Revue de presse - Commission de l`Océan Indien

Transcription

Revue de presse - Commission de l`Océan Indien
Revue de presse
Articles publiés entre le 07 octobre et le 11 octobre 2013
Coopération…………………………………………………………………………..2
Desserte aérienne………………………………………………………………….3
Elections à Madagascar…………………………………………………….......5
Pêche…………………………………………………………………………………14
Economie……………………………………………………………………………26
Tourisme……………………………………………………………..................27
Sécurité alimentaire…………………………………………………………….29
Changement climatique………………………………………………………..31
Genre…………………………………………………………………………………32
Les articles contenus dans ce document n’engagent que les auteurs et les sources dont
ils émanent. Ils ne reflètent en aucun cas une position officielle de la COI.
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Coopération
Victorin Lurel à La Réunion avec Claudine Ledoux dans
ses valises
10/10/2013
Le séjour du ministre des Outre-mer à La Réunion promettait déjà d'être
très animé, les jeudi 17 et vendredi 18 octobre prochains. Il le sera
d'autant plus que Victorin Lurel sera accompagné de la nouvelle
ambassadrice déléguée à la coopération régionale pour la zone océan
Indien, Claudine Ledoux, dont la nomination avait suscité une très vive
polémique sur l'île.
Cela promet d’être un sacré baptême du feu pour l’ancienne maire de
Charleville-Mézières. En tant que nouvelle ambassadrice déléguée à la
coopération régionale pour la zone océan Indien, Claudine Ledoux est en
effet attendue dans une semaine à La Réunion, où elle accompagnera le
ministre Victorin Lurel dans le cadre de la 19e conférence des présidents
des Régions ultra-périphériques (RUP).
Jeudi 17 octobre, elle assistera aux travaux de clôture de la table ronde
consacrée à la coopération territoriale européenne, en présence
notamment de commissaires de l’Union européenne et du Mauricien JeanClaude de l'Estrac, secrétaire général de la commission océan Indien.
Claudine Ledoux sera chargée d’accueillir tout ce beau monde et
d’effectuer la synthèse du séminaire.
Mais cette tâche ne devrait pas être la plus éprouvante pour la nouvelle
ambassadrice, qui devra surtout faire front à la vague d’indignation
qu’avait suscitée sa nomination à La Réunion. C’est en effet tout l’éventail
politique de l’île qui s’est ému du choix du gouvernement en faveur de
l’élue ardennaise, alors que le Réunionnais Wilfrid Bertile, ancien
secrétaire général de la commission océan Indien, s’était porté candidat.
Bénéficiant du soutien d’une très grande majorité des élus locaux, ce
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
dernier avait d’ailleurs qualifié la nomination de Claudine Ledoux de "gag"
et de "choix incompréhensible".
De leur côté, Nassimah Dindar, présidente du conseil général et plusieurs
parlementaires, d’Ericka Bareigts à Huguette Bello, ont écrit au président
de la République François Hollande pour défendre la priorité régionale. La
semaine dernière, les élus de l’Alliance du conseil régional ont déposé une
motion demandant au gouvernement "d’ajourner sa décision" et de
"procéder à la nomination de la personnalité réunionnaise qui a postulé à
ce poste". Le lendemain, ce sont les élus du conseil général qui
condamnaient à leur tour la nomination de Claudine Ledoux, demandant
eux aussi son remplacement par Wilfrid Bertile.
Tous assurent ne pas viser la personnalité ou les compétences de Claudine
Ledoux, mais déplorent le choix d’une élue totalement extérieure à la
région. L’ex-maire de Charleville, que l’on dit proche de Laurent Fabius,
aura donc toutes les raisons de se montrer convaincante lors de son court
séjour à La Réunion.
http://www.ipreunion.com/photo-du-jour/reportage/2013/10/10/voyageofficiel-a-la-reunion-les-17-et-18-octobre-victorin-lurel-avec-claudineledoux-dans-ses-valises,22339.html
Desserte aérienne
Avec l’appui de la Chine – Maurice pour la création d’une
nouvelle compagnie aérienne
Arvin Boolell
Booster le tourisme régional en créant une compagnie aérienne qui
desservirait les îles de l’océan Indien et les pays de la côte Est de
l’Afrique, dont le Kenya ou encore le Burundi et l’Afrique du Sud, constitue
un agenda sérieux.
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
L’option de créer une compagnie aérienne régionale est à l’étude. Un
accord a été signé entre Maurice et la Chine pour que cette dernière l’aide
à concrétiser ce projet. Confirmant l’information, Arvin Boolell, ministre
des Affaires étrangères, explique que la première étape consistera en une
étude de faisabilité.
« Nous avons demandé à la Chine de nous aider dans ce sens, » explique
le ministre. « Le potentiel en terme de touristes est considérable. Mais
créer et opérer une ligne aérienne n’est pas aussi facile. C’est pour cela
que nous voulons faire cette étude afin de voir si cela serait vraiment
viable », dit Arvin Boolell.
Le ministre ajoute qu’un partenariat privé-public est « une possibilité. » Il
s’agira alors de voir à quel point les pays de la région s’impliqueront dans
le projet et sous quelle forme. Mais pour Arvin Boolell, il y a une logique
implacable.
« Si ce n’est pas rentable, personne ne prendra le risque d’y investir. » A
priori, la masse critique est là. Ensemble, les pays de la région, incluant la
côte Est du continent, représentent plus de 100 millions de personnes. Et
avec la croissance économique africaine, le cercle des citoyens ayant un
revenu assez confortable pour pouvoir voyager hors des frontières
s’élargit.
L’idée de la création d’une ligne aérienne régionale a été relancée, il y a
quelques mois, par Jean-Claude de l’Estrac, secrétaire-général de la
Commission de l’Océan Indien (COI). Mais, si l’idée semble séduisante,
Arvin Boolell souligne qu’il « faut tirer les leçons du passé, même si cela
ne doit pas empêcher d’avancer ».
À Maurice, l’on pense à Catovair, la compagnie aérienne qu’IBL avait
fondée pour assurer des vols Maurice-Réunion-Rodrigues. Sans appui du
gouvernement mauricien, Catovair a cessé ses opérations en 2008. Puis, il
y a le cas Air Afrique. Le nom a été donné à plusieurs compagnies
aériennes, dont la première remonte à 1926.
