nt1ilt^reADE-

Edition de TOÎIIOUBQ.
Organe de
^^glsEPTEMBHE 1925 - 34 e Année - N° 11.869
VE^D1"1
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M2
_ (>è ga(, ^ . c . «,„
PRIX DES ABONNEMENTS
DIRECTION : 25, î=tu© ï^ocjuelaine, TOULOUSE
4.936
NOTE-EXPRESS |
0^
Défense Sociale et Religieuse
Sur les Tréteaux de Genève
L'Action Franco-Espagiole
L'ANXIÉTÉ SYRIENNE
3 mois S mois 4 as
Franœ et Colonies. 18 fr. 35 fr. 88fr.
Etranger
30 fr. 65 fr. 105 fr.
Tragédies de la Mer et des Airs
au Maroc
\3k
Léonid Krassine
Théorie de Mutisme
Paris commence
La
Grande
Offensive
pour 'ài problème
par terre et par mer enfin à savoir
commencé
a vérité
Oo découvre le 'Venlein'
L'ambassadeur des Soviets à Paris,
Si les paysans réfléchissaient un
pou, ils verraient bien que sous la Léonid Krassine, a été vigoureusement
conspué à Villerssur-Mer, où ce commisau fODdJe l'eau
précédente législature, dont nous saire du peuple se trouvait, tout comme
avons impartialement marqué les un simple bourgeois, en villégiature. Refautes, nous avons eu, une année. connu à la terrasse d'un café par de nomPRES DU CAP PASSERO
80 millions d'hectolitres et le vin a breuses personnes il dut, avec sa famille,
Rome, 3 septembre.
atteint le prix de !>2 francs. Donc, réintégrer son hôtel sous les huées de la
Selon H Serono. le ministère de la
quand les démagogues du Cartel foule rapidement amassée. Les aimables
L'an dernier, à pareUU époque,
marine aurait lait savoir que le sousnous parlant de surproduction pour mots de Ï bandtt, assassin, etc. », cha- Vassernblée de la Société des nations
marin Veniero aurait été vu au fond
touillèrent
voluptueusement
les
oreilles
du
de la mer, à sept milles du cap Passemasquer leur politique de baisse, ils
apportait
un
grand
espoir.
Toutours
Madrid,
3
septembre.
bonhomme.
tiles' f i, Meure, l'étang de Thau,
Paris. 3 septembre.
ra Le submersible serait renversé. La
Des forces navales importantes coumentent.
Et
il
est
à
noter
que
les
pendante
depuis
1919,
l'affaire
de
la
Le
gouvernement
a
adjoint
au
généMais
puisqu'il
a
été,
à
nouveau,
question
a dû se produire en quelquos sevrent le débarquement des troupes es- ral Sarrail le général Gamelin, avso le chute
t* 1* D*? sainSS. la mer
gabegies
du
Cartel
ayant
fait
augcondes.
îe ffl° Le auTpieds des monte de la menter le prix de la vie de 40 %, il d'un si triste personnage, il est bon de sécurité devait être réglée. Grande pagnoles en trois points de la côte, tare de. commandant des troupes du
rappeler son passé.
affaire par excellence, puisque la près de la capitale riffaine Adjir. D'auA SBUC£ ' Sgnan. Et, au de à,
Nomination ut.'le.
On ne sait pas très exactement où na- guerre de 1914 avait été menée « jus- tres forces espagnoles opèrent dans le Levant.
Gardiole
'^mau
^e déployé SUT les faudrait, pour atteindre l'équivalent
La vérité sur l'affaire des Druses se SUR LES LIEUX DE LA DISPARITION
de la précédente législature, que les quit ce bolcheviste dangereux, mais il qu'au bout » et sans regarder au secteur de Meliila, tandis que les précise.
rge
ruban
Se «Meuse qu'a chantée
te
Français maintiennent les Riffains en
est probable que Léonid Barissovitch, dit
La Spezzia, 3 septembre.
Ce matin le Journal publie les renseieaux,
T ^me
déroule à perte de prix des vins atteignissent 12.8 fr. 80. Krassine, a vu le jour dans la petite ville prix, pour que ce fût a la dernière action sur le front tout entier.
Tous les scaphandriers civils et mili-,
gnements que notre confrère Edouard
D'autre part, le Cartel a donné une
6treTmlr et les étangs. .
des
guerres
».
taires
disponibles
sont partis pour la ;
Helsev lin a envoyés de Beyrouth. On
prime à l'importation, en renouvelant de Kourgansk, en 1870 ; c'est-à-dire
CINQUANTE VAISSEAUX DE GUERRE y Voit !a confirmation du refus du gé- Sicile sur les lic-ux où l'on a aperçu îe.
vue
Il
s'ajoutait
d'ailleurs,
en
1924,
la
eille
de
cueillir
les
des
le
gouvernement
de
Tobolsk
(Sibéà la v
EN ACTION
les conventions douanières francopresque
néral Sirrad de recevoir une déléga- Veniero renversé au fond de la mer..
* •; ' orangée déjà noires, on a espagnoles, au détriment des vigne- rie). Son père aurait été fonctionnaire promesse du Cartel des gauches, qui
tion druse.
Les
flottes
française
et
espagnole
impérial.
déclarait la paix au monde et .se
^Hléî travaux. C'est le grand
Dès lors, les événements se précipirons de notre pays. Il est à remarMais dès 1891, date à laquelle il fut flattait de posséder la formule ma- qui coopèrent à cette offensive for- tèrent,
dïionrs d'été, calme à peine
à la suite d'un incident qui se LES FAMILLES OFFICIELLEMENT ;
ment une force de cinquante vaisquer également que le vin n'a pas exclu de l'Institut de technologie,
on a gique
AVISÉES
produisit à Soucida. 500 hommes fude dela réconciliation univer- seaux de tous types.
^
par te rumeur
confuse
subi, à la consommation, une dimi- des certitudes.
Les familles de l'équipage du sous-,
rent envoyés par le général Sarrail Ils
^tùe fête de village. A l'aube et nution proportionnelle à la baisse D'abord, en 1892, ses relations avec le selle. Le protocole de Genève, c'est- La flotte française comprend ': le y arrivèrent le 2» juillet et s'y trouvé marin aurait été avisées offlciellementi
cuirassé P~aris, qui est le vaisseau amicomité exécutif provisoire de la ville de à-dire l'arbitrage obligatoire aux ral ; Les croiseurs légers Strasbourg et rent immédiatement encerclés au milieu de la perte de leurs parents respectifs.
^ ^ «olr «ur 1^ crêtes eimrOT enregistrée à la productif.
TOTSi la lumière bleue des eaux,
sanctions,
fut
le
fruit
de
cette
sesd'un pays en pleine insurrection.
On en conclue qu'il ne reste plus auMoscou, relations démontrées, le font
On" voit, dès lors, que toutes les condamner à trois mois de prison. Le sé- sion, qui devait être mémorable et Metz; cinq avisos comprenant ïAmiens,
La veille, deux
aviateurs français cun doute, qu» le deuil frappe l'Italie
Ban ff'l«e l'or des collines, offre des
te Montmirail et le Calais ; six torpil- auraient
été massacrés, sans l'interven- tout entière..
blagues de nos députés cartellistes jour de Moscou lui est interdit et, sa qui l'aura été surtout par Vavorte- leurs, deux canonnières, six hydraffiJfîSiï
et fugitives, dans un
d'un jeune prince druse. et £00
teintas v
, rt. arSre
sont débitées, par eux, avec le même peine finie, on le relègue à Irkoutsk, où il ment du grand dessein. Six mois vions, deux sloops armés et deux bal- tion
têl
Français avaient été attaqués par un
Trte oourpre et d'argent.
d'observation
m *\ l ^ de la vie larg. et cynisme, qu'il s'agisse d'économie est placé sous l'étroite surveillance de la plus tard, le protocole de Genève lons
de )>ruses 60 seulement, pres- Le Dirigeable « Shenandoah » brisé
Le cuirassé espagnol Alfonso-XIH et millier
police
tsariste.
Enfin,
en
I837
il
est
lique tous blessés échappèrent.
politique ou de politique extérieure.
t
par la Tempête
était
tué
et
enterré
par
M.
Chamberun
ceriain
nombre
de
bâtiments
plus
l ^S'le
vin
se
vend
bien.
Le 2 août, on mit 3.000 hommes en
béré.
fecUe lorscra-. 1
petits et d'hydravions coopèrent avec marche ver& Soutida ,pouir débloquer
lain,
sans
que
la
Ligue
protestât.
en baiss6| OT Il serait temps que le peuple français
Aussitôt après sa libération et son reMORTS ET BLESSES
flTbeaïouJ et on patiente. Les ouvrît les yeux et se rendît compte tour
nos 500 hommes
Le problème de la sécurité revient la flotte française.
en Russie, il participe au mouvement
Cumberland (Ohio), 3 septembre*
Le
récH
de
M.
Edouard
Helsey
conSvS
moblèmes de l'existence que toutes les crises, toutes les com- social démocrate ouvrier, il s'affilie au devant l'Assemblée de Genève sous
LE BOMBARDEMENT D'ADilR
Le dirigeable géant Shenandoah, surP
firme que le contact fut perdu entre
plications, toutes les guerres éclatent parti, fait la connaissance de Lénine, dont une autre forme : celle du pacte.
„SE2t
f «. vin. Tout vient du
Meliila, 3 septembre.
pris par la tempête, serait tombé à'
ces
troupes
et
leur
convoi
de
ravitaillesous des gouvernements de gauche, il ne tarde pas à devenir l'ami. Il est d'au- Autant dire que tout ce qui s'est fait
Huit soldats blancs rnt été tués dans ment, et que celui-ci, attaqué, la ma- 6 milles à l'est de Cumberland. II vï
vin, tout retourne au vin. Ce vin
bombardement d'Adjir, parmi les- jeure partie de nos vivres et de nos mu- aurait deux tués et sept blessés. Le;
Iwuel Baudelaire comparait la lesquels favorisent les spéculations tre part ingénieur dans une maison alle- entre Paris et Londres, dans ces der- le
mande et très répandu dans les milieux niers mois, est soumis à revision et quels un Américain, quatre déserteurs nitions tombèrent aux mains des Dru- dirigeable se serait partagé en deux
îS reste un sujet inépuisable. internationales et les trafiquante qui financiers.
de la Légion étrangère française et ses.
au-dessus du village Dava. Une partie
Cela ne l'empêche d'ailleurs
XVcorde sensible et délicate, passent des marchés avec les minis- pc- de participer
Allc-mands. Cinq canons riffains
Le lendemain, l'artillerie malgache est tombée dans un champ de blé, à
activement à une série court grand risque de perdre encore trois
et
quatre
mitrailleuses
auraient
été
tères.
de la colonne lâcha pied et l'expédition 6 milles et demi au sud de Pleansamv
qXassure te popularité à qui sait la
des plumes. Nous sommes déjà loin
La guerre ïue, mais elle enrichit d'opérations à main armée, désignées par de la garantie inconditionnée, qui détruits Les pertes riffaines s'élève- regagna sa base .ayant perdu 450 hom- City. L'autre partie a été entrainé© $
lire vibrer. Il n'est pas ce parleles révolutionnaires sous le nom a" « exraient à cinquante morts et trois cents mes
la dérive vers l'est,
ÏSaSJ capable de demeurer tabou une poignée de coquins. Et nous sa- propriations ». Arrêté en 1908, par suite eût été la plus importante contre le blessés.
Scueida a résisté à devx attaques des
vons
que
tous
les
marchés
scandad'un manque de preuves matérielles, et risque de guerre : celle de la GrandeSTtfa su faire de te question du
Druses. Les assiégés ent enviraa pour
leux de la guerre ont été passés par aussi grâce à de hautes protections, U est Bretagne. Il n'est pas certain que le
DU COTÉ D'ABD-EL-KRIM
UN COMMUNIQUE
Six semaines d'eau.
vin son violon d'Ingres.
Les Druses,
aujourd'hui, semblent
Londres, 3 septembre.
nouveau projet ne soit pas encore
Aussi bien, dans ces pays où raai- des gouvernements du Cartel des acquitté.
Washington, 3 septembre.
Les Français, les Sénégalais et les momrcr de meilleures dispositions. Ils
Pendant la guerre, il est à Yêtranger dilué et débilité.
caux libéraux et socialistes sont le gauches. (1).
Un communiqué du ministère de la
nous ont renvoyé 70 de nos soldats.
Algériens
faits
prisonniers
sur
le
front
aux
côtés
de
Lénine
;
il
devient
un
des
Il ne faudrait pas croire, cepenMarine confirme que le dirigeable
nlns'conservatfCTS — j'appelle conLee renforts sont attendus
D'ailleurs, on ne sortira pas de français ont été conduits à Ajdir, où
principaux agents du complot judéo-alleM. Helsey 3 nsx indispensable et ttr- Shenandoah. surpris par la tempèteC
servateur celui qui tient à conserver dant, que cet état d'esprit, inhérent mand monté par Lénine, et dirigé contre cette alternative : la Société des na- ils sont sépares des prisonniers espas'est écrasé sur le sol, près de Çaldvev
geinte une opération énergique
ce qui est — les parlementaires de la à une partie de la population de nos la Russie. C'est Léonid Krassine qui tient tions repose elle-même sur un pacte gnols.
D'autres montagnards, les Alaouites, dans 1 fihip.. Il y a deu^ tués»
Les
Sénégalais
et
autres
indigènes
sociale ont su se faire passer pour provinces, soit général. Il existe une les caisses du parti bolcheviste, et Kry- d'assistance mutuelle, de sécurité et sont employés pour la construction des commencent a s'agiter.
Les musulmans de Damas suivent la
indispensables. Aux gros propriétai- minorité forte, agissante, éclairée, lenko l'a accusé d avoir ignoré par trop de garantie. Ou bien ce pacte engage routes ; quelques-uns des Algériens ont
LES SURVIVANTS
res, ils tiennent le raisonnement sui- une minorité d'élite qui se recrute la délicatesse. A la faveur de la révolu- les membres de la Ligue, et il n'est été forcés de servir dans l'armée rif- situation avec attention,
faine,
apparemment
comme
oanonCumberland, 3 septembre.
vant : « Nous nous (Usons socialis- dans toutes les classes. 11 est des tion, d rentre en Russie pour prendre part pas utile d'en faire un autre ; ou niers ou comme téléphonistes.
VERS UNE ATTAQUE GÉNÉRALE
massacres et à la curée. Lénine le met
Les survivants du Shenandoah au-*;1
tes, il est vrai, mais nous faisons les villages du terroir languedocien où aux
Huit
Européens
de
nationalité
incon*
raient été recueillis dans une ferme des;
à la tête de la nouvelle diplomatie soviCti- bien ce pacte n'engage à rien et ne
affaires des possédants. Nous-mêmes, les traditions se sont maintenues : gue. Il est chef d'une délégation commer- protège personne, et l'on ne voit pas nue ont débarqué récemment sur la
environs de Cumberland.
Damas. 3 septembre.
riff'iitie. Le vapeur qui les amena
ne sommes-nous pas propriétaires... elles ont résisté à l'action dissolvante ciale des Soviets à Londres, en 1922. Au- pourquoi ceux qui le remplaceraient côte
Le Shenandoah avait quitté hier maTandis
que
des
avions
français
bomrepartit aussitôt qu'ils
furent débarun peu après six heures, sa base
et bouilleurs ? Estimez-vous heureux de l'école laïque.
jourd'hui, il règne à Paris dans l'immeuble seraient plus efficaces et auraient un qués. On dit qu'ils sont eu Anglais eu bardent les concentrations des rebelles tin,
Druse» dans le Djebel, le général Sar- de Laquehurs (New-Jersey). Il devais
Il n'est pas rare de TOneontrer, sur de la rue de Grenelle, sous le signe de la meilleur sort. L'assassinat du proto- Allemands.
<foe vos ouvriers nous prennent au
survoler onze Etats pour arriver dans,
Ils étaient évidemment attendus, car rail organise les renforts qui viennent
sa route, quelques-uns de ces tra- iaucille et du marteau.
sérieux et votent pour nous. »
cole de Genève est là pour noms Abd-el-îvrim avait envoyé à leur ren- d'arriver pour réprimer deiinitiveiiieuit le Minnesota.
Il
a
des
autos,
sa
femme
et
ses
filles
Il a été signalé pour la dernière fois;
Aux cléricaux, Ùs disent : « Mais vailleurs qui vous étonnent par leur
édifier.
i
contre 10 cavalieœ qui les escortèrent la rôwlte.
L'ennemi ost concentré près cwi mont à 1 h. 45, ce matin, survoiant Elmîles curés, il en faut ; s'il n'y en avait jugement et l'étendue de leurs con- de superbes fourrures. On mange bien à
jusqu'à
Ajdir.
l'ambassade.
Il
vit
une
vie
que
jamais
grave,
près de Vheeling (Virginie occiIl est impossible enfin de ne pas
naissances. Des ouvriers agricoles
pas, nous les inventerions ».
n'y a jamais eu autant d'activité Hauran et Soueida, à la frontière de dentale) et se dirigeant vers l'Ouest M
boyard ne mena, et cela aux frais du peu- remarquer que le programme de la ni Ild'aussi
Palestine.
grands
préparatifs
qu'en
ce
Enfin, aux ouvriers : « Nous avons connaissent leur Maurras, ont lu les ple russe courbé sous l'infâme tyrannie juOn garde le sscret sur la date de une hauteur de plus de mille pieds,
session est chargé de questions sans m Ciiient dans tout le Hiff,
Séussi, nous socialistes, à nous faire œuvres de Bainville, de La Tour du déo-bolcheviste.
l'attaque générale ; mais les troupes,
doute intéressantes, telles que celle
le matériel et les avions qui sont sur
porter par des bourgeois. Laissez- Pin, dévorent les ouvrages que reçoit
Voilà ce que c'est que Krassine l
L'ÉQUIPAGE
de Mossoul, qu'on y reparlera, LA BANDE A DORIOT INDÉSIRABLE place soitit suffisants pour ramener la
nous faire, nous avons l'œil et le bon. la section d'Action Française de l'en.Fez, 3 septembre.
SAINT-MAFFRE.
tranquillité dars la zone où les modes
Le dirigeable avait un équipage ci*
comme tous les ans, avec une prédiQuant le moment sera venu, qu 'est- droit. Ils sont capables de tenir une
Le maréchal Pétain a donné des or- de guerre dus tribus sauvases sont : 35 hommes, capitaine et officiers comlection marquée, de la traite des dres pour interdire au député Doriot rembûche, le raid, de cavalerie et la
ce qu'ils prendront, les banquiers, discussion serrée et me rappellent
pris, et, suivant les derniers rensei-i
blanches et du cinéma dans ses rap- at à la délégation communiste qui l'ac- guérilla,
gnements, il transportait 42 personnes. '
les spéculateurs, las profiteurs, etc. » ces ouvriers parisiens qui, en tête-àcompagne
d'enfer
au
Maroc.
ports avec la moralité. La Société
Ainsi, le socialisme, qui a pour mit tête, auraient vite cloué n'importe
Des nouvelles d'Oran font connaître
L'ATTAQUE CONTRE DAMAS
des nations offre une certaine pa- qu'un groupe bolcheviste se trouve aeïte transformer la propriété indivi- lequel des représentante des bobards
DERNIERS ECHOS
Londres, 3 septembre.
renté
avec
la
Ligue
contre
la
licence
tuellemeii*
en
Algérie.
duelle en propriété collective, se démocratiques.
DE LA CATASTROPHE
Le
Times
donne
les
renseignements
des rues. Mais elle s'abstient de tout
Paris, 3 septembre.
maintient, dans nos campagnes, par Je fus arrêté, récemment, à la ville
suivants sur l'attaque du 23 août conUNE BELLE RANDONNÉE
Les ministres se sont réunis ce ma- ce qui touche aux grandes difficultés
.
Cumberland. 3 septembre^
Bon opportunisme avoué.
tre Damas :
DE NOTRE AVIATION MARITIME
voisine, par un avocat, en passe — tin, a. l'Elysée, sous la présidence de
Axa dernières nouvelles, il y auxaife
internationales.
