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PM #40065075
Marché Bonsecours © Tourism Québec
Editor
Craig Kelman
Art Production
Jackie Vitug
Advertising Sales
Diane Rupert
Publications Mail Agreement #40065075
Return undeliverable Canadian addresses to:
Canadian Association of University Business Officers
320-350 Albert Street, Ottawa, ON K1R 1B1
email: [email protected]
12
Published four times a year on behalf of
the Canadian Association of University
Business Officers (CAUBO) by
Publié quatre fois par année pour
l’Association canadienne du personnel
administratif universitaire (ACPAU) par
Third Floor - 2020 Portage Avenue
Winnipeg, Manitoba R3J 0K4
Tel: 866-985-9780
Fax: 866-985-9799
www.kelman.ca
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Canadian Association of University
Business Officers
Association canadienne du personnel
administratif universitaire
320 – 350 rue Albert Street
Ottawa, Ontario K1R 1B1
Tel./Tél.: (613) 563-3961 ext. 270
Fax/Téléc.: (613) 563-7739
[email protected]/[email protected]
Executive Director/Directrice générale
Carole Workman
Editorial Board/Comité de rédaction
Chair/Président: Lawrence Durling,
St. Thomas University
Members/Membres:
Pat Hibbitts,
Simon Fraser University
Lucie Mercier-Gauthier,
University of Ottawa
Sharon Cochran,
University of Northern BC
The views expressed in this publication are
the responsibility of the publisher and do not
necessarily reflect the views of the officers or
members of the Canadian Association of University
Business Officers.
Les opinions exorimées dans cette publication
sont la responsabilité de l’éditeur et ne reflètent
pas nécessairement celles des dirigeants ou des
membres de l’Association canadienne du personnel
administratif universitaire.
Features
Articles
VOLUME 14 • NUMBER 2
VOLUME 14 • NUMÉRO 2
23
31
23 Embracing cultural diversity at
Canadian universities
Welcome/Bienvenue
31 CAUBO Conference
Montréal, Québec
June 17-20, 2006
60 Congrès de l’ACPAU
Montréal, Québec
Du 17 au 20 juin 2006
Departments
Chroniques
6 Executive
Director’s Message
•Message du
directeur général
9 People Moves
•En mouvement
10 Meet our Volunteers
•Rencontrez
nos bénévoles
12 CAUBO National
Committees
•Les comités nationaux de l’ACPAU
14 Risk Management
16 Legally Speaking
18 Human Resources
20 Publication Review
Executive Director's Message
Conference has broad appeal
Canadian Association
of University Business Officers
Association canadienne du
personnel administratif universitaire
Board of Directors
Conseil d'administration
Nancy Walker
President/Présidente
The University of Lethbridge
(403) 328-2207 Fax/Téléc. 329-2097
[email protected]
Larry English
Past-President/Président sortant
Concordia University
(514) 848-2424 x310 Fax/Téléc. 848-4586
[email protected]
Sheila Brown
Vice-President/Vice-président
University of Toronto
(416) 978-2065 Fax/Téléc. 978-5572
[email protected]
Gabrielle Morrison
Secretary-Treasurer/Secrétaire-trésorière
Saint Mary’s University
(902) 420-5409 Fax/Téléc. 420-5566
[email protected]
Carole Workman
Executive Director/Directrice générale
(613) 563-3961, ext. 268
Fax/Téléc. 563-7739
[email protected]/[email protected]
Gary Brewer
York University
(416) 736-5160 Fax/Téléc. 736-5421
[email protected]
Lawrence Durling
St. Thomas University
(506) 452-0533 Fax/Téléc. 452-0546
[email protected]
Eric Harbottle
University of Windsor
(519) 253-3000 x2641 Fax/Téléc. 971-3619
[email protected]
Patricia Hibbitts
Simon Fraser University
(604) 291-3381 Fax/Téléc. 291-4009
[email protected]
Bryan Mason
Dalhousie University
(902) 494-3862 Fax/Télec. 494-2022
[email protected]
Michael W. McAdam
University of Calgary
(403) 220-7231 Fax/Téléc. 289-6800
[email protected]
André Racette
Université de Montréal
(514) 343-7153 Fax/Téléc. 343-2282
[email protected]
Morty Yalovsky
McGill University
(514) 398-6037 Fax/Téléc. 398-5902
[email protected]
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Message de la directrice générale
Un congrès qui en ratisse large
‘The World Around Us’ is the theme for this
« Au rythme du monde », voilà le thème retenu
year’s annual conference. Technology and freer
pour le congrès de cette année. La technologie et
trade policies of the last decade have contributed
les politiques de libéralisation du commerce qui
to a more rapid flow of information and greater
ont caractérisé la dernière décennie ont contribué
sharing of innovation in business and manageà l’accélération des échanges d’information et à
ment practices. This has led to an expectation
un plus grand partage des innovations dans les
that managers will have a greater
pratiques commerciales et les pratiques
awareness of the world around them
de gestion. Dès lors, on s’est attendu à
when planning, managing and leadce que les gestionnaires aient une coning their organizations.
science accrue du monde qui les entoure,
qui se refléterait dans leur planification
In recent years, the annual
ainsi que dans leur façon de gérer et
CAUBO conference has broadened
d’orienter leur organisation.
its coverage of topics to provide
Au cours des dernières années, le
managers in universities with an
congrès annuel de l’ACPAU a élargi ses
opportunity to consider issues
horizons afin de couvrir des sujets qui
from a variety of perspectives. In
donneraient aux gestionnaires du milieu
addition to knowledge of their
own respective fields of expertise,
universitaire l’occasion d’aborder des
university managers today need a
enjeux selon des perspectives diverses.
Carole Workman
good understanding of other fields
En plus de bien connaître leur domaine
of management such as sustainability, accountd’expertise, les administrateurs universitaires doivent
ability, and enterprise risks. They also need
aujourd’hui bien comprendre d’autres domaines de
to be aware of the many challenges faced by
gestion tels que la durabilité, la reddition de compte
universities in Canada and abroad in order to
et les risques d’entreprise. Ils doivent également être
conscients des nombreux défis qui se posent aux
more effectively contribute to the overall objecuniversités, au Canada et ailleurs dans le monde, afin
tives of their own institutions. The organizers
de contribuer plus efficacement aux objectifs globaux
of the conference strive to provide this global
de leur propre établissement. Les organisateurs du
and general management perspective.
congrès s’efforcent de présenter cette perspective de
At the June conference in Montreal, you will
gestion générale dans un contexte mondial.
have the opportunity to gain an international
Au congrès de juin, qui se déroulera à Montréal,
perspective on a number of university issues.
vous aurez un tour d’horizon international de divers
For example, Bernard Hugonnier, Deputyenjeux intéressant les universités. Par exemple, BerDirector of the Directorate for Education in the
nard Hugonnier, directeur adjoint de la direction
Organisation for Economic Co-operation and
de l’éducation de l’Organisation de coopération et
Development (OECD), will share his views on
de développement économiques (OCDE), donnera
the future of post-secondary education. Henry
son point de vue quant à l’avenir de l’enseignement
Mintzberg, professor at McGill University, will
post-secondaire. Henry Mintzberg, professeur à
address the issue of leadership in universities;
l’Université McGill, traitera du leadership dans les
Kyle Cavanaugh, University of Florida, will
universités. Kyle Cavanaugh, de l’Université de
describe his experience in disaster planning;
la Floride, décrira son expérience en planification
and our own John Metras, University of British Columbia, and Michel Rose, Université
antisinistre et nos Canadiens John Metras (University
de Montréal, will discuss the challenges of
of British Columbia) et Michel Rose (Université de
Montréal) décriront les défis liés aux bâtiments LEED
LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) buildings. We encourage you to
(Leadership in Energy and Environmental Design).
invite colleagues who might not have attended
Nous vous encourageons à inviter vos collègues qui
CAUBO in the past to join us.
ne connaîtraient pas déjà le congrès de l’ACPAU à se
CAUBO is not in competition with conjoindre à nous. Ce congrès n’entre pas en concurrence
ferences that specialize in particular fields of
avec d’autres congrès spécialisés dans des domaines
university management. The CAUBO conferprécis de gestion universitaire, il couvre sciemment
un large spectre afin de donner aux participants
ence is intentionally broad in content to give
l’occasion d’entendre parler de nombreux dossiers
individuals the opportunity to hear about many
différents et de tisser des liens avec des collègues
different types of issues and to network with
provenant de divers domaines de gestion.
individuals from across management sectors. Montréal est un lieu qui sied bien au thème
Montreal is particularly well suited for this
international de cette année; en effet, cette ville se
year’s international theme as it ranks among
classe parmi les plus grandes et les plus cosmopolites
the world’s largest and most cosmopolitan
du monde. Bonifiez votre apprentissage en vous
cities. Round off your learning experience with
offrant une promenade dans le Vieux-Montréal ou
a stroll through Old Montreal, or a visit to La
en visitant la Place des Arts ou le Jardin botanique.
Place des Arts or the Botanical Gardens. Culture
La culture et l’histoire sont omniprésentes! Au plaisir
and history abound! We look forward to seeing
de vous accueillir bientôt.
you in Montreal.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
People Moves
En mouvement
New appointments/Nominations
People Moves
Gilles Bourgeois, Interim Director, Academic and Employee Relations, Human
Resources, Concordia University
Lisa Hollett, Director of the Department
of Human Resources, Memorial University
Anne-Marie Lamarche, Directrice du
Service de placement à l’Université Laval
Sylvia White, Director Financial Services, Brescia University College
Tim Segger, Vice-President, Administration, University College of the Fraser
Valley
Retired/Retraite
Effective December 31, 2005, Barry
Bompas, Vice-President, Administration,
has retired from University College of
the Fraser Valley. Good luck and enjoy
your well-deserved retirement.
New CAUBO Committee Members/
Nouveaux membres de comités de l’ACPAU
NATIONAL PROCUREMENT
COMMITTEE/COMITÉ NATIONAL
DES APPROVISIONNEMENTS
Denis Bussières, Adjoint à la directrice
des Finances, École Polytechnique de
Montréal
HUMAN RESOURCES COMMITTEE/
COMITÉ DES RESSOURCES
HUMAINES
Terry Voss, Executive Director, Human
Resources, University of Manitoba
Don MacDonald, Associate Vice-President, (Human Resources & Administration) The University of Lethbridge
In future issues of
University Manager we will
be announcing changes in
the administrative positions
of CAUBO members.
Please send information
regarding appointments,
retirements, etc.
to the CAUBO office.
En mouvement
Nous annoncerons dans les
prochains numéros de Gestion
Universitaire les changements
aux fonctions administratives
des membres de l’ACPAU.
Veuillez faire parvenir toute
information sur les nominations,
les retraites, etc.
au bureau de l’ACPAU.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Meet our Volunteers
Matthew Nowakowski
M
atthew Nowakowski sees volunteering with
CAUBO as a way to contribute to advancing the
post-secondary education sector while gaining
a deeper understanding of the context in which
he works. “I am happy to help CAUBO,” he says. “At
the same time, I am helping both McGill and myself.
I have better tools to perform my work. So everybody
wins.” Before becoming Controller at McGill University in
2002, Matthew was Director of Finance in a mid-sized advertising agency in Montreal. “I was looking to work in a larger and
more complex organization,” he explains. Shortly after starting
at McGill, he joined CAUBO’s Financial Reporting Committee.
Recently, he was appointed to The Canadian Institute of Chartered
Accountant’s (CICA) Not-For-Profit Organizations Advisory
Committee. He notes that anyone worried about the time commitment
involved with volunteering should know that most committees
are very sensitive to members’ work schedules. In Quebec, he
adds, university business officers may feel that the Conference des
recteurs et des principaux des universités du Quebec (CREPUQ)
serves all their interests. “Local organizations serve an important
purpose, and CREPUQ is very effective in representing Quebec
universities. However, each of these organizations provides a
different perspective and level of service to their members,” says
Matthew, who is planning to attend this year’s National Association of College and University Business Officers (NACUBO)
higher education accounting conference in the US. “The larger the
perspective you can gain, the better.”
Andre Racette
“W
hat is interesting about participating in
CAUBO is developing contacts and getting a feel for what’s going on around the
country,” says Andre Racette, Director of
Finance at the Université de Montreal. Having an appreciation for the different challenges that universities face
from one province to the next can lead to fresh approaches
at one’s own institution.
“This vantage point also gives me an edge in discussions with public servants and officials at the negotiating table,”
says Andre, who joined the university’s research centre in 1972
after working as an auditor with Coopers-Lybrand in Montreal.
He held various positions in the Faculty of Continuing Education
before moving to Finance, first as Director of Budgets, then as Chief
Accountant.
Andre has been on the CAUBO board for four years and has sat
on both the Tax Committee and the Treasury Committee. He has
also served several terms as the president of CREPUQ’s Finance
Managers Committee. This year, Andre is the Committee Chair for
the 2006 CAUBO Conference in Montreal. “All plenary speakers
will be presenting in both French and English,” he notes, adding
that one of every set of breakout sessions will be held entirely in
French. We are hoping for considerable representation from the
Quebec universities.”
10
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Recontrez nos Bénévoles
M
atthew Nowakowski considère son bénévolat
auprès de l’ACPAU comme un moyen de contribuer
à l’avancement du secteur de l’enseignement postsecondaire tout en acquérant une compréhension plus
approfondie du contexte dans lequel il travaille. « Je suis
heureux d’aider l’ACPAU, dit-il. « J’aide McGill et je
m’aide aussi, en même temps. J’ai de meilleurs outils pour
effectuer mon travail. Donc tout le monde est gagnant. » Avant de devenir contrôleur à l’Université McGill en
2002, Matthew était directeur des finances pour une moyenne entreprise, une agence de publicité de Montréal. « Je cherchais à travailler
pour une organisation de plus grande envergure et plus complexe »,
explique‑t‑il. Peu après son entrée en fonction à McGill, il s’est joint
au Comité sur les rapports financiers de l’ACPAU. Récemment, il a
été nommé au Comité consultatif sur les OSBL de l’Institut canadien
des comptables agréés (ICCA). À l’intention des personnes qui s’interrogent sur le temps qu’il faut
investir quand on fait du bénévolat, il fait observer que la plupart des
comités sont très respectueux des horaires de travail des membres.
Au Québec, ajoute-t-il, les administrateurs du milieu universitaire
estiment peut-être que la Conférence des recteurs et des principaux
des universités du Québec (CREPUQ) couvre tous leurs intérêts. « Les
organismes locaux jouent un rôle important et la CREPUQ est très
efficace pour ce qui est de représenter les universités québécoises.
Toutefois, chacun de ces organismes apporte une perspective et un
niveau de service aux membres qui lui sont propres », estime Matthew,
qui prévoit assister au congrès de la NACUBO (National Association
of College and University Business Officers (NACUBO) sur la comptabilité dans l’enseignement supérieur, qui aura lieu cette année aux
États-Unis. « Plus larges seront vos perspectives, mieux ce sera. »
« C
e qui est intéressant dans le fait de participer à l’ACPAU, c’est d’établir des contacts
et de prendre le pouls de ce qui se passe un
peu partout au pays », dit André Racette, directeur des
finances à l’Université de Montréal. La compréhension
des différents obstacles que doivent surmonter les universités d’une province à l’autre peut inspirer de nouvelles
approches dans son propre établissement.
« Cette position avantageuse me donne aussi un atout
dans les discussions avec les fonctionnaires et diverses autorités à
la table de négociation », affirme André, qui est entré au service
du centre de recherche de l’Université en 1972 après avoir travaillé
comme vérificateur chez Coopers & Lybrand, à Montréal. Il a occupé
divers postes à la Faculté de l’éducation permanente avant d’être
muté aux finances, où il a d’abord été directeur des budgets, puis
chef comptable.
André siège au conseil d’administration de l’ACPAU depuis
quatre ans; il a déjà été membre du Comité sur les taxes et impôts et
du Comité de trésorerie. Il a également fait plusieurs mandats à titre
de président du sous-comité des directeurs des finances du CREPUQ.
Cette année, André préside le comité organisateur du congrès
ACPAU 2006, qui se déroulera à Montréal. « Tous les conférenciers
des plénières s’exprimeront en français et en anglais », fait-il observer,
ajoutant que dans chaque série de séances simultanées, il y en aura
une entièrement en français. « Nous espérons que les universités
québécoises seront fortement représentées. »
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
11
National Committees - working for you
Les Comités nationaux de l’ACPAU travaillent pour vous
CAUBO
national committees
have been busy
over the last quarter. A number of
the committees have focused on
developing strategic plans to guide their
activities and to provide more value
to members. Consult the CAUBO web
site for more information on the many
accomplishments of these committees.
The committees welcome hearing from
members directly relative to issues that
you would like considered or ideas and
suggestions for national initiatives. Les comités nationaux de l’ACPAU ont
été fort occupés au cours du dernier
trimestre. Bon nombre d’entre eux ont
mis la priorité sur l’élaboration de plans
stratégiques dans le but d’orienter leurs
activités et de fournir plus de services
aux membres. Consultez le site Web de
l’ACPAU pour obtenir plus d’information
sur les nombreuses réalisations de
ces comités. Les comités sont toujours
heureux de recevoir directement des
membres leurs suggestions de dossiers
qu’ils souhaiteraient voir traités ou
d’initiatives nationales. 12
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Taxes Committee
The Taxes Committee met by teleconference in January. The first five
chapters of the long awaited Income Tax
Guide will be available on-line by the
end of April, with the remaining chapters
scheduled for completion in the fall of
2006. Work relative to the GST Guide will
start in April 2006. Tracey MacHardey
(University of Saskatchewan) provided
much needed analysis and information
to universities relative to royalty
payments. Questions relative to this
issue had been bouncing around various
listservs. Darrell Cochrane (Dalhousie
University) and Tracey MacHardey will
soon be meeting with CRA to discuss
GST rebates on construction projects. Comité sur les
taxes et impôts
Le Comité sur les taxes et impôts a tenu
une conférence téléphonique en janvier.
Les cinq premiers chapitres de la mise à
jour du Guide de l’impôt sur le revenu,
très attendue, seront en ligne d’ici la fin
d’avril (en anglais), tandis que les autres
chapitres devraient être terminés au cours
de l’automne 2006. Les travaux entourant
le Guide de la TPS commenceront en
avril 2006. Tracey MacHardey (University
of Saskatchewan) a procédé à une
indispensable analyse de l’information
quant au paiement de droits d’auteur dans
le contexte des universités. Des questions
à ce sujet surgissaient régulièrement
dans les divers groupes Listserv. Darrell
Cochrane (Dalhousie University) et
Tracey MacHardey rencontreront bientôt
l’Agence du revenu du Canada (ARC)
pour discuter de remboursement de TPS
dans les cas de projets de construction. Committee members/
Membres du comité :
Darrell Cochrane (Dalhousie University)
Glenda Kaye (Queen’s University)
Tracey McHardy
(University of Saskatchewan)
Michael Murdock (Simon Fraser University)
Alain Sauvageau (Université de Montréal)
Tom Vine (University of Western Ontario)
Demetrios Voudouris (University of Toronto
Financial
Reporting Committee
The Financial Reporting Committee,
with Sharon Davis (Mount Saint Vincent
University) as Chair, met in Ottawa
in December. A three-year plan was
approved that includes improvements
in the services offered to members on
the web site, more regional training and
oversight in the preparation and review
of CAUBO financial reports, and greater
coordination between regions, CAUBO
and Statistics Canada. The addition of
Gary Draper as CAUBO financial analyst
is already making a marked difference
to the committee and the member-
ship at large. The Atlantic region held
its inaugural financial reporting workshop in Truro in February to identify
issues they might have in preparing the
CAUBO reports. The committee looks
forward to hosting similar workshops
in other regions. Matthew Nowakowski
(McGill University) was named to the
CICA Advisory Committee on Not-forprofit Sector Accounting.
Comité sur
les rapports financiers
Le Comité sur les rapports financiers,
dont Sharon Davis (Mount Saint Vincent
University) assure la présidence, s’est
réuni à Ottawa en décembre. Un plan
triennal a été approuvé, qui comprend
une amélioration des services offerts aux
membres sur le site Web, plus de formation
dans les régions et de consultation de
celles-ci dans la préparation et la révision
des rapports financiers de l’ACPAU ainsi
qu’une meilleure coordination entre les
régions, l’ACPAU et Statistique Canada.
L’arrivée de Gary Draper comme
analyste financier au bureau de l’ACPAU
se fait déjà sentir auprès du Comité et des
membres de l’Association en général. La
région de l’Atlantique a tenu son premier
atelier sur les rapports financiers à Truro,
en février, afin de cerner les obstacles qui
pourraient surgir dans la préparation
des rapports de l’ACPAU. Le Comité
se réjouit à la perspective de tenir des
ateliers semblables dans d’autres régions.
Matthew
Nowakowski
(Université
McGill) a été nommé au Comité
consultatif de l’ICCA sur la comptabilité
des organismes sans but lucratif.
Committee members/
Membres du comité :
Sharon Davis (Mount Saint Vincent University)
Laura Kennedy (University of Saskatchewan)
Matthew Nowakowski (Université McGill)
Carter Scott (University of Western Ontario)
Nancy Walker (University of Lethbridge)
Pierre Piché (University of Toronto)
National Procurement
Committee
The National Procurement Committee
met in Ottawa in February with Gwen
Toole (University of Saskatchewan) in the
Chair. A small task force is to be created
to review how best to deal with the lack
of adequate customs brokerage services
for universities, as well as some customs
regulatory issues. ISI representative, Julie
Nielsen, is working on a new contract
for national moving services which now
includes relocation services. Watch for the
launch of a national relocation service at
the CAUBO trade show. Denys Bussières
(École Polytechnique) will be sharing
Québec’s experience with contracting for
cell phone services with the committee.
Managing cell phone and cell phone costs
has become an area of particular concern
for universities.
Comité national des
approvisionnements
Le Comité national des approvisionnements, sous la présidence de Gwen
Toole (University of Saskatchewan),
s’est réuni à Ottawa en février. Un petit
groupe de travail doit être constitué pour
analyser comment régler le problème
que constitue l’absence de services de
courtage en douanes adéquats s’adressant
aux universités ainsi que pour se pencher
sur certains problèmes de réglementation
douanière. Julie Nielsen, représentante
de l’ISI, travaille à un nouveau contrat
de services nationaux de déménagement
qui englobe maintenant des services de
réinstallation. Surveillez le lancement
d’un service national de réinstallation à
l’occasion du salon commercial en marge
du congrès de l’ACPAU. Denys Bussières
(École Polytechnique) fera part au comité
de l’expérience du Québec dans les contrats de services de téléphonie cellulaire.
La gestion des téléphones cellulaires et
des coûts connexes est devenue un sujet
de préoccupation important pour les
universités.
Committee members/
Membres du comité :
Gwen Toole (University of Saskatchewan)
Ron Macdonald (Interuniversity Services, Inc.)
Denys Bussières (École Polytechnique)
Abder Sbahi (University of Ottawa)
In each issue of
University Manager, we
will highlight a few of
the activities of three of
CAUBO’s eight national
committees. If you would like to
participate in a national
committee, contact
CAUBO’s Executive
Director or the Chair of
the particular committee
(email addresses are on
the CAUBO web site).
Dans chaque numéro
de Gestion uni-versitaire,
nous présenterons
quelques activités
menées par trois des huit
comités nationaux de
l’ACPAU. Si vous
souhaitez participer
à un comité national,
communiquez soit avec
la directrice générale
de l’ACPAU soit avec
le président ou la
présidente du comité qui
vous intéresse (adresses
de courriel de chacun sur
le site Web de l’ACPAU).
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
13
Risk Management
CURIE’s evolving role in
university risk management
By Tony Whitworth, Chair, Board Of Directors, Canadian Universities Reciprocal Insurance Exchange
R
isks considered under an Enterprise Risk Assessment (ERA)
approach are both insurable risks
and non-insurable business related risks.
The risks that are insurable traditionally
relate to damage to property and damage
to persons or liability claims. Universities outside of Quebec insure many of
these risks through the universities own
reciprocal entity – the Canadian Universities Reciprocal Insurance
Exchange (CURIE). CURIE
is not licensed to write
insurance in Quebec.
While universities can
take extra insurance coverage at their own discretion
to cover unique situations,
CURIE has met the needs
of its member institutions
very effectively for the
last 18 years by providing
coverage at very competitive premiums and also by
providing a forum through
which universities could
share experiences on risk
issues. In this current
un derwriting period,
there are 56 member institutions paying, in 2005,
over $16million in gross
premiums.
Over the last two to three years,
CURIE has faced a significant increase in
its claims experience at a time when the
international re-insurance market was
impacted by global calamities and when
contributions to surplus through investment returns were reduced. Two years
ago, following unprecedented weatherrelated claims, a high occurrence of
claims of damage to property through
fire and flooding, and some large liability
claims, CURIE was required to charge a
special premium retro-assessment of $4
million in order to provide an appropri14
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
ate margin between its premiums and
its claims. Property claims continue to
increase in severity since buildings and
equipment are increasingly expensive to
replace. Liability claims such as failure to
educate are on the increase as are sports
injury claims.
CURIE will start the fifth, five-year
underwriting period in 2008. The risk
environment is now more complex and
the need for a broader range of insurance coverage is much greater than in the
previous four underwriting periods. Universities have broadened their activities
in research, international collaboration
and entrepreneurial pursuits. In preparation for the next underwriting period,
the CURIE Board initiated a strategic and
operational review to determine which
changes CURIE should make in its service levels and in its insurance coverage
offerings to meet the risk challenges that
will face universities over the next five
to 10 years.
One of the most urgently identified
requirements resulting from the study is
in the area of risk management advice.
In order to provide improved service,
CURIE will be adding a staff position
devoted to providing members with an
assessment of risks and to providing
advice and education on how to reduce
the number and severity of claims. More
assistance will be provided to ensure
that best practices are
shared between member
institutions. This service
should help to reduce
the number and severity of claims and thus
reduce the upward pressure driving premium
increases.
In response to comm e n t s f ro m m e m b e r
institutions on the coverage available through
CURIE for the newer
risks facing universities,
the CURIE Board is establishing a review team
from member institutions
to consider the benefits
and costs of broadening coverage available
from CURIE. Examples
in this possible coverage
gap include cyber-risk, business interruption risk, and application to spin-off
company operations and entrepreneurial
activities. This review will consider how
many of these ‘gaps’ do exist since there
may already be companion policies. The
review will be completed in time for
any changes to be included in the fifth
underwriting period.
The coverage provided by CURIE for
insurable risks will continue to be a key
resource to universities within the total
and increasingly complex context of risk
management.
Legally Speaking
Getting value
for your money
By Harriet I. Lewis, MA, LLB, University Secretary and General Counsel, York University
U
niversities are subject to the same
pressures as government and the
corporate sector to show transparency and accountability in their dealings.
This has translated into a ‘value for money’
attitude to the retention and management of
our relationships with consultants, including legal counsel.
In institutions with general counsel inhouse, responsibility for managing the relationship with law firms and legal counsel
falls to the universities’ legal officers. For
those of you who do not have inside counsel, this column will offer some pointers
for retaining and supervising counsel to
assist you in maximizing the value of the
relationship with the lawyers who do your
institution’s legal work.
Law firms like to act for universities.
Universities have prestige and acting for
them bestows prestige on those working
for them. Universities are interesting, complicated and engaged clients and the legal
issues we present are often unique or complex. University personnel are generally
intelligent, responsive and logical; and we
pay our bills. Therefore, we should expect
to get great service from the firms we retain,
and we should not be shy about setting
service expectations.
Having a long-term relationship with
one or more law firms is in a university’s
best interest. Counsel who know your institution and its business will give you more
nuanced advice and you will not have to
pay every time for educating someone new.
Most firms designate a lead partner who
can direct your work to the person with
the right knowledge and correct level of
experience and billing rate for the size and
importance of the job. From a risk management point of view, it is not prudent to
have only one person (or even one firm)
do all of your work, so make sure there is
some depth to the support you are given,
particularly on large or complicated matters
and on those involving deep knowledge of
16
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
one area (such as your collective agreements
or real property title). Lawyers work in
teams and this has the advantage of bringing several perspectives to an issue. It is
often both valuable and economical to have
more than one person working on a file
(e.g., a senior and a junior). However, you
should satisfy yourself that this is desirable
for your purposes (good and efficient client
service), rather than for the firms’ business
reasons (convenience, lawyer education or
padding a bill).
The best lawyers are selling not only
their time on your file, but their years of
experience handling many other clients’
files. You should hire the best lawyers available and be prepared to wait for them and
pay their rates (within reason of course)
when their expertise, experience and judgement are required. Sometimes their personalities are relevant to the handling of a
case, and the personality should be matched
with the task.
‘Going to tender’ for legal services does
not necessarily result in enhanced value for
money, but, holding a ‘beauty contest’ (as it
is called in the profession), where you consider more than one counsel, can be useful
in deciding who you feel comfortable with
and what depth of experience and expertise
a firm can provide.
Lawyers charge by the hour. Get a list of
annual billing rates and comment on them
to counsel if you think they are getting out
of line. Most firms will be responsive to
money saving or alternate billing arrangements such as fixed prices on repetitive
matters (e.g., evictions from apartments,
employee loans, collections), discounting
or not charging for student time and agreeing to upper limits on commercial transactions. If you are unhappy with an account,
discuss it with the lawyers. If they value
your business, they will listen and respond
accordingly.
Look for value added opportunities with
the firms. Lawyers will do in-house educational sessions free of charge, will provide
you with information on new legislation
and recently decided cases, will support
your fundraising activities, will connect you
with business and financial consultants of
various kinds, will guest lecture at your law
schools, and will hire your students.
