept-Mag) et sur les ondes de RFO et RCI.
Article 5. – À l’expiration du délai fixé à l’article 1 du présent arrêté, le registre d’enquête sera clos,
signé et daté par le commissaire-enquêteur.
Le commissaire-enquêteur convoquera dans la huitaine, l’exploitant et lui communiquera sur place les
observations écrites ou orales du public, en l’invitant à produire, dans un délai maximum de douze jours,
un mémoire en réponse.
Dans les quinze jours, à compter de la réponse du demandeur ou de l’expiration du délai imparti à celui-ci
pour donner cette réponse, le commissaire-enquêteur adressera au préfet Bureau de l’urbanisme, de
l’environnement et du cadre de vie - rue de Lardenoy -97100 Basse-Terre :
- le dossier d’enquête accompagné de son rapport relatant le déroulement de l’enquête et dans un
document séparé consignera ses conclusions motivées en précisant si elles sont favorables ou non à
l’opération.
Les certificats d’affichage établis par les maires du Gosier, de Sainte-Anne et des Abymes.
Article 6. – Les conseils municipaux des communes du Gosier, de Sainte-Anne et des Abymes sont
appelés à donner leur avis sur cette demande d’autorisation dès l’ouverture de l’enquête.
Cet avis ne sera pris en considération que s’il est exprimé au plus tard dans les quinze jours suivant la
clôture du registre d’enquête.
Article 7. – Toute personne physique ou morale intéressée pourra, à compter du quarantième jour après
la clôture de l’enquête, prendre connaissance à la préfecture à Basse-Terre (bureau de l’urbanisme, de
l’environnement et du cadre de vie), et à la mairie du Gosier, pendant un an, et aux heures normales
d’ouverture des bureaux, du rapport et des conclusions du commissaire-enquêteur ou en demander
communication par écrit.
Article 8. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le maire de la
commune du Gosier, le maire de la commune de Sainte-Anne, le député maire de la commune des
Abymes, le directeur régional de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (inspection des
installations classées pour la protection de l’environnement), le commissaire-enquêteur sont chargés
chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 14 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-44 AD1/4 du 14 janvier 2009 portant ouverture d’une enquête publique sur la
demande d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf calcaire au lieudit Perrin
commune de Petit-Canal présentée par la Société ETPL
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de l’environnement, Livre V, Titre 1er ;
VU la loi n° 76-629 du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature ;
VU la loi n° 83-630 du 12 juillet 1983 relative à la démocratisation des enquêtes publiques et à la
protection de l’environnement et le décret n° 85-453 du 23 avril 1985 modifié, pris pour son application ;
VU le décret n° 77-1133 du 21 septembre 1977 modifié pris pour l’application de la loi du 19 juillet 1976
relative aux installations classées pour la protection de l’environnement ;
75
VU le décret n° 2002-1341 du 5 novembre 2002 relatif à la désignation et à l’indemnisation des
commissaires enquêteurs ;
VU la circulaire du Ministre de l’Environnement en date du 29 avril 1985 relative à la publicité des
arrêtés d’ouverture d’enquête ;
VU la demande présentée par la Société ETPL. dont le siège social est situé Impasse Augustin Fresnel,
Z.I. de Jarry, 97122 - Baie-Mahault, en vue d’obtenir l’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf
calcaire située au lieudit Perrin, 97131 - Petit-Canal ;
VU l’avis en date du 17 novembre 2008 de la direction régionale de l’industrie, de la recherche et de
l’environnement (inspection des installations classées pour la protection de l'environnement) sur la
recevabilité du dossier ;
VU la décision en date du 15 décembre 2008 de la présidente du tribunal administratif de Basse-Terre
désignant M. Philippe BLEUZE comme commissaire-enquêteur pour la conduite et l’animation de
l’enquête publique ;
CONSIDÉRANT que cet établissement rangé sous le numéro 2510-1 de la nomenclature des installations
classées pour la protection de l’environnement est soumis à autorisation et qu’il y a lieu d’ouvrir une
enquête sur la demande susvisée ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Une enquête publique d’un mois sera ouverte à la mairie de Petit-Canal du jeudi 12 février
2009 au jeudi 12 mars 2009 inclus sur la demande d’autorisation d’exploitation d’une carrière de tuf
calcaire située au lieudit Perrin, commune de Petit-canal présentée par la Société ETPL.
Le siège social de cet établissement est situé Impasse Augustin Fresnel, Z.I. de Jarry, 97122 - BaieMahault.
Les activités d'exploitation de cette carrière sont soumises à autorisation par référence à la nomenclature
des installations classées pour la protection de l’environnement sous la rubrique n° 2510-1 : Exploitation
de carrières.
Article 2. – M. Philippe BLEUZE a été désigné en qualité de commissaire-enquêteur pour conduire
l’enquête publique.
Article 3. – Le dossier de l’opération ainsi qu’un registre d’enquête seront déposés à la mairie de PetitCanal du jeudi 12 février 2009 au jeudi 12 mars 2009 inclus.
Le jeudi 12 février 2009, le commissaire-enquêteur ouvrira, cotera et paraphera le registre d’enquête pour
le mettre à la disposition du public.
Le public est invité à prendre connaissance, aux heures d’ouverture des bureaux, des différentes pièces du
dossier et à consigner ses observations sur le registre ouvert à cet effet ou les faire parvenir par écrit au
commissaire-enquêteur à la mairie avant la clôture de l’enquête.
M. Philippe BLEUZE, commissaire-enquêteur, siégera à la mairie de Petit-Canal les :
- jeudi 12 février 2009 de 14 h à 17 h ;
- jeudi 19 février 2009 de 9 h à 12 h ;
- mardi 3 mars 2009 de 14 h à 17 h ;
- jeudi 12 mars 2009 de 9 h à 12 h.
Article 4. – Un avis sera affiché quinze jours avant l’ouverture de l’enquête publique et pendant toute la
durée de celle-ci, à la mairie de Petit-Canal et dans les lieux publics.
Par ailleurs, la commune de Morne-à-l’Eau se trouvant dans le rayon d’affichage fixé dans la
nomenclature des installations classées pour la protection de l’environnement, le même avis sera affiché
dans la mairie ci-dessus mentionnée.
Ces mesures de publicité à la charge du demandeur sur le plan financier seront justifiées par un certificat
établi par les maires de Petit-Canal et de Morne-à-l’Eau.
Le même avis, sera affiché par le pétitionnaire en un lieu situé au voisinage de l’aménagement projeté et
visible de la voie publique, pendant toute la durée de l’enquête.
Cet avis comportera tous les renseignements utiles sur :
76
* la nature de l’installation classée dont il s’agit, sa capacité de production et son lieu d’implantation ;
* les dates d’ouverture et de clôture de l’enquête publique ;
*le nom du commissaire-enquêteur désigné ainsi que ses jours et heures de permanence en mairie ;
* le périmètre dans lequel il sera procédé à l’affichage.
Par ailleurs, cet avis d’enquête sera publié, aux frais du demandeur, quinze jours au moins avant le début
de l’enquête et rappelé huit jours après l’ouverture de celle-ci, dans deux journaux locaux diffusés dans le
département ( La Gazette des Caraïbes et Sept-Mag) et sur les ondes de RFO et RCI.
Article 5. – À l’expiration du délai fixé à l’article 1er du présent arrêté, le registre d’enquête sera clos,
signé et daté par le commissaire-enquêteur.
Le commissaire-enquêteur convoquera dans la huitaine, l’exploitant et lui communiquera sur place les
observations écrites ou orales du public, en l’invitant à produire, dans un délai maximum de douze jours,
un mémoire en réponse.
Dans les quinze jours, à compter de la réponse du demandeur ou de l’expiration du délai imparti à celui-ci
pour donner cette réponse, le commissaire-enquêteur adressera au préfet Bureau de l’urbanisme, de
l’environnement et du cadre de vie - rue de Lardenoy - 97100 - Basse-Terre : le dossier d’enquête
accompagné de son rapport relatant le déroulement de l’enquête et dans un document séparé consignera
ses conclusions motivées en précisant si elles sont favorables ou non à l’opération.
Les certificats d’affichage établis par les maires de Petit-Canal et de Morne-à-l’Eau.
Article 6. – Les conseils municipaux des communes de Petit-Canal et de Morne-à-l’Eau sont appelés à
donner leur avis sur cette demande d’autorisation dès l’ouverture de l’enquête.
Cet avis ne sera pris en considération que s’il est exprimé au plus tard dans les quinze jours suivant la
clôture du registre d’enquête.
Article 7. – Toute personne physique ou morale intéressée pourra, à compter du quarantième jour après
la clôture de l’enquête, prendre connaissance à la Préfecture à Basse-Terre (bureau de l’urbanisme, de
l’environnement et du cadre de vie), et à la mairie de Petit-Canal pendant un an, et aux heures normales
d’ouverture des bureaux, du rapport et des conclusions du commissaire-enquêteur ou en demander
communication par écrit.
Article 8. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le maire de la
commune de Petit-Canal , le maire de la commune de Morne-à-l’Eau, le directeur régional de l’industrie,
de la recherche et de l’environnement (inspection des installations classées pour la protection de
l’environnement), le commissaire-enquêteur sont chargés chacun en ce qui le concerne de l’exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 14 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-45 AD1/4 du 14 janvier 2009 de mesures d’urgence à l’encontre des Sablières de
Guadeloupe pour la mise en sécurité de sa carrière située au lieu-dit “Rivière Sens”, 97113 –
Gourbeyre
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de l’environnement Livre V, Titre 1er, partie législative et notamment ses articles L. 511-1,
512-1, et L. 512-7 ;
Vu le code de l’environnement Livre V, Titre 1er, partie réglementaire ;
Vu le code minier et ses articles 1 et 4 ;
Vu les arrêtés préfectoraux n° 83-891 AD/1/3 du 22 août 1983 et 93-128 AD1/4 du 22 mars 1993
autorisant Les Sablières de Guadeloupe, à exploiter une carrière à ciel ouvert de roches massives sur le
territoire de la commune de Gourbeyre au lieudit “Rivière Sens” ;
Vu le rapport de l’inspecteur des installations classées pour la protection de l’environnement en date du
13 janvier 2009 ;
77
Considérant que l’exploitation d’une carrière est soumise à autorisation préfectorale au titre de la
législation sur les installations classées, rubrique générale 2510 de la nomenclature ;
Considérant que l’extraction des matériaux précitée présente des risques associés aux enjeux
environnementaux et constitue une atteinte irréversible nécessitant au préalable de définir entre autres
l’ensemble des contraintes pesant sur le site (d’urbanisme, d’environnement, de tenue de sols, de sécurité
…), le mode d’extraction et les mesures compensatoires permettant la réinsertion satisfaisante du site
dans son environnement ;
Considérant les risques pour la sécurité publique et le personnel ;
Considérant la survenue sur le site d’un accident mortel le 10 janvier 2009 ;
Considérant l’urgence de mise en place des dispositions minimales nécessaires visant à la sécurité
publique et à la protection de l’environnement. ;
L’exploitant informé ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – La société Les Sablières de Guadeloupe, dont le siège social est sis à Rivière Sens, B.P. 12,
97113 - Gourbeyre, dénommée ci-après l’exploitant, doit prendre toutes les dispositions minimales
nécessaires afin de garantir la sécurité dans son établissement, notamment dans le secteur où est survenu
l’accident du 10 janvier 2009.
À cet effet, l’activité sur la plateforme abritant le primaire est suspendue à compter de la notification du
présent arrêté. Les mesures suivantes doivent notamment être prises :
1) – mettre en sécurité les terrains affectés par l’exploitation afin qu’il ne s’y manifeste aucun des
dangers ou inconvénients mentionnés à l’art. L. 511-1 du code de l’environnement, titre V, Livre 1er, avec
notamment le purgeage de l’ensemble des fronts affectant la zone d’exploitation actuelle, sur la base
d’une expertise indépendante ;
2) – interdire l’accès de la zone d’exploitation à toute personne étrangère à la carrière lors des travaux
de mise en sécurité et limiter l’accès au personnel ;
3) – interdire tout ripage de matériaux pendant les interventions entrant dans le cadre de la mise en
sécurité ;
4) – justifier de la mise en place de procédures permettant de garantir la sécurité des activités sur cette
plateforme avant toute intervention. Ces procédures devront notamment proscrire l’intervention du
personnel à pied dans la zone d’écoulement gravitaire des matériaux depuis les fronts supérieurs ;
5) – En complément de ces mesures d’urgence, faire toutes propositions d’expertise visant à vérifier la
sécurité du site sur l’ensemble de son périmètre.
L’exploitant fournit dans les meilleurs délais justification auprès de l’inspection des installations classées
(DRIRE, 552, rue de la Chapelle, Z.I. de Jarry, 97122 - Baie-Mahault) du respect des prescriptions
susvisées.
Article 2. – Délais d’exécution
Le délai pour respecter les mesures citées à l’article susvisé sont de :
– 6 jours pour le point 1,
– 2 heures pour les points 2 et 3,
– 4 jours pour le point 4,
à compter de la notification du présent arrêté.
Article 3 – Conditions de remise en exploitation
La remise en service de la dite exploitation ne peut être envisagée qu’à la suite de la procédure de
contrôle de mise en conformité de l’ensemble des mesures visées à l’article 1er par l’inspection des
installations classées, après avis d’un expert indépendant sur la qualité des travaux réalisés.
Article 4. – En cas de non respect des mesures précitées, il pourra être fait application des sanctions
administratives prévues aux articles L. 514-1 et 2 du livre V, titre 1er du code de l’environnement (mise
en demeure, consignation de sommes, travaux d’office, …) indépendamment de poursuites pénales.
Article 5. – Publicité
78
Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie de Gourbeyre pendant une durée minimum de un
mois. Le procès-verbal de l’accomplissement de cette formalité sera adressé au préfet par les soins du
maire.
Article 6. – Délais et voies de recours
En application de l’article L. 514-6 du code de l’environnement, le présent arrêté est soumis à un
contentieux de pleine juridiction. Il peut être déféré devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre :
a) par l’exploitant, dans un délai de deux mois,
b) par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l’installation présente pour les intérêts
visés à l’article L. 511-1 du code de l’environnement – partie législative, dans un délai de quatre ans à
compter de la publication ou de l’affichage du présent arrêté.
Article 7. – Le secrétaire général de la préfecture, le maire de la commune de Gourbeyre, le directeur
régional de l’industrie, de la recherche et de l’environnement, le directeur départemental des services
d’incendie et de secours, le chef du service interministériel de défense et de la protection civile sont
chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture et notifié à l’exploitant..
Fait à Basse-Terre le, 14 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------Arrêté n° 2009-67 AD1/4 du 19 janvier 2009 autorisant la société SGB à exploiter une centrale de
béton sur le territoire de la commune de Baie-Mahault
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de l'environnement, partie législative, titre 1er du livre V et notamment les articles L. 512-1 à
512-3 ;
Vu le code de l'environnement, partie réglementaire, titre 1er du livre V et notamment l'article R. 511-9 et
son annexe portant nomenclature des installations classées ;
Vu la demande présentée le 31 mai 2007 par la société Guadeloupéenne de Béton (SGB), dont le siège
social est situé rue Alfred Lumière - Zone Industrielle de Jarry - 97122 Baie-Mahault en vue d'obtenir
l'autorisation d'exploiter une centrale de béton et une unité de fabrication de buse préfabriquées et au
recyclage de déchets de béton du BTP sur le territoire de la commune de Baie-Mahault à la rue Alfred
Lumière ;
Vu le dossier déposé à l'appui de sa demande ;
Vu la décision en date du 20 août 2007 du président du tribunal administratif de Basse-Terre portant
désignation du commissaire-enquêteur ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2007-2994 AD1/4 en date du 19 novembre 2007 ordonnant l'organisation d'une
enquête publique pour une durée de 1 mois, du 18 décembre 2007 au 18 janvier 2008 inclus, sur le
territoire de la commune de Baie-Mahault ;
Vu l'arrêté portant régularisation de l'occupation du domaine public lacustre en date du 27 juillet 2007 ;
Vu l'accomplissement des formalités d'affichage réalisé dans la commune de l'avis au public ;
Vu la publication en date des 24 et 25 novembre 2007 de France-Antilles et 26 novembre 2007 de Sept
Mag ;
Vu le registre d'enquête et l'avis du commissaire enquêteur ;
Vu les avis exprimés par les différents services et organismes consultés ;
Vu le rapport et les propositions en date du 3 octobre 2008 de l'inspection des installations classées ;
Vu l'avis en date du 28 octobre 2008 du conseil départemental de l'environnement, des risques sanitaires
et technologiques au cours duquel le demandeur a eu la possibilité d'être entendu ;
Vu le projet d'arrêté porté le 19 juin 2008 à la connaissance du demandeur ;
Vu les observations présentées par le demandeur sur ce projet en date du 9 juillet 2008 ;
79
CONSIDÉRANT qu'aux termes de l'article L. 512-2 du code de l'environnement, l'autorisation ne peut
être accordée que si les dangers ou inconvénients de l'établissement peuvent être prévenus par des
mesures que spécifie l'arrêté préfectoral ;
CONSIDÉRANT que les conditions techniques d'exploitation telles qu'elles sont proposées dans le
dossier de demande et dans les compléments apportés lors de la procédure d'instruction, notamment les
dispositions relatives à la prévention des nuisances sonores, des rejets atmosphériques et à l'intégration de
l'établissement dans l'environnement sont de nature à limiter l'impact des installations, ainsi que les
inconvénients et dangers générés par l'établissement ;
CONSIDÉRANT que les conditions d'aménagement et d'exploitation, telles qu'elles sont définies par le
présent arrêté, permettent de prévenir les dangers et inconvénients de l'établissement vis-à-vis des intérêts
mentionnés à l'article L 511.1 du code de l'environnement, notamment la commodité du voisinage, la
santé, la sécurité, la salubrité publiques et la protection de la nature et de l'environnement ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
TITRE 1 – PORTÉE DE L'AUTORISATION ET CONDITIONS GÉNÉRALES
CHAPITRE 1.1 BÉNÉFICIAIRE ET PORTÉE DE L'AUTORISATION
Article 1.1.1. – Exploitant titulaire de l'autorisation
La société SGB dont le siège social est situé rue Alfred Lumière, voie n° 1, Zone Industrielle de Jarry,
97122 – Baie-Mahault est autorisée sous réserve du respect des prescriptions annexées au présent arrêté,
à exploiter sur le territoire de la commune de Baie-Mahault, à la même adresse, les installations détaillées
dans le tableau figurant en annexe 1.
Article 1.1.2. – Installations non visées par la nomenclature ou soumises a déclaration
Les prescriptions du présent arrêté s'appliquent également aux autres installations ou équipements
exploités dans l'établissement, qui mentionnés ou non à !a nomenclature sont de nature par leur proximité
ou leur connexité avec une installation soumise à autorisation à modifier les dangers ou inconvénients de
cette installation.
Les dispositions des arrêtés ministériels existants relatifs aux prescriptions générales applicables aux
installations classées soumises à déclaration sont applicables aux installations classées soumises à
déclaration incluses dans l'établissement dès lors que ces installations ne sont pas régies par le présent
arrêté préfectoral d'autorisation.
CHAPITRE 1.2 NATURE DES INSTALLATIONS
Article 1.2.1. Situation de l'établissement
Les installations autorisées sont situées sur les communes, parcelles et lieux-dits suivants :
Communes
Parcelles
Baie-Mahault
N° 5 - 231 - 232 et 201 section Al
Les installations citées à l'article 1.1.1 ci-dessus sont reportées avec leurs références sur le plan de
situation de l'établissement annexé au présent arrêté (annexe 2).
Article 1.2.2. – Autres limites de l'autorisation
La surface occupée par les installations, voies, aires de circulation, et plus généralement, la surface
concernée par les travaux de réhabilitation à la fin d'exploitation est de 2 ha 35 a 26 ca dont 74 a sur le
domaine public lacustre (DPL).
CHAPITRE 1.3 CONFORMITÉ AU DOSSIER DE DEMANDE D'AUTORISATION
Les installations et leurs annexes, objet du présent arrêté, sont disposées, aménagées et exploitées
conformément aux plans et données techniques contenus dans les différents dossiers déposés par
l'exploitant. En tout état de cause, elles respectent par ailleurs les dispositions du présent arrêté, des
arrêtés complémentaires et les réglementations autres en vigueur.
CHAPITRE 1.4 DURÉE DE L'AUTORISATION
Article 1.4.1. – Durée de l'autorisation
80
La présente autorisation cesse de produire effet si l'installation n'a pas été exploitée durant deux années
consécutives, sauf cas de force majeure.
CHAPITRE 1.5 MODIFICATIONS ET CESSATION D'ACTIVITÉ
Article 1.5.1. – Porter à connaissance
Toute modification apportée par le demandeur aux installations, à leur mode d'utilisation ou à leur
voisinage, et de nature à entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande
d'autorisation, est portée avant sa réalisation à la connaissance du préfet avec tous les éléments
d'appréciation.
Article 1.5.2. – Équipements abandonnés
Les équipements abandonnés ne doivent pas être maintenus dans les installations. Toutefois, lorsque leur
enlèvement est incompatible avec les conditions immédiates d'exploitation, des dispositions matérielles
interdiront leur réutilisation afin de garantir leur mise en sécurité et la prévention des accidents.
Article 1.5.3. – Transfert sur un autre emplacement
Tout transfert sur un autre emplacement des installations visées sous l'article 1.2 du présent arrêté
nécessite une nouvelle demande d'autorisation ou déclaration.
Article 1.5.4. – Changement d'exploitant
Dans le cas où l'établissement change d'exploitant, le successeur fait la déclaration au préfet dans le mois
qui suit la prise en charge de l'exploitant.
Article 1.5.5. – Cessation d'activité
En cas d'arrêt définitif d'une installation classée, l'exploitant doit remettre son site dans un état tel qu'il ne
s'y manifeste aucun des dangers ou inconvénients mentionnés à l'article L. 511-1 du code de
l'environnement - partie législative.
L'arrêt définitif de tout ou partie des installations susvisées, fait l'objet d'une notification au préfet dans
les délais et les modalités fixés par les articles L. 512-17 du code de l'environnement, partie législative et
R. 512-74, 75 et 76 du code de l'environnement - partie réglementaire.
CHAPITRE 1.6 DÉLAIS ET VOIES DE RECOURS
Le présent arrêté est soumis à un contentieux de pleine juridiction.
Il peut être déféré à la juridiction administrative :
10 Par les demandeurs ou exploitants, dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où
lesdits actes leur ont été notifiés ;
2° Par les tiers, personnes physiques ou morales, tes communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts
visés à l'article L. 511-1, dans un délai de quatre ans à compter de la publication ou de l'affichage desdits
actes, ce délai étant, le cas échéant, prolongé jusqu'à la fin d'une période de deux années suivant la mise
en activité de l'installation.
Les tiers qui n'ont acquis ou pris à bail des immeubles ou n'ont élevé des constructions dans le voisinage
d'une installation classée que postérieurement à l'affichage ou à la publication de l'arrêté autorisant
l'ouverture de cette installation ou atténuant les prescriptions primitives ne sont pas recevables à déférer
ledit arrêté à la juridiction administrative.
CHAPITRE 1.7 ARRÊTÉS, CIRCULAIRES, INSTRUCTIONS APPLICABLES
Sans préjudice de la réglementation en vigueur, sont notamment applicables à l'établissement les
prescriptions qui le concernent des textes cités ci-dessous :
Textes réglementaires
Objet
code de l'environnement, livre V, Titre Ier - partie Relatif aux ICPE
législative
Gode de l'environnement - Livre V - titre 1er - partie Relatif aux ICPE
réglementaire
code de l'environnement, livre V, Titre IV - partie Relatif à la classification des déchets
réglementaire
81
Arrêté du 2 février 1998
relatif aux prélèvements et à la consommation d'eau
ainsi qu'aux émissions de toute nature des
installations classées pour la protection de
l'environnement soumises à autorisation
Arrêté du 30 juin 1997
Relatif aux prescriptions générales applicables aux
installations classées pour la protection de
l'environnement soumises à déclaration sous la
rubrique n° 2522 : « matériel vitrant 'emploi de) pour
la fabrication de matériaux tels que béton,
agglomérés, etc, »
Arrêté du 23 janvier 1997
relatif à la limitation des bruits émis dans
l'environnement par les installations classées pour la
protection de l'environnement
Relatif aux prescriptions techniques de la rubrique
2515
Relative aux vibrations mécaniques émises dans
l'environnement par les ICPE
Arrêté du 23 janvier 1997
Circulaire du 23 juillet 1986
Arrêté du 31 mars 1980
Relatif à la réglementation des installations
électriques des établissements réglementés au titre de
la législation sur les installations classées susceptibles
de présenter des risques d'explosion
Arrêté du 29 septembre 2005
Relatif à l'évaluation et à la prise en compte de la
probabilité d'occurrence de la cinétique, de l'intensité
des effets et de la gravité des conséquences des
accidents potentiels
CHAPITRE 1.8 RESPECT DES AUTRES LÉGISLATIONS ET RÉGLEMENTATIONS
Les dispositions de cet arrêté préfectoral sont prises sans préjudice des autres législations et
réglementations applicables, et notamment le code minier, le code civil, le code de l'urbanisme, le code
du travail et le code général des collectivités territoriales, la réglementation sur les équipements sous
pression.
Les droits des tiers sont et demeurent expressément réservés. La présente autorisation ne vaut pas permis
de construire.
TITRE 2 – GESTION DE L'ÉTABLISSEMENT
CHAPITRE 2.1 EXPLOITATION DES INSTALLATIONS
Article 2.1.1. – Objectifs généraux
L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception l'aménagement, l'entretien et
l'exploitation des installations pour :
– limiter la consommation d'eau, et limiter les émissions de polluants dans l'environnement ;
– la gestion des effluents et déchets en fonction de leurs caractéristiques, ainsi que la réduction des
quantités rejetées ;
– prévenir en toutes circonstances, l'émission, la dissémination ou le déversement, chroniques ou
accidentels, directs ou indirects, de matières ou substances qui peuvent présenter des dangers ou
inconvénients pour la commodité de voisinage, la santé, la salubrité publique, l'agriculture, la
protection de la nature et de l'environnement ainsi que pour la conservation des sites et des
monuments.
Article 2.1.2. – Consignes d'exploitation
L'exploitant établit des consignes d'exploitation pour l'ensemble des installations comportant
explicitement les vérifications à effectuer, en conditions d'exploitation normale, en périodes de
démarrage, de dysfonctionnement ou d'arrêt momentané de façon à permettre en toutes circonstances le
respect des dispositions du présent arrêté.
CHAPITRE 2.2 RÉSERVES DE PRODUITS OU MATIÈRES CONSOMMABLES
Article 2.2.1. – Réserves de produits
82
L'établissement dispose de réserves suffisantes de produits ou matières consommables utilisés de manière
courante ou occasionnelle pour assurer la protection de l'environnement tels que manches de filtre,
produits de neutralisation, liquides inhibiteurs, produits absorbants...
CHAPITRE 2.3 INTÉGRATION DANS LE PAYSAGE
Article 2.3.1. – Propreté
L'exploitant prend les dispositions appropriées qui permettent d'intégrer l'installation dans le paysage.
L'ensemble des installations est maintenu propre et entretenu en permanence.
Article 2.3.2. – Esthétique
Les abords de l'installation, placés sous le contrôle de l'exploitant sont aménagés et maintenus en bon état
de propreté (peinture,...). Les émissaires de rejet et leur périphérie font l'objet d'un soin particulier
(plantations, engazonnement,...).
Un rideau d'arbres d'essences adaptées au milieu est mis en place de façon à constituer un écran visuel
efficace sur la façade ouest.
CHAPITRE 2.4 DANGER OU NUISANCES NON PRÉVENUS
Tout danger ou nuisance non susceptibles d'être prévenus par les prescriptions du présent arrêté est
immédiatement porté à la connaissance du préfet par l'exploitant.
CHAPITRE 2.5 INCIDENTS OU ACCIDENTS
Article 2.5.1. – Déclaration et rapport
L'exploitant est tenu à déclarer dans les meilleurs délais à l'inspection des installations classées les
accidents ou incidents survenus du fait du fonctionnement de son installation qui sont de nature à porter
atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 du code de l'environnement.
Un rapport d'accident ou, sur demande de l'inspection des installations classées, un rapport d'incident est
transmis par l'exploitant à l'inspection des installations classées. Il précise notamment les circonstances et
les causes de l'accident ou de l'incident, les effets sur les personnes et l'environnement, les mesures prises
ou envisagées pour éviter un accident ou un incident similaire et pour en pallier les effets à moyen ou
long terme.
Ce rapport est transmis sous 15 jours à l'inspection des installations classées.
CHAPITRE 2.6 DOCUMENTS TENUS A LA DISPOSITION DE L'INSPECTION
L'exploitant doit établir et tenir à jour un dossier comportant les documents suivants :
– le dossier de demande d'autorisation initial, les plans tenus à jour,
– les récépissés de déclaration et les prescriptions générales, en cas d'installations soumises à
déclaration non couvertes par un arrêté d'autorisation
– les arrêtés préfectoraux relatifs aux installations soumises à autorisation, pris en application de la
législation relative aux installations classées pour la protection de l'environnement,
– tous les documents, enregistrements, résultats de vérification et registres répertoriés dans le présent
arrêté ; ces documents peuvent être informatisés, mais dans ce cas des dispositions doivent être
prises pour la sauvegarde des données.
Ce dossier doit être tenu à la disposition de l'inspection des installations classées sur le site durant 5
années au minimum.
CHAPITRE 2.7 CONTRÔLES
À la demande de l'inspection des installations classées, l'exploitant doit faire réaliser, par un organisme
tiers compétent, des mesures des paramètres cités aux articles 3.1.5.3, 4.3.10, 6.2.1. et 6.2.2. Les frais de
ces mesures incombent à l'exploitant.
CHAPITRE 2.8 LUTTE ANTI-VECTORIELLE
Toutes les mesures devront être prises pour éviter la constitution de gîtes larvaire, notamment en limitant
la stagnation des eaux.
La démoustication sera effectuée en tant que de besoin ou sur demande de l'inspection des installations
classées. Les frais de ces mesures incombent à l'exploitant.
TITRE 3 – PRÉVENTION DE LA POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE
83
CHAPITRE 3.1 Conception des installations
Article 3.1.1. – Dispositions générales
L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception, l'exploitation et l'entretien des
installations de manière à limiter les émissions à l'atmosphère », y compris diffuses, notamment par la
mise en œuvre de technologies propres, le développement de techniques de valorisation, la collecte
sélective et le traitement des effluents en fonction de leurs caractéristiques et de la réduction des quantités
rejetées en optimisant notamment l'efficacité énergétique.
Les installations de traitement devront être conçues, exploitées et entretenues de manière à réduire à leur
minimum les durées d'indisponibilité pendant lesquelles elles ne pourront assurer pleinement leur
fonction.
Les installations de traitement d'effluents gazeux doivent être conçues, exploitées et entretenues de
manière :
– à faire face aux variations de débit, température et composition des effluents,
– à réduire au minimum leur durée de dysfonctionnement et d'Indisponibilité.
Si une indisponibilité est susceptible de conduire à un dépassement des valeurs limites imposées,
l'exploitant devra prendre les dispositions nécessaires pour réduire la pollution émise en réduisant ou
arrêtant les installations concernées.
Les consignes d'exploitation de l'ensemble des installations comportent explicitement les contrôles à
effectuer, en marche normale et à la suite d'un arrêt pour travaux de modification ou d'entretien de façon
à permettre en toutes circonstances le respect des dispositions du présent arrêté.
Le brûlage à l'air libre est interdit à l'exclusion des essais incendie.
Article 3.1.2. – Pollutions accidentelles
Les dispositions appropriées sont prises pour réduire la probabilité des émissions accidentelles et pour
que les rejets correspondants ne présentent pas de dangers pour la santé et la sécurité publique. La
conception et l'emplacement des dispositifs de sécurité destinés à protéger les appareillages contre une
surpression interne devraient êtres tels que cet objectif soit satisfait, sans pour cela diminuer leur
efficacité ou leur fiabilité.
Article 3.1.3. – Odeurs
Les dispositions nécessaires sont prises pour que l'établissement ne soit pas à l'origine de gaz odorants,
susceptibles d'incommoder le voisinage, de nuire à la santé ou à la sécurité publique.
