DEPOTES - Bibliothèque municipale de Senlis

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DEPOTES - Bibliothèque municipale de Senlis
CINQ CEN'it’TMEg — Le
78* année, — A®8
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BaDlis et Oise*
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b u r e a u x , r é d a c t io n
On i*AMinrB aux B ureaox du J o a n u l e t dtnS to w
les bureaux de poste. — L ’ibonnem ent est payabU
d^’a ran ce et eouti&ue de plein d roit jusqu à réception
S E N I iI S
d'ark eontiaire.
Ir.
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parfont da
Zioe Abona
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Paraissant le Jeudi ét fé DimancS^ •
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OH N’ACCEPTS fia D'dnEBTIOH AO-SESSOnS SE 1 EBAHO
O i(iO'«<la S g i a
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Les umonçes, téclames, etc., cq^icernant Paris et les iDépartcments sont re^ ef directsmsDt ,
aux .bureaux du -joumaL.
^ y
Les mamüscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus.
oa du iS ds cbaqaa mode
— Je suis M. lienry CJiéron, sous-'» êtaire ,
ce point, n’a pas voulm suivre le mi­
coup dé parapluie dans 'l’œ il le com m is^
d’Etal à la Guerre, dit l’un des perr- âges ; :
La dénonciation du contrat était
saire de la Sûreté générale Baiior.
i
nistre des finances ; il s’est contenté je
viens visiter le quartier.
'
;
d’autant plus facile à obtenir que le
’ Le sém inaire, qui était désert, a été vi-,
de voter un droit de I fr. 50 0/0 c’est-àL’adjudant se nul à la dispositioB'^âès'îarrisité de fond en com ble. Il a fallu enfoncer:
contrat n avait pas de limites et qu ü
dire
d’augmenter
de
0
fr.
50
le
droit
IS e tx lc e télégraphique spéalall
vanlsaveu
l'unipresseuient
qu’on
devine
et la
u n e demi-douzaiiie de portes.
j
peut parconséqueiit prendre fin à tout
appliqué aujourd’hui. C’est déjà fort visite Commença, Mais un sous-officier sa u |i1 Même à certain m om ent, par suite d’uno^
çonneux
ou
simplement
trop
curieux^
<ÿi
Séance d u m a tin 2 5 J a n v ie r 19 O t
moment et après décision d’une des
m éprise, o u e s t entré dans la basilique oiii
élevé. La Suisse ne-perçoit rien de ce -^01x1011 pas de vue M. Chéron, s’aperçu t'^ e ne
la
deux parties contractantes. Le onze
se tenaient 150 Icm m es avec deux prêtres.
chef. La Hollande a une taxe de 10
arhe du prétendu Sous-secrétaired’EW à la
La séance est ouverte à 9 h .
sons la .
Celles-ci se sont iiiTses à pleurer, puis à
ianvier dernier, les patrons ont donc présidence
centimes, l’Angleterre de 50 centimes, Guerre était postiche. li préyint d ir e c ^ e n l
de M. Antonin DubosL Qul m et j clianter des cantiques qnami elles out vu
dénoncé cette convention et ont repris on discussion l’article 23 de la loi de finan­
TAllemagnede 60 centimes. Chez nous, i’adjudant, qui résolut de punir le modifica­
la gendarm erie occuper l’église.
|
Après avoir promené ie faux livaih iroa
leur liberté de traitei-, chacun de gré à ces (article 42 du texte de la Chambre) qu i : ; Des iiom m es postés dans le clocher,
le droit qui était de 50 céntimes avant teur.
par les chambrées et les cuisines, iilè d )n d u tporte
à
2
francs
le
droit
actuel
d
ü
n
franc
h ’.ayant jou é que le rôle -de vigies à l’apL’application de la loi s u r le re p o s gré, avec leurs ouvriers laqhestion de par 100 kilogram m es de sucre rafline, les
1898, a été porté, cette année là à 1 fr. sit vers les locaux de la salle do pcüce. *
’prôclie des tVoupes, n’ont pas été inquiétés.
liebdoinadaire a v ait été accueillie, p a r salaire.
. ,
Le voilà à 1 fr. 50. Il n’y aurait pas de
— Entrez dans une de ces eelluies, m otsieur
recettes étant destinées à payer les détaxes
!
U ne c u ltu e lle schism .nlliiuo
Cette décision a été communiquée de distancé.
les ouvriers b o u lan g e rs, to u t d ab o rd
. ____-.t
raison pour s’arrêter. Or, si les autres le ministre, lui dit-il gracieusement; .voyez
1
P
aris.—
UeJouyjial
offtcid
yi
an
n
on
cé
la
M. T o u ro n développe u n a m en d em en t,
quel souci d’une hygiène démoèrafique
par ministère d’huissier à la Chambre
avec un en th o u sia sm e in d escrip tib le.
pays ne tendent pas à accroître ce avec
elles sont-inslaliées.
avec ïun grand nombre de constitution d’une association c u ltu elle
, l ’il aa déposé avec
Le Syndicat ou v rier fa isa n t cau se com - Syndicale des ouvriers. Le compagnon qu’il
droit, plus qu’aucun autre nous devons
catholique, apostolique e lfra n ia ise .T iie l.eEt, ce' disant, il poussait dedans le ^ éten d u
ses collègues et qui
f
e
u
r
faifobsèrv|?
gendre,
22
bis,
dans
l’ancienne
chapelle
des
munê avec la C onfédération g é n é ra le iW sq u et et son camarade Savoie ont I droit d’un franc. X’r
nous
garder
de
l’augmenter,
puiscpie
ministre
et
l’enfermait
à
double
tour.
L’o—
— — BarnaWtes.
. ,
t nous sommes, en réalité, le plus grand
Le lendemain matin, quand on relfidia le
du T ravail, a v ait p ris les m esu res n é ­ refusé de^reçevoir lexploit de Inuis- que l’im pôt su r le sucre n ’est que de lu
L’ôrgauisateur do celte association, M.
mystifié, on prit son nom’êt l’on
sier. Ceci n’a aucune importance : les francs 50 e n Angleterre est de 17 tr. 50 e n , I ','Villate,est
cessaires p o u r im p o ser a u x p a tro n s
marché de capitaux. Or, c’est frapper mystificateur
un ancien prêtre, qui se fit nomA
llem
agne.
Or,
en
France,
il
est
de
&
frv;
s’aperçut
que l’on avait eu afihire au rôdapteur
la stric te o h s e n a tio n de la nouvelle boulangers ne sont plus soumis a C’est déjà beaucoup. A la rigueur, M. Tou-j jmer évêque dans l’Inde par les protestants
indirectement ce commerce des capi­ d’un journal des plus blocards et { m ed ^ iè r e- •
l’ancien tarif et, par conséquent, ron accepterait u n relèvem ent de cinquanta; appelés vieux catholiques. Il vint ensuite a, taux, véritable produit que nous expor- ment cher à M. Clémenceau.
i*
jioiu e, proposant de se convertir, si ou lui
^%n s’était dit que si le gouveme- pêuvent régler leurs employés à la centim es.
tons par des placements àl’étranger. Le
. ,
'
assurait des appointem ents. Ou refusa sa
1.0
m
in
istre
appuie
le
relèvem
ent
pro-,
P
eut
prendre
le
tramway/*^journée
et
non
à
la
semaine.
ment faisait preuve de mollesse ou
Sénat, à ce sujet, a adopté, après une
'conversion.
Ainsi disparait la seule raison qui posé car, dit-il, avec lesj recettes a c tu e lle ^
Mererodi, le Conseil municipal dtAiciênfii par
bien de tolérance coupable, on saurait
rédaction nouvelle des articles propo­
il n e peut plu s payer les détaxes de dis-'
voix contre 7, a voté une imàemnité an­
avait
motivé
l’arrêt
de
la
Cour
suprême
bien forcer la main à M. Viviani pour
sée par M. A. Ratier et mieux appro­ 18
tauce.
?
nuelle de 1.500 fr. pour frais dqiramvvî^ des
lui rappeler que touteioi votée et pro­ condamnant les patrons. La décision I .àprès dos observations de MM. P cytral.
priée au l3ut que l’on se proposait. Une conseillers municipaux.
,, i
mulguée doit être observée stricte­ prise par la Chambre Syndicale et llo u d c n o o t, l’am endem entcom battu jpaç
. disposition destinée à assurer une
C’est un commencement !,
le
gouvernem
ent
et_
par
la
com
m
ission
patronale n’est pas sans causer, parmi
, Paris’. — Le m inistre de l’instruction puNid doute que l’an nrofcliain 1rs édiles d’,4publicité plus sérieuse aux émissions
ment et sans délai.
ne se votent, k 1 exemple des chers dépu! bliQne a déposé sur le bureau de la CliatnPeu importe que les patrons boulan­ les ouvriers, une nouvelle agitation repoussé par 133 voix contre 134.
de titres français ou étrangers. Somme miens
tés, uneaugmenlation d’indemnité, i»;; ?
Les
articles
29
à
32
sont
adoptés.
bre
ie
projet
qui
modifie
la'loi
de
1882
sur
gers, aux prises avec les difficultés de qui se fait jour dans les offices de
toute,
la
Oiambre
Haute
fait,
en
exa­
l’article 33, (taxe sur les im p rim és);
Tobligatiou scolaire.
Tesercice de leur industrie, n aient placement. Les meneurs, ceux qm ne M Sur
minant ces points de détail, dont beau­
'i Le projet est procédé d un exposé dq, m o­
.I .e y ile t dem ande la disjonction objecq
pas eu le temps ou même les moyens rêvent que de semer la discorde entre tant que le rétablissem ent de la taxe a,sur­ tifs indiquant, avec les résultggffiéja , w e coup ont une importance plus grande
de réglementer, surde nouvelles b a ^ s , patrons et ouvriers, les gréviculteurs, tout pourobjectirdedébarrasser les büreaùx- n u s ^àC6 à la loi F êtrÿ,oé q n tffe te aT iire jj5tt!iL,n’y paraît au premier abord, une
pour
universaliser
i’iu'striic|iôijTiBl'i
de
poste
d’un
très
grand
nom
bre
d’im
priL e s c o n s e ils de r év îsio tf.Ife travail de leurs employés. G était le pour les appeler pur leur nom, ne se m és.O n ne veut pas m ettre le personnel au
■Voici le diSpositif'du p rojet de-loi :
^ "’ÎVehog'he très utUe.
L’examen des tableaux de recensement et,
possèdent plus de joie à l’idée de niveau des besoins du pays alors que le
cadet des soucis de ces derniers !
« '* ît ® ^ p r e m ie r i — Êbrsfjiï’uu enfant
les opéralions du conseil de révision en 1907
La loi prescrit un repos hebdoma- trouver une nouvelle occasion d exer­ classem ent de 5 ou 6 m illions de circulai-, m anque m om entaném ent l’écoie, les pa­
eommenoeront le 18 février.
i
' daire à tous les travailleurs, natureUe- cer leur déplorable influence dans le res pour Paris, que l’on veut supprim er, rents ou les personnes responsables doi­
La clôture des tournées des conseils d,e révi­
nécessitaient deux em ployés par au. Il ne
ven t faire connaître au directeur on a la
mentles ouvriers boulangers entqndCTt monde des travailleurs.
. . .
sion est fixée au 18 mai 1907, au p ln s^ r d , et
pas pour si peu bouleverser tout ie, directrice les m otifs de son absence.
9n connaît les épisodes du siège du col­ la séance de clôture définitive des opération»
Dans une réunion extraordinaire la faut
en bénéficier comme les autres. En
pays. L’orateur défend donc le systèm e ac-;
» Les directeurs et les directrices doivent
lège deBeaupréau (Maine-et-Loire): 3.000 au 28 mai 1907.
cela, ils n’avaient pas tort; le législa­ Chambre Syndicale patronale de la tu ei.
1
tenir un registre d'à[ipel qui, constate pour
■
■♦■■■■...........
teur n’a pas fait d exception pour eux, Boulangerie, après avoir examiné la ■ M. DoTaliayo appuie la dem ande de M.| chaque classe l’aiiscn e dos élèves inscrits,. personnes venant défendre un collége'enE lè v es-O ffic ler s d e ea v id erie»
tretenu à leurs frais, les portes défoncées
Leydet
et
expose
qu’il
ne
faut
pas
toucliér
A
la
lin
de
cliaijue
mois
iis
adressent
a
situation
minutieusement,
comme
il
ils ont donc droit à un jour de repos
Les épreuves écrites d’admissibilité pour les
à coups de hache, et si l’une résistait,
rinspecteiir priinairo un extrait de ce r»-'
à la taxe parce qu'elle intéresse 30.000 ou-,
par semaine. L’enthousiasme avec le­ convenait, a pris les décisions sm- vriers
brisée et enlevée à la dynamite, les soldats sous-officiers candidats à l’Ecole tl’ap'plicalion
gistro, avec l’indication du nom bre des ab­
de la petite im prim erie,
‘
quel, comme je viens de le dire, fis vantes :
sences et des motifs iiivoipiés.
. ■ chargeant à la ba'ionnetle les assiégés, qui de,cavalerie seront subies .en 190Ï, ies 20 et
La séance, susp en due à midi, e s t r e ^
juillet (le 21 étant un dimanche)- Les exa­
1» De maintenir la dénonciation de voyée.à
, I Les seu ls motifs réputés légitim es .sont
avaient envisagé cette loi, doit etre at­
se défendaient à coups de pavés, de bri­ 22
ce soir.
mens oraux d’admission commeaeeront le 1 "
les
suivants
:
maladie
de
J’oiifant,
décès
ques etd e bouteilles.
tribué h ce fait qu’étant payés à la se­ la convention du 8 avril 1003 ;
octobre en suivant l’ilinéraire n‘ 2 i Luulville,
d’un mem bre de la , fainiiie, em pêche­
Ce véritable siège ne cessa que par une Cray, Lyon, Reims, Compiègue. Melun, A ngers, '
2” D’afflcher dans ses offices de pla­
maine, fis caressaient l’espqir de tou­
Séance de V après-m idi
ments résultant d elà didiculté accidentelle
capitulation en r ^ l e , le préfet ayant dé­ îlonlauban, Marseille, centros (Texamé’n s. Le
cher intégralement leur salaire hebdo­ cement que les ouvriers étaient doré­
des communications,. Les autres motils
claré, devant témoins, au supérieur, qu’il cours des sous-offloiera admis à l’Ecole com­
. seront a p exceptionneiloiuent invoqués
navant payés à la journée, au prix de
madaire comme par le passé.
La séance est reprise à 2 h.
mencera le
avril 4868 et se ténniaéra le 28
de
n’y aurait pas de poursuites,
préciés en raison des circonstuiices
circc
Ce tarifétaitsanctionnéparlaconven- 7 francs par jour, et que ceux qui n ac­
Le Sénat eontiiiiie la discussion de l’ar-;
« Ma parole suffit, dit le préfet. Je février 1909,
fait. .
,
r . . ,
tioii du 8 avril 1903, arrêtée d un com­ cepteraient pas ce tarif seraient rayes !icle 33 de la loi de ünauces (taxes su r le»
Raïqietous que les candidats cMjà déclarés
» ,4rt. 2 . — Lorsqu un enfant s est
donne ma parole qu’il ne sera pas exercé
iinpriinés.
,1
mun aecordentre la Chambre syndicale des listes d’inscription ;
admissibles sont dispensés des épi-cuves écrites
sen t de l’école six'fois dans le m ois pe
’ poursuites. », , ■
.VI. Kymi'in, sous-secrétaire d’Etat adtpour les concours ultérieurs. Exception est
daiit au m oins une dciiii-jouriiéc, sans jiiq3“ De notifier cette décision au
patronale et le Syndicat des ouvriers,
Jr, on Ut dans le Siècle ,■
posie.sï't télégraphes a la parole.
faite |Kmr les sous-officiers candidats u ^ ciers
^ - . lificaUon légitim e, i’inspecteui' primaire,
convention qui était toujours en vi­ Conseil das Prud’hommes de la Seine,
I Les scellés ont éfé apposés, lundi, à comptables, lesquels sont tenus de .jaire Si
M, Siiiiyaii
an dit qu'en regard de la pértB j après avoir pris l'avis, du maire sur la sipour
qu’elle
serve
désormais
de
base
dhiait-mefiège- de B®aupréau; en jiré-- ebaque concours fit «unitusiiU iii.éu^h^uraa
gueur.
,
qic riisniL'.■ra du
' relèvem
” • en t -do la ta»BrlS^ j-j/^ ,pjjnd et,T ‘fiinTrHéct-la vandité des m osepce du préfet de Mahie-et-Loirè ,e( »ans sujet de contplahililé.
•
,
iser cette'
cette'considération,
qu'une^ j y fj envoie la liste dos abseiiees au juge de
opposer
considération, tm
Les ouvriers avaient donc en pers­ âans les règlement 'de contestations
.
'
♦ ■—
■
postale n’est pas nu im pôt; c e s t i e
incidents. Gomme suite gux événements
paix, en y joignant l’avis du inqii’Q et saa
pective le repos hebdomadaire, mais qui pourraient survenir entre patrons
p ü \ iPiiii service r e n d u ,’Le service que
de
samedi,
des
poursuites
sont
ordonnées
.
L
e
s
marchés
d
e
la
g
R
érre.
avis
personnel,
...............................
un repos payé! De là leur empresse­ •et ouvriers.
[laix saisi, ss'il
esre:i 1 l'Etat aux expéditeurs n ’est pas du
» ,\rt. 3, - - 1,0 juge de paix
d es
Quatre circulaires de M . Chéron.,
; M; Bonnet fils, m anufacturiér' \
Ces décisions n’auront peut etfe pas Loni payé.
ment à exiger l’qbservaüon immédiate
la- contre
tiiue qu’il y a infractio,', adrc.sse aux pa
j
Chûict, qui a insulté le procuyettf de la , 51. Henry Chéron, sous-secréî'Mfe’' iVEt&t,
ron
r
c
n
tsn
ts
ô
ii
u
aux
nersoniics
personnes
respoii-sabLis
rCNpon.sal)l.!s
une
un
le don de plaire aux ouvriers mais en
de la nouvelle loi.
’•!, ila lîc r appuie la dem ande de disjonc-;
République; M"?'' B o u rp t,' Cultivatrice; vient d’adrcsseï' aux directions du ministère de
adm ouestalioa sons forine d
Les patrons, ndus n avons pas be­ tout, cas on ne saurait leur contester tiOii. Il dit qu’on deniaiido beaucoup trop
I MM. GharlesSuhilèau,charpentier; Ludo­ la guerre quatre ciri-iilaires reialivëàsnix mar­
frais,
.
■' l - '
soin de le dire, ne voyaient pas les d’être empreintes d’équité et de bon peu aux expéditions des petits imprimés.' sans
vic LelièYl’O, eoill’o ur; Joseph Lamprière, chés.
» Art. 4. — S’il y a roculive dans les
Il prescrit (out d’abord qu’il ne stira désor­
choses par la même lorgnette. Ils ont sens. Il est à remarquer, d’ailleurs, que
peintre ; Joseph Saulard; màçtm, »
douze mois nui suivront la première \r mais
passé
do
marché
de
gré
i
gré -que daas
fraction, le ju^e de paix fera cou.iparaitre
h compter avec la conctirrence et dansnomlire d’industries, à la suite de
les eas ot'i l’objet d-.i irailé à iutEpvèiiir rend!»
en
audience
pub|i<|uo
Igs
perenLs
ou
les
l’application
de
la
nouvelle
loi
le
per­
l'exigence de la cUentèle qm demande
absolument nécessaire l’applicatiéii de t'un des
persouiK s rospunsaiilos, pour s c n le u ire
paragraphes 2 à 15 de l’article 18 dû décret (lu
un pain frais quotidien; or s ils pou­ sonnel. payé au.iiiois, ou à la semaine,
coiidaiiinoi' à m io am ende de iiu à cmq
18 novembre 1882.
''
vaient, à grand peine, se procurer ce est réglé maintenant à la journée. Et
francs,
dont
l
i
piod
uit
seca
versé
a
ia
caisse
S é a n c e d u 3 5 j a n o i e r 190 7
Eu aucun eas, les services lociuit ne pour­
des écoles de là com.aiilVc du délin iuajtt.;
Les Cuissea d'èpargae.
i
qu’on appelle des « extras » pow as­ les ouvriers qui, n’aperçevant pas des
ront invt^tior le param phe l"/âhaH article,
» Art. 5, — Un Qis d’uno iiouvollo réci­
Nous lisons, d-uis le fo w n a l officiel :
(pii autorise à traiter de gré à gjréJiliSrsque Id
surer tous les jours le travail de la pa­ le début, le revers de la médaille, ont
La séance est o u v e r te à 2 ;i. 13, s i u i
divé, i'infraction sera, considérée cnnimo
montant du liiarcBé n’atteint pas 2o;0ü0 fraaes
nification, Us ne se trouveraient pas acclamé le repos hebdomadaire, com­ présidence d e 51. B r is s o n , p r é s id e n t.
R cifA ’é (1( 8 a p é r a l i q n s d e s ( l a i s s e s d ’é p a r g i i o
une contravention ot pourra entraîner con­
au total.
V
*,
o r d in a ir e s ; v e c la C a is s e d e s d é p ô ts e t o o iisiÏ Ï n r s U e reposétait appUqué w mme mencent à comprendre qu’on aurait
damnation aux peines de poliÇü,CQnlori)iéOn adopte une propositiüiule .51. Canii'de
Enfin ie sous-scerélatrc d’Etat j i ’approu’/era
peut-être mieux fait de les laisser s en­ Foiiiiuel tendant à la nomination d irie m ent aux articles 4Y’i 489 ej sinvanls du g i a l i o n s , d u i i a u 2 0 j a n v i e r ;
f e s p é r a ie n t les employés, dans la dure
les marchés qt’l imurraiil lui être soumis vju’aÜé pôl s de ' on’s
.