Quand
une
affaire
Les
assaillants
s'étaient
cachés
au
Et, le plus drôle, c'est que chaque m'a-t-il dit — de se faire un grand M. Doumergue.
Paris, 3 septembre.
dix morts dans l'accident survenu aai
Le conseil des ministres s'est pro- est aiguë, la Société observe de ConOn signale l'arrivée à Casablanca pied d'ure colline, attendant la nuit Shenandoah.
parti croit être le bénéficiaire de cet nom. J'avais sous le bras un énorme
pour attaquer la ville Ils furent décourart le silence prudent.
longé
jusqu'à
13
h.
45.
Voici
le
comd'une
escadrille
de
l'aéronautique
miliLe nombre des blessés serait de ïô,
opportunisme, alors qu'en réalité le paquet^ qui l'intrigua. C'étaient les muniqué ;
Elle siégeait et elle s'est tue en taire, comportant les plus puissants ap- verts par des aéroplanes français, qui
les
bombardèrent
et
les
forcèrent
à
sorvéritable, k seul bénéficiaire est le œuvres de Booald, en quatorze volu1920, lorsque l'armée rouge envahis- pareils actuellement en usage dans tir dans la plaine. Là, ils furent taillés
LE MARÉCHAL PÉTAIN
LES CARACTÉRISTIQUES
(Politicien, le profiteur, le roublard. mes, — état parfait, reliés, sur très
française.
GÉNÉRALISSIME
sait la Pologne. Elle siège et elle se l'aviation
DU DIRIGEABLE
Cette escadrille, commandée par le en pièces par un régiment de spahis,
On soutient le programme de Le Play beau papier. J'avais acheté le tout
Le conseil des ministres a approuvé tait lorsque la réclamation des det- lieutenant de vaisseau Campadon, qui leur tua près de 700 hommes.
Paris, 3 septembre.devant des conservateurs, celui de pour... 24 francs. — « Oh 1 me dit-il les décisions prises par le président
Au
moment
le
plus
critique
de
cette
tes de guerre par l'Angleterre et les avait été avertie mardi matin, à la de- journée, les Français distribuèrent 650
Le Shenandoah qui à son tour viertÈ
Karl Marx devant les communistes d'un air entendu, si vous avez payé du conseil, ministre de la guerre, orEtats-Unis trouble gravement la vie mande du ministre de la guerre et fusils dans le quartier chrétien de la de disparaître était un dirigeable typet
des Aiguës, et le tour est joué.
ce prix-là, c'est que ça n'en vaut ganisant lé commandement unique des
d'accord avec l'état-major de l'aviation villa
« Zeppelin » construit aux Etats-Unis,;
opérations militaires au Maroc sous la des nations européennes continenta- maritime.
, 0 suffrage universel 1 O démocra- pas davantage ».
La semaine dernière, des Druses ont en 1933, d'après les conseils d'un ingjêv
haute
autorité
du
maréchal
Pé'tain.
les.
C'est
que
les
créanciers
n'admetElle
quitta
aussitôt
la
base
de
Cuers
nieur
allemand, sous le nom de ZR t.tie I
Je me trouvai désolé d'avoir à lui
Au Maroc, itute action militaire doit traient pas une minute l'interven- et, après avoir ravitaillé à Alicante. fait des inomreions sur Baweida, HurIl avait effectué sa première sortie le
villah
et
le
voisinage
de
Kisveh,
qui
forcément
s'accompagner
d'une
action
Quant à la question du vin, elle répondre qu'il ressemblait à ce bourtion de la Ligue, et la Ligue le sait. continua son vol pour atterrir dans la sont à 12 ou» 15 kilomètres an sud de 4 septembre 1923,
même journée au Maroc, après un par^présente la plus grosse mystifica- geois radical qui m'avait dit, la politique qui a pour objet de mainteGonflé à 1 hélium, ee dirigeaible géant;,
Damas.
nir ou de faire rentrer dans le devoir
Ses interprètes répondront que, cours de 2.800 kilomètres environ.
58.000 mètres et était mû pad
tion que je connaisse. Quiconque a veille : « Pour qu'on ait mis 120.000 les tribus soumises à notre protecIls ont dépouillé quelques gendarmes 5cubait
A
noter
que
les
six
avions
volant
de
moteurs de 400 chevaux.
pour vivre, pour durer, elle ne doit
leurs vêtements et les ont renvoyés
furyi les débats parlementaires sur francs à l'affichage du discours torat.
conserve avaient chacun 5 hommes d'é- de
Son
plus
grand voyage est le vol
Le maréchal pétain a la direction choquer personne, qu'elle ne doit pas quipage à bord, ainsi que tout le ma- tout nus vers Damas.
« Politique viticole, doit être, à cet d'Herriot, i! fallait que ce discours
qu'il effectua du 1er au 3 octobre 1928,:
n
y
a
deux
compagnies
de
la
légion
supérieure
des
opérations
militaires
;
surtout s'aliéner les plus forts et tériel de guerre. Ces avions, du type
de Lakehurst à Saint-Louis et retour,
^ard, suffisamment fixé. Là, c 'est le en valût la peine ».
étrangère à Erraa.
il en e.st le chef unique.
qu'il est déjà assez dur pour elle Goliath, sont munis du nouveau movoyage qui dura 47 h. 49
^ de dire, avec M. François Albert,
Mon interlocuteur fit un peu la
L'opinion
unanime
lui
sera
reconteur 400 CV à refroidissement par l'air,
8 «est de la rigolade ».
Il était â cette occasion monté pa^
grimace ; ma comparaison ne lui naissante de mettre encore une foie au d'avoir à se passer des Américains. ce qui doit leur permettre de voler au
42 hommes
service du pays sa méthode, ses facul- Mais une abstention trop continue Maroc par la température la plus
plaisait
guère.
Il
ne
trouva
cepenLe Shenandoah avait été déjà accipart? parlementaire8 affiliés à un
tés d'organisation, sa connaissance ap- nuit à son prestige et lui enlève sa chaude.
Faits d'/Uîerrçagne denté en janvier 1924.
qui ne cache pas sa haine des dant que cette objection : « A la Fa- profondie de toutes les ressources de raison d'être. Un peu de courage moLe
colonel
Armengaud,
chef
de
l'aéPris par la tempête, alors qu'il étaiï
r^Hevurs,
ne vont paS) vous l€ culté de droit, Bonald est totalement notre armée.
ronautique marocaine, a vivement féamarré à Lakehurst, il partit à la déD'autre part, pour que les événe- ral serait peut-être dans son cas un licité le commandant de l'escadrille
rive,
mais une partie de son équipage
j^T* 2 «en, lutter contre leur parti. inconnu ».
UN MONUMENT A SOHLAGETER
pour son magnifique exploit et lui a
au contraire, ils votent avec
Voilà ce que c'est qu'une démocra- ments suivent la marche rapide qu'es- bon placement.
qui était à bord parvint à se rendre
pèrent le gouvernement et le pays il
Berlin,
3
septembre.
exprimé sa grande satisfaction de
maître de l'aéronat et le ramena à sa
1
tie qui prétend monopoliser les cer- importe que l'action d'influence sur'les
Hier soir a eu lieu, à Dusselmorf, base sans trop de dommages.
J&cqUds BAINVILLE.
pouvoir employer, pour les futures opéPréca^ ^ Et e Us Prennent leurs
dans
la
salle
des
l'êtes
municipale,
une
j* autians pourr échapper, eux et velles Il Si M. François Albert avait tribus soit aussi prompte et efficace
rations, ses appareils du dernier type.
Il avait été question un certain moque possible et s'exerce avec toute la
populiste ';n ment de faire effectuer au Shenandoah
A la vue de ces appareils, les indigè- grande manif-station
feux u^Pères, aux conséquences de été là, je sais bien ce qu'il eût ré- compétence et l'autorité nécessaires
l'honneur de S?hlageter, condamné â une croisière au Pôle Nord, mais l'opnes
ont
été
très
vivement
impressionpondu*
Vous
le
savez
aussi.
M.
de
tiaî1' SU' tand > soumoiseCette mission incombe au résident
«Û6M Ty?
nés par la taille de ces avions géants. mort en 1923, lors de l'occupation de la position qui se forma contre ce projet,
Monzie le sait comme nous.
épeup1er
supérieur en contact avec le maréchai
Ruhr, par un conseil de guerre fran- surtout au Sénat américain, contrai««ow ,
les campagnes, en
16
çais, pour sabotage criminel
Ah ! renseignement démocratique, Pètam et 1 • gouvernement
gnit le ministère de la marine à renca*
J'cnivrilr
^t du possédant et de
Conformément à la décision du conL'a<ss.îimblé.\ décida l'érection pro- cer au raid polaire.
8èrub](!* bricole de plus en plus mi- « c'est de la rigolade » 1
seil, le maréchal Ljrautey s'embarchamsi à Holzheim. tù fut fusillé le
n en
quera pour le Maroc le 12 septembre et
condamné, d'un monument commémo* travini
^^in^ent pas moins
Pierre BÉCAT.
rât! f : mais, sur les acclamations des
reviendra en octobre renseigner le emi
assistants, le président mit aux voix
vernement sur la situation résultant
*ST «««mational, qui a jeté
(1) On assuré que les récoltes du Ma- des opérations engagées.
une résolution tendant à élever ce mémorial au centre même de la ville de
*s*t«« ^1 . te France, tombée aux roc ayant été détruites, le vin augLA
SITUATION
EN
SYRIE
Dusseldorf
menterait un peu, malgré la fraude et
é
a
le Cartel.
Cette proposition fut accueillie par
^\/t^
exposé quelles sont en
byrie le* conditions dans lesquelles
les hurras de l'assistance.
DANS
L'AFRIQUE
DU
SUD
DES DIVERGENCES SUBSISTENT
P ° Mvre 166 ^ de pï
ENTRE EXPEiCTS
Le Cap, 3 septembre.
Ii
se
confirme
qu'une
conférence
va
Le
général
Michaud,
rentré
en
vous autres, blancs, vous inventez tout
Londres, 3 septembre.
avoir lieu entre les représentants des
France, apportera au gouvernement
ce qu'il nous laut.. »
On considère généralement que la tâour
gens de mer grévistes et ceux des
des renseignements sur la situation
che des experts sera terminée à la fin
n
DE la Syri€
armateurs.
LA VILLE OU L'ON BOIT GRATIS
de la semaine, mais il n'est pas suc
t le général
A - 11 <**
Le ministre du Travail et de la Dépar
Gamelin,
qui remplace
s'embarqu'on aboutisse à des conclusions una^ggANB DE 20.000 ANS
fense, accompagné de plusieurs foncquera le 7 septembre à Marseille.
nimes
devant être .soumises aux gouBoulogne-sur-Mer,
3
septembre.
tionnaires
de
son
département,
a
quitC'est Hanovre, capitale de l'Etat du
LE BUDGET DE 1926
8
Les recherches ont continué pour sa- vernements pour la réuni m projetée u
té
Pretoria
hier
après-midi,
se
renLausanne entre les ministres des afS^taV^rfà "^ d^terations ont été même nom, en Allemagne. Il y a quel- ET LES NÉGOCIATIONS SUR
dant au Cap, probablement pour prési- voir si le prince égyptien Ahmed Sief- faires étrangères. Il est possible que
Stet rt^^Wc S.°oférence des sa- ques jours, les habitants de cette ville
LES DETTES INTERALLIEES
feddin avait débarqué à Boulogne dans
der la conférence.
f-rtunée
apprenaient
que,"
pendant
une
dans le rapport qui résumera leurs
l'après-midi de lundi.
6
M. Caillaux a mis le conseil au couPAS DE LASCARS
Ce*!*. Près dn ^ î™, "âne. dans semaine entière, tous les cafés et res- rant des renseignements nouveaux à
On a la conviction que les fugitifs travaux quelques formules restent en
taurants de la cité serviraient gratuiont débarqué en même temps que les opposition. Ce sera l'affaire des gouLe Cap, 3 septembre.
des négociations engagées sur
vernements intéressés de choisir dans
J^jlP0 ^ des »;!,raU P lus de 20.000 tement à tous les amateurs autant de propos
Un avis officiel laisse entendre que excunsionniftes.
les
dettes
interalliées
' "«^e qui ^?«es
opération chocolat que ceux-ci pourraient en con- La commission qui 'doit, sous sa préces formules en vue d'arrêter mie Uiè&a
Une femme, que l'on croit être la commune.
le gouvernement n'autorise pas l'im1 1 a*une
été
sommer.
On
devine
que,
pendant
une
J«
^run^S * -.
effectuée à
portation des Lascars pour remplacer mère du prince, attendait celui-ci à
sidence, se rendre en Amérique sera
semaine,
tous
les
cafés
de
Hanovre
ne
etnent
le.* grévistes, car les Lascars ne sont 1 arrivée du paquebot Devonia.
de quatre membres du Sénat
t &iïFSl*^trouvés au mê- désemplirent pas, et qu'il se fit une gi- composée
Cette femme et les deux hommes
pas admis comme immigrants.
çt de quatre membres de la Chambre •
gantesque consommation de chocolat.
LA
S,
D.
N.
montèrent dons une automobile, qui
MM. Bérenger, Chapsal, Dausset Paul
EN AUSTRALIE
**- ^«ttoh^oS? 80 ^ un triomLa cause de cette libéralité était de- Dupuy, Vincent Auriol, Lamoureux,
prit
la direction de Wlmereu. On enM. Undén, ministre des Affaires
meurée jusqu'ici inconnue. On vient Bokanowsky, de Chambran : elle Sera
Sydney, 3 septembre.
tendit la tomme dire à haute voix au
étrangères
suédois,
rapporteur
dien avoir l'explication. Le trust des accompagnée,
Les gens de mec sont toujours réso- chauffeur : • Au château Mauricien | a
S
comme
experts
de
de l 'affaire de Mossoul.
fabriques de chocolat allemandes avait MM. Simon et Moreau-Neyret
lus à continuer la grève, ils considè*fc«8
-Î!Î5I*^ DE N0IR S
A cette adresse on déclarait, hier
^ftiaL^îs mu
.
résolu de consacrer des fonds imporrent
l'offre de rèRlement des arma- soir, qu'aucune personne ne s'v était
M. Franklin-Bouillon n'a pas actants à une grande semaine de publi- cepté d'en faire partie, pour raison dpc
.
Berlin, 3 septembre.
teurs comme une insulte.
3
de
présentée
lui.di après-midi et que pern
ft
^l^^ceTdeS*
. uepuis quelque temps, de nombreux
cité. Il choisit la villo de Hanovre corn- santé.
sonne n'y étatt attendu.
USVlVent
incendies
éclataient
presrtue ebaqua
me terrain d'expérience, parce que les
Le ministre des finances a donm^
On se demande si l'automobile, en
*euT
Pleine Hanovriens, buveurs de bière invétédans les quartiers ouvriers de Berles Finances
ensuite connaissance de I 'CXDOSÔ dp*
quitont le Devonia, n'a, pas pris une jour
lin.
16
Une Poudrerie
rés, étaient rebelles à tout autre genautre direction pour gagner une ville
fcîArf6 P ^noS
^uverneur re de boisson, et au chocolat en parti- motifs du projet de budget.
Aujourd'hui, on en signale quatre
voisine ou Paris
S?
lui Wao -553, "2 discours,
LA
GREVE
DES
BANQUES
nouveaux.
a^e.
«uWl. C'est dies pa- culier.
ris - 3 septembre.
NOMBREUX
BLESSES
La
police les attribuo
tous à une
G„„*
r
^M. Durafour, ministre du travail a
teisatt
Sont nommés directeurs des succurUn commerçant avisé disait, 11 y a fait
réûexlaa
bande do criminels. Des mesures spéA
NOS
ABONNÉS
Bucarest,
3
septembre.
connaître
l'état
de
la
grève
dee
sales
de
la
Uanquo
de
France
"
KmSmr^
* un longtemps de cela : « Demain on ra- employés de banque
ciales do surveillance ont été ordonOn apprend qu'ene grave explosion
Noue rappclon» à nos Abonnés que nées.
gratis ». Les commerçants de nos
L'on se propose
d'organiser,
noua nous sera
Les ministres se réuniront en conseil , A Epinal : M. Glizc, directeur t\ Mil s'est produite à Tudesty, dans l'usine tout
^^^«^
changement
d'adresse
doit
Mm
jours
ont
trouvé
mieux.
Ils
disent
•
U
^* **fiiè*e <j5 ° nous chan- « Aujourd'hui, on boit sans bourse dé- le 15 septembre, a la veille du déoan lau ; à Millau : M. besmarest direc de fabrication de poudres. Le nombre accompagné rte 0 fr. 76 en timbre» chaque matin, des rondes par avion
au-dessus
de
Berlin.
M
de3 morts est considérable. On n'en
de^a délégation française an Amé! teur à Fougères ; à Montdé Marsarî
'
- rtvre, puisque lier », et ils y gagnent encore.
m ° nt ™t <*°s trais de réfection
Des primps ailant jusqu'à 4.000 marks
M. Loachampt contrôleur principal
a connaît pas encore exactement le chif- ™*t\,
K
4m clichés et des bandes
son) offerts à ceux qui feront arrêter
la succursale de Lyon.,
fre.
Prière de joindre l'ancienne bande.
les coupables^
«lis retiré, pour quelques
Je i°e
lin coin de campagne du
P** "Cooc <Tui
dans les
Bas L^^X, des vignobles, aux
î garrigue inondée de
P^ pr1-une
'v*** ï-fvJ contemple une jolie
u
7 o^e
soleil, û°
. en
- corne d'abondance
^ ^SiSux, ondoyants et fer-
Pinn
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lonseil des Uinisins
îe Jour
1ilt^re
U
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Dans
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
saute
res
VENDREDI 4 SEPTEMBRE 1925
Àll
ouseil
e la S. D. N.
LA QUESTION DE MOSSOUL
-,
Genève, 3 septembre.
Le Conseil s'est réuni Ce matm a
10 ii 30. en séance publique, sous' la
présidence de M. Briand, pour discuter
^importante question de la délimitation de la frontière entre l'Irak et la
.Turquie.
M. Améry, secrétaire du Colonial office, remplaçait M. Austen Chamberlain.
La délégation turque, bien que la
Turquie ne fasse pas partie de la S
- , •• était ad mis au Conseil pour les
affaires de Mossoul, à égalité de droit.
Le ministre des affaires étrangères
de Turquie prend le premier la parole ; il rappelle certaines violations
de frontière par des avions britanniques ; il déclare que, dernièrement le
gouvernement turc a été dans l'obligation d'adresser trois protestations au
Conseil de la S. D. N. ; il signale aussi
des démonstrations navales britanniques aux environs des eaux territoriales turques ; il proteste contre ce qu'il
appelle une violation du traité de Lausanne.
M. Amery, délégué britannique, répond au représentant de la Turquie II
soumet au Conseil différents rapports
du haut-commissaire britannique en
Irak, d'après lesquels il n'y aurait aucun fondement aux bruits selon lesquels l'Irak aurait tenté un coup de
main sur la ligne provisoire de la frontière tracée à Bruxelles.
M. Briand diéclare la discussioU ouverte et M. Unden, délégué de la Suède,
précise les conditions dans lequelles
les enquêteurs de la s. D N. étaient
allés à Mossoul établir leur rappeft et
suggérer au Conseil de la S. D. N.^une
solution que celui-ci avait le droit de
rechercher.
Puis, M. Amery affirme que la décision di 1 Corifceil sera la base d'une paix
durable entre les deux pays.
Le ministre britannique ajoute que le
gouvernement anglais n'accepte pas
sans réserves la proposition de la commission du maintien) du mandat britannique dans sa forme actuelle pendant vingt-cinq ans.
L'orateur ajoute que l'Angleterre serait disposée à renouveler le traité qui
lie à l'Irak jusqu'en 1926, et cela jusqu'à ce que le Conseil ait estimé que
les conditions de stabilité politique de
l'Irak ont été remplies.
Le débat sur la question de Mossoul
s'est poursuivi cette après-midi.
Le ministre des affaires étrangères
faire a exprimai la thèse turque : « La
Turquie, a-t-il dit, considère le rapport
de la commission d'enquête comme
une confirmation des revendications
turques ».