Last, but definitely not least, time and
money is wasted if you are not prepared
when you meet with counsel. Coordinate
your team and your documents as much
and as best you can before meeting with
lawyers and during the transaction. Give
good and clear instructions, be available
to answer questions, and gather requested
documentation in a timely and organized
way. In other words, remember to be a
good client.
Human Resources
Disability management
and privacy: a new paradigm?
By Natasha vandenHoven, Senior Vice-President, AON Consulting
C
Canadian employers and employees are often subject to privacy
laws. These include:
• the federal Personal Information Protection
and Electronic Documents Act (PIPEDA)
which applies to: employee information in federal works, undertakings and
businesses; and provincially regulated
organizations where either personal
information is disclosed in the course
of ‘commercial activities,’ unless the
personal information is subject to provincial privacy legislation, or personal
information is disclosed outside of the
province for consideration;
• the private sector privacy legislation of
British Columbia, Alberta and Quebec
that applies to employee information in
these provinces; and
• privacy laws that are applicable to the
public and health sectors.
In addition to privacy laws, employers make commitments to employees to
observe privacy practices and maintain
the confidentiality of employee records.
While employees expect to have privacy at
work, there is also an understanding that
an employment relationship will involve
giving up some privacy, as employers need
employee information to manage the workplace. Recognizing the delicate balance
between an employer’s need to know and
an employee’s right to privacy, employers
must ensure that they collect, use and disclose personal information for appropriate
purposes only.
This article reviews some findings under
PIPEDA in the area of disability management. The findings are specific to federal
works, undertakings and businesses, but
provide some insight into the privacy issues
that can arise. When dealing with disability
management, the applicable privacy legislation should be reviewed to determine what
legal requirements are relevant.
18
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Collection of medical information
The Privacy Commissioner of Canada has
stated that employers have the right to
ensure that employee absences are justified or to confirm that an employee is fit
to return to work. However, this does not
mean that an employer can seek any information that it wants at any time.
asked for information about the exam.
In applying Principle 4.3 of Schedule
1 of PIPEDA, that states that the knowledge and consent of the individual are
required for the collection, use or disclosure of personal information, except where
inappropriate, the Assistant Commissioner
determined that contacting the hospital to
ask for information about the employee’s
medical exam was contrary to the Principle.
Use and disclosure
of medical information
In one case (case summary #235), an
individual complained that his employer
required that a medical diagnosis be
included in the doctor’s certificate for sick
leave. But, an investigation showed that
the employer had refused to grant leave
after checking with the hospital where
the individual had undergone the medical exam.
The investigation found that, after
being examined at a hospital, the individual submitted a sick leave request to his
employer. He gave the medical certificate
to his supervisor, who informed him a few
days later that the leave request had been
turned down because the length of time of
the request exceeded the length of time for
the medical exam.
The employer ’s occupational health
and safety advisor had called the hospital
where the medical exam was done, without
authorization from the complainant. She
In another case (case summary #284),
the employer self-insured both shortand long-term absences due to illness.
As many employers do, this employer
had a policy that, when an employee’s
absence exceeded the specified period, the
employee must have a physician complete
a doctor’s report that contained information about the individual’s diagnosis,
treatment, and ability to return to work to
assume complete or modified duties. The
employee was required to sign the form
authorizing the physician to release information to the company’s health unit. All
medical information was sent to this unit,
where it was assigned to a case manager
who reported to the director. The director
was a doctor, and the case workers had
medical training.
The health unit’s mandate was to assess
an employee’s eligibility for benefits and
ability to return to work, and to determine
the company’s obligation to accommodate
an individual with a disability. Diagnostic
information was held by this unit in strictest confidence.
The complainant had had an argument
with her manager and left work, giving a
medical condition as her reason. After the
specified time limit for short-term absences
expired, she was required to send a doctor’s report to the health unit. She signed
a consent form authorizing her doctor to
disclose all medical information and to
discuss her work capacity. She also underwent an independent medical examination
which found that she was not totally disabled. Her benefits were suspended and
she was directed to return to work.
The report from the independent medical examination made reference to interactions between her and her supervisor, and
to health records relating to two previous
absences for the same reason. In her view,
the previous absences were not relevant
and should not have been disclosed to the
independent medical examiner. She also
felt that her manager should not have
shared with the company’s health unit
any information regarding his interactions
with her, without her consent.
The company maintained the importance for an independent examiner to
have a complete medical history. This
included the circumstances surrounding
the complainant’s current leave, as well
as her previous absences with an identical
diagnosis.
The health unit did not automatically
disclose all of the contents of an employee’s medical file to an independent medical
examiner. In this instance, the case manager followed the procedure of screening
the information to be sent to the examiner
for its relevance.
Principle 4.3 states that the knowledge
and consent of the individual are required
for the collection, use or disclosure of personal information, except where inappropriate. Principle 4.3.5 notes that, in obtaining consent, the reasonable expectations
of the individual are also relevant, and
subsection 5(3) states that an organization
may collect, use or disclose personal information only for purposes that a reasonable
person would consider appropriate in the
circumstances.
Regarding the use and disclosure complaint, the Assistant Commissioner deter-
mined that it was not well founded. The
company had the complainant’s implied
consent to the use and disclosure of her
personal information. The complainant
should have expected that information
relating to her absence and eligibility for
benefits would be used and disclosed.
Organizations are expected to obtain the
express consent of employees where the
contemplated use or disclosure might not
be reasonably anticipated in the circumstances, or is for a new purpose not previously communicated to employees.
Conclusion
The management of disabled employees is
a complicated undertaking for employers. The case summaries discussed demonstrate that it is essential for appropriate
employment policies and procedures to be
in place that incorporate privacy and confidentiality principles. This is no longer just
a matter of good practice, it is the law.
Interactive edition
of University Manager available online
ith print and electronic communication
operating hand-in-hand more than
ever before, we are more than happy
to advise you that University Manager
magazine is available online in a highly
interactive format.
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publication
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
19
Publications Review
Publication: Achieving Accountability in Higher Education:
Balancing Public, Academic and Market Demands
Published by: Reviewed by: Joseph C. Burke and Associates, Jossey-Bass, San Francisco, 2005
Ken Snowdon, Snowdon & Associates, Inc.
A
chieving Accountability in Higher
Education is an ambitious attempt
to provide a more comprehensive
view of the murky and complex world
of accountability by examining various
approaches in the context of government
(state) priorities, academic concerns and
market forces – the so-called ‘Accountability
Triangle.’
Joe Burke, contributor and editor, is a
former President of SUNY, Plattsburgh and
Provost of the SUNY system. He has written
extensively on a variety of higher education
topics ranging from system governance
to performance funding. In the opening
essay, The Many Faces of Accountability,
Burke does an admirable job of speaking to
the difficulties and complexities inherent
in any discussion of accountability.
He uses the image of a triangle – state
priorities (political), academic concerns
(professional), and market forces (market)
– to reflect the three main forces that
present ‘conflicting demands’ and lead to
varying interpretations and definitions of
accountability. In his view, since each part
of this Accountability Triangle is of equal
importance, the triangle’s centre occupies
the ‘ideal spot’ for an accountability
program that addresses the competing
claims in a balanced fashion.
Burke’s opening essay sets the con-
text for the remaining contributors – all
accomplished practitioners in their
20
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
respective areas. Each of the essays
addresses the concept of an Accountability
Triangle through a particular ‘lens:’
assessment, accreditation, standardized
testing, academic audits, student/alumni
surveys, performance funding and
reporting, media rankings, and the
‘invisible hand’ of markets. Those essays
are illuminating, often characterized by
brief historical overviews of key developments and interesting insights drawn
from years of hands-on experience. With
respect to the ability of those initiatives
to satisfy what, in other venues, has been
referred to as the ‘cult of accountability,’
the contributors are not sanguine
about the future. Lack of trust between
governments and institutions is cited as
contributing to a ‘crisis of confidence’
about higher education’s ability to meet
societal demands. That, in turn, has led to
increased government intervention under
the guise of accountability, despite the
many initiatives and programs that have
emerged to improve accountability.
Burke completes the volume with a more
upbeat summary essay that speaks to the
need for adopting a more comprehensive
view of accountability linking existing
accountability initiatives. “Higher education
does not need more accountability programs.
What it needs is better coordination and implementation of the ones already in place.” To
address those requirements, Burke argues
for the establishment of a public agenda for
higher education that “needs the advocacy
of business and civic leaders” to determine
“what each state needs most from higher
education.” One can argue about the
prescription, but it is hard to quarrel with
the diagnosis.
The value of this book is that it
provides a number of perspectives about
an issue that simply will not go away and
that continues to be a major component of
the Canadian higher education landscape
– witness the advent of accountability
agreements in Ontario, service plans
in British Columbia, business plans in
Alberta, and the short-lived experiment
with performance contracts in Quebec.
While there are some similarities between
the Canadian and US experiences, the
essays on accreditation, standardized
testing, assessment and markets are of
special interest because of our limited
experience to date.
While Burke’s prescription leaves considerable room for argument (and makes
no reference to the role of Governing
Boards the review and exploration of
accoun-tability initiatives in the context
of the Accountability Triangle is absorb-
ing. For those interested in learning
more about the multi-faceted nature of
accountability and striking the balance
among competing interests, this volume is
a recommended read.
at Canadian universities
By Christine Hanlon
fter touring the campus, a visitor
from beyond our borders asked
Simon Fraser’s Nello Angerilli,
Acting Associate VP, Students and
International, “What does a Canadian student look like?”
The answer can be found in the multicultural nature of Canadian society. More than
200 different ethnic groups were reported
in the 2001 census, with visible minorities
reaching four million by 2004, an increase of
300% since 1981. In light of these statistics,
it is not surprising that today’s universities encompass more students of differing
ethnic, linguistic, religious and historical
backgrounds than ever before.
“Multiculturalism is very real and
fully identifiable, because now everybody
does not look the same,” says Angerilli.
“That is the real beauty of Canada. It gives
our universities a tremendous amount of
strength.”
In fact, cultural diversity plays a defining role at today’s Canadian universities.
Across the country, institutions are responding to the challenges and opportunities of
having increasingly diverse student populations by aligning their goals, policies and
procedures to embrace this new reality. “We
are taking a more intentional approach to
how we work with diversity, but that we are
diverse is a fact,” says Katherine Beaumont,
Director, Go Global at the University of
British Columbia (UBC).
The university’s mission statement
reflects a commitment to preparing its
students for global citizenship and for
“Institutions
are responding
to the challenges and
valuing diversity in all its forms. “Without
diversity in the student population, we
cannot do that,” says Beaumont. “That
includes having a mix of Canadian and
international students that echoes the
world’s population.”
Beaumont’s colleague Tom Patch, Associate VP, Equity, explains it this way: “It is
important for diversity to be embedded
in everything the university does, from
recruitment and admittance of students, to
hiring staff and faculty, to development of
policies and procedures, to designing course
curriculum and creating new courses.”
UBC is only one of many universities placing diversity at the forefront of
everything they do. At the University of
Saskatchewan (U of S), the administration
recently took the lead in making diversity a central issue. According to Candace
Wasacase-Lafferty, Consultant, Diversity &
Aboriginal Initiatives, Human Resources.
“The president’s strategic direction featured inclusion language that made every
unit, both administrative and academic,
reflect on how to become more inclusive
and ensure that programs reach the different populations. We all formed multi-year
plans to integrate with the vision set out. At
this point, we need to go beyond isolated
programming and integrate this approach
across all systems.”
One priority that cut across all departments was the need to ease the first-year
transition of students from various cultural
backgrounds. The university recognized
that aboriginal students represented a fairly
large grouping. To move forward more
effectively, the U of S hired George Lafond
as a special advisor, aboriginal initiatives, to
the office of the
VP Academic and
Provost. opportunities of having
increasingly diverse student
populations by aligning
their goals, policies and
procedures to embrace
this new reality.”
24
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
At the U of S, efforts to ease the transition to university start before students
even apply. The Director of Admissions
meets annually with post-secondary guidance counselors from First Nations bands
across Saskatchewan to discuss programs
and admission requirements. Then, when
aboriginal students arrive at the university,
they are encouraged to self-identify so that
they can access various support services
from admission, registration and program
advising to academic advising and connecting with professors and funding agencies. The Aboriginal Student Centre, established in 1991, offers additional support
services that aim to increase the retention
and success rates of aboriginal students at
the university.
“Investing in first year students is a great
way to invest in your university as a whole,”
says Robert Kerr, Provost at the University
of Manitoba (U of M). “We have 11 different programs in our University 1 that are
based on the premise of giving students a
good start.” Programs include an Aboriginal Student Program and an International
Student Mentorship Program. The latter pairs an academically strong
international student who is thriving with
a newly arrived international student. The
purpose is to provide support with academic concerns and to assist with such
practical issues as banking, transportation,
shopping and developing social connections. “It can be a good experience for the
mentor as well,” Kerr points out, adding
that mentors undergo a training program to
prepare them for some of the issues they will
be tackling. Academic advisors then monitor
how the relationship is progressing.
Recent growth in the number of international students has been so dramatic
that the university was able to make an
ongoing commitment by targeting a portion
of their fees to the programs. Some of the
money was designated for hiring additional
admissions personnel to handle transfers
of credits. Another sum was invested in
scholarships and bursaries for international
students. “The ones who graduate act as
ambassadors who keep others coming,”
notes Kerr. “This adds stability to the process. If we are going to make changes to
better receive our international students, we
do not want to undo these measures three
years from now.”
Other universities take a similar
approach. Due to increased demand by
foreign students, the University of New
Brunswick (UNB) Saint John had to increase
the hours of the coordinator for off-campus
housing. The money was taken from the
fees paid by the growing number of international students.
At the same time, the international students themselves provide important human
capital to university initiatives. At the U of
M, the International Centre for Students has
long been a source of support. Some international students who have gone through
the process have even become advisors
themselves, thus bringing a unique sensitivity and experience to the service. The university recently developed an
aboriginal student mentorship program
based on the same model as the international program. Both include a training
component for academic advisors so that
they can understand how best to interact
with aboriginal and international students
in order to meet their unique needs. “These
aboriginal students may be the first ones
in their family to go to university, so there
may be no model for them to follow,” says
Kerr.
At UBC, Beaumont points out that those
students who come to a university’s International House for support are not always
visa students. “There certainly is a group
who are permanent residents or Canadians
who have done most of their education in a
country other than Canada and who have
similar questions and concerns as international students,” she explains.
She adds that there are also a number
of procedural and policy-related steps a
university can take to make the institution more welcoming to students from a
diversity of backgrounds. One of these is an
institutional sensitivity to the observance of
various religious holidays and practices by
members of the student population. At Concordia, Provost of Academic
Affairs Martin Singer points out that the
university tends to operate on the JudeoChristian calendar. However, many stu-
There are
also a number of
procedural and policyrelated steps a university can
take to make the institution
dents have closer ties to Asia or to the
Muslim faith. “You have to be sensitive to
the fact that these groups celebrate different
holidays,” says Singer. “At Concordia, we
make the dates of other religious holidays
known to the professors and we ask them
to avoid scheduling certain types of exams
around those times or at least to be sensitive
to the fact that there are students who are
observant of those days.”
Nearby, UNB Saint John redesigned its
meal plans to include religiously appropriate meals. Cooking areas were added to
residences so that students could better
cater to individual needs.
An offshoot of these measures has been
a growing interest among all students in
the food and culture of their colleagues.
On many campuses, international food
fairs, ethnic celebrations and multi-cultural
events enjoy immense popularity among
both students and staff. Another approach to embracing the different cultures on campus involves providing extra-curricular opportunities for engaging in intercultural dialogue and expressing
diversity. For instance, the UBC students’
Alma Mater Society (AMS) funds resource
groups such as Colour Connected Against
Racism, as well as more than 300 clubs that
include everything from the Muslims Students Association to the Asian Debate Club.
Within the framework of the university’s
inclusive approach, the students have initiated events supporting the International
more welcoming to students
from a diversity of
backgrounds.
Day for the Elimination of Racism, and
Africa Awareness, a conference committed to reframing Africa and addressing its
negative stereotypes. They are also planning a series on the portrayal of diversity
in the media. As well, a print and online
publication entitled Think Equity promotes
dialogue through personal stories, articles,
art and photography. A recent issue has
a series of photos portraying students of
various ethnicities sporting t-shirts proclaiming “I speak English.”
The university provides a positive environment as well as the space and administrative support to start these projects. The
students do the rest. “We reduce a lot of
hurdles that would normally be in place
for people to form those social groups,”
says Gavin Dew, VP Academic for the
AMS. “UBC and AMS act as a flame under
that pot to reduce the transaction cost of
intercultural communication.” As well, the
institution supports the annual self-recruitment of anywhere from 25 to 40 equity
ambassadors who, together, plan activities focusing on equity for the university
community.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
25
“While respecting
the individuality of each
different culture within its
walls, the university must
face the challenge of making
the expectations and
standards of the Canadian
university culture known
to all students.”
“A culturally
diverse staff can
more effectively serve
as role models for the
student body and support
mentorship of minority
group members.”
26
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
When students become engaged, they
are more likely to initiate such projects
as inclusive communities, international
fairs, cultural exchange events and forums
for inter-cultural discussion. At the same
time, universities often partner with their
local, international and aboriginal student
organizations to deliver such programs
as specially targeted orientation days and
peer programs. Many times, projects that start as university initiatives are gladly taken on by
students as they become more confident
in their role as ambassadors for the institution. “At a certain critical mass, the
students become self-sufficient in these
areas,” says Singer. Concordia used to
send staff members to the airport to greet
foreign students from China. Now the
Chinese students’ association performs
this function. The same situation played
itself out at UNB Saint John.
Another exciting by-product of fostering cultural diversity is the potential for
cross-cultural dialogue. “It is not enough
to have passive co-existence,” says Tom
Patch. “There has to be collaboration
among the diverse groups that can bring
new perspectives and innovations.”
He adds that universities thrive on
open discussion of different perspectives.
“Diversity brings that opportunity,” he
continues. “But, it also brings a challenge.
As soon as you open up the discussion of
different beliefs and values, there is potential for conflict.” For the institution, the
challenge is to allow for that open discussion to occur in a way that is respectful and
civil, that embraces the differences rather
than seeking to constrain them. Policies
and structures need to ensure that students
from different cultures can voice their perspectives in a safe environment. At Concordia, Singer knows this only
too well. He has witnessed first hand the
challenges that can occur when world
events create tensions that, if not properly and collegially managed, can exacerbate and spill over into the campus.
The first serious tensions erupted between
Greek and Turkish students at the peak
of the crisis in Cyprus. Then, four years
ago, various student groups clashed following a campus visit from former Israel
Prime Minister Benjamin Netanyahu. In
response, Concordia imposed a moratorium, that has since been lifted, on all
student political activity related to the
Arab-Israeli conflict.
In the long run, however, the solution
was for the university to develop new
guidelines for its Office of Rights and
Responsibilities. The policy changes were
accompanied by other initiatives such as
a speaker series on conflict resolution and
a focus on encouraging collegial debates
to expose students and professors to an
even greater variety of ideas. At the same
time, it was important that everyone be
clear on the details of the new ‘rules of
engagement.’
While respecting the individuality of
each different culture within its walls,
the university must face the challenge of
making the expectations and standards of
the Canadian university culture known to
all students. In some cultures, for instance,
university students are expected to identify
and replicate an accepted answer to an academic question or problem. Consequently,
universities have taken measures to more
clearly define plagiarism to students and
ensure that printed materials and staff
disseminate the information.
After all, staff at the university is the
conduit by which the mission statements,
policies and procedures of an institution
are transmitted. “It is essential to look at
not only the representation of the student
body, but also of the faculty and staff,”
says UBC’s Patch. A culturally diverse staff
can more effectively serve as role models
for the student body and support mentorship of minority group members. Most
importantly, it adds to the perception on
the part of students that the university is
a welcoming community. If the faculty is
of diverse backgrounds, the curriculum is
more likely to include diverse perspectives
and speak to the expectations and aspirations of a diverse student body.
“Much the same can be said about the
administrators,” notes Patch. “If students
from diverse cultures look around and
see administrators who come from similar
backgrounds to their own, they are going
to feel a sense that there is an institutional
commitment to diversity.”
Part of the employment equity process
involves identifying barriers that might
keep people from moving into various
positions. “If you see a bottleneck, it is
important to isolate what needs to be
addressed,” says Patch.
His colleague, Janet Mee, Director, Access
and Diversity emphasizes the importance of
building capacity for the future. “Many stu-
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
27
“By embracing
the world within our
own country, our students
will become truly
global citizens capable of
functioning within a diverse
and ever-changing
cultural landscape.”
dents who have worked in peer relationship
roles while attending college or university
pursue careers in the educational system,”
explains Mee. “We then have people who
have actually lived the experience and can
better speak to these issues.”
At the U of S, Lafferty sees this as a form
of succession planning. It is necessary not
only to capitalize on existing opportunities,
she says, but to plan five years forward,
28
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
taking into account the students coming up
through the ranks and investing in graduate studies for those who show promise. Meanwhile, it is important to provide training to those staff members who
may not have had the chance to live the
same experiences as current students. In
its efforts to provide cultural awareness
training for staff, the U of S has partnered
with Wanaskewin Heritage Park to hold
classes at the cultural centre and to soon
make it an official satellite college of the
university.
UBC offers students, staff and faculty
courses on diversity and inclusion, as does
the U of M and many other institutions
across the country. Simon Fraser is also
actively training its staff to meet the challenges of cultural diversity. But, with 43%
of its students speaking a language other
than English at home, the university is
paying particularly close attention to the
language aspect of diversity. The institution wants to ensure that
faculty members involved in delivering
first year courses have the necessary tools
to teach students who are not primarily
Anglophones. Recently, SFU explored the
possibility of hiring an Australian organization to train its instructors. At the same time, the university has
created a series of ‘Foundations Courses’
which all students will be required to take
in order to boost both their quantitative
and qualitative skills. All courses aimed
at fulfilling the latter requirement will
involve a significant writing component.
Support for all students will be provided
at a Learning Commons to be located in
the library. Despite the high cost of creating
new courses and retooling the commons,
SFU foresees that this investment will significantly enhance the learning experience of all cultural groups attending the
university.
UBC’s Janet Mee sees the efforts to
broaden academic activities as fundamental to embracing diversity. “There has to be
an opportunity to engage in meaningful
dialogue in the classroom for a diversity of
voices to be heard,” she explains. To expand
opportunities for such dialogue, UBC has
built capacity within the academic program to include for-credit student-directed
seminars. In response to a student-driven
initiative, it has created an African Studies Program. Recently, the institution also
sponsored a series of Global Citizenship
Lectures by such prominent speakers as
Stephen Lewis. In fact, many universities perceive the
increasing cultural diversity of their student population as an exciting opportunity to expose all students to the world.
“Thanks to a more culturally rich campus,
their thinking becomes more global,” says
Jane McGinn-Giberson, Director, Student
Affairs at St. Thomas, a university that went
from 50 to 150 international students in five
years. By embracing the world within our
own country, our students will become
truly global citizens capable of functioning within a diverse and ever-changing
cultural landscape.
“Both the diversity of the student body
and the diversity of approaches within core
curriculum and extra-curricular activities
provide the opportunity for students to
develop those skills,” says UBC’s Gavin
Dew. “They are going out into the world
prepared to deal with both the challenges
and the very substantial benefits and
opportunities of all the cultural diversity
in our globalized world.”
NOTE: click here to
view French version of
this article.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
29
CAUBO 2006 conference
Welcome to all!
A Renowned University Complex
Founded in 1878, the Université de Montréal represents today with its two
affiliates, the École Polytechnique and the HEC Montréal, the largest university
complex in Québec and the second largest in Canada. It boasts over 55,000
students, employs 10,000 people and awards close to 10,000 diplomas at
all university levels. Rooted in Montréal, but dedicated to its international
mission, the Université de Montréal ranks among the largest universities in
the French-speaking world.
It is our pleasure to invite you to Montréal, to the next CAUBO annual
conference, which will take place from June 17-20, 2006. Our various sub-committees have spared no effort in the past months to put together a program
that will undoubtedly meet participants’ expectations. We are convinced
that there is something for everyone whether it is developing skills, sharing
experiences or networking.
The conference theme is “In Tune with the World”. The international tone
of the event will prompt discussion and the exchange of information. Both the
quality of the guest speakers and presenters and the relevance of the issues
addressed will contribute to the conference’s success.
The keynote speaker at the conference opening, Sunday, June 18, will be
Gregory Charles. A musician, motivator and a friend of the University and
its Faculty of Music, Gregory Charles is truly passionate about what he does
and his talent is simply amazing. Also on hand will be a panel composed of
the Rector of the Université de Montréal, Luc Vinet, the Director of the HEC
Montréal, Jean-Marie Toulouse, and the Director of the École Polytechnique,
Robert L. Papineau. Other prestigious guest speakers, such as Henry Mintzberg,
Laurent Lapierre and Bernard Hugonnier of the OECD, will give us lots to think
about throughout the conference.
In addition to the conference’s professional activities, the social activities
and the companions’ program, will top off what will certainly be a conference
that will go down in CAUBO’s history books. The Saturday evening optional
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
events and the opening ceremonies will take place on the campuses of the
Université de Montréal, the HEC Montréal and the École Polytechnique. The
farewell evening, a popular event for our Association, will be held at one
of the most enchanting places in Old Montréal – the Bonsecours Market.
Participants will be able to fully enjoy the wonderful Old Port and Montréal’s
summer life.
The organizing committee members from the Université de Montréal,
the HEC Montréal and the École Polytechnique are proud to welcome you
to Montréal.
Members of the local organizing committee:
•
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•
•
•
•
•
Carole Boudreau
Denys Bussières
Louise Demers
Moréno Dumont
Nancy Freeman
Monique Garcia
Pierre Jalbert
Hélène Lafortune
Francine Martel
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•
•
Louis Mathieu
Bernard Motulsky
Christine Nadeau
Renée Pelletier
André Racette
Guylaine Rivard
Luc Savaria
Danielle Savard-Trouvé
André Tanguay
Visit our website www.cauba.ca
to register for the CAUBO 2006 conference.
Please note the website will be updated regularly to keep you informed
of any changes or additions to the conference program.
CAUBO 2006 conference
Saturday, JUNE 17
PRE-CONFERENCE SEMINARS
Please register separately for these seminars on the 2006 CAUBO Conference
Registration form.
Pre-conference sessions will be held at the Hilton Montréal
Bonaventure.
STU BUDDEN TREASURY
AND INVESTMENT SEMINAR
Treasury and Investment Breakfast
8:00 a.m. to 9:00 a.m. - Mont-Royal Room
Seminar
9:00 a.m. to 4:30 p.m. - Verdun/Lachine/Lasalle Rooms
Note: Simultaneous interpretation will be available for this session.
The CAUBO Treasury and Investment Committee is very pleased to host the
annual Stu Budden Treasury and Investment Seminar. This year’s seminar
will include an economic and market forecast from François Trahan, Chief
Investment Strategist with Bear, Stearns in New York. Also scheduled are
presentations on Value Added Strategies and Asset Liability Matching by
John Ilkiw, Vice-President, Research and Risk Management, Canada Pension
Plan Investment Board as well as a panel on cash management. Maurice
Cohen of Commonfund Canada will provide a brief review of Commonfund’s
Canadian benchmark study.
In addition to the presentations, a series of closed-session roundtable
discussions will provide an opportunity for delegates to discuss issues,
concerns and share experiences in the treasury and investment areas with
colleagues from other Canadian universities. The seminar will once again
include a presentation of the results of the annual CAUBO Investment Survey.
The closed session round table discussions will be held in a series of time
slots spaced out over the day-and-a-half seminar.
than a handful of instances. HR practitioners on both sides of the border
are engaged in this discussion.
Mr. Cavanaugh is a member of the Executive team at the University of
Florida. He will share with us the U.S. experience, and his thoughts on the
opportunities and challenges in HR’s assumption of this role in universities
and colleges. We will then engage in a discussion of our role in our own
institutions, from the current state to the pursuit of our potential.
Afternoon session
Roundtable discussions on
topical issues for HR practitioners
The two series of concurrent roundtable sessions in the afternoon will be
designed to discuss issues of importance to HR practitioners. Participants will
be able to select two of the following topics:
• Benchmarks for measuring HR’s efficiency and effectiveness;
• Mandatory retirement issues;
• Recruitment and retention – sharing of challenges, “hot” markets and
sourcing of candidates;
• Pension funding and solvency issues;
• HR communications – the web and other trends;
• Strategies for managing benefits costs;
• Performance management/development initiatives and tools;
• Criminal records checks for employees; and
• Leadership development - academic and administrative - strategies
and programs.
PROCUREMENT SEMINAR
8:00 a.m. to 8:30 a.m.
8:30 a.m. to 4:30 p.m.
12:00 noon to 1:30 p.m.
Côte-St-Luc Room
Continental Breakfast
Seminar
Lunch
Morning Session
HUMAN RESOURCES SEMINAR
8:30 a.m. to 9:00 a.m.
9:00 a.m. to 4:00 p.m.
12:00 noon to 1:30 p.m.
Portage Room
Continental Breakfast
Seminar
Lunch
Morning session
Strategic Human Resources – Our Evolving Role
Kyle J. Cavanaugh, Vice-President, Human Resource Services, University of Florida
University Risk Assessment and Customs Update
Sue McDonald, Manager, Trade and Customs, KPMG LLP
Ray Williamson, Customs and Traffic Officer, Purchasing, The University of Western Ontario
Dave Zavitz, Vice-President Sales and Marketing, Livingston International Inc.
