22-29 mars 2015 - Ensemble paroissial Christ
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22-29 mars 2015 - Ensemble paroissial Christ
HORAIRES CALENDRIER DIMANCHE DES RAMEAUX ET DE LA PASSION 29 mars 2015 QUÊTE IMPÉRÉE La quête du dimanche 22 mars est faite au profit du CCFD-TERE SOLIDAIRE Messes aux heures habituelles du dimanche. Bénédiction des rameaux à toutes les messes. ADORATION DANS L’ÉGLISE DE MONTAUDRAN Tous les lundis de carême à 20h 30. LES OFFICES DE LA SEMAINE SAINTE Lundi saint 30 mars: 18h 30 Messe Chrismale à la cathédrale St. Etienne, avec la bénédiction des huiles saintes. Jeudi saint 2 avril: Messe de la cène du Seigneur Et du Lavement des pieds 17h 00 au couvent des Clarisses 18h 00 au couvent des Carmes 19h 00 à Ste Thérèse 19h 00 au Christ-Roi Vendredi saint 3 avril: Chemin de croix: 15h à Ste Thérèse et au Christ-Roi 12h 30 à Montaudran sur le parvis Office de la mort du Seigneur 17h 00 au couvent des Clarisses 18h 00 au couvent des Carmes 19h 00 à Ste Thérèse 19h 00 au Christ-Roi Samedi saint 4 avril: Veillée et messe pascale 21h 00 à Ste Thérèse 21h 30 au couvent des Carmes 21h 30 au Christ-Roi Minuit au couvent des Clarisses Ste Thérèse de l’Enfant Jésus Tél: 05 61 80 00 79 Le ChristChrist-Roi http://toulouse.catholique.fr/sainte-therese LECTURE DE L’AUTOBIOGRAPHIE DE THÉRÈSE DE LISIEUX Lundi 23 mars à 20h 15 à la maison paroissiale de Sainte-Thérèse. 22 mars 2015 29 mars 2015 PAROISSE DU CHRIST-ROI ÉVEIL À LA FOI Célébration samedi 28 mars à 10h 30. es EAP des paroisses Christ-RoiMontaudran et Ste Thérèse se sont réunies et ont établi un bilan du dimanche communautaire « autrement » qui leur était cette année commun. Les points positifs sont de deux ordres : RENCONTRE DE TOUS LES ACTEURS DE LA PASTORALE DU MARIAGE Samedi 28 mars à 14h 00 salle Albert le Grand (Couvent des Dominicains de Rangueil). JEUNES SERVANTS D’AUTEL DU CHRIST-ROI ◊ Réunion pour les néophytes : samedi 21 mars à 11h 00 à Montaudran ◊ Célébration pénitentielle pour tous les JSA ayant fait leur première communion: Samedi 28 mars à 16h 30 au Christ-Roi. ACCUEIL ET PARTAGE Rencontre samedi 4 avril à 14h 30 salle St. Jude MOUVEMENT SACERDOTAL MARIAL Dimanche 5 avril : 14h 30 Cénacle et eucharistie A l’église du Christ-Roi. SE CONFESSER POUR PÂQUES Jour de Pâques dimanche 5 avril: Messe de la résurrection ◊ Célébration pénitentielle pour les jeunes : 8h 30 au couvent des Clarisses 10h 00 au couvent des Carmes 09h 30 à Montaudran 11h 00 à Ste Thérèse 11h 00 au Christ-Roi 18h 30 au Christ-Roi Vêpres à la cathédrale à 17h 30 ◊ Célébration pénitentielle pour tous : samedi 28 mars à 16h 30 église de Christ-Roi mardi 31 mars à 20h 30 église du Christ-Roi ◊ Permanences d’accueil pour les confessions samedi 4 avril : Eglise de Montaudran Eglise Sainte-Thérèse Eglise du Christ-Roi 10h – 12h 10h – 12h 14h – 16h StSt-Etienne de Montaudran tél: 05 61 20 42 53 tél: 05 61 20 57 44 http://christroimontaudran.fr 5me dimanche de carême Dimanche des Rameaux et de la Passion APRÈS LE « DIMANCHE AUTREMENT » L - un événement qui nous a réunis : des liens se tissent, la connaissance des paroissiens entre eux progresse, rencontres et découvertes diverses, amitiés qui se nouent... grand intérêt des échanges dans les différents ateliers, avec liberté, vérité et profondeur, même dans le temps restreint qui était imparti. - intérêt aussi de l'après-midi, avec l'exposé intéressant et concret du P. Arthur de Leffe, et les échanges avec les témoignages qui ont suivi. - 85 personnes se sont inscrites sur les feuilles de répartition des groupes d'adultes du matin ; (nous n’avons pas compté les jeunes et enfants répartis dans leurs différents groupes). Et on peut évaluer à 80 personnes environ le nombre des participants de l'après-midi. Tout le monde a une famille, tout le monde est concerné par ce thème, et on sait combien aujourd'hui la famille reste une valeur première aux yeux de chacun, et combien la famille est interrogée et les relations familiales facilement mises à l'épreuve... Aurions-nous pu attendre une plus grande mobilisation ? Quand on prend en compte l'emploi du temps de chacun, le rythme de vie des jeunes comme des adultes, et les multiples sollicitations des week-ends, je ne pense pas que nous ayons à nous plaindre, et c'est une action de grâce générale que nous pouvons faire monter vers le Seigneur, grâce