Le Lévis généalogique - Centre de généalogie francophone d

Transcription

Le Lévis généalogique - Centre de généalogie francophone d
Le Lévis généalogique
Mesmoire garderay
SOCIÉTÉ DE GÉNÉALOGIE DE LÉVIS
Volume 11 no 1
Bulletin de l’Automne 2011
11 et 12 juin 2011
Mme Danielle Roy Marinelli, mairesse,
et le conseil d’administration
Nos Exposants
Le Lévis Généalogique
Le
Lévis
généalogique
Bulletin publié par la
Société de généalogie
de Lévis
Automne 2011
Conseil d’administration 2011-2012
Présidente
Vice-présidente
Trésorière
Secrétaire
Directrice
Note
adresse postale :
C.P. 50012
Lévis G6V 8T2
centre de recherche
6, rue Olympique
Centre Raymond-Blais
Lévis (secteur St-David)
Les personnes suivantes
ont collaboré à la
production de ce numéro
Danielle Aubert
Claudette Bouffard
Gilles Chamberland
Jacqueline Côté
Nicole Dumas
Pauline Dumont
André Garant
Lise Hébert
André Pageau
Jeanne Paquet
Jacques Plante
Danielle Aubert
Claudette Bouffard
Jeanne Paquet
Nicole Dumas
Lise Hébert
Les textes publiés dans
Le Lévis généalogique
n'engagent que la responsabilité de leur auteur.
Sommaire
Mot de la présidente
Bienvenue aux nouveaux membres
Hommage à des Lévisiennes d’influence
Des Filles du Roi dans mes ancêtres
Simone Côté
Info-généalogie
Les jouets du lévisien Albert Shaienks
Les trouvailles des membres
Vient de paraître
Conférences en bref
Les divers ateliers de généalogie
Nos recherches en généalogie
Bibliothèque
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Prochain bulletin
Le prochain bulletin
sera publié
en mai 2012
Date de tombée
Vos articles doivent
parvenir à la Société
au plus tard
le 1er avril 2012
sur média PC ou
par courriel si possible
La Société de généalogie de Lévis est membre de la
Fédération québécoise des sociétés de généalogie du Québec
Site internet : www.genealogie.org/club/sglevis
Courriel : [email protected]
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
Mot de la présidente
Les activités soulignant le 10e anniversaire de la Société de généalogie de Lévis se sont conclues
de très belle façon par la 1re exposition des travaux des membres de la Société tenue les 11 et
12 juin 2011. Une vingtaine de membres ont présenté avec brio les résultats de leurs recherches
et suscité l’intérêt des deux cent visiteurs grâce à l’originalité et la variété des objets exposés.
Tout comme mes collègues du conseil d’administration, je suis très fière du déroulement de
l’activité et de la qualité des présentations des membres.
Lors du vin d’honneur offert à cette occasion aux membres et à nos partenaires, il était important
pour moi de souligner la contribution de celles et ceux qui ont fait partie du conseil
d’administration au cours de ces dix ans et de remercier tout particulièrement mes prédécesseurs
à la présidence. L’implication de chaque bénévole assure le développement de notre société.
Cette exposition fut une expérience que je recommande à toutes les sociétés de généalogie; une
activité que nous prévoyons renouveler.
Bravo aux membres qui ont relevé le défi de faire connaître leur passion.
Danielle Aubert
Bienvenue aux nouveaux membres
Madeleine Marmet Boutin
Suzanne Richard
Hélène Lambert
Marie Roy
Eileen Lee
Jeanne Maltais
Marguerite Hallé Morissette
France Desjardins
Doris Labrecque
Claudette Labrie
Rémi Martineau
Johanne Thibault
Louise Marion
Gilles Blackburn
Yannick Bouchard
Maxime Pelletier
Pierre Gendreau
Louise Goupil
Guy Gagné
Jacqueline Labrecque
Claude Bourque
Daniel Bourque
3
Lévis
Québec
Saint-Nicolas
Lévis
Lévis
Lévis
Saint-Romuald
Lévis
Pintendre
Saint-Nicolas
Lévis
Lévis
Lévis
Lévis
Lévis
Lévis
Lévis
Lévis
Beauce
Lévis
Charny
St-Jean-Chrysostome
Le Lévis Généalogique
Automne 2011
HOMMAGE À DES LÉVISIENNES D’INFLUENCE
par Pauline Dumont
C’est le titre d’une brochure publiée dans le cadre des Célébrations Lévis 2011 qui soulignait le
375e anniversaire de la seigneurie de Lauzon, le 150e anniversaire de la ville de Lévis avant les
fusions et le 10e anniversaire de la nouvelle ville de Lévis.
L’organisme « Femmes d’influenceS » qui a pour but de promouvoir la place des femmes dans
tous les domaines, a eu l’idée de publier une brochure sur les femmes de Lévis, décédées et
vivantes, qui ont accompli avec passion diverses réalisations.
