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•• Janvier 2013 •• N°232 1 G E N N E V I L L I E R S M A G A Z I N E Carnaval : Grand retour le 22 juin P. 16 C’est l’hiver : Ils bichonnent routes et trottoirs P. 34 Ma crèche est municipale LA GESTION DES CRECHES EST REPRISE PAR LA VILLE. Elle va entamer leur rénovation. Objectif : un accueil de qualité pour les enfants… comme pour leurs parents. p. 16 ÉVÉNEMENT Le carnaval s’annonce géant 10 000 personnes à la parade, en 2010. Combien le 22 juin 2013 ? ÉCONOMIE Elie bleu p. 22/23 DOSSIER Fabrique de coffrets de luxe en bois (Re)naissance pour les crèches ◗ p. 18/21 Depuis le 1er janvier, la ville assure la gestion des crèches. Modalités d’inscriptions, horaires, participations financières, rénovation des lieux. Tout ce qu’il faut savoir… SPORTS CPOURVOUS Éveil sportif p. 32/33 p. 38/39 Pour bien grandir www.villegennevilliers.fr HISTOIRE p. 42/43 Les pouponnières Elles sont nées dans les années trente Dans le top site CADRE DE VIE p. 34/35 Neige ? verglas ? Du sel, du sable, des bras et des engins magazine Toute l’équipe du d meilleurs s se te n se ré p s u vo 2013 L’agenda vœux pour l’année du mois . Gennevilliers Magazine rs MaGazine en janvier détachablees •• janvier 2013 •• No232 177, avenue Gabriel-Péri - 92230 Gennevilliers - Tél. 01 40 85 66 66 - Fax 01 40 85 68 98 - www.ville-gennevilliers.fr d Directeur de publication : Olivier Mériot d Directeur de la Rédaction : Alain Monerris d Rédactrice en chef : Valérie Mauger-Estor (01 40 85 64 85) [email protected] d Rédaction : Fabien Antranik (01 40 85 66 74) - Martine Chaymotty (01 40 85 64 89) - Fabienne Dagouat (01 40 85 64 82) - Frédéric Lombard (06 81 90 54 00) - Jean-Michel Masqué - Céline Nouguès d Photographes : Didier Comellec - Christophe Couffinhal - Jean-Marie Droisy - Tiphaine Lanvin d Conception graphique : Acte-là ! (01 49 96 75 00) - Maquettiste : André Guilhou d Imprimerie : LNI (01 40 85 74 85) d Publicité : HSP (01 55 69 31 00) d Dépôt légal : janvier 2013. Imprimé sur papier recyclé n°232 GenneviLLie en pages central ❤ Le COUP De CŒUr La belle Hellène se. du conservatoire Edgar-Varè anciennes l’auditorium grecque, l’une des plus Vendredi 18 janvier, à k audacieux à la musique de Bernard Cavanna, Le concert est un hommage Fotinaki, qui a été élève et guitariste Katarina un voyage musical d’Europe. La chanteuse avec « Territoires », à le défi d’interpréter Kalabalikis nous invitent, et le guitariste Orestis cours duquel ils saisissent tzouras – petit . Un vaste voyage, au dans le monde hellénique une formation minimaliste (duo de voix, guitares, fois millénaire. avec d’une culture plusieurs l’étendue des rythmes l’essentiel et la profondeur hymnes byzantins bouzouki –, cajon), balayant et délicate… de l’Epitaphe de Seikilos aux Egée, ludique les danses de la mer Ionienne, mer L’approche est à la fois la de airs crétoises, les oublier le rébétiko en passant par les rizitika anédes, les sérénades athéniennes, sans les complaintes miroloïa-amcomme Georges Aperghis. 23 siècles de chansons ! le premier en 2012 Katarina Fotinaki a reçu et les compositeurs actuels la Fondation Onassis. à la Cité des Arts, à Paris, en Grèce, organisé par Résidente depuis 2011 de composition de chant prix au Concours national « naissance » P.29 à la MDc VirTuose De la clarineTTe P.30 Des cowboys réincarnés P.31 au T2G dans le monde Territoire », voyage • Martine ChayMotty audebert, harpe. « 01 40 85 64 71. violoncelle, et Cécile renseignements au avec Gaspar Claus, 13, rue Louis-Calmel les siècles. a 20h30. hellénique à travers janvier 2013 janvier 2013 k 25 k3 « Et Alice mangea… », par la Compagnie Mirelaridaine, à l’Espace Grésillons : un spectacle jeune public fantastique et gourmand. G Mais qu’est-ce donc ? La soirée de lancement du carnaval, à la MDC. Vivement le 22 juin ! G A vos marques, prêts ? Partez pour le cross de l’école municipale des sports. G n On pouvait déguster des plats sénégalais et on pouvait danser à la soirée africaine à la maison de l’enfance Anatole-France. Exposition-concert avec Laurent Dodivers et son univers à l’atelier des Grésillons. G n Vernissage de l’exposition de Ghislaine Valadou, « Et pendant ce temps-là, j’attendais le tramway… ». Elle est visible jusqu’au 12 janvier, à la MDC. n Expo-photos pour les dix ans de la Charte Ville-Handicap. 4k janvier 2013 n Faire son marché et une bonne action en achetant les jouets du Secours populaire français. Soirée raclette pour l’association Un jardin pour tous. Chaleur incontestable ! G n Goûter de Noël à la Régie de quartier du Luth. Miam ! Parmi les livres des prix littéraires des enfants, il y a l’histoire d’un petit Indien, qui a inspiré les enfants de l’école Louise-Michel. G n Conférence de Roland Muzeau sur les atouts de la ville, au salon francilien de l’immobilier d’entreprise, au Palais des congrès. n Douces lumières sur l’école des beaux-arts Edouard-Manet. Un vrai tableau. hes. Noël dans les crèc C’est magique, ufs ! il y a même des œ « Lieu commun », une expo-animation de la Compagnie Friches théâtre urbain, qui a investi la station de métro Les Courtilles, le 1er décembre dernier. G n Math’Gic, c’est dix ans d’existence, une semaine de fête des mathématiques, vingt-deux ateliers, des centaines de visiteurs… Un bon résultat. janvier 2013 k5 oël Spectacle de N sot. e Berthe-Mori ll e rn te a m la à ! On a bien rigolé n Chaleur des îles au marché de Noël, avec l’association Couleur Tropic. Concert des Sourds-Doués à l’auditorium Edgar-Varèse. G Journée mondiale de lutte contre le Sida, Information et sensibilisation au lycée Galilée. G n Spectacle pyrotechnique au marché de Noël. n Des tableaux numériques seront bientôt installés dans les classes primaires. n Les Rencontres de Gennevilliers, à l’Espace Grésillons, avaient pour thème « Puissances du peuple ». n n Thé dansant de l’Apei, dans les salles festives de l’espace Gallieni. En couleurs et en rythme. 6k janvier 2013 Les membres de l’Association de prévention des Grésillons font les choses bien : de bonnes et larges crêpes, par exemple ! maison de justice et du droit Profession : conciliatrice Le quatrième jeudi de chaque mois, la Maison de justice et du droit accueille, le matin, la permanence d’une conciliatrice de justice. Danièle Peyrière peut être l’ultime recours pour éviter une procédure judiciaire entre deux ou plusieurs personnes en litige. L a Maison de justice et du droit (19, avenue Lucette-Mazalaigue) propose une nouvelle permanence de proximité, gratuite. Désormais, le quatrième jeudi de chaque mois, à partir du 24 janvier, la MJD accueille de 9 heures à midi la permanence d’un conciliateur de justice. D’une conciliatrice, plus exactement. Danièle Peyrière a une formation de juriste et cette intervenante bénévole dépend du tribunal d’instance d’Asnières. Elle reçoit sur rendez-vous, dans son petit bureau, les personnes désireuses de résoudre un litige civil par la conciliation. « Je suis compétente pour les litiges portant sur les questions relatives au droit de l’im- mobilier, aux contrats de consommation et à l’endettement », précise-t-elle. Le premier cas recouvre des thématiques aussi diverses que les baux d’habitation, les recouvrements de charges impayées, les conflits de copropriétés, les problèmes de mitoyenneté ou les nuisances de voisinage. Le deuxième concerne les litiges autour de factures d’opérateurs télécoms ou les contrats d’assurance, par exemple. Le troisième traite des questions de recouvrement de créances. « Je suis là pour renouer le fil du dialogue qui a été rompu à un moment entre plusieurs parties qui s’opposent, et résoudre ensemble et à l’amiable leur différend, afin d’éviter de recourir à une procédure judiciaire », ajoutet-elle. Elle ne juge pas et ne donne pas de conseils juridiques. Se (re) parler Rapprocher les points de vue de personnes apparemment irréconciliables ou les ramener tout simplement à se parler : la tâche de cette conciliatrice nécessite autant de solides connaissances des problématiques abordées qu’une grande capacité d’écoute. « L’empathie, la neutralité, la confidentialité sont des qualités requises pour bien intervenir », assure Danièle Peyrière. Par expérience auprès du tribunal d’Asnières, elle estime que le simple fait de saisir le conciliateur est déjà, en soi, un bon indicateur de l’envie du requérant de voir son litige se résoudre. • Frédéric Lombard d Contacts Pour joindre la conciliatrice de Justice, il suffit de se rendre à la MJD ou de la contacter directement par courriel : [email protected] janvier 2013 k7 Bonbons LUTH Élus La prochaine permanence des élus de quartier se tient mercredi 9 janvier, de 18 heures à 19 heures, à l’antenne. C’est sans rendez-vous. Café rencontre L’antenne propose un moment d’échange entre habitants autour d’un café ou d’un thé, les mercredis 9 et 30 janvier, de 14 h 30 à 16 h 30, dans les locaux de l’antenne. Commissions tous Quartiers Une galette peut en cacher une autre 3 Après les fêtes de fin d’année, place aux galettes des rois en ce mois de janvier. Une tradition que les antennes de quartiers respectent avec plaisir… celui, notamment, de réunir les habitants. 2013 verra l’ouverture du centre social et culturel Aimé-Césaire, à la rentrée de septembre plus exactement. L’occasion pour les quatre quartiers limitrophes (le Luth, le Fossé-de-l’Aumône, les Chevrins/CitéJardin et le Village) d’organiser un rendezvous galette des rois, en présence des élus, samedi 19 janvier, sur le chantier du centre. Au programme : visites du futur espace Aimé-Césaire, à partir de 14 heures. À 15 h 30, spectacle familial à destination des enfants, puis, à 16 h 30, les élus présenteront leurs vœux autour de la fameuse galette. Le même jour, l’antenne de quartier de Chandon-Brenu-Sévines tire les rois, à 14 heures, à la maison de l’enfance AnatoleFrance. Deux jours avant, jeudi 17 janvier, à 16 heures, c’est celle du Luth qui se régale sur le marché du Luth. L’antenne des Grésillons, quant à elle, donne rendez-vous aux habitants, vendredi 25 janvier, à 18 h 30, dans la salle du club Agir, au 9, rue Georges. Enfin, l’antenne des Agnettes programme sa galette, vendredi 18 janvier, à 16 heures, place des Agnettes. Qui aura la fève ? • F. A. 8k janvier 2013 La commission animation, culture et loisirs se réunit mardi 22 janvier, de 18 heures à 19 h 30, à l’antenne. La réunion de la commission aménagement et cadre de vie a lieu le lendemain, mercredi 23 janvier, à 18 heures également, à l’antenne. Manucure Un atelier manucure et méthodes de soins des mains, avec conseils d’une manucure professionnelle, est organisé lundi 14 janvier, de 13 h 30 à 16 heures, à la maison de l’enfance RobertDesnos. Tarif unique : 3 euros par personne. r Renseignements et inscriptions auprès de l’antenne. Bracelets Vendredi 25 janvier, de 13 h 30 à 16 heures, atelier bracelets en tissus liberty, à la maison de l’enfance RobertDesnos. Tarif unique : 3 euros par personne. r Renseignements et i n s c r i p t i o n s a u p rè s de l’antenne. Samedi 12 janvier, de 13 h 30 à 16 heures, fabrication de bouquets de fleurs gourmands (à base de bonbons), à l’antenne du Luth. Tarif unique : 3 euros par personne. r Inscriptions à l’antenne. Les Ensorceleuses L’antenne de quartier propose une sortie, jeudi 31 janvier, au Sentier des Halles, pour assister au spectacle « Les Ensorceleuses », par le Quartet Buccal. Transport en métro. Départ à 19 heures, devant l’antenne. Retour vers 22 heures. r Tarif unique : 5 euros. Places limitées. Soirée L’antenne Luth-Village organise une soirée à thème, vendredi 8 février, à 19 heures, sous le préau de l’école Gustave-Caillebotte. Participation : apporter un plat salé ou sucré. r Inscriptions à partir du lundi 28 janvier à l’antenne du Luth ; samedis 26 janvier et 2 février, de 10 heures à 12 heures, à l’antenne du Village. Tour Eiffel Une sortie est organisée à Paris, samedi 26 janvier. Au programme, visite de la tour Eiffel et balade en autobus à impériale autour des monuments de la capitale. Départ en car, à 15 h 30, devant l’antenne. Retour vers 1 8 h e u r e s . Ta r i f unique : 5 euros par personne. À partir de 5 ans. r Inscriptions à l’antenne. Places limitées. Chandon-BrenuSévines Loto Le conseil de quartier organise un loto doté de lots, samedi 19 janvier, à 14 heures, dans la salle polyvalente de la maison de l’enfance Anatole-France. r Renseignements et inscriptions auprès de l’antenne. Cousu main L’atelier couture animé par Denise a lieu tous les mardis, de 14 heures à 18 heures, dans le local situé dans la cour du 7-13, avenue des Sévines. Tarif : 5 euros pour l’année. r Renseignements et inscriptions auprès de l’antenne. Idées à gogo Léticia Zavala, agent de développement local, est à l’écoute des habitants du quartier qui souhaitent monter un projet, proposer des activités ou créer une association… Pour la rencontrer, il suffit de se rendre à l’antenne, 13-15, rue Emile-Zola, au sein de la maison de l’enfance AnatoleFrance, ou la contacter à l’antenne ou sur son portable. Coordonnées des antennes et agents de quartier en page 46. Tiramisu L’association Cuisines du monde organise un déjeuner, samedi 26 janvier, sur invitation seulement, au 6, avenue Lénine. L’Italie sera le thème de ce repas. Cinquante couverts. r Plus d’informations au 01 47 94 04 36. CHANDON-BRENU-SÉVINES Décodeurs d’images À l’invitation de France Télévision, une classe de CM2 de l’école Anatole-France a participé au projet « Médias, réalité ou fiction ? », un travail de décryptage des images. Objectif : développer et nourrir le sens critique des jeunes téléspectateurs. À l’heure où les écrans ont envahi nos intérieurs et colonisent mêmes nos poches, que le robinet à images déverse son flot intarissable d’infos, d’intox et de pubs mélangées, une classe de CM2 de l’école Anatole-France est allée voir l’envers du décor. Au mois de novembre dernier, France Télévision et l’association Cemea (Centre d’entraînement aux méthodes d’éducation active) ont proposé de faire participer les élèves à une master class organisée pendant le Salon de l’éducation, sur le thème « Médias, réalité ou fiction ? ». « J’ai trouvé intéressant d’y associer mes élèves afin d’en savoir davantage sur leur rapport aux images, et aussi pour les aider à s’interroger sur le contenu de ce qu’ils regardent », explique Julie Gloaguen, leur enseignante. Regarde voir… Cette approche cathodique a d’abord pris la forme d’une intervention, celle d’un spécialiste des images, François Laboulais, dans la classe. Il est venu présenter des extraits d’émissions, de reportages et de journaux télévisés qu’ils ont décortiqués ensemble. « Il a demandé aux élèves de deviner à quel public telle ou telle émission s’adressait. Il leur a également présenté un petit film comportant des erreurs qu’ils avaient à repérer. » Les élèves se sont prêtés au jeu de très bonne grâce. « On nous a expliqué comment se réalisait un journal télévisé, le choix des images, les décors », confie Mathieu. « Comme beaucoup d’autres, j’ai découvert que le journaliste n’apprenait pas son texte par cœur mais qu’il le lisait sur un prompteur », renchérit Salma. Un projet qui a trouvé son point d’orgue le 22 novembre au Salon de l’éducation, à Paris. « Nous avons rencontré un grand reporter de France Télévision, Jean-Jacques Le Garrec, auquel les élèves ont pu poser des questions sur son métier et sur le choix des images du journal de 20 heures », reprend Julie Gloaguen. L’expérience s’est conclue là. Brève, elle fut néanmoins largement positive. « Depuis, je fais plus attention quand je regarde un programme à la télé », assure Mickael. « Si ce projet a permis à mes élèves de développer leur sens critique, je ne peux que m’en réjouir », se félicite quant à elle l’enseignante. Mission accomplie. • Frédéric Lombard janvier 2013 k9 Grésillons Réunion Une réunion du bureau du conseil de quartier est organisée mercredi 9 janvier, à 18 h 30, à l’Espace Grésillons. Environnement La réunion commission environnement-cadre de vie est prévue mardi 15 janvier, à 18 h 30, à l’Espace Grésillons. À la Lettre FOSSÉ-DE-L'AUMÔNE Atravessando… 3 Directrice artistique, chorégraphe, interprète… À 34 ans, Fanny Vignals possède déjà une solide expérience dans le monde de la danse. En 2009, cette Gennevilloise a créé sa propre compagnie au Fossé-de-l’Aumône. Baptisée Ona Tourna (aller retour, en occitan), cette dernière puise dans les rencontres interculturelles. Un domaine cher à cette originaire du Lot, qui s’est inspirée de ses nombreux voyages au Brésil pour créer ses spectacles. Le prochain, intitulé « Atravessando… » (traversant, en portugais), aura lieu le 4 avril prochain, à la Maison du développement culturel, et tournera autour de la culture afro-brésilienne. Une culture très différente de celle diffusée en Occident car beaucoup plus basée sur la transdisciplinarité selon la jeune artiste. « Là-bas, il y a vraiment un lien entre le chant, la danse et la voix. Alors qu’en Europe, c’est plus sectorisé. On fait soit l’un, soit l’autre. » Ainsi, Fanny Vignals mêle dans ce spectacle percussions, chant et danse. Le tout sur des accents tribaux et parfois sensuels. Pour en arriver jusque-là, cette habitante des Agnettes a dû convaincre ses parents et professeurs qu’elle voulait faire de sa passion son métier. Une chose loin d’être évidente car elle était bonne élève ! Inscrite en cours de danse dès l’âge de six ans « pour faire comme les copines », elle goûte plusieurs années après au modern jazz, aux claquettes puis à la danse contemporaine. « J’étais très investie. Ça m’a apporté un cadre et m’a permis d’exprimer beaucoup de choses », observe la jeune femme qui a pour autre projet de faire des spectacles en appartement mais également dans la rue. • F. A. 10 k janvier 2013 La réunion concernant « la Lettre des Grésillons » est prog ra m m é e mercredi 16 janvier, à 18 h 30, à l’Espace Grésillons. Animation Agnettes Une commission animation est prévue, mercredi 30 janvier, à 18 h 30, à l’Espace Grésillons. VILLAGE Commissions