à la mobilisation de tous. Le Synode de la famille. Le 17 janvier dernier était lancée la consultation en vue du prochain Synode de la famille. Dans notre diocèse de Toulouse plus de 80 groupes ont apporté leur contribution et ont remis le fruit de leurs réflexions au Service diocésain de la pastorale familiale qui en a effectué un dépouillement samedi 7 mars. Le service national de l'Eglise de France va se saisir de l'ensemble des remontées des différents diocèses, et envoyer un cahier final au secrétariat du synode à Rome : les résultats de la consultation doivent être envoyés au secrétariat général du synode avant le 15 avril 2015. Ils serviront à préparer « L’Instrumentum laboris », document de travail qui sera publié avant l'été et sera la matière de base durant le débat synodal. La XIVe assemblée générale ordinaire du synode des évêques aura donc lieu du 4 au 25 octobre 2015 au Vatican, sur le thème : « La vocation et la mission de la famille dans l’Église et dans le monde contemporain ». Nous restons mobilisés dans la prière. P. Lizier de Bardies LIBRE MEDITATION D’UN PAROISSIEN PHILOSOPHE J 2 e n’ai pas regretté d’avoir rejoint la séance finale du « dimanche autrement », tant pour la qualité des interventions que pour la loyauté fraternelle des échanges. Je venais de terminer un livre de Thibaud Collin, philosophe lui aussi : Divorcés remariés. L’Église va-t-elle (enfin) évoluer ? Je me sentais confronté à deux questions. D’abord : quelle idée avons-nous de la miséricorde divine, dont nous pensons qu’elle est le cœur de la bonne nouvelle que l’Église se doit d’annoncer au monde, à commencer par ses membres, comme Jésus à ses disciples. La réflexion et l’expérience m’ont donné à penser que cette miséricorde n’est pas une pommade, et que sa rencontre – dont le point culminant sera la mise en présence qui nous attend à notre mort – n’est pas avant tout une partie de plaisir, mais quelque chose comme une brûlure et une mise à l’épreuve, seraient-elles vécues dans une paix à la mesure de la confiance que nous lui faisons. Nous la confondons trop souvent avec une gentillesse. Cette idée console nos affectivités imbues de romantisme, mais elle provoque les récriminations de ceux qui, comme Nietzsche, en appellent à un « dieu plus divin » que le Dieu chrétien. C’est là passer à côté de la bonne nouvelle évangélique : « Rien n’est impossible à Dieu » signifie que c’est à la toute-puissance du Créateur que nous sommes appelés à donner notre confiance. C’est à elle aussi qu’en appelle le Psaume 50 : « Dieu, crée en moi un cœur pur, et rénove en mes entrailles un esprit de droiture ». Seul le Dieu créateur peut opérer cette recréation rénovatrice. Comment concilier la représentation d’un Dieu gentil et le fait que la suprême révélation de sa miséricorde soit la Croix du Christ ? Le commandement des deux Testaments n’est pas : soyez gentils comme je suis gentil, mais « Soyez saints car moi, je suis saint ! », ou « Soyez parfaits comme votre Père céleste est parfait ! ». D’où ma deuxième question : quelle idée nous faisons-nous de la grâce et de ses effets en nous ? Nous en sommes venus à les situer sur le plan de l’affectivité, au point que nous croyons en trouver les signes dans le fait que nous nous sentons bien. Que dire alors de Mère Teresa ? Passé le moment d’inspiration qui lui donna sa vocation, elle vécut jusqu’à sa pâque dans une douloureuse et parfois terrible nuit : n’était-elle donc pas en état de grâce ? Les sacrements – notamment ceux que nous pouvons consommer sans modération : la pénitence et l’eucharistie – ne sont pas des antidépresseurs ni des antalgiques surnaturels. S’il fallait mesurer leurs effets à l’aune d’avantages psychoaffectifs, je crois que j’en aurais désespéré depuis longtemps. Notre culture du pathos nous rend ignorants de cette rectification spirituelle qu’implore le psalmiste. Aurai-je l’arrogance de juger que Paul a trahi son Seigneur – qu’il a vu, ce qui n’est pas mon cas – en écrivant à ses ouailles : « Celui qui mange le corps ou boit la coupe du Seigneur indignement (…) mange et boit sa propre condamnation » ? Il est question ici d’un ajustement de notre conduite et de notre conscience au sens de ce que nous faisons, faute de quoi, en dépit de nos états d’âme, il n’est pas vrai que nous nous disposions intérieurement à la grâce, sachant que le pouvoir de