La dernière porteuse du nom a mordu la poussière en 2002. À chaque
fois, il s’agissait de créer une ligne aérienne pour pouvoir mieux desservir
le continent. Il faudra aussi composer avec la résistance des compagnies
aériennes existantes et actives dans l’océan Indien. Pour Air Mauritius, par
exemple, la connexion Maurice-Réunion est extrêmement rentable. Voir
un autre opérateur puiser dans ce vivier ne lui fera probablement pas
plaisir. Une guerre des prix pourrait toutefois booster les déplacements
inter-îles.
http://www.defimedia.info/defi-quotidien/dq-actualites/item/39948-avec-l-appuide-la-chine-maurice-pour-la-creation-d-une-nouvelle-compagnie-aerienne.html
Pour en savoir plus :
http://www.zinfos974.com/Les-autorites-mauriciennes-veulent-creer-unecompagnie-aerienne-regionale_a62531.html
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
http://www.linfo.re/555045-Maurice-veut-lancer-une-compagnie-aerienneregionale
http://www.indian-ocean-times.com/L-ile-Maurice-veut-lancer-une-compagnieaerienne-regionale-avec-le-soutien-de-la-Chine_a2267.html
Elections à Madagascar
UNION EUROPÉENNE:
électoraux
Déploiement
des
observateurs
07/10/2013 Iloniaina Alain
Un départ sur le terrain. Les quarante-quatre observateurs de longue
durée de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE)
vont quitter la capitale ce matin, selon un communiqué de ladite mission,
samedi. Ils seront « déployés dans les 22 régions de Madagascar ce lundi
», a-t-il ajouté. À part les quarante-quatre observateurs déjà sur place,
les cinquante autres éléments de la mission devront rallier leurs collègues
dans les prochains jours. Depuis le 25 septembre, neuf experts de
l’équipe-cadre sont déjà arrivés. À entendre, Maria Muñiz, membre du
Parlement européen, le nombre d’observateurs est « suffisant » et «
répond aux critères internationaux ». Cette mission examine l’ensemble
du processus, depuis la publication de la liste des candidats jusqu’à la
proclamation des résultats. La mission d’observation de l’Union
européenne ne devrait pas être seule sur le terrain. Béatrice Atallah,
présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la
transition (CENIT) avait annoncé la présence de près de 5 000
observateurs nationaux et de près de 300 de la Communauté de
développement de l’Afrique australe (SADC). L’Organisation internationale
de la Francophonie (OIF) et la Commission de l’océan Indien (COI)
devraient également dépêcher une mission d’observation. Certaines
ambassades de la capitale, comme le Japon, les États-unis, l’Inde ou
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
encore la Suisse devraient également former chacun de leur côté, une
équipe locale d’observation.
CC
http://fr.africatime.com/madagascar/articles/union-europeenne-deploiementdes-observateurs-electoraux
Des ambassades s'impliquent
05 octobre 2013 Iloniaina Alain
Participation sous diverses formes. Des chancelleries de la capitale
entendent prendre part à la mission d'observation des élections à leur
niveau, en parallèle à la venue des grosses missions annoncées. Selon
Ryuhei Hosoyalui, ambassadeur du Japon,
l'objectif est de « jouer un rôle complémentaire et supplémentaire » aux
missions d'observation qui arriveront avec un nombre beaucoup plus
important de membres.
Plusieurs diplomates, représentant certains pays, se sont retrouvés à
l'ambassade nipponne pour discuter de la strategie à adopter hier. Il
s'agit, entre autres, des États-Unis, de l'Inde, de la Suisse. D'autres
organisations internationales ont également envoyé des délégués.
Ces équipes d'observation opèreront d'une manière indépendante les unes
des autres.
Le volet observation électorale comprend notamment les observateurs
nationaux estimés à près de 5 000 personnes, selon Béatrice Atallah,
présidente de la Commission électorale nationale indépendante pour la
Transition. L'Union européenne prévoit une délégation composée d'une
centaine d'éléments tandis que la Communauté de développement de
l'Afrique australe enverra 300 personnes. L'on s'attend également à des
délégations de l'Organisation internationale de la Francophonie et de la
Commission de l'océan Indien.
CC
http://www.lexpressmada.com/5643/observation-electorale-madagascar/47189des-ambassades-s-impliquent.html
Déploiement des observateurs électoraux
07 octobre 2013 Iloniaina Alain
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Un départ sur le terrain. Les quarante-quatre observateurs de longue
durée de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne (MOE)
vont quitter la capitale ce matin, selon un communiqué de ladite mission,
samedi. Ils seront « déployés dans les 22 régions de Madagascar ce lundi
», a-t-il ajouté.
À part les quarante-quatre observateurs déjà sur place, les cinquante
autres éléments de la mission devront rallier leurs collègues dans les
prochains jours. Depuis le 25 septembre, neuf experts de l’équipe-cadre
sont déjà arrivés.
À entendre, Maria Muñiz, membre du Parlement européen, le nombre
d’observateurs est « suffisant » et « répond aux critères internationaux ».
Cette mission examine l’ensemble du processus, depuis la publication de
la liste des candidats jusqu’à la proclamation des résultats.
La mission d’observation de l’Union européenne ne devrait pas être seule
sur le terrain. Béatrice Atallah, présidente de la Commission électorale
nationale indépendante pour la transition (CENIT) avait annoncé la
présence de près de 5 000 observateurs nationaux et de près de 300 de la
Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC).
L’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et la Commission
de l’océan Indien (COI) devraient également dépêcher une mission
d’observation. Certaines ambassades de la capitale, comme le Japon, les
États-unis, l’Inde ou encore la Suisse devraient également former chacun
de leur côté, une équipe locale d’observation.
CC
http://www.lexpressmada.com/5644/union-europeenne-madagascar/47211deploiement-des-observateurs-electoraux.html
La COI participera
Madagascar
à
l'observation
des
élections
à
9/10/2013
Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac.