Les dispositions nécessaires sont prises pour éviter en toute circonstance, l'apparition de conditions
d'anaérobie dans des bassins de stockage ou de traitement ou dans des canaux à ciel ouvert. Les bassins,
canaux, stockage et traitement des boues susceptibles d'émettre des odeurs sont couverts autant que
possible et si besoin ventilés.
Article 3.1.4. – Voies de circulation
Sans préjudice des règlements d'urbanisme, l'exploitant doit prendre les dispositions nécessaires pour
prévenir les envols de poussières et matières diverses :
– les voies de circulation et aires de stationnement des véhicules sont aménagées (formes de pente,
revêtement, etc.), et convenablement nettoyées,
– les véhicules sortant de l'installation n'entraînent pas de dépôt de poussière ou de boue sur les voies
de circulation. Pour cela des dispositions telles que le lavage des roues des véhicules (pédiluves)
doivent être prévues en cas de besoin,
– les surfaces où cela est possible sont engazonnées, des écrans de végétation sont mis en place le cas
échéant. Des dispositions équivalentes peuvent être prises en lieu et place de celles-ci.
Article 3.1.5. – Émissions et envols de poussières
Article 3.1.5.1. Dispositions générales
L'émission dans l'atmosphère de poussières susceptibles d'incommoder le voisinage, de nuire à la santé
ou à la sécurité publique est interdite.
Les stockages de produits pulvérulents sont confinés (récipients, silos, bâtiments fermés) et les
installations de manipulation, transvasement, transport de produits pulvérulents sont, sauf impossibilité
84
technique démontrée, munies de dispositifs de capotage et d'aspiration permettant de réduire les envols de
poussières.
Les dispositifs d'aspiration sont, si nécessaire, raccordés à une installation de dépoussiérage en vue de
respecter les dispositions du présent arrêté.
Les stockages extérieurs doivent être protégés des vents en mettant en place des écrans, chaque fois que
nécessaire, et être stabilisés pour éviter et limiter les envols de poussières. En cas d'impossibilité de les
stabiliser par humidification des stockages, ils doivent être réalisés sous abri ou en silos.
Les fillers (éléments fins inférieurs à 80 um) et les produits pulvérulents non stabilisés doivent être
confinés (sacs, récipients, silos, bâtiments fermés...). Le cas échéant les silos doivent être munis de
dispositifs de contrôle de niveau de manière à éviter les débordements. L'air s'échappant des silos doit
être dépoussiéré.
Il est interdit de faire fonctionner les installations sans que les dépoussiéreurs soient en marche.
Article 3.1.5.2. Aménagement des installations
Tous les points de chute de convoyeurs doivent être munis de dispositifs d'arrosage à pulvérisation d'eau
pour rabattre les poussières qui doivent rester opérationnel en toute circonstance.
Les hauteurs de chute des produits sont réduites au minimum possible.
Le stockage des produits en vrac doit être réalisé dans la mesure du possible dans des espaces fermés. À
défaut, des dispositions particulières tant au niveau de la conception, de la construction (implantation en
fonction du vent, ...) que de l'exploitation doivent être mises en œuvre.
Les installations de stockage et de distribution d'hydrocarbures doivent respecter les prescriptions des
arrêtés types n° 253 et 1434 joints en annexe.
Article 3.1.5.3. Contrôle des émissions atmosphériques
Des jauges de mesures des retombées de poussières extérieures seront mises en place et permettront un
contrôle annuel des quantités de poussières émises. Les mesures de retombées seront effectuées selon la
norme NFX 43007.
Les valeurs sont inférieures à 30 g/nV/mois.
Les résultats de ces contrôles seront systématiquement transmis à l'inspecteur des installations classées.
Les frais occasionnés par ces contrôles sont à la charge de l'exploitant.
Article 3.1.6. – Émissions et envols de poussières
Les stockages de produits pulvérulents sont confinés (récipients, silos, bâtiments fermés) et les
installations de manipulation, transvasement, transport de produits pulvérulents sont, sauf impossibilité
technique démontrée, munies de dispositifs de capotage et d'aspiration permettant de réduire les envols de
poussières. Si nécessaire, les dispositifs d'aspiration sont raccordés à une installation de dépoussiérage en
vue de respecter les dispositions du présent arrêté. Les équipements et aménagements correspondants
satisfont par ailleurs la prévention des risques d'incendie et d'explosion (évents pour les tours de séchage,
les dépoussiéreurs...).
En particulier, le stockage de granulats est réalisé dans des casiers équipés d'asperseurs, en cas de besoin.
TITRE 4 – PROTECTION DES RESSOURCES EN EAUX ET DES MILIEUX AQUATIQUES
CHAPITRE 4.1 PRÉLÈVEMENTS ET CONSOMMATIONS D'EAU
Article 4.1.1. – Origine des approvisionnements en eau
Les prélèvements d'eau sur le réseau d'eau public AEP qui ne s'avèrent pas liés à la lutte contre un
incendie ou aux exercices de secours, sont limités aux quantités suivantes :
Origine de la ressource
Réseau public
Consommation maximale
annuelle
60 000 m³
Débit maximal
Mensuel moyen : 3 800 m³
Mensuel maxi : 7 000 m³
Article 4.1.2. PROTECTION DES RÉSEAUX D'EAU POTABLE ET DES MILIEUX DE
PRÉLÈVEMENT
85
Un ou plusieurs réservoirs de coupure ou bac de disconnexion ou tout autre équipement présentant des
garanties équivalentes sont installés afin d'isoler les réseaux d'eaux industrielles et pour éviter dès retours
de substances dans les réseaux d'adduction d'eau publique ou dans les milieux de prélèvement.
CHAPITRE 4.2 COLLECTE DES EFFLUENTS LIQUIDES Article 4.2.1. DISPOSITIONS
GÉNÉRALES
Tous les effluents aqueux sont canalisés. Tout rejet d'effluent liquide non prévu aux chapitres 4.2 et 4.3
ou non conforme à leurs dispositions est interdit.
A l'exception des cas accidentels où la sécurité des personnes ou des installations serait compromise, il
est interdit d'établir des liaisons directes entre les réseaux de collecte des effluents devant subir un
traitement ou être détruits et le milieu récepteur.
Les procédés de traitement non susceptibles de conduire à un transfert de pollution sont privilégiés pour
l'épuration des effluents.
Article 4.2.2. – Plan des réseaux
Un schéma de tous les réseaux et un plan des égouts sont établis par l'exploitant, régulièrement mis à
jour, notamment après chaque modification notable, et datés. Ils sont tenus à la disposition de l'inspection
des installations classées ainsi que des services d'incendie et de secours.
Le plan des réseaux d'alimentation et de collecte doit notamment faire apparaître :
– l'origine et la distribution de l'eau d'alimentation,
– les dispositifs de protection de l'alimentation (bac de disconnexion, l'implantation des
disconnecteurs ou tout autre dispositif permettant un isolement avec la distribution alimentaire,...),
– les secteurs collectés et les réseaux associés,
– les ouvrages de toutes sortes (vannes, compteurs...),
– les ouvrages d'épuration interne avec leur point de contrôle et les points de rejet de toute nature
(interne ou au milieu).
Article 4.2.3. – Entretien et surveillance
Les réseaux de collecte des effluents sont conçus et aménagés de manière à être curables, étanches et
résister dans le temps aux actions physiques et chimiques des effluents ou produits susceptibles d'y
transiter.
L'exploitant s'assure par des contrôles appropriés et préventifs de leur bon état et de leur étanchéité.
Les différentes canalisations accessibles sont repérées conformément aux règles en vigueur.
Les canalisations de transport de substances et préparations dangereuses à l'intérieur de l'établissement
sont aériennes.
Le débourbeur-déshuileur, prévu à l'article 4.3.10, est vidangé périodiquement au minimum 1 fois par an,
et autant de fois que cela s'avère nécessaire, par une entreprise spécialisée, dûment autorisée.
Un registre est tenu, sur lequel sont rapportées les informations suivantes : quantité évacuée, nom et
adresse du collecteur, nom et adresse de l'éliminateur et date de collecte.
Article 4.2.4. Protection des réseaux internes à l'établissement
Les effluents aqueux rejetés par les installations ne sont pas susceptibles de dégrader les réseaux d'égouts
ou de dégager des produits toxiques ou inflammables dans ces égouts, éventuellement par mélange avec
d'autres effluents.
Article 4.2.5. Protection contre des risques spécifiques
Les collecteurs véhiculant des eaux polluées par des liquides inflammables ou susceptibles de l'être, sont
équipés d'une protection efficace contre le danger de propagation de flammes.
Par les réseaux d'assainissement de l'établissement ne transite aucun effluent issu d'un réseau collectif
externe ou d'un autre site industriel.
Article 4.2.5.1. Isolement avec les milieux
Un système doit permettre l'isolement des réseaux d'assainissement de l'établissement par rapport à
l'extérieur. Ces dispositifs sont maintenus en état de marche, signalés et actionnables en toute
circonstance localement et/ou à partir d'un poste de commande. Leur entretien préventif et leur mise en
fonctionnement sont définis par consigne.
86
CHAPITRE 4.3 TYPES D'EFFLUENTS, LEURS OUVRAGES D'ÉPURATION ET LEURS
CARACTÉRISTIQUES DE REJET AU MILIEU
Article 4.3.1. Identification des effluents
L'exploitant est en mesure de distinguer les différentes catégories d'effluents de l'établissement :
Article 4.3.2. – Collecte des effluents
Les effluents pollués ne contiennent pas de substances de nature à gêner le bon fonctionnement des
ouvrages de traitement. La dilution des effluents est interdite. En aucun cas elle ne doit constituer un
moyen de respecter les valeurs seuils de rejets fixés par le présent arrêté. Il est interdit d'abaisser les
concentrations en substances polluantes des rejets par simples dilutions autres que celles résultant du
rassemblement des effluents normaux de l'établissement ou celles nécessaires à la bonne marche des
installations de traitement.
Les rejets directs ou indirects d'effluents dans la (les) nappe(s) d'eaux souterraines ou vers les milieux de
surface non visés par le présent arrêté sont interdits.
Article 4.3.3. – Gestion des ouvrages : conception, dysfonctionnement
La conception et la performance des installations de traitement (ou de prétraitement) des effluents aqueux
permettent de respecter les valeurs limites imposées au rejet par le présent arrêté. Elles sont entretenues,
exploitées et surveillées de manière à réduire au minimum les durées d'indisponibilité ou à faire face aux
variations des caractéristiques des effluents bruts (débit, température, composition...) y compris à
l'occasion du démarrage ou d'arrêt des installations.
Si une indisponibilité ou un dysfonctionnement des installations de traitement est susceptible de conduire
à un dépassement des valeurs limites imposées par le présent arrêté, l'exploitant prend les dispositions
nécessaires pour réduire la pollution émise en limitant ou en arrêtant si besoin les fabrications
concernées.
Les dispositions nécessaires doivent être prises pour limiter les odeurs provenant du traitement des
effluents ou dans les canaux à ciel ouvert (conditions anaérobies notamment).
Article 4.3.4. – Entretien et conduite des installations de traitement
Les principaux paramètres permettant de s'assurer de la bonne marche des installations de traitement des
eaux polluées sont mesurés périodiquement et portés sur un registre.
La conduite des installations est confiée à un personnel compétent disposant d'une formation initiale et
continue. Un registre spécial est tenu sur lequel sont notés les incidents de fonctionnement des dispositifs
de collecte, de traitement, de recyclage ou de rejet des eaux, les dispositions prises pour y remédier et les
résultats des mesures et contrôles de la qualité des rejets auxquels il a été procédé.
Article 4.3.5. – Conception, aménagement et équipement des ouvrages de rejet
Article 4.3.5.1. Conception
Les dispositifs de rejet des effluents liquides sont aménagés de manière à :
– réduire autant que possible la perturbation apportée au milieu récepteur, aux abords du point de
rejet, en fonction de
– l'utilisation de l'eau à proximité immédiate et à l'aval de celui-ci,
– ne pas gêner la navigation (le cas échéant). Ils doivent, en outre, permettre une bonne diffusion des
effluents dans le milieu récepteur. En cas d'occupation du domaine public, une convention sera
passée avec le service de l'État compétent.
Article 4.3.5.2. Aménagement
4.3.5.2.1. Aménagement des points de prélèvements
Sur chaque ouvrage de rejet d'effluents liquides est prévu un point de prélèvement d'échantillons et des
points de mesure (débit, température, concentration en polluant,...).
Ces points sont aménagés de manière à être aisément accessibles et permettre des interventions en toute
sécurité. Toutes dispositions doivent également être prises pour faciliter les interventions d'organismes
extérieurs à la demande de l'inspection des installations classées.
Les agents des services publics, notamment ceux chargés de la police des eaux, doivent avoir libre accès
aux dispositifs de prélèvement qui équipent les ouvrages de rejet vers le milieu récepteur.
87
4.3.5.2.1. Section de mesure
Ces points sont implantés dans une section dont les caractéristiques (rectitude de la conduite à l'amont,
qualité des parois, régime d'écoulement) permettent de réaliser des mesures représentatives de manière à
ce que la vitesse n'y soit pas sensiblement ralentie par des seuils ou obstacles situés à l'aval et que
l'effluent soit suffisamment homogène.
Article 4.3.6. – Caractéristiques générales de l'ensemble des rejets
Les effluents rejetés doivent être exempts : de matières flottantes,
de produits susceptibles de dégager en égout ou dans le milieu naturel directement ou indirectement des
gaz ou vapeurs toxiques, inflammables ou odorantes,
de tous produits susceptibles de nuire à la conservation des ouvrages, ainsi que des matières déposables
ou précipitables qui, directement ou indirectement, sont susceptibles d'entraver le bon fonctionnement des
ouvrages.
Les effluents doivent également respecter les caractéristiques suivantes :
– Température : < 40 °C
– pH : compris entre 5,5 et 8,5
– Couleur : modification de la coloration du milieu récepteur mesurée en un point représentatif de la
zone de mélange inférieure à 100 mg/Pt/l
– Hydrocarbures totaux : 5 mg/l
– Matières en suspension : < 100 mg/l
– DBO : < 40 mg/l
– DBO5:< 120 mg/l
Article 4.3.7. – Gestion des eaux polluées et des eaux residu aires internes a l'établissement
Les réseaux de collecte sont conçus pour évacuer séparément chacune des diverses catégories d'eaux
polluées issues des activités ou sortant des ouvrages d'épuration interne vers les traitements appropriés
avant d'être évacuées vers le milieu récepteur autorisé à les recevoir.
Article 4.3.8. – Eaux domestiques
Les eaux domestiques sont traitées et évacuées conformément aux règlements en vigueur, avant rejet dans
le milieu récepteur considéré.
Article 4.3.9. – Eaux pluviales susceptibles d'être polluées
En l'absence de pollution préalablement caractérisée, les eaux pluviales susceptibles d'être pollués sont
dirigées vers un bassin décanteur / séparateur d'hydrocarbures correctement dimensionné, puis vers un
bassin de décantation, avant rejet dans le milieu naturel.
Il est interdit d'établir des liaisons directes entre les réseaux de collecte des eaux pluviales et les réseaux
de collecte des effluents pollués ou susceptibles d'être pollués.
Article 4.3.10. – Valeurs limites d'émission des eaux exclusivement pluviales
L'exploitant est tenu de respecter avant rejet des eaux pluviales susceptible d'être polluées dans le milieu
récepteur considéré, les valeurs limites en concentrations ci- dessous définies :
Substances
Concentrations
Méthodes de référence
MES
(en mg/l)
NFT90105
Hydrocarbures totaux
100
NFT90114
5
Aucun autre polluant ne doit être rejeté en quantité significative.
La superficie des aires de stockage, voies de circulation, aires de stationnement et autres surfaces
imperméabilisables est de : 16 909 m²
TITRE 5 – DÉCHETS
CHAPITRE 5.1 DÉFINITIONS
Le présent titre fait référence principalement aux déchets (palettes, rébus, emballages vides, boues de
peinture, ferrailles...) produits par l'établissement au cours de ses activités habituelles.
88
Les déchets dangereux sont définis par un astérisque à l'annexe II de l'article R. 541-8 du code de
l'environnement.
Article 5.1.1. – Déchets industriels banals
Les déchets banals sont composés de bois, papier, verre, textile, plastique, ferrailles, caoutchouc... ; ils ne
sont pas pollués par des produits présentant un risque d'atteinte particulière pour l'environnement.
Article 5.1.2. – Déchets ultimes
Un déchet ultime, qui résulte ou non du traitement d'un déchet, n'est plus susceptible d'être traité dans les
conditions techniques et économiques du moment, notamment par extraction de la part valorisable ou par
réduction de son caractère polluant ou dangereux.
CHAPITRE 5.2 DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Article 5.2.1. – Principes
L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires dans la conception et l'exploitation de ses
installations pour assurer une bonne gestion des déchets de son entreprise conformément aux dispositions
législatives et réglementaires en vigueur (code de l'environnement et textes pris pour son application).
À cette fin, il se doit successivement de :
– limiter à la source la quantité et la toxicité de ses déchets en adoptant des technologies propres,
– trier, recycler, valoriser ses sous-produits de fabrication,
– s'assurer du traitement ou du prétraitement de ses déchets, notamment par voie physico-chimique,
détoxication ou voie thermique,
– s'assurer, pour les déchets ultimes dont le volume doit être strictement limité, d'un stockage dans des
installations techniquement adaptées et réglementairement autorisées.
L'exploitant organise, par une procédure écrite, la collecte et l'élimination des différents déchets générés
par l'établissement. Cette procédure, régulièrement mise à jour, est tenue à la disposition de l'inspecteur
des installations classées.
Toutes dispositions sont prises pour limiter les quantités de déchets à traiter ou à éliminer, notamment en
développant le recyclage, la valorisation ou la réutilisation.
Les déchets non dangereux (bois, papier, verre, textile, plastique, caoutchouc, etc.) et non souillés par des
produits toxiques ou polluants peuvent être récupérés, valorisés ou éliminés dans les mêmes conditions
que les ordures ménagères, dans les conditions fixées par les articles L. 2224-14 et R. 2224-28 du code
général des collectivités territoriales.
Article 5.2.2. – Élimination et transit des déchets
L'exploitant élimine ou fait éliminer les déchets produits par l'établissement dans des conditions propres à
garantir les intérêts mentionnés à l'article L. 511-1 du code de l'environnement. Il s'assure que les
installations visées à l'article L. 511-1 du code de l'environnement utilisées pour l'élimination, le tri et le
transit des déchets sont régulièrement autorisées à cet effet.
Article 5.2.3. – Transport
Chaque lot de déchets dangereux expédié vers l'extérieur doit être accompagné du bordereau de suivi
établi en application de l'article R. 541-45 du code de l'environnement et de l'arrêté ministériel du 29
juillet 2005 fixant le formulaire du bordereau de suivi de déchets dangereux.
CHAPITRE 5.3 RÉCUPÉRATION - RECYCLAGE - VALORISATION
Article 5.3.1. – Emballages
L'exploitant doit trier les déchets banals qu'il génère, dont en particulier les déchets d'emballages, et/ou
les faire trier par un tiers dûment autorisé à cet effet avec lequel il a passé un contrat en vue de leur
réemploi, leur recyclage ou toute autre action visant à obtenir des matériaux réutilisables. Il est dérogé à
cette obligation de tri dans le cas où il fait appel à une technique d'élimination visant à obtenir de
l'énergie.
Les seuls modes d'élimination autorisés pour les déchets d'emballage sont la valorisation par réemploi, le
recyclage ou toute autre action visant à obtenir des matériaux utilisables ou de l'énergie.
89
Les emballages vides ayant contenu des produits toxiques ou susceptibles d'entraîner des pollutions sont
renvoyés au fournisseur lorsque leur réemploi est possible. A défaut, s'ils ne peuvent être totalement
nettoyés, ils sont éliminés comme des déchets dangereux.
Le nettoyage des emballages n'est possible que si les résidus qui en découlent sont traités conformément
aux prescriptions des chapitres 4.2 et 4.3 et ne génèrent pas une charge polluante supérieure aux
prescriptions des articles 4.3.7 et 4.3.8 du présent arrêté.
Article 5.3.2. – Séparation des autres déchets
L'exploitant effectue à l'intérieur de son établissement la séparation des déchets (dangereux ou non) de
façon à faciliter leur traitement ou leur élimination dans des filières spécifiques. Chaque déchet est
clairement identifié et repéré.
Les huiles usagées doivent être éliminées conformément aux dispositions des articles R. 543-3 à R. 54316 du code de l'environnement et ses textes d'application (arrêté ministériel du 28 janvier 1999). Elles
sont stockées dans des réservoirs étanches et dans des conditions de séparation satisfaisantes, évitant
notamment les mélanges avec de l'eau ou tout autre déchet non huileux ou contaminé par des PCB. Les
huiles usagées doivent être remises à des opérateurs agréés (ramasseurs ou exploitants d'installations
d'élimination).
Les piles et accumulateurs usagés sont stockés sous abris de façon à ne pas présenter de risques de
pollution, et doivent être éliminés conformément aux dispositions des articles R. 543-127 et R. 543-128
du code de l'environnement.
Les pneumatiques usagés doivent être éliminés conformément aux dispositions des articles R. 543-139 à
R. 543-143 du code de l'environnement ; ils sont remis à des opérateurs agréés (collecteurs ou exploitants
d'installations d'élimination) ou aux professionnels qui utilisent ces déchets pour des travaux publics, de
remblaiement, de génie civil ou pour l'ensilage.
Les équipements électriques et électroniques mis au rebut ou les sous-ensembles issus de ces
équipements, s'ils ne font pas l'objet de réemploi, sont envoyés dans des installations appliquant les
dispositions de l'arrêté du 23 novembre 2005 relatif aux modalités de traitement des déchets
d'équipements électriques et électroniques prévues à l'article 21 du décret n°2005-829 du 20 juillet 2005
relatif à la composition des équipements électriques et électroniques et à l'élimination des déchets issus
de ces équipements ou remis aux personnes tenues de les reprendre, en application des articles R. 543188 et R. 543-195 du code de l'environnement ou aux organismes auxquels ces personnes ont transféré
leurs obligations.
CHAPITRE 5.4 STOCKAGES
L'exploitant établit et tient à jour un plan de localisation des différentes zones de stockages des déchets de
l'établissement.
Les mesures sont prises pour réduire la durée et la quantité de déchets stockés sur le site au minimum
technique permettant une gestion interne cohérente.
Toutes dispositions sont prises pour que :
– les dépôts soient tenus en état constant de propreté,
– les dépôts ne soient pas à l'origine d'une gêne pour le voisinage (odeurs, envols, ...) ou d'une
pollution des eaux superficielles ou souterraines, ou d'une pollution des sols. A cette fin, les
stockages de déchets dangereux sont réalisés sur des aires dont le sol est imperméable et résistant
aux produits qui y sont déposés ; ces aires, nettement délimitées, sont conçues de manière à contenir
les éventuels déversements accidentels. En l'absence de couverture de ces zones et des aires de
chargement/déchargement associées, les eaux pluviales sont récupérées, contrôlées et traitées en tant
que de besoin,
– les mélanges de déchets ne puissent être à l'origine de réactions non contrôlées conduisant en
particulier à l'émission de gaz ou d'aérosols toxiques ou à la formation de produits explosifs.
Article 5.4.1. – Stockage en emballages
Les déchets peuvent être conditionnés dans des emballages en bon état ayant servi à contenir d'autres
produits (matières première notamment), sous réserve que :
– il ne puisse y avoir de réactions dangereuses entre le déchet et les produits ayant été contenus dans
l'emballage,
– les marques d'origine des emballages ne prêtent pas à confusion quant aux déchets contenus.
90
L'exploitant prend les dispositions nécessaires pour assurer une parfaite stabilité mécanique des dépôts
(palettisation, limitation du gerbage, résistance des emballages ...).
Pour les déchets dangereux, l'emballage porte systématiquement des indications claires permettant de
connaître la nature du contenu.
Article 5.4.2. – Stockage en cuves
Les déchets ne peuvent être stockés que dans des cuves affectées à cet effet. Ces cuves sont identifiées et
doivent respecter les règles de sécurité afférentes aux caractéristiques des déchets stockés.
Article 5.4.3. – Stockage en bennes
Les déchets ne peuvent être stockés en vrac dans des bennes, que par catégories de déchets compatibles et
sur des aires identifiées et affectées à cet effet. Toutes les précautions sont prises pour limiter les envols
et le lessivage des déchets par les eaux météoriques.
Les opérations de transport de déchets doivent respecter les dispositions de la section 4, chapitre 1er, titre
IV, livre V, de la partie réglementaire du code de l'environnement relatives au transport par route, au
négoce et au courtage de déchets. La liste mise à jour des transporteurs utilisés par l'exploitant est tenue à
la disposition de l'inspection des installations classées.
CHAPITRE 5.5 DÉCHETS PRODUITS PAR L'ÉTABLISSEMENT DANS LE CADRE DE SES
ACTIVITÉS :
Les filières d'élimination des déchets produits par l'établissement, définis par l'article R. 541-8 et ses
annexes I et II du code de l'environnement, sont les suivantes :
Code du déchet
Désignation du déchet
Quantités
annuelles
estimées
Niveaux de gestion
Mode
d'élimination
1 : interne
E : externe
17 01 01
Déchets de béton
Inférieur ou égal au niveau 1
1
10 13 06
Fines et poussières
Inférieur ou égal au niveau 1
1
10 13 14
Boue de décantation non
chargées en hydrocarbures
Inférieur ou égal au niveau 1
l
15 01 02
Emballages en matières
plastiques souillées
Inférieur ou égal au niveau 3
E
15 01 01
Emballages en papier/carton
Inférieur ou égal au niveau 1
E
15 01 03
Emballages en bois (palettes)
Inférieur ou égal au niveau 1
E
15 01 04
Emballages métalliques
Inférieur ou égal au niveau 1
E
16 01 17
Métaux ferreux
Inférieur ou égal au niveau 1
E
13 05 02*
Boues provenant des séparateurs
eaux / hydrocarbures
Inférieur ou égal au niveau 3
E
13 02 08*
Huiles usées
Inférieur ou égal au niveau 3
E
16 06 01*
Batteries
Inférieur ou égal au niveau 1
E
16 01 03
Pneus
Inférieur ou égal au niveau 1
E
15 02 03
Matériaux filtrants non
contaminés par des substances
dangereuses
Inférieur ou égal au niveau 3
E
91
15 02 02*
Chiffons d'essuyage contaminés
par des substances dangereuses
Inférieur ou égal au niveau 3
E
20 03 01
Déchets municipaux en
mélange
Inférieur ou égal au niveau 3
E
20 01 99
autres fractions non spécifiées
ailleurs
Inférieur ou égal au niveau 3
E
Le niveau de gestion d'un déchet est défini selon la filière d'élimination utilisée pour ce déchet :
– Niveau 0 : Réduction à la source, technologie propre
– Niveau 1 : Valorisation matière, recyclage, régénération, réemploi
– Niveau 2 : Traitement physico-chimique, incinération avec ou sans récupération d'énergie, coincinération, évapo-incinération
– Niveau 3 : Élimination en centre de stockage de déchets ménagers et assimilés ou en centre de stockage
de déchets industriels spéciaux ultimes stabilisés
CHAPITRE 5.6 REGISTRE
L'exploitant tient à jour un registre des déchets entrant et sortant de l'installation, contenant les
informations suivantes :
1. La désignation des déchets et leur code indiqué à l'annexe II de l'article R. 541 -8 du code de
l'environnement ;
2. La date d'enlèvement ;
3. Le tonnage des déchets ;
4. Le numéro du ou des bordereaux de suivi de déchets émis ;
5. La désignation du ou des modes de traitement et, le cas échéant, la désignation de la ou des
opérations de transformation préalable et leur(s) code(s) selon les annexes ll-A et M-B de la directive
75/442/CEE du 15 juillet 1975 ;
6. Le nom, l'adresse et, le cas échéant, le numéro SIRET de l'installation destinataire finale ;
7. Le cas échéant, le nom, l'adresse et le numéro SIRET des installations dans lesquelles les déchets
ont été préalablement entreposés, reconditionnés, transformés ou traités ;
8. Le nom et l'adresse du ou des transporteurs et, le cas échéant, leur numéro SIREN ainsi que leur
numéro de récépissé conformément aux dispositions de la section 4, chapitre 1er, titre IV, livre V, de la
partie réglementaire du code de l'environnement relatives au transport par route, au négoce et au courtage
de déchets ;
9. La date d'admission des déchets dans l'installation destinataire finale et, le cas échéant, dans les
installations dans lesquelles les déchets ont été préalablement entreposés, reconditionnés, transformés ou
traités ainsi que la date du traitement des déchets dans l'installation destinataire finale ;
10. Le cas échéant, le nom, l'adresse et le numéro SIREN du négociant ainsi que son numéro de
récépissé conformément aux dispositions de la section 4, chapitre 1er, titre IV, livre V, de la partie
réglementaire du code de l'environnement relatives au transport par route, au négoce et au courtage de
déchets.
Les présentes dispositions remplacent celles prévues à l'article 4 de l'arrêté du 7 juillet 2005 fixant le
contenu des registres mentionnés à l'article R. 541-43 du code de l'environnement concernant les circuits
de traitement de déchets et concernant les déchets dangereux et les déchets autres que dangereux et
radioactifs pour les équipements électriques au rebut admis dans l'installation.
Ce registre est mis, à sa demande, à la disposition du service chargé de l'inspection des installations
classées. Il est conservé 5 ans.
Dans ces synthèses les déchets et résidus sont identifiés au minimum par la dénomination détaillée
adoptée par le producteur, par leurs positions (origine, catégorie), dans la nomenclature.
TITRE 6 – PRÉVENTION DES NUISANCES SONORES ET DES VIBRATIONS
CHAPITRE 6.1 DISPOSITIONS GÉNÉRALES
Article 6.1.1. – Aménagements
92
L'installation est construite, équipée et exploitée de façon que son fonctionnement ne puisse être à
l'origine de bruits transmis par voie aérienne ou solidienne, de vibrations mécaniques susceptibles de
compromettre la santé ou la sécurité du voisinage ou de constituer une nuisance pour celle-ci.
Les prescriptions de l'arrêté ministériel du 23 janvier 1997 relatif à la limitation des émis dans
l'environnement par les installations relevant du livre V - titre I du code de l'Environnement, ainsi que les
règles techniques annexées à la circulaire du 23 juillet 1986 relative aux vibrations mécaniques émises
dans l'environnement par les installations classées sont applicables.
Article 6.1.2. – Véhicules et engins
Les véhicules de transport, les matériels de manutention et les engins de chantier utilisés à l'intérieur de
l'établissement, et susceptibles de constituer une gêne pour le voisinage, sont conformes à la
réglementation en vigueur (les engins de chantier doivent répondre aux dispositions du décret n° 95-79
du 23 janvier 1995 et des textes pris pour son application).
Article 6.1.3. – Appareils de communication
L'usage de tous appareils de communication par voie acoustique (sirènes, avertisseurs, haut-parleurs ...)
gênants pour le voisinage est interdit sauf si leur emploi est exceptionnel et réservé à la prévention ou au
signalement d'incidents graves ou d'accidents.
CHAPITRE 6.2 – NIVEAUX ACOUSTIQUES
Article 6.2.1. – Valeurs limites d'émergence
Niveau de bruit ambiant existant
dans les zones à émergence
réglementée (incluant le bruit de
l'établissement)
Supérieur à 45 dB(A)
Émergence admissible pour la
période allant de 7h à 22h, sauf
dimanches et jours fériés
Émergence admissible pour la
période allant de 22h à 7h, ainsi
que les dimanches et jours fériés
5 dB(A)
3 dB(A)
Article 6.2.2. – Niveaux limites de bruit
Les niveaux limites de bruit ne doivent pas dépasser en limite de propriété de l'établissement les valeurs
suivantes pour les différentes périodes de la journée :
Période de nuit allant de 22h à 7h,
(ainsi que dimanches et jours
fériés)
Niveau sonore limite admissible 70 dB(A)
60 dB(A)
Les émissions sonores dues aux activités des installations ne doivent pas engendrer une émergence
supérieure aux valeurs admissibles fixées dans le tableau figurant à l'article 6.2.1 dans les zones à
émergence réglementée.
PÉRIODES
Période de jour allant de 7h à 22h,
(sauf dimanches et jours fériés)
TITRE 7 – PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES
CHAPITRE 7.1 PRINCIPES DIRECTEURS
L'exploitant prend toutes les dispositions nécessaires pour prévenir les incidents et accidents susceptibles
de concerner les installations et pour en limiter les conséquences. Il organise sous sa responsabilité les
mesures appropriées, pour obtenir et maintenir cette prévention des risques, dans les conditions normales
d'exploitation, les situations transitoires et dégradées.
