Régionales 2015, c`est parti !

Transcription

Régionales 2015, c`est parti !
joyandet2015.fr
FUSION
COMMENT LA NOUVELLE
RÉGION PEUT DEVENIR UN
TREMPLIN ?
PAGE 2
BFC
TERRITOIRES p. 2
BFC, en chiffres
BFC, une fusion pour quoi faire ?
Joyandet : « la fusion doit être
gagnant-gagnant »
BFC
POLITIQUE p. 3
La reconquête est en marche
Les tweets politiques
BFC
PROJET p. 4
Interview d’Alain Joyandet
ENTRETIEN
ALAIN JOYANDET, CANDIDAT AUX ÉLECTIONS
RÉGIONALES 2015
« JE FERAI BAISSER LE CHÔMAGE EN BOURGOGNE
FRANCHE-COMTÉ DE 10% D’ICI 2021. » PAGE 4
Régionales 2015, c’est parti !
Depuis plusieurs semaines, la campagne pour
les prochaines élections régionales est lancée.
Elle concentre d’ores et déjà toutes les attentions. Pourquoi ? Les résultats seront bien sûr
décisifs au niveau local, pour l’avenir des territoires, mais ils auront une portée nationale
considérable, ce rendez-vous étant le dernier
galop d’essai avant 2017.
Il a été le premier à déclarer sa candidature. Le
13 décembre dernier, Alain Joyandet, Sénateur
UMP de Haute-Saône, ancien Ministre, ancien
Maire de Vesoul, ancien Député, annonçait son
intention de briguer la présidence de la nouvelle
grande région Bourgogne Franche-Comté, avec
le soutien de la quasi-totalité des parlementaires
UMP des 8 départements. Certains opposants,
pris de court, ont alors tenté d’expliquer qu’il
était beaucoup trop tôt. Quelques semaines plus
tard, plus personne n’oserait se servir de cet argument, et pour cause : l’ensemble des responsables politiques de la région, quelle que soit
leur appartenance politique, se sont tous depuis
rendus compte qu’un an ne serait pas de trop
pour construire un projet qui engageait l’avenir
de quelques 3 millions d’habitants. Excusez du
peu.
Alain Joyandet, candidat depuis le 13 décembre, en campagne au salon de l’automobile à Châtillon le 11 avril
Aujourd’hui, la course est donc lancée. Avec de
nouvelles règles, et un contexte politique inédit.
Les nouvelles règles, ce sont bien sûr deux
régions qui fusionnent pour n’en faire plus
qu’une, avec de nouvelles compétences.
de la fiscalité et des déficits publics, et un Front national qui
séduit de plus en plus d’électeurs désabusés. Au milieu de ce
panorama politique désenchanté, l’opposition, contrairement à
ce que certains observateurs aguerris avaient prédit, représente
la seule alternative crédible à une majorité socialiste désavouée.
Le contexte politique inédit, c’est un pouvoir
en place qui bat mois après mois des records
d’impopularité, des exécutifs locaux remis partout en question pour une explosion simultanée
Les dernières élections municipales, européennes et départementales l’ont montré. La famille de la droite et du centre a la
lourde responsabilité de confirmer l’essai. Le dernier avant le
match final de 2017.
BFC
ILLUSTRÉ p. 6
« La montagne, l’un de nos atouts »
« L’économie, notre priorité »
Chronologie de campagne
La campagne en images
Avec la grande région, beaucoup craignent que l’Arc Jurassien, qui borde la
Franche-Comté à la frontière suisse par les départements du Doubs et du
Jura, ne se retrouve encore plus éloigné qu’il ne l’est aujourd’hui des centres
de décision. la suite en page 7
En septembre 2012, le Président de la république nous prédisait l’inversion
de la courbe du chômage pour la fin de l’année 2013. Il n’en a rien été. Au
contraire, depuis son élection à l’Élysée, le chômage ne cesse de progresser
pour avoisiner les 3,5 millions de demandeurs d’emploi. la suite en page 7
BFC
OPINIONS p. 7
La montagne, l’un de nos
atouts, par Annie Genevard
L’économie, notre priorité, par
Damien Meslot
BFC
COMITÉ
DE SOUTIEN p.8
QG de Dijon
4 Place Darcy – Passage Darcy
21 000 Dijon
QG de Besançon
9 Avenue de Montrapon
25 000 Besançon
Tél. : 06 72 62 84 22
par Annie Genevard
par Damien Meslot
BFC ÉDITO par Alain Joyandet
Il y a des moments particuliers dans la vie d’un
responsable politique. Participer à la construction d’une nouvelle région en est un. Surtout
lorsqu’il s’agit de sa propre région.
La Bourgogne et la Franche-Comté sont mes
racines. Elles ont chacune leur histoire, leur
ADN, leurs symboles, leurs drapeaux, leurs services publics, leurs entreprises, leurs réseaux de
transports, leurs équipes de foot, leurs atouts…
Deux régions qui n’en font donc plus qu’une…
Enfin, pour le moment, sur le papier.
F O R M I DA B L E D E F I , F O R M I DA B L E
CHALLENGE, FORMIDABLE PROJET. Réunir
ces deux régions pour n’en faire qu’une, plus
forte, plus audacieuse, plus dynamique encore.
Mais si la promesse est belle, la mise en œuvre
n’en sera pas plus simple.
Pour passer du papier à la réalité, il va falloir
construire une nouvelle organisation, réformer
les structures, aligner les fiscalités locales, répartir les rôles, accepter, parfois, de laisser
à « l’autre »…
Pas simple, mais captivant.
Parce que ce défi me passionne et symbolise
tout ce qui a toujours guidé mon action politique, j’ai décidé de porter un projet pour cette
nouvelle région, avec toute une équipe qui a la
même ambition, élus locaux, parlementaires,
personnalités de la société civile, Bourguignons
et Francs-Comtois…
J’ai décidé de porter un projet avec une seule ambition : être un fédérateur d’idées, un catalyseur
d’énergies de tous ceux qui se sont lancés avec
moi dans cette formidable aventure. Je n’ai donc
qu’une invitation : ET SI ON LA CONSTRUISAIT
ENSEMBLE, NOTRE NOUVELLE RÉGION ?
Dijon, au cœur de la Bourgogne
2
BFC TERRITOIRES
BFC, EN
CHIFFRES
2 816 800
habitants
1 287 000
actifs
74 395
étudiants
3 831
communes
143
cantons
71,3 milliards
de PIB
59
habitants/ km2
25
communes
de plus de
10 000
habitants
8
départements
5
ème
région
de France
en superficie
(47 780 km2)
3
monuments
inscrits à
l’UNESCO
2
communes
de plus de
100 000
habitants
14
gares desservies
par le TGV
BFC, une fusion
pour quoi faire ?
La loi du 16 janvier 2015 crée 13 nouvelles grandes
régions, à la place des 22 régions métropolitaines
existantes. Cette réforme, pourtant fondamentale
pour nos territoires, a été faite sans grande
concertation et avec un manque évident de
pédagogie. Résultat : elle est fortement contestée
sur le terrain et souvent incomprise. Pourtant, si
elle est bien mise en œuvre, elle pourrait représenter
pour la Bourgogne Franche-Comté une réelle
opportunité.