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
PORT-LOUIS, (Xinhua) -- La Commission de l'océan Indien (COI)
participera à l'observation des élections présidentielles et législatives du
25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission dans un communiqué
émis à Port-Louis mardi. Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de
l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite
à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée
de 16 observateurs provenant des pays membres notamment des
Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar
du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections. Lors de sa visite à
Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le Premier
ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des
institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à
l'ordre juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections
internationalement reconnues". "C'est en définitive une solution
malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire
général de la COI, Mme Béatrice Atallah, présidente de la Commission
électorale nationale indépendante de la Transition (CENIT) de Madagascar
a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du scrutin.
Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui
comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles.
CC
http://fr.africatime.com/madagascar/articles/la-coi-participera-lobservation-deselections-madagascar
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Le mauricien 8/10/2013
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
CC
Le Défi quotidien du mercredi 9 octobre
CC
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
La
COI
participera
à
l'observation
des
élections
à
Madagascar
10.10.2013
La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections
présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission
dans un communiqué émis à Port-Louis mardi. Le secrétaire général de la COI, Jean
Claude de l'Estrac, en a informé les autorités malgaches au cours d'une brève visite
à Antananarivo, les 3 et 4 octobre. La délégation de la COI sera composée de 16
observateurs provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice,
Réunion et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le
premier tour des élections. Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de
la COI a rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné
que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour
à
l'ordre
juridique
et
constitutionnel
qui
permettra
de
tenir
des
élections
internationalement reconnues"."C'est en définitive une solution malgacho-malgache",
a-t-il dit. Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice
Atallah, présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la
Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon
déroulement
du
scrutin.
Madagascar
est
membre
de
la
COI,
organisation
intergouvernementale qui comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les
Seychelles
CC
http://french.peopledaily.com.cn/96852/8420374.html
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
La
COI
participera
à
l'observation
des
élections
à
Madagascar
La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des
élections présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a
annoncé la Commission dans un communiqué émis à Port-Louis mardi.
9 octobre 2013
Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les
autorités malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4
octobre. La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs
provenant des pays membres notamment des Comores, Maurice, Réunion
et Seychelles et sera présente à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le
premier tour des élections.
Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a
rencontré le Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et
souligné que "ce sont des institutions malgaches qui ont décidé
souverainement de ce retour à l'ordre juridique et constitutionnel qui
permettra de tenir des élections internationalement reconnues". "C'est en
définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit. Lors d'une
rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah,
présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la
Transition (CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon
déroulement du scrutin.
Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui
comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles
CC
http://www.afriquinfos.com/articles/2013/10/9/participera-lobservationelections-madagascar-233971.asp
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
La COI participera à
élections à Madagascar
l'observation
des
09-10-2013
La Commission de l'océan Indien (COI) participera à l'observation des élections
présidentielles et législatives du 25 octobre à Madagascar, a annoncé la commission
dans un communiqué émis à Port-Louis mardi.
Le secrétaire général de la COI, Jean Claude de l'Estrac, en a informé les autorités
malgaches au cours d'une brève visite à Antananarivo, les 3 et 4 octobre.
La délégation de la COI sera composée de 16 observateurs provenant des pays
membres notamment des Comores, Maurice, Réunion et Seychelles et sera présente
à Madagascar du 22 au 26 octobre pour le premier tour des élections.
Lors de sa visite à Antananarivo, le secrétaire général de la COI a rencontré le
Premier ministre de la Transition, M. Omer Beriziky et souligné que "ce sont des
institutions malgaches qui ont décidé souverainement de ce retour à l'ordre
juridique et constitutionnel qui permettra de tenir des élections internationalement
reconnues".
"C'est en définitive une solution malgacho-malgache", a-t-il dit.
Lors d'une rencontre avec le secrétaire général de la COI, Mme Béatrice Atallah,
présidente de la Commission électorale nationale indépendante de la Transition
(CENIT) de Madagascar a fait part de sa confiance dans le bon déroulement du
scrutin.
Madagascar est membre de la COI, organisation intergouvernementale qui
comprend aussi les Comores, Maurice, la Réunion et les Seychelles.
CC
http://french.china.org.cn/foreign/txt/2013-10/09/content_30242020.htm
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Pour en savoir plus :
http://www.madagate.com/editorial/communique/3573-madagascar-elections2013-beatrice-attalah-a-la-formation-des-observateurs-de-la-moe-ue-.html
Pêche
Protection de l’environnement : Rodrigues prend une
longueur d’avance sur Maurice
10 Octobre 2013 Par Jocelyn Rose
Une ourite prise lundi. De beaux spécimens ont été obtenus grâce
à la fermeture de la pêche aux ourites en hiver.
Elle donne l’exemple à sa «grande soeur» Maurice. Les projets se
multiplient à Rodrigues afin de préserver les ressources naturelles
et d’en faire une île écologique. Parmi ceux-ci, le dessalement de
l’eau
de
mer,
une
ferme
éolienne
et
des
panneaux
photovoltaïques.
Respect de l’environnement, dessalement de l’eau de mer, protection du
lagon… Autant de domaines dans lesquels Rodrigues donne l’exemple à sa
«grande soeur» Maurice. La stratégie s’avère payante. La décision de
fermer la pêche aux ourites en hiver a ainsi permis, lors de la réouverture
lundi, de belles prises.
Ce qui conforte Richard Payendee, commissaire de la Pêche à Rodrigues,
dans sa stratégie afin de préserver les ressources naturelles de Rodrigues
et d’en faire une île écologique. Parmi les projets de l’Assemblée régionale
rodriguaise, la production d’énergie propre. «La ferme éolienne de
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Grenade, d’une capacité de 1 100 kilowatts, et celle de Trèfles d’une
capacité de 180 kilowatts produisent 10,5 % de l’énergie pour les besoins
de Rodrigues», révèle Jim Payen, Branch Manager du Central Electricity
Board à Rodrigues.
Selon lui, ces deux fermes permettent à l’île non seulement d’économiser
en termes d’achat d’huile lourde qui coûte cher, mais également de
produire de l’énergie propre.
Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux solaires dans l’île, sur
une cinquantaine de demandes enregistrées en juillet de l’année dernière,
34 ont été approuvées, soit 50 % pour les besoins domestiques et 50 %
pour les centres commerciaux. «Nous allons compléter la liste d’ici à
l’année prochaine», soutient Jim Payen. «Il existe un intérêt pour les
panneaux photovoltaïques dans l’île.»
