Dossier de presse (1,8 M.o. )
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Dossier de presse (1,8 M.o. )
EN QUOI FAISONS-NOUS COMPAGNIE AVEC LE MENHIR DANS LES LANDES ? texte et mise en scène Marielle Pinsard 13 nov. > 5 déc. 2014 dossier de presse contacts presse Patricia Lopez 06 11 36 16 03 - [email protected] David Sultan 01 40 31 20 58 - 06 30 99 38 56 - [email protected] Le TARMAC 159 avenue Gambetta - 75020 Paris réservation 01 43 64 80 80 www.letarmac.fr GÉNÉRIQUE durée du spectacle 1h40 texte et mise en scène Marielle Pinsard avec Judicaël Avaligbe, Koraline de Baere, Julie Cloux, Edoxi Gnoula, Piera Honegger, Albert Hounga, Guy E. Kponhento, Valerio Scamuffa, Sally Sly création sonore Ivan Verda création lumière Christophe Glanzmann scénographie et création lumière Sallahdyn Khatir accessoires et construction décor Denis Faure masques Isabelle Fournier, Yocouba Kone costumes Irène Schlatter, Severine Besson administration Cristina Martinoni Coproduction Théâtre Arsenic (Lausanne), Théâtre Kléber-Méleau (Lausanne), Zürcher Theater Spektakel (Zürich), La Bâtie – Festival de Genève, Saint-Gervais Le Théâtre (Genève), Pour-cent culturel Migros, Cie Marielle Pinsard. Avec le soutien de Canton de Vaud, Ville de Lausanne, Loterie Romande, Pro Helvetia – Fondation suisse pour la culture, Bureau de Coopération Suisse Bénin, Corodis, Fondation Ernst Göhner et Société Suisse des Auteurs. AU TARMAC du 13 novembre au 5 décembre 2014 mardi, mercredi, vendredi 20h jeudi 14h30 & 20h (sauf le jeudi 13/11, uniquement à 20h) samedi 16h et aussi... Théâtre de Vidy – Lausanne (4-7 novembre 2014) CONTACTS PRESSE Patricia Lopez 06 11 36 16 03 - [email protected] David Sultan 01 40 31 20 58 - 06 30 99 38 56 - [email protected] Le TARMAC - La scène internationale francophone 159 avenue Gambetta - 75020 Paris / www.letarmac.fr réservation 01 43 64 80 80 En quoi faisons-nous compagnie ? En quoi faisons-nous compagnie avec le grille-pain ou la Rue du Bac à Paris ? En quoi faisons-nous compagnie avec des Africains d’Afrique du Sud et d’Afrique de l’Ouest, sur les scènes suisses ou européennes ? En quoi faisons-nous tous compagnie avec, par exemple, le Menhir dans les landes… ? Heidegger établit la différence entre l’homme et l’animal en déclarant ce dernier pauvre en monde. Eh bien moi je dis : à voir ! « En quoi faisons-nous compagnie ? » est en relation étroite avec notre part d’animalité. Marielle Pinsard RÉSUMÉ « En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? » C’est une bonne question et, il faut bien le reconnaître, peu d’entre nous se l’était posée avant d’y être encouragés par Marielle Pinsard… Dans son spectacle, il est, de prime abord, peu question des landes et des menhirs mais beaucoup de l’homme et de la bête. Un thème sur lequel l’artiste suisse est allée interroger ses homologues au Burkina Faso, au Bénin, au Mozambique et en Afrique du Sud. Elle en est revenue avec des images qu’elle a entrechoquées, enlacées… Mickey et le vaudou, la Belle et la Bible, les métamorphoses, le dédoublement des corps, le faux et l’usage du faux, l’exotisme affiché, revendiqué. 