Notre Père n° 447 du 05 avril 2015
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Notre Père n° 447 du 05 avril 2015
Messe en vietnamien En raison de la fête de Pâques, la messe d’avril en vietnamien au relais St-Jean est reportée au 11 avril 2015 à 17h00 Réunion préparation confirmation Samedi 11 avril 2015 de 15h à 18h à St-Pierre St-Paul 8 rue du Château Évry Catéchuménat - "Grand groupe" Rencontre du catéchuménat Vendredi 10 avril 2015 de 20h15 à 22h Salle de conférence de la cathédrale. avec Marcel Pouchelet La base de réflexion sera : « Depuis le début et jusqu’au bout, Jésus a aimé son prochain » La rencontre est ouverte à tous, catéchumènes ou pas. Notre Père http://secteur-evry-catho91.cef.fr - 5 avril 2015 n°447 – 40ème année - Paroisses de Bondoufle et de Lisses Tertullien écrivait au IIIème siècle : « On ne naît pas chrétien, on le devient » Comprendre la Bible L’Évangile selon saint Marc avec le père Paul Delahaye Qui vous aidera à comprendre cet Évangile Mardi 14 avril 2015 à 19h15 au presbytère de St-Pierre St-Paul Avec Frère Franck op Formation au monastère de la Croix Afin de continuer à faire : Les premiers pas dans la Bible Lettre de Paul aux Galates Équipes Notre-Dame Mercredi 15 avril 2015 de 18h30 à 20h30 Mardi 14 avril 2015 de 20h45 à 21h45 au monastère des Sœurs de la Solitude Av. de Ratisbonne Évry. Parole d’évêque avec Mgr Dubost Messe mensuelle du Secteur Est des Équipes Notre Dame, mais ouverte à tous. Nos joies Nos peines Lundi 20 avril 2015 à 9h17 et à 19h50, sur Radio Notre Dame – 100.7 Nos joies Nos peines Baptême à Lisses: Kaïcia HOUNKPEVI Décès à Lisses : .Caroline CALVEZ (86 ans), Ginette CHALOPIN (85 ans) Prochaine édition: Feuille de Secteur le 19 avril 2015 Équipe de rédaction, mise en page, impression et distribution : P. Martial BERNARD, Jean-Louis BEHIN, Marie-Odile DUVAL, Jean-Paul MANQUEST, Jacques MARTIN, Annie ZANETTA. La feuille paroissiale “ NOTRE PÈRE ” paraît tous les 15 jours. Pour paraître, les informations doivent parvenir à l’Équipe de rédaction au moins 15 jours avant la date de parution. Pour recevoir la feuille « Notre Père » par Internet, envoyer votre adresse mail à l’adresse suivante : [email protected] 8 N ous avons partagé tout au long de l’année, et particulièrement pendant le Carême, le cheminement des catéchumènes, jeunes et plus âgés, vers le baptême. Nous avons vécu avec eux des étapes, des scrutins, parfois même leur baptême … revivant, à chaque fois quelque-chose du nôtre. Mais la préparati on catéchuménale ne s’arrête surtout pas à la réception du sacrement. La célébration d’un sacrement est toujours un grand commencement … quand la personne « nouvelle » émerge de l’eau du baptême, c’est tout le chemin de sa vie en Christ qui s’ouvre devant elle. Pour les soutenir dans leurs premiers pas, vient alors le temps de la « mystagogie ». Saint Jean-Paul II écrivait d’elle qu’elle « permet de découvrir la signification des gestes et des paroles de la liturgie, aidant ainsi les fidèles à passer des signes au mystère et à enraciner en lui leur existence ». Les gestes de la liturgie qui ont touché les catéchumènes (la triple immersion, l’onction …) sont les signes d’un mystère que l’on n’a jamais vraiment fini de comprendre et qui les a fait renaître de l’eau et de l’Esprit. Les aider à mieux saisir en quoi ces gestes les ont constitués « hommes nouveaux » leur permettra de mieux s’approprier leur chemin de chrétien. Ce sera leur dernier temps en équipe de catéchuménat. Ensuite, ce sera sur leur vie ecclésiale, dans nos communautés qu’ils s’appuieront, pour enrichir l’épanouissement de leur foi. Alors, chers frères et sœurs en Jésus-Christ, rendons grâce à Dieu pour ces Chrétiens à peine éclos, que l’Esprit nous enseigne les gestes et les paroles qui les aideront à cheminer et grandir avec nous dans la joie du mystère pascal. Joyeuses Pâques à tous et à chacun. Anne Audineau déléguée au Conseil de la catéchèse 1 L’annonce de l’Évangile de personne à personne Musée Paul Delouvrier Extrait de « La joie de l’Évangile » M aintenant que l’Église veut vivre un profond