Il met en place le dispositif nécessaire pour en obtenir l'application et le maintien ainsi que pour détecter
et corriger les écarts éventuels.
CHAPITRE 7.2 CARACTÉRISATION DES RISQUES
Article 7.2.1. – Inventaire des substances ou préparations dangereuses présentes dans
l'établissement
L'exploitant doit avoir à sa disposition des documents lui permettant de connaître la nature et les risques
des substances et préparations dangereuses présentes dans les installations, en particulier les fiches de
données de sécurité prévues par l'article R. 4411-73 du code du travail.
93
L'inventaire et l'état des stocks des substances ou préparations dangereuses présentes dans l'établissement
(nature, état physique et quantité, emplacements) en tenant compte des phrases de risques codifiées par la
réglementation en vigueur est constamment tenu à jour.
Cet inventaire est tenu à la disposition permanente des services de secours.
Article 7.2.2. – Zonage des dangers internes a l'etablissement
L'exploitant identifie les zones de l'établissement susceptibles d'être à l'origine d'incendie, d'émanations
toxiques ou d'explosion de par la présence de substances ou préparations dangereuses stockées ou
utilisées ou d'atmosphères nocives ou explosibles pouvant survenir soit de façon permanente ou semipermanente dans le cadre du fonctionnement normal des installations, soit de manière épisodique avec
une faible fréquence et de courte durée.
Ces zones sont matérialisées par des moyens appropriés et reportées sur un plan systématiquement tenu à
jour. La nature exacte du risque (atmosphère potentiellement explosible, etc.) et les consignes à observer
sont indiquées à l'entrée de ces zones et en tant que de besoin rappelées à l'intérieur de celles-ci. Ces
consignes doivent être incluses dans les plans de secours s'ils existent.
CHAPITRE 7.3 INFRASTRUCTURES ET INSTALLATIONS
Article 7.3.1. – Accès et circulation dans l'établissement
L'exploitant fixe les règles de circulation applicables à l'intérieur de l'établissement. Les règles sont
portées à la connaissance des intéressés par une signalisation adaptée et une information appropriée.
Les voies de circulation et d'accès sont notamment délimitées, maintenues en constant état de propreté et
dégagées de tout objet susceptible de gêner le passage. Ces voies sont aménagées pour que les engins des
services d'incendie puissent évoluer sans difficulté.
L'établissement est efficacement clôturé sur la totalité de sa périphérie. La clôture, d'une hauteur
minimale de 2 mètres, doit être suffisamment résistante afin d'empêcher les éléments indésirables
d'accéder aux installations.
Au moins deux accès de secours éloignés l'un de l'autre, et, le plus judicieusement placés pour éviter
d'être exposés aux conséquences d'un accident, sont en permanence maintenus accessibles de l'extérieur
du site (chemins carrossables,...) pour les moyens d'intervention.
Article 7.3.1.1, Gardiennage et contrôle des accès
Toute personne étrangère à l'établissement ne doit pas avoir libre accès aux installations.
L'exploitant prend les dispositions nécessaires au contrôle des accès, ainsi qu'à la connaissance
permanente des personnes présentes dans l'établissement.
Article 7.3.1.2. Caractéristiques minimales des voies
Les voies auront les caractéristiques minimales suivantes :
– largeur de la bande de roulement : 3,50 m ;
– rayon intérieur de giration : 11m ;
– hauteur libre : 3,50 m ;
– résistance à la charge : 13 tonnes par essieu.
Article 7.3.2. – Installations électriques - mise a la terre
Les installations électriques doivent être conçues, réalisées, et entretenues conformément à la
réglementation du travail et le matériel doit être conforme aux normes françaises qui lui sont applicables.
La mise à la terre est effectuée suivant les règles de l'art et distincte de celle du paratonnerre éventuel.
Le matériel électrique est entretenu en bon état et reste en permanence conforme en tout point à ses
spécifications techniques d'origine.
Les conducteurs sont mis en place de manière à éviter tout court-circuit.
Une vérification de l'ensemble de l'installation électrique est effectué au minimum une fois par an par un
organisme compétent qui mentionnera très explicitement les défectuosités relevées dans son rapport.
Article 7.3.2.1. Zones à atmosphère explosible
Les dispositions de l'article 2 de l'arrêté ministériel du 31 mars 1980, portant réglementation des
installations électriques des établissements réglementés au titre de la législation sur les installations
classées et susceptibles de présenter des risques d'explosion, sont applicables à l'ensemble des zones de
94
risque d'atmosphère explosive de l'établissement. Le plan des zones à risques d'explosion est porté à la
connaissance de l'organisme chargé de la vérification des installations électriques.
Le matériel électrique mis en service à partir du 1er janvier 1981 est conforme aux dispositions des
articles 3 et 4 de l'arrêté ministériel précité.
Les masses métalliques contenant et/ou véhiculant des produits inflammables et explosibles susceptibles
d'engendrer des charges électrostatiques sont mises à la terre et reliées par des liaisons équipotentielles.
CHAPITRE 7.4 GESTION DES OPERATIONS PORTANT SUR DES SUBSTANCES
DANGEREUSES
Article 7.4.1. – Consignes d'exploitation destinées à prévenir les accidents
Les opérations comportant des manipulations dangereuses et la conduite des installations, dont le
dysfonctionnement aurait par leur développement des conséquences dommageables pour le voisinage et
l'environnement, (phases de démarrage et d'arrêt, fonctionnement normal, entretien...) font l'objet de
procédures et instructions d'exploitation écrites.
Les opérations de lancement de nouvelles fabrications, le démarrage de nouvelles unités, ainsi que toute
opération délicate sur le plan de la sécurité, sont assurées en présence d'un encadrement approprié.
La mise en service d'unités nouvelles ou modifiées est précédée d'une réception des travaux attestant que
les installations sont aptes à être utilisées.
Article 7.4.2. – Vérifications périodiques
Les installations, appareils et stockages dans lesquels sont mis en œuvre ou entreposés des substances et
préparations dangereuses ainsi que les divers moyens de secours et d'intervention font l'objet de
vérifications périodiques. Il convient en particulier, de s'assurer du bon fonctionnement des dispositifs de
sécurité
L'exploitation doit se faire sous la surveillance, directe ou indirecte, d'une personne nommément désignée
par l'exploitant et ayant une connaissance de la conduite de l'installation et des dangers et inconvénients
des produits utilisés ou stockés dans l'installation.
Article 7.4.3. – Interdiction de feux
Il est interdit d'apporter du feu sous une forme quelconque dans les zones de dangers présentant des
risques d'incendie ou d'explosion sauf pour les interventions ayant fait l'objet d'un permis d'intervention.
Article 7.4.4. – Formation du personnel
Outre l'aptitude au poste occupé, les différents opérateurs et intervenants sur le site, y compris le
personnel intérimaire, reçoivent une formation sur les risques inhérents des installations, la conduite à
tenir en cas d'incident ou accident et, sur la mise en œuvre des moyens d'intervention.
Des mesures sont prises pour vérifier le niveau de connaissance et assurer son maintien.
Cette formation comporte notamment :
– toutes les informations utiles sur les produits manipulés, les réactions chimiques et opérations de
fabrication mises en œuvre,
– les explications nécessaires pour la bonne compréhension des consignes,
– des exercices périodiques de simulation d'application des consignes de sécurité prévues par le
présent arrêté, ainsi qu'un entraînement régulier au maniement des moyens d'intervention affectés à
leur unité,
Article 7.4.5. – Travaux d'entretien et de maintenance
Tous travaux d'extension, modification ou maintenance dans les installations à proximité des zones à
risque inflammable, explosible et toxique sont réalisés sur la base d'un dossier préétabli définissant
notamment leur nature, les risques présentés, les conditions de leur intégration au sein des installations ou
unités en exploitation et les dispositions de surveillance à adopter.
Les travaux font l'objet d'un permis délivré par une personne nommément désignée.
Article 7.4.5.1. Contenu du permis de feu
Le permis rappelle notamment :
– les motivations ayant conduit à sa délivrance,
– la durée de validité,
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– la nature des dangers,
– le type de matériel pouvant être utilisé,
– les mesures de prévention à prendre, notamment les vérifications d'atmosphère, les risques
d'incendie et d'explosion, la mise en sécurité des installations,
– les moyens de protection à mettre en œuvre notamment les protections individuelles, les moyens de
lutte (incendie, etc.) mis à la disposition du personnel effectuant les travaux.
Tous travaux ou interventions sont précédés, immédiatement avant leur commencement, d'une visite sur
les lieux destinée à vérifier le respect des conditions prédéfinies.
À l'issue des travaux, une réception est réalisée pour vérifier leur bonne exécution, et l'évacuation du
matériel de chantier : la disposition des installations en configuration normale est vérifiée et attestée.
Certaines interventions prédéfinies, relevant de la maintenance simple et réalisée par le personnel de
l'établissement peuvent faire l'objet d'une procédure simplifiée.
En outre, dans le cas d'intervention sur des équipements importants pour la sécurité, l'exploitant s'assure :
– en préalable aux travaux, que ceux-ci, combinés aux mesures palliatives prévues, n'affectent pas la
sécurité des installations,
– à l'issue des travaux, que la fonction de sécurité assurée par lesdits éléments est intégralement
restaurée.
CHAPITRE 7.5 ÉLÉMENTS IMPORTANTS DESTINES A LA PREVENTION DES
ACCIDENTS
Article 7.5.1. – Dispositif de conduite
Le dispositif de conduite des installations est conçu de façon que le personnel concerné ait
immédiatement connaissance de toutes dérives des paramètres de conduite par rapport aux conditions
normales d'exploitation.
CHAPITRE 7.6 PRÉVENTION DES POLLUTIONS ACCIDENTELLES
Article 7.6.1. – Organisation de l'établissement
Une consigne écrite doit préciser les vérifications à effectuer, en particulier pour s'assurer périodiquement
de l'étanchéité des dispositifs de rétention, préalablement à toute remise en service après arrêt
d'exploitation, et plus généralement aussi souvent que le justifieront les conditions d'exploitation.
Les vérifications, les opérations d'entretien et de vidange des rétentions doivent être notées sur un registre
spécial tenu à la disposition de l'inspection des installations classées.
Article 7.6.2. – Étiquetage des substances et préparations dangereuses
Les fûts, réservoirs et autres emballages, les récipients fixes de stockage de produits dangereux d'un
volume supérieur à 800 l portent de manière très lisible la dénomination exacte de leur contenu, le
numéro et le symbole de danger défini dans la réglementation relative à l'étiquetage des substances et
préparations chimiques dangereuses.
A proximité des aires permanentes de stockage de produits dangereux en récipients mobiles, les symboles
de danger ou les codes correspondant aux produits doivent être indiqués de façon très lisible.
Article 7.6.3. – Rétentions
Tout stockage fixe ou temporaire d'un liquide susceptible de créer une pollution des eaux ou des sols est
associé à une capacité de rétention dont le volume est au moins égal à la plus grande des deux valeurs
suivantes :
– 100 % de la capacité du plus grand réservoir,
– 50 % de la capacité des réservoirs associés.
Cette disposition n'est pas applicable aux bassins de traitement des eaux résiduaires.
Pour les stockages de récipients de capacité unitaire inférieure ou égale à 250 litres, la capacité de
rétention est au moins égale à :
– dans le cas de liquides inflammables, à l'exception des lubrifiants, 50 % de la capacité totale des
fûts, dans les autres cas, 20 % de la capacité totale des fûts,
– dans tous les cas, 800 I minimum ou égale à la capacité totale lorsque celle-là est inférieure à 800 I.
96
La capacité de rétention est étanche aux produits qu'elle pourrait contenir, résiste à l'action physique et
chimique des fluides et peut être contrôlée à tout moment. Il en est de même pour son éventuel dispositif
d'obturation qui est maintenu fermé en permanence.
Les capacités de rétention ou les réseaux de collecte et de stockage des égouttures et effluents accidentels
ne comportent aucun moyen de vidange par simple gravité dans le réseau d'assainissement ou le milieu
naturel.
La conception de la capacité est telle que toute fuite survenant sur un réservoir associé y soit récupérée,
compte tenu en particulier de la différence de hauteur entre le bord de la capacité et le sommet du
réservoir.
Ces capacités de rétention doivent être construites suivant les règles de l'art, en limitant notamment les
surfaces susceptibles d'être mouillées en cas de fuite.
Les déchets et résidus produits considérés comme des substances ou préparations dangereuses sont
stockés, avant leur revalorisation ou leur élimination, dans des conditions ne présentant pas de risques de
pollution (prévention d'un lessivage par les eaux météoriques, d'une pollution des eaux superficielles et
souterraines, des envols et des odeurs) pour les populations avoisinantes et l'environnement.
Les stockages temporaires, avant recyclage ou élimination des déchets spéciaux considérés comme des
substances ou préparations dangereuses, sont réalisés sur des cuvettes de rétention étanches et aménagées
pour la récupération des eaux météoriques.
Article 7.6.4. – Réservoirs
L'étanchéité du (ou des) réservoir(s) associé(s) à la rétention doit pouvoir être contrôlée à tout moment.
Les matériaux utilisés doivent être adaptés aux produits utilisés de manière, en particulier, à éviter toute
réaction parasite dangereuse.
Les canalisations doivent être installées à l'abri des chocs et donner toutes garanties de résistance aux
actions mécaniques, physiques, chimiques ou électrolytiques. Il est en particulier interdit d'intercaler des
tuyauteries flexibles entre le réservoir et les robinets ou clapets d'arrêt, isolant ce réservoir des appareils
d'utilisation.
Article 7.6.5. – Règles de gestion des stockages en rétention
Les réservoirs ou récipients contenant des produits incompatibles ne sont pas associés à une même
rétention.
Le stockage des liquides inflammables, ainsi que des autres produits, toxiques, corrosifs ou dangereux
pour l'environnement, n'est autorisé sous le niveau du sol que dans des réservoirs installés en fosse
maçonnée ou assimilés, et pour les liquides inflammables dans le respect des dispositions du présent
arrêté.
L'exploitant veille à ce que les volumes potentiels de rétention restent disponibles en permanence. A cet
effet, l'évacuation des eaux pluviales respectent les dispositions du présent arrêté.
Article 7.6.6. – Stockage sur les lieux d'emploi
Les matières premières, produits intermédiaires et produits finis considérés comme des substances ou des
préparations dangereuses sont limités en quantité stockée et utilisée dans les ateliers au minimum
technique permettant leur fonctionnement normal.
Article 7.6.7. – Transports - chargements - déchargements
Les aires de chargement et de déchargement de véhicules citernes sont étanches et reliées à des rétentions
dimensionnées selon les règles de l'art.
Le transport des produits à l'intérieur de l'établissement est effectué avec les précautions nécessaires pour
éviter le renversement accidentel des emballages (arrimage des fûts...).
Le stockage et la manipulation de produits dangereux ou polluants, solides ou liquides (ou liquéfiés) sont
effectués sur des aires étanches et aménagées pour la récupération des fuites éventuelles.
Les réservoirs sont équipés de manière à pouvoir vérifier leur niveau de remplissage à tout moment et
empêcher ainsi leur débordement en cours de remplissage.
Les dispositions nécessaires doivent être prises pour garantir que les produits utilisés sont conformes aux
spécifications techniques que requiert leur mise en œuvre, quand celles-ci conditionnent la sécurité.
Article 7.6.8. – Élimination des substances ou préparations dangereuses
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L'élimination des substances ou préparations dangereuses récupérées en cas d'accident suit
prioritairement la filière déchets la plus appropriée. En tout état de cause, leur éventuelle évacuation vers
le milieu naturel s'exécute dans des conditions ¡ conformes au présent arrêté.
CHAPITRE 7.7 MOYENS D'INTERVENTION EN CAS D'ACCIDENT ET ORGANISATION
DES SECOURS
Article 7.7.1. Définition générale des moyens
L'établissement est doté de moyens adaptés aux risques à défendre et répartis en fonction de la
localisation de ceux-ci conformément à l'analyse des risques définie dans le dossier de demande
d'autorisation.
L'ensemble du système de lutte contre l'incendie fait l'objet d'un plan de sécurité établi par l'exploitant en
liaison avec les services d'incendie et de secours.
L'établissement est doté d'au moins un point destiné à protéger le personnel en cas d'accident. Leur
emplacement résulte de la prise en compte des scénarii développés dans l'étude des dangers et des
différentes conditions météorologiques.
Article 7.7.2. – Entretien des moyens d'intervention
Ces équipements sont maintenus en bon état, repérés et facilement accessibles.
L'exploitant doit pouvoir justifier, auprès de l'inspection des installations classées, de l'exécution de ces
dispositions. Il doit fixer les conditions de maintenance et les conditions d'essais périodiques de ces
matériels.
Les dates, les modalités de ces contrôles et les observations constatées doivent être inscrites sur un
registre tenu à la disposition des services de la protection civile, d'incendie et de secours et de l'inspection
des installations classées.
Article 7.7.3. – Ressources en eau
L'établissement doit disposer de ses propres moyens de lutte contre l'incendie adaptés aux risques à
défendre, et au minimum les moyens définis ci-après :
– une prise d'eau au moins, située à moins de 200 m des limites de l'établissement, munie de raccords
normalisés et adaptés aux moyens d'intervention des services d'incendie et de secours. Le bon
fonctionnement de cette prise d'eau est périodiquement contrôlé ;
– des extincteurs en nombre et en qualité adaptée aux risques, doivent être judicieusement répartis
dans rétablissement et notamment à proximité des dépôts de matières combustibles et des postes de
chargement et de déchargement des produits et déchets ;
– des réserves de sable meuble et sec convenablement réparties, en quantité adaptée au risque, sans
être inférieure à 100 litres et des pelles ;
Les canalisations constituant le réseau d'incendie sont calculées pour obtenir les débits et pressions
nécessaires en n'importe quel emplacement.
Dans le cas d'une ressource en eau incendie extérieure à l'établissement, l'exploitant s'assure de sa
disponibilité opérationnelle permanente.
Article 7.7.4. – Consignes de sécurité
Sans préjudice des dispositions du code du travail, les modalités d'application des dispositions du présent
arrêté sont établies, intégrées dans des procédures générales spécifiques et/ou dans les procédures et
instructions de travail, tenues à jour et affichées dans les lieux fréquentés par le personnel.
Ces consignes indiquent notamment :
– l'interdiction d'apporter du feu sous une forme quelconque dans les parties de l'installation qui, en
raison des caractéristiques qualitatives et quantitatives des matières mises en œuvre, stockées,
utilisées ou produites, sont susceptibles d'être à l'origine d'un sinistre pouvant avoir des
conséquences directes ou indirectes sur l'environnement, la sécurité publique ou le maintien en
sécurité de l'installation,
– les procédures d'arrêt d'urgence et de mise en sécurité de l'installation (électricité, réseaux de
fluides),
– les mesures à prendre en cas de fuite sur un récipient ou une canalisation contenant des substances
dangereuses
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– et notamment les conditions d'évacuation des déchets et eaux souillées en cas d'épandage accidentel,
– les moyens d'extinction à utiliser en cas d'incendie,
– la procédure d'alerte avec les numéros de téléphone du responsable d'intervention de l'établissement,
des services d'incendie et de secours, etc.
– la procédure permettant, en cas de lutte contre un incendie, d'isoler le site afin de prévenir tout
transfert de pollution vers le milieu récepteur.
Article 7.7.5. – Consignes générales d'intervention
Des consignes écrites sont établies pour la mise en œuvre des moyens d'intervention, d'évacuation du
personnel et d'appel des secours extérieurs auxquels l'exploitant aura communiqué un exemplaire. Le
personnel est entraîné à l'application de ces consignes.
Article 7.7.6. – Protection des milieux récepteurs
Article 7.7.6.1. Bassin de confinement et bassin d'orage
Les réseaux d'assainissement susceptibles de recueillir l'ensemble des eaux polluées lors d'un accident ou
d'un incendie (y compris les eaux d'extinction) sont raccordés à un bassin de confinement étanche aux
produits collectés et d'une capacité minimum de 40 m³ avant rejet vers le milieu naturel. La vidange
suivra les principes imposés par l'article 4.3.9 traitant des eaux pluviales susceptibles d'être polluées.
Il est maintenu en temps normal au niveau permettant une pleine capacité d'utilisation. Les organes de
commande nécessaire à sa mise en service doivent pouvoir être actionnés en toutes circonstances.
TITRE 8 – SURVEILLANCE DES ÉMISSIONS ET DE LEURS EFFETS
CHAPITRE 8.1 PROGRAMME D'AUTO SURVEILLANCE
Article 8.1.1. – Principe et objectifs du programme d'auto surveillance
Afin de maîtriser les émissions de ses installations et de suivre leurs effets sur l'environnement,
l'exploitant définit et met en œuvre sous sa responsabilité un programme de surveillance de ses émissions
et de leurs effets dit programme d'autosurveillance. L'exploitant adapte et actualise la nature et la
fréquence de cette surveillance pour tenir compte des évolutions de ses installations, de leurs
performances par rapport aux obligations réglementaires, et de leurs effets sur l'environnement
L'exploitant décrit dans un document tenu à la disposition de l'inspection des installations classées les
modalités de mesures et de mise en œuvre de son programme de surveillance, y compris les modalités de
transmission à l'inspection des installations classées.
Les articles suivants définissent le contenu minimum de ce programme en terme de nature de mesure, de
paramètres et de fréquence pour les différentes émissions et pour la surveillance des effets sur
l'environnement, ainsi que de fréquence de transmission des données d'autosurveillance.
Article 8.1.2. – Mesures comparatives
Outre les mesures auxquelles il procède sous sa responsabilité, afin de s'assurer du bon fonctionnement
des dispositifs de mesure et des matériels d'analyse ainsi que de la représentativité des valeurs mesurées
(absence de dérive), l'exploitant fait procéder à des mesures comparatives, selon des procédures
normalisées lorsqu'elles existent, par un organisme extérieur différent de l'entité qui réalise
habituellement les opérations de mesure du programme d'autosurveillance Celui-ci doit être accrédité ou
agréé par le ministère en charge de l'inspection des installations classées pour les paramètres considérés.
Ces mesures sont réalisées sans préjudice des mesures de contrôle réalisées par l'inspection des
installations classées en application des dispositions des articles L. 514-5 et L. 514-8 du code de
l'environnement. Cependant, les contrôles inopinés exécutés à la demande de l'inspection des installations
classées peuvent, avec l'accord de cette dernière, se substituer aux mesures comparatives.
CHAPITRE 8.2 MODALITÉS D'EXERCICE ET CONTENU DE L'AUTO SURVEILLANCE
Article 8.2.1. – Auto surveillance des eaux résiduaires
Les dispositions minimum suivantes sont mises en œuvre :
Auto surveillance assurée par l'exploitant
Paramètres
Type de suivi
Périodicité de la mesure
Eaux résiduaires après épuration issues du rejet vers le milieu récepteur
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MES
DCO
DBOs
Hydrocarbures totaux
périodique
périodique
périodique
périodique
annuelle
annuelle
annuelle
annuelle
Les mesures comparatives mentionnées à l'article 8.1.2 sont réalisées selon une fréquence minimale
suivante :
Paramètres
MES
DCO
DB05
Hydrocarbures Totaux
Fréquence
3 ans
3 ans
3 ans
3 ans
Article 8.2.2. Auto surveillance des émissions atmosphériques
Les mesures portent sur les rejets suivants. Elles sont réalisées par un organisme extérieur selon les
modalités mentionnées à l'article 8.1.2.
Rejet N° 1
Paramètres
Poussières
Fréquence
Annuelle sur les 2 premières années ensuite tous les 3 ans
Le rapport de mesure est transmis à l'inspection des installations classées dans un délai de 15 jours après
réception par l'exploitant, avec les commentaires sur la conformité de ces mesures avec tes prescriptions
du présent arrêté et propositions éventuelles d'amélioration.
Article 8.2.3. – Auto surveillance des déchets
Les résultats de surveillance sont présentés selon un registre ou un modèle établi en accord avec
l'inspection des installations classées ou conformément aux dispositions nationales lorsque le format est
prédéfini. Ce récapitulatif prend en compte les types de déchets produits, les quantités et les filières
d'élimination retenues.
L'exploitant utilisera pour ses déclarations la codification réglementaire en vigueur.
Article 8.2.4. – Auto surveillance des niveaux sonores
Une mesure de la situation acoustique est effectuée tous les trois ans, par un organisme ou une personne
qualifiée dont le choix sera communiqué préalablement à l'inspection des installations classées. Ce
contrôle sera effectué par référence au plan joint au dossier de demande, indépendamment des contrôles
ultérieurs que l'inspecteur des installations classées pourra demander.
Le rapport de mesure de la situation acoustique est transmis à l'inspection des installations classées dans
un délai de 15 jours après réception par l'exploitant, avec les commentaires sur fa conformité de ces
mesures avec les prescriptions du présent arrêté et propositions éventuelles d'amélioration.
CHAPITRE 8.3 SUIVI, INTERPRÉTATION ET DIFFUSION DES RÉSULTATS
Article 8.3.1. – Actions correctives
L'exploitant suit les résultats de mesures qu'il réalise en application du chapitre 8.2, notamment celles de
son programme d'autosurveillance, les analyses et les interprète. Il prend le cas échéant les actions
correctives appropriées lorsque des résultats font présager des risques ou inconvénients pour
l'environnement ou d'écart par rapport au respect des valeurs réglementaires relatives aux émissions de
ses installations ou de leurs effets sur l'environnement.
Article 8.3.2. – Transmission des résultats de l'auto-surveillance des eaux résiduaires
Les justificatifs évoqués au chapitre 8.2.1 doivent en être conservés cinq ans. Les résultats des mesures
réalisées en application de l'article 8.2.1 sont transmis à l'inspection des installations classées dans le
mois qui suit leur réception avec les commentaires et propositions éventuelles d'amélioration.
100
Article 8.3.3. – Transmission des résultats de l'auto-surveillance des émissions atmosphériques
Les justificatifs évoqués au chapitre 8.2.2 doivent en être conservés cinq ans. Les résultats des mesures
réalisées en application de l'article 8.2.2 sont transmis à l'inspection des installations classées dans les
quinze jours qui suit leur réception avec les commentaires et propositions éventuelles d'amélioration.
Article 8.3.4. – Transmission des résultats de l'auto-surveillance des déchets
Les justificatifs évoqués au chapitre 8.2.3 doivent en être conservés cinq ans.
Article 8.3.5. – Analyse et transmission des resultats de s mesures de niveaux sonores
Les résultats des mesures réalisées en application de l'article 8.2.4 sont transmis à l'inspection des
installations classées dans le mois qui suit leur réception avec les commentaires et propositions
éventuelles d'amélioration.
TITRE 9 – DISPOSITIONS ADMINISTRATIVES
CHAPITRE 9.1 PUBLICITÉ -INFORMATION
Une copie du présent arrêté sera affichée à la mairie de la commune de Baie-Mahault pendant une durée
minimum d'un mois. Le procès-verbal de l'accomplissement de cette formalité sera adressé au préfet par
les soins du MAIRE.
CHAPITRE 9.2 DÉLAIS ET VOIES DE RECOURS
En application de l'article L. 514-6 du code de l'environnement, le présent arrêté est soumis à un
contentieux de pleine juridiction. Il peut être déféré à la juridiction administrative :
– par l'exploitant, dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où l'arrêté lui a été
notifié,
– par tes tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les
intérêts visés à l'article L. 511-1, dans un délai de quatre ans à compter de la publication du présent
arrêté.
Les droits des tiers sont et demeurent exclusivement réservés.
CHAPITRE 9.3 EXÉCUTION
Le secrétaire général de la préfecture, le maire de la commune de Baie-Mahault, le directeur régional de
l'industrie, de la recherche et de l'environnement, le directeur départemental des services d'incendies et de
secours, le directeur régional de l'environnement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes Administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 19 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------ANNEXE 1
Liste des installations concernées par une rubrique de la nomenclature des installations classées
Libellé en clair de
l'installation
Caractéristiques de l'installation
Classement
Observations
2515
Broyage, concassage, criblage, ensachage,
pulvérisation, nettoyage, tamisage, mélange de pierres,
cailloux, minerais et autres produits minéraux naturels
ou artificiels.
Puissance électrique installée : 485 KW
A
2 km
1434-1-a
Installation de remplissage ou de distribution de
liquides inflammables
Installation de chargement de réservoir de véhicules à
moteur, le débit étant de 4,8 m3/h.
D
101
2522
Matériel vibrant {emploi de) pour la fabrication de
matériaux tels que béton, agglomérés, etc.
La puissance installée du matériel vibrant étant de 60
kW
D
A (autorisation) ou D (déclaration)
-----------Arrêté n° 2009-68 AD1/4 du 19 janvier 2009 portant suspension du fonctionnement de la distillerie
Montebello exploitée au lieudit Montebello, Carrère, commune de Petit-Bourg, en cas de non
respect du calendrier de mise en service de la station de traitement des effluents aqueux
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
Vu le code de l'environnement, notamment son livre V- titre 1er relatif aux installations classées pour la
protection de l'environnement et ses articles L.511-1 et L.514-1 ;
Vu le code de l'environnement, notamment son livre V de la partie réglementaire ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2004-1380 AD1/4 en date du 1er septembre 2004 autorisant la SARL
Montebello à exploiter une distillerie sise au lieudit Montebello, Carrère, commune de Petit-Bourg ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2005-501 AD1/4 en date du 19 avril 2005 portant mise en demeure à rencontre
de la SARL Montebello de respecter les dispositions de l'article 6.1 de l'arrêté préfectoral d'autorisation
du 1er septembre 2004 susvisé ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2007-3096 AD1/4 en date du 06 décembre 2007 portant consignation de somme
;
Vu le courrier de la SARL Montebello à la DRIRE, en date du 14 mars 2008, indiquant notamment un
état des dépenses engagées par la SARL Montebello pour la réalisation des travaux, et la réponse du 20
mars 2008 de l'inspection des installations classées ;
Vu le rapport de l'Inspecteur des installations classées en date du 4 avril 2008 ;
Vu les avis en date des 8 septembre et 28 octobre 2008 du CODERST au cours duquel le demandeur a eu
la possibilité d'être entendu ;
Vu le courrier du préfet de Guadeloupe du 31 octobre 2008 ;
Vu les compléments apportés par l'exploitant dans ses courriers des 19 novembre et 11 décembre 2008 ;
Vu l'avis en date du 23 décembre 2008 du CODERST au cours duquel le demandeur a eu la possibilité
d'être entendu ;
Vu le projet d'arrêté porté le 26 décembre 2008 à la connaissance du demandeur ;
Vu le courrier en réponse daté du 13 janvier 2009 du demandeur ne présentant pas d'observation
Considérant que les éléments du dossier de demande d'autorisation de la distillerie font apparaître un
dépassement de 70 fois du seuil limite de rejet en concentration pour la DCO dans les eaux
superficielles ; que les derniers éléments présentés par l'exploitant font apparaître un flux de l'ordre de 2
t/j de DCO pour une valeur limite fixée à 70 kg/j ;
Considérant l'absence de mise en place depuis la demande d'autorisation de dispositifs de traitement des
effluents aqueux, bien que le terme imparti soit échu depuis le 19 juillet 2005 ;
Considérant que la SARL Montebello en ne déférant pas aux dispositions de l'arrêté préfectoral de mise
en demeure porte gravement atteinte aux intérêts protégés par l'article L.511-1 du code de
l'environnement, en matière de pollution des eaux superficielles ;
Considérant qu'il y a lieu de poursuivre la contrainte sur la SARL Montebello tendant à lui faire respecter
les dispositions demandées afin de préserver les intérêts visés à l'article L.511-1 ;
Considérant que le recouvrement de la somme consignée par l'arrêté susvisé n'a pas été réalisée, et qu'en
conséquence aucune garantie de réalisation des travaux de mise en conformité n'a été à ce jour obtenue ;
Considérant néanmoins que l'exploitant a d'ores et déjà réalisé les travaux de génie civil et s'est engagé
par courrier du 19 novembre 2008 sur un planning d'achèvement et de mise en service de sa station de
traitement des effluents aqueux ;
102
L'exploitant entendu ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Planning de mise en service
Il est pris acte du planning présenté par la société Montebello SARL pour l'installation de distillation,
fabrication et conditionnement de rhum agricole sise à Montebello, Carrère, commune de Petit-Bourg,
dénommée ci-après l'exploitant, aux fins d'achèvement de construction et de mise en service du dispositif
de traitement des effluents aqueux prévu par l'article 6.1 de l'arrêté préfectoral du 1er septembre 2004
susvisé, à savoir :
• 31 mars 2009 : fin de construction des bacs et réservoirs
• 30 avril 2009 : fin d'installation des tuyauteries, conduites et stations de pompage
• 31 mai 2009 : fin d'installation des équipements électriques, appareils de mesures et laboratoire de
contrôle de la station
• 1er juin 2009 : mise en service pour essais
• 30 juin 2009 : station opérationnelle et rejets conformes aux prescriptions de l'article 8.4.3 de l'arrêté
du 1er septembre 2004 susvisé.