Are you aware of ALL the new regulations governing imports and exports?
What is your institution doing to mitigate the risks of customs non compliance?
The panellists will present different perspectives on recent CBSA regulatory
changes and their impact on Canadian universities. Open discussion will follow
the presentations. This is your opportunity to gain an understanding of the risk
areas in universities and explore possible options to mitigate those risks.
In many organizations, Human Resources has assumed a senior leadership role
and full partnership with other organizational leaders. The role has increasingly transformed into one of both strategy and execution. In a number of
such organizations, the senior HR leader is a member of the Executive team
and contributes to Executive decision-making.
This experience is beginning to be reflected in universities and colleges with an increasing number of positions being established at the
Vice-Presidential level. There are a wide variety of arrangements in place,
but it is fair to say that HR is not present at the Executive table in other
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
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CAUBO 2006 conference
Electronic Fraud
Afternoon session
Sylvain Viau, President of ASIMM, Assistant Vice-President of Business Continuity,
From Purchasing to Supply – Really?
TechSolCom Groupe Informatique
Jean Nollet, Chair in Supply Management, HEC Montréal
Electronic fraud is the new trend for fraudulent services. The rising number of
cases leaves us with a silent impression that frauds are becoming more and
more socially accepted. More than three out of four Internet users in North
America were victims of electronic fraud or other bad business practices.
Students and small business are often the ideal targets.
This session will explore the issues from a university perspective with
an expert from the field. This session will offer you background information,
expose you to the potential risk areas in your universities and inform you of
the alternative solutions to help fight electronic fraud from a technological
and legislative point of view.
Purchasing began as a clerical function, and was perceived as such until the
early 1980s. Its strategic role was recognized by top management only in the
1990s. Or was it earlier? And maybe that reality is not as positive compared
to what many articles mention and some supply professionals seem to take
for granted?
It is often said that understanding the past helps to better predict the
future. After presenting the evolution of purchasing including the pressures
on the function and department, Jean Nollet will apply some of the lessons
learned to three issues that are important to the future of the supply function: purchasing groups, governance issues and outsourcing / insourcing.
After the presentation, the participants will have the opportunity to
address those issues and requisite competencies in small groups. This will be
followed by a brief large group discussion and a wrap-up presentation.
The Evolving Higher Education Internal
Audit Landscape in the USA
Betsy Bowers, Associate Vice-President, University of West Florida, Internal Auditing
and Management Consulting
The future will definitely be different. Is this really true?
INTERNAL AUDIT SEMINAR
8:00 a.m. to 8:30 a.m.
8:30 a.m. to 4:30 p.m.
12:00 noon to 1:30 p.m.
Hampstead Room
Continental Breakfast
Seminar
Lunch
Your professional knowledge will be enhanced by presentations from
specialists on “Advocacy for Internal Audit”, “Electronic Fraud” and “The
Evolving Higher Education Internal Audit Landscape in the USA”. Throughout
the day you will also have the opportunity to participate in a roundtable
discussion with your peers on current issues and concerns for university
auditors. These are times for sharing knowledge and experience so each
of us can advance the role of Internal Audit and our own expertise. You
are encouraged to network with your professional colleagues from across
the country who are also available to share their knowledge and thoughts
throughout the year via the Internal Auditors Listserv.
Presentations:
Internal Auditing in the Headlines – Advocacy for
the Profession 2006 and Beyond….
Ms. Bowers is currently the International President of the Association of
College and University Auditors (ACUA) in the USA. She has agreed to visit
Canada and share her thoughts on the internal audit landscape in higher
education in the USA.
In this presentation, Ms. Bowers will provide an overview of the evolution
of internal auditing and briefly provide an overview of the IIA standards.
Then she will discuss her views on what internal auditors should look at
in higher education as well as discuss fraud and other hot topics. Lastly,
she will discuss what ACUA is and what it can contribute to Canadian
universities.
FACILITIES MANAGEMENT SEMINAR
8:00 a.m. to 8:30 a.m.
8:30 a.m. to 12:00 noon
12:00 noon to 1:00 p.m.
Fundy Room
1:00 p.m. to 4:30 p.m.
Continental Breakfast
Sessions
Lunch
Campus visits
Morning sessions
Benchmarking: The Facilities Core Data Survey
Darryl Boyce, Director, Facilities Management, Carleton University
Representatives of the Association of Higher Education Facilities Officers (APPA)
Brian Brown, Chief Audit Executive, Agricore United
A representative of the CAUBO Task Force on Facilities Management
Mr. Brown is currently heading up the Internal Audit Advocacy Committee
for the Institute of Internal Auditors (IIA) and is currently the only Canadian
member on the IIA International Board of Directors. Mr. Brown is very passionate about advocating for internal auditors and has made excellent
presentations on this topic to the Ontario Securities Commission and the
Federal Government.
In this presentation, Mr. Brown will discuss internal audit’s place in
society today and his vision for the world’s view of internal auditing in the
future. Between these two states exists a significant advocacy effort. He
will talk about successes to date, activities that are in progress, and plans
for the future. Finally, Mr. Brown will discuss the important role of each
internal auditor in successful advocacy and will challenge each practitioner
to contribute.
During this session, participants will receive an update on the
APPA/CAUBO Facilities Core Data Survey. They will have the
opportunity to debate the value of the survey, raise questions
relative to interpretations, and discuss how to improve performance going forward. A standard process adopted by all Ontario
universities to audit the condition of buildings and establish the
value of deferred maintenance will be examined.
A general discussion will follow on the quality of the data, a
review of the indicators and their usefulness, ways of improving
participation and next steps.
34
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Students want more. More choices. More convenience.
More value. And they want it now more than ever.
Fortunately, ARAMARK can help. By turning cafeterias
into restaurants. Offering memberships, not meal plans.
Going to the students, not waiting for them to come to us.
Simply put, by changing everything. ARAMARK. Wow!
What a great idea. To learn more, contact Rob McNern at
416-255-6131 ext. 447 or [email protected] .
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
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CAUBO 2006 conference
The Challenges of Climate Change
Trish Chartrand, Manager, CSA Climate Change, CGH Registries, Canadian Standards
LEED Approach at the Lassonde Buildings at the
École Polytechnique de Montréal
Association
Michel Rose, Eng., Director General, Physical Plant Operations, École Polytechnique de
Ms. Chartrand will provide an overview of the federal Greenhouse Gas (GHG)
Reduction program including the status of gas registries and the participation of universities, a brief review of ISO 14064 certification as a means
of developing and advancing GHG reductions, and an introduction to the
emissions trading market.
Montréal
Sustainability and LEED Buildings:
A Facilities Management Perspective
John Metras, Director, Plant Operations, University of British Columbia
An examination of the UBC experience with LEED buildings using its new, gold
LEED certified, Life Sciences Building as a case-study example. The session
will deal with the design, financial and operational characteristics of LEED
buildings, as well as the concerns, challenges and opportunities that LEED
buildings offer to today’s Facilities Managers. The session will allow for, and
benefit from, feedback and discussion amongst all conference participants.
Lassonde building at the École Polytechnique:
Amphitheatre M-1120
Presentation of the main practices relating to the design, construction and
operation of the Lassonde buildings from a sustainable development perspective and the gold LEED certification obtained in 2005.
Information Technologies in
Teaching at the HEC Montréal
Paul Mireault, M.Sc. (Computer Science), Université de Montréal, Ph.D. (Management
Science), MIT Associate Professor, Director of Technologies
HEC Montréal, Main Building: IBM Amphitheatre
Implementation of a technological and pedagogical infrastructure for teaching that maximizes the use of laptop computers by several thousands of
students.
CAUBO’s Role in Facilities Management
FINANCIAL REPORTING SEMINAR
Carole Workman, Executive Director, CAUBO
8:30 a.m. to 9:00 a.m.
9:00 a.m. to 4:30 p.m.
12:00 noon – 1:30 p.m.
Salon Verrière
Ms. Workman will consult with the group regarding CAUBO’s role relative to
facilities management at a national level.
Afternoon sessions
A Tour of University Facilities
The afternoon will consist of a tour of campus buildings to demonstrate
particular challenges and accomplishments of universities relative to facilities management. It will include four mini-presentations (15 – 30 minutes)
related to issues which are pertinent to the building in which the presentation is made.
Deferred Maintenance: An Immoveable
Consequence with a Consequence on Users
Robert Couvrette, PMP, Director General, Physical Plant Operations,
Université de Montréal
Roger-Gaudry building:
Ernest-Cormier amphitheatre (K-500)
The upward trend for deferred maintenance has become more pronounced in
different building inventories. This not only causes increasingly higher repair
costs, but worse still, it has an impact on the quality of life, recruitment and
retention of users.
Combining Teaching and Research
Alan Orton, Architect, Senior Associate, NFOE et associés, Architects
Marcelle-Coutu and Jean-Coutu buildings:
SI-151 amphitheatre, Jean-Coutu building
This presentation will explore the challenges met in designing the new
Marcelle-Coutu and Jean-Coutu buildings at the Université de Montréal. This
complex is home to the Faculty of Pharmacy and the new immunology and
cancer research institute. The presentation will focus on the design solutions
developed for teaching and research activities, and for the gathering areas
planned at the point where the different sectors meet.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Continental Breakfast
Seminar
Lunch
The Financial Reporting Committee of CAUBO is pleased to present a one-day
pre-conference seminar aimed at members working in or interested in accounting and financial reporting related issues and how they affect universities.
The Committee will begin the day by presenting its “Blueprint for the
Future: Providing More Reliable and Timely Financial Information in Universities”. This session will focus on future directions for the CAUBO report and the
Financial Reporting Committee and more specifically will include the Committee response to the Report of the Task Force on the Review of CAUBO Financial
Reporting that was issued in December of 2004. This session will also provide
an opportunity for you to provide your input into the proposed directions for
the Financial Reporting Committee in an open discussion format.
Representatives from the host city’s office of Deloitte & Touche LLP will
present an update on CICA Handbook issues that will focus on recent and
upcoming changes to both accounting and auditing standards. They will
also comment on national and international trends that include the strategic
migration of Canadian accounting standards to reflect those promulgated by
the International Accounting Standards Board.
The Committee has been combing the networks and soliciting Financial
Officers for hot issues that are affecting their operations, and will present
a session to highlight these issues and provide key advice for addressing them.
In addition to the presentations, there will also be a valuable roundtable discussion that will provide an opportunity for delegates to discuss
issues, concerns and share experiences with their colleagues from other
Canadian Universities. This session will be designed to discuss issues that
the delegates will have identified in a survey conducted prior to the seminar
and a hard copy document that summarizes issues and responses will be
provided to attendees.
CAUBO 2006 conference
Sunday, JUNE 18
STU BUDDEN TREASURY AND
INVESTMENT SEMINAR
Treasury and Investment Breakfast
8:00 a.m. to 9:00 a.m. - Mont-Royal Room
Seminar
9:00 a.m. to 12:00 noon - Verdun/Lachine/Lasalle Rooms
Continuation of the previous day’s proceedings
OPENING CEREMONIES
3:45 p.m.
Buses depart for the opening session at the Université de Montréal
Welcome Address
4:30 p.m. to 4:45 p.m.
Roger-Gaudry building, Room K-500, Université de Montréal
Luc Vinet, Rector of the Université de Montréal, will welcome delegates.
OPENING KEYNOTE SPEAKER
4:45 p.m. to 5:30 p.m.
Note: simultaneous interpretation will be available for this session.
In Tune with the World
Gregory Charles
A musician, motivator and friend of the Université de Montréal and its
Faculty of Music, Gregory Charles has accepted to be the keynote speaker
on Sunday, June 18.
Who better than Gregory Charles to set the tone for the CAUBO
2006 conference! He is the epitome of the conference theme: born to
a Québec mother and a Trinidadian father, his childhood was filled with
art and music.
38
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
But that is just the beginning! Gregory Charles is truly passionate
about what he does. He has already experienced a great many things in
his life. His work as a teacher and a jurist might very well qualify him
as Renaissance man, but that is still only the tip of the iceberg. Gregory
Charles is also, in the old-fashioned sense of the word, an accomplished
entertainer.
Between 1975 and 2006:
• He represented Canada as a pianist in Paris, Mexico and at Carnegie
Hall in New York.
• He hosted a science show for kids, called GO Figure (broadcast for
eight years), a French language game show (Que le meilleur gagne)
for five years, and is still host today of his own national weekly radio
show for Radio-Canada.
• He is the conductor and director of a youth choir.
• He toured with Céline Dion (United States, China, Japan and Canada).
• He already has two shows to his credit: “Two Pianos, Four Hands”
in French and English (Canada and United States), and “Black and
White” which won the Canadian Award for best show of the year in
2003 and was performed at the Beacon Theater in New York.
• During his career, he has played host to personalities such as Nelson
Mandela and His Royal Highness, Prince Charles.
In short, Gregory Charles is a man of all colours and all seasons!
Come enjoy his presentation – a wonderful mix of origins, interests,
talents and ideas.
2006 QUALITY AND PRODUCTIVITY
AWARDS PROGRAM
5:30 p.m. to 6:00 p.m.
The 2006 Quality and Productivity Awards, sponsored by Budget Rent a Car
of Canada, Legg Mason Canada Inc. and SunGard Higher Education will be
presented.
CAUBO 2006 conference
Monday, JUNE 19
CAUBO ANNUAL GENERAL MEETING
P3 – Public/Private Partnership in Capital Projects
8:00 a.m. to 8:30 a.m.
Westmount/Outremont Ballrooms
Steve Dantzer, Director, Campus Infrastructure, University of Calgary
Peter Dixon, Vice-President, Direct Energy Business Services
Richard Ogilvie, Director, Materials Management, University of Calgary
PLENARY SPEAKERS
8:30 a.m. to 10:00 a.m.
Westmount/Outremont Ballrooms
Note: simultaneous interpretation will be available for this session.
Rectors’ Plenary:
A World-Calibre University Complex
Luc Vinet, Rector, Université de Montréal
Robert L. Papineau, Director, École Polytechnique
Jean-Marie Toulouse, Director, École des hautes études commerciales (HEC Montréal)
Openness to the world and avant-gardism are a source of inspiration for these
speakers. With the international component as a backdrop, discussions will
revolve around sustainable development, research and the business world.
LUC VINET holds a 3rd cycle Ph.D. in theoretical physics from the Université
Pierre et Marie Curie and a Ph.D. in theoretical physics from the Université
de Montréal. He has been the rector of the Université de Montréal since
June 1, 2005.
ROBERT L. PAPINEAU holds a Ph.D. in industrial and systems engineering from the University of Florida. He joined the École Polytechnique de
Montréal in June 2002 as its director general.
JEAN-MARIE TOULOUSE holds a Ph.D. in social psychology from the
Université de Montréal. He has been the director of the HEC Montréal since
January 1, 1995.
CONCURRENT SESSIONS
Please register separately for these sessions on the Registration Form found in
this issue of the University Manager, or on-line at www.caubo.ca by following
the links under 2006 Annual Conference.
10:45 a.m. to 12:00 noon
Please choose one of the following sessions:
Comparative Study of the
Costs and Access to Higher Education
(French only)
Alex Usher, Vice-President, Research, and Director (Canada) of the Educational
Policy Institute
The presentation, in French, will compare the costs of higher education
in 15 countries, using several indicators: fees and tuition, living expenses,
comparison with the gross domestic product per capita, bursaries, loans
and taxation. Although it is generally thought that direct expenditures
to undertake university studies are much higher in the United States,
the study shows that differences among countries are much lower than
anticipated.
However, is there a link between the cost of studies and access to
higher education? To be able to build a table showing access to education in various countries, the study analyzed access rates and study
40
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
completion rates, participation of women and men, and the effect of the
parents’ education.
When the table of direct expenditures and that of accessibility are
compared, several surprises are in store.
In 2004, The University of Calgary identified a need for a comprehensive
approach to managing the institution’s energy requirements. This approach
was meant to contribute to the University’s vision of becoming an economically viable – and environmentally – and socially sustainable institution.
The University’s energy requirements encompassed everything from the
de-regulation of energy, the emergence of a competitive market for this
commodity, the volatility of energy costs, space maximization/utilization,
to the dependency on a highly reliable and high quality energy supply.
They went to market in search of a strategic partner that could help the
organization deal with their energy and building operational costs, as well
as fulfill their vision.
In response to the University’s request for proposal, Direct Energy
Business Services developed “Evolve”, a new methodology that enables
institutions to introduce and demonstrate a new suite of best practices
for reducing energy, building operational costs and design/redesign space
maximization. The result was a unique partnership model between Direct
Energy and the University of Calgary.
The relationship has become the embodiment of building a successful
and operable public/private partnership. Learn first hand about the University
of Calgary experience; the partnership successes to date, lessons learned
and future challenges to overcome.
Disaster Planning: are you ready?
Kyle J. Cavanaugh, Vice-President, Human Resource Services, University of Florida
Whether you call it emergency preparedness, disaster planning or business
continuity – all variations on the theme – it is important that our institutions be prepared for these significant, and indeed at times, catastrophic
events. The experiences and lessons learned from SARS around the
world, and 2005’s hurricane season, including the devastating Hurricane
Katrina in the south-eastern U.S., as well as other disruptive campus
events provide important frameworks and opportunities for all of us.
This session intends to explore the issues and concerns that these events
provide, with the sustained interest of the public, media and government
in natural and other disasters such as global pandemics. Special attention
will be provided to the potential role that human resource leaders should
consider playing during the planning cycle and actual event. It will also
provide the opportunity to share experiences and stimulate thinking for
our institutions.
Capital Expansion
Planning and Financial Management
Ramsay Duff, Vice-President, Finance and Operations, St. Francis Xavier University
Ann Schultz, Director of Finance and Administration, Facilities Management Division,
University of Saskatchewan
Across the country, many universities are in growth mode. Increasing
student participation rates in university and research expansion sparked
by programs, such as that offered by the Canada Foundation for Innovation (CFI), have resulted in the need for new or revised physical space
needs. World events such the catastrophic flooding caused by Hurricane
Katrina can significantly affect costs of construction materials here at
CAUBO 2006 conference
home, therefore planning cannot be done in isolation. The pace of cost
escalation and the extent of Provincial capital funding vary significantly
across Canada. Therefore, each university faces its own unique challenges
in planning for future capital expansion. This session will provide two
different perspectives on capital expansion planning.
St. Francis Xavier University launched a $100M capital expansion
program in 1995 and will present their approach from a global planning
perspective, touching on issues such as building the case for expansion,
financing options, demographic challenges and operational impacts.
The University of Saskatchewan will provide an overview of its Major
Project Governance Model including how CFI requirements and institutional strategic directions affect the governance process. The presentation
will review the model for estimating project costs based on category of
use and construction escalation touching on the effects of international
influences affecting input price.
The Global Practice of Internal Auditing –
As Business Officers: What’s in it for you?
Brian Brown, Chief Audit Executive, Agricore United
In this presentation developed for members of management and boards
of directors, Mr. Brown will discuss the current state of internal auditing
internationally and in Canada, including how internal auditing is successfully serving management and boards. He will discuss critical success
factors for internal audit functions and how management and boards can
assist. Finally, Mr. Brown will present expectations that management and
boards should consider as well as some thoughts on measuring internal
auditing performance.
PLENARY SPEAKER
1:30 p.m. to 2:45 p.m.
Westmount/Outremont Ballrooms
Note: simultaneous interpretation will be available for this session.
We Lead As We Are
Laurent Lapierre, Full Professor, HEC Montréal
Mr. Lapierre obtained his Ph.D. from McGill University. He is the holder
of the Pierre Péladeau Chair for Leadership and the first director of the
Centre de cas HEC Montréal. He has been looking into what influence
the personality of managers has on their leadership styles, along with
behaviour that is conducive to success or failure when assuming a
leadership role.
Leadership is a quality that comes from within the person. We lead
necessarily as we are, with our innate talents, but mostly with our acquired
talents. Leading means dealing with one’s personal qualities and shortcomings, gifts and deficiencies, strengths and weaknesses, leadership skills and
inadequacies, etc. Accepting one’s self is the first leadership skill required
to achieve success. In the current period of turmoil experienced both globally and locally, and from an Anglo-Saxon perspective, Laurent Lapierre
argues that beyond qualities, skills and know-how, responsible leadership
and direction essentially come from ordinary judgment, common sense,
practical intelligence on how organizations work; in short, what can be
called intelligence in action.
Because design matters
Créer avec style
Servicing universities and colleges for the past 50 years
Au service des universités et des collèges depuis 50 ans
520, 4 e Avenue, St-Romuald (Québec) G6W 5M6
T 418.839.0646
F 418.830.0081
[email protected]
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
41
CAUBO 2006 conference
Richard Chabot, Head, Corporate Contingency Plan, Hydro-Québec
for managing risks to business continuity is carried out. He will also touch upon
the lessons learned by Hydro-Québec during emergency responses.
This look at past experience will enable him to address the problem of emergency measures in a broader context where interdependency plays a major
role. Although the relationships in question remain local, partners from other
provinces or countries are also involved.
He will discuss issues about how the model might be transposed to the university community: threats, leadership, management mechanisms, etc.
Mr. Chabot will start by presenting the Hydro-Québec model for managing risks
to business continuity. He will present the steps in the management cycle and
the management mechanisms used at Hydro-Québec to ensure that the cycle
A Balanced Scorecard –
the University of Ottawa Experience
CONCURRENT SESSIONS
3:15 p.m. to 4:30 p.m.
Please choose one of the following sessions:
A Global Vision of
Risk Management for Directors
(French only)
Hélène Carrière, Director, Organizational Effectiveness, University of Ottawa
Lucie Mercier-Gauthier, Associate Vice-President, Finance, University of Ottawa
The University of Ottawa strategic plan, Vision 2010, sets out the institution’s
vision, directions and objectives and identifies certain specific initiatives. The
Scorecard is a way of translating these strategic directions and objectives into
clear and measurable elements, emphasizing what is most important to the
University, communicating this information to the entire University community,
and measuring the impact of the proposed initiatives.
This Scorecard is based on the concept presented in 1992 by Kaplan
and Norton in the Harvard Business Review. The authors highlight the
limitations of management models based solely on financial performance
indicators and propose a balanced scorecard based on the four aspects vital
to organizational success: measuring potential impacts on the clientele,
internal processes, staff, and financial resources.
The University of Ottawa Scorecard presents improvement targets for
each of the four aspects vital to the institution’s success. The first two aspects
involve what is at the core of the University’s mission: the students and
community served and the pursuit of academic excellence. The next two
aspects are in respect of the support required to accomplish the mission:
employee quality and commitment and the necessary resources.
Universities have always excelled at measuring and evaluating many
aspects of their organization. However, considering the balance required
between all the elements of the organization, that is an innovative concept.
The Scorecard allows the University to set five-year improvement targets
for 19 indicators that best define the University’s success; it will guide
the university’s efforts and investments, will rally the community around
common objectives, and will facilitate self-evaluation and reporting on
progress.
Health of Defined Benefit Plans A panel will discuss the health of the defined benefit plan and its future.
The panel will consist of a professional in the design of pension plans and
university representatives, one from an institution with a commitment to a
defined benefit plan and another from an institution that chose to change
to a different arrangement.
For some time, defined benefit pension plans have been under pressure.
On one hand, the downturn in equity markets of a few years ago combined
with historically low interest rates sent many plans into a deficit position.
The result of this, in many cases, was an increase in required contributions
from both the sponsor and the members of the plan; even with these adjustments, some plans are not yet out of a deficit position. On the other hand,
increased regulation and the resulting administrative overhead have forced
some plan sponsors to say “enough is enough” and abandon their defined
benefit plan in favour of a defined contribution plan or some other pension
arrangement. Will this trend continue and are we coming to a time when
defined benefit plans will be scarce, or is it simply a protracted period of
adjustment? Are defined contribution plans necessarily the answer or do
they carry inherent risks that will surface in the coming years?
42
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
CAUBO 2006 conference
Environmentally sustainable buildings A new approach to building
John Metras, Director, Plant Operations, University of British Columbia
Michel Rose, Director, Plant Operations, École Polytechnique de Montréal
There are increasing pressures on universities to build environmentally sustainable buildings. The LEED (Leadership in Energy and Environmental Design)
certification process is the standard for measuring the degree of sustainability,
with 4 levels (platinum, gold, silver and bronze) being accorded. Based on
actual experience with LEED buildings and environmental design, the panel
will review the management, financial, and operating challenges of pursuing
the design of environmentally sustainable buildings.
The speakers will provide an introduction to LEED, what it is and isn’t,
and an overview of the major sustainable development actions involved in
each of the LEED categories. The actual experience with the Lassonde project
at the École Polytechnique de Montréal will be presented.
Update on the Federal Granting Agencies’
Financial Monitoring Activities
John Klimczak, Director, Finance and Administration, Canadian Institutes of
Health Research Finance and Administration
Germain Tremblay, Director, Finance and Awards Administration, Natural Sciences
and Engineering Research Council
As stewards of public funds, the institutions have a number of responsibilities which includes the obligation to implement appropriate and effective
policies, administrative systems and controls to ensure that the research is
conducted in compliance with all applicable legal, ethical, accountability and
financial management standards. The financial monitoring visits conducted
by the Agencies provide them with the assurance that the institutions meet
these obligations. Following a visit, the Agencies provide the institutions with
a report on their findings and recommendations.
The presentation will provide some background on the roles and responsibilities of the different partners in the administration of NSERC/SSHRC
and CIHR funds as well as provide the audience with the selection criteria,
the objectives and the approach used by the Agencies in the context of
a financial monitoring visit. The presentation will also cover some of the
common challenges identified during the conduct of the financial monitoring visits and related best practices. Finally, we will provide the participants
with information on the monitoring of the indirect cost program and a
brief update on the “Guide for assessing financial and administrative
control frameworks” at universities.
TUESDAY, JUNE 20
PLENARY SPEAKER
8:30 a.m. to 10:00 a.m.
Westmount/Outremont Ballrooms
Note: simultaneous interpretation will be available for this session.
Higher education in the new millennium:
Breaking boundaries
Bernard Hugonnier, Deputy-Director of the Directorate for Education in the
Organisation for Economic Co-operation and Development (OECD)
Bernard Hugonnier holds a Ph.D. in economics from the University of Paris
Dauphine, an M.A. and A.B.D. in economics from the University of Pittsburgh
(USA), a D.E.A. in Political Philosophy from the University Paris-Sorbonne and
a Masters Degree in economics from the University of Paris Dauphine. He
published several articles in scientific journals and three books.
At the beginning of this millennium, countries and higher education
institutions (HEIs) are facing difficult choices regarding higher education,
notably:
• How can countries and HEIs maintain a system of governance for
higher education which aligns objectives of national policy with goals
of individual institutions, while demand for higher education is
increasing and becoming more diverse?
• How should higher education and research be financed when demand
for rather social expenditure puts pressure on public budgets?
• What can be learned from experiences of countries with varying
proportions of national wealth devoted to these areas?
• How should the quality of higher education and its economic
ands social impact – which is assuming increasing importance –
be assessed?
• What effects do national and international rankings of HEIs have, and
are these effects, on balance, desirable?
• How should HEIs react to these rankings?
• What should the role of HEIs in a competitive, global, knowledge-based
economy be?
• How should they adjust to the new situation?
Mr. Hugonnier will address these questions during his presentation.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
CAUBO 2006 conference
CONCURRENT SESSIONS
Please register separately for these sessions on the Registration Form found in
this issue of the University Manager, or on-line at www.caubo.ca by following
the links under Annual Conference.
10:45 a.m. to 12:00 noon
Please choose one of the following sessions:
Challenges with the funding of PPPs when it
comes to infrastructures: What lessons can be
learned in the case of major projects funded
outside the government budget? (French only)
Andrée De Serres, Professor and responsible for the MBA program for finance
executives at l’École des sciences de la gestion, Université du Québec à Montréal
Ms. De Serres will give some background information and provide an overview
of major projects funded outside government budgets at the international
level. She will also address the following elements related to PPPs:
• Particularities of project-based funding and its legal and
financial base;
• Transfer of risk: the importance of effectively managing risks, the
identification process, the mitigation and allocation of risks to
project partners and contracting parties, phase-based management: design, construction, operation;
• Promoter expectations;
• Expectations of the public as grantor;
• Expectations of creditors.
She will compare the different kinds of PPPs: concessions without recourse and concessions with recourse and lastly, she will outline
the current major challenges associated with PPPs.
Electronic Marketplaces –
A model whose time has come?
Renata Faverin, Chair of OECM Steering Committee, Director, Purchasing and
Contract Services, York University
Bob Moore, Director, Purchasing, The University of Western Ontario
Abder Sbahi, Director, Materials Management Services, University of Ottawa
Stephen Whittaker, Director, Procurement, University of Toronto
Technology is now sufficiently advanced to make electronic marketplaces a
reality. A consortium of approximately 20 universities, colleges and school
boards was created to explore the development of such a marketplace
for the education sector in Ontario. Key functionality and services of the
proposed model will be presented, followed by a discussion of major
challenges. An overview of the state of electronic marketplaces in North
America, for the public sector in particular, as well as the state of the
underlying technology will be included.
The Impact of Research on the University
Community: Cultural and Resource Implications
Angela Hildyard, Vice-President, Human Resources, University of Toronto
Julia Taylor, President, Canadian Association of University Research Administrators
and Coordinator, Research Development, Capital District Health Authority
Whether your institution is research-intensive with large graduate programs or provides a predominately undergraduate education focused
on the learning experience, the growing importance of the research
and innovation agenda is pervasive. This session intends to explore the
implications for the university community when the needs and demands
of this existing or new component of the institution’s mission create
46
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
opportunities and tensions for the culture and sub-cultures, human
resource policies and practices, and frameworks for resource decisionmaking that ultimately impact, given the people-centric nature of our
budgets, faculty and staff.