9. 870. 645 49
d’eu(|iiête chargée de rccueu- Code pénal.
près qxamou pi-éala’a lc par la voiuiuisS/Eii de.
nécessité de ‘p ayer la
du tendre et régler cette, question avec Coiiiiiiisslpn
I L’article 4]33 du iuèm o Code est apid.valir et de ptriilicr les déclarations de toi dos
R eirailsde loi d p ., .
j|— 4 .403.88a 32
qes càîiiors des charges, rfeççauiséB;
personnel qiü se repose et celle de leura patrons. Nous avons une fois de députés
eius les « et 29 mai 1995.
ble.
E.xg.;ijcnl de uetratls.............. 1.533,.239 83 ) sôtts le titre de: » Commission dos c,â'aiersdesi
eelui qui le remplace. Cette Pfrsp®Ç- plus la preuve que, dans les graves
ï Art. 6. — Il est institue un çertiiicat
charges
et mareltés ». Tout mai'cbéritevra CIK
d’études primaires éicm entaircs ; il e t- dé­
noiuimlr*^égaleiii’ont
tive n’avait rien de so u rian t, _elw questions de salaire et de réglementa- j
L.'s-Jtux oljinpiquosdeLQudîeaeiiîDOS , également revôh!de lasighatuvcdestliro<.leurs
el
cerné
après
ipi
pxaiqeh
piihlic
a
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don
de
ti’
aVflil,Te
législateur
doit
agir
1
Liiamoie
ueci
e
.
..
augmentait les frais g ^ ^ ra u x d ^ s
une coium ission de
du contràle et du contentieux avant d’à! rc sou­
pourront 5Ç présenter les entants aya it .’itLe B riiicir Olviiipic commilss organise à mis à l’approbalioii. ‘
v
une proportion dpnt lim p o rt^ c e avec une extrême prudence çt s entou­
teint-iÎM'moins l’àgo do douze ans av i IL le
i'occasimi.de l’gjpustbait db I/Qndrcs.cn 1908,
Dans une seconde circolaiifègte so n s-se c ré :lIvqictO brede l’année où ils subissent 1 c
varie avec eeUe de la boulai^ene elle- re r de renseignements techniques dont
dc's jc n x ô ’yittplqiies c-t y ont iavifé les Fédit-^ laire d'Etat rappelle aux dire(Xionvt|ue la counteii. Toutefois, des dispenses oxcoptamrâlions françaises.
"
■^rae, mais eUe ètaît to u fô m très il a toujôui’s b'esojhv
clnsiott et l’exéeutieii de cor(aiiiS;^!u'cliés pas­
nellêS'qui ti-exeéderont pas six mo s pour­
L'f Fédéral ion française do»: Soeiélés d’aviVous verrez qu’avant peu, çpux qm ture
sés parvoied’adjndiration soqd^ventde grandes
ront être accordés par Ip recteur sur i avis I ron, la Fédération ffflaçaise dès Sociétés de
difficultés qui peuvent ôJrii aüé{iiu^s à deux
31. E iim iaiiu el Ilp o iisso . popi’oiid la dispS ions'la jôuraé^ 4e repos se sont montrés les plu_s partisans du
motiv'é de iqnspeciéirv d’uvad uut-.;:
' boxe, rfiiioR des Sociétés françaises des sports
(YAiaOAC'•
..V'ciissioii
de
soi)
inloiqiollaiicin
snr
les
ç-iiiEvidemment non, repos hebdoraadffiré eu reconnaîtront, ciissioii de
» Ceux qui, à parlir de c it
aur.'ut
alhléUques, l'L-nioiii vélarijiéiîlqne de France,
1“ L’époque tiaxlive à laqjielle les cahier»
ses, de la d isgfjce do .\I. do Saiiit-Aubin,
l'i
l'i n.oii des Sociétés de lie de France'el rp u iü # ■ des cfiarBoa sont rédigés et arrêtes, ce qu»
uMe
n’à jam ais eu cette dans une anp^catign stricte et brutale, sur rcxteusioii abusive lîo lu loi duinuittiC obteùu le eertiiicat, seront dispau»
temps de sc o l” '
des SociéléS de gymnastique de Franc®, M unies
et au bon les nombréûxlnconvénients.
einpèobê T’administratiou d’e» faire jiuc étude
aux gros fraiidciirs de vins et sur la seve-
SÉ N A T
SenlU, le 26 J a n v ie r 19C7.
ÎAUTIERpitu^^
lur l«s coa£SoaT^
|man'le
benne d’entJJ*»
‘
Rédacteur en clieî * IdOUp BERTROZ.
nA nB O insrB M B ^TS
W
S E N L IS
JO U R N A y
Paraissant le Jeudi et le Dimanche.
^ar«X
•G. Seigle^
' r
Les Ouvriers
boulangers.
l'obligation scolaire
Questions HilMrtSL.
rramesses d’un Préfet.
jsme (Nii
lf« r
du Nord, det '(
^tres grZB^ C
Paris, Exposîtioa ]
I JURY * HBISt
Lèure à CbantSlj,
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L U D IN
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le v a r d du (
)MPÏEGNE
Héffion
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avantageta.t
= 5 ^
lié,
nneue oa
(: gQitfrtr
com^à PW?»
m
Quaûd aux ouvriers boulangers,
sens.
*
• •
—
11
-nrm
.
si la loi avait été votée avec moinfi
d e précipitation, elle n’aurmt pas,
comme celle de la Séparation, soulevé
tant de difficultés dans son apphcation. Il eut été peut-être facüe de
trouver, pour certaines industnes
surtout, un moyen, tenue p e rm e tt^ t
de sauvegarder à la fois les mtérêts
des patrons et des ouvrière sans que
' Thymène eut à souffirir des amradei metits qui s’imposaient dans certains
cas. Les législateurs
ont conçn^ee
pfqjet dé loi pouvaient
syndicats, patronaux ou
obtenir des renseignements très ntües
leur perm utant de
Q y»nn!ftatées. de p arte td autres
B ar
chose. Du 4a, à prew nnre n
m ettre le p t^ o n - d a fts Ta n é e e site u e
p a y er u n t r a v B q u e , ? o ï ^ ®
quelconque rdO vA er » e fféctee p a s , U
eoufrgres Mr Morsh 4u B u l l e t m
dés Battes, « ca sont eux qui ont e^gU
le reBOS ; ils l’ont aujourd Iim, ils n ont
d o n c pas à se plaindre. Ce n est sans
S
pas ce^^qu’ils
®®P®®®
m a isà q u ilafa u T e ^ » r
nos
DEPOTES
ÉCHOS*, N IV E L L E S
rit -d o n t par contre lait, preuve 4a tlagio
vis à-vis des petits délinquants.
L’orateur cite de iioiijjiroiixcqsde fraude.
3151. laizios et fin iniizol protestent et ie
bruit coaiiniio Uindis que 'L Brousse re­
prend ses citations.
81 E inuianiiel Brouss-a indique certains
D rodiicleiifs de vin qui reçoivent des s u ­
cres S0 U9 Taitpeljmiqq d’ « ongraia ».
Le député des Pyrôaôos-Orlentaies cite
des faits dém ontrant l’excessive seven te de
la Régie vis à-vis des petits conim erçaiits.
L ’e x e m p le d ’e n h a u t.
Que a . VieUini te tranquillise. En pœ'lant
d ’en hau t, nous n’a v q n ip a s
fa ire dK usioh au x lum ières ou II a éteintes
dan s so n éS prit:-C 'ettdu P arlem ent que nous
’^^cam m ^U a'tion de l'indemnité parlenienU iir^ e o a il faire des vùtim es dmis les
sem U éet d ^ r le m e n ta U s . Des c o n s e illa
aênêraux se sûnt dits : «.du moment que les
sénateurs et députés s’octroient C-OOO f r c ^ s
d’augmentation, nous PÇuvoiu n o M W t^ u r u
i n d ^ n i té ». Sitôt dit, fitôt [ait. L indem nM
de ces cûÀ ita iersp éi^rà u x
fraî 9 ’ de toycuie (en ^ ç lM ith
séjour au e ^ - U é u a rapion de 42
j m r , de déJLmmagemenü p o ^ assistance
■aux séances du cOnseU dç rémswn. de là
Commission départementale ( i i francs par
ioùrj. d u Conseü départèmentcà de lt»w-
M. B ro u sse rapproche ces faits dé sévé­
rité de» facilités ’acpordeos aHX
d u cteu rs; il cite un "egflclant o t o r é de
ia Légiqu d’hon neur au titre d offiïier de
territoriale.
M I.msios.- Il faut que nos payons
soient rudement naïfs peur supporter
COld
'
M. F e r r e tle . - C’était sans dotUe
iueinbr6.du com ité Mrscuvrou.
un
les r e t e T M n r p it ïé com m e («la sepraU -,
que e n A ngleterre.
■
_
A M , E tie n n e F t^o f f in quLdem^^^^^^
tait a passer.
> Art. 7. a-,: Sqi|t qbMigés lé s articles 5, ii,
4 de
la loi dii-,28 mars
10, 12. 13, 14
-,-------------. , isSJ
, , et.
les articles fiï, Ss, S’à, 57, 58 et 8J d>; la lot
d u 30 octoiitta lliSu, ainsi q ii : toutes disposi­
tions (îontraires à là présente loi. »
,
La loi de l i i m e a a l i â t
Le Sénat s i^ e , én cç iRçpRqiit, deux
fois par jqqr pour en finir tivec le Iffidget. Cela ne l'empèehc pas de jiienér
la'discvission sans trop de hâte. C’est
ainsi qu’hier, il s’est occupé (ie la loi
de finances à laquelle sa commission
a fait snbir, coinme nous le savons,
(i’assez nfifubréuses pqo^îflÇàtions. Le
aénatapvesque,con8taromentapprouvé
'ces amendements. Il a rejeté l’impôt
sur les pianos, imaginé p arla coparoiasion (lu budget de la Oiambro- M. Vic­
tor Leydet a plaidé, en faveur dés
piânosj }eur utiljié couiute instrument
dénature a çonsôliderde foyer familial.
La musique adoucit les mœurs. M. ,1e
ministre des finances lui-même a ré-
sisté, sans conviction, à ce§ TOMpsi
garêrdeT8crë“a'’x1iês motifs qui font^'er- j jje sentiment, La taii# piver-essive gé­
miné .4 no nas appliquer les .rêgiemeiits j
gouvprnpiripnt sur les
capitaux assurés p^lps Goœpagpiies
d’asfiûrances françaispa et étrangères
c a le ù r a t a U e ( 4 2 f r ^ t ^ j ^ J ^ ^ ( l^ _ ^ ija a n ta .
contré l’incendie, a été aussi rèpous»
jmoisae févpersée. Le principe de la progression n’a
jours date les fttût
étant
I
Les ihterpenqlBnW inscrit
■ 4 n« Jw*
pas, été admis ; et la taxe 4é ,6fr, par
aura peu dé prSfetfiont qui rappar- ’sBhteilàsésao»" ""
million fiofit les capitaux sont actuel­
une carrière
lement frappés a été porté à tû fréncs.
L a S é p a ra tio Q
Cette taAé n’aura pas ffieffpt .sur les
^'‘^]^^m%ntribuable paieraI
capitaux assurés àux.caisses départe/
A 8 a ln te.A n h o -d 'A n r a y ^
t
l a poUtUpte tobte c h e r j ^ électeurs.
men^es et aux Sociétés d’MSurMcea
niutuelles-agrifîoles. La (Iis4fiissipB a
ffii,aprè»-jffidiw_^eu^
geM;’ été plus ’riyé^aupla quèstioè -du droit
du iiinljré àij comptant sur les fitreg
Bwnioa, sons la protection do force» un-’
étra^.eiÀ/^ seraient énjis apr^ff ïa
prim a ire (4.2 fr a m s p a r ) 0 « r P .d v
Comité d é p a r t e m e n t d e V
ire c fu w
^ 8 janvier derater» en-ÎBTe®^
to rt« a p a ^ B fi
otfirt'vünü ïffi confita de-la.
^encore, a o u n s .a
fqdisplf. ah&T
Sa^rtaa huvrie»». qtdtêh^oit» de
«liét, 4e a&OBcér »
4enuo4çr la
*•
deitaiilru*
i.'.:'
'.'j
:
ùqè Bduscalade
*A Ïiâiiib«tdel'i lérafiQU
(Affilye, imprimeur^ à
s’est produito'
arr^w: w sœur do ce itepqh
luont apprêUeudée pour ?■"”
Vaiwâsie’t 'tâ' m a w ^
-!
„ • J . I n in .
le i-t janvier dernier, ont décidé de reyeediquen, pour elles-m êm es, la fermaiioii dn comilé chargé d’assuTor- ta participation de la
France aux Je»*'O lym piques de Londres, ®n
suifeamment serrée, et am ène‘les'sonniim saionnairos à établir leurs oSifes sans avoir pe
en calculer toules le s conséqucncesjç
2" L’ignorance des conditions du travail et
léqa,'
■
•
, de» partieidarités des brànches'du bonmierc^
,Elles estim ent que sonies elle» ont qualité El
ou de l’industrie auxquettes on fait ^ p cL
compétence pour asspvcv- el m euef a biçn la
M. Chéron jirescrit alors toute uni! série 'de
représentalioii tje, l
français à celte j j^esures
projets
’ -------’-'s de caliiei's
U1X70USV.A pour,
LTVMS. que ies
---- - 'ie s
iiuporlani® gigqtfeslaUon.
charaes.
ch&rg6S) aptes avoir été
élc l’objet
l’objot idô lotîtes ohdàer*
Un curieux phénomène.
Le froid exceptionnel qui à régné en Italie
et qui a couvert de neige non seulement Rome,
mais eupoï-e N?q)ies et le Vésuve, a produit, un
pfiéiiouièue exiréqtemantrare.
La magnifique cascade du Velino, situéè tout
pri^ de Mapmore, dans l'Ombrié, sur la route
de Terni à Salmona, a été complèlèmont gelée.
Cette cascade est la plus, belle de l’Europe,
ayant 200 mètres de haqleup.
L’aspect de cet Aninrme jet d’ean congelé
était vraiment extraordinaire. Aussi nombre de
personnes ae spnt reuduSàde Rome a Marinore
par chémtq de fér OU en antompbile pour aller
contempler ce spectàcle qui né s’était pas produli clepuis un uem i-siècle.cfette cascade'fournit la force motrice à plu­
sieurs étabUssements industriMa.qui ont dû
suspendre les travanx en attendant le dégel.
’ • ---- ''À' ,.
..
Béotlon an OonsidlClônéMl.
CALVADOS
Dans le canton de'Blangy, M. Pierre Du-
obeane-Fournet,progressiste,a été élu conseil1er général par 830 voix contre 44t voix à
M. Blondel, indûstriél. r^nblicain, M. pierre
Dncbesne-Fojiraet remplaeehûiipère.aénateur,
décédé, .
,
Jtdes Gti«âde
. -y; . ^
;; - y /
'
’Voteilasîthtmett&ulA j ^ é i a M N f , «s- quisséç par le citoyen Cliista.'^tlIMs/ -• Guesde est'uD sisËêt4. aSij|4is; f ncore
sa siUioueUed’areigsêe p o i t u è f ^ ^ ,r der»
rièré moi dans ta (;^.dft-!V M éw ier. Te
jo u r où j’attai to i denàZDdeMJii
fie date
il .avait. défi&Rivmnent fix^ tte a i' volution
«QBiate. I D
é d g r e , utre. S1L
titRlpasAùut « s t i w i ^ ^ ë t e ë e a a c o i i p
j''
' É kiéH hM M ré-m yed^^^
: On en raconte Une biéP bonne
fier de
te :qn»»- 'fie tui, dans
.
p eu ^ p ç^ 'S te^ ^
Vcxtinctwffl d »
^alf^»^tonner
■*—^ A
PBW'l' 'PAR; îUN% ^ ^ |j tS r p £
A in Ç«nr 4>ppeL
. Affaire Caron-Moutlm,
IL André FaisaiiL avocat A la Cour d’appel
de FariSt'défêiHlra les intérêts, dé M. Monthon,
rédacteur an Atâi6>; qui a été giBé ‘eh gtfra da
.Ihitd iMr. M^.JiiUen-Caron,-Uncieu’comeiller
MUn'iéipâ de Paris. IL Moutbon àtr parle partie
le g o ^ iv e r-
■âmire de'
Ienctjre sup
valions de la part, des rciiréschtants de. Tindnstrie, du commerce el ucîetfeauiln'es syndi­
cales ouvrières et palronales sçient s-juinis S
la commisston de révision àsscs tôt ;-our quele cahier d'es cliarges, lois bordereaux; de sa­
laires et toules auties annexes s’a ■y« lieui
soient com|ilètcmeut et déSuItivenMg.t nirètés!
six mois avant la date de la pasaioci des. mar­
chés.
'
Par une autre circulaire, Ib.^ous-secrétaife
d'Etat à la guerre a décldié qu’aucun maridié
de travaux ou de fournilutes ne sera doi-éna.vant approuvé si le cahier des chaiges corres­
pondant ne comporte .tiùsertioA des clauses
-prévues par le décret du 10 août 1899 sur iem
conditions du travail. . , ï ?
Enfin, dans une dernière circulaire, le soumsecrétaire d’Etat rappelle 'aux-directions te
décret du 4 juin 1888, relati-fraiix coopératives
ouvrières de production tù décide que, lorsque
les travaux et , ftmrnîÇares'suscépU® s d’être
soumissioônês par •ûno assucmtionvhuvrière
seront mià ên adjudication,' le'TÛomsfcPdes lois, f
devra être abaissé dans la fÉesurè’'e(biténable^'
a^on la nature des professions iuténùisées.
' Les A-CÙmptes devront èti«u>ilâivrés a sZ
coopératives ouvrières: dans lesAconditi ona
prévues p«r le décret du 14.
—
le8,dM:fead.4 f e # ^ ^ i e w ttefe^ u s
.ygjgqgiq
',,ses an
ecSitoM*?! touï à to ,a ï5 fc 5 'œ d u
J
r
Vote de nos Sénatenrs.
^ e s s e
D é p a rte m e n ta le .
Bel Exploit ministériel.
^ Progrès de l ’Oise :
Le cabinet Clemenceau pourra s’applau­
dir dé son récent exploit et du tour de
main autoritaire avec lequel il s'empara
de i’^ b lisse m e n t de Beaupréau et du Séminàiré de Noyon.
Au nom de quel principe supérieur du
Code prétendait-on expulser les habitants
•de ces collèges et s'emparer d'une maison
qu'ils possédaient légitimement.
Il y a eu, à Beaupréau, une résistance
énergique et des bagarres sanglantes en
résultèrent.
La troupe qu'on avait utilisée pour
une besogne de crocheteiirs, a eu sa part
de blessés. C'est regrettable, mais à qui la
^ a a te .
Kaut-il répéter, une fois de plus, que les
soldats qu'on appelle sous les drapeaux
pour la défense de nos froatières, ne sont
pas faits pour accomplir une besogne aussi
écœurante.
Lorsque, après les troubles grévistes de
Lens, les sooialistee reprochèrent à M. Cle­
menceau d'avoir fait envahir les centres
miniers par l'armée, le président du Conseil,
alors simple ministre de l'Intérieur, pro­
testa de ses bonnes intentions et déclara
que les troupes accumulées dans le bassfn
du Pas-de-Calais avaient reçu l'ordre for­
mel de ne pas intervenir.
Là-bas, cependant, on pillait les usines,
on incendiait les maisons, on violait les
propriétés privées.
Dans les Séminaires de Beaupréau, ou
de Noyon, les pillards ne sont pas les
émeutiers de la rue, c'est l'Etat lui-même,
et tandis qu'à Lens la troupe restait l'arme
au oied devant les incendiaires, à Beauau et à NoTOn on la met au service de
spoliation oiBoielle contre les défenseurs
de la propriété.
' Au fond, quand on y regarde de près,
j a tactique est la même, et l'on comprend
'qu'une pareille attitude soit désormais un
fincouragement pour les révolutionnaires.
Pourquoi se gêheraient-ils à l'avenir? I
 o nom de quel principe leur interdi- |
,jrit-o n de procéder eux-mêmes à la be' gogne. du pillage et de vol à laquelle se
livre l’Et-at appuyé par la force armée.
^
Séance d u 2 2 ja n vie r.
Scrutin sur l’amendement de l’amiral de
Cuverville tendant à relever le erédit du
chapitre 18 en faveur des aumôniers d e là
marine.
Le Sénat n'a pas adopté.
Les sénateurs de l'Oise ont voté contre
Mort du professeur Budlu.
Le professeur Budin est mort, à Mar­
seille, ,à l’Jiôtel Terminus, succombant à
unepneum onie qu’il avait contractée en
allant dans cette ville faire une conférence
pour la Ligue contre la mortalité infantile
dont il était le président.
Né à Ehahcourt-le-Seo (Oise), le 9 no­
vembre 18.I6, .Pierre-Constant Budin fut
nommé interne des hôpitaux de Paris, le
22 décembre 1871. Il était nommé agrégé
à la Faculté de Paris le 13 juillet 1880, et
accoucheur des hôpitaux le S .juillet 1882.
L'Académie de médécine liii ouvrit ses
portes le 29 janvier 1886.
En 1898, il succédait à son maître, le
professeur Tarnier, comme professeur de
clinique obstétricale à la Faculté.