L'exploitant doit fournir à l'inspection des installations classées, au plus tard 8 jours après chacune des
dates d'échéances ainsi définies, les justificatifs attestant du respect de ces échéances.
Article 2. – Suspension d'activités
Le non respect d'une quelconque des échéances susvisées conduit à la suspension immédiate du
fonctionnement de l'installation de distillation, fabrication et conditionnement de rhum agricole exploitée
par la société Montebello SARL, dans l'attente de l'achèvement des travaux prévues à ladite échéance.
Dans ce cas, l'exploitant est tenu dans un délai de quarante huit heures à compter de ladite échéance : de
mettre à l'arrêt les installations dans des conditions de sécurité appropriées ;
– de mettre en sécurité les installations de manière à ce qu'elles ne présentent aucun danger pour
l'environnement et la sécurité publique ;
– de prendre toutes les dispositions (clôtures, ...) pour interdire l'accès des installations aux personnes
étrangères à l'établissement.
L'exploitant justifie à l'échéance de ce délai des conditions d'arrêt et de mise en sécurité des installations à
l'inspection des installations classées.
Article 3. – Conditions de remise en service
La remise en service de l'installation est subordonnée aux conditions suivantes :
– la justification à l'inspection par l'exploitant de l'exécution point par point des conditions imposées
par les articles 1 et 2 du présent arrêté ;
– la constatation, à la suite d'une visite d'inspection par l'inspection des installations classées, du
respect des conditions imposées par lesdîts articles.
Article 4. – Salaires et traitements
Conformément à l'article L 514-3 du code de l'environnement, « pendant la durée de fonctionnement
prononcée en application de l'article L 514-1 ou de l'article L 514-2, l'exploitant est tenu d'assurer à son
personnel le paiement des salaires, indemnités et rémunérations de toute nature auxquels il avait droit
jusqu'alors ».
Article 5. – Sanctions
Faute par l'exploitant de se conformer aux dispositions du présent arrêté et indépendamment des
poursuites pénales prévues, il pourra être fait application des sanctions administratives prévues à l'article
L. 514-2 du code de l'environnement.
Article 6. – Recours
En application de l'article L. 514-6 du code de l'environnement, le présent arrêté est soumis à un
contentieux de pleine juridiction. Il peut être déféré à la juridiction administrative de Basse-Terre :
1) par l'exploitant, dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où l'arrêté lui a été
notifié,
103
2) par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts
visés à l'article L. 511-1, dans un délai de quatre ans à compter de la publication du présent arrêté.
Article 7. – Copies
Une copie du présent arrêté est adressée à la mairie de la commune de Petit-Bourg aux fins d'affichage
pendant une durée minimum d'un mois.
Article 8. – Exécution
Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général, le maire de la commune de Petit-Bourg,
le directeur régional de l'industrie, de la recherche et de l'environnement sont chargés, chacun en ce que
le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Fait à Basse-Terre, le 19 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-90 AD1/4 du 26 janvier 2009 mettant en demeure la Station Antillaise de Granulats
(SAG) de respecter les dispositions de l’arrêté du 22 octobre 2007
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code minier modifié notamment par la loi n° 98-297 du 21 avril 1998 portant extension partielle et
adaptation du code minier aux départements d’outre-mer et par la loi n° 99-245 du 30 mars 1999 relative
à la responsabilité en matière de dommages consécutifs à l’exploitation minière et à la prévention des
risques miniers après la fin de l’exploitation et notamment son article 68-14 ;
VU la loi n° 92-3 du 3 janvier 1992 sur l’eau, codifiée par le code de l’environnement ;
VU la loi n° 86-2 du 3 janvier 1986 relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral
;
VU le décret n° 95-696 du 9 mai 1995 modifié relatif à l’ouverture des travaux miniers et à la police des
mines ;
VU le décret 2001-50 du 17 janvier 2001 modifiant le décret n° 95-427 du 19 avril 1995 relatif aux titres
miniers et adaptant ses dispositions aux départements d’outre-mer ;
VU le décret n° 2004-112 du 6 février 2004 relatif à l'organisation des actions de l'État en mer ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action
des services de l’État dans les régions et départements ;
VU l’arrêté préfectoral n° 2007-2613 du 22 octobre 2007 portant ouverture de travaux miniers pour
l’extraction de granulats marins à Petit-Havre sur el territoire de la commune de Gosier par la société
“Station Antillaise de Granulats” SAG ;
VU le rapport du directeur régional de l’industrie, de la recherche et de l’environnement (DRIRE)
Antilles-Guyane du 8 janvier 2009 ;
VU l'arrêté ministériel du 10 octobre 2007 accordant le permis d’exploitation de granulats marins, dit
“Permis du Petit Havre” au large des côtes du département de la Guadeloupe sur une superficie de 0,66
km² environ, à la société “Station Antillaise de Granulats” (SAG) pour une durée de 5 ans à compter de la
publication du décret au journal officiel de la république française ;
CONSIDÉRANT que la SAG n’a pas respecté les dispositions de l’arrêté préfectoral du 22 octobre 2007
susvisé, et notamment en son article 4.2.5 relatif à l’état de référence ;
SUR la proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Objet de l’autorisation
La société “Station Antillaise de Granulats” (SAG) dont le siège social est situé au 31, rue de l’industrie,
Z.I. de Jarry 97122 - Baie-Mahault, dénommée ci-après l'exploitant, est mise en demeure pour la
poursuite de l’exploitation de son gisement de granulats marins situé à Petit-Havre, commune de Gosier
104
de se conformer aux prescriptions de l’arrêté préfectoral du 22 octobre 2007 portant ouverture de travaux,
selon les détails et dans les délais listés ci-après :
Dispositions réglementaires
Points d’application
Délais impartis
Suivi du panache turbide
4.2.5
31 janvier 2009
Suivi par vidéo sous marine
4.2.5
1er mars 2009
Inventaire biologique
4.2.5
8 jours à compter de la
notification
L’exploitant transmet aux échéances susvisées les éléments de justification du respect des prescriptions
susvisées à la préfecture, à la DDE, à la DIREN et à la DRIRE.
Article 2. – Délais et voies de recours
Le recours contentieux dont peut faire l’objet le présent arrêté doit intervenir devant le tribunal
administratif de Basse-Terre dans un délai de 2 mois, à compter de sa notification en ce qui concerne
l’exploitant, et de la dernière mesure de publicité, selon article 7 ci-après, en ce qui concerne les tiers.
Peuvent également être déposés un recours gracieux auprès de l’auteur de la décision, ou un recours
hiérarchique auprès du ministre de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables.
Article 3. – Publicité
Une copie de cet arrêté est affichée à la mairie de la commune de Gosier, pendant une durée minimum
d’un mois. L’accomplissement de cette formalité de publicité est attesté par un certificat établi par les
soins du maire et transmis à monsieur le préfet.
Article 4. – Publication – Exécution
Le secrétaire général de la préfecture, le directeur régional de l’industrie, de la recherche et de
l’environnement, le directeur départemental de l’équipement, le directeur départemental des affaires
maritimes et le Préfet maritime sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent
arrêté qui est publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et dont une ampliation leur est
adressée, ainsi qu’à :
- M. le maire de la commune du Gosier ;
- M. le directeur régional de l’environnement.
Fait à Basse-Terre, le 26 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
----------Arrêté n° 2009-100 AD1/4 du 29 janvier 2009 de mise en demeure à l’encontre de la Société
Anonyme de la Raffinerie des Antilles (SARA) pour son dépôt d'hydrocarbures liquides de la
Pointe de Jarry, sur le territoire de la commune de Baie-Mahault
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
Vu le code de l'environnement, partie législative, notamment ses articles L. 511-1, L. 512-3, L. 514-1 et
L. 515-8 ;
Vu le code de l'environnement, partie réglementaire, notamment ses articles R. 511-9 et son annexe, R.
512-28 et R. 512-31 ;
Vu l'arrêté ministériel du 10 mai 2000 modifié relatif â la prévention des accidents majeurs impliquant
des substances ou des préparations dangereuses présentes dans certaines catégories d'installations
classées pour la protection de l'environnement soumises à autorisation et sa circulaire d'application ;
Vu l'arrêté ministériel du 29 septembre 2005 relatif à l'évaluation et à la prise en compte de la probabilité
d'occurrence, de la cinétique, de l'intensité des effets et de la gravité des conséquences des accidents
potentiels dans les études de dangers des installations classées soumises â autorisation et sa circulaire
d'application ;
105
Vu la circulaire du 28 décembre 2006 relative au guide d'élaboration des études de dangers ;
Vu la circulaire DPPR/SEI2/AL-06-357 du 31 janvier 2007 relative aux études de dangers des dépôts de
liquides inflammables - compléments â l'instruction technique du 9 novembre 1989 ;
Vu la circulaire DPPR/SEI2/IH-07-0253 du 23 juillet 2007 relative à la prise en compte des effets de
projection dans les études de dangers des installations classées puis dans le cadre des Plans de Prévention
des Risques Technologiques ;
Vu la circulaire DPPR/SEI2/AL-07-0257 du 23 juillet 2007 relative à l'évaluation des risques et des
distances d'effets autour des dépôts de liquides inflammables et des dépôts de gaz inflammables
liquéfiés ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2005-223 AD1/4 en date du 2 mars 2005 de prescriptions techniques, abrogeant
et remplaçant celles de l'arrêté préfectoral n° 94-205 AD 1/4 en date du 4 janvier 1994 autorisant la
société anonyme de la raffinerie des Antilles (SARA) à augmenter la capacité de stockage et de
distribution du dépôt d'hydrocarbures liquides de la pointe de Jarry à Baie-Mahault ;
Vu ('arrêté préfectoral n° 2007-591 AD1/4 du 26 avril 2007 portant prescriptions complémentaires à la
SARA ;
Vu l'arrêté préfectoral complémentaire n° 2008-197 AD1/4 du 19 février 2008 portant prescriptions
complémentaires en matière d'étude de dangers ;
Vu l'étude de dangers révision 5 présentée par la SARA le 4 juillet 2008, en application de l'arrêté
préfectoral du 19 février 2008 susvisé ;
Vu le rapport et les conclusions de l'expert ayant réalisé l'examen critique de cette étude, référencé DVM08-97989-10031B en date du 22 août 2008 ;
Vu les demandes de l'inspection des installations classées formulées dans le courrier du 5 septembre 2008
;
Vu l'étude de dangers révision 7 présentée par la SARA le 6 novembre 2008 ;
Vu le rapport complémentaire et les conclusions de l'expert ayant réalisé l'examen critique de cette étude,
référencé DVM-08-101172-16100B en date du 6 janvier 2009 ;
Vu le rapport de l'inspection des installations classées en date du 16 janvier 2009 portant clôture de
l'étude de dangers révision 7 susvisée ;
Vu la directive ATEX1999/92/CE ;
Considérant que la société SARA exploite des installations visées par l'article L. 515-8 du code de
l'environnement et la possibilité de survenance d'accidents majeurs dans celles-ci ;
Considérant l'absence de prise en compte dans ta révision de l'étude de dangers de certaines prescriptions
issues des textes réglementaires et arrêtés susvisés ;
Considérant l'absence de proposition de renforcement au séisme suite à la prescription d'étude de tenue
sismique des équipements du dépôt conformément à l'arrêté préfectoral complémentaire du 26 avril 2007
susvisé ;
Considérant que :
– le dispositif de refroidissement du bac R18 est présenté comme insuffisant ;
– le système de détection d'hydrocarbures en cas de fuite est uniquement liquide et ne permet pas de
répondre aux exigences de détection de fuite en phase gazeuse, notamment au niveau du bac R15, de
la cuvette n° 4, des pomperies et du poste de chargement ;
– un mode commun de défaillance existe dans le système d'alarme de niveaux des bacs ;
– l'opérabilité des moyens de lutte contre l'incendie n'est pas acquise en cas de sinistre ;
– la matrice de mesures de maîtrise des risques présente plus de 5 événements situés dans les cases
“MUR rang 2”, du fait du nombre de personnes exposées à des effets létaux ;
Considérant les risques ainsi induits par ces non-conformités sur la sécurité publique et l'environnement ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. –
1.1 La Société Anonyme de la Raffinerie des Antilles, dont le siège social est sis 24, cours Michelet,
commune de Puteaux (Haut de Seine), dénommée ci-après l'exploitant, est mise en demeure, pour la
106
poursuite de l'exploitation du dépôt d'hydrocarbures liquides, sis Pointe de Jarry sur le territoire de la
commune de Baie-Mahault, de se conformer aux prescriptions suivantes.
1.2 Arrêté préfectoral complémentaire n° 2008-197 AD1/4 du 19 février 2008
> Article 1.2- Modification des prescriptions
Chaque bac de stockage de produits pétroliers est muni d'une alarme de niveau haut et d'une deuxième
alarme indépendante de niveau très haut, d'une Habilité éprouvée. Le dépassement de ce dernier niveau
doit couper automatiquement l'alimentation du bac. Ces alarmes et dispositifs de sécurité doivent être
maintenus en parfait état de fonctionnement et contrôlés fréquemment. L'alarme de niveau très haut est
conçue pour qu'en cas de mauvais fonctionnement ou d'absence de fonctionnement (absence de mise en
service par exemple), l'alimentation du bec sur lequel elle est installée ne puisse être assurée ;
1.3 Arrêté préfectoral n° 2005-223 AD1/4 en date du 2 mars 2005.
> article 1.6.1 : porter à connaissance
• Toute modification apportée par le demandeur aux installations, à leur mode d'utilisation ou à leur
voisinage, et de nature à entraîner un changement notable des éléments du dossier de demande
d'autorisation, est portée avant sa réalisation à la connaissance du Préfet avec tous les éléments
d'appréciation.
> chapitre 1.8 : conformité à l'instruction technique du 9 novembre 1989
• article 2 : Les cuvettes de rétention devront avoir un volume au moins égal à celui du plus gros
réservoir contenu et à fa moitié de la capacité totale de tous les bacs situés dans la cuvette ;
• article 3 : Les mérions ou murets de rétention seront étanches et devront résister au choc d'une
vague provenant de la rupture d'un réservoir. Ils seront périodiquement surveillés et entretenus. Ceuxci devront au moins être stables au feu d'une durée de six heures ;
• article 4 : Les cuvettes de rétention seront étanchées. La vitesse de pénétration des liquides au
travers de la couche étanche sera au maximum delff8 m/s, cette dernière aura une épaisseur minimale
de 2 cm ;
• article 12 : L'exploitant devra s'assurer de réunir le matériel nécessaire à l'extinction de tous les
feux susceptibles de se produire dans son dépôt soit grâce à des moyens propres soit grâce à des
protocoles ou conventions d'aide mutuelle précisés dans le plan d'opération interne établi en liaison
avec les services de lutte contre l'incendie. Les moyens maintenus sur le site, notamment en ce qui
concerne la réserve d'émulseur et sa mise en oeuvre devront permettre :
- l'extinction en vingt minutes et le refroidissement du réservoir du plus gros diamètre ainsi que la
protection des réservoirs voisins menacés ;
- l'attaque à la mousse du feu de ta plus grande cuvette (bacs déduits) avec un taux d'application
réduit pour contenir le feu et simultanément ta protection des installations menacées par le feu
telles que définies aux articles 11 et 19. Ces moyens devront être opérationnels jusqu'à l'arrivée
d'aide extérieure avec un minimum d'une heure.
• article 17: Les vannes de pied de bac doivent être de type sécurité feu actionnables à distance et à
sécurité positive.
En sus des protections électriques traditionnelles tes pompes de transfert seront équipées d'une
temporisation arrêtant te fonctionnement en cas de débit nul.
Les zones où sont susceptibles de s'accumuler des vapeurs explosibtes (pomparies, caniveaux, point bas
de cuvette...) seront équipées de détecteurs d'hydrocarbures avec report d'alarme au bureau de réception
ou de garde ou en salle de contrôle.
> chapitre 2.5.1 : déclaration et rapport
• L'exploitant est tenu à déclarer dans les meilleurs délais à l'inspection des installations classées les
accidents ou incidents survenus du fait du fonctionnement de son installation qui sont de nature à
porter atteinte aux intérêts mentionnés à l'article L.511-1 du code de l'environnement
Dans un délai de 15 jours qui suivent ces événements, l'exploitant adresse à l'inspection des installations
classées un rapport écrit sur ces événements qui expose de manière motivée a minime tas points
suivants...
> chapitre 2.6 : documents tenus à la disposition de l'inspection
• L'exploitant doit établir et tenir à jour un dossier comportant tes documents suivants :
le dossier de demande d'autorisation initial, les plans tenus à jour.
107
1.4 Directive ATEX1999/92/CE
• conformité des équipements issue du diagnostic de conformité ;
• établissement d'un document relatif à la protection contre les explosions.
1.5 Conformité à l'arrêté préfectoral n° 2007-591 AD1/4 du 26 avril 2007
• 1.2 Les dispositions fixées par l'arrêté ministériel du 10 mai 1993 susvisé sont rendues applicables
aux installations susvisées. Il est prescrit dans ce cadre à l'exploitant ta réalisation de l'étude séisme du
site prévue par cet arrêté...
Cette étude, remise en 3 exemplaires, contient les propositions de mise en conformité des installations
avec les prescriptions de l'arrêté ministériel du 10 mai 1993 et de calendrier prévisionnel de réalisation.
Article 2. – Les délais impartis pour respecter les mesures imposées supra sont fixés à trois mois. Les
délais s'entendent â compter de la date de notification du présent arrêté.
L'exploitant doit fournir à l'inspection des installations classées, au plus tard 8 jours après les dates
d'échéances ainsi définies, les justificatifs attestant de la conformité de ses installations aux dispositions
du présent arrêté. L'exploitant dépose notamment une déclaration de modification de ses installations par
l'adjonction d'un stockage d'additifs et colorants pour satisfaire à l'article 1.3, premier point
Article 3. – Si â l'échéance fixée à l'article 2, l'exploitant n'a pas satisfait à ses obligations, il pourra être
fait application des sanctions complémentaires prévues à l'article L 514.1 du code de l'environnement,
indépendamment des sanctions pénales prévues par ce même code.
Article 4. – Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie de Baie-Mahault pendant une durée d'un
mois. L'accomplissement de cette formalité est attesté par un procès-verbal dressé par les soins du maire.
Article 5. – En application de l'article L. 514-6 du code de l'environnement, le présent arrêté est soumis à
un contentieux de pleine juridiction. II peut être déféré à la juridiction administrative de Basse-Terre :
1) par l'exploitant, dans un délai de deux mois qui commence à courir du jour où l'arrêté lui a été
notifié,
2) par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts
visés à l'article L. 511-1, dans un délai de quatre ans à compter de la publication du présent arrêté.
Dans tous les cas, les droits des tiers sont et demeurent réservés.
Article 6. – Le secrétaire général de la préfecture, le maire de Baie-Mahault le directeur régional de
l'industrie, de la recherche et de l'environnement le directeur départemental du travail, de remploi et de la
formation professionnelle, le directeur départemental de l'équipement le directeur départemental des
services d'incendie et de secours, le service interdépartemental de défense et de protection civile sont
chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de fa préfecture et notifié à l'exploitant.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-101 AD1/4 du 29 janvier 2009 autorisant le défrichement d'un bois particulier situé
sur le territoire de la commune du Gosier, au lieu-dit Marcel
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code forestier, livre III titre 1er et notamment les articles R. 311-1 et R. 312-1 à R. 312-6 ;
VU la circulaire du ministre de l'agriculture ER/F22 N° 4505 du 7 septembre 1966 modifiée par la
circulaire FC 4503 du 13 janvier 1970 ;
VU la directive du ministre de l'agriculture du 31 janvier 1977 ;
VU la demande d'autorisation de défrichement en date du 27 août 2008, enregistrée à la préfecture de la
Guadeloupe le 9 septembre 2008 sous le n° 2008-38 AD1/4 par laquelle Mme Lucie BORES, a sollicité
l'autorisation de défricher 700 m² de bois situé sur le territoire de la commune du Gosier, au lieu-dit
Marcel ;
108
VU l'avis émis le 22 janvier 2008 par le directeur de l'agriculture et de la forêt ; SUR proposition du
secrétaire général de la préfecture
ARRÊTE
Article 1er. – L'autorisation de défricher est accordée à Mme Lucie BORES pour une portion de bois
située sur le territoire de la commune du Gosier selon les désignations suivantes :
Section
AE
Parcelles
87
Contenance
700 m²
Article 2. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le maire de la
commune du Gosier, le directeur de l'agriculture et de la forêt sont chargés, chacun en ce qui le concerne,
de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrête n° 2009-102 AD1/4 du 29 janvier 2009 portant mise en demeure de M. CAMBRONE Pierre,
commune des Abymes
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
Vu le Livre V titre 1er de l'ordonnance n° 2000-914 du 18 septembre 2000 relative à la partie législative
du code de l'environnement et notamment ses articles L 511-1, 512-1, 512-2 et 514-2 ;
Vu le code de l'environnement, partie réglementaire, Livre V, Titre 1er, et notamment l'article R. 511-9 et
son annexe portant nomenclature des installations classées ;
Vu le décret n° 2003-727 du 1er août 2003 relatif à la construction des véhicules et à l'élimination des
véhicules hors d'usage ;
Vu l'arrêté ministériel du 15 mars 2005 relatif aux agréments des exploitants des installations de
stockage, de dépollution, de démontage, de découpage ou de broyage des véhicules hors d'usage ;
Vu la nomenclature des installations classées et la rubrique n° 286 désignée ci-après :
– n° 286 Métaux (stockage et activités de récupération de déchets de) et d'alliages de résidus
métalliques, d'objets en métal et carcasses de véhicules hors d'usage, etc. La surface utilisée étant
supérieure à 50 m² ;
Vu la circulaire de Mme le Ministre de l'Environnement n° 98-72 du 18 juin 1998 relative aux mises en
demeure ;
Vu le rapport en date du 21 novembre 2008 de l'inspecteur des installations classées pour la protection de
l'environnement ;
CONSTATANT que M. CAMBRONNE Pierre exploite une unité de stockage de carcasses de véhicules
hors d'usage à la rue Frédéric JALTON, lieudit “Quatre Chemins”, commune des Abymes, sur une
superficie d'environ 150 m² ;
CONSTATANT que l'exploitation de l'installation de M. ALFRED Florent est effectuée sans précaution
à proximité notamment d'eaux superficielles et souterraines et qu'en particulier des moteurs sont déposés
à même le sol, ainsi que des récipients, déchets, pneumatiques contenant ou ayant contenu des liquides
susceptibles de créer une pollution des eaux (fût d'huiles usées) ou de servir à des gîtes potentiels de
reproduction de moustiques, tels qu'ils sont clairement identifiés par le programme de lutte antivectorielle
;
CONSIDÉRANT que par sa superficie et la nature des déchets présents, l'installation susmentionnée
relève de la rubrique 286 de la nomenclature des installations classées pour la protection de
l'environnement, et qu'à ce titre elle est soumise à autorisation préfectorale ;
CONSIDÉRANT qu'aucun arrêté préfectoral d'autorisation n'a pu être fourni par l'exploitant pour ce site ;
109
CONSIDÉRANT la nécessité, dans l'attente de la régularisation administrative et vu notamment la
sensibilité de l'environnement, de prendre les dispositions minimales nécessaires afin de préserver les
intérêts visés à l'article L 511-1 du code de l'environnement, et en conséquence de faire retirer les déchets
susceptibles de générer des pollutions et de lutter contre le développement des maladies vectorielles ;
CONSIDÉRANT qu'aux termes de l'article L 514-2 du code de l'Environnement, il appartient à
l'exploitant, soit de solliciter l'autorisation de poursuite de l'exploitation en déposant une demande à cet
effet, soit de remettre le site en état ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – M. CAMBRONNE Pierre, domicilié à Chazeau, Fidélin, 97139 –Abymes, dénommé ciaprès l'exploitant est mis en demeure de régulariser la situation administrative de son installation de
stockage et récupération de carcasses de véhicules hors d'usage et déchets de métaux qu'il exploite à la
rue Frédéric JALTON, lieudit “Quatre Chemins” ;
Le dossier de demande de régularisation inclut la demande d'agrément prévue par l'article 9 du décret n°
2003-727 du 1er août 2003 dont le contenu est fixé par l'arrêté ministériel du 15 mars 2005 susvisé.
Article 2. – Dans l'attente de l'aboutissement de la procédure prévue à l'article 1, l'exploitation de
l'installation est suspendue : dans ce cadre l'exploitant procède à l'évacuation ou fait procéder à
l'évacuation de l'ensemble des déchets, carcasses présents sur le site et les fait éliminer dans des
installations autorisées à cet effet.
Une copie des bordereaux d'élimination est tenue à la disposition de l'inspecteur des installations classées.
Tout apport de nouveaux déchets est interdit sur le site dans l'attente de l'aboutissement de cette même
procédure.
Article 3. – Dans le cas où l'exploitant décide de cesser définitivement ses activités, il en fait part à M. le
Préfet et procède à la remise en état du site.
La remise en état comporte au minimum les dispositions suivantes :
- Dans le cas des installations soumises à autorisation, il est joint à la notification un dossier comprenant
le plan à jour des terrains d'emprise de l'installation, ainsi qu'un mémoire sur l'état du site. Le mémoire
précise les mesures prises ou prévues pour assurer la protection des intérêts visés à l'article L. 511-1 du
code de l'environnement, Livre V, Titre 1er, et pouvant comporter notamment :
1) – L'évacuation ou l'élimination des produits dangereux, ainsi que des déchets présents sur le site ;
2) – La dépollution des sols et des eaux souterraines éventuellement polluées ;
3) – L'insertion du site de l'installation dans son environnement ;
4) – En cas de besoin, la surveillance à exercer de l'impact de l'installation sur son environnement.
Le dossier de mise à l'arrêt définitif de l'activité de stockage de carcasses est adressé à M. le préfet de
Guadeloupe en trois exemplaires.
Article 4. – Les délais impartis pour respecter les mesures imposées supra sont fixés à :
– article 1 : 3 mois ;
– article 2 : - suspension : 24 heures ;
– évacuation : 2 mois article 3 : 1 mois.
Ces délais s'entendent à compter de la date de notification du présent arrêté.
À l'échéance des délais susvisés, l'exploitant doit fournir à l'inspection des installations classées les
justificatifs attestant de sa conformité au présent arrêté.
Article 5. – Si à l'expiration des délais précités, l'exploitant n'a pas obtempéré à la présente mise en
demeure, il pourra être fait application des suites administratives prévues à l'article L 514-2 du code de
l'environnement livre V, titre 1er indépendamment de poursuites pénales prévues par ce même code.
Article 6. – Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie de la commune des Abymes pendant une
durée minimum de un mois. Le procès-verbal de l'accomplissement de cette formalité sera adressé au
Préfet par les soins du maire.
110
Article 7. – En application de l'article L. 514-6 du code de l'environnement, le présent arrêté peut être
déféré devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre :
a) – par l'exploitant, dans un délai de deux mois, à compter du jour où l'arrêté lui a été notifié,
b) – par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts
visés à l'article L 511-1 du code de l'environnement, dans un délai de quatre ans à compter de la
publication ou de l'affichage du présent arrêté.
Tous les délais cités au présent arrêté s'entendent, sauf précision explicite contraire, à compter de la
notification du dit arrêté à l'exploitant.
Article 8. – Le secrétaire général de la Guadeloupe, le maire des Abymes, le directeur régional de
l'industrie, de la recherche et de l'environnement sont chargés chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Guadeloupe et notifié
à l'exploitant.
Une ampliation sera adressée à :
– M. le sous-préfet de Pointe-à-Pitre ;
– M. le secrétaire général de la préfecture ;
– M. le maire des Abymes ;
– M. le directeur régional de l'industrie, de la recherche et de l'environnement ;
– M. le directeur départemental du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle ;
– M. le directeur départemental de l'agriculture et de la forêt ;
– M. le directeur départemental de l'équipement ;
– M. le directeur de la santé et du développement social ;
– M. le directeur départemental des services d'incendie et de secours.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté n° 2009-103 AD1/4 du 29 janvier 2009 de mise en demeure à l’encontre de la Société
ÉCODEC concernant l'installation de tri de déchets industriels banals et de valorisation des
déchets de plastiques et de pneumatiques exploitée à la Gabarre sur le territoire de la
commune des Abymes
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de l'environnement, Livre V, Titre 1er et notamment ses articles L. 511-1, L. 512-1 et L. 5142;
Vu le code de l'environnement, partie réglementaire, titre 1er du livre V, notamment les articles R. 511-9
et son annexe portant nomenclature des installations classées et R. 512-33 ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2001-1080 AD1/4 du 3 août 2001 autorisant la société ÉCODEC à installer et à
exploiter un centre de tri et des unités de recyclage sur le site de la Gabarre, territoire de la commune des
Abymes ;
Vu la demande déposée le 7 août 2008, complétée le 21 octobre 2008 de modification de l'installation par
l'augmentation de la capacité de broyage de caoutchouc de 2 000 t/an à 15 000 Van avec l'ajout d'un
second broyeur d'une capacité de 1 t/h et l'extension de la capacité autorisée de stockage des
pneumatiques usagés avant traitement de 600 m³ à 5 000 m³ ;
Vu le courrier n° 2008-2809 AD1/4 en date du 3 novembre 2008 du préfet de Guadeloupe au directeur de
la société ÉCODEC lui demandant, après avis de l'inspection des installations classées, en application de
l'article R. 512-33 susvisé, de déposer une nouvelle demande d'autorisation considérant que les
modifications susvisées sont de nature à entraîner des dangers mentionnés à l'article L. 511-1 du code de
l'environnement, notamment en cas d'incendie du dépôt de pneumatiques ;
111
Vu le rapport en date du 31 décembre 2008 de l'inspection des installations classées faisant suite aux
constats relevés lors de la visite d'inspection du 18 décembre 2008 ;
Considérant que l'étude de dangers jointe à la demande de modification susvisée n'analyse pas les risques
potentiels de perte de visibilité consécutifs à un incendie du dépôt de pneumatiques vis-à-vis des
transports aériens devant atterrir ou décoller de l'aéroport international Pôle Caraïbes dont la piste
d'atterrissage est située à environ 1 km de l'installation ;
Considérant que l'analyse de l'accidentologie sur des incendies de pneumatiques d'un volume comparable
à la modification demandée fait apparaître l'extrême difficulté à circonscrire ce type de sinistre qui génère
d'importante fumées noires ainsi que des retombées de suies dans l'environnement ;
Considérant que lors de la visite d'inspection du 18 décembre 2008 l'inspection des installations classées
a constaté la présence d'un dépôt de pneumatiques d'environ 1500 tonnes soit 6600 m³ alors même que la
modification du volume de stockage autorisé a été estimée notable pour les raisons considérées, et de ce
fait soumise à autorisation préfectorale ;
Considérant que lors de la visite d'inspection du 18 décembre 2008 l'inspection des installations classées
a constaté la présence d'un dépôt de caoutchoucs broyés, conditionnés en big-bag, et situé contre les
structures du bâtiment d'exploitation pouvant, en cas d'incendie, entraîner la ruine totale de l'installation ;
Considérant globalement l'insuffisance des mesures de protection et des moyens de lutte contre l'incendie
du fait notamment : de l'éloignement des robinets d'incendie armés par rapport au dépôt de pneumatiques
et des difficultés d'accès à ce dépôt ;
Considérant les risques et graves dangers ainsi induits par ces non-conformités sur la sécurité et la santé
publique, l'environnement, du fait notamment de l'implantation de l'établissement à proximité de
l'aéroport international Pôle Caraïbes ;
Considérant qu'aux termes de l'article L 514-2 du code de l'environnement, il appartient à l'exploitant, soit
de solliciter l'autorisation de poursuite de l'exploitation en déposant une demande à cet effet, soit de
remettre le site en état ;
Considérant la nécessité, dans l'attente de la régularisation administrative et vu notamment la sensibilité
de l'environnement, de prendre les dispositions minimales nécessaires afin de préserver les intérêts visés
à l'article L 511 -1 du code de l'environnement ;
Sur proposition de M. le secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Mise en demeure
La société ÉCODEC, ci-après dénommée l'exploitant, dont le siège social est situé immeuble Quadrat,
Boulevard Marquisat de Houëlbourg, ZI de Jarry, 97122 – Baie-Mahault, est mise en demeure de
régulariser la situation administrative de son dépôt de pneumatiques, situées à la Gabarre sur le territoire
de la commune des Abymes, en déposant une demande d'autorisation, établie conformément aux articles
R. 512-2 à R. 512-10 du code de l'environnement.
Article 2. – Suspension partielle d'activités
Dans l'attente de l'aboutissement de la procédure prévue à l'article 1, l'exploitant doit réduire les volumes
de matières combustibles stockées {pneumatiques, caoutchouc broyés, plastiques, ...) dans les limites
fixées par l'arrêté du 3 août 2001 susvisé. Dans ce cadre l'exploitant doit se conformer aux prescriptions
ci dessous :
1) – arrêt de toute amenée de pneumatiques ;
2) – évaluation de l'état des stocks et tonnages de matières combustibles par catégories de déchets ou
produits finis et semi-finis ;
3) – évaluation des perspectives de traitement hebdomadaire des déchets stockés ;
4) – justification des volumes et tonnages hebdomadaires traités.