New Developments in Accountability
Patricia Hibbitts, Vice-President, Finance and Administration, Simon Fraser
University
Andrew Simpson, Vice-President, Operations and Finance, Queen’s University
There are increasing demands on universities for ever more information
and transparency; the demands come from the public at large, elected
officials, governments, donors, and the university community and others.
Universities are called upon to explain their strategies for improving
quality while cutting costs, to show how funds are spent, and to measure
and report on their achievements. A panel of senior university executives
will present the more recent developments in two provinces and present
comparisons with the situation in New Zealand and other jurisdictions.
Risk Management:
What Every Financial Officer Should Know!
Mark Britt, Director of Internal Audit, University of Toronto
Trudy Pound-Curtis, Assistant Vice-President and Chief Financial Officer, York
University
Piya Sen, Manager, Special Projects, Financial Services, University of Saskatchewan
In an environment of increasing emphasis on risk management, the Board’s
attention has focused on the responsibility of the senior finance team to
manage risk. Therefore, the control environment within universities must
adapt and change to meet the new diversity of risk issues facing our
organizations. This session will involve a panel presentation representing three perspectives on risk management which will help equip the
Financial Officer with the knowledge to tackle this important topic in his
home institution.
The first panellist will provide an overview of the global influences
affecting our institutions including Enron, Sarbanes-Oxley and CFO certification. Current Canadian and U.S. management certification and internal
control evaluation requirements will be provided, as well as a review of
efforts undertaken to date by various organizations in order to comply
with these requirements, related lessons learned and practical suggestions
for applying such requirements in a university setting.
The Internal Audit Department at the University of Toronto uses a
risk-based audit approach to systematically identify and assess business
risk and evaluate and report on the effectiveness of the University’s risk
management processes. The University of Toronto presenter will discuss
why internal auditing is not just for breakfast anymore and how the
function forms an integral component of an institution’s risk management model.
York University implemented an Enterprise Wide Risk Management
Framework that established a risk policy, conducted a risk assessment
and developed a risk management strategy. The presentation will focus
on how this process was conducted and how the results of this process
have been integrated into the regular activities of the Senior Administration and the Board of Governors in meeting their institutional governance
requirements.
CAUBO 2006 conference
PLENARY SPEAKER
1:30 p.m. to 2:45 p.m.
Westmount/Outremont Ballrooms
Note: simultaneous interpretation will be available for this session.
Leadership in the University Community
Henry Mintzberg, Cleghorn Professor of Management Studies, Desautels Faculty of
Management, McGill University
Professor Mintzberg’s research has dealt with issues of general management and organizations, focusing on the nature of managerial work, forms
of organizing, and the strategy formation process. Recently, he published a
book entitled Developing Managers, not MBAs; he is currently completing
an electronic pamphlet entitled Getting Past Smith and Marx…Towards
a Balanced Society.
Mr. Mintzberg received his doctorate and Master of Science degrees
from the M.I.T. Sloan School of Management and his mechanical engineering degree from McGill, working in between in operational research for
the Canadian National Railways. He has been named an Officer of the
Order of Canada and of the Ordre national du Québec and holds honorary degrees from thirteen universities. He also served as President of the
Strategic Management Society from 1988-91, and is an elected Fellow of
the Royal Society of Canada (the first from a management faculty), the
Academy of Management, and the International Academy of Management.
He was named Distinguished Scholar for the year 2000 by the Academy
of Management.
Mr. Mintzberg is the author of twelve books, including The Nature of Managerial Work (1973), The Structuring of Organizations (1979), Mintzberg on
Management (1989), The Rise and Fall of Strategic Planning (1994), The
Canadian Condition (1995), and Strategy Safari (1998). Why I Hate Flying
reflects a growing interest in more general writing, also including short stories
and newspaper commentaries. His management articles number over one
hundred, including two Harvard Business Review McKinsey prize-winners,
The Manager’s Job: Folklore and Fact (first place in 1975) and Crafting
Strategy (second place in 1987). One of Mr. Mintzberg books was “written for those of us who spend
our public lives dealing with organizations and our private lives escaping from them.” He escapes on a bicycle, preferably on remote roads in
Europe, up mountains, atop cross-country skis, and in a canoe, the last
two often in the Laurentian wilderness of Québec, usually with his wife,
Saša Sadilova, and sometimes his daughters, Susie and Lisa.
CONCURRENT SESSIONS
3:15 p.m. to 4:30 p.m.
Please choose one of the following sessions:
A Tool for Improving the Performance of
Universities – the Balanced Scorecard (French only)
Michel Vézina, CA, Full Professor at the Department of Accounting Science, HEC
Montréal
The use of scorecards became widespread in the early 1980s. With several
organizational performance models proposed in literature, their popularity
has continued to rise. During this presentation, we will attempt to better
understand the link between strategy, scorecards and the budget process.
We will then look at the characteristics of the most popular performancemeasuring models. The strengths and limitations of these models will be
examined to help participants identify which model would be most useful
for their organization. Afterward, we will see that it is important to put
48
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
together a rigorous development and implementation strategy that takes
into account the organizational objectives and aspirations of managers. We
will therefore analyze the key success factors of these strategies as well
as point out the difficulties associated with developing and implementing
scorecards in university circles.
Renewing your university’s policy framework:
be prepared!
Gwen Bauer, Director, Office of the Vice-President (Finance and Administration),
University of Alberta
Outdated, inadequate or overlooked policies and procedures place your
institution at risk. Like ticking time bombs, it’s only a matter of time
before they cause damage, hurting your finances, reputation, or worse.
The solution might be a complete renewal of your institution’s policies
and procedures. However, like Pandora’s Box, once you’ve opened it, you
may be terrified by what comes out. The University of Alberta will share
its experience in renewing its policy framework, demonstrating how
courage, stamina, and executive support are critical to the success of
such an undertaking.
Developing an Effective Capital Planning System:
A Case Study
Susan Anson, General Manager, VFA Canada Corp.
George Reyes, Director, Facilities Division, Lawrence Berkeley National Laboratory
How can institutions manage property assets in a way that ensures the
wise use of capital expenditures and budget appropriations? This presentation describes the strategic, forward-looking model for long-term facilities
planning and management developed at Lawrence Berkeley National
Laboratory. It will provide an overview of the processes and systems it
employs to determine accurately the lifecycle values of strategic physical
assets, improve overall effectiveness and usefulness of those assets, and
ensure optimal use of funding and resources. Participants will learn how
to develop a complete and accurate asset management strategy to enable
effective planning and investing for the future.
Electronic Fraud
Sylvain Viau, President, ASIMM, Associate Vice-President, Business Continuity,
TechSolCom Groupe Informatique
With new means of communication and information exchanges that are
multiplying around the globe, electronic fraud is more than a real threat. It
is the new way for criminals to get what they want at no risk. This session
will explore the impact of the new tools and the ways that criminals exploit
universities and how it makes universities their favourite victims. CAUBO AWARDS
AND RECOGNITION PROGRAM
The 2006 Quality and Productivity Awards, sponsored by Budget Rent a
Car of Canada, Legg Mason Canada Inc. and SunGard Higher Education
will be presented at 5:30 p.m. on Sunday, June 18, 2006.
The Ken Clements Award, Distinguished Service Awards and Honorary
Memberships will be presented during the President’s Dinner on Monday,
June 19, 2006.
CAUBO 2006 conference
OPTIONAL EVENTS
CAUBO “The Night Before”
CAUBO Dart Tournament
Saturday, June 17
7:00 p.m. – 10:30 p.m. (registration begins at 6:30 p.m.)
Cafeteria, 2500 chemin Polytechnique, École Polytechnique de Montréal
The dart tournament will be held Saturday night at the cafeteria of the main
building of the École Polytechnique de Montréal. When you get off the bus,
volunteers will guide you through our new “Green Building” until you reach
the cafeteria. Once there, you will have the opportunity to show off your skills,
learn a new activity or simply sit back and enjoy the competition. Whatever
you decide, this evening will give you the chance to renew old acquaintances
or strike up some new ones.
The tournament is limited to 60 participants, so register early. If possible, register in teams of two and include the name of your partner on the
registration form.
Fees are $30 and apply to both participants and spectators and include
a light meal.
Shuttle service: Buses will leave the hotel at 6:00 p.m. The last bus will
return to the hotel at 11:00 p.m.
Please register for this event on the Conference Registration Form.
Wine and Cheese Event
Saturday, June 17
6:30 p.m. – 10:00 p.m.
Restaurant Le Cercle, HEC Montréal
Join us at the HEC Montréal to have some fun and discover various wines
and cheeses.
Our guides will be on hand when you get off the bus to walk you the
short distance to the Le Cercle Restaurant at the HEC Montréal. The menu
will include wines and cheeses from a variety of countries.
Come and renew old acquaintances … or meet some new friends!
The cost of this activity is $30 per person and is limited to 100 participants.
CAUBO Golf Tournament
Sunday, June 18
6:00 a.m. to 2:00 p.m.
Club de golf de l’île de Montréal
This year’s tournament will be held at the Club de golf de l’île de Montréal.
It’s like “visiting Ireland only 20 minutes from downtown Montréal”. Both
18-hole courses are links style. Golfers will have the opportunity to put their
patience and skills to the test. The North or South courses will be up to par
for those who love a challenge.
Tee offs will take place on both courses at 8 to 9 minute intervals
depending on the course. The tournament will be played “Vegas” style.
When you arrive, a breakfast will be served while you wait for your tee
time. Following the game, a BBQ lunch will be served under the tent before
returning to the hotel by bus, just in time for the opening session of the
2006 CAUBO conference.
Registration fees are $130 per golfer and include breakfast, the BBQ,
transportation, green fees, golf cart and little extras. Dress code in effect
and spike shoes mandatory.
For further information, please visit www.golf-de-montreal.com. If you
would require rental equipment ($30), please contact the Club representative
responsible for the CAUBO tournaments by e-mail: [email protected] or by phone: (514) 448-6000, extension 232.
Schedule:
5:30 a.m. – Arrival of buses at the hotel
6:00 a.m. – Departure from the hotel
7:00 a.m. – First tee off
11:30 a.m. to 1:30 p.m. – Meal
1:00 p.m. – Prizes and draw
2:00 p.m. – Buses return to hotel
Please register for this event on the Conference Registration Form.
Shuttle service: Buses will leave the hotel at 6:00 p.m. The last bus will
return to the hotel at 10:30 p.m.
Please register for this event on the Conference Registration Form.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
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CAUBO 2006 conference
Join us and our sponsor, Chartwell’s Education Dining Services, for an elegant
evening of fine dining as we honour this year’s CAUBO Recognition Award
winners. The Ken Clements Award, Distinguished Service Awards and Honorary
Memberships will be presented during the evening.
You will also be able to enjoy the music of a 17-piece orchestra throughout this magnificent evening.
After dinner, choose among Montréal’s host of bars and clubs to continue
CAUBO’s tradition of dancing the night away.
The attire for the evening will be “business elegance”.
Farewell Evening sponsored by ARAMARK Canada
Tuesday, June 20
6:00 p.m. to 9:00 p.m.
Salle de la commune, Bonsecours Market
350 Saint-Paul Street East, Old Montréal
Buses will leave the Hilton Montréal Bonaventure between 5:45 p.m. and
6:00 p.m. for the farewell evening that will be held at Bonsecours Market
in Old Montréal.
Bonsecours Market is a sumptuous heritage building with exceptional
surroundings!
Come feast your eyes and be enchanted by the circus. You will be treated
to a magical evening that promises to be truly memorable!
Buses will return to the Hilton Montréal Bonaventure between 8:00
p.m. and 9:15 p.m.
SOCIAL EVENTS
Welcome Reception
Sunday, June 18
4:30 p.m. to 8:00 p.m.
Université de Montréal
Buses will leave the Hilton Montréal Bonaventure at 3:45 p.m. for the opening
ceremonies at the Roger-Gaudry building at the Université de Montréal.
4:30 p.m. to 6:00 p.m. – Guest speaker, Gregory Charles, and presentation of the CAUBO Quality and Productivity Awards. Room K-500 in RogerGaudry building, 2900 Boulevard Édouard-Montpetit
6:00 p.m. to 8:00 p.m. – Welcome Reception
Join us at the Morris-Goodman agora in the Jean-Coutu building immediately
following the opening ceremonies for a tasty and colourful international
cocktail!
Buses will return to the Hilton Montréal Bonaventure between 7:00 p.m.
and 8:15 p.m.
Sunday evening - Dinner on your own at one of Montréal’s many terrific
dining establishments.
President’s Reception, Dinner and Dance
sponsored by Chartwell’s Education Dining Services
Monday, June 19
6:00 p.m. to 11:00 p.m.
Westmount/Outremont Ballrooms, Hilton Montréal Bonaventure
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
The attire for the evening will be “business casual”.
COMPANIONS’ PROGRAM
Registration in the Companions’ Program includes:
Sunday, June 18
4:30 p.m. to 8:00 p.m.
Opening of the CAUBO 2006 Conference
Keynote Speaker and Welcome Reception
Université de Montréal
Monday, June 19
Breakfast
7:00 a.m. to 8:00 a.m.
Westmount/Outremont Ballrooms, Hilton Montréal Bonaventure
President’s Reception, Dinner and Dance
6:00 p.m. to 11:00 p.m.
Westmount/Outremont Ballrooms, Hilton Montréal Bonaventure
Tuesday, June 20
Breakfast
7:00 a.m. to 8:00 a.m.
Westmount/Outremont Ballrooms, Hilton Montréal Bonaventure
Farewell Evening
6:00 p.m. to 9:00 p.m.
Bonsecours Market (Old Montréal)
CAUBO 2006 conference
OPTIONAL TOURS FOR COMPANIONS
NOTE: Companions must register separately for these tours. They are not
included in the above-mentioned Companions’ Program. Additional registration fees apply as listed below. Activities are bilingual.
Monday, June 19, 2006
City Tour of Montréal
9:00 am to 12:00 noon (morning only)
Registration Fee: $40
This city tour will enable you to discover the cultural heritage of Montréal – a
cosmopolitan city with many faces combining old and new. We will go by the
financial district, museums, Place des Arts and the internationally renowned
St-Joseph Oratory. Two stops will be made during the tour, the first one will
be in Old Montréal that boasts the magnificent Notre-Dame Basilica, a Gothic
art masterpiece, and the second stop will be at the top of Mont-Royal to take
in a breathtaking view of the city.
Links:
Notre-Dame Basilica: http://www.basilicanddm.org
St-Joseph Oratory: http://www.saint-joseph.org
Place des Arts: http://www.pda.qc.ca/place-des-arts
Tuesday June 20, 2006
Visit of the Montréal Botanical Garden,
Montréal Biodôme and the Olympic Stadium
9:00 a.m. to 12:00 noon (morning only)
Registration Fee: $65
The tour will begin with a visit to Montréal’s Botanical Garden, the second
largest in the world. It is home to over 20,000 plant species and cultivars.
Special features include the Japanese pavilion, the Chinese garden, the
impressive collection of orchids and the Insectarium. The tour will continue
at the Biodôme, an environmental museum whose concept is unique in the
world. It contains live collections of plants and animals and aims to foster
awareness about the fragile state of our planet and ecosystems. It showcases
four ecosystems: the tropical forest, the Laurentian forest, the St. Lawrence
marine ecosystem and the Arctic/Antarctic polar ecosystems. Then the tour
will head to the Olympic stadium, built for the 1976 summer games, where
participants will ride up in the funicular to the top of the highest inclined
tower in the world.
Links:
Botanical Garden: http://www2.ville.montreal.qc.ca/jardin/jardin.htm
Biodôme: http://www2.ville.montreal.qc.ca/biodome/bdm.htm
Olympic park: http://www.rio.gouv.qc.ca/
The registration fee includes a professional tour guide, chartered bus and
admission fees.
REGISTRATION
Full conference delegate registration fees include: attendance at all sessions
(pre-conference seminars not included), 2 breakfasts (Monday and Tuesday),
4 coffee breaks, 2 luncheons (Monday and Tuesday), Welcome Reception
(Sunday evening), President’s Reception, Dinner and Dance (Monday evening)
and the Farewell Event (Tuesday evening).
Please register now by visiting our website (www.caubo.ca) – click on
Annual Conference, then on CAUBO 2006 and follow the Registration and
Payment instructions or complete the Registration form provided in this
issue of the University Manager. Forward the form with your cheque or
money order, or credit card information to:
Ellyn Holzman
CAUBO 2006
c/o Unconventional Planning
174 Colonnade Road, Unit 25
Ottawa, ON K2E 7J5
Tel: (613) 721-7061
Fax: (613) 721-3581
[email protected]
The registration desk will be located at the Hilton Montréal Bonaventure on
the lower level Saturday through Tuesday. This is where you will pick up your
conference delegate package as it will not be mailed to you in advance.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
CAUBO 2006 conference
On-site Hours for Registration:
Saturday, June 17
7:15 a.m. – 6:00 p.m.
Sunday, June 18
10:00 a.m. to 4:00 p.m.
TRANSPORTATION
Getting to Montréal is easy - by train or plane, riding or driving. You’ll
also find it easy to get around once you’re in the city. The vast majority of
attractions are within walking distance of the downtown core, or minutes
away using public and private transport.
Airlines
Monday, June 19
7:00 a.m. to 5:00 p.m.
The Montréal-Trudeau International Airport is just 18 km from our host hotel,
the Hilton Montréal Bonaventure.
Tuesday, June 20
7:00 a.m. to 5:00 p.m.
Train
General Registration Information
For any further information on the Conference, please contact
Unconventional Planning at (613) 721-7061 or by e-mail at
[email protected].
DRESS CODE
The dress code for the conference is business casual, with the exception
of the President’s Dinner, which is “business elegance”.
Taking the train is a convenient way to get to Montréal. Montréal is a major
stop for domestic trains from eastern or western Canada. Montréal’s Gare
centrale (Central Station) is conveniently connected by an underground
pedestrian walkway to the host hotel, the Hilton Montréal Bonaventure.
We have negotiated special convention discounts on fares with VIA Rail.
Valid:
Territory:
Restrictions:
Discount:
June 15-22, 2006 System-wide to/from Montréal
Fare applies to a maximum of two passengers only
35% discount off Liberty fare in Comfort Class, 5% off
the full VIA1 Class and/or Sleeper fare
Identification: Please reference the CAUBO ID number 10636 in order to
obtain the special fares.
Reservations: 1 800 842-7245
Information: www.viarail.ca
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
53
CAUBO 2006 conference
Car rental companies
CAUBO has national agreements with two car rental companies. The CAUBO
agreements offer ‘University’ members the ‘best available rates’ when quoting
the ID numbers listed below for each supplier. This means you will receive any
special rate being offered if it is lower that the listed ’University’ rates on the
CAUBO website. This could be as much as $10 less per day! Both companies
offer unlimited mileage.
Budget Rent a Car
Reservation ID# A136100
Reservations @ 1 800 268-8900
Enterprise Rent-A-Car
Reservation ID# 5CA1000
Reservations @ 1 800 593-0505
Taxis
Taxis and limousines ensure quick service to and from Montréal’s downtown
core. There is also a shuttle bus service, l’Aérobus, which links the airports to
convenient connecting points in Montréal.
ACCOMMODATIONS
CAUBO 2006 will take place at the Hilton Montréal Bonaventure as will the
pre-conference seminars. We have a block of bedrooms at the Hilton Montréal
Bonaventure, which is located in the heart of downtown Montréal just 18 km
from the Montréal-Trudeau Airport. It is connected to 28 km of underground
access to the metro line, Central Station (train station), office towers, boutiques and restaurants. The Hilton Montréal Bonaventure is minutes from Old
Montréal, the Casino, Notre-Dame Basilica, Olympic Stadium, the Old Port,
Molson Centre, Botanical Garden, Mount Royal Park, Saint-Joseph Oratory,
Chinatown, Biodôme, art galleries and museums.
Room Rates:
Hilton Montréal Bonaventure
900 de La Gauchetière West, Montréal, Québec H5A 1E4
Toll free: 1 800 445-8667
Phone: (514) 878 2332
www.hilton.com
The following room rates have been negotiated at the Hilton Montréal
Bonaventure:
Deluxe (King or Double/Double)
$183.00*/single or double occupancy
Executive Class
$223.00*/single occupancy and $253.00 double occupancy
*(All room rates are subject to applicable taxes)
PLEASE NOTE THAT THE NUMBER OF DELUXE ROOMS AVAILABLE IS LIMITED. ROOMS WILL BE CONFIRMED ON A FIRST COME FIRST SERVE BASIS.
NOTE: Cut-off date for reservations is May 18, 2006.
Reservations at the Hilton Montréal Bonaventure:
Toll free: 1 800 267-2575
Phone: (514) 878-2332
www.hilton.com
PLEASE REFER TO THE CAUBO/ACPAU ROOM BLOCK WHEN MAKING YOUR
RESERVATION IN ORDER TO OBTAIN THESE SPECIAL RATES.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
CAUBO 2006 conference
TOURISM INFORMATION
Montréal the metropolis has everything a big city can offer. But Montréal is
also a one-of-a-kind multicultural city that blends its French accent with that of
over 80 other ethnic communities and charms visitors with its Euro-American
ambiance. Montréal is also innovative and invigorating, offering a whirlwind
of cultural creations, both traditional and modern. Its downtown bustles with
life at the foot of its mountain, while history is rooted in the old quarters near
the river. With its year-round party atmosphere, Montréal beats to the rhythm
of its festivals: jazz, comedy, cinema, fireworks and more! The city beckons you
to discover its fashionable boutiques and famed cuisine, over 30 km of indoor
pedestrian walkways, and its lively casino. Stroll through its colourful streets
and typical neighbourhoods representative of a mosaic of nations or take a
ride along one of its many bicycle paths (over 660 km in the area).
Conference delegates are also invited to extend their visit by considering
the many scenic locations and activities throughout the province of Québec.
For more information please visit:
www.tourisme-montreal.org
www.tourisme.gouv.qc.ca
CONFERENCE SPONSORS
Major events such as CAUBO 2006 would not be possible without the participation of corporate sponsors who willingly contribute their time, money,
products and services to help us put on the best event possible. Thanks to
the outstanding support of the following organizations, our CAUBO 2006
Conference will be memorable indeed.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
55
CAUBO 2006 conference
Thank you to all of our sponsors!
Principal Partners
Other contributors
ARAMARK Canada Ltd.
Chartwells Education Dining Services
Sodexho
Fisher Scientific
Dumelec Experts-conseils Inc.
GE Santé Bio-Sciences Inc.
Globex Courier Express International
Inso
NFOE et associés architectes
Associate Partners
Ameresco Canada Inc.
CIBC Mellon
Corporate Express
Johnson Controls, Inc.
KPMG LLP
Kronos Incorporated
Millennium Computer Systems Ltd.
Mellon Analytical Solutions
National Bank
Premiere Van Lines
RBC Financial Group
Sono Video Inc.
Spring
UBS Global Asset Management (Canada) Co.
Xerox Canada Ltd.
Dart Tournament – Main sponsor
Exhibitors
Additional Golf Tournament sponsors
American Express
AON Parizeau Inc.
Bits In Glass Inc.
Blackboard Inc.
Campus Retail Canada
Canadian Institute of Chartered Accountants
CIBC Commercial Cards
Ciber Inc.
Crown Relocations
Datatel Inc.
Direct Energy Business Services
Duocom
Eckler Partners Ltd.
E&I Cooperative Purchasing
Foliot Furniture Inc.
Follett of Canada
Groupe Conseil INTEGRIM Inc.
Hilton Family Canada
Honeywell
InterContinental Hotels Group
Legg Mason Canada Inc.
Macquarie Capital
Moneris Solutions
RAC Software Inc.
SciQuest Inc.
Sico Inc.
SunGard Higher Education
The Northern Trust Company, Canada
Teknion Roy & Breton
Trane
U.S. Bank Canada
VFA, Inc.
VWR International
56
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Co-operators Investment Counselling Limited
Additional Dart Tournament sponsor
Dubé-Loiselle Inc.
Wine and Cheese Event – Main sponsor
Beutel, Goodman & Company Ltd.
Additional Wine and Cheese Event sponsor
Dubé-Loiselle Inc.
Golf Tournament - Main sponsor
Les Services Ménagers Roy ltée.
Closest to the Pin – Women:
Jodoin Lamarre Pratte et Associés Architectes
Closest to the Pin – Men:
Jodoin Lamarre Pratte et Associés Architectes
Longest Drive – Women:
Bouty
Longest Drive – Men:
MFC Global Investment Management
Inside the Target:
Calculatec Inc.
Putting Contest:
Fiducie Desjardins
Pre-conference Seminar Sponsors
Commonfund Canada
Letko Brosseau & Associates
McLean Budden Ltd.
UBS Global Asset Management (Canada) Co.
UMA Management Services Ltd.
VWR, International
Note: These are the official sponsors at the time of publishing this issue of
University Manager. Additional sponsors may sign on prior to the start of
the Conference.
CAUBO 2006 conference
June 17-20
CAUBO 2006 DELEGATE REGISTRATION FORM
(Please print)
Last Name Ms.
Mrs.
First Name Mr.
Other
Position/Title Institution/Organization Department Mailing Address City Province Country Postal Code Telephone (office) Fax E-mail Please indicate any dietary or special needs MAIN CONFERENCE REGISTRATION
*Please refer to the Preliminary Conference Program for details on all sessions, meals and social activities.
Full conference delegate registration fees include: attendance at all sessions (pre-conference seminars not included), 2 breakfasts (Monday & Tuesday), 4
coffee breaks, 2 luncheons (Monday & Tuesday), Welcome Reception (Sunday evening), President’s Reception, Dinner & Dance (Monday evening) and the Farewell
Event (Tuesday evening).
Companions’ Program Includes: 2 Breakfasts, Opening Keynote Speaker, Welcome Reception (Sunday evening), President’s Reception, Dinner & Dance (Monday
evening) and the Farewell Event (Tuesday evening).
REGISTRATION (See above for list of what is included)
Up to May 5th After May 5th Amount
Member Non-Member
$545
$820
$650
$935
$
$
Companions’ Program
Name(s) of your companion(s):
$260
$260
$
Up to May 5th After May 5th $250
$150
$150
$150
$150
$150
$250
$150
$150
$150
$150
$150
Cost/person
# of persons
REGISTRATION FOR PRE-CONFERENCE SEMINARS
Stu Budden Treasury and Investment Seminar (Sat. June 17 and Sun. June 18)
Procurement Seminar (Sat. June 17)
Human Resources Seminar (Sat. June 17)
Internal Auditors Seminar (Sat. June 17)
Facilities Management Seminar (Sat. June 17)
Financial Reporting Seminar (Sat. June 17)
ADDITIONAL Tickets for Main Conference Social Events
Amount
$
$
$
$
$
$
Amount
If you registered for the conference above, these events are already included in your registration package.
Opening Ceremonies & Welcome Reception (Sun. June 18) President’s Reception, Dinner & Dance (Mon. June 19)
Farewell Evening @ Bonsecours Market – Old Montréal (Tues. June 20)
OPTIONAL EVENTS $75
$100
$85
Cost/person
$
$
$
# of persons
Amount
Saturday, June 17
Dart Tournament
Team Members: (1)
Wine & Cheese Event $30
$
$30
$
$130
$
(2)
Sunday, June 18
Golf Tournament (Includes: transportation, breakfast, lunch, green fees and electric cart)
Name of Golfer: COMPANIONS’ PROGRAM – Scheduled Optional Tours
Cost/person
# of persons
Amount
Monday, June 19 (morning only)
City tour of Montréal (transportation, bilingual guide and visit to the basilica
of Notre-Dame included)
$40
$
$65
$
Tuesday, June 20 (morning only)
Visit of the Montréal Botanical Garden, Montréal Biodôme and the Olympic Stadium (transport, bilingual guide and admission fees included)
Total Payment Attached: $
CAUBO 2006 conference
Please complete both sides of the registration form for each registrant.
Delegate Name:
CONCURRENT SESSION REGISTRATION (For Delegates Only) Concurrent sessions will be held at the Hilton Montréal Bonaventure
Please mark the sessions you plan to attend. You will be able to change these choices at the Conference. Details on each session are
provided in the Preliminary Conference Program and on the CAUBO 2006 website at www.caubo.ca. (Follow the links under Annual
Conference). All concurrent sessions will be presented in English with the exception of the sessions where we have indicated French
session below. These sessions will be presented in French only.
Monday, June 19, 2006
Concurrent Sessions (10:45 am – 12 pm)
Please Check One
Comparative Study of the Costs and Access to Higher Education (French only)
P3 – Public/Private Partnership in Capital Projects
Disaster Planning: are you ready?
Capital Expansion Planning and Financial Management
The Global Practice of Internal Auditing – As Business Officers: What’s in it for you?
Concurrent Sessions (3:15 pm – 4:30 pm)
Please Check One
A Global Vision of Risk Management for Directors (French only)
The Balanced Scorecard – the University of Ottawa Experience
Health of Defined Benefit Plans
Environmentally sustainable buildings: A new approach to building
Update on the Federal Granting Agencies’ Financial Monitoring Activities
Tuesday, June 20, 2006
Concurrent Sessions (10:45 am – 12 pm)
Please Check One
Challenges with the funding of PPPs when it comes to infrastructures: What lessons can be learned in the case
of major projects funded outside the government budget? (French only)
Electronic Marketplaces – A model whose time has come?
The Impact of Research on the University Community: Cultural and Resource Implications
New Developments in Accountability
Risk Management: What every Financial Officer Should Know!