Cet organisme a eu vent du fait que je ramassais des textes, documents et photos sur les
Lévisiennes. Je me disais que ça servirait un jour. On a communiqué avec moi afin de savoir si
j’étais intéressée à me joindre à quelques femmes de cet organisme pour la publication d’une
brochure. J’ai alors écrit des textes avec photographies sur des femmes décédées avec les
documents que j’avais déjà et je suis allée rencontrer plusieurs femmes pour les interviewer. J’ai
écrit 37 des 80 textes de cette brochure.
Concernant les femmes décédées, j’ai dû demander l’autorisation des auteurs pour me servir
d’informations et de photographies déjà parues, ce qui m’a été accordé facilement.
J’ai beaucoup appris en visitant ces femmes au parcours passionnant. Les femmes visitées
étaient âgées de 75 à 90 ans. La plupart des gens dont moi-même pensaient que les femmes de
cette génération restaient à la maison pour élever leur famille ou prendre soin des parents. Celle
de 90 ans fut la première femme cadre dans une compagnie d’assurance et encore
aujourd’hui, continue à faire du bénévolat; une autre, octogénaire, a étudié le chant et le piano
classique et a obtenu son doctorat à la Sorbonne; une autre a fondé une maison pour les femmes
violentées; une infirmière retraitée écrit des volumes pour enfants afin de leur expliquer la maladie
dont ils sont atteints. Elle en est à son 41e volume et ils paraissent dans les hôpitaux d’autres
pays comme la France, la Belgique, la Martinique, etc. Une octogénaire a fondé les « Dames
auxiliaires de l’Hôtel-Dieu de Lévis » et elle joue encore ses 18 trous de golf. Une vendeuse à
l’emploi de RE/MAX a pris sa retraite à 76 ans.
Les visites faites à ces femmes m’ont réconciliée avec la vieillesse. Quand on a atteint la
soixantaine, on se demande comment on vieillira. Pour ma part, j’ai toujours dit que je ne voulais
pas vivre jusqu’à un âge avancé car je ne tiens pas à être dépendante de qui que ce soit mais en
voyant ces femmes, je me dis « Pourquoi pas moi ? ».
Note: La Société de généalogie de Lévis a collaboré à la publication de la brochure Hommage à des
Lévisiennes d’influence rendue public en octobre dernier. Le projet s’inscrivait dans le cadre Célébrations
Lévis 2011 et du 10e anniversaire de l'organisme Femmes d’influenceS, en collaboration avec le Conseil
du statut de la femme et la Société de généalogie de Lévis. Madame Pauline Dumont faisait partie du
comité organisateur. Elle était aussi responsable de la recherche et la rédaction d’une grande partie des
textes qui relatent les faits saillants de la vie de plus de 80 femmes qui, à différentes époques, se sont
illustrées dans leur communauté.
Un exemplaire est disponible au centre de recherche de la Société . Le document peut être aussi consulté
à l’adresse suivante : http://dl.dropbox.com/u/47826832/Brochure_Hommage.pdf.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
DES FILLES DU ROI DANS MES ANCÊTRES
par Jacques Plante
A la fin du mois de février 2011, j’étais bénévole au kiosque de l’Association des familles Plante
Inc. lors de l’événement annuel du Salon des familles souches tenu à Laurier Québec.
Notre kiosque était situé en face de celui des familles Belleau dit Larose. J’ai rencontré une
connaissance, Mme Irène Belleau qui a participé à la fondation de la Société d’histoire des Filles
du Roy. Madame Belleau projette d’écrire la biographie complète des quelques 800 femmes qui
ont émigré en Nouvelle-France de 1663 à 1673 dans le but de fonder un foyer. Ces
renseignements ont été publiés le 6 août 2010 dans le quotidien Le Soleil de Québec, sous la
plume de Marie-Josée Nantel et apparaissent aussi sur le site web mentionné plus bas.
Plusieurs articles ou volumes ont été écrits dont certains n’étaient pas très glorifiants pour ces
femmes qui ont quitté leur patrie pour s’aventurer dans un pays naissant; souvent, on décrivait ces
dames comme des filles de joie. J’ai mis la main sur le volume «Les Filles du Roi en Nouvelle-France» de
Sylvio Dumas qui se veut une étude historique; l’auteur s’est documenté et trace un tableau
beaucoup plus juste que celui des dénigreurs des filles du roi.
J’en arrive au titre de mon article. Étant donné que j’ai fait mon arbre généalogique en éventail,
j’ai décidé de savoir si des filles du roi faisaient partie de mes ancêtres. En consultant l’index du
livre cité ci-haut, j’ai trouvé 7 filles du roi qui apparaissent dans la dernière couronne de l’éventail.
Deux de celles-ci ont retenu mon attention parce que le lien entre elles et moi est très direct.
En prenant le patronyme Plante, nous sommes sept Plante en lignée directe, après Suzanne
Lefebvre qui, elle, descend de Marie Arcular, une fille du roi. Je suis à la 9 e génération à partir de
cette dernière.