Mercredi 9 janvier, à 19 heures, la commission animation culture et loisirs du conseil de quartier se tient dans la salle n° 2 de la ferme de l’Horloge. La commission aménagement et cadre de vie se réunit, quant à elle, mercredi 16 janv i e r, d e 1 9 heures à 20 h 30, au même endroit. Au Louvre L’antenne organise une visite-conférence au Louvre autour du thème « les femmes et le travail dans l’histoire de la peinture », mercredi 13 février, après-midi. Participation : 2 euros. Places limitées. r Inscriptions à l’antenne. Au jardin On discute du jardin partagé, mardi 29 janvier, à 18 h 30, à l’Espace Grésillons. Coordonnées des antennes et agents de quartier en page 46. Un, deux, trois, sommeil ! Une exposition autour du thème du sommeil des enfants est organisée sous le préau de l’école Jean-Lurçat, vendredi 25 janvier, de 16 heures à 18 heures. Une initiative conçue par le groupe de parents d’élèves élus de la liste libre, afin de favoriser les échanges entre les parents et les professionnels de santé. Plusieurs partenaires sont directement associés à ce projet tels que le service prévention santé, les ateliers santé-ville, l’antenne du Luth, le centre de loisirs Robert-Desnos, l’association des P’tits Luthins et la bibliothèque André-Malraux. Ce projet, mis en place depuis le 27 novembre et jusqu’au 18 janvier, a été conçu en plusieurs étapes, avec la réalisation de créations artistiques de la part des enfants et la mise en place d'un formulaire personnalisé par élève, autour du rythme journalier du lever au coucher. Une conférence au sein de l’école, en présence de professionnels de la santé, est également prévue le 25 janvier. Les thèmes de l’alimentation, de l’hygiène de vie et de l’équilibre alimentaire seront aussi abordés ce jour-là. r À l’école Jean-Lurçat, 8, rue Jean-Perrin. FOSSÉ-DE-L'AUMÔNE Des petits jardiniers dans tous les sens Les enfants de la maternelle Paul-Langevin et ceux du centre de loisirs préparent déjà le printemps. Ils ont planté, dans leur nouveau jardin des cinq sens, les végétaux qui égayeront la cour au retour des beaux jours… L es bâches tressées bleues qui occultent la clôture de la maternelle Paul-Langevin sont un brise-vue efficace à défaut d’être esthétique. Mais patience ! Dans quelques mois, une véritable haie végétale et naturelle montera à l’assaut des grilles. Au mois de novembre, le service des espaces verts a procédé à la plantation d’arbustes d’essences multiples, officialisant de façon plus harmonieuse la séparation entre la cour de l’école et l’extérieur. Mais ce qui a le plus marqué les enfants, c’est la réalisation fin novembre, début décembre d’un projet au quel ils ont apporté leur contribution et dont ils sont les principaux bénéficiaires. Entre les cours de la maternelle et de l’élémentaire, tout autour d’une future bande gazonnée, les jardiniers de la Ville ont créé un jardin des cinq sens accessible par un petit portillon. Ce sont cinq espaces garnis de végétaux dont la variété évoque chacun de nos sens. Des goûts et des couleurs On y trouve un jardin du goût avec ses plantes alimentaires et condimentaires (poirier, mûre, menthe, mélisse…). Le jardin de l’odorat accueille des végétaux aux feuillages parfumés (lavande, romarin, santoline…). Celui du toucher présente des plantes à la texture particulière (ajonc, oreilles d’ours, graminée cheveu d’ange…). Un dégradé de couleurs rouge, orange, jaune égayera en saison le jardin de la vue (ciste, aquilée, anémone…). Quant au jardin de l’ouïe, il joue sur le bruissement des feuillages (bambou, graminée…). « Ce jardin est destiné aux enfants de la maternelle et à ceux du centre de loisirs. Il était logique qu’ils soient acteurs de sa création », commente Claire Michaud, adjointe au responsable du service des espaces verts. Ils ont donc effectué eux-mêmes les plantations, en deux temps. Le 29 novembre, les petits, répartis par demi-groupes, ont planté le matin les zones « goût » et « odorat ». L’après-midi, les grands leur ont succédé dans les zones « toucher » et « vue ». Le 5 décembre, les enfants du centre de loisirs ont achevé l’ouvrage. On attend les beaux jours. • Frédéric Lombard janvier 2013 k 11 Appel au droit de vote En 2006, la municipalité avait déjà organisé un référendum sur le droit de vote des résidents étrangers aux élections locales. Aujourd'hui, le maire en appelle au Président de la République. E n décembre, le maire de Gennevilliers s’est associé à vingt-sept autres municipalités déjà signataires de l’appel lancé par le maire de Stains (93). Il s’agit d’interpeller solennellement le président de la République pour que soit réalisé, sans plus attendre, son engagement à accorder le droit de vote Anniversaire Dix ans d’actions 3 Le 12 décembre dernier, la Charte Ville-Handicap fêtait ses dix ans lors d’une journée riche de rencontres, conférence et réflexions autour de la notion d’accessibilité. « Depuis 2002, date de la signature de la Charte Ville-Handicap, la question de l’accessibilité de l’espace public et des structures municipales à tous les citoyens est au cœur de notre démarche », a souligné le maire, Jacques Bourgoin, en préambule à cette journée. Pari tenu puisque la 12 k janvier 2013 aux résidents étrangers, et ce avant les élections municipales de 2014. En effet, ces signataires partagent la conviction que « ce droit de vote pour les résidents étrangers peut contribuer à améliorer la cohésion sociale et le vivre ensemble dans nos quartiers, dans nos villes. C’est une mesure de démocratie et de justice très attendue. L’opinion publique y est depuis longtemps très majoritairement favorable. Les jeunes Français issus de l’immigration, notamment, ne comprennent pas pourquoi leurs parents installés en France depuis plusieurs décennies restent privés du droit de vote, alors que, dans la plupart des autres pays d’Europe, ce droit est acquis. » mission handicap de la Ville, appuyée par la commission communale d’accessibilité, animée par Jean-François Burgos, conseiller municipal délégué, peut aujourd’hui se féliciter d’un certain nombre d’avancées significatives. Avec le triplement des places de stationnement réservé, la réalisation de travaux de mise en conformité de la voirie ; l’installation, au cinéma Jean-Vigo, d’un système d’accessibilité pour les handicapés auditifs ou visuels ; l’expérimentation de feux sonores, au carrefour Camélinat ; ou encore, le balisage d’un parcours à l’usage des personnes handicapées, qui va du pôle universitaire à l’avenue Gabriel-Péri. Bien sûr, ont souligné les différents intervenants de cette journée, il reste encore beaucoup à faire pour que les personnes handicapées aient accès à l’ensemble des pratiques culturelles et sportives, mais aussi, pour le volet sanitaire, aux mêmes soins que l’ensemble de la population. • F. d. service public 20 engagements pour la Charte 3 Après onze mois de travail assidu mené conjointement par les élus, les agents et les usagers, la Charte du service public communal a été adoptée lors du conseil municipal du 19 décembre dernier. Les vingt engagements qui la constituent ont été pris en direction de la population, afin de moderniser les services communaux et de les rendre accessibles au plus grand nombre d’usagers. Parmi ces enjeux majeurs, il s’agit, par exemple, de mieux informer et faire connaître les prestations et services municipaux, de mieux accueillir les publics, d’améliorer l’efficacité des relations de l’administration avec chaque usager, de prendre en compte les besoins spécifiques, de toucher les publics les plus éloignés du service public, de mieux partager les orientations municipales et l’action du service public, de garantir l’égalité d’accès au service public et à ses prestations pour tous. Le texte de la Charte sera diffusé prochainement à la population puis appliqué progressivement au cours des deux ans à venir. Multimédia Prochains rendez-vous, en janvier et début février, des ateliers d’initiation multimédia (à partir de 14 ans), initiation au PC : mardi 15 et vendredi 18 ; environnement informatique : mardi 22 et vendredi 25 ; découverte d’Internet : mardi 29 et vendredi 1er février ; recherche documentaire sur Internet : mardi 5 février. Durée : 1 h 30 le mardi et 2 heures le vendredi. d Inscriptions et renseignements au 01 40 85 66 47 ou 64 61. À noter À compter du 1er janvier 2013, un mineur français pourra circuler librement dans l’ensemble du territoire de l’Union européenne sans autorisation de sortie du territoire, mais muni de son passeport ou de sa carte nationale d’identité en cours de validité. Inscriptions Les inscriptions scolaires pour l’année 2013-2014, pour les enfants nés en 2011 qui auront 2 ans avant le jour de la rentrée scolaire 2013, ont lieu du 11 février au 23 mars, à la démarcherie, au rez-de-chaussée de la mairie. d Renseignements au 01 40 85 62 55. Oiseaux Les prochaines sorties nature de la LPO, Ligue pour la protection des oiseaux sont prévues les samedis 19 janvier, 23 février, 16 mars, 20 avril, 18 mai et 15 juin prochains. Rendez-vous à l’entrée du parc des Chanteraines. d Réservations au 06 99 16 52 12. HLM #6 Lycée Galilée Une taxe d’apprentissage vitale 3 Comme chaque année, les 934 élèves en formations techniques au lycée Galilée sollicitent le concours des entreprises pour moderniser leurs matériels. Comme le souligne Lionel Pinard, proviseur de l’établissement : « la taxe d’apprentissage est une véritable bouffée d’oxygène qui finance près de 30 % du budget de l’enseignement technique et professionnel. C’est avec la taxe que nous pouvons améliorer notre quotidien et nous doter de matériels performants. D’autant plus que nos formations industrielles, au le cœur de notre lycée des métiers, s’orientent vers les techniques les plus en pointe et doivent s’adapter au plus près de la demande des entreprises. » Derrière ce sigle, se cache « Hip-hop Level Manufacture », sixième édition, proposée par le Tamanoir, le 1er mars prochain. L’idée ? Trois groupes pourront jouer en live sur la scène gennevilloise. À condition de répondre à l’appel à candidatures, jusqu’au 22 janvier. Pour cela, envoyer un CD de trois chansons minimum (lien Myspace ou You Tube) ; une présentation du groupe ; un visuel représentant le groupe ou l’artiste ; les coordonnées complètes du représentant du groupe. Lancez-vous ! d À adresser au Tamanoir, 27, avenue Lucette-Mazalaigue 92230 Gennevilliers ou par courriel à communication@ letamanoir.com Smic Le versement doit être effectué avant le 29 février. Correspondants pour les versements : plasturgie, Sophie Serisay, chef de travaux STI ; chimie, Didier Abadie, chef de travaux STL. Tél. 01 47 33 30 20. Revalorisé le 1er janvier 2013, le taux horaire du Smic sera de 9,43 euros brut (contre 9,40 euros depuis le 1er juillet dernier), soit 1 430,22 euros brut mensuels. janvier 2013 k 13 En dansant Dimanche 27 janvier, de 14 h 30 à 18 h 30, thé dansant dans les salles festives de l’Espace Gallieni, 48-50, avenue Louis-Roche. Ambiance disco mais aussi rock, madison, salsa, cha-cha-cha, paso doble, slow… Tarif (l’entrée, une boisson et une pâtisserie) : 7,50 euros par personne. 80 places disponibles. r Permanences d’inscriptions à la Maison du tourisme, les vendredi 18, mardi 22 et vendredi 25 janvier, de 10 heures à midi. Tél. 01 40 85 48 11 et 48 12. RECENSEMENT On compte sur vous 8 % des adresses de la ville (1 450 logements) seront recensées entre le 17 janvier et le 22 février prochains. Une campagne qui compte énormément : des statistiques recueillies aujourd’hui dépendent les équipements et dotations de demain. Eau et force Un numéro non-surtaxé a été mis en place à l’usage des clients d’Eau et force, délégataire du service public de l’eau pour le Syndicat des eaux de la presqu’île de Gennevilliers. r Du lundi au vendredi, de 8 heures à 19 heures et le samedi, de 8 heures à 13 heures : n° Cristal 0 977 409 442 (prix d’un appel local, donc). Pour les urgences, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 : 0 977 401 112. Conseil local de sécurité La prochaine séance plénière du Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance (CLSPD) se tient ce mois-ci. r Vendredi 18 janvier, à partir de 14 heures, à la mairie. Bientôt l’été avec l’OML Des places sont encore disponibles, selon les destinations, pour les séjours hiver de l’OML (Office municipal des loisirs). Quand c’est le cas, on peut réserver jusqu’à la dernière minute… La brochure été 2013, elle, arrive début février dans les boîtes aux lettres, avec GenMag. Les inscriptions débuteront dès réception. r Renseignements à la Maison du tourisme, 58, rue Pierre-Timbaud, ou au 01 40 85 48 12. Petits Princes L’association Petits Princes donne vie aux rêves des enfants gravement malades. r Plus d’infos sur www.petitsprinces.com ou au 01 43 35 49 00. Totems Sept totems recto verso sont en train d’être installés à l’extérieur de la tour du CACC (centre administratif, culturel et commercial), ainsi qu’au rez-dechaussée de la mairie. Ils ont vocation à aider les usagers à repérer tous les services publics situés à proximité (Hôtel de Ville, Impôts, La Poste, Agir, conservatoire, etc.) et à mieux les orienter tant côté parvis que côté Poste. Faciliter la signalétique aux abords de l’Hôtel de Ville était une des propositions émanant de la démarche « En avant le service public ». 14 k janvier 2013 V oilà dix ans que le bon vieux recensement (exhaustif mais organisé tous les cinq ans) a été abandonné par l’Insee pour les communes de plus de 10 000 habitants. Place, depuis 2004, à une formule rénovée, partielle mais annuelle. Chaque début d’année, un échantillon tiré au sort reçoit la visite d’agents recenseurs, des employés communaux volontaires pour cette tâche. Il ne s’agit pas d’un quartier dans son entier mais d’adresses disséminées aux quatre coins de la commune. Un panel qui mixe de « grosses adresses » (une centaine de logements dans une même cage d’escalier), avec de l’habitat récemment inauguré, de l’habitat individuel… dans l’ancien comme dans le neuf. Si l’enquête est pensée par l’Insee, au niveau national, elle est concrètement organisée par les villes, sur le terrain. Dix agents, une contrôleuse et une coordonnatrice communale vont retrousser leurs manches et arpenter les rues. À charge pour elles, eux, de faire remplir une feuille bleue par logement, une feuille rouge par occupant. Les habitants recensés cette année seront évidemment prévenus. L’agent effectuera un premier passage entre le 9 et le 13 janvier (souvent en soirée) et prendra rendez-vous pour venir rechercher les feuilles. Dans 80 % des cas, les choses se font aussi simplement. Reste les autres pourcents où il faut relancer, insister, repasser. Alors, rappelons-le : le recensement est obligatoire. Les informations fournies sont confidentielles… et l’objectif est uniquement statistique. Rien n’est dépouillé à l’échelon local. Mais les données recueillies permettent notamment de définir le chiffre officiel de la population communale… et de déterminer les dotations financières auxquelles la Ville peut prétendre, le nombre de pharmacies ou encore le taux de certaines taxes. Fin 2009, nous étions 41 400 Gennevillois. Et chacun compte ! • Valérie Mauger DROIT DES FEMMES Un espace dédié à la médiation 3 Inauguré fin novembre par l’association Femmes-relais, l’espace médiation égalité, situé dans le quartier du Luth, a pour vocation d’accueillir les habitants de ce quartier où l’on compte un taux de familles monoparentales de plus de 30 %, et de les aider à la compréhension des droits et des institutions. En effet, l’association reçoit et accompagne plus de 350 personnes par an, dont 90 % sont de nationalité étrangère et plus de 60 % sont des femmes. « Pour la plupart d’entre elles, le langage institutionnel demeure opaque, constate Carole Tanqueray, directrice de l’association Femmes-relais. Et ces incompréhensions sont des freins supplémentaires à l’accomplissement des démarches administratives ou juridiques en matière de santé, de logement, d’éducation, de divorce ou de droit du travail. » Ici, on privilégie l’accueil individuel et l’accompagnement ; les médiatrices qui interviennent au sein de cet espace s’appuient sur un réseau local aussi bien dans les domaines de la santé, du suivi social et éducatif, que du juridique. « Toutefois, nous veillons à ce que les personnes concernées s’impliquent dans leur dossier, insiste Latifa Meya, adjointe au maire déléguée aux droits des femmes. Nous ne sommes pas là pour prendre des décisions à leur place, mais pour les informer sur leurs droits et les aider à effectuer les démarches elles-mêmes afin de les rendre autonomes. » • f. d. d Mardi, de 9 heures à 12 h 30 ; jeudi, de 9 heures à 12 h 30 et de 14 heures à 17 heures. 