2 la communauté scolaire - Lycée de Garçons Luxembourg

Transcription

2 la communauté scolaire - Lycée de Garçons Luxembourg
PRÉFACE ___________________________________
2
LA COMMUNAUTÉ SCOLAIRE __________________
4
• LES ÉLÈVES _____________________________
• LES PROFESSEURS _______________________
4
20
22
LE COMITÉ DES PROFESSEURS ________________
LE COMITÉ DES ÉLÈVES ______________________
LE COMITÉ DES CLASSES DE PREMIÈRES _______
LE SPOS ___________________________________
23
24
25
LE PROJET D’ÉTABLISSEMENT _________________
30
VISITES, VOYAGES ÉDUCATIFS ET CULTURELS ___
46
ACTIVITÉS ET PROJETS ______________________
58
ÉDUCATION SPORTIVE ET ASSOCIATION SPORTIVE
72
PROJET COMMUNAUTAIRE ____________________
79
Chères lectrices,
chers lecteurs,
C’est avec joie et fierté
que nous vous offrons ce
livret intitulé Les Grandes
Lignes, qui retrace les
nombreuses activités de l’année
passée et dont la richesse confirme
la confiance qu’on peut accorder au
dynamisme et à la générosité de
notre communauté scolaire. Ainsi,
cette deuxième édition des Grandes
Lignes inaugure ce qui est en passe
de devenir une tradition : présenter
à chaque rentrée une brochure qui
reflète la vie scolaire de
tous les jours et qui donne
aussi à l’engagement sa part de
reconnaissance, en encourageant
d’ailleurs chacun à participer à
l’une ou l’autre activité, voire à en
proposer de nouvelles !
Les
Grandes
Lignes
nous
permettent d’exposer brièvement,
dans « les grandes lignes » justement, les 3 axes pédagogiques
fondamentaux de notre école,
autant pour éclairer les nouveaux
arrivants que pour rafraîchir la
mémoire de tous ceux qui
connaissent les couloirs du lycée
comme leur poche ! Ainsi, la vie
scolaire au LGL évolue autour de 3
concepts primordiaux : d’abord, il y a
3 lettres pour une tradition, ensuite
des projets d’établissement pour
l’innovation et enfin l’engagement
personnel pour plus de solidarité.
D’abord nos initiales : L-G-L ! Ces 3
lettres se retrouvent dans de
nombreuses dénominations qui désignent autant des brochures que
des projets d’établissement ou des
activités culturelles. Pour mémoire,
en voici quelques-unes en vrac : Let’s
Go Lizards, Let’s Get Loud, LanGues
déLiées, Les Grandes Lignes. Retrouver ces 3 lettres est donc devenue une coutume. Mais au-delà
du simple gimmick, elle symbolise
surtout une ambition : perpétuer
une certaine tradition pédagogique,
celle de faire passer de génération
en génération non seulement le
savoir, mais le désir de savoir et de
cultiver ainsi la curiosité inhérente
aux jeunes.
En effet, la clef de voûte de
l’éducation au LGL résidera
inlassablement dans l’engagement
individuel de chacun, à son niveau,
selon ses possibilités ou ses
désirs, notamment par le biais
des nombreuses activités périscolaires qu’offrent nos enseignants.
Évidemment, chers élèves, inutile
de vous rappeler que cet engagement commence obligatoirement
par l’attention et le soin que vous
porterez personnellement à vos
propres études.
N’oubliez pas que notre société a
besoin de vous, qu’elle a besoin de
personnes bien formées et à l’esprit
critique, de citoyens responsables
et autonomes sans être égocentriques.
Tenter,
le
plus
souvent possible, du mieux que vous
pouvez, de mener à bien vos études,
c’est déjà exprimer une forme de reconnaissance et de respect envers
vous-mêmes et vos concitoyens.
Chercher à faire correctement son
travail, quel qu’il soit, représente
le premier pacte implicite que vous
3
signez avec la collectivité qui vous
accueille en son sein. Il s’agit certes
d’un engagement primordial très
peu spectaculaire, sans tambour ni
trompettes… Mais il n’en reste pas
moins que professeurs et élèves
s’investissent ensemble pour un
objectif qui nous transcende tous : le
bien commun et le bonheur du plus
grand nombre. Enseigner et étudier,
c’est en soi s’ériger contre la misère et la barbarie. Par conséquent,
vouloir réussir ses études au mieux
de ses propres capacités constitue
un de vos premiers actes politiques.
Quant aux projets d’établissement,
ils constituent le deuxième pivot
du lycée et donnent une orientation
particulière aux activités organisées dans et hors de la classe. De
tels projets peuvent avoir des répercussions jusque dans les cours
mêmes en influant sur certains contenus ou sur certaines évaluations.
Le projet actuel a débuté l’année
dernière et se dénomme, comme
la plupart d’entre vous le savent
déjà, « FRVscience »( consulter le
lien suivant pour de plus amples
informations : http://sciences.lgl.
lu). Comme son nom l’indique, les
activités
proposées
mettent
l’accent sur des contenus et des
démarches scientifiques, mais ce
dans un souci permanent d’associer
toutes les disciplines sans
exception à la Fascination des
sciences,
aux
nombreuses
Réflexions éthiques que les
développements
technologiques
nous imposent, ainsi qu’à la
volonté de susciter de nombreuses
Vocations. Par les nombreux
échanges qu’un tel projet suscite
dans la communauté scolaire, il
contribue notablement à l’entente
et à la collaboration fructueuse et
constructive entre tous les intervenants du lycée.
Enfin, n’oublions jamais que
notre éducation humaniste s’articule
autour de la volonté de servir autrui. Contre tous les défaitismes, les
pessimismes et le catastrophisme
bruyant des médias faisant leurs
choux gras de la misère du monde,
chaque geste compte, aussi minime
soit-il.
Le projet d’engagement communautaire de juillet dernier en constitue
la plus récente démonstration. En
effet, le point de départ de cette
manifestation était la volonté de
renouer avec la tradition du
«Schoulfest ». Mais au lieu de
limiter cette fête au seul
divertissement, l’idée a très
vite germé que le LGL se
devait de donner à cette journée un
caractère caritatif. C’est ainsi qu’est
né le projet de soutien à l’association
« Aide à l’enfance de l’Inde ». Force
est de constater que ce projet a été
couronné de succès et que cette
initiative a tenu toutes ses
promesses. Nous ne manquerons pas de vous communiquer le
montant précis des dons récoltés
dans Les Grandes Lignes n°3 !
Faire acte de solidarité est un
devoir civique, une nécessité
morale, et même un instinct inné
auquel l’éducation doit juste permettre de s’exprimer pleinement. En
effet, l’éducation et le savoir nous
encouragent à nous considérer
plus souvent comme des acteurs
et non de simples spectateurs
de ce monde. Il ne s’agit donc pas
d’endormir sa conscience à peu de
frais mais de se concevoir comme
redevable à autrui. Dans ce contexte, citons Victor Hugo dans un
de ses discours à l’Assemblée
nationale : « La misère est une
maladie du corps social comme
la lèpre est une maladie du corps
humain ; la misère peut disparaître
comme la lèpre a disparu. Détruire
la misère ! oui, cela est possible.
[Je] dis que la société doit dépenser
toute sa force, toute sa sollicitude,
toute son intelligence, toute sa
volonté, pour que de telles choses
ne soient pas »(9 juillet 1849).
Entre les études, le projet
d’établissement et l’engagement
communautaire, la boucle est
donc bouclée. Ces trois piliers convergent vers un objectif commun :
nous permettre de devenir des êtres
accomplis, solides et responsables,
capables d’apporter notre contribution au bon fonctionnement de
la société tout en recherchant
notre propre bonheur. Gageons que
la quête de cette richesse humaine
ne représente pas le moindre attrait
du LGL.
Bonne lecture à vous tous !
Benn Schroeder Coryse Simon-Junius
Directeur
Directrice adjointe
1A
RÉGENTE: COLETTE WAGNER
BADEN REBECCA
BINTZ AMANDA
CONZEMIUS CATHY
CUMMING SOFIA
DE MICHELE SARA
DENEUMOUSTIER FLORENCE
FRANZISKUS SOPHIE
LEIDNER CHRISTINE
MARQUES VIRGINIA
NIESEN KELLY
POPOV SOPHIE
RAVEANE TANJA
WENGER JILL
CAREY DANIEL
LEY SVEN
MOUSSET THIERRY
REICHLING YVES
La communauté scolaire 5
1B
RÉGENT: PASCAL DAMAN
ALBERT MARC
BIRGET DAVID
BIVER JIL
BOSCO JOELLE
MOLITOR BEN
MOUSEL POL
NOULLET KRISTIAN
PEREIRA SEMBLANO DIANE
DOS REIS BRANDAO CHRISTIAN RECKINGER BEN
LENERT STEPHANE SENSKA MATTHIAS
LEVY JESSICA WEILER VIC
MATHIEU PATRICK WILHELMY FABIENNE
MAZOUIN LAURENT
1C
RÉGENTE: MYRIAM PONCELET
ABREU DIAS SONIA
BECK LAURENT
BERTEMES BEN
BONTEMPS SYLVIE
BRAUSCH ALEXANDRE
BROSIUS JILL
BROSIUS MARIETTE
CATHREIN CHAREL
DIEDRICH KIM
ENGEL SVENJA
GLODT CHRISTIAN
HALILOVIC ZIJADA
KLEIN BENJAMIN
KRACK MICHELE
LOSCH FELIX
MARTIN AXELLE
MATHIEU DANIEL
MERTENS LUC
PAULY MATHIEU
PICCINI CELINE
RASTEGAR NEGUINE
ROLLER TOM
RONK PIT
SCHINCARIOL TIM
SCHINTGEN FIONA
SCHROEDER CHRISTINE
SCHUMACHER ANNE
SEDRANICATHERINE
STEIL RAPHAËL
WITRY MAX
1D
RÉGENT: GERRY ELS
AGNES KAY
BESCH SHEILA
BINTENER MAX
CLOOS LORI
DE GRAAF MAARTEN
DECKER MARITE
DECKER MAX
FANTIN CURY GABRIELA
FOURNIER ANTONIN
GILLANDER ALEX
GÜNTHER DAVID
HOFFMANN JEAN-MARC
JOSEPH THIERRY
KRIER MATHIEU
KUNSCH JOE
LELONG JOELLE
LUCIUS JULIE
MORO CHRISTIAN
OBERWEIS BOB
SCHMIT ALAIN
THOMAS CATHERINE
VANDENHOEKE LAURENCE
VINANDY-LAU SAM
WEBER CELIA
WIRION PAUL
6 La communauté scolaire
1DG
RÉGENT: MARCEL BOHLER
ANEN ERIC MOSEL KIM
BICHEL RICKY MULLER SARAH
DA COSTA FREITAS SYLVIE NEUMANN JULIE
DE RON STEPHEN NIMAX VERA
DELVAUX LAURA REINSBACH ANDREE
FALTZ ANNE SAMUEL EMERINE
FEIDT NATASHA SATI BHAWNA
GRAAS LUDOVIC SAUBER MARIA
GRÜN CHERYL SERVAIS ANNE
HANSEN KIMBERLEY STEIN ANNICK
KIRCH SAMANTHA SUNNEN CHARLES
LAHAYE MARIE VENANCIO DA CRUZ JOEL
MEIERS DANIELLE WORMERINGER NIC
1E
RÉGENTE: MARIANNE THILGES
AKHTAR SARA
EVERAD CAROLE
EWEN ANNA
FEIEREISEN MARTINE
GASPERI ALEXANDRA
HEIREND JESSICA
HENGEN ELISA
HOLSTEIN MARC
KLARES MICHEL
LUDWIG MARTINE
1G
MARTINI RICCO
MEDINGER JIL
PERL TAYRINNE
REILAND MICHELE
SCHLECHTER SARAH
STEPHANY YARA
THESING EVA
THILL KINA
VELAZQUEZ DEBORAH
WEBER LILY
RÉGENT: PAUL DIRKES
BECKER EMMANUEL
BERNARD DJUNA
BOES CAROLE
DEVAS TOM
HANSEN MAXIME
HEINEN LIVIA
KLEPPER TOM
KLOPP JEAN-MICHEL
KRAUSCH RICHARD
LACOSTE PIT
LIPPERT JOANNA
MASSET CAROLE
PETERSEN MICHELLE
RAAS ANNE
RASQUE PHILIPPE
SCHLEIMER TED
STEICHEN MAGALI
STIRN BENOIT
TURPEL VICTOR
WINANT JEROME
YOUSSEFKARIM
La communauté scolaire 7
2B
RÉGENT: JEAN-PAUL ZANTER
ANDRADE DA CRUZ LUIS RAFAEL MOHTASHAMI JASMINE
BECK MAX PUTH DANIEL
BINSFELD GONCALVES LAURENT ROCK OLIVIER
CORDEIRO FONSECA GREGORY RONCK JEAN-MARC
ESTEVES BRAS DE BRITO TIAGO SCHMIT PHILO
JESUS CABANAS EMANUEL
SOURDOT RICHARD
KIEFFER RICK
STEBENS GILLES
KREMER CLAUDE
WAGNER ANNE-SOPHIE
LAM KA-YU ELISA
WEIRIG TIM
2C
RÉGENT: MICHEL KLOSEN
ALTMANN GILLES
DAHM SASCHA
DECKER CENDRINE
DESCOUPS DOMINIQUE
DREIS PHILIPPE
ENGEL MARTIN
FISCHBACH JILL
KOOB CLAIRE
KREFTING PHILIP
LETHAL JIL
MEDINA DIAS ELODIE
MOUSEL CAROL
MUSTAFIC KEMAL
2D1
QUINN CHLOE
ROMMES BASILE
SCHMIT KELLY
STARK LISA
THILL SANDY
WAGNER LOUISE
WEITEN RICK
WELFRING FRANÇOISE
WENIGERJACQUES
WILTGENLUCA
WIRTGENALINE
ZIMMER MAITE
RÉGENTE: HUGETTE SCHROEDER
BAIG WASIM
BARZEN MARTINE
CALMES SOPHIE
HELLINCKX DORIAN
HOFFMANN ANNICK
LOSCH NOEMIE
LUX CHRISTOPHE
LUX CHARLES
MERTEN MARTINE
MUHLEN SVEN
QUIAIOS JOANA
SCHETTGEN ERIC
STOJKOVIC STEVAN
YU ELLA
8 La communauté scolaire
2D2
RÉGENTE: SYLVIE FAUTSCH
ALTMANN FLORIAN
BRAUCH JULIE
BREDEN GIO-KENICHI
EDLINGER PIERROT
HAAG CAROLINE
JANSSEN JULIA
KRIER SARAH
LAMESCH JOE
2E
RÉGENTE: ROMAINE ALESCH
ANNICCHIARICO
GIUSEPPE JOE
BACKES LYNN
DE CILLIA SOPHIE
DELHALT ERIC
DEMUTH ANDY
DENGLER MARION
DRESCH LAURENCE
FEIDERT SARAH
GILLES LARA
HAAL HELENE
HEMMEN ANNE
HENTZEN MICHELE
2G
MEYER LORIS
NATHAN ANOUK
SCHILTZ CAROLINE
SCHROEDER PAUL
STAUDT VINCENT
WAGNERMICHELLE
WEGFAHRT ALEXANDER
WEILANDHIPPOLYTE
HOFFMANN ANAIS
HUBERTY MELINA
LOSCHETTER PASCAL
MAURY MELANIE
MICELLI TAMARA
PHILIPPS LOU
PORTRON LAURENCE
RAMIREZ AUDREY
ROCCO NADINE
SCHUH TAMMY
SOWA GIULIA
STEFFEN MICHELLE
WIRION CHARLES
RÉGENT: PIERROT KAILS
ANDRICH TONY
BODEN CLAIRE
BRESER NADINE
BRESER CLAUDE
CARUSO FRIEDERIKE
DECKER KIM
EVEN PIT
FABER JOY
GERIN SAM
IMMER CHRISTOPHE
KIEFFER KEVIN
MAURICE GABRIEL
MENDES PEDROSA YOANN
MULLER CIBELLE
NEUSER CHRIS
QUARING MAX
RAMEAU THIBAULT
RAPAROLI SARAH
REILAND SANDRA
SCHARFE PAUL
SCHIAVONE ALESSANDRO
SCUDERI ALEXANDER
SZTURMA NICOLAS
THILTGES DAVID
WOLMERING KEVIN
La communauté scolaire 9
3A
RÉGENT: GERARD FEIDER
AFONSO MATOS FABIO
CHILLON MELANIE
DEBUGNE LOUISE
DIEUDONNE LARA
DONDELINGER CATHY
HANSEN MELODY
HUBERT CATHERINE
KAZAKEVITCH MARINA
LECHES KATJA
MARCY JULIEN
3B
MULLER LINDA
O’CONNELL NICHOLAS
OLY CAMILLE
REDING ANNIK
RIMI DEBORAH
SCHNEIDER FLORENCE
SEDRANI ELISABETH
SOTT STEPHANIE
VONCKEN JOE
WEBER MAXIME
RÉGENT: PIERRE PETRY
BOEVER CHRIS MORAVA MARTIN
BONTEMPS PHILIPPE MUNOZ HEINEN LUIS
BRENDEL JOE NIES JEAN-FRANCOIS
DE SOUSA VALENTE XAVIER QUINN ISABELLE
DENEUMOUSTIER OLIVIER RAUEN GILLES
HENDRICKX WINONA RECKINGER CAMILLE
KAHR PATRICK SCHONS FELIX
KREMER NORA THULL MICHEL
KRIER MELVIN WAGNER DIANE
LOHR MATHIEU WIRION CAROLINE
MAZOUIN BERNARD WITRY TOM
3C
RÉGENT: PIERRE KUFFER
BACKES JENNIFER
BERTEMES BOB
BRUNS GEORGES
CHAPELLIER VICTORIA
DELL CHRISTOPHE
DETHIS MARINE
DORBAN ANTHONY
FANDEL LYNN
FEIT JIL
FERRARO CARMINE
GILLANDER TOM
JACOBS PIT
JEGEN JEAN-JACQUES
JONES CHRIS
KAP BENJAMIN
KIMMEL MARA
LOSITO JESSICA
MERTEN DIANE
MYSORE ANNIKA
PEREIRA GOMES DIANA CAROLINA
RODRIGUES RICARDO KEVIN
SAUER ANOUCK
SCHWARTZ PIERRE
SCOMBUSSOLO KATIA
SOUZA MORAIS EDSON
TEIXEIRA DOS SANTOS INES
TERRES PHILIP
URBANO SVEN
WORTH MICHAEL
10 La communauté scolaire
3D1
RÉGENT: MARC SCHILTZ
BECKER MAX
DAEMEN STEVE
FABER CAROLINE
FLAMMANG NICK
HAUKSSON HILDUR
KEMP MICHELLE
LAMESCH ANYA
LEIDNER CATHERINE
MOAYED ARIANE
MULLER CLAIRE
NESSER CHRISTOPHE
OLINGER MAX
POMPEI JULIA
REC DALILA
3D2
RÉGENTE: MARTHE THILL
AAKRANN ELIN
BARTZ FABRICE
BERGEM JEROME
BETTENDORF BASILE
BINTNER JOY
BISENIUS MARTINE
BIVER ERIC
BRAUN SAM
BUFFADINI CHRISTOPHE
FELTES TUN
HELLERS ZOE
HOFFMANN MARIUS
KIM DIMITRY
LALLEMAND AUDREY
LAUER ERIC
3EG
REC AMILA
REIFFERS STEPHANIE
SALVATI MATTEO
SANTIONILINDA
SCHILZ CHRISTELLE
SCHMIT JIL
SCHMITZPAUL
SCHUSTER ALEXIA
SERRES LAURENCE
SMAILOVIC FATMIR
STEINMETZ LIS
THEIN MARC
WIRION PIT
ZOLLER CHRISTINE
LECLERC MANON
MANAIA MORAIS JOAO
PAULO
METTENHOVEN NADINE
MIMOSO TORRES HUGO
PATRICK
NG YU MING
ROSSI DAVIDE
SCHAEFFER BEN
SCHILLING NICOLAS
SCHUMACHER PIERRE
SUNNEN SOPHIE
THILL LAURENT
WEIRIG MARC
RÉGENT: JEAN-LOUIS WEIS
ALFF LISA
ALLIAUME LIZ
AST JOE
BILDGEN LAURA
BLESER MICHELE
BRAUN MICHEL
D’INCAU CLAIRE
DI VORA PEIXOTO MARISA
DUSSIER GREGORY
FEIPEL JULIE
FRIEDEN CHRISTY
HUTCHINES LUCY
JACOBY ANNE
JIMENEZ GONZALO
JOSSI PASCAL
KRACK SAM
KRÜTTEN MELISSA
LEVY KIM
MALTER LENA
NIEDERWEIS TAMARA
OLIVEIRA DA FONSECA
JULIE
PECKELSMICHEL
REDING MARIELLE
THYSSENDAVID
VISSCHER CHRISTOPHE
WEBER PIT
WINANT JENNIFER
WOLTER LAURENCE
ZIMMER LYS
La communauté scolaire 11
3G
RÉGENT: EMILE HOFFMANN
ARAUJO DA COSTA
STEPHANIE
BLOCK TAMARA
BONARDEL JEROME
BRAUN MYRIAM
DE JESUS FERREIRA
ANA PATRICIA
FRANTZ MURIEL
FRIDEN MARTINE
GASPAR DIAS PATRICIA
HAAS PIT
HARSCH CONNY
HOFFMANN DUSTIN
KLEIN LARA
MAURER SOPHIE
4L1
RÉGENTE: MYRIAM MELCHIOR
BIVER VICTORIA
BLESER TOM
BOEVER ANNE-CATHERINE
BOUR LYNN
BOURMER PHILIPPE
DE SOUSA VALENTE LARA
DEMMER CEDRIC
ELVINGER CATHERINE
FALTZ GILLES
GROOS NOEMIE
GRÜN YVES
HANSEN BERENICE
KRIER SERGE
MANDY CHRISTINE
MARGUE MARIELLE
4M2
MULLER VERONIQUE
NAU MICHELE
POEKER MARIE-CLAIRE
REDINGER POL
RODENBOURG MAX
RUPPERTJOE
SCALISE FRANCO
SCHINTGEN JULES
SCHOLTES JACQUES
SEDRANIMICHEL
SOUSA SILVA WANESSA
STURGIS RICK
WALDBILLIG DANIEL
WUNSCHNOEMIE
MERLO MARTINA
METZ CHARLES
MUSTAFIC MIRSADA
PAPILLO LARA
PINTO SILVA KEVIN
SCHMIT NATHALIE
STEBERL ANTOINE
STIEBER MAX
THILLMANN JASON
THOMMES RENEE
THULL CHARLES
WAGNER LIZ
WAGNER FRANÇOISE
WEYLAND CAROLINE
RÉGENTE: MARTINE CALMES
DAUPHIN MAURANE
DURY SARAH
ENGEL LESLIE
ESSLINGEN NORA
FEYTEN MAXIME
HOFFMANN MARA
JOHANN LYNN
KIEFFER LYNN
LEHNEN CHRISTOPHE
LOBEFARO ANTONIO
LUISI JESSICA
MAITRY CAROLINE
MANDERSCHEID JEFF
MORGA YLENIA XENIA
MORUZZI LINE
NAU MARTINE
PINHEIRO BAPTISTA DIOGO
PINTO MARTINS RAFAEL