Puis, élevant la voix, I© ministre des
affaires étrangères turc continue en disant que la Turquie désire se développer pacifiquement à l'intérieur de ses
frontières •.
« Elle ne menace personne, mais en
l'état orésent des choses c'est sa propre
Sécurité qui se trouve menacée.
« L'attribution du vMayet de Mossoul
& l'Irak troublerait l'Etat turc jusque
dans ses fondements .*
T „
La
Grève
LA SITUATION
Paris, 3 septembre.
Les grévistes des établissements financiers ont tenu ce matin, au gymnase Japy, un meeting général, sous la
présidence de M. Platon.
MM. Nordey et Blanchard ont exhorte les grévistes à poursuivre leur mouvement.
A midi, les grévistes se sont séparés
en se donnant (rendez- vous pour cet
après-midi, place de l'Opéra, pour y
manifester.
D'autre part, on annonce que de nouvelles propositions seraient faites aux
grévistes ; elles concerneraient
une
Indemnité à, allouer pour le mois de
grève, et l'on croit que dans ces conditions le conflit serait rapidement terminé, car la lassitude des grévistes se
manifeste de plus, en plus»
Les
CLASSEMENT ET RÉSULTATS
TECHNIQUES
Catégorie, motos 175 centimètres cubes • 1. Mégeot
(Maret-Goyon). en
15' 13" ; 2. Meynier (Monet-Goyon),
15' 52" ; 3 de Sirres 25 39" 4/5.
Motos 350
1 Uerînont (Terrot), en
13' 07" 2. Lassaigne 135 36" 3/5.
Motos 500 : 1. Varhé (B. S. A.), en
12" 35".
(Andrews), Proudking (Corbiaux), Mermald
Motos 750 0: 1 Bessières, 15" 37' 3/5 ;
(Eédeloup). — Partants douteux : Ardhibald 2 Gabriel 15' 47" 3/5
(X.), Chadel (Sert).
Cycle-?*» 750 : 1 Rivière, 20' ; 2. Aubianac 20 37' 3/5
Pronostics
Voilures 1 100 centimètres cubes ; 1.
[mis-Sports. — Queue-de-Momie et Alan- Billiet (b N. C), en 12" U" : 2. Lorûale. — Chiffon et Ktf-Kil. — Ploumanach mand (Sénéchal), 13- 10" 2/5 ; 3. Gauet Le-Misasnthrope. — Roger-de-Flor et Sa- thier (Salmson), 13' 4<>" 3/5 ; 4 Tapie de
bayon. — Arc-en-Clel et Selva. — Ecurie Céleyran, 13' 57" 2/5 • 5 Soulet (Am)lcar\ 14' 14'- 2i5 ; 6 Délia GuisUnia
Gauquelin et Maricopa.
Le Jockey. — polyvelle et Gning -Chans. 'A'nilcari. 14' 16" 3/5 • 7. Billoin (Amil— Kif-Kif et Chiffon. — Ploumanacn et Lu- car), 15' 36" 1/5 • S 'sim°n (Amilcar),
9 Caubet, (Sénéchal),
gus. — HogeT-de-rtor et Le-Louip. — Selva 15* 36" 3.5 .
17' 23" 1/5 ; 10. Comte de Molandski
et Arc-en-CiAl, — Galycan et Maricopa,
1
(Sénêcbal-MabraeruTuo )Vaitures 1.500-1 De Maleplane (BuA MOISSAC
gaiti), 12' 47" 1/5 ; 2 Berger (Bugatti),
Voici les engagements pour les courses de 14' 10" l'5
3. Andrade
(Buarattij,
chevaux qui auront lieu a Moissac, le 0 14' 12" 1/5
4. D'Ormoy (Chérihiri),
septembre ;
14' Ï7" 1/5.
Prix du Chasselas de Moissac
(au trot
Voitures 2 litres, tourisme : 1. Goury
monté). — Ulmaire, à M. Roudel ; TJstica, à (Bi<man), 14' 2i" 3/5.
M. Ch. Fournier; Vive-Théo et Uriette, à
Voitures 2 litres course : 1 Halton
M. Gulllon; Arc, à M. H. Noilhan; Uranus, (Busatti), 12' 30'.
à M. F. Bouas; UpsUon, à M. Claverie; VauVoitures 3 litres tourisme : 1. Cavé
ville-Il A M. Paulet; Une, à Mme Grenier; {Chenard et Walker), 17' 19>" 1/5.
Arlette-VIl, à M. Roumaizeilles; rjzaio. à
Billiet pagne la Coupe de l'AutomoM. Teulé; Univers, à M. Bannel; Uvée, à bile Club' du Midi et celle du « TéléM. Meunier; Uranla-ll et Uncle-Jan, an gramme •»
haras de CouaUlou.
Vaché gagne la Coupe de l'Union MoGrand prix de la Société Hippique
de tocycliste du Midi
Moissac (au trot monté ou atteié). — QulnToute la caravane rejoint Luchon ou
sac, à M. G. Poudès; Slmone-Dancourt, à règne une animation extraordinaire.
M. Bruel; Quibus, à M. Lahet; SÎdonal, à
fji -main, la Reine des Pyrénées sera
M. A. Roudel; Tibère, à M. Sacriste Brlce; îe théâtre du Concours d'Elégance, où
Uriette, à M. Gulllon; Ténébreux, à M. G. les meilleures
des grandes marques
Gachet, Soulanges ,à M. J. Renard Man- automobiles
seront représentées., —
ceau; Orsay et Sixte-de-Bourbon, à M. H. Gabriel G1RAUDON,
PORTS
A VINCENNES
_ .
Paris, 3 septembre,
nrix de Montmerition, au trot monté.
000 francs ; distance . 2.200 mètres.
— 1. Uidos, à M. L. Molin (L Pottier);
2- Uvaldi-II, à M. A. Goubaux (M.
Adèle) ; 3. Torpille, à M. A. Bourras
^Reneaud).
Non placés : Uperna, Une-Amie.
Mutuel. — Pesage : gagnant, 83 ;
placés, Urdos, 21,50 ; Uvaldi-Il, 13.
Pelouse : gagnant, 43 : placés Urdos,
12 ; Uvaldi -II, 8.
Prix de Maria in, au trot attelé. 6.000
ftancs; distance : 2.250 mètres environ.
— 1. Argers, â M. Thiery de Cabanes
(Simonard) • 2. Arlane-V, à M. J. Janal (M. P. Fcxrcinal; ; 3. Athalie, à M.
A. Hay (C. Pentecôte).
Non placés • Anita-V, Aiglonne, Attention-ïl, Xartine, Yole, Agacia.
Mutuel. — Pesage . gagnant, 35,50 ;
placés, Argers, 14 ; Arlane-V, 13 ; Athalie, 26,50.
Pelouse : gagnant, 16 ; placés, Argers, 6,50; Arlane-V, 6.50: Athalie, 12,50.
Prix du Perreux, au trot monté, 8.000
francs, 2.800 mètres. — 1. Valseuse, à
M. A. Latouche (M. A. Forcinal) ; 2.
Verzenay, à M. L. Olry-Rœderer
(Riaud) ; 3. Voltigeur-III, a M. A. Bour- Noilhan; Ronald, à M. F. Bouas; Rosette, â
ras (Marie).
M. A. Broqué; Sablonnlère et Fredon, à M.
Non placés : Vertige, Volubilis-It.
Tombola,
à M. Sainmartin;
Mutuel. — Pesage : gagnant, 126 ; Martignoles;
à Mme Simon; Roitelet, à M.
placés : Valseuse, 16 ; Verzenay, 11.50. Ultimatum,
Artigaux; Urf-II, à M. Roumazeilles; SePelouse : gagnant, 48.50 ; placés : dan,
à M. Roulland; Uzaro, à M. Teulé;
Valseuse, 10 ; Verzenay, 6.
Saint-Laurent, à M. Rouleau; Ramoneur, à
Prix Pierre Piazen, au trot attelé. M. Humarau; Juliette, au haras du Oouail30.000 francs, 2.800 mètres. — 1. Vassal, lou; Kypls, à M. Péméja; Radjah, à M.
à M. Brière (Th. Monsieur); 2. Vin-Sec, Dupuy; Nabab et Petivlle, à M. Sourrouà M. de Chantreau (Y. Hervé) ; 3. Yol- billo; Quesnay, ara haras du CouaUlou;
nay, à M. D. Jeanne (Auvray).
Santiago, à M. A. Sourroubllle.
Non placés : Vhalis-V, Vercingétorix,
Prix do la Société d'Encouragement (hors
Vaoulette, Valentino, Vae-Victis, Vasa.
série n" 3). — Duno-II, à M. le comte J.
Mutuel. — Pesage : gagnant, 77.50 ; de Brettes-Thurin; La-M!uette, à M. G. Deplacés : Vassal, 18 ; yin-See, 12,50 ; las; Fleuron-de-Malleret et Tirabale-d'ArVolnay, 28.
gent, à M. Daniel Guestier; Ahazkor et GatPelouse : gagnant, 30 ; placés : Vas- za, à M .Maurice Pyr; Martita, à M. Léo
sal, 8 ; Vin-Sec, 6 ; Volnay, 16.50.
Roulau; Barga, à M. Ulysse Sédard.
Prix de Perpignan, au trot monté,
Prix du Commerce
Moissagais
(au trot
6.000 fr., 2.250 mètres. — 1. Aile-Dorée, monté ou attelé). — Odile, à M. Cfe. Gausseà M. L. Jariel (M. de Mazières); 2. rand; Kraketn, à M. R. Legros; Joly Jack,
America, à M. A. Latouche (M. A. For- a M. B. Tourniê; Qui-Sait, à M. Paulet;
cinal); 3. Aladin. à M. H. Blllière (Bou- Tibère, à M. Sacriste Brice; Valentine-IV,
deau).
à M. Ch. Fournier; Sisto-de-Bourbon. à M
Non placés : Amiteuse,
Alpha-Vil, H. Noilhan; Ronald, à M. F. Bouas; SirnoAstrakan,
Agar-V,
Amérique,
Ala- ne-Dancourit, à M. Bruel; Rosette, à M. A.
din (B).
Broqué; Poilu, à M. MaTtignoles; PetitMutuel : Pesage : gagnant 47, placés Cerf, à M. H. Lacoste; Qui-Viens, à M.
Aile-Dorée 16, America 13 50, Aladin Barbot; Titania, à M. Simon; Roitelet, à
18 50.
M. Artigaux;
Verneuil-IIl, à M. RoumaPelouse
gagnant 35 50, placés Aile- zeilles; Utile, à M. Cortambert; Sedan, à
Dorée 12, America 7 50, Aladin 21 50. M. Roulland; Ramoneur, à M. Humarau;
Prix de Thann, au trot attelé. 6.000 Ouite, à M. Campdenos; Kypris, à M. A.
francs; distance : 2.800 mètres environ. Péméja; Miette, au haras du Couailiou;
— 1. Une-Etoile, à M. A Butti (M. A. Petivillé, à M. A. Sourroubllle; Radjah, à
Butti) ; 2. Villageoise, à Mme Villcna M. A. Dupuy; Univers, à M. Bannel; San
ve (Hardy) ; 3. Uriel, à M. L. Bisson tiago, à SI. A. Sourroubllle.
(E. Picard).
Prix de Saint-Benoît (international, au
Non placés : Uchourron, Santiago, trot monté ou attelé). — Odilo, à M. Ch.
Sir-Dougloss, Ukahvilkes, Servez, Sé- Gausseramd; Mirbanne, à M. Forest; Vaubastopol, T.S.F., Tarasque, Redon;
villô-II, à M. G. Paulet; Ustica, à M. Ch.
Mutuel. — Pesage • eagnant, 36 ; pla- Fournier; Arc, à M. H. Nailhan; Uranus, à
cés, Une-Etoile, 29,50 ; Villageoise, M. F. Botias; Sultan, à M. Sainmartin; Qui53 50 ; Lriel, 56.
Viens, à M. Barbot; Toutou, à M. Pagnon;
Pelouse : gagnant, 18,50 ; placés, Utile, à M. Cortambert; Trouvante, à M.
Une-Etoile, 10i50 ; Villageoise, 18,50 ; Fallières; Quette, à M. Campdenos; SanFrancisco, à M. Repnôus; Tolstoï, à M. Pé
Uriel, 21.
Prix de Fontonay-le-Comte, au trot méja; Unée, à M. Meunier; Uncle-.Tan, au
haras
du Couailiou; Venise- II et Joliette, à
attelé, 10.000 francs, 2.800 mètres. — 1.
Templier,
à M. G. Bourgeois
(M. M. A, Sourroubille; Quadla, à M. G. JoliKoch) ; 2. Upermost, à M. A. Gypteau bert.
(H. Picard) ; 3. Tentateur, à M. L.
Prix de la Garonne (steeple-chase militaire 3* série). — Black-Powder, à M. Ca
Bourgeois (E. Marie).
ipelle;
Fantare-II, à M. Chiron; Olga, à M.
Non placés : Tarte, Usagé, Tolède,
Toute-Bonne, Tire-Feu, Galilée, Uvautr- Rivière; Syrius, à M. Vordy; Silésien, à
M. Peyretgne; Aragonne, à M. Valmary;
sii-V, Ulysse-V, Tapageur, Tribun.
MutueL —
Pesage : gagnant, 62 ; La-Marotte, à M. Cîia-pdemiel ; , Cassive
placés : Templier. 30 ; Upermost, 71.50; M. Souibies; Lido, à M. Giauthié; Miss-Clara, à M. BTetihès; Sûreté, à, M. Siron; AmiX
Tentateur, 24.
Pelouse : gagnant, 24 ; placés : Tem- Proseripiae, à M. Sassy^
plier, 1150 ; Upermost, 39 ; Tentateur,
13.50.
LE SERVICE CASABLANCA- DAKAR
Paris, 3 septembre.
Le service de la ligne aérienne Casablanca-Dakar fonctionnera de la façon
suivante à parlir du 5 septembre :
1° De Casablanca pour Dakar, les
samedis matin de chaque semaine en
correspondance avec Pavion quittant
Toulouse le vendredi matin -,
2° De Dakar, le mercredi matin de
chaque semaine.
En conséquence, il convient dorénavant de poster à Paris le courrier
aérien à destination de Dakar et de
l'Afrique occidentale française le jeudi
de chaque semaine, avant midi. Le
courrier ainsi déposé dans le bureau
de poste parviendra à Dakar le dimanche dans la journée. Ce nouvel horaire a l'avantage d'assurer, tant à
l'aller qu'au retour, la correspondance
avec l'express Dakar-Bamako et permet ainsi d'acheminer en cinq ou six
jours la correspondance entre la France et le Soudan.
LE CONCOURS DES HYDRAVIONS
DE TRANSPORT
Saint-Raphael, 3 septembre.
La 3e journée de l'épreuve de classement du concours dmydravions s'est
déroulée par un beau temps. Le départ
a été donné à 7 heures du matin aux
cinq hydravions étant qualifiés en vue
d'effectuer leur troisième parcours.
Voici les heures de passage aux contrôles et de rentrée à Saint-Raphael :
Laporte vire au phare de la Garoupe
à 7 h. 11; arrivé à Ajaccio à 8 h. 33' 30";
repart à 8 h. 35' 15" ; retour à SamtRaphaël à 10 b, 3' 3/5. Temps total :
3 h. 3' 3/5.
Darque vire au phare de la Garoupe
à 7 h. 12 ; arrive à Ajaccio à 8 h. fr
5" ; repart à 8 h. 38' ; de retour à StRaphael à 10 h. 4' 41". Temps total :
3 h. 4' 41".
Hurol vire au phare de la Garoupe
à 8 h. 13 ; arrive à Ajaccio à 8 h. 37'
55" ; repart à 8 h. 40' 15" ; de retour a
VELODROME DU PARO DES SPORTS Saint-Raphael à 10 h. 6' 39". Temps total : 3 h. 6' 39" 1/5.
DE BORDEAUX-LESCU RE
Paumier vire au phare de la GarouLe Prix des Espoir3 tst gagné par Altari
La réunion du vélodrome dm Parc des pe à 7 h. 11 ; arrive à Ajaccio à 8 h.
33'
30" ; repart à 8 h. 57 ; de retour a
Sports, diinanche, tut honorée d'une très
nombreuse assistance. Il est vrai que l'ac- Saint-Raphael à 10 h. 7' 46" 2/5. Temps
tive direction avait composé un vrai régal total : 3 h. 7' 46" 2/5.
Priol vire au phare de la Garoupe à
sportif en faisant disputer une course de
demi-fond, en trois manches, réservée à 7 h. 10 ; arrive à Ajacoio à 8 h. 31' 12";
répare
sa tuyauterie d'essence et repart
J003 jeunes « espoirs ».
Ce luit le Marseillais Altari qui s'adjugea â 9 h. 28" ; de retour à Saint-Raphael
Temps total : 3 fi. 54'
la victoire. .Nos couleurs locales étaient dé- à 10 h. 54' 41".
tendues par notre nouvel « espoir » Pi- 41" 1/5,
LE CLASSEMENT
nault. Ce jeune stayer essaya de toute sa
volonté à tenir tête à Altari. Mais il dut
A la suite de la troisième journée de
s'incliner devant la valeur du Marseillais. l'épreuve de classement, les concurrents
Hâtons-nous d'ajouter que Pinault exécu- obtiennent le nombre de points suitait sa « deuxième » course dans le demi- vant :
Laporte, 2731 points ; Hurel,
lomcl; il lui laut encore un entraînement 2426 points ; Darque, 2061 ; Paumier,
complet pour pouvoir prétendre à la pre- 2017 ; Priol, 1311.
mière place s Néanmoins, a mérite de sinLe classement moyen après les trois
cères lélicitatians pour son valeureux cou- premières
journées s'établit comme
suit :
rage.
Dans les auitres parties do programme —
1. Laporte, 2968 p.; 2. Hurel, 2396 p.;
que nous avons trouvé très copieux — l'é- (majoration
comprise); 3. Paumier,
limination revint à Dubarry et la course 2120 points.
individueUe tut pour F^ Damerca. l'occa-
sion d'une superbe victoire.
Voici les résultats détaillés :
Course par Élimination. — Un par tour,
11 partants). — 1. Duisaxry; S. Gsatey;
Laaidureau; 4. Castéra.
Prix des Espoirs. — Demi-fond derrière
grosses motos. — Classement d'après
les
distances (parcourues dans les trois manches.
ire manche (15 ka.). — 1. Altari; 2. Passerieu (9 k. 580); 3. Pinault (9 k. 480); 4. Maeder (9 k.); 5. Cantou (3 k. 500); 6. Dumercq
(8 k. 300). Temps, S* 29".
Sitôt le Répart donné, Altari prend la
tête et s'adjuge un demi-tour d'avance sur
ses cinq concurrents. Pinault répond au démarrage de Dumereq et de Cantou et passe
Macder et Passerieu. Trois tours avant la
lia, Passerieu prend la seconde place,- cependant que Altari réussit à doubler ses adversaires.
2- manche (20 kfl .1. — i.
Altari, en
17'30" 4/5; 3. Passerieu (19 k. 900); 3. Pinault
(19 k. 300); 4. Cantou (18 k. 600); 5. Maeder;
6. F. Dumereq.
Un peu de sur place au départ, Maeder
est en tête. Vers le huitième tour, Altari,
qui était en cinquième position, remonte
tout le lot et prend le commandement. Au
dixième tour, il double Maeder. Tout reste
sans changement jusqu'au vingt-neuvième
tour où Passerieu attaque Altari, ce dernier ne peut être rejoint. Pinault est doublé au trente-eïnquième tour. Cantou décollé et ne peut rattraper son retard. Passerieu attaque
Pinault
et lui
ravit la
deuxième place. Enfin Altari termine très
bien cette seconde manche.
Quatrième journée
3" manche (30 11.). — 1. Altari, «n 28" 12*',
COURSE DE COTE DE PEYRE80URDE record
de Linart en 26' 17" 3/3 battu-, 2.