9, boulevard Beaumarchais. Tél. 01 47 98 16 08 ; 06 07 30 50 94. EXPOSITION En sténopé 3 En juin dernier, les jeunes du club ados Thomas-Bessot présentaient une exposition baptisée « En sténopé » réalisée en collaboration avec l’école des beaux-arts Edouard-Manet et Rémi Lidereau, photographe. L’exposition, alors visible sur les grilles du collège EdouardVaillant, devient itinérante. On pourra la voir du 15 au 21 janvier, à l’Espace Grésillons. Mais un sténopé, qu’est-ce donc ? Un appareil photographique à sténopé se présente sous la forme d’une boîte, dont l’une des faces est percée d’un trou minuscule qui laisse entrer la lumière. Sur la surface opposée à cette ouverture vient se former l'image inversée de la réalité extérieure, que l'on peut capturer sur un support photosensible, tel que du papier photographique. Comme l’œil, le sténopé capture des images inversées du visible. Un début d’explication… les jeunes du club Ados Thomas-Bessot en parlent mieux… d Du 15 au 21 janvier, à l’Espace Grésillons. L’exposition était déjà visible, en juin dernier, rue Henri-Barbusse. janvier 2013 k 15 ns, Tous les trois a ce on recommen ïda ! Youkaïdi aïdi a Ça va être géant ! Dans six mois, le carnaval (re)débarquera à Gennevilliers ; un événement trisannuel initié il y a dix ans avec le mythique 700e anniversaire de la ville. Gigantisme, fantaisie et folklore au programme de cette troisième édition. Vivement juin ! L e 22 juin célébrera la troisième édition du carnaval de Gennevilliers, son « grand retour ». Un événement qui fait date tous les trois ans et dont on parle dans toute la ville, avant, pendant et après… À cette occasion, la Ville voit les choses en « géant ». Transe express, une compagnie de théâtre de rue, mondialement connue, promènera en effet ses poupées de quatre à cinq mètres de haut, aux allures de reine d’Alice au pays des merveilles. Au programme aussi : des musiciens qui s’envoleront dans les airs face à la mairie. Parions qu’il s’agira là du temps fort de la journée. Côté musique, un camion rock et 16 k janvier 2013 sa fanfare heavy métal rythmeront la parade. Que les réfractaires à la guitare électrique ou autre batterie se rassurent, une fanfare classique, originaire du Nord de la France, sera aussi de la parade. Bien d’autres surprises seront également au rendez-vous comme ces deux artistes italiennes déguisées en bébé, défilant en poussettes, et baptisées les Senza Denti (sans dent, en français). Les Aquamens, quant à eux, étonneront les passants. Eux déambulent… la tête dans des bocaux à poisson rouge ! Des ânes, un bus à impériale et des marionnettes géantes africaines complètent cet inventaire joyeux et déjanté à la Prévert. N’arrête pas ton char ! Mais le carnaval de Gennevilliers ne serait pas le carnaval sans la participation des habitants et des associations. De janvier à mars, la Maison du développement culturel ira susciter l’envie d’y participer chez les acteurs locaux. Cette année encore, une quinzaine de chars défileront dans la ville, construits entre autres par les commissions animations des comités de quartiers, le conservatoire, ou le service municipal de la jeunesse avec la précieuse aide des Arts Oseurs, une compagnie d’artistes décorateurs. Ces derniers traduiront les rêves des habitants (chars, géants, masques) en dessinant les croquis puis les plans des futures créations. Le tout commencera à prendre forme dans un atelier commun, ouvert à la fin du mois de mars. Trois mois pour faire naître la magie et de jolis souvenirs. On se souvient encore des réalisations confectionnées par des bénévoles pour la dernière édition du carnaval, en 2010 : le char baptisé « On n’est pas des sardines », clin d’œil goguenard à la ligne 13 du métro, par exemple… ou encore le Témoignages • Jean Ça m’intéresse personnellement et ça me plaît de faire ça. Je ne suis pas maladroit de mes mains et, vu que je suis tôlierchaudronnier de métier, je sais taper avec un marteau. J’aime bien bricoler. Pour la première édition, j’avais participé à l’élaboration du char du cuisinier. Pour la deuxième édition, c’était le métro aux Agnettes. Cette année, j’ai proposé de faire un char divisé en deux : la moitié du tramway de 1900 et l’autre moitié, qui correspond au tram d’aujourd’hui. • Salim C’est mon troisième carnaval. J’ai participé à l’élaboration du char de l’Amicale Bretonne. En 2010, on a fait Monsieur et Madame Breton avec une dégustation d’huîtres sur le char. Ce qui me plaît dans le carnaval, c’est la rencontre avec les gens. Il y a toujours une ambiance chaleureuse. C’est bien également que les enfants participent. Ils apportent leur joie et leur imagination. Le mélange intergénérationnel se passe bien. On rigole, on s’amuse, on se chamaille. On essaye de leur donner envie de faire des chars, pour perpétuer la tradition. • S téphanie, membre de la compagnie des Arts Oseurs. La carte de vœux 2013 de la municipalité est signée de l’artiste Hervé Di Rosa. bébé géant, conçu par Plein Grés, pour l’édition précédente. Si, à l’heure actuelle, on ne sait pas encore d’où partira la parade (place Jean-Grandel en 2007, Maison du développement culturel en 2010), on sait d’ores est déjà où les festivités se cloront, à savoir au parc des Sévines, où de multiples animations marqueront la fin d’après-midi. Hervé Di Rosa, célèbre peintre français contemporain, chantre de l’art modeste et de la figuration libre, parrainera le carnaval. Gageons que ses œuvres aux accents carnavalesques inspireront certains créateurs de chars. Outre ce soutien bienveillant au carnaval, Hervé Di Rosa va réaliser l’accueil du centre social et culturel Aimé-Césaire. Le thème du carnaval – le vivre ensemble et la diversité culturelle – pourrait bien servir de fil rouge à l’année 2013… • Fabien Antranik Quelques chiffres… - La parade atteindra à coup sûr plus d’un kilomètre de long. - Plus de 200 Gennevillois bénévoles prépareront les chars de leurs quartiers ou associations, accompagnés par la compagnie les Arts Oseurs. - 4 à 5 mètres, c’est la taille des poupées géantes de la compagnie Transe express. Excusez du peu ! Il y a une première phase de rencontre avec les habitants et les associations. Chacun s’exprime par rapport à son souhait de char. à la suite de cela, on leur dit ce que l’on en pense, aussi bien techniquement que visuellement. Après, on leur propose un dessin en mettant leurs idées en image. Les ateliers de construction s’étalent sur quatre mois. Il y a trois ans, le premier mois, il y avait un jour d’atelier par semaine, le deuxième mois, deux jours et le quatrième, il y en avait tous les jours, même le dimanche. Sur un char, il y a la structure principale et toute la petite accessoirisation. On donnait aux enfants des réalisations possibles pour eux. Les personnes un peu plus à l’aise utilisaient des machines telles que des scies sauteuses, des visseuses, etc. Le plus important avec les habitants, c’est d’éviter l’ennui. Il faut qu’ils aient tout le temps l’impression d’apprendre et faire en sorte qu’ils s’amusent. Il faut également les valoriser. janvier 2013 k 17 Petite enfance it ’enfants s’épanou Une quarantaine d lique. à la crèche Répub La Ville adopte 7 les sept crèches Depuis le 1er janvier, les six crèches collectives de Gennevilliers et la crèche familiale sont municipalisées. Ce nouveau mode de gestion, par la Ville, s’appuie sur une politique d’accueil avec des personnels de qualité, motivée par le bien-être des enfants et l’accompagnement des parents. Explications. 18 k janvier 2013 h 30, dans le hall d’accueil de la crèche République. Dans le froid du petit matin, les jeunes enfants arrivent tout emmitouflés, bien calés dans leur poussette ou dans les bras de leurs parents. On retire bonnets, gants et écharpes, on récupère les doudous, un dernier câlin, et il est temps de confier sa progéniture au personnel de la crèche pour une journée bien remplie. Ici, une quarantaine d’enfants est accueillie chaque jour, encadrée par une quinzaine de professionnels de la petite enfance. « Chaque matin, je dépose ma fille de dix-huit mois à la crèche avant de me rendre à mon travail, explique Samia, jeune maman de 29 ans. Mon mari vient la chercher le soir. Cela demande une bonne organisation, d’autant plus que notre autre fille de quatre ans est scolarisée en maternelle. Mais c’est une chance de bénéficier d’une place en crèche collective, parce que je suis rassurée quant aux conditions d’accueil et de sécurité de mon enfant. Et puis, je suis convaincue que le contact avec les autres enfants est une bonne préparation à la future entrée à l’école. » Un personnel compétent au service des tout-petits et de leurs parents Le mot du maire Jacques bourgoin Conseiller général des Hauts-de-Seine Améliorer le service public de la petite enfance L La crèche République est l’une des sept structures que compte la ville. Six sont des crèches collectives d’une capacité de 285 places ; la septième, une crèche familiale, qui permet d’accueillir, au total, une cinquantaine d’enfants au domicile d’assistantes maternelles agréées. À ceci s’ajoutent les 113 places de l’association Plein Grés et les 119 proposées par les trois crèches d’entreprises implantées sur la commune. La ville compte également 132 assistantes maternelles agréées, offrant potentiellement 238 places d’accueil. À cela va s’ajouter, d’ici à 2015, la création de deux nouvelles structures : la crèche Anatole-France dans le quartier ChandonBrenu-Sévines, et la crèche de l’écoquartier, qui disposeront chacune de 50 berceaux. « L’offre d’accueil petite enfance et la répartition des structures sur la ville semblent plutôt satisfaisantes au regard du taux de couverture nationale qui est de un établissement pour dix mille habitants, contre 1,7 à Gennevilliers, souligne Fabienne Perez-Cruz, directrice de la petite enfance, en mairie. Toutefois, compte tenu des projets d’urbanisme, des besoins des familles et de l’évolution de la demande, nous devrons rester attentifs aux attentes des usagers. » 2 137 enfants de moins de trois ans La population gennevilloise compte actuellement 2 137 enfants de moins de trois ans. C’est dire l’importance de ces structures – encadrées par un personnel compétent, composé de quelque 120 professionnels de la petite enfance – et la responsabilité qui incombe aujourd’hui à la Ville, à travers l’accompagnement de ce jeune public. Pourquoi cette municipalisation ? Depuis plus de vingt ans, le conseil général des Hauts-de-Seine se désengage de la gestion des crèches jusqu’alors départementales en transférant les structures existantes aux villes. Au terme de longues négociations et devant la dégradation progressive des conditions d’accueil, la Ville s’est engagée dans le processus de municipalisation de ces crèches. Un accord a été signé en juillet 2012, puis une convention a été approuvée par le conseil municipal du 26 septembre dernier. Elle comprend le transfert de propriété des bâtiments, des terrains, du mobilier et du matériel ; la remise en état des locaux, le financement des travaux qui seront réalisés par les services communaux et pris en charge financièrement par le Département par voie de subven- a municipalisation des crèches est le premier acte depuis l’adoption de la Charte du Service public communal par le conseil municipal, à l’unanimité, le 19 décembre 2012. Un seul motif a guidé notre décision : mieux répondre à la demande de qualité des parents et améliorer le service public de la petite enfance. Et ainsi faire face à l’attitude volontairement défaillante du Département, car il a décidé unilatéralement de se décharger de sa responsabilité. D’abord par le non-remplacement des personnels et en conséquence la sous-utilisation des capacités d’accueil : 50 places laissées vacantes sur 285, alors que tant de familles sont en attente ! Ensuite, la dégradation matérielle des conditions d’accueil par l’absence, depuis plusieurs années, de gros travaux. C’est pourquoi près de 9 600 000 euros seront engagés par la Ville pour rénover les locaux et reconstruire la crèche du Luth. Mais deux ans d’âpres négociations ont permis de gagner leurs remboursements complets par le conseil général, et le subventionnement de deux nouvelles crèches, îlot Anatole-France et dans l’écoquartier. La municipalisation des crèches, c’est aussi l’ambition d’enrichir le projet éducatif, mis en œuvre par des équipes expérimentées, apprécié par les parents que nous avons la volonté de mieux associer. Ce qui est en jeu, c’est bien la promotion d’une politique globale de la petite enfance, portée par des professionnels, les parents-citoyens et les élus. Car au moment où le rôle des PMI est lui aussi remis en cause par le conseil général, l’heure est à la vigilance, et là aussi à l’action unie. janvier 2013 k 19 Petite enfance ◗ Une centaine de berceaux L’offre va continuer de croître et embellir, s’adaptant à la demande. Deux crèches vont naître en 2014 : une dans le quartier Chandon-BrenuSévines, à côté d’Anatole-France ; l’autre sur le site de l’écoquartier. tions. D’importants travaux de rénovation des crèches existantes débuteront ainsi en mai 2013, par la crèche République, pour s’achever fin mai 2016, à raison d’environ six mois d’intervention par crèche. Ils porteront principalement sur l’étanchéité et l’isolation thermique des bâtiments, le réaménagement de certains jeux des jardins d’enfants, et une meilleure accessibilité des équipements. L’installation d’un ascenseur est ainsi prévue pour les crèches collectives et familiales Hector-Berlioz. « Ce programme de travaux vise à améliorer les lieux d’accueil et le confort des enfants tout en étant attentif aux conditions de travail des personnels des crèches, souligne Jean-Louis Lionello, responsable de la direction du patrimoine bâti. La Ville va également missionner un acousticien pour prévenir et réduire les nuisances sonores dans tous les équipements. » Parallèlement, débuteront les travaux d’implantation de la future crèche Anatole-France et de celle de l’écoquartier dont les livraisons sont prévues à la fin de l’année 2014. La crèche collective du Luth va être reconstruite avant démolition du bâtiment actuel. Sa livraison est 20 k janvier 2013 annoncée pour mars 2015. La commune prend en charge la construction de la crèche et d’une halte-garderie de vingt places, gérée par une association, qui bénéficiera de la mise à disposition des locaux par la Ville, mais sera remboursée par le Conseil général. La reconstruction du centre de PMI incombe au Département. rable que ce que préconise le décret de 2010 sur les conditions d’accueil en crèche, reconnaît Latifa Meya, adjointe au maire déléguée à la petite enfance. La Ville a ainsi opté pour un encadrement de qualité avec, à terme, trois éducatrices de jeunes enfants par crèches, afin de poursuivre le travail d’accompagnement des enfants dans leurs différents apprentissages. » Cette reprise en main municipale se fait Un projet global au bénéfice des familles gennevilloises. Qu’implique ce nouveau mode de ges- Ainsi, les attributions de places en tion municipale ? D’abord, l’organisa- crèche sont désormais réservées aux t i o n d u s e r v i ce , l e p e r s o n n e l habitants de la commune. Autre point départemental étant mis à disposition positif, les jeunes enfants, libérés de la commune par périodes de trois du plan Vigipirate, vont pouvoir ans renouvelables ne reprendre le chemin pouvant excéder une des bibliothèques et D’importants période de quinze ans ; de la Maison du dévetravaux de rénovation loppement culturel ensuite, la fixation des participations fami- des crèches débuteront pour assister à des liales, les modalités spectacles. en mai 2013. d’admission des À noter que cette enfants, l’entretien des locaux ainsi que municipalisation, qui n’aura pas d’imla sécurité des bâtiments. « Pour assu- pact sur la participation financière des rer un accueil optimum, la Ville a fait le familles, a entraîné la structuration choix d’avoir dans ses crèches munici- d’une direction de la petite enfance pour pales 60 % de personnel diplômé et 40 % assurer la gestion de proximité des de personnel qualifié, ce qui est plus favo- structures. témoignages • Myriam Caron J’ai quatre enfants. Les deux aînés, Augustin et Inès, 5 ans et demi et 4 ans et demi, sont scolarisés à l’école Pauline-Kergomard ; Lucien, 2 ans, va à la crèche et Antoine a seulement un mois. J’espère obtenir bientôt une place en crèche pour lui afin de reprendre mon travail d’auxiliaire de puériculture. C’est une grande chance de pouvoir bénéficier de ce mode de garde collectif. Parce que cela permet aux enfants d’acquérir une plus grande autonomie. Ils vont plus facilement vers les autres et plus tard, au moment de leur scolarisation, les enfants qui ont fréquenté la crèche semblent plus à l’aise. • Sadrina Boukhebelt L’éveil et l’apprentissage font partie du projet d’établissement. À travers le projet d’établissement développé pour les sept crèches concernées, ce sont ses valeurs sociales et éducatives que la Ville entend promouvoir. À côté des actions en faveur de l’intégration d’enfants porteurs de handicap, le respect des besoins des enfants en matière d’ali- mentation, de sommeil, d’hygiène et de sécurité, la direction de la petite enfance envisage également de renforcer la place des familles et leur participation à la vie de l’établissement. Cela prendra la forme de conseils de crèche ou de commissions d’usagers. • Fabienne Dagouat Tous les matins, je dépose Mathias, 8 mois, et Axel, 23 mois, à la crèche, vers 9 heures et je reviens les chercher à 17 h 30. Cela me permet de consacrer ensuite du temps à ma recherche d’emploi, en tant que gestionnaire en assurances. Je trouve que la crèche collective est un mode de garde très rassurant. Les équipes sont professionnelles, les locaux sont sécurisants, les repas sont élaborés sur place. Régulièrement, des bibliothécaires ou des discothécaires viennent proposer des lectures ou des écoutes de CD aux enfants, c’est une ouverture supplémentaire sur le monde extérieur. J’ai entendu parler de la municipalisation des crèches, mais je pense que pour nous, usagers, cela ne va pas changer grand-chose. Les crèches municipales en pratique Inscription Dès le 4e mois de grossesse, dans la crèche la plus proche du domicile. Trois choix de structures sont possibles. Horaires : du lundi au vendredi, de 7h30 à 18h30. Pas de fermeture annuelle. Critères de priorité Antériorité de la demande. Situation sociale particulière. Enfant présentant un handicap ou parents porteurs de handicap. Type d’accueil Régulier à temps plein, 5 jours par semaine. Régulier à temps partiel, 4 jours par semaine. Occasionnel, 4 heures par semaine. Accueil d’urgence. Participation familiale La participation horaire familiale est définie par la CAF (caisse d’allocations familiales). Facturation La facture de janvier sera émise le 20 février. Règlement Chèque, carte bancaire, chèque emploi service universel, prélèvement automatique, paiement en espèces au 9e étage de la mairie. Et paiement en ligne, sur le site Internet de la Ville, à partir de la facture de mars 2013. • Véronika et Séjid Jukic. Nous habitons le quartier des Grésillons et nous déposons chaque matin nos enfants à la crèche République, après avoir emmené le plus grand, Alvin, 5 ans, à l’école. Ce sont des jumeaux de deux ans, Théa et Alan. C’est