Voici cette lignée :
Marie Arcular épouse de Claude Lefebvre
Suzanne Lefebvre et Jean Plante
Louis Plante et Marie-Josephe Bissonnet
François Plante et Françoise Laprise dit Dagneau
Pierre Plante et Agnès Blais
Pierre-Octave Plante et Marcelline Gosselin
Anselme Plante et Marie-Emma Gagné
Valère Plante et Simone Carrier
Jacques Plante
En prenant le patronyme Carrier, du nom de ma mère, six Carrier devancent ma mère en lignée
paternelle directe, après Jeanne Samson qui descend de Marie-Anne Métru. Je suis à la 10 e
génération en partant de Marie-Anne Métru, une fille du roi.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
Voici cette autre lignée :
Marie-Anne Métru épouse de Jacques Samson
Jeanne Samson et Jean Carrier
Jean Carrier et Marie-Louise Morin
Jean-Baptiste Carrier et Suzanne Duquet
Louis Carrier et Geneviève Huard
Louis Carrier et Adélaïde Bégin
Louis-Timolaüs Carrier et Marie-Camille Bégin
Timolaüs Carrier et Henriette Bégin
Simone Carrier et Valère Plante
Jacques Plante
Les autres filles du roi qui font partie de mon éventail généalogique à la dixième couronne sont :
Jeanne Anguille, Marthe Beauregard, Marie D’Allon, Marie Du Coudray et Marie-Charlotte Joly. Si
ces quelques noms vous sont connus, vous descendez d’une fille du roi.
J’avais déjà du sang amérindien dans les veines. J’ai maintenant de la parenté avec les filles du
roi.
Pour en savoir plus sur la Société d’histoire des Filles du Roy, vous pouvez consulter le site
lesfillesduroy-quebec.org.
NOS RECHERCHES EN GÉNÉALOGIE (suite de la page 15)
par Lise Hébert
ARTEFACTS
Les artéfacts prennent une place importante dans la généalogie. Ce sont des photos dont il faut
prendre soin d’identifier les sujets, ainsi que des découpures de journaux ou différents papiers
officiels ou non. Afin de s’assurer de leur conservation, il est recommandé un support « sans
acide » de qualité archivistique; de plus, il est préférable de les éloigner des variations de
température ou d’humidité extrêmes. Ce sont aussi des montres, lunettes, bijoux ou journaux
personnels qui peuvent être conservés dans des boîtiers protecteurs. Il est bon de classifier ces
objets et de les répertorier dans un fichier papier ou électronique.
À partir d’artéfacts, de récits, de documents ou de photos, il nous est permis de reconstituer notre
histoire de famille ou de la société par l’impact de ces gens dans leur communauté. Celle-ci peut
être élaborée sous forme de feuillets, de livres ou de fichiers .
Suite au prochain numéro
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
SIMONE CÔTÉ
Femme d’affaires et ancêtre d’une lignée remarquable
par Jacqueline Côté
Simone est la première fille de Jean Côté et d’Anne Martin. Elle est baptisée à Québec le 9
décembre 1637. Ses parrain et marraine sont Guillaume Hébert, fils de Louis et de Marie Rollet
et Simone d’Orville, épouse d’Adrien d’Abancourt dit La Caille (ce couple est arrivé à Québec en
1635, peut-être était-il sur le bateau qui a amené Jean Côté).
Les sœurs et frères de Simone sont : Louis - Élizabeth Langlois, fille de Noël et de Françoise
Garnier, Martin - Suzanne Pagé-Quercy, fille de Raymond et de Madeleine Bergeron, Mathieu Élizabeth Gravel, fille de Massé et de Marguerite Tavernier, Jean - Anne Couture, fille de
Guillaume et d’Anne Aymard. Puis, Jean et Geneviève Verdon, fille de Vincent et de Geneviève
Pelletier, Noël - Hélène Gratton, fille de Jean-Claude et de Marguerite Moncion, Marie et Louise Jean Grignon, fils d’Antoine et de Suzanne Huppé (Supet) de La Rochelle, France.
Au contrat de mariage de Simone et de Pierre Soumande, son père et sa mère « ceddent... au
futur espoux.. une maison scize à Quebecq joignant d’un costé les terres appartenantes a leglise
parochialle dudit Quebecq et dautre costé... a Martin Boutet la maison est prisée... a quatre cens
cinquante livres... Soumande a payé... trois cens livres et la somme de cens cinquante livres
restantes... a été délaissée...en faveur dudit mariage... » 15/11/1649 Audouart. La maison était
située à l’emplacement des actuelles rues du Trésor et Buade.
Âgée de onze ans et onze mois, Simone se marie, à Notre-Dame de Québec, le 16 novembre
1649. Pierre a vingt ans de plus qu’elle. À quatorze ans et quatre mois, elle accouche de son
premier enfant, douze autres suivront.