ROCK MARLON
STEFFENSAM
WEIRIG SVEN
WILLEMS CLAIRE
WILWERS STEPHANE
12 La communauté scolaire
4M3
RÉGENTE: KARIN ROEMER
BARTHEL JOANNE
BECK PHILIPPE
BECKERS LAURA
BIVER PHILIPPE
BRESER JOE
DONDELINGER POL
GILLEN OLIVIER
GLESENER CATHERINE
GOEDERT NOEMIE
HEUERTZ JOANNA
LECLERC JULIETTE
LUDWIG THIERRY
4M4
RÉGENTE: MARIE-PAULE BOCK
ALFF LAYLA
BRUNS ELISABETH
COURTE LUCA
DUHR MELANIE
EVERAD YANNICK
FEIS OLIVIER
GRAAS MICHELE
GRETHEN JEROME
HAMBLI FLORIAN
HELLINGHAUSEN ROMY
HENKES MAX
HEUSCHLING YVES
LAUER CHRISTINE
LEPOT DARIUS
4M5
LUX KEVIN
MAJERUS MARTINE
MEIRA LOPES DE
OLIVEIRA ALEXANDRA
POLO DJAMILA
SAMAIR LOUP
SAUBER VINCENT
SCHMITZ PHILIPPE
SCHOLER TOM
SCHUMAN CHRISTOPHE
STURM CORINNE
ZEIMES YVES
LIEGEOISLUKA
LODHI NATHALIE
MATHIEU LOU
MOHNEN MARA
MOHNEN MAXIME
MORASCHINI DANILO
PEPIN LOU
PIMPAO FILIPE
POLFER JESSICA
SALVATI STEFANIA
SANELLI ALEXA
STEFANOPOULOS
DIMITRIS
RÉGENTE: SIMONE BIEWER
ANDRADE ALMEIDA ANITA
BAUSTERT CHARLES
BECK JOANA
CUCUKOVIC DIJANA
CUMMING LUCIE
DIEDERICH JULIE
DOS SANTOS VINAGRE JILL
DOSTERT JIL
EWEN LISA
GONCALVES RIBEIRO
JORDY
HEINEN ANNE
HOFFELD LAURE
HOLDEN BEN
KAHN-CLELAND ROXANNE
KAYSER LIS
MARQUES DIAS SAMUEL
MULLER MAX
REVENIG ANNEMIE
SCHMIT NINA
SCHMIT CHAREL
WENIGER MARTINE
WILHELM GIULIA
La communauté scolaire 13
4M6
RÉGENTE: DIANE LAUTERBOUR
BAZILLE CORENTIN
BOTMAN THIBAULT
BUCHLER STEPHANIE
CASCIATO DINO
DIEDERICH SARAH
DOS SANTOS BATISTA
STEPHANIE
GATLEY LAURIE
GEFFROY ALISON
GOMES DA SILVA JORGE
KESSLER EMILIE
KIRSCH CATHERINE
KRAUS JEAN-PHILIPPE
LETHAL JESSIE
MANIQUE SERGIO
5L1
MARTA MATEO
MEYNADIER MELANIE
MONTEIRO NOBRE DANIELA
MULLER PHILIPPE
NAVEGA DOS SANTOS
KATY
REICHER RONNY
SANTOS LOPES CATARINA
SILIGHINININA
SILVA FREITAS CAROLINE
TAVARES ANDRADE
MARCUS
TRICARICO LUCA
ZIESER SVEN
RÉGENT: PAUL EVEN
AGHAJANI TARA
AREND CHRISTOPHE
BUEKENS LISE
CALMES GEORGES
DONVEN MARTINE
FELTES NIC
HOFFELT NOE
JUNCK CHARLES
KAISER CHRISTIAN
MARGUE PHILIPPE
QUINTUS DAVID
RERMAN SABRINA
ROLLER CHRISTINE
SERRES JEROME
STROBELCHRISTOPHE
THOMMES SVEN
VIEIRA MENDES SANDRO
VONCKEN JERRY
KHORSANDIAN MARIE-CHRISTINE WEBER LYNN
KRECKE MAX WEBER MARIE
LACOSTE HENRI WIVENES JEAN
MALHEIRO FERNANDES PEDRO
5M2
RÉGENT: CLAUDE REILES
ALEKSANDROVA MARIA
BOSQUEE ALEXANDRA
BRENDEL TESSY
CARDOSO DIANA
DE VRIES CLOEE
FRIEDEN YASMIN
GLESENER SARA
GRAD KATHARINA
GRIGORIEVA MARIA
GRIPPO SARAH
IMMER GILLES
KESSEL SABRINA
KOEGEL FELIX
LASSO PENA FERNANDO
LEHNEN CYNTHIA
MOITZHEIM PABLO
OBERWEIS GILLES
PRANGE BASIL
ROUSSEAU MATHIS
SCHLEIFENBAUM MICHELLE
SCHMIT ANNIKA
SCHNEIDER LAURENT
SLUNECKO ERIC
VIDALI ALIENOR
WAGNER LAURA
WEIRIG DANIEL
WEITZEL ANNU
14 La communauté scolaire
5M3
RÉGENTE: TONIA BRUCH
ADAM LUKAS LOMONACO LOUIS
BATTELJEE CHRYSTELLE MARZONA MIKE
BIRDEN FRANCOIS
BRUCHLE LAURA
CARBONE LUANA
COUTO PINTO RICARDO
DE CAROLIS JORIS
FEIPEL LUCIE
GROBEN JEROME
HEINEN PAUL
HOFFMANN OLIVIA
KLONS NADIA
KONSBRUCK LUCY
LENTZ LUCIE
5M4
SCHMIDT LASAR SOPHIE
SCHUMACHER JULIE
SCHUMACHER XAVIER
SCHWARTZ LEA
THILL ALEX
WAGENER JULIEN
WEYLAND THOMAS
RÉGENTE: MICHÈLE LENTZ
BEGANOVIC SEAD
BOULOIS JOY
BRAAS LENA
DISWISCOUR CHARLIE
DOS REIS SINDY
DURAES ANDREA
FIORETTI JULIE
FISCHBACH MAX
GIDT LISA
GODART YANNICK
HAKIM LOUIS
KESSELER VERONIQUE
KIM RUSLAN
KRAMMEL VALERIE
5M5
ORSINO ALESSIA
PIGNATELLI MARC
PUTZEYS BENOIT
SAUBER LYNN
SCHLECHTER FREDERIK
MOLITOR LOUIS
PAULMIER HELOISE
PESTANA NAKAMURA
YOSUKE
PLEIMLING MATHIEU
SCHAUS MICHELE
SCHMIT LARISSA
SCHMIT CHAREL
SCHMIT JEFF
SCHMITT NINA
SCHUSTER NATHALIE
SCHWARMES JEAN-CLAUDE
TANI CHRISTIAN
WILTGENWILLY
RÉGENTE: JOELLE WEBER
BAJARD MARYSE
DE SOUSA VALENTE LINDA
DECHAMBRE DANIEL
DELL NATACHA
DEMUTH DANY
ECKARDT TOM
FABER MICHELE
GASCHE SARA
HEITER SAM
LENERT ALEXANDRE
LEONI CARLA
LOUTSCH FRANCOIS
MATIAS ALMEIDA LEANDRO
MEYERS JOE
MUHLEN KIM
OBERWEIS JOE
OMMEGANCK ELINE
RAUSCH PATRICIA
REIFFERS JULIEN
ROMMELFANGER TOM
SCHILL LAURA
SCHROEDER ELISABET
SEILER MAX
STEBENS LUC
TSCHUANMEN HUA
VAN DEN BERG MAXIME
DE
La communauté scolaire 15
5M6
RÉGENT: GUY ARENDT
BERGEMANNA
BOENTGES LEE-ROY
BONTEMPS NICOLAS
BRIADE LUCY
CONTRERAS LATORRE
CLAIRE
DUONG GIA QUAN
GARSKE BIRGIT
GRUZMAN REBECCA
HEIN CINDY
JENSEN FREDERIK
KHATRI SAVINA
LAM YAN
LEMOINE LUDOVIC
5M7
RÉGENT: YOUËN WENANDY
BADEN SAM
BAZAZAN SABA
BREUER ELISABETH
CAMELO MOURA ANA
CEMAN NERMIN
COLLAS CAMILLE
DA COSTA BELEM RICARDO
DA COSTA OLIVEIRA CATIA
DA SILVA JORGE DANY
FERREIRA CARDENAS MATIAS
FERREIRINHA MATEUS DAVID
GLODE TARA-LEE
HAFNER VINCNT
HASANOVIC PAMELA
6L1
MASSI ALIZE
REC HARIS
ROMMES MAXIME
SCHEIDER LAURIE
TANG CONNIE
TERRES SOPHIA
THIRIOT CAROLINE
THOSS JONATHAN
VAN DEN BERG VICTOR
VINANDY FELIX
WAGNER ESTELLE
WEBER JOE
WELTER MAX
WEYDERT DINA
HEINEN CHAREL
KHATRI JAMUNA
LANGERS MAEVA
LAPLANCHE ALINE
LEHNEN NAOMI
PUTZEYS SEBASTIEN
REINARDT JIL
SALMON ANAIS
SATI SHIVANI
SCHMIT SUSY
SCHOLER JULIE
SZTURMA CELINE
VAUDOIS CHLOE
RÉGENTE: JEANNE STEINMETZER
BUEKENS LARA
COLLAS CAROLINE
DE CILLIA GIOIA
FRANCESCA PAULA
DECKER EMMANUEL
GUENTHER ADA
KAYSER NICOLAS
KEIPES ELISABETH
LEAL CORDEIRO DANY
LENTZ MAX
MAJERUS GIL
MERSCH NOAH
METZ PAUL
MOLITOR MAX
NILLES CLAIRE
PIROTTE PIERRE
POULAIN ALMA
RECKINGER LOU
ROLLER VINCENT
SANTINI ROMÉO
SCHMIT CASSANDRA
SCHMIT LISA
STEBERLMARIE
STIEBER MARA
URBANO RALPH
URBANY STELLA
WEICHERDING ZOE
WELFRINGER MAX
WIWINIUS VALERIA
ZENS ANOUK
16 La communauté scolaire
6LM2
RÉGENTE: VIVIANE LORANG
BARTHEL CHARLES
BAÙ ENRICO
BERNS LUC
BINTENER LAURA
BOSSELER TOM
BRÜCKER JULIE
CHOI HONG KIU
DUX ANALENA
ENGEL ANOUK
GUTENKAUF MARIE-JO
HENTGEN CLAIRE
HILGER NINA
JOST JORDI
JOST GINA
KIESCH JULIE
6M3
RÉGENT: JEAN-CLAUDE FRISCH
AAKRANN MAY
BOEVER JEAN-LOUIS
BRESER NINA
DOMINGUES SARAH
FEHLEN PIT
GASCHE LISA
GIBERYEN CHRIS
GRUEN SARAH
HEUERTZ SAM
HOMMEL SEBASTIAN
JUNCKER LAURA
LEMARQUIS DESIREE
MORO FIONA
6M4
KOHL SVEN
KREMER GEORGES
LOOS CHARLES
MANGEN SOPHIE
MANGEN VANESSA
MOOTZ MARTINE
MULLER MIL
PUTH CHARLIE
QUINTUSCÉDRIC
SCHAEFFER LARA
SHEPPARD ROSE
STANKOVIC TEODORA
THEOBALD MAX
WEIMERSKIRCH JOE
MORUZZI CAMILLE
NATI NOEMIE
RAUEN LAURA
RODERES-GIERENS MARIE
ROSSI RAFFAELE
RYCHLICKI KAMIL
SAUBER NICK
SCHILTZ NICOLAS
SCHON MATTHIEU
SCHULER CHAREL
WAGENFELDT ANDY
WEIMERSKIRCH BEN
WILDSCHUTZ JULIE
RÉGENT: CARLO BERNARD
BERTELLI LUANA
BOSQUEE JIL
BRAUN DAVE
CHAPELLIER DAPHNE
FEIS LOIC
FEYTEN NICHOLAS
FLAMMANG CAROLINE
GALOWICH LOUIS
GEORGES PHILIPPE
GRIVET SOPHIE
HEUSCHLING POL
HOFFMANN DAVID
JUNCKER VIOLETTE
KASS CATHERINE
LAGODA JESSICA
LESSINGER NOËL
OLIVEIRA CARVALHO PATRICK
PIOCK PETER
REDING LINA
REIMER JULIEN
RIES ADRIEN
SANELLI LAETITIA
STEYER JIL
WAGNER LAURENCE
WEIRIG MAX
La communauté scolaire 17
6M5
RÉGENTE: VIVIANE SCHONS
ALFF PIT
ANEN VERA
BINTENER MAX
CARVALHO MATOS DE
ASCENSAO KEVIN
DONVEN MIKE
ENGEL YANN
FEIT LAURA
GOEDERT NICOLAS
JABLONOWSKI LISA
KASEL GIL
KERGER JEFFREY
LECLERC TIM
6M6
LUX CHRISTINE
MARTIN CAROLINE
PANSIN LISA
POMMERELL RICK
ROMMELFANGER BOB
SCHILLING DANIEL
SCHLESSER CHRISTOPHE
SCHMIT DAMIEN
SCHWEITZER DAVID
THILLMAN ELSA
VUJAKOVIC OLIVER
WALDBILLIG MAX
WANDERSCHEID CHRISTINE
RÉGENTE: MICHELE THILL
BERTRAND PAUL MUNHOWEN JAMIE
CHRISTEN PIT NATHAN LOÏC
CONZEMIUS LISA NEYENS CHARLY
DA SILVA PEREIRA FILIPE OMEROVIC KEMAL
GLODT JANINE RIND TOM
GOEDERT NICOLAS RODRIGUES RICARDO DYLAN
KAP PIT ROLLER ZOÉ
KREMP LENA SLUNECKO MICHELLE
KROKOS IOANNIS SMAILOVIC FATMIRA
LEMOINE SAMUEL SUNNEN SOPHIE
LUX MIKE THILMANY JO
MULLER BRENDA WEIS FELIX
MULLER JEFF
6M7
RÉGENTE: JANINE GOEDERT
ALBRECHT JULIAN
AZEVEDO TEIXEIRA
ADRIEN
BISENIUS STEPHANIE
CRAPANZANO SAMUEL
PASQUALE
DEBY ESTELLE
DOMINGUES VENANCIO
MARIANA
EMERING RIKO
FEYEREISEN CLAIRE
GLAESENER NOEMIE
GORGES PIER
HERMANNSSON KRISTJAN
KERROUMI MORENO YANIS
KLEIN PIT
LAHYR DANIEL
PIRES ANDRADE RUBEN
POIROT LUCAS
RIBEIRO MANIQUE SARA
SCHORTGEN DAVID
THACKERAY MAX
VAN DAMME XAVIER
VOSMAN JESSICA
WANG JIA DA
ZHANG JINGYA
18 La communauté scolaire
O1
RÉGENT: PAUL EVEN
BIGELBACH VICKY
D’ANTONIO LARA
DEITZ MAX
DOSTERT TOM
EYSCHEN MAX
FEHLEN CHIARA
FEIPEL MICHEL
FIORETTI LUCA
GUIRSCH DWAIN
HAKIM MARIE
HEIDERSCHEID JOSH
HEINTZ CEDRIC
MARCHAL SEBASTIEN
MORUZZI LARA
O’HARA SEAN
OBERWEIS JACQUES
PURDUE LISA
SAUBER BEN
SCHOLTES ERIC
SCHON FABIEN
TAVARES MARTINS
ALESSANDRO
WAGNER LAURE
WAHL XENIA
HOLZMACHER ELISABETHA WILTZIUS LUCIE
KONSBRUCK PIT ZEC EMMA
LUX THOMAS
O2
RÉGENT: ANDRE BERNS
ACKERMANN RACHEL
ARENDT MAX
BERNARD YANN
BRAUSCH PHILIPPE
CANNIVE CHAREL
CLAUS GIANLUCA
DALSCHEID SYDNEY
FABER THIERRY
GALLO FIONA
GASPARD VALERIE
HENRY GEORGINA
HYSENI ARDIT
JOST PIT
KRACK CHARLOTTE
LATIC DENIM
NEY JIL
PICCINI MAXIME
SEGNER LEA
SPRENGER WANDA
WAMPACH YANA
GLESENER PHILIPPE MICHEL WATGEN LOUIS
GOERGEN JIM WEBER EVE
GRAS GARANCE WILHELM ANOUK
HAMES LYNN
O3
RÉGENT: JEAN-CLAUDE BREMER
AREND CEDRIC MARGUE RITA
BOULOIS LUKA MARSON JEFF
BRAUN LEA NARDELLA EMANUELE
AMEDEO
BSARANI VINCENT
CAETANO FERREIRA RAFAEL NICK OLIVER
CDA COSTA GOMES JANETTE PAPILLO LUANA
DE CILLA ELIAS PETRY CHRISTOPHE
DUMONG FRANK PIOCK TAMARA
HENKES JIL RIES MICHEL
KEISER LAURE ROCK BENJAMIN
LACOUR JULIE SCHETTGEN CLAUDIA
LEOGRANDE IVO SOUZA MORAIS EDGAR
LOMONACO MATHIEU STEFFENDAISY
LOOS FELIX
La communauté scolaire 19
O4
RÉGENT: PASCAL DIDLING
ANGELOU MARIA
BONTEMPS MATHIEU
BORMANN DAISY
BREYER LENA
DELAUNOIS MARGOT
DELHALT NINA
FERRES PHILIPPE
FIORINO PHILEAS
FISCHBACH PIT
FRAMBACH ALEXANDER
GEHRING VICTORIA
GENSON CAMILLE
GUENTHER TOBIAS
JUNKER RICK
O5
KESSEL ALESSANDRA
KIEFFER JIL
KREMER PACO
MARTINS NADJA
MEYERS WILLIAM
OLSEN SARA
PROST TOM
REZAPOUR MAHIN
FARDIN
RIND BEN
RONCK DAN
SCHMIT KRISTIN
ULVELING LIZ
WIRTZ NOEMI
RÉGENTE: KARIN HOMMEL
DUMONT SARA LASSO PENA ROBERTO
ENGEL TOM LINHARES CARONES JÉSSICA
FABER SOPHIE OOSTHOEK HESTER
FIGUEIREDO LERIAS NADIA
PEPIN RALPH
VANESSA RAAS PIT
FRANCIS SOPHIE RISCH JIMMY
GIANCHANDANI VISHANT ROOS RICK
GODART CEDRIC SATI RAHUL
HAAL BENOIT SCHMIT LAURYANNE
HIZETTE ALINE SCHNEIDER CINDY
JANDER YANNICK SCHROEDER PHILIPPE
KIRSCH LEO VLAMINGROMEO
KONSBRUCK ZOE WALENTINY RICK
KRBEC YAN WINDELS TIMOTHEE
KRIER CEDRIC
O6
RÉGENTE: MARIE-HELENE BAULER
AUGER MARIE
BARTHOLME SACHA
BAZAZAN SOPHIA
BOCK CHRISTOPHE
BOFFERDING YANN
BROUIR FLORIAN
CORCELLI NICOLAS
DA COSTA GONCALVES MARTA
DE SOUSA FERRAZ BARBARA
ELVINGER PAUL
GAFFET PIERRE
GIARRIZZO MELISSA
HABETS DAMIEN
HEGARTY CORMAC
KURBARDOVIC MELISA
LOPEDOTE VICTOR
MANGEN MARC
MEYERS FABRICE
MORAIS COIMBRA DANIEL
MOTRO EUDELINE
MUCKENSTURM HUGO
OCHOISKI ALEXIS
OLIVEIRA ALMEIDATIAGO
PEPE JULIE
SCANZANO MELISSA
SCHMIT JOE
SIMOES FERRAO NADINE
TCHANTCHOU MIKE
20 La communauté scolaire
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
Adam Danièle
Altwies Stéphanie
Arendt Guy
Bauler Marie-Hélène
Bernard Carlo
Berns André
Bichler Fanny
Biewer Simone
Bintener Lydie
Bock Marie-Paule
Bohler Marcel
Bohnenberger Gaby
Brachmond Carol
Bremer Jean-Claude
Bruch Tonia
Cavaco Carmen
Daman Pascal
De Toffoli Carlo
Didling Pascal
Dirkes Paul
21
22
23
24
25
26
27
28
29
30
31
32
33
34
35
36
37
38
39
40
41
42
43
44
45
46
47
48
Fernandes Dos Santos Filipe 49
Feyereisen Lynn
50
Franco Caroline
51
Frisch Jean-Claude
52
Goedert Janine
53
Greisen Elisabeth
54
Hahn Pierre
55
Hallé Danièle
56
Harsch Françoise
57
Harsch Roland
58
Hartert Kevin
59
Hengel Lydie
60
Els Gerry
Engel Guy
Ensch Jérôme
Even Paul
Fautsch Sylvie
Feider Gérard
Feiereisen Doris
Feltgen Karin
Hengesch Paul
Hoffmann Annick
Hoffmann Emile
Hommel Karin
Hubert Christiane
Huberty Marc
Jacob Hippolyte
Jodocy Martine
Junqueira Sara
Kails Pierrot
Kayser Michèle
Kies Bob
Klees Géraldine
Kohn Marianne
Kops Carole
Krier Max
Krier Patrick
Kuffer Pierre
Kummer Sylvie
Lamborelle Lydie
61
62
63
64
65
66
67
68
69
70
71
72
73
74
75
76
77
78
79
80
Lauterbour Diane
Lentz Michèle
Linster Kevin
Marxen Laura
Melchior Myriam
Mergen Michèle
Michaux André
Miltgen Frank
Neiertz Carole
Nesen Rebecca
Noël Patricia
Petry David
Petry Pierre
Poncelet Myriam
Puliti David
Raus Rachèle
Recken Cynthia
Rehlinger Myriam
Reiles Claude
Reinard Anne
81
82
83
84
85
86
87
88
89
90
91
92
93
94
95
96
97
98
99
100
Reinert Micky
Reiter Yolande
Roch Jenny
Rollinger Frank
Schammo Jean-Louis
Schartz Danielle
Scheer Anne-Catherine
Scheid Marie-Paule
Schiltz Marc
Schock Claude
Schons Viviane
Schroeder Benn
Schroeder Liliane
Schroeder Huguette
Schweich Joé
Simon Coryse
Sousa Daniela
Steffen Caroline
Steinmetzer Jeanne
Theis Marc
101
102
103
104
105
106
107
108
109
110
111
112
113
114
115
Thilges Marianne
Thill Michèle
Thill Tania
Thill Marthe
Vanoli Max
Vilm Jérôme
Wagner Colette
Warken Roland
Warnier Jessica
Weber Joëlle
Weis Jean-Louis
Wenandy Yunn
Wengler Vanessa
Wermeister Daniel
Zanter Jean-Paul
La communauté scolaire 21
22 La communauté scolaire
Ried vum Här Direkter Benn Schroeder
o p d e r D i p l o m i w w e r r e e c h u n g
d e 7 . J u l i 2 0 1 1
Photo: Fabrizio Pizzolante
Tageblatt (Sa./So., 9./10. Juli 2011 - Nr.158)
a sech wuel fillen. An dat ass fir
jidderee vun eis existentiell wichteg.
Sech wuel fillen, ob an der Famill,
an der Schoulklass, de Veräiner,
Associatiounen, Organisatiounen,
oder am Team op der Aarbecht. A
scho si mer erëm bei der Aarbecht!
Net nëmmen den Travail individuel
as valorisant, ma den Eenzelne
selwer ass onschätzbar vill wäert.
Eenzel an eleng souzt Der net
nëmme 7 méi oder manner laang
Deeg mueres doiwwer an der Sports
hal, oder heiiwwer a Spezialsäll,
an hutt Är Käpp ugestrengt, fir den
Examen ze packen. Eenzel an eleng
ass een ëmmer am Liewen, wann et
drop ukënnt. Den Eenzelenen huet
awer laang net vill gezielt. Dir, an déi
meescht Elteren heibanne si Post68’er.
Datt den Travail en groupe eng
gewëss Sécherheet gëtt, brauch
ech Iech net ze soen. Am Laf vun de
Joren hutt Der dat bestëmmt bei där
enger oder aner Gruppenaarbecht
festgestallt. An a wéi engem Mooss
den Travail individuel valorisant ass,
hutt Der spéitstens gemierkt, wéi
Der mat grousser Freed gelies hutt,
oder gewuer gi sidd, datt Der den
Här Vertrieder vun der Madame
Exame gepackt hätt. Den Effort an
Minister,
de leschte Wochen huet sech geLéif Professeren,
lount, an Dir sidd op ee Schlag e
Léif Elteren,
Kapp méi grouss ginn. Gläich am
Léif rezenst diploméiert fréier
Ufank wéilt ech Iech dann och ganz
Schüler vum LGL,
gär encouragéieren, esou weiderzefueren, elo wou Der de Goût de
«Le travail en groupe est sécuril’effort kennen an hoffentlech apsant, le travail individuel est valoripréciéiere geléiert hutt.
sant!»
Net nëmmen den Travail en groupe,
Dëse Saz vun enger belscher
mä d’Liewe selwer am Grupp ass
Psycho-Pädagogin gefällt mer ganz
sécurisant. Well nëmmen do, wou
gutt, an dofir géif ech e gäre mat
Mënschen zesumme sinn, kann den
Iech deelen.
Eenzelnen Gebuergenheet fannen
Dofir erlaabt mer, drun ze erënneren, datt d’Jugend aus de 60er Joren
manifestéiert huet géint de Krich am
Vietnam, protestéiert géint d’RasseSégrégatioun, revoltéiert géint Kapitalismus, Imperialismus a Konsumgesellschaft, an dofir faszinéiert
ass vun de Revolutionären Fidel
Castro, Che Guevara an Hô Chi Minh.
Si wiert sech géint de Chômage,
deen och op si iwwergräift. All dat
féiert zum fundamentalen Embroch
vun 68, wou quasi all Form vun
Autoritéit contestéiert ass, a wat gewalteg Konsequenzen op ville Pläng
fir d’Gesellschaft mat sech bréngt.
Beispillsweis réckelt deen Eenzelnen vill méi an de Mëttelpunkt vun
den Iwwerleeungen.
An dat ass och haut, gutt 40 Joer
méi spéit, nach ëmmer de Fall.
Well et gëtt weiderhin doriwwer
nogeduecht, den Eenzelnen op-
La communauté scolaire 23
timal ze orientéiren, seng Talenter méiglechst fréi ze erkennen
an ze entwéckelen, an esou dem
Wuert Excellence erëm säi
verdingte Stellewäert ze ginn. Déi geplangte Reformen hunn och dëst Zil
am Viséier. Den ageschloene Wee
gëtt momentan op ville Niveauen
diskutéiert. An dat ass och gutt
esou, well deen Eenzelnen an de
Mëttelpunkt ze setzen ass jo ganz
an der Rei, d’Konsequenze vun enger
zevill grousser Ich-Bezogenheit sinn
allerdéngs och ze bedenken.