notre liberté créée est précisément de pouvoir lui faire obstacle. Que penser d’un malade à qui un médecin prescrirait un remède efficace à condition qu’il cesse de consommer de l’alcool, et qui néanmoins continuerait d’en boire tout en prenant le médicament ? Comment se présenterait-on à la table du Seigneur sans avoir préalablement demandé pardon à son conjoint de l’emportement qu’on lui a fait subir, et lui avoir donné le baiser de paix ? Les péchés de colère peuvent être plus mortels que bien d’autres. Le pape François est sous la menace de la mafia parce qu’il en a appelé à la conversion de ceux qui se font complices du crime organisé, et veut que leur soit refusé la communion eucharistique, dont ils couvrent hypocritement leur activité meurtrière. Il y a tout lieu de déplorer que l’état des divorcés remariés passe pour le seul « péché public » qui interdise officiellement l’accès aux sacrements. Le concubinage notoire devrait avoir la même conséquence. Quant aux péchés d’injustice tels que la fraude fiscale ou l’emploi illégal, ils devraient être considérés comme d’indignes obstacles à la grâce eucharistique. Dès qu’il est question de justice et de droit canonique, la sensiblerie moderne crie au juridisme, alors que le fond de la question est l’exigence de vérité et d’objectivité, dont le rapport à la grâce salvatrice ne peut faire bon marché. L’une de mes nièces a épousé un divorcé. Ils se tiennent volontairement à la discipline de l’Église, tandis que leurs enfants communient. Je ne peux penser à eux sans me dire que cette justice est sans doute la voie de salut qui leur est propre, dans le respect de leurs choix de vie familiale. Elle est aussi pour leur famille un appel à panser par une attention toute spéciale la blessure que constitue l’absence de communion intégrale : cette attention aussi est un canal de la grâce, que l’on peut juger, comme saint Paul, plus authentique parce que plus juste. Michel Nodé-Langlois UNE ANNEE SAINTE DE LA MISERICORDE Le 13 mars dernier, second anniversaire de son élection au siège de Pierre, le Pape François a annoncé dans une homélie la promulgation d’une Année sainte extraordinaire de la miséricorde. Personne ne peut être exclu de la miséricorde de Dieu. Tous connais-sent le chemin pour y accéder et l’Église est la maison qui accueille tout le monde et ne refuse personne.. Ses portes sont en permanence grandes ouvertes, « pour que tous ceux qui sont touchés par la grâce puissent trouver la certitude du pardon. Plus grand est le péché, encore plus grand doit être l'amour que l’Église exprime à ceux qui se convertissent. (…) Chers frères et sœurs, j'ai souvent pensé à la façon dont l’Église pourrait rendre plus évidente sa mission d'être témoin de la miséricorde. C'est un chemin qui commence par une conversion spirituelle ; nous devons faire ce chemin. C’est pour cela que j'ai décidé l’indiction d’un Jubilé extraordinaire qui ait à son centre la miséricorde de Dieu. Ce sera une Année Sainte de la Miséricorde. Nous voulons la vivre à la lumière de la parole du Seigneur : « Soyez miséricordieux comme votre Père » (cf. Luc 6,36). Et ceci spécialement pour les confesseurs ! Cette Année Sainte commencera à la prochaine solennité de l'Immaculée Conception et se conclura le 20 novembre 2016, le Dimanche de Notre Seigneur Jésus Christ Roi de l'univers et visage vivant de la miséricorde du Père. Je confie l'organisation de ce Jubilé au Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation, pour qu'il puisse l'animer comme une nouvelle étape du chemin de l’Église dans sa mission d’apporter à chaque personne l’Évangile de la miséricorde. Je suis convaincu que toute l’Église, qui a tellement besoin de recevoir la miséricorde, parce que nous sommes des pécheurs, pourra trouver dans ce Jubilé la joie de redécouvrir et rendre féconde la miséricorde de Dieu, par laquelle nous sommes tous appelés à apporter la consolation à tout homme et à toute femme de notre temps. N'oublions pas que Dieu pardonne tout, et que Dieu pardonne toujours. Ne nous lassons pas de demander pardon. Confions dès maintenant cette Année à la Mère de la Miséricorde, pour qu’elle tourne vers nous son regard et qu’elle veille sur notre chemin : notre chemin pénitentiel, AU CHRIST-ROI MERCREDI SAINT 1er AVRIL Pensez à apporter des fleurs blanches et jaunes pour fleurir le reposoir et pour Pâques