S’il y a bien un constat sur lequel l’ensemble des
élus locaux s’accorde, c’est qu’une simplification de
l’organisation territoriale du pays est indispensable.
Les choses se compliquent lorsque l’on se penche
sur le « comment faire ?». L’unanimité laisse alors
la place à des divergences profondes, qu’elles soient
idéologiques ou pratiques, le tout saupoudré d’un
certain scepticisme sur la faisabilité d’une telle
réforme et sur sa capacité à dégager de réelles
économies de fonctionnement.
A la décharge des sceptiques, la réorganisation
territoriale, déjà préconisée en 2007 par le Comité
Balladur, est un serpent de mer sur lequel les
parlementaires français ont toujours peiné à
s’entendre.
Pourtant, une majorité de députés et sénateurs, de
gauche mais aussi de droite, dont Alain Joyandet,
ont voté pour le projet de loi gouvernemental,
Besançon, au cœur de la Franche-Comté
malgré certaines réserves.
Pourquoi ? S’est appliqué un principe de réalité, au
delà des clivages politiques : désormais, les régions
françaises auront une taille similaire aux autres
régions européennes, et pourront être à même de
bâtir des stratégies territoriales cohérentes tout
en mettant en place des coopérations interrégionales
conséquentes. « Ensemble, nous sommes plus
forts » pourrait être le slogan de cette fusion. Reste
toutefois à convaincre les premiers concernés, à
savoir les Bourguignons et les Francs-Comtois ;
et la seule voie pour rendre cette fusion populaire
semble bien de montrer quels impacts elle pourra
avoir sur les compétences régionales, et donc sur la
capacité de la nouvelle région à mettre en œuvre des
politiques attendues sur le terrain, notamment en
matière d’emploi et d’économie.
C’est donc bien sur la question des compétences
que se jouera la fusion. Va-t-on enfin, dans un pays
Joyandet : « La fusion doit être
gagnant-gagnant »
Vous avez choisi de voter en faveur du texte du
gouvernement. Pouvez-vous nous expliquer
pourquoi ?
Ma passion et mon engagement politique ont
toujours été au service de mes territoires. Quand
la réforme territoriale est arrivée au Sénat, j’ai
immédiatement pensé que la création d’une grande
région Bourgogne Franche-Comté pouvait être
une opportunité. Je suis né en Bourgogne, à Dijon,
où j’ai fait une partie de mes études, puis j’ai créé
mon entreprise en Franche-Comté, avant de la
développer sur l’ensemble des deux régions. J’ai un
attachement tout particulier pour ces territoires.
Quels sont selon vous les atouts de la grande
région Bourgogne-Franche-Comté ?
Nous avons des atouts immenses : nous serons la
première région industrielle de France, nous avons
des trésors culturels, un potentiel de développement
économique à ne pas négliger. Et nous avons deux
régions qui sont très complémentaires. Sur le
long terme, ce rapprochement va nous offrir une
richesse et un potentiel formidable : la Bourgogne
est notamment connue pour ses vins, la FrancheComté a une tradition industrielle que nous
devons accompagner dans son développement.
Il sera indispensable de promouvoir ce capital
commun, tout en conservant bien sûr leurs
identités respectives. Mais je crois aussi qu’il est
important de souligner que c’est une nouvelle
région qui reste à taille humaine. Nous pourrons
engager des réformes, tout en restant proches de
nos concitoyens. Car je suis convaincu que cette
fusion ne réussira que si elle est d’abord construite
et portée par ceux qui y vivent.
La Franche-Comté ne risque-t-elle pas de pâtir de
cette union ?
La Franche-Comté, qui a 1 million 200 000
habitants, par rapport à la Bourgogne qui en a 1
million 600 000, se sent légitimement en danger,
d’autant que le gouvernement socialiste a décidé
cette fusion sans concertation, et que les Présidents
actuels des deux régions ont accepté cette fusion
sans aucune condition! Il est donc compréhensible
que les Francs-Comtois soient inquiets. Mais fusion
ne veut pas dire disparition des identités. A nous
d’expliquer concrètement en quoi cette réforme est
une opportunité, et non un frein.
Je suis convaincu que cette fusion
ne réussira que si elle est d’abord
construite et portée par ceux qui y
vivent.
Selon vous, il peut donc y avoir une fusion
« gagnant-gagnant » ?
Bien sûr! J’en suis intimement persuadé, sinon
je n’aurais jamais voté en faveur de ce texte. La
Bourgogne et la Franche-Comté ont beaucoup
de choses à s’apporter mutuellement, cette fusion
nous donne un cadre. Après, j’ai souvent dit que
les socialistes pouvaient avoir de bonnes idées,
mais que pour la mise en oeuvre, je préfèrais que
nous soyons aux manettes! Là aussi, c’est à nous de
construire un projet pour convaincre les électeurs
que les réformes, les idées et les priorités que nous
proposons sont celles dont la région a besoin.
de tradition jacobine, accepter de décentraliser
des compétences plutôt gérées jusqu’ici par l’Etat,
comme l’emploi ou l’économie ?
Acceptera-t-on enfin de valider le principe selon
lequel, oui, les politiques publiques peuvent être
plus efficaces quand elles sont élaborées au plus près
La nouvelle région permettra de
mettre en oeuvre les politiques
attendues sur le terrain.
du terrain ? C’est ce qui va se jouer dans les mois qui
viennent avec l’examen par le Parlement du projet
de loi NOTRe. Une chose est sûre, compte tenu des
élections régionales qui auront lieu en décembre
prochain, il y a urgence à clarifier les choses.
« La fusion est
une chance » par
Jacques Barthélémy
La fusion est une
chance pour nos deux
régions, mais elle est
avant tout une force
non négligeable ! La région aura la gestion de
la politique de l’emploi,
et pourra ainsi aider
les petites et moyennes
entreprises locales à
embaucher et à se déJacques Barthélémy,
velopper. Elle pourra
ancien préfet de la
région Franche-Comté, ainsi mieux connecter
Co-directeur de
l’éducation, avec sa
campagne
gestion des lycées, et
l’emploi, afin de poursuivre le développement
de l’apprentissage, d’apporter une meilleure
professionnalisation de nos jeunes, et de les aider à envisager leur avenir positivement en leur
apportant une formation et des moyens plus
adaptés au dynamisme démographique et territorial ! Elle aura la gestion de l’aménagement du
territoire, et pourra ainsi prendre des décisions
pour promouvoir les nouvelles technologies du
Très Haut Débit et permettre à tous de recevoir jusqu’au plus profond des campagnes des
capacités en flux Internet accrues ! Elle aura la
gestion du tourisme, et pourra ainsi permettre
la valorisation du patrimoine bourguignon et
franc-comtois au niveau national, européen
et international. La grande région est un outil
pour nos territoires, alors profitons-en !
3
BFC POLITIQUE
LES TWEETS
POLITIQUES
@Gillesplatret
16.05.2015
La gauche attaque le nom « Les
Républicains » . Jalousie de la
part de celle qui a trop oublié les
principes de la république.
#Républicains
@Jpraffarin
17.04.2015
Seul un plan PME fera baisser le
chômage : défisc. des bénéfices
investis, doublement des seuils,
aides aux heures sup, exo des
charges,…
@NicolasSarkozy
06.05.2015
La République, c’est la
reconnaissance et la valorisation
du travail. Qu’en reste-t’il après
103 taxes et impôts nouveaux en
trois ans?