«Le travail en groupe est sécurisant,
le travail individuel est valorisant!»
Op enger Diplomiwwerreechung
kréien d’Kandidaten fir hir gutt
Leeschtung félicitéiert, an dofir
sinn dës puer Gedanke ronderëm
d’Aarbecht sécher net falsch op der
Plaz. Vläicht kritt de Begrëff
“Recht op Aarbecht” fir deen een
oder
aneren domat eng nei Bedeitung, an hien erkennt den déiwe
Sënn vun dësem elementare Recht.
Eng Diplomiwwerreechung as och e
Moment fir sech ze freeën. An dofir
maachen ech op dëser Plaz keng
Analyse vun de Resultater, a verzichten och gewollt op Vergläicher
tëscht Sektiounen oder Gebaier, zemools wou Réussite an Echec wéi
villes am Liewen alles anescht wéi
monokausal sinn. An esou wëlle
mer eis haut an hei zesumme freeën
iwwer all Réussite, a bestëmmt
sidd Der mat mer traureg iwwer all
Echec, well all Echec ass en Echec
zevill, egal, wéi en zustane komm Et ass fir d’véierte Kéier, datt eng
ass.
Rei vun Iech am Optiouns-Cours vum
Här MICHAUX e Year-book zesummeAlle Kandidaten, déi am Septem- gestallt hunn, an esou wéi déi
ber nach mussen untrieden, wën- Jore virdrun kréien all Primaner a
schen ech déi néideg Loscht an de Professeren
esou
eng
Summerméint,
sou
datt Erënnerungsbroschür geschenkt.
och
si
den
Diplom
am Och fir dëst Year-book as d’Direktioun
September an d’Täsch kréien. An alle fir eng Contributioun gefrot ginn. An
Kandidaten, déi d’nächst Joer nach zwar ass de Wonsch ausgedréckt
eng Kéier op 1ère sinn, déi néideg ginn, e Nowuert op Lëtzebuergesch
Motivatioun an Ausdauer, zemools ze schreiwen. Mer sinn awer beim
wou d’Duerchfalen op 1ère méi Prolog op Franséisch bliwwen. En
schlëmm ass wéi d’Duerchfalen op Epilog hätt bedeit, datt d’Direktioun
enger anerer Klass, an zwar well den och nom Examen nach ëmmer dat
Echec kuerz virum Zil méi wéi deet leschte Wuert misst behalen, an
wéi am Ufank vun der Course.
d’Lëtebuergescht ass wuel eng
vun den 3 adminstrative Sprooche
An da maachen ech mer selbst- vum Land, mä di schwéierst, well
verständlech eng Freed draus, déi mer sinn nëmmen zu e puer honSchüler ze ernimmen, déi di beschte nertdausend, déi se schwätzen
Performance réaliséiert hunn, also a ver-stoe kënnen. An enger glod’Mentioun TB oder EX kréien:
baliséierter Welt, wou et méiglech
ass, an e puer Stonne Fliger iwwerD VINANDY-LAU Sam
47.22
all unzekommen, hu mer gemengt,
D WEBER Celia
47.30
en Zeechen a Richtung SproocheG LIPPERT Joanna
47.38
vielfalt ze setzen, a si
beim
B ALBERT Marc
47.52
Franséische bliwwen.
C PAULY Mathieu
47.52
Am Prolog hu mer eng Lanz gebrach
C ENGEL Svenja
47.65
fir d’Buch a Pabeierform, well mer
B MOUSEL Pol
47.65
schreiwen: Dans dix ans, aurez-vous
B LEVY Jessica
47.96
encore le temps ou même l’envie de
fureter dans des réseaux sociaux?
E LUDWIG Martine
48.82
Pas forcément ... Alors que ce bout
B MAZOUIN Laurent
49.00
de papier, vous pourrez le retrouver
C MARTIN Axelle
49.09
un jour, même lointain. Si vous ne
B RECKINGER Ben
49.09
l’avez pas égaré, c’est longtemps
B BIRGET David
49.39
qu’il va durer! Aucun virus ne le
détruira, aucune panne de disque
D WIRION Paul
49.65
dur à craindre.
B MOLITOR Ben
50.09
D
G
VANDENHOEKE
Laurence
MULLER Sarah
51.22
51.96
(eenzech
„excellence”am Land)
D
BICHEL Ricky
53.26
24 La communauté scolaire
vun eis all opgetruede sinn
oder
LGL
wéi
LanGues
déLiées,
eisen zweete grousse Projet
d’établissement, deen d’lescht Joer
mat vill Succès op en Enn gaangen
ass, a wou eng ganz Rutsch vun Iech
am Theaterstéck “Copenhagen”
d’Geleeënheet haten, vun en etlech
begeeschterte Professionellen an
déi räichhalteg Welt op der Bühn an
hannert de Kulissen agefouert ze
ginn
A wa mer scho bei de Bicher sinn,
géif ech Iech gär aus Léift zu de
Bicher am Allgemengen, an zur Literatur am Besonneschen dësen Extrait aus dem Editeur Henri Gougaud
sengem Mode d’emploi zu Sagesse
des contes mat op de Wee ginn:
Ce livre n’est pas fait pour être lu,
mais pour être fréquenté comme
un ami proche, secret. Vous pouvez lui demander de vous nourrir, il
vous nourrira, de vous éclairer, il
vous éclairera, de vous émouvoir,
de jouer, il jouera avec vous le jeu le
plus mystérieux du monde, celui du
hasard qui n’existe pas.
sech den Alter iwwert déi ongezillte Jugend vun haut. Wéi Onrecht
den Alter der Jugend domat deet,
huet d’lescht op engem Konveniat e
fréiere Schüler, aktuelle Professer
an deemnächst Éiereprofesser mat
dësem Sproch herrlech illustréiert:
„Je älter wir werden, desto besser oder
waren wir früher.”
LGL wéi LGL-en-FRVsciences, eise
neie Projet d’établissement, dee
LGL wéi
ganz gutt lancéiert ass, an deem
Lycée de Garçons de Luxembourg,
an deem Der eng Rei Jore verbruecht mer grad sou vill Succès wéi senge
Virgänger wënschen
hutt
oder
oder
Weiderhi gëtt am Virwuert en Appel un Iech gemaach, fir Ärem LGL
och a Solidaritéit verbonnen ze bleiwen, wa mer op Iech zréckgräifen,
fir kommende Generatiounen bei der
Orientatioun ze hëllefen, bspw. op
der Journée des professions fir eis
2es-Schüler. A gären dierft Der den
LGL fir e ronne Konveniat besiche
kommen. Et ass ëmmer erëm flott,
bei esou enger Geleeënheet mat
fréiere Schüler ze poteren, a gewuer ze ginn, wat esou aus hinne ginn
ass. Zënter éiwegen Zäiten iergert
LGL wéi Let’s Go Lezards, wéi den
Ofschloss-Spektakel vun eisem
éischte
grousse
Projet
d’établissement geheescht huet,
a wou deen een oder anere vun
Iech fir d’éischte Kéier virun engem
grousse Publikum opgetrueden ass
LGL wéi Les Grandes Lignes, eng
Publicatioun, déi d’lescht Joer fir
d’éischt erauskoum fir d’Schouljoer
2009-2010 op 60 Säiten a Bild
an Text festzehalen; mat Spannung gëtt elo schonn op déi nächst
Editioun gewuaart
oder
oder eben
LGL wéi Let’s Get Loud, eis
Concerts-Owender, op déi mer zënter Joren invitéieren, a wou eng ganz
Rei vun Iech regelméisseg zur Freed
LGL wéi LeavinG the Lycée, wéi op
der leschter Säit vum Year-book
steet, ce lycée, dans lequel nous
espérons vous avoir transmis ne
La communauté scolaire 25
Zitat oder e Spréchelchen, vläicht
dësen, wuel an enger net méi zäitgeméisser Sprooch, vun engem onbekannten Auteur:
serait-ce qu’un peu de cette passion
du savoir et de la culture, ce bagage
qui doit nourrir et stimuler votre curiosité, au plus tard quand vous vous
apercevrez que consommer toujours
plus et plus souvent ne suffira pas à
votre bonheur.
An domat ass de Moment komm, fir
Merci ze soen.
Ugefaange bei Ärer Famill an Äre
Frënn, déi Iech ënnerstëtzt an encouragéiert hunn, och wann, esou
wéi bei de Promotioune virun Iech,
an de Woche virum Examen den
Toun bestëmmt net ëmmer dee
richtege wuar, an d’Sprooch uerg
strapazéiert gouf, well d’Nerve blank
louchen.
Gebuergenheet an Unerkennung, de
Mënsch brauch béides.
Maacht et wéi d’Beien, well zu méi
geet et vill besser, zu méi ass vill
méi Freed. Lieft a schafft am léifsten zesummen, a wann dat net
geet, da schafft laanschteneen,
kengesfalls awer géinteneeen,
et ass déi einfachst Manéier vu
Gewaltpräventioun. Sammelt eenzel, ähnlech wéi d’Beien, méiglechst
vill Wëssen a Kënnen op méiAn dann e Merci un d’Professeren, glechst ville Plazen, kommt domat
déi der dëst Joer hat, an och all erëm heem, da gëtt den Huneg am
deenen aus de Joere virdrun. Si hunn beschten.
Iech, jiddereen op seng Manéier,
op den Exame mat vill Kompetenz, Dofir eng läschte Kéier aus dem
Engagement an Dévouement vir- Virwuert vum Year-book: Sortez du
bereet, an och wann si mol ver- cocon familial et de la quiétude
drësslech wuaren, wann Der net luxembourgeoise, pliez bagagesou geschafft hutt, wéi dat nout- es et allez à l‘encontre d’autres
wendeg gewiescht wier, an och pays et d’autres cultures. Oui,
wann d’Direktioun mol traureg oder saisissez à bras-le-corps cette
rose wuar, wann verschiddener vun occasion souvent unique dans une
Iech sech net esou beholl hunn, wéi vie de changer de pays et de respirer
se hätte missen, an hätte kënnen, un autre air! C’est une occasion à ne
hu si un Iech gegleeft, an op Iech surtout pas manquer.
gebaut.
Fir ofzeschléisse wënschen ech
Zu gudder Lescht e ganz häerzleche Iech, datt der Är Perséinlechkeet
Merci un all déi Schüler mat hire weider entwéckelt, Är Talenter opProfesseren,
déi
eis
haut timal notzt, an Iech net mam Minide
Mëtteg
mat
Theater, mum zefridde gitt.
Musik a Gesank verwinnen.
A wann Der mol d’Flemm hutt,
«Le travail en groupe est sécuri- oder de Courage Iech ausgeet, an
sant, le travail individuel est valori- dat wäert gär genuch och Iech alt
sant!»
emol passéieren, dann hëlleft Iech,
besonnesch wann Der eleng sidd, en
Immer wenn Du meinst, es geht nicht mehr,
kommt von irgendwo ein Lichtlein her,
dass Du es noch einmal zwingst
und von Sonnenschein und Freude singst,
leichter trägst des Alltags harte Last
und wieder Kraft und Mut und Glauben hast.
An denkt drun: an de nächste Joere
sidd Der Ambassadeure fir Lëtzebuerg. Weist Iech vun Ärer beschter
Säit, dat as gutt fir Iech, a fir déi, déi
no Iech kommen.
Nom Motto «Eemol Scout, ëmmer
Scout» erlaben ech mer, dëse Saz
aus dem leschte Bréif vum Lord
Robert Baden Powel, dem Grënner
vum Scoutissem, ze zitéieren: Versicht, d’Welt e bësse besser ze verloossen, wéi Der se virfonnt hutt.
D’Haaptzil vum Scoutissem as jo,
d’Kand an de Jugendlechen lues a
lues zu engem engagéierten, verantwortungsvollen an autonomen
Erwuessenen an der Gesellschaft
erunzezéien. An deem Sënn wënschen ech all eise Schüler a Studenten op hirem Wee zum ErwuesseGinn vill Erfolleg a vilL GLéck.
An domat ginn ech d’Wuert weider
un den Här Gérard Zens, Vertrieder
vun der Mme Minister.
(Benn Schroeder)
26 La communauté scolaire
L G L
–
C o m i t é
d e s
P r o f e s s e u r s
Cooperation Organisation Motivation Infragestellung Teilnahme Engagement
Mit der Gesetzgebung vom 25. Juni
2004 ist eine Schule dazu verpflichtet, ein Professoren-Komitee
zu führen. Laut des Artikels 33 sind
die Hauptaufgaben vor allem die
Repräsentation vor der Schulleitung, sowie vor dem Ministerium. Die
Organisation kultureller und sozialer Veranstaltungen ist ein weiterer
Kernpunkt. Der Beitritt erfolgt durch
die Stimmabgabe aller Professoren
des Gebäudes. Das Reglement eines
jeden Komitees kann individuell gestaltet werden.
Das Comité des Professeurs des
Lycée de Garçons Luxembourg (LGL),
unter der Leitung von Herrn Berns,
besteht aus 10 motivierten Lehrern
unterschiedlicher Fachrichtungen.
Jährlich findet man sich zu etwa
6 Routinesitzungen zusammen.
Zusätzlich finden Versammlungen
zu aktuellen Problemen statt.
Der Sekretär Claude Reiles,
welcher seit vier Jahren im Comité
tätig ist, benennt den Grund für
die Mitgliedschaft vor allem mit
der
aktiven
Teilnahme
an
Entscheidungen und darüber hinaus die lebhafte Diskussion über
Pädagogik, das Bildungssystem und
Probleme im Kleinen wie im Großen.
Zu den regulären Aufgaben gehören auch die Organisation der
Porte Ouverte, der Agape und eines
Lehrer-Ausflugs. Sowohl Be-sprechungen mit dem Comité des Elèves
und dem Comité des Parents, als
auch die Vergabe von Aufmerksamkeiten an Kollegen bei Hochzeiten,
Geburten
und
Krankenhausaufenthalten sind ein weiterer Teil
ihrer Arbeit.
Ein aktuelles Projekt des Comités
ist die Einführung von Fair-TradeProdukten in den Schulautomaten.
Darüber hinaus ist die Unterstützung in Form eines Getränkestandes
am Charity Sports Day sowie dem
ING Marathon vorgesehen.
Auch die Veränderung der Organisation der Kantine liegt den
Mitgliedern am Herzen. Sie möchten
die Verteilung der Speisen optimieren und den Speiseraum vergrößern, da er den Schülern nicht
genug Platz bietet.
Derzeit beschäftigt sich das Comité
des Professeurs ausgiebig mit
dem Avant-projet de loi rundum die
Semesterfrage und beabsichtigt
die Veröffentlichung ihrer Stellungnahme zu dieser umstrittenen Gesetzesänderung. Die Umänderung
der Trimester in Semester wird von
zahlreichen Professoren-Comités
kritisch bewertet. Herr Berns, Verfasser des Kommentars, verdeutlicht die negativen Aspekte dieser
Reform. Unter anderem werden die
Unterbrechung des Lern- und Schulrhythmus sowie der Reform-Aktionismus im luxemburgischen Schulsystem kritisiert.
Abschließend kann man sagen,
dass das Comité nicht alles
allein verändern kann. Dank der
Zusammenarbeit mit anderen
Akteuren gelingt es ihnen jedoch, an
relevanten Entscheidungen teilzunehmen. Somit ist das Comité
offen für jegliche Art von Fragen und
Problemen. Auch deshalb nennt der
Präsident die zwischenmenschliche
Solidarität als Grund für sein
Engagement.
Julia Pompei,
Paul Schmitz,
Christine Zoller, Michelle Kemp
La communauté scolaire 27
Engagement für Schüler
Wie die Schüler sich für ihr Gymnasium und ihre Mitschüler einsetzen
Die
Unabhängigkeit
des
Etwa alle 14 Tage treffen sich eine Handvoll Schüler während
der Mittagspause in einem Raum im Untergeschoss des Lycée de Schülerkomitees ist jedoch beGarçons de Luxembourg (LGL). Fragt sich nur, was sie dort tun? Wir grenzt, weshalb es für jedes
einzelne Projekt bei der Direktion um
haben nachgefragt.
Das Schülerkomitee des LGL besteht aus 12 Schülern. Jedes einzelne
Mitglied des Schülerkomitees trägt
eine bestimmte Verantwortung.
Jeder kann am Anfang des Jahres
für ein Amt kandidieren und die
Aufgaben werden dann durch eine
anonyme Abstimmung innerhalb des
Komitees gerecht verteilt.
Die Gesamtheit des Schülerkomitees
repräsentiert die Schülergemeinschaft gegenüber der Schulleitung sowie dem Nationalen
Schülerkomitee (CNEL), um die
Meinung und die Interessen der
Schülerschaft zu vertreten.
Um sich über die Probleme der Schule
auszutauschen und darüber zu diskutieren, trifft sich das Komitee
regelmäßig alle 1-2 Wochen. Da
ihnen jedoch nur 45 Minuten pro
Sitzung zur Verfügung stehen, ist
es nötig, effizient und produktiv zu
arbeiten. Nach Angaben eines Mitgliedes des Schülerkomitees ist die
Atmosphäre innerhalb der Gruppe
meist ungezwungen und locker. Dies
kommt vor allem daher, dass alle
Schüler dem Komitee freiwillig beigetreten sind.
Wir haben uns über die verschiedenen
Gründe informiert, warum die
Schüler dem Schülerkomitee beigetreten sind. So bietet der Eintritt
in das Schülerkomitee eine gute
Möglichkeit, sich für die Schule ein-
zusetzen und um einiges zu verbessern. So wurde zum Beispiel
letztes Jahr im Prüfungssaal eine
Uhr angebracht. Das Schülerkomitee
ist außerdem verantwortlich für die
Anbringung der Spiegel in den Toilettenräumen, welche bis vor 4 Jahren
noch nicht vorhanden waren. Des
Weiteren war es auch zuständig für
die Organisation des Schulfestes
2010. Was die momentanen Projekte
betrifft, hat das Schülerkomitee
Großes vor, so berichtet unsere
Quelle, Mathieu Lohr: „Momentan
arbeiten wir sehr hart an einem Projekt, das das diesjährige Schülerfest
wieder zu dem machen soll, was es
vor Jahren war. Ein Fest, an dem
die gesamte Schule mitwirkt und
Unterhaltung geboten wird, und das
sich nicht auf einen Imbissstand
mit Musik begrenzt. Ein anderes
aktuelles Thema ist das Umschalten
von Trimester auf Semester, für
welches wir bald eine Umfrage in
der Schule starten werden, um die
Meinung des LGL in der CNEL (Comité
National des Elèves du Luxembourg)
vertreten können.“
Erlaubnis fragen muss.
Leider stößt man bei den Schülern
oft auf überschaubare Begeisterung, wenn es um die Frage geht, dem
Schülerkomitee beizutreten. Manchmal liegt es auch an Unwissenheit
und am Mangel an Information, wie
es unsere Statistiken verdeutlichen.
Wir haben insgesamt 260 Schüler
aus elf Klassen befragt, darunter
Schüler von 7e bis 1re. Das Wissen
um die Tätigkeit der Schülervertretung hält sich demnach in
Grenzen.
Ein Beitrag von
Max Olinger,
Fatmir Smailovic,
Jil Schmit und
Anya Lamesch
28 La communauté scolaire
Das LGL-Première-Komitee backstage
Jeder kennt das Première-Komitee, aber nur die wenigsten
wissen um seine Aufgaben und seinen Zweck. Im Interview mit dem
Präsidenten, Jean-Marc Hoffmann, sind wir einigen Fragen auf den
Grund gegangen.
einzubringen. Der finanzielle Gewinn
dieser Events dient der Organisation
der “LGL Promnight”, die jedes Jahr
den Schlusspunkt des jeweiligen
Abi-Jahrgangs markiert. Dem fügt
Hoffmann hinzu: „Je mehr Gewinn
wir bei den über das Jahr verteilten
Veranstaltungen erzielen, umso
So kommt es auch zu Stande, dass prachtvoller können wir die nur für
die meisten Events wie zum Bespiel die 1ère-Schüler gedachte Promdas “LGL Fräibéier” oder die “Prom- night gestalten”.
night” den Schülern vor allem
zum Vergnügen dienen sollen. Um Auf die Frage hin, ob das Komitee
solche doch aufwändigen und von mit den Professoren des LGL oder
den Schülern geliebten Events auf anderen Komitees von anderen
die Beine zu stellen, ist eine ser- Schulen zusammenarbeitet, eriöse Führung dieses Komitees nötig. klärte er uns, dass sie grundsätzlich
So treffen sich die Mitglieder jeden alleine arbeiten, also auch unabhängig
Freitag nach der Schule zu teils von den Professoren. So werden
stundenlangen Diskussionen.
Events wie der Nikolaustag und der
Rosenverkauf ohne Rücksprache
Bei diesen Versammlungen werden mit den Lehrern organisiert. Doch
die vom Präsidenten ausgewählten Ausnahmen bestimmen die Regeln.
Themen besprochen und so die kom- So fand dieses Jahr ein größeres
menden Veranstaltungen ge-stimmt Event statt, LARS, das von mehrund organisiert. Oftmals versucht eren Komitees organisiert wurde.
das alljährlich
neu zusammen Außerdem erklärt uns Hoffmann,
gestellte Komitee hier neue Ideen dass seiner Meinung nach die StimAuf die Frage nach der eigentlichen
Rolle des 1ère-Komitees antwortete
der Präsident Jean-Marc Hoffmann,
dass es für ihn die wichtigste Rolle
sei Spaß zu haben und vom stressigen Alltag eines Première-Schülers
abgelenkt zu werden.
mung und die Zusammenarbeit im
diesjährigem 1ère Komitee ausgesprochen gut seien. Obwohl
es nicht zur Hauptaufgabe des
Komitees gehöre, ein finanziell positives Ergebnis zu erzielen, würden
sich die Mitglieder des Komitees
jedes Mal freuen, wenn ihr Event gut
ankommt und die Besucherzahlen
stimmen.
Am Ende des Interviews gab uns
Jean-Marc Hoffmann, als wir ihn
nach einer Botschaft an die kommenden 1ère-Komitees fragten,
folgende Antwort: „Motivation und
gute Organisation sind die Hauptbestandteile einer erfolgreichen
Arbeit.“
La communauté scolaire 29
S ( P ) O S
essenzielle Stütze
einer jeden Schule
Laut dem Gesetz vom 10. März 1968
hat das „Ministère de l’Education
Nationale et de la Formation Professionnelle“ Zentren in Luxemburg
zum Nutzen der Schüler festgelegt,
die sich der Psychologie und der
Orientierung widmen. Auch im
,,Lycée de Graçons Luxembourg”
(LGL) wurde ein solches Zentrum eingerichtet. Das ,,Service de
Psychologie
et
d’Orientation
Scolaire” (SPOS) besteht aus einer multidisziplinären Gruppe, in
welcher zwei Psychologen und
fünf Pädagogen beschäftigt sind.
In erster Linie ist es ihre Aufgabe,
die Schüler bei ihrem Lehrgang zu
beraten, egal ob es darum geht, die
Siebtklässler bei ihrer Entscheidung
zwischen Latein oder Englisch zu
begleiten, die Sektionswahl auf 4e
zu erleichtern oder auch die Wahl
der passenden Universität zu treffen. Den 4e-Schülern werden z. B.
Tests angeboten, um die passende
Sektion auszuwählen oder den
Abiturienten wird bei der Suche nach
Universitäten beigestanden.
Eine weitere Aufgabe des SPOS
ist es, den Schülern zu helfen, die
sich im Gymnasium nicht zurecht
finden und auf eine andere Stufe
wechseln wollen. Nebenbei ist das
psychologische Zentrum eine Anlaufstelle für Jugendliche die unter
Konzentrationsschwächen
bzw.
an Prüfungsstress leiden, welche
die schulischen Leistungen beeinträchtigen. Des Weiteren werden
Zusatzkurse
angeboten,
welche von Pädagogen respektive
von leistungsstarken Schülern geleitet werden, die sich aus eigenem
Willen bereit erklären hilfsbedürftige Schüler zu fördern.
Unter anderem veranstaltet der
SPOS jedes Schuljahr Elternabende, sowie auch Schülerversammlungen. Den Gymnasiasten
des LGL, die persönliche Probleme
haben, steht die multidisziplinäre
Gruppe zur Seite, die ihnen psychologische Hilfe anbietet und ausführliche Gespräche mit ihnen führt.
Einige dieser Probleme können durch Stress mit den Freunden, mit
der Familie oder auch in der Schule
entstehen. Auch den Schülern,
die die Lust am Lernen verloren
haben und sich aber bemühen wollen, das Schuljahr erfolgreich zu
meistern, kann geholfen werden,
dieses Problem zu bewältigen.
