2 la communauté scolaire - Lycée de Garçons Luxembourg
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2 la communauté scolaire - Lycée de Garçons Luxembourg
PRÉFACE ___________________________________ 2 LA COMMUNAUTÉ SCOLAIRE __________________ 4 • LES ÉLÈVES _____________________________ • LES PROFESSEURS _______________________ 4 20 22 LE COMITÉ DES PROFESSEURS ________________ LE COMITÉ DES ÉLÈVES ______________________ LE COMITÉ DES CLASSES DE PREMIÈRES _______ LE SPOS ___________________________________ 23 24 25 LE PROJET D’ÉTABLISSEMENT _________________ 30 VISITES, VOYAGES ÉDUCATIFS ET CULTURELS ___ 46 ACTIVITÉS ET PROJETS ______________________ 58 ÉDUCATION SPORTIVE ET ASSOCIATION SPORTIVE 72 PROJET COMMUNAUTAIRE ____________________ 79 Chères lectrices, chers lecteurs, C’est avec joie et fierté que nous vous offrons ce livret intitulé Les Grandes Lignes, qui retrace les nombreuses activités de l’année passée et dont la richesse confirme la confiance qu’on peut accorder au dynamisme et à la générosité de notre communauté scolaire. Ainsi, cette deuxième édition des Grandes Lignes inaugure ce qui est en passe de devenir une tradition : présenter à chaque rentrée une brochure qui reflète la vie scolaire de tous les jours et qui donne aussi à l’engagement sa part de reconnaissance, en encourageant d’ailleurs chacun à participer à l’une ou l’autre activité, voire à en proposer de nouvelles ! Les Grandes Lignes nous permettent d’exposer brièvement, dans « les grandes lignes » justement, les 3 axes pédagogiques fondamentaux de notre école, autant pour éclairer les nouveaux arrivants que pour rafraîchir la mémoire de tous ceux qui connaissent les couloirs du lycée comme leur poche ! Ainsi, la vie scolaire au LGL évolue autour de 3 concepts primordiaux : d’abord, il y a 3 lettres pour une tradition, ensuite des projets d’établissement pour l’innovation et enfin l’engagement personnel pour plus de solidarité. D’abord nos initiales : L-G-L ! Ces 3 lettres se retrouvent dans de nombreuses dénominations qui désignent autant des brochures que des projets d’établissement ou des activités culturelles. Pour mémoire, en voici quelques-unes en vrac : Let’s Go Lizards, Let’s Get Loud, LanGues déLiées, Les Grandes Lignes. Retrouver ces 3 lettres est donc devenue une coutume. Mais au-delà du simple gimmick, elle symbolise surtout une ambition : perpétuer une certaine tradition pédagogique, celle de faire passer de génération en génération non seulement le savoir, mais le désir de savoir et de cultiver ainsi la curiosité inhérente aux jeunes. En effet, la clef de voûte de l’éducation au LGL résidera inlassablement dans l’engagement individuel de chacun, à son niveau, selon ses possibilités ou ses désirs, notamment par le biais des nombreuses activités périscolaires qu’offrent nos enseignants. Évidemment, chers élèves, inutile de vous rappeler que cet engagement commence obligatoirement par l’attention et le soin que vous porterez personnellement à vos propres études. N’oubliez pas que notre société a besoin de vous, qu’elle a besoin de personnes bien formées et à l’esprit critique, de citoyens responsables et autonomes sans être égocentriques. Tenter, le plus souvent possible, du mieux que vous pouvez, de mener à bien vos études, c’est déjà exprimer une forme de reconnaissance et de respect envers vous-mêmes et vos concitoyens. Chercher à faire correctement son travail, quel qu’il soit, représente le premier pacte implicite que vous 3 signez avec la collectivité qui vous accueille en son sein. Il s’agit certes d’un engagement primordial très peu spectaculaire, sans tambour ni trompettes… Mais il n’en reste pas moins que professeurs et élèves s’investissent ensemble pour un objectif qui nous transcende tous : le bien commun et le bonheur du plus grand nombre. Enseigner et étudier, c’est en soi s’ériger contre la misère et la barbarie. Par conséquent, vouloir réussir ses études au mieux de ses propres capacités constitue un de vos premiers actes politiques. Quant aux projets d’établissement, ils constituent le deuxième pivot du lycée et donnent une orientation particulière aux activités organisées dans et hors de la classe. De tels projets peuvent avoir des répercussions jusque dans les cours mêmes en influant sur certains contenus ou sur certaines évaluations. Le projet actuel a débuté l’année dernière et se dénomme, comme la plupart d’entre vous le savent déjà, « FRVscience »( consulter le lien suivant pour de plus amples informations : http://sciences.lgl. lu). Comme son nom l’indique, les activités proposées mettent l’accent sur des contenus et des démarches scientifiques, mais ce dans un souci permanent d’associer toutes les disciplines sans exception à la Fascination des sciences, aux nombreuses Réflexions éthiques que les développements technologiques nous imposent, ainsi qu’à la volonté de susciter de nombreuses Vocations. Par les nombreux échanges qu’un tel projet suscite dans la communauté scolaire, il contribue notablement à l’entente et à la collaboration fructueuse et constructive entre tous les intervenants du lycée. Enfin, n’oublions jamais que notre éducation humaniste s’articule autour de la volonté de servir autrui. Contre tous les défaitismes, les pessimismes et le catastrophisme bruyant des médias faisant leurs choux gras de la misère du monde, chaque geste compte, aussi minime soit-il. Le projet d’engagement communautaire de juillet dernier en constitue la plus récente démonstration. En effet, le point de départ de cette manifestation était la volonté de renouer avec la tradition du «Schoulfest ». Mais au lieu de limiter cette fête au seul divertissement, l’idée a très vite germé que le LGL se devait de donner à cette journée un caractère caritatif. C’est ainsi qu’est né le projet de soutien à l’association « Aide à l’enfance de l’Inde ». Force est de constater que ce projet a été couronné de succès et que cette initiative a tenu toutes ses promesses. Nous ne manquerons pas de vous communiquer le montant précis des dons récoltés dans Les Grandes Lignes n°3 ! Faire acte de solidarité est un devoir civique, une nécessité morale, et même un instinct inné auquel l’éducation doit juste permettre de s’exprimer pleinement. En effet, l’éducation et le savoir nous encouragent à nous considérer plus souvent comme des acteurs et non de simples spectateurs de ce monde. Il ne s’agit donc pas d’endormir sa conscience à peu de frais mais de se concevoir comme redevable à autrui. Dans ce contexte, citons Victor Hugo dans un de ses discours à l’Assemblée nationale : « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre est une maladie du corps humain ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! oui, cela est possible. [Je] dis que la société doit dépenser toute sa force, toute sa sollicitude, toute son intelligence, toute sa volonté, pour que de telles choses ne soient pas »(9 juillet 1849). Entre les études, le projet d’établissement et l’engagement communautaire, la boucle est donc bouclée. Ces trois piliers convergent vers un objectif commun : nous permettre de devenir des êtres accomplis, solides et responsables, capables d’apporter notre contribution au bon fonctionnement de la société tout en recherchant notre propre bonheur. Gageons que la quête de cette richesse humaine ne représente pas le moindre attrait du LGL. Bonne lecture à vous tous ! Benn Schroeder Coryse Simon-Junius Directeur Directrice adjointe 1A RÉGENTE: COLETTE WAGNER BADEN REBECCA BINTZ AMANDA CONZEMIUS CATHY CUMMING SOFIA DE MICHELE SARA DENEUMOUSTIER FLORENCE FRANZISKUS SOPHIE LEIDNER CHRISTINE MARQUES VIRGINIA NIESEN KELLY POPOV SOPHIE RAVEANE TANJA WENGER JILL CAREY DANIEL LEY SVEN MOUSSET THIERRY REICHLING YVES La communauté scolaire 5 1B RÉGENT: PASCAL DAMAN ALBERT MARC BIRGET DAVID BIVER JIL BOSCO JOELLE MOLITOR BEN MOUSEL POL NOULLET KRISTIAN PEREIRA SEMBLANO DIANE DOS REIS BRANDAO CHRISTIAN RECKINGER BEN LENERT STEPHANE SENSKA MATTHIAS LEVY JESSICA WEILER VIC MATHIEU PATRICK WILHELMY FABIENNE MAZOUIN LAURENT 1C RÉGENTE: MYRIAM PONCELET ABREU DIAS SONIA BECK LAURENT BERTEMES BEN BONTEMPS SYLVIE BRAUSCH ALEXANDRE BROSIUS JILL BROSIUS MARIETTE CATHREIN CHAREL DIEDRICH KIM ENGEL SVENJA GLODT CHRISTIAN HALILOVIC ZIJADA KLEIN BENJAMIN KRACK MICHELE LOSCH FELIX MARTIN AXELLE MATHIEU DANIEL MERTENS LUC PAULY MATHIEU PICCINI CELINE RASTEGAR NEGUINE ROLLER TOM RONK PIT SCHINCARIOL TIM SCHINTGEN FIONA SCHROEDER CHRISTINE SCHUMACHER ANNE SEDRANICATHERINE STEIL RAPHAËL WITRY MAX 1D RÉGENT: GERRY ELS AGNES KAY BESCH SHEILA BINTENER MAX CLOOS LORI DE GRAAF MAARTEN DECKER MARITE DECKER MAX FANTIN CURY GABRIELA FOURNIER ANTONIN GILLANDER ALEX GÜNTHER DAVID HOFFMANN JEAN-MARC JOSEPH THIERRY KRIER MATHIEU KUNSCH JOE LELONG JOELLE LUCIUS JULIE MORO CHRISTIAN OBERWEIS BOB SCHMIT ALAIN THOMAS CATHERINE VANDENHOEKE LAURENCE VINANDY-LAU SAM WEBER CELIA WIRION PAUL 6 La communauté scolaire 1DG RÉGENT: MARCEL BOHLER ANEN ERIC MOSEL KIM BICHEL RICKY MULLER SARAH DA COSTA FREITAS SYLVIE NEUMANN JULIE DE RON STEPHEN NIMAX VERA DELVAUX LAURA REINSBACH ANDREE FALTZ ANNE SAMUEL EMERINE FEIDT NATASHA SATI BHAWNA GRAAS LUDOVIC SAUBER MARIA GRÜN CHERYL SERVAIS ANNE HANSEN KIMBERLEY STEIN ANNICK KIRCH SAMANTHA SUNNEN CHARLES LAHAYE MARIE VENANCIO DA CRUZ JOEL MEIERS DANIELLE WORMERINGER NIC 1E RÉGENTE: MARIANNE THILGES AKHTAR SARA EVERAD CAROLE EWEN ANNA FEIEREISEN MARTINE GASPERI ALEXANDRA HEIREND JESSICA HENGEN ELISA HOLSTEIN MARC KLARES MICHEL LUDWIG MARTINE 1G MARTINI RICCO MEDINGER JIL PERL TAYRINNE REILAND MICHELE SCHLECHTER SARAH STEPHANY YARA THESING EVA THILL KINA VELAZQUEZ DEBORAH WEBER LILY RÉGENT: PAUL DIRKES BECKER EMMANUEL BERNARD DJUNA BOES CAROLE DEVAS TOM HANSEN MAXIME HEINEN LIVIA KLEPPER TOM KLOPP JEAN-MICHEL KRAUSCH RICHARD LACOSTE PIT LIPPERT JOANNA MASSET CAROLE PETERSEN MICHELLE RAAS ANNE RASQUE PHILIPPE SCHLEIMER TED STEICHEN MAGALI STIRN BENOIT TURPEL VICTOR WINANT JEROME YOUSSEFKARIM La communauté scolaire 7 2B RÉGENT: JEAN-PAUL ZANTER ANDRADE DA CRUZ LUIS RAFAEL MOHTASHAMI JASMINE BECK MAX PUTH DANIEL BINSFELD GONCALVES LAURENT ROCK OLIVIER CORDEIRO FONSECA GREGORY RONCK JEAN-MARC ESTEVES BRAS DE BRITO TIAGO SCHMIT PHILO JESUS CABANAS EMANUEL SOURDOT RICHARD KIEFFER RICK STEBENS GILLES KREMER CLAUDE WAGNER ANNE-SOPHIE LAM KA-YU ELISA WEIRIG TIM 2C RÉGENT: MICHEL KLOSEN ALTMANN GILLES DAHM SASCHA DECKER CENDRINE DESCOUPS DOMINIQUE DREIS PHILIPPE ENGEL MARTIN FISCHBACH JILL KOOB CLAIRE KREFTING PHILIP LETHAL JIL MEDINA DIAS ELODIE MOUSEL CAROL MUSTAFIC KEMAL 2D1 QUINN CHLOE ROMMES BASILE SCHMIT KELLY STARK LISA THILL SANDY WAGNER LOUISE WEITEN RICK WELFRING FRANÇOISE WENIGERJACQUES WILTGENLUCA WIRTGENALINE ZIMMER MAITE RÉGENTE: HUGETTE SCHROEDER BAIG WASIM BARZEN MARTINE CALMES SOPHIE HELLINCKX DORIAN HOFFMANN ANNICK LOSCH NOEMIE LUX CHRISTOPHE LUX CHARLES MERTEN MARTINE MUHLEN SVEN QUIAIOS JOANA SCHETTGEN ERIC STOJKOVIC STEVAN YU ELLA 8 La communauté scolaire 2D2 RÉGENTE: SYLVIE FAUTSCH ALTMANN FLORIAN BRAUCH JULIE BREDEN GIO-KENICHI EDLINGER PIERROT HAAG CAROLINE JANSSEN JULIA KRIER SARAH LAMESCH JOE 2E RÉGENTE: ROMAINE ALESCH ANNICCHIARICO GIUSEPPE JOE BACKES LYNN DE CILLIA SOPHIE DELHALT ERIC DEMUTH ANDY DENGLER MARION DRESCH LAURENCE FEIDERT SARAH GILLES LARA HAAL HELENE HEMMEN ANNE HENTZEN MICHELE 2G MEYER LORIS NATHAN ANOUK SCHILTZ CAROLINE SCHROEDER PAUL STAUDT VINCENT WAGNERMICHELLE WEGFAHRT ALEXANDER WEILANDHIPPOLYTE HOFFMANN ANAIS HUBERTY MELINA LOSCHETTER PASCAL MAURY MELANIE MICELLI TAMARA PHILIPPS LOU PORTRON LAURENCE RAMIREZ AUDREY ROCCO NADINE SCHUH TAMMY SOWA GIULIA STEFFEN MICHELLE WIRION CHARLES RÉGENT: PIERROT KAILS ANDRICH TONY BODEN CLAIRE BRESER NADINE BRESER CLAUDE CARUSO FRIEDERIKE DECKER KIM EVEN PIT FABER JOY GERIN SAM IMMER CHRISTOPHE KIEFFER KEVIN MAURICE GABRIEL MENDES PEDROSA YOANN MULLER CIBELLE NEUSER CHRIS QUARING MAX RAMEAU THIBAULT RAPAROLI SARAH REILAND SANDRA SCHARFE PAUL SCHIAVONE ALESSANDRO SCUDERI ALEXANDER SZTURMA NICOLAS THILTGES DAVID WOLMERING KEVIN La communauté scolaire 9 3A RÉGENT: GERARD FEIDER AFONSO MATOS FABIO CHILLON MELANIE DEBUGNE LOUISE DIEUDONNE LARA DONDELINGER CATHY HANSEN MELODY HUBERT CATHERINE KAZAKEVITCH MARINA LECHES KATJA MARCY JULIEN 3B MULLER LINDA O’CONNELL NICHOLAS OLY CAMILLE REDING ANNIK RIMI DEBORAH SCHNEIDER FLORENCE SEDRANI ELISABETH SOTT STEPHANIE VONCKEN JOE WEBER MAXIME RÉGENT: PIERRE PETRY BOEVER CHRIS MORAVA MARTIN BONTEMPS PHILIPPE MUNOZ HEINEN LUIS BRENDEL JOE NIES JEAN-FRANCOIS DE SOUSA VALENTE XAVIER QUINN ISABELLE DENEUMOUSTIER OLIVIER RAUEN GILLES HENDRICKX WINONA RECKINGER CAMILLE KAHR PATRICK SCHONS FELIX KREMER NORA THULL MICHEL KRIER MELVIN WAGNER DIANE LOHR MATHIEU WIRION CAROLINE MAZOUIN BERNARD WITRY TOM 3C RÉGENT: PIERRE KUFFER BACKES JENNIFER BERTEMES BOB BRUNS GEORGES CHAPELLIER VICTORIA DELL CHRISTOPHE DETHIS MARINE DORBAN ANTHONY FANDEL LYNN FEIT JIL FERRARO CARMINE GILLANDER TOM JACOBS PIT JEGEN JEAN-JACQUES JONES CHRIS KAP BENJAMIN KIMMEL MARA LOSITO JESSICA MERTEN DIANE MYSORE ANNIKA PEREIRA GOMES DIANA CAROLINA RODRIGUES RICARDO KEVIN SAUER ANOUCK SCHWARTZ PIERRE SCOMBUSSOLO KATIA SOUZA MORAIS EDSON TEIXEIRA DOS SANTOS INES TERRES PHILIP URBANO SVEN WORTH MICHAEL 10 La communauté scolaire 3D1 RÉGENT: MARC SCHILTZ BECKER MAX DAEMEN STEVE FABER CAROLINE FLAMMANG NICK HAUKSSON HILDUR KEMP MICHELLE LAMESCH ANYA LEIDNER CATHERINE MOAYED ARIANE MULLER CLAIRE NESSER CHRISTOPHE OLINGER MAX POMPEI JULIA REC DALILA 3D2 RÉGENTE: MARTHE THILL AAKRANN ELIN BARTZ FABRICE BERGEM JEROME BETTENDORF BASILE BINTNER JOY BISENIUS MARTINE BIVER ERIC BRAUN SAM BUFFADINI CHRISTOPHE FELTES TUN HELLERS ZOE HOFFMANN MARIUS KIM DIMITRY LALLEMAND AUDREY LAUER ERIC 3EG REC AMILA REIFFERS STEPHANIE SALVATI MATTEO SANTIONILINDA SCHILZ CHRISTELLE SCHMIT JIL SCHMITZPAUL SCHUSTER ALEXIA SERRES LAURENCE SMAILOVIC FATMIR STEINMETZ LIS THEIN MARC WIRION PIT ZOLLER CHRISTINE LECLERC MANON MANAIA MORAIS JOAO PAULO METTENHOVEN NADINE MIMOSO TORRES HUGO PATRICK NG YU MING ROSSI DAVIDE SCHAEFFER BEN SCHILLING NICOLAS SCHUMACHER PIERRE SUNNEN SOPHIE THILL LAURENT WEIRIG MARC RÉGENT: JEAN-LOUIS WEIS ALFF LISA ALLIAUME LIZ AST JOE BILDGEN LAURA BLESER MICHELE BRAUN MICHEL D’INCAU CLAIRE DI VORA PEIXOTO MARISA DUSSIER GREGORY FEIPEL JULIE FRIEDEN CHRISTY HUTCHINES LUCY JACOBY ANNE JIMENEZ GONZALO JOSSI PASCAL KRACK SAM KRÜTTEN MELISSA LEVY KIM MALTER LENA NIEDERWEIS TAMARA OLIVEIRA DA FONSECA JULIE PECKELSMICHEL REDING MARIELLE THYSSENDAVID VISSCHER CHRISTOPHE WEBER PIT WINANT JENNIFER WOLTER LAURENCE ZIMMER LYS La communauté scolaire 11 3G RÉGENT: EMILE HOFFMANN ARAUJO DA COSTA STEPHANIE BLOCK TAMARA BONARDEL JEROME BRAUN MYRIAM DE JESUS FERREIRA ANA PATRICIA FRANTZ MURIEL FRIDEN MARTINE GASPAR DIAS PATRICIA HAAS PIT HARSCH CONNY HOFFMANN DUSTIN KLEIN LARA MAURER SOPHIE 4L1 RÉGENTE: MYRIAM MELCHIOR BIVER VICTORIA BLESER TOM BOEVER ANNE-CATHERINE BOUR LYNN BOURMER PHILIPPE DE SOUSA VALENTE LARA DEMMER CEDRIC ELVINGER CATHERINE FALTZ GILLES GROOS NOEMIE GRÜN YVES HANSEN BERENICE KRIER SERGE MANDY CHRISTINE MARGUE MARIELLE 4M2 MULLER VERONIQUE NAU MICHELE POEKER MARIE-CLAIRE REDINGER POL RODENBOURG MAX RUPPERTJOE SCALISE FRANCO SCHINTGEN JULES SCHOLTES JACQUES SEDRANIMICHEL SOUSA SILVA WANESSA STURGIS RICK WALDBILLIG DANIEL WUNSCHNOEMIE MERLO MARTINA METZ CHARLES MUSTAFIC MIRSADA PAPILLO LARA PINTO SILVA KEVIN SCHMIT NATHALIE STEBERL ANTOINE STIEBER MAX THILLMANN JASON THOMMES RENEE THULL CHARLES WAGNER LIZ WAGNER FRANÇOISE WEYLAND CAROLINE RÉGENTE: MARTINE CALMES DAUPHIN MAURANE DURY SARAH ENGEL LESLIE ESSLINGEN NORA FEYTEN MAXIME HOFFMANN MARA JOHANN LYNN KIEFFER LYNN LEHNEN CHRISTOPHE LOBEFARO ANTONIO LUISI JESSICA MAITRY CAROLINE MANDERSCHEID JEFF MORGA YLENIA XENIA MORUZZI LINE NAU MARTINE PINHEIRO BAPTISTA DIOGO PINTO MARTINS RAFAEL ROCK MARLON STEFFENSAM WEIRIG SVEN WILLEMS CLAIRE WILWERS STEPHANE 12 La communauté scolaire 4M3 RÉGENTE: KARIN ROEMER BARTHEL JOANNE BECK PHILIPPE BECKERS LAURA BIVER PHILIPPE BRESER JOE DONDELINGER POL GILLEN OLIVIER GLESENER CATHERINE GOEDERT NOEMIE HEUERTZ JOANNA LECLERC JULIETTE LUDWIG THIERRY 4M4 RÉGENTE: MARIE-PAULE BOCK ALFF LAYLA BRUNS ELISABETH COURTE LUCA DUHR MELANIE EVERAD YANNICK FEIS OLIVIER GRAAS MICHELE GRETHEN JEROME HAMBLI FLORIAN HELLINGHAUSEN ROMY HENKES MAX HEUSCHLING YVES LAUER CHRISTINE LEPOT DARIUS 4M5 LUX KEVIN MAJERUS MARTINE MEIRA LOPES DE OLIVEIRA ALEXANDRA POLO DJAMILA SAMAIR LOUP SAUBER VINCENT SCHMITZ PHILIPPE SCHOLER TOM SCHUMAN CHRISTOPHE STURM CORINNE ZEIMES YVES LIEGEOISLUKA LODHI NATHALIE MATHIEU LOU MOHNEN MARA MOHNEN MAXIME MORASCHINI DANILO PEPIN LOU PIMPAO FILIPE POLFER JESSICA SALVATI STEFANIA SANELLI ALEXA STEFANOPOULOS DIMITRIS RÉGENTE: SIMONE BIEWER ANDRADE ALMEIDA ANITA BAUSTERT CHARLES BECK JOANA CUCUKOVIC DIJANA CUMMING LUCIE DIEDERICH JULIE DOS SANTOS VINAGRE JILL DOSTERT JIL EWEN LISA GONCALVES RIBEIRO JORDY HEINEN ANNE HOFFELD LAURE HOLDEN BEN KAHN-CLELAND ROXANNE KAYSER LIS MARQUES DIAS SAMUEL MULLER MAX REVENIG ANNEMIE SCHMIT NINA SCHMIT CHAREL WENIGER MARTINE WILHELM GIULIA La communauté scolaire 13 4M6 RÉGENTE: DIANE LAUTERBOUR BAZILLE CORENTIN BOTMAN THIBAULT BUCHLER STEPHANIE CASCIATO DINO DIEDERICH SARAH DOS SANTOS BATISTA STEPHANIE GATLEY LAURIE GEFFROY ALISON GOMES DA SILVA JORGE KESSLER EMILIE KIRSCH CATHERINE KRAUS JEAN-PHILIPPE LETHAL JESSIE MANIQUE SERGIO 5L1 MARTA MATEO MEYNADIER MELANIE MONTEIRO NOBRE DANIELA MULLER PHILIPPE NAVEGA DOS SANTOS KATY REICHER RONNY SANTOS LOPES CATARINA SILIGHINININA SILVA FREITAS CAROLINE TAVARES ANDRADE MARCUS TRICARICO LUCA ZIESER SVEN RÉGENT: PAUL EVEN AGHAJANI TARA AREND CHRISTOPHE BUEKENS LISE CALMES GEORGES DONVEN MARTINE FELTES NIC HOFFELT NOE JUNCK CHARLES KAISER CHRISTIAN MARGUE PHILIPPE QUINTUS DAVID RERMAN SABRINA ROLLER CHRISTINE SERRES JEROME STROBELCHRISTOPHE THOMMES SVEN VIEIRA MENDES SANDRO VONCKEN JERRY KHORSANDIAN MARIE-CHRISTINE WEBER LYNN KRECKE MAX WEBER MARIE LACOSTE HENRI WIVENES JEAN MALHEIRO FERNANDES PEDRO 5M2 RÉGENT: CLAUDE REILES ALEKSANDROVA MARIA BOSQUEE ALEXANDRA BRENDEL TESSY CARDOSO DIANA DE VRIES CLOEE FRIEDEN YASMIN GLESENER SARA GRAD KATHARINA GRIGORIEVA MARIA GRIPPO SARAH IMMER GILLES KESSEL SABRINA KOEGEL FELIX LASSO PENA FERNANDO LEHNEN CYNTHIA MOITZHEIM PABLO OBERWEIS GILLES PRANGE BASIL ROUSSEAU MATHIS SCHLEIFENBAUM MICHELLE SCHMIT ANNIKA SCHNEIDER LAURENT SLUNECKO ERIC VIDALI ALIENOR WAGNER LAURA WEIRIG DANIEL WEITZEL ANNU 14 La communauté scolaire 5M3 RÉGENTE: TONIA BRUCH ADAM LUKAS LOMONACO LOUIS BATTELJEE CHRYSTELLE MARZONA MIKE BIRDEN FRANCOIS BRUCHLE LAURA CARBONE LUANA COUTO PINTO RICARDO DE CAROLIS JORIS FEIPEL LUCIE GROBEN JEROME HEINEN PAUL HOFFMANN OLIVIA KLONS NADIA KONSBRUCK LUCY LENTZ LUCIE 5M4 SCHMIDT LASAR SOPHIE SCHUMACHER JULIE SCHUMACHER XAVIER SCHWARTZ LEA THILL ALEX WAGENER JULIEN WEYLAND THOMAS RÉGENTE: MICHÈLE LENTZ BEGANOVIC SEAD BOULOIS JOY BRAAS LENA DISWISCOUR CHARLIE DOS REIS SINDY DURAES ANDREA FIORETTI JULIE FISCHBACH MAX GIDT LISA GODART YANNICK HAKIM LOUIS KESSELER VERONIQUE KIM RUSLAN KRAMMEL VALERIE 5M5 ORSINO ALESSIA PIGNATELLI MARC PUTZEYS BENOIT SAUBER LYNN SCHLECHTER FREDERIK MOLITOR LOUIS PAULMIER HELOISE PESTANA NAKAMURA YOSUKE PLEIMLING MATHIEU SCHAUS MICHELE SCHMIT LARISSA SCHMIT CHAREL SCHMIT JEFF SCHMITT NINA SCHUSTER NATHALIE SCHWARMES JEAN-CLAUDE TANI CHRISTIAN WILTGENWILLY RÉGENTE: JOELLE WEBER BAJARD MARYSE DE SOUSA VALENTE LINDA DECHAMBRE DANIEL DELL NATACHA DEMUTH DANY ECKARDT TOM FABER MICHELE GASCHE SARA HEITER SAM LENERT ALEXANDRE LEONI CARLA LOUTSCH FRANCOIS MATIAS ALMEIDA LEANDRO MEYERS JOE MUHLEN KIM OBERWEIS JOE OMMEGANCK ELINE RAUSCH PATRICIA REIFFERS JULIEN ROMMELFANGER TOM SCHILL LAURA SCHROEDER ELISABET SEILER MAX STEBENS LUC TSCHUANMEN HUA VAN DEN BERG MAXIME DE La communauté scolaire 15 5M6 RÉGENT: GUY ARENDT BERGEMANNA BOENTGES LEE-ROY BONTEMPS NICOLAS BRIADE LUCY CONTRERAS LATORRE CLAIRE DUONG GIA QUAN GARSKE BIRGIT GRUZMAN REBECCA HEIN CINDY JENSEN FREDERIK KHATRI SAVINA LAM YAN LEMOINE LUDOVIC 5M7 RÉGENT: YOUËN WENANDY BADEN SAM BAZAZAN SABA BREUER ELISABETH CAMELO MOURA ANA CEMAN NERMIN COLLAS CAMILLE DA COSTA BELEM RICARDO DA COSTA OLIVEIRA CATIA DA SILVA JORGE DANY FERREIRA CARDENAS MATIAS FERREIRINHA MATEUS DAVID GLODE TARA-LEE HAFNER VINCNT HASANOVIC PAMELA 6L1 MASSI ALIZE REC HARIS ROMMES MAXIME SCHEIDER LAURIE TANG CONNIE TERRES SOPHIA THIRIOT CAROLINE THOSS JONATHAN VAN DEN BERG VICTOR VINANDY FELIX WAGNER ESTELLE WEBER JOE WELTER MAX WEYDERT DINA HEINEN CHAREL KHATRI JAMUNA LANGERS MAEVA LAPLANCHE ALINE LEHNEN NAOMI PUTZEYS SEBASTIEN REINARDT JIL SALMON ANAIS SATI SHIVANI SCHMIT SUSY SCHOLER JULIE SZTURMA CELINE VAUDOIS CHLOE RÉGENTE: JEANNE STEINMETZER BUEKENS LARA COLLAS CAROLINE DE CILLIA GIOIA FRANCESCA PAULA DECKER EMMANUEL GUENTHER ADA KAYSER NICOLAS KEIPES ELISABETH LEAL CORDEIRO DANY LENTZ MAX MAJERUS GIL MERSCH NOAH METZ PAUL MOLITOR MAX NILLES CLAIRE PIROTTE PIERRE POULAIN ALMA RECKINGER LOU ROLLER VINCENT SANTINI ROMÉO SCHMIT CASSANDRA SCHMIT LISA STEBERLMARIE STIEBER MARA URBANO RALPH URBANY STELLA WEICHERDING ZOE WELFRINGER MAX WIWINIUS VALERIA ZENS ANOUK 16 La communauté scolaire 6LM2 RÉGENTE: VIVIANE LORANG BARTHEL CHARLES BAÙ ENRICO BERNS LUC BINTENER LAURA BOSSELER TOM BRÜCKER JULIE CHOI HONG KIU DUX ANALENA ENGEL ANOUK GUTENKAUF MARIE-JO HENTGEN CLAIRE HILGER NINA JOST JORDI JOST GINA KIESCH JULIE 6M3 RÉGENT: JEAN-CLAUDE FRISCH AAKRANN MAY BOEVER JEAN-LOUIS BRESER NINA DOMINGUES SARAH FEHLEN PIT GASCHE LISA GIBERYEN CHRIS GRUEN SARAH HEUERTZ SAM HOMMEL SEBASTIAN JUNCKER LAURA LEMARQUIS DESIREE MORO FIONA 6M4 KOHL SVEN KREMER GEORGES LOOS CHARLES MANGEN SOPHIE MANGEN VANESSA MOOTZ MARTINE MULLER MIL PUTH CHARLIE QUINTUSCÉDRIC SCHAEFFER LARA SHEPPARD ROSE STANKOVIC TEODORA THEOBALD MAX WEIMERSKIRCH JOE MORUZZI CAMILLE NATI NOEMIE RAUEN LAURA RODERES-GIERENS MARIE ROSSI RAFFAELE RYCHLICKI KAMIL SAUBER NICK SCHILTZ NICOLAS SCHON MATTHIEU SCHULER CHAREL WAGENFELDT ANDY WEIMERSKIRCH BEN WILDSCHUTZ JULIE RÉGENT: CARLO BERNARD BERTELLI LUANA BOSQUEE JIL BRAUN DAVE CHAPELLIER DAPHNE FEIS LOIC FEYTEN NICHOLAS FLAMMANG CAROLINE GALOWICH LOUIS GEORGES PHILIPPE GRIVET SOPHIE HEUSCHLING POL HOFFMANN DAVID JUNCKER VIOLETTE KASS CATHERINE LAGODA JESSICA LESSINGER NOËL OLIVEIRA CARVALHO PATRICK PIOCK PETER REDING LINA REIMER JULIEN RIES ADRIEN SANELLI LAETITIA STEYER JIL WAGNER LAURENCE WEIRIG MAX La communauté scolaire 17 6M5 RÉGENTE: VIVIANE SCHONS ALFF PIT ANEN VERA BINTENER MAX CARVALHO MATOS DE ASCENSAO KEVIN DONVEN MIKE ENGEL YANN FEIT LAURA GOEDERT NICOLAS JABLONOWSKI LISA KASEL GIL KERGER JEFFREY LECLERC TIM 6M6 LUX CHRISTINE MARTIN CAROLINE PANSIN LISA POMMERELL RICK ROMMELFANGER BOB SCHILLING DANIEL SCHLESSER CHRISTOPHE SCHMIT DAMIEN SCHWEITZER DAVID THILLMAN ELSA VUJAKOVIC OLIVER WALDBILLIG MAX WANDERSCHEID CHRISTINE RÉGENTE: MICHELE THILL BERTRAND PAUL MUNHOWEN JAMIE CHRISTEN PIT NATHAN LOÏC CONZEMIUS LISA NEYENS CHARLY DA SILVA PEREIRA FILIPE OMEROVIC KEMAL GLODT JANINE RIND TOM GOEDERT NICOLAS RODRIGUES RICARDO DYLAN KAP PIT ROLLER ZOÉ KREMP LENA SLUNECKO MICHELLE KROKOS IOANNIS SMAILOVIC FATMIRA LEMOINE SAMUEL SUNNEN SOPHIE LUX MIKE THILMANY JO MULLER BRENDA WEIS FELIX MULLER JEFF 6M7 RÉGENTE: JANINE GOEDERT ALBRECHT JULIAN AZEVEDO TEIXEIRA ADRIEN BISENIUS STEPHANIE CRAPANZANO SAMUEL PASQUALE DEBY ESTELLE DOMINGUES VENANCIO MARIANA EMERING RIKO FEYEREISEN CLAIRE GLAESENER NOEMIE GORGES PIER HERMANNSSON KRISTJAN KERROUMI MORENO YANIS KLEIN PIT LAHYR DANIEL PIRES ANDRADE RUBEN POIROT LUCAS RIBEIRO MANIQUE SARA SCHORTGEN DAVID THACKERAY MAX VAN DAMME XAVIER VOSMAN JESSICA WANG JIA DA ZHANG JINGYA 18 La communauté scolaire O1 RÉGENT: PAUL EVEN BIGELBACH VICKY D’ANTONIO LARA DEITZ MAX DOSTERT TOM EYSCHEN MAX FEHLEN CHIARA FEIPEL MICHEL FIORETTI LUCA GUIRSCH DWAIN HAKIM MARIE HEIDERSCHEID JOSH HEINTZ CEDRIC MARCHAL SEBASTIEN MORUZZI LARA O’HARA SEAN OBERWEIS JACQUES PURDUE LISA SAUBER BEN SCHOLTES ERIC SCHON FABIEN TAVARES MARTINS ALESSANDRO WAGNER LAURE WAHL XENIA HOLZMACHER ELISABETHA WILTZIUS LUCIE KONSBRUCK PIT ZEC EMMA LUX THOMAS O2 RÉGENT: ANDRE BERNS ACKERMANN RACHEL ARENDT MAX BERNARD YANN BRAUSCH PHILIPPE CANNIVE CHAREL CLAUS GIANLUCA DALSCHEID SYDNEY FABER THIERRY GALLO FIONA GASPARD VALERIE HENRY GEORGINA HYSENI ARDIT JOST PIT KRACK CHARLOTTE LATIC DENIM NEY JIL PICCINI MAXIME SEGNER LEA SPRENGER WANDA WAMPACH YANA GLESENER PHILIPPE MICHEL WATGEN LOUIS GOERGEN JIM WEBER EVE GRAS GARANCE WILHELM ANOUK HAMES LYNN O3 RÉGENT: JEAN-CLAUDE BREMER AREND CEDRIC MARGUE RITA BOULOIS LUKA MARSON JEFF BRAUN LEA NARDELLA EMANUELE AMEDEO BSARANI VINCENT CAETANO FERREIRA RAFAEL NICK OLIVER CDA COSTA GOMES JANETTE PAPILLO LUANA DE CILLA ELIAS PETRY CHRISTOPHE DUMONG FRANK PIOCK TAMARA HENKES JIL RIES MICHEL KEISER LAURE ROCK BENJAMIN