La reconquête est en
marche
Après le succès des élections départementales de mars dernier, les élections
régionales prévues en décembre prochain doivent permettre aux Républicains
de prouver qu’ils sont plus que jamais une alternative à la politique de François
Hollande. Sur le terrain, élus et militants sont d’ores et déjà en ordre de bataille
pour montrer que la reconquête est en marche.
Nicolas Sarkozy l’a répété le soir du second tour des élections départementales,
qui a vu le succès incontestable, et incontesté, de l’alliance de la droite et du
centre : la reconquête est en marche. Et c’est vrai. Cette victoire, c’est d’abord celle
d’un Nicolas Sarkozy qui a su s’imposer comme patron de l’UMP et remettre de
l’ordre dans un parti déchiré ces dernières années par les divisions. C’est aussi,
et il est important de la souligner, la victoire de tous les candidats qui ont su
se mobiliser sur le terrain. Mais c’est surtout la victoire de l’espoir retrouvé :
l’opposition a su montrer qu’elle était une alternative crédible au gouvernement
en place. C’est sans doute pour cela que la joie a vite laissé la place à un immense
sentiment de responsabilité. L’opposition ne peut en effet imaginer sérieusement
qu’il lui suffise de s’appuyer sur ses lauriers pour confirmer ses succès lors des
échéances à venir. C’est bien sur le terrain des idées que la bataille va se dérouler.
La reconquête est donc en marche, mais plus que jamais, si on analyse les
résultats des derniers scrutins, il est évident que ce que les électeurs attendent,
c’est certes une remise en question de la politique actuelle, mais surtout des
idées et des propositions qui prouvent que les responsables politiques ont enfin
compris qu’ils étaient d’abord là pour répondre à leurs préoccupations. Et l’enjeu
n’est pas des moindres : le Front national se tient là, en embuscade, avec ses
réformes qui n’en sont pas et qui mèneraient le pays au fond du gouffre en moins
de temps qu’il n’en faut pour le dire. Qui peut croire au SMIC à 2 000 euros ou
au retour de la retraite à 60 ans ? Et pourtant, cela ne reste pas moins tentant.
Meeting de Nicolas Sarkozy à Belfort pour les départementales, 12 mars (Copyright
Sébastien Valente)
Mais dire et répéter que le Front national n’a pas un programme de
gouvernement n’est pas un argument suffisant, pour permettre à la droite
de revenir à la tête des régions, puis à la tête du pays. Les mois qui viennent
doivent donc être dévolus à un travail de fond, un travail de débat dans un
premier temps, pour mieux comprendre ce que les électeurs attendent, un
travail de réflexion ensuite pour élaborer des projets de réformes à mettre en
oeuvre dans tous les domaines, pour relancer l’économie, pour amener plus de
justice, pour permettre à ceux qui travaillent de vivre, et de vivre bien, de leur
salaire. Ensuite viendra le temps de la pédagogie, de l’explication. Et il faudra
enfin convaincre. C’est à ce moment, et à ce moment seulement que l’on verra
que la reconquête était bel et bien en marche, et que personne n’a pu l’arrêter.
@Ajoyandet
06.05.2015
ADOPTÉ! Très fier que mon
amendement ouvrant le Crédit
d’Impôt Familles à 2 millions de
non-salariés ait été adopté cette
nuit !
#sénat #justice
@BrunoRetailleau
20.04.2015
L’année où le gouvernement
promet de baisser les impôts, il
baisse les allocations familiales.
#DéshabillerPaulpourHabillerJacques
@Laurentwauquiez
17.01.2015
Aucune concession : ceux qui
vivent en France doivent se
soumettre au principe de la
République : laïcité, égalité
homme-femme…
@JBLemoyne
16.05.2015 Avec Sabine et
Constance, ns sommes très
heureux de partager avec vous
le bonheur de la naissance
d’Aymeric!
#LaVie
@MenezHuel
16.05.2015
Ah @Ajoyandet brise l’omerta sur
la mobilité des cadres de direction
dans le cadre de la fusion
Bourgogne Franche-Comté
#LVELBFC
Régionales 2015 :
La reconquête est en route.
La Bourgogne et la Franche-Comté ont en
commun les mêmes racines, le même amour du
travail, le bon sens partagé. La reconquête par la
droite républicaine est en route, elle se fera autour
d’un programme ambitieux et structuré axé sur
ces trois priorités : réussir la fusion, relancer
l’économie, rayonner à travers l’excellence. Soyons
A. Houpert, Sénateur
tous rassemblés autour de notre candidat UMP
UMP de la Côte d’Or.
pour une campagne de terrain, offensive et
constructive, respectueuse de tous et résolument audacieuse dans ses
propositions.
Pour une politique de proximité et de
vérité.
Les électrices et les électeurs, en soutenant
massivement les candidats de la droite
républicaine lors des élections départementales,
ont fait le choix d’une politique de proximité,
de vérité et d’honnêteté. C’est cette politique
dont notre grande région a besoin pour relever
les défis qui l’attendent, et pour répondre aux
Marie-Christine
difficultés que le gouvernement actuel fait peser
DALLOZ, Députée
sur les collectivités territoriales. Les candidats
UMP du Jura.
de la droite incarnent ce renouveau nécessaire
qu’attendent les Bourguignons et les Francs-comtois.
4
BFC PROJET
BFC,
L’ÉCONOMIE
EN CHIFFRES
BOURGOGNE
8ème région
de destination
des étrangers
2ème région
agricole
de France
2,1% du PIB
français
FRANCHE-COMTÉ
1 actif sur 4
travaille dans
l’industrie
1,4% du PIB
français
2ème région
dans la filière
du bois
BOURGOGNE
FRANCHE-COMTÉ
3,7% du PIB
français
1ère région
industrielle
de France
4 région
en termes
d’emplois
agricoles
ème
6ème région dans
le secteur tertiaire
non-marchand
9ème région en termes
de PIB/habitant
« Nous avons plus de 200 000 chômeurs, on ne peut pas
rester les bras ballants »
Construire un projet pour une nouvelle région est un
travail de longue haleine. Alain Joyandet a lancé des
premières conventions thématiques dès décembre
dernier, accompagnées d’une consultation publique
via un laboratoire d’idées, BFC8. Aujourd’hui,
il nous livre les premières grandes lignes de son
projet, autour de 3 ambitions centrales : réussir la
fusion, relancer l’économie et assurer à la région le
rayonnement qu’elle mérite.
Quels sont les grands axes de votre projet ?
Dès le début de ma campagne, en décembre
dernier, j’ai insisté sur le fait que je voulais que notre
projet se construise sur le mode de la démocratie
participative, pour que tous ceux qui souhaitent
prendre part à son élaboration puissent le faire,
notamment grâce à notre laboratoire d’idées, BFC8.
Nous avons organisé nos premières conventions
thématiques dès le mois de décembre 2014. Ce
défrichage nous a permis d’identifier trois axes
centraux : le premier est bien sûr de réussir la
fusion, le deuxième est de relancer notre économie
régionale, et l’emploi, et le troisième de développer
le rayonnement de notre région tant au niveau
national qu’international.
Vous parlez beaucoup de l’emploi, mais la région
a-t-elle une réelle marge de manœuvre dans ce
domaine ?