Elle est décédée entre le 2 mai 1687 (ce jour-là, elle signe un acte chez le notaire Basset de
Montréal) et le 22 janvier 1688, où l’acte du notaire Rageot fait état de la défunte Simone Côté.
SIMONE - FEMME D’AFFAIRES
Elle signe ses deux premiers actes en tant que procuratrice de son mari : un transport d’argent à
Bertrand de La Garenne, seigneur du fief de Lottainville, marchand, bourgeois de la ville de
Québec. 30/03/1674 Becquet, et une entente avec Nicolas Goulet de l’Île d’Orléans qui va
occuper la terre de son mari en échange d’argent, de blé et de pois. 10/02/1677 Rageot.
Quelques mois plus tard, elle procède avec sa fille Anne, pour le mari de cette dernière, François
Hazeur, à la vente d’une terre et habitation, sises à Charlesbourg, à Jacques Regnaud et Marie
Charrié, son épouse. 2/05/1677 Rageot.
Par la suite, c’est à Montréal que Simone agira comme procuratrice de François Hazeur dans
presque tous les contrats qui suivent. Dans l’obligation de Charles Testard. 21/04/1679 Maugue.
Puis, dans l’entente faite avec Charles d’Ailleboust et Catherine Le Gardeur pour la fourniture de
marchandises. 26/10/1679 Maugue. C’est elle aussi qui établit la convention, pour un congé de
traite aux Outaouais, avec Denis Turpin, Ignace Hébert et Nicolas Desroches. Permis donné par
Frontenac à Charles d’Ailleboust à François Hazeur. 17/04/1682 Maugue. Enfin, elle signe
l’engagement de Léger Hébert et Marguerite Gamelin de la seigneurie du Cap-de-la-Trinité.
23/12/1682 Maugue.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
En 1683, elle signe des congés de traite un premier avec Léger Hébert et ses associés : Ignace et
Louis Hébert, habitants du Cap-de-la-Trinité et Louis Le Cavelier demeurant à Montréal.
2/05/1683 Maugue. un deuxième avec Vital Oriol. 8/05/1683 Maugue. Lors de ces ententes, elle
avance l’argent et fournit les marchandises qui seront remboursées, pour une part, en peaux de
castor. Elle fera de même avec Lambert Leduc, Paul et Nicolas Desroches qui vont faire la traite
aux Outaouais. 18/04/1684 Maugue.
Dans l’acte qui suit, elle accepte pour François Hazeur, la vente d’un emplacement faite par Jean
et Nicolas Desroches de Montréal. 11/11/1684 Basset. Tandis que dans l’autre, c’est au nom de
Petit Marest, marchand de Québec, qu’elle signe le bail d’un logis, situé rue Saint-François à
Montréal avec Claude Robutel, sieur de Saint-André de l’île Saint-Paul. 19/01/1685 Bourgine.
Elle effectue, toujours pour le compte de son gendre Hazeur, la vente de deux congés de traite
avec le notaire Bourgine : l’un à Antoine Bazinet, Joseph Loisel et Pierre Lachapelle.
25/02/1685 Bourgine, l’autre à Pierre Poupart, Joseph Demers, habitants de Laprairie agissant
pour eux et pour Jacques Destaillis. 7/03/1685 Bourgine. C’est elle qui conclura le marché avec
André Forand de Laprairie et François Chesnier, charpentiers, pour la construction d’un comble
de maison. 7/07/1685 Bourgine.
À travers les affaires, la vie sociale continue et Simone est présente au contrat de mariage de
Paul Desroches, fils de Jean et de Françoise Godé et Suzanne Leduc, fille de Jean et elle assiste
au mariage de Jean et Suzanne Leduc qui épousent Marguerite et Paul Desroches aussi frère et
sœur. 31/10/1683 Maugue et le 22/11/1683 Maugue. Puis, elle est la marraine de Madeleine Guy,
fille de Jean, armurier et de Marie Cheurot à Notre-Dame-de-Montréal. Le parrain est Jean
Sébille, mari de Marie-Anne Hazeur, sœur de François. 7/11/1685.
Dans les quatre derniers actes qu’elle signera, Simone agira pour Hazeur. D’abord, dans
l’obligation de Gabriel Bérard dit Lespine et Jean Hayot, 8/06/1686 Bourgine puis, dans celle des
sieurs Pierre Perrotin et Antoine Bazinet dit Tourneblanche qui s’équipent pour la traite.
15/07/1686 Bourgine. Ensuite, elle fera des affaires avec Ignace Hébert et Jeanne Messier, sa
femme, de la seigneurie du Cap-Saint-Michel. 17/02/1687 Basset. Enfin, le dernier acte connu
avant sa mort sera l’obligation de Jean-Baptiste Legardeur de Repentigny, écuyer et de sa
femme, Marguerite Nicolet, de la seigneurie de Repentigny, 25/02/1687 Basset.