LACOUR JULIE SCHETTGEN CLAUDIA LEOGRANDE IVO SOUZA MORAIS EDGAR LOMONACO MATHIEU STEFFENDAISY LOOS FELIX La communauté scolaire 19 O4 RÉGENT: PASCAL DIDLING ANGELOU MARIA BONTEMPS MATHIEU BORMANN DAISY BREYER LENA DELAUNOIS MARGOT DELHALT NINA FERRES PHILIPPE FIORINO PHILEAS FISCHBACH PIT FRAMBACH ALEXANDER GEHRING VICTORIA GENSON CAMILLE GUENTHER TOBIAS JUNKER RICK O5 KESSEL ALESSANDRA KIEFFER JIL KREMER PACO MARTINS NADJA MEYERS WILLIAM OLSEN SARA PROST TOM REZAPOUR MAHIN FARDIN RIND BEN RONCK DAN SCHMIT KRISTIN ULVELING LIZ WIRTZ NOEMI RÉGENTE: KARIN HOMMEL DUMONT SARA LASSO PENA ROBERTO ENGEL TOM LINHARES CARONES JÉSSICA FABER SOPHIE OOSTHOEK HESTER FIGUEIREDO LERIAS NADIA PEPIN RALPH VANESSA RAAS PIT FRANCIS SOPHIE RISCH JIMMY GIANCHANDANI VISHANT ROOS RICK GODART CEDRIC SATI RAHUL HAAL BENOIT SCHMIT LAURYANNE HIZETTE ALINE SCHNEIDER CINDY JANDER YANNICK SCHROEDER PHILIPPE KIRSCH LEO VLAMINGROMEO KONSBRUCK ZOE WALENTINY RICK KRBEC YAN WINDELS TIMOTHEE KRIER CEDRIC O6 RÉGENTE: MARIE-HELENE BAULER AUGER MARIE BARTHOLME SACHA BAZAZAN SOPHIA BOCK CHRISTOPHE BOFFERDING YANN BROUIR FLORIAN CORCELLI NICOLAS DA COSTA GONCALVES MARTA DE SOUSA FERRAZ BARBARA ELVINGER PAUL GAFFET PIERRE GIARRIZZO MELISSA HABETS DAMIEN HEGARTY CORMAC KURBARDOVIC MELISA LOPEDOTE VICTOR MANGEN MARC MEYERS FABRICE MORAIS COIMBRA DANIEL MOTRO EUDELINE MUCKENSTURM HUGO OCHOISKI ALEXIS OLIVEIRA ALMEIDATIAGO PEPE JULIE SCANZANO MELISSA SCHMIT JOE SIMOES FERRAO NADINE TCHANTCHOU MIKE 20 La communauté scolaire 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 Adam Danièle Altwies Stéphanie Arendt Guy Bauler Marie-Hélène Bernard Carlo Berns André Bichler Fanny Biewer Simone Bintener Lydie Bock Marie-Paule Bohler Marcel Bohnenberger Gaby Brachmond Carol Bremer Jean-Claude Bruch Tonia Cavaco Carmen Daman Pascal De Toffoli Carlo Didling Pascal Dirkes Paul 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 Fernandes Dos Santos Filipe 49 Feyereisen Lynn 50 Franco Caroline 51 Frisch Jean-Claude 52 Goedert Janine 53 Greisen Elisabeth 54 Hahn Pierre 55 Hallé Danièle 56 Harsch Françoise 57 Harsch Roland 58 Hartert Kevin 59 Hengel Lydie 60 Els Gerry Engel Guy Ensch Jérôme Even Paul Fautsch Sylvie Feider Gérard Feiereisen Doris Feltgen Karin Hengesch Paul Hoffmann Annick Hoffmann Emile Hommel Karin Hubert Christiane Huberty Marc Jacob Hippolyte Jodocy Martine Junqueira Sara Kails Pierrot Kayser Michèle Kies Bob Klees Géraldine Kohn Marianne Kops Carole Krier Max Krier Patrick Kuffer Pierre Kummer Sylvie Lamborelle Lydie 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71 72 73 74 75 76 77 78 79 80 Lauterbour Diane Lentz Michèle Linster Kevin Marxen Laura Melchior Myriam Mergen Michèle Michaux André Miltgen Frank Neiertz Carole Nesen Rebecca Noël Patricia Petry David Petry Pierre Poncelet Myriam Puliti David Raus Rachèle Recken Cynthia Rehlinger Myriam Reiles Claude Reinard Anne 81 82 83 84 85 86 87 88 89 90 91 92 93 94 95 96 97 98 99 100 Reinert Micky Reiter Yolande Roch Jenny Rollinger Frank Schammo Jean-Louis Schartz Danielle Scheer Anne-Catherine Scheid Marie-Paule Schiltz Marc Schock Claude Schons Viviane Schroeder Benn Schroeder Liliane Schroeder Huguette Schweich Joé Simon Coryse Sousa Daniela Steffen Caroline Steinmetzer Jeanne Theis Marc 101 102 103 104 105 106 107 108 109 110 111 112 113 114 115 Thilges Marianne Thill Michèle Thill Tania Thill Marthe Vanoli Max Vilm Jérôme Wagner Colette Warken Roland Warnier Jessica Weber Joëlle Weis Jean-Louis Wenandy Yunn Wengler Vanessa Wermeister Daniel Zanter Jean-Paul La communauté scolaire 21 22 La communauté scolaire Ried vum Här Direkter Benn Schroeder o p d e r D i p l o m i w w e r r e e c h u n g d e 7 . J u l i 2 0 1 1 Photo: Fabrizio Pizzolante Tageblatt (Sa./So., 9./10. Juli 2011 - Nr.158) a sech wuel fillen. An dat ass fir jidderee vun eis existentiell wichteg. Sech wuel fillen, ob an der Famill, an der Schoulklass, de Veräiner, Associatiounen, Organisatiounen, oder am Team op der Aarbecht. A scho si mer erëm bei der Aarbecht! Net nëmmen den Travail individuel as valorisant, ma den Eenzelne selwer ass onschätzbar vill wäert. Eenzel an eleng souzt Der net nëmme 7 méi oder manner laang Deeg mueres doiwwer an der Sports hal, oder heiiwwer a Spezialsäll, an hutt Är Käpp ugestrengt, fir den Examen ze packen. Eenzel an eleng ass een ëmmer am Liewen, wann et drop ukënnt. Den Eenzelenen huet awer laang net vill gezielt. Dir, an déi meescht Elteren heibanne si Post68’er. Datt den Travail en groupe eng gewëss Sécherheet gëtt, brauch ech Iech net ze soen. Am Laf vun de Joren hutt Der dat bestëmmt bei där enger oder aner Gruppenaarbecht festgestallt. An a wéi engem Mooss den Travail individuel valorisant ass, hutt Der spéitstens gemierkt, wéi Der mat grousser Freed gelies hutt, oder gewuer gi sidd, datt Der den Här Vertrieder vun der Madame Exame gepackt hätt. Den Effort an Minister, de leschte Wochen huet sech geLéif Professeren, lount, an Dir sidd op ee Schlag e Léif Elteren, Kapp méi grouss ginn. Gläich am Léif rezenst diploméiert fréier Ufank wéilt ech Iech dann och ganz Schüler vum LGL, gär encouragéieren, esou weiderzefueren, elo wou Der de Goût de «Le travail en groupe est sécuril’effort kennen an hoffentlech apsant, le travail individuel est valoripréciéiere geléiert hutt. sant!» Net nëmmen den Travail en groupe, Dëse Saz vun enger belscher mä d’Liewe selwer am Grupp ass Psycho-Pädagogin gefällt mer ganz sécurisant. Well nëmmen do, wou gutt, an dofir géif ech e gäre mat Mënschen zesumme sinn, kann den Iech deelen. Eenzelnen Gebuergenheet fannen Dofir erlaabt mer, drun ze erënneren, datt d’Jugend aus de 60er Joren manifestéiert huet géint de Krich am Vietnam, protestéiert géint d’RasseSégrégatioun, revoltéiert géint Kapitalismus, Imperialismus a Konsumgesellschaft, an dofir faszinéiert ass vun de Revolutionären Fidel Castro, Che Guevara an Hô Chi Minh. Si wiert sech géint de Chômage, deen och op si iwwergräift. All dat féiert zum fundamentalen Embroch vun 68, wou quasi all Form vun Autoritéit contestéiert ass, a wat gewalteg Konsequenzen op ville Pläng fir d’Gesellschaft mat sech bréngt. Beispillsweis réckelt deen Eenzelnen vill méi an de Mëttelpunkt vun den Iwwerleeungen. An dat ass och haut, gutt 40 Joer méi spéit, nach ëmmer de Fall. Well et gëtt weiderhin doriwwer nogeduecht, den Eenzelnen op- La communauté scolaire 23 timal ze orientéiren, seng Talenter méiglechst fréi ze erkennen an ze entwéckelen, an esou dem Wuert Excellence erëm säi verdingte Stellewäert ze ginn. Déi geplangte Reformen hunn och dëst Zil am Viséier. Den ageschloene Wee gëtt momentan op ville Niveauen diskutéiert. An dat ass och gutt esou, well deen Eenzelnen an de Mëttelpunkt ze setzen ass jo ganz an der Rei, d’Konsequenze vun enger zevill grousser Ich-Bezogenheit sinn allerdéngs och ze bedenken. «Le travail en groupe est sécurisant, le travail individuel est valorisant!» Op enger Diplomiwwerreechung kréien d’Kandidaten fir hir gutt Leeschtung félicitéiert, an dofir sinn dës puer Gedanke ronderëm d’Aarbecht sécher net falsch op der Plaz. Vläicht kritt de Begrëff “Recht op Aarbecht” fir deen een oder aneren domat eng nei Bedeitung, an hien erkennt den déiwe Sënn vun dësem elementare Recht. Eng Diplomiwwerreechung as och e Moment fir sech ze freeën. An dofir maachen ech op dëser Plaz keng Analyse vun de Resultater, a verzichten och gewollt op Vergläicher tëscht Sektiounen oder Gebaier, zemools wou Réussite an Echec wéi villes am Liewen alles anescht wéi monokausal sinn. An esou wëlle mer eis haut an hei zesumme freeën iwwer all Réussite, a bestëmmt sidd Der mat mer traureg iwwer all Echec, well all Echec ass en Echec zevill, egal, wéi en zustane komm Et ass fir d’véierte Kéier, datt eng ass. Rei vun Iech am Optiouns-Cours vum Här MICHAUX e Year-book zesummeAlle Kandidaten, déi am Septem- gestallt hunn, an esou wéi déi ber nach mussen untrieden, wën- Jore virdrun kréien all Primaner a schen ech déi néideg Loscht an de Professeren esou eng Summerméint, sou datt Erënnerungsbroschür geschenkt. och si den Diplom am Och fir dëst Year-book as d’Direktioun September an d’Täsch kréien. An alle fir eng Contributioun gefrot ginn. An Kandidaten, déi d’nächst Joer nach zwar ass de Wonsch ausgedréckt eng Kéier op 1ère sinn, déi néideg ginn, e Nowuert op Lëtzebuergesch Motivatioun an Ausdauer, zemools ze schreiwen. Mer sinn awer beim wou d’Duerchfalen op 1ère méi Prolog op Franséisch bliwwen. En schlëmm ass wéi d’Duerchfalen op Epilog hätt bedeit, datt d’Direktioun enger anerer Klass, an zwar well den och nom Examen nach ëmmer dat Echec kuerz virum Zil méi wéi deet leschte Wuert misst behalen, an wéi am Ufank vun der Course. d’Lëtebuergescht ass wuel eng vun den 3 adminstrative Sprooche An da maachen ech mer selbst- vum Land, mä di schwéierst, well verständlech eng Freed draus, déi mer sinn nëmmen zu e puer honSchüler ze ernimmen, déi di beschte nertdausend, déi se schwätzen Performance réaliséiert hunn, also a ver-stoe kënnen. An enger glod’Mentioun TB oder EX kréien: baliséierter Welt, wou et méiglech ass, an e puer Stonne Fliger iwwerD VINANDY-LAU Sam 47.22 all unzekommen, hu mer gemengt, D WEBER Celia 47.30 en Zeechen a Richtung SproocheG LIPPERT Joanna 47.38 vielfalt ze setzen, a si beim B ALBERT Marc 47.52 Franséische bliwwen. C PAULY Mathieu 47.52 Am Prolog hu mer eng Lanz gebrach C ENGEL Svenja 47.65 fir d’Buch a Pabeierform, well mer B MOUSEL Pol 47.65 schreiwen: Dans dix ans, aurez-vous B LEVY Jessica 47.96 encore le temps ou même l’envie de fureter dans des réseaux sociaux? E LUDWIG Martine 48.82 Pas forcément ... Alors que ce bout B MAZOUIN Laurent 49.00 de papier, vous pourrez le retrouver C MARTIN Axelle 49.09 un jour, même lointain. Si vous ne B RECKINGER Ben 49.09 l’avez pas égaré, c’est longtemps B BIRGET David 49.39 qu’il va durer! Aucun virus ne le détruira, aucune panne de disque D WIRION Paul 49.65 dur à craindre. B MOLITOR Ben 50.09 D G VANDENHOEKE Laurence MULLER Sarah 51.22 51.96 (eenzech „excellence”am Land) D BICHEL Ricky 53.26 24 La communauté scolaire vun eis all opgetruede sinn oder LGL wéi LanGues déLiées, eisen zweete grousse Projet d’établissement, deen d’lescht Joer mat vill Succès op en Enn gaangen ass, a wou eng ganz Rutsch vun Iech am Theaterstéck “Copenhagen” d’Geleeënheet haten, vun en etlech begeeschterte Professionellen an déi räichhalteg Welt op der Bühn an hannert de Kulissen agefouert ze ginn A wa mer scho bei de Bicher sinn, géif ech Iech gär aus Léift zu de Bicher am Allgemengen, an zur Literatur am Besonneschen dësen Extrait aus dem Editeur Henri Gougaud sengem Mode d’emploi zu Sagesse des contes mat op de Wee ginn: Ce livre n’est pas fait pour être lu, mais pour être fréquenté comme un ami proche, secret. Vous pouvez lui demander de vous nourrir, il vous nourrira, de vous éclairer, il vous éclairera, de vous émouvoir, de jouer, il jouera avec vous le jeu le plus mystérieux du monde, celui du hasard qui n’existe pas. sech den Alter iwwert déi ongezillte Jugend vun haut. Wéi Onrecht den Alter der Jugend domat deet, huet d’lescht op engem Konveniat e fréiere Schüler, aktuelle Professer an deemnächst Éiereprofesser mat dësem Sproch herrlech illustréiert: „Je älter wir werden, desto besser oder waren wir früher.” LGL wéi LGL-en-FRVsciences, eise neie Projet d’établissement, dee LGL wéi ganz gutt lancéiert ass, an deem Lycée de Garçons de Luxembourg, an deem Der eng Rei Jore verbruecht mer grad sou vill Succès wéi senge Virgänger wënschen hutt oder oder Weiderhi gëtt am Virwuert en Appel un Iech gemaach, fir Ärem LGL och a Solidaritéit verbonnen ze bleiwen, wa mer op Iech zréckgräifen, fir kommende Generatiounen bei der Orientatioun ze hëllefen, bspw. op der Journée des professions fir eis 2es-Schüler. A gären dierft Der den LGL fir e ronne Konveniat besiche kommen. Et ass ëmmer erëm flott, bei esou enger Geleeënheet mat fréiere Schüler ze poteren, a gewuer ze ginn, wat esou aus hinne ginn ass. Zënter éiwegen Zäiten iergert LGL wéi Let’s Go Lezards, wéi den Ofschloss-Spektakel vun eisem éischte grousse Projet d’établissement geheescht huet, a wou deen een oder anere vun Iech fir d’éischte Kéier virun engem grousse Publikum opgetrueden ass LGL wéi Les Grandes Lignes, eng Publicatioun, déi d’lescht Joer fir d’éischt erauskoum fir d’Schouljoer 2009-2010 op 60 Säiten a Bild an Text festzehalen; mat Spannung gëtt elo schonn op déi nächst Editioun gewuaart oder oder eben LGL wéi Let’s Get Loud, eis Concerts-Owender, op déi mer zënter Joren invitéieren, a wou eng ganz Rei vun Iech regelméisseg zur Freed LGL wéi LeavinG the Lycée, wéi op der leschter Säit vum Year-book steet, ce lycée, dans lequel nous espérons vous avoir transmis ne La communauté scolaire 25 Zitat oder e Spréchelchen, vläicht dësen, wuel an enger net méi zäitgeméisser Sprooch, vun engem onbekannten Auteur: serait-ce qu’un peu de cette passion du savoir et de la culture, ce bagage qui doit nourrir et stimuler votre curiosité, au plus tard quand vous vous apercevrez que consommer toujours plus et plus souvent ne suffira pas à votre bonheur. An domat ass de Moment komm, fir Merci ze soen. Ugefaange bei Ärer Famill an Äre Frënn, déi Iech ënnerstëtzt an encouragéiert hunn, och wann, esou wéi bei de Promotioune virun Iech, an de Woche virum Examen den Toun bestëmmt net ëmmer dee richtege wuar, an d’Sprooch uerg strapazéiert gouf, well d’Nerve blank louchen. Gebuergenheet an Unerkennung, de Mënsch brauch béides. Maacht et wéi d’Beien, well zu méi geet et vill besser, zu méi ass vill méi Freed. Lieft a schafft am léifsten zesummen, a wann dat net geet, da schafft laanschteneen, kengesfalls awer géinteneeen, et ass déi einfachst Manéier vu Gewaltpräventioun. Sammelt eenzel, ähnlech wéi d’Beien, méiglechst vill Wëssen a Kënnen op méiAn dann e Merci un d’Professeren, glechst ville Plazen, kommt domat déi der dëst Joer hat, an och all erëm heem, da gëtt den Huneg am deenen aus de Joere virdrun. Si hunn beschten. Iech, jiddereen op seng Manéier, op den Exame mat vill Kompetenz, Dofir eng läschte Kéier aus dem Engagement an Dévouement vir- Virwuert vum Year-book: Sortez du bereet, an och wann si mol ver- cocon familial et de la quiétude drësslech wuaren, wann Der net luxembourgeoise, pliez bagagesou geschafft hutt, wéi dat nout- es et allez à l‘encontre d’autres wendeg gewiescht wier, an och pays et d’autres cultures. Oui, wann d’Direktioun mol traureg oder saisissez à bras-le-corps cette rose wuar, wann verschiddener vun occasion souvent unique dans une Iech sech net esou beholl hunn, wéi vie de changer de pays et de respirer se hätte missen, an hätte kënnen, un autre air! C’est une occasion à ne hu si un Iech gegleeft, an op Iech surtout pas manquer. gebaut. Fir ofzeschléisse wënschen ech Zu gudder Lescht e ganz häerzleche Iech, datt der Är Perséinlechkeet Merci un all déi Schüler mat hire weider entwéckelt, Är Talenter opProfesseren, déi eis haut timal notzt, an Iech net mam Minide Mëtteg mat Theater, mum zefridde gitt. Musik a Gesank verwinnen. A wann Der mol d’Flemm hutt, «Le travail en groupe est sécuri- oder de Courage Iech ausgeet, an sant, le travail individuel est valori- dat wäert gär genuch och Iech alt sant!» emol passéieren, dann hëlleft Iech, besonnesch wann Der eleng sidd, en Immer wenn Du meinst, es geht nicht mehr, kommt von irgendwo ein Lichtlein her, dass Du es noch einmal zwingst und von Sonnenschein und Freude singst, leichter trägst des Alltags harte Last und wieder Kraft und Mut und Glauben hast. An denkt drun: an de nächste Joere sidd Der Ambassadeure fir Lëtzebuerg. Weist Iech vun Ärer beschter Säit, dat as gutt fir Iech, a fir déi, déi no Iech kommen. Nom Motto «Eemol Scout, ëmmer Scout» erlaben ech mer, dëse Saz aus dem leschte Bréif vum Lord Robert Baden Powel, dem Grënner vum Scoutissem, ze zitéieren: Versicht, d’Welt e bësse besser ze verloossen, wéi Der se virfonnt hutt. D’Haaptzil vum Scoutissem as jo, d’Kand an de Jugendlechen lues a lues zu engem engagéierten, verantwortungsvollen an autonomen Erwuessenen an der Gesellschaft erunzezéien. An deem Sënn wënschen ech all eise Schüler a Studenten op hirem Wee zum ErwuesseGinn vill Erfolleg a vilL GLéck. An domat ginn ech d’Wuert weider un den Här Gérard Zens, Vertrieder vun der Mme Minister. (Benn Schroeder) 26 La communauté scolaire L G L – C o m i t é d e s P r o f e s s e u r s Cooperation Organisation Motivation Infragestellung Teilnahme Engagement Mit der Gesetzgebung vom 25. Juni 2004 ist eine Schule dazu verpflichtet, ein Professoren-Komitee zu führen. Laut des Artikels 33 sind die Hauptaufgaben vor allem die Repräsentation vor der Schulleitung, sowie vor dem Ministerium. Die Organisation kultureller und sozialer Veranstaltungen ist ein weiterer Kernpunkt. Der Beitritt erfolgt durch die Stimmabgabe aller Professoren des Gebäudes. Das Reglement eines jeden Komitees kann individuell gestaltet werden. Das Comité des Professeurs des Lycée de Garçons Luxembourg (LGL), unter der Leitung von Herrn Berns, besteht aus 10 motivierten Lehrern unterschiedlicher Fachrichtungen. Jährlich findet man sich zu etwa 6 Routinesitzungen zusammen. Zusätzlich finden Versammlungen zu aktuellen Problemen statt. Der Sekretär Claude Reiles, welcher seit vier Jahren im Comité tätig ist, benennt den Grund für die Mitgliedschaft vor allem mit der aktiven Teilnahme an Entscheidungen und darüber hinaus die lebhafte Diskussion über Pädagogik, das Bildungssystem und Probleme im Kleinen wie im Großen. Zu den regulären Aufgaben gehören auch die Organisation der Porte Ouverte, der Agape und eines Lehrer-Ausflugs. Sowohl Be-sprechungen mit dem Comité des Elèves und dem Comité des Parents, als auch die Vergabe von Aufmerksamkeiten an Kollegen bei Hochzeiten, Geburten und Krankenhausaufenthalten sind ein weiterer Teil ihrer Arbeit. Ein aktuelles Projekt des Comités ist die Einführung von Fair-TradeProdukten in den Schulautomaten. Darüber hinaus ist die Unterstützung in Form eines Getränkestandes am Charity Sports Day sowie dem ING Marathon vorgesehen. Auch die Veränderung der Organisation der Kantine liegt den Mitgliedern am Herzen. Sie möchten die Verteilung der Speisen optimieren und den Speiseraum vergrößern, da er den Schülern nicht genug Platz bietet. Derzeit beschäftigt sich das Comité des Professeurs ausgiebig mit dem Avant-projet de loi rundum die Semesterfrage und beabsichtigt die Veröffentlichung ihrer Stellungnahme zu dieser umstrittenen Gesetzesänderung. Die Umänderung der Trimester in Semester wird von zahlreichen Professoren-Comités kritisch bewertet. Herr Berns, Verfasser des Kommentars, verdeutlicht die negativen Aspekte dieser Reform. Unter anderem werden die Unterbrechung des Lern- und Schulrhythmus sowie der Reform-Aktionismus im luxemburgischen Schulsystem kritisiert. Abschließend kann man sagen, dass das Comité nicht alles allein verändern kann. Dank der Zusammenarbeit mit anderen Akteuren gelingt es ihnen jedoch, an relevanten Entscheidungen teilzunehmen. Somit ist das Comité offen für jegliche Art von Fragen und Problemen. Auch deshalb nennt der Präsident die zwischenmenschliche Solidarität als Grund für sein Engagement. Julia Pompei, Paul Schmitz, Christine Zoller, Michelle Kemp La communauté scolaire 27 Engagement für Schüler Wie die Schüler sich für ihr Gymnasium und ihre Mitschüler einsetzen Die Unabhängigkeit des Etwa alle 14 Tage treffen sich eine Handvoll Schüler während der Mittagspause in einem Raum im Untergeschoss des Lycée de Schülerkomitees ist jedoch beGarçons de Luxembourg (LGL). Fragt sich nur, was sie dort tun? Wir grenzt, weshalb es für jedes einzelne Projekt bei der Direktion um haben nachgefragt. Das Schülerkomitee des LGL besteht aus 12 Schülern. Jedes einzelne Mitglied des Schülerkomitees trägt eine bestimmte Verantwortung. Jeder kann am Anfang des Jahres für ein Amt kandidieren und die Aufgaben werden dann durch eine anonyme Abstimmung innerhalb des Komitees gerecht verteilt. Die Gesamtheit des Schülerkomitees repräsentiert die Schülergemeinschaft gegenüber der Schulleitung sowie dem Nationalen Schülerkomitee (CNEL), um die Meinung und die Interessen der Schülerschaft zu vertreten. Um sich über die Probleme der Schule auszutauschen und darüber zu diskutieren, trifft sich das Komitee regelmäßig alle 1-2 Wochen. Da ihnen jedoch nur 45 Minuten pro Sitzung zur Verfügung stehen, ist es nötig, effizient und produktiv zu arbeiten. Nach Angaben eines Mitgliedes des Schülerkomitees ist die Atmosphäre innerhalb der Gruppe meist ungezwungen und locker. Dies kommt vor allem daher, dass alle Schüler dem Komitee freiwillig beigetreten sind. Wir haben uns über die verschiedenen Gründe informiert, warum die Schüler dem Schülerkomitee beigetreten sind. So bietet der Eintritt in das Schülerkomitee eine gute Möglichkeit, sich für die Schule ein- zusetzen und um einiges zu verbessern. So wurde zum Beispiel letztes Jahr im Prüfungssaal eine Uhr angebracht. Das Schülerkomitee ist außerdem verantwortlich für die Anbringung der Spiegel in den Toilettenräumen, welche bis vor 4 Jahren noch nicht vorhanden waren. Des Weiteren war es auch zuständig für die Organisation des Schulfestes 2010. Was die momentanen Projekte betrifft, hat das Schülerkomitee Großes vor, so berichtet unsere Quelle, Mathieu Lohr: „Momentan arbeiten wir sehr hart an einem Projekt, das das diesjährige Schülerfest wieder zu dem machen soll, was es vor Jahren war. Ein Fest, an dem die gesamte Schule mitwirkt und Unterhaltung geboten wird, und das sich nicht auf einen Imbissstand mit Musik begrenzt. Ein anderes aktuelles Thema ist das Umschalten von Trimester auf Semester, für welches wir bald eine Umfrage in der Schule starten werden, um die Meinung des LGL in der CNEL (Comité National des Elèves du Luxembourg) vertreten können.“ Erlaubnis fragen muss. Leider stößt man bei den Schülern oft auf überschaubare Begeisterung, wenn es um die Frage geht, dem Schülerkomitee beizutreten. Manchmal liegt es auch an Unwissenheit und am Mangel an Information, wie es unsere Statistiken verdeutlichen. Wir haben insgesamt 260 Schüler aus elf Klassen befragt, darunter Schüler von 7e bis 1re. Das Wissen um die Tätigkeit der Schülervertretung hält sich demnach in Grenzen. Ein Beitrag von Max Olinger, Fatmir Smailovic, Jil Schmit und Anya Lamesch 28 La communauté scolaire Das LGL-Première-Komitee backstage Jeder kennt das Première-Komitee, aber nur die wenigsten wissen um seine Aufgaben und seinen Zweck. Im Interview mit dem Präsidenten, Jean-Marc Hoffmann, sind wir einigen Fragen auf den Grund gegangen. einzubringen. Der finanzielle Gewinn dieser Events dient der Organisation der “LGL Promnight”, die jedes Jahr den Schlusspunkt des jeweiligen Abi-Jahrgangs markiert. Dem fügt Hoffmann hinzu: „Je mehr Gewinn wir bei den über das Jahr verteilten Veranstaltungen erzielen, umso So kommt es auch zu Stande, dass prachtvoller können wir die nur für die meisten Events wie zum Bespiel die 1ère-Schüler gedachte Promdas “LGL Fräibéier” oder die “Prom- night gestalten”. night” den Schülern vor allem zum Vergnügen dienen sollen. Um Auf die Frage hin, ob das Komitee solche doch aufwändigen und von mit den Professoren des LGL oder den Schülern geliebten Events auf anderen Komitees von anderen die Beine zu stellen, ist eine ser- Schulen zusammenarbeitet, eriöse Führung dieses Komitees nötig. klärte er uns, dass sie grundsätzlich So treffen sich die Mitglieder jeden alleine arbeiten, also auch unabhängig Freitag nach der Schule zu teils von den Professoren. So werden stundenlangen Diskussionen. Events wie der Nikolaustag und der Rosenverkauf ohne Rücksprache Bei diesen Versammlungen werden mit den Lehrern organisiert. Doch die vom Präsidenten ausgewählten Ausnahmen bestimmen die Regeln. Themen besprochen und so die kom- So fand dieses Jahr ein größeres menden Veranstaltungen ge-stimmt Event statt, LARS, das von mehrund organisiert. Oftmals versucht eren Komitees organisiert wurde. das alljährlich neu zusammen Außerdem erklärt uns Hoffmann, gestellte Komitee hier neue Ideen dass seiner Meinung nach die StimAuf die Frage nach der eigentlichen Rolle des 1ère-Komitees antwortete der Präsident Jean-Marc Hoffmann, dass es für ihn die wichtigste Rolle sei Spaß zu haben und vom stressigen Alltag eines Première-Schülers abgelenkt zu werden. mung und die Zusammenarbeit im diesjährigem 1ère Komitee ausgesprochen gut seien. Obwohl es nicht zur Hauptaufgabe des Komitees gehöre, ein finanziell positives Ergebnis zu erzielen, würden sich die Mitglieder des Komitees jedes Mal freuen, wenn ihr Event gut ankommt und die Besucherzahlen stimmen. Am Ende des Interviews gab uns Jean-Marc Hoffmann, als wir ihn nach einer Botschaft an die kommenden 1ère-Komitees fragten, folgende Antwort: „Motivation und gute Organisation sind die Hauptbestandteile einer erfolgreichen Arbeit.