à Bagnères-de-Luchon
Passerieu (29 k. 50); 3. Pinault (28 k. 800);
5. Dumereq (95 k. 800); 5. Maeder (S6 k, 500);
Bagnères-de-Luchon, 3 septembre.
Cantou (26 k. 200).
La ville, toujours coquette, a pansé 6. Dès
le début, on volt qu 'Altari veut lâses blessures et pavoise pour honorer cher les
adversaires et y réussit dès le
ses hôtes sportifs, touristes et bai- troisième tour. Passerieu et Pinault suigneurs.
vent de près; les auitres faiblissent. Dès
Le comité d'organisation avec M. le lors, cette manche devient moins intéresdocteur Cazals-Gamelsy, s'active ; de sante, car Pinault est doublé au dixième
nombreuses voitures sillonnent la rou- tour par Altari et Passerieu l 'est aussi au
te thermale n° 1, parmi lesquelles celle
tour.
de M. le marquis de Palaminy, prési- %uarante-huitième
Classement général. — 1. Altari (60 k.);
dent de l'A.C.M. Mais bientôt le par- 2. Passerieu (58 k. 470); 3. Pinault (57 k. 580);
cours sera fermé aux suiveurs et nous 4. Maeder (53 k. 900); 5. Cantou (53 k. 400);
nous hâtons à bord de la « Sigma », 6. Dumereq (52 k. 900).
9 CV., du complaisant M. Lasserxe, de
Course individuelle (30 M.?. — Course
Bellegardo.
en ligne en deux manclies de 15 kU., classement tous les 5 kilomètres :
Le trajet de l'épreuve
ire manche. — 1. Duibarry (9 pointe); 3.
Nous entamons le ruban de 13 k. 810 F. Dumereq (6 points); 3. Lanusse (3 points).
An coup de pistolet, Dumereq et Dubarry
qui sort de Luchon et franchit sur
quatre ponts de pierre l'One, puis la s'échappent, laissant les autres taire du sur
N'este d'Oueil. Officiels et gendarmes place. Lanusse tente le démarrage, les auassurent soigneusement la sécurité du tres répondent, mais ne peuvent rejoindre
parcours. La pente est déjà de 0,10 par les deux hommes de tete.
2' manche. — 1. F. Dumereq (6 points)
mètre.
Voici, dans le paysage jaune et vert 2. Verdeun (6 points); 3. Lanusse (6 points).
Au départ, Verdeum démarre et semble
émaillé de villages aux toits bleus,
l'usine de Saurouilh détruite par la vouloir conserver sa vitesse jusqu'à Tarai
dernière crue, Saint-Aventin aux mai- vée. Son effort est vite fini et c'est au sprint
sons couvertes de chaume et d'ardoise. que cette manche se termine brillamLes pics sont enveloppés de brume et ment pour F. Dumereq.
Classement général. — 1. F. Dumereq (12
l'on distingue mal les glaciers d'Oo.
En montant, nous trouvons un peu de points); 2. Dubarry (9 points); 3. Lanusse
i8
soleil. Voici Cazaux-Larboust avec sa # points); 4. Verdeuii (7 points); 5. Lamalcciieuse église aux fresques de primi- son et Bordes (5 points). — G. PTJCHEU.
W PONT L'ÉVÊQUE
Pont-l'Evêque, 3 septembre.
Prix des Hortensias, course de haies,
6.000 fr., 3.100 mètres. — 1. Dada, à M.
Ad. Hoffman (P Rdolfo); 2. Tukase, à
M. André Boas (R. Caron); 3. Antar, à
M. François Grumetz (V. Sponer).
Non placés : La Pocharde (A. Benson),
Sorrau (E. Salmon),
Martin
(G. Fouchet).
Huit longaeurs. Deux longueurs.
Mutuel : gagnant 12 50, placés Dada
LES RENTRÉES
7, Tukase S.
Prix du Golf, course de haies, 7.500
Ce matin, les grévistes du Crédit Industriel ont repris le travail, mais, 14 francs, 2.500 mètres environ. — 1. Radrévocations ayant été prononcées, une ziville, à M. Louis Prate (R. Caron); 2.
délégation, ayant à sa tête M. Tuai, Mihrab, à M. James Hennessy (T. Ros'est rendue au ministère du travail binson); 3. Consuelo, à M. Lu Olrypour mettre M. Duiaiour au courant Rœderer (R. Petit).
Trois longueurs. Deux longueurs.
de ces faits .
Mutuel : gagnant 19.
A la Société Générale, la direction a
Military du Calvados, steeple-chase
demandé aux employés qui voulaient
militaire,
8.750 fr., 4.000 mètres envirentrer la signature dune feuille de
ron.
— 1. Maroc-X, à M. de la Morimèréintégration.
2. Eglantine-XVIII, à
Bons la matinée, quelques îacades re (M. Dorre):
d'établissements financiers fsut été en- M. G. de Vandière (M. G. de Vandière);
3. Arlette-LX, à M. Martm M. Courret);
core maculés d'encre.
Les grévistes déclarent d'anUaurs k Popaul, à M. Parent (M. Maublet).
qu'ils entendent rester toujours sur te 'Non placé : Railleur (M. Riou).
Dix ' longueurs. Une encolure.
terrain corporatif et de résister à tontes
Mutuel : gagnant 7 50, placés Males interventions d'ordre politique, de
roc-X 7 50, Eglantine-XVIII 11.
quelques, côtés qu'elles viennent.
Grande Course de Haies de D eauville, 30.000 fr., 3.500 mètres environ.
DES INCIDENTS
— 1 Golden-Fan, au vicomte Foy
' Quelques incidents violents se son* (R Vayer); 2. Holbach, à M. Jean Saproduits au cours de la matinée, dans muel (3 Biarotte); 3. Sereska, à M. Andeux asrences du Crédit Lyonnais, si- dré Boas
(R. Caron); 4. Livia, au
tués, l'une au coin de la rue Oberkampf comte de Périgny (L. Delfargueil).
et du boulevard Voltaire, et l'autre au
Une tête. Demi-longueur.
coin de la nie Richard-Lenoir et du
Mutuel : gagnant 17 50, placés Golmême boulevard Des glaces de l'entrée den-Fan 9 50, Holbeach 12 50.
ont été cassées et les façades ont été
Grand steeple-chase, cross-country
maculées avec de l'encre et des tomates. de Deauville. 12 000 ftancs ; distance :
Un gréviste a été blessé à la cheville. 4.500 mètres environ. — 1. Ballade-II,
Les asrents cet débarrassé rapidement a, M. Henri La Montagne (M. Roles abords de cas succursales. Des ar- dhain) ; 2. Mistigri, à M. le baron de
restations ont été opérées.
Casteljaloux (M. de Casteljaloux) ;
\ 14 heures de nombreux manifesGer darmer, à M. Louis Fabre (M. de
tants se sont massés rue Scribe, devant 3Saint-Mirel);
4. Santée-V, à M. M. Tila Banqu'î Nationale de Crédit, p"ur beigien (Andrews).
empêcher des employés non grévistes
Non placés : Tennysec (I. Smdic),
de se rendre à leur travail. Des pierres Tulipe-VII (M. Aublet), Ulysse-VIIl (R.
ont été lancées contre les vitres de l'im- Esther), Verdun-XIV, (E. Juge), Espémeuble de la Banque «pli CQ* été bri- rance-X (A. Feger).
sées.
Deux langueurs, une longueur et
La police est intervenue rapidement,
demie.
feinsi que la garde répvihlicaine.
MutueL — Gagnant, 15 ; placés, BalLes gardiens de la paix ont établi des
13 ; GendarSbarrayes. Les grévistes ont tenté plu- lade-II, 7,50 ; Mistigri,
7.
sieurs fois de revenir devant la Banque. mer,
Prix de la Société des Steeple-chasos
•Des arr.-stations ont été opérées.
Des grévistes et des agent» on* ïte de France, steeple-chase, handicap. —
10.000 francs ; distance : 3.400 mètres
comueionnés.
Parmi les grévistes airrêtés place de environ. — 1. Cicérone, à M. R. Gui^
(J.-B. Lassus) : 2. Mon-Loisir-II, à
l'Opéra se trouvait M Nordez, l'un des tet
M. Ad. Hoffman (B Riolfo) ; 3. Etou'dirigeants du mouvement.
pe, à M. André (E. Salmon).
Devant le Crédit Lyonnais la mamnfe:
Deux longueurs, six longueurs.
tation a avorté ; ! établies emont était
Mutuel. — Gagnant, 12,
gardé par un fort cordon de gardes républicains
Les grévistes se sont ensuite disperA FONTAINEBLEAU
sés aprèr, s'être donné rende&yewe. au
Paris, 3 septembre.
(manège. Japy.
a
u MU Seras è iwâBi
tifs, la Moraine et le village de Garin.
Nous franchissons le ruisseau de Portet-de-Luchon. La montagne devient
de moins en moins boisée et les lacets
de la route se resserrent autour d'elle jusqu'au Port, où elle quitte le départemer* de la Haute-Garonne.
La Température [Les
DU 3 SEPTEMBRE 192S
La pression atmosphérique est toujours au-dessus de la normale dans
nos régions. Le ciel est très nuageux
et le vent faible ou modéré du NordOuest. La température baisse encore.
On note : 14 et 17 au Puy : 17 et 29 à
Bordeaux, 21 et 22 à Perpignan, 18 et
32 à Montpellier, 17 et 30 à Nîmes.
Pression barométrique à midi : 764.
Température à midi : 22.
Température minima : 13.
Température maxima : 23.
Vent à midi : Ouest, faible.
Soleil : levers, 5 h. 19 ; coucher,
18 h. 21.
Lune : Premier quartier le 10.
Probabilités : temps nuageux, un peu
frais ; vent Nord-Ouest.
STATION RÉGIONALE
DE MÉTÉOROLOGIE ACtlIOOLE
DE MONTPELLIER
A Montpellier (station de Bel-Air),
3 septembre.
Température maximum de la journée
d'hier à 2 mètres sous abri : 32°.
Température minimum de la nuit
dernière à 2 m. sous abri : 16° 7.
Pression atmosphérique à 13 heures :
760,4.
Etat du ciel : peu nuageux.
Direction du vent ; Nord-Ouest.
Vitesse du vent :6 4 8 m,, modéré.
Pas de pluie.
Température minimum de la nuit
dernière à 0 m. 40 à l'air libre sans
abri ; 15° 5.
Au Mont-Aigoual.
Maximum de la veille : 18°,
Minimum de la. veille : 6°.
Brouillard à 7 heures.
Prévisions : Ciel nuageux ; vent des
régions Nord-Ouest ; vent fort.
Escole
Gaston
à
Lourdes
C e soni les pèlerins, du Berr,
avaient
lient les honneurs de ]> i? 1 lui
mardi. Monseigneur Izaxn no r ,^raé
«'
SaJnt-Sacrcment et bénissait le» 11 ]«
des. escorté par les cinq ou siv ialaWêques en ce moment à Lourdes
Mercredi, u. 14 heures, les pSienn.
8
Poitiers se sont réunis à l'épie
roissiale. Ils se sont ensuite rer,Jr raprocession a la Grotte. S G ïï «1
Durîort de Civrac de Lorge ëviW 1
Poitiers, présidait. Sur tout le r,aâ? e
les pèlerins des diocèses, en ce m^° Urs .
à Lourdes formaient une tripi» h-n 1*
Parmi ces derniers, nous avoT>c '
marqué beaucoup de Belges ainS rede très nombreux Italiens arri\4«?
a
lves
la matinée.
"
dan»
Horrible Drame
de la Folie
UN POU TUE DEUX ENFANTS
ET BLESSE DEUX PERSONNES
Aibi, 3 septembre
Aujourd'hui,
11 heures, Garnie An.
dre, 26 ans, donnant deotiis D IUSÎP,,
semaines des signes d'aliénation
,K!
des coups de fusil de la fenêtre^ £°
habitation, nlace des Cordelier« »
des enfante qui jouaient. Il a tuié'
the Carayon. 7 ans, et Fernand RÎsri,?!"
11 ans ; puis, sorti dehors, a tir* A!
nombreux coupe ; a blessé Mme l/n^1
Chabbal, bouchère et Mme Géra^i
Les agents Maffre, Mournes
Raoul et l'insnecteur de police' 'praïw
survenus, ont tiré sur Gantlé des conSj'
de revolver et de fusil et l'ont abattu.
Ecoles secondaires
a) Traduction de Virgile. — Ont pri6
ipart au concours des élèves des Collèges de Nay, Bêtharram, Moncade. Elèves de lre et de 2° :
1« prix : Vincent Peyras, de Nay.
2" Prix : R. Paralieu, de Moncade ;
Trois, de Bêtharram ; Pouts, de Nay ;
L Soubiès. de Nay.
Mentions honorables ; Larrouturou,
PROGRAMME DO 4 SEPTEMBRE
J.-B. Cabane ; Lanot, de Nay ; Camy,
de Bêtharram ; Sanchette, de MonF. L. : 2.6S0 mètres
cade ; Lacourrèje et Forsans, de BêÀ 1S heures, concert ; Cavatine du Sor- tharram ; Laherrère, de Moncade.
bier de Séville, de Rosstni; Mimo récitatif;
Mention : Beigbeder, de Nay.
lamento, de Kené Devaux; Quo vadis, air
Elèves de 3°, ont pris part au cond'Hamtoa; Mimo récitatif; Extase, de René cours des élèves des Collèges de GaraiDevaux; Polonaise
en ré
bémol (piano);
son et de Nav :
Chanson de juillet, de Godard.
l»r Prix : Betbèse, de Garaison.
2« Prix : Lavignolle, de Nay.
RADIO-PARIS : 1.750 mètres
Mentions : Lambe-Casalé, V. Larqué,
A 12 heures 30, concert : Lame de Tolède
(marche), de Chillemont; 2. L'Etoile polaire. Bernard. Somlhève, Carreté, Labat de
valse, de Valdteulel; 3. Prélude et Allegro Nay.
b) « Lou Péte-porc ». -* Ont pris
(violon), de Pugnanl Kreisler; *. Intermezzo, de R. Bâton; 5. Ténus et Adonis, de A. part au concours des élèves des Collèges
de Nay. Polignan. Moncade et SaGeorges; 6. Broken melody (violonceUe), de
Biené; 7. Karama Vivian, de Grey; 8. Sam- matan :
Elèves de 1"> et de 2". — Prix ï Jean
son et DalUa (trio), de Saint-Saëns-Alder; 9.
Sprtng, de Desmourlins; 10. Cavatine (solo Lanot, de Nay.
Mentions honorables : Florence, peyde violon), de Raff; il. BSve de Phryné,
de G. Delay; 12. Pavane, de Scassola; 13. ras, de Nay.
Elèves de 3a. — 1* Pris : Lavignolle,
Chanson (violoncelle), de Bussesr.
A 20 heures 45, concert : 1. a) Gaillard, de Nay.
2» prix : Ricaude, de Polignan ; Lade Chambonières; b) L'Egyptienne, de Hameau ; c) Andante et Rondeau, de Mozart; coste, de Moncade.
Mentions honorables : Couret, de Poa) la petite Maison grise, de Lahor; b)
Ay Ah Ay, en espagnol, de Perez frères; c) lignan ; Blanc, de Moncade ; Larqué,
La Truite, de Schubert; d) Plaisir d'Amour. de Nay ; Laîourcade, de Moncade.
Elèves de 6°. — Prix : Marcel Périssé,
de Martini; 3. a) Fantaisie, de Stuck Schuman; b) Menuet, de Ravel; c) Danseuse de de Polignan.
Mentions honorables : Mlle B. CarDelphes, de Debussy; d) Etude, de Listz;
a) Printemps nouveau, de R. Vidal; b) des, de samatan.
Le Colibri, de E. Chausson; c) Chanson d'àc) « Ue cousine de paysa ». — Ont
movr, de G. Seltz; d) Chanson norvégienne, pris part au concours des élèves des
Collèges de Nay, Moncade, Polignan et
de F. Fourdrain.
Samatan
Elèves de 1« et 2». —• 1 er Prix : LarECOLE SUPERIEURE DES P. T. T. routurou, de Nay.
•
450 mètres
2° Prix
Laulhè. de Moncade, et
Peyras, de Nay.
A 21 heures : Radio-Jazz.
Mentions honorables : Cabane, Lanot,
Florence de Nay ; Fortassy, Baloche,
RADIO-TOULOUSE
Hourcarié de Moncade.
longueur d'onde : 274 m.— Puissance : 2 feu»
Mentions : Mirassou, Capera de Nay.
Elèves de 3». — 1« Prix : Lavignolle,
PROGRAMME DO 4 SEPTEMBRE
12 heures 30 : One demi-heure de musique de Nay.
2» Prix : Rlcaud et Couret de Polivariée : Floréal, ouverture (Rodel); Vision
radieuse (R Boishot); Allegro molto, 3* so gnan, Bernard de Nay.
Mentions honorables : Cazet, Carreté,
nate, piano et violon (Mozart); Sous la Glycine (F. Nobody); Menuet du Cygne (A. Ar- Gastu.
Mention : Somlhève, de Nay.
naud).
Elèves de 6°. — Prix : Périsse, de PO13 heures ': Annonce de l'heure; météorologie; changes de Paris et marchés réglo ligtnian.
d) Poésie. — Sujet libre : Prix : Lanaux; informations de la matinée; spectavignolle, de Nay.
cles.
Sujet imposé : « L'arriu ».
13 heures 15 : Concert par l'orchestre RaProse. — Mentions honorables : Ladio-Toulouse, sous la direction de M. Massio : Regret, pour orgue E Benda); le Sillet vignolle et Lanusse-Casalé, de Nay ;
de Rosine (R. Bolschot); Valse espagnole Canton, Pedelaborde, de Bêtharram.
e) Tableau des conjugaisons. —
[R. Pompilio); En Sourdine, solo de cello
(Tellan); A Naples (Cristofaro) ; le Trésor Prix : Ricaud, Couret, Perissé, de Pcperdu, fantaisie (Weiller-Mouton);
Marciu: \ lignpitt,
Les C>'and3 Prix dé Bordeaux (vitesse)
C'est dimanche 6 seotembre que le
Parc des Sports de BordeauX-Lescure
donnera une des plus beiles réunions
de sprint de fa saison, avec les Grands
Prix (le Cordeaux en vitesse.
Cette épreuve prendra, citte année,
une grandie importance par suite de la
participation assurée des principaux
conipétitPiu 'TS qui prirent part, il y a
quelques jours, aû championnant du
monde, à Amsterdam. On peut donc
être assuré d'une forte de revanche
pour ainsi dire entre Kaufmann, Schdles. Mirhar.1, Degrae'/e, Leené ; les
deux finahst-e surtout, Kaufmann et
Schilles, tiendront à prouver que! tst le
meilleur des deux,
car on sait qu'à
Amsterdam, une sorte d'irrégularité
\nis3 au compte de Kaufmann, aurait
empêché Schilles de donner son effort
maximum. L 'oocïisksn <-'era bonne dimanche, à Bordeaux .pour régler cette
question de suprématie entre les d?ux
hommes et surtout pour Schilles de se
réhabiliVr de sa défaite. Pour les autres, rocc3 ?ion est aussi profitable, car
nous verrons Michard et Poulain, ce
dernier n'ayant pu prendre part au
championnat du monde. Par contre,
Mcer-kops sera absent
C'est d'-nc un vrai régal sportif que
nnus offre l'intelligente oirection du
Parc dies Sports, et nous espérons que
le public lui en oauca gré. — G.
PUCHEU.,
sous bois (O. Cambon).
17 heures 45 : Bulletin de la Confêdéra
tion agricole du Sud-Ouest; Bourse de commerce de Paris; changes; informations.
20 heures 30 ; Variation des changes.
20 heures 45, concert : Buberte (F. Andrieu); Bourrée, solo de hautbois (A. Barthe); FSte Sorrentine (R.-J. Roy); Pastorale,
pour orgue (Benda).
21 beures 15 : Atix agriculteurs : le temps
de demain. Causerie artistique, par M. Phallppou, rédacteur en chef de Toulouse-Spectacles.
.