Simone Côté, issue d’une famille modeste, démontre une indépendance d’esprit particulière et
une autonomie certaine pour assumer le rôle de femme d’affaires au 17 e siècle. Oser être
procuratrice pour son mari ou pour son gendre à l’époque où les hommes, autorisaient la
présence des femmes lors d’un contrat chez le notaire ! Par cela même, elle se démarque quand
elle signe des actes avec les notaires Rageot, Becquet, Bourgine, Maugue et Basset.
PS : Plus tard, je vous présenterai certains de ses enfants.
(On peut se procurer le livre au coût de 30 $ en communiquant avec la Société de généalogie de Lévis qui
transmettra votre demande à l'auteur)
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Le Lévis Généalogique
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INFO-GÉNÉALOGIE
par Gilles Chamberland
Lors des rencontres mensuelles, Gilles partage ses trouvailles.
Voici en bref ses recommandations de lecture:
 Archives provinciales du Nouveau-Brunswick (archives-gnb.ca) pour repérer les actes
d'ancêtres ayant habité au N-B.
 Collections numériques, cartes et plans, intéressant pour situer une résidence. À consulter sur
le site de la Bibliothèque et archives nationale du Québec (Banq.qc.ca).
 Porter attention aux informations sur les polices d'assurance de vos ancêtres.
 Il existe une Société des Filles du Roi et des Soldats du Régiment de Carignan en Virginie,
É.U. (C. P. 220,144) et il est possible de se procurer des copies de leurs bulletins moyennant
des frais.
 Deux sites à consulter pour possiblement trouver le nom du navire sur lequel son ancêtre est
arrivé au pays à partir de la France: http://naviresnouvellefrance.com et http://
www.migrations.fr
 La liste complète des soldats de ce fameux régiment qui ont épousé une "Fille du Roi"
constitue la rubrique originale qu'on retrouve sur le site: http://www.fillesduroi.org
 Invitation à écouter les émissions radiophoniques "De remarquables oubliés" sur le site de
Radio-Canada.
Quelques ouvrages proposés pour éviter la monotonie lors de la rédaction:
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Le Dictionnaire des Cooccurrences de Jacques Beauchesne,
Le Dictionnaire des Cooccurrences de Beauchesne et filles,
Dictionnaire de l'Écriture Des mots aux idées de U. Lacroix,
Le Dictionnaire Plus, de l'idée aux mots de Sélection du Reader's Digest, publié en 2003
Bien Écrire et bien parler d'Arthur Masson,
Dictionnaire Analogique; des mots par les idées, des idées par les mots. Librairie Larousse.
Consulter aussi les dictionnaires des Synonymes.
Pour souligner l'importance des sources manuscrites, quelques sites proposés:
 www.ourroots.ca
 www.archive.org
 Consulter les diverses Archives départementales de France
Pour retrouver la signification de mots anciens:

Consulter http://gallica.bnf.fr, ainsi que le Dictionnaire de Furetière et le Dictionnaire de la
langue française par E. Littré.

À lire : Les filles du roi au XVIIe siècle par Yves Landry
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011

Autres sources de renseignements: les revues et magasines dont La revue française de
Généalogie (particulièrement le numéro 191 où il est fait mention des Filles du Roi et des
officiers et soldats du régiment de Carignan-Salières); la revue américaine Family Tree et la
revue canadienne Family Chronicle.

Ne pas oublier les revues et/ou bulletins des sociétés de généalogie (note: la Fédération a
récemment mis en place un index pour s'y retrouver).
À consulter: Index des revues
La Fédération québécoise des sociétés de généalogie vient de mettre à la disposition des
membres des sociétés un outil permettant d'effectuer une recherche par titre, auteur, sujet et nom
de la revue parmi plusieurs milliers d'articles. Pour consultation, on s'inscrit sur le site de la
Fédération : www.federationgenealogie.qc.ca
Les jouets du lévisien Albert Shaienks
par André Garant
À Lévis, Albert Shaienks (1884-1927) fait figure de pionnier dans le domaine de la fabrication de
jouets, particulièrement dans la production de jouets de bois : toupies, voiturettes diverses dont
des express, mobilier et véhicules de poupée, traîneaux, skis, etc. Les chevaux sur roulettes ou
patins ont fait sa renommée et ont été distribués à des milliers d'exemplaires un peu partout au
Québec.
Cette entreprise s'est fait connaître sous plusieurs raisons sociales: Shaienks & Frères, Shaienks
inc., la Cie manufacturière de Lévis, The Levis Manufacturing Co. et Canadian Woodworks.
La manufacture Shaienks ferme ses portes en 1927 suite au décès du fondateur.
Albert Shaienks (1884-1927) avait épousé en 1912 Lucie-Anna Lemieux (1892-1969), Il fut
inhumé à Notre-Dame-de-la-Victoire à Lévis. Il est le fils de Jean-Baptiste Shaienks (Léon
Shaienks et Marie Giroux) et de Marguerite Paquet (Jean Paquet et Marguerite Paré). Sa
demeure dite manoir de Lévis était située au coin de la Côte du passage et de la rue SaintGeorges et passa au feu dans les années 1960; pendant plusieurs années le Manoir Shaienks fut
l’endroit de prédilection pour les réceptions de mariage et autres.