Elle peut d’ores et déjà agir, et j’espère que le projet
de loi sur les compétences régionales qui est en
train d’être examiné par le Parlement apportera
aux exécutifs locaux encore plus de liberté ! Je suis
intimement convaincu que les politiques publiques
de proximité sont plus efficaces, car plus adaptées
au terrain. Mon rôle, si je suis élu, sera donc d’agir
pour l’emploi. J’ai pris comme engagement de faire
baisser le chômage de 10% en Bourgogne FrancheComté avant la fin de la mandature. Nous avons
actuellement 206 000 chômeurs, on ne peut pas
rester les bras ballants ! Combien de temps va-t-on
attendre avant d’agir, bon sang ?
Il faut opter pour le pilotage régional de Pôle
Emploi, revoir les crédits de la formation pour
répondre de manière beaucoup plus rapide aux
besoins des entreprises, ajuster les formations avec
les besoins. Cela paraît évident, mais croyez-moi,
ce n’est pas le cas aujourd’hui ! Il est aussi urgent
de mettre en œuvre une nouvelle politique pour
booster l’emploi des jeunes. C’est l’un des échecs
les plus cuisants, et les plus préoccupants, des
socialistes. Il faut absolument réorienter les efforts
financiers en direction de l’emploi des jeunes dans
les entreprises.
Vous avez une baguette magique ?
Pas du tout, mais enfin, il suffit parfois d’un peu
de bon sens. Ce sont les entreprises qui créent
les emplois, et les socialistes préfèrent créer des
emplois-jeunes dans le service public.
Nous permettrons à 5 000 jeunes d’entrer dans les
entreprises de la région dans les 6 ans qui viennent,
en plus de ceux qui sont déjà en alternance et
notamment en apprentissage pour lesquels nous
augmenterons les crédits d’intervention. Nous
soutiendrons plus les entreprises et les filières. Il
existe aujourd’hui, entre la Bourgogne et la FrancheComté, 47 dispositifs différents en direction
des entreprises, plus de 10 fonds financiers ont
également été créés. La seule gestion administrative
de cette politique bien complexe coûte plus de 5
millions d’euros par an aux contribuables. On peut
Alain Joyandet, en visite au CFA Saint Hilaire de Chardonnet le 14 mars dernier : l’emploi des jeunes sera une de mes
priorités.
trouver tout de suite au moins 20 millions d’euros
d’économies dans les budgets de fonctionnement
(-2%). Cela permettra de financer une nouvelle
politique de l’emploi sans augmenter les impôts,
puisque la stabilité de la fiscalité locale est un autre
de mes engagements majeurs.
Les entreprises de la région attendent beaucoup
des collectivités locales. Est-ce à la région de les
aider dans ces temps difficiles, même si une légère
reprise semble s’amorcer ?
Je trouve cela formidable que la situation s’améliore,
mais c’est vrai que je regrette qu’elle ne s’améliore
pas plus vite ! Si les bonnes politiques étaient mises
en place, ce n’est pas 0,6% de croissance que nous
aurions, mais bien plus ! Je suis un chef d’entreprise.
Toute ma vie, j’ai développé des entreprises dans la
région, créé des emplois, je connais les freins que
rencontre tout employeur au quotidien. Il faut plus
soutenir l’économie productive, avec une politique
de développement endogène. Cela veut dire quoi ? Nous
devons être aux côtés des entreprises existantes
qui créent des emplois, les consolider, les aider à
se développer. Et nous devons aussi bien sûr être
aux cotés des créateurs d’entreprises qui tentent
l’aventure entrepreneuriale. Ils sont la dynamique
de notre vie économique.
Les territoires ruraux ont souvent un sentiment
d’abandon. Comment les intégrer à un projet
d’avenir ?
C’est une question fondamentale. J’ai été maire de
Vesoul pendant 17 ans, je suis sénateur de HauteSaône. Croyez-moi, je connais parfaitement les
difficultés de nos territoires ruraux. Il faut d’abord
faire attention à ne pas les présenter toujours de
façon négative, comme si c’était des zones d’où
tout le monde voulait partir ! Ce n’est pas vrai ! Les
ruraux veulent juste pouvoir y vivre comme l’on vit
partout ailleurs en France. Ces territoires ruraux
ont un potentiel de développement économique
considérable, que ce soit grâce à l’agriculture,
l’agroalimentaire, ou à la filière bois par exemple.
Encore faut-il qu’ils puissent s’appuyer sur des
infrastructures qui tiennent la route. Il faut donc
une politique des transports adaptée, un maintien
des services publics, un développement du
numérique accéléré.
C’est tout simplement incontournable, et encore
plus dans une région rurale ! Le bilan socialiste dans
ce domaine est très insuffisant, je ne comprends pas
que l’on ait pris un tel retard. Nous devons accélérer
l’accès au haut débit et au très haut débit par le biais
de conventions et de partenariats avec les conseils
départementaux, dont certains ont déjà avancé
sur le sujet.
Œuvrer pour une région, c’est aussi l’installer sur
la scène internationale. C’est un de vos objectifs ?
La Bourgogne est connue pour ses vins, mais, aussi
bons soient-ils, ils sont loin d’être les seuls atouts de
notre région. Nous devons mettre en valeur notre
industrie régionale, notre potentiel touristique,
notre gastronomie, l’excellence économique, notre
patrimoine culturel et environnemental et le sport
de haut niveau bien sûr. S’il y a bien un secteur que
je n’oublierai pas, c’est celui-ci… Bref, à nous de faire
de BFC une région incontournable et rayonnante.
Ce sera le troisième axe du projet que nous sommes
en train de construire : rayonner par l’excellence.
Nous avons mis l’ouvrage sur le métier depuis 5
mois, il nous reste quelques mois devant nous pour
terminer. Après viendra le temps de l’action : nous
devrons mettre en œuvre nos promesses, pour
que nos concitoyens sachent que oui, il y a des
responsables politiques qui font, une fois élus, ce
qu’ils avaient promis avant de l’être.
DIX ANS DE GESTION
SOCIALISTE
A la tête de nos régions depuis 2004, les
socialistes ont prouvé leur inaptitude à tenir
leurs engagements en termes d’économies et
de restrictions budgétaires.
Adeptes de l’augmentation constante de la
fiscalité, Marie-Guite Dufay et François Patriat
ont tous deux laissé exploser la dette des
deux régions Bourgogne et Franche-Comté
en augmentant de manière démultipliée les
dépenses de fonctionnement. Pourtant durant
cette même période, les budgets accordés
aux régions n’ont cessé d’augmenter. Ces dix
dernières années de gouvernance socialiste
ont été ponctuées de politiques incohérentes,
d’absence de concertation et de lisibilité,
d’investissements inutiles et d’une hausse
temps d’y mettre fin !
6
BFC ILLUSTRÉ
Chronologie de campagne
Un an de campagne à écrire…
13 décembre 2014 : Coup d’envoi à Dijon
Un candidat n’est rien sans son équipe, 29 janvier, Besançon
La reconnaissance de l’UMP : Investiture des chefs de file, Conseil National,
7 février (Copyright : Sébastien Valente)
À la rencontre de ceux qui font nos territoires : Geoffroy Froidurot,
éleveur en Côte-d’Or, au salon de l’Agriculture
Moment de détente avant le meeting de Belfort pour les départementales,
12 mars (Copyright Sébastien Valente)
On avance, on avance : inauguration des QG de campagne de Besançon
et de Dijon, 9 avril
Ne pas oublier ses racines : réunion avec les militants de Haute-Saône à
Vesoul, 27 avril
L’union fait la force : Merci à Marie-Louise Fort et Jean-Baptiste Lemoyne
pour leur soutien! 28 avril
Contribuez à la campagne en
participant à notre laboratoire
d’idées.