14 contes dans lesquels la Belle est nue, en robe rose de princesse, en lumière ou en fleurs et elle s’appelle Belle « parce qu’elle est belle » tandis que le cheval s’appelle Philippe… 14 contes dans lesquels on joue au golf avec une pomme (Guillaume Tell oblige), on devine sur le sable, on offre des tee-shirts aux couleurs de la Suisse. On est en transe en écoutant Céline Dion. Des touristes, sac au dos, s’en vont découvrir l’Afrique… authentique, avec danse forcément tribale et masques animaliers ! En armure ou en chapeau tyrolien et culotte de peau (de bête), en princesse à hennin ou en prédicateur, Blancs ou Noirs, sommes-nous « tous semblables » ou plutôt « tous singuliers » ? En quoi faisons-nous compagnie avec l’animal qui sommeille (ou pas !) au fond de nous ? RENCONTRE journée Ils sont fous ces Suisses ?! - samedi 15 novembre 2014 À l’occasion du spectacle En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? de Marielle Pinsard, nous vous invitons à plonger, le temps d’une journée, dans l’univers déjanté, décalé et fou de certains créateurs suisses. programme détaillé à retrouver sur : www.letarmac.fr GENÈSE DU PROJET Après plusieurs projets et spectacles gravitant autour de l’axe-postulat « nous autres, les biens-lotis », qu’elle a abordé tant par ses propres textes que par l’entremise d’Andromaque de Racine, Marielle Pinsard s’est orientée vers un nouveau terrain d’investigation : « l’Homme et la bête ». Thématique titanesque s’il en est, la relation qui nous lie ou nous oppose à la bête, à l’Autre, a de tous temps été mise en question, en jeu – de miroir déformant –, dans d’innombrables disciplines : philosophie, ethnologie, anthropologie, littérature, histoire de l’art… La recherche a débuté en 2009, lorsque l’auteure et metteure en scène a mené une première exploration du sujet « l’Homme et la bête » avec sept comédien-ne-s suisses. De ce travail est né Assis et carnivore, joué à Lausanne et à Genève en janvier 2010. La dramaturgie de ce spectacle se focalisait sur la capacité unique et propre à l’être humain de se transformer. Le travail de jeu et d’écriture du texte s’est élaboré à partir d’improvisations, elles-mêmes nées d’une série de conférences données par différent-e-s spécialistes : une généticienne, un historien du Moyen-âge, une neuropsychiatre spécialiste du langage, un chasseur, un physicien anthropologue, un philosophe éthologue et une spécialiste des masques suisses. Par la suite, Marielle Pinsard a étendu ce travail au continent africain, lors d’un périple qui l’a vue résider en Afrique du Sud, au Mozambique, au Bénin et au Burkina Faso. Dans chacun de ces pays, elle a donné plusieurs workshops autour de « l’Homme et la bête ». À travers ces rencontres s’est peu à peu dessinée la future création En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ?, confrontation de différents points de vue, interrogation portant sur nos rapports individuels à l’animal ou à la bête tapie en chacun de nous. En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? réunit finalement sur le plateau cinq artistes suisses et quatre artistes africains retenus parmi ceux rencontrés en Afrique. L’idée est de confronter les perspectives africaines et européennes sur le sujet de « l’Homme et la bête » et de donner corps à un spectacle de synthèse, réverbérant la polyphonie issue des recherches sur notre rapport à l’animalité. ENTRETIEN Comment est né votre spectacle « En quoi faisons-nous compagnie… » ? Quel en a été le point de départ ? J’avais beaucoup travaillé sur mon microcosme, ma vie de bobo. Comment parler du monde en Suisse, avec, quelque part, le cul dans la soie ? Je faisais parler des gens qui pouvaient être moi, sur l’état du monde, la consommation. Puis, un jour je me suis levée et je me suis dit « Tu as fait le tour. Tu as assez ironisé sur tout ça. Tu as quoi au fond de toi-même ? Qu’il y a t-il en toi à part savoir ironiser ? ». Alors je n’ai pas fait de