À noter que les Shaienks, Zingue, Gingues, Chinc, Shink sont d’ascendance allemande.
Pour en savoir plus sur les jouets d'époque, on consulte Michel Lessard, Antiquités du Québec,
tome 2 : Vie sociale et culturelle, Montréal, Éditions de l'Homme, p. 110-112.
http://www.mcq.org/patrimoine/diffusion/bulletin/v1n8/v1n8p2.html
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
LES TROUVAILLES DES MEMBRES
par Danielle Aubert
En octobre dernier, nous recevions au Centre de recherche deux visiteurs du Massachusetts dont
les grands-parents avaient émigré aux États-Unis. Ils avaient fait le voyage au Québec
expressément à la recherche de leurs ancêtres et leur seule piste était le certificat de mariage de
leurs grands-parents qui s'étaient unis à l'église Notre-Dame-de-la-Victoire de Lévis. Il s'agissait
du couple Boucher et Anderson mariés en 1871.
Les premières vérifications devaient démontrer que BMS 2000 ne pouvait pas aider à retracer les
ascendants de ce couple.
La collaboration de tous les membres présents au centre fut remarquable. Jacques Plante
suggéra un lien acadien. C'est finalement Gisèle Caron qui fut la première à crier : Eureka! C’est
sur le site Généalogie du Québec et de l’Acadie (http://www.nosorigines.qc.ca) que Mme Caron a
trouvé les éléments nécessaires à nos visiteurs qui purent ainsi remonter leur arbre jusqu’à leurs
premiers ancêtres en Nouvelle-France.
Mme Caron recommande d’ailleurs la consultation de ce site, ce qu’elle fait régulièrement.
Mais, la collaboration des membres ne devait pas s’arrêter là; Lise Hébert les a aiguillés vers les
sites traitant des recensements canadiens ce qui leur permettra maintenant d’en connaître
davantage sur leurs ancêtres.
Bravo à celles et ceux qui ont participé à ce geste d’entraide; leur récompense fut certes le
sourire radieux de nos visiteurs.
Une autre trouvaille!
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
VIENT DE PARAÎTRE
Connaître ses origines est une richesse; partager ses connaissances constitue un trésor, un legs
aux générations futures. Le conseil d’administration encourage ses membres à publier les
résultats de leurs recherches qui peuvent prendre diverses formes.
Félicitations à Pauline Dumont, Louis Blanchet et Jean-Paul Marquis pour la publication de leur
récent ouvrage.
Une lignée des descendants de Louis
Bégin par Pauline Dumont.
Il s’agit d’un 2e ouvrage. L’auteur ayant
publié précédemment la généalogie de
sa lignée des Dumont.
Arbre généalogique
de la famille de Louise Gagné-Blanchet (1912-1982)
et de René Blanchet (1908-1991)
par Louis Blanchet.
Généalogie ascendante
de Jean-Paul Marquis,
par Jean-Paul Marquis.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
CONFÉRENCES EN BREF
10 mai 2011 - Propriété, peuplement et développement de la seigneurie de Lauzon sous le
Régime français
par Alain Laberge, professeur d’histoire,
Département d’histoire, Université Laval
Pour souligner nos dix ans de fondation, nous avions le plaisir d'accueillir les membres de la
Société d’histoire régionale de Lévis. Son président, M. Claude Genest félicita la Société pour
ses dix ans.
Les membres des deux sociétés ont pu entendre le professeur Alain Laberge exposer les
caractéristiques spécifiques au peuplement de la seigneurie de Lauzon sous le Régime français.
On retiendra de ses propos que la seigneurie de Lauzon était l'une des plus grandes de la
Nouvelle-France. Par ailleurs, son développement fut plus lent car il était hasardeux de s'établir
au sud du fleuve compte tenu de la menace iroquoise. Le conférencier présenta quelques
personnalités qui ont marqué l'histoire, dont Jean Lauzon et Étienne Charest.
13 septembre 2011 - Les cimetières nous parlent
par Jean Simard
Le conférencier nous fait connaître l’évolution des pratiques d’embaumement et de dispositions
des corps au cours des siècles. D'abord situés autour des églises, les cimetières ont
graduellement été relocalisés en périphérie par souci de santé publique en lien avec les risques
de contagion des maladies. L'enterrement se faisait généralement dans des fosses communes.
Les stèles personnalisées au nom des défunts seraient apparues tardivement dans l'histoire des
civilisations. M. Simard agrémenta sa présentation de photos illustrant les beautés de certains
cimetières dont plusieurs au Québec.