“ La communauté scolaire 29 S ( P ) O S essenzielle Stütze einer jeden Schule Laut dem Gesetz vom 10. März 1968 hat das „Ministère de l’Education Nationale et de la Formation Professionnelle“ Zentren in Luxemburg zum Nutzen der Schüler festgelegt, die sich der Psychologie und der Orientierung widmen. Auch im ,,Lycée de Graçons Luxembourg” (LGL) wurde ein solches Zentrum eingerichtet. Das ,,Service de Psychologie et d’Orientation Scolaire” (SPOS) besteht aus einer multidisziplinären Gruppe, in welcher zwei Psychologen und fünf Pädagogen beschäftigt sind. In erster Linie ist es ihre Aufgabe, die Schüler bei ihrem Lehrgang zu beraten, egal ob es darum geht, die Siebtklässler bei ihrer Entscheidung zwischen Latein oder Englisch zu begleiten, die Sektionswahl auf 4e zu erleichtern oder auch die Wahl der passenden Universität zu treffen. Den 4e-Schülern werden z. B. Tests angeboten, um die passende Sektion auszuwählen oder den Abiturienten wird bei der Suche nach Universitäten beigestanden. Eine weitere Aufgabe des SPOS ist es, den Schülern zu helfen, die sich im Gymnasium nicht zurecht finden und auf eine andere Stufe wechseln wollen. Nebenbei ist das psychologische Zentrum eine Anlaufstelle für Jugendliche die unter Konzentrationsschwächen bzw. an Prüfungsstress leiden, welche die schulischen Leistungen beeinträchtigen. Des Weiteren werden Zusatzkurse angeboten, welche von Pädagogen respektive von leistungsstarken Schülern geleitet werden, die sich aus eigenem Willen bereit erklären hilfsbedürftige Schüler zu fördern. Unter anderem veranstaltet der SPOS jedes Schuljahr Elternabende, sowie auch Schülerversammlungen. Den Gymnasiasten des LGL, die persönliche Probleme haben, steht die multidisziplinäre Gruppe zur Seite, die ihnen psychologische Hilfe anbietet und ausführliche Gespräche mit ihnen führt. Einige dieser Probleme können durch Stress mit den Freunden, mit der Familie oder auch in der Schule entstehen. Auch den Schülern, die die Lust am Lernen verloren haben und sich aber bemühen wollen, das Schuljahr erfolgreich zu meistern, kann geholfen werden, dieses Problem zu bewältigen. Zu den Organisationen gehören Projekte, wie zum Beispiel die Drogen- und Gewaltvorbeugung in Zusammenarbeit mit der Polizei, ebenso wie das Projekt ,,Round about Aids“ mit der Croix Rouge. In Verbindung mit dem „Planning familial“ trägt das SPOS zur Aufklärung der Schüler bei. Ebenso werden zahlreiche Prospekte über psycho-medizinische Themen aus- geteilt, wie z.B. über Tabakmissbrauch, Aids und sexuell übertragbare Krankheiten, Vorbeugung und Kampf gegen die Sucht, Verhütungsmittel oder auch über Hilfs-institutionen. Den 2e-Schülern wird ein Einblick in die Arbeitswelt in Ko-operation mit der ,,Administration de l’Emploi“ (ADEM), dem ,,Centre de Documentation et d’Information sur l’Enseignement Supérieur“ (CEDIES) und der ,,Action Local pour Jeunes“ (ALJ) verschafft. Außerdem arrangiert das Zentrum Sprachaufenthalte im Ausland, um lernwilligen Schülern die Möglichkeit zu bieten, ihre Sprachkenntnisse zu erweitern. Letztlich ist der SPOS für Schüler, Eltern, aber auch für Lehrer zugänglich. Jeder einzelne wird ernst genommen. Darüber hinaus sind die Beratungen kostenlos und werden vertraulich behandelt. Christelle SCHILZ, Amila REC, Dalila REC, Marc THEIN „Wissenschaft ist auch Kultur“ Seit September 2010 sorgt das neue „Projet d`établissement“ des LGL für Begeisterung an der Wissenschaft. Nach bereits zwei erfolgreichen Projekten des LGL, die jeweils auf Kunst und Sprachen fußten, folgt jetzt die Naturwissenschaft. LGL en FRV-Science, ein Wortspiel das sich an das französische Wort „effervescence“ anlehnt und dessen Anfangsbuchstaben für die Wörter „Fascination“, „Réflexion“ und „Vocation“ stehen, gehört derzeit zu den größten Schulprojekten des Landes. Nach den Worten von Physikprofessor Pascal Daman, Koordinator des Projekts, wolle man die wissenschaftliche Tradition wieder aufgreifen und w i s s e n schaftliche Kenntnisse an die Schüler weitergeben. Das Lycée de Garçons, früher bekannt als „Ecole industrielle et commerciale“, hat eine prägende wissenschaftliche Vergangenheit. So ermöglicht das neue Projekt der Schule, ihre Wurzeln wieder aufzunehmen. Das Projekt besteht aus vier verschiedenen Facetten: Ein erster As- 31 pekt vermittelt anhand von Artikeln oder Romanen eine weit gefächerte, naturwissenschaftliche Kultur und dies auch bei Klassen, die weniger naturwissenschaftlich orientiert sind. Die 3e A nimmt zum Beispiel am Projekt des Reiseführers teil, der den Schülern durch Recherchen ermöglicht, ihren Lesern den kulturellen und wissenschaftlichen Wirkungskreis einer beliebigen Stadt vorzustellen. Julien Marcy, Schüler der erwähnten Klasse, erklärt: „Wir müssen uns für ein dort vorhandenes Institut entscheiden und uns sowohl über einen historischen als auch einen zeitgenössischen Wissenschaftler informieren.“ Das „Projet d`établissement“ beschäftigt sich allerdings auch mit der Schulorientierung. Das Interesse der Schüler an naturwissenschaft-lichen Fächern soll geweckt werden, indem die Fächer Naturkunde, Chimie und Physik nicht mehr so streng voneinander getrennt werden. Berufsmöglichkeiten in der Forschung werden den Schülern vorgestellt. Außerdem soll den 4eSchülern die Sektionsentscheidung mit Hilfe eines Tagesaufenthalts in der Cité des Sciences in Paris erleichtert werden. Ein weiterer Aspekt des Projektes befasst sich mit den Zusammenhängen von Wissenschaft und Umwelt. Wie kann Wissenschaft helfen, Umweltprobleme zu lösen? Was sind die Auswirkungen der Wissenschaft auf die Natur? Den Schülern werden eine umweltpolitische Erziehung, sowie ein respektvoller, gesunder Umgang mit der Natur geboten. LGL en FRV-Science setzt sich zudem mit dem Thema neuer Technologien auseinander. Ziel ist es, dass die Informatik als einflussreicher Bestandteil unserer modernen Gesellschaft eine größere Rolle im Sekundar-Schulsystem einnimmt. Ein „vernetztes” Denken soll bereits den Schülern der 7e mit der Programmierung und Installierung eigener Homepages vermittelt werden. Kernkraftwerks Cattenom ermöglicht. Mit einer Laufzeit von 3 Jahren soll dieses Schulprojekt die Schüler für naturwissenschaftliche Fächer sensibilisieren. Zahlreiche Experimente und Forschungen sollen vor allem die jüngsten für solche Fächer begeistern. „Wir hoffen weiterhin auf eine gute Zusammenarbeit Im Bezug auf die Atomkatastrophe zwischen Schülern und Professoren. in Japan ist dieses Projekt gerade Wir sind offen für jede neue Idee“, so jetzt so wichtig, da die grenzenlose Herr Daman. wissenschaftliche Forschungsgier des Menschen ins Blickfeld geraten Faber Caroline, ist. Um den Schülern Kenntnisse Moayed Ariane, über die Macht der Atomkraft zu Muller Claire, liefern, behandelte die 2e B DokuReiffers Stéphanie mentationen über Hiroshima. Ziel war es zu zeigen, dass Atomenergie auf eine friedliche, jedoch auch auf eine destruktive Art genutzt werden kann. Die Englischlehrerin Marthe Thill erklärt dazu: „Der Mensch lässt Kräfte frei, die er im Nachhinein nicht mehr kontrollieren kann. Einerseits birgt die Atomenergie Risiken, andererseits ist sie notwendig, um unseren Energiebedarf zu decken.“ Die Schüler erfuhren sowohl die physikalischen als auch die politischen Hintergründe der Atomkraft und als Abschluss dieses Projekts wurde den Schülern ein Besuch des 32 Le projet d’établissement CHERCHEURS AU LGL Dans le cadre du volet « orientation » du projet d’établissement «LGL en FRVscience », le groupe de pilotage a, à plusieurs reprises, invité des chercheurs au LGL pour parler de leur métier, de leur passion et de leur parcours aux élèves de différentes classes. Lors de 3 séances, les élèves des sections scientifiques de la 3e à la 1ère, ainsi que tous les élèves de 4ème ont pu rencontrer des chercheurs évoluant dans différents domaines. Pour les élèves des sections B et C, c’était l’occasion de s’informer sur d’éventuels débouchés dans le domaine scientifique. En revanche, pour les élèves de 4ème, le but était de donner des informations plus générales sur les sciences, car ils doivent choisir une section au début du 3ème trimestre. La première séance a eu lieu le 26 octobre 2010, en collaboration avec • Voyage culturel des classes artistiques à Munich • Concours “dénomination” • Chercheurs à l’école (1) • Rencontre avec Claude Turmes • EUSO • Café pédagogique 15 avec Claude Turmes • Rencontre avec M. J-F. Hausman • Rencontre avec M. J. Lamesch • Concours logo • L’image du monde • Action poubelles au LGL le Fonds National de la Recherche. Les scientifiques Christiane Kaell, chimiste, représentant le Fonds National de la Recherche, Olivier Francis du Centre Européen de Géodynamique et de Séismologie et Pierre Hubsch d’Arcelor-Mittal ont rencontré quelque 80 élèves des classes de 1ère B, 2e B, 2e C, 3e B et 3e C. Mme Kaell a parlé plus généralement du statut de chercheur au Luxembourg et du rôle du Fonds National de la Recherche. M. Francis a su fasciner les élèves par les applications des mesures gravimétriques. Ils ont appris ainsi qu’à l’aide d’un gravimètre (appareil qui mesure l’intensité de la pesanteur, notée g), on peut obtenir des informations sur l’évolution de la calotte glaciaire au Groenland. M. Hubsch les a étonnés par son parcours scolaire et professionnel particulier : parti avec un CATP, il passe son bac technique, réussit ses études universitaires, fait deux doctorats et travaille en Afrique, en Irlande et plusieurs autres pays avant de se faire engager chez Arcelor-Mittal. Les discussions, parfois controverses, entre M. Francis, chercheur dans le public, et M. Hubsch, chercheur dans le Privé, étaient des plus intéressantes. •Chercheurs à l’école (2) • Sécurité sur le net avec M. S. Clement . Poetry Slam-Workshop im LGL mit Bas Böttcher Café pédagogique 16 avec J. Lamesch Video Klimawandel Chercheurs à l’école(3) Visite de Cattenom Visite de la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris pour les classes de 4e • Ausflug zum Thema Geologie der Klasse 3G • Segeln, was das Zeug hält! ( 4M3 ) • DAKUPA et la déforestation au Burkina Faso ( 2D2 ) • Recherches sur des thèmes scientifiques • Workshop: Die europäische Wildkatze (Felis silvestris silvestris) • Sciences naturelles-éducation artistique en 7e • Cartographie avec Angelika Kronenberg • • • • • • Le projet d’établissement 33 Les élèves de 1ère C, qui n’avaient pas pu assister à la séance d’octobre, ont eu la chance de rencontrer Jean-François Haussmann, du CRP Gabriel Lippmann, le 14 janvier 2011. Devant un public conquis d’avance, ce spécialiste de la biologie moléculaire et de la génétique, qui avait déjà fait plusieurs interventions dans d’autres classes du LGL, a donné des informations sur les applications de la génétique dans la vie de tous les jours et a parlé des aspects éthiques de l’expérimentation dans le domaine des OGM. que le Luxembourg dispose d’un réseau d’observation des cours d’eau très moderne qui fournit des informations importantes sur les crues et les inondations. M. Yegles, pour sa part, les a captivés par toutes les applications médico-légales de la toxicologie, en particulier la détection de drogues et de poisons dans les cheveux. Ce qui est remarquable, c’est que ces séances ont eu un public nombreux Le 7 mars 2011, ce fut au tour des élèves de 4ème de rencontrer deux chercheurs : Laurent Pfister du CRP Gabriel Lippmann et Michel Yegles, du Laboratoire National de Santé. L’auditoire de physique où se déroulait la manifestation était bondé, car près de 60 élèves des classes concernées avaient répondu à l’appel et étaient venus assister à l’événement de leur plein gré, après la fin des cours. Les deux scientifiques, très près des jeunes et très loquaces, ont parlé de leur profession, des motivations qui les ont conduits à choisir la voie de la recherche, ainsi que de leur parcours scolaire et professionnel. Deux exposés très intéressants ont permis aux élèves de se familiariser avec des professions peu communes : celle de l’hydrologue et celle du toxicologue. M. Pfister leur a appris (en tout près de 200 personnes), bien qu’elles aient été organisées en dehors des horaires normaux et que la présence des élèves fût facultative. Chaque fois, les élèves ont posé de nombreuses questions et la discussion s’est parfois poursuivie au-delà de l’horaire prévu, ce qui atteste de l’intérêt qu’ils portaient à cet événement. 34 Le projet d’établissement C AFE PEDAGOGIQUE 15 - Claude Turmes, le vendredi, 3 décembre 2010 La salle de lecture de la bibliothèque des élèves était bien remplie pour le premier « Café Pédagogique » de FRVscience. L’invité du jour était M. Claude Turmes, député européen des Verts. Fidèle à ses convictions, bravant une météo hivernale capricieuse, M. Turmes est venu à bicyclette pour nous parler d’énergies classiques et alternatives, ainsi que de la politique européenne en matière d’écologie. Plutôt qu’un exposé c’était une causerie, où les participants pouvaient intervenir à tout moment. production d’énergie en Europe. Aujourd’hui encore, le charbon produit en Europe près de 35% de l’énergie électrique, contre environ 33% pour le nucléaire. Les énergies « vertes », (hydraulique, éolienne …) ne représentent actuellement qu’une infime partie de la production électrique. M. Turmes a présenté des modèles suivant lesquels la proportion d’énergie produite à partir du charbon ou de l’uranium pourrait être ramenée à zéro au cours des prochaines décennies. Il s’en est suivi une discussion intéressante sur la faisabilité de telles réformes (réaliste ou utopique ?) sur le changement nécessaire des mentalités et sur la capacité des politiques à penser de façon globale ou transversale (vernetztes Denken). Les nombreux professeurs (ils étaient près de 30) qui étaient venus assister à ce « Café pédagogique » malgré un calendrier chargé, malgré la période des compositions, ont eu l’occasion d’entendre un exposé captivant, dont les thèmes s’accordaient parfaitement avec les objectifs du projet d’établissement. Par leurs interventions, ils ont montré que la problématique de l’énergie les touche et les intéresse. En guise d’introduction, Claude Turmes a présenté les divers types de certificats CO2 et a dénoncé la politique hypocrite des certains pays, dont le nôtre, dans la gestion de ces certificats. Il a ensuite évoqué l’état actuel de la CAFÉ PEDAGOGIQUE 16 - Jean Lamesch, le mercredi, 2 mars 2011 Le 2 mars 2011, le groupe de pilotage du projet d’établissement LGL en FRVscience a invité les professeurs du LGL pour un second « Café pédagogique» du nouveau projet d’établissement, le 16e du nom. Le conférencier était M. Jean LAMESCH, docteur en Chimie-Physique, ancien ingénieur chez Arcelor-Mittal, qui profite de sa retraite pour s’investir dans la problématique des réserves énergétiques mondiales. Titre de l’exposé : « L’après-pétrole a commencé ». Dans un exposé bien structuré, basé sur des graphiques très explicites, Jean Lamesch nous a présenté les enjeux du pétrole dans une économie mondialisée. En partant de considérations historiques et en se basant sur des cas précis, il a expliqué la notion de « pic pétrolier ». En quelques mots, qu’estce que c’est, le « pic pétrolier » ? Le graphique ci-joint (extrait de la présentation de M. Lamesch) montre l’évolution des découvertes de gisements pétroliers aux EtatsUnis (en jaune) et la production de pétrole par le même pays (en rouge). Il y a une corrélation entre ces deux courbes, mais elles sont décalées de quelques dizaines d’années. Aussi, dès 1956, le géophysicien Marion King Hubbert prévit-il un maximum de production de pétrole aux Etats- Le projet d’établissement 35 transparence » des pays producteurs (OPEC et non-OPEC). En tout état de cause, le temps presse. Comme l’évoque le titre de la conférence : « L’après pétrole a commencé ». Unis, qu’il baptisa « pic pétrolier ». Un tel pic pétrolier (oil peak) a des conséquences dans le pays où il a lieu, mais aura à longue échéance une influence déterminante sur la politique énergétique mondiale dès lors que notre planète entière atteindra le pic pétrolier. Que se passe-t-il dans un pays en voie de développement, mais producteur de pétrole, comme l’est l’Egypte ? Un second graphique tiré de la ppt de M. Lamesch montre l’évolution de la consommation de pétrole (en noir), de la production de pétrole (en gris) et des exportations (en vert). On remarque que, d’une part, le pic pétrolier a eu lieu entre 1990 et 2000, d’autre part, la consommation en pétrole des Egyptiens n’a cessé d’augmenter jusqu’à atteindre le niveau de production. M. Lamesch a continué son exposé en évoquant la situation énergétique du Luxembourg. Il a esquissé des solutions (parfois drastiques, mais peut-être inévitables) pour amener le Luxembourg à une consommation plus modérée. Conséquence : depuis 2010, l’Egypte n’exporte plus de pétrole. Lorsqu’on sait que les exportations ont servi surtout à financer l’achat de blé à l’étranger, on comprend dans quelle situation l’Egypte se trouve à l’heure actuelle (et l’on n’est pas très rassuré sur son avenir, malgré les réformes démocratiques espérées). Bien sûr, ce qui se passe en Egypte, concernera un jour ou l’autre le monde entier. Le pic pétrolier mondial est prévu entre 2010 et 2020. Les spécialistes commencent à s’en apercevoir et l’Agence Internationale de l’Energie (AIE) cite pour la première fois le terme de « pic pétrolier » dans son rapport pour l’année 2010. La date exacte ne peut être donnée avec précision en raison de la politique de « non- Après avoir évoqué des ressources énergétiques alternatives, y compris pour le Luxembourg, le conférencier a donné la parole au public, venu nombreux. Par sa manière tranquille, mais tout à la fois critique, de présenter les choses, par sa clairvoyance concernant l’approvisionnement mondial en énergie et les mesures nécessaires à mettre en oeuvre dès à présent pour préparer l’après-pétrole, M. Lamesch a conquis son public. • Wissenschaft-Stadtnah • Initiation à l’informatique pour les classes de 7e • Recherche sur des questions scientifiques • La consommation d’énergie au LGL. 36 Le projet d’établissement L’Après-Pétrolier a commencé! Dans le cadre du cours de géographie et du projet d’établissement LGL en effervescience, les élèves de 2D2 ont assisté le 14 décembre 2010 à la présentation l’aprèspétrole a commencé. Monsieur Jean Lamesch, docteur en ChimiePhysique et ingénieur retraité d’Arcelor-Mittal, a expliqué aux C a t t e n o élèves l’origine du pétrole et son rôle dans le développement des pays industrialisés et du Sud. L’accent a ensuite été mis sur la rareté du pétrole en tant que ressource d’énergie fossile et sur la consommation croissante d’hydrocarbures dans le contexte de la mondialisation. La notion du pic pétrolier illustré par des exemples d’actualité a fait comprendre aux élèves les enjeux économiques et écologiques du pétrole ainsi que l’importance des énergies renouvelables pour assurer un développement durable. Michèle Mergen m Le 10 mars 2011 les élèves de la 2eB accompagnés par Mmes Schons et Thill, ainsi que par MM Daman et Petry, ont visité la centrale nucléaire de Cattenom qui est la 7ème au monde au vu de sa production importante d’électricité. La visite a commencé par une présenta tion synoptique sur l’importance de l’énergie nucléaire pour la France et des explications plus détaillées sur le fonctionnement de l’installation. Elle s’est poursuivie par un tour de la centrale. Tout ceci a permis aux élèves de consolider les connaissances acquises dans le cours de physique et d’anglais. Le lendemain de la visite, c.-à-d. le 11 mars, le Japon fut frappé par un séisme extrêmement violent et un tsunami dévastateur qui ont eu un impact catastrophique sur la centrale nucléaire de Fukushima résultant dans une pollution radioactive sans précédent. Malgré les assurances répétées du guide de Cattenom en ce qui concerne la sécurité des centrales nucléaires, le cataclysme japonais et ses conséquences dramatiques pour l’homme et l’environnement ont montré que le nucléaire est un dragon que l’homme peut certes Cette visite représentait, en effet, la chevaucher mais ne peut guère dernière étape d’un cycle de leçons maîtriser. qui avait pour but d’informer les élèves sur l’application militaire et pacifique de la physique nucléaire. Les événements fatidiques du 6 et 9 août 1945, avec le lancement des bombes atomiques sur Hiroshima et Nagasaki, avaient constitué le point de départ de cette activité. DAKUPA et la déforestation au Burkina Faso Les élèves de 2D2 ont participé à un atelier sur la déforestation au Burkina Faso proposé par l’ONG Frères des Hommes en collaboration avec leur partenaire burkinabé DAKUPA organisé dans le cadre de leur cours de géographie. Monsieur Zeba Yacouba, coordinateur de l’organisation DAKUPA, a présenté aux élèves les causes et les enjeux de la déforestation dans le contexte de la croissance démographique, du changement climatique et de la mondialisation. Une discussion animée par Sonia De Abreu de Frères des Hommes a permis aux élèves de s’exprimer et de mieux comprendre la nécessité des initiatives de DAKUPA pour la protection de l’environnement en Afrique subsaharienne. Michèle Mergen Le projet d’établissement 37 Die 3G erkundet die Schichtstufen des Luxemburger Sandsteins Am 2. Mai unternahm die 3G einen Tagesausflug zum Thema géologie et géomorphologie im Rahmen des Geographieunterrichts. Als erstes machte die Klasse eine Besichtigung des Wasserturms Rebierg. Es handelt sich um ein großes trichterförmiges Gebäude, welches dazu dient 23 Gemeinden mit Trinkwasser zu beliefern. Nach einigen Minuten des Treppensteigens werden die Besucher des Auffangbeckens mit einem einzigartigen Panoramablick belohnt: die 400 Meter hohe Plattform bietet einen Blick über die Schichtstufen (fr. cuesta) und Zeugenberge (fr. buttetémoin) im Süden Luxemburgs. du Sud wo sich die Pumpstation zum Wasserturm Rebierg befindet. In einer ausführlichen Power-PointVorstellung lernten die Schüler, welche Art von Gestein in den verschiedenen Regionen Luxemburgs zu finden ist. Nach dieser lehrreichen Vorstellung wurden die Schüler in Gruppen eingeteilt. Während die eine Gruppe sich die Museumsausstellung anschauen konnte, besichtigte die zweite Gruppe eine unterirdische Trinkwasserquelle. Nach einer halbstündigen Mittagspause begann die Besichtigung des Geburtshauses des luxemburgischen Geologen Michel Lucius in Reimberg. Hier konnten sich die Schüler über den ursprünglichen Nach der Besichtigung des Wasser- Aufbau des Hauses sowie den turms fuhr die Klasse weiter nach Lebenslauf des Geologen informKoerich in das Syndicat des Eaux ieren. Segeln, was das Zeug hält! Wissenschaft-stadtnah wurden die Schüler erst durch die Ausstellung Segeln, was das Zeug hält, so lautet niederländischer Gemälde des Goldder Titel der Austellung in der Villa enen Zeitalters geführt und nahmen Vauban des Musée d’Art de la Ville dann am Workshop Kartographie de Luxembourg, welche die Schüler im Wandel der Zeit teil: anhand der der 4M3 am 4. März 2011 besich- ersten geographischen Karten und tigten. Im Rahmen des Projetktes modernen Navigationssystemen Das letzte Ziel unseres Ausflugs war die Carrières Feidt in Ernzen. Während die eine Hälfte der Klasse die einzelnen Gesteinsarten und deren Zusammensetzung erklärt bekam, wurde die andere Hälfte durch die große Produktionshalle geführt. Dort wurden in einzelnen Etappen die Maschinen der Steinschleiferei gezeigt, die aus einem großen Gesteinsblock jeweils ein perfekt detailliertes Endprodukt formen. Letztendlich konnte die Klasse sich ansehen, wie die Gesteinsblöcke im nahegelegenen Steinbruch aus dem Luxemburger Sandstein gewonnen werden. Tamara Block, Myriam Braun, Muriel Frantz, Michèle Nau, Joé Ruppert, Noémie Wunsch, Fotos: Daniel Waldbillig, 3G erklärte Angelika Kronenberg der Universität Trier den Schülern die unterschiedlichsten Methoden und Geräte zum Vermessen der Welt und zur Orientierung. Sylvie Fautsch, Michèle Mergen, Carole Neiertz 38 Le projet d’établissement Die « Cité des Sciences » Am 5. April 2011 unternahm unsere Klasse, einen sehr aufschlussreichen Ausflug in die «Cité des Sciences et de l’Industrie» in Paris. Dieser Aufenthalt sollte uns Schülern zeigen, wie viele interessante Aspekte die Wissenschaft eigentlich beinhaltet und wie breit gefächert sie ist. Dies wurde anhand von zahlreichen Ausstellungen und Workshops veranschaulicht. Zuerst besuchten wir die überaus faszinierende Ausstellung «Jeux de Lumière», deren Name das eigentliche Thema schon