La reprise des apports de pneumatiques ne pourra se faire qu'à la suite d'une visite du site par l'inspection
des installations classées afin de s'assurer que l'installation est conforme aux dispositions de l'arrêté du 3
août 2001 susvisé.
Article 3. – Mesures transitoires
112
Dans l'attente de la réduction des volumes de matières combustibles stockées l'exploitant est tenu de
respecter les dispositions minimales suivantes :
1) – déplacement des déchets, produits finis et semi-finis situées à moins de 10 mètres des structures
du bâtiment de production afin de respecter cette limite d'isolement ;
2) – les mesures de gardiennage, surveillance des stockages restants, détection et moyens de
protection des risques sont renforcés en vue de garantir une intervention en cas d'incendie dans des délais
permettant une maîtrise rapide du sinistre,
3) – les moyens nécessaires de lutte contre l'incendie sont définis en accord avec la direction
départementale des services d'incendie et de secours.
Article 4. – Délais
Les délais impartis pour respecter les mesures imposées supra sont fixés à :
– article 1 : 3 mois,
– article 2-1 : 24 heures,
– article 2-2 : 48 heures puis hebdomadairement par télécopie transmise le vendredi à l'inspection des
installations classées,
– article 2-3 : hebdomadairement par télécopie transmise le vendredi à l'inspection des installations
classées,
– article 2-4 : hebdomadairement par télécopie transmise le vendredi à l'inspection des installations
classées,
– article 3-1 : 48 heures,
– article 3-2 : 24 heures,
– article 3-3 : 5 jours,
Ces délais s'entendent à compter de la date de notification du présent arrêté.
Article 5. – Sanctions
Faute par l'exploitant de se conformer aux dispositions du présent arrêté et indépendamment des
poursuites pénales prévues, il pourra être fait application des sanctions administratives prévues à l'article
L 51421 du code de l'environnement (consignation de sommes, travaux d'office, suppression de
l'installation).
Article 6. – Affichage
Une copie du présent arrêté est affichée à la mairie des Abymes pendant une durée d'un mois.
L'accomplissement de cette formalité est attesté par un procès-verbal dressé par les soins du maire.
Article 7. – Délais et voies de recours
En application de l'article L. 514-6 du code de l'environnement, le présent arrêté est soumis à un
contentieux de pleine juridiction, li peut être déféré à la juridiction administrative de Basse-Terre :
1) – par l'exploitant, dans un délai de deux mois à compter de la notification du présent arrêté,
2) – par les tiers, personnes physiques ou morales, les communes intéressées ou leurs groupements, en
raison des inconvénients ou des dangers que le fonctionnement de l'installation présente pour les intérêts
visés à l'article L. 511-1, dans un délai de quatre ans à compter de la publication du présent arrêté.
Article 8. – Ampliations
Le secrétaire général de la préfecture, le maire des Abymes, le directeur régional de l'industrie, de la
recherche et de l'environnement, le directeur départemental des services d'incendie et de secours, le
service interministériel de défense et de protection civile, le directeur départemental de l'agriculture et de
la forêt, le directeur départemental de l'équipement sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifié
au pétitionnaire.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------113
Arrêté n° 2009-104 AD1/4 de consignation à l’encontre du garage LAURENT situé rue Henri
Becquerel, ZI de Jarry, 97122 – Baie-Mahault
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de l'environnement, notamment son livre V- titre 1er partie législative relatif aux installations
classées pour la protection de l'environnement et ses articles L. 511-1 et L. 514-1 ;
Vu le code de l'environnement, notamment son livre V de la partie réglementaire ;
Vu la circulaire ministérielle du 8 février 2007 relative aux modalités d'application de la procédure de
consignation prévue à l'article L. 514-1 du code de l'environnement ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2007-793 AD1/4 en date du 1er juin 2007 portant mise en demeure à l’encontre
du Garage LAURENT ;
Vu le rapport de l'inspecteur des installations classées en date du 11 décembre 2008 ;
CONSIDÉRANT la présence sur le site d'environ 500 carcasses de véhicules et l'absence de dispositifs de
traitement des effluents bien que le terme imparti pour leur évacuation soit échu depuis le 30 décembre
2007 ;
CONSIDÉRANT que le garage LAURENT en ne déférant pas aux dispositions de l'arrêté préfectoral de
mise en demeure porte atteinte aux intérêts protégés par l'article L. 511-1 du code de l'environnement ;
CONSIDÉRANT qu'il y a lieu de poursuivre la contrainte sur le garage LAURENT tendant à lui faire
respecter les dispositions demandées afin de préserver les intérêts visés à l'article L. 511-1 ;
CONSIDÉRANT la nécessité, dans l'attente de la régularisation administrative et vu notamment la
sensibilité de l'environnement, de prendre les dispositions minimales nécessaires afin de préserver les
intérêts visés à l'article L. 511-1 du code de l’environnement, et en conséquence de faire retirer les
déchets susceptibles de générer des pollutions et de lutter contre le développement des maladies
vectorielles ;
L'exploitant entendu,
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – La procédure de consignation visée au 1-1 de l'article L. 514-1 du code de l'environnement
est engagée à l’encontre du garage LAURENT dont le siège social se situé rue Henri Becquerel, ZI de
Jarry, 97122 – Baie-Mahault pour un montant de 50 000 euros répondant du montant des travaux pour
évacuer la totalité des véhicules hors d'usage et déchets de métaux présents à la même adresse.
Un titre de perception d'un montant de 50 000 euros répondant du coût des travaux à réaliser est rendu
immédiatement exécutoire.
Article 2. – La restitution complète de la somme consignée ne peut avoir lieu qu'après la justification
auprès de l'inspection des installations classées de l'évacuation de la totalité des véhicules hors d'usage et
des déchets de métaux présents sur le site
Article 3. – Le présent arrêté est notifié au garage LAURENT et publié au recueil des actes administratifs
de la préfecture.
Article 4. – Délais et voies de recours.
La présente décision ne peut être déférée qu'au Tribunal Administratif de Basse-Terre. Le délai de
recours est de deux mois pour l'exploitant à compter de la notification qui lui est faite du présent arrêté.
Article 5. – Une copie du présent arrêté sera adressée à la mairie de la commune de Baie-Mahault aux
fins d'affichage pendant une durée minimum d'un mois.
Article 6. – Le secrétaire général de la Guadeloupe, le maire de Baie-Mahault, le directeur régional de
l'industrie, de la recherche et de l'environnement à Cayenne, le trésorier-payeur général, sont chargés
chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la Guadeloupe et notifié à l'exploitant.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
114
Hubert VERNET
-----------DIRECTION DES ACTIONS DE L’ÉTAT ET DES AFFAIRES DÉCENTRALISÉES
BUREAU DU CONTRÔLE FINANCIER ET DES DOTATIONS DES COLLECTIVITÉS
TERRITORIALES
Arrêté n° 2009-14 AD/II/2 du 7 janvier 2009 portant versement de la recette à certaines communes
de la Guadeloupe au titre de la compensation de la suppression de la taxe sur les jeux
automatiques - Année 2008 Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU l'article 25 de la loi des finances n° 2006-1666 du 21 décembre 2006 ; Les articles 613 ter à 613
duodécies ;
VU le flash finances locales de la DGCL du 19 décembre 2008 relative au versement de la compensation
de la suppression de la taxe sur les jeux automatiques ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Le montant de la compensation de la taxe sur les jeux automatiques au profit de certaines
communes de la Guadeloupe au titre de l'année 2008 est réparti comme suit :
Abymes
Baie-Mahault
Basse-Terre
Bouillante
Capesterre de Marie-Galante
Deshaies
Gosier
Gourbeyre
Goyave
Grand-Bourg
Lamentin
Morne-à-l'Eau
Moule
Petit-Canal
Pointe-à-Pitre
Saint-Claude
Saint-François
Saint-Louis
Sainte-Anne
Sainte-Rose
Vieux-Habitants
TOTAL
1 135,00
464,00
464,00
30,00
116,00
89,00
9 215,00
522,00
30,00
207,00
58,00
116,00
58,00
30,00
3 339,00
58,00
11 099,00
30,00
464,00
116,00
30,00
27 670,00
Article 2. – La dépense sera imputé sur le compte 465-1149 « Compensations d'exonérations relatives à
la fiscalité locale - Année 2009.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre et le trésorier-payeur
général sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture.
115
Fait à Basse-Terre, le 7 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa notification, faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-73 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des Régions Versement
d’acomptes pour les mois de janvier, Février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l’arrêté n° 2007-337 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement à la Région de
la Guadeloupe de douzième de la dotation forfaitaire pour les mois de mars à décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation forfaitaire des régions chacun égal à un douzième de la dotation 2008, soit
un montant global de 966 459,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 966 459,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte de la Région sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25 pour le
mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-74 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des départements –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
116
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l’arrêté n° 2008-338 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement au
département de la Guadeloupe de douzième de la dotation forfaitaire pour les mois de mars à décembre
2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation forfaitaire des départements chacun égal à un douzième de la dotation 2008
soit un montant global de 3 908 229,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 3 908 229,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte du Département sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25 pour
le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-75 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation de péréquation
urbaine – Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l’arrêté n° 2008-339 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement au
département de la Guadeloupe de douzième de la dotation de péréquation urbaine pour les mois de mars à
décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
117
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation de péréquation urbaine, chacun égal à un douzième de la dotation 2008 soit
un montant global de 652 266,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 652 266,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte du Département sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25 pour
le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-76 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation de fonctionnement
minimale – Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l’arrêté n° 2008-340 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement au
département de la Guadeloupe de douzième de la dotation de fonctionnement minimale pour les mois de
mars à décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008-28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation de Fonctionnement Minimale chacun égal à un douzième de la dotation
2008 soit un montant global de 880 593,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 880 593,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte du Département sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25 pour
le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
118
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-77 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation de compensation des départements –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l’arrêté n° 2008-341 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement au
département de la Guadeloupe de douzième de compensation pour les mois de mars à décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation de compensation des départements chacun égal à un douzième de la
dotation 2008 soit un montant global de 5 804 127,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 5 804 127,00 €, à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte du Département sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25 pour
le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
----------Arrêté n° 2009-78 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation forfaitaire des communes – versement
d'acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l’Ordre National du Mérite,
119
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant reforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant reforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU l'arrêté n° 2008-342 AD/II/2 du 19 mars 2008 portant le versement aux communes de la Guadeloupe
de douzième de la dotation forfaitaire pour les mois de mars à décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 DGF 2009 – Versement et imputation des
acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé, conformément à l'état ci-joint,
trois acomptes de la dotation forfaitaire des communes, chacun égal à un douzième de la dotation 2008
soft un montant global de 7 546 542,00 €.
Article 2. – Les acomptes d'un montant global 7 546 542,00 €, à verser conformément à l'état annexe,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - Dotation globale de fonctionnement - Répartition initiale de
l'année.
Article 3. – Le compte de chaque collectivité sera crédité des acomptes lui revenant respectivement le 25
pour le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de février et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le sous-préfet de Pointe-à-Pitre, le trésorier-payeur
général et le directeur des services fiscaux sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrête qui sera publié aux recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois, à compter de sa publication et de sa notification, faire
l'objet d'un recours devant le Tribunal administratif de Basse-Terre.
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie ABYMES
Bénéficiaire
code
Somme à verser
mensuellement
Total
Acomptes
97101
ABYMES
1 199 768,00
359 9304,00
97113
GOSIER
456 135,00
136 8405,00
Total de la trésorerie
1 655 903,00
496 7709,00
Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie BASSE-TERRE MUNICIPALE ET HOSPITAL
120
code
Somme à verser
mensuellement
Bénéficiaire
Total
acomptes
74 678,00
224 034,00
BASSE-TERRE
298 066,00
894 198,00
97109
GOURBEYRE
105 940,00
317 820,00
97124
SAINT-CLAUDE
155 563,00
466 689,00
97130
TERRE-DE-BAS
17 488,00
52 464,00
97131
TERRE-DE-HAUT
26 940,00
80 820,00
97133
VIEUX-FORT
12 693,00
97134
VIEUX-HABITANTS
109 178,00
38 079,00
327 534,00J
Total de Is trésorerie
800 546,00
2401 638,00
97104
BAILLIF
97105
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie CAPESTERRE BELLE EAU
code
Somme a verser
Mensuellement
Bénéficiaire
97107
CAPESTERRE-BELLE-EAU
97114
GOYAVE
97132
Total
Acomptes
300 194,00
900 582,00
76 131,00
228 393,00
TROIS-RIVIÈRES
115 395,00
346 185,00
Total de la trésorerie
491 720,00
1 475 160,00
------------
121
Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie MARIE GALANTE
code
Somme a verser
Mensuellement
Bénéficiaire
97108
CAPESTERRE-DE-MARIEGALANTE
97112
GRAND-BOURG
97126
SAINT-LOUIS
Total de la trésorerie
Total
Acomptes
68 889,00
206 667,00
101 472,00
304 416,00
59 297,00
177 891,00
229 658,00
688 974,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie trésorerie MORNE-A-L'EAU
code
Bénéficiaire
97116
MORNE-À-L'EAU
97119
PETIT-CANAL
Somme à verser
mensuellement
Total de la trésorerie
Total
acomptes
270 829,00
812 487,00
95 379,00
286 137,00
366 208,00
1 098 624,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie MOULE
Somme à verser
mensuellement
Total
acomptes
MOULE
377 271,00
1 131 813,00
Total de la trésorerie
377 271,00
1 131 813,00
Bénéficiaire
code
97117
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
122
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie PETIT-BOURG/BAIE-MAHAULT
code
Somme à verser
mensuellement
Bénéficiaire
Total
acomptes
97103
BAIE-MAHAULT
807 144,00
2 421 432,00
97118
PETIT-BOURG
402 080,00
1 206 240,00
1 209 224,00
3 627 672,00
Total de la trésorerie
------------
Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie POINTE-NOIRE
code
Bénéficiaire
Somme a verser
Mensuellement
Total
Acomptes
97106
BOUILLANTE
97 451,00
292 353,00
97111
DESHAIES
56 997,00
170 991,00
97121
POINTE-NOIRE
103 961,00
311 883,00
Total de la trésorerie
258 409,00
775 227,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie POINTE-A-PITRE TRÉSOR
code
Bénéficiaire
Somme à verser
mensuellement
Total
acomptes
97120
POINTE-A-PITRE
894 424,00
2 683 272,00
Total de la trésorerie
894 424,00
2 683 272,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
123
Trésorerie : Trésorerie PORT LOUIS
code
Bénéficiaire
Somme à verser
mensuellement
Total
Acomptes
97102
ANSE-BERTRAND
60 941,00
182 823,00
97122
PORT-LOUIS
67 678,00
203 034,00
Total de la trésorerie
128 619,00
385 857,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie SAINTE ANNE
code
Bénéficiaire
Somme à verser
mensuellement
Total
Acomptes
97110
DÉSIRADE
34 312,00
102 936,00
97125
SAINT-FRANÇOIS
240 951,00
722 853,00
97128
SAINTE-ANNE
363 727,00
1 091 181,00
Total de la trésorerie
638 990,00
1 916 970,00
-----------Dotation forfaitaire des communes - 2009
465-12119
TPG GUADELOUPE
TPG GUADELOUPE
Trésorerie : Trésorerie SAINTE-ROSE
code
Bénéficiaire
Somme à verser
Mensuellement
Total
Acomptes
97115
LAMENTIN
234 377,00
703 131,00
97129
SAINTE-ROSE
261 193,00
783 579,00
Total de la trésorerie
495 570,00
1 486 710,00
Total de l'arrondissement financier
7 546 542,00
22 639 626,00
Total de la préfecture
7 546 542,00
22 639 626,00
-----------Arrêté n° 2009-79 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 21 janvier 2009 de la dotation globale de
fonctionnement des CA, des CC et des SAN – Versement d’acomptes pour les mois de janvier,
février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
124
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU les arrêtés n° 2008-492, 493, 494, 495, 496, 497, 498, 499, 500, 501, 502, 503 et 504 AD/II/2 du 21
janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement aux EPCI de la Guadeloupe de douzième de la
dotation de base, de péréquation, de garantie d’évolution, de majoration et de la bonification de la DGF ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation globale de fonctionnement des CA, des CC et des SAN chacun égal à un
douzième de la dotation 2008 soit un montant global de 293 834,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 293 834,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte des Communautés de Communes sera crédité des acomptes lui revenant
respectivement le 25 pour le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-80 AD/II/2 du 21 janvier 2009 de la dotation de compensation des groupements –
Versement d’acomptes pour les mois de janvier, février et mars 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU les articles L. 2334-1 à L. 2334-12 et R. 2334-1 à R. 2334-3 du code général des collectivités
territoriales ;
VU la loi n° 85-1268 du 29 novembre 1985 modifiée relative à la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 93-1436 du 31 décembre 1993 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et aux responsabilités locales ;
VU le décret n° 94-366 du 10 mai 1994 portant réforme de la dotation globale de fonctionnement ;
VU les arrêtés n° 2008-345, 348, 353 AD/II/2 du 21 janvier 2009 du 19 mars 2008 portant le versement
au EPCI de la Guadeloupe de douzième de compensation pour les mois de mars à décembre 2008 ;
VU le télex de la DGCL n° 2008/28 674 du 30 décembre 2008 – DGF 2009 – Versement et imputation
des acomptes prévisionnels ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
125
Article 1er. – Pour les mois de janvier, février et mars 2009, il est versé conformément à l’état ci-joint,
trois acomptes de la dotation de compensation des groupements chacun égal à un douzième de la dotation
2008 soit un montant global de 34 647,00 €.
Article 2. – Les acomptes d’un montant global de 34 647,00 € à verser conformément à l’état annexé,
sont à imputer sur le compte 465-12119 - dotation globale de fonctionnement – Répartition initiale de
l’année.
Article 3. – Le compte des Communautés de Communes sera crédité des acomptes lui revenant
respectivement le 25 pour le mois de janvier et le 20 de chaque mois pour les mois de févier et de mars.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le trésorier-payeur général et le directeur des services
fiscaux sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié aux
recueils des actes administratifs.
Fait à Basse-Terre, le 21 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général aux affaires régionales,
Stéphane GRAUVOGEL
-----------Le présent arrêté peut, dans un délai de deux mois à compter de sa publication et de sa modification, faire
l’objet d’un recours devant le Tribunal Administratif de Basse-Terre.
-----------Arrêté n° 2009-105 AD/II/2 du 29 janvier 2009 autorisant la chambre de commerce et d'industrie
de Pointe-à-Pitre à recourir à un emprunt de 582 700 € (Cinq cent quatre vingt deux milles
sept cents euros), destiné à financer les investissements sur l'aéroport de Pointe-à-Pitre/Le
Raizet
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu la loi du 9 avril 1898 sur les chambres de commerce et d'industrie, modifiée par la loi décret du 14
juin 1938, portant organisation des régions économiques, par l'ordonnance n° 59-61 du 3 janvier 1959,
relative aux tribunaux du commerce et aux chambres de commerce, par le décret n° 60-466 du 19 mai
1960, par le décret n° 63-831 du 6 août 1963 relatifs aux emprunts et aux dépenses des chambres de
commerce et d'industrie, par le décret n° 64-1110 du 4 novembre 1964 et par le décret n° 68-1072 du 29
novembre 1968, relatifs à l'approbation des budgets, comptes et emprunts des chambres de commerce et
d'industrie ;
Vu la loi n° 51-637 du 24 mai 1951 étendant aux départements de la Guadeloupe, de la Guyane, de la
Martinique et de la Réunion, la législation métropolitaine relative aux chambres de commerce ensemble,
le décret n° 74-198 du 6 février 1974 relative à l'extension dans les départements d'outre-mer des
dispositions concernant les chambres de commerce et d'industrie et les tribunaux de commerce ;
Vu le décret n° 91-739 du 18 juillet 1991 modifié par le décret n° 2004-576 du 21 juin 2004 relatif aux
chambres de commerce et d'industrie, aux chambres régionales de commerce et d'industrie, à l'assemblée
des chambres de commerce et d'industrie et aux groupements interconsulaires ;
Vu le décret n° 2007-574 du 19 avril 2007 relatif aux modalités de la tutelle exercée par l'État sur les
établissements du réseau des chambres de commerce et d'industrie ;
Vu l'arrêté du 30 novembre 2007 fixant les seuils mentionnés aux articles R. 771-74-1, R. 712-7 dernier
alinéa et R. 712-30 du code du commerce ;
Vu la circulaire n° 1111 du 30 mars 1992 modifiée fixant les règles budgétaires et comptables applicables
à l'assemblée des chambres françaises de commerce et d'industrie, aux chambres régionales de commerce
et d'industrie, aux chambres de commerce et d'industrie et aux groupements interconsulaires ;
Vu la convention d'ouverture de crédit d'un montant de 15 M€ signée entre la chambre de commerce et
d'industrie de Pointe-à-Pitre et l'agence française de développement (AFD) le 30 décembre 2008 destinée
à financer des investissements sur l'aéroport de Pointe-à-Pitre/Le Raizet ;
Vu la délibération n° 07/2008 prise par l'assemblée générale de la chambre de commerce et d'industrie de
Pointe-à-Pitre du 18 novembre 2008 autorisant son président à contracter un emprunt de 582 700€ (Cinq
126
cent quatre vingt deux milles sept cents euros) destiné à financer les investissements sur l'aéroport de
Pointe-à-Pitre/Le Raizet ;
Vu l'avis favorable du trésorier-payeur général en date du 5 janvier 2009 ;
Vu l'avis favorable du directeur régional de l'aviation civile en date du 5 janvier 2009 ;
Vu l'avis favorable du délégué régional au tourisme, au commerce et à l'artisanat en date du 13 janvier
2009 ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – La chambre de commerce et d'industrie de Pointe-à-Pitre est autorisée à contracter un
emprunt de 582 700 € (Cinq cent quatre vingt deux milles sept cents euros) destiné à financer les
investissements sur l'aéroport de Pointe-à-Pitre/Le Raizet.
La chambre de commerce et d'industrie inscrira chaque année au budget du service particulier les
sommes nécessaires au remboursement de cet emprunt.
Article 2. – Cette somme sera prélevée sur la convention AFD de 15 M€, signée le 30 décembre 2008,
entre la Chambre de commerce et d'industrie et l'Agence française de développement.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur régional de l'aviation civile, le trésorierpayeur général et le président de la chambre de commerce et d'industrie de Pointe-à-Pitre sont chargés
chacun en ce qui le concerne de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 29 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------Décision administrative n° 2009-109 du 30 janvier 2009 relative à la centralisation de la formalité
de l'enregistrement et de certaines déclarations fiscales du département de la Guadeloupe, de
la Collectivité de Saint-Barthélémy et de la collectivité de Saint-Martin
Le directeur des services fiscaux de Guadeloupe
Vu les articles 650 et suivants du code général des impôts relatifs aux bureaux compétents pour
l'accomplissement des formalités de l'enregistrement ;
Vu l'article 33 du décret n° 2004-374 du 29 avril 2004, relatif aux pouvoirs du préfet, à l'organisation et à
l'action des services de l'État dans les régions et départements ;
Vu les articles 5 et 6 du décret n° 95-866 du 2 août 1995 fixant le statut particulier des personnels de
catégorie A des services déconcentrés de la direction générale des impôts ;
Vu l'article 2 du décret n° 2000-738 du 1er août 2000 relatif à l'organisation des services déconcentrés de
la direction générale des impôts ;
Vu le décret n° 2008-445 du 7 mai 2008 relatif aux attributions de la direction des services fiscaux de la
Guadeloupe dans les collectivités de Saint-Barthélémy et de Saint-Martin, pris en application de la loi
organique n° 2007-223 du 21 février 2007 ;
Vu le décret n° 2008-446 du 7 mai 2008 portant dispositions transitoires relatives aux conditions de mise
en jeu de la responsabilité de certains comptables des services déconcentrés de la direction générale des
finances publiques ;
Vu le code des Contributions de la Collectivité de Saint-Barthélémy, et notamment les articles 15 et
suivants relatifs à la formalité d'enregistrement ;
Vues les délibérations du Conseil territorial de la Collectivité de Saint-Martin et notamment la
délibération 2.13.1.2007 relative aux compétence exercées en matière de d'impôts, droits et taxes ;
DÉCIDE
Article 1er. – La compétence territoriale du service fiscal de Saint-Martin est étendue à la collectivité de
Saint-Martin, pour l'exécution de la formalité de l'enregistrement et la réception des déclarations déposées
pour la liquidation des droits d'enregistrement, en application du titre IV de la première partie du livre
premier du code général des impôts.
127
Article 2. – La compétence territoriale des services des impôts du département de Guadeloupe est
modifiée dans le tableau ci-dessous, pour l'exécution de la formalité de l'enregistrement et la réception
des déclarations déposées pour la liquidation des droits d'enregistrement, en application du titre IV de la
première partie du livre premier du code général des impôts, à l'exception des déclarations prévues en
matière d'impôt de solidarité sur la fortune.
Services des impôts compétent
Compétence territoriale
Service des impôts des entreprises de Basse-Terre Baillif, Basse-Terre, Bouillante, Capesterre BelleSud
Eau, Gourbeyre, Goyave, Saint-Claude, Terre-deBas, Terre-de-Haut, Trois-Rivières, Vieux-Fort,
Vieux-Habitants.
Collectivité d'Outre-mer de Saint-Barthélémy
Service des impôts des entreprises de Grande- Abymes, Anse-Bertrand, Baie-Mahault,
Terre Sud
Capesterre M-G, La Désirade, Deshaies, Le
Gosier, Grand-Bourg, Lamentin, Morne-à-l'Eau
Le Moule, Petit-Bourg, Petit-Canal, Pointe-àPitre, Pointe-Noire, Port-Louis, Sainte-Anne,
Saint-François, Saint-Louis, Sainte-Rose.
Article 3. – La présente décision prend effet à la date du 2 février 2009.
Article 4. – La décision administrative du 30 août 2006 relative à la formalité de l'enregistrement est
annulée.
Article 5. – La présente décision sera publiée au recueil des actes administratifs de la préfecture du
département de la Guadeloupe et au recueil des actes administratifs de la préfecture de Saint-Martin et
Saint-Barthélémy.
Fait à Basse-Terre, le 30 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
------------
128
DIRECTION DES ACTIONS DE L'ÉTAT ET DES AFFAIRES DÉCENTRALISÉES
BUREAU DU CONTRÔLE FINANCIER ET DES DOTATIONS AUX COLLECTIVITÉS TERRITORIALES
M.I. D.G.C.L.
RÉPARTITION POUR 2008 DU PRODUIT DES AMENDES DE GENDARMERIE ET DE POLICE PAR COLLECTIVITÉ ET DÉPARTEMENT (euro)
INSEE
971
971
971
971
971
971
971
971
971
971
971
971
971
971
NOM
Gendarmerie
Police
Nationale
Police
Municipale
Total
Amendes
Répartition
Gendarmerie
Répartition Police Répartition Police
Nationale
Municipale
1395
9 691
176 813
0
29 732
206 545
853
518
7 204
185
254
254
450
724
35
22 049
57
287
840
94
6 630
5 255
10 727
2 435
1 284
1 294
2 619
3 585
1 233
31900
1002
1 672
3 876
964
12 532
100 960
2 046
26 791
4 327
22166
46 228
60 977
25 533
4476
20 141
29 519
64 707
18 542
110 594
0
73 040
21 164
17 626
0
0
0
0
205 480
0
0
0
0
18 180
11 040
153 540
3 943
5 414
5 414
9 591
15 431
746
469 932
1 215
6 117
17 903
2 003
141 306
112 000
228 626
51 897
27 366
27 579
55 819
76 407
26 279
679 888
21 356
35 635
82 610
20 546
Total Répartition
971
GUADELOUPE (-10000 habitants)
8 296
97101
97103
97105
97107
97113
97115
97116
97117
97118
97120
97124
97125
97128
97129
ABYMES
BAIE-MAHAULT
BASSE-TERRE
CAPESTERRE BELLE-EAU
GOSIER
LAMENTIN
MORNE-À-L'EAU
MOULE
PETIT-BOURG
POINTE-A-PITRE
SAINT-CLAUDE
SAINT-FRANÇOIS
SAINTE-ANNE
SAINTE-ROSE
588
4 737
96
1 257
203
1 040
2 169
2 861
1 198
210
945
1 385
3 036
870
5 189
Total département * communes
28 891
20 077
35 199
84167
615 758
427 904
750 201
1793 859
28 891
20 077
35199
84167
615 758
427 904
750 201
1 793 859
3 427
993
827
9 641
Total groupements
Total
Conformément aux dispositions de l'article R. 421-5 du code de justice administrative, la présente décision peut faire l'objet d'un recours contentieux devant le
tribunal administratif dans te délai de deux mois courant à compter de la notification de celle-ci
129
BUREAU DU CONTRÔLE DE LÉGALITÉ
Arrêté n° 2009-36 AD/II/4 du 13 janvier 2009 fixant la composition de la commission
départementale de coopération intercommunale
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU la loi n° 99-586 du 12 juillet 1999 relative au renforcement et à la simplification de la coopération
intercommunale ;
VU le code général des collectivités territoriales, et notamment ses articles L. 5211-42 et 44 et R. 5211-19
à 34 ;
VU l’arrêté préfectoral n° 2008-833 AD/II/4 du 19 juin 2008 fixant les modalités d’organisation des
élections de la commission départementale de la coopération intercommunale ;
VU l’arrêté préfectoral n° 2008-1008 AD/II/4 du 28 juillet 2008 portant modification de l’arrêté n° 2008833 AD/II/4 du 19 juin 2008 fixant les modalités d’organisation des élections de la commission
départementale de la coopération intercommunale ;
VU l’arrêté préfectoral n° 2008-1523 AD/II/4 du 6 novembre 2008 portant modification des modalités
d’organisation des élections de la commission départementale de la coopération intercommunale ;
VU l’absence de dépôt de liste pour le collège des communes ayant une population inférieure à la
moyenne communale du département (12 653 habitants) ;
VU la délibération n° 2008-8/3ER/A2-B1 du conseil général de la Guadeloupe du 23 avril 2008 désignant
ses représentants à la commission départementale de coopération intercommunale ;
VU la délibération n° 2004-991 du 29 avril 2004 du conseil régional désignant ses représentants à la
commission départementale de coopération intercommunale ;
VU le procès-verbal dressé et clos le 19 décembre 2008 suite à l’élection des membres de la commission
départementale de coopération intercommunale représentant les communes et les établissements publics
de coopération intercommunale ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – La composition de la commission départementale de coopération intercommunale est fixée
comme suit :
Représentants des communes ayant une population supérieure à la moyenne communale du département à
l’exception des cinq communes les plus peuplées
Mme Lucette MICHAUX-CHEVRY
M. Fred ÉDOUARD
M. René Claude MONROSE
M. Arol NAFFER
Représentants des cinq communes les plus peuplées du département
M. Blaise ALDO
M. Rosan RAUZDUEL
M. David NÉBOR
M. José SÉVÉRIEN
M. Audry CORNANEAU
M. Daniel DÉTHELOT
Mme Annie LOUIS-MARIE
M. Guy LOSBAR
M. Patrice PIERRE-JUSTIN
M. Georges DAUBIN
Représentants des établissements publics de coopération Intercommunale
M. Jacques MONPIERRE
M. Lurel CHONKEL
130
-
Mme Josiane GATIBELZA
M. Solaire COCO
M. Richard YACOU
Mme Juliana FENGAROL
M. Angebert VALLUET
M. Patrick CORNÉLIE
Représentants du conseil régional
Mme Fély KACY-BAMBUCK
M. Patrice TIROLIEN
Représentants du conseil général
M. Eddy CLAUDE-MAURICE
M. José TORIBIO
M. Luc ADÉMAR
Mme Marlène MIRACULEUX-BOURGEOIS
M. Christian COUCHY
M. Jean GIRARD.
Article 2. – Le secrétaire Général de la préfecture de la Guadeloupe est chargé de l’exécution du présent
arrêté qui fera l’objet d’une publication au recueil des actes administratifs de la préfecture de la
Guadeloupe.