philosophie. J’ai commencé, en 2009, un travail assez physique avec des comédiens suisses sur le thème de « l’Homme et la bête ». Puis, cette même année, on m’a proposé de participer à un concours pour lequel on devait avoir un projet au long cours, hors de la logique de production. Une chance incroyable. Je me suis dit, va donc te confronter à ce monde dont tu parles tant, un verre de blanc à la main depuis ton balcon. J’ai ainsi proposé de prolonger mon travail autour de l’homme, initié avec les suisses, avec des africains qui habitent l’Afrique, afin de voir un peu comment ailleurs on envisage ce thème et comment, par la même occasion, on envisage la vie. C’est ainsi que j’ai passé deux fois trois mois en Afrique du sud, un mois au Mozambique et plusieurs fois un mois au Bénin avec deux incursions plus courtes au Burkina Faso. De vos séjours artistiques dans ces quatre pays africains, quels sont les éléments propres/spécifiques à chacun d’entre eux qui ont trouvé place dans le spectacle ? L’Afrique du Sud n’a rien à voir avec l’Afrique de l’Ouest pour plein de raisons liées notamment à l’histoire des colonisations. J’ai donc vécu deux Afriques. Au final, j’ai travaillé avec des acteurs béninois et burkinabés. Au Bénin, j’ai choisi les « ingrédients » du vodoun et du prédicateur évangéliste et, au Burkina Faso, j’ai choisi dans la culture bobo, une sorte de rituel appelé « parenté à plaisanterie » qui permet de s’insulter, entre autres, à travers les animaux ou de se moquer sans conséquence dans le but d’une décrispation sociale ou afin de savoir si on a des liens familiaux éloignés ou non. J’ai aussi choisi de travailler – selon la pratique des mossis - sur la divination par le sable (tapeurs de sable). J’ai rencontré des personnes formidables partout en Afrique mais pour des raisons de langue et de budget je n’ai pas pu rassembler une équipe qui aurait été un panel plus large de ce grand continent. Le spectacle était-il totalement/partiellement écrit avant les premières approches de mise en scène ? Pas du tout écrit. Chacun m’a justement amené son regard sur l’homme et la bête, son « intime conviction ». Par contre la structure du spectacle, je l’avais décidée dès le départ : il s’agirait d’une succession de tableaux, afin de garder de chacun ce qu’il m’a amené. Pour ne pas être obligée d’inventer une histoire qui mettrait tout le monde ensemble. Car c’est, en fait, une histoire d’individualités. Je ne fais pas un spectacle world où tout le monde s’aime, dans l’utopie de rencontres entre cultures différentes. C’est plutôt un spectacle qui fait naître cette question contenue dans le titre : (mais) en quoi faisons nous compagnie ? Au final, j’ai trouvé un fil conducteur pour mettre ensemble quatorze tableaux. Extraits des propos recueillis par Bernard Magnier Conseiller littéraire du TARMAC Juillet 2014 MARIELLE PINSARD auteure, metteure en scène Née en 1968, Marielle Pinsard fait ses classes de comédienne à l’Ecole d’Art Dramatique de Lausanne de 1989 à 1992. Elle complète sa formation à Berlin et Dessau puis joue sous la direction de plusieurs metteurs en scène suisses. En 2000, elle crée la Compagnie Marielle Pinsard et, sous ce label, écrit des textes qu’elle met elle-même en scène : Comme des couteaux, Les Parieurs, Nous ne tiendrons pas nos promesses, Pyrrhus Hilton. Elle rencontre alors Philippe Macasdar, directeur du Théâtre St-Gervais à Genève, et Sandrine Kuster, directrice de l’Arsenic à Lausanne, puis Hubert Colas, auteur - metteur en scène et scénographe à Marseille. De