Son œuvre est considérable et embrasse
toutes les parties de la science des accou­
chements et de la médecine des nouveauxnés. 11 termina, en collaboration avec Tar­
nier, le Traité classique (ïaccolichem ents, que celui-ci avait commencé avec
Chantreuil, et le term ina seul. Les plus
importants de ses travaux qui portent sur
des points trop spéciaux pour être analy­
sés ici, sont réunis dans un volume (Tra­
vaux dCobstétrite) paru 1886. Il publia
plus récemment un Traité p ra tiq u e des
accouchements, en collaboration avec son
élève, le docteur Damelin, et enfin un ou­
vrage considérable, le Nourrisson, dans
lequel sont eonsignées ses admirables et
patientes recherches sur l'alimentation d»
nouveau-né. Il fut avec M. Strauss, le fon­
dateur de la L igue contre la m ortalité
infantile.
11 laisse le souvenir d'un travailleur in­
fatigable, patient et minutieux, d'un
professeur hors ligne, à l'esprit clair et
précis possédant au plus haut degré l'art
de la persuasion, d un maître profondé­
ment dévoué à ses élèves, comme il fut luiméme pour Tarnier un disciple pieux et
affectionné. La droiture de son caractère,
la sûreté de sa science, sa bonté' pour ses
malades et sa tendresse pour les tout pe­
tits ont fait de lui un des praticiens les
plus réputés et les plus recherchés de
notre époque.
C'est une perte irréparable pour la
science française, un deuil cruel pour ses
élèves et pour tous ceux qui, l'ayant
approché, Pont admiré et l'ont aimé.
La clôture de lâ'cliaiæè.^
Pham iaele ouverte
Rappelons que la clôture géhéralèlde la
chasse est fixée à dimanche pr'dSîàin 27
janvier, pour le département de l’Oise.
^ D
^ ^
2 7 - ^ ,
'M. Longuet, conseiller d’a r ro n & é -
Fièvre a ^ f e n s e .,
i
'
A V I S iM P O R T A .k T
'
' ü n fichu de laineiâoire.
Nous croyons devoir rappeiér âux,culti’ ■yateurs qu’en raison
nouibfènx â k de
^
flèyre aphteuse signalés dahs -les t w Vouanvez beau jeter les hauts cris et rem­
Etat
-A
plir d Huprécations cinq colonnes de votre
munes voisuies, il impoije de p r e ^ e
du 18 an.2iL^under î
journal, vous ne réussirez pas à égarer l'ooitoutes les mesures susceptibles d a n ^ tè r
Naissances.
pi0B,.et vous ne m’empêcherez p as' d'apDeler la propagation.
les choses
Dire
la vérité, (ce
(Néant).
1
' ^par leur
. . nom.
.
—
— “ _S.
W tn'est
a v9« I
s.
A cet
effet, les propriétaires ou conducT»1c /lolcvmVlKMt
.
ni calomnier, ni injurier; c'est garder son teurs d’animaux devront être qiortéuçs
’
. J),éi.és.
fe“te)‘it.S ''v o M rép o fito p eu rrto w ffi
f rtific a f 'ayant' inôins W tro ^ 'jo ü re ' 4 8 . MUe -IfiolÿlfGéÉfiiab icnisinière
rue du Faubourg-Saint-Martin ’ -,
j'tisé dé mon droit. J'ai dit qu’un petit CToimé
constatant que ces animaux ne
seulement de membres de' l’Associatiori ■Répuatteints d'âucune maladie contagieuse 21. Mme Rocher (Marie-Victorine),
mercière,
60 ans, rue de la lla iif ^ ^
ilicaine du canton de Bélz, assisfairAîIa'ma-“|
“ ’oût pu. se tr.ouver nn contact
24. M- Martin ® e re e 4 h é o p h ile )^ J.h i^
^ Ç^égy et destinée à m'en- | àvéc des'ahîm aü x attein ts'ou SùS'p'ecfs'dê
lever Ja-présidence.du Comité.; 11- n'y avait, en
fièvre aphteuse.
ans, rue du’Tâù'Bà'urg-Sàint-Mare!?’^
effet, que 45 membres présents, sur 185 que j
' Mariages.
Ce oertificat sera délivré par un vétéri­
compte .1 Association. Ei encore, pour aVoir ces
<Né«nt).
naire et visé par le Maire de la commune 1
•lé'? votants, vous avez dû faire appel aux suf­
d où proviennent les animaux.
!
P u b l i c a t i ^ d e Mariages. ' i
frages de quelques assistants venant de Crénv
ment du canton de Betz, a adressé la léttfe
suivante au Secrétaire du bureau de m
Fédération radicale de la 1" circonsCrîDtion de l'arrondissement de Senlis :
Syndicat de proteetion mutuelle
des Industriels de l’Oise.
Conformément aux articles 18 et 19 des
statuts, l’assemblée générale dû Syndicat
aura lieu la samedi 2 févrièr, à -2 heures;
au siège social, 43, rue des Halles, à Beau­
vais.
OBOBE DU JOUB :
1* Lecture du procès-verbal de la dernière
assemblée ;
2 " Reddlfion c l approbation des comptés ;
3° Etablissement du budget pour 1907 ;
4" Compte rendu de l'année 1908 ;
5° Coramunicationrelativeauxaffaires eiicours;
6° Nomination de trois membres du buiéau,ën
remplacement de MM. J. Coramuneau.
Maxime Clair, Leïebvre-Albarët, niembres';
sortants rééligibles.
I
qui, avez-vous dit, n'éta’ient pas inscriU au
canton-<le Belz. Vous prétendez de votre côtéD'après le Journal officiel, le stock que presque tous les membres de l’Association
commercial des vins dans notre dépai te- étaient présents. Je,crois avoir amplement
eombiei votre erreur était manifeste.
ment, à la fin du mois de décembre (diffé­ prouvé
Si, aux élections dernières, je n’ai pas voulu
rence entra les entrées et les sorties ins­ prendre Une part active à la campagiie électocrites aux comptes des marchands en gros) rate, — et j e n ’ai p a s hésité à vous l ’écrire
est de 113,566 hectolitres.
sans aétours, — c est que je ne pouvais tolérer
cer aines fautes graves que voue savez. Le
public-les Ignore, mais je les connais etj'ea ai
A la Gendarmerie
la preuve. Républicain discipliné, j'ai cru de­
M. Biaise Dumas, est nommé gendarme voir^ maîtriser mon indignation, je me suis
voue à une douloureuse réserve. En quoi vou­
à pied à Grandvilliers.
M. Georges Dupérat, est nommé g e n -I lez-vous avoir l'obligeance de me le dire, en
darme à pied à Senlis.
•
"I quoi ai-je trahi le Parti, comme vous m'en
M. Berthomier Francisque, est nommé accusez avec tant de légèreté ? S’il vous faut à
,
beautés cantonaux des hommes
gendarme à cheval à Compiégne.
de paille pour s incliner bénévolement toujours
M. Henri J. B. Séry, est nommé gen­ et quand même, je m'honore de ne pas être de
darme à pieds à Pierrefonds.
ceux-là, et je suis fier de m'attirer vos sarM. Henri Guilbault, est nommé gen­ resmes. Les républicains en feront justice I i
Depuis les élections, il a été commis .de nou­
darme à pied à Mouy.
MM. Doll«t Jean-Ferdinand et Brochet veaux actes que je no puis approuver. Et ce
sont les auteurs mêmes de ces actes qui,
Gabriel, sont nommés gendarmes à piéd à croyant
^ *
p«vov» /l’om-irt/»..* --------- , ,
La Neuville-Roy.
ont l’imp
Les nouveaux promus ont prêté serment coôible I
____
devant le tribunal de première instance de nos amis les républicains*du canton'ïo'bcIz*
Beauvais.
lors du renouvellement de mon mandat, quel
fut mon écœurement et quelle a été ma con­
duite -. nettem ent républicàine et scrupuleu­
La situation, agricole.
sem ent droite. Et je puis vous affirmer que,
D'une façon générale aussi bien en Eu­ malgré toutes les ruses (jue vous pourrez mettre
rope que dans le monde entier, la situa- en œuvre, vous ne sortirez pas de l'impasse
tion es récoltes est satisfaisante p o u r' ou je vous collerai. Je n'ai pas été le premier
ipoque.
à trouver vos procédés inacceptables. \éu ré­
En France,
Fré
l'état des récoltes en terre publicain du canton, sur la probité duquel vous
Les vins dans l’Oise
fctyire.
■ ^ “®J
(Néâhl).
A propos d’uae disparition.
Dans notre dernier n uméro, nous avons
annoncé, d'après nos confrères de Soissons, que M. Paul Aguet avait disparu de
cette ville et que son frère, M. Aguet,
notre honorable concitoyen, offrait Une
printe 00 cent francs à la personne qui
trouvera le corps du disparu. Cette informatiqn est exacte, elle a d'ailleurs paru
dans les journaux de l'Oise les mieux in­
formés, notamment le Journal de Cler­
m ont, le M oniteur et la R épublique, pour
n en citer que quelques-uns.
M. -Aguet, .de Senlis, nous -prie, à ce
sujet, de publier la lettre suivante qu'il
nous a adressée ;
Marobétie'Senlls
j
du Mardi 88,Janvler l 9 Q7
NATÜRB
PRIX
CÉKëà LES
lOOkilog.
. DBS .
DES
HACSas'
( r* qualité.. 22 50
Froment <:2« — .. 21 50
( 3,
_
Seigle.............................
Avoine I p
16 50
•••
2150
Farine, l ”-qualité
52
Pain, le kilo j l ' i a a ' - j
Senlis, le 24 janvier 1907.
Monsieur le Rédacteur,
J'ai été surpris de trouver publiée dans le
numéro du C ourrier de l’Oise du jeudi 24 jan­
vier, une note que j'avais fait paraître la se­
maine dernière dans les journaux de 5oissons,
concernant la disparition de M. Paul Aguet.
Je ne vois pas quel intérêt peut avoir cette
infornaation dans un journal de Senlis, et suis
étonné que vous n'ayez pas cru devoir me
consulter avant la publication de cet article.
1 .. 'j®®®
vouloir bien insérer cette
lettre d p s votre prochain numéro, et de receRoa®:®oi' le Rédacteur, mes sincères
salutations.
Blé, poids net de l’hectol. : 1" q. 76; 2- q: 7(.'
3«q 70.
Seigle, poids net de l’heclol. : 70.
Avoine, poids net de l’hect. : 1“ q. 48
3-q . . . .
FAITS LOCAUX
A n g e p - S a l n t - V l n c e n t . — Smcnit
- - ü n malheureux cultivateur d'Aiieer'
Adolphe Gaston Aveline, 44 ans, mahést
H . A guet.
père de trois enfants, s'est donné la mort
Ainsi que tous mes confrères, j'ai cru m ^ d i dermer. Depuis plus de trois mois
ne donne lieu à aucune plainte sérieuse j |
prendre exemple, a ‘naguère, :être agréable à M.‘ Aguet en lui
de troublés cérébraw
la; H „
tous les grains ont bien hiverné et i f n 'y '|
sa démission de.vice- I >PübIicité du C o u m er. La note offrant
.
ggg excentricités sa fem.
dont il a
président de 1’ -« Association
a pas eu de gel et dégel, qui fatiguent Vous
‘■- R Ïpûbliciinr»,i I i^domandé Tinsertion aux journaux de Soisallez peut-être -.......
ifants
de
aussi
l'accuser, lui a u l u d ’ê tr e l
t insertion aux
uo oois-.,
a
--C ' -dormir
y
- avait-il
toujours les plantes. La neige a encore passé à la
Fromajge et Assiette au beurre.
.---------^Pufili®- Tout ,uu.
ua- II' ,
, „ coucher
dans iiiie
uiie chambr»
réaction ?aînrrnli*.'»Mril
car vous .ém'ètlez
dés bré-‘i|.°
? ® a la /VT»r<tf
journa®°“9ÎI®r fi^ns
été un excellent protecteur quoique sa tentioas vraiment
rnîm pnf singuiières.
V
f-.'
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iicfo
»
I
RPnflT*PP.
i
l
r
_..
: Vous, avez-lai liste a le droit de la reproduire. Il est de J ®®P®‘’^®; Ofi mardi dernier au matin, sa
Du même journal :
durée a été très courte.
manie de réduire le rarlijrépublicain .à deuxi règle de donner la plus grande publicité I l^“ “ ®*®trouva étendu sans vie sur Is
Une rum eur circule, un bruit court,
On prépare partout les semailles de ou trois tyranneaux qui voudraient-nousjmener possible et celà dans l'intérêt de la famille I R ^'iuet, suspendu par le cou à un desbarque nous ne tarderons pas à voir se
printemps. On doit souhaiter que daqs le à la baguette, et dont il faudrait approuver tôiis elle-mème à la disparition d'un de ses i
“^’une cordelette,
. confirmer, à moins que, pour des raisons
Nord, les emblavements de betteraves ne les gestes même les plus blâmables. Et lorsque, membres. Si toutefois M. Aguet avait eu I .
?'
u conclu à une mortoeca.
■diverses, ou une pudeur, par trop tardive,
soient pas trop importants. La culture y a choqué par un acte inadmissible, un citoyen I intention dé limiter la publicité He sa |? ^ ^ ° ® ® P ? î “ «s troubles cérébraux, (h
Palmes Académiques.
honnête et clairvoyant se lève, indigné, pour
tout intérêt.
nn ne les démente.
à l'arrondissement de Sois- | “ isle smcide a causé un certain émoi dans
L'O fficiel de Jeudi publie la promotion
Quand It stock des sucres ne sera plus vous dire ; « Je blâme ceci », vous fui fermez communication
En tous les cas, — et ce, avec les plus
nous enprévenir
préveniretet t® puys où Aveline était bien connu.
la bouche et vous traitez ce républicain lovai sons, c'était à lui à------------expresses réserves,
nous tenons à indi­ des palmes académ iques..
aussi considérable, les prix auront mors
non pas à nous A le deviner.
réactionnaire. Mais,
^ JVous y relevons pour le département de chance de s'am éliorer; ce n'est pas encore E 11”
— ^"Fê t e d e S a i n t - S é b a s t ie b .—
quer ce dont il s'agit.
nalte-là lll yoici qui va montrer le cas qu'il
l* n’est d'ailleurs pas absolument dé­ Les membres de la Compagnie d'Arc la
ce qui se p rodiit pour la saison prochaine.
On afilrroe qu'un député de l'Oise, dont
Wf® .îi® '9®® burlesques déclamations. montré d une façon certaine que le disparu
Officiers de l'instruction p u b liq u e
On cote en effet, à Paris, les sucres !sur Vous faites intervenir dans cette affaire, dans n ait pas quitté l’arrondissement de Sois- Rétmissance. Barormaise, viennent ds
la carrière parlementaire ne fut jamais ni
la nouvelle campagne, meilleur mayché un but.qu il est facile de deviner, un de "vos sons. Je sais que, pour mon compte per­ célébrer le dimanche 20 janvier leur
brillante, ni au dessus d'une terne médio­
MM.
crité, serait sur le point de troquer son Bouffet, pharmacien, délégué cantonal, que sur les 4 de mai, tandis que l'agricul­ anciens amis que vous 'traitez de renégat d u sonnel, loin de me plaindre de la publicité fête familiale.
p a r ti rép u b lica in ; vous-le renvoyez aux réac­
Réunie en la salle du Jeu d'Arc, la Com.
m an d at législatif contre une situation plus
président de la Société d'instruction ture est assurée par la protection du droit tionnaires, et cependant cet honorable conci- donnée à*la disparition d'un, des miens, p ^ n ie se remlit én corps, drapeau en tête,
reluisante et plus lucrative dans l'admi­
de 7 francs, de voir.le-côur: du iblé..éléTé. toyen est dénoncé en haut lieu comme socicu- j aurais au contraire communiqué à tous
populaire, à Verberie.
nistration des finances.
D'ailleurs, toutes les céréales lui don-pent lu te ! ! l Oh ! les bous, les vrais, les purs répu­ les journaux régionaux le signalement du à 1 église paroissiale où elle assista à la
Bouteillier, architecte à Chantilly.
grand Messe.
Ee législateur prendrait ses invalides Boutarel, à Chantilly.
m aintenant d'excellents rapports, vdejKiis blicains que vous êtes I Voilà un. des menus disparu.
Après la cérémonie religieuse, les; arda'na une trésorerie générale et s'il s'est Joly, avocat, délégué cantonal, ancien k,culture intensive et le bon marché-.des exemples des procédés du Bureau de la Fédé­
cherese rendirent chez M. Thiéfine oiï' un
trouvé, d'une façon tout à fait inopinée,
ration. Et ceci est pourtant bien peu compara­
président du Cercle laïque, à Beauvais. éiigrais.
Association philotechnique.
vin d honneur avait été préparé.
tivement à ce qu’on verra par la suite.
une vocation pour les emplois de finances, Lecomte, ancien sous-préfet de Saplis,
Le soir à 6:Iieures,; un banquetdu Ren­
.Dans une récente circulaire, M. le'M i­
Modificationsdu jserv ice,pcistal.
c’e â qu’il appréhende le verdict, un peu
(Signé) : F. L o n g u e t ,'
sous-préfet de Dieppe.
„j, .''r
nistre de la Guerre recommande de faire dez-vous.des Chevaliers^ souyfii prési­
dur, des électeurs qui ne lui pardonneront, Letalle, conseiller général, m atréde i CrèM. le sous-secrétaired’R tàt a 'd ^id é qu'à I
Conseiller d’arrondissement.
dence'dû dévoué, conseiller .-général dii
des conférences aux militaires.
peut-être pas, son intervention active et
vecœur-le-Grand, délégué caîitonal. .
partir du Dimanche'.27.7janvrer.!’ihclusiyc- I _.
â n t 1le
a CAw.rt
a
A Senlis, M. le Colonel dû 2' hussards a canton de Nanteuil-le-Haudduin, M. le
décisive pour l'augmentation des traite- Pascal, conseiller de .Préfiscture à Beau­ m
ment,
service o/i-nn
sera effectué''les
D im aa- I
Comte
de Kersaint, réunissait les cheva­
pensé que pour seconder les officiers dans
jifsnts parlementaires.
vais. '
ches et jo u rs fériés, A.a.m les conditions
cette tâche, il pourrait faire appel à la liers et de nombreux amis,, qui's'étaienl
d ’ambition d'un jeune’pôliticien de canVermont, avocat à Beauvais, administra­ suivantes ;
empressés de venir leur apporter un té­
bonne volonté de la population civile,
I o n , Sf'Pcat qui rôve de changer ses par­
1” SERVICE POSTAL.
teur des Hospices, délégué cantonal.
Nos lecteurs se rappellent sans doute le
M. le Capitaine instructeur s’est adressé - moignage de sympathie.
lotes de i?arreau en bruyantes interpel­
Les
guichets
postaux
de
tous
les
étajilisO fficiers d Académ ie
vol de cent mille francs commis, il y a un à notre Association philoteehnique, et un
- Au champagne, M. le Go;mte de Kersaint
lations, n’fiUFftit rien à perdre de cette
sements- de poste, seront fermés à dix an environ, dans un train', entre Sàintprend la parole, et sé déclare charmé ! s
MM.
-programme a été préparé et adopté.
gpjnbinaison, .qui faciliterait, tout au
heures
en
été
et
à
onze
heures
en
hiver
litorm
eur qu'on aa bien
bien yvoulu lui faire.
Quentin
et
Barbery,
au
préjudice
de
MM.
La première conférenee de cette nature I
-Artru, conducteur des ponts et chaussées au lieu de midi.
sa candidature.
Lalquette et C'% fabricàiits de sucre à a été faite par M. le docteur Millermann
®®*®“'’^,‘l®.wai et sincères
à Neuilly-én-Thelle.
Voilé quelles sont les rum eurs qui
1 Tvnv»U .Jr. l ’i
V V . ,
i fi^rand n iflifiir nnnT> Ini «Mû
Aucune modification n'est apportée aux
culent, elles qpus viennent dés sources Bloquet, conseiller d'arrondissement, ad­ services du départ et de la distribution des Barbery. Patte, un employé de la gare d.i qui a narlé' de llhygiène en général et des 1 Sra^d^Plaisir POur lui que de présider le
Saint-Quentin, soupçonné de ce vol, avait maladies de saison, comme les a n g in e s...
joint au maire de Méru.
Af n- n- ■ . . -pompt^nied'Aro,
tes plus sérieuses j juais tous ces beaux
“
’
■
les
angines.
H
correspondances.
été arrêté; il bénéficia d'une ordonnance a su dire des choses précises sous uns
M. Dion Pierre, capitaine,..................
fève son verf^
projets risquent, à la dernière heure, de Bourdillat, conseiller d'arrondissément.
a la santé de M. le Comté de Kerstëni,.
de non-heu, mais fût révoqué par la Com­ forme très' siinple et très claire.
SERVICE TÉLÉGRAPHIQUE ET T É L É PH O N njüE adjoint au maire de Morienval.
n e pas s’exécuter et un démenti formel,
Une trentaine de jeunes hussards ont | qu'il remercie d'avoir bien voulu aoceplèr
Les bureaux à service-complèt resteront pagnie du Nord à laquelle il intenta un
niie l'on viendrait à nous donner, serait la Bruneau, délégué cantonal à Ermenon­
ville.
ouverts, au service' télégraphique et au procès. Après deux audiences, le trihiiiial assisté à la conférence, et ont paru s'inté- la présidence de cette fête de famille, àU
erouve'la meilleure que la simple annonce
civil
de
Saint-Quentin
a
rendu,
mercredi
Æesser réellement à ce que leur disait ie Santé de tous les convives et aux succès
Se eotte surprenante nomination l’empêcha Docteur Chevallier, délégué contonal à service téléphonique, dans les conditions
futurs d&.ltf'jeûne Oompaguid.
,•
dernier, un jugement concernant'cette • docteur.