Autre préoccupation de l’Assemblée régionale : le projet de dessalement
de l’eau de mer pour les besoins domestiques des Rodriguais. Afin
d’atteindre son objectif, l’île Rodrigues prévoit pour son budget de 2014
une somme de quatre millions d’euros pour quatre unités de dessalement.
L’objectif étant de doubler sa production d’eau potable afin de faire face à
la pluviosité déficitaire. «C’est la seule manière pour contrer ce problème
de pénurie d’eau», explique une source proche de ce dossier
CC
http://www.lexpress.mu/article/protection-de-lenvironnement-rodrigues-prendune-longueur-davance-sur-maurice
Rodrigues fête avec succès la seconde fermeture de sa
pêche aux ourites
10 Octobre 2013
L'île de Rodrigues a fêté hier devant une centaine de pêcheurs, le
chef commissaire de Rodrigues, le secrétaire général de la
Commission de l'Océan Indien (COI) et les ONG locales, son
opération de fermeture temporaire de la pêche aux ourites
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
(poulpes, pieuvres). Une seconde édition appuyée par la COI grâce
à son projet SmartFish en collaboration avec l’organisation des
Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) et sur
financement de l’Union européenne.
"Rodrigues est arrivée à un tournant puisqu’il est prouvé maintenant que
l’opération de clôture saisonnière fonctionne", affirme Jean Claude de
l’Estrac, secrétaire général de la Commission de l’Océan Indien (COI). Le
bilan de cette seconde clôture montre aussi que la surveillance doit être
renforcée et qu’il faut réfléchir à un programme d’emplois alternatifs à
plus long terme des pêcheurs. La surveillance consiste en la protection des
aires marines protégées, dans le respect de la taille minimale de l’ourite et
dans l’application stricte de la clôture de la pêche. Par ailleurs, la
cogestion de la pêche est une solution prometteuse puisqu’elle implique
les acheteurs / banians, les pêcheurs et l’administration. "L’adoption de ce
plan et le renforcement des mesures de surveillance devraient nous
permettre d’atteindre 200 tonnes de poulpes supplémentaires par an, soit
entre 400 et 500 tonnes annuellement", précise Richard Payendee,
commissaire de la pêche à Rodrigues.
Jean Claude de l’Estrac a saisi cette occasion pour présenter un livre
regroupant une quarantaine de recettes des cinq pays membres de la COI.
Un concours gastronomique 'Top Chef Ourites 2013' a été organisé et a
réuni les dix meilleurs chefs de Rodrigues autour d’un jury originaire des
Comores, de La Réunion, de Madagascar, de Maurice et des Seychelles.
"Ce livre et ce concours permettent de promouvoir les vertus
nutritionnelles de l’ourite et de le présenter comme un aliment sain et
riche en protéine", explique Davide Signa, expert en sécurité alimentaire
de la FAO.
Dans les dix prochaines années, l’Assemblée Régionale de Rodrigues
entend restaurer le lagon et profiter de ces succès dans le domaine des
ourites pour mener de nouvelles actions en matière de repeuplement des
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
concombres de mer (bambaras), de replantation des coraux et plus
généralement une meilleure gestion de la pêcherie par la mise en œuvre
d’un plan stratégique.
CC
http://www.zinfos974.com/Rodrigues-fete-avec-succes-la-secondefermeture-de-sa-peche-aux-ourites_a62654.html?com
Protection de l’environnement : Rodrigues dépasse Maurice
11 octobre 2013
Des pêcheurs rodriguais ont pu attraper de beaux spécimens d’ourites,
lundi, grâce à la fermeture annuelle de la pêche de ces dernières en hiver
Rodrigues donne l’exemple à sa «grande sœur» Maurice. Les projets s’y
multiplient afin de préserver les ressources naturelles et d’en faire une île
écologique.
Respect de l’environnement, dessalement de l’eau de mer, protection du
lagon… Autant de domaines dans lesquels Rodrigues donne l’exemple à sa
«grande sœur» Maurice. La stratégie s’avère payante. La décision de
fermer la pêche aux ourites en hiver a ainsi permis, lors de la réouverture,
lundi, de belles prises.Ce qui conforte Richard Payendee, commissaire de
la Pêche à Rodrigues, dans sa stratégie afin de préserver les ressources
naturelles de Rodrigues et d’en faire une île écologique. Parmi les projets
de l’Assemblée régionale rodriguaise, la production d’énergie propre. «La
ferme éolienne de Grenade, d’une capacité de 1 100 kilowatts, et celle de
Trèfles d’une capacité de 180 kilowatts produisent 10,5 % de l’énergie
pour les besoins de Rodrigues», révèle Jim Payen, Branch Manager du
Central Electricity Board à Rodrigues. Selon lui, ces deux fermes
permettent à l’île non seulement d’économiser en termes d’achat d’huile
lourde qui coûte cher, mais également de produire de l’énergie propre.
Panneaux solaires Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux
solaires dans l’île, sur une cinquantaine de demandes enregistrées en
juillet de l’année dernière, 34 ont été approuvées, soit 50 % pour les
besoins domestiques et 50 % pour les centres commerciaux. «Nous allons
compléter la liste d’ici à l’année prochaine», soutient Jim Payen. «Il existe
un intérêt pour les panneaux photovoltaïques dans l’île.» Autre
préoccupation de l’Assemblée régionale, le projet de dessalement de l’eau
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
de mer pour les besoins domestiques des Rodriguais. Afin d’atteindre son
objectif, l’île Rodrigues prévoit pour son budget de 2014 une somme de
quatre millions d’euros pour quatre unités de dessalement. L’objectif étant
de doubler sa production d’eau potable, afin de faire face à la pluviosité
déficitaire. «C’est la seule manière pour contrer ce problème de pénurie
d’eau», explique une source proche de ce dossier.
LEXPRESS.MU
CC
http://www.lexpressmada.com/protection-de-l-environnementmadagascar/47336-rodrigues-depasse-maurice.html
Environnement : Rodrigues devance Maurice
11 octobre 2013
Rodrigues devance Maurice en termes dans le cadre de la protection de l’environnement.
L’archipel rodriguais excelle dans plusieurs domaines et se positionne comme une
référence pour l’île voisine.