Concurrent Sessions (3:15 pm – 4:30 pm)
Please Check One
A tool for improving organizational performance - the balanced scorecard (French only)
Renewing your university’s policy framework: be prepared!
Developing an Effective Capital Planning System: A Case Study
Electronic Fraud
Inquiries:
For registration inquiries, please contact Unconventional Planning at Tel: (613) 721-7061 or (888) 625-8455 (North America only), Fax: (613)
721-3581 or e-mail: [email protected]. Please visit www.caubo.ca for conference information.
Please check if you prefer not to have your name, title and organization identified on the list of participants that \CAUBO
shares with delegates and sponsors.
Payment by Credit Card:
Visa MasterCard
American Express
Card No.: Expiry Date: Cardholder Name: Signature: *Your CAUBO 2006 payment will appear as “AUCC/CAUBO” on your monthly credit card statement.
Payment by Cheque or Money Order: Please make your cheque or money order in Canadian funds, payable to CAUBO.
Payment Policy:Conference registrations are not considered confirmed until full payment is received. All conference registration fees must be paid prior
to the commencement of CAUBO 2006 (June 17, 2006). This includes payment for all optional events.
Cancellation Policy:Registration fees less a $45.00 administration fee will be issued for cancellations received by June 1, 2006.
No refunds will be issued after this date. If you are unable to attend, you may substitute someone in your place.
All cancellations and substitutions must be received in writing. Refunds will be processed after the conference.
On-Line
By mail
By fax
www.caubo.ca
(Please follow the links
under Annual Conference.)
CAUBO 2006
174 Colonnade Road, Unit 25
Ottawa, ON K2E 7J5
(613) 721-3581
(Credit card registrations only)
CAUBO 2006 conference
Sponsor Profiles/Profils de commanditaires
Ameresco Canada Inc.
National Bank
Ameresco Canada works closely with clients to offer innovative energybased solutions that help clients renew aging facilities while reducing
energy costs.
The National Bank MasterCard Corporate Card program enables you to
simplify your purchasing process and reduce the associated costs significantly. It offers many advantages to your organization as well as to your
employees and suppliers.
ARAMARK Canada Ltd.
ARAMARK Campus Services provides food services, refreshment services
and facility services to more than 50 Canadian universities and colleges. ARAMARK delivers exciting innovation, uncompromising quality
and greater cost efficiencies. Contact Rob McNern at 1-416-255-6131
Ext. 447 [email protected]
Premiere Van Lines
Chartwells Education Dining Services
RBC provides a comprehensive package of full banking services to college
and institutes across Canada. RBC Royal Bank is a market leader in service to the public sector with significant relationships in every segment
of the industry. Our business relationship goes beyond offering products.
It includes understanding and partnering with public sector businesses,
helping them to identify areas for growth and efficiency and suggesting
practical, cost-effective ways to make the most of those opportunities.
For more information: www.rbcroyalbank.com/publicsector
Chartwells brings to more than 250 locations across Canada its tradition
of superior value, customer-focused service, satisfying health and nutrition options, and exciting promotions designed to appeal to all students.
Chartwells is a member of Compass Group Canada, the proud recipient
of the 2004/2005 Canadian Association of Food Service Professionals
(CAFP) ‘Corporate Educator of the Year.’
CIBC Mellon
With total assets under administration of $825 billion, CIBC Mellon
leverages customized solutions to assist you in managing your fund
efficiently and cost effectively while controlling risk in a complex global
environment.
Fisher Scientific
Fisher Scientific is a major provider of more than 250,000 products and
services to research centres, health care, educational and industrial customers nation wide. We serve scientists engaged in biomedical, pharmaceutical,
chemical and other fields of R & D. Contact us at www.fishersci.ca or
1-800-234-7437.
Johnson Controls, Inc.
Johnson Controls creates environments for learning and living – building, modernizing, and operating facilities; creating safe, comfortable and
sustainable environments; and lowering operating and capital costs.
KPMG LLP
KPMG is a Canadian leader in delivering audit, tax and advisory
services. With a global network of professionals, KPMG responds to
clients’ complex business challenges across Canada and around the
world. www.kpmg.ca
Kronos Incorporated
The most trusted name in workforce management, Kronos helps
organizations to staff, develop, deploy, and track their workforce,
while reducing costs, increasing productivity and improving employee
satisfaction.
Mellon Analytical Solutions
Mellon Analytical Solutions is a leading provider of performance measurement, attribution, analytics and universe comparison services to pension
and endowment funds around the world. www.RussellMellon.com
As one of North America’s largest moving companies, we offer packing,
crating and transportation of household goods, laboratories and vehicles
world wide. Experience ‘The Art of Moving.’
RBC Financial Group
Sodexho
Sodexho offers innovative outsourcing solutions to food service,
housekeeping, grounds keeping, plant operations and maintenance,
asset and materials management, and laundry services. With 130,000
employees at more than 6,000 North American locations, Sodexho
is proud to be a Gold level member of PAR (Progressive Aboriginal
Relations) and involved with Feeding our Future. Visit our web site at
www.sodexho.ca
Sono Video Inc.
SANYO Canada’s Educational Program, IlluminatED
Special pricing on LCD projectors. 905-760-4016, www.sanyo.ca
Sono Video is an expert consultant in audio-video and audio-visual
solutions. Contact us at www.sonovideo.com or 1-514-322-8774.
Spring
Spring (formerly TNT International Mail) is the world’s largest, independent cross-border mail solutions provider. We seek not only to
revolutionize the international mail industry, but also to own the best
reputation for excellent customer service by handling your mail as if
it were our own. We offer greater choice, both in service and tailored
solutions. For the higher education market, contact J.J. Hian-Cheong
1-800-461-8454 Ext. 202
UBS Global Asset Management (Canada)
UBS Global Asset Management offers world-class investment management solutions for treasury, pension, foundation and endowment clients
through offices in Toronto, Montreal and Vancouver.
Xerox
Xerox is a technology and services enterprises that helps customers deploy
smarter document management strategies and find better ways to work. It
offers an array of innovative document solutions, services and systems.
Millennium Computer Systems
Since 1994, Millennium has worked with higher education institutions
across Canada to create F.A.S.T. – Financial Administration Support Tools.
F.A.S.T self service web-based solutions layer over and integrate with
major ERP systems, including Banner, Peoplesoft and others.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
59
du 17 au 20 juin 2006
Congrès de l’acpau 2006
Bienvenue à tous !
Un complexe universitaire de renom
Fondée en 1878, l’Université de Montréal forme aujourd’hui avec ses deux
écoles affiliées, l’École Polytechnique et HEC Montréal, le premier complexe universitaire au Québec et le deuxième au Canada. Elle accueille
plus de 55 000 étudiants, emploie 10 000 personnes et décerne près de
10 000 diplômes à tous les cycles d’études. Montréalaise par ses racines,
internationale par vocation, l’Université de Montréal compte parmi les plus
grandes universités de la francophonie.
Nous avons le plaisir de vous convier à Montréal, au prochain congrès
annuel de l’ACPAU, qui se déroulera du 17 au 20 juin 2006. Nos différents
comités sectoriels se sont appliqués, au cours des derniers mois, à préparer
un programme à la hauteur des attentes des participants et nous sommes
persuadés que tous y trouveront leur compte autant en ce qui a trait au
développement des compétences, au partage des expériences, qu’aux possibilités de réseautage.
C’est autour du thème « Au rythme du monde » que nos discussions et
échanges se dérouleront. Tant la qualité des conférenciers et des présentateurs que la pertinence des sujets abordés seront des gages de réussite.
Le conférencier invité à l’ouverture du congrès, le dimanche 18 juin, est
Gregory Charles. Musicien, motivateur, ami de l’Université et de sa Faculté
de musique, Gregory Charles est un passionné qui vous émerveillera. Nous
aurons aussi un panel composé du recteur de l’Université de Montréal, Luc
Vinet, du directeur de HEC Montréal, Jean-Marie Toulouse, et du directeur
général de l’École Polytechnique, Robert L. Papineau. D’autres conférenciers
prestigieux tels que Henry Mintzberg, Laurent Lapierre et Bernard Hugonnier,
de l’OCDE, rehausseront nos réflexions tout au long du congrès.
En marge des présentations et séminaires, les activités sociales et le
programme des conjoints couronneront ce qui sera sans aucun doute un
congrès qui passera à l’histoire de l’ACPAU. Les activités du samedi soir
et la cérémonie d’ouverture auront lieu sur le campus de l’Université de
Montréal, de HEC Montréal et de l’École Polytechnique. La soirée de clôture,
soirée de prédilection pour notre Association, se déroulera dans un des
sites les plus enchanteurs du Vieux-Montréal : le Marché Bonsecours. Les
participants pourront pleinement profiter des charmes du Vieux-Port et de
la vie estivale montréalaise.
Les membres du Comité organisateur de l’Université de Montréal, de
HEC Montréal et de l’École Polytechnique sont fiers de vous accueillir à
Montréal.
Membres du Comité organisateur local :
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Carole Boudreau
Denys Bussières
Louise Demers
Moréno Dumont
Nancy Freeman
Monique Garcia
Pierre Jalbert
Hélène Lafortune
Francine Martel
•
•
•
•
•
•
•
•
•
Louis Mathieu
Bernard Motulsky
Christine Nadeau
Renée Pelletier
André Racette
Guylaine Rivard
Luc Savaria
Danielle Savard-Trouvé
André Tanguay
Visitez notre site Web <www.acpau.ca> pour
vous inscrire au congrès 2006 de l’Association.
Prenez note que ce site sera mis à jour de façon régulière pour que vous
puissiez vous renseigner sur les changements et les ajouts qui pourraient être
apportés au programme.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
61
Congrès de l’acpau 2006
Samedi 17 JUIN
SÉMINAIRES PRÉCONGRÈS
Veuillez vous inscrire séparément à ces séminaires sur le formulaire
d’inscription.
Les séminaires précongrès se tiendront au Hilton Montréal
Bonaventure.
SÉMINAIRE SUR LA TRÉSORERIE ET
LES PLACEMENTS STU BUDDEN
Petit-déjeuner de trésorerie et placement
Cette expérience commence à se refléter dans les universités et les
collèges, où l’on voit la fonction exister de plus en plus à l’échelle du
vice-rectorat. Il y a un large éventail de structures, mais il est raisonnable
d’affirmer que les RH ne sont représentées à la haute direction que dans
un très petit nombre de cas. Des praticiens des RH de toute provenance
structurelle participeront à cette discussion.
M. Cavanaugh est membre de l’équipe de la haute direction de
l’Université de la Floride. Il nous fera part de son expérience aux ÉtatsUnis et de son opinion sur les possibilités et les écueils de ce nouveau
rôle des RH dans les universités et les collèges. Puis nous entamerons une
discussion sur notre rôle dans nos établissements respectifs, partant de
l’état actuel de la situation pour envisager ensuite la réalisation de notre
plein potentiel.
Séance de l’après-midi
De 8 h à 9 h - Salon Mont-Royal
Tables rondes sur des sujets
d’intérêt pour les praticiens des RH
Séminaire
De 9 h à 16 h 30 - Salons Verdun, Lachine, Lasalle
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
C’est avec grand plaisir que le Comité de trésorerie et placement de l’ACPAU
vous accueille au séminaire sur la trésorerie et les placements Stu Budden.
Cette année, le sémi.naire inclura des prévisions économiques et des prévisions
de marché de François Trahan, stratège en chef chez Bear, Stearns, à New
York. Sont également prévus des exposés sur les stratégies à valeur ajoutée
ainsi que sur l’appariement des actifs et des passifs présentés par John Ilkiw,
vice-président - recherche et gestion du risque, à l’Office d’investissement
du Régime de pensions du Canada, ainsi qu’un panel sur la gestion de la
trésorerie. Maurice Cohen, de Commonfund Canada, donnera un aperçu de
l’étude comparative canadienne de cet organisme.
En plus des conférences, il y aura une série de tables rondes en séances
privées qui fourniront aux délégués l’occasion de discuter de dossiers et
de sujets qui les préoccupent en plus de leur permettre de partager avec
des collègues d’autres universités canadiennes leurs expériences dans les
domaines de la trésorerie et de l’investissement. De nouveau cette année,
ce séminaire comprendra une présentation des résultats du sondage annuel
de l’ACPAU sur les placements. Les séances privées (tables rondes) se
dérouleront selon un horaire réparti sur une journée et demie.
SÉMINAIRE SUR
LES RESSOURCES HUMAINES
De 8 h 30 à 9 h
De 9 h à 16 h De 12 h à 13 h 30
Salon Portage
Petit-déjeuner continental
Séminaire
Déjeuner
Séance du matin
Ressources humaines stratégiques :
notre rôle en constante évolution
Kyle J. Cavanaugh, vice-recteur - ressources humaines, University of Florida
Dans de nombreuses organisations, la fonction des ressources humaines (RH)
joue un rôle de premier plan et son titulaire interagit pleinement avec les
autres leaders de l’organisation. Cette fonction s’est transformée et comporte
désormais à la fois une dimension stratégie et un volet exécution. Dans bon
nombre de ces organisations, le leader principal des RH est membre de la
haute direction et contribue aux prises de décision à cet échelon.
62
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Les deux séries de tables rondes simultanées de l’après-midi sont conçues
pour susciter la discussion autour de sujets d’importance pour les praticiens
des RH. Les participants pourront choisir deux sujets parmi les suivants :
• références pour mesurer l’efficacité et l’efficience des RH ;
• questions relatives à la retraite obligatoire ;
• recrutement et fidélisation du personnel : mise en commun des défis,
marchés « chauds » et bassins de candidats ;
• questions quant à la capitalisation et la solvabilité des régimes de
retraite ;
• communications relatives aux RH : Web et autres tendances ;
• stratégies de gestion des coûts des avantages sociaux ;
• initiatives et outils de gestion du rendement et du perfectionnement ;
• vérification des casiers judiciaires des employés ;
• perfectionnement en leadership : volet académique et volet administratif, stratégies et programmes.
SÉMINAIRE SUR
LES APPROVISIONNEMENTS
De 8 h à 8 h 30
Petit-déjeuner continental
De 8 h 30 à 16 h 30 Séminaire
De 12 h à 13 h 30
Déjeuner
Salon Côte-Saint-Luc
Séance du matin
Évaluation des risques et douanes dans
le contexte universitaire : nouveautés
Sue McDonald, directrice, division douanes et commerce international, KPMG LLP
Ray Williamson, agent de douanes et de transport, service des achats, University
of Western Ontario
Dave Zavitz, vice-président aux ventes et au marketing, Livingston International Inc.
Connaissez-vous dans son entier la nouvelle réglementation relative
aux importations et aux exportations ? Que fait votre établissement pour
atténuer les risques de non-respect des exigences en matière de douanes ?
Les panélistes présenteront diverses perspectives des changements récents
apportés à la réglementation de l’Agence des services frontaliers du Canada
et leurs répercussions sur les universités canadiennes. Une discussion
ouverte suivra les présentations. Il s’agit là d’une occasion pour comprendre
les secteurs à risque dans les universités et explorer des options possibles
afin d’atténuer ces risques.
Congrès de l’acpau 2006
Séance de l’après-midi
Fraude électronique
Des achats à l’approvisionnement : vraiment ?
Sylvain Viau, président, ASIMM et vice-président adjoint à la continuité des
affaires,TechSolCom Groupe informatique
Jean Nollet, titulaire de la Chaire de gestion des approvisionnements, HEC Montréal
Le service des achats a d’abord été une fonction administrative et elle a
été perçue comme telle jusqu’au début des années 80. Son rôle stratégique
n’a été reconnu par la haute direction que dans les années 90. Ou était-ce
avant ? Par ailleurs, la réalité ne correspond peut-être pas à ce qu’on lit de
positif dans des articles sur le sujet ou à ce que certains professionnels de
l’approvisionnement semblent tenir pour acquis.
On dit souvent que le fait de comprendre le passé aide à mieux préparer
l’avenir. Après avoir présenté l’évolution des achats, y compris les pressions
exercées sur cette fonction et ce service, Jean Nollet appliquera certaines
leçons tirées de l’expérience à trois situations qui revêtent de l’importance
pour l’avenir de la fonction de l’approvisionnement : groupements d’achat,
questions de gouvernance, externalisation et internalisation.
Après la présentation, les participants auront l’occasion de se pencher en
groupes restreints sur les sujets abordés et les compétences requises. Suivront
une brève discussion avec l’ensemble des participants et une synthèse.
L’avenir sera très certainement différent. Peut-on vraiment compter là-dessus?
SÉMINAIRE SUR
LA VÉRIFICATION INTERNE
De 8 h à 8 h 30
De 8 h 30 à 16 h 30
De 12 h à 13 h 30
Salon Hampstead
Petit-déjeuner continental
Séminaire
Déjeuner
Vos connaissances professionnelles seront enrichies à la suite des présentations données par des spécialistes du « plaidoyer en faveur de la vérification
interne », de la « fraude électronique » et du « paysage évolutif de la vérification interne dans le milieu de l’enseignement supérieur aux États-Unis ».
Tout au long de la journée, vous aurez également l’occasion d’échanger avec
vos pairs en tables rondes sur des dossiers et des préoccupations d’actualité
pour les vérificateurs du milieu universitaire, de mettre en commun vos connaissances et de partager vos expériences afin de faire progresser le rôle du
vérificateur interne. Nous vous encourageons à réseauter avec vos collègues
de l’ensemble du pays, qui demeurent accessibles tout au long de l’année
par l’entremise du groupe Listserv des vérificateurs internes.
La fraude électronique est à la mode chez les escrocs. Le nombre croissant
de cas laisse croire que les fraudes deviennent de plus en plus acceptées
socialement. Plus de trois internautes sur quatre en Amérique du Nord ont été
victimes de fraude électronique ou d’autres pratiques commerciales répréhensibles. Les étudiants et les petites entreprises sont des cibles idéales.
Au cours de cette séance, les participants exploreront les enjeux du
point de vue de l’université avec un expert du domaine. Ils y obtiendront
de l’information de base, seront sensibilisés aux secteurs à risque dans les
universités et se renseigneront sur des solutions possibles pour contrer la
fraude électronique sur les plans technologique et légal.
Paysage évolutif de la vérification interne dans le
milieu de l’enseignement supérieur aux États-Unis
Betsy Bowers, vice-rectrice associée, vérification interne et conseils en gestion,
University of West Florida
Mme Bowers est présidente internationale de l’Association of College and
University Auditors (ACUA), organisme créé aux États-Unis. Elle a accepté de
venir partager avec nous ses idées sur la situation de la vérification interne
dans l’enseignement supérieur aux États-Unis.
Elle donnera un aperçu de l’évolution de la vérification interne et fera
un survol des normes de l’Institute of Internal Auditors (IIA). Ensuite, elle
présentera sa vision de ce que les vérificateurs internes doivent observer
dans le domaine de l’enseignement supérieur et parlera de fraude ainsi que
d’autres sujets d’actualité. Pour terminer, elle expliquera ce qu’est l’ACUA
et en quoi cet organisme peut aider les universités canadiennes.
SÉMINAIRE SUR
LA GESTION DES INSTALLATIONS
De 8 h à 8 h 30
De 8 h 30 à 12 h
De 12 h à 13 h
Salon Fundy
De 13 h à 16 h 30
Petit-déjeuner continental
Séances
Déjeuner
Visites guidées du campus
Séances du matin
Présentations :
Analyse comparative : sondage sur les
données de base relatives aux installations
(Facilities Core Data Survey)
La vérification interne fait la manchette : plaidoyer
en faveur de la profession en 2006 et au-delà…
Darryl Boyce, directeur, gestion des installations, Carleton University
Des représentants de l’Association of Higher Education Facilities Officers (APPA)
Un représentant du groupe de travail spécial de l’ACPAU sur la gestion des installations
Brian Brown, chef de la vérification, Agricore United
M. Brown est à la tête du Comité de promotion de la vérification interne de
l’Institute of Internal Auditors (IIA). À l’heure actuelle, il est le seul membre
canadien siégeant au conseil d’administration de cet organisme international.
M. Brown est passionné par la défense et la promotion du rôle des vérificateurs
internes et a fait d’excellentes présentations sur le sujet à la Commission des
valeurs mobilières de l’Ontario et au gouvernement fédéral.
Dans son exposé, M. Brown traitera de la place qu’occupe aujourd’hui la
vérification interne dans la société et de la façon dont, selon lui, le monde
percevra la vérification interne dans l’avenir. Le passage d’une vision à
l’autre représente un effort de promotion considérable. Il parlera de réussites
passées, d’activités en cours et de projets à venir. Enfin, M. Brown évoquera
le rôle important que joue chaque vérificateur interne dans la démarche de
promotion de la fonction et invitera chaque praticien à pousser à la roue.
Au cours de cette séance, les participants recevront des nouvelles récentes
au sujet du sondage sur les données de base relatives aux installations de
l’APPA, appuyé par l’ACPAU. Ils auront l’occasion de discuter de la pertinence
du sondage, de soulever des questions quant à l’interprétation des données et
d’envisager des façons d’améliorer les choses. Un processus standard adopté
par toutes les universités ontariennes afin de vérifier l’état des bâtiments et
de déterminer la valeur de l’entretien différé sera présenté.
Une discussion générale suivra sur la qualité des données, les indicateurs
et leur utilité ; il sera aussi question des manières d’augmenter la participation et des suites à donner au sondage.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
63
Congrès de l’acpau 2006
Les défis que posent les changements climatiques
Trish Chartrand, gestionnaire, changements climatiques et registre des GES,
Association canadienne de normalisation
La présentatrice donnera un aperçu du programme fédéral sur la réduction des
gaz à effet de serre (GES). Elle fera également un survol de l’état des registres
des GES et elle parlera de la participation des universités pour favoriser leur
réduction. Elle exposera les grandes lignes de la certification ISO 14064,
mécanisme permettant de promouvoir et d’améliorer la réduction des GES,
et présentera aux participants le marché d’échange d’émissions.
Durabilité et bâtiments LEED : perspective de la
fonction de gestion des installations
John Metras, directeur, Service des immeubles, University of British Columbia
M. Metras présentera l’expérience vécue à UBC avec les bâtiments LEED,
plus particulièrement avec le bâtiment des sciences de la vie qui a obtenu
la certification LEED Or. Divers aspects seront abordés : design; caractéristiques financières et d’exploitation des bâtiments LEED ; préoccupations,
écueils et possibilités qu’offrent ces bâtiments aujourd’hui aux gestionnaires
des installations. Des échanges sont prévus parmi tous les participants au
congrès.
Rôle de l’ACPAU dans la gestion des installations
Carole Workman, directrice générale, ACPAU
Mme Workman animera une discussion au sujet du rôle de l’ACPAU quant à
la gestion des installations à l’échelle nationale.
Séances de l’après-midi
Visite guidée des installations universitaires
L’après-midi sera consacré à une visite guidée du campus et de quelques bâtiments du complexe universitaire; l’accent sera mis sur les défis et les réussites
propres aux universités du point de vue de la gestion des installations. Il y aura
quatre miniprésentations (de 15 à 30 minutes) axées sur un aspect pertinent
directement lié au bâtiment dans lequel la présentation a lieu.
L’entretien différé : conséquence immobilière mais
également conséquence d’usage
Robert Couvrette, PMP, directeur général, Direction des immeubles, Université de
Montréal
Pavillon Roger-Gaudry :
amphithéâtre Ernest-Cormier (salle K-500)
La courbe ascendante de l’entretien différé grimpe dans différents parcs
immobiliers et engendre un coût de réfection toujours plus grand ; plus
grave encore, elle a des répercussions sur la qualité de vie, le recrutement et
la fidélité des usagers.
Allier l’enseignement et la recherche
Alan Orton, architecte et associé principal, NFOE et associés architectes
Pavillon Jean-Coutu : amphithéâtre SI-151
Durant cette présentation seront explorés les défis relevés dans le design
des nouveaux pavillons Marcelle-Coutu et Jean-Coutu de l’Université de
Montréal. Ce complexe abrite la Faculté de pharmacie et le nouvel Institut de
recherche en immunologie et en cancérologie (IRIC). La présentation sera axée
sur les solutions de design élaborées pour les activités d’enseignement et de
recherche ainsi que pour les lieux de rencontre qui se trouvent à l’intersection
des deux pavillons.
64
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Approche LEED aux pavillons Lassonde de l’École
Polytechnique de Montréal
Michel Rose, directeur général et ingénieur, Service des immeubles, École
Polytechnique
Pavillon Lassonde de l’École Polytechnique :
amphithéâtre M-1120
Présentation des principales étapes dans la conception, la construction et
l’exploitation des pavillons Lassonde dans un contexte de développement
durable et d’une certification LEED Or obtenue en 2005.
Les technologies de l’information dans
l’enseignement à HEC Montréal
Paul Mireault, professeur agrégé et directeur des technologies, HEC Montréal
Pavillon principal de HEC Montréal : amphithéâtre IBM
Au cours de cette séance, M. Mireault parlera de la mise en place de
l’infrastructure technologique et pédagogique afin d’offrir un enseignement maximisant l’utilisation de l’ordinateur portatif par plusieurs milliers
d’étudiants.
SÉMINAIRE SUR
LES SERVICES FINANCIERS
De 8 h 30 à 9 h
De 9 h à 16 h 30
De 12 h à 13 h 30
Salon Verrière
Petit-déjeuner continental
Séminaire
Déjeuner
Le Comité sur les rapports financiers de l’ACPAU est heureux d’animer un
séminaire précongrès d’une journée qui s’adresse aux membres dont le travail
porte sur l’information comptable et financière ; les répercussions de ces données sur les universités seront aussi abordées. Les membres qui s’intéressent
à ces questions sont aussi les bienvenus.
Le Comité entamera la journée par la présentation d’un document décrivant le un directeur pour l’avenir, qui vise à fournir de l’information financière
plus fiable et pertinente au sein des universités (Blueprint for the Future:
Providing More Reliable and Timely Financial Information in Universities).
Pendant cette séance, l’accent sera mis sur l’orientation future du rapport
« Information financière de l’ACPAU » et celle du Comité. Plus particulièrement, le Comité présentera sa réponse au rapport du Comité spécial sur
l’analyse du rapport « Information financière de l’ACPAU », qui a été publié
en décembre 2004. Grâce à un débat libre, cette séance sera également
l’occasion pour les participants de donner leur avis sur les propositions au
sujet de l’orientation du Comité.
Des représentants du bureau de Montréal de Deloitte & Touche LLP feront
un tour d’horizon des questions relatives au manuel de l’Institut canadien des
comptables agréés en insistant sur les changements récents et à venir qui
touchent les normes comptables ainsi que les normes de vérification. De plus, ils
commenteront les tendances sur les scènes nationale et internationale, y compris
la migration stratégique des normes comptables canadiennes pour qu’elles
reflètent celles qu’a adoptées l’International Accounting Standards Board.
Le Comité a passé en revue les réseaux et demandé aux cadres des
services financiers de proposer des sujets brûlants liés à leurs activités. Les
conférenciers consacreront une partie de la séance à traiter de ces sujets et
à donner des conseils judicieux.
En plus des présentations, il y aura une table ronde enrichissante qui
fournira aux délégués l’occasion de discuter de dossiers et de thèmes qui
les préoccupent ainsi que de partager leurs expériences avec des collègues
d’autres universités canadiennes. Cette table ronde est conçue de manière à
aborder des sujets pour lesquels les participants auront manifesté un intérêt
avant la tenue du séminaire ; un document imprimé résumant les enjeux et
les pistes de solution leur sera remis.
Congrès de l’acpau 2006
Dimanche 18 JUIN
SÉMINAIRE SUR LA TRÉSORERIE ET
LES PLACEMENTS STU BUDDEN
Petit-déjeuner de trésorerie et placement
De 8 h à 9 h - Salon Mont-Royal
Séminaire
De 9 h à 12 h - Salons Verdun, Lachine, Lasalle
Retour sur les discussions de la journée précédente
Bref, Gregory Charles est un homme de toutes les couleurs et de toutes
les saisons ! Il vous convie à une conférence où il vous entretiendra de ses
origines, de ses passions et de ses idées.
PROGRAMME DE LA QUALITÉ ET
DE LA PRODUCTIVITÉ 2006
De 17 h 30 à 18 h
Remise des prix 2006 de la qualité et de la productivité, qui sont commandités par Budget Rent a Car of Canada, Legg Mason Canada Inc. et SunGard
Higher Education.
CÉRÉMONIE D’OUVERTURE
15 h 45 : départ des autocars vers l’Université de Montréal
Mot de bienvenue
De 16 h 30 à 16 h 45
Pavillon Roger-Gaudry : salle K-500 Université de Montréal
Luc Vinet, recteur de l’Université de Montréal, souhaitera la bienvenue
aux délégués.
CONFÉRENCIER INVITÉ
De 16 h 45 à 17 h 30
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
Au rythme du monde
Gregory Charles
Musicien, motivateur et ami de l’Université de Montréal et de sa faculté de
musique, Gregory Charles a accepté de donner la conférence d’ouverture le
dimanche 18 juin.
Gregory Charles était tout désigné pour donner le ton au congrès 2006
de l’ACPAU. En effet, il symbolise de manière remarquable le thème du
congrès : né d’une mère québécoise et d’un père trinidadien, il a vécu une
enfance où l’art et la musique étaient omniprésents.
Mais il y a plus ! Gregory Charles est un passionné. Il a déjà une longue
feuille de route. Son travail en tant qu’enseignant et juriste suffirait à le
qualifier d’homme à l’esprit universel, mais cela ne représente qu’une infime
partie du personnage. Gregory Charles est également un artiste accompli,
au sens traditionnel du terme.