Rully.
existantes, jusjqù'à neuf heures'du s o ir .,
(Je se réaliser,
Chansons et chansopnettes viennent en­
D'autres conférences auront lieu toutes
Debeaupuis, conseiller municipal à CrépyLes burea^x^à service de demi-nuitj affaire et dont voici les conclusions :
suite clore gaiement cette charmante réii« Le Tribunal dit qu'il n'échèt-d'oidon- les semaines.
en-Valois.
prendront cléfore à neuf : heures. du soitr'.
Au dessert.
nion,':qui laissera dans -l’esprit des assis­
Debrye, rédacteur, à la Préfecture de
Les bureaux.à service, permanent, )rès- ner 1 enquête sollicitée de Patte; '
tants un souvenir agréable, du meilleur
De la Oa$et(e Libérale :
l'Oise.
Déclare abusif et préjudiciel’'le brusteront ouverfe'-de'ijour etHe nuit,:£dàns les
Ponts et Chaussées.
augure; pour les fêtes à venir.
que.rpnvoi pour fautes etidégligences- non
Degournay, instituteur honoraire, à Saint- conditions adfaelles.
Ce sont les députés de l'Oise,
M.
Charles
Borreau,
commis
stagiaire
Un a m i de TArc.
Just-des-Marais.
Les bureaux ijmuhicipâux ou à service justifiées qui a été prononcé par décision des ponts et chaussées ffSenlis, est nommé
Baudon, Delpierre et Bouffandeau,
Delozanne, maire d'Acy-en-Multien, délé
limité, seront complètement fermés à dix du comité de la Compagnie du Nord à la commis des ponts-et chaussées de 4“ classe
Sur ce nom jetons un bandeau,
B
é
t
h
l
s
y
S
a
l
n
t - H a r t i n . — Toxiou
date
du
25
février
1906.
gué cantonal.,
heures en été, à onze heures en hiver;
Cbopinet à 1 àme bourgeoise.
à partir du 16 janvier dernier. Il restèra , DE LA Fanfare /Lt'sje des lo ts ).'— Nous
Condamne cette Compagnie à payer
rDenavarre, instituteur en retraite à FerCe sont les députés de l'Oise.
Le Directeur,
à I attaché en cette qualité, dans le départe- donnons'ci-dessous une nouvelfe liste des
Patte douze mille francs à titre de
rières.
Manel .
le oom- I ment de l'Oise, au service ordinaire.
'I lots offerts à là tombola de là Fanfare: '
mages-intérêts avec intérêt de droit ;
*Ce sont les d o u té s de l'Oise,
Dovigny, maire de Troussencourt.
Une superbe ménagère, couverts LbuIi Xï
Donne acte aux parties tle ce que cette
C ÿiveux touffus, brillant' chapeau,
Dufour, suppléant du juge de paix
métal aijgenté. rentanaRt: 6 cqvrftrts, 6 cnii;
A la Gendarmerie#
Délpierre et Bouffandeau,
Compagnie offre de remettre à Patte son
Attichy.
1ères à refé, une louche, «ne ijuffîèré à ragoût,
livret de Caisse d'épargne et de lui payer
Beau'f pgrleurs à deux sous la toise.
Fleury, secrétaire de mairie, à Liancourt
_ M. Georges Dupérat est nommé gèn- renfermés dans un écrin, oIRsrta par M. de Sfc
Ce sonfléS députés de l'Oise.
Fontaine, maire de Blacourt.
Bien à plaindre, ce pauvre Castellant ! ses'appointements courus du 1"' au 18 no^ darme à pied à Seplis. Tous nos souhaits roux, président de la Panfer*,
Docteur Gautrelet, médecin-inspecteur des Depuis que M. Jules Lemaître taille des vembre 1903 et de ce que Patte abandonne de bienvenue.
Unen^niûquo-pendule-réveil, bois sculpté,
Ce (Kjpt les députés de l’Oise,
♦
hauteur 9»38, garantie 3 ans, offferfeDapJlTda
écoles, à Baron.
croupières à Jean-Jacqùes, son' ffeiivent ses prétentions relatives à l'obtention
Pour un enfant joli cadeau,
Seroux,
présideitde la Fantaré. ■'
d’une
rente
pour
tenir
lieu
de
pension
de
Jairy, chef de division à la Préfecture de disciple des Charmettes.,ne déçôlérè pigs !
IVécrologle.
Baudon, Dilpierre et Bouffandeau,
Une poule offerte par M. Hazard Désiré,
l’Oise.
Les radicaux de là'Fédération de îGçè’py retraite.
coDseiiier
munioip^l.
Jeudi
dernier,
à
dix
heures
un
quart,
ont
Ca rit sa m a sse et ça dégoise.
-Condamne la Compagnie du chemin de
Leconte, ancien juge au tribunal de Com­ n'ont qu’à bien.se tenir I Le lieùteDaqf de
Une deseeâtfr de lit c l un dessus de lit offerts
Ce sont les députés de l'Oise.
M. Chopineteh'est pas d’humeur à re.olvoir fer du Nord en tous les dépens de l'ins­ eu lieu à la Cathédrale les obsèques de par Fpuqspire, conseiller municipal.
merce de Compiégne.
M™ Bocher, décédée, comme nous l'avons
Lejeune, juge de paix, à Ribécourt.
des observations ; il s’est aperçuïqùe la tance. »
2 'mres Apéritif du Valois, 2 bouteilles de
Ce sont les députés de l’Oise,
annoncé, dans sa 61" année.
discipline
était
relâchée
et
jlà
p
H
s
'la
fçrme
Docteur
Leméré,
délégué
cantonal,
à
Brechaii^gBe,'2Iitres apéritif GaUoiRomain, 214
Qui ne siègent pas pour la peau,
La
messe
a
été
dite
parM
.
l'abbé
Hédiiin
résolution-d'évincer de la'Fédération ceux
três lSiueurs, offerts par M. DuboisfDenogent,
teuil,
Baudon, Delpierre et Bouffandeau,
et l'absoute donnée par M. l'Archiprêtre, conseiller,
municipal.
Mélenne, ancien conseiller municipal à qui’le gêuent. M; Longuet, dont on lira la
(îbers électeurs, payez l'ardoise.
au milieu d'une nombreuse assistance
6 cuillères â.ea'fé dans leur écrin, offertes
lettre;ci?,après
n’attend
pas
qu'on
lui.
dise
Compiégne.
Ce sont lés députés de l ’Oise.
parmi laquelle nous avons reconnu : par M."Gressi'ér-Hazard, coaseillér mtmicipsl.
de' s’eh aller, il est tellement dégoûté des
Mefcier, conseiller d’arrondissement,
MM. Driard, adjoint; Gensse, Fautrat, G.
- Un poulet offert par M.. Branet Anatole,
tripotages dont il a été témoin et des be­
Envoi':
m iûre de Berneuil.
de Parseyal, Lepetit, conseillers munici­ conseiller municifial.
sognes qu’on voulait lui faire remplir que,
Meyer,
adjoint
au
m
aire
d'Estrées-Saint. Une ipaire . de vases .« Tubés », un panier
Ôb I Populo puisque fu payes,
V raim ent M. D upont est d u n e sensi­ paux ; Turquet, conseiller d’àrrondisse- • vendangeur et lin .superbe' pauier à laver, of­
ma foi, il fausse compagnie à M. Castellant
Denis.
idon, Delpierre et Bouffandeau,
bilité extrêm e 1 II poursuit notre excel- \ ment ; Delaunay, de Coulombiers, de ferts par M. -Lesueur Eugène,' ûonseiller muni*»
et à ses subordonnés.
Miesch,
percepteur
à
Beauvais.
Pontalba, Roland, Petit, Ferté, et un
«mande ta part du gateau.
. : .f
Quand à M. Gaussé, qui devait être un len t confrère M. È outeille, du Journal grand nombre de commerçants senlisiens. cipal.
Renard, président de la délégation canto­
Fais les cracher on bien-les
Uàma^ifique couvert avecrenddeservielte
de Clermont, et lu i réclam e 5.Q00 fr.
gêneur
pour
les
radicaux;
M.
Cbopinet
nale,
à
Ferrières.
■
Quand lie seront le nez dans l'eau,
Nous renouvelons nos Condoléances les
argenté, dans leur écrin, . offerts par
Ternant, maire de Cauvigny, délégué can­ s’en débarasse en lui procurant un évan- de dom m ages et intérêts p o u r avoir cen­ plus sincères à M. Bocher et à sa famille., en-métal
Baudon, Delpierre et Bouffandeau,
GaJté Léon, conseiller municipal.
cement qui lui pernaettra du disparaître de su ré le vote oit le sénateur de B eauvais,
tonal.
Tu crieras de ta voix narquoise.
2
fr'.'ien
espèces, ùo anonyme. ’ '
■■ '♦ ..—
.
contrairem ent à ses collègues Cuqinot
la circulation à Crépy, où il était redouté
Tremblay, bibliothécaire à Clermont.
Un litre de kirsch et un
sirop, offerU
C’est nous les députés de l’Oise.
et N o ë i,s’e s ta d ju g é s J)00 francs d a u g Les Accldenls^da Travail.
Vassal, commissaire de surveillance admi­ des pontifes dé la Fédération Radicale.
'PàrM.Duo-'Caron, débitant.1. L ard.
nentation parlem entaire.
C’est ainsi qu'on épure la Fédération,
nistrative à Crépy-en-Valois.
2
bouteilles
de
champagne
offertes
parti.
Le 9 janvier, M. Vermoht (Louis), gar­
P our son excellence M. D upont, la çon boucher, à Senlis, au service de : GaroDirRegaaRlt, débitant.
Villette, instituteur honormre à Nointel.
.
1—.»
J
.
-tresse
n'est
q
u
’u
n
m
o
tl
.-2 statuettes, un anonyme.
Voirin, ancien jugé de paix à Songeons,
M. Chéreau, s’est fait une piqûre sur 'un
Votes de nos dépotés.
critiquer ses décora­ os du médius droit.
' jiige de paix à Ghâteau-Thierry.
. , *‘Un joli réveil ofert par M.'Riquicr; Injoiitier
à Biéthisy-Saint-Pierre. •.
'
Séance d u 2 1 ja rw ier 1907.
tions, ses votes, l’irritable sénateur lente
— Le 12 janvier, M. TaBàry. (Albert),
2 déjeunera ua pot à eau, une paire biù: et ;
de la m useler en recourant aux- tribu­
"i, .'S erutiil'iur la prise en considération de
2
çhaleS
offerts
par
Mlle
de
la
Douye,
de
B
éans,
ouvrier
charpentierj^àü
seryiça'de
Lés Blocards dans l’Oisè, se frottent les
Importante.nouvelle.
n a u x . Ça ne se passait p a s autrem ent
’T a ità id e m e h i de If. Bohnevay à l’article
MM. Perney et C*®, s’est o é è à ^ f é une
Au mpm.((nt de^mèttre sous presse, nous sous l ’E m pire !
3' pàhiers fa! àisie offerts M. D e n i e r , vanoier
jffllradaœ t à ce que les_ fonctions d'admi- mains; leurs humbles, obscurs' mais dé­
contusion du genou gauche par ûiie p ^ e
M. D upont semble ignorer que. les de-bois.
"h Ndÿon.
pid^éitènr soient -gratuites, ou dit moins voués auxiliaires reçoivent le rj^ a n rècevons,-sans pouvoir le contrôler, tinè
■viOléirLe
gouverftemsBtidevait
b
ie
n
l^
lâ
note d'un de nos amis de Crépy. Le b ruit jo u r n a u x sont fa its p o u r relever\ ap9;keltes de conserves offertes par M. MO'
'm «oient pas rétrlnnéeB .sur les biens de
aux Bruneau, Debeaupuis, Bourdillat et court que M. Castellant aurait l’intéhlidn
rouvér ou critiquer tous les actes des • — Le 15 janvier, M. Landry'(Louis)) féaux, à Oépy.
K liéo é. . :
38
ans,
m
anoüvrierau
service
de
M
.lêroy,
I;
3 litres Jus Je cerises offerts par Mt'Bàrgeroo
Vassali
vassaux
de
uotvoidéputé-piovisoire
omm
és
politiques.
Les
électeurs
dntde
de se m esurer avec M. Jules Lemàître.-pourL a Cffiambre des députés n'a pas adopté! (15.000 francs) M. Cbopinet.
débitant.- ■ ■
relever ce qu'il considère comme injupieux drqU d ’être -mis a u courant de ce que. erainetiér, s’est fait un ëcrasemenî des I Prudent,
A voté p e u r : M. Gaillard.
Une'épaule
d e veau rsuiée-oilérte-parHiiie
deux médius e t ànuulâlres.
i / ’!
à la mémoire de son vénéré m aître.,» ;Je fo n tp o iir eu x'leiirs jn à ifç ^ h ts f
'(Dtoi:voté .contre : MM. Baudon, Bouflanveuve
Grogné,
hpuchèrei
C’
è
s
t
,
no-h
sëulém
èht
'
t
é
droit
de
la
'
—
Le
17
janvier,
M,DesSsaux((}60^
S
)
,
suis
le
temple
vivant
et
ambulant
|?):?dè
- é n a it Butin, Cbopinet et Delpierre.
2 pofé à-ea'q offéris'pâr M. COitn; igrainetien
Union- des S o ^ é t ^ de Secoiirs Jean-Jaoques, aurait-il dit à l'émànéM aca­ presse de s’occuper de M .D ïipont,jcc^im e 20 -ans, garçqn bôuchêr au service "de
M Gfen
fïît „na al '
I Dhe^poule Offèrte par M.-’H a ^ l'A is e ae,
Mutuels de l’Oise appp(tovéès
M. tirenger, s est fait une .plate du pouçe -r cultivatenr. : '
démicien, et je n'éûtends paç, qu'ôb flénà- ■sérmteur., maie, desi.aussi.sou(dèsoirl '
—^ r iT o r d œ du jo u r dq^làm e au
• Un ■magnifique videqytehe
,
h^pdure des ju g é s e fi F rapcf gui gauche par instriiipent tranchant. ? ■'
L 'asse m h lée .g ^ ^ a le. de l'Union des tùre l'histoire pour ternir la-inémoirq d'un
['par M. Tétanent, déjtdsé pâd M.'Vaillmit, à Sociétésdfe kec'ours 'mutuels de l'Oise ap- hwnme illuske entré tous ! ».'M. M a n d , rem ettront les choses du point,'énk f a i ­
tuel.:
V»,
— Lé Iff jàniriéf';M.'PréyQst ((Sleoi^s);
' ulafferineture de la Bourse du , prouvées ànra lieu à CrèS, hôtel. du-Che- miriistré de l'Instruction publigtiei, serait sant comprendre a u riche sénateui blo- 32. anp, -puyrier seljipr' au. 'serviqe de
Un joli réveil, juS, santàsBftn'fet ’un litre
rotn de lier, nfaisoR Beüveleti-le''diinainch9 tout prêt à autdriser cette'C onférence' cdrdqiiM fait, ù n a k u s exé^eslide m p ie r M. Buat, s'ést Tait lihe piqûre de l’index qüeur,,o|lçjptoW'M. Bâ|«ètmnt,'OTtri®fenew.
. Une pople^MTerte, .paé H. ïiseint tfigloire,
• .« t» a n in r e cl«;députés n'a pas adopté, . '10févrieri9<)7, à u n é heure et démie de contradictoire, qui aûrait lieu à' la! Sor- tim bré. La m oindre a u g m e n t a t i f de gauche. •. ■ ,
.'
. ,
e u l t i v à t é t i f . r
- i .<> 4 . .tOntr-TOté con^vMM.iBaudon, Bouffant rüprèsm idi.
salaire procurerait p lu s- de sStis factio n
bénne.
. .
,
Un beaurétihtfféensoie.offértlSlflliiielIaiy
étotn'.jBntiB,^(^Det et Bejpierré.
MM. lésPEésidènfsiM’MliL lés, Délégués
On dit M. Jules Lemaltre trés afféété-de <aux ouvriers, d u m avufgAtm rier -dc--Toujoi»8 lés Vagafaod^.
l^,.Ç[(Ut«tÜrt!-- . ; - .
.
"
;
"élf; ' V
-M^Gaillard; des'Sociétés de secours jijij^ la 'a Q llé e s à cette invitattion; il:se ra it même dans Ses Beauvais.I,
JJne
eaipfettffÀfferte "par Ifae^fenx Fi#»
On apFpqédé l’aiT ^tation pour
l'Union sofit-iwtamnient pnés d« sé réu-.' petits souliers,Le « Tout-rRaris »,niondain
dre'iA qtjp! aeseu^lét^'gffiiéi'ale, d an sla­ etj littéraire se prQmét d'assisfér 'à''cdtte
oilhos
L ’aèoàdance des.m atières nous
dédlaÈar... quelle u sera, procédé à llélection; d'un conférence, iihiqqe-èn s o n geiiré ,puisa
'4
Am' a s
!
_
_
_
a.
.
«raem eat.
iShffiit #ar^- W
préffident én remplébehrehl daM . Bé-dih, gü’èlleinettrà
aux-prîsès un
h I f ahs,-'oriètnaaè*du Nordl Ce'aérRièr
d«
8 adopté.
fondateurdareB m iH
, i,' .
ttveç.nBéaeshélébriiés'duJodf^'
! -i’-- -I
yyrMiH
n iliM e& à D ^ p ■ '
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' L iiF f|l^ d a lF O T ç é e q i|i# ' ;. ^
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L ’Affaire P atte.
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Pauvre Castellant 1
iïf o u Âclama
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Creil
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M. Dupont et la
Liberté de la Presse.
lifiré-a«
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S ' f v a .-:
S i
■/.".j
*h&ÎJ
tero n d is
L is OU
hni.icille de champagne offerte par M.
t'u 'S o n , débitant.
CtWjJ^ jl, espaces offerts par M. Blottière,
p e r te .
f M . Ne'
f(0P^'^®n"esi:tce3 offerts par M. Ferry, ex-
iiu
esp èces
offerts p a r Mme B onnard-
®*^tot de l’ajiiers peints offert par M. Bon-
peintre.
pu l'U-rde liqueur offert par M. Souply, déL'Q
pje’iEaone de blanchisseuse offerte par M.
Virt^'16. vânDiôr.
S e id ta .
F i9(n~
^
“j-j5 Ilianiic en osier offerte par M. Delaye5'ffpoi de'miel offert par M. Collas Edmond,
t e
;
*»..
p o u le offerte par M. Picarl Prudent, cul-
fc T a '’H S S< =»^
“pje'poule offerte par M. Ilazard Paul, culti-
FiÆÆS*'?»
niaiine d'une costenaaoe de 50 litres
, „ar .M. Hrunet Audré, vannier.
'f,rnanier blanc oll'ert par M Brunet Mel-
~tages.
v a n n ie r.
1 ,'ro m o s
pnlls
ofi'ertes par les Classes Labo-
apéritif Kina-Bivette offerts par la
.Ion .'iaui'lii. de Bordeaux.
■ne -upcrbe jumelle otîerle par M. Couesnon
.pVi-'duslrimients de musique).
1kiloi. de beurre offert par .M. Harlaux-De-
j
p e rl007.
niaïnüique service à liqueurs offert par
ï fit''i'ois, propriétaire.
Lôiôli réveil, un anonyme.
i|ie montre en nickel, un anonyme,
t a lapie “•'o'’! P^‘'
7hieux Henri,
l'se superbe lainpe-eolonne offerte par M.
i.'jiiiD. propriétaire.
Pae cbaudière-lessiveuse offerte par M.
BAlStg
Erv't ferb lan tier.
I
■
‘[ne'lioiibôune de vin blanc Clairette (vin de
offerte par M. le comte Doria, à Or-
"j'houledles de champagne offertes par M.
q- 76; 2*
’O.
•q. 48 ;f q .4 4 .
’fn°réved offert par M. Dijon, horloger à Ver' **[j’cabaret à liqueurs offert par .M. Gibier,
^'cnc'deiceiile de lit offerte par
M.
Crété-
' *^aiitrc do liqueur offert par M. Bergeron
:a u x
pt» — S ciass
Iteur d’Alger,'
ans, m ahé et
lo n n é ia mort
trois mois
Jie sc é fé b ra n x
lic ite s sa fem1 aussi avait-il
lune chambra
|a u m atin, sa
vie sur le
j- - un des barIcordelette.
me m ort occaférébraux. Ce
bin émoi dans
[co n n u .
J
I-S É B A S T IE S .—
pie d’Arc L a
Viennent de
Ivier leur 2“ *
fArc, l a Comppeau en téte,
assista à la
piise,Jes;arliiéSnedif un
ré .
q u e t^ iîenDu§,.'ra prési■^hérai du
foàih, M. le
' ; les chevaloai s’étaient
prter un téideiCersaint
charmé!, s
pu lui faire.
niSr c'est on
présider le
[agnie d’Aro,
ï ' e son veree
|e Kersaint,,
bIu aooepter'
|famille, ÿla
aa.\ succès
Iviennemt esrmânte réudes assis­
ta meilleur
\r A r c .
[, — Touoia
_ ; T- Nous
Il ie'liste de^
Fanfare :
^ îif ln ie x v ,
p C irU , 6 cnil^ re * f» g o û t,
‘M.deSe.
Itois saalpté,- '
iepafM.de ,
aid Jlésiré,
tdelit offerts
pipai.
euteilles de
Roikain, 2 li-
^jbrosses en soie offertes par M. Cahen, mamîactnricr.
■
j plantes de serre offertes par M . Lapehin,
^o°verre d'eau offert par M. de Seroux, préiiiient de la fanfare.
—.
rn service de table de 74 pièces offert par
I 1 Blondea», vice-président de la Fanfare,
fne boite de conserves (pois) et 2 paires de
Inlelle» offsrtes par M. Thieux-Duchauffour.
l'n beau tapis de table offert par M. Crlnon
Bisée, industriel.