Promotion des énergies renouvelables, dessalement de l’eau de mer,
protection de l’écosystème marin, préservation de la faune et flore…autant
de domaines dans lesquels Rodrigues dépasse de loin sa voisine Maurice,
selon L’Express.mu. Le quotidien en ligne décrit l’archipel rodriguais
comme une « île écologique », où les projets se multiplient afin de
préserver la biodiversité et les ressources naturelles aussi bien terrestres
qu’halieutiques.
Rodrigues a ainsi une longueur d’avance sur Maurice notamment en
matière de développement de la filière ourite, dont la fermeture de pêche
en hiver dernier a contribué à améliorer la production tant au niveau de la
qualité que quantité. La réouverture de la pêche, ce lundi 7 octobre, a été
marquée par « de belles prises », pour la plus grande satisfaction de
Richard Payendee, commissaire de la Pêche à Rodrigues, rapporte
L’Express.mu.
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Parallèlement, la vulgarisation de l’énergie verte, l’un des chantiers
majeurs s’inscrivant dans le cadre de la protection de l’environnement, est
actuellement en cours d’examen au sein de l’Assemblée régionale
rodriguaise.
Sont à l’étude notamment « la ferme éolienne de Grenade, d’une capacité
de 1 100 kilowatts, et celle de Trèfles d’une capacité de 180 kilowatts
produisent 10,5 % de l’énergie pour les besoins de Rodrigues », révèle
Jim Payen, Branch Manager du Central Electricity Board à Rodrigues.
Selon L’Express.mu, « ces deux fermes permettent à l’île non seulement
d’économiser en termes d’achat d’huile lourde qui coûte cher, mais
également de produire de l’énergie propre ».
D’autres projets portant sur la promotion de la photovoltaïque ont aussi
été orchestrés à Rodrigues, résolument déterminé à devenir la référence
régionale en termes de protection environnementale.
« Pour ce qui est du projet d’installation de panneaux solaires dans l’île,
sur une cinquantaine de demandes enregistrées en juillet de l’année
dernière, 34 ont été approuvées, soit 50 % pour les besoins domestiques
et 50 % pour les centres commerciaux », détaille L’Express.mu.
A l’heure actuelle, les travaux se déroulent comme prévu et tous les
demandeurs seront équipés de panneaux solaires dans les prochains mois.
« Nous allons compléter la liste d’ici à l’année prochaine », « Il existe un
intérêt pour les panneaux photovoltaïques dans l’île », estime Jim Payen.
De même, le projet de dessalement de l’eau de mer prend forme pour
répondre aux besoins domestiques des Rodriguais.
Une somme de quatre millions d’euros sera ainsi mise à disposition pour
financer l’installation de quatre unités de dessalement sur l’archipel. Ce
faisant, les autorités rodriguaises pensent être en mesure de doubler la
production d’eau potable en compensation d’une pluviosité déficitaire.
« C’est la seule manière pour contrer ce problème de pénurie d’eau »,
explique une source proche de ce dossier, dans des propos relayés par
L’Express.mu.
CC
http://www.linfo.re/556715-Environnement-Rodrigues-devance-Maurice
19
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Le Mauricien du 08/10/2013
CC
Ourites à Rodrigues : bilan positif grâce à la fermeture de
la pêche
7 Octobre 2013
L’heure était à la satisfaction à Rodrigues après les bonnes prises
à l’ouverture de la saison de pêche aux ourites ce lundi 7 octobre.
20
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Ambiance animée à Rodrigues ce lundi 7 octobre. Cela, après
l’ouverture de la pêche aux ourites après plus de deux mois. Le
constat : la saison de fermeture a permis aux pêcheurs de faire de
belles prises à Pointe Coton comme à Petite Butte, entre autres…
«Zordi nou pe trouv rezilta nou zefort pou respecte nou lamer»,commente
Hensie Marla. Comme elle, plusieurs attendaient avec appréhension
l’ouverture de la pêche aux ourites tôt ce matin, lundi 7 octobre. Et, à
Rodrigues, à Pointe Coton, Port Sud Est et Petite Butte, entre autres, la
pêche a été bonne depuis très tôt ce matin. Après une fermeture de deux
mois pour permettre le repeuplement de l’espèce en protégeant les
femelles afin qu’elles puissent grossir et pondre des œufs.
C’est à Petite Butte qu’a eu lieu la cérémonie d’ouverture officielle de la
pêche
aux
ourites
en
présence
de
la
communauté
des
pêcheurs et de plusieurs personnalités. Le commissaire de la pêche
Richard Payendee a réitéré la volonté du gouvernement régional de
prendre des mesures pour faire de Rodrigues une île écologique. Il a
exprimé son regret devant la décision de Maurice de prolonger la saison
de la pêche à la senne. Et a soutenu que «même si l’année prochaine le
ministère de la Pêche décide de prolonger cette pêche, nous, à Rodrigues,
nous allons prendre la décision de la fermer le 30 septembre pour mieux
protéger notre ressource en poissons».
Egalement présent, le secrétaire général de la Commission de l’océan
indien, Jean Claude de L’Estrac, n’a pas manqué de souligner la portée
internationale de ce projet de fermeture temporaire de pêche aux ourites.
«Nous avons cité le succès de ce projet dans une grande réunion à
Bruxelles, il y a deux semaines pour justifier les demandes
de financement de l’Union européenne», a-t-il ajouté.
CC
http://www.lexpress.mu/article/ourites-rodrigues-bilan-positif-grace-lafermeture-de-la-peche
21
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Rodrigues : effet bénéfique de la fermeture de la pêche
9 octobre 2013
Pour la 2ème année, l’île de Rodrigues a fermé la pêche aux
ourites. Ce plan devrait permettre d’atteindre 200 tonnes de
poulpes supplémentaires par an selon Richard Payendee,
commissaire de la pêche à Rodrigues.
CC
http://www.linfo.re/556155-Rodrigues-effet-benefique-de-la-fermeture-de-lapeche
22
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Lexpress du 09/10/2013
CC
Pour en savoir plus :
http://www.lemauricien.com/article/rodrigues-reouverture-la-saison-la-pecheaux-ourites
23
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
COI : Succès de l’opération de fermeture de pêche aux
ourites
10/10/2013 par Navalona R.
Un concours gastronomique a été organisé afin de promouvoir la filière
ourite qui s’annonce porteuse.