particulièrement difficile de trouver un mode de garde pour des jumeaux, d’autant plus que l’on ne voulait pas les séparer. Par ailleurs, il était vraiment important pour nous d’avoir ces places en crèche collective, parce que cela favorise l’autonomie et la sociabilité des enfants. Nous apprécions particulièrement l’accueil attentif et chaleureux du personnel de cette crèche. janvier 2013 k 21 Le luxe à la Gennevilloise Elie Bleu est un des fleurons de l’artisanat d’art « made in France ». Depuis Gennevilliers, ce tabletier réputé peaufine des coffrets en bois qui raviront les grands de ce monde. C ’est dans le quartier parisien du Faubourg saint-Antoine, haut lieu des métiers du bois, qu’est née la société Elie Bleu, en 1976. Elie Bleu est un tabletier, un terme médiéval issu du mot « table », plus précisément d’une table lorsqu’elle sert de damier ou d’échiquier. La tabletterie, qui est une forme d’ébénisterie, est un métier d’art, une activité manuelle mi-artisanale miindustrielle. Chez Elie Bleu, la production est spécialisée dans les coffrets de luxe en bois incrustés pour les cigares, les 22 k janvier 2013 montres, les bijoux, les jeux, les stylos, voire les boutons de manchette. L’activité générant bruit et poussière, Elie Bleu doit quitter Paris en 1991 pour s’installer à Maisons-Alfort où, là aussi, la société est tout juste tolérée. Quelques années après avoir pris en main les destinées de l’entreprise, en 2000, et avoir assuré son développement, son directeur général Laurent Fuchs se met à chercher une implantation en zone artisanale. Il pose finalement son dévolu en 2007 sur Gennevilliers dans une zone vierge, près du parc des Sports. « La proximité de Paris apporte une plus-value non négligeable à l’entreprise », indique le facétieux DG, homme de communication et d’esprit autant que chef d’entreprise. Il faut savoir qu’un tiers de la production d’Elie Bleu est destiné aux marques de luxe parisiennes les plus prestigieuses, dont les designers fréquentent l’atelier gennevillois pour faire réaliser des écrins rares à leurs montres, bijoux et autres objets précieux. Hong Kong, Shanghaï… Gennevilliers Même si Elie Bleu possède en propre un magasin à Paris (8e) et d’autres boutiques associées à Hong Kong et Shanghaï, l’essentiel de l’activité se déroule à Gennevilliers, de la conception à l’expédition en passant par la production qui enir. Légende à v s, Laurent Fuch éral directeur gén de Elie Bleu. mobilisent une trentaine de collaborateurs, les plus spécialisés étant d’anciens élèves de l’école Boulle. Dans la salle de placage sont entreposées les matières premières, des essences de bois précieux provenant du monde entier : le sycomore ondé, la loupe de noyer, l’érable moucheté, le coco bollo, le ziricote… mais aussi la fibre de carbone ou les matières pour les aménagements et les gainages, le cuir, l’alcantara, le galuchat qui est de la peau de raie ou de requin… Parfaitement parfait ! Le bois passe par le découpage, puis les opérations subtiles de marqueterie ou de frisage avant l’encollage sous des presses. Vient ensuite le montage des coffrets avant leur passage dans une cabine à rideau d’eau où ils sont vernis par pulvérisation d’une laque polyester. « Une des spécificités d’Elie Bleu, précise Laurent Fuchs, est de teinter le placage dans la masse. » Après quoi catalogue, Laurent Fuchs tient à se définir les coffrets sont finalement séchés. avant tout comme un tabletier apte à À côté, dans la « salle des machines », le répondre à tous les défis de création : bois est coupé, usiné, calibré, poncé… Dans « Notre spécialité, c’est le contenant. une salle attenante, Nous avons travaillé pour chaque coffret subit des chocolatiers, des Elie Bleu est labellisée sept étapes de polismarques de thés, des « entreprise du patrimoine fabricants de stylos ; sage manuel. Enfin, une salle de montage prénous avons créé des vivant » par cède le nettoyage, le le ministère de l’Économie. caves à vins, à spiritueux, contrôle et l’emballage à cosmétiques, et même avant expédition. On des habillages de téléaura compris qu’il faut souvent plusieurs commandes… » Fournisseur « officiel » mois pour réaliser un objet parfait qui a fait des cadeaux de prestige de l’Élysée ou du la réputation d’Elie Bleu. C’est une entreQuai-d’Orsay (un coffre entourant une édiprise de main-d’œuvre qui réalise environ tion originale des « Pensées » de Pascal 3 000 coffrets par an pour un chiffre d’afpour Benoît XVI ; un coffret de miel du châfaires compris entre 3 et 3,5 millions d’euteau de Versailles pour Michelle Obama), ros. Elie Bleu est labellisé « entreprise du patriSi cette notoriété repose à l’origine sur les moine vivant » par le ministère de l’Éconocoffrets à cigares, celui à l’effigie de Che mie. Elles ne sont que 600 en France. • Jean-Michel Masqué Guevara, étant le modèle le plus prisé du janvier 2013 k 23 Économie Trophées Des cadeaux plein la hotte La troisième chasse aux trésors organisée par l’association Gennevilliers Commerce Artisanat a fait des heureux. L e 15 décembre dernier, une pluie de cadeaux s’est abattue sur le Marché de Noël. Dans le rôle du père Noël : l’association Gennevilliers Commerce Artisanat, qui a remis leur lot aux cinq gagnants de cette année. Après le traditionnel goûter et une distribution de chocolats, les présents, d’une valeur totale de 1 500 euros, ont été remis à Nora Berchrane, 14 ans, Henya Delamare, 13 ans, Séverine Satouri, 13 ans, qui ont reçu respectivement une tablette numérique, un vélo professionnel et un iPod Touch. Enfin, Yvette Glomot et Samuel Titti ont gagné chacun une console Nintendo. Le concours consistait à trouver une phrase illustrant les contes et légendes de Noël en faisant le tour des vitrines des commerces participants. La réponse était « Petit papa Noël, quand tu descendras du ciel », que tous ont repris en cœur lors de la remise des prix. Écociliens L’industrie en question 3 Fin novembre, la Région Ile-de-France et la Ville de Gennevilliers se sont associées pour organiser le quatrième atelier territorial des Écociliens. Étaient présents : Caroline Bardot, conseillère régionale ; le maire, Jacques Bourgoin ; Roland Muzeau, premier adjoint au maire en charge du développement économique ; de nombreux élus ainsi que des acteurs industriels du territoire, de la vie économique locale et régionale, et de la formation. Cette manifestation a été l’occasion d’aborder deux thèmes majeurs, « Le développement industriel dans le nord-ouest francilien » et « La formation, facteur d’ancrage et d’innovation des entreprises sur le territoire » ; mais aussi d’émettre de nouvelles propositions et d’engager le débat autour d’expériences innovantes. Lancés en 2011, les Écociliens, ou États généraux de la conversion écologique et sociale, sont une vaste campagne de concertation impliquant experts, professionnels, associations, élus et citoyens, dont l’objectif est d’aboutir à des propositions de politiques publiques. La Ville de Gennevilliers est l’une des huit collectivités locales, une par département, à accueillir ces ateliers. Les Écocilens se cloront en février prochain par une grande assemblée plénière régionale. Un débat public, organisé sur le site www.ecociliens.fr, permet à chacun de réagir aux propositions des experts. 24 k janvier 2013 Pour la catégorie « Directeur et équipe de l’environnement de travail de l’année », Nicolas Cugier, directeur central de l’environnement de travail chez Thales, est le lauréat 2012 des trophées de l’Arseg (Association des directeurs de l’environnement de travail). Une seconde entreprise implantée à Gennevilliers, Prisma Media, était également nommée parmi les cinq finalistes, et représentée par Thierry Cadiot, directeur de l’environnement professionnel de Prisma Media, pour la réussite du projet de regroupement des cinq sites sur le bâtiment unique implanté Pointe Métro à Gennevilliers depuis 2010. L’Arseg est le plus grand réseau professionnel de France dédié aux métiers de l’environnement de travail. Il regroupe aujourd’hui plus de 2 000 adhérents. Ces trophées visent à récompenser des initiatives jugées exemplaires en termes d’environnement de travail, de services aux collaborateurs, ainsi que les directeurs de l’environnement de travail les plus innovants. d Pour plus d’informations ou pour s’inscrire à ce réseau : www.arseg.asso.fr Réseau Plato est un réseau de développement économique au service des PME-PMI. Le réseau Plato Boucle des Hauts-de-Seine est développé par la CCIP 92, en partenariat avec les villes de Gennevilliers, d'Asnières-sur-Seine, de Clichy, de Colombes, de Villeneuve-laGarenne. Plus de 120 entreprises ont participé à ce programme depuis son lancement en 2007. 76 % des entreprises adhérentes sont implantées dans ces cinq villes de la Boucle. Douze grandes entreprises ont déjà parrainé des groupes Plato. Grâce à ce réseau, 76 % des dirigeants déclarent avoir augmenté leur chiffre d’affaires et 91 % d’entre eux indiquent avoir été aidés dans leur métier de dirigeant de PME. Parmi les entreprises locales qui parrainent ce réseau : Alma consulting, Cofely GDF-Suez, L’Oréal, Snecma, Thales, Veolia propreté. N°232 G ennevilliers M agazine en janvier ❤ LE COUP DE CŒUR La belle Hellène k Vendredi 18 janvier, à l’auditorium du conservatoire Edgar-Varèse. Le concert est un hommage audacieux à la musique grecque, l’une des plus anciennes d’Europe. La chanteuse et guitariste Katarina Fotinaki, qui a été élève de Bernard Cavanna, et le guitariste Orestis Kalabalikis nous invitent, avec « Territoires », à un voyage musical dans le monde hellénique. Un vaste voyage, au cours duquel ils saisissent le défi d’interpréter l’étendue des rythmes avec une formation minimaliste (duo de voix, guitares, tzouras – petit bouzouki –, cajon), balayant l’essentiel et la profondeur d’une culture plusieurs fois millénaire. L’approche est à la fois ludique et délicate… de l’Epitaphe de Seikilos aux hymnes byzantins en passant par les rizitika crétoises, les airs de la mer Ionienne, les danses de la mer Egée, les complaintes miroloïa-amanédes, les sérénades athéniennes, sans oublier le rébétiko et les compositeurs actuels comme Georges Aperghis. 23 siècles de chansons ! Résidente depuis 2011 à la Cité des Arts, à Paris, Katarina Fotinaki a reçu en 2012 le premier prix au Concours national de composition de chant en Grèce, organisé par la Fondation Onassis. « naissance » à la MDC P.29 Virtuose de la clarinette P.30 des cowboys réincarnés au T2G P.31 • Martine Chaymotty Avec Gaspar Claus, violoncelle, et Cécile Audebert, harpe. « Territoires », voyage dans le monde hellénique à travers les siècles. A 20h30. 13, rue Louis-Calmel. Renseignements au 01 40 85 64 71. janvier 2013 k 25 en janvier Jusqu’au 12 janvier EXPOSITION Mardi 8 janvier Du 17 janvier au 16 février Mardi 22 janvier FILM CINé-CONCERT Mats Gustau, « Filopat et Compagnie », par photographies. Vernissage jeudi 17 janvier, à 18h30. A la MDC. David Sire et Pierre Caillot. Dès 18 mois. A 15 heures et 17 heures, au cinéma Jean-Vigo. Vendredi 18 janvier Jeudi 24 janvier CONCERT FILM EXPOSITION FILM Mercredi 23 janvier « Territoires », Cycle Otto Preminger « La Rivière sans retour » (1954), d’O. Preminger. Présenté par Romain Garcia, enseignant de cinéma. Un radeau fragile, une rivière mouvementée, Marilyn et Robert Mitchum : que du bonheur ! A 20h15, au cinéma Jean-Vigo. « Et pendant ce temps-là, j’attendais le tramway… », photographies de Ghislaine Valadou. A la MDC. Mardi 15 janvier FILM FILM « Le noir (te) vous va si bien » (2012), Du 11 au 19 janvier THéâTRE « Muerte y reencarnaciÓn en un cowboy », de Rodrigo GarcÍa. Les 11, 12, 16, 18 et 19, à 20h30 ; le 13, à 15 heures ; les 15 et 17, à 19h30. Au Théâtre de Gennevilliers, 41, avenue des Grésillons. « Ma nuit chez Maud » (1969), d’Eric Histoires et comptines Des histoires et des comptines racontées aux tout-petits (de 0 à 3 ans) et à leurs parents par les bibliothécaires et les discothécaires. A 10h30, à la bibliothèque François-Rabelais. 26 k Sortir janvier 2013 de Jacques Bral, en sa présence. Chaque matin, Cobra quitte la maison familiale. Voilée. Mais chaque matin, elle se change dans un café, avant de se rendre à son travail, la chevelure et l’esprit libres. A 20h15, au cinéma Jean-Vigo. Rohmer. Cycle Une certaine idée du cinéma. Présenté par Marie-Anne Guérin, écrivain et enseignante de cinéma. A 20h15, au cinéma Jean-Vigo. Samedi 19 janvier Du 15 au 21 janvier par Catherine Malabou, professeur au Centre for Modern European Philosophy de l’Université de Kingston (Royaume-Uni). En regard de « Muerte y reencarnaciÓn en un cowboy », de Rodrigo García. Entrée libre sur réservation au 01 41 32 26 26. A 17h30, au Théâtre de Gennevilliers. Samedi 12 janvier « Racontines » voyage dans le monde hellénique à travers les siècles. Avec Katerina Fotinaki, voix, guitares, compositions : Orestis Kalabalikis, guitares ; Gaspar Claus, violoncelle ; Cécile Audebert, harpe. A 20h30, à l’auditorium du conservatoire Edgar-Varèse. EXPOSITION « En sténopé » Des images inversées de la réalité réalisées par les jeunes du club ados Thomas-Bessot. A l’Espace Grésillons. Cycle Otto Preminger « Un si doux visage » (1952), d’O. Preminger. Présenté par Jean Narboni, écrivain et enseignant de cinéma. Sous un visage angélique, une âme bien noire. Avec Robert Mitchum et Jean Simmons. A 20h15, au cinéma Jean-Vigo. CLUB DE LECTURE « Ecrire pour des idées » Rencontres animées par Serge Cabrol, de la revue Encres vagabondes. A 18h30, à la bibliothèque François-Rabelais. Les 23, 25 et 26 janvier « Les Enfants du paradis » (1945), de Marcel Carné. Première soirée spéciale consacrée à ce chef-d’œuvre restauré (seconde soirée le 29). Présentation par Philippe Amorisson, écrivain de cinéma, et Jacques Déniel, directeur des lieux. A 19 heures, au cinéma Jean-Vigo. THéâTRE Vendredi 25 janvier CLUB DE LECTURE « Café polar » RENCONTRES PHILOSOPHIQUES Animé par Christophe Dupuis, libraire à Langon et spécialiste du roman noir. A 18h30, à la bibliothèque André-Malraux. « Membres fantômes : le corps entre phénoménologie et neurologie », CINé-CONCERT Soirée « Produits frais » « Naissance », de Julien Guyomard, Compagnie Scena Nostra. Mercredi 23 et vendredi 25, à 20h30 ; samedi 26, à 14h30. Entrée libre. Réservations au 01 40 85 60 92. A la MDC. « Blackmail » (1929), d’Alfred Hitchcock. Alice White est bien embêtée : elle a tué un homme qui tentait de la violer avec un couteau de cuisine, et quelqu’un essaie de la faire chanter… Jacques Cambra, pianiste de ciné-concert, accompagne et improvise sur le film du grand Alfred. A 20h15, au cinéma Jean-Vigo. N°226 G ennevilliers M agazine Samedi 26 janvier Samedi 29 janvier A partir du 2 février éCOUTE, éCOUTE éCOUTE, éCOUTE THéâTRE « Lis-moi une histoire » « Lis-moi une histoire » « Conte d’Amour », Des histoires lues par les lectrices d’Arple pour les enfants de 2 à 5 ans, suivies d’échanges avec les parents, les enfants et les bibliothécaires. A 10h30, à la bibliothèque André-Malraux. Jusqu’au 26 janvier EXPOSITION « Les Référents » Exposition collective. Commissaires Etienne Bernard et Aurélien Mole. A la galerie EdouardManet. Dimanche 27 janvier Des histoires lues par les lectrices d’Arple pour les enfants de 2 à 5 ans, suivies d’échanges avec les parents, les enfants et les bibliothécaires. A 10h30, à la bibliothèque Robert-Doisneau. cha-cha-cha, slow, paso doble… La fête, quoi ! Inscriptions les 18, 22 et 25 janvier à la Maison du tourisme, au 01 40 85 48 11. Aux salles festives de l’Espace Gallieni, 48-50, avenue Louis-Roche. de Markus Orhn. Au Théâtre de Gennevilliers. LA SCIENCE SE LIVRE FILM « Les Enfants du paradis » (1945), de Marcel Carné. Ce chef-d’œuvre vaut bien une deuxième soirée. Présentation par Philippe Amorisson, écrivain de cinéma, et Jacques Déniel, directeur des lieux. A 19 heures, au cinéma Jean-Vigo. THé DANSANT Disco, rock, madison, salsa, J’ai mon passeport ! Samedi 2 février RENCONTRE k Inscriptions avant le 8 janvier. « Des maths… partout ? », visites commentées de l’exposition par un animateur scientifique d’Exploradôme. Téléphone mobile, climat, statistique, sondages, prévisions, comment les maths peuplent notre quotidien ? Expo conçue par S [cube], Scientipôle, Savoirs et Société et des scientifiques d’Orsay Université. Inscriptions au 01 40 85 66 47. A 14h30 et 16h30, à la bibliothèque FrançoisRabelais. Eveiller la sensibilité culturelle des enfants de 5 ans, c’est le but avoué du Passeport d’éveil culturel. Le samedi ou le mercredi matin, et le mardi soir, on explore, on découvre, on s’initie, on apprend. C’est presque comme à l’école, mais en mieux ! Il est temps d’inscrire votre bout d’chou pour le deuxième trimestre. Voici les six ateliers proposés. « Des percussions corporelles aux claquettes », au conservatoire ; « Théâtre », à la MDC ; « Arts visuels : mouvement », à l’école des beaux-arts Edouard-Manet ; « Capoeira /éveil sportif », au gymnase des Grésillons ; « Mouvement », à l’Espace Grésillons ; « Conte musical », au Tamanoir. Un beau moyen de grandir, non ? d Passeport d’éveil culturel, pour les enfants en grande section de maternelle. Renseignements et inscriptions au 01 40 85 64 55. 