Entre 1975 et 2006, voilà ce qu’il a accompli :
• il a représenté le Canada comme pianiste à Paris, au Mexique et au
Carnegie Hall à New York ;
• il a animé une émission scientifique pour les jeunes intitulée GO Figure
(diffusée pendant huit ans), un jeu télévisé de langue française (Que
le meilleur gagne) pendant cinq ans, et il anime encore à ce jour sa
propre émission de radio hebdomadaire nationale à Radio-Canada ;
• il est chef et directeur d’une chorale de jeunes ;
• il a effectué une tournée avec Céline Dion (États-Unis, Chine, Japon et
Canada) ;
• il a à son actif deux spectacles : Deux pianos, quatre mains, en français
et en anglais (Canada et États-Unis), et Noir et blanc , qui a reçu en
2003 le prix canadien du meilleur spectacle de l’année et qui a été
présenté au théâtre Beacon à New York. Au cours de sa carrière, il a interviewé des personnalités telles que
Nelson Mandela et Son Altesse Royale le prince Charles.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
65
Congrès de l’acpau 2006
Lundi 19 JUIN
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE
DE L’ACPAU
De 8 h à 8 h 30
Salles de bal Westmount et Outremont
CONFÉRENCIERS DE LA
SÉANCE PLÉNIÈRE
De 8 h 30 à 10 h
Salles de bal Westmount et Outremont
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
Séance plénière des recteurs : « Un complexe universitaire de calibre mondial »
Luc Vinet, recteur, Université de Montréal
Robert L. Papineau, directeur général, École Polytechnique
Jean-Marie Toulouse, directeur, HEC Montréal
L’ouverture sur le monde et l’avant-gardisme sont sources d’inspiration pour
ces conférenciers.
Avec comme toile de fond le volet international, il sera question de développement durable, de recherche et du monde des affaires.
LUC VINET est titulaire d’un doctorat en physique théorique de l’Université
Pierre et Marie Curie et d’un doctorat dans cette même discipline de l’Université
de Montréal. Il occupe le poste de recteur de l’Université de Montréal depuis
le 1er juin 2005.
ROBERT L. PAPINEAU est titulaire d’un doctorat en « Industrial and Systems
Engineering » de l’Université de Floride. Il s’est joint à l’équipe de l’École
Polytechnique de Montréal en juin 2002 à titre de directeur général.
JEAN-MARIE TOULOUSE est titulaire d’un doctorat en psychologie sociale
de l’Université de Montréal. Il occupe le poste de directeur de HEC Montréal
depuis le 1er janvier 1995.
SÉANCES SIMULTANÉES
Veuillez vous inscrire séparément à ces séminaires en utilisant le formulaire
prévu à cette fin dans ce numéro de Gestion universitaire ou en ligne, à
l’adresse <www.acpau.ca> ; suivez les liens proposés sous la rubrique
« Congrès annuel 2006 ».
De 10 h 45 à 12 h
Veuillez choisir une séance parmi les suivantes :
Étude comparative du coût des études supérieures
et de l’accessibilité aux études supérieures
(séance présentée en français seulement)
Alex Usher, vice-président recherche et directeur (Canada), Educational Policy Institute
La conférence compare le coût des études supérieures dans 15 pays à l’aide de
plusieurs indicateurs : les droits et les frais de scolarité, les frais de subsistance,
le produit intérieur brut par personne, les bourses, les prêts et la taxation. Alors
qu’on croit généralement que les déboursés directs pour poursuivre des études
universitaires sont beaucoup plus élevés aux États-Unis, l’étude démontre que
les écarts entre les pays sont beaucoup moins grands que prévu.
Mais existe-t-il un lien entre le coût des études et l’accessibilité
aux études supérieures ? Pour brosser un tableau de l’accessibilité aux
études dans les différents pays, l’étude analyse le taux d’accès et le taux
d’achèvement, la participation des hommes et des femmes ainsi que l’effet
du niveau de scolarité des parents.
Lorsque l’on compare ensuite le tableau des déboursés directs et celui
de l’accessibilité, plusieurs surprises nous attendent.
66
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Congrès de l’acpau 2006
P3 – Partenariats public-privé pour les projets
d’immobilisation
Steve Dantzer, directeur de l’infrastructure du campus, University of Calgary
Peter Dixon, vice-président, Direct Energy Business Services
Richard Ogilvie, directeur, gestion du matériel, University of Calgary
En 2004, l’Université de Calgary décidait qu’il lui fallait adopter une approche
globale pour la gestion de ses besoins énergétiques. Une telle approche devait
contribuer à l’atteinte de l’objectif que l’Université s’était fixé : devenir un
établissement économiquement viable et durable sur les plans environnemental et social. Les besoins énergétiques de l’Université englobaient tous les
aspects : déréglementation de l’énergie, émergence d’un marché concurrentiel
pour ce service, volatilité des coûts énergétiques, optimisation et utilisation de
l’espace, dépendance à l’égard d’une source d’approvisionnement énergétique
hautement fiable et de qualité supérieure. Les intervenants de l’Université
ont exploré le marché pour trouver un partenaire stratégique qui serait en
mesure d’aider l’organisation à gérer ses coûts énergétiques et ses frais
d’exploitation des immeubles.
En réponse à l’appel d’offres de l’Université, la société Direct Energy
Business Services a mis au point « Evolve », une méthode qui permet
aux établissements d’instaurer et de mettre en application une série de
mesures d’excellence destinées à réduire les coûts énergétiques et les coûts
d’exploitation des bâtiments ainsi qu’à repenser l’optimisation de l’espace.
Le résultat ? Un modèle de partenariat unique entre Direct Energy Business
Services et l’Université de Calgary.
La relation entre les intervenants constitue un exemple de partenariat
public-privé réussi et fonctionnel. Venez les entendre parler de cette expérience à l’Université de Calgary, des exploits accomplis, des leçons tirées et
des défis qu’il reste encore à surmonter.
Planification antisinistre : êtes-vous prêt ?
Kyle J. Cavanaugh, vice-recteur, ressources humaines, University of Florida
Qu’on utilise les expressions « préparation aux situations d’urgence », « planification antisinistre » ou « poursuite des activités » – autant de variations
sur un même thème – il importe que tous les établissements soient prêts à
intervenir dans des situations graves, voire catastrophiques. L’expérience et
les leçons tirées du SRAS partout dans le monde, de la saison des ouragans en
2005, y compris l’ouragan Katrina dont les effets ont été dévastateurs dans le
sud-est des États-Unis, et des autres événements perturbateurs survenus sur
les campus fournissent des cadres de travail et des avenues fort utiles pour
nous tous. Cette séance a pour but d’explorer les enjeux et les préoccupations
qui entourent de telles crises. On observe un intérêt soutenu de la part du
public, des médias et des instances gouvernementales lorsque se produisent
des désastres naturels ou autres, comme les pandémies. Une attention spéciale sera portée au rôle que pourraient envisager de jouer les leaders des
ressources humaines pendant le cycle de planification et durant l’événement
proprement dit. Cette séance fournira l’occasion de mettre en commun des
expériences et de stimuler la réflexion dans les établissements.
Planification du développement des
immobilisations et gestion financière
Ramsay Duff, vice-recteur, finances et exploitation, St. Francis Xavier University
Ann Schultz, directrice, finances et administration, division de la gestion des
installations, University of Saskatchewan
Dans tout le pays, de nombreuses universités sont en croissance. La hausse
du taux de participation des étudiants aux activités de l’université et au
développement de la recherche, stimulée par des programmes comme celui
de la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI), exige l’ajout de mètres
carrés ou la redéfinition de l’espace. Par ailleurs, des tragédies semblables
aux inondations causées par l’ouragan Katrina peuvent avoir des effets con-
sidérables sur le coût des matériaux de construction ici même, au pays, ce
qui signifie que la planification ne peut pas se faire en vase clos. Le rythme
d’augmentation des coûts et le financement accordé par les instances provinciales varient considérablement d’une province à l’autre. Par conséquent,
chaque université a ses propres difficultés pour ce qui est de la planification
du développement des immobilisations.
L’Université Saint Francois Xavier a lancé un programme de développement des immobilisations de 100 M$ en 1995 ; l’approche qu’elle a adoptée
sera présentée du point de vue de la planification globale et touchera aux
questions entourant la justification financière de l’expansion, les options de
financement, les défis démographiques et les répercussions sur les activités
de l’établissement.
L’Université de la Saskatchewan donnera un aperçu de son modèle de
gouvernance des projets d’envergure (Major Project Governance Model),
y compris la façon dont les exigences de la FCI et les orientations stratégiques de l’établissement influent sur le processus de gouvernance. La
présentation traitera du modèle quant à l’estimation des coûts selon la
catégorie d’utilisation et pour ce qui est de l’escalade des coûts ; les effets
des influences internationales sur le prix des facteurs de production seront
également abordés.
La pratique de la vérification interne à l’échelle
mondiale : qu’y a-t-il là qui intéresse les cadres?
Brian Brown, chef de la vérification, Agricore United
Dans cette présentation conçue à l’intention des membres des équipes de
direction et des conseils d’administration, M. Brown parlera de l’état actuel de
la vérification interne dans le contexte international et le contexte canadien, y
compris de la manière dont la vérification interne sert bien les équipes de direction et les conseils d’administration. Il décrira les critères de succès essentiels
que doivent remplir les fonctions de vérification interne et les moyens par
lesquels les équipes de direction et les conseils d’administration peuvent aider
ces fonctions. Enfin, il définira les attentes que devraient avoir les équipes de
direction et les conseils d’administration et énoncera quelques idées sur les
mécanismes de mesure du rendement de la vérification interne.
CONFÉRENCIER INVITÉ
De 13 h 30 à 14 h 45
Salles de bal Westmount et Outremont
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
On dirige comme on est
Laurent Lapierre, professeur titulaire, HEC Montréal
M. Lapierre est titulaire d’un doctorat de l’Université McGill. Il occupe la Chaire
de leadership Pierre-Péladeau et est le premier directeur du Centre de cas
HEC Montréal. Il s’intéresse à l’influence de la personnalité des gestionnaires
sur leur façon de diriger, de même qu’aux comportements générateurs de
succès et d’échecs dans l’exercice de la direction.
Le leadership est une direction qui vient de la personne. On dirige nécessairement comme on est, avec ses talents innés et surtout avec ses talents
acquis. Diriger, c’est composer avec ses qualités et ses défauts personnels,
ses dons et ses manques, ses forces et ses faiblesses, ses habiletés et ses maladresses de direction, ses compétences et ses incompétences, etc. Composer
avec soi-même est la première compétence de direction à posséder pour
réussir. Dans la période actuelle de turbulence sur les scènes mondiale et
locale, en adoptant une perspective anglo-saxonne, Laurent Lapierre soutient
qu’au-delà des qualités, des habiletés et des compétences le leadership et la
direction responsables relèvent fondamentalement du jugement ordinaire,
du sens commun, de l’intelligence pratique du fonctionnement des organisations, bref de ce qu’on peut appeler l’intelligence de l’action.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
67
Congrès de l’acpau 2006
SÉANCES SIMULTANÉES
De 15 h 15 à 16 h 30
Veuillez choisir une séance parmi les suivantes :
Bilan de santé des régimes
à prestations déterminées Le tableau de bord - l’expérience vécue à
l’Université d’Ottawa
Les panélistes traiteront de la santé des régimes à prestations déterminées et
de leur avenir. Le premier est un professionnel de l’élaboration des régimes
de retraite, le deuxième provient d’un établissement lié par un régime de
retraite à prestations déterminées et le troisième est issu d’un établissement
ayant choisi d’adopter un autre type de programme.
Depuis un certain temps, les régimes de retraite à prestations déterminées battent de l’aile. D’une part, le repli du marché des actions observé
il y a quelques années combiné avec de faibles taux d’intérêt qui ont
persisté longtemps ont placé plusieurs régimes en situation de déficit. On
a donc assisté dans de nombreux cas à une augmentation des cotisations
exigées tant du promoteur du régime que des participants. Or, malgré de
tels rajustements, certains régimes ne sont toujours pas sortis de l’impasse.
D’autre part, une réglementation accrue et les lourdeurs administratives
qui en découlent ont poussé quelques promoteurs de régime à abandonner
leur régime de retraite à prestations déterminées au profit d’un régime de
retraite à cotisations déterminées ou d’un autre mécanisme de retraite.
Cette tendance se maintiendra-t-elle et verrons-nous les régimes de retraite
à prestations déterminées devenir de plus en plus rares ou s’agit-il simplement d’une période d’ajustement qui se prolonge ? Le régime de retraite à
cotisations déterminées constitue-t-il la réponse ou cette avenue cache-t-elle
des risques qui feront surface dans les années à venir ?
Hélène Carrière, directrice du développement organisationnel, Université d’Ottawa
Lucie Mercier-Gauthier, vice-rectrice associée aux ressources financières, Université d’Ottawa
Immeubles écologiquement durables : une nouvelle façon d’envisager la construction
Une vision globale de la gestion
des risques pour les administrateurs
(séance présentée en français seulement)
Richard Chabot, chef, plan d’urgence corporatif, Hydro-Québec
M. Chabot exposera d’abord le modèle Hydro-Québec de gestion des risques
à la continuité du service. Il présentera les étapes du cycle de gestion, les
mécanismes de gestion utilisés à Hydro-Québec pour assurer la réalisation
du cycle de gestion des risques à la continuité du service et fera mention des
leçons apprises par Hydro-Québec lors d’interventions d’urgence.
Par la suite, il abordera la problématique des mesures d’urgence dans un
contexte élargi où les interdépendances jouent un rôle important. Ces relations sont évidemment locales, mais font également intervenir des partenaires
d’autres provinces ou pays.
Il soulèvera certaines questions quant aux transpositions possibles au milieu
universitaire : les menaces, le leadership, les mécanismes de gestion, etc.
L’Université d’Ottawa a un plan stratégique, Vision 2010, dans lequel sa
vision, ses orientations et ses objectifs ont été définis et un certain nombre
d’initiatives déterminées. Le tableau de bord est tout à la fois une façon de
traduire cette vision, ces orientations et ces objectifs en des termes concrets
et mesurables, de mettre l’accent sur ce qui importe le plus, de communiquer
cette information à l’ensemble de la communauté universitaire et de mesurer
les répercussions des initiatives mises en place.
Ce tableau de bord s’inspire du concept avancé par Kaplan et Norton en
1992 dans la Harvard Business Review, qui soulignaient les limites des
modèles de gestion qui s’appuient uniquement sur des indicateurs financiers. Kaplan et Norton font la promotion d’un tableau de bord équilibré,
c’est-à-dire qui présente les quatre perspectives essentielles au succès des
organisations : la mesure des impacts possibles sur la clientèle, les processus
internes, le personnel et les ressources financières.
Le tableau de bord de l’Université d’Ottawa comporte des cibles
d’amélioration regroupées selon les quatre perspectives essentielles au
succès de cet établissement. Les deux premières touchent à ce qui est au
cœur de sa mission : la population étudiante et la communauté desservie,
ainsi que la poursuite de l’excellence scolaire. Les deux suivantes viennent
en appui à cette mission : l’engagement et la qualité du personnel sur lequel
nous pouvons compter, de même que les ressources nécessaires.
Depuis toujours, les universités excellent à évaluer toutes leurs facettes.
Cependant, tenir compte de l’équilibre à maintenir entre chacune des composantes, voilà une façon de faire novatrice. Le tableau de bord permet ainsi
de fixer des cibles d’amélioration pour les 19 indicateurs qui définiront le
mieux le succès de l’Université pour les prochaines années, en guidant les
efforts et les investissements. Bref, cet outil permettra à l’établissement de
rallier la communauté, de faire état des progrès accomplis et de se mesurer
par rapport à lui-même.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
John Metras, directeur, Service des immeubles, University of British Columbia
Michel Rose, directeur, Service des immeubles, École Polytechnique de Montréal
Les universités subissent de plus en plus de pressions pour construire des
bâtiments écologiquement durables. Le processus de certification LEED
(Leadership in Energy and Environmental Design), qui constitue la norme
pour ce qui est de mesurer la durabilité, comporte quatre catégories : platine,
or, argent et bronze. S’appuyant sur des cas concrets de bâtiments certifiés
LEED et de conception axée sur l’écologie, les panélistes témoigneront des
difficultés que suppose la conception de bâtiments verts sur les plans de la
gestion, des finances et de l’exploitation.
Puis ils parleront du processus LEED proprement dit : ce qu’il est et ce
qu’il n’est pas, et feront un survol des principales actions liées à chaque
catégorie LEED. L’expérience de la construction des pavillons Lassonde à
l’École Polytechnique de Montréal sera présentée.
Nouveautés dans le domaine des activités de
surveillance financière des organismes
subventionnaires fédéraux
John Klimczak, directeur, finances et administration, Instituts de recherche en
santé du Canada
Germain Tremblay, directeur, finances et administration des octrois, Conseil de
recherches en sciences naturelles et en génie
Puisqu’ils sont gestionnaires de fonds publics, les établissements
d’enseignement ont un certain nombre de responsabilités qui incluent
l’obligation de mettre en œuvre des politiques, des systèmes administratifs
et des mécanismes appropriés et efficaces pour veiller à ce que les activités
de recherche se déroulent dans le respect de toutes les normes applicables :
normes juridiques, éthiques, de reddition de compte et de gestion financière. Les visites de surveillance financière effectuées par les organismes
subventionnaires leur donnent l’assurance que les établissements remplissent leurs obligations. À la suite d’une visite, les organismes fournissent
aux établissements un rapport faisant état de leurs conclusions et de leurs
recommandations.
Congrès de l’acpau 2006
Les conférenciers mettront en contexte les rôles et les responsabilités
des différents partenaires qui participent à l’administration des fonds du
CRSNG, du CRSH et des IRSC, puis fourniront aux participants les critères de
sélection, les objectifs et l’approche utilisés par les organismes subventionnaires au cours de leur visite de surveillance financière. Seront également
abordés certaines difficultés courantes observées à l’occasion des visites et
dans les pratiques d’excellence connexes. Pour terminer, les conférenciers
présenteront un suivi du programme relatif aux coûts indirects et feront part
de l’avancement du guide d’évaluation des cadres de contrôle financiers
et administratifs (Guide for Assessing Financial & Administrative Control
Frameworks) destiné aux universités.
Mardi 20 JUIN
CONFÉRENCIER INVITÉ
De 8 h 30 à 10 h
Salles de bal Westmount et Outremont
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
L’enseignement supérieur à l’aube du nouveau
millénaire : savoir franchir les frontières
Bernard Hugonnier, directeur adjoint pour l’éducation, Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)
Bernard Hugonnier est titulaire d’un doctorat en sciences économiques de
l’Université Paris Dauphine; à l’Université de Pittsburgh, il a obtenu une
maîtrise et fait sa scolarité de doctorat dans le même domaine. Il est également titulaire d’un diplôme d’études avancées en philosophie politique de
l’Université Paris Sorbonne et d’une maîtrise en sciences économiques de
l’Université Paris Dauphine. Il a publié trois ouvrages ainsi que plusieurs
articles dans des revues scientifiques.
En ce début de millénaire, les pays et les établissements d’enseignement
supérieur (EES) se trouvent devant des choix difficiles en ce qui a trait à
l’enseignement supérieur :
● Comment les pays et les EES peuvent-ils maintenir un système de gouvernance dans l’enseignement supérieur qui établit une correspondance
entre les objectifs d’une politique nationale et les buts des établissements individuels à l’heure où la demande en matière d’enseignement
supérieur augmente et se diversifie ?
• Comment l’enseignement supérieur et la recherche devraient-ils être
financés alors que des pressions s’exercent pour que les deniers publics
soient dirigés vers des dépenses plutôt de nature sociale ?
• Quelles leçons peut-on tirer de l’expérience des pays dans lesquels des
proportions variables de la richesse nationale sont consacrées à ces
domaines ?
• Comment la qualité de l’enseignement supérieur ainsi que ses
retombées économiques et sociales – qui prennent toujours plus
d’importance – devraient-elles être évaluées ?
SÉANCES SIMULTANÉES
Veuillez vous inscrire séparément à ces séances simultanées en utilisant le
formulaire prévu à cette fin dans ce numéro de Gestion universitaire ou en
ligne, à l’adresse <www.acpau.ca> ; suivez les liens proposés sous la rubrique
« Congrès annuel 2006 ».
De 10 h 45 à 12 h
Veuillez choisir une séance parmi les suivantes :
Les enjeux du financement des PPP dans le
domaine des infrastructures : quelles leçons tirer
des cas de grands projets financés hors bilan?
(séance présentée en français seulement)
Andrée De Serres, professeure et responsable du MBA pour cadres en
financement, École des sciences de la gestion, UQAM
Mme De Serres dressera un historique et un état de la situation des grands
projets financés hors bilan à l’échelle internationale. Elle abordera aussi
les éléments suivants relatifs aux partenariats public-privé (PPP) :
• les spécificités du financement par projets et de son montage
juridico-financier ;
• le transfert des risques : l’importance d’une gestion efficace des
risques, le processus d’identification des risques, l’atténuation
des risques et leur répartition parmi les partenaires du projet
et les parties contractantes, la gestion par phases : conception,
construction, exploitation ;
• les attentes du promoteur ;
• les attentes du concédant public ;
• les attentes des créanciers.
Elle présentera un tableau comparatif des différentes sortes de PPP : les
concessions sans recours et les concessions avec recours ; pour terminer,
elle exposera les grands enjeux actuels des PPP.
Les places de marché électroniques :
un modèle incontournable ?
Renata Faverin, présidente du comité directeur, Ontario Education Cooperative
Marketplace et directrice des services des achats et des contrats, York University
Bob Moore, directeur des achats, University of Western Ontario
Abder Sbahi, directeur des approvisionnements et services, Université d’Ottawa
Stephen Whittaker, directeur de l’approvisionnement, University of Toronto
La technologie est maintenant suffisamment avancée pour que les places
de marché électroniques deviennent monnaie courante. Un consortium
regroupant une vingtaine d’universités, de collèges et de conseils scolaires
a été créé pour explorer la création d’un tel marché dans le domaine de
l’éducation en Ontario. Les intervenants présenteront les fonctionnalités
et les services qui caractérisent le modèle proposé, puis ils évoqueront les
principaux obstacles rencontrés. La présentation comprendra un aperçu
de l’état des places de marché électroniques en Amérique du Nord, plus
particulièrement dans le secteur public, ainsi qu’un résumé de l’état de
la technologie sous-jacente.
• Quels effets les classements nationaux des EES ont-ils, et ces effets
sont-ils, somme toute, désirables ?
• Comment les EES devraient-ils réagir par rapport à ces classements ?
• Quel rôle les EES devraient-ils jouer dans le contexte actuel d’une économie axée sur la concurrence, la mondialisation et les connaissances ?
• Comment devraient-ils s’adapter à cette nouvelle réalité ?
M. Hugonnier répondra à ces questions au cours de son exposé.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
69
Congrès de l’acpau 2006
Répercussions de la recherche sur la communauté
universitaire : répercussions sur les cultures et les
ressources
Angela Hildyard, vice-rectrice aux ressources humaines, University of Toronto
Julia Taylor, présidente, Association canadienne d’administrateurs de recherche
universitaire et coordonnatrice du développement de la recherche, Capital District
Health Authority
Que votre établissement soit principalement axé sur la recherche et offre
des programmes d’études supérieures de haut niveau ou qu’il propose
surtout une formation de premier cycle tournée vers l’apprentissage, la
question de la place accordée à la recherche et à l’innovation devient
prépondérante. Au cours de cette séance, les présentatrices exploreront
les répercussions observées dans la communauté universitaire lorsque les
besoins et les demandes associés à une composante existante ou nouvelle
de la mission de l’établissement créent à la fois des ouvertures et des
tensions dans les cultures et les sous-cultures de cette communauté ; nous
verrons aussi comment ces ouvertures et tensions surviennent dans les
politiques et pratiques en matière de ressources humaines ainsi que dans
les structures de décision relatives aux ressources ; tout ceci influe au bout
du compte sur le corps professoral et le personnel en général, compte tenu
de la nature de nos budgets, fortement centrés sur le facteur humain.
Nouvelles réalités dans le domaine
de la comptabilité
Patricia Hibbitts, vice-rectrice aux finances et à l’administration, Simon Fraser
University
Andrew Simpson, vice-recteur à l’exploitation et aux finances, Queen’s University
On demande de plus en plus aux universités de livrer encore davantage
d’information et de faire preuve d’une plus grande transparence. Ces demandes
proviennent de la population, des élus, des instances gouvernementales, des
donateurs, de la communauté universitaire et d’autres intervenants. Les
universités sont appelées à expliquer les stratégies qu’elles utilisent pour
améliorer la qualité tout en comprimant les coûts, à montrer comment les
deniers publics sont employés ainsi qu’à mesurer leurs réalisations et à en
rendre compte. Les conférenciers, cadres supérieurs du milieu universitaire,
décriront les nouvelles réalités du secteur de la comptabilité dans deux
provinces canadiennes et feront des comparaisons avec la situation en
Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays.
Gestion du risque : ce que tout cadre des services
financiers doit savoir !
Mark Britt, directeur de la vérification interne, University of Toronto
Trudy Pound-Curtis, vice-rectrice adjointe et chef des finances, York University
Piya Sen, directrice des projets spéciaux, Service des finances, University of
Saskatchewan
Dans un environnement caractérisé par une insistance accrue sur la gestion du risque, l’attention des conseils d’administration s’est portée sur la
responsabilité de la haute direction des finances afin d’assurer cette gestion.
Par conséquent, l’environnement de contrôle au sein des universités doit être
adapté et modifié de façon à tenir compte de la nouvelle diversité des enjeux
dans ce domaine auxquels sont confrontés nos établissements. Au cours de
cette séance, les panélistes présenteront trois perspectives de la gestion du
risque pour donner aux participants des pistes de solution susceptibles de
les aider dans leur travail.
Les conférenciers donneront un aperçu des influences qui s’exercent
à l’échelle internationale et qui touchent toutes les organisations ; il sera
notamment question du cas Enron, de la loi Sarbanes-Oxley et de l’attestation
du chef des finances. Les exigences canadiennes et américaines actuelles
en matière d’attestation des membres de la haute direction et d’évaluation
70
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
des contrôles internes seront présentées, tout comme un résumé des efforts
déployés à ce jour par divers organismes pour se conformer à ces mesures,
quelques leçons tirées de l’expérience et des suggestions pratiques pour
appliquer les critères dans le contexte universitaire.
Le département de la vérification interne de l’Université de Toronto a
adopté une approche de vérification axée sur le risque pour systématiquement repérer et mesurer les risques, puis évaluer l’efficacité des processus de
gestion du risque de l’Université et faire un rapport à ce sujet. Le conférencier
de l’Université de Toronto expliquera pourquoi la vérification interne est
aujourd’hui plus répandue et comment cette fonction forme une partie
intégrante du modèle de gestion du risque d’un établissement.
L’Université York a pour sa part instauré un cadre de gestion du risque à
l’échelle de l’établissement (Enterprise Wide Risk Management Framework)
qui a conduit à la définition d’une politique du risque, puis elle a mené une
évaluation du risque et mis au point une stratégie de gestion du risque. La
présentation mettra l’accent sur la façon dont ce processus a été implanté
et dont les résultats ont été intégrés aux activités courantes de la haute
direction et du conseil d’administration afin de répondre aux exigences de
l’établissement quant à la gouvernance.
CONFÉRENCIER INVITÉ
De 13 h 30 à 14 h 45
Salles de bal Westmount et Outremont
N.B. : L’interprétation simultanée est offerte à cette séance.
Leadership en milieu universitaire
Henry Mintzberg, titulaire de la Chaire Cleghorn en management, Faculté de gestion Desautels, Université McGill
Les travaux de recherche menés par le professeur Mintzberg ont porté sur les
enjeux liés à la gestion en général et aux organisations, plus particulièrement
sur la nature du travail de gestion, les formes d’organisations et le processus
de formation des stratégies. Récemment, il a publié Des managers, des vrais :
pas des MBA (Developing Managers, not MBAs). À l’heure actuelle, il met
la dernière main à un écrit intitulé Getting Past Smith and Marx… Towards
a Balanced Society.
M. Mintzberg a obtenu un doctorat et une maîtrise en sciences de la
Sloan School of Management du MIT et un diplôme en génie mécanique
de l’Université McGill. Entre ces diplômes, il a travaillé en recherche opérationnelle auprès du Canadien National. Il a été nommé officier de l’Ordre
du Canada ainsi que de l’Ordre national du Québec et a reçu des doctorats
honorifiques de 13 universités. En outre, il a été président de la Strategic
Management Society de 1988 à 1991 ; il est membre de la Société royale du
Canada (premier membre issu d’une faculté d’administration), de l’Academy
of Management et de l’International Academy of Management, dont il a
reçu le prix Distinguished Scholar en 2000.
Le conférencier est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages, dont Le manager
au quotidien : les dix rôles du cadre (The Nature of Managerial Work, 1973),
Structure et dynamique des organisations (The Structuring of Organizations,
1979), Le management : voyage au centre des organisations (Mintzberg on
Management, 1989), Grandeur et décadence de la planification stratégique
(The Rise and Fall of Strategic Planning, 1994), Les propos d’un « pur coton »
: essai sur la problématique canadienne (The Canadian Condition, 1995) et
Safari en pays stratégie (Strategy Safari, 1998). Son livre Je déteste l’avion
: les tribulations d’un passager ordinaire (Why I Hate Flying) reflète son
intérêt croissant pour l’écriture en général, qui inclut des nouvelles et des
commentaires sur l’actualité. Il a rédigé plus d’une centaine d’articles sur
la gestion, dont deux lui ont permis de remporter le prix McKinsey pour le
meilleur article paru dans la Harvard Business Review, soit « The Manager’s
Job : Folklore and Fact » (premier prix en 1975) et « Crafting Strategy »
(deuxième prix en 1987).