L’île de Rodrigues rejoint Madagascar dans la liste des rares pays qui
ferment occasionnellement leur pêche aux ourites ou poulpes. Les
résultats de la fermeture de la pêche pour la deuxième fois ont dépassé la
phase expérimentale. Cette opération, appuyée par la Commission de
l’océan Indien au travers de son projet SmartFish, conjointement avec
l’organisation des Nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO)
et sur financement de l’Union européenne, a ainsi connu un succès. «
Rodrigues est arrivée à un tournant puisqu’il est prouvé maintenant que
l’opération de clôture saisonnière fonctionne » affirme Jean Claude de
l’Estrac, Secrétaire général de laCommission de l’océan Indien.
Vertus nutrionnelles. Dans la même foulée, un concours gastronomique
sur l’ourite, qui s’intitule « Top Chef Ourites 2013 » a été organisé afin de
promouvoir cette filière porteuse. Cet événement a réuni les 10 meilleurs
chefs de Rodrigues autour d’un jury originaire des Comores, de la
Réunion, de Madagascar, de Maurice et des Seychelles. Un livre
regroupant une quarantaine de recettes des cinq pays membres de la
Commission de l’océan Indien a été présenté en même temps. En fait, «
ce livre et ce concours permettent de promouvoir les vertus nutritionnelles
de l’ourite et de la présenter comme un aliment sain et riche en protéine »
explique Davide Signa, expert en sécurité alimentaire de la FAO.
Co-gestion. En revenant sur l’opération de fermeture de pêche aux
ourites, des mesures de surveillance des aires protégées marines doivent
être renforcées tout en contrôlant la taille minimale marchande de l’ourite
24
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
et le respect du calendrier de fermeture de pêche. Durant cette période,
un programme d’emplois alternatifs sur le long terme pour les pêcheurs a
fait l’objet d’une réflexion. Par ailleurs, la co-gestion de la pêche est une
solution prometteuse puisqu’elle implique les acheteurs, les pêcheurs et
l’administration. Ceux-ci doivent ensuite dresser un plan de préservation
des ressources, d’étalement des prises et de professionnalisation des
pêcheurs. « L’adoption de ce plan et le renforcement des mesures de
surveillance devraient nous permettre d’atteindre 200 tonnes de poulpes
supplémentaires par an, soit entre 400 et 500 tonnes annuellement »,
précise Richard Payendee, commissaire de la pêche à Rodrigues.
CC
http://www.midi-madagasikara.mg/economie/coi-succes-de-l-operation-defermeture-de-peche-aux-ourites
Défi quotidien du 9 octobre 2013
25
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Economie
le mauricien du 8/10/2013
26
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Tourisme
L'identité des îles Vanille expliquée à Las Vegas
9 Octobre 2013
Le ministre du Tourisme et de la Culture des Seychelles, Alain Saint-Ange,
et également à la tête des îles Vanille pour un second mandat, était en
déplacement aux États-Unis il y a encore quelques heures dans le cadre
du World Routes 2013 (5-8 octobre 2013) qui a eu lieu à Las Vegas dans
le Nevada. Le World Routes 2013 est un salon d'affaires de référence
favorisant les contacts professionnels dans le secteur de l’aérien mondial
et qui reçoit plus de 3.000 participants de plus de 100 pays représentant
aéroports et compagnies aériennes.Les îles Vanille (Maurice, la Réunion,
les Seychelles, Madagascar, Les Comores, Mayotte et les Maldives) ont pu
ainsi démontrer en marge d'une table ronde sur les modèles
d'investissement aux autres délégations présentes la dynamique lancée
par les 7 pays membres au coeur de l'Océan Indien, avec un
développement touristique concerté dans la région au service de leurs
économies insulaires. Les îles Vanille ont ainsi une identité propre en étant
une région touristique forte dans une diversité et complémentarité bâties
au coeur de l'Océan Indien. Devant la presse internationale, le ministre du
Tourisme et de la Culture seychellois, Alain Saint-Ange, a aussi mis en
avant l'industrie touristique seychelloise pilier de l'économie prospère de
l'archipel au coeur des îles Vanille et qui place les relations humaines au
sommet de l'édifice. Une éthique touristique humaine menée avec une
passion sans faille par tous les professionnels et responsables du tourisme
seychellois pour faire la promotion de la destination aux quatre coins du
monde, comme l'a souligné Alain Saint-Ange.
http://www.indian-ocean-times.com/L-identite-des-iles-Vanille-expliqueea-Las-Vegas_a2288.html
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Développement durable : Promotion
respectueux de l’environnement
du
tourisme
17/09/2013
La conférence sur le développement durable du tourisme des îles,
qui s’est tenue à La Réunion a été une occasion pour le SG de la
COI, Jean Claude de l’Estrac, de rappeler les efforts en matière de
développement durable dans la région de l’Océan Indien.
« Sur le milliard de touristes internationaux qui ont voyagé en 2012, notre
région (l’indianocéanie, ndlr) n’en a attiré qu’un peu moins de 2 millions ».
Ce constat est de Jean Claude de l’Estrac, Secrétaire Général de la
Commission de l’Océan Indien, lors de la conférence sur le développement
durable du tourisme des îles, qui s’est tenue à La Réunion la semaine
dernière. Ce chiffre est frustrant car il démontre le potentiel indéniable du
nombre de touristes dans le monde, à la recherche du toujours meilleur.
Et l’espace vert, la mer bleue turquoise et le calme rêvé par les millions
d’hommes et de femmes des plus grandes capitales, de New York à Paris,
en passant par Pékin, ne sont qu’autant d’arguments pour les attirer à
visiter la région Océan Indien.
Axée sur le développement durable, cette conférence a été une occasion
pour le SG de la COI de rappeler les efforts déployés par son organisation
en faveur du tourisme durable : un programme régional de gestion de la
biodiversité, financé par l’Union Européenne à hauteur de 15 millions
d’euros, visant à assurer une gestion coordonnée de la biodiversité
régionale en faveur du développement durable à travers les
renforcements de capacités des pays membres sur la gestion de leurs
écosystèmes. Dans le cadre de la promotion de l’énergie durable, la COI
contribue, grâce toujours au financement de l’Union Européenne à hauteur
de 15 millions d’euros, à améliorer l’accès des Etats membres à des
sources durables d’énergie propre et renouvelable.