SUIVEZ LA CAMPAGNE
Être sur le terrain, chaque jour, pour échanger, comme ici à Dijon.
La Nièvre aussi soutient Alain Joyandet
7
BFC OPINIONS
L’immense responsabilité des Républicains
Les signataires de la tribune, parlementaires de Bourgogne et Franche-Comté sont : Marie-Christine Dalloz, Jean-Paul Emorine, Marie-Louise Fort, Jacques Grosperrin, Alain Houpert, Alain Joyandet, Cédric
Perrin, Henri de Raincourt.
La France est en grand danger.
de transmettre leurs acquis à leurs enfants pour que ceux-ci com- manœuvre pour empêcher le départ de nos amis anglais, même
Décennie après décennie, les valeurs qui en ont fait une référence mencent dans la vie un peu plus haut que leurs parents. Autre- s’ils sont parfois un peu compliqués. Leur départ serait catastrosont mises à mal.
ment dit comment remettre en marche l’ascenseur social ?
phique au moment où nous devons livrer une guerre de civilisation qui fait chaque jour tant de ravages sous nos yeux.
Au premier rang de ce capital précieux, il y a la laïcité. Notre mo- Et que dire des nouvelles règles de l’Éducation nationale que la
dèle historique n’est pas celui d’une démocratie qui se fond dans gauche voudrait nous imposer ?
Sur tous ces sujets, les Républicains vont devoir beaucoup travaille multiculturalisme que l’intégration organise.
N’est-ce pas à l’école que l’on doit inculquer à nos enfants : l’effort, ler en 2015 et prendre position. Ce cadrage sociétal doit précéder
La France des Lumières a toujours été une terre d’accueil pour la discipline, le respect, le classement suivant le mérite, la compé- toute tentative de construction d’un projet et encore plus d’un
tous ceux qui ont fait l’effort d’aimer leur nouvelle patrie, en s’as- tition, l’Histoire, les langues etc. ?
programme pour 2017. Nous faisons confiance à Nicolas Sarkozy
similant souvent activement à notre mode de vie, sans renier en La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et c’est à l’école que l’on pour organiser ce travail collectif avec tous les leaders de notre
rien leurs racines, leurs traditions, leurs cultes, perpétrés ou célé- doit préparer les nouvelles générations au monde qui s’impose à mouvement et nos militants.
brés dans la sphère privée que la République leur garantit comme tous.
Nous avons besoin d’une nouvelle philosophie claire avant les
espace sacré de liberté individuelle.
élections régionales qui seront très politiques.
Hélas, la pression migratoire incontrôlée – répondant à l’appel Il nous faut aussi reparler de la sécurité, celle de tous les jours,
Les circonstances nous y appellent. On voit bien que toutes les sod’air d’une politique sociale déraisonnable – a changé la donne. droit le plus élémentaire du citoyen, totalement remis en cause.
lutions socialistes sont abandonnées les unes après les autres, jour
Notre pays ne peut plus assimiler, en masse, les immigrés de
Et nos entreprises ? Plus de 60 000 ont disparu en 2014 avec les
cultures très éloignées de la nôtre. C’est un fait. C’est une question
après jour, par nos concitoyens et par les responsables socialistes
drames qui s’en suivent. Qui s’en émeut ? Il est temps de les refondamentale au moment où le monde se retourne. La jeunesse
eux-mêmes.
mettre, avec leurs créateurs et salariés, au centre de nos préoccudu nouveau monde est au sud. Elle veut vivre. Quoi de plus norpations économiques et sociales.
mal. Le nord, l’Europe, la France, restent magiques à ses yeux.
Le rêve était un mirage, il n’enchante plus. La réalité est têtue.
C’est par elles que viendra le recul du chômage, terrible fléau franNous devons aborder ce nouveau siècle dans un autre état d’esprit
Le curseur du débat politique a viré vers nos valeurs.
co-français - avec la pression fiscale –l’un allant d’ailleurs avec
et proposer des solutions politiques crédibles aux français. Ils ne
Nous sommes donc les seuls à incarner une véritable alternance.
l’autre.
veulent pas changer brutalement de modèle de société. Ils nous
Elle doit être crédible et nous devons réussir. Notre échec ouvrirappellent, régulièrement, qu’ils sont attachés à leurs valeurs.
Enfin, allons nous rester bras croisés face à la menace du rait la voie à de très grandes difficultés pour notre pays.
Nous sommes donc à un moment de notre Histoire où la resLe mérite est-il encore une valeur fondamentale de la République ? Royaume-Uni de quitter l’Union européenne ?
ponsabilité nous incombe de proposer le redressement, voir la
Pourquoi
ne
pas
profiter
de
cette
menace
pour
lancer
une
nouComment rétablir une vraie différence de traitement entre celui
reconstruction de la France. Le sauvetage de l’Europe pour prévelle
réflexion
–
voir
un
électrochoc
–
sur
la
réforme
indispenqui bosse dur et celui qui compte sur la société ?
sable du fonctionnement de l’Europe pour redonner confiance server l’équilibre du monde est aussi à l’agenda de la France et des
Républicains.
Comment réhabiliter la propriété privée, le plus souvent récom- aux peuples qui doutent ?
pense du travailleur ? Comment cesser de surtaxer, voir spolier L’Europe va-t-elle donner au monde l’image d’un ensemble en Rien que cela !
ceux qui ont travaillé toute une vie et qui n’ont plus la possibilité voie de désintégration ? La France et l’Allemagne doivent être à la Cette responsabilité est immense.
La montagne, l’un de nos atouts par Annie Genevard, Députée UMP du Doubs,
Maire de Morteau
Insuffisamment considérée par la majorité socialiste qui dirige aujourd’hui la région, il ne faudrait pas
que demain, dans une position géographique plus excentrée, cette partie ne soit plus ignorée encore.
Et pourtant la montagne est une chance pour la région dont elle fait partie mais plus largement pour
tous ceux qui viennent s’y ressourcer et qui alimentent ainsi l’économie touristique, si dynamique en
Franche-Comté comme en Bourgogne.
Sur le plan industriel, le massif du Jura s’ enorgueillit de savoir-faire réputés dans le domaine de
la précision qu’il s’agisse de l’horlogerie, de la lunetterie, du luxe, du médical ... Notre montagne
est industrieuse et veut le rester. Les régions frontalières sont généralement dynamiques grâce aux
échanges économiques qui s’y développent mais cette prospérité à son revers : évasion de la main
d’œuvre, délocalisation d’entreprises, engorgement routier, économie sous dépendance.
Montagne et ruralité méritent d’être considérées : il faut améliorer les infrastructures et
les dessertes ferroviaires, routières ou numériques des territoires montagnards. C’est l’indispensable
condition pour que ces territoires puissent apporter leur contribution à la prospérité de la région.