100 milliards de neurones Jusqu’au 27 janvier EXPOSITION Jusqu’au 15 février Avec Catherine Vidal. « Les Filles ont-elles un cerveau fait pour les maths ? » EXPOSITION A 18 heures, à la bibliothèque François-Rabelais. k Rencontre avec Catherine Vidal, samedi 2 février. CONCERT Yom « Le Silence « Petits formats » Yagdom, alias Dominique Gay, artiste gennevillois, expose avec 40 artistes cinq de ses œuvres à Herblay (95). Expo ouverte le samedi, de 14 heures à 18 heures et le dimanche, de 14 heures à 16 heures. Renseignements au 06 43 35 12 65. A la Maison du passeur, 1, quai du Génie, à Herblay. de l’exode » Création pour percussions iraniennes, contrebasse, clarinette et violoncelle oriental. A 20h30, à l’auditorium du conservatoire Edgar-Varèse. « Regards… », peintures de Christiane Acas, et « Usages inattendus de la Tortue », de Roger Facy. Visite aux heures d’ouverture de l’Office. A l’Office public de l’Habitat, 33, rue des Chevrins. Neurobiologiste, directrice de recherche à l’Institut Pasteur, Catherine Vidal est l’invitée de cette conférencedébat, dans le cadre de La Science se livre. Dans son livre, « Les filles ont-elles un cerveau fait pour les maths ? », au titre volontairement provocateur, elle démonte avec intelligence toute une batterie de clichés : les femmes sont naturellement bavardes et incapables de lire une carte routière, alors que les hommes sont nés bons en maths et compétitifs… Mais les recherches en neurobiologie nous démontrent qu'il n’en est rien ! « Car rien n’est jamais figé dans notre cerveau, affirme C. Vidal. C’est un territoire en friche. Il y a 7 milliards d’humains sur Terre, 7 milliards de cerveaux différents ! » d A 18 heures, à l’amphithéâtre de la bibliothèque F.-Rabelais. Réservations conseillées au 01 40 85 66 47. janvier 2013 Sortir k 27 en janvier Cinéma Jean-Vigo, tous les films du 2 au 29 janvier 1, rue Pierre-et-Marie-Curie - Séances en 3d Tous les films sont accessibles aux sourds et malentendantsBandes-annonces : www.ville-gennevilliers.fr mercredi 2 jeudi 3 vendredi 4 samedi 5 dimanche 6 Lundi 7 mardi 8 Du 2 au 8 janvier 18h30 •20h30 18h30 20h30 18h •21h 20h30 18h30 •20h30 18h30 Main dans la main 14h30 •16h30 14h30 •18h30 14h30 •18h30 14h •16h 14h •16h 20h30 18h30 •20h30 Mais qui a re-tué Pamela Rose ? •20h30 •20h30 •20h30 •21h •20h30 18h30 20h30 18h30 18h 18h 18h30 2 / duo (vo) 18h 20h15 La Rivière sans retour (vo) 14h30 •16h30 14h30 14h30 14h •16h 14h •16h jean de la lune Du 9 au 15 janvier Foxfire, gang de filles (vo) mercredi 9 jeudi 10 vendredi 11 18h •20h45 20h30 20h30 Les bêtes du sud sauvage (vo) 14h30 •16h30 18h15 •20h30 18h30 L’Homme qui rit Ma nuit chez Maud 18h30 •20h30 20h30 L’étrange créature du lac noir (VF et VO) Du 16 au 22 janvier Django Unchained (vo) Renoir Le noir (te) vous va si bien Un si doux visage (vo) La folle escapade Du 23 au 29 janvier Tabou (vo) Selkirk, le veritable… Crusoé 18h15 •14h30 ciné-goûter mercredi 16 14h30 •17h30 •20h30 20h30 18h15 Max dimanche 13 Lundi 14 mardi 15 14h •20h30 20h30 18h 18h30 20h45 18h30 18h30 14h •16h •21h 18h30 •20h30 18h30 16h45 18h30 20h15 •20h30 •18h30 •14h •14h •16h jeudi 17 vendredi 18 18h •21h 18h •21h 18h15 20h30 20h30 18h15 samedi 19 14h30 •17h30 •21h 18h30 •21h 16h dimanche 20 •14h30 •17h •20h30 16h •20h30 18h15 14h 14h Lundi 21 mardi 22 •18h •21h •18h •21h 20h30 18h15 18h15 20h15 14h30 ciné-goûter mercredi 23 jeudi 24 18h15 •20h30 vendredi 25 samedi 26 dimanche 27 Lundi 28 mardi 29 18h15 21h 18h •20h30 18h •20h30 18h30 14h •16h 14h •16h 18h 14h 18h •21h 19h 20h15 ciné-concert Blackmail Les Enfants du paradis samedi 12 15h45 •18h30 •21h 19h 14h30 •16h30 18h30 •20h30 •18h45 •20h30 20h30 14h •15h45 •18h •19h45 •21h30 15h30 •17h15 18h30 •20h30 •19h •21h 20h30 Passion du cinéma Film du mois Foxfire, confessions d’un gang L’étrange créature du lac noir de filles De Laurent Cantet (2012). VO. Margaret Sadovsky, alias Legs, brûle de colère en voyant ses camarades de classe et amies humiliées et parfois abusées par des hommes, adolescents ou professeurs. Bien consciente que la société machiste du début des années 50 et sa condition modeste ne lui permettent pas de s'exprimer, Legs décide de créer un gang. Cependant la cruelle réalité effrite peu à peu les idéaux. r Voir du 9 au 15 janvier. 28 k Sortir janvier 2013 De Jack Arnold (1954). VO et VF. En 3D. Au cœur de l’Amazonie, un paléontologue découvre un fossile de main appartenant à une espèce inconnue. Persuadé qu’il s’agit du chaînon manquant entre l’homme et le poisson, il rassemble une expédition pour exhumer le reste du squelette. Une précieuse restauration en relief numérique permet de réévaluer le film de Jack Arnold, qui constitue l’un des sommets du genre. A partir de 7 ans. r Voir Mercredi 9 janvier, à 14h30, Ciné-goûter présenté par Jacques Déniel et Jean-Serge Pennetier, suivi d’une discussion et d’un goûter. Projeté jusqu’au 15 janvier. Des hommes pragmatiques confrontés à une question métaphysique. Théâtre Le dernier combat Les neuf comédiens de la Compagnie Scena Nostra interprètent « Naissance », de Julien Guyomard, à la MDC. L’histoire est celle d’une communauté archaïque, confrontée à un mauvais sort, qui applique à la lettre les commandements d’un livre saint. Mais il existe, dans le recueil, une partie cachée… D rôle d’histoire, en vérité, que cette « Naissance ». Pour Julien Guyomard, auteur et metteur en scène, Gennevillois, il s’agit d’une histoire… simple, qui pose des questions mais ne donne pas de réponse. Plantons le décor. Au sein d’une communauté, c’est la fin des récoltes et tout le monde s’apprête à fêter ce moment. Seulement, les récoltes sont maigres, la famine menace et les femmes n’enfantent plus. Pour conjurer le mauvais sort, l’Ordonnateur n’a qu’une idée : appliquer les préceptes du Livre saint, recueil de l’Immobile, la figure divine locale. Car si le livre est bien lu – l’Ordonnateur le connaît par cœur – et que les prières sont bien faites, il ne peut logiquement rien arriver de mauvais. Mais au milieu de la cérémonie, le fils du Porteur d’eau, dernier enfant du clan, découvre par hasard une partie cachée du recueil. La communauté va se remettre en question. « Chaque personnage porte un point de vue, indique Julien. L’un va vers les extrêmes, l’autre veut se débarrasser du dieu ou aller contre les règles. Ce qui m’intéresse, ce sont les rouages de l’intelligence collective, ce qui fait la parole démocratique, comment tout cela avance malgré la multiplicité des points de vue, quel est le ciment de cette communauté, qu’est-ce que le combat ? » Foi et combat Le combat, Julien l’a découvert en entrant dans un club de lutte. Le combat est allégorique, bien sûr. Il reconnaît que cela a soutenu son travail pour écrire « Naissance » qui lui a pris trois ans. Admirateur de Nietzche et d’Alexandre Jollien – brillant philosophe handicapé atteint d’athétose, qui sait ce que combattre veut dire –, Julien Guyomard n’a pas écrit une histoire sur la religion mais sur l’interprétation des textes religieux. Le plus gros du travail pour lui a été de se débarrasser des idées préconçues sur la morale, la foi. Ici, point de prophètes ni de moralisateurs, plutôt des hommes pragmatiques confrontés à une question métaphysique. Ses personnages sont attachants, drôles mais peuvent aussi basculer dans une violence sans limite, par conviction religieuse… « Il est difficile de vivre avec des humains, parce qu’il est difficile de se taire », disait Nietzche. Et si la question centrale de cette fable philosophique était comment (bien) vivre ensemble ? • Martine Chaymotty d et aussi « Naissance », mise en scène de Julien Guyomard et Samuel Vittoz. Avec Elodie Vom Hofe, Gwendal Anglade, Jean-Baptiste Azéma, Eric Charron, Damien Houssier, Eric Jovencel, Nans Laborde-Jourdaa, Frédéric Lopez, David Seigneur. Représentations du mercredi 23 au vendredi 25 janvier, à 14h30 et 20h30 ; samedi 26 janvier, à 14h30, à la MDC, 16, rue Julien-Mocquard. Entrée libre. Réservations au 01 40 85 60 92. janvier 2013 k 29 CONCERT SAMEDI 2 FÉVRIER Traversée hypnotique 3 Pour Yom, clarinettiste virtuose, tout a commencé à l’âge de 5 ans avec la découverte de « Pierre et le Loup », de Sergueï Prokofiev. Compositeur inspiré, il a conçu « Le Silence de l'Exode » comme un voyage en double miroir, entre puissante ancestralité et étonnante modernité. Partant de l’épisode historique et fondateur de la sortie d’Egypte du peuple juif et de ses longues années d’errance dans le désert du Sinaï, Yom se plonge dans la confrontation universelle de l’humain avec sa solitude existentielle, au travers de tous les exodes, quels que soient leur point de départ et leur destination. Entouré des non moins inspirés Claude Tchamitchian, contrebassiste CINÉ-CONCERt vENDREDI 23 JANVIER Filopat, Patafil et les autres V ous rappelez-vous la célèbre série Filopat et Patafil ? Dans les années 70, le réalisateur allemand Günter Rätz met en scène deux personnages en bouchon de liège et fil de fer dans de courts films d’animation qui feront le tour du monde. David Sire, un des chanteurs préférés des tout-petits, et Pierre Caillot, percussionniste, accompagnent quatre films d’animation du réalisateur avec un piano, une guitare, un ukulélé, des percussions, des onomatopées, une trompette de poche, et jouent avec les mots, parce qu'ils aiment ça ! Cela donne une séance de ciné-chansons tout en délicatesse et en émotions. Dans « Filopat et Compagnie », on d’origine arménienne, Farid D, violoncelliste oriental, et Bijan Chémirani, percussionniste iranien, Yom livre une traversée hypnotique d’un ailleurs mystique, à la croisée des musiques juives, orientales et moyen-orientales. Le clarinettiste explose avec beaucoup d’humour et autant de talent les codes de la musique klezmer, l'entraînant vers le rock et l'électro. Yom est un sympathique musicien. r A l’auditorium du conservatoire Edgar-Varèse, 13, rue Louis-Calmel. Renseignements au 01 40 85 64 71. 30 k janvier 2013 devine, on devient, on explore le monde, on fait l’expérience cyclique des saisons, on se frotte à l’infini, bref… on grandit ! Une petite souris part explorer le monde en traversant un simple fossé ; l’arrivée du printemps pousse le bonhomme Hiver, joufflu et facétieux, à rejoindre les pingouins ; Filopat et Patafil, petits personnages en fil de fer, s’improvisent musiciens ; enfin, un bébé abeille fait sa première récolte de pollen. Les petits, dès 18 mois, découvriront de véritables petits trésors cachés, réalisés en marionnettes ou dessins animés. De la tendresse sur grand écran. • Martine Chaymotty r A 15 heures et 17 heures, au cinéma Jean-Vigo. Réservations au 01 40 85 64 55. UNIVERSITÉ POPULAIRE LUNDI 28 JANVIER 8 février 1962 3 Pour sa quatrième conférence, l’Université populaire des Hauts-de-Seine invite Alain Dewerpe, historien, directeur d’études à l’Ecole des hautes études en sciences sociales, sur un thème qui ne laisse personne indifférent. Sa conférence, « Charonne, un massacre d’Etat », est le prolongement du livre de 900 pages qu’il a publié en 2006 *. L’ouvrage est dédié à sa mère, Fanny Dewerpe, l’une des neuf victimes des violences policières de la manifestation du 8 février 1962, au métro Charonne. r A 20 heures, à la MDC, 16, rue Julien-Mocquard. *« Charonne, 8 février 1962, anthropologie historique d’un massacre d’Etat », Gallimard, coll. Folio-Histoire. Théâtre Du 15 au 20 décembre EXPOSITION dU 17 JANVIER AU 16 FÉVRIER Le rire, c’est sérieux captivant, dit Rodrigo García. Le rire est une arme que les peureux portent sur eux pour sortir. Disons que lorsque tout le monde rit, on peut apprécier la façon dont les corps deviennent transparents, perdent de leur consistance, de leur poids. Le rire a perdu son caractère tellurique. Tout lien avec les entrailles. » « Muerte y reencarnación en un cowboy » est une œuvre troublante, interprétée avec une intensité extraordinaire et soutenue par une écriture d’une extrême lucidité. Mais le rire, pour pas mal d’entre nous, reste tout de même une merveilleuse trouvaille. • M. C. Spectacle en espagnol surtitré en français. r Au théâtre de Gennevilliers, 41, avenue des Grésillons. Réservations au 01 41 32 26 26 ; www.theatre2gennevilliers.com. © Photo Mats Gustau. A vec sa pièce, « Muerte y reencarnación en un cowboy », Rodrigo García nous entraîne, avec une énergie hallucinante, dans la ronde de deux futurs cowboys qui, une fois réincarnés, débattent ensemble plutôt sérieusement sur le thème du rire, les yeux protégés par des verres miroir. Au commencement, c'est le désastre et la stridence. Le duo de guitares électriques qui s'étirent implacablement au début de la pièce frustre littéralement toute attente agréable chez le spectateur. Grâce (ou à cause) de la percutante mise en scène de R. García, des moments d’hilarité inévitables viennent eux-mêmes souligner « qu’aujourd’hui nous utilisons le rire comme le pire des outils sociaux. Un rire qui sépare au lieu de nous rapprocher, et qui est tout sauf un geste un Artiste spectateur Photo-Christian-Berthelot 3 La Maison du développement culturel accueille l’exposition de photographies de Mats Gustau, Gennevillois, étudiant à l’Ecole des beaux-arts de Paris. Lauréat de la dernière édition des Trophées « jeunes talents », il présente une série de travaux qui s’articule autour de deux entrées : la représentation abstraite du corps humain et la photographie de paysages ruraux délaissés. Dans les deux cas, cet ensemble de photos appelle à un dialogue silencieux du visiteur avec l’œuvre. « Je travaille à partir du corps en tant que matière, voire matériau, dit-il, en créant une abstraction de celui-ci. Observation faite, nous sommes effectivement tous semblables, ou à l’inverse, carrément tous différemment formés. » Quant à ses paysages, il sont, eux, très anonymes. « Des lieux communs, en quelque sorte. Ils peuvent naturellement prendre part au décor de nos souvenirs respectifs. C’est finalement très émouvant de remarquer que la partie vivante d’une œuvre est celle que le spectateur émet. En tant qu’artiste, je suis avant tout spectateur. » Vernissage jeudi 17 janvier, à 18h30. r Mats Gustau, photographies. A la MDC, 16, rue Julien-Mocquard. janvier 2013 k 31 ennevilliers.fr -g le il .v w w w r u Rendez-vous s Un petit clic pour un site de choc Le site Internet de la Ville fêtera son quinzième anniversaire, l’an prochain. Récemment encore, il a subi des changements visibles. Et d’autres évolutions sont à venir… encore et toujours. D epuis 1998, le site de Gennevilliers n’a cessé d’évoluer. En ce mois de novembre, un nouvel habillage a été effectué. La Une, notamment, a été repensée pour que les rubriques soient désormais accessibles en un seul clic. Une nouveauté appréciée par Rachida, Gennevilloise et mère au foyer : « Le site est plus pratique au niveau de l’utilisation. Avant, il fallait taper un mot-clé. Mainte- ite internet : s u d e u q tè to o La ph photos plus de 18 000 nant grâce aux nouveaux onglets, on trouve plus facilement ce que l’on cherche. » L’apparition des smartphones, ces téléphones mobiles qui ont 32 k janvier 2013 accès à Internet, via la 3G, est également venue bouleverser la donne. Une application du site de la Ville existe ainsi depuis le mois de juin. « La version mobile est adaptée à la taille de l’écran », explique Djamel Abssi-Bazillier, responsable du service multimédia, avant de préciser que « le menu est plus détaillé et plus pratique pour l’utilisateur. » Le succès est d’ailleurs au rendez-vous puisque plus de 16 % des visites du site, en moyenne, se font à partir d’un smartphone. Plus généralement, les visites sur le site sont en constante augmentation. En 2012, la moyenne mensuelle des visiteurs – différents ! – est de 37 604 contre 12 187 en 2009, soit une augmentation de 200 % en trois ans. Et ce n’est pas tout : depuis le mois de septembre, des flashcodes s’affichent sur plusieurs supports de la Ville. Les possesseurs de smartphone, après avoir scanné ces « codes barres », dans GenMag par exemple, peuvent avoir accès directement à la bonne page du site de la Ville. Le flashcode du CMS, inscrit sur sa devanture, indique par exemple les horaires d’ouverture du centre de santé ou le nombre d’activités médicales proposées à l’intérieur. « En bref, Monsieur le Maire » L’autre nouveauté concerne le GTV, le journal télévisé de la Ville. Jusqu’au prin- interviews • Djamel Abssi-Bazillier, responsable du service multimédia. Nous interviewons le maire très régulièrement sur des questions, liées à l’actualité locale mais pas forcément traitées dans les différents supports de la Ville. On peut revenir sur un dossier ou demander au maire de rendre compte de telles ou telles avancées, voire de s’expliquer sur des choses que l’on attend et que l’on ne voit pas venir. L’interview dure environ huit minutes. Le maire fait le point et ne connaît pas les questions à l’avance, ni même les thèmes abordés. Il n'intervient pas non plus sur le montage. C’est tourné dans les conditions du direct. Il faut que ce soit bref. C’est d’ailleurs le titre de l’émission : « En bref Monsieur le Maire ». On lui demande des réponses très courtes, très rapides. C’est une discussion en tête à tête. Une des questions estposée par un habitant. L’entretien se termine par une question légère. •Touatia, habitante de Gennevilliers. temps dernier, il était hebdomadaire et réalisé d’un seul bloc. Aujourd’hui, c’est un journal en boucle d’une durée de quinze minutes environ, conçu par petits modules. Les rubriques (actu, ciné, sortir, dire, dessin, archives, lire, info) sont dorénavant visibles soit à la suite, soit séparément. Originalité : chaque rubrique a son propre rythme de diffusion. Côté vidéo toujours, une nouvelle émission a vu le jour fin novembre. Son titre : « En bref Monsieur le Maire ». Tous les quinze jours, une interview du maire, sur un ton impertinent, est diffusée sur le site. Trois émissions ont déjà été réalisées. La prochaine est sur le site à partir du 9 janvier (voir interview ci-contre). Le site répond également à sa mission de service public. En effet, l’internaute peut y effectuer directement le paiement en ligne de prestations municipales telles que le centre de loisirs ou la cantine, par exemple. 