Congrès de l’acpau 2006
L’un des ouvrages de M. Mintzberg a été écrit à l’intention de « ceux
d’entre nous qui passent leur vie publique à se préoccuper des organisations
et leur vie privée à les fuir ». Il s’évade en faisant du vélo, de préférence
sur des routes isolées en Europe, en grimpant des montagnes ou encore
en pratiquant le ski de randonnée ou le canot. Pour ces deux dernières
activités, il privilégie souvent les paisibles Laurentides, au Québec, où il
vient habituellement en compagnie de sa femme, Saša Sadilova, et parfois
de ses filles, Susie et Lisa.
SÉANCES SIMULTANÉES
De 15 h 15 à 16 h 30
Veuillez choisir une séance parmi les suivantes :
Un levier pour améliorer la performance des
universités : le tableau de bord (séance présentée en
français seulement)
Michel Vézina, CA et professeur titulaire, Service de l’enseignement des sciences
comptables, HEC Montréal
Les tableaux de bord ont été popularisés au début des années 80 ; plusieurs
modèles de performance organisationnelle ont été proposés dans la littérature
et leur popularité n’a cessé de croître. Au cours de cette présentation, nous
tenterons de mieux comprendre le lien entre la stratégie, les tableaux de bord
et le processus budgétaire. Par la suite, nous aborderons les caractéristiques
des modèles de mesure de la performance les plus populaires. Les forces et
les limites de ces modèles seront examinées afin d’aider les participants à
choisir le modèle le plus pertinent pour leur organisation. Il est également
important d’élaborer une stratégie de développement et de mise en œuvre
rigoureuse qui tienne compte des objectifs organisationnels et des aspirations
des gestionnaires. Nous analyserons donc les principaux facteurs de réussite
de ces stratégies tout en soulignant les difficultés liées à l’élaboration et à la
mise en application des tableaux de bord dans le domaine universitaire.
matériels stratégiques, améliorer l’efficacité et l’utilité globales de ces biens, et
garantir une utilisation optimale des fonds et des ressources. Les participants
apprendront comment élaborer une stratégie de gestion des biens complète et
précise qui permettra de planifier et d’investir efficacement dans l’avenir.
Fraude électronique
Sylvain Viau, président, ASIMM et vice-président adjoint à la continuité des
affaires, TechSolCom Groupe informatique
Dans un contexte où les nouveaux outils de communication et d’échanges
d’information prolifèrent partout sur la planète, la fraude électronique
constitue une véritable menace. Les criminels peuvent ainsi obtenir ce qu’ils
veulent sans risque. Au cours de la séance, le conférencier explorera les
répercussions de ces nouveaux outils et les moyens par lesquels les criminels
exploitent les universités et en font leurs victimes de prédilection.
PROGRAMME DE RECONNAISSANCE
ET PRIX DE L’ACPAU
Les prix 2006 de la qualité et de la productivité, commandités par Budget
Rent a Car of Canada, Legg Mason Canada Inc. et SunGard Higher Education,
seront remis le dimanche 18 juin à 17 h 30.
Le prix Ken Clements ainsi que les certificats de service exceptionnel
et les attestations de membre honoraire seront remis au cours du dîner du
président, le lundi 19 juin.
Révision du cadre de politiques de votre université :
soyez bien préparé !
Gwen Bauer, directrice, Bureau du vice-recteur finances et administration, University of Alberta
Des politiques et des procédures dépassées, inadéquates ou négligées placent
votre université en situation de risque. Comme des bombes à retardement,
ce n’est qu’une question de temps avant qu’elles fassent des dégâts, nuisent
aux finances ou à la réputation de l’établissement. La solution peut impliquer
un renouvellement complet de vos politiques et procédures. Toutefois, comme
une boîte de Pandore, dès que vous l’ouvrirez, vous serez peut-être terrifié par
ce qui en sortira. La conférencière relatera l’expérience de renouvellement
du cadre de politiques de son établissement, montrant comment le courage,
la persévérance et l’appui de la direction sont des éléments cruciaux de la
réussite d’une telle entreprise.
Création d’un système efficace de planification
des immobilisations : étude de cas
Susan Anson, directrice générale, VFA Canada Corp
George Reyes, directeur, Division des installations, Lawrence Berkeley National
Laboratory
Comment les établissements peuvent-ils convenablement gérer les actifs que
représentent les propriétés de manière que les dépenses en immobilisations
et les crédits budgétaires soient judicieusement utilisés ? Cette présentation
décrit le modèle stratégique prospectif mis au point par le Lawrence Berkeley
National Laboratory pour la planification et la gestion des installations à long
terme. Les présentateurs donneront un aperçu des processus et des systèmes
qu’ils emploient pour déterminer avec exactitude les cycles de vie de biens
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
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Congrès de l’acpau 2006
Dégustation de vins et de fromages Samedi 17 juin
De 18 h 30 à 22 h
HEC Montréal : restaurant Le cercle
Soyez des nôtres à HEC Montréal pour vous divertir et découvrir différents
vins et fromages.
Nos guides vous accueilleront à votre descente de l’autocar et franchiront avec vous les quelques pas qui vous mèneront au restaurant Le cercle.
Un menu vous permettra de faire un choix parmi des vins et fromages en
provenance de différents pays.
Venez faire de nouvelles connaissances… et renouer avec
d’anciennes !
Le coût de l’activité est de 30 $ par personne. Limite de 100 participants.
Service de navettes : les autocars partiront de l’hôtel à 18 h. Un dernier
autocar quittera HEC Montréal à 22 h 30 pour le retour à l’hôtel.
Veuillez indiquer votre intention de participer à la dégustation sur le
formulaire d’inscription au congrès.
Tournoi de golf de l’ACPAU
Dimanche 18 juin
De 6 h à 14 h
Club de golf de l’Île de Montréal
ACTIVITÉS FACULTATIVES
« Soirée de la veille »
Tournoi de fléchettes ACPAU
Samedi 17 juin
De 19 h à 22 h 30
École Polytechnique de Montréal : cafétéria du pavillon principal
(ouverture à 18 h 30)
À votre descente des autocars, des bénévoles vous guideront jusqu’à la
cafétéria du nouveau « bâtiment vert ». Rendus à destination, vous aurez
l’occasion de nous démontrer votre savoir-faire, de vous initier à un nouveau
loisir ou tout simplement d’assister au tournoi. Quel que soit votre choix,
cette soirée vous permettra de renouer avec des collègues et de faire de
nouvelles connaissances.
Le tournoi est limité à 60 participants, alors inscrivez-vous à cette activité
sans tarder, si possible en équipes de deux personnes en indiquant le nom
de votre partenaire sur le formulaire d’inscription au congrès.
Des frais de 30 $ s’appliquent tant pour les participants que pour les
spectateurs et comprennent un repas léger.
Service de navettes : les autocars partiront de l’hôtel à 18 h. Un dernier
quittera l’École Polytechnique à 23 h pour le retour à l’hôtel.
Veuillez indiquer votre intention de participer au tournoi sur le formulaire d’inscription au congrès.
Cette année, le tournoi aura lieu au Club de golf de l’Île de Montréal. C’est
« l’Irlande à seulement 20 minutes du centre-ville ». Les deux parcours de
18 trous sont de style links. Les golfeurs pourront y exercer leur patience et
leur habileté. Les parcours nord ou sud sauront satisfaire ceux et celles qui
aiment les défis.
Les départs s’effectueront sur les deux parcours à intervalles de huit
ou neuf minutes, selon le terrain, et le jeu se déroulera selon la formule
« Vegas ». À votre arrivée, un brunch vous sera offert pendant que vous
attendrez votre heure de départ. Après le parcours, un barbecue sera servi
sous la tente avant le retour à l’hôtel, par autocar, à temps pour la conférence
d’ouverture du congrès 2006 de l’ACPAU.
Les frais d’inscription sont de 130 $ par golfeur et comprennent le
petit-déjeuner, le barbecue, le transport, les droits de jeu, la voiturette et
des petits extras. Code vestimentaire en vigueur et souliers à crampons
obligatoires.
Pour plus d’information, visitez le site <http://www.golf-de-montreal.
com/>. Si vous devez louer votre équipement (30 $), veuillez communiquer
dès votre inscription avec la responsable des tournois par courriel, à l’adresse
<[email protected]>, ou par téléphone, au (514) 448-6000,
poste 232.
Horaire :
5 h 30 : arrivée des autocars à l’hôtel
6 h : départ vers le Club de golf
7 h : premier départ sur les parcours
11 h 30 à 13 h 30 : repas
13 h : remise des prix et tirage
14 h : retour des autocars à l’hôtel
Veuillez indiquer votre intention de participer au tournoi sur le formulaire d’inscription au congrès.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Congrès de l’acpau 2006
ACTIVITÉS À CARACTÈRE SOCIAL
Soirée d’accueil
Dimanche 18 juin
De 16 h 30 à 20 h
Université de Montréal
Les autocars partiront du Hilton Montréal Bonaventure à 15 h 45 pour la
cérémonie d’ouverture au pavillon Roger-Gaudry.
De 16 h 30 à 18 h – Conférence d’ouverture prononcée par Gregory
Charles et remise des prix de qualité et de productivité de l’ACPAU
Salle K-500, pavillon Roger-Gaudry, 2900, boulevard Édouard-Montpetit
De 18 h à 20 h – Réception d’accueil
Soyez des nôtres à l’agora Morris-Goodman du pavillon Jean-Coutu immédiatement après la cérémonie d’ouverture pour un cocktail aux saveurs et
aux couleurs internationales !
Les autocars retourneront au Hilton Montréal Bonaventure entre 19 h et
20 h 15.
Dimanche soir – Dîner libre dans l’un des nombreux bons restaurants de
Montréal
Réception, dîner et danse du président commandités
par Chartwell’s Education Dining Services
PROGRAMME DES CONJOINTS
L’inscription comprend les activités suivantes :
Dimanche 18 juin
De 16 h 30 à 20 h
Conférence d’ouverture du congrès 2006 de l’ACPAU et réception d’accueil
Université de Montréal
Lundi 19 juin
Petit-déjeuner
De 7 h à 8 h
Salles de bal Westmount et Outremont, Hilton Montréal Bonaventure
Réception, dîner et danse du président
De 18 h à 23 h
Salles de bal Westmount et Outremont, Hilton Montréal Bonaventure
Mardi 20 juin
Petit-déjeuner
De 7 h à 8 h
Salles (1 ou 2?) de bal Westmount et Outremont,
Hilton Montréal Bonaventure
Soirée de clôture
De 18 h à 21 h
Marché Bonsecours (Vieux-Montréal)
Lundi 19 juin
De 18 h à 23 h
Salles de bal Westmount et Outremont, Hilton Montréal Bonaventure
L’ACPAU et son commanditaire, Chartwell’s Education Dining Services, vous
invitent à un dîner pour honorer les lauréats des prix de reconnaissance ACPAU
de cette année. Le prix Ken Clements, les certificats de service exceptionnel
et les attestations de membre honoraire seront remis à cette occasion. Un
orchestre de 17 musiciens vous enchantera tout au long de cette magnifique
soirée.
Après le dîner, choisissez parmi les nombreux bars et discothèques de
Montréal pour poursuivre la tradition ACPAU de danser toute la nuit !
La tenue de soirée pour ce dîner est de rigueur.
Soirée de clôture commanditée
par ARAMARK Canada Ltd.
Mardi 20 juin
De 18 h à 21 h
Salle de la Commune du Marché Bonsecours
350, rue Saint-Paul Est, Vieux-Montréal
Les autocars partiront du Hilton Montréal Bonaventure entre 17 h 45 et 18 h
pour la soirée de clôture, qui se déroulera au Marché Bonsecours, dans le
Vieux-Montréal.
Le Marché Bonsecours est un bâtiment patrimonial somptueux situé
dans un emplacement exceptionnel !
Vous serez ébloui et envoûté par la magie du cirque. Une soirée magique
dont vous vous souviendrez longtemps !
Les autocars retourneront au Hilton Montréal Bonaventure entre 20 h
et 21 h 15.
Le code vestimentaire pour la soirée est décontracté.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
73
Congrès de l’acpau 2006
VISITES FACULTATIVES
POUR CONJOINTS
N.B. : Les conjoints doivent s’inscrire séparément à ces visites, qui ne sont pas
incluses dans le Programme des conjoints, ci-dessus. Les frais supplémentaires
sont indiqués. Les activités sont bilingues.
Lundi 19 juin
Tour de ville de Montréal
De 9 h à 12 h (après-midi libre)
Frais d’inscription : 40 $
Ce tour de ville vous fera découvrir l’héritage culturel de Montréal, une ville
cosmopolite aux multiples visages où se mélangent l’ancien et le nouveau.
Nous verrons le quartier financier, les musées et la Place-des-Arts, l’oratoire
Saint-Joseph, de renommée internationale. Au cours de cette excursion, nous
ferons deux arrêts : à la magnifique basilique Notre-Dame du Vieux-Montréal,
chef-d’œuvre d’art gothique que nous visiterons, ainsi que sur le mont Royal,
où nous pourrons admirer le panorama de la ville.
Liens :
Basilique Notre-Dame : http://www.basilicanddm.org
Oratoire Saint-Joseph : http://www.saint-joseph.org
Place-des-Arts : http://www.pda.qc.ca/place-des-arts
Mardi 20 juin
Jardin botanique, Biodôme et Parc olympique
De 9 h à 12 h (après-midi libre)
Frais d’inscription : 65 $
Le circuit débutera par une visite du Jardin botanique de Montréal, le deuxième au monde par sa taille. Il présente plus de 20 000 espèces et cultivars
de plantes. D’un intérêt particulier : le pavillon japonais, le jardin de Chine,
l’impressionnante collection d’orchidées ainsi que l’Insectarium. Suivra une
visite du Biodôme, un musée environnemental au concept unique. Il contient
des collections vivantes de plantes et d’animaux et vise à sensibiliser les visiteurs à la fragilité de notre planète. Quatre écosystèmes y ont été reconstitués :
la forêt tropicale, la forêt laurentienne, le Saint-Laurent marin et le monde
polaire. Puis nous nous arrêterons au Stade olympique, construit pour les Jeux
de 1976, où une ascension dans le funiculaire vous amènera au sommet de
la tour inclinée la plus haute du monde.
Liens :
Jardin botanique : http://www2.ville.montreal.qc.ca/jardin/jardin.htm
Biodôme : http://www2.ville.montreal.qc.ca/biodome/bdm.htm
Parc olympique : http://www.rio.gouv.qc.ca/
Les frais comprennent les services d’un guide professionnel, le transport
nolisé et les droits d’entrée.
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UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
INSCRIPTION
Les frais d’inscription des délégués comprennent : les séances (les séminaires
précongrès ne sont pas inclus), deux petits-déjeuners (lundi et mardi), quatre
pauses-café, deux déjeuners (lundi et mardi), la réception d’accueil (dimanche
soir), la réception, le dîner et la danse du président (lundi soir) de même que
la soirée de clôture (mardi soir).
Inscrivez-vous dès maintenant à ces activités en visitant notre site Web
<www.acpau.ca> : – amenez le curseur sur « Congrès annuel 2006 », puis
allez cliquer sur « Renseignements supplémentaires ». Ensuite, suivez les
instructions relatives à l’inscription et au paiement ou remplissez le formulaire d’inscription que vous trouverez dans ce numéro de Gestion universitaire. Faites parvenir votre formulaire et votre mode de paiement à :
Madame Ellyn Holzman
ACPAU 2006
a/s Unconventional Planning
174 Colonnade Road, Unit 25
Ottawa (Ontario) K2E 7J5
Téléphone : (613) 721-7061
Télécopieur : (613) 721-3581
[email protected]
Le bureau d’inscription sera situé au Hilton Montréal Bonaventure, à l’étage
inférieur du samedi au mardi. C’est à cet endroit qu’on vous remettra votre
trousse de délégué ; elle ne vous sera pas postée avant le congrès.
Horaire pour l’inscription :
Samedi 17 juin
De 7 h 15 à 18 h
Dimanche 18 juin
De 10 h à 16 h
Lundi 19 juin
De 7 h à 17 h
Mardi 20 juin
De 7 h à 17 h
Renseignements
Pour obtenir des renseignements sur l’inscription, veuillez communiquer
avec Unconventional Planning, au (613) 721-7061, ou par courriel, à
[email protected].
CODE VESTIMENTAIRE
Une tenue vestimentaire décontractée est recommandée pour toutes les
activités du congrès, à l’exception du dîner du président où la tenue de
soirée est de mise.
Congrès de l’acpau 2006
Tarifs
TRANSPORT
Se déplacer à Montréal est chose simple. La plupart des attraits touristiques
sont à distance de marche du centre-ville ou faciles d’accès quel que soit
votre moyen de transport (autobus, métro, voiture ou autre).
Transport aérien
L’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal est à 18 km du
Hilton Montréal Bonaventure.
Le train
Il est aisé de se rendre à Montréal par le train. La Gare centrale de Montréal
accueille les trains en provenance tant de l’est que de l’ouest du Canada.
Elle est reliée au Hilton Montréal Bonaventure par un corridor piétonnier
des plus accessibles.
Valide : Territoire :
Restrictions :
Du 15 au 22 juin 2006.
De partout au Canada jusqu’à Montréal et retour.
Le tarif s’applique à un maximum de deux passagers
par achat.
Réduction :
35 % sur le tarif de base pour adultes en classe
Confort liberté.
5 % sur le tarif de base pour adultes en classe VIA1
ou en voiture-lits.
Identification :
Veuillez donner le numéro de notre congrès (10636)
lorsque vous ferez votre réservation.
Réservations :
1 800 842-7245
Renseignements : www.viarail.ca
Compagnies de location de voitures
En vertu des contrats conclus par l’ACPAU, les deux compagnies ci-dessous
offrent aux « délégués universitaires » le « meilleur prix disponible » lorsque
ceux-ci précisent le numéro d’identification ACPAU indiqué pour chaque
compagnie. Le « meilleur prix disponible » signifie que vous paierez le prix
le plus bas offert à cette période si celui-ci est inférieur au prix universitaire
indiqué sur le site Web de l’ACPAU. Cela pourrait vouloir dire jusqu’à 10 $ de
moins par jour. Les deux compagnies offrent le kilométrage illimité.
Budget Rent a Car
No d’identification : A136100
Réservations : 1 800 268-8900
Enterprise Rent-A-Car
No d’identification : 5CA1000
Réservations : 1 800 593-0505
Taxis et limousines
Taxis et limousines assurent rapidement le transport des voyageurs à destination et au départ du centre-ville. Un service de navettes, l’Aérobus, relie
également l’aéroport aux points névralgiques de Montréal.
HÉBERGEMENT
Le congrès 2006 de l’ACPAU, y compris les séminaires précongrès, se déroulera
au Hilton Montréal Bonaventure, où nous avons réservé des chambres. Le
Hilton Montréal Bonaventure est situé au cœur du centre-ville, à 18 km de
l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau, et offre un accès direct au
Montréal souterrain, un réseau de 28 km reliant le métro, la Gare centrale,
des boutiques et des restaurants. L’hôtel se trouve à proximité du VieuxMontréal, du Vieux-Port, du Casino, de la basilique Notre-Dame, du Stade
olympique, du centre Molson, du Jardin botanique, du parc du Mont-Royal,
de l’oratoire Saint-Joseph, du quartier chinois, du Biodôme, des galeries d’art
et des musées.
Hilton Montréal Bonaventure
900, rue De La Gauchetière Ouest , Montréal (Québec) H5A 1E4
Sans frais : 1 800 445-8667
Téléphone : (514) 878 2332
Télécopieur : (514) 878-3881
Les tarifs suivants ont été négociés avec le Hilton Montréal Bonaventure :
Chambres Deluxe
(très grand lit deux places ou deux lits deux places)
183 $* en occupation simple ou double
Chambres de classe exécutive
223 $* en occupation simple ou 253 $ en occupation double
*Taxes applicables en sus.
VEUILLEZ NOTER QUE LE NOMBRE DE CHAMBRES DE CHAQUE TYPE EST
LIMITÉ. PREMIER ARRIVÉ, PREMIER SERVI !
NOTE : La date limite pour les réservations est le 18 mai 2006.
Réservations au Hilton Montréal Bonaventure :
Sans frais : 1 800 267-2575
Téléphone : (514) 878-2332
www.hilton.com
VEUILLEZ MENTIONNER LA SECTION DE CHAMBRES CAUBO/ACPAU LORSQUE
VOUS EFFECTUEZ VOTRE RÉSERVATION AFIN DE BÉNÉFICIER DE CES TARIFS
SPÉCIAUX.
RENSEIGNEMENTS TOURISTIQUES
Montréal, la métropole, offre les mille et un attraits des grandes villes du monde.
Mais Montréal, l’unique, sait aussi se distinguer. Multiculturelle, elle mêle son
accent français à celui de plus de 80 autres communautés culturelles et charme
par son ambiance américano-européenne. Inventive, elle se grise dans un tourbillon de créations culturelles, tant classiques que d’avant-garde. Son centre-ville
grouille de vie au pied de sa montagne, alors que son histoire s’enracine dans
ses vieux quartiers près du fleuve. En fête hiver comme été, Montréal vibre au
rythme de ses festivals : jazz, humour, cinéma, feux d’artifice et plus encore ! Elle
invite à la découverte de ses boutiques branchées, sa cuisine réputée, son réseau
piétonnier intérieur de 28 km, son casino animé. Arpentez ses rues colorées et
ses quartiers typés comme autant de « petites patries » ou empruntez ses différents circuits de pistes cyclables (plus de 660 km dans la région).
On encourage les délégués à prolonger leur séjour à Montréal ou ailleurs dans
la belle province de Québec.
Pour plus d’information sur Montréal et la province de Québec, consultez
les sites suivants :
www.tourisme-montreal.org
www.tourisme.gouv.qc.ca
COMMANDITAIRES DU CONGRÈS
La tenue d’activités de l’envergure du congrès annuel de l’ACPAU serait
impossible sans la contribution de sociétés commanditaires qui y investissent leur temps, leur argent, leurs produits et leurs services pour nous aider
à faire de cette rencontre une réussite. Grâce au soutien remarquable des
organismes ci-dessous, les participants garderont un excellent souvenir du
congrès 2006 de l’Association.
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
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Congrès de l’acpau 2006
Merci à tous les commanditaires!
Partenaires principaux
Autres contributions
ARAMARK Canada Ltd.
Chartwell’s Education Dining Services
Sodexho
Fisher Scientific
Dumelec Experts-conseils inc.
GE Santé Bio-Sciences inc.
Globex Courier Express International
Inso
NFOE et associés architectes
Partenaires associés
Ameresco Canada Inc.
Banque Nationale
CIBC Mellon
Corporate Express
Johnson Controls, Inc.
KPMG LLP
Kronos Incorporated
Millennium Computer Systems Ltd.
Mellon Analytical Solutions
Premiere Van Lines
RBC Financial Group
Sono Vidéo inc.
Spring
UBS Global Asset Management (Canada) Co.
Xerox Canada Ltd.
Exposants
American Express
AON Parizeau inc.
Bits In Glass Inc.
Blackboard Inc.
Campus Retail Canada
L’Institut Canadien des Comptables Agréés
CIBC Commercial Cards
Ciber Inc.
Crown Relocations
Datatel Inc.
Direct Energy Business Services
Duocom
Eckler Partners Ltd.
E&I Cooperative Purchasing
Foliot Furniture Inc.
Follett of Canada
Groupe Conseil INTEGRIM inc.
Hilton Family Canada
Honeywell
InterContinental Hotels Group
Legg Mason Canada Inc.
Macquarie Capital
Moneris Solutions
RAC Software Inc.
SciQuest Inc.
Sico Inc.
SunGard Higher Education
The Northern Trust Company, Canada
Teknion Roy & Breton
Trane
U.S. Bank Canada
VFA, Inc.
VWR International
76
UNIVERSITY MANAGER • Spring 2006
Tournoi de fléchettes commanditaire principal
Co-operators Investment Counselling Limited
Commanditaire supplémentaire lié au tournoi de
fléchettes
Dubé-Loiselle inc.
Dégustation de vins et de fromages commanditaire principal
Beutel, Goodman & Company Ltd.
Commanditaire supplémentaire lié à la dégustation de
vins et de fromages
Dubé-Loiselle Inc.
Tournoi de golf - commanditaire principal
Les Services ménagers Roy ltée
Commanditaires supplémentaires liés au tournoi de golf
Coup de départ le plus près du trou, femmes :
Jodoin, Lamarre, Pratte et Associés Architectes
Coup de départ le plus près du trou, hommes :
Jodoin, Lamarre, Pratte et Associés Architectes
Le plus long coup de départ, femmes :
Bouty
Le plus long coup de départ, hommes :
MFC Global Investment Management
Concours : à l’intérieur d’une cible :
Calculatec Inc.
Concours de roulers (putting) :
Fiducie Desjardins
Séminaires précongrès
Commonfund Canada
Letko, Brosseau et Associés
McLean Budden Ltd.
UBS Global Asset Management (Canada) Co.
UMA Management Services Ltd.
VWR International
N.B. : Cette liste de commanditaires était à jour au moment de mettre
sous presse. D’autres commanditaires pourraient s’y ajouter avant le début
du congrès.
Congrès de l’acpau 2006
du 17 au 20 juin
FORMULAIRE D’INSCRIPTION – CONGRÈS DE L’ACPAU 2006
(Veuillez imprimer)
Nom de famille Mlle
Mme
Prénom M.
Autre
Titre Institution/Organisme Département Adresse Ville Province Pays Code postal Téléphone (bureau) Télécopieur Courriel Services spéciaux : Indiquez vos besoins en matière de nourriture, d’accès, etc.
INSCRIPTION AU CONGRÈS
* Veuillez voir le programme préliminaire du congrès pour plus d’information sur les séances, les repas et les activités sociales.
Les frais d’inscription des délégués comprennent : les séances (les séminaires précongrès ne sont pas inclus), 2 petits déjeuners (lundi et mardi), 4 pauses-café,
2 déjeuners (lundi et mardi), la réception d’accueil (dimanche soir), la réception, le dîner et la danse du président (lundi soir) et la soirée de clôture (mardi soir).
Le programme des conjoint(e)s comprend : 2 petits déjeuners, la conférence d’ouverture, la réception d’accueil (dimanche soir),
la réception, le dîner et la danse du président (lundi soir) et la soirée de clôture (mardi soir).
INSCRIPTION (Voir ci-dessus les événements inclus dans l’inscription)
Avant le 5 mai Membre
Non-membre
Programme des conjoint(e)s
Nom de la ou des personnes qui vous accompagnent :
545 $
820 $
260 $
INSCRIPTION AUX SÉMINAIRES PRÉCONGRÈS
Avant le 5 mai Séminaire de trésorerie et placements Stu Budden (le samedi 17 juin et le dimanche 18 juin)
Séminaire sur les approvisionnements (le samedi 17 juin)
Séminaire sur les ressources humaines (le samedi 17 juin)
Séminaire sur la vérification interne (le samedi 17 juin)
Séminaire de gestion des installations (le samedi 17 juin) Séminaire sur les services financiers (le samedi 17 juin) BILLETS ADDITIONNELS POUR LES ACTIVITÉS SOCIALES DU CONGRÈS
250 $
150 $
150 $
150 $
150 $
150 $
Après le 5 mai Montant
650 $ 935 $ 260 $ Après le 5 mai $
$
$
Montant
250 $ 150 $ 150 $ 150 $ 150 $ 150 $ Coût par personne Nbre de personne(s)
$
$
$
$
$
$
Montant
Si vous êtes inscrit au congrès, ces activités sont déjà incluses.
Cérémonies d’ouverture et réception d’accueil (le dimanche 18 juin)
Réception, dîner et danse du président (le lundi 19 juin) Soirée de clôture au Marché Bonsecours – Vieux-Montréal (le mardi 20 juin)
ACTIVITÉS OPTIONNELLES
75 $ 100 $ 85 $ Coût par personne Nbre de personne(s)
$
$
$
Montant
Samedi 17 juin
Tournoi de fléchettes Vos partenaires de jeu : (1)
Dégustation de vins et fromages
30 $ $
30 $ $
130 $
$
(2)
Dimanche 18 juin
Tournoi de golf (transport, petit déjeuner; déjeuner, partie de golf et voiturette compris)
Nom du golfeur : VISITES FACULTATIVES POUR LES CONJOINTS
Coût par personne Nbre de personne(s)
Montant
Lundi 19 juin (avant-midi)
Tour de ville de Montréal (transport, guide bilingue et visite de la basilique Notre-Dame inclus)
40 $ $
65 $
$
Mardi 20 juin (avant-midi)
Visite du Jardin botanique de Montréal, du Biodôme de Montréal et du
Stade olympique (transport, guide bilingue et droits d’entrée inclus)
Montant à payer :
$
Congrès de l’acpau 2006
Veuillez compléter les deux côtés du formulaire d’inscription.
Nom du ou de la délégué(e) :
SÉANCES SIMULTANÉES (Pour les délégués seulement) Les séances simultanées se tiendront au Hilton Montréal Bonaventure.
SVP indiquer les séances auxquelles vous avez l’intention de participer. Vous pouvez changer d’idée au moment du congrès. Vous trouverez des
informations supplémentaires sur ces présentations dans le programme préliminaire et sur le site web de l’ACPAU 2006 : www.acpau.ca (cliquez sur le
lien « Congrès annuel »). Les séances simultanées sont présentées en anglais seulement sauf celles qui portent la mention séance en français. Celles-ci
sont présentées en français seulement.