11 octobre 2011 - Musée de la Mémoire Vivante
par Jean-Louis Chouinard
La conférence a permis de connaître comment la communauté de Saint-Jean-Port-Joli a réussi à
implanter ce musée qui se distingue par sa mission de préservation du patrimoine immatériel. Fait
intéressant, l’édifice du musée est une reproduction du manoir de Philippe Aubert de Gaspé sur le
site même de la seigneurie. M. Chouinard souligne que dans ce lieu, les objets présentés sont
des déclencheurs de mémoire. Ce sont les témoignages qui font la particularité du musée. Il
invite les personnes qui le souhaitent à communiquer avec le musée pour enregistrer leurs
souvenirs d'enfance, parler de leur métier ou de tout autre élément qu'ils désirent partager.
Pour plus d'informations, on consulte leur site www.memoirevivante.org.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
8 novembre 2011 - À la découverte du Fort no 3 à Lévis
par Pierre Cloutier
de Parcs Canada
Lors de notre rencontre mensuelle du 8 novembre, l’archéologue Pierre Cloutier, de Parcs
Canada est venu nous entretenir du Fort no 3, de Lévis, tout en profitant de l’occasion pour nous
parler aussi du no 1, toujours exploité par Parcs Canada dans le secteur Lauzon et du no 2,
disparu de la vue de tous mais toujours, au moins partiellement, enfoui sous les terrains de
Desjardins Assurances Générales, boulevard de la Rive-Sud.
M. Cloutier débute sa présentation en relatant l’historique des fortifications dans la région. Il
explique que l’amélioration balistique avait amené les autorités à opter pour une fortification
différente de celle de la Citadelle de Québec, les trois forts étant situés sur des promontoires et
pouvant se protéger l’un l’autre.
Le conférencier relate ce qui est advenu de chacun des forts et illustre ses propos par la
présentation de photos d’époque.
Si le fort no 1 est le seul accessible aux visiteurs, des recherches archéologiques menées en
2002 sur le site du fort no 3 laissaient voir le potentiel de mise en valeur du site puisque des
vestiges furent retrouvés en bon état. Cependant, depuis lors, les lieux ont été laissés sans
surveillance ni entretien et la fortification historique se dégrade rapidement et laisse présager
d’une incapacité de retour en arrière pour une conservation et un usage historique et
pédagogique.
Pour ceux et celles qui sont familiers avec Lévis, précisons que le Fort no 3 est situé là où une
usine de béton préparé (Ready-Mix) fut opérée jusqu’à il y a quelques années, dans le secteur
Saint-David entre la rue Saint-Georges et le Boulevard-de-la-Rive-Sud.
Les divers ateliers de généalogie
Initiation à la généalogie
Cet atelier vous introduit dans l’univers de la généalogie en offrant un tour d’horizon des diverses
avenues qu’offrent la recherche et montre jusqu’où la généalogie peut vous mener. Vous
apprendrez à utiliser divers outils pour la compilation d’informations, ainsi que quelques trucs de
bases. Maximum 5 personnes, durée : 2 h 30.
Informatique : banques de données ( à venir en 2012 )
Cet atelier démystifiera quelques banques de données les plus utilisées pour la recherche
d’information sur les baptêmes, mariages et sépultures, telles que BMS et PRDH.
Trucs, astuces et pratique à l’ordinateur. Maximum 4 personnes, durée : 3 h
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
NOS RECHERCHES EN GÉNÉALOGIE (suite du printemps 2011)
par Lise Hébert
TYPES DE TABLEAUX
Afin de permettre une lecture compréhensible du résultat de nos recherches, l’ensemble de
l’information est généralement structuré sous forme de tableaux. Le modèle utilisé sera en
fonction de la quantité de données à présenter et le public visé. Ainsi, une simple présentation
d’une lignée peut se lister sur une page. La lignée paternelle aussi appelé filiation agnatique, est
le résultat de la recherche par patronyme (nom de famille du père). La lignée maternelle ou
filiation utérine est le résultat de la recherche des mères par leur nom de famille à la naissance.
La présentation de la lignée paternelle de deux conjoints peut se faire dans une présentation plus
officielle tel que le « Titre d’ascendance ». On retrouve sur deux colonnes les noms de leurs
ascendants paternels accompagnés de celui de leur conjointe ainsi que la date et le lieu de leur
mariage. En tête de liste, on retrouve le premier immigrant de la lignée qui est arrivé au pays. On
mentionne au bas de ce document le nom de la personne qui a effectué le travail de recherche
ainsi que la date de production. Ce type de présentation peut également être composé de
signatures ou de photos.
Il existe d’autres modèles de présentation comme la « roue de paon » aussi appelé éventail et qui
se retrouve en feuille pré imprimée. La transcription manuscrite d’informations simule des
branches et donne à l’ensemble l’apparence d’un arbre. Enfin, des logiciels de base de données
personnelles offrent aussi la possibilité de concevoir différents styles de tableaux dont le celui de
Stradonitz ou d’autres configurations selon les méthodes d’Abolville (chiffre) et de Pelissier
(lettre).