Zu den Organisationen gehören
Projekte, wie zum Beispiel die
Drogen- und Gewaltvorbeugung in
Zusammenarbeit mit der Polizei,
ebenso wie das Projekt
,,Round
about Aids“ mit der Croix Rouge. In
Verbindung mit dem „Planning familial“ trägt das SPOS zur Aufklärung der Schüler bei. Ebenso
werden zahlreiche Prospekte über
psycho-medizinische Themen aus-
geteilt, wie z.B. über Tabakmissbrauch, Aids und sexuell übertragbare Krankheiten, Vorbeugung
und Kampf gegen die Sucht,
Verhütungsmittel oder auch über
Hilfs-institutionen. Den 2e-Schülern
wird ein Einblick in die Arbeitswelt in
Ko-operation mit der ,,Administration
de l’Emploi“ (ADEM), dem ,,Centre
de Documentation et d’Information
sur l’Enseignement Supérieur“
(CEDIES) und der ,,Action Local pour
Jeunes“ (ALJ) verschafft. Außerdem
arrangiert das Zentrum Sprachaufenthalte im Ausland, um
lernwilligen
Schülern
die
Möglichkeit
zu
bieten,
ihre
Sprachkenntnisse zu erweitern.
Letztlich ist der SPOS für Schüler,
Eltern, aber auch für Lehrer
zugänglich. Jeder einzelne wird
ernst genommen. Darüber hinaus
sind die Beratungen kostenlos und
werden vertraulich behandelt. Christelle SCHILZ,
Amila REC,
Dalila REC,
Marc THEIN
„Wissenschaft ist auch
Kultur“
Seit September 2010 sorgt das neue
„Projet d`établissement“ des LGL
für Begeisterung an der Wissenschaft.
Nach bereits zwei erfolgreichen
Projekten des LGL, die jeweils auf
Kunst und Sprachen fußten, folgt
jetzt die Naturwissenschaft. LGL en
FRV-Science, ein Wortspiel das
sich an das französische Wort
„effervescence“ anlehnt und dessen Anfangsbuchstaben für die
Wörter „Fascination“, „Réflexion“ und
„Vocation“ stehen, gehört derzeit
zu den größten Schulprojekten
des Landes. Nach den Worten
von Physikprofessor Pascal
Daman, Koordinator des
Projekts,
wolle
man die wissenschaftliche
Tradition
wieder aufgreifen und
w i s s e n schaftliche
Kenntnisse
an die Schüler
weitergeben. Das
Lycée de Garçons,
früher bekannt als „Ecole
industrielle et commerciale“, hat
eine prägende wissenschaftliche Vergangenheit. So ermöglicht
das neue Projekt der Schule, ihre
Wurzeln wieder aufzunehmen.
Das Projekt besteht aus vier verschiedenen Facetten: Ein erster As-
31
pekt vermittelt anhand von Artikeln
oder Romanen eine weit gefächerte,
naturwissenschaftliche Kultur und
dies auch bei Klassen, die weniger
naturwissenschaftlich
orientiert
sind. Die 3e A nimmt zum Beispiel
am Projekt des Reiseführers teil,
der den Schülern durch Recherchen
ermöglicht, ihren Lesern den
kulturellen und wissenschaftlichen Wirkungskreis einer beliebigen
Stadt
vorzustellen.
Julien Marcy, Schüler der erwähnten
Klasse, erklärt: „Wir müssen uns
für ein dort vorhandenes Institut
entscheiden und uns sowohl über
einen historischen als auch einen
zeitgenössischen Wissenschaftler
informieren.“
Das „Projet d`établissement“ beschäftigt sich allerdings auch mit
der Schulorientierung. Das Interesse der Schüler an naturwissenschaft-lichen Fächern soll geweckt
werden,
indem
die
Fächer
Naturkunde, Chimie und Physik nicht
mehr so streng voneinander getrennt werden. Berufsmöglichkeiten in
der Forschung werden den Schülern
vorgestellt. Außerdem soll den 4eSchülern die Sektionsentscheidung
mit Hilfe eines Tagesaufenthalts in
der Cité des Sciences in Paris erleichtert werden.
Ein weiterer Aspekt des Projektes
befasst sich mit den Zusammenhängen von Wissenschaft und Umwelt.
Wie kann Wissenschaft helfen,
Umweltprobleme zu lösen? Was
sind die Auswirkungen der Wissenschaft auf die Natur? Den Schülern
werden eine umweltpolitische Erziehung,
sowie ein respektvoller,
gesunder Umgang mit der
Natur geboten.
LGL en FRV-Science setzt sich
zudem mit dem Thema neuer Technologien auseinander. Ziel ist es,
dass die Informatik als einflussreicher Bestandteil unserer modernen
Gesellschaft eine größere Rolle im
Sekundar-Schulsystem einnimmt.
Ein „vernetztes” Denken soll bereits den Schülern der 7e mit der
Programmierung und Installierung
eigener Homepages vermittelt werden.
Kernkraftwerks Cattenom ermöglicht.
Mit einer Laufzeit von 3 Jahren soll
dieses Schulprojekt die Schüler
für naturwissenschaftliche Fächer
sensibilisieren. Zahlreiche Experimente und Forschungen sollen vor
allem die jüngsten für solche Fächer begeistern. „Wir hoffen weiterhin auf eine gute Zusammenarbeit
Im Bezug auf die Atomkatastrophe zwischen Schülern und Professoren.
in Japan ist dieses Projekt gerade Wir sind offen für jede neue Idee“, so
jetzt so wichtig, da die grenzenlose Herr Daman.
wissenschaftliche Forschungsgier
des Menschen ins Blickfeld geraten
Faber Caroline,
ist. Um den Schülern Kenntnisse
Moayed Ariane,
über die Macht der Atomkraft zu
Muller Claire,
liefern, behandelte die 2e B DokuReiffers Stéphanie
mentationen über Hiroshima. Ziel
war es zu zeigen, dass Atomenergie
auf eine friedliche, jedoch auch auf
eine destruktive Art genutzt werden
kann. Die Englischlehrerin Marthe
Thill erklärt dazu: „Der Mensch lässt
Kräfte frei, die er im Nachhinein
nicht mehr kontrollieren kann. Einerseits birgt die Atomenergie Risiken,
andererseits ist sie notwendig, um
unseren Energiebedarf zu decken.“
Die Schüler erfuhren sowohl die
physikalischen als auch die politischen Hintergründe der Atomkraft
und als Abschluss dieses Projekts
wurde den Schülern ein Besuch des
32 Le projet d’établissement
CHERCHEURS AU LGL
Dans le cadre du volet « orientation
» du projet d’établissement «LGL
en FRVscience », le groupe de pilotage a, à plusieurs reprises, invité
des chercheurs au LGL pour parler
de leur métier, de leur passion et
de leur parcours aux élèves de différentes classes.
Lors de 3 séances, les élèves des
sections scientifiques de la 3e à
la 1ère, ainsi que tous les élèves
de 4ème ont pu rencontrer des
chercheurs évoluant dans différents
domaines. Pour les élèves des
sections B et C, c’était l’occasion
de s’informer sur d’éventuels
débouchés dans le domaine
scientifique. En revanche, pour
les élèves de 4ème, le but était de
donner des informations plus
générales sur les sciences, car ils
doivent choisir une section au début
du 3ème trimestre.
La première séance a eu lieu le 26
octobre 2010, en collaboration avec
• Voyage culturel des
classes artistiques à Munich
• Concours “dénomination”
• Chercheurs à l’école (1)
• Rencontre avec Claude Turmes
• EUSO
• Café pédagogique 15 avec Claude
Turmes
• Rencontre avec M. J-F. Hausman
• Rencontre avec M. J. Lamesch
• Concours logo
• L’image du monde
• Action poubelles au LGL
le Fonds National de la Recherche.
Les scientifiques Christiane Kaell,
chimiste, représentant le Fonds
National de la Recherche, Olivier
Francis du Centre Européen de
Géodynamique et de Séismologie
et Pierre Hubsch d’Arcelor-Mittal
ont rencontré quelque 80 élèves
des classes de 1ère B, 2e B, 2e
C, 3e B et 3e C. Mme Kaell a parlé
plus généralement du statut de
chercheur au Luxembourg et du
rôle du Fonds National de la Recherche. M. Francis a su fasciner
les élèves par les applications des
mesures gravimétriques. Ils ont
appris ainsi qu’à l’aide d’un gravimètre
(appareil qui mesure l’intensité
de la pesanteur, notée g), on peut
obtenir des informations sur
l’évolution de la calotte glaciaire
au Groenland. M. Hubsch les a étonnés par son parcours scolaire et
professionnel particulier : parti avec
un CATP, il passe son bac technique,
réussit ses études universitaires,
fait deux doctorats et travaille en
Afrique, en Irlande et plusieurs
autres pays avant de se faire
engager chez Arcelor-Mittal. Les
discussions, parfois controverses,
entre M. Francis, chercheur dans
le public, et M. Hubsch, chercheur
dans le Privé, étaient des plus
intéressantes.
•Chercheurs à l’école (2)
• Sécurité sur le net avec M. S.
Clement .
Poetry Slam-Workshop im LGL mit
Bas Böttcher
Café pédagogique 16 avec J.
Lamesch
Video Klimawandel
Chercheurs à
l’école(3)
Visite de Cattenom
Visite de la Cité des Sciences et de
l’Industrie à Paris pour les classes
de 4e
• Ausflug zum Thema Geologie der
Klasse 3G
• Segeln, was das Zeug hält! ( 4M3 )
• DAKUPA et la déforestation au
Burkina Faso ( 2D2 )
• Recherches sur des thèmes scientifiques
• Workshop: Die europäische Wildkatze (Felis silvestris silvestris)
• Sciences naturelles-éducation
artistique en 7e
• Cartographie avec Angelika
Kronenberg
•
•
•
•
•
•
Le projet d’établissement 33
Les élèves de 1ère C, qui n’avaient
pas pu assister à la séance
d’octobre, ont eu la chance de rencontrer Jean-François Haussmann,
du CRP Gabriel Lippmann, le 14
janvier 2011. Devant un public
conquis d’avance, ce spécialiste
de la biologie moléculaire et de la
génétique, qui avait déjà fait
plusieurs
interventions
dans
d’autres classes du LGL, a donné
des informations sur les applications de la génétique dans la vie
de tous les jours et a parlé des aspects éthiques de l’expérimentation
dans le domaine des OGM.
que le Luxembourg dispose d’un réseau d’observation des cours d’eau
très moderne qui fournit des informations importantes sur les crues
et les inondations. M. Yegles, pour
sa part, les a captivés par toutes les
applications médico-légales de la
toxicologie, en particulier la détection de drogues et de poisons dans
les cheveux.
Ce qui est remarquable, c’est que ces
séances ont eu un public nombreux
Le 7 mars 2011, ce fut au tour des
élèves de 4ème de rencontrer deux
chercheurs : Laurent Pfister du CRP
Gabriel Lippmann et Michel Yegles,
du Laboratoire National de Santé.
L’auditoire de physique où se déroulait la manifestation était bondé,
car près de 60 élèves des classes
concernées avaient répondu à
l’appel et étaient venus assister
à l’événement de leur plein gré,
après la fin des cours. Les deux
scientifiques, très près des jeunes
et très loquaces, ont parlé de leur
profession, des motivations qui les
ont conduits à choisir la voie de la
recherche, ainsi que de leur parcours
scolaire et professionnel. Deux exposés très intéressants ont permis
aux élèves de se familiariser avec
des professions peu communes :
celle de l’hydrologue et celle du
toxicologue. M. Pfister leur a appris
(en tout près de 200 personnes),
bien qu’elles aient été organisées
en dehors des horaires normaux
et que la présence des élèves fût
facultative. Chaque fois, les élèves
ont posé de nombreuses questions
et la discussion s’est parfois poursuivie au-delà de l’horaire prévu,
ce qui atteste de l’intérêt qu’ils
portaient à cet événement.
34 Le projet d’établissement
C AFE PEDAGOGIQUE 15 - Claude Turmes,
le vendredi, 3 décembre 2010
La salle de lecture de la bibliothèque
des élèves était bien remplie pour le
premier « Café Pédagogique » de
FRVscience. L’invité du jour était M.
Claude Turmes, député européen
des Verts. Fidèle à ses convictions,
bravant une météo hivernale capricieuse, M. Turmes est venu à bicyclette pour nous parler d’énergies
classiques et alternatives, ainsi
que de la politique européenne en
matière d’écologie. Plutôt qu’un
exposé c’était une causerie, où les
participants pouvaient intervenir à
tout moment.
production d’énergie en Europe.
Aujourd’hui encore, le charbon
produit en Europe près de 35% de
l’énergie électrique, contre environ
33% pour le nucléaire. Les énergies
« vertes », (hydraulique, éolienne
…) ne représentent actuellement
qu’une infime partie de la production
électrique. M. Turmes a présenté des
modèles suivant lesquels la proportion d’énergie produite à partir du
charbon ou de l’uranium pourrait
être ramenée à zéro au cours
des prochaines décennies. Il s’en
est suivi une discussion intéressante sur la faisabilité de telles
réformes (réaliste ou utopique ?)
sur le changement nécessaire des
mentalités et sur la capacité des
politiques à penser de façon globale
ou transversale (vernetztes Denken).
Les nombreux professeurs (ils étaient près de 30) qui étaient venus
assister à ce « Café pédagogique
» malgré un calendrier chargé,
malgré la période des compositions,
ont eu l’occasion d’entendre un
exposé captivant, dont les thèmes
s’accordaient parfaitement avec les
objectifs du projet d’établissement.
Par leurs interventions, ils ont
montré que la problématique de
l’énergie les touche et les intéresse.
En guise d’introduction, Claude
Turmes a présenté les divers types
de certificats CO2 et a dénoncé la
politique hypocrite des certains pays, dont le nôtre, dans la
gestion de ces certificats. Il a
ensuite évoqué l’état actuel de la
CAFÉ PEDAGOGIQUE 16 - Jean Lamesch,
le mercredi, 2 mars 2011
Le 2 mars 2011, le groupe de
pilotage du projet d’établissement
LGL en FRVscience a invité les
professeurs du LGL pour un
second « Café pédagogique» du
nouveau projet d’établissement,
le 16e du nom. Le conférencier
était M. Jean LAMESCH, docteur en
Chimie-Physique, ancien ingénieur
chez Arcelor-Mittal, qui profite de sa
retraite pour s’investir dans la
problématique
des
réserves
énergétiques mondiales.
Titre de l’exposé : « L’après-pétrole
a commencé ».
Dans un exposé bien structuré, basé
sur des graphiques très explicites,
Jean Lamesch nous a présenté
les enjeux du pétrole dans une
économie mondialisée. En partant
de considérations historiques et
en se basant sur des cas précis, il
a expliqué la notion de « pic pétrolier ». En quelques mots, qu’estce que c’est, le « pic pétrolier » ?
Le graphique ci-joint (extrait de
la présentation de M. Lamesch)
montre l’évolution des découvertes
de gisements pétroliers aux EtatsUnis (en jaune) et la production de
pétrole par le même pays (en rouge).
Il y a une corrélation entre ces deux
courbes, mais elles sont décalées
de quelques dizaines d’années.
Aussi, dès 1956, le géophysicien
Marion
King
Hubbert
prévit-il
un
maximum
de
production de pétrole aux Etats-
Le projet d’établissement 35
transparence » des pays producteurs (OPEC et non-OPEC). En tout
état de cause, le temps presse. Comme l’évoque le titre de la conférence
: « L’après pétrole a commencé ».
Unis, qu’il baptisa « pic pétrolier ».
Un tel pic pétrolier (oil peak) a des
conséquences dans le pays où il a
lieu, mais aura à longue échéance
une influence déterminante sur
la politique énergétique mondiale
dès lors que notre planète entière
atteindra le pic pétrolier.
Que se passe-t-il dans un pays en
voie de développement, mais producteur de pétrole, comme l’est
l’Egypte ? Un second graphique tiré
de la ppt de M. Lamesch montre
l’évolution de la consommation de
pétrole (en noir), de la production
de pétrole (en gris) et des exportations (en vert). On remarque que,
d’une part, le pic pétrolier a eu lieu
entre 1990 et 2000, d’autre part, la
consommation en pétrole des Egyptiens n’a cessé d’augmenter jusqu’à
atteindre le niveau de production.
M. Lamesch a continué son exposé en évoquant la situation énergétique du Luxembourg. Il a
esquissé des solutions (parfois
drastiques, mais peut-être inévitables) pour amener le Luxembourg
à une consommation plus modérée.
Conséquence : depuis 2010, l’Egypte
n’exporte plus de pétrole. Lorsqu’on
sait que les exportations ont servi
surtout à financer l’achat de blé à
l’étranger, on comprend dans quelle
situation l’Egypte se trouve à l’heure
actuelle (et l’on n’est pas très
rassuré sur son avenir, malgré les
réformes démocratiques espérées).
Bien sûr, ce qui se passe en Egypte,
concernera un jour ou l’autre le
monde entier. Le pic pétrolier mondial est prévu entre 2010 et 2020.
Les spécialistes commencent à
s’en apercevoir et
l’Agence Internationale de l’Energie
(AIE) cite pour la
première fois le
terme de « pic
pétrolier » dans son
rapport pour l’année
2010. La date exacte ne peut être
donnée avec précision en raison de la
politique de « non-
Après avoir évoqué des ressources énergétiques alternatives, y
compris pour le Luxembourg, le
conférencier a donné la parole
au public, venu nombreux. Par sa
manière tranquille, mais tout à la fois
critique, de présenter les choses,
par sa clairvoyance concernant
l’approvisionnement mondial en énergie et les mesures nécessaires
à mettre en oeuvre dès à présent
pour préparer l’après-pétrole, M.
Lamesch a conquis son public.
• Wissenschaft-Stadtnah
• Initiation à l’informatique pour les
classes de 7e
• Recherche sur des questions
scientifiques
• La consommation d’énergie au
LGL.
36 Le projet d’établissement
L’Après-Pétrolier
a commencé!
Dans le cadre du cours de géographie et du projet d’établissement
LGL en effervescience, les élèves
de 2D2 ont assisté le 14 décembre 2010 à la présentation l’aprèspétrole a commencé. Monsieur
Jean Lamesch, docteur en ChimiePhysique et ingénieur retraité
d’Arcelor-Mittal, a expliqué aux
C
a
t
t
e
n
o
élèves l’origine du pétrole et son rôle
dans le développement des pays
industrialisés et du Sud. L’accent
a ensuite été mis sur la rareté
du pétrole en tant que ressource
d’énergie fossile et sur la consommation croissante d’hydrocarbures
dans le contexte de la mondialisation. La notion du pic pétrolier
illustré par des exemples d’actualité
a fait comprendre aux élèves les enjeux économiques et écologiques
du pétrole ainsi que l’importance
des énergies renouvelables pour
assurer un développement durable.
Michèle Mergen
m
Le 10 mars 2011 les élèves de la
2eB accompagnés par Mmes Schons
et Thill, ainsi que par MM Daman
et Petry, ont visité la centrale
nucléaire de Cattenom qui est la
7ème au monde au vu de sa production importante d’électricité. La
visite a commencé par une présenta tion synoptique sur l’importance
de l’énergie nucléaire pour la
France et des explications plus
détaillées sur le fonctionnement de
l’installation. Elle s’est poursuivie
par un tour de la centrale. Tout ceci a
permis aux élèves de consolider les
connaissances acquises dans le
cours de physique et d’anglais.
Le lendemain de la visite, c.-à-d.
le 11 mars, le Japon fut frappé par
un séisme extrêmement violent et
un tsunami dévastateur qui ont eu
un impact catastrophique sur la
centrale nucléaire de Fukushima
résultant dans une pollution radioactive sans précédent.
Malgré les assurances répétées
du guide de Cattenom en ce qui
concerne la sécurité des centrales
nucléaires, le cataclysme japonais
et ses conséquences dramatiques
pour l’homme et l’environnement
ont montré que le nucléaire est un
dragon que l’homme peut certes
Cette visite représentait, en effet, la chevaucher mais ne peut guère
dernière étape d’un cycle de leçons maîtriser.
qui avait pour but d’informer les
élèves sur l’application militaire et
pacifique de la physique nucléaire.
Les événements fatidiques du 6 et
9 août 1945, avec le lancement des
bombes atomiques sur Hiroshima et
Nagasaki, avaient constitué le point
de départ de cette activité.
DAKUPA et la déforestation
au Burkina Faso
Les élèves de 2D2
ont participé à
un atelier sur la
déforestation au
Burkina Faso proposé par l’ONG
Frères des Hommes en collaboration avec leur partenaire burkinabé
DAKUPA organisé dans le cadre de
leur cours de géographie.
Monsieur
Zeba
Yacouba,
coordinateur de l’organisation
DAKUPA, a présenté aux élèves
les causes et les enjeux de la déforestation dans le contexte de
la croissance démographique, du
changement climatique et de la
mondialisation. Une discussion
animée par Sonia De Abreu de
Frères des Hommes a permis aux
élèves de s’exprimer et de mieux
comprendre la nécessité des initiatives de DAKUPA pour la protection
de l’environnement en Afrique subsaharienne.
Michèle Mergen
Le projet d’établissement 37
Die 3G erkundet die Schichtstufen des
Luxemburger Sandsteins
Am 2. Mai unternahm die 3G einen
Tagesausflug zum Thema géologie
et géomorphologie im Rahmen des
Geographieunterrichts. Als erstes
machte die Klasse eine Besichtigung des Wasserturms Rebierg. Es
handelt sich um ein großes trichterförmiges Gebäude, welches dazu
dient 23 Gemeinden mit Trinkwasser zu beliefern. Nach einigen Minuten des Treppensteigens
werden die Besucher des Auffangbeckens mit einem einzigartigen
Panoramablick belohnt: die 400
Meter hohe Plattform bietet einen
Blick über die Schichtstufen (fr.
cuesta) und Zeugenberge (fr. buttetémoin) im Süden Luxemburgs.
du Sud wo sich die Pumpstation
zum Wasserturm Rebierg befindet.
In einer ausführlichen Power-PointVorstellung lernten die Schüler,
welche Art von Gestein in den verschiedenen Regionen Luxemburgs
zu finden ist. Nach dieser lehrreichen
Vorstellung wurden die Schüler in
Gruppen eingeteilt. Während die eine
Gruppe sich die Museumsausstellung anschauen konnte, besichtigte
die zweite Gruppe eine unterirdische
Trinkwasserquelle.
Nach einer halbstündigen Mittagspause begann die Besichtigung
des Geburtshauses des luxemburgischen Geologen Michel Lucius in
Reimberg. Hier konnten sich die
Schüler über den ursprünglichen
Nach der Besichtigung des Wasser- Aufbau des Hauses sowie den
turms fuhr die Klasse weiter nach Lebenslauf des Geologen informKoerich in das Syndicat des Eaux ieren.
Segeln, was das Zeug hält!
Wissenschaft-stadtnah wurden die
Schüler erst durch die Ausstellung
Segeln, was das Zeug hält, so lautet niederländischer Gemälde des Goldder Titel der Austellung in der Villa enen Zeitalters geführt und nahmen
Vauban des Musée d’Art de la Ville dann am Workshop Kartographie
de Luxembourg, welche die Schüler im Wandel der Zeit teil: anhand der
der 4M3 am 4. März 2011 besich- ersten geographischen Karten und
tigten. Im Rahmen des Projetktes modernen
Navigationssystemen
Das letzte Ziel unseres Ausflugs
war die Carrières Feidt in Ernzen.
Während die eine Hälfte der Klasse
die einzelnen Gesteinsarten und
deren Zusammensetzung erklärt
bekam, wurde die andere Hälfte
durch die große Produktionshalle
geführt. Dort wurden in einzelnen
Etappen die Maschinen der Steinschleiferei gezeigt, die aus einem
großen Gesteinsblock jeweils ein
perfekt detailliertes Endprodukt
formen. Letztendlich konnte die
Klasse sich ansehen, wie die
Gesteinsblöcke im nahegelegenen
Steinbruch aus dem Luxemburger
Sandstein gewonnen werden.
Tamara Block, Myriam Braun,
Muriel Frantz, Michèle Nau,
Joé Ruppert, Noémie Wunsch,
Fotos: Daniel Waldbillig,
3G
erklärte Angelika Kronenberg der
Universität Trier den Schülern die
unterschiedlichsten Methoden und
Geräte zum Vermessen der Welt und
zur Orientierung.
Sylvie Fautsch, Michèle Mergen,
Carole Neiertz
38 Le projet d’établissement
Die « Cité des Sciences »
Am 5. April 2011 unternahm unsere Klasse, einen sehr aufschlussreichen Ausflug in die «Cité des
Sciences et de l’Industrie» in
Paris. Dieser Aufenthalt sollte uns
Schülern zeigen, wie viele interessante Aspekte die Wissenschaft
eigentlich beinhaltet und wie breit
gefächert sie ist. Dies wurde anhand
von zahlreichen Ausstellungen und
Workshops veranschaulicht.
Zuerst besuchten wir die überaus
faszinierende Ausstellung «Jeux
de Lumière», deren Name das
eigentliche Thema schon preisgibt.
Hier wurde wortwörtlich mit dem
Licht gespielt, gezeigt, wie man das
Auge mit optischen Täuschungen
irreführen kann. Lichtreflexionen,
die durch einen Seifenwasserfilm
entstanden; Objekte, die sich durch zwei gegenüberliegende Spiegel
unendlich oft vervielfachten; vorgetäuschte Bewegungen, die hervorgerufen wurden durch sich im
Kreis drehende Modelle von Vögeln;
Filme, die im Zeitraffer abgespielt
wurden; eine Wärmebildkamera mit
der man Fotos von sich schießen
konnte, sind nur einige der spannenden Experimente gewesen. Alle
diese Mittel wurden dazu genutzt,
uns in abwechslungsreicher Weise
das Zusammenspiel von Gehirn und
Auge zu erklären.