preisgibt. Hier wurde wortwörtlich mit dem Licht gespielt, gezeigt, wie man das Auge mit optischen Täuschungen irreführen kann. Lichtreflexionen, die durch einen Seifenwasserfilm entstanden; Objekte, die sich durch zwei gegenüberliegende Spiegel unendlich oft vervielfachten; vorgetäuschte Bewegungen, die hervorgerufen wurden durch sich im Kreis drehende Modelle von Vögeln; Filme, die im Zeitraffer abgespielt wurden; eine Wärmebildkamera mit der man Fotos von sich schießen konnte, sind nur einige der spannenden Experimente gewesen. Alle diese Mittel wurden dazu genutzt, uns in abwechslungsreicher Weise das Zusammenspiel von Gehirn und Auge zu erklären. Les 4èmes à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris avec le soutien du Dans le cadre du volet « Sciences et enseignement » du projet d’établissement « LGL en FRVscience », le groupe de pilotage a offert à tous les élèves des classes de 4ème une journée à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris. Il s’agissait d’optimiser l’orientation tant scolaire que professionnelle dans le domaine des sciences. Grâce à l’aide financière du Fonds National de la Recherche, les quelque 150 und dessen komplexer Zusammenarbeit mit dem Gehirn, dem Zentralnervensystem, befasste. Anhand von farbigen Folien, die uns auf einem Overhead gezeigt wurden, wurde uns die subjektive Wahrnehmung von Lichtreizen, Farbsequenzen und Prismen erläutert. Die individuelle Farbwahrnehmung, basierend auf Wellenlängenbe- élèves ont pu faire le trajet en TGV. Vu le nombre élevé d’élève, l’activité a été répartie sur deux jours : le 1er et le 5 avril 2011. Les élèves, répartis en 3 groupes, ont suivi des parcours différents choisis de telle manière que chacun a pu aborder différents domaines des sciences et de la technique. Chaque groupe était encadré par 2 à 3 enseignants qui ont accompagné les élèves d’un atelier à l’autre, respectivement qui les ont guidés à travers les expositions. regender 3D Film, der uns in die Welt der prähistorischen Meeresdinosaurier entführte. Er beschrieb die Evolution der Urzeitgeschöpfe, sowie deren Entwicklung in den drei im Film behandelten Erdepochen namens Trias, Jura und die Kreidezeit. Uns wurden die verschiedenen Klassen der vorzeitigen Meeresreptilien vorgestellt; die Ichthyosaurier, die Mosasaurier und die Pliosaurier. Letztere besaßen vier paddelförmige Flossen, während die Anatomie der Ichthyosaurier an die von Fischen erinnerte und die Mosasaurier eher über einen wasserschlangenartigen Körperbau verfügten. In dem Film wurde ebenfalls eine weitverbreitete Theorie über das Aussterben dieser prähistorischen Meerestiere behandelt, die besagt, dass eine Kollision reichen, entsteht durch die licht- zwischen einem Meteoriten und empfindlichen Nervenzellen in un- der Erde dies bewirkt haben soll. serem Auge. Uns wurde auch das siebentönige Farbenspektrum, Daraufhin besuchten wir eine entdeckt von Isaac Newton, er- Ausstellung, die das Thema klärt; und so verliefen in diesem Energie ansprach. Es wurden die Atelier Biologie und Physik, zwei verschiedenen Möglichkeiten zur der wichtigsten Unterteilungen Stromerzeugung explizit dargestellt Anschließend folgte ein Atelier, das in der Wissenschaft, ineinander. und wir wurden mit handlungsoriensich ebenfalls mit dem Sehorgan Nach diesem Atelier folgte ein an- tierten Spielen auf den bewussten Le projet d’établissement 39 Umgang mit Energie aufmerksam gemacht. Man konnte auch selbst Strom mit einer Handkurbel erzeugen und alle diese praxisorientierten Mittel veranlassten uns Schüler, uns mit dem wichtigen Thema Energie auseinanderzusetzen. Danach wurde unser Tastsinn wieder auf die Probe gestellt; diesmal in einem Atelier, in dem wir in Gruppen aufgeteilt wurden und mit der Hand verschiedene Knochen und Schalen von Meerestieren ertasten mussten, welche sich in verschiedenen Beuteln befanden. Später mussten wir das jeweilige Tier der entsprechenden Tierart zuordnen. Wir beschränkten uns aber nicht nur auf Meerestiere, wir sprachen auch von Säugetieren und Mikroorganismen; alle Facetten des Tierreiches wurden dargelegt. So wurde uns gezeigt, welches Ausmaß an verschiedenen Organismen die Artenvielfalt der Tiere besitzt, wie verschieden die einzelnen Rassen sind, und wie sie doch ineinander verzweigt sind und zu einem großen Kreislauf gehören. Planetarium, saßen in Sesseln, während sich über unseren Köpfen eine Halbkugel darstellte, eine riesige Leinwand, auf der ein Film über das Universum projiziert wurde. Eine Frauenstimme erklärte uns den Aufbau und die Entstehung des Universums, während wir komplett in die Weite des Weltalls eintauchten. Die unendlich große Ausdehnung des Universums wurde so realitätsnah dargestellt und entfachte auf diese Art wirkliches Interesse an der Astronomie. Uns wurde zum Beispiel erklärt, dass die Farbe der Sterne mit ihrem Alter in Verbindung steht und dass die Anziehungskraft der Sonne die Planeten unseres Sonnensystems in ihren Bahnen hält. Zum Schluss besichtigten wir eine Ausstellung, die sich auch mit dem Sonnensystem befasste und unsere neu errungenen Erkenntnisse über die Astronomie noch einmal vertiefte. Planetenbahnen und Himmelskörper waren in Form von Modellen exponiert, aus Meteoriten stammende Gesteinsbrocken brachten uns das Universum ganz Anschließend besuchten wir das nah. In Kurzfilmen erhielt man weitere Informationen über diverse Geschehnisse, die das Weltall prägen und so erhielt man einen Überblick über dieses weitgefächerte Fach. Zusammenfassend ist zu sagen, dass uns dieser lehrreiche Ausflug eine beachtliche Übersicht über die einzelnen Bereiche der Wissenschaft verschafft hat und uns viel Lehrstoff auf unkonventionelle und mitreißende Art und Weise vermittelt hat. Sicherlich wird uns nun die Wahl der verschiedenen Sektionen leichter fallen und viele werden einen Beruf in einer wissenschaftlichen Domäne in Erwägung ziehen. Christine Lauer 4M4 40 Le projet d’établissement 28 ZENTRUM Tageblatt Freitag, 8. April 2011 • Nr. 83 Besuch der 4e-Klassen des LGL in der „Cité des sciences et de l’industrie“ in Paris „Mal mit Freude was gelernt!“ Chris Schleimer (Text), André Michaux (Fotos) Im Rahmen des Schulprojekts „LGL en FRV-science“ besuchten die 4e-Klassen des „Lycée de garçons de Luxembourg“ die „Cité des sciences et de l’industrie“ in Paris. Das Tageblatt begleitete die 80 Schüler aus drei verschiedenen Klassen und die zehn Lehrer auf ihrer Reise am vergangenen Dienstag. PARIS - Aus organisatorischen Gründen entschieden sich die Verantwortlichen dazu, die sechs Klassen auf zwei Tage zu verteilen. Mit dem TGV machte sich die Gruppe am frühen Morgen auf den Weg in die französische Hauptstadt. Vor der „Cité des sciences“ angekommen teilten die Lehrer Eintrittskarten aus und betonten gleich mehrmals, dass man diese Tickets den ganzen Tag bei sich haben müsse. Keine zehn Mi- nuten später hatten natürlich bereits einige Schüler ihre Eintrittskarten in der Garderobe vergessen. Eben eine ganz normale Schülerreise. Die verantwortlichen Lehrer um Marthe Thill, die diesen Ausflug organisierte, hatten sich im Vorfeld viel Mühe gegeben, um den Schülern ein interessantes sowie gut gefülltes Programm zusammenzustellen. Verschiedene Ausstellungen und Ateliers standen auf dem Programm. Einer der Höhepunkte war dabei ohne Zweifel das Planetarium, eine Kuppel von 21 m Durchmesser, auf welche der Sternenhimmel projiziert wird und man auf eine Weltraumreise geschickt wird. Bei den Schülern gut angekommen war zudem die Ausstellung „Jeux de lumière“, bei der es unter anderem um optische Täuschungen ging. Von Kunst bis hin zur Astrophysik Besonderen Wert legten die Lehrer darauf, dass ihre Schüler einen Eindruck von sämtlichen Wissenschaften bekommen. „Die 4eSchüler müssen sich nächstes Trimester für eine Sektion entscheiden und haben bis jetzt noch nicht viel Chemie oder Physik im Programm gehabt“, so Pascal Daman, Leiter des „Projet d’établissement“. Deshalb wolle man ihnen durch den Besuch der „Cité des sciences et de l’industrie“ einen Einblick in den wissenschaftlichen Bereich ermöglichen. Und das mit Erfolg. Von Geografie über Geologie bis zur Chemie und von Kunst über Biologie bis zur Physik war alles vertreten. In den Ausstellungen und Ateliers ging es u.a. um erneuerbare Energien, Umweltschutz, Artenvielfalt, die Entstehung der Erde, Gentechnik, Lichtspiele und Farben ... So war für fast jeden etwas dabei und auch wenn der Tag anstrengend war und den Schülern die Müdigkeit am Ende förmlich ins Gesicht geschrieben stand, so verfolgten sie die verschiedenen Ausstellung trotzdem mit mal mehr, mal weniger viel Interesse. Dass der Tagesausflug den Jugendlichen gefallen hatte, war unschwer an der guten Stimmung im Zug nach Hause auszumachen. „Eigentlich war ich vor der Abreise etwas skeptisch“, gab Lis offen zu. Sie habe damit gerechnet, dass es eher in Richtung Unterricht gehen würde. Deshalb sei sie positiv überrascht gewesen, dass die ganzen Besichtigungen so locker waren. „Heute hab ich mal mit Freude was gelernt“, so die gut gelaunte Schülerin. Zudem fand die Schülerin, dass der Ausflug gut für die Stimmung in der Klasse war. „Obwohl die Wissenschaften nicht so mein Gebiet sind, fand ich es sehr interessant“, sagte Lou, der nächstes Jahr auf die Sprachen-Sektion A gehen will. Er habe jetzt gesehen, wie vielseitig der wissenschaftliche Bereich sein kann. Die meisten Schüler schlossen sich den Aussagen ihrer Kollegen an. Viele waren sich darüber einig, dass der Besuch in der „Cité des sciences“ ihnen einen Überblick über die verschiedenen Bereiche der Wissenschaft gegeben habe, an ihrer Entscheidung für eine Sektion habe die Reise hingegen keinen Einfluss. „Gute Lehrer in den verschiedenen Fächer sind für diese Entscheidung von größerer Bedeutung“, meinte Darius. Die mitgereisten Lehrer zogen ebenfalls eine positive Bilanz der Reise. „Es ist wichtig, dass die Schüler mal aus dem Klassenzimmer herauskommen und in einer etwas lockereren Umgebung zusammen sind und was lernen“, so André Michaux. Marthe Thill sagte, dass sie bereits im Oktober mit den Planungen dieser Reise begonnen habe. 180 Euro pro Person kostete der Ausflug mit allem Drum und Dran. Davon mussten die Schüler eine Eigenbeteiligung von 25 Euro zahlen. Dies war jedoch nur durch eine großzügige Subvention des „Fonds national de la recherche“ möglich. Dieser verlangt im Ge- genzug einen Bericht pro Klasse von der Reise. Das Schulprojekt „LGL en FRV-science“ ist bereits das dritte Projekt der Schule und läuft über die nächsten drei Jahre und der Schwerpunkt liegt auf den Wissenschaften. (siehe Tageblatt vom 15. Januar). Die „Projets d’établissement“ des LGL sind sehr umfangreich und suchen ihresgleichen. Wir versuchen, sämtliche Klassen in unser Projekt einzubinden“, so Pascal Daman. Es gehe darum, den Schülern aber auch den Lehrern eine wissenschaftliche Kultur näherzubringen, so Daman weiter. Dass dies auch für die Lehrer gelte, zeige sich besonders am Beispiel der Englisch-Lehrerin Marthe Thill. Schließlich habe sie diese wissenschaftliche Reise nach Paris geplant. „Natürlich geht es auch darum, die Schüler so optimal wie nur möglich zu orientieren und dabei könnten solche Aktivitäten eben auch ihren Teil dazu beitragen.“ Mit einem gut motivierten „Groupe de pilotage“ steht nach Ablauf dieses Projektes nach drei Jahren einem weiteren Projekt nichts im Weg. INFO www.cite-sciences.fr Le projet d’établissement 41 Pojekt der 6M5: Einrichten eines Aquariums Die wichtigsten Wasserwerte wurden auch von anderen Schulklassen ermittelt. Die Wasserwerte geben immer Auskunft darüber ob die Bakterienkulturen im Filter ausreichend arbeiten und die Abfallstoffe vollständig abbauen. Wir Im Rahmen des Projet haben über sämtliche Arbeiten d’Etablissement LGL en FRVscience, Berichte geschrieben die auch behat die 6M5 in dem Fach Sciences wertet wurden. Naturelles ein Aquarium eingerichtet. Als erstes haben wir das Aquari- Probleme und Lösungen. um präzise geplant. Während der ersten Wochen haben wir in Gruppen Mit den Pflanzen wurden leider gearbeitet und in Aquaristikbüchern Schnecken eingeschleppt, die zu und im Internet recherchiert. Die einer Plage wurden. Dieses Problem Größe des Beckens, die nötige konnten wir lösen durch den Einsatz Technik, die Gestaltung des Boden- von Raubschnecken. Diese ernähren grundes, sowie die Bepflanzung sich von kleineren Schnecken, und der Fischbesatz konnten wir so vermehren sich nicht so schnell und genau aufeinander abstimmen. fressen auch keine Pflanzen. Bevor die Fische eingesetzt Es ist leider auch vorgekommen, wurden, musste sich ein bio- dass die Fische überfüttert wurden. logisches Gleichgewicht im Das Fischfutter liegt dann am Grund Aquarium einstellen. Dies und verrottet. Dadurch entstehen dauerte 6 Wochen. In dieser Zeit Giftstoffe die nicht so schnell vom wurde der Bodengrund eingefüllt, die Filter abgebaut werden. In dem Fall Pflanzen eingesetzt und die musste der Bodengrund so schnell Filteranlage mit speziellen Bakterien angeimpft. Jede Woche haben wir die Wasserwerte überprüft. Nachdem sich die Werte stabilisiert hatten und sie sich im Normbereich befanden, wurden die Fische eingesetzt. Vier Platys, 7 Salmler, fünf Garnelen und ein Wels waren nun die Bewohner des Aquariums. Regelmäßige Pflege: Wir haben uns dann regelmäßig in kleinen Gruppen um das Aquarium gekümmert. Jeden Tag wurden die Fische von uns gefüttert. Ein Futterautomat wurde nur am Wochenende und in den Schulferien eingesetzt. Alle drei Wochen wurde die Hälfte des Wassers ausgetauscht, die Pflanzen geschnitten und gedüngt. wie möglich abgesaugt werden. Unsere Fische scheinen sich wohl zu fühlen da sie sich schon vermehrt haben. Die Platys sind lebendgebärende Fische aber leider ist es uns noch nicht gelungen eine Geburt zu beobachten. Es bleibt also noch einiges zu entdecken. Neuigkeiten hängen immer aus über dem Aquarium im zweiten Stockwerk beim Chemielabor. Jeder Schüler und Lehrer ist eingeladen das Aquarium zu besuchen und das kleine Biotop zu bestaunen. Die Schüler der 6M5 42 Le projet d’établissement Concours Jeunes Scientifiques 4. Lëtzebuerger Naturwëssenschaftsolympiad (de gauche à droite) : Bob Bertemes, Jean Pütz, Pit Schwartz, Mathieu Schon, Myriam Rehlinger Depuis des années l’AJSL ( Association Jeunes Scientifiques Luxembourg) mène la bataille pour prouver que les jeunes regorgent de talent, font preuve d’esprit d’innovation dans bien des domaines scientifiques. Bob Bertemes et Pit Schwartz ( 3eC) et Mathieu Schon (6e M3) ont participé au Concours Jeunes Scientifiques avec les sujets suivants: Projekt über die Wasserqualität in luxemburgischen Flüssen Untersuchung des Trinkwassers in unserer Schule (Lycée de garçons Luxembourg) Un voyage éducatif d’une semaine en Slovaquie leur est offert par l’association. Le projet d’établissement 43 44 Le projet d’établissement Wissenschaft stadtnah Im Herbst 2010 erfuhr die Klasse 2D2 von ihrer Deutschlehrerin Frau Fautsch, dass sie an dem Projekt der Schule „FRVscience“ teilnehmen würde. Die Klasse sollte in den kommenden 4 Monaten, ohne vor Ort zu sein, einen Reiseführer erstellen, der sich mit Wissenschaftlern und Institutionen aus dem Bereich der Mathematik, der Biologie, der Chemie und der Physik beschäftigt. Eine Gruppe von 4 bis 5 Schülern wählte eine deutschsprachige Stadt aus. Der Weg von der puren Idee, die bei einigen Verunsicherung hervorrief, bis hin zum strukturierten, praktischen, eigenständig geschriebenen Reiseführer war neu, anstrengend und aufregend. Zunächst war reine Recherchearbeit verlangt. Per Internet, Buch, Zeitung und Schulbibliothek wurde gesucht und gefunden, von Vorteil war natürlich das Material, das man bei den jeweiligen Institutionen und Museen vor Ort per E-Mail angefragt hatte. Hier konnte die jeweilige Arbeitsgruppe zeigen, was Organisation und Arbeitsaufteilung bedeutet. Jeder Schüler hatte seinen eigenen Bereich, für den er allein zuständig war. Dennoch war die Absprache mit der Lehrerin, der Kontaktperson, dem Experten und den Gruppenmitgliedern wichtig. Diese Absprache beeinflusste die Qualität der Arbeit, den Arbeitsaufwand und vor allem den Zeitaufwand. Nach der Besprechung begann die eigentliche Arbeit. Man musste die Sekundärliteratur durchlesen, E-Mails verschicken, Stadtpläne analysieren, hilfsbereite Experten finden, die bereit waren, ein Interview mit einem zu führen und sich klare Gedanken über die Struktur machen, wobei dies manchen Schülern besser gelang als anderen. Während der anschließenden Wochen musste viel Zeit in das Projekt investiert werden. Jedoch war es für mich persönlich sehr interessant zu sehen, wie mein Beitrag eine immer klarere Form annahm. Nach 4 Monaten harter Arbeit war jeder Einzelne zwar froh über den Abschluss seiner Tätigkeit, jedoch war auch jeder stolz über das vorhandene Resultat, das er autonom erreicht hatte und wir als Klasse waren uns einig, dass es definitiv die richtige Entscheidung gewesen war, an diesem Projekt teilzunehmen. Le projet d’établissement 45 Ich kann nur jedem empfehlen, an einem solchen Projekt mitzuwirken. Selber einen Reiseführer zu erstellen ist eine Herausforderung, der man sich stellen sollte, da eine solche Aufgabe mit viel Verantwortung und Autonomie verbunden ist. Es ist nicht ständig jemand an deiner Seite, der dir sagt, was dein nächster Schritt ist, du musst selbstständig agieren und Entscheidungen treffen, auch wenn dies manchmal Rückschläge zur Folge hat. Autonomes Schreiben ist auch für so manchen ein Problem und das Plagiat ist strikt zu vermeiden. Sind die Arbeiten abgeschlossen, merkt man, dass man im Laufe der Recherchen vieles dazugelernt hat, und man stellt fest, dass die Naturwissenschaften sehr facet- tenreich sind, auch wenn man als Laie komplexe Vorgänge nicht auf Anhieb verstehen kann. Ein persönlicher Gewinn ist zu verzeichnen, Durchhänger und Fehler helfen, mit schwierigen Situationen umzugehen, und eine erfolgreiche Arbeit, die veröffentlicht wird, ist doch ein Megaerfolg. Das Projekt wurde ebenfalls im Englischunterricht von Frau Roch realisiert und wird noch in den nächsten 2 Jahren weitergeführt werden. WISSENSCHAFT STADTNAH BERLIN Max Wegfahrt bedeutendsten Lehr- und Forschungsstätten Europas. Seit 2003 bildet die „Charité- Universitätsmedizin Berlin“ die Verbindung von der Charité mit der Freien- sowie der Humboldt- Universität, einer der größten Universitätskliniken Europas mit ca. 7.500 Studenten. An mehr als 1.000 Forschungsprojekten sind über 3.000 Wissenschaftler beteiligt. Das Gelände der Charité eignet sich hervorragend zu einem ruhigen Spaziergang. Die Außenanlagen sind übersichtlich gestaltet. An den Wegrändern findet man zahlreiche Büsten und Denkmäler bedeutender Wissenschaftler und Mediziner, die an der Charité gewirkt haben. Hier findet der interessierte Spaziergänger äußerst informative Kurzbiographien dieser einflussreichen Personen. Eine von ihnen ist Rudolf Virchow. Rudolf Virchow Am Anfang des 19. Jahrhunderts setzte sich in der Medizin das naturwissenschaftliche Denken durch. Der philosophische Aspekt wurde weniger beachtet, man interessierte sich für die biologischen, physiologischen und chemischen Grundlagen des Lebens. An dieser Entwicklung hatte unter anderem der Pathologe* Rudolf Virchow einen bedeutenden Einfluss. Rudolph Virchow Rudolf Virchow (1821-1902) war ein deutscher Arzt an der Charité Berlin, Pathologe und Politiker (Deutsche Fortschrittspartei*). Er war der Gründer der modernen Pathologie und war überzeugt von einer streng naturwissenschaftlich orientierten Medizin. Virchow studierte an der Berliner militär-ärztlichen Akademie, wo er zum Heeresarzt ausgebildet wurde. 1848 wurde Virchow von der preußischen Regierung nach Oberschlesien geschickt, um den Verlauf einer Typhusepidemie zu untersuchen. In seinem Gutachten schloss er auf die soziale Not als Ursache der Seuche und forderte „volle und unumschränkte Demokratie“, um Wohlstand und Gesundheit zu verbreiten. Dies und seine Teilnahme an der Märzrevolution* brachten Virchow dazu, sich politisch zu engagieren. Er forderte „Volksgesundheit“ und eine „öffentliche Gesundheitspflege“. Voraussetzungen für eine soziale Entwicklung sind, nach Virchow, Bildung, Wohlstand und Freiheit. Als Mitglied des Preußischen Abgeordnetenhauses setzte sich Virchow für die Einrichtung einer modernen Kanalisation mit zentraler Wasserver- und -entsorgung ein. Berlin hat 1878 eines der modernsten Abwassersysteme in Europa. Virchows wichtigste medizinische Schrift ist die 1858 erschienene „Cellularpathologie in ihrer Begründung auf physiologische und pathologische Gewebelehre“. Die These „Jede Zelle kann nur aus einer anderen Zelle entstehen“ ist das theoretische Fundament moderner Medizin. Alle Krankheiten sind, nach Virchow, auf Veränderungen von Körperzellen zurückzuführen. Centre islamique in Mamer Am 08.02.2011 besuchten im Rahmen des Religionsunterrichts die Klassen 5M2 und 5M5 mit ihrer Religionslehrerin Frau Bachtler die Moschee in Mamer. Vor dem Betreten der Moschee mussten die Mädchen ein Kopftuch anziehen und wir alle die Schuhe ausziehen. Von außen sieht die Moschee wie ein ganz normales Einfamilienhaus aus, aber im Inneren befindet sich alles, was ein Moslem zum Beten braucht. Im Gebetsraum, den man mit dem rechten Fuß betritt und mit dem linken Fuß verlässt, erklärte der Imam kurz den Islam und die Ausstattung der Moschee. Wie in jeder Moschee befindet sich im Gebetsraum eine Nische, die in Richtung Mekka weist und somit die Gebetsrichtung angibt. Anschließend wurden die Schülerfragen sehr ausführlich beantwortet. Wir haben unter anderem gelernt, dass der Begriff Moschee nicht nur das Gebäude an sich meint, sondern dass er auch auf „jede Gemeinschaft betender Muslime“ angewandt werden kann. Nach der Einführung wurden wir in eine Mädchen- und eine Jungengruppe geteilt, die getrennt die Waschräume für die rituellen Waschungen erklärt bekamen. Zum Abschluss wurden wir zu einem Imbiss in die Cafeteria eingeladen und waren sehr froh über die große Gastfreundschaft. Obwohl wir schon viel von unserer Religionslehrerin im Unterricht erklärt bekamen, war es sehr lehrreich. Wir lernten z.B. warum Männer und Frauen nicht zusammen beten (um nicht abgelenkt zu werden) und warum Frauen ein Kopftuch tragen (um immer rituell rein zu sein um bei jeder Gelegenheit zu Allah beten zu können). Klasse 5M2 Voyage éducatif 6L1 / 4L1 nach Worms Am 25. Mai 2011 sind wir und die 4L1 mit Frau Bachtler, unserer Religionslehrerin, nach Worms gefahren. Wir wollten dort unsere Kenntnisse über das Judentum vertiefen, die 47 und die Geschichte des Zusammenlebens von Juden und Christen in Worms kennen. In der Mikwe, dem Ritualbad der Juden, war es kalt und durch den Mangel an Regen befand sich hier fast kein Wasser mehr. Die Synagoge, die von den Jungen nur mit einer Kippa betreten werden durfte, war kleiner als wir dachten, und das Licht am Thoraschrein brannte, ein Zeichen, dass eine geweihte Thora vorhanden ist. Quatrième „wandelte auf den Spuren von Martin Luther“. Die Sixième hatte sich Worms ausgesucht, da es dort ein jüdisches Museum, eine Mikwe, eine Synagoge und einen sehr alten Friedhof gibt. Wir haben zuerst den jüdischen Friedhof besichtigt, auf dem der älteste erhaltenen Grabstein aus Europa, aus dem Jahr 1076 steht. Der Friedhof sah auf den ersten Blick verwüstet und unordentlich aus, die Grabsteine waren zum Teil schon zerstört. Hier ruhen seit fast 1000 Jahren Menschen, die auf den Messias warten. Auf dem Weg zum Museum im früheren Judenviertel sind wir entlang der Stadtmauer durch den ehemaligen Stadtgraben gegangen. Im das Raschi-Haus konnten wir viele jüdische Gegenstände, über die wir in der Schule geredet hatten, zum ersten Mal in der Realität sehen. Ebenso lernten wir die Feste und Lebensweise der orthodoxen Juden Am Ende unserer Reise besuchten wir noch den Dom und verglichen ein jüdisches mit einem christlichen Gotteshaus. Der Dom gehört zu den wichtigsten romanischen Domen Deutschlands und er besitzt außerdem noch eine Reliquie des heiligen Nikolaus. Nach diesem interessanten Tag in Worms machten wir uns dann wieder auf den Heimweg. 