Sur les traces de

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Sur les traces de
UNE PAGE D’HISTOIRE
DES FAMILLES DARVEAU
Sur les traces de François Hervault
La ville de Québec vers 1685.
BANQ. Extrait de l’image P600,S5,PGC36
Recherches effectuées par René Darveau
Tous droits réservés
©2010
« Par devant Gilles Rageot notaire gardenottes du Roy nostre Sire en la
Prevausté de Québecq en la Nouvelle France furent présents en leurs personnes
René Bisson se faisant et portant fort d'Anne Laisné sa femme à veuve en
premieres noces feu Etienne Content habitants de la seigneurie du village de St
Antoine, stipulant pour et au nom de Marie Content fille de ladite Layné et
dudit deffunct d'une part et François Hervault habitant dudit lieu de St
Antoine fils de deffunct Jean Hervault et de Simonne Labory vivants ses pere et
mere de la paroisse Sainct Laurens evesché dangoulesme diocèze dudit lieu pour
luy et en son nom dautre part lesquelles partyes de leurs bons grez et vollonsez
en la presence et du censentement de leurs parens et amys pour ce assemblez de
part et d'autre scavoir de la partde ladite Content de Jean Contant son frère
ayné et de la part des Hervault et Marie Content ensemble, de Simon et Jean
Savard frères et Pierre Gendreau leur amys communs, ont reconnu et confessé
avoir fait er passé ensemblement les traicté promesses et conventions de
mariage qui ensuivent est à scavoir ledit Bisson avoir promis et promet donnes
en nom de mariage ladite Marie Content fille de sadite femme et dudit deffunct
a ce présents et de son consentement audit François Hervault qui la promes
prendre pour sa femme et légitime espouze comme aussy elle le promet prendre
pour son mary et légitime espoux icellui mariage faire en sollemmiser en face de
nostre mère Saincte Esglise Cathosique Apostolique et Romaine le plustost que
faire ce pourra et qui sera advisé et deslibéré entr'eux leurs dits parens et amys
pour ce assemblez, sy Dieu et nostre ditte mère Saincte Esglise y consentent et
accordent pour estres uns et communs en tous biens meubles et conquests
immeubles du jour de leurs espouzailles suivant la coustume de la ville prevasse
et vicomté de Paris suivie en ce pays, ne seront tenus aux dettes lum de lautre
faictes et crées avant la sollemmité de leur espouzaille ainssy aucunes y a seront
payées et acquittées par celluy de qui elles procederont et sur son bien, sera
douée ladite future espouze du douaire coussumier, s'oblige ledit René Bisson
beaupère de ladite fille en faveur de sucdit mariage de nourir lesdits futurs
espoux pendant le temps d'un an de temps durant apres leurs espouzailles en
travaillant par eux au proffit de sa maison sans luy en rien payer, en cas que
lesdits futurs espoux ne desirent travailler pour leur proffit particulier sur une
terre qui leur pourra appartenir par acquision ou autrement cy apres, estant
accordé entre les partyes que sy lesdits futurs espoux travailler pour autres
particulliers que pour leur proffit, sur leurditte terre, ledit Bisson sera tenu les
nourir a ses despens pour le proffit de leurdit travail qui luy demeurera a son
proffit particulier et a sa maison en cas quils desirent prendre leurs vivres de
luy pendant ledit temps car ainsy & ce promet & ce obligeant chacun en droit &
ce renoncant & ce faict et passé audit Québecq estude dudit notaire apres midy
le neufviesme de septembre MVIc quatre vingt onze et presence de tesmoins qui
ont avec ledit notaire signé et lesdites partyes parens et amys declaré ne scavoir
escrire ny signer de ce interpellez suivant lordonnance
HUBERT (avec paraphe)
MARANDEAU (avec paraphe)
RAGEOT (avec paraphe))
1. La première trace
en Nouvelle-France
2. Le lieu d’origine
Le contrat de mariage nous apprend ceci :
C'est de la paroisse de Saint-Laurent, évêché
d'Angoulême, diocèse du même nom en Angoumois que
partit François Hervault, fils de Jean et de Simone
Labory.