Les 4èmes à la Cité des Sciences et de
l’Industrie de Paris
avec le soutien du
Dans le cadre du volet « Sciences et enseignement » du projet d’établissement «
LGL en FRVscience », le groupe de pilotage a offert à tous les élèves des classes
de 4ème une journée à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris. Il s’agissait
d’optimiser l’orientation tant scolaire que
professionnelle dans le domaine des sciences.
Grâce à l’aide financière du Fonds National de la Recherche, les quelque 150
und dessen komplexer Zusammenarbeit mit dem Gehirn, dem Zentralnervensystem, befasste. Anhand von
farbigen Folien, die uns auf einem
Overhead gezeigt wurden, wurde
uns die subjektive Wahrnehmung
von Lichtreizen, Farbsequenzen
und
Prismen
erläutert.
Die
individuelle
Farbwahrnehmung,
basierend auf
Wellenlängenbe-
élèves ont pu faire le trajet en TGV.
Vu le nombre élevé d’élève, l’activité a été
répartie sur deux jours : le 1er et le 5 avril
2011. Les élèves, répartis en 3 groupes,
ont suivi des parcours différents choisis
de telle manière que chacun a pu aborder
différents domaines des sciences et de la
technique. Chaque groupe était encadré
par 2 à 3 enseignants qui ont accompagné les élèves d’un atelier à l’autre, respectivement qui les ont guidés à travers
les expositions.
regender 3D Film, der uns in die
Welt der prähistorischen Meeresdinosaurier entführte. Er beschrieb
die Evolution der Urzeitgeschöpfe,
sowie deren Entwicklung in den drei
im Film behandelten Erdepochen
namens Trias, Jura und die Kreidezeit. Uns wurden die verschiedenen
Klassen der vorzeitigen Meeresreptilien vorgestellt; die Ichthyosaurier, die Mosasaurier und die
Pliosaurier. Letztere besaßen vier
paddelförmige Flossen, während die
Anatomie der Ichthyosaurier an die
von Fischen erinnerte und die Mosasaurier eher über einen wasserschlangenartigen Körperbau verfügten. In dem Film wurde ebenfalls eine weitverbreitete Theorie
über das Aussterben dieser prähistorischen Meerestiere behandelt,
die besagt, dass eine Kollision
reichen, entsteht durch die licht- zwischen einem Meteoriten und
empfindlichen Nervenzellen in un- der Erde dies bewirkt haben soll.
serem Auge. Uns wurde auch das
siebentönige
Farbenspektrum, Daraufhin besuchten wir eine
entdeckt von Isaac Newton, er- Ausstellung, die das Thema
klärt; und so verliefen in diesem Energie ansprach. Es wurden die
Atelier Biologie und Physik, zwei verschiedenen Möglichkeiten zur
der wichtigsten Unterteilungen Stromerzeugung explizit dargestellt
Anschließend folgte ein Atelier, das in der Wissenschaft, ineinander. und wir wurden mit handlungsoriensich ebenfalls mit dem Sehorgan Nach diesem Atelier folgte ein an- tierten Spielen auf den bewussten
Le projet d’établissement 39
Umgang mit Energie aufmerksam
gemacht. Man konnte auch selbst
Strom mit einer Handkurbel erzeugen und alle diese praxisorientierten
Mittel veranlassten uns Schüler, uns
mit dem wichtigen Thema Energie
auseinanderzusetzen.
Danach wurde unser Tastsinn
wieder auf die Probe gestellt; diesmal in einem Atelier, in dem wir in
Gruppen aufgeteilt wurden und mit
der Hand verschiedene Knochen
und Schalen von Meerestieren ertasten mussten, welche sich in
verschiedenen Beuteln befanden.
Später mussten wir das jeweilige
Tier der entsprechenden Tierart
zuordnen. Wir beschränkten uns
aber nicht nur auf Meerestiere, wir
sprachen auch von Säugetieren und
Mikroorganismen; alle Facetten des
Tierreiches wurden dargelegt. So
wurde uns gezeigt, welches Ausmaß
an verschiedenen Organismen die
Artenvielfalt der Tiere besitzt, wie
verschieden die einzelnen Rassen
sind, und wie sie doch ineinander
verzweigt sind und zu einem großen
Kreislauf gehören.
Planetarium, saßen in Sesseln,
während sich über unseren Köpfen
eine Halbkugel darstellte, eine
riesige Leinwand, auf der ein Film
über das Universum projiziert wurde.
Eine Frauenstimme erklärte uns den
Aufbau und die Entstehung des Universums, während wir komplett in
die Weite des Weltalls eintauchten.
Die unendlich große Ausdehnung
des Universums wurde so realitätsnah dargestellt und entfachte auf
diese Art wirkliches Interesse an
der Astronomie. Uns wurde zum
Beispiel erklärt, dass die Farbe der
Sterne mit ihrem Alter in Verbindung
steht und dass die Anziehungskraft der Sonne die Planeten unseres
Sonnensystems in ihren Bahnen
hält.
Zum Schluss besichtigten wir eine
Ausstellung, die sich auch mit dem
Sonnensystem befasste und unsere neu errungenen Erkenntnisse
über die Astronomie noch einmal
vertiefte. Planetenbahnen und Himmelskörper waren in Form von
Modellen exponiert, aus Meteoriten stammende Gesteinsbrocken
brachten uns das Universum ganz
Anschließend besuchten wir das nah. In Kurzfilmen erhielt man
weitere
Informationen
über
diverse Geschehnisse, die das Weltall
prägen und so erhielt man einen
Überblick über dieses weitgefächerte Fach.
Zusammenfassend ist zu sagen,
dass uns dieser lehrreiche Ausflug
eine beachtliche Übersicht über
die einzelnen Bereiche der Wissenschaft verschafft hat und uns viel
Lehrstoff auf unkonventionelle und
mitreißende Art und Weise vermittelt hat. Sicherlich wird uns nun die
Wahl der verschiedenen Sektionen
leichter fallen und viele werden
einen Beruf in einer wissenschaftlichen Domäne in Erwägung ziehen.
Christine Lauer 4M4
40 Le projet d’établissement
28
ZENTRUM
Tageblatt
Freitag, 8. April 2011 • Nr. 83
Besuch der 4e-Klassen des LGL in der „Cité des sciences et de l’industrie“ in Paris
„Mal mit Freude was gelernt!“
Chris Schleimer (Text),
André Michaux (Fotos)
Im Rahmen des Schulprojekts
„LGL en FRV-science“ besuchten die 4e-Klassen des „Lycée
de garçons de Luxembourg“
die „Cité des sciences et de
l’industrie“ in Paris. Das Tageblatt begleitete die 80 Schüler
aus drei verschiedenen Klassen und die zehn Lehrer auf ihrer Reise am vergangenen
Dienstag.
PARIS - Aus organisatorischen
Gründen entschieden sich die
Verantwortlichen dazu, die sechs
Klassen auf zwei Tage zu verteilen. Mit dem TGV machte sich die
Gruppe am frühen Morgen auf
den Weg in die französische
Hauptstadt. Vor der „Cité des sciences“ angekommen teilten die
Lehrer Eintrittskarten aus und betonten gleich mehrmals, dass man
diese Tickets den ganzen Tag bei
sich haben müsse. Keine zehn Mi-
nuten später hatten natürlich bereits einige Schüler ihre Eintrittskarten in der Garderobe vergessen. Eben eine ganz normale
Schülerreise.
Die verantwortlichen Lehrer um
Marthe Thill, die diesen Ausflug
organisierte, hatten sich im Vorfeld viel Mühe gegeben, um den
Schülern ein interessantes sowie
gut gefülltes Programm zusammenzustellen. Verschiedene Ausstellungen und Ateliers standen
auf dem Programm. Einer der Höhepunkte war dabei ohne Zweifel
das Planetarium, eine Kuppel von
21 m Durchmesser, auf welche der
Sternenhimmel projiziert wird
und man auf eine Weltraumreise
geschickt wird.
Bei den Schülern gut angekommen war zudem die Ausstellung
„Jeux de lumière“, bei der es unter
anderem um optische Täuschungen ging.
Von Kunst bis
hin zur Astrophysik
Besonderen Wert legten die Lehrer darauf, dass ihre Schüler einen
Eindruck von sämtlichen Wissenschaften bekommen. „Die 4eSchüler müssen sich nächstes
Trimester für eine Sektion entscheiden und haben bis jetzt
noch nicht viel Chemie oder Physik im Programm gehabt“, so Pascal Daman, Leiter des „Projet
d’établissement“. Deshalb wolle
man ihnen durch den Besuch der
„Cité des sciences et de l’industrie“ einen Einblick in den wissenschaftlichen Bereich ermöglichen.
Und das mit Erfolg. Von Geografie über Geologie bis zur Chemie und von Kunst über Biologie
bis zur Physik war alles vertreten.
In den Ausstellungen und Ateliers ging es u.a. um erneuerbare
Energien, Umweltschutz, Artenvielfalt, die Entstehung der Erde,
Gentechnik, Lichtspiele und Farben ...
So war für fast jeden etwas dabei und auch wenn der Tag anstrengend war und den Schülern
die Müdigkeit am Ende förmlich
ins Gesicht geschrieben stand, so
verfolgten sie die verschiedenen
Ausstellung trotzdem mit mal
mehr, mal weniger viel Interesse.
Dass der Tagesausflug den Jugendlichen gefallen hatte, war
unschwer an der guten Stimmung im Zug nach Hause auszumachen. „Eigentlich war ich vor
der Abreise etwas skeptisch“, gab
Lis offen zu. Sie habe damit gerechnet, dass es eher in Richtung
Unterricht gehen würde. Deshalb
sei sie positiv überrascht gewesen, dass die ganzen Besichtigungen so locker waren. „Heute
hab ich mal mit Freude was gelernt“, so die gut gelaunte Schülerin. Zudem fand die Schülerin,
dass der Ausflug gut für die
Stimmung in der Klasse war.
„Obwohl die Wissenschaften
nicht so mein Gebiet sind, fand
ich es sehr interessant“, sagte
Lou, der nächstes Jahr auf die
Sprachen-Sektion A gehen will.
Er habe jetzt gesehen, wie vielseitig der wissenschaftliche Bereich
sein kann.
Die meisten Schüler schlossen
sich den Aussagen ihrer Kollegen
an. Viele waren sich darüber einig, dass der Besuch in der „Cité
des sciences“ ihnen einen Überblick über die verschiedenen Bereiche der Wissenschaft gegeben
habe, an ihrer Entscheidung für
eine Sektion habe die Reise hingegen keinen Einfluss. „Gute
Lehrer in den verschiedenen Fächer sind für diese Entscheidung
von größerer Bedeutung“, meinte
Darius.
Die mitgereisten Lehrer zogen
ebenfalls eine positive Bilanz der
Reise. „Es ist wichtig, dass die
Schüler mal aus dem Klassenzimmer herauskommen und in einer
etwas lockereren Umgebung zusammen sind und was lernen“, so
André Michaux. Marthe Thill
sagte, dass sie bereits im Oktober
mit den Planungen dieser Reise
begonnen habe. 180 Euro pro
Person kostete der Ausflug mit allem Drum und Dran. Davon
mussten die Schüler eine Eigenbeteiligung von 25 Euro zahlen.
Dies war jedoch nur durch eine
großzügige
Subvention
des
„Fonds national de la recherche“
möglich. Dieser verlangt im Ge-
genzug einen Bericht pro Klasse
von der Reise.
Das Schulprojekt „LGL en
FRV-science“ ist bereits das dritte
Projekt der Schule und läuft über
die nächsten drei Jahre und der
Schwerpunkt liegt auf den Wissenschaften. (siehe Tageblatt
vom 15. Januar).
Die „Projets d’établissement“
des LGL sind sehr umfangreich
und suchen ihresgleichen. Wir
versuchen, sämtliche Klassen in
unser Projekt einzubinden“, so
Pascal Daman.
Es gehe darum, den Schülern
aber auch den Lehrern eine wissenschaftliche Kultur näherzubringen, so Daman weiter. Dass
dies auch für die Lehrer gelte, zeige sich besonders am Beispiel der
Englisch-Lehrerin Marthe Thill.
Schließlich habe sie diese wissenschaftliche Reise nach Paris geplant. „Natürlich geht es auch darum, die Schüler so optimal wie
nur möglich zu orientieren und
dabei könnten solche Aktivitäten
eben auch ihren Teil dazu beitragen.“
Mit einem gut motivierten
„Groupe de pilotage“ steht nach
Ablauf dieses Projektes nach drei
Jahren einem weiteren Projekt
nichts im Weg.
INFO
www.cite-sciences.fr
Le projet d’établissement 41
Pojekt der 6M5: Einrichten eines Aquariums
Die
wichtigsten
Wasserwerte
wurden auch von anderen Schulklassen ermittelt. Die Wasserwerte geben immer Auskunft darüber
ob die Bakterienkulturen im Filter
ausreichend arbeiten und die Abfallstoffe vollständig abbauen. Wir
Im
Rahmen
des
Projet haben über sämtliche Arbeiten
d’Etablissement LGL en FRVscience, Berichte geschrieben die auch behat die 6M5 in dem Fach Sciences wertet wurden.
Naturelles ein Aquarium eingerichtet. Als erstes haben wir das Aquari- Probleme und Lösungen.
um präzise geplant. Während der ersten Wochen haben wir in Gruppen Mit den Pflanzen wurden leider
gearbeitet und in Aquaristikbüchern Schnecken eingeschleppt, die zu
und im Internet recherchiert. Die einer Plage wurden. Dieses Problem
Größe des Beckens, die nötige konnten wir lösen durch den Einsatz
Technik, die Gestaltung des Boden- von Raubschnecken. Diese ernähren
grundes, sowie die Bepflanzung sich von kleineren Schnecken,
und der Fischbesatz konnten wir so vermehren sich nicht so schnell und
genau aufeinander abstimmen.
fressen auch keine Pflanzen.
Bevor die Fische eingesetzt Es ist leider auch vorgekommen,
wurden, musste sich ein bio- dass die Fische überfüttert wurden.
logisches
Gleichgewicht
im Das Fischfutter liegt dann am Grund
Aquarium
einstellen.
Dies und verrottet. Dadurch entstehen
dauerte 6 Wochen. In dieser Zeit Giftstoffe die nicht so schnell vom
wurde der Bodengrund eingefüllt, die Filter abgebaut werden. In dem Fall
Pflanzen eingesetzt und die musste der Bodengrund so schnell
Filteranlage mit speziellen Bakterien angeimpft. Jede Woche haben
wir die Wasserwerte überprüft.
Nachdem sich die Werte stabilisiert hatten und sie sich im Normbereich befanden, wurden die Fische
eingesetzt. Vier Platys, 7 Salmler,
fünf Garnelen und ein Wels waren
nun die Bewohner des Aquariums.
Regelmäßige Pflege:
Wir haben uns dann regelmäßig in
kleinen Gruppen um das Aquarium
gekümmert. Jeden Tag wurden die
Fische von uns gefüttert. Ein Futterautomat wurde nur am Wochenende
und in den Schulferien eingesetzt.
Alle drei Wochen wurde die Hälfte
des Wassers ausgetauscht, die
Pflanzen geschnitten und gedüngt.
wie möglich abgesaugt werden.
Unsere Fische scheinen sich
wohl zu fühlen da sie sich schon
vermehrt haben. Die Platys sind
lebendgebärende Fische aber leider
ist es uns noch nicht gelungen eine
Geburt zu beobachten. Es bleibt also
noch einiges zu entdecken. Neuigkeiten hängen immer aus über dem
Aquarium im zweiten Stockwerk
beim Chemielabor. Jeder Schüler und
Lehrer ist eingeladen das Aquarium
zu besuchen und das kleine Biotop
zu bestaunen.
Die Schüler der 6M5
42 Le projet d’établissement
Concours Jeunes Scientifiques
4. Lëtzebuerger
Naturwëssenschaftsolympiad
(de gauche à droite) :
Bob Bertemes, Jean Pütz, Pit Schwartz, Mathieu Schon, Myriam Rehlinger
Depuis des années l’AJSL ( Association Jeunes Scientifiques Luxembourg) mène la bataille pour prouver
que les jeunes regorgent de talent,
font preuve d’esprit d’innovation
dans bien des domaines scientifiques.
Bob Bertemes et Pit Schwartz (
3eC) et Mathieu Schon (6e M3) ont
participé au Concours Jeunes
Scientifiques avec les sujets
suivants:
Projekt über die Wasserqualität in
luxemburgischen Flüssen
Untersuchung des Trinkwassers in
unserer Schule (Lycée de garçons
Luxembourg)
Un voyage éducatif d’une semaine
en Slovaquie leur est offert par
l’association.
Le projet d’établissement 43
44 Le projet d’établissement
Wissenschaft stadtnah
Im Herbst 2010 erfuhr die Klasse
2D2 von ihrer Deutschlehrerin Frau
Fautsch, dass sie an dem Projekt der Schule „FRVscience“ teilnehmen würde. Die Klasse sollte in
den kommenden 4 Monaten, ohne
vor Ort zu sein, einen Reiseführer
erstellen, der sich mit Wissenschaftlern und Institutionen aus
dem Bereich der Mathematik, der
Biologie, der Chemie und der Physik
beschäftigt.
Eine Gruppe von 4 bis 5 Schülern
wählte eine deutschsprachige Stadt
aus. Der Weg von der puren Idee,
die bei einigen Verunsicherung hervorrief, bis hin zum strukturierten,
praktischen, eigenständig geschriebenen Reiseführer war neu,
anstrengend und aufregend.
Zunächst war reine Recherchearbeit verlangt. Per Internet, Buch,
Zeitung und Schulbibliothek wurde
gesucht und gefunden, von Vorteil war
natürlich das Material, das man bei
den jeweiligen Institutionen und
Museen vor Ort per E-Mail angefragt
hatte.
Hier konnte die jeweilige Arbeitsgruppe zeigen, was Organisation
und Arbeitsaufteilung bedeutet.
Jeder Schüler hatte seinen eigenen
Bereich, für den er allein zuständig
war. Dennoch war die Absprache
mit der Lehrerin, der Kontaktperson,
dem Experten und den Gruppenmitgliedern wichtig. Diese Absprache
beeinflusste die Qualität der Arbeit,
den Arbeitsaufwand und vor allem
den Zeitaufwand.
Nach der Besprechung begann die
eigentliche Arbeit. Man musste
die Sekundärliteratur durchlesen,
E-Mails verschicken, Stadtpläne
analysieren, hilfsbereite Experten
finden, die bereit waren, ein Interview mit einem zu führen und sich
klare Gedanken über die Struktur machen, wobei dies manchen
Schülern besser gelang als anderen. Während der anschließenden
Wochen musste viel Zeit in das
Projekt investiert werden. Jedoch
war es für mich persönlich sehr
interessant zu sehen, wie mein
Beitrag eine immer klarere Form
annahm.
Nach 4 Monaten harter Arbeit
war jeder Einzelne zwar froh über
den Abschluss seiner Tätigkeit,
jedoch war auch jeder stolz über
das vorhandene Resultat, das er
autonom erreicht hatte und wir als
Klasse waren uns einig, dass es
definitiv die richtige Entscheidung
gewesen war, an diesem Projekt
teilzunehmen.
Le projet d’établissement 45
Ich kann nur jedem empfehlen,
an einem solchen Projekt mitzuwirken. Selber einen Reiseführer zu
erstellen ist eine Herausforderung,
der man sich stellen sollte, da eine
solche Aufgabe mit viel Verantwortung und Autonomie verbunden ist. Es ist nicht ständig jemand
an deiner Seite, der dir sagt, was
dein nächster Schritt ist, du musst
selbstständig
agieren
und
Entscheidungen treffen, auch wenn
dies manchmal Rückschläge zur
Folge hat.
Autonomes Schreiben ist auch für
so manchen ein Problem und das
Plagiat ist strikt zu vermeiden.
Sind die Arbeiten abgeschlossen,
merkt man, dass man im Laufe
der Recherchen vieles dazugelernt
hat, und man stellt fest, dass die
Naturwissenschaften sehr facet-
tenreich sind, auch wenn man als
Laie komplexe Vorgänge nicht auf
Anhieb verstehen kann. Ein persönlicher Gewinn ist zu verzeichnen,
Durchhänger und Fehler helfen, mit
schwierigen Situationen umzugehen, und eine erfolgreiche Arbeit,
die veröffentlicht wird, ist doch ein
Megaerfolg.
Das Projekt wurde ebenfalls im Englischunterricht von Frau Roch realisiert und wird noch in den nächsten
2 Jahren weitergeführt werden.
WISSENSCHAFT STADTNAH  BERLIN
Max Wegfahrt
bedeutendsten Lehr- und Forschungsstätten Europas. Seit 2003
bildet die „Charité- Universitätsmedizin Berlin“ die Verbindung von
der Charité mit der Freien- sowie
der Humboldt- Universität, einer
der größten Universitätskliniken
Europas mit ca. 7.500 Studenten.
An mehr als 1.000 Forschungsprojekten sind über 3.000 Wissenschaftler beteiligt.
Das Gelände der Charité eignet sich hervorragend zu
einem ruhigen Spaziergang. Die Außenanlagen sind
übersichtlich gestaltet. An den Wegrändern findet
man zahlreiche Büsten und Denkmäler bedeutender
Wissenschaftler und Mediziner, die an der Charité gewirkt
haben. Hier findet der interessierte Spaziergänger äußerst
informative Kurzbiographien dieser einflussreichen
Personen. Eine von ihnen ist Rudolf Virchow.
Rudolf Virchow
Am Anfang des 19. Jahrhunderts
setzte sich in der Medizin das
naturwissenschaftliche Denken
durch. Der philosophische Aspekt
wurde weniger beachtet, man interessierte sich für die biologischen,
physiologischen und chemischen
Grundlagen des Lebens. An dieser
Entwicklung hatte unter anderem
der Pathologe* Rudolf Virchow
einen bedeutenden Einfluss.
Rudolph Virchow
Rudolf Virchow (1821-1902) war
ein deutscher Arzt an der Charité
Berlin, Pathologe und Politiker
(Deutsche Fortschrittspartei*).
Er war der Gründer der modernen
Pathologie und war überzeugt von
einer streng naturwissenschaftlich
orientierten Medizin.
Virchow studierte an der Berliner
militär-ärztlichen Akademie, wo
er zum Heeresarzt ausgebildet
wurde. 1848 wurde Virchow von
der preußischen Regierung nach
Oberschlesien geschickt, um den
Verlauf einer Typhusepidemie zu
untersuchen. In seinem Gutachten
schloss er auf die soziale Not
als Ursache der Seuche und
forderte „volle und unumschränkte
Demokratie“, um Wohlstand und
Gesundheit zu verbreiten.
Dies und seine Teilnahme an der
Märzrevolution* brachten Virchow
dazu, sich politisch zu engagieren.
Er forderte „Volksgesundheit“ und
eine „öffentliche Gesundheitspflege“. Voraussetzungen für eine
soziale Entwicklung sind, nach
Virchow, Bildung, Wohlstand und
Freiheit. Als Mitglied des Preußischen Abgeordnetenhauses setzte
sich Virchow für die Einrichtung
einer modernen Kanalisation mit
zentraler Wasserver- und -entsorgung ein. Berlin hat 1878 eines der
modernsten Abwassersysteme in
Europa.
Virchows wichtigste medizinische
Schrift ist die 1858 erschienene
„Cellularpathologie in ihrer Begründung auf physiologische und
pathologische Gewebelehre“. Die
These „Jede Zelle kann nur aus
einer anderen Zelle entstehen“
ist das theoretische Fundament
moderner Medizin. Alle Krankheiten sind, nach Virchow, auf
Veränderungen von Körperzellen
zurückzuführen.
Centre islamique in Mamer
Am 08.02.2011 besuchten im Rahmen des Religionsunterrichts die
Klassen 5M2 und 5M5 mit ihrer
Religionslehrerin Frau Bachtler
die Moschee in Mamer. Vor dem
Betreten der Moschee mussten die
Mädchen ein Kopftuch anziehen und
wir alle die Schuhe ausziehen.
Von außen sieht die Moschee wie ein
ganz normales Einfamilienhaus aus,
aber im Inneren befindet sich alles,
was ein Moslem zum Beten braucht.
Im Gebetsraum, den man mit dem
rechten Fuß betritt und mit dem
linken Fuß verlässt, erklärte der Imam
kurz den Islam und die Ausstattung
der Moschee. Wie in jeder Moschee
befindet sich im Gebetsraum eine
Nische, die in Richtung Mekka weist
und somit die Gebetsrichtung angibt.
Anschließend wurden die Schülerfragen sehr ausführlich beantwortet.
Wir haben unter anderem gelernt,
dass der Begriff Moschee nicht nur
das Gebäude an sich meint, sondern
dass er auch auf „jede Gemeinschaft
betender Muslime“ angewandt
werden kann.