21 heures 25 : Miusique de danse : ta Cité
des Roses (H. de Bozzl); ia FrOleuse (Luc
Remi); Cayita (Ferreté-Smet); Faut qu'ça
gaze (Schuyer). M. Hersonn, chanteur fantaisiste, dans son répertoire.
22 heures 15 i Fin de l'émission.
1
^r
S»S"
Fébus
PALMARÈS DES *EUX FLORAUX
Ecoles primaires
Ont pris part au concours les Ecoles
communaies ou libres de Samatan
(Gers), Doazon, Aubous, Portet, Tadousse-Ussau (Basses-Pyrénées) :
a) Elèves au-dessus de 12 ans. —
Prix : Marcel Brousset.
Mentions G. Carde, R. Sajas, G. Seignau, A. Gendre, du pensionnat agricole de Samatan.
b) Elèves âgés de moins de 12 ans. —
Prix : E. Guillamet et Emma Toulouse,
de Doazon.
Mentions : E. Larrazet, J. Dupouy,
Lucie Bouillet, A. Marguerite, Alice
Biarnése, M. Dupuch.
es Auditions parlS.
Pèlerinages
Nouvelles Express
pu 3 septembre',
M. Trèndelenlurg, chef aV ia iit
légation allemande, sera à. Paris le 15
septembre prochain. Il viendra mettre
au point les prochains pourparlers
commerciaux franco-allemands, ta dé.
léyation allemande au complet revien*
dra ensuite à Paris.
Hier, a l'aérodrome de Croydon
un aéroplane allemand est arrivé avec
9 630.000 livres sterling de bons allemands. Ces bons ont été transférés ù,
la 'Banque d'Angleterre sous bonne escorte,
»—> Le Congrès Portugais va Urè_
convoqué en vue d'autoriser le chef de
l'Etat à se rendre à Vichy.
Bâton
Cadran
pour la
Bulletin
Paris, 3 septembre.
Le marché, très ferme au début,
6 'alourdit en cours de séance sur de*
dégagements de positions provoqués
par la situation de place un peu enan»
gée.
Banques soutenues • Banque de Paris, 1.290 ; l'Union Parisienne, 855 ; la
Banque Ottomane, 938 ; le Crédit Foncier Egyptien, 3.395.
Le Suez -se tasse un peu à 11.500.
• Au groupe des cuprifères, le Rio accentue son recul à 4.403, ainsi que Ie
Boléo à 421 ; la Tharsis à 402 et la
Tainganyika à 266.
Valeurs industrielles russes P 1^3
lourdes ; Bakou, 2.355 ; Liamosoff, 5oO;
Platine. 800
»,
Aux pétrolifères, on remarque la fermeté de l'Eigle aux environs de 104 ;
Royal, 32.750 ; Shell, 450 ; Wyommg*
391 ; Colombia, 339.
Parmi les diamantifères, la de Béer»
se tasse à 1.380, la jagersfontein a
Mines d'or résistantes : Rand-Min^>
331.50 ; la Goldiflelds est plus lourde a
137
Aux territoriales, la Chartered «
tasse à 157, la Mozambique
Transvnal se replie d'une vingw"
de points à 465.
Caoutchoutières réalisées : F inj*X
cière,
265 ;' Padang, &13 ; Terre*
Rouges, 622.
wiase
Parmi les valeurs de sucre, b*1»
des Sucreries d'Egycte à 1.120 sur 1»
importante liquidation ; Say,
ferme également, à 1.919.
Société d'Etudes et information*
Financière».
8
70. rue Vivienne. Paris O '-
DESSIN
Concours des Ëeoies
l«r Prix : Rappel de médaille d'argent : Mlle Maraval, de Bordeaux.
Médaille d'argent : Mlle Gatrenne
BOURSE DE TOULOUSE
Pezat. du Lycée de jeunes filles de
Bordeaux.
2« Prix, médailles de bronze : Odette
DU 3 W *ff%t.
Duîau ; M. Chastenet, O. Delprat, Lea
Valeurs locales. — Actions. — soc! ï'jfn 9».
Duceos, S. Lapouge de Bordeaux.
ridlonale Transport de Force, ex-c»115*», «c
Menticns honorables - C. Ducos, S. 560; Mines de Carmaux, es-coupons
Pucheu, Y. Saunier. S. Rarthc, H. Dn- fil, act. de Jouis ex. dr., 1,200; ^HS^HE*
fau. D. Labadie, M. Jeanne Nano, G. M, ex-coupon as. 510; Société
ni:
Durrat, Lamothe, Belcaldi.
d'Energie Electrique,
ex-coopon
Sl^ouMentions : V Beîlouard. S. Dumou- Parts, ex-coupon 1, 3,000; Société 1 53,
lin, M. Haon, M. Barthélémy, M. Ba- saine du Bazacle, série B, es-couîw j()5;
zin, L. Baladieu, O. Colv.
315; Etabllsseentâ Lapon», ex-coupos\m ^
Etablissements Manuel, ex-coupon M '^or
Cenccurs d'amateurs
Jouissance Verreries d« Carmaux,
Prix. — Médaille de bronze : Léo La-- pon 83, 1,500.
garrigue, à Tarbés.
. R a„ rs*
La Course
Les voitures forment le parc dans
une prairie sous le contrôle du sportif
M. Audoui, directeur des Variétés, et
chacun cherche un rocher commode
STATION RADIOTELEPHONIQUE
d'où guetter les concurrents. Le symDES P T. T. DE TOULOUSE
pathique M. de Gorsse fils assure le
Longueur d'onde 315 mètres
contrôle du passage. Les contrôleurs,
Obligations. — Société l'Epargne ts ,0 ^
MM. Tapie d9 Céleyran et Vié, présiPROGRAMME DU 4 SEPTEMBRE
305; Société Méridionale Transport <w
PRIX D'ACTION FÉLIBRÉENNE
dent et secrétaire de l'U. M. M., vont as20 heures 45 : Informations de la dernière
Ce prix, qui est décerné au félibre — ce, Bons 6 1/2 % 1921, 456; Magasins
surer le départ. Les chronométreurs
heure.
écrivain,
peintre, sculpteur ou musi- raux de Toulouse 4 1/2 %, 300.
Bazin et Foureau sont à leur poste.
21 heures : La Semaine Cinématographicien —- qui, à son œuvre, a le mieux
Sur les rampes de Peyresourde, les
que (Informations et échos), par M. Emile
servi la pensée félibréemie, est décerspectateurs sont de plus en plus nomCastagné, rédacteur au Journal l'Express du né au sculpteur-statuaire Ernest Gabreux et les spectatrices s'impatienMidi.
bard, de Pau.
tent.
1. Les petits Marmitons (Popy), pour piaDemain, couirees à Fontainebleau. ParEnfin, voici Gabriel, sur « Kœhler
no et violon, par Mue Déléry. lauréate du
MUSIQUE
EN PROVINCE
Escffler ., de 500 eme, puis Bessières
Conservatoire, et M. Robert Baqulé. (Piano
tante et montes probables :
Chœur imposé : « Cèu de Pau t.
de la maison Martin.)
prix dm ConseU Municipal. — Alan-A-Dale et Clermont qui attaquent la dernière
Nantes 3 septembre.
2. Uérodiade (Massenet), air de Jean, par :Prix Gaston Mirât de 200 francs), M.
' Ce matin ,les grévistes qui s'étalent (Jennings), Ching-Chang (Brethés), Queue-de- rampe avant l'arrivée.
M. Sambussy, ténor, élève de Mme Nannan. Adrien Frontère, de Pau.
De notre observatoire, les motos
massés devant le Comptoir d'Escompte, Morue (Bsltag). Tireuse-de- Cartes ;HoM>s),
Mention honorablo • M. Eugène Bru3. Les Noces de Figaro (Mozart), air de
>à l'heure de la réouverture des bureaux, Le-Triboulet (Sautoux), Rosy* (X.). Helga (G. semblent des joujoux minuscules sur
Chérubin, par Mlle Jane Barbe, chanteuse mont, directeur de l'Harmonie de Vielles zig-zags du parcours. Voici des
ioiit -afs&illi eurs camarade» non gré- Thomas), Nlno&-U IM. AUemand). Pair voitures,
la (Gers).
la
«
Chenard-et-Walcker
•
du
légère, élève de MUe Barsac
vistes à. coups de tomates
velle (Rabbe).
Les prix consistant en médailles et
4. Monologues, par M. Laurens, ier rôle
Prix de Sanguinède. — Andemos (Kaiser , Luchonnais Cave et la « Bignan » du
T>os renforts de police furent aussitôt
livres béarnais ont été généreusement
du théâtre des Arts de Rouen.
appelés ; mais quand ceux-ci arrivèrent, Kiî Eïl (M. Brethès), ObiXton (H. Pantal). Parisien Goury. Peu après passent enofferts
par MM. Barthou et Catalogne,
5. Les Mousquetaires au Couvent (Varney),
semble les « Amilcar » de Lormand,
les grévistes Matent partis, continuant Amen-II (Miaginot).
.
(romance de la Lettre), par O. Sambussy, sénateurs-, Léon Bérard, Champetier de
Prix du Tremblay. — ploumanacn (X.). Soulet, Biiloin.
îeur promenade mouvementée.
Ribes et Lamazou-Betbeder, députés, à
ténor.
Le départ leur -avait été donné par
Sang-Bleu (Esllag), Le-Mls^ntî«rope (M. Bree. Monologues, par Mme I^oa-BccabelUe, qui l'Escole adresse ses remerciements
thès), La-Poupée
(Sautour),
Chary-Braïuiy MM. Dupont et Peyrousset. Tous gabien
sincères.
du théâtre du Gymnase de Marseille.
Partanl gnent sans encombre le sommet du col
(Keogh), Adragamte
(Listef>.
—
7. ifa Poupée chérie, de Déodat de SéveENVOYEZ
VOS
LETTRES
ET
COLIS
où
opèrent,
à
côté
du
chronométreur,
douteux : Helga (Thomas).
| La Question Irlandaise
rac, par Mlle Rîves-Lana©, élève de Mme
Grand prix de Fontainebleau. — Roger- les juges à l'arrivée : MM. Estrade,
Main-d'Œuvre
Nannan.
Biny, Couzinet et le docteur Cazais-,
dc-Flor (Hervé), Jornini (M. Allemand), Bar
au 8SÂRQC en ALGÉRIE
8. Rosalie, comédie en un acte de Max
i
re-Seohe (Ogez), Sabayon (Lister). — Par- Gamelsy.
Agricole Russe
Mauray. Jouée par Mme Lafon-Bocabeille
Aliment des bébés
^
|£A DÉLIMITATION DES FRONTIÈRES tant diouteux : Naïade-Vil (Lespinas).
A 16 h. 20, passe à mi-côte la » Peu- /
(Rosalie); Mlle Henriette Dassieu (Mme Bol);
d'Afrique
geot
»
d'Aubignac
et,
cinq
minutes
Les
cultivateurs
dlésirant recruter des Pacmteladentition/aideàîa ^ffla^ ^
I
Prix
de
la
VaUée
de
la
SoUe.
—
Kanjar
Londres, 3 septembre.
M.
Lucien
Rouch
(M.
Bol).
le < Chibiriri » de d'Ormoy.
travailleurs agricoles russes, sont inLe Dailv E.rpress croit savoir qu une (Hamel), Arc-en-Clel (R BTethès), Selva (Es- après,
par les
9. Les Tambourins (Krelssler), porar piano formés qu'ils peuvent s'adresser pour
des os. Son goût agréable P"Malgré la vitesse impressionnante
conférence aura lieu entre M. Craig, llng), Chahut (X.), L'Illusionniste (Jennings)
« violon, par Mlle Déléry et M. Robert E*- omendr des contrats d'embauchage «t
de
ia
«
Bugatti
»,
montée
par
un
pilote
tous les enfants.
CapriceII
(H.
Pantal).
Caruso-tl
(Marty).
Lignes
Aériennes
Latécoère
Premier mteistre de l 'Irlande du N01*,
qulé.
c'est Billiet, de Clermonttous renseignements complémentaires
Deuxième prix de la Société des Steeple. espagnol,
M. Cosgrave,
président de 1
ÉCHANTILLON GRATOjl_M*|
79, avenue Marceau. — PARIS
Piâno <t'accompasnes»nt de D» maison au Contrôle de la Main-d'œuvre ~ stgriFerrand, qui fait le meilleur, temps
iftre irlandais, au sujet de la questio» — GaalTcan (Hoves), Samasluit (P. Michel). pur
j[cole. 35, me des Potiers. Twùcrese,
Renseignements dans tous Bureaux de PO »te. Martiu.
yoiturette
B.-N.-C ».
VALTWE, 13» r. d» &
ma&L MMfeojpa. (LU£), Vauclexc
la délimitation des frpntièxest
VALXINE
DAKAR*
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
VENDREDI 4 SEPTEMBRE
1926
a¥IS ET CONVOCATIONS
Le Conflit Bancaire
Harmonie de la Pstta-d'OI». - Ce soir,
réuilon an slé;{e, «M Muscat. Répétition eu
vue d'un procliata concert.
r
JCVRNEE
4
U+ *
Du
JEP TEME
TEMBSE 1925
â 8EP
, ,. «pinte
sainte Rosalie.
Benin
'^JS^^
F
'
0USA1N
^ LE T^
positaire des tabacs, rue Valade, Mi
ce sac avait été retrouvé sur la route
de Lombez, près la commune de Fonsobes (Haute-Garonnei et qu'il lui avait
' été remis avec son contenu.
— M Jean Sourd, figé de 31 ans, de! meurant rue Aubïrt. 15, qui aval tégalement pr-rté plainte contre inconnu
pour vol d'un chien de chasse c bleu
i d'Auvergne », a fait connaître que cet
animal avait été retrouvé par M. Rolland, propriétaire à Cometoaiieu, et remis ensuite au plaignant.
LE PORTEFEUILLE DU MAÇON
Une enquête est ouverte au 3« arrondissement relative au vol d'un billet
de banque de 1 .000 frnm-e, commis au
préjudice de M. Manuel Picard, 26 ans,
mer après-midi, en pré,_,
maçon, demeurant boulevard Bonren
.«t P rod } -,ne dé ces S-ÈII W à la pOS, 5
fi ^ulevard;
dont la rue
Ce bille- ee trouvait dans un portel ^<Bw>£# souvent le , P 3 -.Acle en feuille placé dans la poche intérieure
^Tis
donn? ^règlement général.
du
V??ÏOH que le plaignant avait susJ* 0 ?»!* J e d battait son ptein ci
hier -naUn, vers 9 heures, dans
ee,}lSm^ oa rip service au cvceiour pendu,
L '1"de P°weJ*J Ha main, tâchait une pièce attenant a une cuisine qu'il
construit. 3, chemin Assalit, pour le
i a Ç£a »âton ^neud^ordre
dansletor- compte de M. Mazières, propriétaire à
U
y3 : mtenir ^?L
f
camions, des Wcy- cette adresse. ,
a
!
d« 'fr, autos, des ^
Tou .
t
d
re^nui donnent a « co
ard
UNE SERIE DE VOLS
Une information est ouverte relative
au vol d'un portefeuille contenant des
Sr,i
„„ fou » ou simplement pièces d'identité d'étranger commis
itait-^^^de-rorganebolciu. dans un chantier situé rue Deville, au
est-il au'en un rien de préjudice du nommé Jairne Fort, âgé
t %misè toutes les malhon- de 26 ans, manceu/re, demeurant rue
viste.
! «ut lesquelles
d*^^i les
gens de son Mlihès. 5
lps
M gens
— Une somme de 250 francs a été voi'e
T*i-<^ ' i routume d'exprmilée au domicile et préjudice de Mme
d .
veuve Couderc, née Hhod.es, demeurant
W? eJJ"\ *Bon à rien ! Vache
rue du Rempart-Saint-Etienne, 30.
— Une cciiuae de 300 francs a été
Tout y PfvL. riez ce qui arriva I
Et vous df/^st pa£ de bois, comme ésaleroent dérobés à. Mme Nadal, née
Julie
53 ans, demeurant â la
fyiïAi lw
vie les oreilles échauf- loge deSartres,
concierge, café des Américains,
son b«pn,
ag.enls sont en général boulevard Carnot Ce dernier vol a été
Kous-offiliers qui ont fait la
Kiciens ^, lmem paô q UO n vienne commis vraisemblablement à l'aide de
fauasta clés-.
?«g ?p prèi; regarder comment leur nez
UN CAMBRIOLEUR DERANGE
{?l ";t voulut donc s'emparer du bon«*'.
L'ageEt
^twioo
débattre
Mercredi matin, vers 10 heures, pen«\fbi1n «tfil fallut appeler du dant l'absence de Mme»veuve Pradei,
et même téléphoner au Capi- employé d ?s P T. T., uMindividu s'est
^ï in auê la camionnette de la po- introduit dans ion ar. skrtement, rue
TO1*
•ÏÏ.T.P
« charger » sur place ce Colb^rt, 13 bis
Dérangé par la femme de ménage,
Bce H^our
Ur ramener vers, ces lieux Mme
p
Méreadal qui. devinant la préA 1"«
lnc ivrognes cuvent leur
5233". OÙ
sence
d'un cambrioleur, s'est enfuie,
émis de la société et de
fftfti. «memîs
S rept6 eŒ leur bile révolution- celui-ci a également pris la fuite sans
rien emporter
oaire.
le devine — ne
Tout cela
UN CYCLISTE SOUS UNE AUTO
«était pas accompli sans attirer beaul^vm de: cureux et de badauds, qui
Jeudi matin, vers 11 h. 15, M. Albert
va sans dire, spontanément et Sans, âgé de 58 ans, demeurant à la
2ns rien avoir compris à ce qm se Salade, passait place Arnaud-Bernard,
ÏÏsMit
prirent P^rti pour l'energu- monté fuir sa bicyclette. Voulant éviter
S contre les agents de police, un cycliste, qui arrivait en sens invernour le fou furieux ou l 'ivrogne, - se, il s'est jeté au devant d'un : camion,
comme on voudra - contre ceux qui appartenant à M. Senges, quai de Ti.-ucherchaient à le maîtriser, à le calmer. ms. 12. Il a été légèrement blessé nu
n y avait là de bons bourgeois qui bras gauche par la roue avant gauche
courraient bien vite quérir l'agent du de l'auto et sa bicyclette a été' mise
hers d'usage
coin de rue ou du poste de vigie le
trfuê votèin. sfils apercevaient seulement
Après avoir reçu des soins à la pharl'ombre d'une ombre, le soir, en ren- macie Durani. M. Sans a été — sur sa
"trant dans leur demeure : de bonnes demande — transporté à soin domicile
femmes qui s'évanouiraient de frayeur par l'auteur involontaire de cet accien traversant le boulevard si elles ne dent.
sentaient près d'elles, la présence du
LE FEU
policier au bâton tutélaire et qui
Jeudi matin, vers 9 heures, à la suite
oriaipnt à tue tête : « Ces agents hein ? d'un
dégagement d© mazout concentré
quelles brutes ! quelles canailles I » et surchauffé,
un incendie s'est déclaré
Car c'est ça la foule ! en notre pau- à. la toiture en charpente vitrée, des
vre vinsiième siècle !
ateliers « Les Charrues Le Fondeur »,
Un assemblage de gens stupides qui
d'instruments agricoles, aveentendent vivre largement commodé- fabrique
nue de Lombez
mnt en toute quiétude et considèrent
L'incendie a pu être rapidement cirqu'il est de bon goût et de bon ton conscrit et éteint. Les dégâts occasion< d ensoleiller » en toute occasion ceux nés à. rimnu-ub'e ne sont pas, pour le
à qui ils sont redevables de leur tran- moment, susceptibles d'une évoluation
quillité et de leur sûreté, qu'ils se nom- précise. Us paraissent cependant d'une
mât policiers, gendarmes ou... armée. certaine irnportanos et sont couvîrts
Cest un genre 1 Une pose 1
par une assurance.
Une façon de faire preuve de moderLes ouvriers ont pu reprendre leur
nferiM; et de se montrer de son épo- travail au début de l'après-midi.
que 1
Un incendie, qui avait eu des causes
Ah : elle est jolie l'époque. 1 Et ils irlenfiqws, s'était déclaré dans les mêsont beaux ses produits 1
•
mes, ateliers, il v a nviron trois ans.