Il faut aussi soutenir le trésor que constituent pour une région des savoir-faire et des entreprises
industrielles. On le sait, pas de richesse sans économie de production. Favoriser l’animation des
réseaux d’entreprises est une façon intelligente et efficace de soutenir l’industrie sur ces territoires.
Bien épaulée, cette zone transfrontalière peut devenir un formidable levier de développement
économique pour l’ensemble de notre grande région.
Pour toutes ces raisons, nous comptons beaucoup sur Alain Joyandet et l’équipe qu’il saura mobiliser
autour de lui pour proposer un programme audacieux dans une vision équilibrée, qui ne néglige
aucun territoire et qui redonne à la montagne la place qui lui revient dans
le paysage régional.
L’ économie, notre priorité par Damien Meslot, Député UMP du Territoire de
Belfort, Maire de Belfort
Le Gouvernement n’a rien entrepris pour favoriser la création d’emplois. En revanche, il a
particulièrement contribué à l’instabilité fiscale des entreprises, en supprimant la TVA antidélocalisation, en fiscalisant les heures supplémentaires, en relevant le forfait social sur la
participation ou encore en créant un dispositif complexe, le Crédit d’impôt pour la compétitivité
et l’emploi (CICE). Il a aussi mis à mal la filière d’excellence que constitue l’apprentissage à laquelle
nous sommes très attachés. Le nombre d’entrées en contrat était en progression constante depuis
2005 mais a, hélas, connu un recul de 8% en 2013 et de 3,2% en 2014 sous l’effet des mesures prises
par les socialistes. Sans une bonne lisibilité des dispositifs dans la durée, les entreprises ne prennent
aucun risque et ne recrutent pas.
Nous ne pouvons hélas que déplorer la politique conduite par François Hollande qui nous mène
tout droit dans l’impasse. Le rebond peut toutefois venir de nos territoires en ayant une action
déterminée pour attirer de nouveaux investisseurs. A Belfort, nous avons défendu avec force l’alliance
stratégique entre General Electric et Alstom ainsi que la candidature de notre ville pour accueillir
un pôle d’excellence mondiale de l’énergie. Nous avons également fait le choix avec nos partenaires
du Pays de Montbéliard de nous unir plutôt que de disperser nos forces chacun de notre côté. C’est
pourquoi, nous venons de fusionner nos agences économiques pour créer une grande agence de
développement économique du Nord Franche-Comté (ADN-FC).
Avec 28% d’emplois industriels, notre bassin de vie est le premier pôle industriel de France en
valeur relative et a, de ce fait, des atouts à faire valoir. La proximité avec l’Allemagne et la Suisse est
également un avantage considérable en termes de débouchés économiques.
Pour réussir le redressement économique, notre région peut, aux côtés de nos bassins de vie, impulser
une réelle dynamique et avoir un rôle éminent à jouer à travers les aides directes et indirectes aux
entreprises et en améliorant le système de la formation professionnelle. Il n’y a pas de fatalité au
chômage mais pour inverser la tendance actuelle, il faut se montrer audacieux, déterminé et réactif.
Pour attirer un nouvel investisseur à Belfort, je n’ai pas hésité par exemple à me rendre à Bruxelles
le lendemain de Noël pour défendre notre dossier. Résultat : parmi les 15 sites en lice, deux ont été
retenus dans une short-liste dont Belfort. L’implication personnelle des élus est une donnée forte
pour assurer le développement économique d’un territoire.
De ce point de vue, je fais toute confiance à Alain JOYANDET qui est à la fois un élu volontariste
soucieux de rendre notre territoire plus attractif mais aussi un chef d’entreprise qui connaît les
préoccupations du monde économique.
8
BFC COMITÉ DE SOUTIEN
Jean-Pierre RAFFARIN, Président du Comité de soutien, Sénateur UMP de la Vienne, Ancien Premier ministre / Damien MESLOT, Député UMP du Territoire de Belfort, Maire de Belfort / Marcel
BONNOT, Député UMP du Doubs / Jean-Patrick COURTOIS, Sénateur UMP de la Saône-et-Loire, Maire de Mâcon / Marie-Christine DALLOZ, Députée UMP du Jura / Jean-Paul EMORINE, Sénateur
UMP de la Saône-et-Loire / Annie GENEVARD, Députée UMP du Doubs, Maire de Morteau / Jacques GROSPERRIN, Sénateur du Doubs, Conseiller Régional de Franche-Comté / Alain HOUPERT,
Sénateur UMP de la Côte d’Or / Jacques PÉLISSARD, Député UMP du Jura, Maire de Lons-le-Saunier / Cédric PERRIN, Sénateur UMP du Territoire de Belfort, Maire de Beaucourt / Henri de
RAINCOURT, Sénateur UMP de l’Yonne / Michel RAISON, Sénateur UMP de la Haute-Saône, Maire de Luxeuil-les-Bains / Jean-Marie SERMIER, Député UMP du Jura, Maire de Dole / Marie-Louise
FORT, Députée de l’Yonne, Maire de Sens / Jean-Baptiste LEMOYNE, Sénateur de l’Yonne, Maire de Vallery / Gilles PLATRET, Maire de Châlon-sur-Saône, Aurélie BERGER, Florence BESANCENOT,
Françoise BRANGET, Frédéric BURGHARD, Véronique DEGALLAIX, Stéphane KROEMER, Mireille PEQUIGNOT, Sylvie VERMEILLET, Charles DEMOUGE, Éric GENTIS, Alain BLINETTE, Carmen
FRIQUET, Valérie LEUGER, Fabienne RICHARDOT, Wilfried BARON, Jacques BARTHELEMY, Jacques BAUDHUIN, Josette BERGEZ, Bruno BIDOYEN, Alain BAUDOT, François BOUCHER, Pascale