28
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Enfin, toujours dans cette perspective de préservation de l’environnement,
un projet est mis en place sur la gestion des déchets, à travers les filières
locales de traitement et de valorisation des déchets, un enjeu écologique,
économique et commercial, et de santé publique de première importance.
A ce titre, et grâce à un financement de l’Agence Française pour le
Développement, une étude sur les opportunités de coopération régionale
dans ce domaine de la gestion des déchets est menée. Enfin, d’autres
initiatives comme le programme régional de gestion durable des zones
côtières des pays de la COI vise à accroître le niveau de vie des
populations locales par la valorisation des ressources marines et côtières,
ainsi qu’à la promotion d’un développement socio-économique
respectueux de l’environnement.
Anjara Rasoanaivo
CC
http://www.midi-madagasikara.mg/societe/developpement-durablepromotion-du-tourisme-respectueux-de-l-environnement
Pour en savoir plus :
http://www.zinfos974.com/Les-iles-Vanille-a-l-honneur-lors-des-WorldRoutes-2013-a-Las-Vegas_a62614.html
http://www.linfo.re/556055-Tourisme-a-Maurice-hausse-de-8-a-12-enseptembre
Sécurité alimentaire
Madagascar : 4 millions des ruraux
situation d'insécurité alimentaire
malgaches
en
10 Octobre 2013
29
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
4 millions d'habitants des zones rurales de Madagascar sont en situation
d'insécurité alimentaire suite à la récolte réduite de cette année. a indiqué
le communiqué conjoint de l'Organisation des Nations unies pour l'
alimentation et l'agriculture (FAO) et du Programme alimentaire mondiale
(PAM), reçu mercredi. Environ 28 % des ménages ruraux souffrent
d'insécurité alimentaire ; au total, quelque 4 millions de personnes sont
touchées dans 20 régions, a-t-on précisé. « La production de riz, l'aliment
de base de cette île de l'Océan indien, et de maïs a souffert de conditions
météorologiques capricieuses et d'une invasion de criquets. L'insécurité
alimentaire risque de toucher 9,6 millions d'autres personnes », selon les
deux organisations des Nations Unies dans un rapport de la Mission
conjointe d'évaluation des récoltes et de la sécurité alimentaire à
Madagascar. Les conditions météorologiques irrégulières l'an dernier, les
cyclones en début d'année qui ont causé des inondations, suivis d'une
période de faible pluviosité ainsi que l'invasion acridienne sont, entre
autres, les facteurs de cette mauvaise campagne agricole, a mentionné
notre source. Selon la mission FAO/PAM, la production rizicole a fléchi de
21% cette année, ce qui entraînera un déficit national de riz de 240 000
tonnes pour la campagne de commercialisation 2013/14. Quant à la
production de maïs de 2013, elle ne saura satisfaire les besoins intérieurs
et on estime à 28 000 tonnes les besoins d'importation pour combler le
déficit. « La nourriture est la principale dépense d'environ un tiers des
ménages qui y consacrent jusqu'à 75 % de leur budget », indique le
rapport FAO/PAM. « Ces chiffres sont voués à augmenter du fait de la
hausse des prix, alors que les salaires n'ont pas été ajustés aux taux
d'inflation », a-t-on indiqué. La sécurité alimentaire de 9,6 millions
d'autres personnes pourrait se détériorer avec la hausse des prix durant la
période de soudure (d'octobre à mars) avant la récolte. La prochaine
saison cyclonique, qui dure de novembre à avril, suscite également des
préoccupations, a indiqué le rapport. Notons qu'un programme triennal de
lutte antiacridienne, mis en oeuvre par la FAO et le gouvernement
malgache, a démarré fin septembre avec des opérations aériennes visant
à identifier et localiser les populations acridiennes et ce pour éviter de
nouveaux ravages aux cultures et l'aggravation de l'impact sur la
production nationale en 2014.
http://www.madaplus.info/Madagascar-4-millions-des-ruraux-malgaches-ensituation-d-insecurite-alimentaire_a7913.html
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Pour en savoir plus
http://www.madagascar-tribune.com/Menace-grave-sur-9-6-millionsde,19207.html
Changement climatique
Le changement climatique à la Réunion est prévu à
l'horizon 2030
Des chercheurs de l'Université d'Hawaï ont publié une étude sur les
changements climatiques dans le monde, étude publiée dans la très
sérieuse revue scientifique Nature. Se basant sur tous les modèles
existant en terme de climatologie, ils ont réalisé une grande analyse qui
donne froid dans le dos. Les chercheurs hawaïens ont réussi le tour de
force de publier, ville par ville, l'année où le climat va radicalement
changer et sortir de "manière définitive de la fourchette des températures
les plus extrêmes connues au cours des 150 dernières années", rapporte
le site Slate.fr. A en croire les chercheurs de l'Université d'Hawaï, cette
nouvelle ère climatique va impacter en premier toutes les zones
tropicales. Le changement climatique s'opérera entre 2020 (Manokwari en
Indonésie) et 2043 (Honolulu) dans cette zone et en fonction des régions
concernées. (voir la carte en bas)
Quid du Sud de l'océan Indien? Les scientifiques américains ont établi que
le changement de climat aura lieu en 2032 à Antananarivo (Madgascar) et
2037 à Port-Louis (Maurice). La Réunion n'apparaît dans le classement,
qui se cantonne aux principales villes et capitale du monde. Mais sur la
zone, peu de chance de voir notre île épargnée par cette nouvelle ère
climatique à l'horizon 2030. Et ce même si cette projection fait partie du
premier scénario rendu public.
Un second scénario serait plus favorable aux hommes. Si ces derniers
arrivaient à "stabiliser" les gaz à effet de serre, le climat changera un peu
plus tard. Pour Maurice il interviendra en 2059 et pour Madagascar en
2047.
De leur côté, les journalistes du Washington Post ont réalisé une carte
(voir la première carte) plus détaillée permettant d'appréhender plus
rapidement les endroits de la Terre où le climat va évoluer.
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Carte de l'Université d'Hawaï
http://www.zinfos974.com/Le-changement-climatique-a-la-Reunion-est-prevu-al-horizon-2030_a62681.html
Genre
Un gynécologue condamné pour homicide involontaire
Les dessous de la prise en charge des femmes enceintes
Le Dr Abdool Yusuf Boodhoo a été
trouvé coupable d’erreur médicale.