COMPOSITION DES FAMILLES
Jusqu’à maintenant nous avons élaboré des recherches ascendantes, c'est-à-dire celles
permettant de retracer les ancêtres. La généalogie descendante consiste dans l’étude de la
composition des familles et nous amène à recenser les enfants à partir d’un couple. Les
informations recueillies sont aussi organisées sous forme de tableaux et permettent d’avoir une
vue d’ensemble de la cellule familiale, de la place de l’ancêtre au sein de celle-ci et des liens de
parenté qui peuvent se tisser à travers les générations.
« La fiche de famille » est un modèle de compilation élaboré pour ce type de recherches : pour
chaque couple on retrace les détails de naissance/baptême, de mariage et de sépulture auquel
on associe les enfants incluant aussi les mêmes informations pour ces derniers. Cette synthèse
de l’information permet de confirmer des faits tel que naissance de jumeaux, des mort-nés, des
mariages double au sein de la fratrie et à l’occasion, bien d’autres surprises.
Suite à la page 6
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
BIBLIOTHÈQUE
Achats de volumes
Patrimoine et Histoire de chez nous. Montmagny, capitale de l’oie blanche. Édition La Plumed’Oie.
Noms et lieux du Québec. Dictionnaire illustré. Commission de toponymie du Québec.
Les noms de famille et leurs secrets. Jean-Louis Beaucarnot. Éd. Robert Laffont.
Histoire et généalogie des Acadiens. Tome 1 à 6. Bona Arsenault. Éd. Leméac.
Les registres de Maria 1860-1960. Bona Arsenault. CHAU-TV Baie des Chaleurs.
Dons
De Irène Belleau
Alvin Ashuapmouchouan Baker 1889-1961 et Juliette Cauchon 1891-1956 et Lucienne Hamel
1903-1976. Irène Belleau.
De Louis Blanchet
Arbre généalogique de la famille de Louise Gagné-Blanchet (1912-1982) et de René Blanchet
(1908-1991).
De Lucie Morisset
« L’histoire qui est mienne deviendra vôtre... » Françoise Bolduc-Dussault.
De Diane Robertson
Depuis le Vieux chemin. Témoignage de Germaine Tardif Métivier Labrie.
De la Société de généalogie de Québec
Cinquante ans de recherche et d’action. 1961-2011 Livre souvenir.
De Raymond Roy
Paul-René Binet, sa vie, son époque. Réjean Binet.
Notes historiques sur la paroisse de Saint-Thomas de Montmagny. L’Abbé F.E.J. Casault (1906).
Cinq générations de Tessier marchands généraux à Saint-Casimir 1840-1990. G.-Robert Tessier.
100 ans d’histoire 1890-1990. Rivière-à-Pierre, Cté Portneuf.
Mont-Joli : Histoire et illustrations de son premier cent ans (1880-1980).
Honguedo ou l’histoire des premiers Gaspésiens. Jacques et Maryvonne Crevel.
La parlure acadienne. Lorenzo Proteau.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
Un pays à bâtir Saint-Urbain-en-Charlevoix. Raynold Tremblay.
Histoire du Saguenay. Depuis les origines jusqu’à 1870. Victor Tremblay, p.d.
L’ermite Arthur Paré. Pierrette Paré.
Causes célèbres du Québec. Les grands procès de l’histoire du Québec. Dollard Dansereau.
Jusqu’à La Rochelière. Richard Lassonde.
À petits pas notre histoire. Christiane Laforge, Mona Gauthier Cano.
Bernier capitaine à 17 ans. Gilberte Tremblay.
Souvenirs de Saint-Denis. Maurice Malette.
Mon lac se raconte… Lac Beauport. André Duval.
Grand-maman raconte La Grosse Ile. Jeannette Vekeman Masson.
Le Pays du Lac-Saint-Jean. Russel Bouchard.
Natashquan. Un regard sur le passé. Corporation de développement touristique de Natashquan.
Antoine Leduc et les descendants de son fils.
Le livre des Mathieu du monde entier.
Les divers ateliers de généalogie (suite)
Informatique : les registres - baptêmes, mariages et sépultures (à venir en 2012 )
Cet atelier vous guidera dans l’utilisation des registres informatisés utilisés pour la recherche
d’images d’actes officiels de baptêmes, mariages et sépultures que sont Ancestry et Family
Search.
Trucs, astuces et pratique à l’ordinateur. Maximum 4 personnes, durée : 3 h
Informatique : BK6
Cet atelier vous guidera dans l’apprentissage du logiciel BK6 afin de vous permettre de créer une
base de données généalogique.
Trucs pour la saisie et la présentation de rapports. Durée: 2 séances de 1 h 30 chacune.
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Le Lévis Généalogique
Automne 2011
Le conseil d’administration
Vous souhaite
Que le temps des réjouissances
soit rempli de joie
de bonheur et de santé.
Joyeux Noël!
Et
Heureuse Année!
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