Document 6423681
Transcription
Document 6423681
ailn-am1Je, 44 Rue BURE ALX ip k t01JLOllsB DRPARTBME,N'PS ftRANDER POLITIQUE ET LITTr.]RAIRIB ,.,.,. A BONNE N HM T S : un en 40 I 6 wons 2l f - 50 - h ara sa pp lémen las " rmv de L es IkWrts. 91 poat e eu a P 4 u, M au n, (FxPr), ov repli In ABUNNnSrxNTS , SIJOLQOSB : Aux Buraaua du tournai, rua Salut-home 44 6 go,r, A,a,. Mutin, (dirent), Natin, I800ree, 8, saule Correspondants, Toutes les réunion de la maJarilé ont convoquées pdur mercredi. Aloéune détienne sera prise à l' e i gara dola convocation de l'Assemblée. gord tan "M 57 M3 93 !i5 S 0/0 libéré 92 52 201/2 95 S 0/6 4.r L.U. 5 Op d.e aort s 5 0/0 ts' mar. 9 0/0 dl, cour. 3 op Ital. 58 S0 4320 ' Banqua Foncier raconte la remise de commandement au rnarécbal Bazaine. Il croit que l'Empe- réai luifat conoutire =I rn mas" men le réchal Bazaine prit le '"' 575 Mob. ISSF 45.o01 a. matin. Smuss o. Fu. 812 50 estésa Nord iiquid. as,, 592 50 726 25 utr .. Autrichien. (emherdr 000 .. l'Empereur était de fat,, deux armées nus le co mandmnnt de MM. Ilazaine et do MacMahou. 0 89 L77 us 50 Sur des 9 Lestions d u pr ésidmt M. ansée aie Lebceuf dit oe ramiére 181017 50 1002 f28 75 BOURSE DE fOUL0U8E bu 20 Octobre. q la suite de diffirultés, les services (.'art divisée ; Ni. Buzame fat en effet 3' .i 4' nmandael le., mé { Au Caaxmanx. 57 50 02 9U nU 5 0/0 libéré 5,13 7 Mlar Dnaa07 27I 75-973 Midi 293 75 Ottumaoes (1869) ville de fuulo rse 41/2 0p 1867 407 50 Liqui-pas au 31 .'roses. 57 80 593 75 5 0/0 Midi 300 e. Mub l r Fra'çai, """' TELEGRdPIIIE corp. ppour la panne mil taire seulement M Lebeuf explique 12 a ] 4 'tait g lq es dérisions dans 9 1 s 0/0 Onuoarmua il ira dispositions des corps d'armée 812 50 357 50 355 . Il décrit disaient du maréchal üazaine. 4344) . 810 Mehiioe sonar comme témoin,donne des détails Sur le nombre d'hommesmis sous le comman- 94 et) su 20 plans à suivre : les w s seuolar.nt les l'ogm,nive, d'autres préféraient o fl àlon t lad F M B ré I B e p çc p t f d. y J b d M l bai 1 dl y f - M. R , on ri p le J s e la rire gon tare des La général Lebrua, sien d témo-, le rapporte que l'emper i,e avait rdua, lu mouvement de retraite sue Verdun. Il ne n'ait pas d de ponte l s 00 e a 8o 2 t0 Saie. Bayou' e ab Soir Montrait 5 A5 San, 20 1 f 9 Mtsu, 11fia, 6 1!) Soir, a0 9 82 Matin, r 40 55 Son, Bai,, S 10 Son, s 8 a7 8 8l e aS e /1 Touloasr. - Typo{rspbls Msasabia. I ll simplementune meaabuvre de nos adveo- taire.. I - / Ct7[dQilpyda MONIQUE P l a d j f dé pol r em me c d retraite de M. Magne. Le T u. d'ordres, le 13 au matin, n'est nullement partie de premier ministère de lleori V. r f fera devant 1 Assemblée ac ue lemen t constitué. pas l'aire nuTau au peogrammrde netea dmmièea réuuion, servalhon à faire. b sont Il otiêcation raiont cnntronvés. Plusieurs air tel 9 u Parba,'il oetabre, 7 h. 10 m. Un document annoncé par le Gigaro Confie àh Thiers, rat une broclmre an fou,or de la monarchie par M. Tliters, publiée n 1831. Ils 9o. t, comme nous, m0vaiacus de la Voir autres dépêches à la 4e page, R,.dundal. Ea peu d'instants, le feuiavait pris une si grande intensité que , malgré les accours des habitants et des sapmis pom- Les pertes totales occasroinéea par ça ont évaluées à la somma de 24,500 fr. envuo., eL sout consoles f u a pr a un n ,ail somment L fat out Dot été onal, faites d roua oe l t mendicité. 4 pouvoir l'auübnor à la -- Dn incendie a éclaté le 13 octobre d ns une grange à l'outrage située au Moulimhauf , prés de Saint-Alby, cam- d u 107 o.. ou ré ire l d l'es éé dBoiére àe Tellousn Ils vié n.entde aÉPRCris, cier rI cbarrehee à Mazamet, rue dit par diverses eompxgnirs. 0antre of fleierset 98 h em mes est il appartenant au sieur Joseph Vidal, épi- si lis[ro - Pour vagaboni g r, qui ont ég lament tout perdu. co me m J Pnæ' LA l' imurLr.RRIR. élec- g la soirée du 12 courant, 1 uée ana époux Iloolés, épiciers aussi, Il st 0,0l,in que le Cabmat se peésen- Leajouruaux publient une lettre de M. Lion Say .drossée à M. Seberer, lit dit r Je reçois de NIM. Max Richard, Lecumus et de Sxlva.dy, u.a adhés!oa complète rappelé pool confronte sa déposition li Dous incendie a réduit en cendres uoe maison piers, il ne fut pas possrblo de l'arrêt r U pente de cette maison étau duc de Magenta. par le Président de la République Le ministre de agrieoblure et du com' ieétoa t de Ou lit dons l'Judeoolriol, de Mazamel Maréchal un MACMo,m: et o t tire, matin. !.s b d Fait /a Versailles, le 18 octobre 1875. t4 Parie Messe air de Parie déclare ue ce bruit, 9 Présent est absolumnt e taos mina point de délicatesse dn ue à mes 'b Alpes). teorn., de l''efCcubon du présent et . dé lpi Don de ma t que celte Au næ par laquelle aura eu Art. 2. - Le ministre de l'agrioalhtte et u mercis, eC le miolulce des fieu t b,e és, chaman n en il S leurs. Paris, 20 octobre , G b. 55 du soir. Plusieurs journua mentionnent le NL Saint (lès (Alexandre-Marie.E...il), percepteur des contributions directe. à Vio B,gane (hautes.Pyrénéen) a été nommé receveur Partielle, dan finance. de l' r o idissement de Castellane (Basse.- taxées à plus de 20 fs, les 100 kilogram- le m'as[ dwtée par mes d a pair,- froments landes s t à l'entrée des m 1 didurutons autérieerra il prévoit que, si la monarchie est pro. clamée, M. Magne se l'ara peu Létre uu ie.. des '1871 1 , La defenae fait ressortir que le bldme jeté par M. Lebruu erre le général n Lel' à l'occasion de prétendue manque. l'importation j mois uécessairrs à es quee la France, g AuTaæ nEeumru douane du la dmeclïon st sssez.bas., l'air pur et relativement froid ; a midi, le thermomètre marque 15'é. en s'etfoctuer qua par les bureaux de la le rappelaaint a être importés par tous latiou des céréales. La récxportalion des farinas le, d que dans l'Assemblée nario . je la ferra dans la 1 Le bureaux de 'éeapollution deroof être des p ts 000e réel ou des bu reaux de douane dane Doue t t u et f I , gé o. dado ao-deaaous de beau. Le temps destinée il id Le baromètre est stationnaire nn Peu donne ouverts à l'impor comme je les ai orne" nércssaires en L' souillon des Récentes continuera de- evec sella de to. premier aide-major la général Lebruu, mais il n'y a aucune ob' Les froments étrangers mouwre pc les bureaux aus. est modifié ainsi qu'il suit: le dét'.ndrai les institn lions acluel- mant. de la séance, le maréchal La Beeof, cal na JPIrr midi, 0",7531 - Long. - Décréta : Art. Ils. - L'article 3 du déerel VENTS. 9 h. m. 0m,753 2 - .tag.-ONO faible. destines à la mo. lare, y,20 o t b r 10 h. 35, soir. NI V tr-in h A él, a ,. nié 1, HURES. Lins- -11 DO CIEL. l'adreissien temporaire des blés étrangers visé du 25 août 1861 min. de la mils + 8.3 id. Vu le décret du 25 soit 1861, relatif à p. t Therm. cent. maxim. d'hier r -{- 44'8 tarif d'eotrée de. céréales ; p 1 mmutcs, La séance est suspendue. A I. r prise Vu la loi du 15juin 1861, relative au Aurna næe§car. } Du 20 Octobre. 1831;. n'a obéi qu'à la voix de sa conscleaoe et à 1 intérêt du pays. - La séance est levée à cinq heures 30 juetifé. culture et du commerce, Vu t 'uohicle 5 de la loi du 5 juillet constr0i uirr jours avant le A septembre f d e vestir d1. Bazaine du commandement de l'empe chef, percaline le préaen pereirr était une gène. Il rapports 1 a déaoarcher qu'il fit d e but. La dAlmrse conteste lu d. , iL de d M. de Kéralry O d. I t Extrait des obeervatl11 météorologiques t'artes pis M. 0.40,0. station a l'extrémité Sud de la Grande-Allée. Altitude : 1!8.. Sur le rapport du ministre de l'agri- une note n réponse à la lettre circulairai adressée eus députés da la Seine par 27 conseillers généraux. gt ine f de On nous prie d'annoncer que M. Paul Barbet, l'éminent-piamate compositeur, A{a geler' t Lit la maréchale Duo nue nue plats. Le Président de la République tien. 3 et vient se fixer de nouveau à Toulouse. 4 le.outes. MM. Jarres et Lebruu se bolnérent à étudier minutinusement la carM. de Pleeuc dit qu'il ne recn..tt te de la préfecture. M. Bazaineti Pr oteste qu'il o âvail au à D ers0ava e droi de le mIettre eu detune i men on d e me llrs la géuiral J ar - tueur e de p g ale suva.e ou tel de rase l'écart. j ses elles cotais à l'Assemblée. Il n'a, pas Le général il roé é,és dépose sas la reeplu de mandat impératif.llnesaremanidre dont il lu l'ecdre de l'Em- t coulait pas à loi-mé me lo droit d'aliéner peseur de re le plus de punis son iuJépzndanca. posaible sur la Moselle. IL rappelle la crue 11 sait quel grand honneur il a reçu exhaordinire qui retarda l' 'é t o de d .I- t erR de la sema l.e moment vis. cet ordre. vara compta d-, sou ma u, il le M. de Kéeatry relata la noua que lui dal aval iassurance d'in homme ri ions de M. de Rératry. pivdmsil ua retard fatal yai / parce qu'il n o avait pas ; il aurait {matie. les in transmis immédiatement toutes L marquis de plmuq "pal, de la , Seine, sous gouverneur de la Manque formerions, s il en avait eu. Le général Jarres rouans qû alcane i de France, eummnuique aox journaux reconoaiseavea ne. fut faite pour étudier r gn S2@ Le Joornad de Paria dément formelle- chef d'état major du maréchal Ba aine, propoaeraint la présidence au dued'Aulequelétait par conséquent déjà investi mole. du commandement en chef M. Jarres dit nsuild qu'il ne transmit 1 Lebtvftepm M. Devra, serait nommé aucun rae.eigoement de SI. Bazaine, ministre des travaux publics rat dé- e g é n é ral PuLlcau d(movt Laiees do général ea -hef forera ratiérement iasut6santes. Cependant on avait rt TARIF DES ANNONCES t 0 Ir. 30 a. Annonces, la ligne, 0 Réclames, la ligne, 50 00 1 Fa"ss divev, la ligne, 40 nécessité de maintenir et d'organiser la ; tee. d'Ampouillaa, aurait été tué par république w.sereulrice. république son domestique, et un ouvrier du sonventre gauche agira unanime et la répugnance ce. fonctions auprès de M. mares de Paria du 2Doctobm i singo, Le vol serait le mobile de Bassin.. Il ajoute qu'iI.fut constamment tiüjorité à notre sens Le parait pas dou- Spiritueux 74 » h e, !trima. tenu à l'écart parle maréchal Il cite les teuse. Toutes les affirmations contraires i Les deux assassin, auraient été arsali hasa rdi ea quan d e es ne sont pas fait., appuyant tee asser ons. rêté. et auraient fait des assoit com. aaalaire bruit de la Paris, 20 00100ec, 1 h. 25, lois. Le marlcbal de MaoSlohon recevra au. s S0 neL u ommandemenl en ch f. dit, les prem ères mes ares pripar,- 1 f t quo le pays ait une certitude sili. 85 M. Jules Fa salais Part d t r venlioo dans la nnmrnat oo d dl. Bizai' J) 6ibj9 mUtivemnl aux garantie. des barils, Aura. nieemm 2C te rase u ona la bataille de Bores. Paris , 20.0.b,, , 10h. 45 , malin. are Répondant à nue questimr fade par Dan. un annela do ou, net dan Délais ue cependant MLb la tél Len it que la rI 01, fins due n amère précise ut t d t é 11 4 lare Il d. t tons do.aées leBa 15. par M. r I la te d r u 1. sus ne n'eut Il dmel que M. I! J oli'g le I I tr. au 15 an ma sPu naable allait. yue l'Aaem bleu qui J-11 e t Il ajouta n Pu est touJ oura favorable à la restauraliuu s mo.arehiyue, recouvre an liberté d'an 0,0e, Il s'agit mai0Leaant de 1. écoucdRatiou du pays avec la roynalé afin yue la eécuuciliati.. lait durnble , il 4 a_ 1 fl 40 1 .mplement le temps d',gir depuis le 13 t v josqu an 14 au matin C atle n PRIVES son , 10 onaahs n.nio-asm ment le bruit grée las moearchistes, dans tut le 12 sont agréa midi disigsé pour le cas d'un échec de la monarchie, Le maréchal bebrr;uf, appelé le per- 93 80 9 elaralieu précise que le général Jarres PROCRs ILAZAINE. gg 58 05 57 65 93 72 93 47 M t ,, touchent indirectement, à l'objet des domaedes, In président obtient enfin le dé- Versailles, 20 octobre, G h. de soir. A Ynn. 32 rès plusieurs questions auxquelles AUTRE néeécas 50%0 Idiote S Sooiu, n, s S. plan to ss Men.- W MtMain, 9 le temoio répond par des détails qui Cette convocation parait probable pour 83 na I8 rua, 9 x0 2 30 x 20 Soi r, Soir. tel 2u, eau ara nalsviea r PARIS: 0hea MM, navals. btruIvS es Amvéeao Main, Soir dicri ll w de ti le 27 octobre. 801 Matin Rxp /0 ui nép.ri,r Le général Jarres, chef de l'état major de M. Bazaine, dépose qu'il accepta avec chose. de 20 Octobre. Pte .. Lu 5 9 M Wtiu,(C.m)8 agi 8 jourd'hui, i l'Élysée, le vol et la reine des Belges, ensuite le cardinal de B..ae O O R S R D R PARIS Vaut- dis, x a 6 la 6t s 4 i e. or arcane tu 5so ; x(6o soir Soir,. x Soir, Car.. (Bæpr) S A6 a sel, 6 r. ULzpri. soir, ua«a as uxn. PARIS: oh.. MM. Havas, Lafülo et C., place de 1. env. du lev s .5 n; - M tn Jrreat 7 x3 nain (Agen) 8 té 30 Il Chus M. Havas, rua J. J. Roussnan, 51 ; et Aa Ssnrraar A rri Mat , (drain), 12 h a6 1 Toulouse, 21 Octobre. tas alanoacas son saquas : f0ULOUSü : A s.. s0C5T,TR O*Nitmuj.a a.. exnexarM+ HEURES DES DRPARTS ET UNS ARRIVER, DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS octobre 1873), Arrivge.: ^ê. naine, huant , uass aie rota s,aa. s .oaua n. 3 mnla i1 f 36 Mardi, 21 Octobre 1875. Toulon et vaut par la voie ferrée à goulême. mule d'Aiguefuude , et appartenant à propriétaire ; 15 à 1,800 geriulaux de feutrage lot été cousu. M. Fable, An éa. Les pertes sont évaluées à 20,000 te.. 0. annonce qu un assassinat n été commis, dans la toit de jeudi à vendredi, dans las moirons de Cintegabelle, ill. de la Tombelle, propriétaire du cbS- mana elles sont couvertes par une assu rance. !IR Fo:UIILETON du JOURNAL dis TOULOUSE Da 21 Octobre 1873. Le gesse oe fut pàs fait, le mot ne fut pns prononcé; Ilemiatle demeura pasaiLlc, glacial:.; «ils l'écouta sen léIs h1 lé6 ra érüouo., et lorsrai: p air, elle lui souq t c non oy , n @me le r goder,r ilui dt o e grande révhience, soyez certaine, obère enfant, qoe Jamais e serra escrifiér, et yue votre père neunous imposera cou ire voue gré ni celle anion, ni ..e autre, quelle qu'elle soit, je vous lejura. -dlars enfle, mon ami, coin ment fl. l SI 1.0 CHASSEUR DE RATS f u marna le dos de et .crut il. de l'apparte- ment. Sobnor de la vie créole Cependant, Oa,tcn de Fois- , ue compoeuanl plus rira 'r e qui se pas. sait dans 1 e,pril da !1)1, de la Teemé de Ielo gromeu[ que, blayc, et ta t lié P x et Il ilo t t se ç: ppl ip de I,, 1, h It rt Lad f jl r ii t. n, 1 et, P a9 R i la (il pè +p p p !t il!... renhte: .l 0n .i. I u- ec fers. y. plu ont se prouvgerau pluarertrs au- bl nées. PeaJaat qu'il parlait, la malheureux t. in I J ép [ déd t ur le sen ut hautain c aaaiélë agi a. cnuaiuea I efyer-qne produisent ur ail o O'anunnc0 de coi .ait; Il o'ulleodait q l'un ruai, un gai r, pour encuver à sun voyage. 