2.1 La région de France.
L'Angoumois est une ancienne région (comté, duché)
de France qui englobait la majeure partie de l'actuel
département de la Charente et une partie de la
Dordogne.
Angoulême est l'ancienne capitale de l'Angoumois.
Elle est située au sud de la Charente à 450 km au sudouest de Paris, à 100 km au nord-est de Bordeaux et à
100 km au sud de Poitiers.
Les habitants de cette contrée étaient des Angoumois.
182 sont partis pour la Nouvelle-France : ce nombre
correspond à environ 2,1% de tous les colons français
émigrants. Parmi ceux-ci, il y eu François Hervault dit
l’Angoumois, notre ancêtre.
2.2 De quelle paroisse s’agit-il ?
Il n’y a pas de paroisse Saint-Laurent à Angoulême.
Dans l’arrondissement d’Angoulême, il y a la paroisse
de Saint-Laurent-de-Belzagot. Dans l’arrondissement
de
Conflens,
Saint-Laurent-de-Céris.
Dans
l’arrondissement de Cognac, Saint-Laurent-de-Cognac.
Dans la France ancienne (carte de Cassini), SaintLaurent-de-Cognac était en Saintonge. Saint-Laurentde-Céris était rattaché au diocèse de Poitiers bien qu’en
Angoumois. Quant à Saint-Laurent-de-Belzagot, il
s’appelait Saint-Laurent-de-Montmoreau: il était bien
en Angoumois et relevait de l’évêché et du diocèse
d’Angoulême.
Logiquement, ce serait de Saint-Laurent-de-Belzagot,
une commune du Sud Charente située à 1 km au sud de
Montmoreau-Saint-Cybard
et
29 km
au
sud
d'Angoulême. Environ 350 habitants de nos jours.
________
Références.
Bibliothèque nationale de France: bibliothèque numérique Gallica.
- Carte générale de la France. 069, [Angoulême]. N°69 / [établie sous la
direction de César-François Cassini de Thury] 1779.
- Les eslections d'Angoulesme et de Cognac et les enclaves de St Jean
d'Angers_ Dressé sur plusieurs mémoires par N Sanson d'Abbeville. 1694
- Partie méridionale de l'évesché de Poictiers. Partie méridionale du Haut
Poitou. Leslection de St Maixent et partie de celles de Poictiers et de Niort.
Dressé sur plusieurs mémoires par N. Sanson d'Abbeville. 1690
SEIGNEURIES PRÈS DE QUÉBEC
3. Installation
en Nouvelle-France
Le contrat de mariage nous apprend ceci :
François Hervault s'est établi dans «la seigneurie
de Saint-Gabriel, à la côte Saint-Antoine, de la
paroisse de Charlesbourg».
3.1 La seigneurie de Saint-Gabriel
Le 11 avril 1647, la Compagnie de la Nouvelle-France aussi
appelée la Compagnie des Cent-Associés concède à Robert
Giffard une seigneurie de 2 lieues de front sur 10 lieues de
profondeur au dessus de la seigneurie de Sillery. Le 1 octobre
1647, il en donna un quart aux Hospitalières de Québec (ces
terres deviendront la seigneurie de Saint-Ignace) et le 2
novembre 1667, il fit don du reste aux Jésuites, comme
prolongement de leur seigneurie de Sillery. Ces derniers
nommèrent ces terres «seigneurie de Saint-Gabriel» et elle fut
ouverte en 1671.
Cette seigneurie est bornée au nord-est par Saint-Ignace, au
sud-ouest par Gaudarville et devant par Sillery. Elle a une
dimension d’une lieue et demie de front sur dix lieues de
profond (environ 4,87 km par 32,48 km).
L’occupation du territoire débute dès 1673, année où une
mission huronne vient s’établir en un lieu nommé NotreDame-de-Lorette. Une chapelle y sera construite en 1673. Des
colons aussi s’y installent. Les Hurons quittent en 1697 pour
s'installer au nord-est, à un endroit plus favorable pour la
chasse et la pêche qu'on appellera la Jeune-Lorette (leur
ancien village prendra le nom de Vieille-Lorette). Une seconde
chapelle,
Notre-Dame-de-la-Jeune-Lorette
(1676)
est
construite pour les Hurons dont les registres ne débuteront
qu’en 1761. Des colons s’y installent également.