35 % des usagers de ces services, environ, utilisent ce moyen de paiement. Autre nouveauté : les internautes ont maintenant accès aux archives des actes d’état civil (actes de naissance, actes de décès, actes de mariage) compris entre 1659 et 1904. Les documents ont été scannés et numérisés par le service des archives municipales, en partenariat avec le généalogiste, M. Perret. Le plan de la ville va aussi évoluer. Plus interactif, il contiendra plus d’infos pratiques. Un plan qui avec la rubrique démarches et documents, les infos à la une et le centre nautique font partie des pages les plus visitées du site. À l’inverse, certaines pages sont moins fréquentées par les visiteurs ou alors tout simplement méconnues. Beaucoup méritent cependant le détour à l’image de vidéos insolites comme la pose des rails du tramway dans le quartier du Village ou encore trois épisodes d’une web série consacrée à la première année d’apprentissage d’un instrument au conservatoire (cliquez sur la page Web TV). C’est d’ailleurs la particularité du site que de disposer d’une vidéo à chaque page visitée. « Une vidéo à tous les étages », comme se plaît à le rappeler Djamel Abssi-Bazillier. • Fabien Antranik Le service multimédia Il est composé d’une équipe de sept personnes : un réalisateur vidéo, une journaliste vidéo, deux webmasters, une journaliste web, un photographe, et un responsable du service multimédia. Je me connecte très souvent sur le site de la Ville, notamment à la bibliothèque. Je trouve qu’il est très facile d’utilisation. J’ai pour ma part un peu de mal avec les ordinateurs. Je trouvais ça compliqué. Depuis deux ans, je me suis mise à l’informatique et j’ai pris des cours à la bibliothèque. Ça va mieux maintenant, ce qui me permet de me renseigner sur ce qui se passe à Gennevilliers, les actualités de mon quartier. Il est très intéressant également concernant les démarches à faire à la mairie. Par exemple, j’avais des problèmes pour trouver un appartement. Je me suis connectée sur le site pour voir ce que je devais faire. Et ça m’a bien aidée. Enfin grâce au site, j’ai su qu’un club pour les retraités existait. • Alain, représentant local pour la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux). Je vais sur le site pratiquement tous les jours. Je regarde les informations en début de semaine, que ce soit les articles ou le GTV. J’aime bien la façon dont ce dernier a évolué. Il est réalisé à l’extérieur maintenant. C’est très sympa. On est sur le terrain. Les images nous parlent. La nouvelle mise en page me plaît également. C’est plus clair et plus lumineux. Avant, c’était plus difficile de trouver les rubriques. J’aime bien aussi le défilement d’images sur la Une du site. janvier 2013 k 33 ies, En cas d’intempér ce tôt… la journée commen très tôt ! Ils tiennent la route Lorsque la neige et le gel s’invitent dans l’espace public, la Ville déploie les moyens humains et mécaniques du dispositif de viabilité hivernale. Il permet aux habitants de continuer à se déplacer dans les meilleures conditions possibles sur la commune. S ouvenez-vous. Nous sommes le jeudi 6 décembre 2012. Météo France place en vigilance orange une vingtaine de départements, dont ceux de l’Ile-de-France. Les prévisions tablent sur deux à trois centimètres de neige pour la nuit suivante et du verglas sur les routes au matin. Ce qui arrive. Mais grâce à un redoux anticipé, l’épisode s’estompe dès le milieu de matinée. Il n’empêche, comme lors de chaque scénario de ce type, le service Gennevilliers propreté a procédé la veille à un salage prév e n t i f d a n s l’ e s p a c e p u b l i c , les axes routiers fréquentés et les accès aux équipements. 34 k janvier 2013 Dès 5 heures du matin, une centaine d’agents se remet à l’ouvrage avec, en plus, du déneigement. « S’agissant de son ampleur, rien à voir avec l’épisode neigeux de décembre 2010. Mais, au moins, celui du mois dernier a servi de répétition générale à notre dispositif de viabilité hivernale », explique Christian Goulet, responsable de la section nettoiement à Gennevilliers propreté. Bonne nouvelle, le dispositif qu’il gère est à 100 % opérationnel. « À chaque hiver, nous tirons les enseignements du précédent afin d’être toujours plus réactifs et efficaces », ajoute-t-il. Depuis l’année dernière, 35 bacs à sel cadenassés sont disposés aux endroits stratégiques. À l’intérieur : 12 sacs de 25 kg qui évitent aux agents de devoir retourner à leur base pour se ravitailler. En 2011, le service a acquis une trentaine de chasseneige manuels avec lesquels les agents tracent des cheminements dans la neige. « On ne déneige plus entièrement les trottoirs car les piétons empruntent la même trace et nous économisons donc du sel qui, on le sait bien, est agressif pour l’environnement », précise Christophe Livache, adjoint au service nettoiement. Pour cette bonne raison, les jardiniers des espaces verts répandent du sable dans les parcs, les squares et sur la coulée verte notamment. Mais en l’absence de produit miracle, le sel demeure indispensable. Le précieux matériau est stocké par gros sacs de 250 kg. Près de 200 tonnes sont disponibles à tout moment, de quoi passer l’hiver au chaud avec cinq jours de réserve. Priorité aux voies de bus Mais avec 80 km de chaussées sur la ville, il est impossible d’intervenir sur l’ensemble des rues. Il faut assurer le plus rapidement qui soit et le mieux possible Les encombrants La collecte des objets encombrants s’effectue le premier lundi de chaque mois, dès 6 heures du matin, sur l’ensemble de la ville. On peut déposer les déchets occasionnels, notamment les biens d’équipements ménagers usagers : les mobiliers, matelas, appareils électroménagers, les emballages volumineux d’équipements ménagers, les cartons. Prochains passages : les 7 janvier et 4 février. r Renseignements complémentaires : Gennevilliers Propreté, tél. 01 40 85 60 10. Ordures ménagères La collecte se fait deux fois par semaine. Secteur ouest (Luth, Fossé-de-l’Aumône, Chevrins/Citéjardin, Agnettes) : immeubles : les lundis, mercredis et vendredis ; maisons : les lundis et vendredis ; emballages : le jeudi. Secteur est (Chandon-Brenu, Sévines, zone industrielle, Grésillons, Village) : immeubles : les mardis, jeudis et samedis ; maisons : les mardis et samedis ; emballages : le mercredi. Seuls les dépôts en conteneurs sont collectés. Chaînes de la TNT Six nouvelles chaînes gratuites de la TNT ont été redéployées, le 12 décembre dernier, par le Conseil supérieur de l’audiovisuel. En cas de problème dans leur RMC (recherche et mémorisation des chaînes), l’agence nationale des fréquences, en charge de la bonne réception de la télévision en France, à remis en place le numéro spécial à disposition des téléspectateurs lors du passage au tout numérique : 0 970 818 818. Un dépliant est également téléchargeable sur le site www.recevoirlatnt.fr les déplacements des personnes qui vont au travail ou qui prennent les transports. « Priorité aux axes de grande circulation, à commencer par les voies de bus. Puis, ce sont les places et placettes, les parkings dont celui du RER C, les abords des écoles et des autres bâtiments publics », poursuit Christophe Livache. Quant aux six stations du tramway prolongé, leur traitement est l’affaire de la RATP. En cas de nécessité, les grands moyens mécaniques sont déployés sur le terrain avec la mise en branle de trois saleuses et d’une flottille de véhicules de servitude. Mais l’atout maître, ce sont les agents. Ils interviennent au plus près avec une trentaine d’épandoirs lestés de 50 kg de sel chacun, de chasse-neige manuels et de bonnes vieilles pelles. Depuis cet hiver 2012-2013, la nouvelle rue Clara-Zetkin, aux Grésillons, est entrée dans leur orbite. Pas le temps de refroidir… • Frédéric Lombard En cas de fermeture Si la situation l’y contraint, la municipalité peut prendre un arrêté de fermeture des terrains de sport, impraticables ou dangereux, et annuler les rencontres prévues le week-end. Les clubs, les ligues et les districts sont prévenus par ses soins, au plus tard le vendredi midi. L’arrêté municipal est ensuite affiché à l’entrée des installations. Les gymnases, eux, restent ouverts sous condition de leur accessibilité. Ce sont les gardiens qui ont en charge le déneigement ou le dégel des entrées. Semis et boutures Un cours pratique de jardinage est dispensé samedi 12 janvier, de 10 heures à 12 heures, à la ferme du parc des Chanteraines (entrée par le 79, boulevard Charles-de-Gaulle, à Villeneuve-la-Garenne). Au programme de cette session, proposée par le conseil général des Hauts-de-Seine : la multiplication des végétaux, les techniques de semis, boutures et marcottage. r 5 euros le cours. Inscriptions obligatoires au 01 41 13 03 83 ou sur [email protected] Lumineux L’éclairage public de la ville est composé de… 4 982 points lumineux, qui fonctionnent près de 4 300 heures par an. Éblouissant, non ? janvier 2013 k 35 électrique Autolib’ prend de l’assurance Voilà un an que les Gennevillois disposent d’Autolib’, un parc de véhicules électriques en libre-service. Les petites voitures grises font maintenant partie du paysage. G ennevilliers, adhérente comme trente-six autres communes franciliennes du syndicat mixte Autolib’, bénéficie de cinq stations sur son territoire. L’utilisation va crescendo depuis leur ouverture avec un nombre d’utilisateurs particulièrement significatif ici ou là : plus de 400 utilisateurs en quatre mois pour la seule station de la rue Georges-Corète, par exemple… celle de la rue Louise-Michel, un petit peu plus ancienne, la talonnant de peu. Chaque mois, une trentaine de Gennevillois souscrivent un abonnement annuel. Au jour, à la semaine ou au mois, chacun choisit la formule la mieux adaptée à Handicap aménagement Axe majeur Appelés à réfléchir sur l’amélioration de l’accessibilité de l’espace public et notamment de la voirie, les membres de la commission communale d’accessibilité se sont déplacés sur le terrain. Ce premier travail a permis le repérage d’un itinéraire de plus de 2 kilomètres, allant du pôle universitaire, au nord de la ville, au métro GabrielPéri au sud. Sur ce tracé, les services de la voirie ont réalisé fin 2012 de nombreux travaux d’aménagement afin de faciliter le déplacement des personnes en situation de handicap. Quelque cent vingt potelés ont ainsi été Rampe d’accès 3 3 36 k janvier 2013 l’usage qu’il fait d’Autolib’, avec toujours les mêmes avantages : pas de problème de stationnement, pas de véhicule à entretenir à l’année, la possibilité de déposer la voiture dans une autre station que celle du départ, pas de plein d’essence à faire… et un service ouvert 7 jours sur 7, et ce 24 heures sur 24. enlevés, déplacés ou ajoutés ; des revêtements de trottoirs ont été refaits, une vingtaine d’abaissements de trottoirs a été réalisée et de nombreuses dalles podotactiles, qui signalent un passage piéton aux personnes malvoyantes, ont été posées. Cet axe nord/sud est aujourd’hui clairement identifiable, puisqu’il est balisé par le logo VilleHandicap apposé sur les trottoirs. Les travaux réalisés récemment place Jules-Guesde, au Fossé-del’Aumône, sont un exemple de collaboration entre les membres du conseil de quartier, les habitants et la direction des infrastructures de la Ville. En effet, entièrement financés sur le budget participatif du quartier, pour un montant de 12 000 euros, ces aménagements ont permis de rendre les lieux accessibles à tous. Le trottoir, particulièrement haut, a été remplacé par une rampe d’accès que peuvent désormais emprunter les personnes handicapées, les personnes âgées ou les parents avec poussette. la motricité e p p lo ve é d if L’éveil sport n des enfants. o ti a s li ia c o s la et L’éveil sportif, ça fait du bien La Fête d’hiver de l’école municipale des sports, samedi 12 janvier, permettra de se rendre compte de l’intérêt des tout-petits pour l’éveil sportif. Et des bienfaits que cela procure ! Les parents qui ne connaissent pas encore ce service municipal sont chaleureusement conviés à la salle des fêtes. Ils vont être surpris… L a Fête de nouvelle année de l’école municipale des sports (EMS) se déroulera cette année encore à la salle des fêtes, samedi 12 janvier (voir détails ci-contre). Elle se fixe, pour cette édition, un objectif prioritaire qui est d’attirer les plus jeunes enfants, les 3-5 ans, vers l’éveil sportif. Les portes sont grandes ouvertes aux parents, tous conviés à venir se rendre compte concrètement des bienfaits d’une pratique sportive adaptée au 38 k janvier 2013 plus jeune âge. L’occasion, aussi, de s’informer sur les modalités d’inscription et d’organisation. Rappelons que l’éveil sportif est une des trois classes que propose l’EMS avec la classe multisport pour les 6-8 ans et le pôle sport juniors pour les 9-13 ans. Dans son ensemble, l’EMS continue à rencontrer un succès grandissant, ses effectifs étant passés d’un peu plus de 600 l’an dernier à 770 cette année. Élargir les publics S’agissant de l’éveil sportif, la direction municipale des sports, qui gère l’EMS, le remarquait dès le début de la saison en traçant ses perspectives pour 2012-2013 : « L’éveil sportif se porte bien, si l’on se fie aux effectifs en augmentation et aux sites complets. L’éveil sportif répond aux attentes des Gennevillois et aux objectifs recherchés par la municipalité. Cependant, le but de toucher les publics les plus éloignés de la pratique n’est que partiellement atteint et reste l’enjeu majeur. » Après avoir été lancé en 2003, à la suite d’un des engagements des Assises de la réussite en 2002, l’éveil sportif demeure toujours aujourd’hui l’une des priorités municipales réaffirmées dans la Charte du service public. Objectif : un élargissement des publics bénéficiant des prestations municipales. Cette approche des familles les plus éloignées de la pratique sportive ou les moins bien informées sur les prestations proposées par l’EMS a commencé dès la rentrée. La direction des sports, à travers ses éducateurs sportifs, est passée par les centres de loisirs et les écoles maternelles pour inciter les parents à inscrire leurs jeunes enfants à l’éveil sportif. Des séances sportives sont d’ailleurs organisées tous les vendredis après-midi avec les écoles maternelles et primaires, encadrées par les professeurs des écoles et les éducateurs sportifs de la Ville. Un partenariat avec l’Éducation nationale qui pourrait bien porter ses fruits. Une autre façon d’intéresser ce jeune public réside dans l’accueil en matinée, pendant les vacances scolaires, des enfants des maternelles par les éducateurs municipaux. 284 chanceux A la bonne heure ! Samedi 12 janvier, à la salle des fêtes. Ateliers sportifs des plus petits : les 3-4 ans (9 h 30 - 10 h 30), les 5 ans (10 h 30 - 11 h 30). Ateliers des plus grands : les 6-8 ans (13 h 30 - 15 heures), les 9-12 ans (15 heures - 16 heures). Entrée libre. Renseignements au 01 40 85 65 70. Ordinairement, l’éveil sportif se déroule le samedi matin (de 9 h 30 à 12 heures), sauf pendant les congés scolaires, dans tous les quartiers de la ville, et dans les gymnases suivants : Joliot-Curie (Agnettes), Anatole-France (Chandon-Brenu-SévinesGrésillons), Gustave-Caillebotte (Village), Jean-Guimier (Luth), et Paul-Langevin (Fossé-de-l’Aumône). Il s’agit d’une prestation municipale périscolaire payante sur la base du quotient familial, encadrée par des professionnels diplômés d’État, les six éducateurs permanents et une vingtaine de vacataires non moins diplômés. Ceux-ci proposent des activités multisports adaptées à ce jeune âge à travers une méthode d’enseignement ludique mettant l’enfant au cœur des apprentissages. L’an dernier, on comptait 284 inscrits à l’éveil sportif, les effectifs variant de 60 (jauge maximum) au gymnase GustaveCaillebotte à 33 au gymnase AnatoleFrance, soit seulement 55 % de la capacité d’accueil. Le taux de remplissage total est de 80 %. Il reste donc des places pour les petits sportifs en herbe, sachant que la très grande majorité des enfants inscrits se réinscrivent l’année suivante. On constate sur tous les sites un développement de la motricité et de la socialisation des enfants. La Fête de l’EMS du 12 janvier est une bonne occasion de se rendre compte de visu de l’épanouissement des petits enfants à l’éveil sportif. Alors, venez…! • Jean-Michel Masqué janvier 2013 k 39 Basket-ball Un championnat très serré 3 La dernière bonne nouvelle en date pour le Gennevilliers Basket-club (GBC) est la validation par la mairie du projet de club-house qui devrait jouxter, d’ici la rentrée de septembre 2013, le gymnase Joliot-Curie où évolue l’équipe première (Nationale 3). L’autre bonne nouvelle, c’est qu’à l’issue des matchs aller (8/12/12), l’équipe première pointe à la sixième place, soit en milieu de tableau d’une poule très homogène et très serrée. Étant donné que, lors des matchs retours qui ont démarré le 15 décembre, le GBC reçoit à domicile la plupart des équipes placées au-dessus de lui, cela promet du très bon spectacle pour ses supporters. Le manager général, Gilles Tectin, résume la situation : « Il va falloir être capable de battre les gros chez nous et de batailler ferme chez elles contre des équipes qui ne veulent pas descendre ! Mais je crois qu’on élève notre niveau de jeu, dans l’intensité comme dans le collectif. Nous disposons d’un bon banc qui nous permet LES RENDez-vous SPORTIFS Dimanche 6 Dimanche 13 Roller-hockey Rugby Gymnase Anatole-France Stade Claude-Luboz 11h-14h : Roller-hockey gennevillois/Antony 10h : CSMG/RC Senlis (National 4) Mercredi 9 Badminton Gymnase Edouard-Vaillant 20h : CSMG/Montrouge (équipe 4) 20h : CSMG/Nanterre (équipe 5) Samedi 12 Badminton Gymnase Edouard-Vaillant 15h : CSMG/Montrouge (équipe 2) 15h : CSMG/Rueil (équipe 3) Roller-hockey Gymnase Anatole-France 18h-21h : Roller-hockey gennevillois/Amiens (juniors) 13h30 : CSMG/RC Auxerre (réserve) 15h : CSMG/RC Auxerre (première) Roller-hockey Gymnase Anatole-France 12h : Roller-hockey gennevillois/Asnières (National 4) 14h : Roller-hockey gennevillois/Collégien (National 3) Mercredi 16 Badminton Gymnase Edouard-Vaillant 20h : CSMG/Issy-les-Moulineaux (équipe 4) 20h : CSMG/Asnières (équipe 5) Samedi 19 (National 2) Badminton Football Gymnase Edouard-Vaillant Parc des Sévines 15h : CSMG/Clichy (équipe 3) 10h30 : CSMG/Petits anges Basket fauteuil (U 11F/5 et U11F/6) Gymnase des Grésillons 10h30 : CSMG/Montrouge 18h : CVHG /Corbeil (U 11F et U 11F/8) Basket-ball Gymnase Joliot-Curie 20h : GBC/Eveil de Recy Saint-Martin Football Stade Lilian-Thuram 14h : ES gennevilloise/LSO Colombes (U 13) 16h : ES gennevilloise/ Fontenay-aux-Roses (U 15) Parc des Sévines 14h : CSMG/CSM Puteaux (U 13/6 et U 13/7) 15h : CSMG/CSM Puteaux (U 13/8 et U 13/7) 16h : CSMG/Villeneuve-laGarenne (U 15/3) 17h : CSMG/FC Montrouge janvier 2013 Mercredi 23 Dimanche 27 Badminton Rugby Gymnase Edouard-Vaillant Stade Claude-Luboz 20h : CSMG/Courbevoie 10h : CSMG/Rugby-club de Drancy (cadets) 13h30 : CSMG/CS Beaunois (équipe 1) (U 15/2) Vendredi 25 Futsal Rugby Gymnase Paul-Langevin Stade Claude-Luboz 16h30 : Gennevilliers Soccer 2/Acces FC 2 20h45 : CSMG/« les Vrais-faux rebonds » (folklo) Dimanche 20 Samedi 26 Rugby Basket fauteuil Stade Claude-Luboz Gymnase des Grésillons 10h : CSMG/EGG 15 L’Isle-Adam (juniors) 16h : CVHG/VillefrancheMeyzieu-Cluny Football Football Stade Lilian-Thuram Stade Lilian-Thuram 9h30 : Olympique gennevillois/Amicale 92 13h : ES gennevilloise/ Salésienne de Paris (U 17) 15h : FC Luth/AS Fossé-del’Aumône 16h : ES gennevilloise/ Clichy (U15) Parc des Sévines 9h30 : CSMG/ES Renault (vétérans) 13h : CSMG/Trappes Saint-Quentin (U 17/1) 13h : CSMG/Suresnes (U 17/2) 15h30 : ATMF/Villeneuvela-Garenne Parc des Sévines 14h : CSMG/Villeneuve-laGarenne (U 13/2 et U 13/3) 15h : CSMG/Villeneuve-laGarenne (U 13/4 et U 13/5) 16h : CSMG/Levallois (U 15/3) 17h : CSMG/Racing Colombes (U 15/1) (réserve) 15h : CSMG/CS Beaunois (première) 15h : CSMG/RAS Pays de Brest (féminines fédéral 2) 15h : CSMG/RC ChillyMazarin (féminines fédéral 1) Football Parc des Sévines 9h30 : Amicale 92/Racing Colombes 13h : CSMG/Mantois (U 17/1) 13h : CSMG/Colombienne (U 17/2) 15h : ATMF/Centre de Paris 15h : AS Fossé-del’Aumône/Fontenay-auxRoses Stade Lilian-Thuram 9h30 : ES gennevilloise/LSO Colombes (vétérans) 13h : ES gennevilloise/CSM Gennevilliers 3 (U 17) Stade Louis-Boury Futsal 13h : CSMG/Montrouge Gymnase Paul-Langevin (U 19/2) 16h30 : Gennevilliers Soccer 2/Puteaux Futsal (seniors-2) 15h : CSMG/JSC Nanterre Stade Louis-Boury Mercredi 30 13h : CSMG/CSM Puteaux Badminton (U 19/2) 15h : CSMG/Bourg-la-Reine (seniors-2) 40 k de meilleures rotations que certaines autres équipes. » Le championnat va se jouer sur les prochains matchs, le GBC visant la cinquième ou la sixième place (sur 12 équipes, la première montant à l’échelon supérieur, les trois dernières descendant). Enfin, le club a vu une grosse demande d’adhésions cette saison : 400 demandes, alors que le club n’a pu accueillir que 340 joueurs. Toujours plus haut, le basket à Gennevilliers ! Gymnase Edouard-Vaillant 20h : CSMG/Boulogne (équipe 1) Football Équitation au féminin Le centre équestre 3 au trot enlevé C’est en assistant l’été dernier à un tournoi de foot organisé par la Ville, que des filles spectatrices ont interpellé des éducateurs sportifs municipaux pour leur signaler que les initiatives dans ce domaine étaient trop souvent destinées aux seuls garçons. La direction municipale des sports a donc décidé de proposer un créneau de foot en salle réservé aux filles (11-18 ans), au gymnase Anatole-France, tous les samedis, de 15 heures à 17 heures. « Il faut briser les stéréotypes, insiste Cédric Matingou, l’éducateur sportif qui encadre ce groupe de filles, et bien montrer que toutes les activités sportives sont ouvertes à toutes. » L’objectif est également d’organiser un mini-séjour foot féminin à Ménilles à Pâques. Ce séjour est destiné à vingt jeunes filles, qui font déjà partie du groupe d’Anatole-France mais aussi à d’autres qui pourraient être intéressées. r Contacter le 01 40 85 65 70 (Cédric Matingou) ou s’adresser au gymnase A.-France, le samedi, entre 15 h et 17 h. Salsa en manque d’hommes La section salsa du CSMG a ouvert à la rentrée sous la direction de Géraldine Auguste, danseuse et professeur de salsa. Le créneau du samedi au gymnase Gustave-Caillebotte (12 h 30-14 heures) a permis de constituer un embryon de groupe de débutants. « Mon souhait, explique Géraldine, est de faire évoluer ce groupe assez vite pour aller danser ensemble à l’extérieur. » Ces sorties se feront, dans un premier temps, dans des bars salsa. Il reste encore des places car le professeur peut encadrer jusqu’à 30 danseurs. Rappelons que deux cours sont offerts pour ceux qui voudraient essayer la salsa avant de se convaincre de persévérer. Cependant, Géraldine lance un appel aux hommes tentés par cette danse entraînante et physique à rejoindre le groupe gennevillois, où ils sont en minorité, alors que ce sont eux qui guident le couple de danseurs. La section a le projet de proposer une démonstration à l’occasion du carnaval ou lors de la fête de l’école de danse. r Contacts : [email protected] ou 3 si les sorties M ême concours hippique en ont été perturbées depuis la rentrée par les risques liés à une épidémie de maladies infectieuses équines, sans danger pour l’homme, le Centre équestre de Gennevilliers (CEG) poursuit sur sa lancée des années précédentes en accueillant toujours plus d’adeptes du poney et de Gennevillois. Aux championnats de France de l’été dernier, à Lamotte-Beuvron, le CEG a participé pour la première fois dans les catégories poney et Trec (Technique de randonnée équestre en compétition, qui consiste à effectuer un parcours en terrain varié, présentant des difficultés). En octobre dernier, ce sont les cavaliers du CEG qui ont animé l’inauguration de la statue équestre en bronze, le « Cheval des lumières », dans le parc du château d’Asnières. Pour les prochaines vacances de Pâques, le CEG innove car le stage poney, déjà complet, sera transplanté à LamotteBeuvron (Sologne), et le centre envisage déjà un stage d’été en bord de mer. Enfin, le projet d’extension du club, présenté à la municipalité à la rentrée 2011, devrait être fixé sur son sort en ce début d’année. Car la vétusté des aménagements gagne, même si les installations restent dans des normes acceptables, et le manque d’espace se fait toujours sentir. • JeanMichel Masqué d Contacts 01 40 85 01 12, www.aceg.fr 01 41 21 22 60. janvier 2013 k 41 , mentina-Stern à la crèche Clé en 1948. Ouverture de la crèche Potamia en 1966 42 k janvier 2013 Lorsque la crèche paraît Né au milieu du XIXe siècle, le concept de crèche ne se concrétisa à Gennevilliers qu’avant la Seconde Guerre. Depuis lors, au côté des crèches départementales sont apparues des crèches associatives et interentreprises. L e souci de la petite enfance ne naît mignons car ils sont vraiment dans un cadre pas à Gennevilliers avant le début digne d’eux. » En cette période de boom du XXe siècle, au moment où la démographique, les élus ou des associapopulation double (de tions, comme l’Union 7 401 habitants en des femmes fran« C’est toujours avec 1896 à 14 003 en plaisir que les mamans çaises, ne cessent de 1911) et rajeunit. Aux la création conduisent leurs petits réclamer élections municipales de crèches et gardemignons car ils sont de 1912, la liste du ries supplémentaires. vraiment dans un cadre Un projet de crèche groupe républicain indépendant propose départementale, cofidigne d’eux. » « la création d’une nancée par la municicrèche maternelle ». Cependant, la pre- palité, voit seulement le jour en 1956-1957. mière crèche, gérée par l’association dite Signalons que 400 enfants naissent en œuvre de la crèche de la Cité-Jardin de 1958 ! La seconde crèche de Gennevilliers Gennevilliers (émanation du Foyer des œuvres sociales des Cités-Jardins du Grand Paris), n’ouvrira ses portes qu’au début des années trente au 4, rue Richelieu. En 1933, elle est baptisée crèche Clémentina-Stern. « Elle a pour but, lit-on sur ses statuts, de conserver les enfants de un mois à trois ans pendant le temps de travail de leur mère (6 h 3/4 du matin à 18 h 3/4). Le but de cette association est de s’occuper des enfants, de les nourrir, de les soigner préventivement contre les maladies héréditaires et de tenir auprès d’eux le rôle de leur mère absente. » Cette crèche semble essentiellement fréquentée par les enfants des ouvrières de l’usine du Carbone toute proche et d’autres entreprises installées dans la commune. En 1935, 48 enfants sont inscrits à la crèche Richelieu. Il est fait mention, dans une délibération du conseil municipal du 24 mars 1929, d’une « société la crèche des Grésillons » dont nous n’avons trouvé trace nulle part ailleurs dans les docu- ouvre en février 1961, à l’angle des avenues ments et archives… Gabriel-Péri et de la République. En avril 1963, la « vieille » crèche Richelieu est cédée au département de la Seine. 400 naissances en 1958 ! Michelle Bonnaud, directrice de crèche à La crèche Clémentina-Stern est « muni- Gennevilliers de 1961 à 1994, se rappelle, cipalisée » en février 1943 et le demeure dans une « Étude sur les modes d’accueil après la Libération. On peut lire dans le de la petite enfance à Gennevilliers » « Bulletin municipal » de septembre publiée en juillet 2002, ses premiers pas 1945 : « Pour les tout-petits la crèche est dans la nouvelle crèche République : « Je ouverte, et c’est toujours avec plaisir que me suis retrouvée avec un bâtiment neuf de les mamans conduisent leurs petits quatre pièces pouvant accueillir 50 enfants, dont deux salles pour les bébés et deux pour les grands, un dortoir et une salle de jeux […] Je me souviens bien de collectionner les bouchons de plastique de couleur qui étaient sur les bouteilles de vin, je les perçais au milieu avec un outil que je chauffais et nous achetions des lacets pour enfiler les bouchons. L’introduction de ce type de jeux me faisait passer pour “limite spéciale”… » Petit à petit… En 1966 et 1967, trois nouvelles crèches départementales sortent de terre, toujours cofinancées par la Ville, aux Grésillons (rue Julien-Masselier), aux Agnettes (rue Potamia) et au Fossé-de-l’Aumône (rue Hector-Berlioz). Ce qui aboutit à un total de 250 berceaux pour l’ensemble de la ville. Dix ans plus tard, c’est le quartier du Luth qui est doté d’un tel équipement. Dans les années quatre-vingt, une crèche familiale vient compléter les structures d’accueil des tout-petits et porte à sept (340 berceaux) le nombre d’établissements spécialisés. Progressivement, par la suite, l’association Plein Grés ouvre plusieurs crèches et mini-crèches pour accueillir « ponctuellement, régulièrement ou d’urgence, les enfants de 3 mois jusqu’à leur scolarisation en maternelle. » Puis, avec le développement des zones d’activité économique, on observe un nouveau phénomène ces dernières années : l’ouverture de crèches interentreprises, d’abord dans le parc des Barbanniers (Cap enfants) puis, en octobre dernier, dans l’immeuble Delage (société Les Petits chaperons rouges). L’accueil des enfants suscite désormais l’attention des pouvoirs publics comme des acteurs économiques. • Jean-Michel Masqué 1933 4, RUE RICHELIEU Ouverture de la crèche Clémentina-Stern. janvier 2013 k 43 Les bibliothèques c’est Géant Livres CD Livres audio Magazines Journaux Accès Internet et ... 2 500 DVD VOD tél. 01 40 85 64 93 http://bib.ville-gennevilliers.fr 4x3 Bib-king-kong.indd 1 17/12/12 10:37 pratique Coup de froid Des gestes simples permettent aux personnes âgées de se protéger contre les vagues de froid. Quelques recommandations hivernales. En cas de grand froid, contactez la coordination gérontologique au 01 40 85 68 68 G rippe, gastroentérite, angine… Comme chaque année, l’hiver apporte son lot de désagréments. Les personnes âgées peuvent cependant s’en prémunir. Au moins, peuvent-elles en limiter les risques. La première recommandation est d’éviter les activités à l’extérieur en cas de grand froid. Quand cela est possible, mieux vaut rester au chaud, faire faire ses courses par un proche, en quantité suffisante et pour une longue période. Chez soi, il est recommandé de maintenir une température ambiante d’au moins 19 degrés, y compris dans les chambres à coucher. En cas de sortie obligatoire, il est impératif de bien se couvrir les parties du corps qui perdent de la chaleur, à savoir la tête, le cou, les mains et les pieds. Porter plusieurs couches de vêtements, des chaussures antidérapantes, et se couvrir le nez et la bouche pour éviter de respirer l’air froid est primordial par ces fraîches températures. Sortir le soir est également à éviter car il fait généralement beaucoup plus frisquet. Il est important, aussi, de donner des nouvelles à ses proches en cas de longue sortie, de se faire accompagner et de se munir d’un téléphone portable. En cas d’exposition au froid mêlé à l’humidité, des engelures superficielles peuvent apparaître sur la peau. Rougeurs, gonflements, sensation de brûlures… les conséquences sont douloureuses. Dans ce cas, il est essentiel de ne pas frotter la zone sensible ni de la masser mais plutôt de la réchauffer en l’immergeant dans de l’eau tiède. Si les symptômes persistent, il faut consulter un médecin. Un risque d’hypothermie est également possible en cas de froid intense. La température du corps passe alors sous les 35 degrés. Un ralentissement de la prononciation, une confusion des idées, un engourdissement, une fatigue intense voire un coma peuvent en découler. Chauffage : attention danger L’intoxication au monoxyde de carbone est un danger récurrent en période hivernale. Selon le site du ministère de la Santé, une centaine de personnes en décéderaient chaque année. Inodore et incolore, ce gaz est extrêmement nocif : même une faible exposition à celui-ci peut entraîner des problèmes de santé. Les chaudières, en raison d’anomalies d’évacuation des gaz brûlés, sont la principale cause d’intoxication tout comme le manque d’aération. Il est donc extrêmement important de s’assurer d’avoir une bonne ventilation. état civil Du 15 NOVEMbre au 15 décEMbre NAISSANCES BERREHOUMA Abdallah – BOULASMA Adam – LAOUEDJ Adam – ASSOUMANI Adam – DIENG – Adama – CISSÉ Adhan – JACOPIN Alex – REMACLE BIRONPAUMARD – Alexandre – SI MEHAND Amar – PAYET Amy – AÏDARA Anas – GUEYE Anna – HERAÏZ Assya – ZARBAN Assïa – COLONGES Axel – ANAJJAR Ayoub – ISRAILOV Aïcha – SEGUENI Bilel – EL KARKOURI Camil – BOURGEOIS FOGGEA Cédwina – RIGARD Eliana – TARLET AMELIE Eneylia – RAGHOONAUT Estéban – SOUSA VIERA E SILVA Eynaël – OUSSAR Firdaws – CITADELLE MENDER Gabriel – RIRI Hicham – ANAJJAR Houdeyfa – GAYE Idrissa – JAOUAD Imran – KENTOUR Inaya – AABOUDA Isaac – SIFESSALAM Isaac – MANTION Isma’il – HASKI Jade – ROUARD Jason – COULOMBEIX Jeanne – FADELI GUISTHAU Jilân – PROMSODA MALAHEL Julie – ROULETTE Julien – IBRAHIMI Kaîs – ROUARD Killian – BASSOT Layal – DEBAHI AOUKLI Lina – LACAVALERIE Léna – MALLEM Maryam – RICHARD SILVA Matéo – CISSÉ Maïmouna – EDMONDSON LESTOCLET Milo – GHARMAOUI Mohamed – TOURE Moussa – LAHMIDI Naïm – ZITOUNI Nedjma – BOUAZZA Noor - AMON BIERMANN Pearly – BARKA Ritej – OUALACH Salwa – ARJDAL Sara – CHARID Sara – AGHLA Sarah – GHORZI Sarah – ANNE Tessa – BOUSSAHA Yacoub – DAHOQI Yanis – YANG Yvon. MARIAGES BOUKADA Abdel’Alim et AHMADI Houda – EL MASSOUDI Mounir et YAHIAOUI Nadia – HAMMAMI Mohamed et MEKKAOUI Samira – LABIDI Bilel et MELOUKI Kaouther – LECLERC Patrice et DUPONT Angélique – MAGASSOUBA Moussa et KEÏTA Fatoumata – MANÉ Alyou et SAKHEY Youssera – PELTIER Didier et ARRANZ Delphine. DÉCÈS CADOT Simone – CAUCAL Léa – CHEVALIER Odette – CROUZET Lucette – GUILLIRE Jacques – JAUSON Georges – KOCH Erika – ROUCHAKI Pierrette Fabien Antranik janvier 2013 k 45 www.ville-gennevilliers.fr Demandes de pièces d'état civil en ligne Acte de naissance, acte de mariage, acte de décès peuvent être demandés via un formulaire transmis au service des affaires civiles. Le service de l'état civil de la mairie ne peut fournir des actes d'état civil seulement si ces derniers ont été établis dans la ville. d En un clic à partir la Une dans Accès direct En bref, M. le Maire Dans cette émission vidéo de 8 minutes tournée dans les conditions du direct, le Maire répond à des questions sur l’actualité locale que se posent les habitants. Tous les 15 jours, des nouveaux sujets sont au sommaire de l’émission. d Rendez-vous dans la rubrique GTV, La télé locale Plus de 18 000 photos à découvrir dans la photothèque L’inauguration du tramway, le cross de l’EMS, la foire aux vins, le marché de Noël, retrouvez en ligne tous les reportages photos des événements. d Accès dans photothèque « Ville de Gennevilliers », l’application mobile L’application peut être téléchargée gratuitement sur l'App-store ou Google Play. Actualités, programme du cinéma, menus scolaires Elle donne accès à des services et permet de trouver des informations utiles directement sur votre smartphone. d Rendez-vous dans l’actualité « Application smartphone » Abonnez-vous à la lettre d’information Tous les mois, vous pouvez recevoir directement dans votre boîte mail une liste des événements à venir sur Gennevilliers, les derniers reportages photos et vidéo à consulter en ligne. Pour cela, il suffit de saisir votre adresse électronique dans le formulaire d’abonnement. Les agents de QUartiers Sept agents de développement social et culturel relaient les informations auprès des habitants. Agnettes-Chevrins - Fossé-DE-l’aumône > Agnettes 1, rue Julien-Mocquard, Alexis Haouadeg, 01 40 85 48 50 ou 06 12 23 17 20. > Chevrins Bahia Mazri, 01 40 85 48 52 ou 06 34 46 38 87. > Fossé-de-l’Aumône Place Jules-Guesde, Elise Courtas, 01 41 21 04 94 ou 06 21 11 27 48. Grésillons - Chandon-Brenu-Sévines Chef de projet : Géraldine Fauvel 01 40 85 60 41. > Grésillons 30-40, rue F.