1 g d ,il 1. t w. dl dé 1 avait l out la )eu e I ocol 1 Ile personne Item«nt pas t v fille l' son htIuCt sen d c l Pour t. CI"'.e 17 ,,,ai à 7 lac u v1 nu d- . t eu `.. hosto et de du avec un 11, tout '1 I venu sur nue résolution prise dit-elle avec anxiété. -Eh bien, alors, il fera une excep- tion en ma favm, eéµosoit le Chasseur avec c. soucier mrgmia qui lui était partiraile vous i'lom,i, a p raawrez-rous donc; vous d r que moi aussi, je y ai jamais man- qué Gna denier mot valent tain ré l'evlretien; q Iq ¢ J plus tard, la j u elle .'étau e barques ul ne et s u nt , Pour le France: 11 . t cool Le y fill 1, d il loi avait G, II - d ploi là avait rendu 1 e t etl t u inq pal j. t d jo- rtS 3 N os n n pas quant e a rai e t, ma chère n faut à Roua p é pm de celle a0atre; plusieurs annotes Menais. onore ait qoe ce projet de vos du fan in'a toit de .ont 111. trahi Lu goortiqu, d ici la oc vous naquistrlR do lieu; lorsque le -mort Viendra oh il sont nom faudra déeuitivement répondre par un non ou par un oui, noyez tranquille, je un vaus faillirai pas, quoi qu il arrive; G t u de Fmssac n'était e dal upe qti un mois à p lai vé Je l'expédiuon fr .4 l rt alors a. heau jauni i à a 0ü ( tué m b é ans, ainsi que pins haut nous l'avons dit; les voy gaie lui avaient donné cane grdsc et cane élégmme de nmorères qui c.mpléteot l'homme du monde ; ces 9 peu prés du p daut les années a eüe anion l la prompte r nIh reusement ir,dCeni. l à rails, d ll'a bl qui qr - t J I I t1 y I Ri I I e temps, pus q p de F d t t I I 1 Mè o La tr é -i il frit t Uce d aa,ne de mois plus lard liontl b t l'île à oa tour et ec u a, I Ii l,y Irn I j'ce ré 0 il ép r rendait à New forts. rt1 1 t' d l i ;.P" j t09tà ! t é i t P s q n'oins ûé dL j tl .II au Il t I va t 1- 1 1 I i é r ' I- Le jemie homme gaina Réelle l'hokil 001 en seapo à nue agimlimi t a air d& secpoir profond. Ueux plus L-^rd Il avait quitté 1. dnioupe sur ou bâtiment qui agi us pour vous opposer à la vci daté dezmo. père? --Ceci me regarde, cliére enfant. --Jamais 31, de la'fremhl07e lit est re- liée ; elle avait uoe trdcute passion au lequel ou broda de cent façons diverses leur, etle aimait un homme auquel elle pour imposer au malheureux pire des usait tout sortifLA avec joie ; cr qui consolations qu il ne demandait pas et à ses ravissantes compatriote Galant, sana être empois sé op,èo. j dis n'était qu'an enlétement d'enfant qui ne produisaient d'autre effet sur loi d llassaut avec inhalaient desprit gâté sans aucun mot f aériens, aveu à que de lui faire sentir plus vivement en. et d. .t uo l suait te ptvnt présent use ecison d'@[rai ry ndart [tore toute la grandeur du me qui y. h ,ont avait fondu à l'in pu oviste sur"S'a, 4é p tl de- toute cur,cession et tout sapp sa per. maic, pour atns1 dire eu danois de e i posa bla ; allai coite entrevue avait- soupe , mata, comme les compliments quirse passait autour de loi et vivra elle Olé telle qn'o. devait l'attendre de de condoliance qui lui arrivaient à la isoléeega anl milieu de ça mwsda que sa pré ces deux fièresnutures : froide avna rai- fois de tous les côtés provenaient Soldeur,hartiln e sans morgue, et elle se demment de l'immense pitié qsi il inse vaeiaail. terminapar une escarmouche de répara pilait et de l'ioIérét que l'o. éprouvais e Si sonar,lle Hélne de Foiasao, avait fies vives, ep,ei(nelles, mais sans aigreur, t pour saird saouleur, il se noyau coniroin6 été, pendant l'absence de sou frère , échangées a,se une rapililé qui doaaait de subns su rentier toutes ces 00efianeée au capitaine Pliai de Choteuoy. Las il... jeunes gens éprouvaient lun dupremier coup la mxsnre da la force solatious qui lui rendaient plus cuisante, p F t m profond eL mn. acquis. par las deux adeenaioS pou. 1 S'il est possible, la blessure qu'il avait semblait point s'apercevoir de l'effet qu'il produisait et de l'émoi qu'il causait t t r y ai 1 fill éc ulées e farta t p tête Ini faire p sta g e[ soir reç e. U e seule personne su montra conrolatm.s de commande, ce fuL t de Frisson. br d Le jeune boume se bor.. b dira su en I re serran t a ü.cuea t sement pl au l rnr la marre : prés une vigile - On ne console pas un père do la et ne revint perte ,.o sa fille, un p10 oeo avec lui ; don. uelouue sépara i oo u avnd eu f La jaune Hilo Pat p'quée de cet abanlinu yue jours avant l'enléve don sana duale entamé. sauver celte qui, pour voue, est lent, et je me feras tuer pour vous la cea- 4 p m é entrevue de f er, llenue[te dit l:a ss.c p é. C t de l y assu courte, as i plus. retira douga mo l de la J ne fille pic le capucine lg Ga lu. . ' étai[ expie ,ment à la plsntalion pneu saler sa fiancée, plus ferme e[ eu même temps plu. calme; la Cbns esse que quelqlques u avait faite, à soaami le Chasseur juins o ont, rement rl laissad cerce sur ses lèvres , en pl qui s'étaient r sépamOOn et mu le t de lè liberté d'esprit d I ,! tee -[à dire sa cran^ 1, e dllé eu- Gaston de Foiseac, trait. avant pria des lignes plus srcem tné,, sa physionomie une expressmn ... front p r, sol grands yeux pensifs , le lia et charmant sourire que trop ra- 1 c puce l i qui d e . ente e en secret de tan {amour. s I d pu Hcn[ielta dols T'remhaya 00,i t tenu e, nnen recevant le jeune homme, non pas comme un ami, mais comme un inddfé- Lors de son a éu à la Bus.-Terre, M. de la 1'remt l"y s nleonva Lotu- tellement .,ec NI. de Foissae; les rai latins qui avaient loujaura existé entre r 'abde plus étroitement de is, à cmtse dm voisinagé do leurs maisons qui se imst p à quelquel pasl 'une il l'autre, et par sdim eux jamai, d'aborord dse. besoin d'épauchemeet que l'on faisaient u. eurallar accompli que taule. mot que l'on éprouve quelque plaisir à éprouve dans les situations critiques de les jeunes filles regardaient e. souvair aprça une longue absence, mais la vie. riant. ppas davantage.; c'est que la siluatinn d8 L'enlèvement de Mlle tlvvelrlte de la Lui, sérieux, presque sombre, Il ce la jeune Olle élan complètement chae- Tremblaye fut uu talle tout trouvé sur Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés nez-me,i le moyeu de vous venger et de tire . d tiraL'a 1 i Ion est .Ihérent dons les de l'aura t-Rallierai leur, larmes Oh murmura I planteur, peurquoi ne pais je pas vous appeler mon fils I - Ne peèjogeons rien encore, répondu dounemcat le jeune homme; e suiaJe pas votre fils par l'aüection ? Dieu fer. M. de la Teomblaye avait rapporté à MM. de tension, la soéne qui s'était pas- abondante que mois avons elle Irais jours Doyenne' 19 octobre. d'ana. par Arsenal maritime à la Camp oe I n;-. des Midi pour l'agran le Rayon e, la gare dis marchandises de. Rayonne, cède dorant. La veille encore. le feu dévorail les taillis et broussailles qui se trouvent on pIu tô t qui setrouvaient audressaILdes grand tunnel ; entre de te Bou-Hetfs, sir le chemin de fer Ujer x te antenne superficie d'un hectare t p prrix l'AIg es, à Ocra. Alimenté P as, nn violent fi):a question de la cession es . l'Ftal dal'tiv soi ment e résolue . sirocco, l'incendia a détruit tee poteaux .ordgrande s des télégraphiques , et les fils ai été fondus var rune étendue. La communication u'a pu être rétablie go'aprbs vfng4quatrn heures et trouant incessants, du 7 a midi au S à te. moyennant le te ares de VA,alonal. de 125,000 tir. rt l'él+hli+aamint d'une. iode racnnrdmnunt cotre Ix gare et l'Arsenal. h nous reste maimensnt à covnaîire les compavsatimov qui se ont ait, rte. parle chemin de l'i c a cour. morve de Bayunim et qua aos ,ocira lie, loura ont fan miroiter aux. yeux de nos cane heures du matin. - Nous .Jade tenir de source ce,- Nos lecteurs se souviennent encore du procès du zouave Masson, dont nous laisse que, grana aux démarches de notre casa.1 à salut Sébastien, le guuver.une de celte ville aurait levé l'observatlen de trois jours sur les provenances de la côte de France, de Gardes« la avons rendu compte, il y a par son lieutenant. - accusation que les certificats médicaux produits aa. t formellent contredite, débats C'est nue bonne nouvelle pour notre commerce. tinssen résolut de se venger et tenta de Un nouveau sinistre vient d'affi- ee toute sa enagoisun, mafia l'équipage ..avis. C. vapeur rail franchi la barre ornoir, os d vers rseuf rl quandc'orbi trouvant ce face dea côtes u des Landes, an incendie se déclara à bord. Le chargement du navire an composait de 200 tonneaux d'essence et de 150 tonneaux de brui et de eomphgnes. Il rasta de sa parmi les marna. présenta : SIM, le général Cbang,,. nier, Chesnehiog, d'Andiffn.UPasquiee, à six heures du matin. Ce jeune soldat.- Masses élut âgé de vingt-un ana - est mort avec an ce.rage et une fermeté qui n'ont pas nu autant j uaqu'au dernier moment. Une heure avant de partir pour l'a- battoir, - c'est à Illidah l'endroit eanss- exécntions militaires, et un y errive,xcomme au Calvaire, parle jardin des Oliviers, - M son a écrit avec vers. que temps ssayé d'arrêter l'incendie; a dit. Il cane de 1 irnsnioeeee de danger, crifice de sa vie, et sa seule préoccupa tion pendant le long chemins qu'il a du' Il avait fait depuis longtemps le sa- L'équipage, entés avoir pendant(quel- se jeter dans les dntx rhalanes. du ,lard eteasayee de gagner la terre, abandannant le ravira à sou triste sort. La ,anse première du si lette est attribuée coulage d'un des barils d'essence qui ecserait enflammé an coulage d'ondes lieux de la u.1111 e. La Ville daliaedisce est ...créé, ainsi que Ies marchandises quelle Iranepo - beiL Las fusils et les cartouches ont été par assurés sua Compagnies pCourt cruelles, juré parcourir pour arriver de la prison au lieu du supplice, a été d'exprimer au prêtre qui l'accompagnait tous au megrecs pour la pénible corvée - c'est son expression - qui incombe dans ces circons tances à l'aumônier des prisons. 11 est douloureux de penser aux dures nécessités de la discipline militaire de- vont lesquelles l'indulgence du chef de l'État et de la commission des glaces a dû rester muette e celte n 'casino, qui .'ont pas permis d'accorder à ma de 20 ans une commutation de peine. Les deux chatoaipes portant l'équipage de !a Villede Dayonne ont pu gagner la i débarqué, rote. Ve capitaine teibarre Mimizon et adressait de la 10, prés d six heures de soir, Lit (Landes),' vers ras dépêche p ur anomicee le sinistre x armateurs. Le second ca.ot, monté par boit hommes, a été recueilli en mer, vendredi, vers deux heure,. des matin, nneiljz. par des Rama (f,onrr er de Bmg (Lozère), le 17 octobre. Hier, à trais heures du matin, ion iuceudie considérable s'est allumé dans le cousent des Dame-du Bon-Pasteur ; le l'en a été communiqué à l'escalier princi- pal, construites planches, par du charla veille , avait été bon mal éteint, imprudemment placé sous l'escalier de tesla.chaussée. lies religieuses , surprises dans leur sommeil, n'ont a perçu l'incendie qu a. lors que l'escalier était à demi-consumé t que l'établissement était la proie des -il D'assurée, elles ont di., peur échapper à de draps de lit, d'un deuxième étage. ne d'elles, loué Marie de la Croix , s'est Masure, de Consent et de Gasloude. convoquée d'urgence pour le lundi 27 nul des Débats Les député. qui fort partie des buIra ce groupes de la Droite se perra.. Les bureaux des rénaions parlementaires qui avateol déjà conféré le 4 oct.. bue dernier, convoqués aujourd'hui lé octobre, an sont trouvés -.Braconnai d'accord pour reconnaître que l'adoptio. des propositions préparées par ta eommiasieu des Neuf était impéeieuse .cet commandée par l'intérêt du p Dgpré. ces Propositions, la monar- chie serait rétablie ; toutes les libertés évites, politiques et religieuses qui cous- titueut le droit public de la France seraient garanties ; le drapeau tricolore serait maintenu, et des mudtficatiam ne pourraient y Ctre apportées, l'initiative royale restant d'ailleurs intacte, que par l'accord du roi et de la rep,êee.tatio. blissement est assuré. épatons que yen bureaux miné. quées. Le Soir donne, eu eutre,sur ta réunion tenue chez M. A nisson-Du perron les dé- tails suivant, : Nous pouvons ajouter à la note qu'on lement occupée de la coneacatien !mené. di.tu de l'Assemblée. La commission des Neuf a été chargée imposait de : 1111. le