3.2 La paroisse de Charlesbourg.
Dans ce deuxième lieu de colonisation, il y a des bourgs mais
aucune paroisse ne verra le jour avant 1794. Ils relèvent de la
paroisse de Charlesbourg dans la seigneurie de Notre-Dame-desAnges. La chapelle de Saint-Charles-Borromée fut érigée en 1670 et
les registres ouverts en 1679.
En 1676. Charlesbourg était composé de 4 petits villages: La petite
Auvergne, Saint-Claude, Saint-Bernard et le petit Saint-Antoine.
En 1683, trois petits villages s’y étaient ajoutés: le Bourg-Royal, St-Joseph et
St-Romain. Il y avait 77 familles (397 habitants).
En 1698, Charlesbourg; la Petite Auvergne, Saint-Bernard et Saint-Claude
comptaient 315 habitants; Saint-Romain et Petit-Saint-Antoine, 99 habitants;
Grand-Saint-Antoine et route Sainte-Barbe, 97 habitants. Un total de 511
habitants.
En 1705, nouvelle délimitation. La paroisse comprenait: le Petit Village, le
Gros Pin, St-Jérôme dit l'Auvergne, Bourg-Royal, Bourg-la-Reine, Charlesbourg, St-
Claude, St-Pierre, St-Joseph, St-Bonaventure, St-Bernard, St-Romain, St-Gabriel, StJacques, Pin-Court, le Petit St-Antoine et le Grand St-Antoine
En 1721, au Petit St-Antoine et au Grand St-Antoine, le procureur général
Mathieu-Benoît Collet ne trouva que 6 et 13 familles.
En 1722, création de la paroisse de Saint-Charles-Borromée. Elle s’étend sur
3 lieues et dix-huit arpents de front, à prendre du côté d’en bas, au bout de la
profondeur des habitations qui sont le long de la rivière Saint-Charles et de la
paroisse de Québec, depuis le grand chemin du Bourg-Royal jusqu’à la paroisse de
la Vieille Lorette. La paroisse regroupe les villages suivants: Le Petit-Village, GrosPin, Saint-Jérôme dit L’Auvergne, Bourg-Royal, Bourg-la-Reine, Charlesbourg, SaintClaude et Saint-Pierre, Saint-Joseph, Saint-Bonaventure, Saint-Bernard, SaintRomain, Saint-Gabriel, Saint-Jacques, Pincourt, Le Petit-Saint-Antoine, et le Grand
Saint-Antoine.
En 1794, la paroisse de Charlesbourg est amputée d’une partie à l’ouest où
des centaines de famille s’y sont installées Ce sera la paroisse de Saint-Ambroisede-la-jeune-Lorette.
3.3 La côte Saint-Antoine
Le village de Saint-Antoine est situé le long de la rivière
Saint-Charles près de Notre-Dame-de-Lorette (aujourd’hui
Wendake).
Du côté est de la rivière, il y a le petit Saint-Antoine constitué
du rang 1 ou route Saint-Paul, ainsi que des rangs 2 et 3,
orientés NE et rejoignant la seigneurie de Saint-Ignace. Du
côté ouest, il y a le grand Saint-Antoine constitué du
prolongement du rang 1 et du rang 4, orienté NE et rejoignant
la Rivière Saint-Charles.
En 1721, dans le petit et le grand Saint-Antoine, il y avait
respectivement 6 et 13 familles.
Dans le quatrième rang, François Darveau possède une terre
de 3 arpents de front par 20 de profond : une superficie de 17
arpents sur un total de 60 est en exploitation. Là se trouvent
une maison de 12 pieds par 15 et une grange.
Si l’on replace ces informations dans le contexte
d’aujourd’hui,
- il aurait vécu à Loretteville,
- il aurait eu une terre sise du côté nord de la rue Racine
________
Références.