renouveau missionnaire, il y a une forme de prédication qui nous revient à tous comme tâche quotidienne. Il s’agit de porter l’Évangile aux personnes avec lesquelles chacun a à faire, tant les plus proches que celles qui sont inconnues. C’est la prédication informelle que l’on peut réaliser dans une conversation, et c’est aussi celle que fait un missionnaire quand il visite une maison. Être disciple c’est avoir la disposition permanente de porter l’amour de Jésus aux autres, et cela se fait spontanément en tout lieu : dans la rue, sur la place, au travail, en chemin. Dans cette prédication, toujours respectueuse et aimable, le premier moment consiste en un dialogue personnel, où l’autre personne s’exprime et partage ses joies, ses espérances, ses préoccupations pour les personnes qui lui sont chères, et beaucoup de choses qu’elle porte dans son cœur. C’est seulement après cette conversation, qu’il est possible de présenter la Parole, que ce soit par la lecture de quelque passage de l’Écriture ou de manière narrative, mais toujours en rappelant l’annonce fondamentale : l’amour personnel de Dieu qui s’est fait homme, s’est livré pour nous, et qui, vivant, offre son salut et son amitié. C’est l’annonce qui se partage dans une attitude humble, de témoignage, de celui qui toujours sait apprendre, avec la conscience que le message est si riche et si profond qu’il nous dépasse toujours. Parfois il s’exprime de manière plus directe, d’autres fois à travers un témoignage personnel, un récit, un geste, ou la forme que l’Esprit Saint lui-même peut susciter en une circonstance concrète. Si cela semble prudent et si les conditions sont réunies, il est bon que cette rencontre fraternelle et missionnaire se conclue par une brève prière qui rejoigne les préoccupations que la personne a manifestées. Ainsi, elle percevra mieux qu’elle a été écoutée et comprise, que sa situation a été remise entre les mains de Dieu, et elle reconnaîtra que la Parole de Dieu parle réellement à sa propre existence. Il ne faut pas penser que l’annonce évangélique doive se transmettre toujours par des formules déterminées et figées, ou avec des paroles précises qui expriment un contenu absolument invariable. Elle se transmet sous des formes très diverses qu’il serait impossible de décrire ou de cataloguer, dont le peuple de Dieu, avec ses innombrables gestes et signes, est le sujet collectif. Par conséquent, si l’Évangile s’est incarné dans une culture, il ne se communique pas seulement par l’annonce de personne à personne. Cela doit nous faire penser que, dans les pays où le christianisme est minoritaire, en plus d’encourager chaque baptisé à annoncer l’Évangile, les Églises particulières doivent développer activement des formes, au moins initiales, d’inculturation. Ce à quoi on doit tendre, en définitive, c’est que la prédication de l’Évangile, exprimée par des catégories propres à la culture où il est annoncé, provoque une nouvelle synthèse avec cette culture. Bien que ces processus soient toujours lents, parfois la crainte nous paralyse trop. Si nous laissons les doutes et les peurs étouffer toute audace, il est possible qu’au lieu d’être créatifs, nous restions simplement tranquilles sans provoquer aucune avancée et, dans ce cas, nous ne serons pas participants aux processus historiques par notre coopération, mais nous serons simplement spectateurs d’une stagnation stérile de l’Église. Extraits ( paragraphes 127, 128,129 ) de l’Exhortation apostolique « La joie de l’Évangile » du Pape François 2 Bonjour à toutes et à tous, Je m’appelle Alexis Sainson, j’ai 26 ans et suis arrivé de Nantes avec ma fiancée Fanny le 12 janvier dernier pour prendre le poste de responsable culturel du Musée Paul Delouvrier. C’est avec un grand plaisir que j’ai découvert et que je travaille aujourd’hui dans cette belle structure aux nombreux atouts, mais qui souffre néanmoins de son manque de visibilité dans la ville et dans le département. Nombre de visiteurs nous témoignent ainsi de leur surprise, après avoir arpenté les quatre niveaux de galeries nichés au sein de la cathédrale de la