des e d'A., ,o es,, député da l'Orne , Lu- es lie. ,dépuré de Pün ; de raraynnLatour, député de la (',boude: le comte Daru, député de la alanche ; Cadet, député de la Loire ; Baragumi, député do Gard ; le vicomte de Meaux, dépoté de le Loire ; de Sugnp, également représesfaut de la Luter ; Amédée Lefébv,e l'on talés, député d'Eure.nt-Loir ; Grivart, népulé d'llle-et-Vilaine ; Desjurdins, la. ; le vicomte Otheotu député de d'Hauaso,ville, député de Sein-ci Marle comte d'llespel, député du Nord; e de La Bassetiére, de la Vendée; le comte de la Monneraye, du Morbihan ; Savary, de la Manche ; Depeyre, de la lfaute-Garonne le marquis de Mmnay, -, de l'Oies ; Fermier, du Cher ; Aubry, l'amiral Saisset, député la vicomte de Consent, de la Scille député de Maine.,t.Luin ; Chesoelong, de. Vosgos tage, mon inquiétude est extrême, je cosinus à l'instant même de a tranchée. - Eh bleu 1 général? s'écrièrent les trois hommes d'une anale voix. - Eh bien 1 messieurs, jusqu'à pré. .mat du moira les rebelles semblent ces- celer le drapeau parlementaire, c'est - Je ne partage pas votre opinion , n'y pas main 1 Ça vieux Chasseur est reprit M. de la Tremblaye; cet homme l l'homme la pls u étrange que j'aie jat un titre réellement incompeéhensi-' mais v - Je disais précisément cela ; il n'y a ble ; je Int ai ne accomplir des choses entraordinaires ; j'ai la co.viction que qu'un instant , à ces messieurs, généal, épandit M. de la Teemblaye. Ainsi le Chasseur a mis son projet à exécu- s'il n'est pas poigne déparau p envier mot pro rare , il vie.re , je ne sais qu'il comment, h domieer, ces brutes , à les convaincre et b obtenir la liberté - Allons dore ! fit M. de Foi"" en alun? 1 - Certainement! l'avez-vous jamais hésiter, monsieur ? Au lever du soleil, ainsi qu'il nous l'avait dit hier ou soir, haussant les épaules, ce que vous dites il s'est présenté hardiment au pied des est impassible, mo. cher cousin ; Solgréa est ion homme trop rusé pour se lainer jouer ainsi d'ailleurs, il se gar- glacis; un drapeau blanc à la maiu et suivi pour toute escorte drues six chiens reliera et il'.. trompette ; au serait à dera bien de laisser échapper un si préci ux otage. Cette conversation avait lieu dans l'ap portement particulier de M. de la Tnm Blaye ; le Bouton, avait séparé aa maison e. deux parties , dont liane était occupée pur le général eu chef de l'arni. .6e française et ébet'major ; il avait '011,111,11 seconde pour lui et sa famille. Eu ce moment , la porto s'ouvrit et ion domestique ..conçu le général e. chef. La général Richepsuse airs ; son froul litait soucieux. - J'ai l'honneur de roua saluer , messieurs, dit-il du ton le plu, amiral; pardonnez-moi de me venir ainsi jeter On lit dons le Journal de Paria: est trop lard ! telle est la réponse que Il certains hommes fout à la conté. pouffer de rire si l'affaire n'était pas si grave ! e M. le comte de Chambord, inibran table sur le terrain du droit national, dort il a toujours éoergiqueroent mainx tenu le. traditions, appareil salin ajesté et yeux de l'Aammblie dam la qui,mnous n'al'intégrité de son principe essé de le dira, concilie merveilleusement les droits de la nation, et fait de. premiers la garantie essentielle et efficace des seconds. acte politique qui vient de s'accomplir ne se rait pas produit plutôt , que l'.. dise: e Ah 1 ai la Monarchie avait ém .tancée à Bordeaux ou ou lendemain de la Commune, le pays aurait eu déjà le temps de réparer sensiblement sea forces ! cela est tout naturel. Il n'a pas tenu à sous que ce qui va ce faire as as soit pas fait, il y n deux aos. Mais que l'on d-se aujourd'hui : Il est trop tard ., voilà ce qui neatre pas dans ha. ire esprit. Pourquoi serait-il trop tard Y rappelé es termes chaleureux que c'était suetoul à l'accord 'nterveuu entre les . il ne peut être question de concessions. Il faut avoir le droit d'imposer dea conditions pour avoir la face lié de céder ou d'octroyer. M. le comte de Chambord, sur la terre étrangère, nu code cru, .'octroie rien, parcs qu'il nïm. pose rien. a Et nous ajouterons que, le jour oh il sana raide France, il n'aura également st, uceer, 'r, dit-on droite, qu ïl fallait reporter la principale : est trop tard I Ne.. 0. seraes dîne mafia .,.et de sac coucher. Noua Produire. M. Chesoelong aurait ensuite fait ce.- droit monarchique qui est l'accord du oi et du pays, du rai qui rêg.. etgouverne, du paya qui exprime librement se. aeoue malheureusement p.. restauré la monarchie plutôt et noue avons, par and tendance coupable peu40tre post une des hommes, noua ne dirons pas mitre les divers peints de la longue conversation qu'il a ets l'honneur d'avoir avec M. le comte de Chambord à galz- voUC. C'at sur ces bases que mea établi le ambitieux, mais n'hibernerai témérai. ma, laissé le pays s'affaiblir dans l'anarchie, cet ce une raison peur star perpétuellement daoe cette narchie t bourg. M. le duc d'Audiffrel-Parquier aurait exposé Ies motif. qui les déterminaient, .cuveau parte d'unie. eeles la France et le rot. . Le de la déclaration du comte de Chambord de conserver toutes les libertés qui forment 1. base de notre droit public et de ambassade le drapeau tricolors, les parlementaires quasi bien que les partisans du régime constitutionnel M.lr comte de Chambord n'a rien doses i i a rétracter, ele. à dra droies ts. Ce q.t étaient a t de .es qui rie. étaient allés le voir ae lai a,sent qui, demandé de ces sacrifices restauration du régime monarchigne qui présent résolue. poète et un exécrable politique seulement je aria de valeur à la Guade loupe, et que , par conséquent, il n'y naisse pas le Chasseur de raa. te. de Fais.ac eu -rochant aa mon- - Cet homme , dit le général , est la Ce qui saaiguille que depuis plu. de penonsificalion la plue complète que Irais heures ocre homme est là; je .'p j'aie rencontrée jusqu3 ce jour du dé'ntéressemnt, de la bravoure et du comprend. plus rte. du tout. tre. poids pour toutes les autres fonctions de - Ni moi non plus, fil M. de la Trem- dévouement. - Voilà, général, un éloge qui, dans bleye, mais je suis convaincu qu'il me votre bouche surtout, est blé. beau 1m fille. taurines nos. - Les rebelles auront sans doute ce- lesu ce pauvre hom me pr ie o.. tee , g êné . col, dit M. de Fots.c. .Non pas, monsieur ; le drapeau parlemntaire est arboré sur le l'art, les pas lieu de .'...P., du drapeau seuil avènement au troue, mais qu'il se réserve, étant là, de résoudre à sui heu e celte question de manière à u- lui. l'Assemblée et tiafaim le pays, même. L'Assemblée nationale répand ani art. à la presse qu'un peu de m' vise humeuravait fait prodiguerà l'Union: e Nous nous permettrons de faire remarquer à l'Umm. qu'aucune des feuille. q ni on t l'hon n eur de soutenir la cause de la légitimité - pas même elle n'est en droit de prendre, comme elle le fait, des façons officielles. s eu La Patrie a'exprime.,.ai . Noua attend ons avec corgenee In décisin o de l'Asmmblée ombilical., par. sondés que dans ces circonelaeces salenoelles, .Îleesprit sera guidée, encore u de justice et de pa' fois, par cet triolisme dont rite a donné déjà saut Be de preuves à travers les périls auxquels même et la France quelle représente se sont trouvées exposées depuis traie ao. bientôt. Elle a su la ire la pain ; elle a su dompter la Commune; elle s au esadre au pays son indépendance nationale ; elle o su, avec une froid, énergie, remplacer l'homme habile qui l'avait trompé, par in homme honnête auquel ail parmi lev plue exaltés, n' pu encore adresser le moinde reproche; elle saura biea, par un dernier et salutaire effort, esmprndru et sauvegarder les véritables intérêts de la uatios qui lui u donné et qui lui conserve encore tante a. -fiance. On lit dans Paris-Journal : Il est certain que beaucoup de difficaltés sont aujonrd'bai epla,ies, a. e qui concerne des moi. l'Assemblée, M. In comte de Chambord ayant fort nbel. plifié la situation par la sagesse du la.gags conciliant et pslriotique qu'il a tenu à MM. Chesoelong et Ionisa Peau. Faut-il eu conclure que tout soit termisé et qu'il o y ait plus qu'à se réjouir dans le camp des c.mer..teurs royalistes? Nous ne le pensons pas. Nous n pouvons, à cet égard, que confirmer ce que sou. disions hier, ce que nus ren.ei- gneme.nls d'aujourd'hui nous démontrent de phis rn plis être l'ezpresaio. de la vérité Les journaux qui voal plue loin vont trop loi, ; ceux d vaut plus trop site, vite en besogne vont et prennent leur désir pour la réalité. 0. lit daoe le Temps : Qu'on nous parle de royauté tort qu'es voudra ; qu'on ana vaam, selon lea besoins du moment, la m61e rsastsa- c du prétendant ou sa merveilleuse sou plese, l'entigne alliance du trône et de l'autel ou l'effaceme,l docile du droit divin et de mn emblème devant le droit et l'emblème de la Révolution : qdo. cherche à persuader à le Friser republie.m. qu'elle doit faire sou deuil de je république parce que tel est l'avis de a comvnlssioo des Neuf, tout cela mal de bonne guerre; mais de gshne qu'on mes- se de nous parler de monarchie -mari. hili..nell. ! Ceux qui donnant cette note dan. le concert fusi...iste usent e qu'elle est fausse, que compatibilité est absolue, la oenlradic. lion maaifat. outre lev mets qu'ils mas. Biaisai et la chose qu'ils préparent. Vie- Nnn, la royauté du comte de Ch... bord ae peut foi. être la royauté consti. lalio,selle telle que Ies Belge. et les Anglais l'ont instituée dam leur pays. Qui dit contractuelle. royauté constitutionnelle dit La seule Charte ru té quelle comporte est uu contrat autre le Parlement et le esndidat au boue, ,.atral oh le pays qui aval une nmorchie stipule su conditions bon la présemas du candidat et avant toute batre- qu'il W. pas nisaltn, parc d'a autre de stipuler Iib,, meut. Il rait bien lemps, e, vérité, de débattre les conditions de la tuyauté une fois que le prétendant serait ro qu'il iras..prêts., aurait reçu, avec le pouvoir ne' 1. moyen - Dieu le veuille ! s'écria le général .rationalisa. puissantes qui ressemblent à celle de cet humble chasseur dont nous parlons sont enmplélea, elles - Il n'est que juste , momie., ; jamais ou n'appréciera comme il mérite de l'être, ce et grand caractère. que penser ..lit. En effet, l'inquiétude du général était si grande qu'il lui était impossible de - Allons, tranchets le mot : sèchement le général ; c'at un homme, uns homme dans tonte l'acceptation la plus étendue du mot , avec toutes les vertus et peut-être avec toue les vices fébrile. - l'ales.vous hien assuré de la fidélité de cet homme , men général ? demanda Gaston. - Lui ! s'écrièrent à la fois le géné- - Vo.s savez, messieurs , esprit le sentinelles noires causent amicalement jeune homme, que depuis quelques jours ririante se tonaya ..pmeil Pelotais. fille, que déjà son péril pressait sur aou coeur. Les assistants pousaéreat .n cri de - Général, dit le vieux Chasseur de cet air tranquille qu'il savait ai bien affecter dans certaines circonstances, me voici de retour. Venlea.vous me permet. ire de roua faire mo. rapport t -] veux avait leut, répondit le -Nu vous y trompez pas, monsieur, vous en donne ma parole, ai notre brave Chasseur a échoué dans sa généreuse et téméraire entreprise, dussé-je ae pas ou-il épanoui, que général avec u vous me fassiez l'honneur de me donner - Je .e comprends plus, général. Charles, il sera cruellement vengé, ains - Oh ! avec biea de la joie, mou g6néral, répondit le vieillard se émotion, chacun parle avec enlhousiavme à la nom de héros ? Des hommes qui pous. sent à un degré extraordinaire une Basse.T'erre. - Vous pouvez ajouter dans toute vertu ou un talent quelconque, et qui le cependant pour le reste se lra.vent aou file , mon cher Gaston pua. I deiuil le le Chasseur Pa- jeté et .'Marnassent au-devant de la jeune qui est la délivrance de Mlle de la fremblaye. Pardonnez-moi, messieurs, de .être laissé emporter ainsi; oh ! je laisser pierre sur pierre du fort Saiati je confesse que j ignore ce ptétemen, - Ce que je vauu da est pourtant qui cet es singulier preso..aga dent le nom , ou plutôt la profession, se trouve bien simple, monsieur. Qui sent en gédan s t ou t e s les bouches , et dont néral les hommes auxquels on donne le plombier, et vous ne vous cou tromperez A. même imitent rut. trois hommes êIh..gê,a., sors et ils üncli.érent sans répondre ; l'argumnt leur semblait irré. - Mois, reprit le général, .oua nous - Oh ! eh ! reprit en souriant Canton, nous tombons, général. - Je vous demande pardo. de vous Non, mon général ; Mlle de la Tre.blaye l'accompagne. - Ah ! je le savais ! ... 0I Richepense avec émotion. Oh I oui, c'est un regard, éloignons, ce me semble, de notre sujet, de l'espèce. ral et le planteur avec stupéfaction. - Il est seul ? .'