6L1 WORMS - 6LM2 + 6M4 In den 6e Klassen wird jedes Jahr im Religionsunterricht das Judentum behandelt. Um diesen Stoff anschaulicher und abwechslungsreicher zu gestalten, fahren wir jedes Jahr mit unseren Schülern nach Worms in die Rheinland-Pfalz. Die Stadt der Nibelungen bietet neben einer Synagoge, einem jüdischen Bad, einem Museum und einem der bekanntesten jüdischen Friedhöfe auch die in Deutschland selten gewordenen Reste eines alten jüdischen Viertels. Am Nachmittag besichtigten wir auch noch den höchst interessanten und imposanten Dom. G.B. 48 visites, voyages éducatifs et culturels Die Sonne scheint über Birkenau Eindrücke vom gemeinsamen Besuch Luxemburger Schüler mit den Témoins de la 2e génération in Auschwitz Wanda Slawinska erreicht das Stammlager Auschwitz I am 6. Oktober 1942. Am 4. November ist sie tot. 28 qualvolle Tage. 28 Tage an jenem Ort, an dem Adorno zufolge Aufklärung und Lyrik an ihre Grenzen stießen. „Nach Auschwitz ein Gedicht zu schreiben ist barbarisch“, schreibt er 1951 in „Kulturkritik und Gesellschaft“. Wanda Slawinskas Porträt hängt mit Hunderten anderer in einem jener Räume des Museums, in denen politischer Häftlinge gedacht wird. Ihr Gesicht ist das einer Greisin. Lederne, kalkweiße Haut zieht sich über die harten Kanten ihrer Wangenknochen. Ihre Augen sind feucht, leer, starr und tot. Das Foto gibt die innere Leere des Opfers wieder, das Antlitz der Wanda Slawinska. Zwei Tage Besichtigung der polnischen Stadt Oświęcim stehen an. Betreut von den Témoins de la 2e génération, treten 120 Schüler 16 d’Land Reportage 12. November 2010 Nummer 45 Eindrücke vom gemeinsamen Besuch Luxemburger Schüler mit den Témoins de la deuxième génération in Auschwitz Die Sonne scheint über Birkenau Claude Reiles Wanda Slawinska erreicht das Stammlager Auschwitz I am 6. Oktober 1942. Am 4. November ist sie tot. 28 qualvolle Tage. 28 Tage an jenem Ort, an dem Adorno zufolge Aufklärung und Lyrik an ihre Grenzen stießen. „Nach Auschwitz ein Gedicht zu schreiben ist barbarisch“, schreibt er 1951 in „Kulturkritik und Gesellschaft“. Wanda Slawinskas Porträt hängt mit Hunderten anderer in einem jener Räume des Museums, in denen politischer Häftlinge gedacht wird. Ihr Gesicht ist das einer Greisin. Lederne, kalkweiße Haut zieht sich über die harten Kanten ihrer Wangenknochen. Ihre Augen sind feucht, leer, starr und tot. Das Foto gibt die innere Leere des Opfers wieder, das Antlitz der Wanda Slawinska. Zwei Tage Besichtigung der polnischen Stadt Oswiecim stehen an. Betreut von den Témoins de la deuxième génération, treten 120 Schüler aus 12 Schulen mit ihren Lehrern eine Reise nach Auschwitz an, um begreifen zu können, was wohl nicht fassbar ist. Die rationalisierte Vernichtung der anderthalb Millionen Juden aus unterschiedlichen Län- dern Europas bedeutet auch für die galizische Stadt eine schwere Bürde. So verwerfen es die Einheimischen, ihre Heimatstadt mit dem deutschen Namen Auschwitz zu benennen. Zwischen Oswiecim und Auschwitz, der Stadt und dem historischen Verbrechen, wird unterschieden. In der pädagogischen Absicht, der Jugend – und uns selbst! – die Zeiten der entfesselten Hölle jenseits grauer Schulbuchtheorie zu vermitteln, konzentriert sich die Organisation vor allem auf die Vergangenheit. Doch sei, so berichtet Henri Kichka, in Birkenau kein Gras gewachsen. „Hätten wir einen Grashalm entdeckt, wir hätten ihn gegessen.“ Und so begleiten Schüler und Lehrer unzählige formulierte und unausgesprochene Fragen danach, wie die eigene Reaktion ausfallen wird, dann, wenn sich die Krematorien, Baracken und Gleise unweigerlich offenbaren werden, wenn wir über jenen Boden schreiten werden, der damals mit der Asche der Opfer bedeckt wurde. Mitten in der Stadt steht das Museum eingebunden in das Stammlager Auschwitz I. Busse parken vor dem Gelände. Fast-Food wird verkauft. Pizzeria und Hotel säumen die Straße. Wo 65 Jahre zuvor Maxi- milian Kolbe für einen Familienvater in den Tod ging und in Zelle 18 des Blocks 11 im Hungerbunker auf die Phenol-Spritze wartete, dort, wo in den Jahren des Krieges Menschen vor der Exekutionsmauer im Akkord hingerichtet wurden, hat sich heute eine Art Massentourismus eingestellt. Durchorganisierte Kassenschalter, Buchhandel und Glasfenster trennen die Besucher von der Möglichkeit zu verstehen. Der Sonnenschein trägt seines dazu bei, dass meine sieben Schüler jene Worte sprechen, denen ich so viel abgewinnen kann: „Die Filme, die wir bisher zu diesem Thema gesehen haben, berührten mehr.“ Zudem leiert unsere Reiseführerin ihren Text ohne Empathie und mentale Präsenz herunter. Auch ihr Automatismus steht der Nachempfindung des Leids im Weg, Enttäuschung macht sich breit. Die Besichtigung von Auschwitz I steht hinter den Erwartungen von mir und meinen Schülern zurück. Die Leere in den Augen der Wanda Slawinska verschließt sich uns. Bei der Begegnung der gesamten Gruppe am Samstag- und Sonntagnachmittag in der Internationalen Jugendbegegnungsstätte mit Henri Kichka bringt es der Überlebende des Lagers auf den Punkt: „Wenn die Zeugen jener Zeit nicht mehr von Leid und dem Angriff auf die Men- aus 12 Schulen mit ihren Lehrern eine Reise nach Auschwitz an, um begreifen zu können, was wohl nicht fassbar ist. Die rationalisierte Vernichtung der anderthalb Millionen Juden aus unterschiedlichen Ländern Europas bedeutet auch für die galizische Stadt eine schwere Bürde. So verwerfen es die Einheimischen, ihre Heimatstadt mit dem deutschen Namen Auschwitz zu benennen. Zwischen Oświęcim und Auschwitz, der Stadt und dem historischen Verbrechen, wird unterschieden. In der pädagogischen Absicht, der Jugend – und uns selbst! – die Zeiten der entfesselten Hölle jenseits grauer Schulbuchtheorie zu vermitteln, konzentriert sich die Organisation vor allem auf die Vergangenheit. Und so begleiten Schüler und Lehrer unzählige formulierte und unausgesprochene Fragen danach, wie die eigene Reaktion ausfallen wird, dann, wenn sich die Krematorien, Baracken und Gleise unweigerlich offenbaren werden, wenn wir über jenen Boden schreiten werden, der damals mit der Asche der Opfer bedeckt wurde. Mitten in der Stadt steht das Museum eingebunden in das Stammlager Auschwitz I. Busse parken vor dem Gelände. Fast-Food wird verkauft. Pizzeria und Hotel säumen die Straße. Wo 65 Jahre zuvor Maximilian Kolbe für einen Familienvater in den Tod ging und in Zelle 18 des Blocks 11 im Hungerbunker auf die Phenol-Spritze wartete, dort, wo in den Jahren des Krieges Menschen vor der Exekutionsmauer im Akkord hingerichtet wurden, hat sich heute eine Art Massentourismus eingestellt. Durchorganisierte Kassenschalter, Buchhandel und Glasfenster trennen die Besucher von der Möglichkeit zu verstehen. Der Sonnenschein trägt seines dazu bei, dass meine 7 Schüler jene Worte sprechen, denen ich so viel abgewinnen kann: „Die Filme, die wir bisher zu diesem Thema gesehen haben, berührten mehr“. Zudem leiert unsere Reiseführerin ihren Text ohne Empathie und mentale Präsenz herunter. Auch ihr Automatismus steht der Nachempfindung des Leids im Weg, Enttäuschung macht sich breit. Die Besichtigung von Auschwitz I steht hinter den Erwartungen von mir und meinen Schülern zurück. Die Leere in den Augen der Wanda Slawinska verschließt sich uns. Bei der Begegnung der gesamten Gruppe am Samstag- und Sonntagnachmittag in der Internationalen Jugendbegegnungsstätte mit Henri Kichka bringt es der Überlebende des Lagers auf den Punkt: „Wenn die Zeugen jener Zeit nicht mehr von Leid und dem Angriff auf die Menschenwürde erzählen können, offenbaren sich das Lager und die damit verbundenen Schreckenstaten der Nazis nur noch als Museum.“ Besteht Grund zur Sorge? Auf die engagierten Fragen, welche die Jugendlichen an den Zeitzeugen richten, weiß Kichka mit persönlichen Erfahrungen empathisch zu antworten. Im Raum herrscht Stille, wenn der heute 84-jährige von durch die Arbeit zerborstenen Schultersehnen, in Kot gedrückten Gesichtern, stinkenden Leichen in den Viehtransportern berichtet. Kichka geht seiner Berufung als Zeitzeuge der Vernichtungsmaschinerie seit 25 Jahren visites, voyages éducatifs et culturels 49 mutende Wiese gestreut. Doch sei, so berichtet Henri Kichka, in Birkenau kein Gras gewachsen. Wen wundert es, wenn man den Tod sät. Und dann: „Hätten wir einen Grashalm entdeckt, wir hätten ihn gegessen.“ Totenstille stellt sich ein, als wir Herrn Kichka mit seiner nummerierten Häftlingsmütze in der Schlafbaracke umkreisen. Er hat ein paar Schüler begleitet, möchte nun jedoch zu allen sprechen. Niemand will die Gelegenheit missen. Er stützt sich mit seiner linken Hand an den harten Holzbalken der ersten Schlafstätte ab. Henri Kichkas Körpersprache wirkt entschlossen, seine Stimme aber klingt für Momente leise, zittrig. Keine Unterrichtssituation wäre so möglich. In der Baracke jedoch verstummen Nebengeräusche. Jeder lauscht den Worten des ExHäftlings wie gebannt. Alles wirkt authentisch, vor Ort, nicht museal, sondern ungeschminkt, roh. Von der oberen Schlafetage habe man durch die steinharten Bretter nach unten gepinkelt, bisweilen auf Mitinsassen, weil die Nacht zu eisig, der Weg zu beschwerlich gewesen sei, um von dem Gerüst zu steigen, die Baracke zu verlassen, seinen menschlichen Grundbedürfnissen auch menschlich nachgehen zu können. Das Zischen einer geöffneten Cola-Flasche schneidet durch die bleierne Luft. Ein Raunen geht durch die Menge, Verlegenheit macht sich breit. Dass die Sonne über das Todeslager Birkenau scheint, ist für Momente vergessen. „Ich erinnerte mich an meinen damaligen, vergeblichen Versuch, mir ein volles Lager und Häftlinge und Wachmannschaften und das Leiden konkret vorzustellen. Ich versuchte es wirklich, schaute auf eine Baracke, schloss die Augen und reihte Baracke an Baracke. (…) Aber d’Land Reportage Nummer 45 12. November 2010 17 Claude Reiles nach, schreibt Bücher, tritt im Fernsehen auf und – die Jugend hört zu. Die Sonne scheint auch am Sonntagmorgen. Es ist wohlig warm. Sonnenstrahlen scheinen durch die Busfenster an diesem zweiten Tag, bescheinen die Straße, die vom Stammlager nach Birkenau führt. Wärme legt sich über die Gleise, die in Spielbergs Schindlers Liste in nächtliches Dunkel, in verschneite Kälte getaucht waren. Keine Wachhunde kläffen, es stinkt nicht nach Urin, nach Stiefelcreme, nach Angst. Auch hier macht sich in mir die Sorge breit, selbst das Vernichtungslager entzöge sich unserer Vorstellungskraft, schüre Neutralität. Dann aber ist es der Marsch durch das Schienentor, das Besteigen der Rampe, es ist das Berühren einer Latrine, einer Schlafbaracke, es sind die Reste von Mauerzeichnungen, die uns stocken lassen. Ob es stimme, man habe Kleinkinder lebendig in die Öfen geworfen, möchte eine Schülerin wissen. Ja, dazu gebe es ungeprüfte Berichte, antwortet unsere an diesem Tag engagiertere Reiseführerin. Augen werden feucht. Man schluckt. Einmal, zweimal. Weitere Fragen werden erstickt. Nicht aus Desinteresse, sondern, weil die Stimme versagt, weil unfassbar ist, wozu der Mensch fähig sein kann. In der „Scheißstube“ hätten die Häftlinge zu Dutzenden gesessen, sich in einem Sanitärraum erleichtert, der im Ersten Weltkrieg als Pferdestall hergehalten habe. Die Nasenringe hängen noch an Querbalken. Der Kot wird in riesigen Auffangbecken gelagert. Mit menschlichen Exkrementen lässt sich hervorragend düngen. Auch Asche wird einen Steinwurf von den Krematorien entfernt über eine heute idyllisch an- schenwürde erzählen können, offenbaren sich das Lager und die damit verbundenen Schreckenstaten der Nazis nur noch als Museum.“ Besteht Grund zur Sorge? Auf die engagierten Fragen, welche die Jugendlichen an den Zeitzeugen richten, weiß Kichka mit persönlichen Erfahrungen empathisch zu antworten. Im Raum herrscht Stille, wenn der heute 84-Jährige von durch die Arbeit zerborstenen Schultersehnen, in Kot gedrückten Gesichtern, stinkenden Leichen in den Viehtransportern berichtet. Kichka geht seiner Berufung als Zeitzeuge der Vernichtungsmaschinerie seit 25 Jahren nach, schreibt Bücher, tritt im Fernsehen auf und – die Jugend hört zu. Die Sonne scheint auch am Sonntagmorgen. Es ist wohlig warm. Sonnenstrahlen scheinen durch die Busfenster an diesem zweiten Tag, bescheinen die Straße, die vom Stammlager nach Birkenau führt. Wärme legt sich über die Gleise, die in Spielbergs Schindlers Liste in nächtliches Dunkel, in verschneite Kälte getaucht waren. Keine Wachhunde kläffen, es Wenn die letzten Zeugen tot sind, offenbaren sich das Lager und die Schreckenstaten nur noch als Museum stinkt nicht nach Urin, nach Stiefelcreme, nach Angst. Auch hier macht sich in mir die Sorge breit, selbst das Vernichtungslager entzöge sich unserer Vorstellungskraft, schüre Neutralität. Dann aber ist es der Marsch durch das Schienentor, das Besteigen der Rampe, es ist das Berühren einer Latrine, einer Schlafbaracke, es sind die Reste von Mauerzeichnungen, die uns stocken lassen. Ob es stimme, man habe Kleinkinder lebendig in die Öfen geworfen, möchte eine Schülerin wissen. Ja, dazu gebe es ungeprüfte Berichte, antwortet unsere an diesem Tag engagiertere Rei- seführerin. Augen werden feucht. Man schluckt. Einmal, zweimal. Weitere Fragen werden erstickt. Nicht aus Desinteresse, sondern, weil die Stimme versagt, weil unfassbar ist, wozu der Mensch fähig sein kann. In der „Scheißstube“ hätten die Häftlinge zu Dutzenden gesessen, sich in einem Sanitärraum erleichtert, der im Ersten Weltkrieg als Pferdestall hergehalten habe. Die Nasenringe hängen noch an Querbalken. Der Kot wird in riesigen Auffangbecken gelagert. Mit menschlichen Exkrementen lässt sich hervorragend düngen. Auch Asche wird einen Steinwurf von den Krematorien entfernt über eine heute idyllisch anmutende Dann ist es der Marsch durch das Schienentor, das Besteigen der Rampe, es ist das Berühren einer Latrine, einer Schlafbaracke, es sind die Reste von Mauerzeichnungen, die uns stocken lassen Wiese gestreut. Doch sei, so berichtet Henri Kichka, in Birkenau kein Gras gewachsen. Wen wundert es, wenn man den Tod sät. Und dann: „Hätten wir einen Grashalm entdeckt, wir hätten ihn gegessen.“ Totenstille stellt sich ein, als wir Herrn Kichka mit seiner nummerierten Häftlingsmütze in der Schlafbaracke umkreisen. Er hat ein paar Schüler begleitet, möchte nun jedoch zu allen sprechen. Niemand will die Gelegenheit missen. Er stützt sich mit seiner linken Hand an den harten Holzbalken der ersten Schlafstätte ab. Henri Kichkas Körpersprache wirkt entschlossen, seine Stimme aber klingt für Momente leise, zittrig. Keine Unterrichtssituation wäre so möglich. In der Baracke jedoch verstummen Nebengeräusche. Jeder lauscht den Worten des Ex-Häftlings wie gebannt. Alles wirkt authentisch, vor Ort, nicht museal, sondern ungeschminkt, roh. Von der oberen Schlafetage habe man durch die steinharten Bretter nach unten gepinkelt, bisweilen auf Mitinsassen, weil die Nacht zu eisig, der Weg zu beschwerlich gewesen sei, um von dem Gerüst zu steigen, die Baracke zu verlassen, seinen menschlichen Grundbedürfnissen auch menschlich nachgehen zu können. Das Zischen einer geöffneten ColaFlasche schneidet durch die bleierne Luft. Ein Raunen geht durch die Menge, Verlegenheit macht sich breit. Dass die Sonne über das Todeslager Birkenau scheint, ist für Momente vergessen. „Ich erinnerte mich an meinen damaligen, vergeblichen Versuch, mir ein volles Lager und Häftlinge und Wachmannschaften und das Leiden konkret vorzustellen. Ich versuchte es wirklich, schaute auf eine Baracke, schloss die Augen und reihte Baracke an Baracke. (…) Aber es war alles vergeblich.“ Michael Bergs vergeblicher Versuch einer geistigen Verinnerlichung der Verbrechen in Struthof aus Bernhard Schlinks Der Vorleser hat die Gruppe im Museum Auschwitz I geprägt. Die durch die Inszenierung entstandene Distanz in Zeit und Raum war zu deutlich. Über den Baracken von Birkenau hat die Sonne jedoch nicht die Kraft, die Betroffenheit abzumildern. Niemand möchte bis auf den Grund von Wanda Slawinskas Augenhöhlen sehen. An diesem Tag aber wandelt sich ein Portrait zu einer ganzen Geschichte. Wie mir dieses Foto, werden so manchem ähnliche konkrete Details zugesetzt haben: Ein paar Längen Stacheldraht, eine eingeritzte Botschaft, eine verkohlte Puppe. Der freie Nachmittag in Krakau am letzten Reisetag erweist sich als Segen. es war alles vergeblich.“ Michael Bergs vergeblicher Versuch einer geistigen Verinnerlichung der Verbrechen in Struthof aus Bernhard Schlinks Der Vorleser hat die Gruppe im Museum Auschwitz I geprägt. Die durch die Inszenierung entstandene Distanz in Zeit und Raum war zu deutlich. Über den Baracken von Birkenau hat die Sonne jedoch nicht die Kraft, die Betroffenheit abzumildern. Niemand möchte bis auf den Grund von Wanda Slawinskas Augenhöhlen sehen. An diesem Tag aber wandelt sich ein Portrait zu einer ganzen Geschichte. Wie mir dieses Foto, werden so manchem ähnliche konkrete Details zugesetzt haben: Ein paar Längen Stacheldraht, eine eingeritzte Botschaft, eine verkohlte Puppe. Der freie Nachmittag in Krakau am letzten Reisetag erweist sich als Segen. Claude Reiles, d’Land Reportage Nummer 45 12.November 2010 50 visites, voyages éducatifs et culturels B e r l i n Schritt nach Berlin, ans Brandenburger Tor; Schritt entlang der Mauer, Blick zum Check-Point-Charly, wo so viele Tränen vergossen wurden. Wer gedenkt der Flüchtlinge, die es in die Freiheit geschafft haben? Wer erinnert sich an die zahllosen Opfer, die den Wunsch nach Freiheit mit dem Leben bezahlen mussten? Verfolgung der Spuren zum Stasigefängnis; DEM Ort der Geheimpolizei – Spitzel, Wächter, Gefangene vor dem geistigen Auge.. Heute, über 20 Jahre nach dem Mauerfall hat der Reichstag eine neue Dimension: Einsicht in gestrige und aktuelle Politik., Deren Geschichte haben wir gesehen, durch den Blick in die Vergangenheit. Obwohl heute wunderschön gemalt, doch ein Zeichen der Unterdrückung, des verlorenen freien Willen und der Angst. Jedoch auch die Verbindung, der Auflehnung und des Mutes die Menschen vereinte. Faszinierend und grauenhaft, schrecklich und schön. So ist das Berlin in unseren Köpfen geworden. Dondelinger Cathy 3A Sott Steffi 3A Debugne Louise 3A Klassenfahrt der Optionskurse „Musik“ und „Handeln in Grenzsituationen“ nach Hamburg „Hamburg, was wollt ihr denn in Hamburg? Da gibt es doch nichts außer Kiez, Hafen und Bratwurst.“ Denkste. Lustig-fröhlich und voller Erwartungen brachen wir gleich nach den letzten durchschwitzten Prüfungen vor den Weihnachtsferien auf. Eine bunt zusammen gewür- felte Reisetruppe, Leute aus allen Sektionen. Musiker und, na ja, Menschen, die um das „Handel in Grenzsituationen“ besorgt sind, suchen eine vollkommene Abwechslung vom erdrückenden Buchstabenwald es Abiturs. Musikalisch und vor allem zweideutig witzig ging es dann gleich nach unserer Ankunft im verschneiten Hamburg mit der „Schmidt`s Mitternachtsshow“ los. Comedy gab es also deftig, und vergessen wir nicht den Besuch im „Quatsch Comedy Club“, nach dem genereller Lachkrampf und allgemeine Bauch- muskelkater herrschten. Aber neben dem ganzen Lachen und Schmunzeln gab es auch einiges zum Staunen und Bewundern, ob Winterparade oder Miniaturwunderland: Ohren und Augen wurden verwöhnt. Für die Musiker gab es dann noch singende Löwen, gospelnde Nonnen oder rockende Kiezgestalten. So ein Musical bietet natürlich auch einige Grenzsituationen: was tun, wenn eine riesige Hyäne harrscharf am eigenen Sitz vorüber rennt? Natürlich ging es bei dieser Reise nicht nur ums Vergnügen, wo denkt visites, voyages éducatifs et culturels 51 ihr denn hin? Wir mussten unter anderem durch die interessante aber vereiste Speicherstadt schlittern, mussten bibbernd vor Kälte eine Hafenrundfahrt überstehen und durften uns von einem gemütlichen Bus, mit geschichtlicher Führung inklusive, durch Hamburg kutschieren lassen. Kulinarisch gesehen war die Reise keine große Entdeckung, jedoch war es über Currywurst und Co leicht den Mitreisenden näher zu kommen. Über die unzähligen Weihnachtsmärkten Hamburgs schlendernd wurden Freundschaften geschlossen oder aufgefrischt. Das unbefangene Gefühl, das einem so ein 6-Bettzimmer gibt, ist unvergesslich. Besonders da es unsere letzte Chance war, dies noch einmal vor dem „beängstigenden“ Eintritt in die große, weite Welt zu erleben, schätzen wir jene Erfahrung sehr. Wir möchten allen Lehrern Frau Bachtler, Frau Schuster, Frau Bauler, Herr Harsch, Herr Direktor Schroeder, danken, die sich waghalsig dazu bereit erklärten die Reise in die einmalige Stadt Hamburg zu organisieren und uns zu begleiten. Auf dem Rundgang durchs Museum haben wir uns im Tresorraum einige original Gutenbergbibeln angesehen. Sie sind sehr alt, schön ausgemalt und Millionen wert. Nach dem Museum haben wir noch den Mainzer Dom, der dem heiligen Martin geweiht ist, besichtigt. Er Christine Leidner, 1A wurde von Bischof Wiligis erbaut, der damit seine geistliche und kirchliche Macht demonstrieren wollte. Erstaunlich ist, dass dieser Dom als einziges Bauwerk die Bombardierung von Main überlebt hat – aus dem strategischen Grund, dass er den Bombern die Richtung vorgab. Nach einer Mittagspause, die wir in Gruppen verbrachten, gingen wir noch in die Sankt Stefan Kirche mit ihren berühmten Chagallfenstern. Frau Bachtler gab uns einige Erklärungen zur Entstehung und zur Klassenreise nach MAINZ Symbolik dieser Fenster. Obwohl die Rückreise wieder lange war, fanden wir den Tag schön. Es ist Nach einer langen Busfahrt sind wir, presse drucken. Diese farbig getoll mit der Klasse als Gruppe etwas die Klassen 5M5 und 5M2 mit unser- druckte Seite hängt jetzt in unserer zu unternehmen. er Religionslehrerin Frau Bachtler in Klasse. 