Résurrection, récemment labellisée patrimoine du XXe siècle. Ce musée mérite d’être mieux connu pour ce qu’il est, un lieu d’exposition indépendant, présentant au public des collections variées d’art sacré et profane et des expositions temporaires régulièrement renouvelées. Je me suis donc donné pour mission, aux côtés de l’équipe du musée et des bénévoles sans qui rien ne serait possible, de faire mieux connaître et reconnaître ce musée et de le rendre accessible au plus grand nombre, dans une démarche d’accès à la culture démocratisée, dont le propos ne perdra cependant aucunement sa qualité scientifique. Je vous invite donc à venir découvrir au plus vite les différents univers de ce musée, de l’art sacré à la création contemporaine en passant par l’Afrique et l’Océan Indien. Plus de renseignements sur notre site : www.museepauldelouvrier.fr Taizé : Chants de paix et d’unité La Communauté de Taizé fête en 2015 le 75e anniversaire de sa fondation et le 100e anniversaire de la naissance de frère Roger, son fondateur. Son prieur, Frère Alois, était à Paris pour la promotion de l’album « Chants de paix et d’unité », édité par Deutsche Grammophon. « L’enregistrement s’est déroulé en deux temps : avec les frères, en communauté, puis avec des jeunes. Maintenant, c’est le temps de la promotion! Nous avons bien discuté sur comment une journée comme celle-ci se passe, pour être en accord avec notre identité de communauté religieuse. Et en même temps, c’est beau d’aller dans différents milieux. Nous voyons que les chants de Taizé évangélisent vraiment. Les jeunes se rappellent une parole de l’Évangile, qu’ils intériorisent, qu’ils prennent avec eux. Il existe une véritable quête spirituelle chez eux aujourd’hui. Pas plus tard que ce matin, un jeune me confiait qu’il était en recherche mais ce n’était pas « la religion ». C’est le langage de pas mal de jeunes. Je pense que nous devons prendre cela au sérieux, échanger, être en dialogue avec eux, sans trop vite vouloir les orienter dans une direction. Il nous faut d’abord comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Peut-être que certains chants, certains textes de Taizé, parlent à tel ou tel jeune qui est un peu loin de l’Eglise. Je crois que c’est une réalité et une des dimensions de notre vocation, de notre mission » Frère Alois L’Album est en vente à la Procure 7 Réunion catéchuménat du vendredi 13 mars : lavement des pieds Père Bruno se présente Peu de catéchumènes sont présents… le coupable serait-il le « virus » (grippe ou intestin ?) cela n’a pas empêché de débattre du lavement des pieds opéré par Jésus (Jn 13) et de s’interroger sur le sens de ce geste du Christ. La scène est surprenante : Jésus pendant le repas se lève et se met à laver les pieds de ses disciples… Geste inconcevable : Jésus le Christ (oint et donc roi) devient serviteur, geste incompréhensible par ses disciples : le maître se fait serviteur, c’est à n’y rien comprendre et Pierre le fait savoir : « Non tu ne me laveras pas les pieds » Jean nous dit, à d’autres endroits, que voir Jésus c’est voir le Père (Jn 14, 9), Jésus et le Père ne font qu’un. Est-ce à dire que “Dieu le Père tout puissant“ est serviteur de l’homme ?? Lave les pieds de l’homme ?? Ce questionnement ébranle-t-il les fondements de notre foi ? Mais comme le disait avec justesse une catéchumène c’est un signe que “Dieu se fait tout proche de nous, Dieu se fait homme“. Aujourd’hui comme hier (du temps des apôtres) Jésus nous dit que celui qui veut être le plus grand auprès de Dieu, se fasse serviteur, qui veut être premier se fasse dernier… Je veux être patron ou serviteur ? Question primordiale qui est au cœur de notre vie de disciples, qui nous secoue au plus profond de nous mêmes… Etre serviteur c’est difficile mais peut–être comme le disait quelqu’un dans le groupe cela ne se comprend que “par“ amour. Quand on aime, serviteur devient léger car il n’y a plus de service mais l’amour. « Je ne vous appelle plus serviteur mais amis » dans le mot ami il y a aimer. La réunion se termine par la phrase de Jésus « aimez vous les uns les autres comme