écris le général avec anxiété. ; ma eu Pré. de lui, , calme a sou en l 1. timide, on apercea modeste vai chartisme CI.i,.i.c. Les - Non mesnieur, répondit un peu agitait.. qui avait quelque chose de une seconde il sera ici. elles l'huma.ilé tout entière suas ses réunissent déaülsuces. Que répondrez-voos à cela, ...sieur y c'est un héros ! Et le jeune homme aven une légère teinte d'ironie. demeurer une seconde en place ; il allait et venait à travers le sIon avec une - Mou général, voici le Chasseur de rat. ; il est de retour, il me suit ; dans l'intelligence humaine ; au lieu que lad" homme! répondit Gaston. avec ma so0pir étouffé. Je ne sais plu. de mê- me o. peut faire les invention. les plus sublimes et dans la vie privée de tous les jours oétre qu'un niais, presque ne imbécile; je n'en Boirais pas, je préféra m'arrêtera Do héros ue l'est le plus sou. -IL que p.r ma peint cabine, sublime à la vérité, mais seul et sana contre- a rira d'étonnant à ce que je ne coa- f le vieux Chasseur est tjours dans le for t . Je vous avoue, mess i eurs, que je ne comprends plus un mot à ce qui se parts. s Cerlaias journaux affirment, dit ce journal, que M. le comte Chambord c mplétement et défnilivemsot accep. do lé le drapeau tricolore. Voici une autre information. , M. le comte de Chambord aurait dit ma substance aux députés qu'il dy avait muncz - Et les rebelles l'out reçu Y adresser celte question gai semble si - Parfaitement, amlon les régler de fort vous surprendre, gèuéenl , reprit répandit le général, .ous noua relevons, la guerre que, cuntratremeat à leurs le jeune homme , mais pour ma part au ceutmire. habitudes, eu celte circonstance, ils nul Iriclement observés; depouuis, plus rira; ce ..oln- Friumit 1. royauté eussent diminué la France n'est . soit de. pas même convaincu L'Univers it dés à que la question n du drapeau au xantee et un député. à la restauration de M. le comte de Chambord Y Quel a. gageaient out De pria? Quelle volonté lev relient ? Comment, M. le comte e pouvaient plus faire d'opposition à la éfond. s'exprime dans le même sens Cela ne comporte pas le discussion. Toute la question aujourd'hui étant dans l'Assemblée, tout ae résumant duos l'adhésion de la moitié des députés plus un à le Monarchie; en .,il vous plan, relit trop tard 7 Quel quai obstacle l'adhésion de trais cent sei- hlouareins. 11 ...il expliqué qu'eu pré. à accomplir, ai sacrifices à e quelque chose car ici e du prince de de supérieur aux bons et auxeale exigencla de la cru s ;e.lalial loi due partis ; c' st le atio dîne à huit heures, on à neuf, eu à di e,, part des événements qui viennent de se co de s Quand ou W. pas Il Mais à sept beurra du ambres du centre droit et ceux de la e com etc. l enture ord et la France Msont dissi- Chambord pé rente de Salzbourg. Si ces hommes sont iacéres, s'il ne demandaient pas dea ronronnions seulemmel dam l'espérance que M. le comte de Chambord les efuus ne les comprenons pas. Que l'en exprime le regret que le grand comte de Chambord. Il aurait également aveu las nôtres. Que diable ..ira mi peubil luire dans ce traquenard ? - Il rat plus de "ai heures, dit Cos. n'aboutira à rien. te de ambres de le droite cl'heureuse issue »gagées aven M. le des négociations à la traverse de votre e...eesatienl mais, d'honneur, je ne pouvais y tenir davan- Nodde devons déclarer qu'après l'ene s p arate lev derniers le ce.. trevue tendus hum qui b Le général Changaroier a , dito. , prisvive le premier la parole pour mxprimer satisfaction que ...ail à tous le. la née chez le général Ricliep..se, et nomment le Chasseur de rats avait pris la révolution de pénétrer en parlementaire da.. le fort Saint-fhaeles. nion Le cutre deuil se réunira mercredi, 22 octobre, à Versailles, ,n Petit-Vatel. Léon, député liant, de la Gironde, le marquis député de l'Allier. de ainsi race Lu journaux légitimistes prétendent que M. le comte de Chambord n'a fait aucune co.ceasion. On lit dan. l'U- sou a duré depuis deux heures jusqu'à quatre heures et demie, enfant sera proposée lors de la rentrée de la tainement celte audacieuse démarche Disons, ce terminant, que la lié.... de la réunira te.ue chez M. Amenan Saper- de l'Oise ; le général Masure, dé. paré des Sens-Sèvre.; le marquis de la Rochejsnquelein, égalemnt représentant des Deox. Séoern ;Combler, député de l'Ardèche ; le comte de Barbe, député du l'uy-de-Dome ; le marquis de CaslelIvre, dépoté du Cantal , Gasloude, dé. Buté de la Manche, de la Germanière, député de 1. Manche ; de Tarteron, député du Gard; Cornélis de Wilt, député du Calvados ; Audeean de Kerierl, dé- d'étudier cette question avec le gouver ssassiner par ces misé. ironie député des Baases-Pyrénées, Perrot, dé piste pluie .aille. o bnt cessé que depuis la beau rables rebelles, dit M. de Fotssac. - Peut-étre l ajouta Gaston. Mais cer- Iraient en deux ou trois articles. L'Assemblée déclarerait d'abord que le gouvernement de la France cal la Moarchie nationale, héréditaire et constitutionnelle ; elle appellerait au Irone dans quelques jours. Tout ce qu'elle le comte de Chambord et après lui les 1 compte d'hommes d'ordre, ne. engagés prit es de 1. m aise. de Bourbon, . j par toute u rribre politique, votera héritiers ; le drap tricolore, ainsi pour I. r,etauralie. de M. le comte de que le dit le procèsu verbal que noua Chambord, parce que les conservateur. publions plus haut, serait maintenu par e peuvent pas e ce moment voter v te formel de la Chambre ; enfuie pou gouvernement au ire que celui-là, médifiralion ne Pourrait être apportée ai voter cou pour la continuation du proqu'a vertu d'une loi, le roi se réseraoire. Ceux qui e voteront pas par vaut aor ce point, comme aur toue lev sympathie voteront par rai... U. vote antres. sou Initiative, mua la garantie de raison m 'mot pas le plus mauvais. de la responsabilité ministérielle. Noua avons m éfie de source certaine Quart à la queslioa cooat(tulionnelle, que des députés appartenant à l'opinion elle serait oui sauna : Le gnt verue- républicaine avouent dés aujourd'hui ment du roi présenterait à la Chambre que ai bien ils se croiront obligés, e des lois ayant pour but l'organisation des eouscieocs, à acier ..ira la Monarchie pouvoirs publics. Mai., dés à présent, ils ne feront par vune opposition systéfoules les liberté. civiles, politiques et matique à Ilenri exécutant fidèlement religieuses qui constituent challenge le droit public se. promesses de Salzbourg. Lotos Teare. des Français, seraient mai a- et aes collègues du castre droit , à ,saut seront immédiatement cos- lai appuyer désormais la resleorafon de la vient de lire, que lu réunion i est éga- Alger, le 14 octobre. Les incendies de forêts, bois et nions de la majorité -aimeraient au. tucci, chez M. Anisson Du perron, erpré.,abustde la Seine-Inférieure. comte de Ségur, député de Seine et-narle baron de Larcy, député du Gard; Blavoyer, député de l'Aube ; Adrien Less Malgré la promptitude des secours et le dévafrment des habitants , os a dô faire la pari du feu et se contenter d'isoler les bâtiments voisins. Les pertes matérielles s'étêtent à 22,000 fr. L'éta- de ma file. D' prés les bruit. qui circulent ce soir dans différents cercles parlementaires, les propositions qui seront aoamtses la semaine prochaine aux diverses réu- : Procèe'errlal o(fieeel de la réunion dea Bureaux des groupes partenaensaiee. de Chambord ecourait, et ce. hommes repousseraient ce gouvernement, qi'il, appelaient de leurs væuz, aujourd thui qe il dont qu a déposer un petit bulle. tin dans l'urue, peur le posséder et 11mplanter, pour des i écles peut être, dans leur pays bouleversé par ta Révolution I Vraiment, il est déraisonnable de dire qu'il est trop tard. Il n'est jamais Trop lard, en politique surtout, pour réparer fente, L'Assemblée es se réunir octobre. Nous linon. d'autre part dans le Jour - puté des a orhia ; le vicomte filin de .ordre, député de la Somme ; le ha. roi Chaurand, député de l'Ardèche; le nae re. gravement blessée en sautant. - Il se fera une proposition dans ce sens serait pré. ,collé, jeudi, 23 octobre à la commission de permanence, l'Assemblée serait alors amiral Saisset, général LA QUESTION MONARCHIQUE. re.ue le 18 octobre dieu M. An.,.. Du- Dan. bousille le gouvernement et les membres de la majorité de la droite se montreraient favorables à l'idée d'voe convocation immédiate de la Chambre, peuple français eh bien je veux tar i ce væu et serait t s couturier op tard pour que trois cent soixante et un députés votassent un gouvernement qui donne satisfaction pleurs entière aux idées lu plus conservatrices et et les plus libérales 7 L'Assemblée nationale compte plus de quatre cents membres qui o t passé leur vie àcombattre pour coaquirse ue e gou versement tel que celui que M. comte convoquer. d'Ilaussonville, Savaryl , Grison , Desjardins, de Ségur, Fouruier , Chaurand , Combler, Collet, de T.,tc,n., de Lorry, de La Monneraye, Daru, de Là Baseeliére constitutionnel, qan deux d'é- tudier celte question, q i sera durs. ta soumise mercredi ci prochain à l'app éciation des déroute. réunions des groupes de la droite que l'on vient de rapporter. de Castellane, vernemenl Chambres, qua légalité civile, que la liberté religieuse et politique, a que le drap au tricolore rép dent a vu des Le remisé. des Neuf a été chargé none de bée, Nous pouvons citer La réunion, qui était présidée par le général Changarnier, député de la Som- Pro- beaucoup de calme deux courtes lettres destinées à sa famille, qui habite Paria, rua Saint-M... nue mort certain., santer, à l'aide eiataieosa la réonlon oie ont été pris les importantes résolutions que noue ve '-u conseil > de guerre de Blidah été exécutée vendredi 3 octobre, cargaison était formée par des atsses contenant 4,000 fasila Dcrdan, récemment acquis lova de In dern;ére adjudiretioa à l'Arsenal de Rayonne et de plus d'un million de cartouches; le tout était à destination d'Anvers et voyageait avec an acquit à caution, un arrêté préfoeloral autorisant l'exportation pour An- Marvejols , Une cioquntni,e de députés envirai sent réunis d'a mite aptes midi rue Abba- .reçu la peine de mort contre le zouave Masson, et c'est cette sentence quia eure.a es, délicat peur êtes tranché sous c...ait,. l'opinion du gouvernement et celle des députés de la droits, on a ajourné tais. le résolution sur ce sujet. l'Assemblée. balle do chassepot manqua son but, et le lieutenant un fut quitte pour une blessure sans aucune tteurensement la une Société hajoint aise, vient de se perdre !'entremise de M. Audn, et'assurancee à Paris. gagée aur la question de l'opportunité d'um convocation anticipée de l'Assemblée eatio.alr. Ce point ayant paru trop t i,, Chambord dit à l'Assemblée, avec une , sagesse qui nous promet on bon roi : . Si voua en.... isaez le principe royal qui repose sur ma tête, je ne demande .as pas mieux que de m'entendre ove pour déterminer les conditions dec mou gouvernement. Vous pensez qu'un gou- Une assez longue discussion s'est ea- donner la mort à son accusateur. - reaux ger ..ire port : le steamer la Ville de ,,et quelques mois, à celte même place. A la suite d'une accusation desleusu rame, articulée publiquement mater lui frontière espagnole. chambre. Lucien Brun, Carayoa Lat..,, Depeyre, -On lit dues le Tell, de Blidah : négociants. Rayonne, récemment acquis par I Dément. Ses propositions à ce sujet semot soumises, mercredi prochain, à la réunion des bureaux des diverses réu,Ire .ma vatnees. 0 n so u que es le lendeman, 23 octobre, clos se réunit la commission de permanence, à qui seule appartient le droit de convoquer vrac placée au-dessous de vulgaire le génie n implique pas le bon saur ; on peut aire ou nquéraut fameux et un très-mauvais législateurs ou un grand Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés la malheureuse et i...cente jeune idiots laquelle tous nous .rua intéressa.. ai vivement. que 1 votre mais, .o. vieil ami. et vrai Ije crois avoir mérité que voua me traitiez avec bienveillance. El il pressa chaleureusement de.. la En ce moment, un grand bruit, mêlé de cria de jota et d'acclametioua répétées, se fit entendre sur le court Moli- aie... la main que lui tendait le gé- vos. doLa porte s'ouvrit et un aide de camp général Eiehepanse parut. Gesmuva Auuan et A--An l.Aemura. - Rue se passe-t-il donc, capitaine Y demanda virement le général. néral. La mite il deasain. T commandement des uimyee de terre e es guerre, da mer, le droit de paix ie droit d,idite in o et tontes lac autres 1 prerog,.vc. de lue a, le, . Comment alun tés i, jeté, les facultés s'as Ceotrama.t ItP Quel mayen .unit-il de surm ont uque pas évident aa résistance P N Bot I l deettons par c ceuelax s yu'il sarmtait tmtlprerésentP qu'il serait la veille, étaient libres de .e pas i q l'appeler ce seraient plus libres Je le renvoyer une fois qn il serait dans la placo P 'Si. go lier ecatrat qui se discuterait tic deux partie. duel l'oscar serait d'aen- vance pa.sec la corda au cou et ai- raii remis le bout son matas de c'!