-Kovac, Laïla Melaz, 01 40 85 60 40 ou 06 23 16 52 22. > Chandon-Brenu-Sévines 13-15, rue Emile-Zola, Leticia Zavala, 01 40 85 48 69 ou 06 29 14 80 56. Luth-Village Chef de projet : Sébastien Manier, 01 40 85 49 20. > Luth 7, avenue du Luth. Isabelle Nadal, 01 40 85 49 20 ou 06 12 23 15 06. > Village 2, rue Jean-Moulin, Malek Ghanem, 01 40 85 60 79 ou 06 18 66 38 22. d En un clic à partir la Une dans « Tenez-vous informé ! » L’information locale à portée de main Pour iPhone Disponible aussi pour androïd 46 k janvier 2013 L'application Gennevilliers sur votre smartphone. Annonce195x125 ADB SmartPhone.indd 1 30/11/12 11:40 mairie de gennevilliers les Pharmacies de garde 01 40 85 66 66 les services de santé Centres municipaux de santé 3, rue de la Paix 80, avenue Chandon Dimanche 6 janvier d ABIDI 12, avenue Lénine. Centre de planification et d’éducation familiale Dimanche 13 janvier d 66, rue Pierre-Timbaud Ndika 69, avenue Jean-Moulin 92390 Villeneuve-la-Garenne. Espace santé-jeunes 66, rue Pierre-Timbaud Dimanche 20 janvier 01 40 85 66 50 01 40 85 48 20 01 40 85 66 83 Permis de construire (15e étage) 01 40 85 63 84 Centres de loisirs maternels (7e étage) 01 40 85 64 47 01 40 85 48 20 Dimanche 27 janvier Consultation médico psychologique 01 41 47 94 80 Vie libre 06 75 99 67 15 Drogues info service 0800 23 13 13 Centre Magellan (cure ambulatoire en alcoologie) Aide au logement (5e étage) 01 40 85 62 76 Vacances 4-17 ans (7e étage) 01 40 85 65 46 Centre de dépistage anonyme et gratuit Rajabaly 45, avenue du Ponant 92390 Villeneuve-la-Garenne. Naissances, mariages, décès (affaires civiles) 01 40 85 63 80 01 40 85 67 62 Boubia 4 rue Chevreul. d Passeport, carte d’identité (affaires civiles, rez de chaussée) 01 40 85 60 90 Centres de loisirs primaires (7e étage) 01 40 85 65 37 CDAG d numéros utiles 01 41 21 05 63 Sequanaciat Club « 11-14 » (8e étage) 01 40 85 65 58 Jeunesse (8e étage) 01 40 85 65 59 Conseil local de la jeunesse (parvis mairie) 01 40 85 65 68 01 47 99 97 16 Affaires scolaires (9e étage) 01 40 85 64 25 d’aide à domicile pour personnes âgées) 01 40 85 65 75 Activités sportives (8e étage) 01 40 85 65 70 Hôpital Louis-Mourier 01 47 60 61 62 Hôpital Beaujon 01 40 87 50 00 01 40 85 14 31 Hôpital Max-Fourestier 01 47 69 65 65 Gendarmerie nationale 01 42 42 02 42 Hôpital St-Jean 01 40 80 66 66 SOS médecins 92 01 47 07 77 77 Centre médical Chandon 01 47 98 79 35 (accueil, soins aux toxicomanes) LES Urgences Sapeurs-pompiers 18 Service médical d’urgence 15 Samu social 115 (numéro national gratuit) Commissariat de police SOS 92 (garde et urgences médicales) 01 46 03 77 44 Centre antipoison 01 40 05 48 48 SOS suicide 01 40 50 34 34 Secours adolescents suicidaires 01 44 75 54 54 Allô Enfance maltraitée (24h/24) Écoute Enfance 92 119 (8h30/23h) 0800 00 92 92 Urgences dentaires 01 47 78 78 34 Femmes victimes de violences 92 (de 9h30 à 17h30) 01 47 91 48 44 Violences conjugales femmes info services (de 7h30 à 23h30) 39 19 EDF (urgence/dépannage) 0810 33 30 92 GDF (urgence/dépannage) 0800 47 33 33 SOS vétérinaires 01 47 45 51 00 Vétérinaires à domicile 01 47 46 09 09 (24h/24) Fichier canin (identification) 01 49 37 54 54 SPA 01 47 98 57 40 Siadpa (Service infirmier Impôts des entreprises (3e étage) Action sociale autonomie (rez-de-chaussée) 01 40 85 65 97 Coordination gérontologique 01 40 85 68 68 Quotient familial, inscriptions scolaires (démarcherie) 01 40 85 62 52 Les impôts Centre des finances publiques et trésorerie principale (1e étage) Action sociale (rez-de-chaussée, CCAS) 01 40 85 65 96 01 40 85 43 00 Vaccinations gratuites 01 40 85 66 97 01 40 85 43 00 Maison des sportifs 01 41 21 22 60 Pôle emploi 01 41 47 22 40 Les Marchés Plie 01 40 85 66 04 Une centaine de commerçants à votre service, cinq fois par semaine, de 8 h à 13 h. Boutique Club emploi 01 40 85 67 80 aux Grésillons 39, avenue des Grésillons, > mercredis et samedis. au Village 62, rue Pierre-Timbaud. mardis, vendredis et dimanches. > au mini-marché du Luth parking du centre commercial, > l undis et jeudis de 15 h à 19 h. Mission locale 01 41 21 40 20 Circonscription vie sociale assistantes sociales 01 41 21 14 50 Maison du tourisme Otsi 01 40 85 48 11 OML 01 40 85 48 12 Déchèterie 93, rue des Cabœufs 01 46 17 01 60 janvier 2013 k 47 Les groupes du conseil municipal s’expriment… Groupe communiste, alternative citoyenne, républicain et parti de gauche 48 k Élus socialistes et républicains Europe écologie - Les Verts 2013, en avant pour nos enfants Reconnaissance de l’État palestinien à l’ONU : Enfin ! À partir du 1 er janvier 2013, les crèches départementales situées à Gennevilliers passent en gestion municipale. Cela concerne six crèches cold Patrice lectives et une crèche Leclerc familiale. La droite départementale a décidé de se décharger sur les villes de sa responsabilité directe dans l’accueil de la petite enfance. Elle n’a cessé, depuis de nombreuses années, de désengager le Conseil général de la gestion des crèches, en ne remplaçant pas les personnels, en diminuant le nombre de places, en transférant les structures existantes aux villes et en favorisant l’ouverture de nouvelles structures privées. La municipalité a donc dû prendre ses responsabilités pour défendre la qualité du service public. Le coût engendré par un tel transfert est considérable pour la Ville. Des travaux de rénovation seront nécessaires dans des établissements dont l’entretien était médiocre. Favoriser l’épanouissement des tout-petits est l’une des tâches les plus gratifiantes pour une ville et lourde de responsabilités. Nous le ferons avec passion. Il s’agit de garantir de bonnes qualités d’accueil, éducatives pour vos enfants et de travail pour le personnel de ces établissements. Un nouveau service municipal se crée pour assumer cette mission dans le cadre d’un service public répondant aux besoins de tous. Cela se fera sans impact financier pour les familles. En 2013, nous ferons donc plus et mieux pour les parents et les enfants, avec aussi la reconstruction de la crèche du Luth, la construction d’une crèche à l’emplacement de l’écoquartier et une autre sur Anatole-France. Avec les élus communistes et citoyens et le Front de gauche, je vous présente tous mes vœux pour la nouvelle année. http://www.patrice-leclerc.org/ Lors de notre dernier conseil municipal, le groupe socialiste a voté le vœu qui demande que le gouvernement se dJ acques prononce sur la reconBriffault naissance de la Palestine à l’ONU. Ce vœu trouve sa justification du fait d’une histoire déjà trop longue d’une situation de guerre sur un territoire équivalent à trois départements français. Il nous faut rappeler un extrait du discours prononcé il y a 30 ans par François Mitterrand à la Knesset en 1982 : « Pourquoi ai-je souhaité que les habitants arabes de Cisjordanie et de Gaza disposent d’une patrie ? Parce qu’on ne peut demander à quiconque de renoncer à son identité ni répondre à sa place à la question posée. » Il appuya son propos par le recours incessant au dialogue : « Le dialogue suppose que chaque partie puisse aller jusqu’au bout de son droit ce qui, pour les Palestiniens comme pour les autres, peut le moment venu signifier un État. » Donc, lorsque François Hollande s’engagea à reconnaître l’État palestinien durant sa campagne présidentielle, il reprit le chemin de la cohérence qui est, aujourd’hui, confirmé par le vote de la France à l’ONU. Mais nous devons faire le constat que la situation actuelle est une impasse et, comme F. Mitterrand à son époque, nous pensons qu’il faut restaurer une négociation devant déboucher sur la coexistence de deux États, dont chacun sait que c’est la seule solution pour avoir une paix juste et durable en Palestine. Enfin ! Après plus de dix ans de débats, de combats, c’est l’aboutissement : le droit au mariage pour tous. En 2004, Noël Mamère, maire EELV de Bègles, célèbre le mariage de deux d Anne hommes, déclenche une Adouche polémique, fait rebondir le débat qui aboutit maintenant à ce projet de loi du mariage pour tous. Les écologistes ont toujours été à la pointe dans ce combat pour l’égalité des droits, sortir de la « tolérance », du bricolage législatif, de la discrimination, leurs propositions de loi déposées en 2002, 2004, 2008 en attestent. Le Pacs, simple contrat privé, est déjà ouvert à tous comme le concubinage. La possibilité du cadre du mariage offre d’autres devoirs, d’autres droits, renforce les liens dans le couple, y introduit les règles du divorce. Ainsi tous les couples pourront librement choisir entre plusieurs statuts pour structurer leur projet, organiser leur vie commune. Ce projet de loi traite par ailleurs de la liberté de l’adoption, aujourd’hui réservée aux couples mariés et aux célibataires, elle s’ouvrira à toutes les formes de couples quels que soient leur vécu et leur sexualité. L’homoparentalité est une réalité qui concerne un nombre important de familles, d’enfants, qu’il convient de protéger. Chaque conjoint pourra enfin être reconnu légalement comme parent des enfants du couple. La société et les familles ont besoin d’être structurées et soutenues, ces projets de loi contribuent à cette nécessité. Le mariage protège le plus faible, cette possibilité de l’adoption protégera les enfants. Ces droits nouveaux, ces mêmes devoirs, n’enlèvent ni n’imposent rien à personne, ils visent à assurer l’égalité entre toutes formes de couples dans une société qui continue sa marche vers le progrès social. Les écologistes inquiets des pressions sectaires sont aux côtés des citoyens épris de liberté qui soutiennent en conscience et concrètement ces mesures de justice et d’égalité. janvier 2013 Les contributions publiées dans ces pages n’engagent pas la rédaction de Gennevilliers Magazine Union des Gennevillois Gennevilliers pour tous Rassemblement pour Gennevilliers , UMP L’aide aux plus démunis en danger Bonne santé ! Un pas en avant, trois pas en arrière Il y a vingt-cinq ans, la Commission européenne, mettait en place le Programme européen d’aide aux plus démunis (PEAD). A l'époque, il s’agit d’utilidP atrick ser les surplus de la PoliThéret tique agricole commune (PAC) pour distribuer des repas aux plus pauvres. Aujourd’hui, le PEAD profite à 18 millions de personnes dans 20 pays de l’UE. La France fait partie des bénéficiaires. Sur les 480 millions d’euros dotant le PEAD l’an dernier, 72 millions ont été redistribués dans l’Hexagone, soit environ 130 millions de repas. Selon les quatre associations caritatives agréées pour recevoir l’aide européenne, cela représente un tiers des denrées alimentaires distribuées chaque année dans le pays. Mais cette aide essentielle est en danger. En effet, à la demande de l’Allemagne, entre autre, qui ne veut plus financer ce PEAD, l’Europe a accepté de renouveler ce plan pour 2013, mais à condition que ce programme soit réduit voire supprimé à partir de 2014. Car au-delà de la simple question de l’utilisation des fonds agricoles, c’est une remise en cause plus globale du système que portent les pays réfractaires. Ils estiment que l’aide alimentaire aux plus démunis est de la responsabilité de chaque état membre. Si les associations sont temporairement soulagées pour 2013, elles sont plus qu’inquiètes pour l’avenir. La demande augmente d’année en année et les pauvres ayant recours à cette aide sont de plus en plus nombreux, en France et dans de nombreux pays européens. Les négociations au niveau européen pour sauver le PEAD sont en cours mais comme le dit très justement le président des Restos du cœur : «On ne peut pas invoquer le devoir de solidarité européenne dès qu’il s’agit de sauver les banques, mais l’oublier quand il faut aider les plus pauvres.» Ces bons vœux vous les avez dits et entendus pour ce nouvel an. Pourtant, dans notre riche pays, une personne sur trois a renoncé à des soins pour raisons financières. Pourtant, le d I sabelle gouvernement prévoit 2,4 Guichard milliards d’euros d’économies supplémentaires sur les dépenses de santé en 2013. Pour les soins courants, le remboursement moyen de la Sécu n’est plus que de 55 %. Et l’austérité imposée aura pour conséquence un tour de vis supplémentaire sur le budget des hôpitaux déjà dramatiquement frappés par les restructurations, fermetures de services, suppressions d’effectifs, aggravation des conditions de travail des soignants. Notre département en est un triste exemple. À Clamart, en novembre, des patients de l’hôpital Béclère étaient envoyés dans le 94 ou dans le nord de Paris : les appareils nécessaires aux examens d’endoscopie étaient « tous cassés ou en panne ; on se bat aussi pour trouver des tensiomètres, des thermomètres. » À Nanterre, l’Agence régionale de santé a décidé de supprimer, à l’hôpital Max-Fourestier, les services chirurgie, réanimation et urgences de nuit. Des services vitaux pour les patients, mais aussi pour le budget puisqu’on y pratique les actes qui rapportent le plus. Sans chirurgie, sans réanimation, bientôt plus de cardiologie, de pneumologie et… de maternité ? Et que deviendra l’hôpital Louis-Mourier de Colombes où ces activités doivent être transférées ? Déjà surchargé, dans quelles conditions seront accueillis des milliers de patients supplémentaires ? Toute la région parisienne est ainsi touchée par des regroupements d’hôpitaux, et donc des fermetures de services : la santé n’est plus un droit, les hôpitaux doivent être rentables, les assurances et les cliniques privées doivent pouvoir accumuler des bénéfices… et les patients font de longs trajets pour (peut-être) se faire soigner après une longue attente. [email protected] Des manifestations sont prévues en janvier pour l’hôpital de Nanterre. La circulaire sur la régularisation des sans-papiers présentée le 28 novembre 2012 par Manuel Valls au Conseil des ministres, signe la fin de l’illusion de la fermeté d Jacqueline qu’essayait d’entretenir le Marichez- ministre de l’Intérieur depuis Clero sa nomination. Aujourd’hui, la brebis égarée a définitivement rejoint les rangs du laxisme. Monsieur Valls perd les pédales et par la même occasion, perd pied. Le ministre de l’Intérieur, apôtre de la sécurité socialiste, devant les chiffres de la délinquance diffusés le 13 novembre 2012, fait une pirouette qui pourrait s’apparenter à un déni de responsabilité de son ministère et voulant ainsi nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué Monsieur Valls, la droite n’est plus au pouvoir et c’est donc bien vous qui, aujourd’hui, grâce à votre complice Madame Taubira, ministre de la Justice, garde des Sceaux, êtes à l’origine de cette hausse. Il vous est donc impossible de rejeter la faute sur vos prédécesseurs. Pour un peu, les Français pourraient penser que vous n’êtes pas à la hauteur. Combien de temps encore, la gauche se réfugiera-t-elle derrière la politique précédemment menée par la droite pour dissimuler son incompétence à gouverner et ainsi masquer une évidente mascarade et une belle supercherie quant à la réelle capacité à prendre les bonnes décisions dans l’intérêt des Français et de la nation. Nous sommes dans l’incohérence et l’incompréhension la plus totale, et il va nous falloir beaucoup de courage et être patient car ce quinquennat sera long et douloureux. Vos élus UMP vous présentent leurs meilleurs vœux pour 2013 ainsi qu’à vos familles et à vos proches. Gennevilliers A Venir. 1, place du Docteur-Roux Permanence les lundis, mercredis et vendredis, de 15 heures à 19 heures ; le samedi, de 10 heures à 12 heures sur rendez-vous. Tél. 09 51 21 01 42 ; [email protected] janvier 2013 k 49 Jacques Bourgoin Les Conseillers municipaux délégués Maire de Gennevilliers, d Conseiller général des Hauts-de-Seine Tél. 01 40 85 62 23 Roland Muzeau 1er adjoint Arielle Vermillet-Parry 2e adjointe d Urbanisme et aménagement, d Vie démocratique et citoyenne, Marc Hourson Martine Monsel 3e adjoint 4e adjointe d Président de l’Office public de d Logement, résorption Mohamed Bellouch Latifa Meya 5e adjoint 6e adjointe d Solidarité, action sociale, d Droits des femmes, prévention Olivier Mériot Sandrine Hertig action foncière, développement économique, communication. Tél. 01 40 85 62 30 l’Habitat, vie associative, tourisme, commerces, fêtes et cérémonies, marchés aux comestibles, anciens combattants. Tél. 01 40 85 62 33 associations caritatives, quotient familial, coopération internationale et jumelage. Tél. 01 40 85 62 35 lutte contre les discriminations, politiques de l’insertion et de l’emploi, prévention-sécurité, restauration municipale. Tél. 01 40 85 62 31 habitat insalubre, lutte contre les expulsions, Grand projet de ville du Luth et des Grésillons. Tél. 01 40 85 62 37 et promotion de la santé, crèches, haltes-garderies, relais assistantes maternelles. Tél. 01 40 85 62 33 7e adjoint 8e adjointe d Finances et budget, personnel d Culture et développement Richard Merra Yasmina Attaf communal et moyens des services, affaires civiles et générales, propriétés communales extérieures, élections. Tél. 01 40 85 62 32 culturel. Tél. 01 40 85 62 35 9e adjoint 10e adjointe d Enseignement maternel, d Enfance, préadolescence, centres élémentaire, secondaire et supérieur, service public communal dans les écoles maternelles et élémentaires. Tél. 01 40 85 62 33 Abdelhakim Sari 11e adjoint d Sports, associations sportives et école municipale des sports. Tél. 01 40 85 62 31 de loisirs maternels et primaires, centres de vacances, interclasse. Tél. 01 40 85 62 31 Muriel Goudou 12e adjointe d Espaces verts, développement durable, environnement, transport et circulation, infrastructures et bâtiments communaux, voirie-assainissement. Tél. 01 40 85 62 32 d P atrick Théret. Patrimoine, mémoire de la ville et de la population d J acqueline Fleuret. Présidente d’Agir d Z ine Boukriche. Président de la Mission locale. Les Élus référents des quartiers et co-présidents du bureau des conseils de quartier d L aurent Noël. Chevrins d M artine Monsel. Luth d Y asmina Attaf. Agnettes d M uriel Goudou. Grésillons d C arole Lafon. Village d Y vette Ouchikh. Chandon - Brenu - Sévines Jacques Bourgoin Patrice Leclerc d Canton nord Tél. 01 40 85 62 23 d Canton sud Tél. 01 40 85 62 18 janvier 2013 Conseillers municipaux aux responsabilités spécifiques d J oëlle Mutis. Fossé-de-l’Aumône les conseillers généraux 50 k d A nissa Ben Lahcene. Préadolescence. d Z ine Boukriche. Jeunesse d J oëlle Mutis. Retraités, coordination gérontologique, activités intergénérationnelles. d Laurent Noël. d J acques Briffault. Sécurité publique liée aux installations classées. d J ean-François Burgos. Charte Ville-Handicap, démocratisation de l’accès au numérique et au développement du très haut débit. d A nne-Laure Perez. Conseil consultatif des services publics. www.patrice-leclerc.org Pour écrire aux élus par courrier électronique, taper en minuscules et sans espace pré[email protected] En bref Monsieur Le Maire Du tac au tac et sans détour le maire répond Interview du maire tous les 15 jours sur www.ville-gennevilliers.fr
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