CARAVEL, Annie CAUSERET, Michel CHAUDOT, Yves DEGALLAIX, Danièle DESRAY, Dimitri DOUSSOT, David DUSSOULIEZ, Françoise GOUDEY, Thomas GOLLE, Yves GUYEN, Agnès
HININGER, Philippe LENOIR, Valère NEDEY, Évelyne OEUVRARD, Hervé PATAILLE, Maryline PERIN, Jean PETREMENT, Nicolas PIROLLEY, Romain RUHLAND, Alain VALDENAIRE, Didier
VALLVERDU, Michel VIENNET, Loup BOMMIER, Louis-Paul CANDELA, Evelyne LEFEBVRE, Michèle VIGNOT, Mireille DUPRÉ, Olivier DUPRÉ, Jean-Marie NJEUTCHAM, Fatima DESVIGNES
RIBEIRO, Didier VALLVERDU, Pierre-Alain MAYOL, Didier ROLOFF, Gérard THOUVEREZ, Gilles LETONDELLE, Maryline LETONDELLE, Michel PFIFFER, Jean BACHARETTI, David
DUSSOUILLEZ, Anne TENAILLON, Alexandre MANÇANET, Gisèle BLIN, Sylvie OBSTETAR-DIZIAIN, Joël ANDRIOT, Nathalie WEYTENS, Bernard GUIGNARD, Philippe ROUVRE, Evelyne
TROUILLET, Liliane TEVENAZ, Christian NOTTET, Jean-François OLIVAIN, Michel LEBEUF, Véronique VERBEEC, Sébastien COLLOT, Xavier AGOSTA, Karim OUCHELLI, Laora HIRSCHI,
Mustapha LOUNES, Michaël JUHIN, Sébastien POPULAIRE, Jean-Paul BERNARD, Isabelle LEROUX, Bernard DETRAZ, Marie RAGON, Jean-Pierre BILLON, Corinne THUILLIER, Jean-Michel
THUILLIER, Isabelle BEZOU-MOREL, Didier MOREL, Jean-Louis LACROIX, Elizabeth LACROIX, Christiane CHAPUIS-TOMEZAK, Robert ROUX, Pierre MOURLOT, Alain LAMY, Didier DERIOT,
Thomas GOLLE, Daniel RAUCH, Philippe CADROT, Charles-Antoine DEPARDON, Anne-Marie BILLARD, Thomas SIMON, Michael JUHIN, Julien COMMARET, Roland BAEHR, Christian FUSARO,
Emmanuel GOUD DE BEAUPUIS, Jacqueline GUENOT-STALDER, Patrick BEY, Mehdi MOUSSA, Hélène GERIN, Katia PILLET, Roger VILLEMUS, Jacques AUDIER, Christian GRUX, Jean-Paul
JUGNET, Florian BOUQUET, Michelle JUGNET, Evelyne BERSON, Alexandra AZAHAF, Eric AZAHAF, Martine ROUIX, Laurent WYMANN, Claude DEMANGEON, Anthony MICHAUD, Jean-Louis
SCHENDEL, Josette MARCHISET, Joël ANDRIOT, Jean-Pierre GRY, Christiane PAJOT, Jean-Claude PAJOT, Patrick FRISON, Chantal FRISON, Bernard LEFEVRE, Daniel SARTORIO, Albert
ASDRUBAL, Simone ASDRUBAL, Jacques MARTIN, Stéphanie FELTZ, Marie-Claude MILLE, Jean SERAFIN, Sébastien PEREIRA, Dominique BERTIN, Marinette MASSON, Jocelyne DRUET, Yvon
DRUET, Jean-Bernard PORRO, Manuela JARZAGUET, René JARZAGUET, Patrick GIBEY, Geneviève SAMOUR, Gilles MOREAU, Joëlle GORCY, Olivier HERICOURT, Simon GUY, Pascale CARAVEL,
Gilles CARRÉ, Jean-François GONDELLIER, Jean-Philippe LEFEVRE, Raphaël BRISARD, Laurence MULOT, Jean-Marie DEBUT, Dylan DEMARCHE, Martine DERIOT, Karine BRISARD, Roger
RAMOS, Marie-Thérèse GIRARDEAU, Bernard GIRARDEAU, Claude HINTZY, Joseph MAGAUD, Alain LAMY, Aurélien LEDRAN, Philippe KEMISTETTER, David DUSSOUILLEZ, Bertrand
CLINCKE, Ralph PARISOT, Delphine DUPRE, Marie-France GUILLAUME, Benjamin PAILLARD, Stéphanie PAILLARD, Raymond FAGET, Gérard LACOURT, Claude DELUCENAY, Dragana
VOJINOVIC, Cyrille PICHARD, Jean MASSON, Vincent ROCHETTE DE LEMPDES, Marie ROCHETTE DE LEMPDES, Caroline VUILLEMEZ, Sabine BOLE, Cédric BOLE, Jean-Marie FAIVRET,
Didier MEULEY, Maurice DEGUIN, Fabienne PRETRE, Michel COMPAGNON, Jean-Luc PLAN, Mireille PLAN, Martine DERIOT, Jean-Robert BONDIER, Gérard BOURGEOIS, David HUOTMARCHAND, Thérèse LONGCHAMPT, Claude LONGCHAMPT, Marie STABILE, Aimé DIRAND, Nicolas DEILLER, Alexandre SERINA, Michel JEANGUENIN, Jean-Pierre HEZARD, Catherine
RICHONNIER, Philippe MOLLE, Jean-Marie MOINE, Pierre-Jérôme COLLARD, Yvette RAVET, Angelina PJANOVIC, Nebojsa PJANOVIC, Michel SARRAZIN, Daniel MENIER, Jean-Pierre ROTH,
Philippe GAUTIER, Gérard VOISIN, Henri LERMINIAUX, Jean-Marie HUTINET, Martiel HUTINET, Jean-Claude LEGACHER, Mélissa CHOGNARD, Selim KADA, Marie-Françoise BLONDEAU,
Jean-Pierre HALLIER, Marie-France VIDAL, Louis GENTILHOMME, André BECHE, Bernard JOMAIN, Dimitri DOUSSOT, Claudine VETZ, Antoine SERMIER, Louis SIMON, Catherine BERNARD,
Pierre VAUFREY, Pascale COULON, Gérard LEVAUX, Ludovic FROSSARD, Martine MONMAYOUX, Maurice MEULLE, Guy JACQUET, Michel OMOURI, Natacha HAMANN, Claudine GILLOT,
Claude BROCHOT, Alexandre KOREIBA, Pierre GORCY, Jacques ZANARDE, Sandrine DOLLE, Denis TASSIER, Roland VUILLAUME, Gérard RICHONNIER, Thami LAMARI, Monique DELARUE,
Claudine ORSACZEK, Monique APPAY, Cyril HATEM, Louis FERNEZ, Françoise HAUSTETE, Alain CANTENOT, Emma CAPUT, Michel JACQUARD, André ORSACZEK, Gilberte ROUSSEL, Gabriel
ROUSSEL, Odette MARECHAL, Adrien CATY, Jérôme FAIVRE, Alain LARRIERE, Jean-Marie DEBUT, Jean-Yves MARTINEZ, Maurice DU GARDIN, Michel HUOT, Camille BIOT, Marie-Claude
GAUTHIER, Stéphane RIGOULOT, Danièle BOITEUX, Leendert VAN KEMPEN, Emile BOITEUX, André GAUTHIER, Martine LANDRIN, Régis LANDRIN, Martial AUGIER, Gilles DICHAMP,
Fabien PELLETIER, Amélie FROPPIER, Christophe FROPPIER, Christine WERTHE, Michèle BOUCOMONT, Jean-Baptiste MONTARNIER, Claude PARIS, Christian MESTACK, Jérôme VERDER,
Didier MARAFFI, Mike BOURY, Ian BOUCARD, Nelly BRESSAND, Daniel FERNIOT, Colette BONNET, Jimmy BONNABEAU, Matthieu SCHERRER, Jeannine HENRY, Eric HENRY, Guillaume