, .
„
J 'fne bouteille de champagne offerte par M.
■
I lirlet, m aré c h al.
.
^
.
1 j litres de liqueurs et 6 litres vin de Samttearses, offerts par M. Vignes.
Un panier fantaisie offert parM. Bergeron
I llplionse, vannier.
Une boite 12 cuillères à café offerte par M.
Ûdot-Morel, débitant.
Unpanier fantaisie, renfermant 2 bouteilles
iemuscat, ofl'ert par .M. Thieux Jules, reprél-it»laat de la maison de vins Coste-Foleher, do
I jiiaipellier.
] Unliire de Saint-Raphaël offert par M. Beauj iequin Raymond, débitant à la Baraque, OrI ™'tache-pots en porcelaine, un cabaret 5 liJ mars, une paire de vases décorés et 3 lots de
la ) grammes d« café chacun, offerts par M.
] UBUtur Joseph, débitant.
B é t h î s y - S a i a t- P le r r e . — A ccide.nt
I -Le 19 de ce mois, M. CaiUeux ïa m o n d ,
arrassier, âgé .de ,32 ans,,SHrveiIlant chez
il. .Vilioli pour le ■;compte ede M. Rappe­
lant entrepreneur déBéthisy-Saint-Pierre,
I jeu une fracture du côté gauche.
M. le docteur Deloaard a prescrit unI itpos de quinze jours.
- Coxsna aux cqîît*ibda8les. — On
I JO'JSécrit:
Les contribuables mécontents peuvent
bire leur réclamation de la façon qui leur
1S mïquée sur les feuilles "d^avetdisseleat; de plus après nous être renseignés
I Itouvais.
Sous leur conseillons d’ajouter - ài -leur
I jiclamation, après avoir indiqué le motif
sirlequel ils se basent pour fa fonnule; ce
{juisuit:
<D'ailleurs le rôle p o u r l’année 1907,
I sontrairement à la loi n’a pas été établi
w un conseil de cinq répartiteurs puisla séance, il n ’assistait'qiie;'"deux réf Jeteurs en dehors d u .n aire; il. est pos[ sile que le procés-verbarae cette stence
[jortscinq signéitures, mais deux n’émalieiitpas de répartitem^s e t ne sont pas
^àlabtek II estoonc illégal et ne pent proI t e d’effet.. ».
,
. -
— A ssociation fraternelle des E m ­
p lo yé s et Ouvriers des chemins de fe r
Français. — Ainsi que nous l'avions an­
noncé, c’est le dimanche 3 Février à midi
et demi qu’aura lieu dans la salle des fêtes
de l’Hôtel du chemin de Fer le banquet
annuel de la seclion de Creil auquel assis­
tent chaque année nombre de hauts fonc­
tionnaires et d'administrateurs de la C'“.
Il sera présidé par M. Rossignol, ingénie’a r en chef de l'Entretien. Pendant le
banquet l'harmonie creilloise se fera en­
tendre et exécutera plusieurs morceaux.
Le soir un grand bal réunira dans la mê­
me salle les invitfe de l'Association.
—' L.VLYRE A m i c a l e . — Le concert an­
nuel de la Lyre Amicale avec audition
d'artiste de Paris aura lieu samedi 9 février
prochain à 8 h. 1/2 du soir salle de l’Hôtel
du chemin de Fer. Une sauterie aura lieu
à l'issue du concert.
— I v r e s s e . — Charles Gosset, de Laigneville, âgé de 28 ans, sera poursuivi
pour avoir été trouvé jeudi dernier, en état
d’ivresse, dans la salle des pas-perdus de
la gare de Creil.
— Baert Charles-Louis, sujet belge, âgé
de 32 ans, qui mercredi dernier, au marché
tse trouvait dans un état d'ivresse si mani­
feste, qu'il pouvait i peine se tenir debout
a été conduit au violon où il a pu tout
tranquillement cuver son vin i 1 aise et
gratifié d'une contravention à sa sortie.
— V a g .a e o x d .a c e . — Les gendarmes ont
procédé le 23 courant à l’arrestation du
belge Yan Derpoorte Achille. 22 ans, qui
était en état de vagabondage, et sera
poursuivi en outre pour défaut de déclara­
tion d'étranger.
C r é p ÿ - e i i - Y 'a lo is . — Salle du
théâtre Municipal, dimanche à 8 h. 3/4
précises, 3* Grand Concert Artistique,
avec le concours de : MM. H. Barrié, tp,
de l'Opéra ; H. Forterre, du Conservatoire,
compositeur ; Audiger, basse chantante
du Conservatoire de Paris ; Mlles Dereins,
de rOpéra-Comique ; Beyra, de la Gaité ;
Darez, des Capucines; Mme Méau, des
Concerts Colonne.
PROGRAMME
Prem ière P artie.
t. C avatine d u P age des
H ug u en o ts:................... Meyerbeer.
2. L a Jolie F ille d e P e r lh . . Bizet.
3. D ans la N ote (monologue). J. Normand.
4. Romance (violon)............... Beethoven.
5. A ir d ’A l c e s te ..................... Gluk.
6. Rêve d ’E n f a n t ................... J. Rameau.
7. M éphistofel (Air de Faust). Boîte.
8. D uo d u R oi d ’Y s ............... Lato.
D euxièm e P artie.
1.
2.
3.
4.
L e Crabe A m o u r e u x
P hilém on de R e a u c is
A ir de S a la m m b ô .............
L ’A b s e n c e ...........................
5 . M u siq u e a u b o rd d e la m e s.
6. A n d a n /e (v io lo n ).....----7. V iens m on bien a i m é ----8. Duo d u / " acte de F aust.
Ch. Debucy.
Gounod.
Rayer.
Fontenailles.
Dorchain.
Forterre.
Chamiiiade.
Gounod.
Troisième P artie.
GROS CH.AGRIN
SajTiètte en t Acte de G. Courteline.
Caroliné . Mlle B e y r a . I Gabrielle. Mtle D a r e z .
DÉPART BE M. G a u s s é . — M. Gaussé,
contrôleur de 1" classe des contributions
indiractes à Cripy est nommé contrôleur
de ! '• .classe en Seine-et-Oise.
— C e r c l e A r t îS t io u e .
Le bal orga­
nisé par le GôSiité du Cercle Artistique,
aura lieu levsamiédi 2 février prochain,
dans la salle 'de l’Hôtel des Trois Pigeons,
à dix heures précises.
Les cartes d’invitation seront distri­
buées à domicile, en temps voulu. MM. les
sociétaires, désireux d’avoir des voitures
à leur disposition, devront se faire inscrire
à l’avance, chez M. Coppeaux, qui les
transportera à l'aller seulement, moyenh a n b l fr. 30 par course.
Un seül cours de danse, réservé aux
sociétaires, sera donné le Dimanche 27 cou­
rant, de cinq à sept heures, chez M. Marot.
Le Comité rappelle aux membres du
du Cercle, que le 3* concert Artistique,
sous la direction de M. Barrié, aura lieu au
théâtre, le Dimanche 27 courant, à~ huit
heures trois quaits, et qu'il'est consenti en
leur faveur, une réduction de 0 fr. 30 aux
places des galeries, et de.p fr. 23 i celles
•lu parterre.
— C a r n e t m o n d a in . ,— On annonce le
prochain mariage de deux enfants de
Cfépy : M. Martial Blavet, flls. de l’hono­
rable M. Blavet, ancien conseiller muni­
cipal de Crépy, et.Mademoiselle Hélène
Crell.—Syndicai agricolx.—Dimanche Graniér, fille du négociant en vins, bien
I jfémer prochain, â deux heures e.t demie ' connu.
•
, I .
Nos meilleurs vœux, de bonheur aux
jePaprès-midi, salle de l’Hôtel de Flandre,
l «itaVûif lieu une grande réunion du culti- futurs époux et nos vifs compliments à
itars sur convocation du Syndicat ^ r i- - leurs familles.
la vallée de l’Oise qui vient de se
— L a S a i n t - S é b a s t ie n . — Rappelons
I lormersur l’iniüative de M. A rthur Bigue^,
que c’est ce soir, samedi,-que la 1” Comoltivateur, et M. Auguste Bréché. M. A r■ - ’e d’Arc de Crépy, fête la Saintllmr Biguet a été élu présiae'nf du bureau
- _ , - , p a r un banquet, qui sera servi
LiM
i *__- __
r .X—2a _ ———
Ia a a a ia
éures, à l’Hôtel du Nord.
--.J86fBâiBK.à: dix heures d u matin, sera
iirîe'TTntre'jeiines et vieux, latraditionnelle
.i^ rtie de J ^ d in .
de
.taiedi 26 janvier, .à h a it heures e t d ^ e , I -—r Au
au BdiiEAU
bbueau DE
de P
rooste
sT a; — A
a partir
pai w uç
- ‘ cher, unF ooirféM (» : ^ ^ a d i c r ;_& «am duB M che,
le
rîJrivRn "!
B & se
irD eno^t,
TrtiM<EèâU .(.cfo-poste da Crépy, qui étaient fermés a
dimanches et jours fériés seront
fermés définitivement à i l heures en été
et à 10 heures en hiver.
.
Le service télégraphique et téléphonique
se fera comme par le passé, c'est-â-dire
jusqu’àm idi.
.
Il ne sera apporté aucune mqdilication
au service du départ et de la distribution
des correspondances jusqu'à nouvel ordre.
—
La
P
r o m o t io n
v io l e t t e .
—
—
S .^
vt- S é b a s t i e n
.^ —
Dimanche dernier, la 2' Compagnie d’Aro
de Fieurines célébrait la Saint-Sébastien.
Après avoir assisté à la messe le matin,
elle profitait du t*mps superbe pour tirer
l’après-midi une pai’tie fort iutéressinte
•et chaudemest disputée.
Le soir, un banquet de 40 couverts
servi à l’Hôtel Saint-Sébastien, réunissait
avec les chevaliers, les amis delà Com­
pagnie. Au début du repas, M. Toursière,
lieutenant, donne lecture d'abord, d'une
lettre de M. Duchauff’au (Alphonse),
capitaine, qui s'excuse d* ne pouvoir, par
suite d'un deuil récent, prendre par à la
fête, et ensuite d’une autre lettre de M.
Deoroze, conseiller général, qui assiste i
Pont au banquet de la Compagnie à
laquelle il appartient
La pius franche gaieté ne cesse de
■régner pendant le repas servi à souhait
sous la direction de Mme Delamarre.
Comme de coutume, le dessert est agréa­
blement entrecoupé par des chansons et
monologues variés auxquels met fin un
bal fort animé qui se prolonge jusqu’au
matin.
La Chapelle-en-Serval.
—
.A c c i d e .n t
de
vo ’i -
t u r e . — Un lieutenant du 2” hussards, M.
j; d'Auvergne allait en cabriolet à Orryla-Ville.
A 130 mètres de la gare d'Orry-la-Yille,
il rencontra trois voitures de roulage ve­
nant en sens inverse.
La première, seule, était éclairée au mi­
lieu de la route, tandis que les deux autres,
roulaient à gauche.
M. d'Auvergne n’aperçut ia disposition
réëfle du convoi qu’en arrivant à la hau­
teur de la deuxième voiturt, .qu’il évita
avec difficulté.
Il heurta la troisième voiture. Le lieute­
nant fut projeté à 20 mètres sur la route
et le cheval, se relevant brusquement, re­
tournait vers Coye.
Les charretiers, au lieu de l’arrêter lui
portèrent des coups.
Une légère dispute s’ensuivit à la Gare
d’Orry. Le lieutenant porte quelques
contusions sans gravité, le cheval n’a rien
eu et le dommage de la voiture est estimé
à 60 fr.
Marolles.
E ta t civil de Vannée 1908.
3 mariages.
42 naissances. ::
13 décès.
J
Excédent des décès : I.
M o n ta tà ire .
—
C oncert
E ta t civil de l’année 1906.
16 mariages.
18 n a issa n ce s.
23 décès.
Excédent des décès ; 7.
Néry. —
de la
Ci­
— Nous sommes heureux d’an­
noncer à nos lecteurs que l’Estudiantina
L a Cigale, de Montataire, dont les pro­
grès croissants ont déjà été constatés par
tous lors de son premier concert, dqitdonner le second de la saison samedi soir,
2 février prochain. Une indiscrétion nous
a permis de savoir que l’on avait travaillé
beaucoup tous ces temps-ci au sein .de
cette charmante société et qu’un, vrai
régal attend les amateurs de bonne m u­
sique.
P o l ic e d u M a r c h é . — Afin de mettre
en garde les commerçants qui pouiraient
contrevenir par ignorance à l’arrêté sur
la police des marchés, interdisant de ven­
dre en ville les jours où lia lien et notam­
m ent le dimanche, jour où celui-ci se tient
régulièrem ent, rappelons-leur que plu­
sieurs contraventions ont été relevées
dimanche dernier pour ce délit.
g ale.
j; — A c cid e nt m t r a v a h ,. -A.MercredlîieW
mer, vers 9 heures du matin, un accident
est arrivé dans les ateliers de M. Biottot,
industriel à Verberie; Mme Bourdet,
estampeuse, au moment où elle plaçait
une pièce de métal dans la m atnee de
l’outil, n’ayant pu retenir assez vrite le
balancier, a eu l’index de la main gauche
presque écrasé.
Incapacité de travail d’une huitaine de
jours.
— En
faisant sa tournée habituelle dàns le bois
du y Mont-Cormont », M. Leviel, garde
particulier, a tué un magnifique aigle. Cet
oiseau, race dans nos parages, mesure
exactement 2 mètres 13 d’envCTgure.
C a p 't ü r e d ’ u n a ig l e .
Oi*py-la-'ViIle.
—
Ormoy-'Villers.
P R O B B IT
HYSIÉRIQUE
ijsiUspeasable
SsslWIe
E l e c t io n s m u n ic i -
p.ALES. — Dimanche de.rnier, 20 janvier, à
eu lieu une élection .en vue de nommer
deux conseillers municipaux, en rempla­
cement de MM. Enchéry-Denis, décédé, et
Lavernot Albert, adjoint, démissionnaire.
Cette élection n’a donné aucun résultat.
Le nombre des votants était de-173, la ma­
jorité absolue était donc de 87.
Ont obtenu : MM. Savouret Oscar, 86
voix; Marchand Désiré, 60; Meunier Al­
fred, 39 ; Mercier Albert, 51 ;. Rivet Fernand, 31.
Aucun n’ayant atteint la majorité exigi­
ble, un scrutin de ballotage aura lieu di­
manche prochain.
ÂLÜ80L
âfM EHTN I
K08S
c o is c a s s s
PAsionoo
efiANOSPRIX
ICI S
S'-L O U IS4S04
LIÎGE 1S0S
MILAM 190S
— A c c id e n t d e t r a ­
— Le 13 courant, M. Louis Prévost,
employé chez M. Ganneval, s’est donné un
effort en faisant tourner le volant d’une
machine.
Il en est résulté une rupture musculaire
de la région inguinale gauche. Soins du
docteur Cailleux, incapacité de travail : 10
jours.
v a il .
©PPOuy.
—
A c c id e n t d e t r a v a il . —
Le 17 courant, M. Alfred Basselier, forge­
ron à l’usine Clair, à Crépy, 4 reçu une
lourde barre de fer sur la jambe gauche.
Soins du docteur Résibois, incapacité de
travail ; 10 jours.
Rocquemont.
— F e r m e t u r e t a r d iv e
L a M
é « 8 “ C U V E R IE ” â e P ,a i
E s t l a S e u le n n iv e rs e lle m é n t
a d o p t é p o u r l e s o u l a g e m e n t - 'e t l a
G u é ris o n d e la ^ m
ie
e t le s d é p la c e m e n ts d e ^ i^ rg a n e s
Noos avons i« plaisir daumoncpp à to w ceux qui
soat atteints de cette terrib le ÎDÜi'ini’ë qu’il
n ’crwtc qu’un SEU L irjütem ent, vér'îabJemeat
scien’ifique. et vraiment sérieux àssm ^ut un
soubgem ent im médiat e t une guérison rapH e :
c’t s t l a méthode CL&YERIB de Paris.
Tous «eux de s o i lecteurs qui sont atteints de
H e r n i e s , Effiorto. H e o e e n te s . H y d r e e e l e e ,
'V a r ie o e è le s . M iU ad le o 4 n r e n t r e , e tc .,
feront sagement, avant de s procuritrun appareil
quelcnnqûe, de profiter du passage de M.
t/L'AV EklË, qui vî«itera les malades et fera
lui > même l'application de son incomparable
méthode qui est maintenant sans rivale au
mond% à :
DE DÉBIT. — Le 13 courant, le garde cham­
pêtre de Rocquemont a dressé procèsverbal : 1° 4 M. Joseph Batori, marchand
de vins, aiiflit lieu, pour fermeture tardive
de son établissement, et 2“ à MM. Louis
Beaudequin, cultivateur, Virgile Barberye.
Jeudi 7 Février, Hôtel dn Grand*
Albert Cuvillier et Hilaire Pignon, toiis SEUiLIS,
C erf.
trois ouvriers de ferme, également à Roc­ £ t à C L E R U O ^ 'T , Samedi 9 F évrier, H ô te l
quemont, qui consommaient dans ledit éta­
S a ln t - A n d r c .
blissement après l’heure réglementaire.
€ < ^ U P IE G !V E , Dimanche 10 F év rier,. H ô te l
dé F ran ee.
— C o n t r a v e n t io n . — Mercredi dernier,/.
Ç R E I I m, LuB[di 11 Fêvrisr, H ô te l d o C h e m in
M. Thieux, aubergiste à Rocquemont; a
de F er.
été l’objet d’une contravention, pour avoir Tous uos lecteurs en écrivant à M. CLAYBRTE,
négligé d'inscrire des voyageurs,, sur le
234, K anhpurg Saint-M artin à Pari*, recevront
grituitem ent son m agistral T r a i t é d e l a
registre destiné à cet effet.
B le r u le .
— D écla­
— Une déclaration de réunion
pour l’exercice du culte catholique a été
faite à La Chapelle-en-Serval.
r a t io n .
Laniorlaye.
Moi’lcnval.
Parmi
les nouveaux officiers d’Académie dont 1rs
noms viennent de paraître à VOffictel,
nous relevons les noms de :
M. Debeaupuis, conseiller municipal de
Crépy, membre de l'Associatiçn républi­
caine" du canton de Crépy, anticlérical de
marque, électeur influent de M. Chopmet.
M. Vassal, secrétaire de la rédaction à
l'Echo du Valois, conseiller municipal,
membre de l'Association républicaine du
canton de Crépy, etc.
Ils reçoivent ainsi la récompense de leur
zèle et de leur dévouement à la cause sec­
taire.
■
.
.A quant la nomination de M. Juzaine,
gérant de l'EcAo ?
— A c c id e n t d u T r a v a i l .
Le 11 cou­
rant, Henri Barbier, menuisier à l'usine
Clair, s'est donné un coup de tourne-vis
qui a occasionné une plaie septique du
pouce de la main gauche. Soins du D 'P ortemer. Incapacité de travail : 3 à 6 jours.
— I v r e s s e . — Le IC courant, le nommé
Laboue (Ernest), charretier à Auger, a été
rencontré en état d'ivresse sur la voie
publique, par le garde champêtre Bonnard,
qui lui a dressé procès-verbal.
— P h a r m a c i e o u v e r t e . — Demain
Dimanche, M. Masseau, rue Nationale.,
Fleupines.
— A r r ê té P r é fe c to r a l. — Conformé­
ment à l’arrêté préfectoral, M. le Maire
de Montataire invite ses administrés à pro­
céder à l’élagage du gui. ■
Saint-Sauveur.
—
A ba n d o n d e v o i­
t u r e . — Le 16 courant, M. Eugène Denis,
lioucher à Saint-Sauveur, se trouvant sur.
le territoire de la commune de Néry,'s’est
vu dresser procès-verbal par les gendar­
mes de la brigade dé Verberie, pour aban­
don de voiture sur la place publique.
Vaucionncs. — L e c u l t e . — Une
déclaralion pour l’exercice public du
culte a été faite par deux citoyens de
Vauciennes.
'V^erberie. —
CESSATION D’UNE ENTREPRISE
A VENDRE
e n
c c > n 4 îa .n c e &
à l ’a n a i n l s l e
16 bons et forts
CHEVAUX
— Le
D E
X R .A IX
public est prévenu qu’il sera procédé le 10
mars, à deux heures du soir, en la Mairie entiers, hongres et juments de 3 4 10 ans,
de Verbèrie, par devant'le maire de cette ayant tous fait un service très dur 4 Paris.
commune, à l’adjudic'àtion publique, su r'
soumissions cachetées des travaux d’aS ’adresser au P iqueur de la Société des
randSssement de l’école des garçons et
B réparation de l’écple des filles. Le mon­ lransports,..0, impasse Compoint,
tant du devis dressé par M. Valentin,. ar­ Paris ( t j s arrondissement)..
chitecte à Senlis, s’élève à la somme de
Èüsai F acultatif.
37.730 francs. Les personnes intéressées
pourront prendre connaissance des devis
du projet et du cahier des charges au se­
crétariat de la mairie, de Verberie, tous
les jours de 9 heures du matin à 4 heures
du soir. Les soumissions seront reçues au
même endroit et jusqu’au jour de l’adju­
dication, on pourra même les déposer sur
le bureau à l’ouverture de la séance, elles
m em pm eeé
« tfs ftîa s t
seront établies sur papier timbré à 0fr60.