je vous ai aimés » (Jn, 15,12) Prochaine réunion 10 avril : Depuis le début jusqu’au bout Jésus a aimé son prochain Je m’appelle Bruno NZUNGU-NZANGA DIUBENZ. Je suis prêtre originaire de l’archidiocèse de Kinshasa (RD Congo). Mon évêque m’a envoyé ici en année sabbatique après la fête de mes 25 ans d’ordination sacerdotale. Après avoir exercé diverses missions au service du diocèse, je peux vivre par cet envoi une autre expérience pastorale et me ressourcer. En arrivant ici, j’ai d’abord été accueilli dans le secteur pastoral de la Forêt-Montgeron et j’ai rejoint Évry en novembre. Je suis actuellement membre de l’Equipe Pastorale de Secteur, attaché à la cathédrale et aumônier pour les groupes de prière charismatiques sur le secteur. J’ai été touché en arrivant ici tout particulièrement par l’accueil qui m’a été accordé tant par l’évêque que par mes confrères prêtres. Je découvre une autre réalité pastorale et suis impressionné par l’engagement et la place des laïcs dans la pastorale. Cette collaboration prêtres-laïcs est essentielle. Sans les fidèles le prêtre n’est rien ! Ici je me rends compte que les prêtres ont beaucoup de travail, cela est dû à la fois au petit nombre mais aussi aux exigences pastorales. Beaucoup de réflexions sur l’engagement, les temps forts, le nombre de catéchumènes…Bien sûr l’objectif est le même dans tous les pays, la sanctification des personnes, mais la façon de le faire peut être différente. Au Congo, j’ai travaillé dans des services liés à la Pastorale sociale. Là-bas pas d’État providence, pas de politique sociale, le prêtre, et à travers lui l’Église, doivent souvent se débrouiller seuls pour trouver des aides aux demandes toujours plus nombreuses des indigents. Pour moi, en tant que prêtre, cet accueil auprès des plus vulnérables est une part essentielle de ma mission. À mon retour au pays, l’évêque pourrait me confier un ministère dans le développement mais quel qu’il soit, je l’accepterai! Je rends grâce pour cette expérience qui m’est donnée de vivre et comme le dit saint Paul à Timothée « je suis plein de reconnaissance envers celui qui m'a fortifié, à Jésus-Christ notre Seigneur : c’est Lui qui m’a jugé digne de confiance en me prenant à son service. » (1Tm 1,12) Pèlerinages diocésain à Lourdes du lundi 20 au samedi 25 avril Sur le thème de « la mission », ce pèlerinage peut permettre à tous les fidèles, valides ou malades, de partager sur la question : « Quelle est vraiment ma mission de chrétien ?» et d’« oser le geste Fraternel ! » (Lettre pastorale de Mgr Dubost). Les sanctuaires et les pèlerinages sont des instruments « précieux » au cœur de la Nouvelle Évangélisation… Le pèlerinage, dans le cadre de la Nouvelle Évangélisation, est de permettre aux visiteurs des sanctuaires du monde de faire l’expérience d’« un événement de grâce », une « expérience religieuse, de joie retrouvée », leur donner « la possibilité d'une réelle transformation de l'existence ». Inscription possible jusqu’au 10 avril 2015 Rassemblement de tous les chanteurs liturgiques de l’Ile de France C'est Jean-Michel Dieuaide qui animera cette rencontre à la cathédrale. Avec participation à la célébration du Lucernaire samedi 11 avril à 20h00 à la messe de 11h00 dimanche 12 avril et suivie du concert de l’ensemble vocal de l’université Évry à 14h30 6 Année de la Vie consacrée Présentation des sœurs de Notre Dame de Sion La congrégation des Religieuses de Notre Dame de Sion a été fondée par Théodore Ratisbonne, d’origine juive. Sans avoir été vraiment élevé « dans la foi de ses pères », il a découvert le « Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob » à partir de Jésus-Christ. Ce lien avec le peuple d’Israël, manifesté par le nom de la congrégation, a été dès l’origine au cœur même de la fondation, en 1843: « En Sion (Jérusalem] je me suis établie » (Sir 24,16). Alphonse, son plus jeune frère, reçoit la grâce de la foi chrétienne, par une apparition de la Vierge Marie dans une église de Rome, le 20 janvier 1842. La famille de Sion est internationale, diverse, variée. Sœurs apostoliques et contemplatives, pères