Basse-Terre, le 13 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------Le présent arrêté peut faire l’objet d’un recours devant le tribunal administratif, dans un délai de deux
mois à compter de sa publication et de sa notification.
-----------DIRECTION DE LA SANTÉ ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL
Arrêté n° 2009-35 DSDS/DIR PORTANT SUBDÉLÉGATION DE SIGNATURE
Le directeur de la sante et du développement social de la Guadeloupe,
VU la loi organique n° 2001-692 du 1er août 2001 relative aux lois de finances ;
VU le décret n° 62-1587 du 29 décembre 1962 modifié portant règlement général sur la comptabilité
publique, notamment ses articles 5 et 100 ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 modifié relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à
l'action des services de l'État dans les régions et départements et notamment son article 38 ;
VU le décret n° 2005-54 du 27 janvier 2005 relatif au contrôle financier au sein des administrations de
l'État ;
VU le décret du 21 Novembre 2008 portant nomination de M. Nicolas DESFORGES en qualité de préfet
de la région Guadeloupe, préfet de la Guadeloupe, et représentant de l'État dans les collectivités de SaintBarthélémy et de Saint-Martin ;
VU l'arrêté du 6 août 2007 du ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité et de la ministre
de la santé, de la jeunesse et des sports nommant M. Alain PARODI, directeur de la santé et du
développement social de la Guadeloupe ;
VU l'arrêté n° 2009-01 du 2 janvier 2009 du préfet de la région Guadeloupe portant délégation de
signature à M. Alain PARODI, directeur de la santé et du développement social, responsable de budget
opérationnel de programme (RBOP), responsable d'unité opérationnelle (RUO), pour l'ordonnancement
secondaire des recettes et des dépenses imputées sur certains programmes du budget de l'État ;
VU la décision n° 2008-1942 DIR du 10 décembre 2008 de M. Alain PARODI portant subdélégation de
signature ;
ARRÊTE
131
Article 1er. – En application de l'article 6 de l'arrêté susvisé du 2 janvier 2009, M. Alain PARODI
subdélègue, dans les conditions suivantes, sa signature à :
1) – Délégation générale :
• Mme Jacqueline MADIN, directrice-adjointe,
• MM. Hervé COURSIN et Patrice RENIA, inspecteurs principaux,
• Mme Béatrice HOARAU, inspectrice principale,
• Docteur Florelle BRADAMANTIS, médecin inspecteur régional,
• MM. Olivier REILHES et Joël GUSTAVE, ingénieurs du génie sanitaire,
• M. Patrick SAINT-MARTIN, pharmacien inspecteur régional.
2) – Délégation accordée jusqu'à un montant de 1 500 € (à l'exception des billets d'avion) :
• M. Jean SONOR, inspecteur,
• Mme Pascale PEPE, inspectrice.
3) – Délégation accordée jusqu'à un montant de 300 € (à l'exception des billets d'avion) ;
• M. Philippe CÉROL, secrétaire administratif de classe exceptionnelle ;
• Mme Marie-Éliane MALO, adjointe administrative.
Article 2. – En application de l'article 4 de l'arrêté susvisé du 2 janvier 2009, demeurent réservés à la
signature de M. le Préfet :
• les ordres de réquisitions du comptable public,
• les décisions de passer outre aux refus de visa contrôleur financier déconcentré,
• les arrêtés ou conventions attributifs de subventions aux collectivités territoriales,
• les arrêtés ou conventions attributifs de subventions au delà d'un seuil de 23 000 €.
Article 3. – La décision susvisée du 10 décembre 2008 est abrogée
Article 4. – Le directeur de la santé et du développement social, le trésorier-payeur général et les
intéressés sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera publié au
recueil des actes administratifs de la préfecture de Guadeloupe.
Fait à Gourbeyre, le 13 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Le directeur de la santé et du développement social,
Alain PARODI
-----------Arrêté n° 2009-59 PREF/DSDS du 15 janvier 2009 accordant délégation de signature des lettres
d’observation valant recours gracieux, adressés aux établissements publics de santé, au titre de
l’article 38-4 du décret 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à
l’organisation et à l’action des services de l’État dans les régions et les départements à M.
Alain PARODI, directeur de la santé et du développement social de la Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le décret 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l’organisation et à l’action des
services de l’État dans les régions et les départements ;
VU le décret du 21 novembre 2008 portant nomination M. Nicolas DESFORGES en qualité de préfet de
la région Guadeloupe, préfet de la Guadeloupe et représentant de l’État dans les collectivités de SaintBarthélemy et de Saint-Martin ;
VU le décret N° 2001-574 du 2 juillet 2001 portant création des directions de la santé et du
développement social de Guadeloupe, Guyane et Martinique ;
VU l’arrêté n° 04207629 du 6 août 2007 du ministre du travail, des relations sociales et de la solidarité,
du ministre de la santé, de la jeunesse et des sports, nommant M. Alain PARODI, directeur de la santé et
du développement social de la Guadeloupe, à compter du 1er octobre 2007 ;
VU le code des marchés publics ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
132
ARRÊTE
Article 1er. – Délégation de signature est donnée à M. Alain PARODI, directeur de la santé et du
développement social de la Guadeloupe, afin de signer dans le cadre du contrôle de légalité des marchés
publics des établissements de santé, les lettres d’observation valant recours gracieux.
Article 2. – En cas d’absence ou d’empêchement de M. Alain PARODI, la délégation de signature est
donnée dans les mêmes conditions aux agents de catégorie A qu’il aura désignés.
Article 3. – Le présent arrêté est exécutoire à compter de sa publication au recueil des actes administratifs
de la préfecture.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture et le directeur de la santé et du développement social
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des
actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 15 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------SERVICE PLANIFICATION
Arrêté n° 2009-66 PREF/DSDS/SP du 19 janvier 2009 autorisant l'extension de 50 à 62 places du
Service d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) “Lanbéli” géré par l'association
“Kalitépouviv”
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de l'action sociale et des familles, notamment ses articles L. 312-11 (2°), L. 313-3 (b), L. 3136, R. 313-1 et 2, D.312-11 et suivants ;
Vu l'arrêté préfectoral n° 2000 -1454 en date du 15 novembre 2000 autorisant la création d'un Service
d'Éducation Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD) d'une capacité de 40 places aux Abymes pour
enfants et adolescents déficients moteurs ou polyhandicapés ;
Vu la demande déposée par l'association “Kalitépouviv” le 28 octobre 2008 en vue d'obtenir une
extension de 12 places de Service d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) ;
Considérant que cette demande d'extension ne nécessite pas l'avis du CROSMS, eu égard que la capacité
sollicitée n'excède ni 30% de la capacité initialement autorisée, ni plus de 15 lits, places ou bénéficiaires
autorisés ;
Considérant que la création de cette structure répond à un réel besoin pour des personnes de 0 à 20 ans
présentant des handicaps à connotation motrice et/ou sensorielle, tels que les dyspraxies et la déficience
visuelle ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – La demande présentée par l'association “Kalitépouviv”, en vue d'obtenir l'extension de 50 à
62 places d'un Service d'éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) est accordée.
Article 2. – Cette décision peut faire l'objet dans un délai de deux mois à compter de la notification du
présent arrêté, d'un recours gracieux ou d'un recours contentieux auprès du tribunal administratif de
Basse-Terre.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe et le directeur de la santé et du
développement social sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 19 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------133
Arrêté n° 2009-71 PREF/CG/DSDS du 20 janvier 2009 modifiant l'arrêté n° 2008-1161
PREF/CG/DSDS-P du 29 août 2008 refusant à l'association “Akamanman” la demande création
d'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) d'une capacité de
38 lits sur la commune de Morne-à-1'eau
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
et
Le président du Conseil Général,
Vu le code de l'action sociale et des familles, notamment ses articles L.313-1 et s et R.313-1 et suivants,
Vu le code de la sécurité sociale,
Vu l'arrêté n° 2008-1161 PREF/CG/DSDS-P du 29 août 2008 refusant la création d'un établissement
d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) d'une capacité de 38 lits à Morne-à-l'Eau
pour cause de défaut de financement conformément à l'article L. 313-4 in fine et R. 313-9 du code de
l'action sociale et des familles,
Vu la demande présentée par l'association “Akamanman” tendant à créer un établissement hébergement
pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) d'une capacité de 38 lits à Morne à l'Eau,
Vu l'avis favorable du CROSMS dans sa séance du 18 juin 2008,
Considérant la compatibilité du coût de fonctionnement en année pleine de la création demandée avec le
montant de la dotation pré notifiée de 2010 visée à l'article L.314-3, L314-3-1 du code de l'action sociale
et des familles,
Considérant la compatibilité du coût de fonctionnement en année pleine de la création demandée avec
l'objectif d'évolution des dépenses délibéré par la collectivité départementale,
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture et du directeur général des Services du Département
de la Guadeloupe,
ARRÊTENT
Article 1er. – La demande présentée par l'association “ Akamanman” tendant à créer un établissement
d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) d'une capacité de 38 lits à Morne-à-l'Eau est
autorisée. Elle prendra effet au cours de l'exercice 2010 à hauteur de 38 places.
Article 2. – L'autorisation délivrée à l'article 1er sera réputée caduque si l'opération n'a pas fait l'objet d'un
commencement d'exécution dans un délai de trois ans à compter de la notification de l'arrêté au
gestionnaire.
Article 3. – Cette autorisation est délivrée pour 15 ans. Son renouvellement sera subordonné aux résultats
de l'évaluation externe mentionnée à l'article L.312-8 du CASF.
Article 4. – La validité de l'autorisation est subordonnée au résultat de la visite de conformité
Article 5. – Le présent arrêté est susceptible de faire l'objet d'un recours contentieux qui sera porté devant
le tribunal administratif de Basse-Terre, dans un délai franc de deux mois, à compter de sa notification
pour l'intéressé et de sa publication pour les tiers.
Article 6. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe, le directeur général des services du
Département de la Guadeloupe, le directeur de la santé et du développement social et le directeur de la
tarification et de la logistique sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté
qui sera publié au Recueil des actes administratifs de la préfecture et du Département de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 20 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
Le président du Conseil Général
Jacques GILLOT
------------
134
PROFESSIONS DE SANTÉ ET RÉGLEMENTATION SANITAIRES
Arrêté n° 2009-108 PREF/DSDS du 30 janvier 2009 portant désignation des membres du Comité
Départemental de l'Aide Médicale Urgente, des Transports Sanitaires et de la Permanence des
Soins (CODAMUPS)
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU le code de la santé publique, notamment les articles R. 6313-1 à R. 6313-3 ;
VU la loi n° 86-11 du 6 janvier 1986 relative à l'aide médicale urgente et aux transports sanitaires ;
VU le décret n° 2003-880 du 15 septembre 2003 relatif aux modalités d'organisation de la permanence
des soins et aux conditions de participation des médecins à cette permanence ;
VU le décret n° 95-1095 du 5 octobre 1995 relatif à l'autorisation de mise en service de véhicules de
transports sanitaires terrestres ;
VU le décret n° 2003-880 du 15 septembre 2003 relatif aux modalités d'organisation de la permanence
des soins et aux conditions de participations des médecins à cette permanence ;
VU l'arrêté préfectoral n° 2005-2319 du 30 décembre 2005 portant désignation des membres du Comité
Départemental de l'Aide Médicale Urgente, des Transports Sanitaires et de la Permanence des Soins
(CODAMUPS) ;
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Le Comité départemental de l'aide médicale urgente, des transports sanitaires et de la
permanence des soins est composé comme suit :
– Président :
• le préfet du Département de la Guadeloupe ou son représentant,
– Membres de droit (ou leurs représentants)
• le directeur de la direction de la santé et du développement social,
• le médecin inspecteur de santé publique : docteur Marie CAILLARD,
• le directeur départemental du service incendie et secours : colonel Gilles BAZIRE,
• le médecin-chef départemental du service d'incendie et de secours : docteur MELYON DEFRANCE
Viviane, docteur JERPAN Tony,
• le directeur de l'Agence Régionale de l'Hospitalisation : M. MANTION Stéphane.
– Représentant des Collectivités Territoriales
• 2 Conseillers Généraux :
- Mme Marlene MIRACULEUX-BOURGEOIS, conseiller général de Capesterre de Marie-Galante,
- M. Jacques CORNANO conseiller général de Saint -Louis de Marie-Galante.
– Association départementale des maires :
• Titulaires :
- M. COMBES Yvon, conseiller communautaire,
- Mme BRESLAU Marie-Lucile, maire de Baillif.
• Suppléants :
- M. BEAUJOUR Fred, maire de Terre-de-Bas,
- M. ADÉMAR Luc mairie de Gourbeyre.
– Membres désignés par les organismes qu'ils représentent
• docteur Patrick PORTECOP,
• docteur Jean-Claude VIEILLOT,
• Mme Ketty GOMBAULT,
• M. Max ÉVARISTE,
• Mme VIRASSAMY Chantal,
• M. Mathieu CINGOUIN,
135
• M. YACOU Henri,
• Docteur Pierre THICOT,
• Mme CHEVRY NOL Maggy, délégation locale de l'ordre des pharmaciens.
– Conseil départemental de l'Ordre des médecins
– Médecin Conseil de la direction régionale du service médical près la CGSS
– Régime Agricole de Sécurité Sociale
– Caisse Primaire d'assurance Maladie
– Caisse Régionale Antilles/Guyane
– Conseil Départemental de La Croix Rouge
– Directeur de la Caisse Générale de Sécurité Sociale
– Union Régionale des Médecins Libéraux de Guadeloupe
– Membres nommés par le Préfet (ou leurs représentants)
Titulaires
Suppléants
RESPONSABLE DU SERVICE D'AIDE MÉDICALE URGENTE
Docteur Jean-Louis LUPERON
Docteur ETCHEPARE Yves Michel
Chef de service du SAMU/SMUR/ Centre 15 du Praticien hospitalier SAMU/SMUR/CHU
CHU Pointe-à-Pitre/Abymes
Pointe Pitre/Abymes
RESPONSABLE DU SMUR
Docteur Stéphane PELCZAR
Chef de service au CH de la Basse-Terre
Docteur Jean-François BILLES
CH de la Basse-Terre
REPRÉSENTANTS LE CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE
M. Philippe COURCIER
Directeur Adjoint du CHU
M. Guy ELIAS
Ingénieur en chef
REPRÉSENTANT DU CENTRE HOSPITALIER DE LA BASSE-TERRE
Docteur Jean-Baptiste ADRIEN
Docteur Baya BERTIN
Praticien Hospitalier
Praticien Hospitalier
REPRÉSENTANTS L'HOSPITALISATION PUBLIQUE (Union Hospitalière)
REPRÉSENTANT LE CORPS DE SAPEURS POMPIERS
Docteur Tony JERPAN
Docteur Viviane MELYON
SDIS
SDIS
REPRÉSENTANT AU NIVEAU NATIONAL DES MÉDECINS LIBÉRAUX
Docteur Raymond LEMAISTRE
Docteur Stéphane ALLANI
REPRÉSENTANTS LE SYNDICAT UNIFIÉ DES MÉDECINS DE GUADELOUPE
Le président du SUMG
Son suppléant
REPRÉSENTANTS DES ASSOCIATIONS DE PERMANENCE DES SOINS
Docteur Jean-Claude GBENOU ADGUPS
Collège médico urgentiste des Antilles 971
Docteur ROMNEY Pascal
136
Docteur GHEZ Stéphane
Collège médico urgentiste des Antilles 971
Docteur Pierre THICOT ADGUPS
REPRÉSENTANT DE L'UNION DES SYNDICATS DE PHARMACIENS D'OFFICINE
Mme DETHEROT Suzanne
Mme MONTOUT Chantal
M. MANICOM Michel
M. FOUCAN François
REPRÉSENTANTS LA FÉDÉRATION HOSPITALIÈRE PRIVÉE
Docteur Pierre T1ROLIEN
Docteur Claude KADGI
M. Franck LASSERRE
Docteur Maurice JEAN-JACQUES
Docteur Joëlle ETZOL
REPRÉSENTANTS DES TRANSPORTS SANITAIRES
M. Franck LASSERRE
(Syndicat Inter Départemental Antilles /Guyane
des entreprises transports sanitaires)
Mme Véronique BIGORD
M. Jean BARTHÉLÉMY
(Syndicat Inter Départemental Antilles /Guyane
des entreprises transports sanitaires)
M. Jaurès PLACIDE
M. Fred JEAN-FRANÇOIS
(Syndicat Inter Départemental Antilles /Guyane
des entreprises transports sanitaires)
Mme Marie Céline CADERSAH
M. Franck LUREL
(Syndicat Inter Départemental Antilles /Guyane
des entreprises transports sanitaires)
M. Alex MOUEZA
REPRÉSENTANTS L'ASSOCIATION POUR LA PROMOTION ET LE DÉVELOPPEMENT DES
TRANSPORTS SANITAIRES D'URGENCE
M. Patrick JARNAC
M. Rosan VINCENT
REPRÉSENTANT DE L'ORGANISATION NATIONALE DES MÉDECINS
D'HOSPITALISATION D'URGENCE PUBLIQUE
Docteur PICQUE Stéphane (CHRU) Collège
Caribéen de médecine d'urgence
Docteur GARRIGUE Paul (CHBT) Collège
Caribéen de médecine d'urgence
Docteur WIND Henri
Collège Caribéen de médecine d'urgence
Docteur COUFY Alexandre
Collège Caribéen de médecine d'urgence
REPRÉSENTANT DE L'ORGANISATION NATIONALE DES MÉDECINS
D'URGENCE PRIVÉE
Docteur MASSENGO Athanase
Syndicat alliance
Docteur BELHASSEN Ary
Syndicat Alliance
REPRÉSENTANT ASSOCIATION USAGERS
M. MÉRIL Jules
AGIR
M. LAMBEAU Guy
AGIR
137
Article 2. – À l'exception des membres de droit et des représentants des collectivités locales nommés
pour la durée de leur mandat électif, les membres du Comité Départemental de l'Aide Médicale Urgente,
des Transports Sanitaires et de la permanence des soins sont nommés pour une durée de (3) trois ans.
Article 3. – Le Comité peut décider d'entendre, sur une question déterminée, toute personne qualifiée.
Il constitue en son sein un sous comité médical et un sous comité des transports sanitaires.
Il est réuni au moins une fois par an par son président ou à la demande de ses membres.
Article 4. – L'arrêté préfectoral n° 2005-2316 du 30 décembre 2005 susvisé est abrogé.
Article 5. – Le secrétaire général de la préfecture de la Guadeloupe et le directeur de la direction de la
santé et du développement social, sont chargés, chacun, en ce qui le concerne, de l'exécution du présent
arrêté qui sera notifié aux intéressés et publié aux recueils des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 30 janvier 2009
Le préfet,
Nicolas DESFORGES
-----------DIRECTION DE LA SANTÉ ET DU DÉVELOPPEMENT SOCIAL
PHARMACIE
Arrêté n° 2009-70 PREF/DSDS du 19 janvier 2009 portant enregistrement de la déclaration
d’exploitation d’une officine de pharmacie
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code de la santé publique, notamment les articles L. 5125-16, L. 4221-1, L. 5125-17 et L. 5125-9 ;
Vu l’arrêté préfectoral n° 2008-1004 autorisant Mlle Lucile MARIVAL à créer une officine de pharmacie
dans la résidence La Lézarde, référence cadastrale AC 1121 – Dubos, 97170 - Petit-Bourg (licence n°
971#00167) ;
Vu la demande présentée par Mlle Lucile MARIVAL, le 23 décembre 2008 en vue de l’enregistrement de
la déclaration d’exploitation de cette pharmacie ;
Vu les conclusions de la visite effectuée par le pharmacien inspecteur de santé publique relative aux
conditions d’installation de ladite officine ;
Vu l’inscription au Tableau de l’ordre de Mlle Lucile MARIVAL ;
Vu le rapport du directeur de la santé et du développement social ;
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Est enregistrée sous le n° PH 09-01, conformément à l’article L. 5125-16 du code de santé
publique, la déclaration par laquelle Mlle Lucile MARIVAL se propose d’exploiter en nom propre,
l’officine de pharmacie dénommée “Pharmacie de la pointe Bacchus”, sise à à la résidence Iguane 1 (ex
La Lézarde), com 3, section de Dubos, 97170 – Petit-Bourg, à compter du 2 février 2009.
Article 2. – Le secrétaire général de la préfecture et le directeur de la santé et du développement social
sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera inséré au recueil des
actes administratifs de la préfecture de la Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 19 janvier 2008
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
------------
138
EXAMENS – CONCOURS – V.A.E.
Arrêté n° 2009-02 PREF/DSDS du 5 janvier 2009 portant composition du jury de validation des
acquis relatif aux épreuves de présélection dans les Instituts de formation en soins infirmiers
au titre de la Session 2009
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la santé publique,
VU le décret n° 81-306 du 2 avril 1981 modifié relatif aux études conduisant au diplôme d'État
d'infirmier,
VU l'arrêté du 23 mars 1992 modifié relatif aux conditions d'admission dans les Instituts de Formation en
Soins Infirmiers préparant au diplôme d'État d'infirmier,
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – La procédure de validation des acquis inhérente au concours d’admission en Instituts de
formation en soins infirmiers, au titre de la session 2009, comporte deux épreuves qui se dérouleront à
l’IFSI du CHU de Pointe-à-Pitre/Abymes comme suit :
étude de dossiers : mercredi 14 janvier 2009
épreuve de français : mardi 4 février 2009
Article 2. – Sont désignés membres du jury :
Qualité
NOMS
Le directeur de la santé et du développement
social de Guadeloupe ou son représentant
Directeur d’établissement public de Santé
Mme Christiane BOURGEOIS
Directeur d’établissement privé de Santé
M. Bernard ORIHUEL
Directrice des Soins
Mme Huguette ANNICETTE
Directrice IFSI – CHU de Guadeloupe
Mme Geneviève BRUNO
Cadres de Santé Formateurs
Mme Guirlande JALCE
Mme Marie-France ELLAPIN
Mme Marie-Christine MOULIN
Mme Thérèse KANCHAN
Cadre infirmier secteur Public
M. Henri CARPIN
Cadre Infirmier secteur privé
Mme Marie-Anne GORAM-GRENOT
Cadre infirmier secteur extra hospitalier
Mme Nadia LONGFORT
Praticiens Hospitaliers chargés de cours à l’IFSI M. Patrick PORTECOP
du CHU de Guadeloupe
M. Tony ROMUALD
Président
Article 3. – Le jury de validation des acquis se réunira en vue de la délibération finale à la Direction de la
santé et du développement social – annexe du Raizet.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, Le directeur de la santé et du développement social de
la Guadeloupe et la Directrice de l’Institut de Formation en Soins Infirmiers sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la
préfecture.
Fait à Gourbeyre, le 5 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
-----------139
Arrêté n° 2009-02 bis DICE/VAE du 5 janvier 2009 modifiant la composition du jury de la
validation des acquis de l’expérience en vue de l’obtention du diplôme d’État d’auxiliaire de
vie sociale (DEAVS) – Session de janvier 2009
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de l’action sociale et des familles, et notamment ses articles L. 451-1, R. 451-1 et R. 451-2,
VU l’arrêté n° 2008-2041 DICE/VAE du 29 décembre 2008 fixant la composition du jury de la validation
des acquis de l’expérience en vue de l’obtention du diplôme d’État d’auxiliaire de vie sociale,
VU les modifications apportées au sein des sous-groupes d’examinateurs, et nécessitées par
l’indisponibilité de certains membres du jury,
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – L’article 1er de l’arrêté susvisé est complété comme suit :
Collège de personnes qualifiées :
Mme DANGLADE Marie-Line,
Mme DE SAINT-ALARY Frédérique,
Mme MIATH Denise,
Mme TELCHID-NININE Nicole.
Le reste sans changement.
Article 3. – Le directeur de la santé et du développement social est chargé de l’exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 5 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le directeur de la santé et du développement social,
Alain PARODI
-----------Arrêté n° 2009-16 DICE/EC du 8 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État
d’infirmier 2ème Session – Année 2008
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la santé publique, notamment le livre IV ;
VU l’arrêté n° 2008-770 bis DICE/EC du 12 juin 2008 fixant la date des épreuves en vue de l’obtention
du diplôme d’État infirmier, 1ère session 2008 ;
VU l’arrêté n° 2008-1059 bis DICE/EC du 4 août 2008 portant désignation des membres du jury pour
l’obtention du diplôme d’État Infirmier, 1ère session de septembre à novembre 2008 ;
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – Les épreuves en vue de l’obtention du diplôme d’État d’infirmier – 2 ème Session de l’année
2008, se dérouleront comme suit :
⇒ Épreuve écrite (Travail de fin d’Études : TFE) ;
- remise des TFE en 3 exemplaires : le lundi 19 janvier 2009 ;
- Présentation et soutenance des travaux : le jeudi 22 et le vendredi 23 janvier 2009
⇒ Épreuve de mise en situation professionnelle :
- du mercredi 28 janvier au vendredi 6 février 2009.
Article 2. – Sont désignés membres du jury des différentes épreuves, les personnes suivantes (par ordre
alphabétique) :
NOMS - Prénoms
Qualité
140
ANDRÉ Jessy
Infirmière D.E.
ANGÈLE Murielle
Infirmière D.E.
ANGLÉSI Ida
Infirmière D.E.
BALON Gisèle
Infirmière D.E.
BÉGARIN Maxette
Infirmière D.E.
BIANAY Félicienne
Infirmière D.E.
BOUCHAUT Marie-Line
Infirmière D.E.
CARLES Hoëlle
Infirmière D.E.
CHARLOSSE Marcelle
Infirmière D.E.
CHIPOTEL Josy
Cadre de santé formateur
CHOISY Karine
Infirmière D.E.
CYSIQUE Michelle
Infirmière D.E.
DILOU Élisabeth
Infirmière D.E.
FLURO Carine
Infirmière D.E.
GELIN Viviane
Infirmière D.E.
JUMET Patrick
Personne qualifiée
LACK Jennifer
Infirmière D.E.
LARME Françoise
Cadre de santé formateur
LEPEL Corinne
Cadre de santé formateur
LETI Lyne
LOISEAU Marie-Line
Infirmière D.E.
Personne qualifiée
LOSIO Jeanine
Infirmière D.E.
MATHOURAPARSAD Jeanne
Infirmière D.E.
MESLIEN Marie-Éveline
Infirmière D.E.
MUGERIN Marie-Line
Infirmière D.E.
REGNIER Sylviane
Cadre de santé formateur
RENÉLA Catherine
Infirmière D.E.
ROBINSON Avelyne
Cadre de santé formateur
SABAS José
Personne qualifiée
SAINTE-CLAIR Emmanuella
Personne qualifiée
SIMION Marie-Line
Infirmière D.E.
SOLIMAN Micheline
Infirmière D.E.
TALBOT Éric
Personne qualifiée
TOUVIN Micheline
Cadre de santé formateur
URSULE Liliane
Cadre de santé formateur
VELIN Étienne
Infirmier D.E.
Article 3. – Le jury se réunira en vue de la délibération finale, et sera composé comme suit :
Président :
-le directeur de la santé et du développement social, ou son représentant,
Directrice de l’IFSI :
-Mme BRUNO Geneviève, IFSI du CHU de Pointe-à-Pitre/Les Abymes,
Médecin :
-M. le docteur DAIJARDIN Jean-Baptiste,
141
Cadres supérieurs de santé :
-Mme MASSE Adolphine
-Mme JALCE Guirlande
Cadres de santé :
- Mme REGNIER Sylviane
-Mme TOUVIN Micheline
Infirmiers D.E. :
-Mme CHARLOSSE Marcelle
- Mme DILOU Élisabeth
- Mme MUGERIN Marie-Line.
Article 4. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur de la santé et du développement social, la
directrice de l’Institut de formation en soins infirmiers du CHU de Pointe-à-Pitre/Abymes, sont chargés,
chacun en ce qui le concerne de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Recueil des Actes
Administratifs de la préfecture et notifié aux intéressés.
Fait à Gourbeyre, le 8 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le directeur de la santé et du développement social,
Alain PARODI
-----------Arrêté n° 2009-26 DICE/EC du 12 janvier 2009 modifiant l’arrêté n° 2009-02 du 5 janvier 2009
portant composition du jury de validation des acquis relatif aux épreuves de présélection dans
les Instituts de formation en soins infirmiers au titre de la Session 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la santé publique,
VU l’arrêté n° 2009-02 du 5 janvier 2009, portant composition du jury de validation des acquis relatif aux
épreuves de présélection dans les instituts de formation en soins infirmiers au titre de la Session 2009,
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – L’article 2 de l’arrêté du 5 janvier 2009 susvisé, est modifié comme suit :
“ Mme Élise RADUEL, cadre supérieur de santé à la direction des soins (en remplacement de Mme
Huguette ANNICETTE).”
Le reste sans changement.
Article 2. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur de la santé et du développement social de
la Guadeloupe et la directrice de l’Institut de formation en soins infirmiers sont chargés, chacun en ce qui
le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la
préfecture.
Fait à Gourbeyre, le 12 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
-----------Arrêté n° 2009-27 DICE/EC du 12 janvier 2009 relatif à l’organisation du concours d’entrée à
l’Institut de formation d’ambulancier du CHU de Pointe-à-Pitre/Les Abymes - Session 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la santé publique, et notamment ses articles L. 6312-1 à L. 6312-5, R. 4383-2 et R. 4383-3,
R. 4383-17 et R. 4383-18 ;
142
VU l’arrêté du 26 janvier 2006 modifié relatif aux conditions de formation de l’auxiliaire ambulancier et
au diplôme d’ambulancier ;
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – Les épreuves de sélection du concours d'entrée à l’Institut de formation d’ambulancier du
CHU de Pointe-à-Pitre/Les Abymes se dérouleront aux dates suivantes :
pour l’épreuve écrite d’admissibilité : le lundi 19 janvier 2009 ;
pour l’épreuve orale d’admission : le lundi 9 mars 2009.
Article 2. – Sont désignées membres du jury des différentes épreuves, les personnes dont les noms
suivent :
- le directeur de la santé et du développement social, ou son représentant, président,
- le directeur de l’Institut de formation d’ambulancier,
- Médecins
- Mme le dr. DURIZEAU Hélène
- M. le dr. ETCHEPARE Yves-Michel
- Mme le dr. GARRIGUE Nathalie
- M. le dr. ROZET Jean-Edmond
- M. le dr. JERPAN Tony
- M. le dr. MONCHEUX Victor
- M. le dr. PIERRE-NOEL. Raphaël-Albert
- Mme le dr. POPOTTE Esther
- M. le dr. PORTECOP Patrick
- M. le dr. WIND Henry
- M. le dr. YANNICK Samuel
- Cadres de santé :
- Mme ALEXIS-BOUIMBA Lydie
- M. CARPIN Henry
- Mme CIREDERF Francine
- M. LOYSON Rodrigue
- Mme MOCO Claudine
- Mme SAINT-VAL. Denise
- Mme SIMION Roselie
- M. THARSIS Erik
- M. THOMAS Bruno
- Mme TOUVIN Micheline
- Infirmiers-anesthésistes diplômés d’État :
- Mme VALLUET Marie-Annick
- M. DORVILLE Jocelyn
- M. BYRAM Max
- M. JABÈS Guy
- M. MILLION Luc
- M. MONTOUT Jean
- M. SALBERT Patrick
- M. TROULLEFOU Diderot
- Chefs d’entreprises de transport sanitaire :
- M. BERVILLE Max
- M. COUCHY Germain
- M. DEMEA Nadir
- M. JARNAC Patrick
143
- M. JEAN-FRANÇOIS Fred
- M. LUREL Franck
- M. MOHANDIR Patrick
- M. MOUËZA Alex
- M. UGOLIN Damaze
- M. VINCENT Rosan
- M. CINGOIN Mathieu
- M. DUMABIN Joël
- M. FRANCISQUE Georges
- M. MIRVAL Ary.