Lundi 19 juin 2006
Séances simultanées (10 h 45 – 12 h 00)
Choisissez Étude comparative du coût des études supérieures et de l’accessibilité aux études supérieures
(séance présentée en français seulement)
P3 – Partenariats public-privé pour les projets d’immobilisations
Planification antisinistre : êtes-vous prêts?
Planification du développement des immobilisations et Gestion financière
La pratique de la vérification interne à l’échelle mondiale – Qu’y a-t-il là qui intéresse les cadres?
Séances simultanées (15 h 15 – 16 h 30)
Choisissez Une vision globale de la gestion des risques pour les administrateurs (séance présentée en français seulement)
Le tableau de bord – l’expérience vécue à l’Université d’Ottawa
Bilan de santé des régimes à prestations déterminées
Immeubles écologiquement durables – Une nouvelle façon d’envisager la construction
Nouveautés dans le domaine des activités de surveillance financière des organismes subventionnaires fédéraux
Mardi 20 juin 2006
Séances simultanées (10 h 45 – 12 h 00)
Choisissez Les enjeux du financement des PPP dans le domaine des infrastructures : quelles leçons tirer des cas de grand projet
financé hors bilan? (séance présentée en français seulement)
Les places de marché électroniques – Un modèle incontournable?
Répercussions de la recherche sur la communauté universitaire : répercussions sur les cultures et les ressources
Nouvelles réalités dans le domaine de la comptabilité
Gestion du risque : ce que tout cadre des services financiers doit savoir!
Séances simultanées (15 h 15 – 16 h 30)
Choisissez Un levier pour améliorer la performance des universités – le tableau de bord (séance présentée en français seulement)
Révision du cadre de politiques de votre université : soyez bien préparés!
Création d’un système efficace de planification des immobilisations : étude de cas
Fraude électronique
Renseignements : Pour obtenir de l’information supplémentaire concernant l’inscription, veuillez communiquer avec Unconventional Planning au
numéro (613) 721-7061 ou 1 888 625-8455 (Amérique du Nord seulement), par télécopieur au (613) 721-3581 ou par courriel à
[email protected]. L’information sur le congrès 2006 est disponible sur le site web de l’ACPAU au www.acpau.ca.
Cochez ici si vous ne voulez pas que votre nom, titre et organisme apparaissent sur la liste des participants que l’ACPAU met à
la disposition des délégués et des commanditaires du congrès.
Paiement par carte de crédit : Visa
Mastercard
American Express
No de carte de crédit : Date d’expiration : Nom sur la carte de crédit : Signature : * Votre paiement pour le congrès de l’ACPAU 2006 apparaîtra sous « AUCC/CAUBO » sur le relevé mensuel de votre carte de crédit.
Paiement par chèque ou mandat – Faites votre chèque ou mandat en dollars canadiens à l’ordre de l’ACPAU.
Politique de paiement – L’inscription ne peut être confirmée avant la réception du paiement. Tous les frais doivent être acquittés avant le début du
congrès (17 juin 2006), y compris le paiement des activités optionnelles.
Politique d’annulation – Le remboursement du coût d’inscription, moins 45 $ de frais d’administration, sera accordé à ceux et celles qui auront
demandé l’annulation de leur inscription avant le 1er juin 2006. Les demandes reçues après cette date ne seront pas considérées. Si vous ne pouvez pas
participer au congrès, vous pouvez vous faire remplacer. Toutes les demandes d’annulation doivent être reçues par écrit. Les remboursements seront
comptabilisés après le congrès.
En ligne
Par la poste
Par télécopieur
www.acpau.ca
(Cliquez sur le lien
« Congrès annuel »)
ACPAU 2006
174, chemin Colonnade, unité 25
Ottawa (Ontario) K2E 7J5
(613) 721-3581
(Inscription par carte de crédit
seulement)
au cœur des universités canadiennes
Par Christine Hanlon
près une visite du campus, un visiteur étranger posa la question suivante à Nello Angerilli, vice-recteur
adjoint par intérim, affaires étudiantes et volet international de l’Université
Simon Fraser : « À quoi ressemble un étudiant canadien? »
La réponse à cette question se trouve
dans la nature multiculturelle de la société
canadienne. Plus de deux cents groupes ethniques différents ont été répertoriés lors du
recensement de 2001, les minorités visibles
comptant quatre millions de personnes dès
2004, ce qui représentait une augmentation de 300 % depuis 1981. À la lumière
de ces statistiques, il n’est pas étonnant
de constater que les universités accueillent aujourd’hui des étudiants aux profils
ethniques, linguistiques, religieux et historiques plus diversifiés que jamais.
« Le multiculturalisme est une réalité
concrète et tout à fait observable, parce que
maintenant les gens n’ont pas tous la même
allure », indique monsieur Angerilli. « C’est
la vraie beauté du Canada. Cela donne à nos
universités une force extraordinaire. »
En réalité, la diversité culturelle joue un
rôle déterminant dans les universités canadiennes de nos jours. Dans tout le pays, les
établissements réagissent aux défis et aux
nouvelles possibilités que suppose une population étudiante de plus en plus diversifiée
en ajustant leurs objectifs, leurs politiques et
leurs procédures pour bien s’adapter à cette
nouvelle réalité. « Nous sommes en train de
devenir plus attentifs à notre façon de tenir
compte de la diversité, mais la diversité
est là, c’est un fait », témoigne Katherine
Beaumont, directrice, service Go Global de
la UBC (University of British Columbia).
Dans la mission de l’université se trouve
énoncé l’engagement de préparer les étudiants à devenir des citoyens du monde et à
valoriser la diversité sous toutes ses formes.
« Sans diversité parmi l’effectif étudiant,
nous ne pourrions pas y arriver, affirme
madame Beaumont. « Cette démarche suppose un assortiment d’étudiants canadiens
et d’étudiants internationaux qui reflète la
population mondiale. »
Pour accomplir cette tâche, l’établissement
a adopté une approche systémique afin de
valoriser la diversité. La première initiative
dans ce sens a consisté à intégrer la notion
de diversité dans l’ensemble des cinq piliers
du plan stratégique de la UBC, intitulé Trek
2010: People, Learning, Research, Community and Internationalization. La deuxième
étape – concrétiser le plan stratégique – a
commencé par l’analyse de la nature de la
population universitaire (effectif étudiant et personnel). À l’étape suivante, on a
procédé à l’analyse des données de l’étude
démographique afin de créer un climat et
un environnement qui valorisent la diversité. Les mesures adoptées par l’Université
visaient à créer des occasions de dialogue
véritable au moyen d’activités intégrées
aux programmes d’études ou parallèles
à ces derniers. Un autre aspect important
consistait à favoriser la gestion du capital humain et des ressources humaines de
manière respectueuse comme moyen de
bâtir une communauté englobante. Enfin,
il était important que toute mesure suscite
suffisamment d’enthousiasme pour assurer
sa pérennité; il s’agissait d’éviter de promouvoir une série d’initiatives ponctuelles.
Tom Patch, vice-recteur, équité, et collègue
de madame Beaumont, fournit l’explication
suivante : « Il est important que la diversité
soit intégrée à tout ce que l’université fait,
du recrutement et de l’admission des étudiants jusqu’à l’embauche du personnel
enseignant et non enseignant, à l’élaboration
de politiques et de procédures, et même à la
conception des programmes de cours et à la
création de nouveaux cours. »
La UBC n’est qu’une des nombreuses
universités qui placent la diversité à l’avantplan de tout ce qu’elles font. À l’Université
de la Saskatchewan (U de S), l’administration
a récemment pris l’initiative de placer la
diversité au cœur de ses préoccupations.
Selon Candace Wasacase-Lafferty, consultante, diversité et initiatives relatives
aux autochtones, ressources humaines,
« l’orientation stratégique du recteur était
axée sur un langage inclusif, qui a amené
chaque unité administrative et académique
à réfléchir à des moyens d’être plus inclusive
et de faire en sorte que les programmes
visent les différentes populations. Nous
avons tous élaboré des plans pluriannuels
afin d’intégrer la vision adoptée. Maintenant, nous devons dépasser le stade des programmes isolés et intégrer cette approche
dans l’ensemble des systèmes. »
Parmi les priorités communes à tous les
départements, soulignons la nécessité de
faciliter la transition des étudiants de première année provenant de divers horizons
culturels. L’Université reconnaissait le fait
que les étudiants autochtones formaient un
groupe assez substantiel. Pour progresser
plus efficacement, l’U de S a retenu les services de George Lafond à titre de conseiller
spécial, initiatives relatives aux autochtones,
rattaché au bureau du vice-recteur aux ressources académiques.
À l’U de S, les efforts en vue d’adoucir
l’entrée à l’université commencent avant
même que les étudiants présentent une
demande d’admission. En effet, le directeur
des admissions rencontre chaque année des
conseillers en orientation postsecondaire
des collectivités autochtones réparties dans
toute la Saskatchewan afin de présenter les
programmes et les critères d’admission. Par
la suite, lorsque les étudiants autochtones
arrivent à l’Université, ils sont invités à signaler leur appartenance à la famille autochtone pour avoir la possibilité de recourir
à divers services de soutien, qui couvrent
des aspects aussi variés que l’admission,
l’inscription, des conseils au sujet des programmes ou encore pour établir des contacts avec les professeurs ou des organismes
de financement. Le centre pour étudiants
autochtones, créé en 1991, offre d’autres
services d’appui destinés à augmenter la
persévérance scolaire et le taux de réussite des étudiants autochtones inscrits à
l’Université.
« Investir dans les étudiants de première
année, voilà un excellent moyen d’investir
dans notre université dans son ensemble »,
affirme Robert Kerr, vice-recteur aux ressources académiques de l’Université du
Manitoba. « Nous avons 11 programmes
différents à l’Université qui reposent sur
l’idée de donner un bon départ aux étudiants. » Entre autres, il y a un programme
qui s’adresse aux étudiants autochtones et
un programme de mentorat pour les étudiants étrangers.
Ce dernier prévoit le jumelage d’un
étudiant étranger performant sur le plan
des études avec un étudiant nouvellement
arrivé de l’étranger. L’objectif est de fournir
un encadrement pour ce qui est des questions académiques et de donner des conseils
d’ordre pratique, par exemple sur les services bancaires, le transport, les achats et la
création d’un réseau social. « Cela peut aussi
être une bonne expérience pour le mentor »,
souligne monsieur Kerr, qui ajoute que les
mentors reçoivent une formation destinée
à les préparer en vue d’éventuels obstacles. Des conseillers pédagogiques suivent
ensuite les progrès de la relation.
Les programmes de transition connaissent un tel succès que plusieurs volets de
ces derniers qui étaient auparavant financés
indirectement figurent désormais à part
entière dans le budget de fonctionnement.
Certaines initiatives s’étaient d’abord vu
attribuer une allocation annuelle, tandis
que d’autres s’appuyaient sur un financement spécial. Dans un cas comme dans
l’autre, les programmes étaient invités à
renouveler leur demande de financement
chaque année.
Toutefois, récemment, la croissance du
nombre d’étudiants étrangers a été si fulgurante que l’Université a pu prendre un
engagement à long terme en affectant une
partie de leurs droits de scolarité aux programmes en question. Certaines sommes
ont été consacrées à l’embauche de personnel supplémentaire pour le traitement
des transferts de crédits, d’autres sommes
ont servi à verser des bourses à des étudiants étrangers. « Ceux qui obtiennent leur
diplôme agissent comme ambassadeurs;
ils incitent d’autres étudiants à venir, fait
observer monsieur Kerr. Cela ajoute de la
stabilité au processus. Si nous apportons
des changements afin de mieux recevoir nos
étudiants étrangers, nous ne voulons pas
défaire ces mesures dans trois ans. »
D’autres universités ont adopté
une approche similaire. En raison de
l’augmentation des demandes présentées
par les étudiants étrangers, l’Université du
Nouveau-Brunswick (UNB) à Saint John a
dû augmenter le nombre d’heures de travail du coordonnateur de l’hébergement
hors campus. Ce service a été payé à même
les droits de scolarité perçus des étudiants étrangers, dont le nombre continue
d’augmenter.
Les étudiants étrangers constituent par
ailleurs un capital humain important dans
le contexte des initiatives mises de l’avant
par les universités. À l’Université du Manitoba, le centre international pour étudiants
constitue depuis longtemps une source
de soutien. Certains étudiants étrangers
qui ont bénéficié du centre y sont à leur
tour devenus conseillers; la sensibilité et
l’expérience qui les caractérisent sont tout
à fait uniques.
L’Université a récemment conçu un programme de mentorat pour les étudiants
autochtones sur le modèle du programme
destiné aux étudiants étrangers. Les deux
programmes comportent un volet de formation qui s’adresse aux conseillers pédagogiques afin qu’ils puissent comprendre
comment interagir le mieux possible avec
des étudiants autochtones ou étrangers
pour répondre à leurs besoins particuliers.
« Les étudiants autochtones sont parfois
les premiers de leur famille à fréquenter
l’université, alors ils n’ont peut-être pas de
modèle à suivre », indique monsieur Kerr.
À la UBC, Madame Beaumont souligne
que les étudiants qui se présentent à la
maison internationale de l’Université pour
y chercher du soutien ne sont pas nécessairement des étudiants détenteurs d’un
visa. « Il y a effectivement dans ce groupe
des résidents permanents du Canada ou des
citoyens canadiens qui ont fait une grande
partie de leurs études dans un autre pays
que le Canada et qui ont donc des questions
ainsi que des préoccupations semblables à
celles des étudiants étrangers », expliquet-elle.
Elle ajoute qu’il existe également une
série de mesures liées aux procédures et
aux politiques que les universités peuvent
prendre afin de rendre l’établissement plus
accueillant pour les étudiants issus de divers
milieux. L’un des moyens consiste à faire
en sorte que l’établissement soit sensibilisé
aux jours de fête et aux pratiques de divers
groupes religieux.
À Concordia, le vice-recteur aux ressources académiques, Martin Singer,
souligne que l’Université tend à fonctionner
selon le calendrier judéo-chrétien. Toutefois,
bon nombre d’étudiants ont une culture qui
s’approche davantage de la culture asiatique
ou de la foi musulmane. « Il faut être sensible
au fait que ces groupes ont des célébrations
différentes, renchérit monsieur Singer. À
Concordia, nous communiquons aux professeurs les dates d’autres fêtes religieuses
et leur demandons d’éviter de planifier des
examens autour de ces dates, ou du moins
d’être sensibles au fait que certains étudiants
célèbrent ces fêtes. »
Plus à l’est du pays, à l’Université
du Nouveau-Brunswick à Saint John, on
a repensé les programmes de repas afin
d’inclure des mets conformes à diverses
pratiques religieuses. Des aires réservées à la
préparation des repas ont été ajoutées dans
les résidences afin de mieux répondre aux
besoins individuels des étudiants.
Ces mesures ont eu pour effet d’accroître
l’intérêt de l’ensemble des étudiants à l’égard
des habitudes alimentaires et culturelles
de leurs condisciples. Sur de nombreux
campus, les salons de l’alimentation internationale, les célébrations ethniques et les
activités à caractère multiculturel jouissent
d’une immense popularité tant auprès de
l’effectif étudiant que du personnel.
Une autre approche pour valoriser les
différentes cultures présentes sur le campus
consiste à fournir, hors programme, des
occasions d’engager un dialogue interculturel et d’exprimer la diversité. Par exemple,
l’Alma Mater Society (AMS) de la UBC
finance des groupes de ressources tels que le
Colour Connected Against Racism, qui lutte
contre le racisme, ainsi que plus de 300 clubs
tous azimuts. Citons entre autres le Muslims
Students Association et le Asian Debate
Club, le premier s’adresse aux étudiants
musulmans tandis que le second tient des
débats oratoires sur des enjeux associés aux
pays asiatiques. Toujours dans le cadre de
l’approche englobante de l’Université, des
étudiants ont créé des activités en appui à la
Journée internationale pour l’élimination de
la discrimination raciale et l’initiative Africa
Awareness, qui organise chaque année un
colloque afin d’apporter des précisions sur
l’Afrique et de combattre les stéréotypes
négatifs qui y sont rattachés. Ils prévoient
également se pencher sur la représentation
de la diversité dans les médias. Aussi, une
publication intitulée Think Equity est disponible sous forme imprimée et en ligne. Ce
document vise à promouvoir le dialogue par
l’entremise de récits personnels, d’articles,
de représentations artistiques et de photographies. Dans un récent numéro, on a
pu voir une série de photos d’étudiants de
diverses ethnies vêtus de T-shirts arborant
la phrase « I speak English. »
L’Université offre un environnement
positif ainsi que l’espace et le soutien administratif nécessaires au démarrage de ces
projets. Les étudiants s’occupent du reste.
« Nous éliminons bon nombre des obstacles
qui se dressent habituellement sur la route
de ceux et celles qui veulent former ces
groupes sociaux », raconte Gavin Dew, viceprésident, affaires académiques, de l’AMS.
« La UBC et l’AMS entretiennent le feu sous
la marmite afin de réduire le coût de la communication interculturelle. » L’établissement
donne aussi son appui au moment de la
période de recrutement annuel, qui permet
d’accueillir de 25 à 40 ambassadeurs de
l’équité. Ces derniers planifient des activités
ensemble pendant les mois d’été.
Lorsque les étudiants s’engagent de la
sorte, il y a plus de chances qu’ils lancent
des projets tels que des salons à thématique
internationale, des activités axées sur les
échanges culturels ainsi que des forums
à vocation interculturelle. En parallèle,
les universités font souvent équipe avec
leurs associations d’étudiants étrangers et
d’étudiants autochtones afin de proposer
des programmes tels que des journées
d’orientation ciblées et des programmes
d’échange avec des pairs.
Souvent, des projets démarrés à
l’initiative de l’Université sont repris avec
enthousiasme par des étudiants à mesure
qu’ils acquièrent de la confiance dans leur
rôle d’ambassadeurs de l’établissement.
« Lorsqu’une certaine masse critique est
atteinte, les étudiants deviennent autosuffisants dans ces domaines », explique monsieur Singer. Concordia envoyait auparavant
des membres du personnel à l’aéroport pour
accueillir les étudiants chinois. Maintenant, c’est l’association des étudiants chinois
qui s’en charge. La situation est la même
à l’Université du Nouveau-Brunswick à
Saint John.
Un autre effet secondaire formidable de
la valorisation de la diversité culturelle est
la possibilité d’établir un dialogue interculturel. « La coexistence pacifique ne suffit pas,
insiste Tom Patch. Il doit régner un esprit de
collaboration parmi les divers groupes pour
que cela débouche sur de nouvelles perspectives et des innovations. »
Il ajoute que les universités sont stimulées par les discussions ouvertes autour
de perspectives différentes. « La diversité
engendre de telles possibilités, continue-til. Mais elle engendre aussi un défi. Aussitôt qu’on lance une discussion sur des
croyances et des valeurs différentes, il y a
risque de conflit. » Pour l’établissement, le
défi consiste à permettre que de telles discussions se déroulent dans le respect et la
politesse, qu’elles englobent les différences
plutôt que de chercher à les restreindre. Les
politiques et les structures doivent faire en
sorte que les étudiants de différentes cultures puissent exprimer leurs perspectives
en toute sécurité.
À Concordia, monsieur Singer parle par
expérience. Il a été témoin, aux premières
loges, des conflits qui peuvent surgir lorsque
des événements mondiaux créent des tensions. Si elles ne sont pas gérées correctement et collégialement, ces tensions peuvent
s’exacerber et déborder sur le campus. Les
premières tensions d’importance sont ressorties entre les Grecs et les Turcs au point
fort de la crise de Chypre. Il y a quatre ans,
divers groupes d’étudiants se sont affrontés
lors d’une visite sur le campus de l’ancien
premier ministre d’Israël Benjamin Netanyahu. En réaction, Concordia a imposé un
moratoire, qui a été levé depuis, sur toute
activité politique associée au conflit israéloarabe.
À long terme, toutefois, l’Université estimait que la solution passait par la définition
de nouvelles lignes directrices pour son
bureau des droits et des obligations. Les
<< Les établissements
réagissent aux défis et aux
nouvelles possibilités que suppose
une population étudiante
de plus en plus diversifiée
en ajustant leurs objectifs, leurs
politiques et leurs procédures
pour bien s’adapter à cette
nouvelle réalité. >>
changements de politiques ont été suivis
d’autres initiatives, notamment une série
de conférences sur la résolution de conflits
et des efforts pour encourager des débats
collégiaux afin d’exposer les étudiants et les
professeurs à une diversité d’idées encore
plus grande. Parallèlement, il était important que chacun comprenne bien les détails
des nouvelles « règles d’engagement ».
Tout en respectant l’individualité de
chaque culture à l’intérieur de ses murs,
l’Université doit relever le défi de faire connaître les attentes et les normes de la culture universitaire canadienne à l’ensemble
des étudiants. Dans certaines cultures, par
exemple, on attend des étudiants universitaires qu’ils reconnaissent, puis reproduisent
une réponse acceptée à une question ou à
un problème académique donné. Par conséquent, les universités ont pris des mesures
pour mieux définir le plagiat et veiller à ce
que cette information soit communiquée aux
étudiants par le personnel et par l’entremise
de documents imprimés.
Après tout, le personnel de l’Université
est le canal par lequel sont transmis les énoncés de mission, les politiques et les procédures de l’établissement. « Il est essentiel
d’observer non seulement la représentation
de la population étudiante, mais également
celle du corps professoral et de l’ensemble
du personnel », indique monsieur Patch,
de la UBC. Un personnel diversifié sur le
plan culturel peut plus efficacement servir
de modèle pour les étudiants et donner
son appui à l’encadrement des membres
des groupes minoritaires. Plus important
encore, cela ajoute à la perception, de la
part des étudiants, que l’Université est une
communauté accueillante. Si le corps professoral réunit des gens de diverses origines,
il y a plus de chances que les programmes
d’études incluent diverses perspectives et
répondent aux attentes ainsi qu’aux aspirations d’une population étudiante elle aussi
diversifiée.
« On peut en dire à peu près autant des
administrateurs », fait observer monsieur
Patch. « Si les étudiants de diverses cul-
tures regardent autour d’eux et voient des
administrateurs provenant de milieux semblables au leur, ils vont avoir le sentiment
que l’établissement valorise véritablement
la diversité. »
Une partie du processus d’équité en
matière d’emploi suppose la reconnaissance
d’obstacles qui risquent d’empêcher certaines personnes d’accéder à divers postes.
« Si l’on observe un goulot d’étranglement,
il est important de cerner le problème »,
conseille monsieur Patch.
Sa collègue Janet Mee, directrice, accès
et diversité, souligne l’importance de bâtir
en fonction de l’avenir. « Bon nombre
d’étudiants qui ont participé au programme
d’accompagnement par les pairs pendant
leurs études au collège ou à l’université font
ensuite carrière dans le système d’éducation,
raconte madame Mee. « Nous nous retrouvons donc avec des personnes qui ont
effectivement vécu de telles expériences
et peuvent parler de ces dossiers en toute
connaissance de cause. »
À l’Université de la Saskatchewan (U de
S), madame Lafferty considère qu’il s’agit là
d’une forme de planification de la relève. Il
est nécessaire non seulement de tirer profit
des occasions existantes, dit-elle, mais également de planifier cinq ans à l’avance, en
tenant compte des étudiants qui avancent
et en investissant dans les études des cycles
supérieurs pour les étudiants prometteurs.
Entre-temps, il est essentiel de donner
de la formation aux membres du personnel
qui n’ont peut-être pas eu la chance de vivre
les mêmes expériences que les étudiants
actuels. Dans ses efforts en vue de sensibiliser le personnel à la diversité, l’U de S a créé
un partenariat avec Wanaskewin Heritage
Park pour offrir des cours au centre culturel
et pour en faire, sous peu, un collège satellite
officiel de l’Université.
La UBC offre aux étudiants tout comme
aux membres du personnel et du corps
professoral des cours sur la diversité et
l’inclusion, à l’instar de l’Université du Manitoba et de beaucoup d’autres établissements
partout au pays. L’Université Simon Fraser
(USF) aussi forme activement son personnel
afin de relever les défis que pose la diversité
culturelle. Toutefois, puisque 43 % de sa
population étudiante parle une autre langue
que l’anglais à la maison, la USF porte une
attention particulière aux langues comme
dimension de la diversité.
L’établissement souhaite faire en sorte
que les professeurs affectés aux cours de première année aient les outils nécessaires pour
enseigner à des étudiants qui ne sont pas
principalement anglophones. Récemment,
la USF a envisagé la possibilité de retenir
les services d’un organisme australien pour
former ses instructeurs.
L’Université a également créé une série
de « cours fondamentaux » que tous les
étudiants doivent suivre afin d’élargir leurs
compétences quantitatives et qualitatives.
Tous les cours qui visent ce dernier volet
donnent une large place à l’écriture. Un
appui sera donné à tous les étudiants par
l’entremise d’un centre de ressources éducatives situé dans la bibliothèque. Malgré
les coûts élevés associés à la création de
nouveaux cours et de réoutillage du centre,
la SFU prévoit que cet investissement
améliorera considérablement l’expérience
d’apprentissage pour tous les groupes culturels présents à l’Université.
Selon Janet Mee, de la UBC, les efforts
consacrés à élargir les activités académiques
sont essentiels à la valorisation de la diversité. « Il faut qu’il soit possible d’entamer un
dialogue significatif dans les salles de classe
pour que diverses voix se fassent entendre », explique-t-elle. Pour multiplier les
possibilités d’établir un tel dialogue, la UBC
a restructuré le programme d’études pour
qu’il soit possible d’intégrer des séminaires
dirigés par des étudiants qui ouvrent droit
à des crédits. Grâce à une initiative pilotée
par des étudiants, le programme d’études
africaines a ainsi vu le jour. Récemment,
l’établissement a aussi financé une série de
conférences sur les citoyens du monde, au
cours desquelles d’éminents conférenciers
tels que Stephen Lewis ont pris la parole.
De fait, beaucoup d’universités considèrent que la diversité culturelle qui
caractérise de plus en plus leur population étudiante constitue une chance stimulante d’exposer tous les étudiants au vaste
monde. « Grâce à un campus plus riche
sur la plan culturel, leur mode de pensée
devient plus englobant », indique Jane
McGinn-Giberson, directrice, affaires étudiantes à l’Université St. Thomas, où le
nombre d’étudiants étrangers est passé de
50 à 150 en cinq ans.
Bon nombre d’universités poussent leur
approche une étape plus loin en cherchant
non seulement à augmenter le nombre
d’étudiants étrangers qu’elles accueillent,
mais aussi en créant des programmes pour
que des résidents canadiens étudient à
l’étranger. « Cela va dans les deux sens »,
indique Kevin Bonner, directeur des services
aux étudiants de l’Université du NouveauBrunswick. Il s’est écoulé presque 10 ans
depuis que l’Université a créé un partenariat
avec le Concord College à Pékin. Au cours
de cette période, des instructeurs aussi bien
que des étudiants se sont promenés entre le
Canada et la Chine.
À la SFU, des étudiants du programme
d’administration des affaires passent deux
ans à étudier le mandarin avant de se rendre
en Chine pour un séjour d’études de deux
ans à l’Université de Jei Jung. Par la suite,
ils reviennent dans leur établissement
d’origine pour une autre année. Pendant
ce temps, des étudiants de Jei Jung participent à un échange semblable à la SFU. Les
deux groupes d’étudiants obtiennent deux
diplômes, un de chaque établissement.
Plus que les diplômes, c’est le riche
échange de culture et de connaissances qui
constitue la récompense la plus importante
pour tous ces étudiants. « Les étudiants
canadiens apprennent à bien connaître
la culture mandarine et chinoise, tandis
que les étudiants chinois en viennent à
bien connaître la culture anglaise et canadienne », indique Nello Angerilli, de la
SFU. L’Université prévoit dupliquer ce programme dans d’autres disciplines.
De tels projets pourraient bien constituer
une solution à la crainte exprimée par le
gouvernement canadien quant à l’idée que
trop peu de Canadiens connaissent bien la
Chine. Pour ce qui est de la crainte que la
Chine cesse un jour d’envoyer ses étudiants
poursuivre des études postsecondaires au
Canada, monsieur Angerilli a récemment
constaté qu’elle est peut-être sans fondement. Bien que le gouvernement chinois
planifie de faire passer le nombre d’étudiants
inscrits à l’université de 16 millions à 30 millions d’ici 2010 – la plus forte croissance de
l’effectif universitaire jamais entreprise à
l’échelle de la planète – les intervenants en
Chine en arrivent à la même conclusion que
leurs homologues canadiens. Le fait de consacrer une portion des études universitaires
à l’étranger s’avère une expérience précieuse
et enrichissante.
Les Canadiens qui n’auront jamais la
chance d’étudier dans une université à
l’étranger pourront tout de même vivre
une expérience riche et diversifiée. En intégrant diverses dimensions du monde dans
notre propre pays, nous permettons à nos
étudiants de devenir de véritables citoyens
du monde, capables de fonctionner dans
un environnement culturel diversifié et en
constante évolution.
« La diversité au sein de la population
étudiante et la diversité des approches à
même les programmes d’études et les activités hors programme donnent l’occasion de
développer de telles compétences », conclut
Gavin Dew, de la UBC. « Les étudiants font
leur entrée dans le monde fins prêts à vivre
tant avec les difficultés qu’avec les avantages considérables rattachés à la diversité
culturelle qui caractérise notre planète. »