Nach der Einführung wurden wir in
eine Mädchen- und eine Jungengruppe geteilt, die getrennt die
Waschräume für die rituellen
Waschungen erklärt bekamen.
Zum Abschluss wurden wir zu einem
Imbiss in die Cafeteria eingeladen
und waren sehr froh über die große
Gastfreundschaft.
Obwohl wir schon viel von unserer
Religionslehrerin im Unterricht erklärt bekamen, war es sehr lehrreich. Wir lernten z.B. warum Männer
und Frauen nicht zusammen beten
(um nicht abgelenkt zu werden) und
warum Frauen ein Kopftuch tragen
(um immer rituell rein zu sein um bei
jeder Gelegenheit zu Allah beten zu
können).
Klasse 5M2
Voyage éducatif 6L1 / 4L1
nach Worms
Am 25. Mai 2011 sind wir und die 4L1
mit Frau Bachtler, unserer Religionslehrerin, nach Worms gefahren. Wir
wollten dort unsere Kenntnisse
über das Judentum vertiefen, die
47
und die Geschichte des Zusammenlebens von Juden und Christen in
Worms kennen.
In der Mikwe, dem Ritualbad der
Juden, war es kalt und durch
den Mangel an Regen befand
sich hier fast kein Wasser mehr.
Die Synagoge, die von den Jungen
nur mit einer Kippa betreten werden
durfte, war kleiner als wir dachten,
und das Licht am Thoraschrein
brannte, ein Zeichen, dass eine geweihte Thora vorhanden ist.
Quatrième „wandelte auf den Spuren
von Martin Luther“.
Die Sixième hatte sich Worms ausgesucht, da es dort ein jüdisches
Museum, eine Mikwe, eine Synagoge
und einen sehr alten Friedhof gibt.
Wir haben zuerst den jüdischen
Friedhof besichtigt, auf dem der
älteste erhaltenen Grabstein aus
Europa, aus dem Jahr 1076 steht.
Der Friedhof sah auf den ersten
Blick verwüstet und unordentlich
aus, die Grabsteine waren zum Teil
schon zerstört. Hier ruhen seit fast
1000 Jahren Menschen, die auf den
Messias warten.
Auf dem Weg zum Museum im
früheren Judenviertel sind wir entlang der Stadtmauer durch den ehemaligen Stadtgraben gegangen. Im
das Raschi-Haus konnten wir viele
jüdische Gegenstände, über die wir
in der Schule geredet hatten, zum
ersten Mal in der Realität sehen.
Ebenso lernten wir die Feste und
Lebensweise der orthodoxen Juden
Am Ende unserer Reise besuchten
wir noch den Dom und verglichen
ein jüdisches mit einem christlichen
Gotteshaus. Der Dom gehört zu den
wichtigsten romanischen Domen
Deutschlands und er besitzt außerdem noch eine Reliquie des heiligen
Nikolaus.
Nach diesem interessanten Tag
in Worms machten wir uns dann
wieder auf den Heimweg.
6L1
WORMS - 6LM2 + 6M4
In den 6e Klassen wird jedes Jahr im
Religionsunterricht das Judentum
behandelt.
Um diesen Stoff anschaulicher und
abwechslungsreicher zu gestalten,
fahren wir jedes Jahr mit unseren
Schülern nach Worms in die Rheinland-Pfalz.
Die Stadt der Nibelungen bietet
neben einer Synagoge, einem
jüdischen Bad, einem Museum und
einem der bekanntesten jüdischen
Friedhöfe auch die in Deutschland
selten gewordenen Reste eines
alten jüdischen Viertels.
Am Nachmittag besichtigten wir
auch noch den höchst interessanten und imposanten Dom.
G.B.
48 visites, voyages éducatifs et culturels
Die Sonne scheint über Birkenau
Eindrücke vom gemeinsamen Besuch Luxemburger Schüler mit den Témoins
de la 2e génération in Auschwitz
Wanda Slawinska erreicht das
Stammlager Auschwitz I am 6.
Oktober 1942. Am 4. November ist
sie tot. 28 qualvolle Tage. 28 Tage an
jenem Ort, an dem Adorno zufolge
Aufklärung und Lyrik an ihre Grenzen stießen. „Nach Auschwitz ein
Gedicht zu schreiben ist barbarisch“,
schreibt er 1951 in „Kulturkritik und
Gesellschaft“. Wanda Slawinskas
Porträt hängt mit Hunderten anderer in einem jener Räume des Museums, in denen politischer Häftlinge
gedacht wird. Ihr Gesicht ist das
einer Greisin. Lederne, kalkweiße
Haut zieht sich über die harten
Kanten ihrer Wangenknochen. Ihre
Augen sind feucht, leer, starr und
tot. Das Foto gibt die innere Leere
des Opfers wieder, das Antlitz der
Wanda Slawinska.
Zwei Tage Besichtigung der
polnischen Stadt Oświęcim stehen
an. Betreut von den Témoins de la
2e génération, treten 120 Schüler
16
d’Land Reportage
12. November 2010 Nummer 45
Eindrücke vom gemeinsamen Besuch Luxemburger
Schüler mit den Témoins de la deuxième génération
in Auschwitz
Die Sonne scheint über Birkenau
Claude Reiles
Wanda Slawinska erreicht das
Stammlager Auschwitz I am 6. Oktober 1942. Am 4. November ist sie tot.
28 qualvolle Tage. 28 Tage an jenem
Ort, an dem Adorno zufolge Aufklärung und Lyrik an ihre Grenzen stießen. „Nach Auschwitz ein Gedicht zu
schreiben ist barbarisch“, schreibt
er 1951 in „Kulturkritik und Gesellschaft“. Wanda Slawinskas Porträt
hängt mit Hunderten anderer in
einem jener Räume des Museums, in
denen politischer Häftlinge gedacht
wird. Ihr Gesicht ist das einer Greisin.
Lederne, kalkweiße Haut zieht sich
über die harten Kanten ihrer Wangenknochen. Ihre Augen sind feucht,
leer, starr und tot. Das Foto gibt die
innere Leere des Opfers wieder, das
Antlitz der Wanda Slawinska.
Zwei Tage Besichtigung der polnischen Stadt Oswiecim stehen an.
Betreut von den Témoins de la deuxième génération, treten 120 Schüler aus 12 Schulen mit ihren Lehrern eine Reise nach Auschwitz an,
um begreifen zu können, was wohl
nicht fassbar ist. Die rationalisierte
Vernichtung der anderthalb Millionen Juden aus unterschiedlichen Län-
dern Europas bedeutet auch für die
galizische Stadt eine schwere Bürde.
So verwerfen es die Einheimischen,
ihre Heimatstadt mit dem deutschen
Namen Auschwitz zu benennen. Zwischen Oswiecim und Auschwitz, der
Stadt und dem historischen Verbrechen, wird unterschieden. In der pädagogischen Absicht, der Jugend – und
uns selbst! – die Zeiten der entfesselten Hölle jenseits grauer Schulbuchtheorie zu vermitteln, konzentriert
sich die Organisation vor allem auf
die Vergangenheit.
Doch sei,
so berichtet
Henri Kichka,
in Birkenau kein
Gras gewachsen.
„Hätten wir
einen Grashalm
entdeckt,
wir hätten
ihn gegessen.“
Und so begleiten Schüler und Lehrer unzählige formulierte und unausgesprochene Fragen danach, wie die
eigene Reaktion ausfallen wird, dann,
wenn sich die Krematorien, Baracken
und Gleise unweigerlich offenbaren
werden, wenn wir über jenen Boden
schreiten werden, der damals mit der
Asche der Opfer bedeckt wurde.
Mitten in der Stadt steht das Museum eingebunden in das Stammlager Auschwitz I. Busse parken vor
dem Gelände. Fast-Food wird verkauft. Pizzeria und Hotel säumen
die Straße. Wo 65 Jahre zuvor Maxi-
milian Kolbe für einen Familienvater
in den Tod ging und in Zelle 18 des
Blocks 11 im Hungerbunker auf die
Phenol-Spritze wartete, dort, wo in
den Jahren des Krieges Menschen
vor der Exekutionsmauer im Akkord
hingerichtet wurden, hat sich heute
eine Art Massentourismus eingestellt.
Durchorganisierte Kassenschalter,
Buchhandel und Glasfenster trennen die Besucher von der Möglichkeit zu verstehen. Der Sonnenschein
trägt seines dazu bei, dass meine sieben Schüler jene Worte sprechen,
denen ich so viel abgewinnen kann:
„Die Filme, die wir bisher zu diesem
Thema gesehen haben, berührten
mehr.“ Zudem leiert unsere Reiseführerin ihren Text ohne Empathie
und mentale Präsenz herunter. Auch
ihr Automatismus steht der Nachempfindung des Leids im Weg, Enttäuschung macht sich breit. Die Besichtigung von Auschwitz I steht hinter den Erwartungen von mir und
meinen Schülern zurück. Die Leere
in den Augen der Wanda Slawinska
verschließt sich uns.
Bei der Begegnung der gesamten
Gruppe am Samstag- und Sonntagnachmittag in der Internationalen
Jugendbegegnungsstätte mit Henri
Kichka bringt es der Überlebende
des Lagers auf den Punkt: „Wenn die
Zeugen jener Zeit nicht mehr von
Leid und dem Angriff auf die Men-
aus 12 Schulen mit ihren Lehrern
eine Reise nach Auschwitz an, um
begreifen zu können, was wohl nicht
fassbar ist. Die rationalisierte Vernichtung der anderthalb Millionen
Juden
aus
unterschiedlichen
Ländern Europas bedeutet auch für
die galizische Stadt eine schwere
Bürde. So verwerfen es die Einheimischen, ihre Heimatstadt mit
dem deutschen Namen Auschwitz
zu benennen. Zwischen Oświęcim
und Auschwitz, der Stadt und
dem historischen Verbrechen,
wird unterschieden. In der pädagogischen Absicht, der Jugend
– und uns selbst! – die Zeiten der
entfesselten Hölle jenseits grauer
Schulbuchtheorie zu vermitteln,
konzentriert sich die Organisation
vor allem auf die Vergangenheit.
Und so begleiten Schüler und Lehrer
unzählige formulierte und unausgesprochene Fragen danach, wie
die eigene Reaktion ausfallen wird,
dann, wenn sich die Krematorien,
Baracken und Gleise unweigerlich
offenbaren werden, wenn wir über
jenen Boden schreiten werden, der
damals mit der Asche der Opfer bedeckt wurde.
Mitten in der Stadt steht das
Museum eingebunden in das
Stammlager Auschwitz I. Busse
parken vor dem Gelände. Fast-Food
wird verkauft. Pizzeria und Hotel
säumen die Straße. Wo 65 Jahre
zuvor Maximilian Kolbe für einen
Familienvater in den Tod ging und
in Zelle 18 des Blocks 11 im Hungerbunker auf die Phenol-Spritze
wartete, dort, wo in den Jahren
des Krieges Menschen vor der
Exekutionsmauer
im
Akkord
hingerichtet wurden, hat sich
heute eine Art Massentourismus
eingestellt.
Durchorganisierte
Kassenschalter, Buchhandel und
Glasfenster trennen die Besucher
von der Möglichkeit zu verstehen.
Der Sonnenschein trägt seines
dazu bei, dass meine 7 Schüler jene
Worte sprechen, denen ich so viel
abgewinnen kann: „Die Filme, die wir
bisher zu diesem Thema gesehen
haben, berührten mehr“. Zudem leiert unsere Reiseführerin ihren Text
ohne Empathie und mentale Präsenz
herunter. Auch ihr Automatismus
steht der Nachempfindung des
Leids im Weg, Enttäuschung macht
sich breit. Die Besichtigung von
Auschwitz I steht hinter den Erwartungen von mir und meinen
Schülern zurück. Die Leere in
den Augen der Wanda Slawinska
verschließt
sich
uns.
Bei der Begegnung der gesamten
Gruppe am Samstag- und Sonntagnachmittag in der Internationalen
Jugendbegegnungsstätte mit Henri
Kichka bringt es der Überlebende
des Lagers auf den Punkt: „Wenn
die Zeugen jener Zeit nicht mehr
von Leid und dem Angriff auf die
Menschenwürde erzählen können,
offenbaren sich das Lager und die
damit verbundenen Schreckenstaten der Nazis nur noch als Museum.“
Besteht Grund zur Sorge?
Auf die engagierten Fragen, welche
die Jugendlichen an den Zeitzeugen richten, weiß Kichka mit
persönlichen Erfahrungen empathisch zu antworten. Im Raum
herrscht Stille, wenn der heute
84-jährige von durch die Arbeit zerborstenen Schultersehnen, in Kot
gedrückten Gesichtern, stinkenden
Leichen in den Viehtransportern
berichtet. Kichka geht seiner
Berufung als Zeitzeuge der Vernichtungsmaschinerie seit 25 Jahren
visites, voyages éducatifs et culturels 49
mutende Wiese gestreut. Doch sei,
so berichtet Henri Kichka, in Birkenau
kein Gras gewachsen. Wen wundert
es, wenn man den Tod sät. Und
dann: „Hätten wir einen Grashalm
entdeckt, wir hätten ihn gegessen.“
Totenstille stellt sich ein, als wir
Herrn Kichka mit seiner nummerierten Häftlingsmütze in der Schlafbaracke umkreisen. Er hat ein paar
Schüler begleitet, möchte nun jedoch
zu allen sprechen. Niemand will die
Gelegenheit missen. Er stützt sich
mit seiner linken Hand an den harten
Holzbalken der ersten Schlafstätte
ab. Henri Kichkas Körpersprache
wirkt entschlossen, seine Stimme
aber klingt für Momente leise, zittrig. Keine Unterrichtssituation wäre
so möglich. In der Baracke jedoch verstummen Nebengeräusche.
Jeder lauscht den Worten des ExHäftlings wie gebannt. Alles wirkt
authentisch, vor Ort, nicht museal,
sondern ungeschminkt, roh. Von
der oberen Schlafetage habe man
durch die steinharten Bretter nach
unten gepinkelt, bisweilen auf Mitinsassen, weil die Nacht zu eisig,
der Weg zu beschwerlich gewesen
sei, um von dem Gerüst zu steigen,
die Baracke zu verlassen, seinen
menschlichen Grundbedürfnissen
auch menschlich nachgehen zu
können. Das Zischen einer geöffneten Cola-Flasche schneidet
durch die bleierne Luft. Ein Raunen
geht durch die Menge, Verlegenheit
macht sich breit. Dass die Sonne
über das Todeslager Birkenau
scheint, ist für Momente vergessen.
„Ich erinnerte mich an meinen
damaligen, vergeblichen Versuch,
mir ein volles Lager und Häftlinge
und Wachmannschaften und das
Leiden konkret vorzustellen. Ich
versuchte es wirklich, schaute auf
eine Baracke, schloss die Augen und
reihte Baracke an Baracke. (…) Aber
d’Land Reportage
Nummer 45 12. November 2010
17
Claude Reiles
nach, schreibt Bücher, tritt im
Fernsehen auf und – die Jugend hört
zu.
Die Sonne scheint auch am Sonntagmorgen. Es ist wohlig warm.
Sonnenstrahlen scheinen durch
die Busfenster an diesem zweiten
Tag, bescheinen die Straße, die vom
Stammlager nach Birkenau führt.
Wärme legt sich über die Gleise,
die in Spielbergs Schindlers Liste in
nächtliches Dunkel, in verschneite
Kälte getaucht waren. Keine Wachhunde kläffen, es stinkt nicht nach
Urin, nach Stiefelcreme, nach Angst.
Auch hier macht sich in mir die Sorge
breit, selbst das Vernichtungslager
entzöge sich unserer Vorstellungskraft, schüre Neutralität.
Dann aber ist es der Marsch durch
das Schienentor, das Besteigen der
Rampe, es ist das Berühren einer
Latrine, einer Schlafbaracke, es
sind die Reste von Mauerzeichnungen, die uns stocken lassen. Ob
es stimme, man habe Kleinkinder
lebendig in die Öfen geworfen,
möchte eine Schülerin wissen. Ja,
dazu gebe es ungeprüfte Berichte, antwortet unsere an diesem
Tag engagiertere Reiseführerin.
Augen werden feucht. Man schluckt.
Einmal, zweimal. Weitere Fragen
werden erstickt. Nicht aus Desinteresse, sondern, weil die Stimme
versagt, weil unfassbar ist, wozu
der Mensch fähig sein kann. In der
„Scheißstube“ hätten die Häftlinge
zu Dutzenden gesessen, sich in
einem Sanitärraum erleichtert, der
im Ersten Weltkrieg als Pferdestall
hergehalten habe. Die Nasenringe
hängen noch an Querbalken. Der
Kot wird in riesigen Auffangbecken
gelagert. Mit menschlichen Exkrementen lässt sich hervorragend
düngen. Auch Asche wird einen
Steinwurf von den Krematorien entfernt über eine heute idyllisch an-
schenwürde erzählen können, offenbaren sich das Lager und die damit
verbundenen Schreckenstaten der
Nazis nur noch als Museum.“ Besteht Grund zur Sorge?
Auf die engagierten Fragen, welche
die Jugendlichen an den Zeitzeugen
richten, weiß Kichka mit persönlichen
Erfahrungen empathisch zu antworten. Im Raum herrscht Stille, wenn
der heute 84-Jährige von durch die
Arbeit zerborstenen Schultersehnen,
in Kot gedrückten Gesichtern, stinkenden Leichen in den Viehtransportern berichtet. Kichka geht seiner
Berufung als Zeitzeuge der Vernichtungsmaschinerie seit 25 Jahren nach,
schreibt Bücher, tritt im Fernsehen
auf und – die Jugend hört zu.
Die Sonne scheint auch am Sonntagmorgen. Es ist wohlig warm. Sonnenstrahlen scheinen durch die Busfenster an diesem zweiten Tag, bescheinen die Straße, die vom Stammlager nach Birkenau führt. Wärme
legt sich über die Gleise, die in Spielbergs Schindlers Liste in nächtliches
Dunkel, in verschneite Kälte getaucht
waren. Keine Wachhunde kläffen, es
Wenn die letzten Zeugen tot sind, offenbaren sich das Lager und die Schreckenstaten nur noch als Museum
stinkt nicht nach Urin, nach Stiefelcreme, nach Angst. Auch hier macht
sich in mir die Sorge breit, selbst das
Vernichtungslager entzöge sich unserer Vorstellungskraft, schüre Neutralität.
Dann aber ist es der Marsch durch
das Schienentor, das Besteigen der
Rampe, es ist das Berühren einer
Latrine, einer Schlafbaracke, es sind
die Reste von Mauerzeichnungen,
die uns stocken lassen. Ob es stimme, man habe Kleinkinder lebendig
in die Öfen geworfen, möchte eine
Schülerin wissen. Ja, dazu gebe es
ungeprüfte Berichte, antwortet unsere an diesem Tag engagiertere Rei-
seführerin. Augen werden feucht.
Man schluckt. Einmal, zweimal. Weitere Fragen werden erstickt. Nicht
aus Desinteresse, sondern, weil die
Stimme versagt, weil unfassbar ist,
wozu der Mensch fähig sein kann. In
der „Scheißstube“ hätten die Häftlinge zu Dutzenden gesessen, sich in
einem Sanitärraum erleichtert, der
im Ersten Weltkrieg als Pferdestall
hergehalten habe. Die Nasenringe
hängen noch an Querbalken. Der
Kot wird in riesigen Auffangbecken
gelagert. Mit menschlichen Exkrementen lässt sich hervorragend düngen. Auch Asche wird einen Steinwurf von den Krematorien entfernt
über eine heute idyllisch anmutende
Dann ist es
der Marsch durch
das Schienentor,
das Besteigen
der Rampe,
es ist das Berühren
einer Latrine,
einer Schlafbaracke,
es sind die Reste
von Mauerzeichnungen, die
uns stocken lassen
Wiese gestreut. Doch sei, so berichtet Henri Kichka, in Birkenau kein
Gras gewachsen. Wen wundert es,
wenn man den Tod sät. Und dann:
„Hätten wir einen Grashalm entdeckt,
wir hätten ihn gegessen.“
Totenstille stellt sich ein, als wir Herrn
Kichka mit seiner nummerierten Häftlingsmütze in der Schlafbaracke umkreisen. Er hat ein paar Schüler begleitet, möchte nun jedoch zu allen
sprechen. Niemand will die Gelegenheit missen. Er stützt sich mit seiner
linken Hand an den harten Holzbalken der ersten Schlafstätte ab.
Henri Kichkas Körpersprache wirkt
entschlossen, seine Stimme aber klingt
für Momente leise, zittrig. Keine Unterrichtssituation wäre so möglich.
In der Baracke jedoch verstummen
Nebengeräusche. Jeder lauscht den
Worten des Ex-Häftlings wie gebannt.
Alles wirkt authentisch, vor Ort, nicht
museal, sondern ungeschminkt, roh.
Von der oberen Schlafetage habe
man durch die steinharten Bretter
nach unten gepinkelt, bisweilen auf
Mitinsassen, weil die Nacht zu eisig,
der Weg zu beschwerlich gewesen sei,
um von dem Gerüst zu steigen, die
Baracke zu verlassen, seinen menschlichen Grundbedürfnissen auch
menschlich nachgehen zu können.
Das Zischen einer geöffneten ColaFlasche schneidet durch die bleierne Luft. Ein Raunen geht durch
die Menge, Verlegenheit macht sich
breit. Dass die Sonne über das Todeslager Birkenau scheint, ist für Momente vergessen.
„Ich erinnerte mich an meinen damaligen, vergeblichen Versuch, mir
ein volles Lager und Häftlinge und
Wachmannschaften und das Leiden
konkret vorzustellen. Ich versuchte
es wirklich, schaute auf eine Baracke,
schloss die Augen und reihte Baracke an Baracke. (…) Aber es war alles
vergeblich.“ Michael Bergs vergeblicher Versuch einer geistigen Verinnerlichung der Verbrechen in Struthof aus Bernhard Schlinks Der Vorleser hat die Gruppe im Museum Auschwitz I geprägt. Die durch die Inszenierung entstandene Distanz in
Zeit und Raum war zu deutlich. Über
den Baracken von Birkenau hat die
Sonne jedoch nicht die Kraft, die
Betroffenheit abzumildern.
Niemand möchte bis auf den Grund
von Wanda Slawinskas Augenhöhlen
sehen. An diesem Tag aber wandelt
sich ein Portrait zu einer ganzen Geschichte. Wie mir dieses Foto, werden so manchem ähnliche konkrete
Details zugesetzt haben: Ein paar Längen Stacheldraht, eine eingeritzte Botschaft, eine verkohlte Puppe. Der freie
Nachmittag in Krakau am letzten Reisetag erweist sich als Segen.
es war alles vergeblich.“ Michael
Bergs vergeblicher Versuch einer
geistigen Verinnerlichung der Verbrechen in Struthof aus Bernhard
Schlinks Der Vorleser hat die Gruppe
im Museum Auschwitz I geprägt. Die
durch die Inszenierung entstandene Distanz in Zeit und Raum war
zu deutlich. Über den Baracken von
Birkenau hat die Sonne jedoch nicht die
Kraft, die Betroffenheit abzumildern.
Niemand möchte bis auf den Grund
von Wanda Slawinskas Augenhöhlen
sehen. An diesem Tag aber wandelt
sich ein Portrait zu einer ganzen
Geschichte. Wie mir dieses Foto,
werden so manchem ähnliche konkrete Details zugesetzt
haben: Ein paar Längen Stacheldraht, eine eingeritzte Botschaft,
eine verkohlte Puppe. Der freie
Nachmittag in Krakau am letzten
Reisetag erweist sich als Segen.
Claude Reiles,
d’Land Reportage
Nummer 45
12.November 2010
50 visites, voyages éducatifs et culturels
B
e
r
l
i
n
Schritt nach Berlin, ans Brandenburger Tor;
Schritt entlang der Mauer,
Blick zum Check-Point-Charly, wo so viele Tränen vergossen wurden.
Wer gedenkt der Flüchtlinge, die es in die Freiheit geschafft haben?
Wer erinnert sich an die zahllosen Opfer, die den Wunsch nach Freiheit mit dem Leben bezahlen mussten?
Verfolgung der Spuren zum Stasigefängnis;
DEM Ort der Geheimpolizei – Spitzel, Wächter, Gefangene vor dem geistigen Auge..
Heute, über 20 Jahre nach dem Mauerfall hat der Reichstag eine neue Dimension:
Einsicht in gestrige und aktuelle Politik.,
Deren Geschichte haben wir gesehen, durch den Blick in die Vergangenheit.
Obwohl heute wunderschön gemalt, doch ein Zeichen der Unterdrückung,
des verlorenen freien Willen und der Angst. Jedoch auch die Verbindung,
der Auflehnung und des Mutes die Menschen vereinte.
Faszinierend und grauenhaft, schrecklich und schön.
So ist das Berlin in unseren Köpfen geworden.
Dondelinger Cathy 3A
Sott Steffi 3A
Debugne Louise 3A
Klassenfahrt der Optionskurse „Musik“ und
„Handeln in Grenzsituationen“ nach Hamburg
„Hamburg, was wollt ihr denn in
Hamburg? Da gibt es doch nichts
außer Kiez, Hafen und Bratwurst.“
Denkste. Lustig-fröhlich und voller
Erwartungen brachen wir gleich
nach den letzten durchschwitzten
Prüfungen vor den Weihnachtsferien auf.