Article 3. – Le jury d’admissibilité et d’admission se réunira à la Direction de la Santé et du
Développement Social – annexe du Raizet – Abymes.
Article 4. – Le Secrétaire Général de la Préfecture de la Guadeloupe, le directeur de la santé et du
développement social sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui
sera publié au recueil des actes administratifs de la Préfecture.
Fait à Gourbeyre, le 12 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
-----------Arrêté n° 2009-29 DICE/EC du 13 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État d’aide
médico-psychologique – Session de janvier 2009
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de l’action sociale et des familles, et notamment le chapitre I du titre V, livre IV ;
VU l’arrêté du 11 avril 2006 relatif au diplôme d’État d’aide médico-psychologique ;
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – Les épreuves écrites et orales d’admission au diplôme d’État d’Aide MédicoPsychologique se dérouleront à l’annexe de la DSDS, ancien aéroport Sud Raizet, aux Abymes.
Le jury est composé comme suit :
Le directeur de la santé et du développement social, ou son représentant, président ;
Titulaires :
Mme Magguy PIERRE-JUSTIN, présidente de l’Association Guadeloupéenne pour
l’Insertion des Handicapés Moteurs,
Mme Colette Denise ARTHEIN, AMP à l’association “Maison d’Adultes Spécialisée”,
Mme Carole BLEMAND, AMP à l’association “Maison d’Adultes Spécialisée”,
Mme Béatrice HATILIP, formatrice au Centre de Formation APAJH Guadeloupe,
Mme Nelly BOULASSY, Educatrice spécialisée à l’association STOP,
Mme Nicole TELCHID-NININE, secrétaire administratif à la DSDS.
Suppléantes :
Mme Malika MELON, formatrice au GRETA de Grande-Terre,
Mme Marie-Line DANGLADES, infirmière de santé publique à la DSDS.
Article 2. – Les membres suppléants peuvent remplacer, en tant que de besoin, les membres titulaires.
Article 3. – Le directeur de la santé et du développement social est chargé de l’exécution du présent
arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 13 janvier 2009
144
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
-----------Arrêté modificatif n° 2009-31 bis DICE/EC du 13 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme
d'État d’infirmier, 2ème Session de l’année 2008
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
VU le code de la santé publique, notamment le livre IV,
VU l’arrêté n° 2009-16 DICE/EC du 8 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État infirmier,
2ème session, année 2008,
VU l’indisponibilité de certains membres du jury,
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – L’article 2 de l’arrêté du 8 janvier 2009 susvisé est modifié comme suit :
– M. Henri JOTHAM, infirmier D.E., (en remplacement de Mme Marie-Line MUGERIN) ;
– Mme Nathalie MAULINE, infirmière D.E., (en remplacement de Mme Jessy ANDRE) ;
– Mme Armide ANDERSON, cadre de santé formateur, (en remplacement de Mme Corinne LEPEL) ;
– Mme Martine PÉNÉLOPE, cadre de santé formateur, (en remplacement de Aveline ROBINSON) ;
– Mme Christa DUPORGE, cadre de santé formateur, (en remplacement de Mme Aveline
ROBINSON).
Article 2. – L’article 3 de l’arrêté du 8 janvier 2009 susvisé est modifié comme suit :
– Mme Line LÉTI, infirmière D.E., (en remplacement de Mme Elisabeth DILOU) ;
– M. Henri JOTHAM, infirmier D.E., (en remplacement de Mme Marie Line MUGERIN)
Le reste sans changement.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur de la santé et du développement social et la
directrice de l'Institut de formation en soins infirmiers du Centre Hospitalier Universitaire de Pointe-àPitre/Les Abymes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Gourbeyre, le 13 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le directeur de la santé et du développement social,
Alain PARODI
-----------Arrêté modificatif n° 2009-69 bis DICE/EC du 19 janvier 2009 relatif à l’organisation du Diplôme
d'État d’Infirmier, 2ème Session - Année 2008
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code de la santé publique, notamment le livre IV,
VU l’arrêté n° 2009-16 DICE/EC du 8 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme d’État infirmier,
2ème session, année 2008,
VU l’arrêté modificatif n° 2009-31 bis DICE/EC/ du 13 janvier 2009 relatif à l’organisation du diplôme
d’État d’infirmier, 2ème Session de l’année 2008,
VU l’indisponibilité de certains membres du jury,
SUR proposition du directeur de la santé et du développement social,
ARRÊTE
Article 1er. – L’article 2 de l’arrêté du 8 janvier 2009 susvisé est modifié comme suit :
145
– Mme Anne-Marie BALAGA, Cadre de santé, (en remplacement de Mme Marie-Line BOUCHAUT
et Mme Jeanne MATHOURAPARSAD)
Le reste sans changement.
Article 2. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur de la santé et du développement social et la
directrice de l'Institut de formation en soins infirmiers du Centre Hospitalier Universitaire de Pointe-àPitre/Les Abymes sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera
publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Gourbeyre, le 19 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur de la santé et du développement social,
La directrice adjointe,
Jacqueline MADIN
-----------DIRECTION DES SERVICES VÉTÉRINAIRES
Arrêté préfectoral n° 2009-106 PREF/DSV du 30 janvier 2009 portant création de la commission
régionale de la pharmacie vétérinaire de Guadeloupe
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'honneur,
Vu le code de la santé publique, partie législative et réglementaire, et notamment L. 5143-6 L. 5143-7
D. 5143-7 et D. 5143-8 ;
Sur proposition de la directrice des services vétérinaires de Guadeloupe ;
ARRÊTE
Article 1er. – Une commission régionale de la pharmacie vétérinaire est créée. Elle est chargée de
formuler un avis sur les programmes sanitaires d'élevage et de proposer l'agrément des groupements
désignés au premier alinéa de l'article L. 5143-6.
La commission peut être consultée, en tant que besoin, sur les sujets intéressant son domaine de
compétence.
Article 2. – Conformément au décret D. 5143-8 du code de la santé publique, la commission comprend :
1) – Trois représentants de l'État ou leurs suppléants :
•
Le préfet de région, président de la commission ;
•
Le pharmacien inspecteur de santé publique de Guadeloupe ;
•
Le directeur des services vétérinaires ;
2) – Quatre représentants des vétérinaires et des pharmaciens :
•Deux pharmaciens désignés par le préfet de Guadeloupe sur proposition, pour l'un, du conseil
compétent de l'ordre des pharmaciens, pour l'autre, de l'association de pharmacie rurale ;
•Deux vétérinaires désignés par le Préfet de Guadeloupe sur proposition du conseil régional de
l'ordre des vétérinaires ;
3) – Quatre représentants des organisations professionnelles les plus représentatives des groupements
désignés au premier alinéa de l'article L. 5143-6, choisis par le préfet de Guadeloupe sur proposition de la
chambre d'agriculture de Guadeloupe.
Des suppléants des membres désignés aux 2° et 3° sont choisis dans les mêmes conditions que les
titulaires et en nombre égal.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture, la directrice des services vétérinaires sont chargés,
chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes
administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 30 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
146
-----------Arrêté préfectoral n° 2009-107 PREF/DSV du 30 janvier 2009 portant création du Conseil de la
Santé et de la Protection Animales de Guadeloupe (CSPA)
Le préfet de la Région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Vu le code Rural, partie législative et réglementaire, et notamment son livre II, dont les D. 214-1 à 5,
R. 214-1 à 5, D. 223-22-3, R. 223-41, R. 224-1 et suivants,
Vu le décret n° 2006-180 du 17 février 2006 relatif aux plans d'urgence,
Vu le décret 2006-665 du 7 juin 2006 relatif à la réduction du nombre et à la simplification de la
composition de diverses commissions administratives,
Vu le décret n° 2006-672 du 8 juin 2006 relatif à la création, à la composition et au fonctionnement de
commissions administratives à caractère consultatif,
Vu l'arrêté ministériel du 23 juillet 1980 fixant les modalités de fonctionnement des commissions
départementales,
Vu l'arrêté ministériel du 1er mars 1991 modifié relatif à la nomenclature des opérations de prophylaxie
collective intéressant les animaux des espèces bovine, ovine, caprine et porcine telle que prévue à l'article
2 du décret n° 90-1032 du 19 novembre 1990,
Vu l'arrêté du 23 juin 2003 fixant les mesures de lutte contre la peste porcine classique,
Vu l'arrêté du 24 novembre 2005 relatif à l'identification du cheptel porcin,
Vu l'arrêté du 19 décembre 2005 relatif à l'identification des animaux des espèces ovine et caprine,
Vu l'arrêté du 9 mai 2006 abrogeant l'arrêté du 3 septembre 1998 modifié relatif aux modalités de
réalisation de l'identification du cheptel bovin,
Vu l'arrêté du 22 mai 2006 fixant des mesures des mesures techniques et administratives relatives à la
lutte contre la fièvre aphteuse,
Vu l'arrêté du 18 janvier 2008 fixant des mesures techniques et administratives relatives à la lutte contre
l'influenza aviaire,
Vu les propositions du directeur départemental des services vétérinaires,
Sur proposition du secrétaire général de la préfecture,
ARRÊTE
Article 1er. – Un conseil de la santé et de la protection animale (CSPA) est créé.
Composition :
Article 2. – Le Conseil est présidé par le Préfet.
En outre, il est composé des membres suivants :
• Représentants des services de l'État
o le directeur des services vétérinaires ou son représentant,
o le chef du service santé et protection animales de la direction des services vétérinaires ou son
représentant,
o le chef du service faune sauvage de la direction des services vétérinaires ou son représentant,
o le directeur de l'agriculture et de la forêt ou son représentant,
o le directeur régional de l'environnement ou représentant,
o le directeur de l'équipement ou son représentant,
o le directeur de la santé du développement social ou son représentant,
o le directeur départemental de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes
ou son représentant,
o le commandant de gendarmerie départementale ou son représentant,
o le directeur de la sécurité publique ou son représentant,
o le chef du service interministériel régional des affaires civiles et économiques de défense et de la
protection civile ou son représentant,
147
o le directeur des services de secours et d'incendie ou son représentant o le directeur des impôts ou
son représentant,
o le trésorier-payeur général ou son représentant,
o le responsable du service départemental de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage
ou son représentant,
o le directeur du Parc national de Guadeloupe ou son représentant,
o le directeur régional des douanes et droits indirects de Guadeloupe ou son représentant,
• Représentants des collectivités territoriales
o le président du conseil régional ou son représentant,
o le président du conseil général ou son représentant,
o deux conseillers généraux désignés par le conseil général,
o trois maires ou leurs suppléants désignés par l'association des maires de Guadeloupe,
• Représentants des professionnels
o le président de la chambre d'agriculture ou son représentant,
o le président de la chambre de commerce de d'industrie ou son représentant,
o le président du groupement de défense sanitaire ou son représentant,
o le président de l'établissement départemental de l'élevage ou son représentant,
o le directeur de l'établissement départemental de l'élevage ou son représentant,
o le président, ou son représentant, de chaque association d'éleveurs reconnue,
o le président, ou son représentant, de chacune des organisations syndicales départementales à
vocation générale d'exploitants agricoles habilitées en application de l'article 3 du décret n° 90-187
du 28 février 1990 modifié,
o un représentant des organisations syndicales les plus représentatives dans le département et dont
l'objet concerne les prestations commerciales ou le commerce des animaux de compagnie,
o le président de chacune des organisations commerciales de producteurs d'animaux des espèces
bovine, ovine, caprine porcine ou son représentant, o le président de chacune des organisations
commerciales de producteurs de volailles ou son représentant,
o un représentant des commerçants en bestiaux,
o un représentant des abattoirs publics,
o un représentant des abattoirs privés,
o un représentant des centres d'insémination artificielle,
o un représentant de la société canine régionale,
• Représentants de la profession vétérinaire
o un vétérinaire sanitaire sur proposition du président de l'ordre régional des vétérinaires
territorialement compétent ou son représentant,
o le président de l'Association des vétérinaires praticiens libéraux de Guadeloupe ou son
représentant
• Représentants des associations de protection animale et de la faune sauvage
o deux représentants d'associations de protection animale les plus représentatives dans le
département,
o deux représentants d'associations locales de protection de la nature ou d'organismes gestionnaires
de milieux naturels, de la faune et de la flore,
• un représentant de la formation “faune sauvage captive” de la commission départementale des sites,
perspectives et paysages
• un hydrogéologue officiel désigné par le préfet
• un représentant des établissements d'équarrissage
• un représentant de l'enseignement agricole à vocation d'élevage
• autres personnalités qualifiées, compétentes ou impliquées, experts, peuvent être invitées en tant que
de besoin à participer aux travaux, avec voix consultative notamment :
o le directeur de l'Inra Antilles Guyane ou son représentant
o le directeur du CIRAD Guadeloupe site de Duelos ou son représentant,
148
o le directeur de l'Institut Pasteur ou son représentant,
o les responsables de fourrières agrées.
Attributions du CSPA
Article 3. – Le CSPA participe à l'élaboration et à l'application, en Guadeloupe, des réglementations
relatives à la santé, la protection et à l'identification des animaux.
Dans le cadre et selon les dispositions législatives et réglementaires, le conseil exerce les attributions
suivantes :
• Au titre de la santé animale : il est consulté sur les modalités de mise en oeuvre des mesures de lutte
contre les maladies animales ;
• Au titre de la protection animale, il participe à l'harmonisation et à l'évaluation des mesures de police
relatives aux animaux, promeut le bien-être des animaux domestiques et des animaux sauvages
apprivoisés ou tenus en captivité et préconise toute action d'information sur la protection animale
• En matière d'identification des animaux, il est consulté sur les modalités de mise en oeuvre de
l'identification des bovins, ovins, caprins, porcins
Fonctionnement : règles générales
Article 4. – Sous réserve des règles particulières de suppléances :
• le président et les membres du CSPA et/ou des formations spécialisées qui siègent en raison des
fonctions qu'ils occupent peuvent se faire suppléer par un membre du service ou de l'organisme
auquel ils appartiennent.
• un membre désigné en raison de son mandat électif ne peut se faire suppléer que par un élu de la
même assemblée délibérante.
• les personnalités qualifiées ne peuvent se faire suppléer.
Un membre du conseil et/ou des formations spécialisées qui au cours de son mandat décède démissionne
ou perd qualité au titre de laquelle il a été désigné, est remplacé pour la durée du mandat restant à courir
par une personne désignée dans les mêmes conditions.
Article 5. – Le conseil et/ou les formations spécialisées se réunissent sur convocation de leur président,
qui fixe l'ordre du jour. Cette convocation peut être envoyée par tous moyens, y compris par télécopie, ou
par courrier électronique. Il en est de même des pièces ou documents nécessaires à la préparation de la
réunion ou établis à l'issu de celle-ci. Ils peuvent être également réunis dans les conditions prévues par le
décret qui l'instaure.
Article 6. – Le Conseil et/ou les formations spécialisées peuvent, sur décision de leur président, entendre
toute personne extérieure dont l'audition est de nature à éclairer ses délibérations. Les personnes ainsi
entendues ne participent pas au vote.
Avec l'accord du président, les membres du Conseil ou/des formations spécialisées peuvent participer aux
débats au moyen d'une conférence téléphonique ou audiovisuelle. Ce moyen ne peut être utilisé lorsque le
vote est secret.
Fonctionnement lors de consultation obligatoire du CSPA
Article 7. – Cas de la consultation obligatoire du CSPA et/ou des formations spécialisées
La consultation du CSPA et/ou des formations spécialisées est obligatoire lorsque cela est prévu par les
textes réglementaires et notamment dans les cas suivants :
• En cas de recours aux fonctionnaires et agents mentionnés aux articles R. 224-3 et R. 224-4 pour
exécuter si besoin des mesures de prophylaxies collectives.
• Lorsque le préfet est appelé à prendre des décisions relatives à la mise en place d'une prophylaxie
obligatoire et notamment pour déterminer :
o le territoire auquel s'applique cette prophylaxie,
o la période durant laquelle s'applique cette obligation,
o les modalités de mise en oeuvre,
o les tarifs des interventions en cas de désaccord entre les différentes parties chargées de
l'élaboration de la convention prophylaxie, telle que prévue à l'article R. 221-18 du code rural.
149
• Pour lister les abattoirs autorisés à accueillir les animaux marqués en raison de mesures de police
sanitaires.
• Pour arrêter les plans d'urgence départementaux contre les épizooties dont la liste figure à l'article
D. 223-22-1
• Pour définir les modalités d'organisation et d'exécution de l'identification des animaux des espèces
bovine, ovine, caprine, et porcine dans le département.
Article 8. – Le CSPA organise en son sein des formations spécialisées.
Quatre formations spécialisées suivantes sont créées au sein du conseil :
• Formation spécialisée “prophylaxie collective des maladies des animaux”
• Formations spécialisées “identification animale” divisées en 3 sections :
o section bovine
o section petits ruminants
o section porcine
• Formations spécialisées “protection animale” divisées en 3 sections :
o section animaux de compagnie et errance canine
o section animaux de rente
o section animaux de la faune sauvage
• Formation spécialisée “lutte contre les épizooties majeures”
Le conseil peut mettre en place des groupes de travail chargés d'émettre un avis sur les sujets cités à
l'article 3 du présent arrêté.
Article 9. – Sauf urgence, les membres du CSPA reçoivent, cinq jours au moins avant la date de la
réunion, une convocation comportant l'ordre du jour, et, le cas échéant, les documents nécessaires à
l'examen des affaires qui y sont inscrites.
Lorsqu'il n'est pas suppléé, le membre du CSPA peut donner mandat à un autre membre. Nul ne peut
détenir plus d'un mandat.
Article 10. – Le quorum est atteint lorsque la moitié des membres composant le CSPA sont présents, y
compris les membres prenant part aux débats au moyen d'une conférence téléphonique ou audiovisuelle,
ou ont donné mandat.
Lorsque le quorum n'est pas atteint, le CSPA délibère valablement sans condition de quorum après une
nouvelle convocation portant sur le même ordre du jour et spécifiant qu'aucun quorum ne sera exigé.
Article 11. – Le CSPA se prononce à la majorité des voix des membres présents ou représentés. Le
président a voix prépondérante en cas de partage égal des voix.
Les membres du CSPA ne peuvent prendre part aux délibérations lorsqu'ils ont un intérêt personnel à
l'affaire qui en est l'objet.
La violation de cette règle entraîne la nullité de la décision prise à la suite de cette délibération lorsqu'il
n'est pas établi que la participation du ou des membres intéressés est restée sans influence sur la
délibération.
Article 12. – Le procès verbal du CSPA indique le nom et la qualité des personnes présentes, les
questions traitées au cours de la séance et le sens de chacune des délibérations. Il précise, le cas échéant,
le nom des mandataires et des mandants.
Tout membre du CSPA peut demander que soit fait mention de son désaccord avec l'avis rendu. L'avis est
transmis à l'autorité compétente pour prendre la décision. Lorsque le CSPA n'a pas émis son avis dans un
délai raisonnable, l'autorité compétente peut prendre la décision.
Article 13. – Tous les arrêtés préfectoraux antérieurs faisant référence au comité départemental de la
protection animale, au comité départemental de lutte contre les maladies porcines, au comité
départemental de lutte contre les épizooties majeures sont abrogés.
Article 14. – L'arrêté préfectoral n° 2005-1329 PREF/DSV du 8 août 2005 est abrogé.
150
Article 15. – Le secrétaire général de la préfecture, le directeur départemental des services vétérinaires et
les directeurs des administrations concernées sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution
du présent arrêté. Il fera l'objet d'une publication au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 30 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------Arrêté portant création du CSPA Composition du CSPA et des formations spécialisées
CDSPA
Formations spécialisées
Prophylaxie
collective des
maladies des
animaux
Identification
animale
Protection
animale
Lutte contre les
épizooties
majeures
X
X
X
X
X
X
X
X
Représentant des services de l'État
Le directeur des services
vétérinaires ou son
représentant
Le chef du service santé et
protection animales de la DSV
ou son représentant
Le directeur de l'agriculture et
de la forêt ou son représentant
X
Le directeur régional de
l'environnement ou
représentant,
X
Le directeur de l'équipement
ou son représentant
X
Le directeur des affaires
sanitaires et sociales ou son
représentant
X
Le directeur de la concurrence
de la consommation et de la
répression des fraudes ou son
représentant
X
Le commandant de
gendarmerie départementale
ou son représentant
X
X
Le directeur de la sécurité
publique ou son représentant
X
X
Le chef du service
interministériel régional des
affaires civiles et économiques
de défense et de la protection
civile ou son représentant
Le directeur des services de
secours et d'Incendie ou son
représentant
X
X
X
151
Le directeur des impôts ou son
représentant
X
X
Le trésorier-payeur général ou
son représentant
X
Un représentant de
l'ONCFS
X
Le Directeur Régional des
douanes et des droits indirects
de Guadeloupe
X
Le directeur du Parc national
de Guadeloupe ou son
représentant,
X
Représentant des collectivités territoriales
Le président du conseil
régional ou son représentant
X
Le président du conseil général
ou son représentant
X
Deux conseillers généraux
désignés par le conseil général
X
Trois maires ou leurs
suppléants désignés par
l'association départementale
des maires
Représentant des professionnels
Le président de la chambre
d'agriculture ou son
représentant
Le président de la chambre de
commerce ou son représentant
Le président du groupement de
défense sanitaire ou son
représentant
X
X
X
Deux maires
X
X
X
X
X
X
X
Le président de l'établissement
départemental ou
interdépartemental de l'élevage
ou son représentant
X
X
Le président ou son
représentant de chaque
association d'éleveurs
reconnue
X
X
152
Le président ou son
représentant de chacune des
organisations syndicales
départementales à vocation
générale d'exploitants
agricoles habilitées en
application de l'article 3 du
décret n° 90-187 du 28 février
1990 modifié
X
Un représentant des
organisations syndicales les
plus représentatives dans le
département et dont l'objet
concerne les
prestations commerciales ou le
commerce des animaux de
compagnie
X
X
X
X
Le président de chacune des
organisations commerciales de
producteurs d'animaux des
espèces bovine ovine caprine
porcine ou son représentant
X
X
Le président de chacune des
organisations commerciales de
producteurs de volailles ou son
représentant
X
X
Un représentant des
commerçants en bestiaux
Un représentant des abattoirs
publics
Un représentant des abattoirs
privés
X
X
X
X
Un représentant des centres
d'insémination artificielle
X
Un représentant de la société
canine régionale
REPRÉSENTANT DES VÉTÉRINAIRES
X
Un vétérinaire sanitaire sur
proposition du président de
l'ordre régional des
vétérinaires territorialement
compétent ou son représentant
X
X
Le président de l'Association
des Vétérinaires Praticiens
Libéraux de Guadeloupe ou
son représentant
X
X
X
X
X
Représentant des associations de protection animale
153
Deux représentants
d'associations de protection
animale les plus
représentatives dans le
département
X
Deux représentants
d'associations locales de
protection de la nature ou
d'organismes gestionnaires
de milieux naturels de la
faune et de la flore
X
AUTRES
Un représentant de la
formation "faune sauvage
captive" de la commission
départementale des sites
perspectives et paysages
Un hydrogéologue officiel
désigné par le préfet
Un représentant des
établissement
d'équarrissage
Un représentant des
Etablissements
d'enseignement agricole
Le chef de service Eau et
Environnement à la DDAF
971
Le président de
i'IGUAVlEou son
représentant
X
X
X
X
X
X
X
Le président de la
Fédération Départementale
des chasseurs ou son
représentant
X
AUTRES PERSONNES QUALIFIÉES OU COMPÉTENTES
Le directeur du CIRAD
site de Duclos ou son
X
représentant
Le directeur de l'Institut
Pasteur ou son représentant
Le directeur de l'Inra
Antilles Guyane ou son
représentant
Les responsables de
fourrières agrées
X
X
X
X
X
X
------------
DIRECTION DÉPARTEMENTALE DE LA JEUNESSE, DES SPORTS ET DE LA VIE ASSOCIATIVE
Arrêté n° 2009-28 PREF/DDJS portant application des arrêtés préfectoraux n° 2008-1889 et n°
2008-1890 SG/API du 08/12/2008 portant délégation de signature à M. Guilhem SALTEL, directeur
154
départemental de la jeunesse, des sports et de la vie associative de la Guadeloupe pour les affaires
générales et pour l'ordonnancement secondaire
155
Le directeur départemental de la jeunesse, des sports et de la vie associative de la Guadeloupe,
VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des
départements et des régions ;
VU la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales ;
VU le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 modifié portant charte de la déconcentration ;
VU le décret n° 94-169 du 25 février 1994 relatif à l'organisation des services déconcentrés et des
établissements publics relevant du ministre chargé de la jeunesse et de sports ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action des
services de l'État dans les régions et départements modifié par le décret n° 2008-158 du 22 février 2008 ;
VU le décret du 21 novembre 2008 nommant M. Nicolas DESFORGES, préfet de la région Guadeloupe
et représentant de l'État dans les collectivités de Saint-Barthélémy et de Saint-Martin ;
VU l'arrêté du 24 juillet 2008 du ministre de la jeunesse, des sports et de la vie associative portant
nomination de M. Guilhem SALTEL, en qualité de directeur départemental de la jeunesse, des sports et
de la vie associative de la Guadeloupe ;
VU les arrêtés préfectoraux n°2008-1889 et 2008-1890 SG/API du 8 décembre 2008 portant délégation
de signature à M. Guilhem SALTEL, Directeur départemental de la jeunesse, des sports et de la vie
associative de la Guadeloupe pour les affaires générales et pour l'ordonnancement secondaire ;
SUR proposition de M. le directeur départemental de la jeunesse, des sports et de la vie associative de la
Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – En cas d'absence ou d'empêchement de M. Guilhem SALTEL, directeur départemental de
la jeunesse, des sports et de la vie associative, les délégations de signature qui lui sont conférées par les
articles 1er des arrêtés préfectoraux n° 2008-1889 et n° 2008-1890 SG/API du 8 décembre 2008 :
- seront exercées par M. Jean-Luc THÉVENON, inspecteur 1ère classe de la jeunesse et des sports ;
- et en cas d'absence ou d'empêchement de M. Guilhem SALTEL et de M. Jean-Luc THÉVENON,
par :
• M. Patrick BOULEAU, inspecteur 1ère classe de la jeunesse et des sports ;
• M. Max LADIRE, secrétaire général.
Article 2. – M. le directeur départemental de la jeunesse, des sports et de la vie associative est chargé de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifié
au trésorier-payeur général.
Fait à Basse-Terre, le 12 janvier 2009
Pour le préfet,
Le directeur départemental de la jeunesse, des sports et de la vie associative,
Guilhem SALTEL
-----------DIRECTION DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE
Arrêté n° 2009-23 bis PREF/DDTE du 9 janvier 2009 portant application des arrêtés préfectoraux
n° 2008-1887 et 2008-1888 SG/API du 8/12/2008 portant délégation de signature à M. Vincent
LEMAIRE, directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la
Guadeloupe, pour les affaires générales et pour l'ordonnancement secondaire
Le directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe,
VU la loi d'orientation n° 92-125 du 6 février 1992 modifiée relative à l'administration territoriale de la
République ;
VU la loi du 19 mars 1946 érigeant en départements, la Guadeloupe, la Martinique, la Guyane française
et la Réunion,
VU la loi n° 72-619 du 5 juillet 1972 modifiée, portant création et organisation des régions ;
VU la loi n° 82-213 du 2 mars 1982 modifiée relative aux droits et libertés des communes, des
départements et des régions ;
VU la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires,
VU la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique de l'État,
VU le décret n° 92.604 du 1er juillet 1992 modifié portant charte de la déconcentration ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action
des services de l'Etat dans les régions et départements modifié par le décret n° 2008-158 du 22 février
2008 ;
VU le décret du 21 novembre 2008 portant nomination de M. Nicolas DESFORGES, préfet de la
Guadeloupe et représentant de l'État dans les collectivités de Saint-Barthélémy et de Saint-Martin ;
VU le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 modifié, portant charte de la déconcentration,
VU le décret n°99-896 du 20 octobre 1999 modifiant le décret n° 82-390 du 10 mai 1982 relatif aux
pouvoirs des préfets de région, à l'action des services et organismes publics de l'État dans la région et aux
décisions de l'État en matière d'investissement public,
VU le décret n° 99-955 du 17 novembre 1999 relatif à l'organisation des services déconcentrés du
ministère chargé du travail de l'emploi et de la formation professionnelle dans les départements d'outremer et dans fa collectivité territoriale de Saint-Pierre et Miquelon,
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, à l'organisation et à l'action
des services de l'État dans ies régions et départements modifié par le décret n° 2008-158 du 22 février
2008,
VU le décret du 21 novembre 2008, portant nomination de M. Nicolas DESFORGES, en qualité de préfet
de la Région Guadeloupe, préfet de la Guadeloupe et représentant de l'État dans les collectivités de SaintBarthélémy et de Saint-Martin,
VU l'arrêté du ministère des affaires sociales, du travail et de la solidarité n° 223 du 3 février 2004
nommant M. Vincent LEMAIRE, directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la
Guadeloupe,
VU l'arrêté préfectoral n° 2007-2826 SML/BOAC du 5 novembre 2007 accordant délégation de signature
à M. Vincent LEMAIRE, directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la
Guadeloupe,
SUR proposition de M. le directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la
Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – En cas d'absence ou d'empêchement de M. Vincent LEMAIRE, directeur du travail, de
l'emploi et de la formation professionnelle, les délégations de signature qui lui sont conférées par les
articles 1, 2 et 3 des arrêtés préfectoraux n° 2008-1887 et 2008-1888 SG/API du 8 décembre 2008 :
- seront exercées par M. Urbain ARCONTE, directeur du travail délégué ;
- et en cas d'absence ou d'empêchement de M. Vincent LEMAIRE et de M. Urbain ARCONTE par :
• M. Léandre BEAUROY directeur adjoint,
• Mme Huberta CHÉRALDINI directrice adjointe,
• Mme France-Lise MOREAU directrice adjointe,
• M. Jean-Claude MIMIFIR directeur adjoint.
Article 2. – M. le directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle est chargé de
l'exécution du présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture et notifié
au trésorier-payeur général.
Fait à Basse-Terre, le 2 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle,
Vincent LEMAIRE
-----------157
Arrêté du 15 janvier 2009 portant agrément simple d’un organisme de services à la personne
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU la loi n° 2005-841 du 26 juillet 2005 relative au développement des services à la personne,
VU le décret n° 2005-1384 du 7 novembre 2005 relatif à l’agrément des associations et des entreprises de
services à la personne,
VU le décret n° 2005-1698 du 29 décembre 2005 fixant la liste des activités mentionnées à l’article 129-1
du code du travail,
VU la demande d’agrément simple présentée par Mme ABÉNAQUI-DEPORCQ Nicole, présidente de
l’association “Gran Moun An Nou”, le 24 septembre 2008, le dossier étant considéré comme complet le
24 octobre 2008,
Sur proposition du directeur du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L’association “Gran Moun An Nou”, située “Immeuble SCI La Bouillantaise”, 92, rue Abel
Racon, 97125 - Bouillante, SIRET 507 499 390 00015 est agréée en qualité de service à la personne pour
les prestations suivantes :

entretien de la maison et travaux ménagers ;

petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage, la taille des haies et des
arbres, et enlèvement des déchets occasionnés, à l’exclusion des autres travaux forestiers ;

prestations de petit bricolage dites “hommes toutes mains”, à l’exclusion du gros œuvre, second
œuvre et finition de bâtiment ;

préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions, à l’exclusion de
fourniture de denrées alimentaires ;

livraison de repas à domicile à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de
services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, à l’exclusion de la fabrication des
repas hors domicile ;

collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise
dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, à l’exclusion du
repassage hors domicile ;

livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de
services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, (médicaments, livres…) ;

assistance informatique et Internet à domicile, à l’exclusion de l’assistance à distance, réparation,
et vente ;

soins et promenades d’animaux de compagnie, à l’exclusion des soins vétérinaires et toilettage,
(pour les personnes dépendantes) ;

maintenance, entretien et vigilance temporaires, à domicile, de la résidence principale et
secondaire, à l’exclusion des activités privées de sécurité ;

assistance administrative à domicile ;

activités qui concourent directement et exclusivement à coordonner et délivrer les services aux
personnes mentionnées ci-dessus.