Aveux et dénombrements de la seigneurie de Sillery et contenant la
déclaration de Saint-Gabriel. 1733. ANQ-Q-E21/189
Extrait de la carte de Gédéon de
Catalogne (1709)
3.4 Loretteville
Loretteville est située le long de la rivière Saint-Charles, à quinze
kilomètres environ au nord-ouest du centre-ville de Québec.
Jalons historiques
- En 1673, des colons commencent à s’installer au nord-ouest de
Québec.
- En 1697, les Hurons quittent la mission Notre-Dame-de-Lorette
pour s'installer plus au nord, dans un endroit qui prendra le nom
de Jeune-Lorette, aujourd'hui Wendake.
- Au début du 18e siècle, des colons sont établis dans les
secteurs dits du Petit-Saint-Antoine et du Grand-Saint-Antoine (la
rue Racine).
- En 1794, le peuplement a suffisamment progressé pour qu'une
paroisse soit créée. C'est ainsi que Saint-Ambroise-de-la-JeuneLorette voit le jour, même si la paroisse n'existera
canoniquement qu'à partir de 1827.
- En 1845, Saint-Ambroise-de-la-Jeune-Lorette devient une
municipalité de paroisse. Le territoire est vaste: 10 kilomètres de
front sur 10 kilomètres de profondeur. Ce territoire comprend
l'établissement de Lac-Saint-Charles, les Côtes Saint-Ignace,
Saint-Romain, Saint-Bernard, Rang de la Misère, de l'Ormière, de
Sainte-Geneviève, de la Côte Saint-Bonaventure, la rivière dite
des Mères de l'Hôtel-Dieu et les trois concessions dites de
Valcartier.
- En 1904 débute le démembrement avec la création de la
municipalité du village de Saint-Ambroise(Neufchâtel).
- En 1913, le village prend le nom de Loretteville avant d'accéder
au rang de ville en 1947.
- Dans les années 1960, Loretteville s'urbanise de façon
accélérée. En 2002, elle est réunie à la ville de Québec.
4. - François Darveau (1664?-1743)
a laissé ces indices sur ses faits et gestes en Nouvelle-France.
26 janvier 1700, samedi. Paroisse de Charlesbourg
9 septembre 1691, dimanche (Québec) Rageot
François Rivau époux de Marie Content fait baptiser son fils
Contrat de mariage entre François Hervault, de la seigneurie du
Jacques né le 25.
village de Saint-Antoine, fils de feu Jean Hervault et de Simone
Labory, de la paroisse de Sainct Laurent, évêché Dangoulesme,
24 septembre 1702, dimanche. Paroisse de Charlesbourg.
diocèse Dangoulesme, et Marie Content, fille de feu Étienne
François Dherveaux époux de Marie Content fait baptiser son
Content et de Anne Laisné, de la seigneurie du village de St-Antoine.
fils Jean-Baptiste né le 23.
28 novembre 1693, mercredi. Paroisse de L’Ancienne-Lorette.
François Héraux époux de Marie Contant fait baptiser sa fille
Louise née le 27.
26 novembre 1702, vendredi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dhervau assiste au baptême de Geneviève Philippe,
fille de Jean Philippe et de Catherine Galarneau.
16 septembre 1696, jeudi. Paroisse de L’Ancienne-Lorette.
François Héro Langoumois époux de Marie Contant fait
baptiser sa fille Marie née le 13.
4 novembre 1704, mardi. Paroisse de Charlesbourg.
François Derveau époux de Marie Contant fait baptiser son fils
Charles François né le même jour.
17 novembre 1696, samedi, Hôtel-Dieu de Québec.
Le nom de François Ervaut figure au registre des admissions de
l'hôpital.
11 décembre 1707, dimanche. Paroisse de Charlesbourg.
François Dhervaux époux de Marie Content fait baptiser sa fille
Marie-Thérèse née le 10.
5 janvier 1697, samedi (Québec) Chambalon
Vente d’une habitation située à St-Antoine, par René Hubert,
huissier au Conseil souverain, à François Hervault, habitant, de
Saint-Antoine, paroisse de Notre-Dame de Laureste. Pour la somme
de 200 livres, il achète une terre de 6 arpents de front par 20
arpents* de profondeur au village Saint-Antoine.