M. le commissaire de polise du 7» arVn Badavd Toulousain.
rondissement, qui était sur les lieux,
a procédé à toutes constatations utiles
Conseil Municipal
et a ouvert une enquête.
.Le conseil municipal se réunira en
DESESPOIR PRECOCE
session extraordinaire, ce jour, a 9 h.
Une Jeune fille de quinze ans s'est
ietée dnms le canal au pent des Catalans.
Nouvelles Religieuses
M. Charles Màrty, âgé de 50 ans, devS^?¥ E DE L* VISITATION. - meurant rue Nestor-Brun. 13, l'a retirée
Vendredi 4 septembre, journée de priè- de l'eau, aidé pai* le sous-brigadier Sade ré P a ration en union avec Jé- batier.
rusalem ; messes à 6 h. 15 et 7 h. 30 • à
Des soins énergiques ont été prodimi^m'e?'.
«xposition du Saint-Saore- gués aussitôt à la jeune désespérée,
a
0
qui
fut transportée à l'Hotel-Dieu, où
5fw
heures, exercice de l'Heure
sainte par le R. p. Aloys : renouvelle- son état fut jugé sans gravité.
U
u
ignore te motif de cette tentative
Sahit T „2 °f de 1'V nion Catholique et deOn
saïut. Indulgence pléniere..
suicide.
des
Temps !
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saint-Fiacre. — Réunion c» soir,
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81, 85 et 86 de la ligne de Carbenne au
S« ^lle deSIlCîue aUTa
dans Mas-dAzQ, à partir de lundi prochain,
7 septembre 1986.
heure s de l'après'.«emî^gL*
Consulter la gare pour tous renseiïale).«
gnements.
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Gazette Judiciaire
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^ar-ement
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* les Kiî„
éla:s fixe mi6e de la
ÎÎ^ShS?^ ïJ*
3 ci-dessus
A L'INSTRUCTION
de Monsabert a interrogé Ahm^d
Aumar, inculpé de vol d?un pantâîan. au prfjiiriice d'un camarade de
chantier, et l'a confronté avec divers
témoins.
— H s'est eveupé de i'aaoident d'auto
'
de
Portet, dans lequel Jean Poziès a
trouvé la mort,
— Il a confronté Geniès avec plusieurs tenxMiis, aus sujet rte vol de tucyçlette à Aucamyilie. oont il eut inculpe.
Sports et Préparation Militaire
1
oat
m a cL
™ Se ~
Bowing-Olub
Toulousain. — Les régates
du 6 septembre. — L'Aviron Caduireton eut
verra, en puis des équipes dont nous avons
donné
la eomipositiou une
équipe d'outrigïgier ;i deux rameurs juniors composée
de Beasuc, liuru 'bwt, barreur Renard.
S
Cee deux rameurs seront opposés aux frères C-ucla, du Rowing-CUuib Toulousain.
To UT
1X5 Rowing-Glub Toulousain a «ngaaé duos
lse 100 mettes nago, trois de ses meilleurs
D-ins
V ^tan* *6de 53 ans, bu- uageurs : Monta*ne, Corcoral et Vidal.
Les Jeumes gens qui désirent
prendre
* u-to;
Uî — «» comf™ ^ avait part a ces trois épreuves sont priés de s'insf>ài ?,.sac de
inconnu crire au siège du Rowing-CTub Toulousain
^ iihtej^ iPhac. a fait conca» du Théâtre, i. j,^, iu Ça^iwie a la
Di vers
235**
J
•l ^SffitSt-iCalane,
m
Le Congrès de la Patx
UN DISCOURS DE M. LŒBE
pairis, 4 septembre.
Hier après-midi, a eu lieu la premièAmioale Lombei, Prend»-y-Card«. — C'est re séance plénière du Congrès.
M Lœbe président du Reichstag, a
organisé par l'amicale à son siège, 76, aveprononcé un discours, il a dit qu'il
nue de Lombez. a 21 heures.
était
heureux de prendre la parole
Trouvailles — Réclamer :
â M. Michel
dans cette Assemblée, il s'est félicité
Riftel route de Fronton, i Aucajnville. trois
de l'application du plan: Dawes et de
boîtes de M ; à Mlle Fourcade, rue Saintela conclusion de divers accords éconoCatherine 5, un sac à main avec petite som.
SL
ma et divers objets ; à Mlle René Oandelle, miques.
Puis il s'est exprimé dans les termes
avenue des Minimes, 5, une musette avec
que voici, à titre documentaire :
certaine somme ; à M. Sirven, poste des
pompiers de Salnt-Cyprlen, une carte d'é» Nous acceptons tout règlement inlecteur ; A M. Louis Rives, allée de Barce- ternational qui flétrit la guerre comme
un crime ; aucune question d'intérêt
lone, 50 bis, une canne ; à Mlle Marie Terret. place Lafayette, 5, une écharpe : au ou d'honneur national ne justifie le rebureau des épaves, un trousseau de clés et cours à un, moyen tel que la guerre qui
un gant marron ; à l'administration des cause des millions de victimes.
omnibus et tramways, une paire de lor« Il n'y a pas de devoir national plus
gnons, une paire de gants, - une lampe à élevé que de maintenir, de développer
souder, un sac de voyage, un imperméable et d'améliorer la vie des citoyens.
et deux parapluies.
c Ainsi, â défaut du protocole de Genève, nous acceptons le pacte de sécurité.
« La question de l'arbitrage obligatoire a toujours préoccupé l'union interparleuientaire.
Nous voulons l'arbincerts
S
se
trage obligatoire ; mais si l'arbitrage
obligatoire est adapté, le désarmement
devra suivre.
c Nous concevons le dte«<rmement géTHEATRE DES VARIETES. — A 8 h. 45,
par la tournée Jean Bertran, une seule re- néral tel que le définit l'introduction
e
piésentalton de
M. Le Bargy, dans Le à la 5 section du traité de Versailles.
o Ciions aux hommes d'Etat : acheMarquis de Priola, pièce de M. Henri Lavevez l'œuvre de législation internatiodan, de l'Académie Française.
Demain, tournée Ch. Baret : ÏJe Duel, de nale si bien commencée ! Ne nous lassons pas de répéter, de Paris à Berlin
Lavedan, avec M .Monteaux.
et de Berlin à Paris : lorsque la réconTHEATRE DES NOUVEAUTES. - Le re- ciliation sera complète entre, la France
cord du rire.
et l'Allemagne, la réconciliation de tous
les peuples européens sera carisidéraAPOLLO-THEATRE. — A 3 h. et à 9 h.. blement facilitée.
Le Miracle des Loups, spectacle merveUleux€ Ainsi, la réconciliation franco-alleLocation ouverte de 10 heures à 12 heu- mande est une des conditions essenre» et, de 3 a 6 heures.
tielles de la paix du monde. »
Prix ordinaire des places.
Les religissatres du Congrès omit écouAMER1CAN-C0SM0GRAPH.-- A 9 heures, té avec une attention émue le discours
La Barrière de Feu, avec Jacqueline Lr.gan du fameux pacifiste, qui est en même
et Antonio Moreno. La mise en scène de ce temps, on le sait, un ces plus ardents
drame est excellente et les sites au mi- protagonistes du rattachement de l'Aulieu desquels certaines scènes se
déroulent triche à l'Allemagne, ce qui paraît bien
sent d'une gTande beauté. L'incendie d'rne inconciliable.
Lecture a ensuite été donnée d'un
fort* est formidable et grandiose et lait
passer en nous un véritable frison d'épou- télégramme de congratulations de Mvante. Ce que pe-ut une femme, comédie Macdomald.
?rév^
séances de ce jour, "les
ac^eÙ* ^«sains, toujours plus consent, dès le 1er septembre, des ré1
doyens d -o^
de nouveaux ductions aux malades qui soignent
66
lûten
GORGE — BRONCHES — PEAU
lj ^uvenienf^
^
"
e tio:a m
RHUMATISMES
DoÏÏ l
àWrielle
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secon.
— Grande quinzaine de Fêtes —
«onw son eux -. car la classe ouvrière
tance leine
r«f l-10n
P
^ entière
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Fédération postale (section rte la HauteGaronne). — Assemblée générale demain o
21 heures, a la Bourse.
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Compte
Cheminots du Midi,ancierM oombattants.
— Assemblée générale ce $otr à 21 heures,
au siège, i, place <lu Capitule.
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grévistes tou- Sarrieu, 7, rue de la Pomme <
Plus^ ^ T1stont .d'avis de continuer, avec
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motivés pour
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EN PROVINCE
sentimentale
Dix.
avec Lois Wiisou et Richard
OAUMONT-PALACE.— A 3 h. et à 9 h.,
La Rançon, arec Alice Terry et Pearle ;
Face à la mort, premier round : L'homme
an xaerjt d'acier.
ROYAL.— A trois heures et â 9 heures ':
Hors du gouffre ; Jeannette et son MfUlonnaire, comédie ; Les Singes à l'école, comique.
OLYMPIA. —
En soirée
à 9 heures.
Pour l'indépendance, de Griftiito ; Le Stigmate, 5" épisode.
SELECT-CINEMA. — ce soir relâche.
Gaumont-Palaee
Tous les jours
Matinée à 3 h. Soirée à 9
h.
LA RANÇON
Splendide comédie dramatique.
Mise en scène de Regmald BARRER. Interprétée par : Alice
TERRY et Conwav TEARLE.
Film Métro Goldwyn. G. M. G.
distributeur.
Face
à
la
Drame d'aventures en quatre
rounds avec : HARRY PIEL, Denise LEGEAY, Marguerite MADYS, ete.
Scénario de Gérard BOURGEOIS. Mise en scène par l'auteur et Edmond HEUBEKGER.
Production GAUMONT. G. M.
G. distributeur.
Premier round : L'Homme aux
nerfs d'acier.
Avec ce bon \ fr. 50 aux fauteuils
A LA S,
M. PAINLEVS A GENÈVE
Genève, 4 septembre.
M. Painlévé, président du Conseil, répondant à l'invitation du Congrès de
la Fédération internationale des Etudiants qui a lieu présentement à Genève, se rendra, aujourd'hui à midi, à
l'Université de Genève et prononcera,
devant le Congrès, un discours sur
l'œuvre de la S. D. N. et des Jeunesses
universitaires.
Dans l'après-midi, M. Painlevé assistera, en qualité de représentant de la
France, au Comité de l'Autriche qui
tiendra une séance privée au siège de
la S. D. N.
LES PROCHAINES SÉANCES
Genève, 4 septembre.
Le ministre anglais des colonies, M.
Amery, ayant exprimé le désir de répondre au représentant de la Turquie et
celui-ci ayant, de son coté, à présenter
de nouvelles observations, le conîîd de
la S. D. N a décidé de consacrer ce matin, une nouvelle séance à Mossoul.
On annonce - que M. Paul Painlevé,
président du conseil, et M. Georges Bonnet, sous-secrétaire d'Etat, arriveront,
aujourd hui, à Lausanne, à 8 h. t>0.
Des autos amèneront le présid".at Su
conseil et sa suite à Genève, vais 10 heures du matin.
Néanmoins, Cest M. Briand qui présidera ce matin ia séance du conseil
M. Painlevé assumera la présidence samedi matin .lorsque le conseil abirdera
l'examen des affaires d'Autriche,
MUSTAPHA
KEMAL PACHA
.RENTRE A ANGORA
LES RIFFAINS PREPARENT
UNE ATTAQUE
Tanger, 4 septembre.
Dans la zone occidentale espagnole,
les Djebailas et les Riffains se concentrent près de Chaouen. On prévoit une
attaque imminente dirigée par le frère
d'Abd-el-Kxim.
Le chef riffaiu ordonne à tous se3
hommes de se cramponner sur le terrain. Celui qui abandonnera son poste
sera fusillé sur le champ.
Marseille, 4 septembre.
Les employés de banque en grève ont
encore tenu une réunion, hier soir, à
la bourse du travail. Les grévistes, au
nombre d'environ un millier, ont parcouru ensuite les rues de la ville. La
manifestation s'est bornée à une démonstration quelque peu bruyante,
mais aucun incident ne s'est produit et
la police n'a pas eu a intervenir.
L'ACTION DE L'AVIATION
Tanger, 4 septembre.
L'artillerie navale et l'aviation bombardent la côte. Ce bombardement impressionne très fortement les populations marocaines.
LE DEPART DU « Cl RC ASIE >
Toulon, 4 septembre.
Le transport la lircasie, prenant
toutes ses dispositfons pour aller prendre un nouveau convoi de blessés, malades et convalescents du Maroc, a quitté Toulon pour Manseille, où il sera
procédé à ia dernière mi^e au point
des services de bâtiment-hcpital.
l^a Ciicasie quittera Marseille ce
soir peur G&Bablànca.
I~ie J3\id.^et cie 1926
UN DEFICIT DE 3.460 MILLIONS
Paris, 4 septembre.
M. Caillaux a fait publier, hier soir,
un long communiqué sur le budget,
qu'il affirme être en équilibre.
Mais, tout compte fait, un déficit de
3.460 millions apparaît.
Pour le combler, M. Caillaux ne s'est
adressé qu'à l'impôt direct et a envisagé notamment une taxe sur les biens
oisifs.
Fou Mine lie Sirotai
Paris, 4 septembre.
Le décret instituant le port autonome
de Strasbourg, présenté par le président du Conseil, le ministre des finances et le ministre des travaux publics,
a été signé, hier, en conseil des ministres.
Les Tragédies de la Mer
e!
LA DISPARITION DU « VENIERO >
Rome, 4 septembre.
L'agence Stefani publie le communiqué suivant :
Les recherches entreprises pour retrouver le sous-marin Veniero, commencées le jour où il n'est pas ifntré à sa
base et qui ont été faites par tous les
moyens et avec la plus grande activité, n'ont pas donne de résultat.
Le sous-marin doit êt:e considéré
comme perdu et les ci uses de sa perte
ne peuvent pas être définies.
Le sous-marin se tiouve probablement à environ 90 mètres de profondeur sur un (ond de roches, dans la
zone où il avait été placé tn observation.
Etant donné la profondeur et le fait
que la coque ne pouvait résister à la
pression subie, on peut affirmer que la
fin de l'équipage a été immédiate.
LE « VENIERO » EST RETROUVÉ
Paris, 4 septembre.
L'Agence Radio publie la dépêche suivante de Rome :
« Le submersible Veniero a été retrouvé au large de la cote de Sicile,
près de Muri'O-dl-Poreo, non loan de
Syracuse, échoué par 2 'mettes de pro| fondeur. >
LA CATASTROPHE
DU a SHENANDOAH ,
Cambridge (Ohio), 4 septembre.Les voitures d'ambulance commencent à amener ici les morts et les Weseés du Shenandoah. Une partie du
grand dirigeable est tombée sur le sol
à un mille au nord d'Ava. L'autre partie ne tomba qu'à dix milles plus loin,
au sud, à Shaon.
Aux dernières neanvelles, douze hommes, dont le commandant du ShepMn
doah, auraient péri.
La plupart des tués se trouvaient
ROY
^h
dans
la cabine du contrôleur qui fat
INFANTERIE
écrasée
dans le choc de la première
Matinée à 3 h., Soirée à 9 h.
PRÉPARATION MILITAIRE
section du dirigeable.
Changement complet de programme
Autant qu'on le sache, la catastroPar décision ministérielle du 25 août
Un grand film dramatique :
1925, les officiers dont les noms suivent phe n'est pas due à une explosion. Le
HORS DU GOUFFRE. — JEANont été désignés pour occuper les em- dirigeable ne put pas lutter contre la
NETTE ET SON MILLIONNAIRE
violence du vent et se rompit en deux
plois ci-après :
(comédie). — LES SINGES A
Instructeur permanent au service de la sections.
L'ECOLE (comique).
préparation militaire supérieure de
La salle la plus fraîche
Bordeaux : MM. Vincent, capitaine du ILA DISPARITION DU « P.-N.-9 N° i »
Avec ce bon 1 fr. 50 aux fauteuils
57° R I. affecté pour ordre au 144 e R. I.;
Honolulu, 4 septembre.
Bazet, capitaine du 144e R. I. maintenu
L'hydravion « P.-N.-9 N° 1 », qui avait
pour ordre au 144e R. I.
dû abandonner son voyage sur mer à
160 milles au large de l'île de Maui,
par suite du manque de combustible,
n'a pas encore été retrouvé, malgré
OLYMPIA
les actives recherches entreprises par
Un
linHIiii
douze sous-mairins, un destroyer et un
A 3 heures et à 9 heures
dragueur de mines.
Changement complet de programme
Les autorités maritimes ont, néanUn grand film historique :
moins, l'espoir que les aviateurs pourPOUR L'INDEPENDANCE, de D.
ront être sauvés, car, disent-ils, si l'apTROIS MORTS
W.e GRIFFITH. _ LE STIGMATE
pareil avait fait naufrage, il aurait dû
NOMBREUX BLESSÉS
(5 épisode).
être rejeté par les courants aux bords
Bordeaux,
4
septembre.
de l'île de Maui.
Les réductions sont acceptées.
Le train de voyageurs parti de SaintJean-Pied-de-Port, hier à 16 heures,
pour Bayonne, a déraillé, à 17 heures,
| à l'entrée de la gare de l'Ouossoa, â
Un joli }Aor}de
Parures mariés, COSTES.25, r. Rémusat ; 31 kilomètres de Bayonne.
I Tous les wagons sont sortis des rails
TANT VA LA CRUCHE A L'EAU...
ainsi que la locomotive. Trois wagons
Mantes. 4 septembre.
sont complètement brisés.
La Ire brigade mobile a arrêté le
D'après les premiers renseignements,
ÉTAT CIVIL de TOULOUSE on compte trois morts et de nombreux nommé Henri Paschal, 30 ans, recherIblessés.
ché par les Parquets de Versailles,
Les médecins de Cambo, mandés aus- Mantes et Fontainebleau ponr de nomPublication» as miariagag du s septembre
sitôt, spnt accourus sur les lieux et ont breux vols, abus de confiance et escroJules Oelrieu. 55. ailée St-Agne, et Mar- donné les premiers soins aux blessés. queries.
Cet individu avait dernièrement déA 21 h. 50, le train de secours envoyé
guerite Gautlé. à Fitihan (Tarn-et-One;.
Joseph Andrau, jardinier a Auoamville, a l'Ouossoa, lieu de l'accident, n'était tourné une broche au préjudice de Mme
pas
encore
rentré
i
Bavonne.
Jouesard, demeurant à Fontainebleau.
et Claudine Raynaud, u, rue Alsace-Larr.
On ignore encore à Bayonne. les cauH est en outre l'auteur principal du
Jean Deluppi.empl. de corn., 40. rue de
ses de l'occident.
vol, à Paris, d'une automobile apparMett, et Marie Barthcye, 42, r. St-Rome.
tenant o. l'artiste Jane Marnac.
Arnaud Bachala, niéd.-vêtér;, *>, r. CataL'amnistie lui avait permis de conreUli, et Julienne Faur, 2. rua Drouot.
QUELQUES PRÉCISIONS
tirnuer ses exploits.
Il a été écroué à la prison de Mantes.
Nateeances du ! septembre
Bordeaux, 4 septembre.
Emile Sans, barr. de Cugnaux.
Le déraUlememit s'est produit exacteLA BONNE PARÉE DES BIJOUX
Geneviève Guilhem. rue Thionville, 3.
ment à 16 h, 45, à 1.500 mètres do LouOE SA PATRONNE
Pierre Vila, quartier des Trois Cocus.
hossoa, et non i.ouosao comme il a été
Paris, 4 septembre.
dit. Quatre voitures ont été renversées.
Une voleuse internationale, Anna Kik.
Décès du J septembre
Au sujet du nombre des morts, les
las, née en 1880 en Esthonie, était ériI-ouis Capelle. 72 anï, rue Saint-Luc, 35. renseignements sont contradictoires.
D'après la Liberté du Sud-Ouest, on gée conkme bonne chez Mme Kepinoff,
René Lemoine. 22 ans, r. Moul.-Bay., 13.
russe, avenue Henri-Martin, à laquelle
Jeanne Darlioa, 17 ans, r. Moul.-Bay., 13. compterait deux morts.