-lutre parois. Publicistes P' .fomds hommes d'Biot, ingénieux qui parlez ai légèrement de archie cousliwLUnuelle, .Il'. donc Comment c régime .',et l'ondé dans les pays qui fout adopté. Est-ee que les Anglais i eu soit fiés au libéraItsme présumé da frison d'Orange ou c ,fi aenles de s.s familiers lorsq. elle l'a appelé au trône eu 1689? Nou. Le parlement commença par promut. guer 1. Déclaruti... des droite exigea que Guillaume et Marie la signassent .vaut d'hure proclamés roi et reine de la Grande-Bretagne. Est-ce que les Belges, en 1831, ont fait un roi sur la foi de vagues promesses 1 Non, Le Congrès national a commencé par faire une .ins- ,e Cher de la dr la ru luté e marche unur ose e[ ils verront qu'ils sont cariera loin du ne, drmandant le maintien du ulula Fronce dm blancs et des uugot, Oa lit dans le Journal des D66 aie : A l'heure l'heure où u us écrivons cas tig.es nommes pas e o définitivement isæés sar les résultats de. négaci luaua .le Salzbanrg. Une réunion des noua principans membrea de la droite et du centre demi se tien[ en ce moment tuéme. Si l'on en croit les bruits qui uu- aéece en 1869, 1864, les Espagnole lorsqu'ils out roula créer uae monar- chie censtimtionnelle, ont appelé le monarque atout de faire le constitution 1 poues quelques ce n est pourtant depuis quelques jours pas la Plu. importance de celtes que la France re M. la comte de Chambord sot aux yedre ensemble. Le drapeau parle aus yeux, tout le ...de tout le monde m'est donc passionné pour au coutre le blanc ou le tricolore, Mais roi gara u.e Charte, il l'acceptera sans di(Iicullée, il la promulguera. Jurera-t-il, apprécie, de Salzbourg. s La France Chprévu, il Cita ..u. bien sans doute que le comte bord renoncerait au drapeau blanc, déclarer que main il iempressai[ insufri les concessions faites seraient de saules pour déterminer en faveur de la monarchie uns majorité parlementaire. changé. Le J.urnal Ce matin le tan de Débaia demande encore commun l'accord a pu s'établir entre M. le comte d. Chamborde estes délégués do la ma' jorité, et s nroira le problème résolu qu'après l'éprenne. e Mais l'Opanfan .a. lionule, forcée d'al mettre ce que les det- quelle n'hésite pas à faire appel à mie. Celle-cs, d'après l'Opinion nmtiona- constitution, ppuis serment et investituet re. Est-ce m le programme rapporté de lzbourg? Est-Ce quo la d ise.ssmn le vote de taules les lois constitutionnelles dol,[. r6ellemest précéder le rétablisse. ment dam la monarchie eu la personne du comte de Claambord t S'il eu est ainsi, n Peut parler de monarchie con,tllu- tio..elle, et il n'y aura plu, de débat à vider gnentre elle et. 1a cou.... maté .ait onale. Mai! ai ce mnimumde gironil. n'est animal pu. exigé p.r es,, x de e disent libéraux, avant d'a. â ils prétendent fifre un air fait unn caaabCsttion, 'aiet cela sur I. nos royalistes ,qni. foi de je eue sais quels Propos qua démentent des mamfestrun publies , qu'ils aient alors le courage de leur défee. tic.. d'une royauté Si .. de l'Assemblée, discuter la -e. mulons pas da Nous nuage. LaNous royauté de 1830 serait-elle, Voilà usa genre d'argument que a! la .'ai dagmatiq'ont déesoe uu accord vyoellue. composai[ rit du celte monarchie m 1630, ils l'ont dus hommes qui regratté et rapp lée de tous leurs ceux us l'empire. Leur devise était alors : Ni royauté humiliée, ai royauté huni1.este Si nous remontons plus haut dans no. Ire histoire, que voyons-nou.. P En 1814, le sénat avait rédigé une Constitution libérale, et le comte d'Artois, Iraniens tgénéral dus royaume, 'avait acceptée. Louis XVIII rejeta cette Constitution parce qu'elle .a provenait pas de sa royale On lit dans le Die. Publia Noua persistons .hautement dans Il Dit. gainent que sous avons porte hier aur la situation.Les Chose. saut, au fond, dans l'état où elle, étaient il y a quelques t éeenauelle. et jours. Lea remlaes après 1. proclamation. Comme p vête.dan[ la r, . e do Chambord as prendd ancuu nusgagcmenr n ta fois lof l initiative. En[ il tort ou caisse d'agir de la aorte 2 Certes, l'histoire ne lui a pas do..à raison. La Charte octroyée, sub.limée à la coualitulton votée parle Sé- secs ra bien aelIp, les pl.. s concessio-O. rtitldervées. e si réséservée,, lie attitude si peu ramprometlsale, a caste. daol paue effet de .a[, faisait meatio. d'une religioe d'E ait ; elle contenait cet article 14 qui a servi de prétexte aux rdormaee,e de de Joillel. Mois encore Louis XVIII avait aa Charte de cette aolenr tai[ Pprécéder li liberario b oux de de s l'époque ue éétaladontnt s' ;rouillés satisfaits. Où voyons-noos au y de Oo dit dans leFranpsie : bien clair, et le mystère dont on a.. taure laits ces pourparlers, prouve sura- Le comte de Chambord a fait, paraIt-il, Les poresns s psercere.tqudurait cet le desn cocoqua es:onaissauce dd''avis Nuussre la droit est l e sommes avis que tes purs ont ne ratsta a aespé et c ue pourquoi e donnera à enpérer que l'Assemblée pur m majorité aux projets do restauras .... tsoL''. Assemblée Comprendra que le droit royal reconnu,pquels que sonvl ras coaaarrrfie rease, nle du o el, non pouvoir à elle l'autorité même e, quélle dent elle émane et que si, par grâce fieruv rame, le roi daigne ensuite lui Ce.le soin de rédiger , d'accord a es ministres, uns Constitution ou me Charte, esse sera sana autorité pour le faire, ayant iputsé dupa ce seul acte : la pruclamalton du rot, tout son pouvoir co..tllua et an autre. Les politiques oumpre..ent bien que là est le point délicat, le daeger; an.., mprestenant fort peu .u. principes, enl :la de crier vlaloire, alla de Ir.mper les hésitants et de les assener à s'ee- gagne avant que la lumière .e soit faite et quels vérité .0 toit gangue, gouvernement répubü calcula Capables de aujourd'hui la vérité. des déclarations absoluatout sattfaisamen. 'l'outefois, i,,,," ce que nos chefs par. lementaire..ieur parlé et publié bars résolutions, ce qui n .....it tarder, nous devoir est la réserve. Burin o.a.ou. à dire aux conserva leurs libéraux qu'il. pensent avoir toute confiance dans ce qui ae prépare : la bataille conservatelle sera réaolûmenl livrée ; les principes de liberté Dérangent sauvegardés. C'est aujourd'hui que les bureaux des différente groupes de la majorité doivent gager Le Paye prétend que le comte de Chambord, lié par sa parole , au peut faire aucun des sacrifiera que la France lui demande. l.e Paya devraiten pareple matière se montrer plus clrcompecl, At-!1 oublié que le panes président , en re. 1848, pavait Pprêté serment au Pays. Présenté ar l'Assemhlée c nstituante dr de éfendre 1a Constitution dont il ter t ses pouvoirs. Un pareil serment était jet du drapeau blanc, tétait t lui-méme et à lui seul : il rideau parfaitement u. e gageoner t libre d e sa 'ra.e hi r Nous engageons donc vivement les je.,...s bonapartistes à tenir compte de celtequestions différence et à ne P.. soulever ces de conscience politique. IL ne Mut ni parler de corde quand on est dans la maison d'un pendu, ai de serment ninlé quand on défend la cause impériale. bué que par des déclamations stériles à la défense de le., pays, Le président du canaeil de guerre .mua a paru obéir tout à la fois à un senti- ment de justice et d'humaine pillé ea ne perdant aucune occasion de rappeler les services rendus par le maréchal B.. .lac. Il est à remarquer ceux qui 'os se montrent le plus impitoyables pour l'accusé soet ceux-là précisément qui ont le plus à se reprocher. O. dirait cherchent , ee poursuivant le maréchal avec .ne passion aveugle, à ,.,i,. faire excuser leur torts on leurs fautes personnelles. Sans doute, il fanal que la justice ait son cours, mais il faut qu'elle soit rendue sans passion et sons partis. (Journal de Paris). On Peut .,avoir que des volions assez vagues sur les vues et moyens par lesquels s'établira un nouvel ordre de ehoauquel s ra donné, comme toujours, le .om de défistbf; mi tout le moud. sent et comprend qu'il doit absolument ma Sortir un de la criae mouette, et que .o.a toucll,ma à un moment décisif de notre histoire. Que nous allions à la pais au que nous allions à la guerre, nous sommes à la fin de la trêve. pendant trois ans on a dit, un a eu le droit de dire et nues wons dit les premiers aux partis monarchiques que leurs divisions inteatines les réduisaiCet à l'impuissmce ; qu'il n'y avait pas de royauté possible avec deux partis royalistes ai avec deux drapeaux t qua puisqu'lls ne p rotaient pas s'enten,ire et s'obstinaient b perpétuer leur amogonis. me, le nation ne pouvait pas attendre la fi n de leurs hésitations et avait le droit, comme elle aurait In volonté, de se ce- mettree. marche et de régler airs eux sas régime et ses destinées. C'est ainsi queue portion importante de parti libéLes jour...x bonapartistes sont .usai 1 rai et coosermeleur a fait honnêtement mécontents que les radicaux. Leur co- et .incéremesl 1. leutatire d'établir la lève noua parait tout à fait propre 'à république et de l'établir sur nu terrain garantir au parti libéral que are salé' où passent se retrouver l'eus ceux qui au rèts ne seront pas sacrifiés. L'Ordre ne séparent pas l'ordre de le liberté Nuus peut supporter que les .lsummee de 1830 n as pas besoin da élire comment .'enrôlent sous la boue été de la mois,. cette tentative a été défaim par ceux-lb chie traditionnelle. s Ce journal avait même qui auraient où la soutenir, et pour ses propres amis mains de snscepllbilité quand il les egogeait récem. ment à combattre sous le même drapeau que les radicaux. Borny et de Gravelotte. 'Pendis que la phupart de ceux qui l'ins,iltent aujourd'hui, dans le parti radical - oubliant quil .est encore q accusé - net peut-ê trejamais respiré de leur vie l'odeur d'un coup de fusait ou .,.et contri- lité.. Gain. que Personne n'avait stipulé de lui. de l'avoir compromis. Tout cela n'est pas Casqui.enr régulière du nci. l'ormientae unedes à ganisatiou essenpranulaellmn Chambord avait donné sa parole au aur tres se félicitent ente ,i est que questions aecondvres et le système des i astslutions posé à ..corder m conisa.es avec un peu trop de légèreté ou, de moins, précipitation t Nous verrou. celle trille saccestuer. Lea para coudront établir que le droit do roi proclamé, tout est fait, et que m bonne occasion de ...a montrer dans eurd'hui des déchrati.n. .stagnes t deut ea dylhlvambes jaloux. Cet. â explique, tes ans craignent que le rai ae bileté. énervent, n 'net osé présealer c .satin. Ce sera sans doute pour demain f Et nos admiraleura de la démagogie espagnole tte ..querout aloi doute pas de ceux e sil fallait tenir. On sait coin. Dt sl Put tenu. Si M. le comte de pe centre droit ne se .notre t al pas dis- bondamment que rie. de définitif .'est ..tore adopté; an néet d'accord que r an potol : i noir pour [ramper le pays et eaeamot., une solution ;..aie. meot char,.. vaudrait Iruc olle, pour sa petile église, et lutte de rase et d'ha- récente auscultation vent de rendre peut qu'on nourrisse le évidents : sl Projet de ae passer os de son assentiment à la condition pourtant d'avoir cela[am de quelle impulsion le triomphe inintelli- gent du parti radical a donnle à 1. chute du seul gouvernement qui pût faire accepter la république. C'est alors que les parti. monarchi quel eampresxnq sagement bien que tardivement, que leurs divisions anni. hilaient leurs forces, se sent rapprochés et réunis, etplat que.aile la question s'est trouvée h, eéPubliI,neetdeux Posée non entre la rée rout smais Y publique 9ours quel pointue j monarchie. la Simplement C'est h c u sua en étions il y a 4ueleocore. et rait mécostenler une partie dus conjurée, Les léglumis,es trura se réservent, ta.. dis que les ..mena oelématites se répaait eompe.mi, ; les télé de ces décisions. par hasard, an. yeux V- feuille or. BJpuélique franpalse, ai le Rappel ni l'E- lésniste, une royauté humiliée P Elle provenait pourtant d'un contrat entre la naaim et le roi. Le centre droit a paru jusqu'à ce jour, en attacher à ces sou_ fenils de la mo..robus conalinilioenell,, n,andaat eu chef de l'armée do Bhte. Mai. opus a loue damé au lecteur col - Ou écrit de Vienne, le 15 o-tobre : Te c -s queu peut considérer comme terminé le petit coa tut qui avait paru un moment sur I- poil de réve.sllrr l0 terribleet interminable question d'Orient et de mettre le feu aux poudres de l'Eurepe. Voussxve,, sans Junte l'origine de ses[ présentée une autre onusra plusti le On ne peul plus dire ctmona rtis paplus le droit de dire aux chiques que ce sont leurs divisions qui perpétuent celles de la .atiom ; .Si. cette ..te royauté, qui maintenant reste seule le terrais, est-elle elle.môme d'accord avee le paye, et le pays peut. Il se mettre d'accord avec elle ? Les far Mais ici milles esy.les se sont réconciliées -, elles ont fait ce qui était de leur intérêt somme de leur devoir. Mais 1. nation ,'&p- taons aocv. Ni. le comte de Paris doit prochaine. mont, nous affirme un de ses familiers, ditla Presse, ae rendre auprès lin comte de Chambord pour le féliciter des nne. cessions faites par lui, -Le roi et la reire des Belges arrive. ront de Biarritz lundi prochain, et a reeèteront deux jours à Paris. -Le prince Milan de Serbie a ,Curé , ce voir, un dîner d'adieu au maréchal de Mal Malle.. Les convives de prince, outre lo matous les ministres a réchal, étaient xcepté M- Mngnv, MM, Despere, Mollard fert irrité. Quelle pouvait être la pensée do gouvernement turc ce celte affaire P II se disait probablement que l'Autriche et la Buasse s'étant engagées l'année dernière lors de l'eatrenn. des trois empereurs, à respecter le stala quo en Orient, il pouvait impu émeut braver le gonverv nement de Vienne et se soustraire à l'espèce de patronnxge que le gouvernement cherche à s'attribuer en Turquie ms lieu et place de la France, trop affaiblie depuis sa dernière guerre pour prétendre de conté suer. Mai. à Vienne ou an paraissait pas disposé hIolénme cette imdhcipautou. On aura fait observer sacs doute à la Tar quie que l'Autriche seule faisait contrepoids à la Russie et que, ai elle était poussée h bout, rien ne lui serait de Pétera-bonng pour partager l'empire Saintarc. M. de Bismarek ,'avait an pas intérêt à s'y ni, poser. In Fante pouvait rien, es yu^n[ à l'Angleterre, on ne s'inquiéta plus beau. coup de ce quelle pe s Ce langage