*un arpent=192 pieds
10 mars 1711, mardi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau inhume son épouse Marie Content décédée
la veille.
25 octobre 1697, vendredi (Québec) Chambalon
Vente d’une terre située en la seigneurie de Saint-Antoine,
paroisse de L’haurette, par François Hervault, habitant, de la
paroisse de L’haurette, à Jacques Lepage, habitant, de la paroisse
de L’haurette. Il revend la terre acquise 9 mois plus tôt au même
prix, à Jacques Lepage.
7 novembre 1712, lundi (Beauport) Duprac
Il contracte mariage devant le notaire Duprac, avec MarieCatherine Mezeray, née à Québec, le dimanche 20 avril 1664 (veuve
de Jacques Auvray). Il l’épouse en deuxième noce à Charlesbourg le
même jour.
7 avril 1713, vendredi
Il fait procéder à l’inventaire des biens de sa première
communauté,. Il possède une habitation de 3 arpents de front par
20 arpents de profondeur à Saint-Antoine où se trouve une maison
de 12 pieds par 15 pieds. Le même jour, il fait requête à Pierre
Émard, juge de la seigneurie Notre-Dame-des-Anges, pour clore
l’inventaire.
14 octobre 1715, lundi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dhervau assiste au mariage de sa fille Louise avec
Charles Valin. François Dhervau assiste au mariage de Simon
Barbot et de Catherine Auvraye.
25 octobre 1717, lundi. Paroisse de Notre-Dame (Québec).
François Dervaut Langoumois assiste au mariage de sa fille
Marie avec Jacques Lepage
7 janvier 1719, jeudi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau assiste au baptême de Jean-François
Foulardeau, fils de Guillaume Foulardeau et Ambroise Bergevin.
5 février 1720, lundi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dhervaut assiste au mariage de son fils Charles
François avec Thérèse Auvray
2 février 1721, dimanche. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau inhume sa deuxième épouse Catherine
Maizerest décédée la veille.
26 février 1721, mercredi
Il demande élection d’un tuteur.
22 avril 1721, mardi (Québec) Dubreuil
Quittance de Jacques Lepage dit Roy, de la ville de Québec, à
François Darvaux, veuf de Catherine Mezeret.
23 avril 1721, mercredi (Québec) Dubreuil
Reddition de compte entre François Darvaux, veuf de Catherine
Mezerest, de la paroisse de Charlebourg, épouse antérieure de
Jacques Auvray et de Jean-François Savar, de la paroisse de
Charlesbourg, au nom et comme tuteur des enfants mineurs dudit
défunt Auvray et de la dite Mezerest.
13 mars 1724, samedi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau est cité à titre de père de Marie-Thérèse
décédée la veille et inhumée en ce jour.
2 février 1725, vendredi. (Québec) Dubreuil.
François Darveau est cité à titre de père de Jean-Baptiste qui
passe un contrat de mariage avec Marguerite Jourdain
4 juin 1726, dimanche. Paroisse de L’Ancienne-Lorette.
François Darveau assiste au baptême de son petit-fils JeanFrançois, fils de Jean-Baptiste et Marguerite Jourdin.
24 avril 1728, jeudi. Paroisse de L’Ancienne-Lorette.
François Dervaux assiste au baptême de son petit-fils François,
fils de Jean-Baptiste et Marguerite Jourdin.
8 juin 1729, lundi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau assiste au mariage de Louis Michelin et
Françoise Auvray, fille de sa défunte épouse mariée en première
noce avec Jacques Auvray.
16 octobre 1730, samedi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau assiste au mariage de Charles Morant et
Marguerite Barbot.
18 février 1732, lundi. Paroisse de Charlesbourg.
François Dherveau assiste au second mariage de son fils
Charles François avec Marguerite Lhereau
17 janvier 1733, dimanche
Son nom figure dans l’Aveux et dénombrements de la
seigneurie de Saint-Gabriel.
2 mai 1743, jeudi. Paroisse de Charlesbourg.
François Darvau, âgé de 79 ans, est inhumé à Charlesbourg.