A la gare do Bordeaiux-Saint-Jean, on elle donnait toute satisfaction.
Pierre Artigue, 81 ans, allée St-Agne, 57.
Le 27 avril dernier, elle disparut
Simone Errera, 4 mois, quart. Bonhouro. déclare, à 1 heure du matin, qu'il y a
brusquement, emportant divers bijoux,
Evari.lo Para, 21 ans, q. de Tounis, 11,1. un tué et une vingtaine de blessés, dont
parmi lesquels des colliers de perles
Marie Teuller, 70 aus. rue des CoITres, 11. deux grièvemenit.
Pendant qu'oui formait, an haie, en d'une valeur de plus d'un million.
Eugénie Barloulet, 53 a., Graade-AUée, 15.
Elle fut arrêtée, le 16 juin, a Rome,
Hospices — 2.
gare de Rayonne, le train do secours,
M chauffeur Lousialot a été pris eaitre à sa descente du train, alors qu'elle
portait sur elle tous les bijoux volés.
deux wagons et grièvement blessé.
Transférée, hier, de Route a Paris,
Couronnes, M. COSTES, 25, r. Rémusat.
elle a été envoyée à la prison SaintiAzare
EN ANGLETERRE AUSSI tion. par M. Goret», juge d'instrucUN TRAIN DE MARCHAND! SIRS
UNE SCÈNE ODIEUSE
TÉLESCOPÉ PAR UN EXPRESS
Toulon, 4 septembre.
COURONNES MORTUAIRES
Shefielu, 4 septembre.
Une enquête vient d'être ordrainée
L'express Manchester-Sbefield a té- par le préfet maritime de Toulon au
T71LMES DE BRONZE
lescopé un train de marchandises près sujet d'un attentat perpétré avec me<le la gare d'Hope, hier après-midi a naces de mort sur la personne d'une
Pompes Funèbres Générales 16 heures. Le choc a été violent Les l>onne de restaurant. Mlle Joimot, par
deux locomotives ont quitté les rails cinq matelots ivres.
—O—
li rue LApAYETTE
et sont endommagées.
Ouatre des Ivrognes prirent porf à,
Il y a plusieurs blessés dont cinq rette scène odieuse. Deux d'entre eux
R. C Seine u" 55.029
i grièvement, parmi lesquels le méoanl sont connus et einbaixjuée,. 4. bord ite
t ^cten et le- cbaufteui; de, Vexpiesa,
la MoseUe.
Constoritinople, 4 septembre.En raison de l'importance des discussions qui ont lieu actuellement à Genève, en ce qui concerne Mossoul, Mustapha Kemal Pacha est rentré précipitamment à Angora.
Nouvelles HiHtaires
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
BULLETIN AGRICOLE
DE LA. TOUR EIFFEL
pour la Journée du 4 septembre
Massif Central. — Temps frais ; vent
de nord-ouest, S â 10 m.; ciel nuageux
avec quelques rares ondées ; tempera»
ture nocturne stationnaire ; min. 10°.
Région Sud-Ouest. — Temps frais ';
vent de nord à ouest, 8 à 10 m.; ciel
nuageux avec quelques rares ondées j
température nocturne stationnaire ;
min. 13».
limta Èiircife
Lyon, 4 septembre.
Les grévistes des Banques ont tenu,
PRODUITS RESINEUX
hier après-midi, une réunion à la bourLondres, 3 septembre.
se du travail. Il a été procédé à. un
Essence de térébenthine. — Tendance 1er»
vote au bulletin seoret sur la question de la fin ou de la continuation de me. .Disponible, 73 t. Octobre-décembre, ?*
1/4 ; Janvier-avril, 76 3/4.
la grève.
A la presque unanimité, les grévis- , Résine. — Tendance soutenue. Américain^
tes se sont prononcés pour la continua- marque B, 26 i ; F, 2? i ; G, 27 i ; N, S8 î
WW, 33 1.
tion de la grève.
Française, marque F G, Incoté ; H, tancoté ; W, 28 i ; extra. Incoté.
LE COMITÉ DE GRÈVE
EST REÇU PAR M. PAINLEVÉ
New-Torlc, s septembre.
Essence de téréhenthtne, 110. TendanceParis, 4 septembre.
ferme,
On publie la note suivante :
Savannah, 3 septembre.
M Painlevé, président du conseil,
Essence de térébenthine, 103 cents pour un,'
assisté de MM. Durafour, ministre du gallioa de 3 i. 500. , Tendance ferme.
travail; Georges Bonnet, sous-secréRésine ,tyt>e F, 1195 ; WG, 1300 ; WWi
taire d'Etat à la présidence du conseil, 1400.
et Picquenard, directeur du travail, a
reçu le comité national de grève des
MARCHE DES SUCRES
employés de banque.
Paris, 3 septembre.
Le comité a été unanime à rendre
Ouverture, — Courant, 227, 227 50 et 2S8;]
hommage aux efforts du gouvernement
pour amener une solution amiable du octobre, 206; 3 d'octobre, 203 50 à 204 ; 3 de
novembre, 202 50 à 203, tous payés. Tendait*
différent.
H a appelé l'attention des ministres ce rapprochée, soutenue; éloignée, facileClôture. -. Courant, 228 et 227 50, payésj
sur les raisons qui ont provoqué le
rejet des propositions transactionnelles octobre, 205 50, payé; 3 d'octobre, 223 à
50; 3 de novembre, 202 50, payé. Tenobtenues des établissements et fait ap- 203
calme.
pel à une nouvelle intervention des dance,
Cote oficieUe : 232 à 233.
ministres pour amener rapidement la
OCBSfttîon générale du conflit.
MARCHE DES METAUX
Londres, 3 septembre.
Antimoine. — Qualité spéciale, 84 10 à 85$
COHIISTE
ordinaire, manque.
Cuivre. — Comptant, 62 1/3; à trois mois,
63 13/3; beat selected, 6S 10; électrolvtlqas,
67 10 à, 13.
Etaln. — Comptant, 252 18/9; k trois moisy
255 13/9.
Plouio anglais. — Comptant, 38; étranger, comptant, 37 10;
étranger, livraison
éloignée, 35 17/6.
Zinc. — Comptant, 36 15; livraison éioV
gnée. 38 3/9.
Argent. — Comptant, 33 1/8; à deux mois*
Paris, 4 septembre.
Le militant révolutionnaire Monmousseau, gérant du journal la Vie Ouvrière, a été inculpé, hier après-midû,
par M. Délaie, juge d'instruction, de
provocation de militaires à la désobéissance, dans un but de propagande
anarchiste, en raison d'un article paru
dans ce journal le 31 juillet, où Ton
invitait nos soldats à fraterniser avec 33 1/8.
les Riffains.
Or, 84/11 1/2.
M. Monmousseau a déclaré qu'il s'exMercure, 13 15 par bouteille.
pliquerait ultérieurement, en présence
de son défenseur, M» André Berthon.
MARCHE DES CEREALES
D'autres inculpations ont été relevées
Paris, 3 septembre.
contre des gérants et des militants
Blés. — Base do liquidation, 124; courant,
communistes, qui vont être mwhaine12» 50; octobre, 125; 4 derniers, 125 25; noment inculpés.
Horrible drame delà Folie
Àlbi, 3 septembre.
Voici quelques renseignements complémentaires sur le drame lamentable
qui a ému toute la ville dAlbi et que
nous relatons succintement au Bulletin Méridional s
André Gontié qui avait été clerc
d'avoué et qui était attaché
depuis
quelques années à la Banque Villa,
donna, des signes de déséquilibre mental au cours du mois de juillet dernier
et cessa son service.
Son déséquilibre alla en s'aggravant
et il ne vit bientôt plus autour de lui
que des ennemis imaginaires. Ses menaces — d autant plus dangereuses
qu'il était toujours armé — ne laissaient pas de doute sur le danger public quil constituait.
Jeudi matin, vers
onze heures, Il
tira de nombreux coups de revolver de
sa fenêtre sur le bas-fond dit de Septfonds et sur le boulevard Carnot.
Deux enfants : Marthe Carayon. âgée
de 7- ans et demie ef Fernattd' RigSUdV
âgé de 11 ans, furent tués : Mme Rose
Gérardin, née Fabre, fut blessée ; des
ouvriers qui conduisent un attelage
essuyèrent des coups de feu sans être
atteints mais leur cheval fut blessé ;
M. Amilhau, Industriel, circulant en
automobile sur le boulevard Carnot,
échappa également aux coups de feu.
Gantié sortit alors sur la place des
Cordelière en criant * « Ah ! ils n'ont
pas assez 1 » Il tira d'abord avec un
fusil dans toutes les directions et notamment dans la direction die la boucherie Chabba; et blessa Mme Chabbal;
puis Û rentra chez lui et ressortit avec
un revolver.
Durant ce temps la policé avaiï été
alertée et se transportait sur les lieux.
M. Pradeî. inspecteur de la police mobile s y rendit aussi muni d'un revolver.
. M. Pradei échangea plusieurs coups
de feu avec Gantié qui visait froidement.
Les agents Maffre, Mourhés, et Raoul
Assié, tirèrent aussi soit des coups oe
fusil, soit des coups de revolver. Gantié ne tarda pas à être atteint et essaya
de rentrer chez M.
De nouveaux coups de feu rabattirent.
Mme Chabbal a été ïransportée dans
une clinique.
Nous adressons aux familles des infortunés enfants tués dans ce drame
l'expression de nos vives condoléances.
Nous faisons des vœux pour le rétablissement d© Mme Chabbal et Gérardin.
Oh a troiivv? au domicile de Gan'tié
un sac de cartouches et un écrit daté
de Janvier 925 dans lequel Gantié déclarait que ces cartouches étaient destinées à le défendre contre les communistes qui « cherchent à. lui jiowerr quelque sale oouip »,
Fatale It^prudeiyce
vembre-décembre,
125 25;
i de novembre,
125 75 à 126,
Avoines noires.
Courant, 99 50 et 9S 75;
octobre, 98 75; 4 derniers, 93 50 à 98 75; novembre-décembre, 98 25, 93 et 97 75; « de
novembre, 99 50.
Avoines diverses. — Courant, 97, nominal,!
octobre, 96 .nominal; 4 derniers, 94; novembre-décembre, 93, nominal; i de novembre*
v
94, nominal.
Farines. — Base de liquidation, 158; courant, 156 50, vendeurs; octobre, 157, nominal; 4 derniers, 157; novembre-décembre,
157, nominal; 4 de novembre, 157, nominal,
New-ïork, 2 septembre.
Blés roux d'hiver durs. —
Disponible,;
166 1/2 cents par busheÙ.
Chicago, 2 septembre.
En cents par busheU :
Maïs. — Disponible, 95 7/8;
septembre^
94 7/8; décembre, 84 1/2; mai, 88 3/8.
Avoines. — Septembre, 37 7/8; déceuiiwej
41 3/8; mal, 45 1/2.
Blés. — Septembre, 151 1/2; aôcemixrej
151 1/8; mat' 155 1/8.
MARCHÉ DU HAVRE
Do 3 septembre.
Cotons. — Ventes, 3,400 . balles : Septéa»
bre, 624; octobre, 617; novembre, 620; décembre, 623; janvier. 630; février, 634; mars^
637; avril, 641; mai, 644; Juin, Juillet et août
64S. Tendance, soutenue
Cotes. — Ventes, 1 ,000 sacs g Septembre,,
548; octobre, 541 25; novembre, 528 25; décembre, 508 25; janvier, 4» 50; février,
401; mars, 477; avrU, 473; mai, 454 50; ?u!Hj
44-i; juillet, 436 50; août, încoté. Tendance,,
soutewie.
Laines* — Septembre et octobre, L490S
novembre, 1,408; décembre et Janvier, 1,450;)
février et mars, 1,440; tous autres ineotea.
Tendance, calme,
>
MARCHÉ AUX BESTIAUX
Paris, 3 septembre.
Bœufs. — Amenés, 961; invendus, néant S
Ire qualité, net, 900; vil, 540; 2", net, 800,1
vif, 400; 3% net, 680; vil, 340. Prix extrêmes j
net, 960; vil, 576.
Vaches. — Amenées 525; invendues, néants
ire qualité, net, 900; vif, 540; 2*. net, 790^
vit, 395: 3% net, 670; vit, 335. Prix extrêmes*)
net, 970; vif, 582.
Taureaux. — Amenés 260; invendus néants
ire qualité, net, 780; vit, 468; 21, net, 710a
vit, 355; 3", net, 670; vif, 335. Prix extrêmes : net, 820, vif, 533.
Veaux. — Amenés, 1,254; invendus, néant :\
Ire qualité, net, 1 ,170; vil, 702; 2*. net, 1,1203
vif, 560; 3*, net, 980; vit, 490. Prix extrSmes : net, 1 ,270; vif, 762.
Moutons. —
Amenés, 7,834;
invendus,
néant : Ire q-nalitô, net, 1,330; vif, 655; 2"<
net, 1,080; vif, 530; 3', net, 960; vif, 480.
Prix extrêmes S net, 1,440; vit 749.
Porcs. — Amenés, 2 ,777; invendus, néant i
ire qualité, net, 1042; vif, 730; 2", net, »58>
vif, 670; 3*, net, 858; vil, 600. Prix entré-,
mes : net, 1 ,056; vif, 740.
Vente active; cours en hausse sur le gros!
bétail et les veaux; Inchangés sur les moutons et les porcs.
Bordeaux, 3 septénaire.
Bœufs. — Amenés, 196 ; vendus, 57. lr«
qualité, 520 à 560 : ï\ 480 à 520 ; 3*, 440 * 480. Prix extrêmes, 400 à 580.
Vaches. — Amenées, 28 ; vendues, 13.
Pas de prix.
Veaux."— Amenés, 29 ;. vendus, 2s. Pria'
extrêmes, 600 à eeo.
Paris 4' septembre.
MARCHE DES VINS
Pour montrer" son adresse à des caNarbonne, 3 septembre.
marades, un artiste de cinéma, Ferdinand Blanchot, se déguisa en oow-boy Le marcho d'aujourd'hui a présenté u«l
et se livra à des exercices variés dans certaine animation ; les cours sont touun bar t rue Saint-Martin, le 29 juillet jours 4 la hausse i; les prix varient entre
8 lr. et 8 tr. 25 pour, la
récolte 1924 etl
dernier.
En maniant soin lasso, il fit, sans le 7 25 et 7 90 le degré poux la récolte 1925.
Ou signale comme ventes, récolte 1925 V,
vouloir, partir une carabine à répéti- Prelxan,
1O.000 hectos, 9* 5, ù. 72 fr.; grandi
tion dont il s'était armé. Un client, M.
fCondom, 5.000 hectos, 9", 7 26 le degré :!
Victor Sentenac, 58 ans, fut tué.
Après plaidoirie de M° Bloizard, Salnte-Clotilde, 4.000 hectos. 9*. 5 à 7 25 la
Blanchot a été condamné, hier après- degré ; retiralsons sous-marc
Cours officiels, Chambre de commerce, rémidi, par la 12e Chambre couasectioncolte 1924, 9 à 10\ 68 à 73 fr.; 10 a 11*^
nelle, à huit mois de prison.
Nouvelles Express
Du i septembre.
»-* On man/ie de Shanghai > le sVsOr
mer chinois Sbiny Ansoy, <t destination de Shanghaï, a tait naufrage, hier,
près de Fout-Cheou. Tout l'équipage a
pu être sauvé.
73 4 78 fr.; 11 à 12", 78 à 83 fr. lltecto, W»« ,
(Pris chez le récoltant, frais en sus.
Alcools, récolte 1924, disponlhlea, 3/6 vin*
86", 7 67 le degré ; trots-stx marc, et eat»devie marc, manquent.
Alcools sur nouvelle campagne. 3/6 vin.,
86*, T w ; trois-six marc. 86*. 6 80, le tou*
le degré, pris chez le toouineur, trais eu
sus.
Lézignan. 2 septembre.
Minervofct, » à 13*. 08 a M fr.
Corbieres, 10 a 13', 75 à 90 ir.
LES MISERES
DELA
DIGESTION
o* seront plus qu'un mauvais souvenir si
vous prenez une demJ-cuillercc h café ou IU»
eachet de Magnésie Rismurée dans un pei»
d eau après les repas. Brûlures, renvoi» acides,;
vomissements, flatulence, e.tc, etc., dispa-.
missent en quelques minutes aussitôt apr6s U
première dose. La Magnésie Bismurée (marque»
déposée) neutralise l'excès d"ncidilé stomacales
presque toujours cause de vos souffrances,:
et elle TOUS assure une digestion facile et»
sans douleurs. Satisfaction garantie ou argent
VENDREDI 4 SEPTEMBRE 1925
ANNONCES
LES ACCIDENTS DE CHEMINS DE FER
Dand la Liberté, Hermès, sou s la forme
d'une conversation entre voyageurs, naïfs
mais voit pourtant dans cette admission un
moyen de détruire le traité de Versailles :
L'invitation à entrer dans la Société des
Nations nest qu'un chausse-trappes dangevues gui se multiplient sur les voies ferrées : reux. De prétendus experts et juristes lancent
— Tout le mal. dit un monsieur âgé vient 6ur l'esprit allemand des gaz asphyxiants
de ce cru on veut voyager trop vite. Des rapi- pour endormir les prudences.
Les puissances qui ont créé le pacte de la
des! Ils veulent tous des rapides! Des trains
qui marchent a 90 à meure se suivent à dix Société des Nations sont les mêmes qui ont
minutes. 11 y en a au moins douze a la queue créé le Traité de Versailles. Il y aurait -conieu leu sur la ligne où nous sommes. C'est de tradiction à ce que l'Allemagne restât la vicia folie, la folie de la vitesse. On en meurt time du Traité de Versailles et entrât en
même temps dans la Société des Nations.
comme de n'importe quel autre excès
— Le folie de la vitesse, fait observer un Pour éliminer cette contradiction, les puismoraliste, découle de la manie de l'égalité. sances de la Société doivent reviser le Traité
Votre observation me rappelle le m de ce de Versailles.
L'Allemagne n'a à rechercher dans la SoCcnsei' général qui demandait des trains exciété des Nations qu'un avantage exclusivepress à toutes les stations.
ment
national.
Dans un autre coin, deux voyageurs causaient aussi. Je m'approchai d'eux.
Même langage dans la Gazette de la Croix,
— La fréquence des catastrophes sur les organe du centre catholique allemand :
chemins de fer devient frappante, disait l'un
Le pacte de M. Stresemann serait aussi
qui portait la rosette de la Légion d'honneur
fi. n'est pas sans intérêt de remarquer qu'il honteux que le Traité de Versailles, car jaen a été de même en Allemagne durant la pé- mais le Rhin, le plus allemand de tous les
riode de dépréciation monétaire et d'inflation. fleuves, ne pourra marquer, fût-ce sur une
— Quel rapport ces phénomènes ont-ils en- section de son cours entre Baie et Wesel,
la frontière du Reieh.
tre eux? demandai-je.
— Un rapport très simple, répondit-il. L'enCeci est assez clair et n'a pas besoin d'être
tretien du matériel et de la voie devient de commenté. Une simple question cependant :
plus en plus coûteux Les tarifs, qui parais- Lit-on les journaux allemands au Quai d'Orsent élevés, ne sont plus suffisants pour le say? Et si oui. est-on incapable de conclure?
budget des réseaux. Afin de ne pas les élever
davantage, on fait des économies. On en fait
LA CREVE DES BANQUES
sur des choses qui paraissent secondaires.
Mais, de proche en proche, iusure s'accroît
lemi Gazave écrit dans l'Action Française :
et s'aggrave. De là les accidents Les chemins
Avant de montrer tant de fermeté dans
de fer sont des instruments de précision qui
leur résistance, les hauts dignitaires des
ont besoin d'être toujours au point.