Eine bunt zusammen gewür-
felte Reisetruppe, Leute aus allen
Sektionen. Musiker und, na ja, Menschen, die um das „Handel in Grenzsituationen“ besorgt sind, suchen
eine vollkommene Abwechslung
vom erdrückenden Buchstabenwald
es Abiturs.
Musikalisch und vor allem zweideutig witzig ging es dann gleich nach
unserer Ankunft im verschneiten
Hamburg mit der „Schmidt`s Mitternachtsshow“ los. Comedy gab es
also deftig, und vergessen wir nicht
den Besuch im „Quatsch Comedy
Club“, nach dem genereller
Lachkrampf und allgemeine Bauch-
muskelkater herrschten.
Aber neben dem ganzen Lachen und
Schmunzeln gab es auch einiges
zum Staunen und Bewundern, ob
Winterparade oder Miniaturwunderland: Ohren und Augen wurden verwöhnt.
Für die Musiker gab es dann noch
singende Löwen, gospelnde Nonnen
oder rockende Kiezgestalten. So ein
Musical bietet natürlich auch einige
Grenzsituationen: was tun, wenn
eine riesige Hyäne harrscharf am
eigenen Sitz vorüber rennt?
Natürlich ging es bei dieser Reise
nicht nur ums Vergnügen, wo denkt
visites, voyages éducatifs et culturels 51
ihr denn hin? Wir mussten unter anderem durch die interessante aber
vereiste Speicherstadt schlittern,
mussten bibbernd vor Kälte eine
Hafenrundfahrt überstehen und durften uns von einem gemütlichen
Bus, mit geschichtlicher Führung
inklusive, durch Hamburg kutschieren lassen.
Kulinarisch gesehen war die Reise
keine große Entdeckung, jedoch war
es über Currywurst und Co leicht den
Mitreisenden näher zu kommen. Über
die unzähligen Weihnachtsmärkten Hamburgs schlendernd wurden
Freundschaften geschlossen oder
aufgefrischt.
Das unbefangene Gefühl, das einem
so ein 6-Bettzimmer gibt, ist unvergesslich. Besonders da es unsere
letzte Chance war, dies noch einmal
vor dem „beängstigenden“ Eintritt
in die große, weite Welt zu erleben,
schätzen wir jene Erfahrung sehr.
Wir möchten allen Lehrern Frau
Bachtler, Frau Schuster, Frau
Bauler, Herr Harsch, Herr Direktor
Schroeder, danken, die sich waghalsig dazu bereit erklärten die
Reise in die einmalige Stadt
Hamburg zu organisieren und uns zu
begleiten.
Auf dem Rundgang durchs Museum
haben wir uns im Tresorraum einige
original Gutenbergbibeln angesehen.
Sie sind sehr alt, schön ausgemalt
und Millionen wert.
Nach dem Museum haben wir noch
den Mainzer Dom, der dem heiligen
Martin geweiht ist, besichtigt. Er
Christine Leidner, 1A wurde von Bischof Wiligis erbaut,
der damit seine geistliche und kirchliche Macht demonstrieren wollte.
Erstaunlich ist, dass dieser Dom als
einziges Bauwerk die Bombardierung von Main überlebt hat – aus dem
strategischen Grund, dass er den
Bombern die Richtung vorgab.
Nach einer Mittagspause, die wir
in Gruppen verbrachten, gingen wir
noch in die Sankt Stefan Kirche mit
ihren berühmten Chagallfenstern.
Frau Bachtler gab uns einige Erklärungen zur Entstehung und zur
Klassenreise nach MAINZ
Symbolik dieser Fenster.
Obwohl die Rückreise wieder lange
war, fanden wir den Tag schön. Es ist
Nach einer langen Busfahrt sind wir, presse drucken. Diese farbig getoll mit der Klasse als Gruppe etwas
die Klassen 5M5 und 5M2 mit unser- druckte Seite hängt jetzt in unserer
zu unternehmen.
er Religionslehrerin Frau Bachtler in Klasse.
5M5
Mainz angekommen.
Zuerst waren wir im Gutenbergmuseum. Dort lernten wir viel über
Johannes Gutenberg, der eigentlich
Johannes Gensfleisch hieß. Im
Museum lernten wir viel über die
Papierherstellung und den Buchdruck. Wir bekamen gezeigt wie
Gutenberg seine Buchstaben anfertigte und wie er seine Bibeln
druckte. Maxime durfte sogar eine
Seite mit dem Beginn des Johannesevangeliums auf Gutenbergs Buch-
52 visites, voyages éducatifs et culturels
Voyage éducatif et culturel à Rome- Avril 2011
C’est dans la joie et la bonne
humeur que nous chargions nos
valises dans le bus pour Rome ce
premier jour d’avril 2011. Il avait
plu aux dieux immortels de nous
épargner les poissons du même
nom. Vers six heures , après un
bref résumé des règles de sécurité
élémentaires, nous nous mîmes en
route .
Ce voyage à travers la nuit se passa
sans encombre, mis à part le fait
que l’impatience et les secousses empêchèrent la plupart d’ entre
nous de dormir.
Cependant, la vue de la cité
éternelle nous fit oublier notre
fatigue. Notre programme prévoyait
en effet une visite d’introduction des
plus dignes : le Forum Romanum,
cœur de la république romaine avec
la Curie et le temple de Vesta ainsi
que le Palatin, la colline des Palais
impériaux.
Pour conclure ce premier aperçu
de la Rome antique, une visite de
l’impressionnant Colisée s’imposait
naturellement.
Certes différentes mais non mois
intéressantes, la Basilica San
de ce grand musée dédié à l’art
baroque étaient déjà bien connues
des élèves de troisième qui les
avaient étudiées en éducation
artistique et en latin. La gestion
des visiteurs remarquablement bien
organisée permet d’ ailleurs de
contempler en toute tranquillité les trésors de cette exposition
exceptionnelle.
La soirée elle aussi fut principalement marquée par la Renaissance
et le baroque, avec les églises Luigi
dei Francesci et San Ignazio ainsi
que l’ Elefantino de Bernini. De la
Rome antique, la Piazza Navona et
le Panthéon constituaient autant de
monuments impressionnants. Les
explications historiques données,
nous eûmes le loisir d’ apprécier la
gastronomie romaine dans les petites ruelles qui rayonnent depuis
les grandes places de la ville.
Le jour suivant nous vit traverser
les illustres musées du Vatican,
aux œuvres d’art les plus remarquables, telles que les fresques de la
chapelle Sixtine. Malheureusement,
les latinistes luxembourgeois ne
sont pas les seuls à apprécier l’ art
italien, et le public nombreux empêcha une appréciation approfondie
de cet énorme musée. Après un
repas de midi rapide, nous partîmes
pour Sorrente, laissant derrière nous
la ville éternelle.
Clemente et la Piazza di Spagna
complétèrent parfaitement ce
panorama de la ville, arrondi
après le repas du soir par une
promenade vers la Fontana
di Trevi et ses gelatterie.
Le soir, nous fûmes agréablement surpris par les chambres de
l’auberge de la Villa Lituana, dont
le confort égale celui de biens des
hôtels plus onéreux. Aussi, beaucoup d’entre nous se précipitèrent
au lit le plus tôt possible.
La journée suivante commença
par une visite des catacombes de
Callisto, où sont enterrés nombre
des premiers chrétiens de Rome. Le
caractère de l’endroit fut apprécié
autant que la fraîcheur souterraine.
La prochaine visite, celle de la
Villa Borghèse, constituait l’un des
grands évènements du voyage. En Le Vésuve et Pompéi
effet, plusieurs œuvres célèbres Le Vésuve ! Le seul nom de cette
visites, voyages éducatifs et culturels 53
3EG explore dans l’histoire du Luxembourg
Excursion dans la mine de fer « Walert » à Rumelange
montagne fait frémir depuis cette
sinistre journée de l’an 79 de notre ère. Cependant, comme aucune
alarme n’avait été donnée, nous
nous aventurâmes sur le sommet
fumant. Le cratère, de diamètre
considérable, constitue une vue indescriptible avec ses fumeroles et
cristaux en tout genres, qui font la
joie des amateurs.
La célèbre ville-fantôme de Pompéi donna une toute autre image
de ce qui nous semblait être une
montagne des plus paisibles. Avant
d’ en être chassés par l’ orage,
nous eûmes le temps de voir les
bâtiments et le spectacle affligeant
de ce qui reste de leurs habitants.
Le lendemain, une dernière marche
le long de la côte nous amena à
notre bus, la mélancolie du départ
cédant progressivement à la joie du
retour auprès de nos familles.
Dans le contexte de leur cours
d’histoire ainsi que du projet
d’établissement FRV-Science du
LGL, la classe 3EG s’est familiarisée de manière interactive avec la
première révolution industrielle en
visitant le 4 février 2011 le Musée
National des Mines de Fer luxembourgeoises à Rumelange ainsi
que la mine « Walert ». Les élèves
se sont rendus avec leurs professeurs d’histoire et de français, Madame Raus et Monsieur Weis, à la
gare de Luxembourg pour prendre
le bus en direction de Rumelange.
L’atmosphère était assez détendue!
Arrivés à la gare de Rumelange, ils
devaient se rendre à pied jusqu’au
Musée.
Jean-François Nies
Mine Walert en 1890 [www.mnm.lu]
Dès l’arrivée au Musée, les deux
guides, Georges et Fabrice ont
expliqué le déroulement de la visite
ainsi que les mesures de sécurité.
Tous les élèves ont mis des casques
de protection. Les caractéristiques géologiques du bassin minier
luxembourgeois ont été présentées.
Les élèves ont appris que le terme
de «Minette » est dû à la pauvre
teneur en fer du minerai luxembourgeois.
Après avoir laissé les derniers
rayons de soleil derrière eux, les
élèves sont entrés dans la mine.
Certains trouvaient que le climat
à l’intérieur de la mine était plus
agréable qu’à l’extérieur, où il pleuvait et gelait. Les guides ont expliqué qu’il y avait en effet une
température constante sur toute
l’année entre 8 et 10C° à l’intérieur
de la mine. Par contre, en raison de
l’humidité de l’air à 90%, une partie
des élèves grelottait au bout d’une
heure de visite.
La mine était organisée de façon
suivante : il y avait une seule voie
centrale où passaient les rails, indispensables pour faire circuler les
wagonnets transportant le minerai.
Perpendiculairement à cette voie
centrale, des galeries latérales
menaient vers différents fronts de
taille. Chaque galerie latérale était
marquée par une couleur et sur les
54 visites, voyages éducatifs et culturels
parois se trouvaient des flèches
ainsi que des chiffres indiquant
la direction et la distance vers la
sortie. En effet, outre par sa température, la mine se caractérisait
également par l’obscurité. Et, les
guides se sont efforcés d’expliquer
les conditions de travail des plus
pénibles des ouvriers pour lesquels
la lampe à carbure était indispensable.
Pour expliquer les conditions de
travail et la manière dont le minerai a été extrait de la mine, les
guides avaient préparé des ateliers
à l’intérieur de la mine, au cours
desquels les élèves ont volontairement pu expérimenter la vie du
mineur. A l’aide d’une perforeuse
manuelle, certains ont creusé un
trou dans la paroi de la mine, destiné à placer des explosifs en vue
de faire décoller des morceaux de
minerai de fer. Etonnés étaient les
élèves quand ils ont appris que pour
un simple trou, il fallait une heure et
que le mineur s’exerçait jusqu’à 12
heures par jour. Les mineurs travaillaient 365 jours par an et ce pen-
dant 50 ans, à l’exception du jour
de la fête de la Sainte Barbe, Sainte
protectrice des mineurs. A d’autres
endroits, les élèves ont tenté de
pousser une berline chargée de minerai ou ont essayé de construire des
poutrelles destinées à soutenir le
plafond d’une galerie.
Les élèves ont découvert la manière
dont les mineurs faisaient leur
pause de midi. Leurs sacoches contenant la nourriture étaient suspendues à des cordes afin d’éviter que
les rats n’y aient accès. Souvent
les femmes ramenaient les repas
et remplissaient les wagonnets de
minerai, le temps que leurs maris
mangent. Il ne fallait pas perdre
de temps, puisque le temps déter-
minait leur salaire. Les conditions
des mineurs étaient difficiles. Les
mineurs étaient obligés d’acheter
eux-mêmes tout le matériel dont
ils avaient besoin pour tailler et
sécuriser la mine. D’ou les nombreux
accidents en raison d’un boisage
mal fait, puisque trop couteux !
Les élèves ont ainsi pu constater
la pénibilité et les dangers du métier de mineur. Souvent les galeries
s’effondraient. En tout, 47 mineurs
sont morts dans la mine de Walert.
A l’instar du mineur Jean-Pierre
Bausch, qui était bourgmestre de
Rumelange et plus tard député.
Dans ces fonctions, il s’était engagé
pour la défense de ses collègues,
pour des questions salariales et
des mesures de sécurité. La victime
la plus jeune n’avait que treize ans
quand elle glissait avec les chaussures pleines de vases sous un
wagonnet et que le cheval continuait à tirer sa charge. A l’époque,
beaucoup de jeunes garçons travaillaient dans les mines. Malgré la loi
inter-disant le travail des enfants
avant 15 ans, les garçons étaient
employés dès l’âge de sept ans à
diriger les chevaux dans les mines.
A la fin de la visite, tous les élèves
ont taillé du minerai et en ont gardé
un morceau en souvenir. Les élèves
ont pu se rendre compte des raisons de la richesse du Luxembourg
d’aujourd’hui. C’est seulement à
cause de la sueur des mineurs que
le Luxembourg a connu un boom
économique et industriel. Cette
époque a été la base de la transformation du Luxembourg d’un pays
qui se fondait sur l’agriculture en un
pays qui se caractérise par son secteur bancaire.
Alors qu’il n’y a plus d’activité
dans les mines du Luxembourg –
l’exploitation de la mine de Walert
cesse en 1964 – il faut penser aux
nombreux mineurs qui continuent à
travailler dans les mines comme au
visites, voyages éducatifs et culturels 55
Chili par exemple, et qui nous livrent
le minerai de fer ou le charbon dont
a besoin l’industrie sidérurgique.
Lisa Alff, Jo Ast, Pascal Jossi
Besuch der Klassen 2G
und 2E des LGL im
E u r o p ä i s c h e n
P a r l a m e n t i n
S t r a ß b u r g
Debatten begründeten. Diese haben
die Funktion verschiedene Entscheidungen, was die Politik oder die
Wirtschaft angeht, im Interesse
Europas, aber auch ihres Landes zu
treffen.
Später wartete Charles Goerens,
Mitglied der Demokratischen Partei,
auf uns. Mit ihm führten wir eine
zweistündige Diskussion über
aktuelle Ereignisse und politische
Themen. Wir redeten über die Flüchtlinge aus Tunesien, die gerade aufgrund der Unruhen in ihrer Heimat
nach Italien geflüchtet waren. Herr
Goerens teilte uns zum Beispiel
mit, dass zwei Tage zuvor Italiens
Innenminister Roberto Maroni als
Reaktion auf die Ankunft tausender tunesischer Flüchtlinge auf
der italienischen Mittelmeerinsel
Lampedusa
die
Stationierung
italienischer Polizisten in Tunesien
gefordert hatte. Wir redeten auch
noch über die Gesundheitspolitik in
Spanien, wo ja an öffentlichen Orten
nicht mehr geraucht werden darf.
Andere wichtige Themen wurden besprochen, bevor die beiden Klassen
zum Abschluss ihres Besuchs ein
Gruppenfoto im Parlament machten.
Trois élèves du LGL sont devenus membres du Comité
économique et social européen pour deux jours et ont
eu leur mot à dire sur les politiques de la jeunesse
Du 5 au 7 mai 2011, le Comité
économique et social européen
- CESE, un organe consultatif de
l’Union européenne a organisé dans
ses propres locaux à Bruxelles une
simulation de session plénière.
Cette simulation a permis à des
élèves d’enseignement secondaire
issus des 27 pays membres de
l’Union européenne de découvrir le
processus de prise de décision du
CESE.
Das Europäische Parlament mit
Sitz in Straßburg ist das Parlament
der Europäischen Union. Es hat drei
wesentliche Aufgaben: Gesetzgebung, Haushaltskontrolle und
Kontrolle der Europäischen Kommission.
Am Donnerstag, den 15. Februar
2011 besuchten die 2eG und die
2eE in Begleitung ihrer Lehrer das
Europäische Parlament von 12 Uhr
mittags bis 17 Uhr. Wir verfolgten
früh am Nachmittag von der Tribüne
des Plenarsaals aus das Ende der
Sitzung und hörten zu, als Politiker
ihre Standpunkte in den aktuellen
Alessandro Schiavone, 2G
Au préalable, le 18 mars 2011,
Monsieur
Raymond
Hencks,
membre luxembourgeois du CESE a
rendu visite à la classe 2D2 du LGL.
Il a présenté aux élèves le CESE et
son fonctionnement et les a aidé
56 visites, voyages éducatifs et culturels
à se préparer à la session plénière
simulée. Les élèves ont préparé un
avis sur le thème « Jeunesse en
mouvement », une nouvelle initiative
européenne visant à aider les jeunes
à acquérir les connaissances et
compétences essentielles qui sont
nécessaires pour obtenir un emploi.
sélectionnés par un vote interne en
classe afin de représenter le Luxembourg lors du projet. Ils ont été
accompagnés par leur enseignante
Martine Jodocy.
Lors du séjour à Bruxelles les
trois élèves ont participé à
diverses manifestations de prise de
Cette année, Joé Lamesch, Loris contact, à des séances de travail, à
Meyer et Michelle Wagner, trois une table ronde et à des intervenélèves de la 2D2 du LGL ont été tions de représentants des institu-
tions européennes. Le dernier jour
a eu lieu un débat et un vote sur
chacun des amendements préparés,
suivi de l’adoption du texte définitif.
Cette expérience, très enrichissante,
a permis aux élèves de partager
leurs expériences dans un environnement multiculturel, d’échanger
des idées et de faire de nouvelles connaissances. Ce fut aussi
pour eux l’occasion de découvrir
Bruxelles de l’intérieur.
Les voyages culturels des professeurs du LGL
Au LGL, de façon générale, c’est
l’élève qui est au centre des préoccupations. Voilà pourquoi dans les
« Les Grandes Lignes » la majeure
partie de la publication est destinée
aux activités des élèves, ainsi qu’aux
voyages pédagogiques qu’ils font
en cours d’année. Toutefois, depuis
bientôt 20 ans, les professeurs
eux aussi, ainsi que leurs familles,
partent régulièrement en voyage. Ces voyages culturels les ont
conduits dans divers pays d’Europe
et d’Amérique. Pour le choix des
destinations, l’accent est mis sur
la diversité des cultures et des endroits.
Ainsi, certains voyages ont été
consacrés à des régions ou pays au
croisement de différentes civilisations et cultures.
Parmi les endroits visités, on retiendra Istanbul, romaine, romane
et ottomane (1994), l’Andalousie
chrétienne, juive et arabe (1996),
la Sicile grecque, romaine, arabe
et normande (2001), l’île de Cuba
hispano-africaine (2002), la Vénétie
italienne, autrichienne et ottomane,
avec l’accent mis sur les villas
palladiennes (2003) et, tout récemment, la Jordanie gréco-romaine,
judéo-chrétienne, nabatéenne et
arabe (2011).
dans des villes voisines et pourtant
très différentes : Nous citerons New
York et Washington (1995), Dresde
et Weimar (1997), Vienne et Budapest (1998), Rome et Naples (2000),
Glasgow et Édimbourg (2004),
Porto et Lisbonne (2006), ainsi que
Ravenne et Bologne (2008).
Ces voyages font partie de la vie
du LGL et sont organisés, parfois
D’autres voyages les ont conduits de A jusqu’à Z, par des professeurs
visites, voyages éducatifs et culturels 57
du LGL. En réduisant au minimum
les intermédiaires, on peut proposer des tarifs très attrayants et
permettre à des familles avec
enfants de participer.
On dit que les voyages forment
la jeunesse ; mais aucun des
participants à ces voyages ne
niera
qu’ils
forment
aussi
les adultes. Les périples des
professeurs du LGL sont un bel
exemple d’interdisciplinarité. On
retrouve parmi les participants
des enseignants de toutes les
branches, et les visites ne se
résument pas aux aspects
artistiques
ou
historiques.
Architecture, sciences, politique,
civilisations, ethnologie sont des
sujets fréquemment abordés dès
que nous quittons le Grand Duché.
Souvent, à leur retour, les professeurs enrichissent leur cours en
faisant partager ce qu’ils ont vu
avec leurs élèves.
Les préparatifs pour le voyage d’avril
2011 en Jordanie ont commencé
dès octobre 2010. A l’époque, rien
ne laissait présager un éveil populaire et démocratique dans les pays
arabes. Aussi, nombreux étaient les
professeurs qui se sont inscrits pour
un périple jordanien du 10 au 18 avril
2011. Si les voyages précédents
étaient surtout axés sur les aspects
purement culturels (culture au sens
large, il va de soi), celle fois-ci on a
aussi fait appel à l’effort physique
(au sens « très » large, on pourrait parler de « culture physique »),
nécessaire pour apprécier la beauté
du pays à sa juste valeur.
multicolores dans la Mer Rouge … Et
puis il y a le Mont Nebo : endroit magique où Moïse aurait contemplé la
Terre Promise, sans pouvoir jamais
y pénétrer. Quelles que soient les
En raison des événements politiques opinions religieuses, il faut avouer
qui ont eu lieu dans les pays arabes que la vue depuis le Mont Nebo est
début 2011, y compris en Jordanie, impressionnante. Voir à ses pieds, à
les quelques mois qui précédaient le quelque 1200 mètres (de dénivelé)
voyage étaient pleins de suspense. en contrebas, sur la rive opposée du
Régulièrement, les participants Jourdain, des endroits imprégnés
ont été informés de la situation en d’histoire comme les villes de
Jérusalem et de Jéricho, s’imaginer
dans la peau de Moïse, voilà des
souvenirs qui ne laissent personne
indifférent.
Chaque jour de ce périple jordanien avait son lot de surprises et de
moments magiques. Et comme
l’aimait répéter notre guide Joussef:
« Le meilleur est à venir ! »
Jordanie, qui n’a jamais été vraiment
inquiétante. Néanmoins, quelques J’aimerais reprendre cette maxime
personnes ont préféré se retirer.
à mon compte et l’appliquer aux
Les 23 personnes ont abordé le futurs voyages des professeurs du
voyage en Jordanie le 10 avril ne LGL.
l’ont certainement pas regretté.
Un programme très varié : expériPascal Daman
ences mettant en jeu la poussée
d’Archimède à la Mer Morte, 410
mètres en dessous du niveau de ma
mer, bains chauds au pied du Golan,
visite des sites gréco-romains de 1992 Prague
Gadara et de Jerash, ainsi que de 1994 Istanbul
la forteresse des Croisés à Kerak,
1995
New York et Washington
longues promenades inoubliables
sur le site exceptionnel de Petra, 1996 Andalousie
une des « nouvelles » Merveilles 1997 Dresde et Weimar
du Monde, excursion et nuit sous 1998 Vienne et Budapest
tente dans le désert du Wadi Rum, 2000 Rome et Naples
découverte de coraux et de poissons 2001 Sicile
2002
Cuba
2003
Vénétie
2004
Glasgow et Edimbourg
2006
Porto et Lisbonne
2008
Ravenne et Bologne
2011
Jordanie
Die Philharmonie: ein stattlicher Musiktempel. Ist für die
Berliner Hans Scharouns Bau zu
Maestrissimos Zeiten ihr „Zirkus
Karajani“ gewesen, so ist für uns
Luxemburger heute Christian de
Portzamparcs Gebäude unsere
„Klangstäbercheskëscht“, unsere
P h i l - S p a ß „White Musicbox“, kurz: unsere
Anmerkungen zu einem Konzert in „Phil“. Und „Phil bitt vill“, könnte es
in Abwandlung eines alten Werbesder Philharmonie am 16.10.2010 logans heißen.
Ein erster allzu flüchtiger Blick
auf die Eintrittskarte hätte einen
glauben lassen können, dass für
diesen Abend vier namhafte künstlerische Vereinigungen aus dem
Land zu einer gemeinsamen
Konzertdarbietung zusammengekommen wären. Vier Vereinigungen,
deren Logos auf dem Konzertticket
abgedruckt waren:
- LGL (Let’s Get Loud)
- NOSL (Nordstadlyra)
- LJBM (Little Jingle Band Mamer)
- LCD (L ëschteg Chorale Dikrech)
Ein zweiter, genauerer Blick auf
dieselbe Eintrittskarte belehrte
uns schnell eines Besseren: Vier
Schulen, das Lycée de Garçons de
Luxembourg, das Nordstadlycée, das
Lycée Josy Barthel Mamer sowie das
Lycée Classique de Diekirch gaben
sich ein Stelldichein in der Philharmonie zu einem „Privatkonzert“ des
OPL. LGL meets OPL, NOSL goes Phil,
OPL à l’amitié avec LCD, Phil welcomes Josy Barthel. Ja, so stimmt
es. Von diesen vier Schulen war das
Konzert in der Philharmonie organisiert.