nombreuses collaborations découlent de ces trois rencontres. En parallèle, elle se produit en tant que « performer » avec des textes conçus pour des occasions particulières et lus par elle-même : Je serai là, Festival In d’Avignon 2004 dans la section 25ème heure, La loi du plus fort, Genève, Lausanne, Catane (Italie), La Chaux-de-Fonds et Berne en 2005. Elle se produit aussi comme conceptrice de « spectacles-events » à caractère sociologique et interdisciplinaire : Genève je me souviens ; Les Chroniques lausannoises avec le musicien Stéphane Blok ; Les Sept Repas du petit-fils du rabbin du Maroc et de la bâtarde de Lausanne avec le chef à domicile Gabriel Serrero ; Blonde unfuckingbelievable Blond avec plus de 150 blondes en France et en Suisse et La Belle Voisine en France et Suisse, également avec, entre autres, les chansonniers Sarcloret et Michel Bühler. Elle gagne une bourse d’étude de l’Etat de Vaud en 2001, puis le Prix vaudois du théâtre en 2004. En janvier 2008, la Compagnie Marielle Pinsard reçoit un contrat de confiance de la Ville de Lausanne pour trois ans. En août 2008, elle est invitée par le « performer » et plasticien Massimo Furlan pour participer au Festival In d’Avignon dans la section qui fait se rencontrer deux mondes artistiques : Sujets à vif. Au cours du printemps 2009, son premier recueil de textes dramaturgiques est publié aux Editions Campiche dans la collection « Théâtre en camPoche » sous le titre Les pauvres sont tous les mêmes et autres pièces. En été de la même année, elle présente Le cou de porc fumé sur lit de choucroute est-il égal à des affaires en bonne santé ? au Festival de la Cité à Lausanne et commence un travail de recherche sur un triptyque autour de « l’Homme et la Bête » qui a vu sa première création, Assis et carnivore, à l’Arsenic à Lausanne et au Théâtre St-Gervais à Genève en janvier 2010. En 2009, la fondation Leenaards lui octroie une bourse pour un projet de recherche et d’écriture qu’elle mènera en Afrique en 2010 et 2011. Ce travail aboutira au spectacle En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? Sa nouvelle création, Les Filles du Roi Lear, une réécriture de la pièce Le Roi Lear de Shakespeare, est programmée au Festival de la Bâtie 2014 puis au Théâtre Arsenic de Lausanne en septembre et octobre 2014. Photo Steve Juncker Marielle Pinsard travaille actuellement sur un nouveau projet, On va tout dallasser Pamela ! qui sera notamment coproduit entre autres par Le TARMAC de Paris, le Festival MASA en Côte d’Ivoire, le Zürcher Theater Spektakel, pour l’été 2015. JUDICAËL AGVALIGBE - COMÉDIEN Judicaël Agvaligbe est né en 1985 à Cotonou. Après une formation en arts dramatiques et mise en scène suivie en 2008, sous la direction de Dine Alougbine à Porto Novo, il a travaillé au théâtre dans des mises en scène de Sophie Aguille, Fidèle Anato, Ignace Yetchenou, Alougbine Dine, Humbert Boko, Jean-Michel Coulon. Depuis 2010, il a tourné dans des films et séries réalisés par Fidèle Anato, Hervé Djossou, Wilfried Houngan. Dès 2011, il a écrit et mis en scène plusieurs spectacles : La revanche de Jésus, La sirène tricolore ainsi qu’un one man show présenté au FIRHO à Ouagadougou. En 2012, il rencontre Marielle Pinsard dans le cadre d’un stage de techniques d’improvisation qu’elle anime à Cotonou. Titulaire d’une Licence d’Etudes Supérieures en Sciences naturelles, obtenue en 2012, il a également enseigné les sciences de la vie et de la terre, la chimie, la physique et la technologie. Il est directeur de l’association