— Et ces instruments de précision, reprit banques devraient faire un peu oraison et
dans
l'humilité de leur cœur ils verraient
le deuxième personnage, exigent pour fonctionner sans heurts ni à-coups, un personnel apparaître une vérité très simple : ils sont
non seulement entraîné, mais discipliné. C'est les responsables de cette grève, parce que s'il
une armée dont la force principale et la sé- avaient fait le métier pour lequel ils sont horétribués, elle n'aurait jamais
curité sont constituées par la discipline. Il norablement
éclater. Us auraient su, ils auraient prévu,
suffît de verser B-dessus un peu de socialisme pu
ils auraient pourvu. Eli un mot, ils auraient
pour que la machine se détraque. Cest le gouverné.
Ils ont manqué à leur fonction. Il
grain de sable dans le mécanisme de la montre Les catastrophes de chemins de fer sont est juste qu'ils paient les conséquences de
le symptôme d'une désorganisation progres- leur aveuglement.
sive. Le machinisme de notre civilisation moS'ils ne pojussent pas la vertu de force jusqu'à s'imposer à eux-mêmes la peine
que
derne est incompatible avec la démagogie..;»
leur défaillance a méritée, il doit exister,
L'ALLEMAGNE ET LA S. M, 0,
dans toute nation civilisée, une autorité souveraine pour rétablir partout la justice et la
M. Léon Daudet écasit dans V ;« Action paix. C'est le rôle propre de l'Etat et sa raiFrançaise » :
son d'être. Or, depuis six semaines, l'Etat
Quelque chose se trame encore dans; nos républicain accuse une faillite complète sur
ce point. Malgré toutes les promesses minispossessions coloniales, tel est le fait.
Ce quelque chose, un gouvernement qui se- térielles, le gouvernement n'a rien obtenu des
rait un gouvernement oserait le regarder en banques. Pourquoi ? Parce que l'Etat est
face et non par personnes
interposées ; leur prisonnier. Nous vivons en pleine féodamais derrière les yeux et les palabres artifi- lité : les grands vassaux sont les plus puisciels du Synode de Genève, il y a une réalité sants et font la loi an suzerain.
terrible, une réalité qui, pour n'être pas préLes employés en grève sont déçus par cette
sente, n'en domine pas moins toute la situa- carence de l'Etat plus que par tout le reste.
tion. II y a l'Allemagne et sa triple et ferme Us comptaient aboutir, grâce à son appui. A
tvolonté : 1° de redémembrer la Pologne et cet espoir fallacieux, ils ont abandonné la red'en récupérer sa part ; 2° de récupérer l' Al- vendication essentielle : seul remède à leur
sace-Lorraine : 3" d'annexer l'Autriche : 4° situation trop précaire : le salaire-or. A quoi
de récupérer ses colonies.
leur a servi un si grand sacrifice ? A rien.
L'Allemagne va procéder par échelons,
Les employés de banque ne réussiraient
comme elle l'a toujours fait an cours des
âges, en dépit de ses désastres militaires et pas mieux en suivant les communistes qu'en
se confiant aux ministres du Cartel. Ce ne
sociaux.
Sur le premier et le troisième point elle ne sont pas les méthodes révolutionnaires, mais
trouvera pas contre elle l'Angleterre ; sur le les reconstructions corporatives qui les mèsecond point, l'Alsace-Lorraine, elle trouve- neront à la tranquillité du pain quotidien
rait contre elle l'Angleterre, si elle ne re- par les salaires en monnaie saine, c'est-àcherchait d'abord un premier échelon, une dire en francs-or. Et si les travailleurs vouposition d'attente : l'autonomie de l'Asace- laient comprendre leur intérêt tout entier,
Lorraine ; sur le troisième point, l'Allemagne ils verraient aussi que la paix sociale exige
d'un Etat fort et capable,
sait qu'elle aura contre elle et à fond l'An- la restauration
gleterre, car sans marine pas de colonies, et tout comme autrefois, de s'appuyer sur le
remettre les
jamais à aucun prix, l'Angleterre ne permet- bon peuple de France pour
tra à l'Allemagne de refaire sa marine de grands féodaux d'aujourd'hui à leur place et
les
contraindre
à
servir
an
lieu
de dominer
guerre, coulée à Scapa-Flow.
injustement,
Lundi s'ouvrira la sixième assemblée généFeraand AZAIS.
rale de la S. D. N,
Le Temps observe gué ce gui donné a cette
'assemblée une importance particulière c'est
'«surtout..*
L'atmosphère', c'est lé fait des négociations
en cours pour la conclusion à prendre pour
l'Allemagne en ce qui concerne 6on entrée
CT COLONIALE
dans l'organisme international de Genève.
Transmission Télégraphique de Metrcorlalw
Donc, sous peu, l'Allemagne ferait partie
à Négociants. Banques. AgrtcuTeura,
de la Société des Nations Mais il est permis
Journaux Syndicats Agricoles, etc..
de se demander quel rôle elle y jouerait.
La presse allemande, la plus officielle, juge HALLES : BESTIAUX, CEREALES, SUCRES
BOURSE DES VALEURS
inutiie de déguiser l'esprit public et les protêts gouvernementaux,
Rédaction complète ou partielle de journau*
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DEUXIEME PAlfTIB
DANS LES RUINES
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mâ pëi&--^ë, oui, maintenjaïîï,- on en parmais à ce moment, c'était la terreuir
dn pays, 'qu'il îaisait dépouiller par les
'Allemands. Ah ! j'en connais sur lui Pour
ce qui est de Landry, s'est lui qui 1 a. accusé, et c'est certainement lui qui a cache
E mon ami des vêtements de soldate
anglais pour le faire prendre.
— On no l'a donc pas défendu Landry ?
— Tous, nous avons défilé devant les
officiers, les femmes, les quelques hommes
^TreSaient, sa fille, pow *« que ce
l S'était pas vrai. On ne put rien. Il y avait
w Mstumes anglais trouvés caehés dans
S Se. Et moi, j'ai su après par_ es
i»ldats boches, que c'était Edmond qui les
« avait mis et avait dénoncé Landry-.
— Mais pourquoi 2 demanda Irène.
Itera,
ECONOMIQUES
. EXPRESS DU MIDI
(ANNONCES CLASSÉES)
H es? répondu sbu$ cette rubrique a toute
demande de renseignements, accompagnée
d'une somme de cinq panes pour couvrir le
journal de ses frais,
Veuves de militaires pourvues d'un emploi
public
L'article 42 de la loi du 10 mars 1925 a
supprimé l'interdiction de cumul édictés par
l'article 68 de la loi du 14 avril 1924 entre
l'allocation annuelle prévue par ledit article
et le revenu d'un bureau de tabac de Ire
classe.
Par voie de conséquence, l'instruction du
15 octobre pour l'application de la loi a été
modifiée et son article 46 est rédigé comme
Ci-apres :
Les veuves de militaires de carrière décèdes avant le 17 avril 1924, en activité de service, sans réunir de droits à pension d'au«™ e sorte et sans être elles-mêmes titulaires
du chef de leur mari, soit d'une pension, soit
d un emploi public, peuvent solliciter la concession d'une allocation annuelle.
Cette allocation est calculée sur la base de
30, 40 ou 50 francs pour chaque année de service effectif, suivant que le mari, au jour de
sa mort, percevait une solde de moins de
3.000 francs, de 3.000 à 3.999 francs ou de
6.000 francs et au-dessus.
L'allocation est exclusive de toute adjonction de pension temporaire d'orphelin.
L'attribution de cette allocation est soumise
aux mêmes conditions touchant la durée du
mariage que celle de la pension de reversion
Elle est subordonnée à la condition que lé
mari soit mort en activité, c'est-à-dire dans
une position susceptible d'ouvrir droit à pension. Les règles visant la déchéance du droit
à pension de veuve sont applicables en ce
qui touche le droit à allocation 'séparation
ou divorce aux torts de la femme, perte de
la nationalité française, condamnations et
autres cas visés à l'article 56 de la loi du
14 avril 1924).
Les demandes en Vue de la liquidation de
l'allocation instituée par l'article 68 de la loi
sont adressées au sous-intendant départemental du domicile de l'intéressée comme en
matière de pension proprement dite. Dans le
cas où la veuve aurait été," du fait de son
veuvage, pourvue d'un emploi public, elle
doit le mentionner dans sa demande et y
joindre une déclaration de renonciation à
l'emploi.
Les autres pièces justificatives à pqindsfle
sont :
1° Acte de naissance de la veuve;
2° Acte de mariage avec le défunt ,
3° Acte de décès du mari (mort en activité);
4° Etat général des services et campagnes
du mari et état des services admissibles pour
la retraite, accomplis à un titre autre que
militaire ;
5° Certificat de notoriété;
6° Acte d'individualité;
7° En cas de remariage depuis lé 'décès du
mari ouvrant des droits à allocation, la
veuve devra fournir en outre toutes pièces destinées à justifier de son état-civil actuel :
acte du nouveau mariage, certificat de l'autorité municipale attestant que le nouveau
mari est de nationalité française, acte de décès du nouveau mari dans le cas où la pétitionnaire serait redevenue veuve, extrait du
jugement de divorce dans le cas où la nouvelle union aurait été dissoute par un tel
jugement, etc...
Les demandes de liquidation d'allocation de
l'article 68 ne peuvent ouvrir de droits à
mandatement d'avances. Elles indiquent la
localité où la requérante désire percevoir les
arrérages (localité, rue, numéro et pour Paris, arrondissement). La signature de l'intéressée doit être légalisée par le maire.
Les déclarations de renonciation à un emploi seront communiquées par les soins du
bureau liquidateur au service dont relève
l'emploi occupé par la veuve.
Le service du traitement attaché à l'emploi
ne cessera, dans tous les cas, qu'à compter
de la date à laquelle l'allocation aura commencé à être perçue par l'intéressée. Une
mention spéciale sera portée à cet effet sur
l'arrêté de concession et reproduite sur le
certificat d'inscription de l'allocation qui
aura pour point de départ le 17, avril 1924.
^Circulaire du 17 août 1925.),
Commandant J. 80UYILLE.
Espagne
Cotam" italienne.
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1S9L .. Londres-Mexico ,
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— 1398.... .... 370 .. Foncier Égyptien
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560 .. Lombards oblig..
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MaMC 19*>4. ...
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Salooique ......
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Portugais0 série. 110 .. Saragosse ......
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— 191 1»
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— 1903........ 480 .. Garpet. ........
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— 1999,
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— 1913.
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34 .. Ptiilitfjsne'
Turc uni&é
35 .. Portugal.
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geuillaton da 4 septembre.
LA FILLE DO FUSILLÉ
peu»
litau es
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— On a dû voua le dire. Edmond avait
été chassé pour vol par votre grand-père
et remplacé par Landry, qu'il accusait
d'avoir dévoilé au comte ses ti'ipotages. De
là est venue sa haine. Une fois déjà il
l'avait dénoncé aux Boches, mais il s'était
trouvé que l'accusation ne tenait pas deibout Landirw avait un alibi. La seconde
fois, 'Edmond ne l'a pas manqué. Ab. ! cette
fusillade I Ça été épouvantable !
Violemment ému, Jordier esswye son
liront en sueur et ses yeux qui pleuraient.
— Enfin dit-il, c'est des histoires bien
tristes, comme toutes celles de la guerre.
N'en parlons plus. Maintenant, il faut travailler, et c'est pour cela que j'ai voulu
voir M. de Vrigné, votre frère. C'est lui à
présent qui a le château ?
— Non, le château ne nous appartient
plus. Mon frère, qui est architecte, est seulement chargé de le reconstruire.
-- Ah ! fit-il c'est dommage. Je voulais
lui demander de me recéder la ferme et
les champs que j'avais avant ia guerre. La
terre y est bonne et on rebâtirait la maison. Je suie resté fort et mon fils Jean
vimdrait avec moi. Le pauvre garçon était
-*S9 »•••*•*
— 1900.......
— 1907
— 1,909........
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(Toutes les femmes connaissent les dangers qui lés menacent
à l'époque du Retour d'Age. Les symptômes sont bien connu»
C'est d'abord une sensation d'étouffement et de suff 0caiU^
qui étrelnt la gorge, des bouffées de chaleur qui montent an
visage, pour faire place à une sueur froide sur tout le corps
Le ventre devient douloureux, les règles se renouvellent irregul
lières ou trop abondantes et bientôt la femme la plus robuste
se trouve affaiblie et exposée aux pires dangers, Cest alors
qu'il faut, sans plue tarder, faire une cure avec la
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D'un jugement rendu par défaut au profit
de Monsieur Joseph Morgo, ajusteur-mécanicien, domicilié à Toulouse, 23, rue du PortGaraud, contre Madame Joséphine-Antoinette
Rubert, épouse Morgo, domiciliée à Toulouse,
17, rue des Prés, par la première Chambre
du Tribunal Civil de Toulouse, le 22 mai 1925;
Il appert que le divorce a été prononcé entre les époux Morgo à la requête et au profil
du mari.
Pour extrait î
H. MAS, avoué, signé.
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critique, Fibrome, Douleurs du ventre.
La présenté insertion est faite* en vertu
d'une ordonnance de Monsieur le Président
du Tribunal Civil de Toulouse, en date du
31 août 1925.
" Les
— cinquième, ,
— obligation . .
Wyom.o? pr.v.. .
Grosnyi ordlnairf
— privilégiée, ,
Orna. Pétroles...
Steaoa Romans.
tout désemparé quand, en revenant, il a 1
appris que Beoiite, sa promise, avait été
tuee.
—• Mais comment le savez-vous ? demanda Irène.
— C'est pas possible autrement. Elle
s'est enfuie dm village quand il tombait
partout des obus, et on ne l'a plus revue ;
il y a déjà huit sns de cela.
La jeune fille laissa Jordier dans son
erreur. Aussi bien savait-elle, en effet, que
Bartho I^ndry n'avait pas été tuée depuis
sa disparition de Fresnes.
-~ Ecoutez, dit-elle au vieux familier.
C'est toujours M. Larmandy, de Péronne,
qui s'occupe do la location des terres, mais
je vous promets de lui faire parler par
mon frère et on vous donnera la préférence je m'y engage. Revenez un de ces
jouons' ou envoyez-mci votre fils. Qu'est-ce
qu'il fait votre fils ?
— Il remettait en état un champ qui
nous appartient vers le petit étang, mais
un ohef d'équipe qui travaille au château
l'a angasé. C'est bien payé, il a accepté.
On prend ce qu'on trouve en es moment,
n'est-ce pas ? Et puis, la pioche ça le connaît, car il en a remué de la terre dans
les tranchées.
— Eh bien, c'est entendu, M. Jordier.
Vous pouvez compter sur moi et sur mon
frère. Vous perdriez votre temps à latten-
7850
1560
228
820
•
*
680 • •
600 • *
S83 t •
300
daecr, vous reviendrez nous parler de lui.
— Ce sera avec bien du plaisir, mademoiselle, fit le fermier en se retirant.
Quand il fut parti, Irène resta pensive.
Ainsi donc, c'était bien lui, c'était cet
homme, voleur et traître, qui, sous un
faux nom. avait osé demander sa main
pour son fils, la main de la petite-fille de
celui qui l'avait chassé 1 Quel cynisme i
Elle rougissait rien qu'à la pensée que
celui que Jordier venait de traiter de bandit eût osé la salir de son choix.
Sans l'anima dversion instinctive qu'elle
éprouvait pour lui ; sans les soupçons qui
le lui avaient rendu puspeot, sans l'amoux
qu'elle gardait dans le secret de son cœur
pour Dorfeuil, qui peut savoir si elle n'eût
pas accepté cette union, dont la seule paa^ la secouait maintenant d'horreur ?
" Et quelle honte, alors, pour elle et pour
les siens, si cet abominable passé, que connaissaient les gens de Fresnes. avait été
révél° au grand jour !
Car, puisqu'elle savait, elle, était-il impossible que d'autres l'apprissent un jour ?
Ils apprendraient que c'était cet homme
q-uj g'était fait l'informateur des Allemands, qui avait dénoncé en pleine guerre
un Français à la barbarie boche, qui, par
vengeance, avait fait fusiller son compatriote, le père de cette pauvre jeune fille
que sa mère avait recueillie. Et cette pensée lui rendait plus chère Berthe Landry,
malheureuse disparue.
^ Je ne l'ai pas perdu, dit-il en se le- la Disparue
j ce mot raviva soudain son
vant puisque, grâce à vous, mademoiselle, tout s'arrangera. Tout de même, j au- souvenir, et Irène poussa unie exclamarais aimé travailler pour le petit-fals du
— Ah I se dit-elle, je comprends tout,
comte. Quel brave liomaoe c'était ! made- maintenant. Comme son père, elle a été
moiselle.
.
> ~ Vous connaîssea la maison^ M,: JOT- vksUm© de cet bomoae, C'est lui qui l'a ea-
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levée. Elle était le vivant et permanent
témoin de son crime et pouvait un jour
l'accuser. Ne i'avait-elle pas reconnu sous
son faux nom ? U fallait qu'elle gardât
dans la mort un silence que, d'un instant
à l'autre, en le revoyant chez nous, elle
devait rompre dans une heure d'émotion.
Devant un tel danger, le bandit n'a pas
hésité.
Et cela lui expliquait comment, le premier, Bourniol était informé de la disparition de Berthe Landry. Et, pour donner
le change, — avec cruelle maladresse ! —
il s'eimpressait d'apporter à Mme de Vrigné des «xn<doléa»cos qu'on n'attendait pas
de lui.
Ce geste seul était un aveu. Qui pouvait
alors le deviner î Mais, maintenant, elle
en était certaine.
Elle s'arrêtait à ce motif de crainte de
la part de Bourniol et ne songeait plus,
comme elle an avait eu jadis l'idée, à rattacher la disparition de Berthe Landry ans
vols des Bonheuirs-du-jour.
Qu'aJlait-elle faire î Irène était presque
effrayée de ce secret qu'elle venait de percer. U lui semblait iourd d'avoir à le porter
seule et elle aurait vouhi se confier à quelqu'un.
Elle repoussait l'idée d'en parler à sa
mère et à son frère. Ils vivaient là si tranquilles, dans cette retraite où ils avaient
tout oublié des premiers incidents qui les
avaient tant émus I Pourquoi troubler leur
existence redevenue calme par cette révélation qui les eût terrifiés ?
A Paris, près de Dorfeuil, elle n'aurait
rien caché à l'ami dont elle eonnaissait le
dévouenient affectueux, mais elle ne pouvait ni le voir, m confier à une lettre
JEHAN
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A. SECUY
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aveugle, soura et manchot de gner»
9. rue Maury. Toulouse.
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d'aussi graves accusations.
U lui avait parlé, quelques mo^p -rt
tôt, d'une enquête que l'inspecteur ^fzZ,
était venu faire à Fresnes sur Berthe L»^
dry. Comment, se demandait-elle, 1^ ufJ
tective n'avait-il pas recueilli sur^
mol les faits qu'elle avait si
appris î
„~r«seiPeut-être s'était-il contenté de se r^)
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gner sur l'origine de la jeune fill > zr^-ù
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nom de monsieur Edmond ne ^.
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rien rappelé ? Peut-être aussi les ^iUés,
de Fresnes s'étaient-iis montrés res^ ^
avec cette méfiance de nos P&y ^^LJîj/ss1*
des enquêtes judiciaires où ils jredO"*^
d'être mêlés ?
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Irène pensait à toutes ces choses
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montant la grande allée qui conduasai er .
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château, car elle avait eu besoin o ^^
cher dans le grand air et la P ^cup**
une diversion physique à ses preoc*tiens morales.
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Elle contourna les ruines et, comni<?
en avait l'habitude, afiait s'engageit
les grands bois de la forêt, que pre<uaie vaste pelouse où s'entaissaien- ^
matériaux de construcUon, ^^^reaperçut son frère et un de ses eu ^
neuirs M. Porteux, arrêtés à 1 oree '" ^
devant uaie longue excavation aum
de profondeur.
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L'entrepreneur salua la j erane n !^yef
s'approchait d'eux, et continua »
eation commencée avec PhiliPP 6 - Vrigiié,
— Je me demande, monsieur w
dLs.ait-il, qui a pu entreprendre un Y
tiravail et dans crijelle intention <
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— Qu'est-co dyne ? demanda
curieuse^ suiv*^
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