Un certificat de capacité établi sur timbre
de même dimension sera annexé à la sou­
gratuitement dé
mission, ce certificat sera délivré par un II» ÜAIIciiinP
ai'olütecte agréé ou par un ingénieur des lin nOHMeUr . faire connaître à tous
ceux
qui
sont
atteints
d’une
maladie de
ponts et chaussées. Les soumissionnaires
devront présenter bonne et solvable cau­ la peau, dartres, eczémas, boutons,
mangeaisons, bronchites chroniques,
tion.
maladies de la poitrine, de l’estomac et
— T r o u v a il l e . — Dans les premiers
delà vessie, derhumatismes, un moyen
jours de janvier, M. Cadot Alphonse, chau­ infaillib'e de se guérir promptement
dronnier, à Verberie, a trouvé une couver­ ’ains' qx’il l’a été radicalement luMnême
ture de cheval, dite d’écurie; Cet honnête aprè.» avoir souffert et essayé en vain
artisan a.fait sa déclaration à la mairie, tous les remèdes préconisés. Cette offre,
et tient la dite couverture, à la disposition dont on appréciera lè but homtmitaire,
de la personne qui l’a perdue. Toutes nos est la conséquence d’un vœu.
félicitations à M. Cadot, pour son acte de
Ecrire, par lettre ou carte postale, à
probité,
M. 'Vincent; 8, place Victor Hugo, 4
Grenoble, qui répondra n a tis et franco
— AoaDENT d e v o it u r e . — M. F . . . , pro­
priétaire, à Longueil-Sainte-Marie, reve-, §ar courrier et enverra u s. indications
emandée's.
nait, samedi dernier, d’un enterrem ent à
Raray, il était en voiture avec un ami ; en
descendant la côte de Verberie, à une m m i ^ m P o u r cause excès de nossBré m ^rnsÊm
allure un peu vive, la voiture chavira brus­ A V E N D R E 4 l ’a m ia b ie a v e c l e o r a e o l l l e n .
quement et les deux voyageurs furent pro­
jetés sur la routé, où ils se relevèrent avec
. Mem^érie et RonUge. Veadne avoe
Essai
d’assez fortes contusions.
au ifrê de rAequéreur. — S'adtasser lût» les jours.
WX£os 1». 63 BÜB OaJLEaS«:nrBmS8*y'PA&Z:>A d j u d ic a t io n .
f
W
foïis mm «
e.
T
M
i ie s
rÉ s
—
lü
Plus il y a longtemps qu'aune affecikui des reins est négligée, plus éU è'ésfIoi§&
et difiicile,4 guérir, car lès reins ne
vent jamais aller mieux d’eu's-mi^
Prenez donc le parti'cfe là sa g e ssè 'et^
mencez â vous traiter avec lès Klules
Fostef pour les Reins dès qu’un des signes
qui suivent vous prévient qùè vos reins
(vulgairement rognons) sont attaqués, par
exemple, ■quand vous vous sentez mffl à ■
l’aise ou que vous éprouvez une doulêur
sourde daus-lè dos, des étourdissemmiii^ ?
des battements étranges du cœur.idfc ^ 'î
lourdeur'ides paupières et de la raideur,
dans les iarticulations, quand vous êtes
nerveux, abattu bu surexcité, quand vos
urines sont troubles et forment un dépôt
abondant, quand elles vous cuisent 4
l’émission ou que leur volume est anormal.
Ces désordres et bien d'autres encore
sont causés par les reins, qui manquent
à leur fonction de débarrasser le sang dés
matières Se rebut et de l’acide uriqùe. Les
Pilules Foster pour les reins guérissent c es.
désordres, parce qu’elles rendent la forcé '
aux reins, les tonifient et les mettent i '
même de remplir parfaitement leur fonêtion, c’est-à-dire de filtrer le sang propré­
meut. Ces pilules devraient êtres p m es
régiilièreinent par tousceux qui prenapét.
des boissons fortes; le vin,1 a bière et les
spiritueux ont une action irritante sur les
membranes délicates des reiiis, les Pilules
Foster pôur les Reins empêchent et calmeal
cette irritation, car-elles excitent l’aclidn
des reins et préviennent contre de graves
affections. Les Pilules Foster pour lesReibs
devraient être prises par tous ceux qui
entrent en convidescence à la suite uto
refroidissements, rhumes, iufluenza, fati­
gues, fièvres et autres affections, car'les
reins doivent être aidés dans tous ces cas,
afin de les tenir à la hauteur de leur tâidie
de filtrer le sang, pour combattre les condi­
tions d’affaiblissement général de l ’o i ^ nisme.
''î f
Quand les reins ne filtrent pas le sang
de ses impuretés, tout le corps en soufire
et la constitution la plus forte y sue'comfife.
Les Pilules Foster pour lés Reins peuvent
être prises en toute confiance dans tûÉ (^
les formes d’affections de reins et dè 'Ia
vessie et leurs' Tiianifestations, telles qdê
rhumatismes, abattement général, ihsdftnies, gonflements hydropiques, augmeiltatiou ou insuffisance d’urine, lumbago, siâatique etdésordres nerveux. Elles guérissesût
de la pierre, de la gravelle, des tro u v es
urinaires et vous pootègent contre ïe dia­
bète et le mal de Bright ouNéphrite A ftumineuse.
On peut se procurer les « Pilules FOstèr
pour les Reins » chez tous les pharmacïena
ou à la Pharmacie Lesage, place HehnJAf,
à Senlis, â raison de trois francs ciniÿahte
la botte ou de dix-neuf francs les six boites
ou franco en adressant le montant à : Spé­
cialités Foster, H. Binac, PhàrihâcîèM,
23, rue Saint - Ferdinand, Paris. Dans
l’intérêt de votre santé exigez la véritable
boite avec la signature : James Fosterrèt
refusez toute imitation ou substitution. 8
A V A N T D iP â R I f flN iB L 'E I U L
LeR. P. Henri, Anoloh P rie u r, a lai-^sé.lon ^
fo m i^
ffiiérif radicalcœÿnl MALABIES DE'PWTWA, AEQUCi
four
UESCQULEURS. OUBÎTE. AL5UMIMUME. CRAVatE, GWTtLToo^
les Maladies <ie ki PEAU. RKOEATISME aiCU QU CKfiONIMej
NÉVRAUlESi MAUDIESOUCOEUR,VABICES, PLAIUXULCERE^UAH*
fiUEuXi kEmorroibes, maux O’estmac. etc. à, 9on ç a m ia
M.PELIETAII,
(Sartitt), qai enver» framiteaMa^tou^
demande acconra^ee.- i* Om20 -es tinbrea
d'aorcâ; un merveitleai' litre de 150 ç'agèa'-cBRtmlitifla ma»
fiiirewie goèrir iiiTailliblemeaU .
fflÂRCHÊS DE L& H t9îô!i
2 3 'ja n tie r ..
Blé 21 50 à 2 ' 75. M étd l 'S . . à- \ î r
g . .
16 . . à 18 ' MOrjîe 1 6 .. à l 7 . A T«j^e’ » ' q ^ 2 i>'s .
2 *2 ?
anx 1 0 0 kilo*.
P ain le kilo l “ q té . . 0», 2* . . c»
B snrre le kilo 3 20 . à 3 40. 2 h if i le* q n a r ^ o n .
3 4 0 h 3 W.
*1
•
F ^ n a e r ie * 23 jp'iivîer.
-- ‘
On cot l'hectolitre : B! 6 de 17 . , ; 1 6 . ;. H éteil
S e ig le
Orge 13
Avoine ''^ até'ià sO .
ÿ - 8 70. ■'?esco
BisaiUe
ÏN>nîâe:4e
(erre 1 0 ..
Blé 1- qté 21 79, 2* 21 15. 3* 20 26. J lé td l ] . . . .
S e i^ e . . .. Orge l^^jBS. Avoine !*• qté 2
2* i9
le tout anx 100 ktio*.
P ain le kHo I*« qté . . c . . . , 5
B eurre le kUo l'* qté 2 60. 2* 2 90. Œ ufs le cent
13 . . k 14 . . .
B e stù w x , — 8 Taohes amouiUantes de 3 '0 à
480 fr. Taoe. 3 vaches grasses de .130 }l l'5 0 le
kilo. 12 vaches herbagéres de . 80 k 1 l O l e k i h ^
6^ veaux g i« s d e 1 70.k 2 20 le k ilo ;
de 20 à 4i)'£r. l ’un. 184 porcs, gra» d e L - . T k l ^ l e
kilo. 516 conrenrs de 25 à 56 fr. Ton. KMK)’de~ B it
de 14-à 25 B?. Ton.
:
R a y e (Somme), 22 janvier.
•
Blé blanc, 21 50 k "21 7^ ; roux, 21 i . a J i 85.
Seûrle 15 50 k 16 . . . Orge 1 7 . . k 17 ^ '- à ^ ^ û n e
noire .19 . . à 1950, aux 100 kiios.
: Savb£dx-Blakchi^.[
Le
Imprimedo AdimoistratiTeetCon.
^ i l , p l ^ e â e rHôtef-de^YiUe, à
■in, o ffertes
mamcipal.
’^Anâtole,
un paoiar
[ à l é i e r , ofüS ef m m û'
•A X* s J a x x K iN iC v a v
_«roné 4 Senlis. (Oisej,
:
r»X * üLftJtjJs » piotmrè
4§«diui (Ardenn^),
; ÔSMS
^ p a r M.
iMüoDtier
A&T. 2.
une fa ça d e de 4 0 m ètres, et
p rend entrée p a r une grille et Etudes de M* SAINTE-BEUVE,
àvoué à Senlis,
ym e p o rte CQchère.
B cç» 4 a d ü c l à l r e f l u
- A s s c a a l* .
"E N
;k e :
•OR lao iT A T io w
D’UNE .
^ ^ d e ’Bé-i
avoué
aRifiiféj
.
^
E â p iiS m e . < e
:•
M o n * K lèuia-O K T iét Brioofct, propriétaini; drausuraiit à 8 ^ T « , . :
'A tils a n i te " io m »|t èn »
Mût*
*Jademoiselle M argnentc-M ane.
« Bàxa?Be;-»é*A -Fontainebleau,
« lerqainxe is a r f viBdl h u it cent
a màaire-vtDgt-treixe, nommé h
*é « 0 tta fonction p aran rte de lo p ■ Boeitiond*intérê<»exîstantentFO
uTiBBi uiMiiar»
v eu v r
a BàaaiUa» s a m ère et tnttiéfr
• nAcjjÿUe-i^ légale ; »
ÀtOttô constl-
riStaB^er -^ 1
â B.
[;*Hiiidissement
(Arden*»),
encore en p résence ou lu i d O a e ^
app^de:
^
a
eu retTMt».
(0 ^ ^
lOtArilea eom m iM .da Q pineuit
. e i .nominÿ
•tdfWiP ^
E d a com prend :
M aison de M aitr^, consistant- en :
rez-de-chaussée- et prem ier étage en
nature d 'appartem ents, com posés.de
quatozÿe piécea,/escaU er de m aître i t
-escalier de «service; vastes greniers,
grandea caves.
Bfttnnents .divers form ant dépen*
dances, en nature de bureaux,^ réinise,
é csrie, sellerie,_grands magasins avôc
cayes et g ren i^ii.
C itern a'co n te n an t environ q u a tre ‘v ^ g ts m ètres,cubes ; -puits avec pompe.
Ck)uesy g ran d e t-b e a u ÿardin d ’a g ré­
ment*'
4. •
>
L ’ensemble., *d*une • sn p ericie id 'e n vîeon 4.000 mètres carrés, tie n t/^ Wa^ « é ^ n v e H enres k l’ouest, k M^ns eur
F o u asrier k l’est, aboutit p s f le jasdûAk
veuve B ernard, aux représentants C ornet
et autres.
:iH e :à iirix ;J iO
et de M* PILLEBOUT, notaire
à Crépy-cn-Valois.
TENTE SUR LICITATION
D’UNE
PROPRIÉTÉ
à BOUliXAÏVT,
dépendance de Crépy-en-Yalois
' (Oise)',
iSN
_
; avec fà et^i dê. rfUjAion,
L ’adjudication aiù « lien le
Blmanéhe 24 FeTTier 1907^
à deu x heures de relevée,
en l’É tude et par le m inistère de
- M« H L LE B O O T,
n q t^ i« & Çrépy-eh-Valois,
ffQiffirii*- k cet Afték
jj^u rg o erite-tfa ^e if
E n exécution d’un jugem ent contradic­
F u it et r à i g é p a r l’avoué pooreuivant
toirem ent rendu p a r le Tribunal civil de
soussigné.
Senlis,
le quatre décembre m il neuf
SfiBliaj-le vingt-Oinq. janvier m il neuf
cent six, cn reÿ stré et signifié ;
eh -cent
lUt ieg i. ■ ■ - ■-a
r
Tt-serà au x requête, ^ u r s u ite |e t .dili­
N-mi^ botai^u
•
- Signé tR A lN T B -B E p V S .
g e n t de.:
: \
' t vtDM
. S a i n i s t r p o u r l a r e n s è tfn im tn ti ; ' Premièrëmènt. — Madame Louise-.
ntiK Lecôq,’ épouse de Monsieur Félix
_ -S<âiU» enmloyé. au e h e n ^ à4
lequel en è àem e u r* a Chêlles e t dudit
’jÛ tY ,' avoué l i Senlji,,’fIS o a i w Raomlt, agii»airt ta n t en son
Ml»*'i t i Ja vente ;
f
nom péTSCHmel ri besoin que pour as.*"”
B0ÉSIGN ATIOH
...... .
“faire
te r ét aù lo n ser Ik dame son épdnse;
*Deuxxèmeiment. —. Monsieur EugèneA n u àn d Lecoq, jardinier,, dem eurant k
ta S S i A
U ae
« tu è e à
P R IX
îÂea^UbB
82
Çrtfiy-^-Valo^
"'feoîsièm em ent. ^ M onsieur Jules
^ iQhgqiiy a r ^^ demeu ran t k PariSj
ru9 iwdüiancRSertlâSEÎ, haSGo 8J
Quairièmement. — M onsieur Gustave
Lecoq, jardinier, dem eurant à EvryPe'it-Bourg (Seine-et-Oise) ;
Cinquièmement. — Madame LouiseMarie-fiugénie Potier, éqouse de Mon­
sieur E tieane-Paul Oger, maçon, arec
It'qael «lie d m e v r e k G lirh j (Seinft),
rue Poyer, 7 bis, .e t d u d it Monsieur
Oger a ^ ss a n t ta n t «n son nom pèrsonnel si .besoin que pour assister et
autoriser la dame son épouse ;
Sixiém nntnt. — Madame M ariaYirginie Potl«r, épouse de M onsitur
Edmond-Loai« B uat, m arbrior,. avec
1 qa>l elle demeure k N o jo n et dudit
Monâeur...Buat, ag lâsu k t^ t^ t^ en ^so a
nom personnel, si bêsoin, que pour
x^isister et autoriser ' la dame son
épouse ;
ffleine);
rao du Fout,* 2 ;
Ayant m * Sainte-Beuve. p o u r avoué
constitué;
r
E n présence d e :
!• Sfonsieur .Gusÿave-Hpaoré Baud e q ^ , serrurier, dem eurant k Crépy-
.ù-^Falbis;
: '
-
« A s s a u t au nom e t en sa
« qualité de tu teu r a d hoe dU
« nûpeur Ernest Antoine Potier.
•
« né k Crêpy-intYk'b*s,le trente
a avril m il huit cent quatéeringt« onze, nommé k cette fonction
« p ar suite de rapposiriôn d’ina té rê ts e iM tn t entre ledU m iqetf
« a e t M onsieor Eugène • Elrnest'
a PoUer, son t â t e û ^ t i f j ^ ■
JE* Monsieur Chrisûo-Àntoioe.Rrichèt,
cendumeur ' d ’omnibu*, dëm eùràR^'W
Senlis, r u e d e . Ville ?crt. 16, veuf de
dam* Bcrihe-Augestin^ Aeeqq a ■
: « A^ssantjpiû'Bonihh* e-
autre bâtiment élevé d 'un : rez - de
chaussée comprenant deux pièces et
'd’un ’gre' îe r ”Ooûyert
sirdoises^
3« A gauidie' de la cour et fa'sant
re t£ ^ ^ d ’equeiT€L an prem ier corps de
bâtâménii'Uik'^b&uinéet couvert en a r­
doises smrvant d é bûchers avec grenier
(Séi^-én-Yalôis ;
dessus ; —
a Agissant â u nom et en sa
a qiudité . de subrogé-tuteur ad . >4?{AJdroUe.£dft’'jR.-cour et s'éténdam
• € hê9 d u m ineur Potier sus- autour d u denrièmè bktTment dont est
pxrlét num éro .2 , u n jard in en çontre« nommé ; •
.
liAut; s^KRré d q la c o u r p ar u n m ur
4* Mon'fiie^trAL'xandz^Guérin, paveur, auqéél « t -adossé* une lapinièrew Dans
dem eurant A Crépy-en-Yalois;
ce m ur, le io n g d e s bâlimems du deux­
a Âgitisant au nom et en sa ième lot,:C8 ta M p p r t ^ d o im it accès' k
a quatité de sùbrogé-tuteûr àd une ckvé^extrilâit so às le ja rd in cia k M ^d es mineiires R am et sus- dessus et p u i s s a n t s'éten d re. un^peu
« nommées; »
sous le. ja rd in d u d e u r i^ Ç lot
5* G r u is r ir iu r r a te é n j a ^ n derrière
P rocédé le dimanche, vingt quatre
le
prem ier çorps d«r hktifrtente, désign.é
'" - • “r ’inü neuf-; e -ù tr
k. deux
.1 dé relevée, èn -T ô to o e.^ ^par le. num éro 2, et en bordure de’ta due aux
' ‘
\
m inistère de M* Pilleboüt, notaire, k Aaés ■;
Crépÿ-en-yriois. commis k cet. ^ è t , à 'L ’eosémble tien t
pordevant et- .k
>
.. 1_____
laf v en te.su r llciu tio n , au plus ofirant l’ouest
la m e du
et le deuxième
et d ^ ie r-è n è h é ris s e v r deu imméùfifes'fTdt é i 'a p i^ 'p s r iie ir ié r e e e k l'e n Monci-aptès dérignés, en deux lots avec
B ^ a r a p è r e ,d 'u n c-Ué ve:s le
faculté dé réunion, su r les mises' k prlx; scà-dTIn rue au i^A n es -,et d ^ u tfe côté
vers m id i M onsieur .L etrillard ; .
fixées p ar ledit jugement;
Ay»nt M* Morand pour- avoué
istitué;
■Et'ancore en présence ou eux dûment
appelas de :
' 3* M onsieur Fernand-Edm opd Décps^
anctep greffier de paix, d-m eurant k
Ci
O Ê S iG N A T iO N
BT
M IS E S A P R I X
PRÈMIÈR LOT
U s e r n r a r i e M alèm e et dépen­
dances. situées k Bouillant, dépendance
de Cvôpy-eo-Yalois, ea la .rne prmcîpale,
ris^k-vis le lavoir, c o n s i s t é en-:
i^ C o o r en en trai^ uyec. entrée de
■Mrta ..cochère lerniéè d|u&e grille et
porte hAtarde ;
.
2® A u fond de cette cour, faispnt face
Misé, à prix : S.SOfr francs. ■
. DEUXIÈME LOT
p o u r la réparation de la toiture de
dernier bâtim en t
L ’ensemble tient': p ar devt
le N ord le prem ier lo t ( d i n ^
p réséet f a t i^ e h e ) e t la ime-dù]
p a rd e m è re Monsieur Lri
côté Orient le-pmnii'X’iiôtj;,.
occident M onsieur Letril
mitoyens entre ;
'. Mise à prix : 4ix£^jjcs.
Mitoyvnne'és eB trp'JeSjiik^ lots
Bogûts. — T- u r d’^ h e ile ,
Cave.
L — Les m nrs
i
entre
le
pez lè serotfd l 0 !s ■ae<opS
sHSoat ]mîtojiÉŸ
.• food'en comble ;
. "rf
Le -pcv^HàéMiîra d t t j ||n i è i u i |p l
devra., supprim er 1rs égonts 'd e ' I M
bâômebtVqui d 'fo n e n t's a r la cour
Sremirir Lot e t conserv r ches lu i o u J e t
•T dans la r e e æ a a a m ç d iig o à ts ;
n i . Le prop nétair *do deoxièam ^
ara. le droit de to u r d ’é c l ^ e su r m
cour du prem ier lot pour la réparellott
d é sou M rimriit ;
• •' - lï
IV . ^ Le propriétaire d u d e v r ita h
prem ier lo t eu' t a a t q à e cette cave -fgH
» siteée au même s’ôtendre.tOM son terrain^
v
Cour en entrant;
'
F a it et rédigé ^ r s v D u é W r n ie û É
A gmiche, b%tiffl^nt.élevé d’on rek-de-'
ctmaeaAe^empcenaat deux ÿièeies avec
g reuH r dessue.convert.enkGdoU s;-.i .
8^ é . : - .^ S âIN » B K ü V a .
é é r i m t e ^ ' J a r ^ k l ta su|*e
^ p v h^At^rOni pénètre dairi I^fren^r. f a i r à a r '-'foiir iw r e w ^ w e i e * ,
'9 »
séiÿ râ, p a r . ô n in u r <du
âë^gn4^.ùum éi^ 4 au‘ |prem^er
1* A *P!'!«IAINTB-BBÜVB, s v 9 i» .A '
■lot..l!ik<^eJ
'e é ’d et^ » < i âe n lia.
C l e p ejM I I M m b
idnstttani en :
lÎOT, COI
,
a qualité dé tu teu r n â tste l et lé-,
a g^ldeLéonie-A uguttssBRainet,
a néeTe w p t aofld./ioil.hait ce n r
« qntrev1ngtM{Baione e ‘ Yvonnea Remet, née le sep*
’-mii
« huit cent onatrevingt-quinse,
" c it% deux Ü H À U ttbtkDTdSjs
pièces d'habitation e tn n è grange.
a '
« M ?!
mSTMiif fito .'t,c o u v e rt pMJîe eu tn ile s j
t o t i p o rct.