Les Ficelles et membre de l’Association Sika Forces + Culture (Sika Théâtre, Sika Dance, Sika Muzik, Ballets Sika) ainsi que du Label MAFI’ART, depuis 2007. KAROLINE DE BAERE - COMÉDIENNE Koraline de Baere, née à Caracas, est de nationalité belge. Après une année passée à Berlin, elle suit les cours Florent à Paris et intègre ensuite la Manufacture-HETSR à Lausanne. Dès sa sortie, elle joue dans la création de Vincent Brayer, Restons ensemble vraiment ensemble. Elle poursuit avec Un après-midi au zoo de Cédric Djedje puis avec la mise en scène d’Aurélien Patouillard On a promis de ne pas vous toucher. En parallèle, Koraline participe à divers courts-métrages et joue dans son premier long, intitulé Ludo de Khourban Kasham Cheneï. Elle travaille par ailleurs sur ses projets personnels de mise en scène photographique et sur la construction d’une salle de création « La cavalerie » qui ouvrira bientôt ses portes en Belgique. JULIE CLOUX - COMÉDIENNE Julie Cloux se forme au Conservatoire d’Art Dramatique de Lausanne, sous la direction d’André Steiger. Depuis plus de quinze ans, elle participe aux projets de nombreux metteur.e.s en scène de la région lémanique dont André Steiger, Maya Bösch, Christian Geffroy-Schlitter, Fabrice Gorgerat, Hervé Loichemol, Anne-Cécile Moser, Anne Bisang, François Gremaud. Elle a collaboré pendant près de dix ans avec Marielle Pinsard. En parallèle, elle entreprend un travail de recherche expérimental et performatif avec la compagnie Mary Read & Erzulie Dantor’s qui regroupe des musiciens et des comédiens romands. EDOXI GNOULA - COMÉDIENNE Née au Burkina Faso en 1986, Edoxi se forme au jeu d’acteur et à l’expression corporelle auprès de Somé Gaétan Félix et Nicolas Apétagbo, ainsi qu’à la manipulation de marionnettes auprès d’Hubert Jegat et Elise Combet. Elle joue dans différents spectacles, en Afrique, en Asie et en Europe, sous la direction de metteurs en scène africains et européens, tels qu’Irène Tassenbedo, Issaka Sawadogo, Henri Jean Drezze, etc. Parallèlement à son travail de comédienne, elle écrit des textes humoristiques qu’elle met en scène ou qu’elle interprète. En 2011, elle gagne le Prix du meilleur humoriste féminin au Festival Ouistiti d’Or. PIERA HONEGGER - COMÉDIENNE Née en 1983 à Lausanne, elle suit, divers cours de danse, avant d’intégrer les cours de théâtre de Gérard Diggelmann, jusqu’à son entrée au Conservatoire d’Art Dramatique de Lausanne en 2000. Depuis, elle a travaillé notamment avec Sylvianne Tille, Marielle Pinsard, la Cie RDH, Simone Audemars, Armand Deladoëy, Denis Maillefer, etc. Elle a joué régulièrement avec Guillaume Béguin et Anna Van Brée. Elle est l’une des membres fondateurs-trices de la cie Eponyme (20062009). Elle a été assistante à la mise en scène du dernier spectacle de la Cie RDH, À l’Ouest de l’homme, créé au Grütli à Genève en 2010, et de François Gremaud pour RE, créé à Nuithonie Fribourg puis repris au Théâtre de VidyLausanne et au Théâtre du Loup à Genève. Elle fonde sa propre compagnie, la compagnie Piera H, et crée, à l’Arsenic, La Mélancolie du genre, en 2012. Prochainement, on pourra la voir dans le nouveau spectacle de YoungSoon Cho Jaquet, Les Animaux , dans la reprise de En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? de Marielle Pinsard, et dans la reprise de Le baiser et la morsure de Guillaume Béguin. ALBERT HOUNGA - COMÉDIEN, PERCUSSIONNISTE, DANSEUR Artiste béninois comédien, percussionniste et danseur, Albert Hounga est spécialiste des danses traditionnelles de son pays. Fin connaisseur