e dû far réféohirla Turquie et on dus maintenant que, . us .'Il l'orme on sous une autre, elle doanrea anlisfaction à l'Autriche, On s'émit trop avancé à Cunslaatinople. D'autre part, comme l'Autriche n'est pas assez solide elle-même pour désirer beaucoup douer le signal du bra.le bas général, tort .arrangera. : et Cielyd, des affaires étrangères, le ba- in A. de Rothschild, le vicomte Dar,, le murgnis Du La-, la duc de fa Trémouille, le vicomte d'Ilareourl, le dot de 1'. Bnchefouenslt Bisaccio et le baron de Soubeyran. Les perao..es de la suite du prince assistant à eu dîner étaient ! MM. Philippe Christitch, sénateur, agent diploma. lique de 1. Serbie à Conslmlleople ; le colonelNicosilch , premier aide-de-camp du prince Milan, et le capitaine Boghitchevilch , aide-dr.camp. Le diacrs eu lieu aa Grand Ilitel , dans l'un des grands saion. du 1s étage. -On lit - Une Correspondance de Cochin- chine apporte la nuuvclle de la mort de M. l'abbé I,egrand de Liraye , mem- bre correspondant de l'Institut , officier de la Légion d'honneur et saapectenr dos affaires indigènes. Cet tulaligable missionnaire, qui avait élé remarqué par l'amiral Bigoudi, de Genouilly et placé à la tête de ce servi e, a succombé le 17 août , à 1'h6pi- tel de Suïgon , au. suites de 1'anémio qui le mi.ail depuis longtemps. On lui doit quelques travaux de lin- guistique assez ealimés. -Le correspondant parisien du Ne.. eeltiate de f auen relate nu fait dont nous dons la République Frun- en saurions, pour notre part, garantir l'authenticité, mais qui mérite d'être Il parait certain que NI, le maréchal reproduit : On sait que la plupart des objets mobiliers appartenant persuenellement aux membres dé la famille impérnle ont été vendus sus, enchères publiques , d'as- pafae : Mac Mahon aurait faitquel connaitre son in tient!.. dl se retirer, uel que soit le résultat de la lutte qui se prépare; Il le. rait décidé à n'accepter aucun. prorogo- tio., tres ait été dispersés dans les collections de l'Etat. De ce nombre eet non galerie - Les descentes duos les égouts qui à la fois P ar mesure d'h Yg iène et Par écu e avaient été suspend,, m, vin.. chinoise, formée de dons privés foins à l'impératrice qm ,ail orné une des sauve ai h Pale. de Fontainebleau . Ictus.' que M. Rocher avait réclamé q - On va créer u.a classe d'ensemble d'orchestre a. Conservatoire. Cette clos- e s pour but d'initier les élève. de tel établissement .us muvrea instrumentales des grands maitres et de former des chefs d'orchestre. C'est M. Deldevez qui est titulaire de cette chaire. - Qualee-vingt-huit jeunes filles se sont présentées hier à l'examen d'ad. les classes de chant du Corsee,atuire. Seize admissions ont été promisaine po - La banque d'Angleterre est tenue par ses statuts, dont quelques-uns re- moatent à une dote fort ancienne, de conserver toua les métaux précieux qui ami coufaés à sa garde, et, dans la laite des temps, beaucoup de familles m - glaises on[ fait usage de cette facilité. Les trésors remis ainsi en dépôt restent quelquefois longtemps dan. les caves que de la banque, si longtemps les caisses dans lesquelles ilsrouge sont ersfermés Baissent par tomber littéralement en poussière. Las de ces rgée s,aya.t dis dernsèremens être changée de place, se détacha Per marceaux 4rand les eus ployés dr it banque voulurent l'enlever. 11 ee sortit ... grande qumtué d'objets e. or et eu argent m'assit, à ce que nous appren- nent les journaux de Londres, et cal. e tenait beaucoup u P à cette co lent d'être rePvise. sauf ses représentants, de stipuler pour elle, et c'est à elle de juger la force, le poids et le mesure des garanties qui lui La Semaine financière accueille par da seraient données. très.sages réflexions la nouvelle de l'acTelle est la question du moment ; cord des divers groupes de la droite telle a été la mornhe logique des événea avec M. le comte de Chambord: menls qui se mont précipités dans Cette dépêche, commentée, amplifiée, d...ivre temps, et gril sont a rivés à la réunir. Il. recourant de MM. Lucien Brun et Chesaaeloog a communication a servi de point de départ à de. mmi- nécesesté d'un dénoûment. C'est ce qui festations d'opinions, dont nous ne mou- jattite l'anxiété avec laquelle ou sttrod que ces ho...obles députés ont ,apporrions encoeeapprécie, la valeur, mai. la mmmicatine de. pourparlers entée de Salzborg et penadruut d'imporqui tendeutà noos représenter comme gagés entre les reprëseulants de la ma. tantes dérisions. 11 est intéressant, dans ce moment complétament aplanies les difficultés que jorité et le prince, désormais le seul ne. d'attente impatiente, d'étudier deus les ra.cnutesit le rétablissement de la mu. présentant de la royauté. La lumière ne pu.( pas se faire attendre plus longjournaux des différents partis l'effet peu- uarCilie. de 1. la déa.iti,C de Il neutre ni dans noa goûts, ai dons qveuüs, temps, et la Solution définitive luit .or l'opinmO Par .a nouvelles dés s habitudes, ni eues les devoirs et de lint Bon ta 9 avtre s D6cialité de louer de vitesse d' d tat plus que toute olalio. interv d Vieformatio grand format sur .1un t qnus Parue de prolongation, L'Union, la Geurtle de France,leMan- avec nos confrères ou de la (Jauriaraal des Dél écartée. lot desonteætrémement réservés. L'union os lecture do ne faisons pas commerJoua Lamoircrce. des Débuta). rappelle aux . journaux sérieux s que conjecture. Nous le désir de répondre ... préoccupations ce de primeurs, et unaus est défendu publiques devrait toujours être tempéré de prendre légèrement certaines rtsL'inmrrogaloire du maréchal Dazaine par la crainte de porter le plus grand porsabrhtéa.,Nous novas pas cette sa. tort, en égarent l'opi.!a., aux muses dépendance d'esprit qui ne eeléve'"'.p de est terminé. L'audience d'hier a paru , u dire général, moins défavorable à ie qu'Bs ont la ferme volonté de sera!,. s la ssucérité ou de l'ardeur d'une tous parlant à des Intérêts; nous avons l'accusé que les précédentes. Les expliCela punit dit peur le Figaro. Le Figaro du mains prend l'averlissament pour lui l'obligation détre positifs ; nos erreurs caltons que le maréchal a fournies sur et y répond fort amèrement. La Gazette nous sont mutas pardonnées qu'à d'ae- la question des drapeaux, ont paru Ires, en raison de leurs conséquences, et - réserves faites de la lumière que les de France n, fait de reproche à en et an contente de remarquer la faveur avant de riaquer me ...selle de quelque débats pourront jeter sur cet épisode avec laquelle la Iloune accueille l'évea- importance, il nous faut y regarder à douloureux, - plus plausibles que celles lualité d'une restauration monarchi- deux fats : sous vouloua que cette aou- qu'il avait précédemment données, sort .tir les actes de son commandement, soit melle sort deux (gis Certaine avant de sur que. d'autres points de la capitulation. UUniveri, qui go dissimula pas quel- l'endosser. t'a pereur pets ...ellemeot, dit-oo,ea mon- plus facile que de â uteudre avec le ...cées par le jury. Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés accusée de faire conspirer ses agents diplomatiques contre la sûreté de l'empire ottoman. Grande émotion à Vienne, l'em- gouvernement par isat à elle-même ; nul .,a qualité, "'r"'- européennes contre l'Autriche, sonces ti-té esprit de parti et à voir les choses comme elles sont. S'il est vrai que M. le comte de Chambord ait cédé aur Cor. feindre l'des a., à le, devrait, an lieu d'obéir aux déci- la I gime de l'attente. A quoi bon celte es' cherche acharnée d'une énigme dont le mot doit noua être livré demain t toutNoua cherchons à nous dégager de mais elle prétendait s q,iil tramails. Les dsspoalil. d e l'Ass. rait seulemeal .prés que la maine- 1 blée, voilà dose c .qu'il faudrait con11 a s L', Tempe rait proclamée. chie native, et à set égard, ai 1'.. peut , ou croyait paraissait mieux ren saignéincrédulité serrer l'avenir, il est interdit dedése Is moira utile de part un don gracieux et par conséquent réeuoable t Nous s'en aurons rien. Le Journal de Paris écrivait hier soir : clona pas des Charges qui péseat Sur l'ancien 01 m- mmticati n de la c,mtespondance. niée iucomplèle de l'impression produits r noos par cet interrugaloire mémora- ce conflit. Déjà il y avait eu quelques ditble, si noos an loi avions pas fait part des itcaitécausujet de lu eéctptuoo de prinsentiments que l'allitude d'uoo partie de go ce Milan a Vienne, et il y :,rait en é bal. la presse et la vue de l'accusé Cet éveilde dépêches assez raides, quand est lés an nous. nue s'ajouter l'affrvre de Hnsnie. Le. abritons provisoirement autre réserve Nous cavons pu opus défendre d'une chrétiens de Bosnie se plalgoaient de derrière le silence de ,aux qui ont plus émotion douloureuse, eu voyant uu sol- l'oppression de, Tueen : ils avaient tupneliculièeement qualité pour parler. dat éprouvé qui a Conquis tous ses gel. toyé, il ya quelques semaines, une dé. Nous croyons n'avait rie. à perdre à loua des à la pointe de sa osillaute épée, qui putation que N. Andrasay avait reçue. régler aur le lors parfaitement digne et n'est arrivé qua fort. d'actions d'éclat et De là demande d'enquête à laquelle le calme, et réservé, mixé, lise organes tes de travail obscuer réduit à défendre pied gouvernement talc avait culai nri, deplus élites de l'opinion mounenlas- à pied le. existence devant un tribunal mandant Iii-mème que le crosaul général d'Autriche y prit part. Tout à coup les qua. militaire. Cet accusé n'est pas le pro Quelques heures à peine no ua aépavent miel venu, on l'a vu passer pendant ira.. ambassades accréditées à Constantinopte dit-tu, du moment où le dernier mot te aunées de sa vie, les épaules if,cées reçut...[, pur l'intermédiaire d'u. emdes concessions de M. le comte de et le visage intrépide, au mllieu do fer, ployé du gouvernement turc, un anéanti. Chambord sera ofhciellemeot transmis du feu, de I. fumée ; il a livré irait des re adressé aux puissances, air l'as altaquait vi ment noa-seulement les ch'é. x divers groupes de la droite, aesem- plus grandes batailles du siècle et v blés. Quelques b ores ne sut lion pour l'earemi céder pue deus fois devant ses tiens de Bosnie, mais les agents eoasulaies d'Autriche, et faisant appel aux pn-sun pays, soumle depuis des mais au ré- troupes, dans les sanglantes journées de dura.s présentée. avent de les eounatire tai., points essentiels osa l'exigence de. et déclare que cette appréciation appar négociateurs S'était particmiérement ma. tient a l'Assemblée. il eu découla celte conséquence, Les journaux de la gauche, hier soir, na(eslée, monarchie a cessé d'être tmposfergnaueot de c "re que le comte de ssbb , s Caxsble. Le' s ble, ilion résulte pas quiun puisse dsChambord émit demeuré ,!ai; niéres nouvelles ont de contraire aux ne ! Le Journal de Paria, sans attendre du- uns, d'être fidèle à cette Charte t Celle Chnele sera-t-elle uu contrai entre Non , ventage, se livre à tous les transports d'une joie enthousiaste. 11 voit déjà . Hart V parcourant à cheval, entouré ttonnelle. D'aburd eue mutation ex- de panier jour, conformément 'à f ensuite, on noua l'assura, toutes lus coa. ns qu'on désire. L'Assemblée rédi- ter pur des commentaires hasardeux ou des suppositions logeras , b lu gravilé à laquelle de simples rumeurs ont doa.é 1 heureuse.. lement et le pays), ce régi. plicite, Complète, discutée librement, en l'absence du candidat qui ne reç. it le pué voir royal que pour l'exercer, dés P ple de patriotisme s en . inclinant ses préférences particulières devant l'intéréé supérieur d'une aation que aet oncéires ou fait gronde et qu'il peut faire "P',,,,,,. de la gauche, perd à ce lui et la France, on Simplement de ai point tote possession d'elle-méme l'ar- qui .appelle la monarchie coaalitu- .cas refusons mule re qu'elle est fait,,. Nias as parlons a des yeux, Naii...1 assurent que . MM. ChesaeI.e, des sentiments du Pays qu'une toute et Lubie. Brun »'avaient rie. rapporté Nos. Ils out rédigé d'abord, lises tans n datatls, aveu ..e plaise liberté, les à chié du drapeau il y a aussi te que.luis fondamentales de l'EISt, et Charles lien de la Constitution, beaucoup plu. il digne e cul ace été roi de Sué le, Georges a'a été gr.ve à coup sûr et tuas ne peut pas y des esprits Prévoyants. roi de Grée., Amédée n'a été roi d'Espu. égalles ans un puys deux so trainetuà ces jré d'obéir ]Si.. La gne qu'après seoiru et la san France anis, en 1830, lorsque éBa e.: m e banalisa; du aineté de l'ait.. 11 fautch secn.aété l'aient du comte de Chambord évsacé par l'aient du comte de Paris, ire ces deux sou I. le nnlés et xacrifier est-ce que la Chambre des dépotés a l'une à l'autre. M. le comte de Chars. taos pour ..e garantie aul'faante l'ops- bord .fait sas choix depuis longtemps, nioncosnue et la cnmpliciIl révolnlioe- tl n'y s pas renoncé. Il exige que s maire droit supérieur, indépendant, divin o de son candidat P Nor, eue, 111 . l'lle traditionnel, comme ou voudra, soit for, t Luua fharle le 7 outil, salaété a amendé roi que le 0, .prés avoir mollement reconnu et proclamé ; il fera Philippe jurélla Charte. de conceTalla est la seule voir et de fonder, (méme en se Plaçant su puent de vue esclusieemest parlemeptaiee, t en faisant ab,I,netion de tout accord ou désaccord entre le Par- I . de tous les princes d'Orléans , les les bue le. s. , L l'usi .. ,lot r les ..