•
_
. 3*
é t-p » T iieeu scd ai» sa Ila » le îo ljH ig i.1
avec;
m en44e 0 * prem ier corrà 3e to-imenSs, ùtistirYSbÉvwriià tailM ;
..f
e t sép ari d e loi |iii *rin nu ifiT r'i~ t'T iiT -''n iillrih |iM « ig eil lie [liiil iVfcjiilli
iTUJ
ijT
p i e m d o a u B t M cie H x -(re iû e t8 ,'U
n ' 8( w
.l .^ g r t$ n M w M qesieut L o to tte-d .
:■ .Gitjr.; c et,
"TN-
L E C O U R R IE R D E L ’O IS E
A n n o n c e s J u d ic ia ire s .
L'adjudica ioa au ra lieu
AUTe 7.
É tu d e de
É tad e de M - H . B A L .É Z E A I J X 1
notmFO à Chantilly (Oise).
ïio u is E 1 S C A V ¥ )
flv u é à S enlis,
7, ru e d e V illevert.
G o ate n tlétix e t R eo o m rem eB ta [É tude de H * A r a a a v d f R O E A lS D i :
huissier à Creil.
CsssioB d e F o n d a d e C om m erce.
A tnda da H * X d a o a d RICHABD,
Aotaiia à Poat-Seinta-llaxaepe.
Étodo de M* L jE N ^
M a té r ie l n
V o itu r t d it* <c C oehon- ^ S a t a o a aveo Jard in et 9 P t t e a a
M M e b ll le r .- .
I iilè r e » , V o ltu r* p p w ■ét T a r t e > t B aU y sis «wnmmA et cation vo’oatairi|,j
a e n d rt A I V de commerce, A^Rmiw>. .
BEUÆ
DAm Anagemantt, T orabêP dau, B»*“ terro ir de Robervàl,
d « M. L 0 B G E 0 I8 ,
Etudes de !»• G . L O IB , avoué
eu le, S a e s v ide* a t a u t r a t O b jatt, mtehle. — S ’adresser à M* lU eh a r^ M. Jules M aiU T ,'h éü ^ 1
notaire.
à Senlis,
A s s is ta n te J a d ic la ire .
A
V
K
A
D
R
E
auxenchères,
à
K
ogeotOn fait aaroir à tous ceUx qu il appart ' e t n J n m . f 'M o 'I.i'l
A C B É PY -EN -V A L O IS sur-Üisc, rue Faidherbe, 24, au doœicuc
2 rue de lu République,
l après-'^idi, jæ*
tlcudra ’•
,
(Oise).
de M. LEORkND'RotziKn, le Ditnanefic
noir, hvistm«! '
D écisio n d u o J u ille t 490 6 .
’Stile M* T IS S E R A » !!’, notaire
Qu'en exfculion J 'a ” ,
É
tude
de
M*
BALÉZEÀUX,
notmre
3 F évrier 79Q7, à une. heure, ^ a r le
m
r
\x
deuxième
chambre
du
Trihuna
s i s e à C U A X T IL L Y ,
à Chantilly.
à Chambly.
ministère
do
M*
R
oland.
—
Conditioiw
S i de la Seine, le deux mai s uni neuf
4
___ . .
ACv < 3 3 £ ^ L E > n a i ] ^
ordinaires. — P our la désignation, voir
m e S a in t-L a u re n t, numéro 15,
cent six, enregistré et sivni.ic ,
Kpicerie, burette, rouennerie,_ mer- les affiches.
A vendre p ar adjudication publique
com prenant :
E t aux requête, poursuites et d llv
e
n
t
e
corie, chaussures, dans gros viUag.a ;
et volontaire, à Lam orU ye, en la salle
A u rez-de-chaussée : vestibnlc, salon, excellentes conditions.
D 'un ju g e m e n t r e n d u p a r défaut
do la Mairie, p ar le ministère de M*
f a r tu i le d e liq u id a tio n ju d ic ia ir e , “ S - M a r i e - F a n n v ^ l ^ ^ J salle À manger, cuisine; au premier:
Charcuterie dans ville industrielle.
BalézeauT, notaire, le Dimanche 3 F é­
p a r le T rib u n sl eivij d e S enlis, le étage ; quatre chambres à coucher, une
3
pores
par
semaine,
le
tout
vendu
à
la
vrier 1907, 4 - ^ u x h*ures de relevée, Us d asuâdee
D'UN
C a-Ï< Z : ^ ï n ” r u u " (Nord), boule vin g t-tro is octobre m il n e u f ce n t six, autre pelito cham bre; grenier et cham-j Iboutique.
n a e b e l le I H i e o a B e a r g ^ l s e . âse Hxt* »e dépaasa MU «{]
m re g istré ;
bre mansardée.
vard des Ecoles, numé o i l ,
One unonon is n a t
à Lamoriaye, rue de la Cannerie, n* 10.
. plusieurs boulangeries importantes,
G
ourdins
bquclle
buanderie,
bûcher,
feb e ^ l Ir.iQ.
« Agissant au nom et <‘omme
E n tre Si. A rm an d Dequenx e . o u ­
sans échange de blé.
Tolr--i•«^«■i3nfils
tutrice naturelle
t'.t v rier d ’u sin e, d em eur-int à Mont-a. écurie, remisa et grenier au-dessus.
2 maisons.de plomberie, ringuerie et
J„an - Robert Carré, son fib ta ire, place d e la M airie,
daai
d 'É p i c e r i e
Cave eoiis toute la'm aison;
Etude de M* DESABIE, notaire A (hreü
,
chaudronnerie, à céder dans des condi­
mineur ■ ;
,
clos de murs, beaux arbres,
« A dm is à l’assistan ce jiidi
G az e t ea«.
tions avantagetises.
e t IJ c b it d e R c is s o n s ,
é«
.1
fe«a«.
uonr ii''-ov!é co:)^ti;.'>é
« claire su iv an t décision ilu
Cafés très fréquentés dans villes de
tir aux pigeons,
A vendre à l’amiable, d e a z B a i
’b *
de M ia tti
! Pu;
licm-îursi't u 1 ans
i> à 8.(^D habitants.
« B ureau de Senlis d u cinq
SOB8. situées A C:*eU., Tune ru e du ■ems^lÊàt la eoiaaAkCfc,
Loyer annuel : 4.300 francs.
itl'iü, nniîtéro 43;
d
e
8
h
e
c
t
a
r
e
s
7
4
c
e
n
t
.
Faubourg
de Paris, a* 40, et Tautrc
Excollent
hOtol,
très
fréquenté.
P
ris
« ju ille t m il n eu f ce n t six ; »
;S, r u e de
é;C'.'ce de :
ru e du Temple, n* 13. — S ’adresser
— 'i HoBSBie
« jaune
(QUI et
P our tous renseignements, s’adresser modéré.
A L A M O R L a YE
D em andeur com parant', concluanl
..-iMn- M i.ric-Alin-* Gnmevt
M* Desabie. notaire i Creil.
tout travail, disposant d
Débit de tabac, burette, mercerie, bil­
M* BALKZEAUX, notaire.
25
sur la route nationale.
plaidant p a r M« Louis E scavy, son
'
VI
il
r'''»
la joûrr.ée, dcniande occoi
lard,
à
c^der
à
la
cam
pajne
Bonne
iiiP. •
ui:ê c o n s titu é ;
D’u n e p a rt ;
. S 'adr. au Bureau du jJ
■', Vivun'v'petite affaire.
D inU inC iiC i l ' r i - r r r o i ■>■ ■ ■
ï’a'.lr-'fsep pour r#n*eiguement.s ..
'e u r (à e o ru r s C a r r é ;
Et M“* M arie-C onstance S év ille . Étude de AS* 19. B A L É Z E A U X ,
Excellent petit fonds de menuiserie et M. MAURŸ, géométre-oxpert à Cban- Étude de M* RO BERT, notaire à Baron
à u m iiÉUTC d:
W (~ Ch deœaade, - o u i
„ P r i i c t a n t f u s ’ n n o n i p r r - épouse d e M. Dequenxe , sus-nom m é,
notaire à Chantilly.
chaiTounige. à céder dans des condi­ tillj.
59
pe.'S.'nne âg-o, u se ‘
s o n n e l q u e c r m m ., tu t r i c e n a
et. l'É tude et par ' “. “ ‘“.“ ' i ’i,;';",,,
A vendre à r»miahl<y,
Sbslê-.ft' certain û g '.
tions trë t a'^antageuses.
ivec leqiu'i elle d em eu re d e d ro it '
. t i ir e 'l e e t l é e a l e d e M a r ie M a d e
î t - TISSERA N T, notaire a Cliam
rite i Baron faTibcB^g- Ho BAcb^t*. Deux cx -e’leots hôtel?, entreprise de
I n ta taire, puis la dite d^^me rési
C i.
S’ad r, au Bureau du
„ Ir iu e - O a b - i I l e C a r r é ot S u z a n n e
-drr.toer A M* ROBERT, uetaire 4
lîiiit à T a ris, Ih'S, rn e O r ‘en r ^ t p o u r e n tr e r en jo u is s a n c e d e suite^ maçonnerie, A i.éder à des condition?
„ M a rg i e r i t ! C a r r é , s e s
d iii
A. V E N D R E
Baron.
« F - M.G-AUTmR,Birtis^J
exceptionnelles.
E n vertu d une ordounauci rcudu
„ e n f a n ts iiiiu e ' r s , is s u s d e son ^clu«llfcuieiU san s dom icile n i ré s itUly/ .demand* on
v
Bon petit fonds d ’armurier-mécanicien
p „ Monsieur le J u g-C otn raissair-, e
A C H A I^T ILL Y
« w n i'in a v e c M o n s ie u r G c o ic rf
leu^e 0 ü ü u s ou F ra ce ;
|>rés«mter pour les condiiié^**
»
céder
à.
des
conditions
excosircm
ent
à la requête de :
<1 C a r r é » :
.
BON
m
t
a
i
t
ËTUO
x
D éfenderesse défaillan te;
avaotageuscs: puur cause de inaladis.
1 0 M o n s ie u r R o b e r t- G e o r g c s C a i r
On demandt? dzas «g
situé sur la Chaussée de Ba’agny.
1* M-*.G. Loir, avoué, dem eurant :
D’a u tre p a r t ;
d .m o u r a n t ii P a r i s , n u m é r o l 3 . r u e d ■ lb
u n u c n a g rc , U mari j^rdinS
Cv-rassA ^iioS x p o u r u n g r o o d
S en lis, i m e de ia République,
A vendra A l’amiable, 3_ M u I^
_____
osk _ ”» DmaiB pour k calslat
,ua
I S’arJrc.«ser pour voir k M. A lfre d
,
m
o
m
b
ro
f
o
n
d
s
d
e
e
o
œ
Il
ap
p
e
rt
:
AS'Ssant au nom et commr B ê tié ;
^
■ a
4't7 I THO.MA?, do Bal.igny.
41 «ituée? A Lévigncn (Oise). G k. de Beta, 'cotrctieu du linge.
3* Monsieur lulos-E rncst Carnn de
oxe^ee e - to u * se>!irc*.
Iquidateu r judiciaire du sioui
Que le T rib u n al a pro u o n cé le d i­
29 k. de S adUs, 4 k. de I- g re de Créj^
d e Tfouveautés, C onfection
S’a ‘r . au Bureau du
„ Georges Carpeniier, demeur«D
m e u r i n t à Paris, n u m é r o 13, r u e d e la vorce en tre les é 'o u x D eq u en x e2 k. de la gare de BoisBy-Lévignen. •
p o u r H om m es e t J e u n e s 6 e n ^ ,
R à Chamblv ; »
SÉvn.LE. h la n^quéte et a u profit do
S’adresser à M* J . R<«bert, notaire
m r J a r d i n i e r , cé’.ihataip,'J
Ayant l'our l'o u é consütué M” K e r r
«u couraot des rh»T*m
2* E t düdlt sieiu- C arpentier;
.•T*m
F X P lO 'T V i l O ^ L l I U È R F Baron.
M. D eq u en x e, avec toutes ses consé- B o n n eterie, C h ap e lle rie, C haussures A ik c s 3 : ^ î j : : > ï : s i a a
Launav,
dem
eurant
k
P
an
s,
rue
de
.
■mploi à-. Seuils
s^-.us..', v-ourri.
t.uurri,' D
Ofl‘
DOfll
I l sera;. 1-î D v n a n c h e d i x F é v r ie r
luences légales.
e t A rtic le s p : u r G arçons d ’É cu rie
Banque, numéro 1 ; ■ ■
Ecrire : GEORGES î.t
.
«xiriï,
f-hevaux
Il
*
Belloa,
n*
7.
’
^
La p ré e n t in sertio n est faite r n
4" M a d .m o v s l i e G a b rie l e - V a l 'n l i n t
I voitui-es
i-rxi. IV et
1X4 .«-...t
« Û fliX ÉT U D X
to»’t 1.x
le m«téri-l. ^Cliontêle
P r i x m o d é ré .
C a r r é , c é U h n a i r e m a j e u r e , e ÿ * P '':;" jo uform ité de l’articl ^ 247 d u Code
bien s ilu é en v ille .
notaire, h la vente et a-djudicatio
prenoiu tous les jours 3*ü litres garanti»
-AT", On demande poir i
fe s s i.m . H m e i r i n t c - . - i c r c n t ^ P s r i . , civil et d ’ijHH o n lo n u a n ce re n d u e p ar
publique, au plus oUraut et derme:
A vendre à Tsmiabie, a a e X a fv o a , J é n n e h o m m e «;« 1.3 i l4 ,
j K 40 et 50 C'nt. 1* litre. On gagne ’ous
P
our
tous
renseignements,
s’adresser
r a e F o n d a r y , n in é r o S,
l ’ U’>-nl M. le P résid en t d u T rib u n al civil de
siso k McDtlognon. et diverses Pièces belle écriture — Payêdé'suii
A M'. BALEZF-AUX, notaire
1 S’adrftBsor à M.O ctavb CAGNARD, I Vs an« I 4.0«M > f r . nei de tous ^rais.
chérisseur :
,
rua d - s F f è r c s H u b e r t , ^ m é r o
S enlis, le v in g t-d e u x ja n v ie r, p résen t
à Morienval(Oise). —Téléphone 9. 8101 Pa ill-in de maître. 10 pièces. Ins-alla* de Terre, ^ré et B ^is, sises terroirs de
S'adresser : Léo.n BÜAT ,
D on F o n d * d e C o n iin o r c c d fc p l
L » ïa llo b -P e rre t;
/
,> .- d .„ - i
I
* lion spl nu '’iX‘e4. u
avec
»Z.V xn,
12 he tare» de B.iron et Montlogoon. — S'adresser ’ Senlis.
m ois, en reg i.'irée, p o u r faire co u rir
’
O é b it d e B o is s o n * , .x
A v a n t p o u r a v o u é c o n s titu é M H im l,
On tr.ait«ra avec 25 000 fr. — M* Robert, ootair,* à Baron. •
Études de M' E . A’E U V IL L E ,
les délais d ’bpposi ion o u d ’appel.
p loité ■à Chamblr, rue
B e rlin o t, d e m e n r-n t a P a r .s , r u e V i
J9 T - M. DUB.^RLE fil. J
I, T 'p résen tan t 17, rue Saintem Am 25. coTUpreuaDt . la cl»enei
huissier
à
Crépy-en-Valois
i c . i a o » 't a - 7 j i b :
P o u r e x tra it fait e t réd ig é p a r
Saînte- M&zence. demande i f
Apollinc, l* a r lf t.
60
l ’ncliniandage e t les droits y atia'hes v ie n n e , n u m é r o 1 0 ;
(Oise),
• a v r i e r s p e liitr e s en r
5- Mademoiselle Thérèse Carré, de l’av o u é soussigné.
1Étude àe M' R O U X ,
• t lir droit au bai'.
Très près i.
m eurant à Toulouse
commhsaTC-pristoi de l-'arroadis ornent
A S e n lis , le v ingt tro is ja n v ie r et de M* J u l e s P O T E R L O T ,
et actuellement à
’* 1,
jilse à prix ; 500 fr. ci-d“vant
huissier
à
Reims.
j
Une
Récente
Découverte.
de Senlis.
V icV i-A nge, num éro 2 chei Madame m il n e u f ce n t sept.
ComiEpation pour anoliérir : l.M » fr,
&T6C J a r d in e t D épendances,
Justine N ée;
.
:0
Signé : L. ESCAVY.
B 0^m
' M a U r U l et M a rc h a n d U e s
é G L a IG N E S (Oise) ;
Avant pour avoué constitué M De
i Y ? ,S
i p r e n d r e e n eus, à d ire d e x p e r t.
champs, Semeurant h P an s, ru e de
2*
l'U ûiversi’.é, numéro 17 ;
.
A rt .
P
oor tontes Us fcM<ée^,
Les personnes affectées de Toux, de
i t cahier d es charges et conditions
Et encore en présence ou eux dûment
«stte inentios :
'
à vendre- aux enchères publiques,
Bronirhitc chronique de Maladies d’EsEtude d e M ' L o u i s E S C A " V Y
n œ q û é lle s il sera
appelés de :
par
autorité
de
justice,
tomac et d’intestin, de Neurasthénie, le Dimanche 27 Janéier, à 4 heure,
9 k '« d r 9 S 8 9 r « u -Si
avec raceordem ents à la gare
av o u é à S enljs,
i ; ^ ê o o s d i Chambly, en 1 Etude do M
1- M onsieur A lbert Rey, artiste m u
d'Insoinnie,
de
P«rte
d’.Appétit,
trouve­
de Verberie,
7, ru e d e V liev ert.
î S i T M Î ; notaire, où chacun peut en sicien. dem eurant A V illc-d Avray, avC'
l e D i m a n c h e S F é v r i e r 1 9 0 7 ,1
«ont* d e m a n ^ ô« H asrin M
à S E A L I S , ru e de Mêaux, n* il
ro n t par son emploi un soulagement
sise à SAINTINES.
t e e M^x>mpagn4a 4‘a a t i î n
p n n d ie connM ssance.
& deux heures dm soir,
immédiat «t
llllIlKJUiitL
OL une
llUC guérison assurée Ce pour cause de départ de M. W a&aik,
nue de Balzac,
n « e 99m réfonèss .
« A u nom et comme subrogé
Ferm ent est un aliment vivant, actif,
D IV O R C E
an d e n procureur à Senlis.
A
C
R
É
P
Y
-E
\-V
A
L
O
I
S
rentsmtMA «M lt«nèr« ]
S’adr. i Mme NicoUe, à Glsugscs, régénérateur et dépuratif agréable *■
F » t e t rédigé h S enhs, ce vingt-quatre
« tuteur du m ineur Jean-Rob^rl
(O
ise)y
«
Carré,
nommé
auxdites
foncpar
Orrouy
(Oise).
.
705
p r ndre.
ja n v ie r mU n eu f cent sept.
D 'un ju g e m e n t re n d u p a r le T ri« tlouR par délibération du conseil
3 frnnes.
Signe ; LOIR*
P r i x d u F la c o x
Il F*ra procédé k la V K X T E par]
« de famille du tit mineur, tenue b u u ai civil de S e n tis, le d ix -s e ç t adjudication publique, !D ’ XT IsT
Franco Gare.
E t onres^Mtr^*
« sous la présidence de M onsirur o ctobre mil n e u f c e n t six . en reg istré
C o m m e Se BétMsi-Salit-Martii (Oise),
épôt ^ ü é r a l : X . l i O S E , pharDépôt
. le Juge iJo Paix du 16* arrondit! i * Œ “ ï ’ P O N T E Q Ü O T I D I E H N E i« P O II _
S-odrcaKi- p o u r les renseignements ;
E n tre M. Ch rie s-E rn e st D oligé ,
:i\in ûi lV cu fo liA teau (Vosges).
raaciüii
. sem rnt de P a r is . le dix-neuf
M«m* p a r l*a pJa* GBAIVBS FBOIfil '
exploité par M. H ÉD üIN (Chahlks),
!• A M - I . O I H , avoué à Senlis,
. déoeabra mil neuf cent six ; • pape 1er, d em e u ra n t à G enneviiiiers dem eurant à La Ferlé-Milou.
N ot *. — Un Flacon d'essai est offert
D'une e f f t e a e i t é i n t a n t e H a h l e , cette dicoi?n|
nourtnivant la vente ;
î ‘ M l'abbé François-Fortuné-M au- (S ein e );
gratuitement i la" demande, joindre
due
à l’aviculteur T h . LSDUCQ, ni* rA.-ied«ea à h
*• À
T I S S E H A M T . notm ie
C om prenant notam m ent
k^* de laS**du ig rkiltnii 4i FniM. IsTri frueo eeetti anèt
D em an d eu r c o m p aran t en p e r ­
0 fr. üî'' pour port.
ricc Bardinal, curé h
h ChamBly, dépositaire dm cahier des y dem eurant, rue M artinval, num ro 4,
V E I V D M t E
Stilos.8<fiO; Sk.,4^S.; IkeY 'SO tlO t. 1 4 '50;»L ,kn|
1” U n lu an cg fc d e c h e v a u x d e
so n n e, assisté de M* Louis E scavy,
Essavcz, vous ne regretterez que de
Contre rembovseoM&t à partir d* 9 kUo* (tatüqwrnp^B
PAR adjudication
charges,
40
« Au nom et comme subrogé- sou avoué co n stitu é ;
b o ï » «'om pose d e d o u z e c h e v a u x s a u ne l avoii| connu plutôt.