et frères, laïcs : nous désirons témoigner de la fidélité de l’amour de Dieu pour le peuple juif et nous prions et travaillons pour que vienne son Règne de paix, de justice et d’amour pour toute l’humanité. Sœur Isabelle nds 3 Messes dominicales sur le Secteur pastoral d’Évry Samedi Dimanche 18h 18h 10h 10h 10h30 10h45 11h 11h 19h Célébrations, permanences, réunions régulières Le secrétariat du Secteur pastoral d’Évry à la cathédrale est ouvert du lundi au vendredi de 10h à 12h et de 15h30 à 19h Tél : 01 64 97 93 55 Évry, église Notre-Dame de l’Espérance Lisses, église Saint-Germain Saint-Vincent Évry, église St-Pierre St-Paul Bondoufle, église Saint-Denis Saint-Fiacre Évry, monastère de la Croix Évry, monastère de la Solitude Évry, cathédrale Courcouronnes, église Saint-Guénault Évry, cathédrale Nous fêterons bientôt 7 avril : Saint Jean-Baptiste de La Salle Fondateur des Frères des Ecoles Chrétiennes Né à Reims dans une famille bourgeoise, il est chanoine à 16 ans au chapitre de la cathédrale. Son avenir est assuré. Poussé par son père spirituel, il accepta de devenir prêtre à 27 ans. L'éducation de la jeunesse le passionne. Le Pape Pie XII l'a déclaré "patron de tous les éducateurs chrétiens." Il ouvre des écoles gratuites pour les petites filles puis pour les petits garçons. Pour les éduquer, il fonde une congrégation: les Frères des Ecoles chrétiennes. Pour s'y consacrer, il renonce à sa charge de chanoine qui lui assurait des ressources et distribue aux pauvres sa part d'héritage. Le bon bourgeois rémois partagera désormais la pauvreté de ses frères. Malgré les procès que lui font les maîtres d'écoles pour concurrence illicite, malgré les contradictions à l'intérieur même de son Ordre, saint Jean-Baptiste poursuit son œuvre, inventant une spiritualité et une pédagogie nouvelles. C'est ainsi que l'apprentissage de la lecture se fait dans ses écoles, non sur le latin, mais sur le français ! Il mourut en 1719. Le Pape Pie XII l'a déclaré "patron de tous les éducateurs chrétiens. » S o u r c e s à Bondoufle Dimanche : 10h00 Messe dominicale. 20h30, Prière du Rosaire à l’église. Mercredi : 20h00 Répétitions Chorale à l’église. Vendredi : 17h00 à 18h00, Partage biblique avec le P. Heidet sur l’évangile du dimanche suivant 18h00 à 18h30 Messe de semaine. 18h30 à19h00 Adoration du Saint Sacrement. Samedi : 10h00 à 12h00 , accueil à l’église . à Courcouronnes Dimanche : 11h00 Messe dominicale à l’église St Guénault Mercredi : 16h30 à 18h30, Permanence du prêtre sur rendez-vous à l’église St Guénault . 17 avril: Sainte Kateri Tekakwitha Première sainte amérindienne. (✝ 1680) Tekakwitha. Née en 1656 à Ossernenon (USA), elle était fille d'un chef mohawh et d'une algonquine catholique, baptisée et éduquée par des missionnaires français. La variole la priva à quatre ans de sa famille, et elle-même resta défigurée et handicapée des suites de l'infection. Adoptée par un parent chef d'une tribu voisine, elle affermit sa foi et fut baptisée par un missionnaire à l'âge de vingt ans. Marginalisée et menacée par sa famille, qui ne comprenait pas sa conversion, elle échappa à leur persécution et fonda à Kahnawake une communauté d'indiens chrétiens, vivant dans la prière, la pénitence et le soin des malades. Elle mourut le 17 avril 1680, invoquant Jésus, après avoir fait vœu de chasteté l'année précédente. La tradition affirme que ses cicatrices disparurent pour faire place à un beau visage, et qu'à son enterrement de nombreux malades furent guéris. Jean-Paul II la déclara bienheureuse le 22 juin 1980 et elle fut canonisée à Rome le 21 octobre 2012. Elle occupe une place particulière dans la dévotion des amérindiens catholiques du Canada et des Etats-Unis. Sources Nominis 4 Samedi : 10h00 à 12h00 Accueil à l’église St Guénault (hors v. s.) à Lisses Mardi : 17h00 à 19h00, Permanence sur rendez-vous du père Hygord Amédée. 19h00, Messe à l’église. Vendredi : le premier vendredis du mois : Adoration à 18h00 et Messe à 19h00 à l’église . Samedi : 10h00 à 11h00, Accueil au presbytère (hors vacances scolaires) 18h00, Messe anticipée du dimanche. 5