des sons particuliers au Bénin, il est engagé régulièrement, depuis plusieurs années, par un groupe de percussions belge et se produit avec eux tant en Afrique qu’en Europe. Il est également très bon improvisateur et sait composer à partir de sujets imposés, en s’appuyant sur des bases de musiques et de danses traditionnelles solidement ancrées et qu’il a longtemps pratiquées. GUY E. KPONHENTO - COMÉDIEN Né en 1981 à Cotonou (Bénin), Guy E. Kponhento est titulaire d’une Licence en linguistique anglaise. Il approche l’art dramatique en 1996 et, faute de formation dans un Conservatoire, suit de nombreux ateliers de formation continue en Arts de la scène. En 2000, il intègre le cercle restreint des professionnels du spectacle béninois où il côtoie certains grands noms comme Théodore Behanzin ou encore Orou Fico. A partir de ce moment, il joue dans plus d’une vingtaine de films et une quinzaine de pièces qui sont présentées dans plusieurs Festivals de théâtre au Bénin, au Burkina Faso, au Tchad, au Togo et en Belgique. VALERIO SCAMUFFA - COMÉDIEN Valerio Scamuffa est né en 1979 à Yverdon-les-bains. Après avoir pratiqué le métier d’opticien, il se tourne vers une carrière artistique et est diplômé de la Haute Ecole de Théâtre de Suisse Romande (HETSR) en 2006. Au théâtre, il a notamment travaillé avec Denis Maillefer, Véronique Raymond et Stéphanie Chuat, Fabrice Huggler, Marielle Pinsard, Oskar Gomez Mata… Ces différentes collaborations l’ont amené à se produire à travers l’Europe : en France, en Italie, en Espagne et au Portugal. Intéressé depuis toujours par la forme performative et la transdisciplinarité entre arts plastiques et arts vivants notamment, Valerio a pu prendre part à différents spectacles et festivals de théâtre contemporain. Également musiciens de formation, il pratique la guitare et le piano. Depuis 2011, il poursuit une recherche artistique avec Julia Perazzini, ainsi que les deux curatrices du Centre d’Art de Neuchâtel (C.A.N.), Marie Léa Zwahlen et Marie Villemin. SALLY SLY - DANSEUR HIP-HOP Sally Sly est quadruple Champion du Monde (spécialité Boogaloo et Popping). Outre ses prouesses techniques reconnues par ses pairs, Sally Sly est repéré par la télévision avec l’aide de ses amis Yamakasi (film de Luc Besson). Vincent Lagaf lui propose de devenir le chorégraphe hip-hop des « Gaffettes » et concepteur de jeu de l’émission « Le Big Dill ». Mais c’est en novembre 2001, en intégrant le château de la Star Academy pour donner un cours de danse hip-hop, que Sally prouve définitivement que cette discipline a réellement sa place dans le Paysage Audiovisuel Français. Il réitère l’expérience de la Star Academy en décembre 2003, en dansant aux côtés de Willy Denzey, invité de l’émission. Parallèlement, Sally travaille sur les chorégraphies d’artistes nationaux et internationaux (Willy Denzey, Shola Ama ou Wayne Wonder...) et a participé à la promotion du premier film de danse français qui a atteint 2 millions d’entrées, Le Défi (TF1 vidéo). Il organise régulièrement des battles, dans lesquelles deux danseurs confrontent leur talent sans jamais s’agresser, encerclés par une foule venue applaudir leur Popping, Waving et Bogaloo, styles hip-hop qui se dansent debout, popularisés par Michael Jackson, par exemple, lors de la Fête de la Danse à Lausanne. IVAN VERDA - CRÉATEUR SON ET MUSIQUE Diplômé de la SAE (School of Audio Engineering, Genève) en 2008, Ivan Verda collabore pour la troisième fois avec Marielle Pinsard, après Assis et Carnivore en 2010, et Retour au Terroir