« t fat P placerait de di Patrie elusrvu que. le si complicité dans la propaga nd epassionnée m crabe, de la prédomlunnce de ls noblesse et du clergé a., les autres classes de la Dation. La ,.nousechie h la tête de laquelle M. le comte de Chambord s trouverait, serait une monarchie .uverne peut te, pas y avoir de duale b cet égard. s La Persan déclare que s M. le comte de Clamnbord a donné un grand cæem rani, M. le comte de Chambard ne ferait Inca de , inualtés à accepter le drape de qu ire calme, 0, nous rendra cette justice qui aussi longiémps que l'ivlueeegatoire o daté, nous nus sommes toit scrupule d'ajou- sentles derniers bruits qui circulaient' naissance. Noue demandons un mois de crédit à aur un retour quelcmque à l'ancien ré. ceux qui, dès ai,jnurd'hui, seraient te.gime. Il ae .ouvert plus titre question, ux yeux des hommes de b .une t'ai, tés de axas reprocher une aorte de pard'nae latte entre l'arislomaUe et la dé- tia pris de résister à l'évidence. Nous le chaos d'ab la (aurore de 25 mai noua rait sortis. Eutro la touée et le.a lèvres, il y a de lu place, et les royalistes a ont re bu. Qnsls ,e comptent, qu'il. pas add,niiuuaenl cuira serviten rai qu'ils cou' mêle., les achetés, les loués, les vendus, qua,le seule chose qui puisse sauver la lafsurexcilation qui semble éemparer herchons à garder nudes esprits, aous et c plications échangéesà Salzbourg déirui- l'é- fleurs de lis. La question du titution, il l'a faite librement, taia de drapeau a surtout préoccupé le Public aa été nid mut pouvoir rival, et Liop os quapré. avoir juré d'y obéir. Est-ce que les Suédois ee 1814, les Grecs e. croire que le ceinte de Chan,burd ait Cou ; iberté, cuti b engager n rima maisIl estime qu'a obtiendra de lui sauuulre ia tomes ter couditiona qni, poLeuvoir royal, son[ dues à ale nation, e Paris Journal estime que u les es- replonge dans compte. Quant à nous, jusqu'à la dnumière heuus ferons votre devoir, quoi qu'il ad. ce, On aa s'étonnera donc pas si mas ne faisons pas écho oui dernières enculoaa mises en circulation sur l'état des négoai au milieu de cialions monarchique e.n voyant que ses conseils ne sont pua suivis,- Parait pas que mauvaise humeur On lit dans le Paye A I heure préserve, et malgré leur enteote, leur accord qui paraît complet, ils saut loin d'être encava les ai[res le ta attuatson. Cest eu v n quils s'écrient qarue la mto'est narchie cal a laite Non ! la mapas encore faite ! et anus chi e e répniii'.' p eut.Atre plus près de l n même temps une masse de papiers. Ces papiers état ut une collection complète et très en ordre de lettres d'amour du temps de la P.Restauration. elsialee au désir de connatOn usa osait adressé tee le uam de celui cette correspondance si singulièrement qui et inrpi émeut exhumée; il s'appelait Berner. Comme cette famille a encore des descendants à Londres, on s'eat em- pressé de lui remettre le dépôt. Le nouveau propriémieu a bien permis la vue da la vaisselle d'argent, mais jusgaa présent il n'a pas voulu donner com- - e actuels sans accès du gouvernesumkov. meet M. Bonheur c'est enfi. adressé spécialement à M. Boulé, et l'affaire a été por- lésdevant le conseil des ministres, qui a ce,.... le justice de la réclamation. Il était difficile, cependant, de retirer de. musées de ,1'Ee1t les objets ,'appar- tenant à """"trie'; en pouvait lire encore, si la question était soumiae vrai.. à l'Assemblée.', une opposition assez tumultueuse. On e offert une camp n- saeon pécuniaire (500,000 fr., me on) à M. Roulier, qui l'aacceptée. dit- -Le Journal du Ilaere annonce ainsi qu'il suit le disparition du chutéra dans cette, êpidét a s dehors nI dont on a fait de dehors et qui n'a causé tant de bruit que bleu peu de mai en réalité , s'est éteinte graduellement et vient de dates- entité complétemert Nous l'avens déjà dit et répété maintes fois : le fléau s'émunir éuniquement dans lesgnarlait tiers malsains, dans les logemm,ls lubres, et les seules victimes ont été des personnes peu soucieuses des sols d'hy-S gsène, de tempérance ou de propreté. - Les curés Catholi9ues do Jura Soi.se, destitués par le tribunal supérieur de Il,,,,, ni s'était pas présaii le de.- pintede lité,ait l' reçu à domicile ont ya les condamne et nus l'errerdo payée été forcis de chacun cinq francs gouvernement. Il leur a au messager été enjoint de quitter leurs cures d'ici à pie e la fi. du mors. - Le mouvement électoral s'accentue en Prusse. Le pares catholique, tout en n'ayant pour le souverain que des sentiments de fidélité et de dévouement absolu, veui résister par les moyens légaux aux attaques dirigées contre l'élément religieux. Dans plusieurs provinces, notamment - La crime effroyable, dit l'Echo du ceux, parsemé de débris de roches et de dans la l'eusse rhénane et dans le duché de l'usante clergé exerce snr lais connu. Nord, vient de se produire à quatre petits écueils. Ou lappelle s Bouche de enfer (Boers do iferno). liens une e peoir mttnenee et inca lieues de Lille , dans la c mm ne Cyvoit nt les s protestante s'unir sua. de Camphin-en-Pévéle, canton caO,oliques à un point de vue conserva. soing. C'est pendant la nuit dedelundi trur qui demine l'a ddi'érencea de cul. à mardi que raa'aaain a accompli mou forfait, et la victime qu'il a choisie est tes. Rame, 20 ctobre. Dans le Sleswi ûsdu Nard, le sentiment une l'emne de soiaante-quatorze ans. La journal flâlichnise las Nilh ielli et.en anous souttran D'après les détails qui plat danois semble s uval e que jamai, croit probable que M. Nigrn ne relaruesouvent Autres Dépêches. mis, et que noua avoua lieu da croire et loin parle a croire que didl. linger et ,4lmann, les deus ardents défenseurs exacts, vô 1 comment le crime aurait de la nationalité danoise, seront élus à été exécuté et découvert: une Ci uade majorité. - Voici les renseignements damés par l,£eh. Danois aur l'e à Chjl u de I,.,a.., qui vient d'avoir lieu Châteauduu : le 5555.place du Cuite, dit l'exécution de erre Valses, dit Benvoizé, l'aa- Saisi. du malheureux Galion, condamné parla cour d'assises d'Eure-et-Laiq le 28 sorti dernier. . Mulons est arrivé à Châteaudunescor peu- - S g'aria a du monument de sCaseaoee à folie qui n'aura lieu que le 8 nove.- aime veuve Jean-Baptiste Kilo (née Joséphine Tournemaine), habitait une petits maison de la commune de Clam- mec Quai qu'il en soit, les voisins s'étnnaèrent mardi de na point voir s'ouvrir le air, du pou doit , l'exéculiou. Arrivé à la prison de Chdloa.do. à trois heures du matin, ltu!ans prit un vin, très-bon repas, but uce bouteille après et p rit la café. Presque a asilêt do commença da avec succès, sana médecine, ai frais, tes dyspepsies, pris celles de S. S. le Pap t'active. etc. ¢:c' de, las droits de la sang, Mme Rien était étendue morte sur compagnie ment témoignaient suez qu'un assassinat suivi de vol avait été commis pendant ta d'argent que ta feisparttion d'une somme que la femme Kjeu avait touchée il y aies du : e r violente condamné, il outra d nxaspératsou. < Je on a s la lui i é criait-il, on ne peut pas me faire mou. sur la pl a grasstéie, refusant à entend p se e là il sera descendu duos la chambre de la vilion os.e endormie; qu'il a a,,de par 1a gorge etétranglée dans son lit On dal aussi qu'il l'aurait frappée de religrou.. plusieurs coups de outeau. A l'un d'eue cepenianl d demanda: Le ju e d'an traeho., le parquet, de . Air ça !anquand est ce donc que eje vain Lille et la gendarmerie se sont tra.spor la t le Céder mourir 7 o En app eet t q tés hier après-midi à Camphin, pour pro matin même, d p t pins p son ç a 1 s à une enquête sur cet assassinat. lev c efanlsde ses femme noms de Mais ce mouvement de sensibilité ne du- - On écrit de Lisbonne, le 5 octobre: ra go on instant. . Quand ou vint lui donner connaissance du rejet de son pourvoi ce cassa. . Il n'est bruit ici que d'une aventure iuoidents se pas- inattendue, qui aurait pu avoir une issue déplorable aras la présence d'esprit de la relue et te dévanment d'un employé du phare. Entre Pombciea et le phare de Gala, la reine et ses enfants avaient vrai. saient à la prise', t'oaécuteur Roch et lu voir les effets de mer curieux, mais a g âte, il écuu- ftan et de son re o ta avec la glas grande attention ture de ces pièces. Pendant que ces lit lec- ses aides avaient été chercher à la gare la terrible machine et l'avait amenée sur eDraveil. et très daugeerau. Pendant qu'ils contemplaient ce spectacle, une la place du Ghampdé, où ils la moulé crut, protégés par un détachement da aoldDt. du train contre la curiosité gê rague énorme est venue tout-à.coup cul. buler les royaux enfants, entrataaat Hante de la foule. . Notons ini que, depuis prés de huit jours, les rues de Châteauder âemphssatenE chaque malin de matons, dont souvent une grande partie était venue de plusieurs lieues lenmur, pour aasix tee au terrible châtiment de huions. a A cinq heures trais quarts, le ruadamné apparut, défaillant, aur le perroa de la priant, dont il descendit les maieheraouteuu Par les deux aides. Cerus-ci le firent monter dans la voiture où se trouvèrent aussi t'exécuteur et les deus .aumôniers. En roule, il fut pris d'un nouvel acebs d'eaaepératios, et dit alors à M. Roch: a Vous tremblez, vous, varan plus peur qne mail e Psupuisp l, qu and A ic e, s' - l'un d'eux. La reine courant aussitôt au secours de l'enlaet, sa robe s'est embu. 'allée dans les rochers et elle est tombée à l'eau. e L'employé d. phare, Antonio do Sileu, âétant heureusement aperçu du danger que courait la famille royale, s'est élancé vers le théâtre de l'accident ; il a été assez heureux pour dégager la i.e et son fils et les malter en sarclé. La reine très-émue, dans l'élan de sa ren.alveance, a déclaré à l' ployé du phare que jamais elle a'oublisesit ce ul000mpageslé service. La raine était guée sa de la comtesse de Liohares, qui et évanouie, et du vicomte de Matsparia.. Le roi se trouvait u palais de Ajuda, lorsqu'il apprit cet heureux sau- il descendit sur te lieu du dressent à la foule : < Eh bien ! le voilà votre Rula.s l s votage. Les aumôniers firent oua dernière tentative pour lui faire accepter les secours de la religion; il leur répondit par des injaresi d'un d'eux lui présentaIl un née. La relue lui a fait passer 100 livres. ohriat, il le repoussa avec violeace. se réfusa également aux embrasseme.tn aea deux prêtre.. En préaE.ce de l'inutililé de ces efforts, les exécuteurs n'emparèrent du condamné, le jetèrent rapita Plu dement sur la bascule et au même moment le couteau tombait tranchant la tête de Huions. s ta:Il < A Cascaes, aù cette nouvelle ne tarda pan à se répandre, lao Te Deum a été chanté en actions de grâces du uuveta- ge royal. .II parait que Poudrait où 1. rela. et son fils ont failli périr est très.da.ge- DE L'ABBAYE DE FÉCAMP AVIS célébra Liqueur BÉNÉDICTINE L r appréoié1 1lu pub lir e l'oblat d'imi- iattons nombreuses dwki e plupart sont do provenance 'tr¢ng6re. Afin do motter lue consommateurs loua et x de lao boire qu'un produit pur, . gais et assentiollement h vgibnique, garde contre ces 1. treraçoos detestablos Bout al m amatsa s â la santéâ que la viande et q 'le 'a ue Arrivages 404,326 balbutiions. Ooraces r couine le odèle ex cÉ ode la bonimllo e0000nerte des sceaux ot ét,- 1 Chie (Vincent), 21 ans, rue Vigue- ie, 8. Magnant, veuve nous, 80 ans, boute. vurd Laacrases, 2. Bousquet, épouse Pegel, 43 ans, au p lit Saint-Pierre, 14. Brigand (Ailloli), 34 ses, place SaintPierre, 7. Taillefer, épouse Laverou, 86 net, pu. Si lite rue de la Paudredrie, 3. Suivait Catherine, 59 aea, rue Sauveur, 4. Vi 1 bqn de poste. - Dépôts, à Toulouse da4Ahbxdie, pharmaeao ; Sigallona, 6 rue dit T'nr PcosPo,_Pêviê col Autre, la moindre animal ou Le u propr été semblcolt ès-embarra sséa P.,_ 'o_ rou f .ils plus Il q i `sd trais, IRue de la Pomme et rua d'Ale-. Cristaux de fantaisie. - Services de Table. t Internes. -Coupes de chine. - Caves à Liqueurs. NE PAS COUONDRE AVEC LES ANCIENNES MAISONS FOLIQUE depuis le t° octob e 1694 et portant lu nignatIra de as A. LLGAAND Aisé:. N. B. - Eu temps d'éppidémie, IuDdnds dwtsne est un présenatrf cemm centre le otot,'eo; un gorand nombre de célébrités édrenlee. nt donné l'attestation 1a plue manette. EBTREPyT neesRAL A FACAMP AU QUINQUINA FERRUGINEUX DOSE TONIQUE RECONSTITUANT, FORTIFIANT ET FÉBRIFUGE odeôm aéodeux cap. rues ers euoee-nAR.xnm: LACAZE ET ROUSSENAC, (653) Agence à Marseille, 4, rua de Nouilles. Se trouve à Toutoter, chez Mal. Barré et Caldeil, négociants, 20, rue des Couteliers, et chez MM. Merdé et fils, (1460) uégalisats, G, rue Lepeyrouse, 0EPURATIF ngzeseea, aoubnxr sien Cbabis et sesbarns dd Cnerises, Pour nn.ut. tren.e 3f Contre lesruua,Fels. a6, r. Vwanne, Parie. des, F. 425 430 ) F. ! F- .). B6 Le hourreo. des e, dosas, coco. es. 1 oct. Tni,,Tna 4. sa Ténazèa¢. a Das-Armagnac. à 140 < à DIMANCHE 7 a [ p d nocarrodés par pe, Pb seni oe me srosriarNEMCN clil L .i ) p'.ride à rt t rl-i 1 tc . I I 1 an, plot _l usenm d de tous les jour- Ileua et lo lu)tec de la ¢unxaaai, a na aée4nan . A canne - 0 i . Ir P Il I Sf I f I prix : 7 fr. (runes pur le poste. Tout abonnement nouveau recevra lu numéros déjà parus. d b t dco b a - Id g d. t d. I ana. (!4iv) fi;AND Eu}Tri, ('A 14eN Touk.uam AIlèea Lo(oyette I s Pores c Saint Rnme, 4M1a à II h t et csi lga, I t --- - -- , MARÉCHAL 0 d at. Itl o k D d Ps i1 `I ao r.a Cheors de lie. Sa P.iii, -- ;are snr au 21 t 0la11e Iour ,tonna lûrt ,na et iudéen!, e poadenls. Elle publie de 'aile I lit. sd 7 mx ahavo50 it' endoete qne dis ersrigna r' ll ' a - [LOISE; d l lJ t Oh i ' lin rI sit sella LeunmF noiera. Ceu!e leu!tlu s % n aiax DE et t les plu, h amati. v, I ,E I. s EN, EPTl: AnyaJ, ep.