Sa patiente est décédée après une
césarienne en 2005. En attendant la
sentence de la cour, qui sera
prononcée ultérieurement, levons
le voile sur la prise en charge des
femmes enceintes dans les
hôpitaux de l’île.
Le verdict est tombé cette semaine. Le
Dr Abdool Yusuf Boodhoo a été jugé
Franceska
coupable d’homicide involontaire. Cela,
Bégué n’avait
après qu’une de ses patientes, Bibi
que 15 ans.
Taslimah Baba Saib, est morte en mai
2005, à la suite d’une césarienne. Lors de l’intervention,
l’artère principale avait été sectionnée, ce qui a provoqué un
saignement abondant avant que la jeune femme ne décède.
Cette «erreur» est jugée grossière par le magistrat Raj
Seebaluck. Ce dernier ne s’est toutefois pas prononcé sur la
sentence infligée au médecin. Celle-ci sera annoncée à une
date ultérieure.
32
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
Bibi Taslimah Baba Saib, n’est, hélas, pas la seule à avoir
perdu la vie après avoir mis un enfant au monde. En avril,
Franceska Bégué, une adolescente de 15 ans, a rendu l’âme
quelques jours seulement après une césarienne. «Sa plaie
s’était infectée. Elle avait de nouveau été admise à l’hôpital
pour qu’on lui pose d’autres points de suture. Mais elle est
restée avec la plaie infectée sans que personne ne prenne
soin d’elle. Et elle en est morte», raconte Marie-France
Bégué, la mère de Franceska. Après le drame, le ministère
de la Santé avait initié une enquête pour situer les
responsabilités. L’affaire est toujours en cour. Aujourd’hui,
confie Marie-France, c’est elle qui s’occupe de sa petite fille
qui vient d’avoir six mois.
Comme ces deux cas, tant d’autres sont rapportés
quasiment tous les ans. Le comble, c’est que, selon le site
www.worldbank.org, Maurice est le pays d’Afrique où la
proportion d’accouchements assistés par un personnel
compétent est la plus forte (99 %). À en croire ce même
site, Maurice est le pays d’Afrique avec le taux le plus faible
de mortalité maternelle. Alors comment expliquer tous ces
cas de négligence médicale ?
Pour Natacha*, c’est une situation de deux poids, deux
mesures. «J’ai accouché d’un petit garçon il y a un an. Je
suis arrivée à l’hôpital à 4h30 et j’ai accouché à 6h15. Mais
à mon arrivée, j’ai eu l’impression de déranger le personnel
soignant. Certains se préparaient déjà à rentrer chez eux,
d’autres dormaient. Bref, on m’a fait accoucher avant même
que le col ne soit bien dilaté», explique-t-elle. Et d’ajouter :
«Résultat, j’ai fait un accouchement nerveux et mes yeux
sont restés rouges pendant deux semaines. Pour couronner
le tout, la pose des points de suture a commencé à 7 heures
et a duré jusqu’à 11h30. C’était horrible, une expérience
traumatisante qui me marquera à vie.» Durant sa grossesse,
Natacha précise qu’elle était suivie par un médecin du
dispensaire de sa localité.
Ashanty*, pour sa part, affirme que son accouchement à
l’hôpital s’est bien passé. Mais cela a été rendu possible, ditelle, parce qu’elle a trouvé une astuce pour que tout se
déroule dans la sérénité (ou presque). «Mon mari a des
revenus assez modestes. Vu que je ne travaillais pas, notre
budget ne me permettait pas d’accoucher dans une clinique.
Alors, une de mes amies m’a conseillé de me faire suivre par
un médecin du privé qui exerce aussi à l’hôpital. J’ai suivi
son conseil», explique cette habitante des basses PlainesWilhems. «Je consultais le médecin chaque deux mois à son
33
Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication
cabinet», poursuit-elle. Mais, dit Ashanty, «une consultation
coûtait Rs 1 200» : «Mais en retour, il s’était arrangé pour
que j’accouche dans les meilleures conditions à l’hôpital où il
travaille. Toutefois, lorsque j’ai été admise, un des membres
du personnel a eu un langage assez sévère à mon encontre.
Mais un autre collègue lui a dit de changer de ton car j’étais
la patiente du docteur X.»
Interrogée au sujet des cas de décès après accouchements,
Monique Dinan, fondatrice et vice-présidente du Mouvement
d’aide à la maternité (MAM), dit se poser des questions sur
la conscience professionnelle de certains médecins. «Chaque
médecin doit assurer le meilleur des soins à ses patientes,
indistinctement. Un gynécologue doit mettre l’accent sur
l’étique médicale. D’autant qu’il existe à Maurice toutes les
structures nécessaires pour qu’une femme accouche dans
les meilleures conditions. À chaque médecin sa consciences
professionnelles», lâche Monique Dinan. Cette dernière
trouve «regrettable le fort taux de césarienne pratiquée
dans l’île».
Suite aux récents cas de mortalité maternelle et de
négligence médicale alléguée sur des nourrissons, le
ministère de la Santé a décidé d’attaquer le mal à la racine.
Ainsi, après une décision du cabinet ministériel le 30 août,
un Comité technique permanent a été mis en place. Cela,
dans le but d’améliorer la prise en charge des femmes
enceintes et des nouveau-nés, et de réduire les risques de
mortalité infantile et maternelle. Ce comité a également la
responsabilité de retracer tous les cas de mortalité infantile
et maternelle de ces deux dernières années.
S’agissant du manque de professionnels dans le secteur, le
ministre de la Santé, Lormus Bundhoo, indique que le
recrutement des médecins se fera incessamment. «Suite
aux nombreux cas de négligence médicale alléguée et pour
offrir un meilleur service à la population, des gynécologues,
des pédiatres, des cardiologues et des anesthésistes, entre
autres, seront bientôt recrutés», laisse-t-il entendre. «De ce
fait, souligne le ministre, le système on call sera aboli» : «Il
y aura un spécialiste de chaque pathologie présent 24
heures sur 24 dans tous les hôpitaux.»
http://www.5plusltd.com/index.php?pn=default_news&news_id=11953
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Revue de presse de la COI produite par l’Unité communication