en 2008. Egalement ingénieur du son au club de rock lausannois Le Romandie et au Cinéma Oblò, il collabore, en tant que bassiste et guitariste, à plusieurs projets musicaux, tels que Tokage, Purul et Scillia Lorage. Passionné de cinéma et grand voyageur, Ivan Verda multiplie les expériences, en se mettant toujours au service d’une vision plurielle, ouverte et dynamique des arts de la scène. Photo Mario Del Curto Photo Mario Del Curto LA COMPAGNIE MARIELLE PINSARD La Compagnie Marielle Pinsard a été fondée à Lausanne en 2000 pour produire le travail artistique de Marielle Pinsard, auteure et metteure en scène formée à l’Ecole d’Art Dramatique de Lausanne. Au cours de ces treize dernières années, elle a présenté de nombreux spectacles, performances, ateliers-spectacles, mises en espace et lectures-performances qui lui ont permis de se constituer un public fidèle. MISES EN SCÈNE 2013 Nous qui sommes parti(e)s puis revenu(e)s : Comment ramener un noir / Las mananitas ou les bains Kneipp du soir / Festival Colonialisme et société marchande (II) – Théâtre 2.21 - Lausanne 2012 En quoi faisons-nous compagnie avec le Menhir dans les landes ? / Théâtre 2011 On est tous des Bonobos - Stage pour comédiens professionnels / Théâtre Kléber-Méleau - Lausanne ; Zürcher Theater Spektakel – Zürich ; Festival de la Bâtie – Genève ; Fitheb, Bénin St-Gervais – Genève Le dit du Lundi – Cycle de Lectures / Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne 2010 Assis et Carnivore / Arsenic – Lausanne, Théâtre St-Gervais – Genève Les manitas ou les bains Kneipp du soir - Lecture-performance / Arsenic – Lausanne ; Théâtre St-Gervais – Genève Les pauvres sont tous les mêmes ou des chevreuils à vive allure / Festival des Droits de l’homme / Le Bourg – Lausanne Cahiers d’Afrique / Festival Extra, Théâtre St-Gervais – Genève Le Dit du Lundi – Cycle de Lectures / Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne 2009 Le cou de porc fumé sur lit de choucroute est égal à de bonnes affaires / Festival de la Cité – Lausanne Les pauvres sont tous les mêmes ou des chevreuils à vive allure / Journées de Théâtre Contemporain, Arsenic – Lausanne 2008 Nous ne tiendrons pas nos promesses / La Bâtie - Festival – Genève, Arsenic – Lausanne, Oriental – Vevey Chanteur plutôt qu’acteur - projet performatif en collaboration avec Massimo Furlan et Claire de Ribaupierre / Festival IN d’Avignon – Avignon Les pauvres sont tous les mêmes ou des chevreuils à vive allure / Centre Culturel Suisse - Paris ; Le Lieu Unique - Nantes ; Festival de la Plume Noire - Paris 2007 Pyrrhus Hilton / Arsenic – Lausanne ; Théâtre St-Gervais – Genève 2007 Enquête 2006 La loi du plus fort - Lecture-performance / Festival Ouest.Est – Dampfzentrale – Bern ; troublante mais ludique sur la belle voisine - Projet interdisciplinaire / Arsenic – Lausanne ; Maison des arts – Thonon ; Château Rouge – Annemasse ; Théâtre Le Poche – Genève ; Théâtre de l’Elysée – Lyon Festival La plage des six pompes – La Chaux-de-Fonds Scharf wie Messer - Mise en espace / Festival Ouest.Est – Schlachthaus Theater – Bern Pyrrhus - Projet interdisciplinaire / Arsenic – Lausanne 2005 La legge del più forte - Lecture-performance / Zo Centro culture contemporanee – Catane (Italie) Mon Pyrrhus - Atelier-spectacle / Théâtre St-Gervais – Genève Les pauvres sont tous les mêmes ou des chevreuils à vive allure - mise en espace / Festival IN d’Avignon – section Désir d’Auteur – Avignon La loi du plus fort - Lecture-performance / Les Colporteurs - L’Alhambra – Genève Mémoire