JAMET, Jérôme DESCATEAUX, Damien VIEILLE, Yvan AUGER, Matthieu ROY, Martial BOURNEL-BOSSON, Hervé PUBLICANI, Jean-Michel CHOUX, Yvette MADRON, Claude ARRAGON,
Anthony GAUTHIER, Guy FUSTER, Chantal OUTHIER, Christophe CLEMENT, Georges MALLINJOUD, Michelle JABY, Gilles BOURGOGNE, Gérard CLIPET, Christian POURNY, François CUCHE,
Jacques BREMONT, Frédérique MARMIER, Jacques MARMIER, Frédérique GOUD DE BEAUPUIS, Marie CAUSERET, Pierre MORLOT, Lucas DEWIER, Joël LEFEVRE, Jean-Claude CAMPY, Christian
OUVRARD, Nathalie GUINOT, Gilles BOSSY, Frédéric POILLET, Frédéric CACHELIN, Benjamin CATY, Jean-Marie MAITRE, Gilles GOSZKA, Ginette PARENT, Jean-Louis NAVARRO, Christian
GENDREAU, Charles SIBILLE, BUSSIERE PASCAL, Josepha MAIROT, Christian GUILLEMOT, Ginette MONARD, Christiane GAILLARD, Danièle GRASSER, Pierre GLASSON, Jean-Louis
CHAMOUTON, Adrien MARGUET, Léon-Vital DUQUET, Carine TROTIN, Séverine HUMBERTJEAN, Marie-Elisabeth MAIRE, Nadine MOREL, Marlise MOREL, Nathalie LACCHIA, Laurent
GIRARDET, Dominique COUCHEY, Georges GRUILLOT, André ROUSSEAU, Michel TOURNIER, Marie--Laure DALPHIN, Anne DE MONTALIVET, Georges-Henri RACLE, Marcel ROY, Yamilée
GERVASONI, Louis VIONNET, Louis SOUVET, Yves PEPIOT, Roger BELEY, Jean-Pierre GROSCLAUDE, Gérard LAROCHE, Gérard VUILLEMIN, Charles BONTEMPS, Léon BEL, Annie BUGNET,
Simone GUYOT, Anthony DONNET, Marie-Madeleine BOSSY, Léon MULLER, Martine MAILLOT, Lionel GUYOTTE, Jean-Claude DUVERGET, Jacqueline BOURGEOIS, Timothé DIETLIN,
Raymonde PAILLARDIN, Françoise DIDILLON, Nicole BERGER, Raymond FAGET, Robert CONTET, Jacques COLLIN, André VAGNER, Josette BERGEZ, Maurice BERNAT, Patrice CARDOT,
François BAPTIZET, Charles ROBERT, Eliane GRANDJEAN, Marie-Josephe AUBLET, Alain VALDENAIRE, Bernard DUCHANOY, Brigitte THORIMBERT, Jean-Paul LENGA, Pierre BENOTT, Georges
GILLOT, Jean-Marie GERRIER, Emmanuel MATHIEU, André PINI, Christiane GOURMELON, Yves MOUTARDE, Frédéric PIGNOL-LANIER, Hubert BEAUPRÊTRE, Gérard PERIN, Florine BALARD,
Anthony HELLE, Alain VARENNES, françoise WAGNER, Corinne CHAUSSE LE MAT, Paul VALETTE, Jean-Paul RUZZIER, Jean-Louis SAUVIAT, Marcelle AYALA, Michel BRACONNIER, DanielleHélène MASSON, Gilbert JACHEZ, Pierre SIROT, Catherine JEAND’HEUR, Frédéric LAURENT, Denise VEISSIERE, Bernard LEGRAND, Jean-Claude AYALA, Daniele DESRAY, Gérard CLIPET,
André PERLOTTI, Jean-Michel BOISSERIE, Jean-Marie MEMBREY, Robert MELET, Maryline PERIN, Achille KRAMER, Georges COHENDET, Jacqueline VERRIEN, Joseph SKRZYPNIAK, Stéphane
BONNAIS, Pierre BAILLY, Raphael WOLFF, Raymonde PRUDENT, Georges HANEWALD, Claude-Marcel MOREL, Patrice GHELMA, René PERRET, Pierre GARRET, Michel MONNERET, Daniel
DONNET, Bernard KIEFFER, Michele REGNIER, Michelle LUCAS, Jean-Pierre LEYRAT, Monique ENGEL, Marie-France LASSON, Jean LESPINE, Bruno DE LUGET, Martine LYP, Murielle BLIN,
Annick SUHNER, Célestin N’GOMA, Sébastien RIOTTE, Thierry BROCHIER, Laurent LEDOUX, Sophie DOURIEZ, Gilles CAILLAUX, Claude FOUCHEROT, Michel KOZEL, Jacques GUIMONET,
Gérald GABRIEL, Patrick HARPER, Patrick OFFREDI, Michele BROCHET, Roger ALCOUFFE, Jean-Pierre BOTARD, Ghislaine PIEUX, Paul-Antoine GAULTIER DE CARVILLE, José GUARDIOLA,
Jean DOURIEZ, Jean-Pierre PELLERIN, Maryvonne LECOUVREUR, Anne SOUCHET, Yves SOUCHET, Jean-Pierre BOUILHAC, Romain MILLERAND, Maurice MUSEUX, Nicole GUILLAUME,
Marie-Jeanne COUTURIER, Simone RIGNAULT, Brunaldo DOS SANTOS, Mariza ANTUN BELZEIDE, Morgan DECADI-PEYROT, Pierre LALARME, Marie-Joseph LALARME, Nicole HENRI, JeanBaptiste MONTARNIER, Dominique BOUCOMONT, Christian POUCHELON, Françoise PEYROT, Jacques BAUDHUIN, Véronique GUILLEMINET, Josette HENRY, Raymond ROLLER, Denise
DESCUS, Gérard MICHEL, Suzanne DESIGAUD, Maryse IMPERIALE, Roméo THIAIS, Jean-Claude MORANDIERE, Chantal COLLANGE, Dominique BOUTTIER, Bertrand DE BEAUREPAIRE,
Jacques PREFOT, Michel MICHELIN, Maurice DEGUIN, Ginette SERSIRON, Robert HENNETIER, Simone TETU, Annie KOPP, Jacques PREVOT, Michele LOTTON, Denis BEAUDOT, Catherine
FERRAND, Laurent MUTHELET, Michel CAILLET, Marie-Claude MATHIAS, Yves-Marcel GAILLARD, Béatrice COLLARD, Monique APPAY, Dominique LE FRANC, Christophe BIOT, Pierre AVRIL,
Philippe RENARD, Marie-Elisabeth OBENANS, Chantal GUIV, Pierre OBENANS, Annick LECRIGNY, Liliane BELIN, Nicole HUGARD, Jean RENARD, Marie-Thé GIRARDEAU, Yvette GUILLE,
Nathalie DAUTEUIL, Jean-François LAY, Bernard HALM, Christiane BONGIOVANNI, Didier CAUSEY, Jean LE MERCIER, Bernard GEHANT, Adrien MIROLO, Casimir LEONI, Jeannie CHALMEZ,
Stéphanie FILLIEUL, Christine RUSSO, Jean-Pierre MARCHAND, Guy CARVEC, Marion VALLET, Florence BESANCENOT, Jean BACHARETTI, Christiane EINHORN, Ginette DEPRUN, Roger
WEISS, Thierry BERGOT, Damien MESLOT, Michelle EGLIN, Jean KLINKAS, Pierre KNOEPFLIN, Josiane BESANCON, Bernard DELORME, Philippe RICHIER, Annie PARTOUCHE, Yves BERGER,
Danielle HUMBERT, Béatrice THUET, Frédéric ROUSSE, Philippe MAIRE-LANTZ, Michel CHANDEMERLE, Jean-Louis MOUROT, Jean-Pierre RUSSO, ...
ADHÉREZ AU COMITÉ DE SOUTIEN
QG DE DIJON, 4 PLACE DARCY – PASSAGE DARCY, 21 000 DIJON
QG DE BESANÇON, 9 AVENUE DE MONTRAPON, 25 000 BESANÇON