Article 2. – L’agrément simple est délivré sous le n° N 150109 A 971 S 002 pour une durée de cinq ans,
à compter du 25 décembre 2008, soit jusqu’au 25 décembre 2013. La demande de renouvellement devra
être déposée au plus tard trois mois avant ce terme.
Article 3. – L’association s’engage à transmettre au Préfet (Direction du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle) le bilan qualitatif et quantitatif prévu à l’article R. 129-4 du code du travail
avant la fin du 1er semestre de l’année suivante et les états statistiques mensuels et annuels.
Article 4. – Cet agrément peut faire l’objet d’avenants en cours de validité pour tenir compte des
modifications d’activité éventuelles.
Article 5. – Cet agrément peut faire l’objet d’un retrait si les engagements pris ne sont pas respectés ou si
les conditions d’attributions ne sont plus remplies. Tout délit relevé par les services de l’État notamment
158
en matière de droit du travail, de concurrence déloyale ou de fraude, entraîne la mise en œuvre de la
procédure de retrait de l’agrément.
L’agrément délivré pour une structure comportant plusieurs établissements peut être modifié lorsqu’ un
de ces établissements se trouve dans un cas de retrait.
La structure qui ne remplit plus les conditions de l’agrément en est avisée par lettre recommandée ; elle
dispose d’un délai qui ne peut être inférieur à quinze jours pour faire valoir ses observations.
Lorsque l’agrément lui est retiré, la structure en informe sans délai l’ensemble des bénéficiaires de ses
prestations par lettre individuelle. A défaut, après mise en demeure restée sans effet, le Préfet compétent
publie, aux frais de la structure, sa décision dans deux journaux locaux.
Fait à Baie-Mahault le 15 janvier 2009
Pour le préfet,
Pr. le directeur du travail de l’emploi et de la formation professionnelle,
Le directeur adjoint,
Jean-Claude MIMIFIR
-----------Copies :
- Conseil Général
- URSSAF
- ANSP Agence Nationale des services à la personne
- Préfecture pour publication au recueil des actes administratifs
-----------Arrêté du 15 janvier 2009 portant agrément simple d’un organisme de services à la personne
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU la loi n° 2005-841 du 26 juillet 2005 relative au développement des services à la personne,
VU le décret n° 2005-1384 du 7 novembre 2005 relatif à l’agrément des associations et des entreprises de
services à la personne,
VU le décret n° 2005-1698 du 29 décembre 2005 fixant la liste des activités mentionnées à l’article 129-1
du code du travail,
VU la demande d’agrément simple présentée par Mme ROCOLAT Katia, présidente de l’association
“Allo Service Plus”, le 16 octobre 2008, le dossier étant considéré comme complet le 29 octobre 2008,
Sur proposition du directeur du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L’association Allo Service Plus, située 16, Allée des Sucriers, Pointe à Bacchus, 97170 Petit-Bourg, SIRET 477 710 487 00018 est agréée en qualité de service à la personne pour les prestations
suivantes :
- Entretien de la maison et travaux ménagers ;
- petits travaux de jardinage, y compris les travaux de débroussaillage, la taille des haies et des arbres,
et enlèvement des déchets occasionnés, à l’exclusion des autres travaux forestiers ;
- prestations de petit bricolage dites “hommes toutes mains”, à l’exclusion du gros œuvre, second
œuvre et finition de bâtiment ;
- préparation des repas à domicile, y compris le temps passé aux commissions, à l’exclusion de
fourniture de denrées alimentaires ;
- livraison de repas à domicile à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de
services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, à l’exclusion de la fabrication des
repas hors domicile ;
- collecte et livraison à domicile de linge repassé, à la condition que cette prestation soit comprise
dans une offre de services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, à l’exclusion du
repassage hors domicile ;
159
- livraison de courses à domicile, à la condition que cette prestation soit comprise dans une offre de
services incluant un ensemble d’activités effectuées à domicile, (médicaments, livres…) ;
- activités qui concourent directement et exclusivement à coordonner et délivrer les services aux
personnes mentionnées ci-dessus.
Article 2. – L’agrément simple est délivré sous le n° N 150109 A 971 S 001 pour une durée de cinq ans,
à compter du 30 décembre 2008, soit jusqu’au 30 décembre 2013. La demande de renouvellement devra
être déposée au plus tard trois mois avant ce terme.
Article 3. – L’association s’engage à transmettre au Préfet (Direction du travail, de l’emploi et de la
formation professionnelle) le bilan qualitatif et quantitatif prévu à l’article R. 129-4 du code du travail
avant la fin du 1er semestre de l’année suivante et les états statistiques mensuels et annuels.
Article 4. – Cet agrément peut faire l’objet d’avenants en cours de validité pour tenir compte des
modifications d’activité éventuelles.
Article 5. – Cet agrément peut faire l’objet d’un retrait si les engagements pris ne sont pas respectés ou si
les conditions d’attributions ne sont plus remplies. Tout délit relevé par les services de l’État notamment
en matière de droit du travail, de concurrence déloyale ou de fraude, entraîne la mise en œuvre de la
procédure de retrait de l’agrément.
L’agrément délivré pour une structure comportant plusieurs établissements peut être modifié lorsqu’ un
de ces établissements se trouve dans un cas de retrait.
La structure qui ne remplit plus les conditions de l’agrément en est avisée par lettre recommandée ; elle
dispose d’un délai qui ne peut être inférieur à quinze jours pour faire valoir ses observations.
Lorsque l’agrément lui est retiré, la structure en informe sans délai l’ensemble des bénéficiaires de ses
prestations par lettre individuelle. A défaut, après mise en demeure restée sans effet, le Préfet compétent
publie, aux frais de la structure, sa décision dans deux journaux locaux.
Fait à Baie-Mahault le 15 janvier 2009
Pour le préfet
Pr. le directeur du travail de l’emploi et de la formation professionnelle,
Le directeur adjoint,
Jean-Claude MIMIFIR
-----------Copies :
- Conseil Général
- URSSAF
- ANSP Agence Nationale des services à la personne
- Préfecture pour publication au recueil des actes administratifs
-----------Arrêté modificatif du 22 janvier 2009 portant agrément qualité d'un organisme de services à la
personne
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
Chevalier de l'Ordre National du Mérite,
VU la loi n° 2005-841 du 26 juillet 2005 relative au développement des services à la personne,
VU le décret n° 2005-1384 du 7 novembre 2005 relatif à l'agrément des associations et des entreprises de
services à la personne,
VU le décret n° 2005-1698 du 29 décembre 2005 fixant la liste des activités mentionnées à l'article
D. 7231-1 du code du travail,
VU les articles R. 7232 et suivants du code du travail relatif à l'agrément des organismes de services à la
personne,
VU le courrier du 27 octobre 2008 de M. le directeur du travail de l'emploi et de la formation
professionnelle de la Guadeloupe,
160
VU le courrier du 30 octobre 2008 de Mme la gérante de l'entreprise “Happy Child”, 97133 – SaintBarthélémy relative à la cession du fond de commerce de l'établissement de Saint-Martin,
Sur proposition du directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle de la Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – L'article 1er de l'arrêté du 5 juillet 2007, portant agrément qualité n° N 050707 F 971 Q
017 de services à la personne a l'entreprise “Happy Child”, située route de l'Étang, Grand Cul de Sac,
97133 – Saint-Barthélémy, SIRET n° 481 896 009 00026, est modifié compte tenu de la cession du fond
de commerce de l'établissement de Saint-Martin.
Article 2. – L'entreprise Happy Child, située à Saint-Barthélémy, SIRET n° 481 896 009 00026 – code
APE 853 G est agréée, en qualité uniquement pour le territoire de Saint-Barthélémy pour les activités de
services à la personne :
– garde d'enfant à domicile de + 3 ans ;
– accompagnement d'enfants de + 3 ans dans leurs déplacements, à la condition que cette prestation
soit comprise dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées à domicile ;
– soutien scolaire a domicile ou cours a domicile, a l'exclusion des cours distance (par Internet),
conseil et accompagnement ;
– garde d'enfants à domicile de - de 3 ans ;
– accompagnement des enfants de - de 3 ans dans leurs déplacements en dehors de leur domicile
(promenades, transports, actes de la vie courante) à la condition que cette prestation soit comprise
dans une offre de services incluant un ensemble d'activités effectuées a domicile, a l'exclusion du
transport scolaire.
Article 3. – Le présent arrêté ne modifie pas les autres articles de l'arrêté initial du 5 juillet 2007 qui
restent en vigueur.
Fait a Baie-Mahault le 22 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Pr. le directeur du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle,
Le directeur adjoint du travail,
Jean-Claude MIMIFIR
-----------Copies :
– Collectivité Outre Mer de Saint-Martin
– Collectivité de Saint-Barthélemy
– URSSAF
– ANSP
– Préfecture pour publication au recueil des actes administratifs
– M. le Directeur Adjoint/DTEFP de Saint Martin
-----------DIRECTION RÉGIONALE DES AFFAIRES CULTURELLES
Arrêté n° 2009-25 PREF/DRAC du 12 janvier 2009 portant refus de licence d’entrepreneur de
spectacles à M. Christian-Georges EDWIGE HENRY-LÉO
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le traité sur l’Union Européenne et les traités instituant les communautés européennes ;
VU le code du commerce et notamment son article 632 ;
VU le code de la sécurité sociale et notamment ses articles L. 242.I, L. 415.3 et L. 514.I ;
VU le code du travail ;
VU l'ordonnance n° 45-2339 du 13 octobre 1945 modifiée relative aux spectacles ;
VU la loi n° 99-198 du 18 mars 1999 portant modification de l’ordonnance 45-2339 du 13 octobre 1945
relative aux spectacles ;
161
VU la loi d'orientation n° 92-125 du 6 février 1992 modifiée relative à l'administration territoriale de la
République ;
VU le décret n° 82-389 du 10 mai 1982 modifié relatif aux pouvoirs du préfet et à l'action des services et
organismes publics de l'État dans les départements ;
VU le décret n° 82-390 du 10 mai 1982 modifié relatif aux pouvoirs des préfets de région, à l'action des
services et organismes publics de l'État dans la région et aux décisions de l'État en matière
d'investissements publics ;
VU le décret n° 92-604 du 1er juillet 1992 portant charte de la déconcentration ;
VU le décret n° 2000-609 du 29 juin 2000 pris pour application des articles 4 et 10 de l’ordonnance n°
45-2339 modifiée ;
VU l’arrêté du 29 juin 2000 pris en application du deuxième alinéa de l’article 4 du décret n° 2000-609
du 29 juin 2000 pris pour application des articles 4 et 10 de l’ordonnance n° 45-2339 modifiée ;
VU l’arrêté du 26 novembre 2001 n° 013232 fixant la composition de la commission consultative
régionale des licences d’entrepreneur de spectacles ;
VU l’arrêté du 24 juillet 2008 modifiant l’arrêté du 29 juin 2000 pris en application du deuxième alinéa
de l’article 4 du décret n° 2000-609 du 29 juin 2000 pris pour application des articles 4 et 10 de
l’ordonnance n° 45-2339 du 13 octobre 1945 modifiée ;
VU l’avis de ladite commission dans sa séance du 26 novembre 2008 ;
CONSIDÉRANT que le candidat n’a pas rempli les conditions exigées par la législation en vigueur ;
SUR proposition du secrétaire général pour les affaires régionales,
ARRÊTE
Article 1er. – Les licences d’entrepreneur de spectacles de 2ème et 3ème catégories demandées par :
– M. Christian-Georges EDWIGE HENRY-LÉO
• pour le compte de la Sarl Anyway Organisation,
• dont le siège social est : 701 rue A. Lumière -ZI de Jarry -97122 Baie-Mahault,
• en tant que producteur et diffuseur de spectacles,
sont refusées.
Article 2. – Les infractions à la réglementation relative aux spectacles, visée ci-dessus, ainsi qu’aux lois
sociales peuvent entraîner l’application des mesures prévues dans les textes (article 11 de l’ordonnance
du 13 octobre 1945 modifiée et article 8 du décret n° 2000-609 du 29 juin 2000).
Article 3. – Le secrétaire général pour les affaires régionales et le directeur régional des affaires
culturelles de la Guadeloupe sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté
qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture de la région Guadeloupe.
Fait à Basse-Terre, le 12 janvier 2009
Pr. le préfet et par délégation,
Le directeur régional des affaires culturelles,
Laurent HEULOT
-----------Arrêté n° 2009-69 PREF/DRAC/MH du 19 janvier 2009 portant inscription au titre des
monuments historiques de la maison BOUGENOT à Basse-Terre
Le préfet de la région Guadeloupe,
Chevalier de la Légion d'Honneur,
VU le code du patrimoine, livre VI, titres 1 et 2 ;
VU l'arrêté n° 2007-487 du 30 mars 2007 relatif aux monuments historiques et aux zones de protection
du patrimoine architectural, urbain et paysager ;
VU le décret n° 99-78 du 5 février 1999 modifie relatif à la commission régionale du patrimoine et des
sites et a l'instruction de certaines autorisations de travaux ;
VU le décret n° 2004-374 du 29 avril 2004 relatif aux pouvoirs des préfets, l'organisation et a Faction des
services de l'Etat dans les régions ;
162
VU l'avis de la commission régionale du patrimoine et des sites de Guadeloupe entendue en sa séance du
13 novembre 2007 ;
VU les autres pièces produites et jointes au dossier ;
CONSIDÉRANT que la maison Bougenot à BASSE-TERRE présente, au point de vue de l'histoire et de
l'art, un intérêt suffisant pour en rendre désirable la préservation en raison de sa qualité architecturale et
afin de préserver l'organisation de cet ensemble.
ARRÊTE
Article 1er. – Est inscrite au titre des monuments historiques,
La maison BOUGENOT, en totalité, avec le sol de sa parcelle située rue du Champ d'Arbaud, 97100 –
Basse-Terre, figurant au cadastre section AM, parcelle 270, d'une contenance de 3 a 24 ça, appartenant à
la Ville de Basse-Terre, Guadeloupe.
La Ville de BASSE-TERRE est propriétaire de cette parcelle par acte administratif du 20 juin 1996 de
Mme Lucette MICHAUX-CHEVRY, maire de Basse-Terre, publié et enregistré à la conservation des
hypothèques de Basse-Terre le 1er juillet 1996, volume 1996 P, n° 1085.
Article 2. – En cas de contestation, les dispositions du présent arrête peuvent faire l'objet d'un recours
contentieux dans le délai de deux mois a compter de la date de notification, a deposer au greffe du
tribunal administratif de Basse-Terre, quartier d'Orleans, Allée Maurice Micaux, 97109 – Basse-Terre
cedex, la date de dépôt faisant foi.
Article 3. – Le présent arrête, dont une ampliation sera adressée au ministre de la culture et de la
communication, sera publie au bureau des hypothèques de la situation de l'immeuble inscrit, et au recueil
des actes administratifs de la préfecture de région.
Article 4. – II sera notifie au préfet de région, au maire de la commune et au propriétaire, intéresses qui
seront responsables, chacun en ce qui le concerne, de son exécution.
Fait à Basse-Terre, le 19 janvier 2009
Pr. le préfet,
Le secrétaire général de la préfecture,
Hubert VERNET
-----------DIRECTION RÉGIONALE DES DOUANES ET DROITS INDIRECTS DE GUADELOUPE
Arrêté n° 2009-15 du 8 janvier 2009 SG/API accordant subdélégation de signature,
Le directeur régional des douanes et droits indirects,
Vu le décret n° 2008-158 du 22 février 2008 relatif à la suppléance des préfets de région et à la délégation
de signature des préfets,
Vu l'arrêté préfectoral n° 2008-1924 SG/API du 8 décembre 2008 accordant une délégation de signature à
M. Joël DEUDON, directeur régional des douanes et droits indirects en tant que responsable de BOP et
d'UO pour l'ordonnancement secondaire des recettes et des dépenses imputées sur les programmes du
budget de l'État, énumérés dans l'arrêté visé,
Vu l'arrêté préfectoral n° 2008-1923 SG/API du 8 décembre 2008 accordant une délégation de signature à
M. Joël DEUDON, directeur régional des douanes et droits indirects, pour tous les actes et décisions
relatifs au fonctionnement de la direction des douanes de Guadeloupe,
ARRÊTE
Article 1er. – M. Joël DEUDON, directeur régional des douanes et droits indirects subdélègue sa
signature en cas d'absence ou d'empêchement à :
– M. Jean Max SIDAMBAROMPOULE, directeur des services douaniers, chef de pôle orientation
des contrôles,
– Mme Elisabeth REZEL, inspectrice principale, chef de pôle BOP-GRH-logistique
– Mme Bernadette MONGES-LESCARRET, inspectrice principale, chef de pôle action économique.
163
Article 2. – Toutes dispositions antérieures au présent arrêté sont abrogées.
Article 3. – Le secrétaire général de la préfecture, le secrétaire général pour les affaires régionales et le
directeur des douanes et droits indirects, sont chargés chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du
présent arrêté qui sera publié au recueil des actes administratifs de la préfecture.
Fait à Basse-Terre, le 8 janvier 2008
Le directeur régional des douanes et droits indirects,
Joël DEUDON
-----------PRÉFECTURE DE LA RÉGION MARTINIQUE
BUREAU ACTION DE L'ÉTAT EN MER
Arrêté préfectoral n° 09-00226 du 20 janvier 2009 portant renouvellement d'autorisation de mettre
en oeuvre une hélisurface à bord du navire “EVVIVA”
Le Préfet de la Région Martinique
Délégué du Gouvernement pour l'action de l'État en mer aux Antilles
Officier de la Légion d'Honneur
Commandeur de l'Ordre National du Mérite
VU la loi du 17 décembre 1926 modifiée portant code disciplinaire et pénal de la marine marchande et
notamment son article 63 ;
VU les articles L131 -13 et R 610-5 du code pénal ;
VU le code de l'aviation civile ;
VU le règlement international pour prévenir les abordages en mer ;
VU le décret n° 91-660 du 11 juillet 1991 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation
aérienne ;
VU le décret n° 98-802 du 3 septembre 1998 portant création de la réserve naturelle de Saint Martin (île
de Saint Martin, Guadeloupe), et notamment son article 20 ;
VU le décret n° 2005-1514 du 06 décembre 2005 relatif à l'organisation des actions de l'État en mer au
large des départements et territoires d'outre-mer et de la collectivité territoriale de Mayotte ;
VU l'arrêté du 22 février 1971 portant réglementation des hélisurfaces aux abords des aérodromes ;
VU l'arrêté du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d'utilisation des aéronefs civils en aviation générale ;
VU l'arrêté du 13 mars 1992 relatif aux plans de vol ;
VU l'arrêté interministériel du 6 mai 1995 sur les aérodromes et autres emplacements utilisés par les
hélicoptères, et notamment son article 14 ;
VU l'avis des administrations et services consultés ;
CONSIDÉRANT qu'il est nécessaire de réglementer l'activité aérienne des aéronefs privés évoluant à
partir de yachts privés dans l'espace aérien associé à la Martinique, à la Guadeloupe et aux Iles du Nord,
SUR proposition du Secrétaire Général de la Préfecture ;
ARRÊTE
Article 1er. – À compter de la date de publication du présent arrêté, l'hélicoptère : ELL 206 immatriculé
N 997PM.
est autorisé à utiliser l'hélisurface constituée par le yacht “EVVIVA”
effectuer des vols privés au bénéfice du propriétaire du navire lorsqu'il navigue dans les eaux territoriales
de la Martinique et de la Guadeloupe.
Article 2. – Seuls les pilotes Charlene Ann Edson et John Orin Edson sont autorisés à utiliser
l'hélisurface.
Article 3. – Cet arrêté n'est pas applicable à l'intérieur des limites administratives des ports de la zone dont les
autorités de police sont compétentes pour réglementer l'activité.
L'utilisation de l'hélisurface est soumise à l'autorisation préalable du délégué territorial de l'Aviation
civile compétent avant chaque vol ou chaque série de vols :
164
• dans une zone de 8 kilomètres de rayon autour des aérodromes de Martinique Aimé Césaire et du
Raizet,
• dans une zone de 2,5 kilomètres de rayon autour de l'aérodrome de Saint-Martin.
Enfin, l'utilisation de l'hélisurface précitée est strictement interdite :
Lorsque le navire est à quai ou navigue dans une bande de 300 mètres mesurés à partir du rivage,
En baie de Gustavia (île de Saint Barthélémy), à l'est d'une ligne joignant la Pointe à Corossol au Fort
Oscar (référence : carte SHOM n° 7472)
Pour le décollage ou l'atterrissage de vols à destination ou en provenance directement de l'étranger.
Le survol de la réserve naturelle de Saint-Martin (île de Saint Martin, Guadeloupe) est interdit à moins de
300 mètres au-dessus du sol.
Article 4. – Lorsque les hélicoptères mentionnés à l'article 1er effectuent un vol à destination ou en
provenance de l'étranger, ils doivent accomplir systématiquement au préalable les formalités de douane et
de police dans l'aérodrome français le plus proche ouvert à ces opérations.
Article 5. – Le présent arrêté n'emporte aucune dérogation aux règles de l'air, notamment à celles
relatives :
• aux restrictions de l'espace aérien,
• au survol des régions maritimes par les aéronefs en vol VFR,
• aux altitudes minimales de survol au dessus de la surface et des obstacles fixes ou mobiles.
En outre, l'utilisation de l'hélisurface est soumise aux dispositions de l'arrêté du 6 mai 1995 susvisé et en
particulier à ses articles 12, 15-2,15-3, 16 et 17 et à celles de l'arrêté du 24 juillet 1991 relatif aux
conditions d'emploi des aéronefs en aviation générale.
Article 6. – Dans le cas où les décollages et atterrissages sont effectués dans un espace de classe D dont le
plancher est la surface :
• les décollages sont soumis à la clairance préalable de l'organisme gestionnaire de l'espace,
• les atterrissages font l'objet d'une clôture préalable du vol auprès de l'organisme gestionnaire de
l'espace.
De plus, les règles suivantes sont appliquées :
• l'aire d'atterrissage est libre de tout obstacle et isolée par tous moyens appropriés. Seules y ont accès
les personnes strictement nécessaires au bon déroulement des opérations,
• lors des survols, l'appareil conserve une altitude telle qu'il soit toujours en mesure de regagner un
terrain dégagé sans dommage pour les personnes et les biens au sol,
• les trajectoires d'arrivée et de départ de l'hélisurface évitent le survol des agglomérations et de
rassemblement de personnes,
• les documents du pilote et de l'aéronef sont conformes à la réglementation en vigueur et en cours de
validité. Le pilote doit en particulier être titulaire d'une carte, en cours de validité, d'autorisation
permanente d'utilisation des hélisurfaces,
• l'hélicoptère utilisé emporte un équipement conforme à la réglementation en vigueur.
Article 7. – Dès son entrée dans les CTR des aérodromes du Lamentin et du Raizet, des zones de
circulation d'aérodrome de Saint Martin, Saint Barthélémy et Marie-Galante ou des aérodromes
départementaux de la Guadeloupe, le pilote de l'hélicoptère prend contact avec les différents organismes
de contrôle, dont les fréquences figurent dans les publications aéronautiques officielles, mise à jour de
manière permanente et systématique.
Article 8. – Les indicatifs et le type d'appareil mis en œuvre sont communiqués avant le début de la
période d'utilisation de ï'hélisurface au service de contrôle de la circulation aérienne de l'aéroport de
Martinique Aimé Césaire (Bureau de piste de l'aérodrome de Fort-de-France : Tel : 05 96 42 25 24, Fax :
05 96 51 10 63) et du Raizet (Bureau de piste de l'aérodrome de Pointe à Pitre : Tel : 05 90 48 21 43, Fax
05 90 48 21 40).
Article 9. – La présente autorisation est valable un an à compter de la date de sa signature.
165
Article 10. – Les infractions au présent arrêté exposent leurs auteurs aux poursuites et peines prévues par
le code de l'aviation civile et par les articles L131-13 et R610-5 du code pénal ainsi que l'article 63 de la
loi du 17 décembre 1926 portant code disciplinaire et pénal de la marine marchande.
Article 11. – Les personnes énumérées à l'article L 150-13 du code de l'aviation civile, les officiers et
agents chargés de la police de la navigation, les officiers et agents de police judiciaire, les agents des
douanes sont chargés, chacun en ce qui les concerne, de l'exécution du présent arrêté.
Article 12. – Le présent arrêté sera publié au recueil des actes administratifs des Préfectures des régions
Martinique et Guadeloupe.
Fort-de-France, le 2 0 janvier 2009
Préfet de la région Martinique
Délégué du gouvernement pour l'action de l'État en mer aux Antilles
Ange MANCINI
-----------DESTINATAIRE : EVVIVA
COPIES :
Préfecture de la région Martinique
(pour insertion au RAA)
Préfecture de la région Guadeloupe
(pour insertion au RAA)
Sous-préfecture de Saint Martin et Saint Barthélémy
BP 373
97054 SAINT MARTIN Cedex
Commandement de la Marine aux Antilles
BP 619
97 261 Fort-de-France Cedex
Direction régionale de l'aviation civile Antilles-Guyane
11, rue des Hibiscus - BP 644 97262 Fort-de-France Cedex
District aéronautique Guadeloupe
BP 460
97164 Pointe à Pitre Cedex
District aéronautique Martinique
Aéroport du Lamentin
97232 Le Lamentin
Commandement des forces aériennes aux Antilles
BP 606 Air
97261 Fort-de-France Cedex
Direction régionale des affaires maritimes de la Martinique
Boulevard chevalier Sainte-Marthe
BP 620 97261 Fort-de-France Cedex
Direction régionale des affaires maritimes de la Guadeloupe
1, Quai Layrle - BP 473 97164 Pointe à Pitre Cedex
Direction interrégionale des Douanes
BP 630
97261 Fort-de-France Cedex
Direction interrégionale de la police aux frontières
Aéroport de Fort-de-France Le Lamentin 97232 Le Lamentin
Groupement de gendarmerie de Martinique
Caserne Redoute - BP 616 97261 Fort-de-France Cedex
Groupement de gendarmerie de Guadeloupe
Caserne Morne Houël -97120 Saint-Claude
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Arrêté préfectoral n° 2009-00010 portant renouvellement d'autorisation de mettre en oeuvre une
hélisurface à bord du navire “SKAT”
Le Préfet de la Région Martinique
Délégué du Gouvernement pour l'action de l'État en mer aux Antilles
Officier de la Légion d'Honneur
Commandeur de l'Ordre National du Mérite
VU la loi du 17 décembre 1926 modifiée portant code disciplinaire et pénal de la marine marchande et
notamment son article 63 ;
VU les articles L. 131-3 et R. 610-5 du code pénal ;
VU le code de l'aviation civile ;
VU le règlement international pour prévenir les abordages en mer ;
VU le décret n° 91-660 du 11 juillet 1991 relatif aux règles de l'air et aux services de la circulation
aérienne ;
VU le décret n° 98-802 du 3 septembre 1998 portant création de la réserve naturelle de Saint Martin (île
de Saint-Martin, Guadeloupe), et notamment son article 20 ;
VU le décret n° 2005-1514 du 6 décembre 2005 relatif à l'organisation des actions de l'État en mer au
large ; des départements et territoires d'outre-mer et de la collectivité territoriale de Mayotte ;
VU l'arrêté du 22 février 1971 portant réglementation des hélisurfaces aux abords des aérodromes ;
VU l'arrêté du 24 juillet 1991 relatif aux conditions d'utilisation des aéronefs civils en aviation générale ;
VU l'arrêté du 13 mars 1992 relatif aux plans de vol ;
VU l'arrêté interministériel du 6 mai 1995 sur les aérodromes et autres emplacements utilisés par les
hélicoptères, et notamment son article 14 ;
VU l'avis des administrations et services consultés ;
CONSIDÉRANT qu'il est nécessaire de réglementer l'activité aérienne des aéronefs privés évoluant à
partir de yachts privés dans l'espace aérien associé à la Martinique, à la Guadeloupe et aux Iles du Nord,
SUR proposition du secrétaire général de la préfecture ;
Aux altitudes minimales de survol au dessus de la surface et des obstacles fixes ou mobiles.
En outre, l'utilisation de l'hélisurface est soumise aux dispositions de l'arrêté du 6 mai 1995 susvisé et en
particulier à ses articles 12, 15-2,15-3, 16 et 17 et à celles de l'arrêté du 24 juillet 1991 relatif aux
conditions d'emploi des aéronefs en aviation générale.
Article 6. – Dans le cas où les décollages et atterrissages sont effectués dans un espace de classe D dont
le plancher est la surface :
– les décollages sont soumis à la clairance préalable de l'organisme gestionnaire de l'espace,
– les atterrissages font l'objet d'une clôture préalable du vol auprès de l'organisme gestionnaire de
l'espace.
De plus, les règles suivantes sont appliquées :
– l'aire d'atterrissage est libre de tout obstacle et isolée par tous moyens appropriés. Seules y ont accès
les personnes strictement nécessaires au bon déroulement des opérations,
– lors des survols, l'appareil conserve une altitude telle qu'il soit toujours en mesure de regagner un
terrain dégagé sans dommage pour les personnes et les biens au sol,
– les trajectoires d'arrivée et de départ de Phélisurface évitent le survol des agglomérations et de
rassemblement de personnes,
– les documents du pilote et de l'aéronef sont conformes à la réglementation en vigueur et en cours de
validité. Le pilote doit en particulier être titulaire d'une carte, en cours de validité, d'autorisation
permanente d'utilisation des hélisurfaces,
– l'hélicoptère utilisé emporte un équipement conforme à la réglementation en vigueur.
Article 7. – Dès son entrée dans les CTR des aérodromes du Lamentin et du Raizet, des zones de
circulation d'aérodrome de Saint Martin, Saint Barthélémy et Marie-Galante ou des aérodromes
départementaux de la Guadeloupe, le pilote de l'hélicoptère prend contact avec :
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– l'aérodrome du Lamentin sur 118,5 Mhz,
– l'aérodrome du Raizet sur 118,4 Mhz,
– l'aérodrome de Saint Barthélémy sur 118,45 Mhz
– l'aérodrome de Saint Martin Grand'Case sur 119,2 Mhz
– l'aérodrome de Marie-Galante sur 119,3 Mhz.
Les usagers de la Désirade, des Saintes, de Saint François ou Baillif sur 123,5 Mhz, et maintient cette
liaison radio en permanence.
Article 8. – Les indicatifs et le type d'appareil mis en œuvre sont communiqués avant le début de la
période d'utilisation de l'hélisurface au service de contrôle de la circulation aérienne du Lamentin (Bureau
de piste de l'aérodrome de Fort-de-France : Tel : 05 96 42 25 24, Fax : 05 96 51 10 63) et du Raizet
(Bureau de piste de l'aérodrome de Pointe à Pitre : Tel : 05 90 48 21 43, Fax 05 90 48 21 40).
-----------AVIS ET COMMUNICATIONS
BUREAU DE L'URBANISME, DE L'ENVIRONNEMENT ET DU CADRE DE VIE
Extrait de la délibération du conseil municipal de la commune de Gourbeyre, en date du 13 février
2008
Le conseil municipal de la commune de Gourbeyre, réuni en séance le 13 février 2008 a autorisé le maire
à engager la procédure de délimitation de zones de publicité autorisée et de zones de publicité restreinte
et à solliciter le préfet de la région Guadeloupe pour la constitution du groupe de travail en vue de
l'élaboration de ce règlement, conformément aux dispositions des articles L. 581-1 et suivants et R. 58136 et suivants du code de l'environnement.
-----------Extrait de la délibération du Conseil municipal de la commune de Baie-Mahault en date du 23 juin
2008
Le conseil municipal de la commune de Baie-Mahault réuni en séance le 23 juin 2008 a autorisé le Maire
à engager la procédure de délimitation de zones de publicité autorisée et de zones de publicité restreinte
et à solliciter le préfet de la région Guadeloupe pour la constitution du groupe de travail en vue de
l'élaboration de ce règlement, conformément aux dispositions des articles L. 581-1 et suivants et R. 58136 et suivants du code de l'environnement.
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