« tuteur dos m ineurs Mane-Mat
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u
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chez H . U E P É iA T R E , d ro g p aerle - à
D’u n e p a r t ;
deuxVa=^aux,
quatre
banquettes,
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. d -P io e - G abrielle C arré et
Signé : LOIR.
et chez M “ * B la r e o t, 3, Grande Ru* de Soissons, à V lllera-C ett^tM i
. Suzanno-Marguerite Carré noraI
à 2 heures 112 d u soir,
E t M” E ste ü e -L u c ie L a n g l o is , cher fixe et ptaacbei'm obile.
Une attestation au hasar<l : « Je suis satisfait des résultats
« mé auxdites foncti-na »[»vant ép o u se sép arée d e co rp s et d e b iens
Eclairage à acétylène avec lampe J e n la M a irie d e B éth isy S t M art’n ,
iîm âc d* » • P IT H !', notnif* k S tn î's
avec votre P o vd re Orientale. Signé : A ndré Roboüam, vét^m ûtil
« délibération do conseil de de M Do ligé , d em an d eu r, lad ite cuivre, système Bocli.
.
A rt . 4.
en-Valois
(Oise) ».
„ fa-nitln desdites mineures tenue
2* O r{pue Gasparini à cartons per­
Le cellier des charges est déposé à
A 99ÊUre i ra a ia b U , HeSswB S m e»
„ sous la pré-ideoce de Monsieur dam e d em e u ra n t à N eu iiiy -en -T h elle; foras et son moteur. .
Étuties de M* G . L O IR , avoué
' la Mairie.
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. le Juge de P aix du 8 ' arronà Senlis,
3* U n e v o U a r e dite « Caravane L e M aire,
1*T8, »* 27. — 8’%dlx«ail«r i M* Pétft,
« dlssameitt de P a n -, le onze sonne, a sistée d e M* S ainte B euve,
do 5 mètres de longueur, marqué ThHle, [64
DÉSEROUX.
e t de M* D E S A B IE , notaire
notztiv* k aUnUt.
« mai m il neuf cent quatre, enre- son av o u é co n stitu é ;
ccnslruct'îur à Ep^rnay, de fabrication
à Creil.
a p s tr é • ;
■
.
.
D 'au tre p a r t ;
récente, et tous ses accessoires.
r i sera, le h T e r tte ii v in g t fé vrier
4* D p c h a r i o t de 7 mètres de lo&'
Il a p p e rt :
Étnde de M* P S T IT , notaire k SeniU.
m il n e u f o n t. s ip t, a d ix heures et
gueur.
dem ie d u m a ttn , en 1 étudo et p ar la
Que le T rib u n al a adm is la conver­
5* U n fonrg^on de mémo longueur.
, minisièro de M* P s’éxeauj, no'aire. h sion eu div o rce de la sép aratio n de
A vendre ou à louer menbléq, fllpl*
p a r suite de fuilUtee,
6* J e u d e lia la u ç o tr e * c o m p le t
‘ chan tilly (Ois V procédé é | a vente
* « 9
à YinevU., prés
L a L A Z A R I N E e s t u n p r o d u it
I plus offrant^r'.
e" hçieisfeur
„„ . . dorni-r
.............,le> l'ps',
n“ r i a v e m e n r 'd u oomp""n:m“ 5
ChanilHy, avec vaste parc bien planté,
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s é rie u x , u n rem èd e scienti que
I £:,r.êubtos àon, 1. désignation su,. ,
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en 1» rue des Sœurs on de Saint-Len.*—
reco m m an d é a p rè s g u é riso n s
RT LA
S’adresser à Bd* Petit, notaire.
I
,
D é s ig n a t io n
co n c lu an te s p a r les m éd ecin s
C U Î L .T U F iK
e t le s lig u es an tialco o liq u e s,
i Comm une de Gouvleuhs (Oise), j,g ^poux d o lig e -L a n g i.o is .
facilité de
p o u r g u é r ir ra d ic a le m e n t
d e 3 0 h e c ta r e s d e T e rre »
L’efficacité de
III « In c P i è c e de tBeU, sise t-r tir ! pgji, ( rédigé DSP l’aVOUé soussi- réunion des n” 1. 2 3, 4 et 5.
e t s û re m e n t l’iv ro g n e rie
la LA ZA RIN E
A vendre ou • ^ouer m a i s o n booi*B O tJ Ï Ï.A N G E R tE
e t l’aleooU sm s so u s
BONNES CONDITIONS
lg o > u l* a v e c communs et jard in , à
, ,
e s t g a rantit.
55
AU CO H PTA M T
--7.,-,,^..
d'sorés Ifs'
A Stmlis, le v in g t-six ja n v ie r m il
to u te s ses -formes. —
SenliK, route de Creil, n* 4. — S’adne*
, . . . . àJ ,. rG - R
R EE II XL , ! î . r ' n ï "^d'unc cc
B '.iian r. l}'sprês
If
. C o n su lter à ce sujet li
.tb r e ld e q u .ra u ..-.ix ar.-a douza « » - HPtif c n t sept.
U L A Z A R IN E
S ’adresser à M. E ugknk LEM IRE, à. ser à M* PETIT, t.ota.ipe,
b ro c h u re q u i estenvi^ée
•
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,
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«
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u
ra
té
«
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et
d'un
bout
• ru e de la R épublique, n» 80.
M
ontoiéliant,
par
Survilbers.
1082
est
inolfensive
e
t
.
81
Signé : L ouis ESCAVy.
Études de M“ IVAQUET, notaire
, g r a tu it e m e n t sf demaade
nord à M onsieur Georges O ionm eton,
peut
se
donner,
à
SainlvJustveii.Cihaussès
“ autre o M à Monsieur Barthélém y
11. DESSEIONE, jlunui.
MÊME ÉTUDE
à l’insu du
i t “ n " , d 'a u t,. bo u t 4 la sente des
L’adjadioation a u ra lien
(Oise),
à C o s a o (N ièvre), q ui envoie
buveur d a n s,
nvce
g
r
a
n
d
.
jllala®
A
Louer,
irra;
^
...
co n tré m a n d a t ou niib
l e S E I £ E F É V R I E R 1 9 0 7 , F arin
et
de
M“
D
A
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V
IL
L
IE
R
,
Études de M* SAINTE-BEUVE,
rue de la Corne2- B b c P i è c e d e B I». g-BOe
tout liquide,
b o u rs e m e n t de 1 0 ‘,iM
à d ix heures d u m a tin ,
notaire à La Neuville-Roy.
avoué à Senlis,
’adresser à M- Petit,
même terroir, li.u d it Derrière-Mout,
; îî-O T f," n " '5 . - - S’es
eu
b o ite p o u r u n e cure.
d'une contenance d . sept ares d is c e re u l’Étude f t p a r le m inistère de
‘
I
notaire.
et de SI*-PETIT, notaire
aliment.
M - D E s I b J E . notaire
tiarps cadasiré* SPdion A, numéro
A S E N L IS
L a L A Z A R IN E K
à Senlis.
573 b'ts, tenant d'un
au levant à
à CreiL
tr o u v e d a n s tentes la
place Henri IV, n® 13.
Madame veuve ValWe, ‘
’
MÊME ÉTUDE
p a r suite de cessation de culture,
b o n n e s pharm acies di
d’autre côté à M ons-.ur Borde, d «n
S ’a d re sse r chez M . FO U Q U É-M O U
Bn vertu d'une ordonnance de lû.-'®- bout 4 M onsieur A rnaud de Let.un
F ra n c e e t de l^Strania
f'55
A PH O N L l ROY
A louer, g r a n d e l i a i s o n , 4 R.nliv,
R ET, m e de l’Apport-au^Pain
' sieur le Juge-Comm issaire f ù 'a " - (jjjrétien, d'un autre,b o u t au ohem n de,
au x e n c h è re s p u b liq u es,
I e tc h e z le s dépositaha
rue de M ^ulin-Salat-Rieci, n “ VS, avec
près L a Neuviile-Roy (UgG'o de S’-Just
• quête de M- G. L oir, avoué à Senlis, S, D ereii''«’ Mont,
é-i:ris<, rcnilBC. paro - t jard in . ' - r
I d -d e s s o n s q u i deantsl
à E#-lrées Saint-Denis),
n e de la République,
S'a-iresser à M- Petit, uolairc.
l a b ro c h u re e t tous ht
MISES
« A gissant au nom et comme
A
C É liF s R
par le mjni=t*re dcsHits nottires,
« syndic à l’union dus créancier.»
ûgnem a
.
;
.
l
o
o
ff.
«t de la faillite du *ieor A ndré- Prem ier l o t . . .
I/Ç pim anclie 3 l é v r ie r 1907, F > ^ T j :
E F t, ï e :
u tilta
Étude de M* DELAUNAT, u o u in
8 0 fr.
,
« Ferdinand Bouchez-Tav au x , Deuxième lot. .
d ’Ë n t r e p r e n e u r
à, I t h o vrestrés préX iiesd u rfla iiu , ip o s s M n n l iino DObiié et an cien n e
à S u ilii.
êt'en son vivant bonlanger a
et lendem ain lu n d i, à la m ême h e u r e ,. piig^tèle et te n u e n o m b r lises années
D i ’- p ù t s ; (i R e a u T a i s , Pb'- R EC O U SIT ; à C r e i l , Pll';l
« Cr -U, 8-0, rno de la Képud e M e n u is e rie , e t C h a rp e n te ,
h ‘- LEQUEUX-iROCHIN
par ie cédant. — SImalion excepA louer
. • s o n sise 4 . à C o m p i è e n e , P
Pn*
L E Q U E U i-iK ^ H W : aà IMt t oOuuyy,J. j M
tT 'il
lau er ki l’am iable «1la*sOB
« bliqae ; »
F a it et rédigé 4 Paris, le sept janvier
en la Ferm e occu; ée
lionnclle.
—
Occasion.
mil
neuf
cent
s
pt,
par
M;
D
urnenu,
Seu^s, rue dU F au h cu ,« -S ain t.M ar.ln „
Ph?
p ^ r M, A m é j ^'é DÉM AZURE,
s i t u é A S E S fL IS y
‘
n sera, le Somed» seize F é v r ie r m ü
DI« ru*- XlAXrUJll , <l
v n » r u - L.\JAk\a,,a %ebrv|xj
S’ad res^ e f i })..B,OZIAy, pgrlB dj
'-■ n e u f o t n t t e p h , i d i x h e u r a dz. m o m i, avoué poursuivant soufSigDe.
o ù il é la it ex p lo ilé
®
‘
jp h ‘« PETIT, eldaastORtes
etdano W û B les bonnes Pharmacies de U
la régi*
Signé : E» DÜRNKRIN.
D 'ü fii
P a ris, a tirép y -eu -V alo is.
51
" t o K H i eu l’Etude d . M* J 's a b ie ,
p
a
r
la
Société
F
an
jat
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C’
“
,
‘ i ï t o e à C reiL àla rente et adjudication,
E n reg i.trê 4 Meanit, le sept ja n v b r
IM P O R T A IT
« q T p ld » offrant e t d êm ier encbétuseur, mil neuf c«nl sept, folio 10 ,
uftux ÉTun^
.! Méfiez-vous des contpefuçMi» oap la Law
POMPRi^NANT :
tu a :
’
m ' reçu 1 franc & centimes, décimes
VENTE & l o c a t io n
lover 4
9 bcetare.
le seul R E M È D E Ï» 'F IC A C E c o n tre l’Iï
1 » L a G l i é n t é i e , i ’A c h a l a n d a g e e t
■' I
4 e C em m ereç d e B .» - compris.
g
9 3 arcs 3 T eeullarcs «le U m l s , ^^
l i S g e r i c , exidoité
Çrell, rue d - U
exploite »a .^rou,
le D r o it a u x B a u x ;
eu
4
pièces,
>is
au
b-rmir.
de
Seolis,
^
,
num
éro
80.
ensemble
a
K ^ n h liq n e
^ a d re sse r p o u r rén srig n tm en t/ à ;
2° G r a n d A t e l i e r , bien amésu r U* bor.I do D n.utp de Ce qjp’(j5jn«,
Æ
ï l - r i ’^diarandag. v a tta o lé s le
C om prenant notam m ent :
|P p r p t i é ^ é s . T F fp e iiis , e h
liiyu d itlc s Marais du
ÊKÊ^M
:v :« » lériel servant 4 son cxpioimtion et te
1> M- « ï o n t e r l n . avoué 4 Paris,
2
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Chevaux,
î
û MÉÜcUwRay, »o7ai"e.
’
d fc lt au bail des liens où u esploUe numéro 43, r u . de Lille ;
3» I m p o r l a n t M a t é i ' M en
6
14
Vpelie-,
5
V
eaus,
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b
|
I - l .a t .f o n d * , fait pour une durée de vingt2* M- L a u a is y . avoué 4 P . ri-’, ru de
bon état et Marebandisea.
d u années, 4 partir du prem ier janvier
Taureau,
I
la
B*oqu^,
num
éro
l
;
Stôd* i* M* F X R T â , KctsiBii
g é r a i t cent quatre-vingt sdze, moyen160 B nbi» et l'M petits A gneaux,’
L’adjudicatio • a-^ra livn le
3* M* E n iÛ e B e r t l a o t , avou< k
— B snt u n 'o y e r annuel de 1.800 francs.
i Bsalls
140 .ig u t aux gris.
^
|
P a rit, rue Vivienn#, aunjéio 10 ;
^
a* l i
J e u d i 7 F é v rie r 1 0 0 7 ,
TQnibeyeftùxj * C hàritis, Carrioles et g u p c g u à y i g j e V ! } ! ( O le k ' )
A p r ix s 5 .0 0 0 fp .
. 4 - M*
».
^
à
deux
heures
du
soit',
GaWioUt.
enchérir : 9 0 0 fr . ru* de rUnive»s«té, a m i t o 17 ;
A
vvfidrs
4
l':vmi;,bli’.
n n — tS nlnnn
P rès la Gare.
*5t
Faucheuse et Moissonneuse.
en l'Étude «t par le m inistère de
tT É U R DKE 'I
5* M«
n*taip« a ph^u
•Je , i „ n n « r l n v
et u n .
Une Machine à Battre avec son Ma­
u - PETIT , ,
M»rchandtB<’s k prendre cn*««
tiUy» dépo^ita■re Hel’en hère;
P ; è . e e . T .e i-.-. simés e NantcitU-IeAFEZ-TSirS O M .C H ET
lio u k d k 8 g 0 fs ,
kcU re d e x p e ru .
nège,
llau d o u ia . — S'adr- sser 4 M* Ferté,
E t tu r V'é lieux.
AVEZ-TODS S S TOd>— ,
B rab a ^ ls, J ip g u se s , Reqleaux et
notaire 4 Senlis.
Btttrée en j<mi«»anfte !• U ndemain
VOS CHETBIIZ SOHT-llS 1
p o u r liKortioD,
P o u r les renseignements et pour, CrpskUl;
T â l j a c s - V i î i S 'R s s t a i i r g
. ^
de radjttdîonjioo. ^
T O K B E H T J U I -,
yg
S igaé ; DlfRNEî^lNf yisiter, s a ir r s s r r :
Spmoirs diyers et autpez )[ûsirapïen.tç ^ rppreijfl e df»h§ süH Srpréfeclure de
S I ecr, ;..j
h I k S ÉTUSt
agricoles,.
A. M- S A W T S vB E Ü V B , avoué
S m ^ lo re i I . ROTAX, 'W lMBaJa
l’Oise
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le c a b ie i- des
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I»SeMia ;
A lover de suite, b e l le ^ a l w i n
im niblécs ( VfTite Jiiiiiuclle du lnl».nc :
AitT*
'
B U nteD e. d e l à
I. a n n u e lle s ri
Pe c tr et ft. j tf'.ter.
A M* PETIT, notaire à SonLs.
_ scuni
One ta w v e a z m z m nm peinza* IM P dU onlêa n M t la
23.000 fr.). l’rix à d ô b aiire avec faci­ i l o a r g e o l s e , simé ru e .Sa'ot-Pierre,
•;* ’ r t t déposé à t r e i S ^ û IB tu d e de M
a- t.:, ui.ir , et porte cochère ru e aux
d e . Chevaux mêdMllS. B tm ltx U In w p êMUS...
ta i. V a i t . •tO' U jW B ^
^
D e r o e , n o t» fc , dû chacun peut en
lités si garantie.^.
Fiageards. — Eau, gaz, culorilèrii, ja r ;
Se. fisaiv*
Greove ^ e z les
Exiger
sur
les
flacons
tel
mote
isjil
Eisa...
*
C
onsulter
les
affiches
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conneisMn<^*
S 'a d re s se r à M. ROZIAÜ, P o rte de din. écni-è et reptis.*.
meufs en flacons et demi-flaeoim.
|
l'ordre de la vente, et s'adresser
}0g8
É tade d a M ' H ,
iow" visiter à la F rw e, ‘fpowr* P a ris, à C rcp y -en -V alo is.
V H T fiE P O T : S 8 . m
x n iee d ' È n g l u o n . A
sslstan
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J
o
d
lo
ia
ire
,
F»H «t réU gé à Senlis, ce vingtnotaire 4 Chantilly,
oin
E&ToiiniDCOlurdoninde dnPrcipwtBf «ontlBmdétaiilM
«uiÉr* ianvier m»l n*uf cent sept»
É-.cde .ir K ’ F é l i x U O U A T ; notaire
Déoision du Bureau ^ Senlis
k S»*nlis, plac ’ Je la Ha i p n* 42,
S ig n é : LOIR.
C r é d i l p o n r le s p e r s o n n e s c o n n ite s
suce’ de M* F é tiz o r .
D épôt à^ S E N U S
du 3 JuiÛet 1906,
S t enregistré.
Les p rsonues non conu le» des N oiair-s
A L ’AMIABLB
4
places,
devro t se m unir de léféronces. 74
A vendre p ar adjudica ion volQutîqro,'
S a i r u * e r p o u r le* renseignem tni* j
S u c c e ss e u r An M . TV C fK B Ii,.
p o u r entrer en jouisgapçe de suite^
’ H u ls a n , >iso 4 Vi) ,r--S ain t-F iam  91* E iO lR * avoué k S snlis.;
bo nv, G:a.M o-Ru-, 2 H n ia o n , sie -. 4
B
E
I
X
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. A H * I I E M B I E , notaire i Creil
4 places^intéi-icures, 2 sur le sièges, rceurm cs rue «lu P uits-des-F ri’ges,
D'un •’u g em .n t rendu par le -Tribunal
dépositaire du cahier des charges ;
et' u n JIn rd iB . .i- audit Fleurines,
civil de S en lis, le cinq décembre m il
S u r les lieux, pour visiter..
. 4
V E J V D R E . < en 'a inè-cc r ic, 1” tdaïonche 24 Fé­
EAU & «A E
n e u f cent six, énw gistré ;
vrier 19li7, 4 Vill.-rs-Fainl-Éramb ™pg,
P o a r insertion :
S’aHrosscr à M. A. G A L L E ,
Jnstd'Ua^tons sanitaires..
A n protti de M onsieur Julea-Eugène>11 la ralle de la Maipie 4 di q l heures
Signé : LOIR.
' C h ai« an aaq s& .'e*
ptel}. .
87 ré i 3 ey,'pout H maison sise tu d it V u,
è n io io o CpiMET, m anoavrtsr, demeurant
de construction récente,
1-rs et 4 F leqrin-s, . u la sa le de la
à Cbam^nt,
,Au*-. 5.
.Mairie, 4 q u itre heures ip é ii^ a , p ü u r
- M* Samte-Benvo
s is e à c h a n t i l l y ,
-Îîx r '-: '
les aulrPS imm nW-s, p a t le mvnistèro
A Ç É p E R
ETUDES DE
. p o u r *vDué I
rue André (Parc Auiaent),
de M- Lo at, notaire.
Futrepvenenr
à
R
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défaut
«
entre
M»d»me
H
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.
M * D i î R N E R I N , av o u é à P a ris
B E A t î
G A F É
' C om prenant :
Flaiimbbmo'T, épooM -i*
M aison p ri- çip ale 4 SUIy l6 -L ong
. f u e d e l i l l e , 11* 4 3 ,
CoiMBT. sas-nommA
lequel elle
dans
jolie
villè,
bien
silué,
faisant
(oise)'
Sou*.eol 0 mpoeé d» : chv» 4 char
Etude de M- Q U E N T m a, notaire
'■
" ^ é t J e M ' B A t É Z E A U X , n o ta ir e
de, d roit à
h-n, bû hâi-, grsm ie b n an d -n c avec
4 Chambly ,Oise).
Fondée en 1868.
65 groscbilTrc d’affaires à 05 O/Ode b 'né
résW aVtde fiiî*43n tu o dn Chemm-de- •avoir cave â vin«.lices. Clientèle riche et Udèle. , à C h a n ü 'I l y ( O i s e ) .
WJHBàBSH
F e r. i
,
.
Au rez-if-chtussée : vestibolo, «a’<n
S'adresses à M. BOélAli, Porto di
A 'ew tdre o u à louer une n r « p r 'é t *
Défend#*réïae^ défm lUnté f?i>te d avoir ;-l»e k ira n g -r. biirca”, «uiFDe et
A.
V E NT D T=t K
Paris, à Ci’épj’-en-Viali is.
4! •ppelée le M o u lin n n s f, située 4 C h a ^
■ V E N T E . S U R L I C I T A T I O N conslitré acoU;é,L
blv (Oi-e). sur la route n atio n al, «e«jffice.
-11 a p p e rt:,
Paris 4 .Cahii*. — S’a d resser i M - Q u ^
-Aü p rm S er étages; trp k çham 'rfts i
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Étude de V ’ E S A U C H i^ P a , n o t ^
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