5M5 Mainz angekommen. Zuerst waren wir im Gutenbergmuseum. Dort lernten wir viel über Johannes Gutenberg, der eigentlich Johannes Gensfleisch hieß. Im Museum lernten wir viel über die Papierherstellung und den Buchdruck. Wir bekamen gezeigt wie Gutenberg seine Buchstaben anfertigte und wie er seine Bibeln druckte. Maxime durfte sogar eine Seite mit dem Beginn des Johannesevangeliums auf Gutenbergs Buch- 52 visites, voyages éducatifs et culturels Voyage éducatif et culturel à Rome- Avril 2011 C’est dans la joie et la bonne humeur que nous chargions nos valises dans le bus pour Rome ce premier jour d’avril 2011. Il avait plu aux dieux immortels de nous épargner les poissons du même nom. Vers six heures , après un bref résumé des règles de sécurité élémentaires, nous nous mîmes en route . Ce voyage à travers la nuit se passa sans encombre, mis à part le fait que l’impatience et les secousses empêchèrent la plupart d’ entre nous de dormir. Cependant, la vue de la cité éternelle nous fit oublier notre fatigue. Notre programme prévoyait en effet une visite d’introduction des plus dignes : le Forum Romanum, cœur de la république romaine avec la Curie et le temple de Vesta ainsi que le Palatin, la colline des Palais impériaux. Pour conclure ce premier aperçu de la Rome antique, une visite de l’impressionnant Colisée s’imposait naturellement. Certes différentes mais non mois intéressantes, la Basilica San de ce grand musée dédié à l’art baroque étaient déjà bien connues des élèves de troisième qui les avaient étudiées en éducation artistique et en latin. La gestion des visiteurs remarquablement bien organisée permet d’ ailleurs de contempler en toute tranquillité les trésors de cette exposition exceptionnelle. La soirée elle aussi fut principalement marquée par la Renaissance et le baroque, avec les églises Luigi dei Francesci et San Ignazio ainsi que l’ Elefantino de Bernini. De la Rome antique, la Piazza Navona et le Panthéon constituaient autant de monuments impressionnants. Les explications historiques données, nous eûmes le loisir d’ apprécier la gastronomie romaine dans les petites ruelles qui rayonnent depuis les grandes places de la ville. Le jour suivant nous vit traverser les illustres musées du Vatican, aux œuvres d’art les plus remarquables, telles que les fresques de la chapelle Sixtine. Malheureusement, les latinistes luxembourgeois ne sont pas les seuls à apprécier l’ art italien, et le public nombreux empêcha une appréciation approfondie de cet énorme musée. Après un repas de midi rapide, nous partîmes pour Sorrente, laissant derrière nous la ville éternelle. Clemente et la Piazza di Spagna complétèrent parfaitement ce panorama de la ville, arrondi après le repas du soir par une promenade vers la Fontana di Trevi et ses gelatterie. Le soir, nous fûmes agréablement surpris par les chambres de l’auberge de la Villa Lituana, dont le confort égale celui de biens des hôtels plus onéreux. Aussi, beaucoup d’entre nous se précipitèrent au lit le plus tôt possible. La journée suivante commença par une visite des catacombes de Callisto, où sont enterrés nombre des premiers chrétiens de Rome. Le caractère de l’endroit fut apprécié autant que la fraîcheur souterraine. La prochaine visite, celle de la Villa Borghèse, constituait l’un des grands évènements du voyage. En Le Vésuve et Pompéi effet, plusieurs œuvres célèbres Le Vésuve ! Le seul nom de cette visites, voyages éducatifs et culturels 53 3EG explore dans l’histoire du Luxembourg Excursion dans la mine de fer « Walert » à Rumelange montagne fait frémir depuis cette sinistre journée de l’an 79 de notre ère. Cependant, comme aucune alarme n’avait été donnée, nous nous aventurâmes sur le sommet fumant. Le cratère, de diamètre considérable, constitue une vue indescriptible avec ses fumeroles et cristaux en tout genres, qui font la joie des amateurs. La célèbre ville-fantôme de Pompéi donna une toute autre image de ce qui nous semblait être une montagne des plus paisibles. Avant d’ en être chassés par l’ orage, nous eûmes le temps de voir les bâtiments et le spectacle affligeant de ce qui reste de leurs habitants. Le lendemain, une dernière marche le long de la côte nous amena à notre bus, la mélancolie du départ cédant progressivement à la joie du retour auprès de nos familles. Dans le contexte de leur cours d’histoire ainsi que du projet d’établissement FRV-Science du LGL, la classe 3EG s’est familiarisée de manière interactive avec la première révolution industrielle en visitant le 4 février 2011 le Musée National des Mines de Fer luxembourgeoises à Rumelange ainsi que la mine « Walert ». Les élèves se sont rendus avec leurs professeurs d’histoire et de français, Madame Raus et Monsieur Weis, à la gare de Luxembourg pour prendre le bus en direction de Rumelange. L’atmosphère était assez détendue! Arrivés à la gare de Rumelange, ils devaient se rendre à pied jusqu’au Musée. Jean-François Nies Mine Walert en 1890 [www.mnm.lu] Dès l’arrivée au Musée, les deux guides, Georges et Fabrice ont expliqué le déroulement de la visite ainsi que les mesures de sécurité. Tous les élèves ont mis des casques de protection. Les caractéristiques géologiques du bassin minier luxembourgeois ont été présentées. Les élèves ont appris que le terme de «Minette » est dû à la pauvre teneur en fer du minerai luxembourgeois. Après avoir laissé les derniers rayons de soleil derrière eux, les élèves sont entrés dans la mine. Certains trouvaient que le climat à l’intérieur de la mine était plus agréable qu’à l’extérieur, où il pleuvait et gelait. Les guides ont expliqué qu’il y avait en effet une température constante sur toute l’année entre 8 et 10C° à l’intérieur de la mine. Par contre, en raison de l’humidité de l’air à 90%, une partie des élèves grelottait au bout d’une heure de visite. La mine était organisée de façon suivante : il y avait une seule voie centrale où passaient les rails, indispensables pour faire circuler les wagonnets transportant le minerai. Perpendiculairement à cette voie centrale, des galeries latérales menaient vers différents fronts de taille. Chaque galerie latérale était marquée par une couleur et sur les 54 visites, voyages éducatifs et culturels parois se trouvaient des flèches ainsi que des chiffres indiquant la direction et la distance vers la sortie. En effet, outre par sa température, la mine se caractérisait également par l’obscurité. Et, les guides se sont efforcés d’expliquer les conditions de travail des plus pénibles des ouvriers pour lesquels la lampe à carbure était indispensable. Pour expliquer les conditions de travail et la manière dont le minerai a été extrait de la mine, les guides avaient préparé des ateliers à l’intérieur de la mine, au cours desquels les élèves ont volontairement pu expérimenter la vie du mineur. A l’aide d’une perforeuse manuelle, certains ont creusé un trou dans la paroi de la mine, destiné à placer des explosifs en vue de faire décoller des morceaux de minerai de fer. Etonnés étaient les élèves quand ils ont appris que pour un simple trou, il fallait une heure et que le mineur s’exerçait jusqu’à 12 heures par jour. Les mineurs travaillaient 365 jours par an et ce pen- dant 50 ans, à l’exception du jour de la fête de la Sainte Barbe, Sainte protectrice des mineurs. A d’autres endroits, les élèves ont tenté de pousser une berline chargée de minerai ou ont essayé de construire des poutrelles destinées à soutenir le plafond d’une galerie. Les élèves ont découvert la manière dont les mineurs faisaient leur pause de midi. Leurs sacoches contenant la nourriture étaient suspendues à des cordes afin d’éviter que les rats n’y aient accès. Souvent les femmes ramenaient les repas et remplissaient les wagonnets de minerai, le temps que leurs maris mangent. Il ne fallait pas perdre de temps, puisque le temps déter- minait leur salaire. Les conditions des mineurs étaient difficiles. Les mineurs étaient obligés d’acheter eux-mêmes tout le matériel dont ils avaient besoin pour tailler et sécuriser la mine. D’ou les nombreux accidents en raison d’un boisage mal fait, puisque trop couteux ! Les élèves ont ainsi pu constater la pénibilité et les dangers du métier de mineur. Souvent les galeries s’effondraient. En tout, 47 mineurs sont morts dans la mine de Walert. A l’instar du mineur Jean-Pierre Bausch, qui était bourgmestre de Rumelange et plus tard député. Dans ces fonctions, il s’était engagé pour la défense de ses collègues, pour des questions salariales et des mesures de sécurité. La victime la plus jeune n’avait que treize ans quand elle glissait avec les chaussures pleines de vases sous un wagonnet et que le cheval continuait à tirer sa charge. A l’époque, beaucoup de jeunes garçons travaillaient dans les mines. Malgré la loi inter-disant le travail des enfants avant 15 ans, les garçons étaient employés dès l’âge de sept ans à diriger les chevaux dans les mines. A la fin de la visite, tous les élèves ont taillé du minerai et en ont gardé un morceau en souvenir. Les élèves ont pu se rendre compte des raisons de la richesse du Luxembourg d’aujourd’hui. C’est seulement à cause de la sueur des mineurs que le Luxembourg a connu un boom économique et industriel. Cette époque a été la base de la transformation du Luxembourg d’un pays qui se fondait sur l’agriculture en un pays qui se caractérise par son secteur bancaire. Alors qu’il n’y a plus d’activité dans les mines du Luxembourg – l’exploitation de la mine de Walert cesse en 1964 – il faut penser aux nombreux mineurs qui continuent à travailler dans les mines comme au visites, voyages éducatifs et culturels 55 Chili par exemple, et qui nous livrent le minerai de fer ou le charbon dont a besoin l’industrie sidérurgique. Lisa Alff, Jo Ast, Pascal Jossi Besuch der Klassen 2G und 2E des LGL im E u r o p ä i s c h e n P a r l a m e n t i n S t r a ß b u r g Debatten begründeten. Diese haben die Funktion verschiedene Entscheidungen, was die Politik oder die Wirtschaft angeht, im Interesse Europas, aber auch ihres Landes zu treffen. Später wartete Charles Goerens, Mitglied der Demokratischen Partei, auf uns. Mit ihm führten wir eine zweistündige Diskussion über aktuelle Ereignisse und politische Themen. Wir redeten über die Flüchtlinge aus Tunesien, die gerade aufgrund der Unruhen in ihrer Heimat nach Italien geflüchtet waren. Herr Goerens teilte uns zum Beispiel mit, dass zwei Tage zuvor Italiens Innenminister Roberto Maroni als Reaktion auf die Ankunft tausender tunesischer Flüchtlinge auf der italienischen Mittelmeerinsel Lampedusa die Stationierung italienischer Polizisten in Tunesien gefordert hatte. Wir redeten auch noch über die Gesundheitspolitik in Spanien, wo ja an öffentlichen Orten nicht mehr geraucht werden darf. Andere wichtige Themen wurden besprochen, bevor die beiden Klassen zum Abschluss ihres Besuchs ein Gruppenfoto im Parlament machten. Trois élèves du LGL sont devenus membres du Comité économique et social européen pour deux jours et ont eu leur mot à dire sur les politiques de la jeunesse Du 5 au 7 mai 2011, le Comité économique et social européen - CESE, un organe consultatif de l’Union européenne a organisé dans ses propres locaux à Bruxelles une simulation de session plénière. Cette simulation a permis à des élèves d’enseignement secondaire issus des 27 pays membres de l’Union européenne de découvrir le processus de prise de décision du CESE. Das Europäische Parlament mit Sitz in Straßburg ist das Parlament der Europäischen Union. Es hat drei wesentliche Aufgaben: Gesetzgebung, Haushaltskontrolle und Kontrolle der Europäischen Kommission. Am Donnerstag, den 15. Februar 2011 besuchten die 2eG und die 2eE in Begleitung ihrer Lehrer das Europäische Parlament von 12 Uhr mittags bis 17 Uhr. Wir verfolgten früh am Nachmittag von der Tribüne des Plenarsaals aus das Ende der Sitzung und hörten zu, als Politiker ihre Standpunkte in den aktuellen Alessandro Schiavone, 2G Au préalable, le 18 mars 2011, Monsieur Raymond Hencks, membre luxembourgeois du CESE a rendu visite à la classe 2D2 du LGL. Il a présenté aux élèves le CESE et son fonctionnement et les a aidé 56 visites, voyages éducatifs et culturels à se préparer à la session plénière simulée. Les élèves ont préparé un avis sur le thème « Jeunesse en mouvement », une nouvelle initiative européenne visant à aider les jeunes à acquérir les connaissances et compétences essentielles qui sont nécessaires pour obtenir un emploi. sélectionnés par un vote interne en classe afin de représenter le Luxembourg lors du projet. Ils ont été accompagnés par leur enseignante Martine Jodocy. Lors du séjour à Bruxelles les trois élèves ont participé à diverses manifestations de prise de Cette année, Joé Lamesch, Loris contact, à des séances de travail, à Meyer et Michelle Wagner, trois une table ronde et à des intervenélèves de la 2D2 du LGL ont été tions de représentants des institu- tions européennes. Le dernier jour a eu lieu un débat et un vote sur chacun des amendements préparés, suivi de l’adoption du texte définitif. Cette expérience, très enrichissante, a permis aux élèves de partager leurs expériences dans un environnement multiculturel, d’échanger des idées et de faire de nouvelles connaissances. Ce fut aussi pour eux l’occasion de découvrir Bruxelles de l’intérieur. Les voyages culturels des professeurs du LGL Au LGL, de façon générale, c’est l’élève qui est au centre des préoccupations. Voilà pourquoi dans les « Les Grandes Lignes » la majeure partie de la publication est destinée aux activités des élèves, ainsi qu’aux voyages pédagogiques qu’ils font en cours d’année. Toutefois, depuis bientôt 20 ans, les professeurs eux aussi, ainsi que leurs familles, partent régulièrement en voyage. Ces voyages culturels les ont conduits dans divers pays d’Europe et d’Amérique. Pour le choix des destinations, l’accent est mis sur la diversité des cultures et des endroits. Ainsi, certains voyages ont été consacrés à des régions ou pays au croisement de différentes civilisations et cultures. Parmi les endroits visités, on retiendra Istanbul, romaine, romane et ottomane (1994), l’Andalousie chrétienne, juive et arabe (1996), la Sicile grecque, romaine, arabe et normande (2001), l’île de Cuba hispano-africaine (2002), la Vénétie italienne, autrichienne et ottomane, avec l’accent mis sur les villas palladiennes (2003) et, tout récemment, la Jordanie gréco-romaine, judéo-chrétienne, nabatéenne et arabe (2011). dans des villes voisines et pourtant très différentes : Nous citerons New York et Washington (1995), Dresde et Weimar (1997), Vienne et Budapest (1998), Rome et Naples (2000), Glasgow et Édimbourg (2004), Porto et Lisbonne (2006), ainsi que Ravenne et Bologne (2008). Ces voyages font partie de la vie du LGL et sont organisés, parfois D’autres voyages les ont conduits de A jusqu’à Z, par des professeurs visites, voyages éducatifs et culturels 57 du LGL. En réduisant au minimum les intermédiaires, on peut proposer des tarifs très attrayants et permettre à des familles avec enfants de participer. On dit que les voyages forment la jeunesse ; mais aucun des participants à ces voyages ne niera qu’ils forment aussi les adultes. Les périples des professeurs du LGL sont un bel exemple d’interdisciplinarité. On retrouve parmi les participants des enseignants de toutes les branches, et les visites ne se résument pas aux aspects artistiques ou historiques. Architecture, sciences, politique, civilisations, ethnologie sont des sujets fréquemment abordés dès que nous quittons le Grand Duché. Souvent, à leur retour, les professeurs enrichissent leur cours en faisant partager ce qu’ils ont vu avec leurs élèves. Les préparatifs pour le voyage d’avril 2011 en Jordanie ont commencé dès octobre 2010. A l’époque, rien ne laissait présager un éveil populaire et démocratique dans les pays arabes. Aussi, nombreux étaient les professeurs qui se sont inscrits pour un périple jordanien du 10 au 18 avril 2011. Si les voyages précédents étaient surtout axés sur les aspects purement culturels (culture au sens large, il va de soi), celle fois-ci on a aussi fait appel à l’effort physique (au sens « très » large, on pourrait parler de « culture physique »), nécessaire pour apprécier la beauté du pays à sa juste valeur. multicolores dans la Mer Rouge … Et puis il y a le Mont Nebo : endroit magique où Moïse aurait contemplé la Terre Promise, sans pouvoir jamais y pénétrer. Quelles que soient les En raison des événements politiques opinions religieuses, il faut avouer qui ont eu lieu dans les pays arabes que la vue depuis le Mont Nebo est début 2011, y compris en Jordanie, impressionnante. Voir à ses pieds, à les quelques mois qui précédaient le quelque 1200 mètres (de dénivelé) voyage étaient pleins de suspense. en contrebas, sur la rive opposée du Régulièrement, les participants Jourdain, des endroits imprégnés ont été informés de la situation en d’histoire comme les villes de Jérusalem et de Jéricho, s’imaginer dans la peau de Moïse, voilà des souvenirs qui ne laissent personne indifférent. Chaque jour de ce périple jordanien avait son lot de surprises et de moments magiques. Et comme l’aimait répéter notre guide Joussef: « Le meilleur est à venir ! » Jordanie, qui n’a jamais été vraiment inquiétante. Néanmoins, quelques J’aimerais reprendre cette maxime personnes ont préféré se retirer. à mon compte et l’appliquer aux Les 23 personnes ont abordé le futurs voyages des professeurs du voyage en Jordanie le 10 avril ne LGL. l’ont certainement pas regretté. Un programme très varié : expériPascal Daman ences mettant en jeu la poussée d’Archimède à la Mer Morte, 410 mètres en dessous du niveau de ma mer, bains chauds au pied du Golan, visite des sites gréco-romains de 1992 Prague Gadara et de Jerash, ainsi que de 1994 Istanbul la forteresse des Croisés à Kerak, 1995 New York et Washington longues promenades inoubliables sur le site exceptionnel de Petra, 1996 Andalousie une des « nouvelles » Merveilles 1997 Dresde et Weimar du Monde, excursion et nuit sous 1998 Vienne et Budapest tente dans le désert du Wadi Rum, 2000 Rome et Naples découverte de coraux et de poissons 2001 Sicile 2002 Cuba 2003 Vénétie 2004 Glasgow et Edimbourg 2006 Porto et Lisbonne 2008 Ravenne et Bologne 2011 Jordanie Die Philharmonie: ein stattlicher Musiktempel. Ist für die Berliner Hans Scharouns Bau zu Maestrissimos Zeiten ihr „Zirkus Karajani“ gewesen, so ist für uns Luxemburger heute Christian de Portzamparcs Gebäude unsere „Klangstäbercheskëscht“, unsere P h i l - S p a ß „White Musicbox“, kurz: unsere Anmerkungen zu einem Konzert in „Phil“. Und „Phil bitt vill“, könnte es in Abwandlung eines alten Werbesder Philharmonie am 16.10.2010 logans heißen. Ein erster allzu flüchtiger Blick auf die Eintrittskarte hätte einen glauben lassen können, dass für diesen Abend vier namhafte künstlerische Vereinigungen aus dem Land zu einer gemeinsamen Konzertdarbietung zusammengekommen wären. Vier Vereinigungen, deren Logos auf dem Konzertticket abgedruckt waren: - LGL (Let’s Get Loud) - NOSL (Nordstadlyra) - LJBM (Little Jingle Band Mamer) - LCD (L ëschteg Chorale Dikrech) Ein zweiter, genauerer Blick auf dieselbe Eintrittskarte belehrte uns schnell eines Besseren: Vier Schulen, das Lycée de Garçons de Luxembourg, das Nordstadlycée, das Lycée Josy Barthel Mamer sowie das Lycée Classique de Diekirch gaben sich ein Stelldichein in der Philharmonie zu einem „Privatkonzert“ des OPL. LGL meets OPL, NOSL goes Phil, OPL à l’amitié avec LCD, Phil welcomes Josy Barthel. Ja, so stimmt es. Von diesen vier Schulen war das Konzert in der Philharmonie organisiert. Auf dem Programm: Drei unbekannte Werke dreier kaum bekannter Komponisten (aus Osteuropa) dirigiert von einem unbekannten Dirigenten (ebenfalls aus Osteuropa). Eine gute Gelegenheit also, neue Bekanntschaften zu schließen. Der Solist des Abends, der Pianist, ist Insidern bestens bekannt, nichtsdestoweniger stammt auch er aus Osteuropa. Ein slawischer Abend demnach. Mann komme mir nicht mit der Bemerkung voller Bedauern, wenn schon slawisch, dann nicht Nicolaï Medtners erstes Klavierkonzert in c-Moll op.33, sondern Tschaikowskys erstes Klavierkonzert in b-Moll op.23; wenn schon slawisch, dann nicht Karol Szymanowskis Konzertouvertüre op.12, sondern Tschaikowskys Ouvertüre 1812, mit der wenig überzeugenden Begründung: da wäre wenigstens ordentlich was los gewesen mit Schlachtgemetzel und richtigen Kanonenschüssen, das wäre megamartialisch-bombastisch gewesen, dagegen sei Janáček mit seiner 59 „Militär“-Sinfonietta der reinste Chorknabe und Pazifist. Nein, wir sind offen und dankbar für alles Neue, wir brauchen nicht immer Kanonen auf dem Podium, wir haben das Klavierkonzert von Medtner genossen, auch wenn der Rezensent von „fast schon stereo-typ die gesamte Klaviatur auf und ab rauschendem Passagenwerk“ sowie von „leerem C-Dur-Geklingel des Schlusses“ geschrieben hat. Der Klaviervirtuose Boris Berezowsky trug einen feinen Lederanzug mit Lederweste, nicht in CuirDur, sonst hätte es womöglich noch im forte gequietscht und geknackt. Auch gut, dass sie nicht eingangs Tschaikowskys Pathétique gespielt haben, sonst wäre das Publikum gerührt und aufgewühlt, womöglich noch von Weinkrämpfen geschüttelt, in die Pause gegangen: Pause: in der Säulenhalle ambulierend heulen s’alle. Doch kommen wir noch einmal auf den Anfang des Konzerts zurück: Nach der Ouvertüre, nach knapp 13minütiger Spielzeit also, kam das große Stühlerücken. Es musste umdisponiert werden, Platz geschafft werden für den Flügel, das klobige, schwarze Ungetüm. Das musste nach vorne zum Dirigenten. Kein Klaviervirtuose spielt gerne von hinten heraus, von links oder rechts außen. Der Solist ist es gewohnt, im Mittelpunkt zu stehen; Alle Menschen schauen hinüber, wo sein „sanfter“ Flügel weilt und wo er auf demselben agiert. Aber warum so umständlich? Hätte man den Flügel nicht von vorneherein an die richtige Stelle platzieren können? Hätte man nicht beim Bau der teuren Philharmonie an eine technische Vorrichtung denken können, die den Flügel bei Bedarf mittels Hydraulik aus der Versenkung holt, wie das im „Zirkus Karajani“ der Fall ist? Entschuldigung, es waren ja nur zwei Fragen. Immerhin ist man ja nicht so vermessen zu bemerken, dass es bei einem Violinkonzert weniger Umstände gibt. Dafür gibt es da andere Probleme und Risiken: Saitensprung, zum Beispiel, wo der Solist mal kurz hinter der Bühne verschwindet, wieder zurückkommt und treuherzig weiterspielt, als wäre nichts geschehen. Ja, das kommt davon, wenn man den Bogen über-spannt. Aber lassen wir das. Gehen wir nun definitiv in die Pause! Nein, ich habe niemanden zwischen den Säulen heulen se- hen. So genau habe ich auch nicht hingeschaut. Ich war viel zu intensiv damit beschäftigt, mich an der Bar durch das Gedränge zu schubsen, um noch rechtzeitig ein Gläschen Sekt zu ergattern – und ein Häppchen gegen den Hunger. Medtner, Berezowsky: die machen hungrig und durstig. Schon tönte der Gong. Und schon war’s geschehen: Crevette fett auf Krawatte matt. Fettbefleckter Schlips! Wenn dich deine Krawatte ärgert, bind sie los und zieh sie aus. Der oberste Hemdknopf geht sowieso nicht mehr zu. Mir platzt der Kragen. In der zweiten Halbzeit, wie gesagt, Janáček Sinfonietta „Militär“; Viel Blech – ich meine: hervorragende Leistung der Blechbläser zumal in den Ecksätzen, die von Fanfaren geprägt sind. Der junge Dirigent Juraj 60 activités et projets Valcuha konnte das in allen Gruppen bestens disponierte Orchester mit sehr bestimmter, aber immer eleganter Zeichengebung zu einer Leistung anfeuern, welche die Frische des Werks voll zur Geltung brachte. Nur schade, dass wir uns ablenken ließen von einem störenden, sich in straffem Rhythmus fast militärisch aufdrängenden, beharrlich wiederkehrenden Gedanken: Im Schlips der fette, blöde Fleck; am Montag schnell zu 5 à Sec! Um einmal von diesem dämlichen Binder loszukommen: Es gibt schon erstaunliche Parallelen zwischen einem Orchester und einer Schulklasse: Hier wie dort: Ein „Pultstar“ leitet das Ganze. Hier wie dort: Große Klasse! Jeder Teilnehmer ist voll motiviert, in jedem Moment voll konzentriert. Keine Fremdbeschäftigung, keine Privatgespräche, kein Kaugummi. Jeder hat seine „Noten“ vor sich liegen. Niemand hat sein Instrument vergessen. Alle Augen sind auf den Dirigenten gerichtet, niemand verpasst seinen Einsatz, jeder gibt sein Bestes. Da sitzt niemand, der von Tuten und Blasen keine Ahnung hätte. Ein Streicher etwa? Ach was! Alle haben transversale Kompetenzen. Und außerdem, hier wie dort: Nichts wird gestrichen, was zu schwer wäre; niemand macht einen Bogen um die Arbeit. Was heißt hier „Arbeit“? „Arbeit“ ist Spiel, das reinste Vergnügen. Im Konzertsaal wie im Klassensaal gilt: Es wird nicht lange herumdiskutiert. Pro oder contra Bass? – Da heißt es einfach: Kontrabass! – und damit basta! Wie gesagt: Eine verblüffende Übereinstimmung. Und das Resultat lässt sich beide Mal hören, sehen und bewundern. School meets Music. Eine aus- gezeichnete Initiative. Das Programmheft und die Konzertkarte werde ich sorgfältig aufbewahren. Zu bedauern bleibt allerdings, dass ich kaum einer oder einem meiner zahlreichen Schülerinnen und Schüler an diesem Abend in der Phil begegnet bin. Roland Harsch school, which gives the meeting a very international flair. For the past three years, St George’s School in Harpenden, UK, has been our partner and we were happy to welcome Sarah Treasure, Laura Waldram, Alex Black, Alex Hobday and their teacher Sue Thomas this year. The topic of the 2010 edition was ‘Private Life, Public Life’, which allowed participants to gather inforFORUM FOR A mation on both the convenience and MULTICULTURAL EUROPE the pitfalls of the Internet. Taking part in an event of this kind is both The Forum for a Multicultural rewarding and fun. It broadens hoEurope, which is organized by the rizons, it is hard work, yet there is SNJ in cooperation with a number of also lots of room for play. Luxembourg lycées, enjoys a longstanding tradition. It is meant to give Marthe Thill young people from all over Europe the opportunity to meet new faces, After the long-expected arrival of to discuss a variety of topics and our English guests and a long night, hone their language skills while lis- the official opening ceremony of tening to international speakers and the Forum took place at the LGL. talking to their peers from abroad. In This was actually the first time we 2010 the forum took place for the met all the other students involved 18th time and the LGL hosted the in this international event, which opening day of this event on October was quite exciting. Students from 10th. various countries of the European Each lycée that is involved teams Union had to present their school. up with a different EU secondary Once introductions had been made, activités et projets 61 we all had lunch at the restaurant Porta Nova. After lunch there was a walk through our beautiful city. This was a great way to get to know each other a bit better and to find out more about the history of our capital. Fortunately, Petrus offered us a sunny day. Afterwards we all gathered at the LGL again; the official part of the day ended with a concert given by the LGL Big Band. I really enjoyed the Forum, because it was a great opportunity to make friends and to improve my English. I had a lot of fun, and it seems as if my guest had a great time too, and I had a few days off school, which is always good. So my advice to everybody out there is: if you get the chance to participate in the Forum for a multicultural Europe, go for it, because it’s great fun. Christophe Lux 2D First of all I would like to say that, generally, I really enjoyed the 18th edition of this event and that I’m happy to have been part of it. During the three days we spent at the “Chambres des Métiers” in Kirchberg, we were given talks by experts all working in jobs related in different ways to the Internet. So there was a lecturer from the University of Amsterdam, a lawyer from Luxembourg and several IT specialists, among them a professional hacker, who gave us a speech about this new medium. Following these talks we were given a set of ques- tions to deal with in our workshops. I attended a discussion workshop and so I was able to consider fundamental aspects like safety, democracy, freedom, as well as the possibilities and risks inherent in cyberspace. Even though ten people with ten different opinions are hardly able to figure out solutions to such complex problems in such a short time, I found our workshops most interesting. I equally enjoyed the time we spent together with our British guests after the workshops. All in all, taking part in the forum was both interesting and fun. ever, mainly told us things we already knew. The most rewarding aspect of our discussions was not answering the questions, but exchanging views. Our meetings were indeed international and we spoke (after finishing the questions of course) a lot about the different countries we come from. That was perhaps the most fascinating part of the forum, the exchange between young people from all over Europe. Communication between the different nationalities worked really well, I mostly spoke English, but also German and French. You were part of the community in every way and Daniel Puth 2B thus there were no outsiders and you could just speak with whomever you felt like. It was a great experiThere were three different work- ence in every way. shops you could attend: it as your choice whether you wanted to join Sandy Thill 2C a discussion group, whether you wanted to be creative and work Being a host for a foreigner was a with Luxembourg artist Florence new experience for me. That’s why Hoffman or whether you wanted to I was a bit nervous, but once we practise your skills as a journalist had overcome initial language probby joining the press group. lems we managed to communicate Each day started with experts quite well. From the beginning of giving talks about a specific aspect their stay, Sarah, Laura and the two of the Internet. Afterwards we went Alexes were lovely, open-minded to our workshop. I was in a discus- and interested. Already after the sion workshop and we were always first few hours we had spent togiven a number of questions to gether, I learnt to appreciate Sarah’s find answers to. These questions presence. I was impressed by how generally dealt with the new infor- quickly you get used to sharing your mation we had obtained from the everyday life with someone. It felt experts. Some of them spoke about a bit like having a temporary twin very interesting issues, others, how- sister. 