et projections ou exercice de ne plus voir un tableau / Arsenic – Lausanne Les 7 repas du petit-fils du Rabbin du Maroc et de la bâtarde de Lausanne / Arsenic – Lausanne Ateliers : Jennifer et Andromaque / Arsenic – Lausanne 2004 Je serai là - Invitation à une performance / Festival IN d’Avignon – Avignon Nous ne tiendrons pas nos promesses - Carte blanche d’Hubert Colas, lecture, mise en espace / Scène Nationale de Martigues – Marseille Genève je me souviens / Théâtre St-Gervais – Genève Comme des Couteaux / Théâtre le Poche – Bruxelles 2003 Chroniques lausannoises / Arsenic – Lausanne Comme des Couteaux / Espace Montévideo – Marseille 2002 Blonde Unfuckinbelievable Blond / La Bâtie, Festival – Genève ; La Grange de Dorigny - Lausanne ; Dampfzentrale – Bern ; Théâtre Scène Nationale de Mâcon - Mâcon Les Parieurs / La Grange de Dorigny – Lausanne ; Théâtre St-Gervais – Genève Comme des Couteaux / Théâtre Scène Nationale de Mâcon - Mâcon 2001 Comme des Couteaux / La Grange de Dorigny – Lausanne ; Théâtre St-Gervais – Genève TEXTES DE MARIELLE PINSARD Les Filles du Roi Lear (2012), Comment ramener un noir ? (2010), Les manitas ou les bains Kneipp du soir (2009), Mère Teresa le faisait aussi pour elle (2007), Pyrrhus Hilton (2006), La loi du plus fort (2005), Les pauvres sont tous les mêmes ou des Chevreuils à vive allure (2005), Je serai là (2004), Nous ne tiendrons pas nos promesses (2004), Construis ta Jeep (2003), Les Parieurs (2002) Comme des Couteaux (2001), La Truite (2000), Tu sens le Bruit des Fleurs ? (1998), Poursuite (1996) SAISON 14 / 15 du 14 au 18 octobre 2014 du 11 au 14 mars 2015 conception et chorégraphie Salia Sanou conception, mise en scène, interprétation Sawsan Bou Khaled CLAMEUR DES ARÈNES du 13 novembre au 5 décembre 2014 EN QUOI FAISONS-NOUS COMPAGNIE AVEC LE MENHIR DANS LES LANDES ? texte et mise en scène Marielle Pinsard 12 et 13 décembre 2014 ALICE du 11 au 28 mars 2015 TRUTH BOX conception, texte, direction des acteurs Meriam Bousselmi MIGRANTS du 18 au 21 mars 2015 du 14 au 17 janvier 2015 conception, chorégraphie Aicha M’Barek, Hafiz Dhaou conception et chorégraphie Serge Aimé Coulibaly du 25 au 28 mars 2015 texte et mise en scène Sonia Ristic NUIT BLANCHE À OUAGADOUGOU du 21 au 24 janvier 2015 DEZAFI d’après Les Affres d’un défi de Frankétienne direction et mise en scène Guy Régis Jr du 28 au 31 janvier 2015 ÉCLIPSE TOTALE texte et mise en scène Céline Delbecq du 3 au 7 février 2015 MON VIEUX ET MOI d’après Mon vieux et moi de Pierre Gagnon mise en scène Rachid Akbal, Julien Bouffier du 11 au 14 février 2015 SONY CONGO OU LA CHOUETTE PETITE VIE BIEN OSÉE DE SONY LABOU TANSI texte Bernard Magnier mise en scène Hassane Kassi Kouyaté du 11 au 14 mars 2015 SACRÉ PRINTEMPS ! ZAWAYA. TÉMOIGNAGES DE LA RÉVOLUTION un spectacle de Hassan El Geretly écrit par Shadi Atef du 8 au 11 avril 2015 AKALIKA 7 chorégraphie Olé Khamchanla du 14 au 18 avril 2015 DANS L’ATELIER & BISTOURI conception, mise en scène, scénographie et marionnettes Alain Moreau du 19 au 23 mai 2015 AVENUE ZÉRO une création du Théâtre des Alberts du 28 au 29 mai 2015 LA RUE PRINCESSE chorégraphie, scénographie Massidi Adiatou, Jenny Mezile ON THE IMPORTANCE OF BEING AN ARAB mise en scène, interprétation Ahmed El Attar presse David Sultan - 01 40 31 20 58 / 06 30 99 38 56 - [email protected] 159 avenue Gambetta 75020 - M° St Fargeau - renseignements / réservations 01 43 64 80 80 - www.letarmac.fr 342 479 821 R.C.S. Paris - Licence d’entrepreneur de spectacles 1052228 - 1052085 - 1052086 – 1053875