-4ouL eu i a. La (llyde Revue Firrulciéf'e rLlToioII et o is a Dépôt vamiels sas Taos les jours LE 1 jours prises sur les lien.. COMPTE RENDU COMPLET ILLUSTRE DU l'BOCFS DU Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés 1873 à :!cabre 21 1T.e (lte terrible, vend. en f nota: ira etc 5l. 0,10551x1 loin les soi Chez M. Hzumcam, 3, -a du Musée, et e (92J) parfumeurs et coiffeurs de Fr.nee et de t'étranEe Touzousa : I A Toulouse : Vidal-Abadadio, pharmacien. Ete-es ion de al. AL 4;ols)It,\(:N Ces dons dernières proveuaoces wm 2t Harde Taos 1873 a .. Ilnul-.Arnmynac. à f4R5des CttE VEU On souscrit : à la L.ena,mn Cuvmn 21 OCT0011E DIt à ces conditions. Maison à Paris, 70, boulevard Hausmann. allie.. à Bardeaux, 94, cour. du jardin Public. 4 Il I Tais- au caetroca Il Puai voir les 1872 comme suit, s'os garamie Ciblerais dit pvuver veadeuls st PHARMACIENS Datait dans toutes boa pharmacie. 0 KI de 0 es. 1 ü« tusse de s4e, oan,r,,lie. nu t uetc. ul" 1 [1] - 01 mande de F. 1051'heat- Quant aux Téna= L'inslrnction et le cahier des charges relatifs à cette satinI.'d ne dire bon sont déposés doua les bureaux de la So militaire (rue Saint.Antoine-du-T, 11), où le public ocra rue R g "é' x210 Lo he 3n p2ubique, sol neom tenure 1)2, 0 quintaux métrique, le blé tées, d'une de tendre fin ordinaire, de 6,000 quintaux métriques de blé Ieudre mimdin ou exotique et de 6,000 quintaux colloques d'avoine de la récolte de 1873, à livrer dans le magasin militaire de la place de Toulouse. Segu l'ni ônu es, 11ra 1 iii t i0 -,sa SPECTACLES U a m; t9al à plusieurs producteurs rl' pua été i.' is bien repmussée pue la doraclée, Achat de Denrées ICQQo (Formule prescrite par la loi) Idem le Aune, iquesslan. JoA e-, par du trailempnt du 69,docteur h :a rue d'Amsterdam, docieur Bernard b ob te , U 4x0 0 75 477 710 Bois, stèle Ire qu,l.tcs dam 0 dJy "Il noya) lit. .... èze et Dis Armugnuo, il n'en a été oul- vous prie de faire connallre cette gré rite., que j'espérais peu dans mou âge avancé, et quia été le précieux ré.ultat SVasinrA Salai a' à F. 1201h,et., m s cette offre répétée C'est donc avec reconnaissance qua j prés d'Aaet (Cure-el-Loir). 51 an ya) ( les f oIl _ . I'J a l,(. Pa yual.;m-s pièces d. Iluul-Armagnac 1813 . OBSERVATION IMPORTANTE Nous recommandons. pat 1 nt au pucilteles ublra do ..loure g létq alto !, u 70500 au b d to tés les - --ne. a Cf mu i'UJ 7 Rzpassa, Nuos gemmes donc condamnés, ru par son étendre et aa s tualioo car Vaille et prés du conduit auditif. et maire à Cilles, Va 1. ll UO u 3na 111 s 11 B car, -- lüèles reporter, k dire quil o été la" Mouleur le Itêdacteur, J'ai le bonheur d'être guéri depuis PropriétaireDacnursxe. fila 9e 1 LIS y répondre, sienne les doux lethes suivant', : Agréez, etc. Foi 65 11 ,1' L'n 10 b h=e'1. (RFet,).a; .0s. eAutant l de pat et d'aq"'- v t po ée admis à en prendre connaissance. VÉRITABLE LIQUEUR ttes de LÉNÉDICTINE Bn d I ='e"' SEUL REPRÉSENTANT - que vous la étole ode 45 - r t ay e dans ci1 gr ciel, Il per pool t liai plus ont ne peut nulle. nl aas t,' n ( aa III fera-t.elle uuluellerant. La distiller en non son vin? Lou priæ d bers; Alp. Raffine , Rouzanl - Breulle, Rernardbeig , lélambin, suce.épi Paul, ef chez les pluarmncieas et épiciers. 26, place Ver rue - De Ruer et 11 a0 1n rit l0 5o ' e s C0 10 ce 6I ea tW Do W ......... l!uII te saut en effet - pour n'aborder ot il, 7a 75 oio (Il")...... t00 Y.suané t plus populeaa, mais il ne ,ut pas pour fl' r y lent cala e. déduire qua iron toc. la tasse. - Envoi contre Le mercredi, 29octobre, 4873 au Capitole, al se sp oc(d. à I tant C. FOU UT 1 1 '11W ru,ureo se resees, cors J. il un ¢ Nos marchés commencent à deveun deux uns, d'une affection cancéreuse, qui qui a présenté un danger imminent valets De 19 5, tt 0, . xw. . Coudom 20 notable. t or_h- Nous empruntons à la Pense pari. Berges 128)124 àfr. 3975. Iràa d'Odessa 128)124 àfr. 45. Irka d'Atoff 1281124 àfr. 44 75. Ié ou F0 ....... 80 ae 10 s.0 Vcaest noires ....... 80 l6 al 16 0 .... W I ; li 17 01 uènui t'pe'au , .ssa-de le........ et It 41'1 al ,aetluslrug t7 us. 19 73 Yév - ts . La f filer ........ a 4': 1 Paria, Ventes 13,440 hectolitres. Danube 127/121 à fr. 37 lm (1448) S n! 1 a Ra au 45; Marseille, 20 octobre. Marché meilleur. ,.. dlusigne, Pianos, tloemcn ( t t i-_ neols L b ;tt.e de 49 'aire sans échauver fr. 25 ; de 1176 tasses, 6d le muses, 1 r I t g T ce. d appé ge t i s f Ici: f col-ci fermes aux pei,cun, t pins farhles, et a.-u u t d 20 octobre. Une émeute x éclaté à Paoaroa. Les u 7a 0s U0a50 .... yaie b1lgWou r' rc,b. ......... Doua-F G. l ORFÈVRERIE CHRISTOFLE Porcelabe La 83 acusrI out envoyé 9a a7 uq 10 SO 117 ... , Maïs ots .. de Reoaleaaiiea qu'an peul .auge en taus temp. se -dont en balles d. 8 et La Reuatesoscis d fit dlgeptioo, sommeil, é éclaté fiais b 7 francs. Le rai a 'igné ua décret cBiturant la session du parlement et fixant louver. tore de lit aIlÉon nu 15 avril. 10,9 ) Isoles les pereonnas qm prennent durec!is (i2 tement un abounome, t le six le') au journ a l p il Pays, 19, rue uce r; Vn 11 5, amure ila h nacur, curé. ! 6u x5.10 lé 6 üse Abbad e, pharmacien. 6 kll. 32 fr. 12 ksl. 60 le. - Les.)3iscutl5 li ro W x9 ia cri R sl chez M. Y dol Dépôt à Toulouse, tlU 614 Aa.. Blé m,txd. I 1E ..... 61-dons utt,veun 1871. RIA fuis ao. pris en médecine. Eu botte t;l kit. 2 fr. 25. lit kil. 4 te. 1 ail. 7 l'r amnvmm JÉD1T%f j 11 tJE1Jl DLNFDICTINF Dms,A'AVS, Jiérarre, 23, place de de Medecrne, Paris. NU 10 le 50 iq 5871.. Aladrlta fr 50 Juans Boxas, (de Yat is). Prix : 1 de, sans échauffer , elle économise 50 Rome 20 octobre. est empressé d'envoyer au aunes.. d'eau. s u DEEOla:Cl4[T'l CotttONIQUE I et respire facilement . de La bigadier La.. a délogé la boa. de de Lizarraga il ses positrons , lui causas 12 mores et 14 blessés. Mari.. Des est complètement rétabli marina Adroits, ost été débarqués sur la demande du gons uement de Pana. ma pour protéger le chemin de fer. ROlfa Traitement nouveau. - Brochure de 1,16 pages, 9 édition, par le docteur Six [nia plue nnvenuaea. te qua la vian- la décora lion de la Tour et de l'E. Le vicomte de Massanedes l'ut empressé de se procuerr une couverture dans laquelle a été prudemment enveloppée la reine, dont les vêtements étaient pleins los q f i le permettraient pas avant un délai de sire jeu,,. Nu les mêmes. PIITIIISIU! PI'U ONII URP que nui[ pal "appresflou q Tallait me t a ne perdre la respira o °° 9neje prends In Fine. Il y a boit jn Reralescière du Berry, et je m ée trus, Dés bien. Je dos maintenant très-bton ire ou Dans les trois autres couvents, dont un des clercs mineurs des jésuites, les rect eurs on t pe é se nlé.et aussi u e p, otea Madrid, 19 octobre, L'escadre insurgés s'est présentée hies devant Valenelu, suivie de six bâtiments de guerre anglais et français. Si 1 s die i surgée voulait commettre d tee d'hostilité les escadres étrangères ne aussi peu d'acheteurs ; nos cours restent w .wwstiu. Cure oe 62,845. Pension. reçu aussi les Les affairas sont très pioiblea, en se tient aor la réserve, et chacun Suit'üu jour le jour uniquement ce qui ae prévcote. Peu de blés à la v.aie, tuais GU$kilyON goule ele Les délégué. ont eçu les pvamata Dons et cous gué les certificat de talion verbale et certificats. Oa 20 Octobre inconnue,ainsiquelapetitevérole,rou- quesLoa coDSeuI d'Amérique et de Pnrtu !. MARCHE DE TOULOUSE diarrhées, etc, leur sont complétemeat EprainviIle (S efne-t lés. 1 27 nov. Je souffrais depuis trente-six ec nos d'on tentations pour certains nolto du cou forçait à me relever qu a Veut appartenant à leurs mon peuox.asthme qui semblent le démontrer. i IdleLin i;OJL)me.rcial ! em GSCIIEVEOXde EHAT LE AArt..., est est employé dcyais 40 sus Su S. A. eu Angl ter rx et e n Amériqu e' 'est la seul, préparation qui rondo pisviirior' ¢n n sa cheveux blancs oo gels, leur .r Primifiv., la heautè et le lustre a sntroduitn ce Europe ils sont p rfaitementesempts de maladies ; la phthisie, toeofules, cancers, fièvres, cola s tip aluns, le meurtrier aura pénétré daoa la ci. e à Formeric (Oise), Une amélioraùon sensiblle verbalement, calao les lois ecclésiasli- son ; quelques ! douie doute cet égara. C'est probablement par le grenier qua pourvoi.. Deus prêtres de Chartres se présen térentà lus,,Lies reçut de lo minière la plus brutal, et 1 née Croanier, propriétaire a Les habitants de la province b(r. e prddu-rtrmmédià Fnris t. eatx: gala paraissent jouir d'une félicité 8h0- tlacan . Dépôts à Paris, 35, boulevard sé ; ils neut besoin ni de médecin, Iluuxsmam, et à Toulouse, chez M. Mesn'ede e drog es leur pourriture p inci- fin aîné, 24, rue des Arts. (543) pale étant la Heealescière que Du Barri te a gentiment Le général des P'rancis- ai trouvables; pas en re décuves. L e roché d'hier, à antre halle au blé, s été peu important. Le rwmmee:u n'ayant pas voulu offrir ...delà de 20 fi 50 c., oa pu acheter que de liés. pennes qunDtités. - Ceur. c- : té 55 a 28-50. ' Lucite LAmemar, docteur Liv;ngstotio, an faisant son rapport à la Société géographique de LUnares, sur son voyage en Aloi lise, dit : maison. Les déléguée Y ont ca.aigoé le certifi cet de p pnioe. Bans le couvent gé.ê,aliase de. pères franciscains, les délé go é° oui été loir.. on lit; et les meubles ouverts, les effets épars, le désordre général de l'apporte. précédentes suattnnt aux 1873, fia ae saut Agréez, etc, :ientifigoe a menti...ce ; rangea, rie tes 1872 et a muaquant des malades désespérés (1463) é comme le véritable. mi o vins qui ont dù heur guérilla au mena traitement. le duc de grand explorateur E, désire quej'ai vudé Pluakow, M- la marquise de Bréban, Le à bilant ce fuit a ..eau et en ajoutant constipation, diarrhée, dysserterie, culiques, toux, asthme, élu esouc, auto, up- Les recteurs des collèges étrangers ont présenté aussi une protestation cul- 69. npératire, gastritees, an s ...pins bordelaise, uu, ca.Pts.t docteur paris), et j'obtinsd' bienllt, e guérison complète enroue.t'hui aime, et durable. Je gner ma profonde 9""t-da' ¢n po- am, dsans s purges, gasval gins, glaires, vents, aigreurs, acidités, pituites, nausées, vis, tarie, fis, funèbre boileue; quad quelquesje.,. e pouvait!ailler aucun lainase borna à pr instar briévemont, on voulut mettre les fers oua eai- ce Aevaleacrère Du Berry, qui combat r ea sans sou s copte, pris chez le propriétaire. aux soi j'eus recours sAmatir Les affaires traitées à F. 50 .out exuep JO.avcuvn (actuellement oue coa enidéea et cola cuurx de I r. 55peul élea - A: cane maladie ne 1sisla à la dnu- Les délégus é reçurent m protesteban, croyait quiet voyage était néeexssire unau heures eurent sonné sons qu ou la et coneigaèerat ensuite as jésuites un pour un sopplémeat d'iu'tro larrl. Cr- vît pavaner. Il, résolurent de forcer la certificat pour leur pwssou. Dans le couvent géné.ralisse de Jésus, route, yoot collet. 'ele porte, et pénétrèrent dans sa chambre. esndanl, le recteura présenté aussi une prisestoit de Châteaudun, il demanda ai hors spectacle : Là les attendait un triste peur y mentir. Ne craignez rien clui les traits crispés, les yens injectés de retira formelle aUn de sauvegerêtre lu an condamné trois jours avant menaçait ma vie par cours aérieat - e situer ne blancs nouvelle récolte, cotre F. 50 à 55 progrès qui effraya.!s. Dors cette cruelle situation, de la jprata' mélancolie, diabète, l'peteise, ace protestation an nom de lle co." gorge,ie, toua désordres de de la poitrine, Po, gme de Jéinsus déclarant que e collège gorge, haleine, vois, des bronches, diait une stitution pontificale luter''- voss ie, foie, reins, iate ticaale. cerveau et sang. 175,000 cures, y com- tics elle, et cette e circonstance polluait bien avoir éveillé la cupidité du ma.- 1 s volets de sa maison à une heure ausduel la nuit, dans ' o ouuee escortée I ai matinale que de coutume et cet élanpar la gendarmclin. Oa lui avait dit et il neme.ot devrai de l'inquiétude quand répondit-ru, Faq Vendue. m:,iutenant sa de.,. ee601, elle q.rwe ...le minute de cuisson. Il s'est fait quelque. aChat. - dont comapartmme aurait assez grande four sis ans, sol, Orais d'un an es. au s'in, que rien savait po arrérer et de S. P1ua Aujourd'hui, la junte chargée de la iquidation des biepa ecclésiastique ' a Prs ue t eseioa de sis couvents. Dam le couvent ci. où elle était rentière. Malg é son âge avancé (elle était née en seule. Aime Kien demeurait absolument ute A tort eu à raiit d oucroyait dama TIt', dies. lien' phi'-en-Pévéle, Monsieur le Rédacteur, asa mèi délie par U 111 191 TOUS f tht de santé nevaleecréra De Barry de Lm,- a pas à Paris a l'époque de la rentrée de l'Assemblée, voaluut assister à l'iuau- - -- - -- - - @nRaée: N. tr-I nrlsns, Allées d'EUSyny Rcslanrant et table d ' hôte. Prix modrels 50 111CC 1, DAAt)C1 A CÉDER I P 't d' d I é d rr a I rée v II d avec le, M1I I I m- It g 1 s u n, C. le elle (f0 I< am.:0fx I pour ) 1 S ! d la ! . rl , 12r de Nuude- (14:!9) + n -^.çre r s D ic-;,A. Toulouse, Imp Ph. Aloutaubin