62 activités et projets From Monday to Wednesday we attended lectures and different workshops. I was with Sandy’s guest, Laura, in the creative workshop. In addition there were people from all over Europe: Swedes, French, Estonians, etc... Finding out more about their background was really interesting and enriching. In the evenings we often went out, showing different bars, restaurants, cafés and clubs to our guests. We had a lot of fun together. When the Forum was over and Sarah had left, I felt a little lonely. After five days of a really intense time with our Eng- Lesung von Elisabeth Zöller lish guests and the other students, 6 L1 und 6 LM2 des LGL I missed their company. I enjoyed meeting all the new faces and I Am 18. November 2010 nahmen die intend to visit Sarah in Hertfordshire Klassen 6 L1 und 6 LM2 an einer during the summer holidays. Lesung der deutschen Schriftstellerin Elisabeth Zöller in der BibJulie Brauch 2D liothek des LGL teil. Im Deutschunterricht hatten die Schüler zuvor das Buch „Anton oder die Zeit des unwerten Lebens“ gelesen, sich mit der Thematik des Dritten Reiches beschäftigt und sich insbesondere über den Umgang des Nazi-Regimes mit Behinderten informiert. Elisabeth Zöller las Passagen aus ihrem Buch vor, lieferte Hintergrundinformationen dazu und erzählte von ihren Recherchen. Anschließend Des bougies pour Amnesty Les élèves de 4M3 et de 4M6 ont organisé la vente des bougies Amnesty International dans le cadre de la traditionnelle campagne du 10 décembre, journée mondiale des Droits de l’Homme. La vente de 220 bougies du 23 novembre au 10 décembre dans le hall d’entrée du LGL a permis de récolter la somme de 800€ au profit d’Amnesty International. Michèle Mergen in den Klassen stand sie den interessierten Schülern, die im Unterricht eifrig Fragen vorbereitet hatten, Rede und Antwort. Besonders interessierte die Jugendlichen das Schicksal des Onkels der Schriftstellerin, der im Gegensatz zu vielen behinderten Mitmenschen versteckt und gerettet werden konnte und dessen Geschichte dem gelesenen Buch zugrunde liegt. Zum Abschluss der knapp zweistündigen Begegnung stellte Frau Zöller ihren neuen Roman „Der schwarze Vorhang“ vor. activités et projets 63 „Schule neu entdecken“ Von zahlreichen Klassenfahrten in fremde Städte bis hin zu Konzerten in der Schule findet man im ,,Lycée de Garçons’’ so ziemlich alles, was das Herz begehrt. Angesichts der Vielzahl an Angeboten fällt es den Schülern nicht immer leicht, sich für eine bestimmte Aktivität zu entscheiden. Es fehlt auch an dieser Stelle an Raum für eine umfassende Darstellung aller einzelnen Ange- bekannte Sommerhit von Jennifer Lopes, sondern ein musikalisches bote. Showevent unserer Schule. Vielen ist es unbekannt, doch die Schüler aus dem LGL sind sehr musikbegeistert. Die Wurzeln des ,,Let’s get loud’’ liegen in den angebotenen Musikoptionen auf den Abschlussklassen, die immer gut besucht sind. Anfangs stand die Theorie noch im Neben Schulprojekten wie „Langues Déliées’’ oder ,,LGL en FRVscience’’, in denen man die Schüler motivieren will, neue Sprachen zu erlernen oder sich stärker mit Naturwissenschaften vertraut zu machen, hat das LGL auch eine Chorale und eine Big Band aufzuweisen. Sportbegeisterte Schüler kommen auch nicht zu kurz – es reicht, einen Blick auf das vielfältige Sportangebot der Schule zu werfen. Schüler mit einer kreativen Ader können sich in Fotografie-Kursen oder SchreibWerkstätten austoben. Doch vor allem stechen zwei paraschulische Projekte des LGL heraus: „Let’s Get Loud“ und „Citron Vers“, zwei kulturell-kreative Tätigkeiten, die schulisches Können und Kreativität perfekt verbinden. ,,Let’s get loud’’ ist nicht etwa der ist, die Besetzungen festzulegen. Aus einer ,,Kellerband’’ wurden sehr schnell die Bühnenrocker, die ein großes Publikum für sich begeisterten. Nicht einmal die unerfahrenen Schüler der „7e musicale’’ schreckten davor zurück, am Bühnengeschehen teilzunehmen und sogar ehemalige Schüler meldeten sich freiwillig, um an der Show mitzuwirken. Doch die Organisation nahm ziemlich viel Zeit in Anspruch. Um die einzelnen Auftritte einzustudieren, musste der eine oder andere Teilnehmer so manche Stunde seiner Freizeit opfern. Die Hauptorgani- Vordergrund. Die Musikanten „jammten“ ursprünglich nur für sich alleine im Keller. Doch allmählich genügte ihnen dies nicht mehr und sie wollten ihr Können unbedingt auf der Bühne beweisen. Im Laufe der Jahre wurde die Theorie in die Praxis umgesetzt. satoren Frau Schuster und Frau Lentz wurden natürlich auch von der Musiklehrerin Simone Schuster, Direktion unterstützt. Sehr großzuständig für die Organisation des zügig zeigte sich diese und Let’s Get Loud, weiß mittlerweile spendete kurzerhand eine neue nach fünf Jahren, wie der Hase läuft. Musikanlage für die diesjährigen Sie beschreibt uns in einem Ge- Aufführungen. Das Publikum war spräch, wie schwierig und trotzdem völlig hin und weg und die Nachfrage witzig es zu Beginn des Schuljahres an Reservier-ungen für das zwei- 64 activités et projets Initiative eines Schreibateliers von Alexandra Fixmer, einer ehemaligen Lehrerin des LGL, die selbst Gedichte schreibt, führte Englischlehrerin Anne Reinard fort. tägige Event war so groß, dass man glatt noch einen dritten Vorstellungsabend hätte beifügen können. „Hinterher ist man immer schlauer und weiß, was noch verbessert werden kann’’, verspricht uns Frau Schuster. Am Ende des ehrgeizigen Projekts schätzen alle Teilnehmer die gesammelten Erfahrungen. „Wir verloren unsere Schüchternheit und wir sind über uns hinausgewachsen“, so einige Primaner der Salsa-Option, die mit einer perfekt eingeübten Tanzeinlage am „Let’s get loud“ teilnahmen. Aber auch die Lehrer zeigten sich sehr engagiert, versuchten sich auf unerfahrenen Gebieten und zeigten genauso wenig Scheu auf der Bühne wie die Schüler. „Auch Lehrer sind nur normale Menschen’,’ beteuert einer der Künstler, Kunstlehrer Mark Theis. „Die Beziehung zwischen Schüler und Lehrer wird deutlich lockerer’’. Nicht nur für Musiker und Schauspieler bietet das LGL Unterhaltung, sondern auch literaturbegeisterte Schüler können beispielsweise einer Schreibgruppe beitreten. Die Anfangs wollte man nur das Schreiben der Schüler anregen, das Veröffentlichen eines Buches war eigentlich nicht vorgesehen. Man wollte sich zu dem Event „Printemps des Poètes“ hinarbeiten. Doch wie sich herausstellte, waren es die Gedichte der Teilnehmer auch würdig, gedruckt zu werden, und so entstand der Gedichtband „Citron Vers“. „Das Projekt verlangte viel Engagement, sowohl von den Organisatoren wie auch von den Schülern“, betonte Anne Reinard. „Es steckt viel mehr Arbeit dahinter als man annehmen würde.“ Doch alle Teilnehmer opferten bereitwillig ihre Freizeit, denn die Motivation war groß. Ihre Lust zum Schreiben konnte man förmlich spüren, die Aufgabe der Lehrer war es, mit Anregungen und kleinen Spielen ihre Kreativität zu fördern. Das Endprojekt wurde mit großer Begeisterung aufgenommen, unzählige Angebote zu Vorlesungen wurden gemacht. Die Gruppe von 18 Schülern stellte ihre Werke unter anderem in der KUFA, bei der „Grande Nuit de Poèsie“ und natürlich im LGL selbst vor. Der Verkauf der Bücher war so erfolgreich, dass sogar ein zweiter Druck nachfolgte. Bei allen Vorlesungen war das Publikum sehr von den jungen Poeten begeistert. Als Fazit könnte man also sagen, dass das LGL seinen Schülern sehr viele Möglichkeiten bietet, sich in paraschulischen Aktivitäten zu betätigen. Niemand wird gezwungen, die Teilnehmer kommen, weil sie die nötige Lust und Motivation verspüren. Jede einzelne Aktivität soll die Schüler ja bereichern, sie soll keine unnötige Last darstellen. Wenn dann alle motiviert mitmachen, kann das Ganze für die Schüler und für die jeweiligen Zuständigen zu lehrreichen Erfahrungen führen, sei es nun zum Beispiel im Bereich der Musik oder der Literatur. Catherine Leidner, Christophe Nesser, Laurence Serres, Lis Steinmetz T H E AT R E M U LT I L I N G U E 2011 Après Roland Harsch et Jean-Paul Sartre - parole aux jeunes “Entre nous soit dit” fut une création du groupe de théâtre multilingue du lycée de garçons basée sur un travail d’improvisations autour de thématiques choisies par les jeunes eux-mêmes. Il s’agitssait pour eux de présenter sur scène des sujets qui les préoccupent, qui les touchent, qui ont un lien direct ou indirect avec leur quotidien. Les jeunes ont parlé d’eux, de ce à quoi leur génération est confrontée, de leurs désirs et de leurs espoirs et tout cela, à travers différentes scènes de tonalités et de styles divers. Une belle façon de faire du théâtre engagé. activités et projets 65 Entre nous soit dit Théâtre au Lycée de Garçons de Luxembourg Certaines expériences se révèlent après coup fort décevantes ou, par contre, bien plus intéressantes qu’elles n’en avaient l’air. Ainsi, m’attendant à passer une soirée de choix, j’étais allé voir il y a quelques semaines de cela une pièce d’un de nos auteurs les plus encensées du moment. Ma déception fut telle que j’osai quitter la salle avant la fin du spectacle. Sujet sérieux, mais bavardages sans fin et sans consistance. Quelle ne fut alors mon enchantement en assistant à une soirée théâtrale dans mon ancien lycée. Pour l’occasion, la grande majorité des textes avaient été rédigés non par quelque auteur célèbre, mais par les élèves. A priori il semblait donc qu’n ne devrait pas poser trop d’exigences. Ainsi, pour avoir enseigné pendant quarante ans, je croyais connaître plus ou moins les sujets qui intéressaient les jeunes, m’attendant à la mise en scène d’amourettes juvéniles ou de saynètes autour de l’école et des joutes plus ou moins violentes ou amusantes opposant élèves et professeurs. Je m’étais lourdement trompé, car tel ne fut point le cas. La danseuse qui ouvrit le spectacle nous mit tout de suite en face d’un problème autrement sérieux, tragique même, le suicide. Lettre déchirée, poison qu’on avale, mort douloureuse dans de terribles convulsions. La scène suivante, grâce aux paroles venues s’ajouter aux gestes, fut plus violente encore. Une jeune y clama son dégoût de l’école et de la vie. Sa solitude intolérable face à des parents désunis et des camarades superficiels, insensibles à sa détresse, ne lui laissaient qu’une seule sortie : le suicide. Le public, sonné par ces scènes, n’osa même pas applaudir. Heureusement, la suite fut moins noire, et l’on passa à des « machines à suicide » aussi farfelues qu’hilarantes. Pourtant, la critique des parents égoïstes et querelleurs, prêts à se quitter pour un oui et pour un non, fut reprise dans une des scènes suivantes qui rappelait de façon bien concrète la triste réalité des familles déchirées, volatilisées, puis soi-disant recomposées où bien trop de jeunes ne trouvent plus de repère fixe. Autre sujet qui tient à cœur à nos jeunes : les moyens de communication électroniques. Ce furent l’ordinateur, le Face book et le Twitter qui firent les frais de sketches mi-figue mi raisin. Ainsi doc, la jeunesse, tout en abusant trop souvent de ces gadgets, se rend bien compte des dangers qu’ils recèlent. Bravo pour cette mise en garde, mais espérons qu’on n’en restera pas là ! Finalement ce fut le tour d’une autre obsession omniprésente, en l’occurrence les kilos sur la balance. Rien qu’à voir les titres d’une certaine presse, on comprend fort bien la réaction des jeunes. Tout le monde et son père y promettent monts et merveilles lorsqu’il s’agit de maigrir sans pleurs ni privations. Vingt kilos de moins en vingt jours, cinquantes kilos de perdus grâce à tel régime miracle ! et voilà nos jeunes actrices et acteurs qui passent sur la balance et nous abreuvent de leurs rêves de « poids idéal ». La plupart nous disent (heureusement ce n’est point vrai) qu’ils traînent des kilos en trop. Ils nous font voir comment ils y sont arrivés en s’empiffrant à longueur de journée, boulimiques, finissant en montres obèses, incapables de se mouvoir. Mais ils parlent évidemment aussi de régimes à suivre pour maigrir, et ainsi du gravissime problème auquel certains abus vont mener, l’anorexie, dont j’ai malheureusement vu quelques cas au cours de ma carrière. Ainsi, en l’espace d’une petite heure, de jeunes amateurs, grâce à des textes sans fioritures inutiles ni prétentions littéraires, ont réussi par leur spontanéité et leur simplicité à fasciner non seulement un vieux schnock de professeur, mais toute une salle. Les commentaires des adultes après la représentation étaient éloquentes : Cette jeunesse est loin d’être superficielle qu’on le pense ou qu’on le prétend parfois. Ses problèmes sont ceux de toute notre société. Ils s’en rendent bien compte, ils y sont confrontés aussi bien que les adultes, et ils doivent essayer de leur faire face. Raymond Schaack 31-03-2011 66 activités et projets LGL English Theatre Group presents “The Exam” When given a choice, students will by Andy Hamilton, a play about invariably pick the play that repro- pushy parents, nerves before exams duces their own situation. That is and ... a ghostly presence on stage. why we ended up doing ‘The Exam’ activités et projets 67 F e s t i v a l d e s d a n s e s “Dichtung als Spiegel der du monde Welt“ - Poetry Slam auf der Le vendredi 26 novembre et le 4M5 samedi 27 novembre 2010, les titulaires du cours de salsa (option classes de 1ère) ont accompagné plusieurs élèves du groupe au Festival des Danses du Monde à Moutfort, organisé par Los Magos del Arte et El Ritmo Latino. Au programme: des ateliers de salsa et d’autres danses (kizomba, kuduro, samba ...) suivis de soirées salsa et de spectacles internationaux le vendredi et le samedi. Parmi les artistes invités pour animer des ateliers ou présenter des spectacles, il y avait des danseurs de renommée internationale comme Jacky Tabone, Yand Klaise, Melissa Fernández et Luis Vázquez. Spectacle de Flamenco Le 19 mai 2011, les élèves du cours d’espagnol des classes de 3ème A et 3ème option (toutes sections) ont participé à un spectacle d’introduction aux arts du flamenco par la troupe de Fran ESPINOSA au Centre Culturel Kulturfabrik Esch. Bericht von: Giulia, Annemie, Jill, Anita, Laure, Anne, Samuel, Lis und Max. Im ersten Trimester haben wir uns mit den Themen „regenerative Energien“, „Klimawandel“ und „Gentechnik“ beschäftigt. Wir haben uns in Gruppen aufgeteilt, um Referate vorzubereiten, die später in der Klasse vorgetragen wurden. Durch die Referate bekamen wir einen ersten Einblick in spannende und oftmals problematische Bereiche der modernen Welt. Um unsere Kenntnisse zu vertiefen, kamen im Rahmen des „Projet d’établissement - LGL en FRVscience“ drei Experten in unsere Klasse: Mit Claude Turmes haben wir über die Energiegewinnung in Europa geredet. Mit JeanFrançois Hausman vom „Institut Gabriel Lippman“ haben wir über Genetechnik debattiert und mit Joseph Rodesch, besser bekannt als „Mister Science“, vom „Fonds National de la Recherche“ haben wir Experimente zum Thema Klimawandel gemacht. Die Begegnungen mit den Experten haben uns sehr viel Spaß gemacht und wir haben viele Informationen bekommen, die bei der Vorbereitung unserer Gedichte nützlich waren. In der Klasse haben wir mit unserer Deutschlehrerin das Thema „ Poetry Slam“ vertieft und wir haben einen Einblick in diese Szene bekommen. In einem anschließenden Workshop mit Bas Böttcher haben wir Gedichte verfasst, Übungen zur Kreativitätsförderung gemacht und Bas hat 68 activités et projets the penalty. He has to find out who the offender is and if he isn’t careful enough he might condemn the wrong person. auch einige seiner Gedichte vor uns performt. Voller Tatendrang und von Bas Böttchers Werken inspiriert, haben wir uns an die Arbeit gemacht und unsere Ideen zu Papier gebracht. Die Endversionen unserer Gedichte haben wir auf große Plakate geschrieben, die wir liebevoll dekoriert haben und die vor der „Salle des Fêtes“ ausgestellt wurden. Das Fazit zu diesem Projekt ist, dass wir viel über moderne Formen des Dichtens gelernt haben. Es hat uns sehr viel Spaß bereitet, die Experten zu treffen und auch der Workshop mit Bas Böttcher sowie das Verfassen unserer eigenen Gedichte und die Vorbereitung der Ausstellung haben uns gut gefallen. English Crime Stories Extracts (5eM7) [...]The detectives stepped into the courtroom. You could see at first sight that one of them was a bit retarded and freaky. At the hearing, it all depends on the judge. Only he has the legal authorization to pronounce a judgement and to take the final decision. It’s only him who decides on ‘Let’s hear Mr. Lindenbough and Mr. Dumb’s statement. Mr. Dumb what did you find out?’ ‘Well, I’ve got the strong feeling that the victim cut herself open in that dark haunted house. If we consider that I’ve been studying psychology for over 4 years and that she was so desperate and unhappy, then it could have been only one person. She was the only one who had a reason to kill herself.’ The judge thought: Holy crap, if he continues talking gibberish, I will have to interrupt him and politely ask him to leave the courtroom, even if I would prefer to kick his bum. I have never heard such nonsense in my whole career. ‘So any more questions about Mr. Dumb’s evidence?’ the judge asked the public prosecutors. Actually Mr. Dumb wanted to continue talking about his theory, but finally the judge interrupted him by asking the public prosecutors a question, which showed that he obviously did not believe in the detective’s silly theory. He was a nutter. [...] Written by Tara-Lee Glode, Jil Reinardt, Pamela Hasanovic, Susy Schmit and Charel Heinen. Figur 1: Mr Dumb and Mr Lindenbough (illustrated by Charel Heinen) […] The game is over and two people are dead. Just one person had been hurt. Who committed these horrible murders? Nobody knows. It was a painful game this time, because I loved this dead boy. I know that I must leave the country. Staying in Edinburgh is too dangerous for me. After a while the police could suspect me. It was going to be a simple game, but John and Jamuna made it a little bit more difficult. I am smiling. They thought that I was stupid. Jamuna thought that she could talk me out of it and then I would let her go. Jamuna thought that she would stay alive. It isn’t a fairy tale. It’s real life with bad and good people in a world without fairies! I put some of John’s ash into my matchbox. I would keep it. ‘Miss, do you have any luggage?’ a man who controls the luggage asks me. I smile and answer: ‘No, I haven’t got any luggage.’ On the plane I take my seat. Next to me is a handsome guy. He smiles at me. ‘Have you read the newspaper? That is horrible!’ He is talking about the murders. Not about ordinary murders, but about my work. ‘They were my friends. I couldn’t stay in Edinburgh anymore because it’s too horrible!’ ‘I am so sorry for you.’ He smiles pathetically. The plane is in the air. I am going to fly to Spain. […] Written by Saba Bazazan, Naomi Lehnen, Sati Shivani and Jamuna Khatri. activités et projets 69 Depuis de nombreuses années, le LGL participe au concours MaachMat(h) destiné aux classes de septième et sixième de l’enseignement secondaire ainsi qu’aux cycles 3 et 4 de l’enseignement fondamental. Ce concours interclasses encourage les élèves à travailler en groupe. Dans leur démarche de résolution, les élèves s’exercent en mathématiques en résolvant des problèmes inédits et stimulants, apprennent les règles élémentaires d’un débat scientifique en discutant et en défendant les diverses solutions proposées, développent leurs capacités à travailler en équipe et assument l’entière responsabilité d’une épreuve. Aux professeurs, ce rallye fournit une excellente occasion d’observer leurs élèves en activité de résolution de problèmes et d’évaluer les stratégies et les capacités d’organisation et de collaboration des élèves. classe 6L1 (en bas) “le quotidien” du 1/7/2011 classe O3 (en haut) Contrairement aux autres concours proposés qui mettent l’accent sur la performance individuelle, les élèves doivent élaborer en groupe une réponse unique par problème. Les élèves décident en autonomie de la constitution des groupes. Chaque groupe rédige une solution des problèmes pour lesquels il est responsable. Les problèmes, au nombre de 7, sont choisis de telle façon que chaque élève, indépendamment de son niveau et de son bagage mathématique, puisse y apporter une contribution. Le travail en groupe est indispensable car la tâche est généralement trop complexe pour un seul élève, aussi bon soit-il. Les solutions sont prises en compte pour le classement de toute la classe. Mais il n’y a pas que l’exactitude de la réponse qui compte. Les solutions sont jugées aussi en fonction de la rigueur des démarches et de la clarté des explications fournies. De nombreuses classes de 7ème et 6ème du pays ont participé une nouvelle fois aux deux tours éliminatoires. Cette année, et cela est inédit, trois classes du LGL se sont qualifiées pour la finale : les classes O3 et 6L1 de M. Bremer et la classe 6LM2 de M. Klosen. Autre fait inédit : jamais auparavant une classe n’a été qualifiée deux années de suite pour la finale. Les élèves de la 6LM2 ont réussi l’exploit d’être en finale dans la catégorie des 6èmes après avoir remporté l’année passée la finale dans la catégorie des 7èmes. En finale, le 30 juin 2011, les classes O3 et 6L1 ont remporté le premier prix dans leur catégorie respective. Nous profitons de l’occasion pour féliciter une fois de plus nos élèves pour leur excellente performance. 70 La communauté scolaire C’est désormais une tradition bien implantée dans notre Lycée : le deuxième mercredi de janvier se tient l’épreuve éliminatoire de l’olympiade mathématique. Il s’agit de répondre au mieux à 30 questions, dont 25 à choix multiple. Chaque réponse correcte est créditée de 5 points, chaque abstention de 2 points, alors qu’une mauvaise réponse ne rapporte aucun point. Comme chaque année, une bonne centaine d’élèves du LGL ont participé à l’épreuve. Tous ont profité de l’occasion pour faire une autre mathématique que celle du quotidien scolaire. Leur motivation commune était le plaisir de faire des mathématiques, de calculer avec des nombres, de construire des figures, de lire des graphiques, de raisonner sur un problème, bref de travailler l’esprit. Dix de nos élèves se sont par la suite qualifiés pour la demi-finale le 2 mars 2011: Oliver NICK (O3) ; Pierre PIROTTE (6L1) ; Cédric QUINTUS (6LM2) ; Tara AGHAJANI et Philippe MARGUE (5L1) ; Charel THULL (4L1); Luis MUNOZ, Michel THULL, Joé BRENDEL et Bernard MAZOUIN (3B); Grégory CORDEIRO FONSECA, Daniel PUTH, Anne-Sophie WAGNER, Jasmine MOHTASHAMI et Laurent BINSFELD (2B); Ben MOLITOR, David BIRGET et Stéphane LENERT (1B) Ensemble avec 201 élèves des autres écoles du pays, ils ont donné de leur mieux en essayant de résoudre les 30 exercices proposés. Malheureusement la concurrence était très forte cette année. Aucun élève du LGL n’a pu participer finale du concours à Namur. Toutefois, cinq de nos élèves classés parmi les meilleurs de la demi-finale mais non qualifiés pour la finale ont été récompensés par une multitude de cadeaux remis lors d’une séance académique début juillet. Wasser für Mariam : auch kein Trinkwasser in der Umgebung der Schule zur Verfügung. Das Projekt « Wasser für In der Primärschule in Balandougou Mariam » bestand darin, dass die gibt es keinen Brunnen und es steht « Fondation Raoul Follereau Luxembourg » Spenden für einen Brunnen und eine Wasserpumpe sammelte indem sie Sparbüchsen für Kleingeld verteilte. Die drei Klassen O1, O3 und O5 haben sich an diesem Projekt mit viel Einsatz beteiligt. Der Tiefbrunnen wird errichtet werden und es werden weniger Menschen an unsauberem Wasser sterben. O1, O3, O5 Laure Wagner O1 activités et projets 71 Different point of view 4th of March, what an interesting day And all the curious students say, That it was a very instructive exhibition, And writing this poem is a funny mission . and white Colours floating in black tears Ships sinking in a mess of Shaking iron hands Rising in the dark L e S P O S e t s e s a c t i v i t é s Annual meeting for pupils continuing their education at a British university The annual meeting for pupils interested in continuing their education at a British university, and current-ly enrolled in IIe and IIIe at the LGL, was held on 17th June 2011. Mr Chris Pesch, president of The Society of Luxembourg Students in Britain (SLSB), who graduated from the University of Glasgow this summer, introduced prospective students to studying in the U.K. His highly informative talk about the enrolment procedure through UCAS and life as a student in Britain was followed by a lively Q&A session. Mr Pesch’s presentation was much appreciated by his audience. Simone Biewer R a l l y e c i t o y e n Le Rallye citoyen est un complément à l’éducation civique offerte à l’école et destiné aux élèves des classes supérieures. Cette année les organisateurs, dont le CIJ (Centre d’Information Jeunes) et le CGJL (Conférence Générale de la Jeunesse Luxembourgeoise a.s.b.l.), ont mis en place un parcours permettant aux élèves d’aborder des sujets en lien avec ‘nos libertés’. Les élèves de la 3eG ont participé au rallye pendant une journée. Il s’agit d’un circuit au cours duquel les jeunes ont eu accès à quelques institutions phares de la ville de Luxembourg, où s’exerce la démocratie. La découverte de ces institutions s’est faite en petits groupes de manière éducative et ludique. A chaque étape les élèves devaient faire face à différentes épreuves pour accumuler le plus de points possibles. Ces épreuves leur donnaient ainsi l’occasion d’accéder à différents organismes qui s’engagent pour le respect des Droits de l’Homme (p.ex. Centre Hamilius, Maison de l’Europe, Chambre des Députés, Villa Pauly, Centre d’Information Jeunes, Amnesty International). Ils ont alors pu rencontrer et s’échanger avec des personnes exerçant leur métier au sein même des établissements visités. Grâce à cette démarche interactive, ils ont abordé des notions telles que la démocratie, la citoyenneté, les Droits de l’Homme. Par le biais de jeux de rôle, quiz, énigmes, mises en situation et exposés, les élèves ont eu la possibilité d’élargir leur culture générale et surtout de réfléchir sur les conditions de vie et de liberté dans d’autres pays et sur leur propre condition de vie et de liberté. Ils ont été sensibilisés à la réalité nationale et internationale au moyen de ces rencontres et du parcours accompli pendant cette journée. 72 activités et projets Journée d’information sur les professions Ce projet s’adresse plus particulièrement aux élèves des classes de deuxième. Le terme de leurs études secondaires approchant, nombreux d’entre eux sont amenés à se poser des questions quant à l’avenir. Le choix de futures études commence à devenir une de leurs préoccupations majeures. Or, souvent les élèves connaissent peu le monde du travail et ils n’ont qu’une idée vague de ce qui pourrait les attendre dans tel ou tel métier. C’est une des raisons pour lesquelles le LGL s’est engagé, il y a une quinzaine d’années déjà, à faire connaître aux élèves ce monde du travail. Cette année, le SPOS a invité 35 professionnels qui sont venus présenter leur métier à un jeune public intéressé et motivé. Les différents professionnels ont été regroupés selon leur profession dans les ateliers suivants: • Architecture • Police • Assistance sociale et le métier d’éducateur gradué • Banque, Assurance, Révision d’entreprise et Comptabilité • Biologie et Chimie • Carrières du Droit • Ergothérapie, Diététique et Kinésithérapie • Economie et Managment • Les métiers d’Ingénieur et de Mathématicien • Journalisme • Médecine, Vétérinaire et Pharmacie • Profession d’enseignement secondaire, Carrières moyennes et supérieures de l’Etat • Psychologie • Publicité, Communication • Les métiers du théâtre • Enseignement fondamental Les intervenants ont présenté leur parcours individuel pendant une heure et demie, en faisant part de leur passion pour le métier, de leur motivation dans le choix de leurs études, ainsi que des avantages et des difficultés qu’ils rencontrent quotidiennement sur le terrain. Ils ont parfaitement réussi à susciter l’intérêt de leurs interlocuteurs et ils ont pu conclure leur intervention par un débat animé. Les échanges éducatifs et scolaires Découvrir des horizons inconnus, nouer de nouvelles relations, apprendre en vivant la langue du pays d’hôte …... . Les raisons des jeunes de plus en plus nombreux qui optent pour un séjour éducatif dans un pays étranger sont légion. Une des tâches du Spos consiste à aider ces jeunes et leurs parents à trouver la formule qui leur convient le mieux. En cas d’échanges scolaires et éducatifs, le Spos aide les adolescents dans leurs démarches et dans la préparation du volet scolaire de leur séjour. De plus, nous veillons avec l’ensemble de la communauté scolaire du LGL à garantir aux jeunes hôtes, qui viennent chez nous, un excellent accueil et un séjour réussi dans notre école. L’essentiel de nos activités tourne autour de deux programmes distincts. C’est d’abord le Programme Schuman qui offre à des élèves de 6es et de 5e l’opportunité de séjourner dans une région limitrophe pendant deux semaines en début d’année scolaire, sachant qu’ils accueilleront leur partenaire (allemand, belge ou français) ici au Luxembourg un bon mois plus tard. D’autre part, plusieurs de nos élèves ont séjourné au Canada soit pour un mois (août), soit pour onze semaines (en août, septembre et octobre). D’après leurs témoignages concordants ces expériences se sont révélées enrichissantes et valorisantes. Voici deux photos montrant Lisa Sedrani de la 3A et sa partenaire Marissa Bialowas au Canada et au Luxembourg. LGL - Gut und schnell “Es ist ein großes Ziel von mir, die jungen Leute zum Sport zu motivieren” erklärt Kevin Hartert, Sportlehrer im LGL seit 2001. Seit 1991 verfügt das LGL über einen großen Sportkomplex. Wo heute die zwei Sporthallen des LGL stehen, befanden sich vor den 90er Jahren die Ausstellungshallen des Limpertsberg. Neben diesen zwei Haupthallen existiert außerdem noch ein Fitnessraum in dem man mit verschiedenen Geräten arbeiten kann. Ein Fechtraum und eine Kletterwand sind ebenfalls vorhanden. In den zwei großen Sporthallen wird die nötige Ausrüstung zur Verfügung gestellt, um alle möglichen Sportarten auszuprobieren. Von Basketball, Fußball, Handball und Volleyball über Hockey, Badminton und Rugby kann man hier alles ausüben. Der Fechtsaal wird unter anderem für unterschiedliche Tanzkurse, wie Hip-Hop und Step, aber auch für Karate genutzt. Unter anderem bietet das LGL seinen Schülern auch außergewöhnlichere Sportarten wie Karate, Judo und Tschoukball an. Das Ziel besteht darin, die Jugendlichen, neben den traditionellen Sportarten auch für andere Disziplinen zu begeistern und ihnen die Gelegenheit zu bieten, diese näher kennenzulernen. Sportprofessorin Tamara Schuh, die selbst seit ihrem 4. Lebensjahr im Karate tätig ist, möchte den Schülern ihre Leidenschaft weitervermitteln und ihr Interesse an den Kampfsportarten wecken. Neben den obligatorischen Sportstunden gibt auf es auf 3e auch eine Sportoption, die sich intensiv mit Kampfsportarten beschäftigt. Ausgerüstet mit der passenden Kleidung und den vorgeschriebenen Verteidigungsschützern werden die Karateka in die waffenlosen Techniken eingeführt. Das Koordinations- und Reaktionsvermögen soll durch diese konzentrierten und dynamischen Bewegungen gestärkt werden. Dieses Angebot ermöglicht den Schülern Erfahrungen für ihre Zukunft zu sammeln und diese können sie in den angebotenen 1ère- und 2e-Sportoptionnen weiterverfolgen. Unter anderem bietet das LGL auch paraschulische Aktivitäten an und das Ziel besteht darin, vor allem jenen Schülern, die nicht in einem Sportverein sind, die Möglichkeit zu geben, sich zusätzlich zum Schulsport sportlich zu betätigen. Diese können sie dann außerhalb des obligatorischen Schulsports ausprobieren. Diese Aktivitäten er- 74 éducation physique et association sportive möglichen den Schülern, auch während der Prüfungszeit, wo sich viel Stress anhäuft, einen kühlen Kopf zu bewahren. Der Sport ist nach Meinung der Sportlehrer eine gute Therapie, um Stress abzubauen. Das LGL ermöglicht seinen Schülern ebenfalls einerseits als Klasse gegeneinander anzutreten und andererseits sich individuell oder im Team an anderen Schulen zu messen. Fußball und Federball sind die meist besuchten paraschulischen Aktivitäten. Viele Jugendliche sind weiterhin vom Fußball begeistert, weil es noch immer eine sehr attraktive und beliebte Sportart ist. Auch der Federball, der in diesen Sportstunden viel praktiziert wird, findet Anklang. Seit 1972 nimmt das LGL auch an internationalen Veranstaltungen teil. In diesem Jahr ist es den Basketballspielerinnen der Altersstufen von 14 bis 17 Jahren gelungen, sich gegen die nationale Konkurrenz durchzusetzen und sich für das “Tournoi Mondial ISF” in China zu qualifizieren. Diese Reise wird ein einmaliges und unvergessliches Erlebnis für die Spielerinnen werden und es bedeutet für die Sportlehrer auch viel Arbeit, denn es müssen Sponsoren gefunden werden, die die Reise nach China finanziell unterstützen. Insgesamt werden. 24 Mannschaften in der Stadt Zhangjiagang gegeneinander antreten. Das Niveau der Konkurrenz ist sehr hoch, daher erhofft sich Paul Hengesch, der die Mädchen begleitet, dass seine Mannschaft um die Plätze 16 bis 20 spielen kann und das LGL ehrenhaft verteidigen wird. Das LGL hat somit ein vielversprechendes und aufschlussreiches Sportangebot, das durch die dynamischen Sportlehrer noch verlockender ist. financement des frais de transport et d’équipement exigeaient la mise en œuvre de moyens financiers supplémentaires. Des demandes de sponsoring auprès de sociétés ont essentiellement abouti par des réponses positives. Les professeurs et les professeurs honoraires ainsi que les parents d’élèves du LGL ont, avec leurs dons, largement contribué à étoffer la caisse de voyage. Après une préparation sereine où notre équipe a essayé de peaufiner les systèmes de jeu et de travailler l’esprit d’équipe, le jour de départ était finalement arrivé. La délégation luxembourgeoise s’était fixée rendez-vous au Findel où après les adieux aux parents et amis, notre équipe a pris un vol pour Munich ensemble avec Wirion Pit Schuster Alexia Hauksson Hildur Santioni Linda C h a m p i o n n a t s mondiaux scolaires de basketball 23 avril au 1er mai 2011 Zhangjiagang (Chine) Après la victoire surprenante mais certes méritée de notre équipe sur le favori de la compétition le «SportLycée » en finale du championnat qualificatif pour les mondiaux scolaires de Basketball ISF (International Schoolsport Federation), nous étions assurés de nous rendre à Zhangjiagang, petite ville chinoise de quelques 1,3 millions d’habitants située au nord de Shanghai près de l’embouchure de la rivière Yangtsé. Si la qualification constituait notre premier obstacle, il nous restait un deuxième obstacle à franchir, à savoir réussir à financer notre aventure. Nous étions assurés de recevoir des aides financières de la LASEL et du Département Ministériel du Sport, mais le éducation physique et association sportive 75 l’équipe garçons du «SportLycée ». Après un vol Munich – Shanghai de 10 heures, un dernier transfert en bus de 2,5 heures nous attendait pour rallier notre destination finale Zhangjiagang. Dans le bus, nous avons fait la connaissance de nos guides qui étaient aux petits soins pour nous et qui nous donnaient déjà une idée de l’amabilité de nos hôtes. Le voyage en bus qui se déroulait presqu’exclusivement en milieu urbain, nous offrait un premier aperçu de la mégalopole Shanghai et dont nous voyions la « sky-line » en toile de fond. Il nous permettait également de constater que les infrastructures routières n’allaient pas de paire avec une conduite dans le sens d’un digne code de la route. Après quelques frayeurs, nous sommes finalement arrivés à l’hôtel, où après l’accréditation officielle et un premier repas, nous avons enfin pu regagner nos chambres et récupérer du long voyage. La première journée de compétition commençait à 9 heures du matin avec notre premier match de poule contre les Françaises. Après une défaite cuisante contre des joueuses techniquement et physiquement nettement supérieures, notre équipe avait pris bonne note de la qualité du tournoi où elle s’était engagé. S’ensuivaient des défaites contre l’équipe du Danemark et celle de l’Italie. Du fait que nous nous étions classés en dernière position du Groupe D, notre équipe se retrouvait en bas du tableau et concourait dans les 3 matchs de classement restants pour les places de 9 à 16. Si les équipes slovaques, israéliennes et irlandaises étaient à notre portée, nous nous sommes inclinés à chaque fois avec une différence de 7, 3 resp. de 4 points et ce toujours en fin de match où notre équipe payait le tribut d’un engagement physique soutenu. Nous nous sommes finalement classés à la 16e place sur 18 équipes. Omis la déception de la compétition, notre équipe a cependant pu vivre d’autres moments forts. C’est ainsi que nous avons pu assister lors de la cérémonie d’ouverture à un spectacle « à la chinoise » haut en couleurs et riche en spectacle. Des centaines d’artistes dont certains très jeunes et quelques centaines de figurants, nous ont enchantés pendant deux heures inoubliables. La journée culturelle nous a conduits le matin dans un camp de vacances dans l’estuaire du Yangtsé oû nous avons côtoyé des enfants chinois et pu les observer dans leurs activités. L’après-midi une visite d’un lycée était au programme. Accueillis par la fanfare du lycée, les élèves de la section internationale nous ont par la suite montré leurs installations en nous donnant parallèlement un aperçu du modèle d’enseignement chinois. Sur le terrain de sports, les élèves du lycée nous ont présenté un spectacle de chant, de danse moderne et folklorique et d’arts martiaux. Toute l’après-midi s’est déroulée dans un esprit chaleureux de rencontre entre jeunes occidentaux et orientaux. Malgré quelques déceptions au regard de nos résultats sportifs, notre séjour en Chine restera certainement gravé dans la mémoire de nos jeunes sportives et constituera certainement une étape inoubliable dans leur vie d’élève au LGL. Nos hôtes chinois n’y étaient certainement pas étrangers puisqu’ils ont su orchestrer cet événement à merveille et rendre notre séjour des plus agréables. La cordialité, l’amabilité et la gentillesse des Chinois et des Chinoises qui nous chaperonnaient n’y étaient certes pas étrangères. En fin de compte, il ne nous restait plus qu’à engager le voyage de retour, où après un périple de 23 heures entre l’hôtel et notre domicile, nous arrivions exténués mais contents de notre voyage et la tête pleine de souvenirs. Pierre Becker - Paul Hengesch 76 éducation physique et association sportive Les autres activités de l’association sportive Si la participation de notre équipe de basket-ball aux championnats mondiaux scolaires en Chine constituait l’activité- phare de l’année 2010-2011, nos élèves ont de nouveau été très nombreux à participer aux différentes activités de l’association sportive. Parmi les 521 élèves répertoriés, 255 ont participé aux championnats inter-classes, 293 ont suivi les entraînements hebdomadaires et 274 ont participé aux championnats Lasel. Les 557 participations à ces championnats et les 94 titres de champion Lasel ( remportés par 74 élèves) ont permis , cette année encore, au LGL de remporter le trophée de « Meilleure AS de la Lasel ». Journée des finales inter-classes Reste à signaler que le classement interne par points s’est soldé pour la première fois par un podium occupé par 3 filles. Michelle Slunecko, Zoé Weicherding et Claire Nilles ont ainsi pu emmener le groupe des 16 élèves les plus méritants au 16e stage sportif de fin d’année qui s’est déroulé cette année à Abtenau (A). éducation physique et association sportive 77 Remise des prix de l’association sportive La participation aux championnats LASEL Stage de ski 2011 La première semaine d’avril, 102 élèves (23 débutants) des classes de 5e ont participé au 11e stage de ski à La Plagne. Malgré un soleil presque trop généreux, les pistes étaient en bon état et nous ont permis de goûter au plaisir de la glisse. Comme tous les élèves avaient suivi une préparation spécifique pendant les cours d’éducation physique, ils ont pu profiter au maximum des 5 heures d’école de ski par jour. En soirée, des activités diverses leur ont permis de vivre d’agréables moments de convivialité. Le stage s’est conclu par la remise des carnets de niveaux de ski alpin de l’école de ski française certifiant l’apprentissage réalisé pendant le stage. 78 éducation physique et association sportive Sportswoch 2011 Afin de récompenser ses élèves les plus assidus et méritants, la section sportive du LGL a organisé son 16e stage sportif « multi-sports » qui s’est déroulé du 9 au 15 juillet 2011 à Abtenau en Autriche. Lors de cette semaine intitulée « Heavy water week » les sensations fortes étaient garanties. Les 16 élèves et leurs professeurs ont ainsi vécu des moments inoubliables lors de la pratique du tubing, du canyoning, du raft et de l’hydrospeed. 10ème Festival Olympique de la Jeunesse Européenne à Liberec(CZE) du 13 au 19 février 2011 Le Festival Olympique de la Jeunesse Européenne d`Hiver (FOJEH) est un grand événement, où se rencontrent les meilleurs jeunes sportifs (14 à 18 ans) des sports hivernaux, en tout 935 athlètes. Geoffrey Osch, étudiant du Lycée Classique Diekrich, et moi-même avons été sélectionnés par le COSL pour représenter le Luxembourg dans les disciplines de ski alpin. Le Festival a pour objectif entre autres de propager l`esprit olympique (fairplay, amitié, solidarité) parmi les jeunes athlètes. Le Festival a été inauguré par une impressionnante cérémonie d`ouverture, où la flamme olympique a été allumée. L`ambiance dans l`énorme stade de hockey était très émouvante, quelques milliers de spectateurs internationaux y assistaient. Entre les entraînements et les courses, nous sommes allés voir la Le plus important pour moi est d`avoir participé et d`avoir vécu une expérience inoubliable. finale du hockey sur glace entre la Russie et la Finlande, le saut à ski Je tiens à remercier particulièrement Mme Simon et M. Schroeder et le biathlon. pour leur soutien et leur encourageLe niveau des courses était très ment. élevé par le fait que chaque nation, Catherine Elvinger même les nations de ski comme l`Autriche et la Suisse, n`a pu sélecPlus d`informations : tionnerque ses 4 meilleures filles. www.eyowf2011.cz Sur 96 concurrentes, j`ai terminé 43e en slalom spécial et 54e en slalom géant. Les vainqueurs Charlotta Saefvenberg(SWE) et Eli Plut (SLO) ne fréquentent plus l`école, mais s`entraînent pour une carrière sportive professionnelle. Peut-être d`ici peu, je les suivrai à la télévision lors de la remise des prix des médailles olympiques. Je suis fière d`avoir participé à la même course qu`elles. avec notre projet d’établissement actuel, intitulé « FRV–Sciences ». FunRunVibration-Day Le projet communautaire est depuis toujours un des piliers importants du Lycée de Garçons de Luxembourg. Après quelques années sans engagement dans ce domaine, c’est lors du conseil d’éducation du premier trimestre, que l’idée de relancer un projet communautaire en le combinant à la fête scolaire, est née. La direction, à laquelle cette forme de soutien pour des œuvres caritatives est chère, a été enchantée par cette idée. Comme le nom l’indique, un projet communautaire se doit de mobiliser la communauté scolaire dans son ensemble ; c’est pourquoi un comité d’organisation avec des représentants de tous les partenaires s’est constitué. Des représentants du personnel technique et administratif, du comité des professeurs, du comité des élèves, du projet d’établissement ainsi que de la direction se sont réunis à plusieurs reprises pour discuter du déroulement de cette journée intitulée « FRV-Day », F comme Fun, R comme Run et V comme Vibrations. Ce titre a été choisi pour signaler le lien étroit Lors des différentes réunions, les grandes lignes de cette journée ont été fixées, à savoir : • la participation des élèves à des ateliers scientifiques en rapport avec le projet d’établissement et à diverses activités non scientifiques • un « Charity Run » pour collecter des fonds destinés à l’ONG « Aide à l’enfance de l’Inde » • la fête scolaire organisée par le comité des élèves Lors de nos réunions, nous avons décidé de soutenir l’ONG « Aide à l’enfance de l’Inde » et plus précisément le projet « Programme de renforcement de la position des femmes, avec une orientation vers la protection des enfants ». Les objectifs de ce projet sont de « rendre capables d’exercer leurs droits les enfants actuellement 80 engagement communautaire marginalisés et vulnérables en créant pour eux un environnement communautaire de support ». En plus ce projet nécessite un soutien pendant trois ans, ce qui nous incitera (en tout cas nous l’espérons) d’organiser d’autres événements qui permettront à notre communauté scolaire de soutenir ce projet spécifique du début à sa fin. étaient en rapport avec notre projet d’établissement et nous permettaient de sensibiliser les élèves pour ce projet et notamment les sciences. Les autres ateliers étaient d’ordre plus créatif et permettaient aux élèves par exemple de pratiquer la danse bollywoodienne, d’apprendre à faire la caricature, la calligraphie ... La journée FRV-Day a été un franc Pour le « Charity Run », un succès. Lors de la clôture, les certain nombre d’élèves d’une classe classes qui avaient couru le plus formaient une équipe, se de tours dans les différentes relayant à tour de rôle pour une catégories se sont vu offrir des sorte de marathon dans la cour du billets de cinéma. Il s’agit des LGL. Chaque élève a été invité à classes suivantes : chercher au préalable des sponsors qui s’engageaient à offrir un don • Catégories 7e -6e : 7O6 avec 81 forfaitaire, ou une somme tours déterminée pour chaque kilomètre • Catégorie 5e-4e : 4L1 avec 92 couru par le groupe de la classe. tours C’est avec un certain suspense que • Catégorie 3e-2e : 3EG avec 82 la communauté scolaire attend le tours résultat de la somme totale des fonds collectés pour l’ONG AEI. Retenons pour conclure que Comme le nombre de coureurs l’objectif du projet communautaire était limité, les élèves moins de réunir une majorité de personnes sportifs pouvaient s’inscrire dans de toute la communauté scolaire un des différents ateliers proposés autour d’une activité à caractère lors de cette journée. Un grand caritatif a bel et bien été réalisé et nombre d’ateliers, comme le Quiz nous espérons que ce sera le début scientifique ou les ateliers d’une tradition de longue durée. animés par nos professeurs de sciences ou de mathématiques, Marianne Thilges, André Michaux