Auf dem Programm: Drei unbekannte Werke dreier kaum bekannter
Komponisten
(aus Osteuropa)
dirigiert von einem unbekannten
Dirigenten (ebenfalls aus Osteuropa).
Eine
gute
Gelegenheit
also,
neue
Bekanntschaften zu schließen.
Der Solist des Abends, der Pianist,
ist Insidern bestens bekannt,
nichtsdestoweniger stammt auch
er aus Osteuropa. Ein slawischer
Abend demnach. Mann komme mir
nicht mit der Bemerkung voller
Bedauern, wenn schon slawisch,
dann nicht Nicolaï Medtners
erstes Klavierkonzert in c-Moll
op.33, sondern Tschaikowskys
erstes Klavierkonzert in b-Moll
op.23; wenn schon slawisch,
dann nicht Karol Szymanowskis
Konzertouvertüre op.12, sondern
Tschaikowskys Ouvertüre 1812,
mit der wenig überzeugenden Begründung: da wäre wenigstens
ordentlich was los gewesen mit
Schlachtgemetzel und richtigen
Kanonenschüssen, das wäre megamartialisch-bombastisch gewesen,
dagegen sei Janáček mit seiner
59
„Militär“-Sinfonietta der reinste
Chorknabe und Pazifist. Nein, wir
sind offen und dankbar für alles
Neue, wir brauchen nicht immer
Kanonen auf dem Podium, wir haben
das Klavierkonzert
von Medtner genossen, auch
wenn der Rezensent von „fast schon
stereo-typ die gesamte Klaviatur
auf und ab rauschendem Passagenwerk“ sowie von „leerem C-Dur-Geklingel des Schlusses“ geschrieben
hat. Der Klaviervirtuose Boris Berezowsky trug einen feinen Lederanzug mit Lederweste, nicht in CuirDur, sonst hätte es womöglich noch
im forte gequietscht und geknackt.
Auch gut, dass sie nicht eingangs
Tschaikowskys Pathétique gespielt
haben, sonst wäre das Publikum
gerührt und aufgewühlt, womöglich
noch von Weinkrämpfen geschüttelt, in die Pause gegangen:
Pause: in der Säulenhalle
ambulierend heulen s’alle.
Doch kommen wir noch einmal auf
den Anfang des Konzerts zurück:
Nach der Ouvertüre, nach knapp
13minütiger Spielzeit also, kam das
große Stühlerücken. Es musste umdisponiert werden, Platz geschafft
werden für den Flügel, das klobige,
schwarze Ungetüm. Das musste
nach vorne zum Dirigenten. Kein
Klaviervirtuose spielt gerne von
hinten heraus, von links oder rechts
außen. Der Solist ist es gewohnt,
im Mittelpunkt zu stehen; Alle Menschen schauen hinüber, wo sein
„sanfter“
Flügel
weilt und
wo er auf
demselben agiert. Aber
warum so
umständlich? Hätte man den Flügel nicht
von vorneherein an die richtige Stelle
platzieren können? Hätte man nicht
beim Bau der teuren Philharmonie an eine technische Vorrichtung
denken können, die den Flügel bei
Bedarf mittels Hydraulik aus der
Versenkung holt, wie das im
„Zirkus Karajani“ der Fall ist?
Entschuldigung, es waren ja
nur zwei Fragen. Immerhin ist
man ja nicht so vermessen zu
bemerken, dass es bei einem
Violinkonzert weniger Umstände gibt. Dafür gibt es da
andere Probleme und Risiken:
Saitensprung, zum Beispiel, wo
der Solist mal kurz hinter der
Bühne verschwindet, wieder
zurückkommt und treuherzig
weiterspielt, als wäre nichts
geschehen. Ja, das kommt
davon, wenn man den Bogen
über-spannt. Aber lassen wir
das. Gehen wir nun definitiv in
die Pause!
Nein, ich habe niemanden
zwischen den Säulen heulen se-
hen. So genau habe ich auch nicht
hingeschaut. Ich war viel zu intensiv
damit beschäftigt, mich an der Bar
durch das Gedränge zu schubsen,
um noch rechtzeitig ein Gläschen Sekt zu ergattern – und ein Häppchen gegen den
Hunger. Medtner, Berezowsky: die
machen hungrig und durstig. Schon
tönte der Gong. Und schon war’s
geschehen: Crevette fett auf Krawatte matt. Fettbefleckter Schlips!
Wenn dich deine Krawatte ärgert,
bind sie los und zieh sie aus. Der
oberste Hemdknopf geht sowieso
nicht mehr zu. Mir platzt der Kragen.
In der zweiten Halbzeit, wie gesagt,
Janáček Sinfonietta „Militär“; Viel
Blech – ich meine: hervorragende
Leistung der Blechbläser zumal in
den Ecksätzen, die von Fanfaren
geprägt sind. Der junge Dirigent Juraj
60 activités et projets
Valcuha konnte das in allen Gruppen bestens disponierte Orchester
mit sehr bestimmter, aber immer
eleganter
Zeichengebung
zu
einer Leistung anfeuern, welche
die Frische des Werks voll zur Geltung brachte. Nur schade, dass
wir uns ablenken ließen von einem
störenden, sich in straffem Rhythmus fast militärisch aufdrängenden, beharrlich wiederkehrenden
Gedanken: Im Schlips der fette,
blöde Fleck; am Montag schnell zu 5
à Sec!
Um einmal von diesem dämlichen
Binder loszukommen: Es gibt schon
erstaunliche Parallelen zwischen
einem Orchester und einer Schulklasse: Hier wie dort: Ein „Pultstar“
leitet das Ganze. Hier wie dort:
Große Klasse! Jeder Teilnehmer ist
voll motiviert, in jedem Moment voll
konzentriert. Keine Fremdbeschäftigung, keine Privatgespräche, kein
Kaugummi. Jeder hat seine „Noten“
vor sich liegen. Niemand hat sein Instrument vergessen. Alle Augen sind
auf den Dirigenten gerichtet, niemand verpasst seinen Einsatz, jeder
gibt sein Bestes. Da sitzt niemand,
der von Tuten und Blasen keine
Ahnung hätte. Ein Streicher etwa?
Ach was! Alle haben transversale
Kompetenzen. Und außerdem, hier
wie dort: Nichts wird gestrichen,
was zu schwer wäre; niemand
macht einen Bogen um die Arbeit.
Was heißt hier „Arbeit“? „Arbeit“
ist Spiel, das reinste Vergnügen. Im
Konzertsaal wie im Klassensaal gilt:
Es wird nicht lange herumdiskutiert.
Pro oder contra Bass? – Da heißt es
einfach: Kontrabass! – und damit
basta! Wie gesagt: Eine verblüffende
Übereinstimmung. Und das Resultat
lässt sich beide Mal hören, sehen
und bewundern.
School meets Music. Eine aus-
gezeichnete
Initiative.
Das
Programmheft und die Konzertkarte
werde ich sorgfältig aufbewahren.
Zu bedauern bleibt allerdings, dass
ich kaum einer oder einem meiner
zahlreichen Schülerinnen und
Schüler an diesem Abend in der Phil
begegnet bin.
Roland Harsch
school, which gives the meeting a
very international flair. For the past
three years, St George’s School in
Harpenden, UK, has been our partner
and we were happy to welcome Sarah Treasure, Laura Waldram, Alex
Black, Alex Hobday and their teacher Sue Thomas this year.
The topic of the 2010 edition was
‘Private Life, Public Life’, which allowed participants to gather inforFORUM FOR A
mation on both the convenience and
MULTICULTURAL EUROPE
the pitfalls of the Internet. Taking
part in an event of this kind is both
The Forum for a Multicultural rewarding and fun. It broadens hoEurope, which is organized by the rizons, it is hard work, yet there is
SNJ in cooperation with a number of also lots of room for play.
Luxembourg lycées, enjoys a longstanding tradition. It is meant to give
Marthe Thill
young people from all over Europe
the opportunity to meet new faces, After the long-expected arrival of
to discuss a variety of topics and our English guests and a long night,
hone their language skills while lis- the official opening ceremony of
tening to international speakers and the Forum took place at the LGL.
talking to their peers from abroad. In This was actually the first time we
2010 the forum took place for the met all the other students involved
18th time and the LGL hosted the in this international event, which
opening day of this event on October was quite exciting. Students from
10th.
various countries of the European
Each lycée that is involved teams Union had to present their school.
up with a different EU secondary Once introductions had been made,
activités et projets 61
we all had lunch at the restaurant
Porta Nova. After lunch there was
a walk through our beautiful city.
This was a great way to get to know
each other a bit better and to find
out more about the history of our
capital. Fortunately, Petrus offered
us a sunny day. Afterwards we all
gathered at the LGL again; the official part of the day ended with a
concert given by the LGL Big Band.
I really enjoyed the Forum, because
it was a great opportunity to make
friends and to improve my English.
I had a lot of fun, and it seems as if
my guest had a great time too, and
I had a few days off school, which
is always good. So my advice to
everybody out there is: if you get the
chance to participate in the Forum
for a multicultural Europe, go for it,
because it’s great fun.
Christophe Lux 2D
First of all I would like to say that,
generally, I really enjoyed the 18th
edition of this event and that I’m
happy to have been part of it.
During the three days we spent
at the “Chambres des Métiers” in
Kirchberg, we were given talks by
experts all working in jobs related in
different ways to the Internet. So
there was a lecturer from the University of Amsterdam, a lawyer from
Luxembourg and several IT specialists, among them a professional
hacker, who gave us a speech about
this new medium. Following these
talks we were given a set of ques-
tions to deal with in our workshops.
I attended a discussion workshop
and so I was able to consider fundamental aspects like safety, democracy, freedom, as well as the
possibilities and risks inherent in
cyberspace.
Even though ten people with ten different opinions are hardly able to
figure out solutions to such complex problems in such a short time,
I found our workshops most interesting. I equally enjoyed the time
we spent together with our British
guests after the workshops. All in
all, taking part in the forum was
both interesting and fun.
ever, mainly told us things we already knew.
The most rewarding aspect of our
discussions was not answering the
questions, but exchanging views.
Our meetings were indeed international and we spoke (after finishing the questions of course) a lot
about the different countries we
come from. That was perhaps the
most fascinating part of the forum,
the exchange between young people
from all over Europe.
Communication between the different nationalities worked really well,
I mostly spoke English, but also
German and French. You were part
of the community in every way and
Daniel Puth 2B thus there were no outsiders and
you could just speak with whomever
you felt like. It was a great experiThere were three different work- ence in every way.
shops you could attend: it as your
choice whether you wanted to join
Sandy Thill 2C
a discussion group, whether you
wanted to be creative and work Being a host for a foreigner was a
with Luxembourg artist Florence new experience for me. That’s why
Hoffman or whether you wanted to I was a bit nervous, but once we
practise your skills as a journalist had overcome initial language probby joining the press group.
lems we managed to communicate
Each day started with experts quite well. From the beginning of
giving talks about a specific aspect their stay, Sarah, Laura and the two
of the Internet. Afterwards we went Alexes were lovely, open-minded
to our workshop. I was in a discus- and interested. Already after the
sion workshop and we were always first few hours we had spent togiven a number of questions to gether, I learnt to appreciate Sarah’s
find answers to. These questions presence. I was impressed by how
generally dealt with the new infor- quickly you get used to sharing your
mation we had obtained from the everyday life with someone. It felt
experts. Some of them spoke about a bit like having a temporary twin
very interesting issues, others, how- sister.
62 activités et projets
From Monday to Wednesday we attended lectures and different workshops. I was with Sandy’s guest,
Laura, in the creative workshop.
In addition there were people from
all over Europe: Swedes, French,
Estonians, etc... Finding out more
about their background was really
interesting and enriching. In the
evenings we often went out, showing different bars, restaurants,
cafés and clubs to our guests. We
had a lot of fun together. When the
Forum was over and Sarah had left,
I felt a little lonely. After five days of
a really intense time with our Eng- Lesung von Elisabeth Zöller
lish guests and the other students, 6 L1 und 6 LM2 des LGL
I missed their company. I enjoyed
meeting all the new faces and I Am 18. November 2010 nahmen die
intend to visit Sarah in Hertfordshire Klassen 6 L1 und 6 LM2 an einer
during the summer holidays.
Lesung der deutschen Schriftstellerin Elisabeth Zöller in der BibJulie Brauch 2D liothek des LGL teil. Im Deutschunterricht hatten die Schüler zuvor
das Buch „Anton oder die Zeit des
unwerten Lebens“ gelesen, sich mit
der Thematik des Dritten Reiches
beschäftigt und sich insbesondere
über den Umgang des Nazi-Regimes
mit Behinderten informiert.
Elisabeth Zöller las Passagen aus
ihrem Buch vor, lieferte Hintergrundinformationen dazu und erzählte
von ihren Recherchen. Anschließend
Des bougies pour Amnesty
Les élèves de 4M3 et de 4M6 ont
organisé la vente des bougies
Amnesty International dans le
cadre de la traditionnelle campagne
du 10 décembre, journée mondiale
des Droits de l’Homme. La vente de
220 bougies du 23 novembre au 10
décembre dans le hall d’entrée du
LGL a permis de récolter la somme de 800€ au profit d’Amnesty
International.
Michèle Mergen
in den Klassen
stand sie den interessierten Schülern,
die im Unterricht eifrig
Fragen vorbereitet hatten, Rede
und Antwort. Besonders interessierte die Jugendlichen das Schicksal
des Onkels der Schriftstellerin, der
im Gegensatz zu vielen behinderten
Mitmenschen versteckt und gerettet werden konnte und dessen
Geschichte dem gelesenen Buch
zugrunde liegt.
Zum Abschluss der knapp zweistündigen Begegnung stellte Frau
Zöller ihren neuen Roman „Der
schwarze Vorhang“ vor.
activités et projets 63
„Schule neu entdecken“
Von zahlreichen Klassenfahrten in
fremde Städte bis hin zu Konzerten
in der Schule findet man im ,,Lycée
de Garçons’’ so ziemlich alles, was
das Herz begehrt. Angesichts der
Vielzahl an Angeboten fällt es den
Schülern nicht immer leicht, sich
für eine bestimmte Aktivität zu
entscheiden. Es fehlt auch an dieser
Stelle an Raum für eine umfassende
Darstellung aller einzelnen Ange- bekannte Sommerhit von Jennifer
Lopes, sondern ein musikalisches
bote.
Showevent unserer Schule. Vielen
ist es unbekannt, doch die Schüler
aus dem LGL sind sehr musikbegeistert. Die Wurzeln des ,,Let’s get
loud’’ liegen in den angebotenen
Musikoptionen auf den Abschlussklassen, die immer gut besucht sind.
Anfangs stand die Theorie noch im
Neben Schulprojekten wie „Langues
Déliées’’ oder ,,LGL en FRVscience’’,
in denen man die Schüler motivieren
will, neue Sprachen zu erlernen
oder sich stärker mit Naturwissenschaften vertraut zu machen, hat
das LGL auch eine Chorale und
eine Big Band aufzuweisen. Sportbegeisterte Schüler kommen auch
nicht zu kurz – es reicht, einen Blick
auf das vielfältige Sportangebot
der Schule zu werfen. Schüler mit
einer kreativen Ader können sich
in Fotografie-Kursen oder SchreibWerkstätten austoben. Doch vor allem stechen zwei paraschulische
Projekte des LGL heraus: „Let’s
Get Loud“ und „Citron Vers“, zwei
kulturell-kreative Tätigkeiten, die
schulisches Können und Kreativität
perfekt verbinden.
,,Let’s get loud’’ ist nicht etwa der
ist, die Besetzungen festzulegen.
Aus einer ,,Kellerband’’ wurden
sehr schnell die Bühnenrocker, die
ein großes Publikum für sich begeisterten. Nicht einmal die unerfahrenen Schüler der „7e musicale’’
schreckten davor zurück, am
Bühnengeschehen
teilzunehmen und sogar ehemalige
Schüler meldeten sich freiwillig,
um an der Show mitzuwirken.
Doch die Organisation nahm ziemlich viel Zeit in Anspruch. Um die
einzelnen Auftritte einzustudieren,
musste der eine oder andere Teilnehmer so manche Stunde seiner
Freizeit opfern. Die Hauptorgani-
Vordergrund. Die Musikanten „jammten“ ursprünglich nur für sich
alleine im Keller. Doch allmählich
genügte ihnen dies nicht mehr und
sie wollten ihr Können unbedingt auf
der Bühne beweisen. Im Laufe der
Jahre wurde die Theorie in die Praxis
umgesetzt.
satoren Frau Schuster und Frau
Lentz wurden natürlich auch von der
Musiklehrerin Simone Schuster, Direktion unterstützt. Sehr großzuständig für die Organisation des zügig zeigte sich diese und
Let’s Get Loud, weiß mittlerweile spendete kurzerhand eine neue
nach fünf Jahren, wie der Hase läuft. Musikanlage für die diesjährigen
Sie beschreibt uns in einem Ge- Aufführungen. Das Publikum war
spräch, wie schwierig und trotzdem völlig hin und weg und die Nachfrage
witzig es zu Beginn des Schuljahres an Reservier-ungen für das zwei-
64 activités et projets
Initiative eines Schreibateliers von
Alexandra Fixmer, einer ehemaligen
Lehrerin des LGL, die selbst Gedichte schreibt, führte Englischlehrerin
Anne Reinard fort.
tägige Event war so groß, dass man
glatt noch einen dritten Vorstellungsabend hätte beifügen können.
„Hinterher ist man immer schlauer
und weiß, was noch verbessert
werden kann’’, verspricht uns Frau
Schuster.
Am Ende des ehrgeizigen Projekts
schätzen alle Teilnehmer die gesammelten Erfahrungen. „Wir verloren unsere Schüchternheit und wir
sind über uns hinausgewachsen“, so
einige Primaner der Salsa-Option,
die mit einer perfekt eingeübten
Tanzeinlage am „Let’s get loud“
teilnahmen. Aber auch die Lehrer
zeigten sich sehr engagiert, versuchten sich auf unerfahrenen Gebieten und zeigten genauso wenig
Scheu auf der Bühne wie die Schüler.
„Auch Lehrer sind nur normale Menschen’,’ beteuert einer der Künstler,
Kunstlehrer Mark Theis. „Die Beziehung zwischen Schüler und
Lehrer wird deutlich lockerer’’.
Nicht nur für Musiker und Schauspieler bietet das LGL Unterhaltung,
sondern auch literaturbegeisterte
Schüler können beispielsweise
einer Schreibgruppe beitreten. Die
Anfangs wollte man nur das
Schreiben der Schüler anregen, das
Veröffentlichen eines Buches war
eigentlich nicht vorgesehen. Man
wollte sich zu dem Event „Printemps
des Poètes“ hinarbeiten. Doch wie
sich herausstellte, waren es die Gedichte der Teilnehmer auch würdig,
gedruckt zu werden, und so entstand der Gedichtband „Citron Vers“.
„Das Projekt verlangte viel Engagement, sowohl von den Organisatoren
wie auch von den Schülern“, betonte Anne Reinard. „Es steckt viel
mehr Arbeit dahinter als man annehmen würde.“ Doch alle Teilnehmer opferten bereitwillig ihre
Freizeit, denn die Motivation war groß.
Ihre Lust zum Schreiben konnte man
förmlich spüren, die Aufgabe der
Lehrer war es, mit Anregungen und
kleinen Spielen ihre Kreativität zu
fördern.
Das Endprojekt wurde mit großer
Begeisterung aufgenommen, unzählige Angebote zu Vorlesungen
wurden gemacht. Die Gruppe von
18 Schülern stellte ihre Werke
unter anderem in der KUFA, bei
der „Grande Nuit de Poèsie“ und
natürlich im LGL selbst vor. Der
Verkauf der Bücher war so erfolgreich, dass sogar ein zweiter Druck
nachfolgte. Bei allen Vorlesungen war das Publikum sehr von den
jungen Poeten begeistert.
Als Fazit könnte man also sagen,
dass das LGL seinen Schülern sehr
viele Möglichkeiten bietet, sich in
paraschulischen Aktivitäten zu
betätigen. Niemand wird gezwungen, die Teilnehmer kommen, weil
sie die nötige Lust und Motivation
verspüren. Jede einzelne Aktivität
soll die Schüler ja bereichern, sie
soll keine unnötige Last darstellen.
Wenn dann alle motiviert mitmachen,
kann das Ganze für die Schüler und
für die jeweiligen Zuständigen zu
lehrreichen Erfahrungen führen, sei
es nun zum Beispiel im Bereich der
Musik oder der Literatur.
Catherine Leidner,
Christophe Nesser,
Laurence Serres,
Lis Steinmetz
T H E AT R E M U LT I L I N G U E
2011
Après Roland Harsch et Jean-Paul Sartre - parole aux jeunes
“Entre nous soit dit” fut une création
du groupe de théâtre multilingue
du lycée de garçons basée sur un
travail d’improvisations autour de
thématiques choisies par les jeunes
eux-mêmes.
Il s’agitssait pour eux de présenter
sur scène des sujets qui les préoccupent, qui les touchent, qui ont
un lien direct ou indirect avec leur
quotidien.
Les jeunes ont parlé d’eux, de ce à
quoi leur génération est confrontée,
de leurs désirs et de leurs espoirs
et tout cela, à travers différentes
scènes de tonalités et de styles
divers.
Une belle façon de faire du théâtre
engagé.
activités et projets 65
Entre nous soit dit
Théâtre au Lycée de
Garçons de Luxembourg
Certaines expériences se révèlent
après coup fort décevantes ou, par
contre, bien plus intéressantes
qu’elles n’en avaient l’air. Ainsi,
m’attendant à passer une soirée de
choix, j’étais allé voir il y a quelques
semaines de cela une pièce d’un
de nos auteurs les plus encensées
du moment. Ma déception fut telle
que j’osai quitter la salle avant la
fin du spectacle. Sujet sérieux, mais
bavardages sans fin et sans consistance.
Quelle ne fut alors mon enchantement en assistant à une soirée
théâtrale dans mon ancien lycée.
Pour l’occasion, la grande majorité des textes avaient été rédigés
non par quelque auteur célèbre,
mais par les élèves. A priori il semblait donc qu’n ne devrait pas poser
trop d’exigences. Ainsi, pour avoir
enseigné pendant quarante ans,
je croyais connaître plus ou moins
les sujets qui intéressaient les jeunes, m’attendant à la mise en
scène d’amourettes juvéniles ou
de saynètes autour de l’école et
des joutes plus ou moins violentes
ou amusantes opposant élèves et
professeurs. Je m’étais lourdement
trompé, car tel ne fut point le cas.
La danseuse qui ouvrit le spectacle nous mit tout de suite en face
d’un problème autrement sérieux,
tragique même, le suicide. Lettre
déchirée, poison qu’on avale, mort
douloureuse dans de terribles convulsions. La scène suivante, grâce
aux paroles venues s’ajouter aux
gestes, fut plus violente encore. Une
jeune y clama son dégoût de l’école
et de la vie. Sa solitude intolérable
face à des parents désunis et des
camarades superficiels, insensibles à sa détresse, ne lui laissaient
qu’une seule sortie : le suicide. Le
public, sonné par ces scènes, n’osa
même pas applaudir. Heureusement,
la suite fut moins noire, et l’on passa
à des « machines à suicide » aussi
farfelues qu’hilarantes.
Pourtant, la critique des parents
égoïstes et querelleurs, prêts à se
quitter pour un oui et pour un non,
fut reprise dans une des scènes
suivantes qui rappelait de façon
bien concrète la triste réalité des
familles déchirées, volatilisées, puis
soi-disant recomposées où bien
trop de jeunes ne trouvent plus de
repère fixe.
Autre sujet qui tient à cœur à nos jeunes : les moyens de communication
électroniques. Ce furent l’ordinateur,
le Face book et le Twitter qui firent
les frais de sketches mi-figue mi
raisin. Ainsi doc, la jeunesse, tout
en abusant trop souvent de ces
gadgets, se rend bien compte des
dangers qu’ils recèlent. Bravo pour
cette mise en garde, mais espérons
qu’on n’en restera pas là !
Finalement ce fut le tour d’une autre obsession omniprésente, en
l’occurrence les kilos sur la balance. Rien qu’à voir les titres d’une
certaine presse, on comprend fort
bien la réaction des jeunes. Tout
le monde et son père y promettent
monts et merveilles lorsqu’il s’agit
de maigrir sans pleurs ni privations.
Vingt kilos de moins en vingt jours,
cinquantes kilos de perdus grâce
à tel régime miracle ! et voilà nos
jeunes actrices et acteurs qui passent sur la balance et nous abreuvent de leurs rêves de « poids idéal
». La plupart nous disent (heureusement ce n’est point vrai) qu’ils traînent des kilos en trop. Ils nous font
voir comment ils y sont arrivés en
s’empiffrant à longueur de journée,
boulimiques, finissant en montres
obèses, incapables de se mouvoir.
Mais ils parlent évidemment aussi
de régimes à suivre pour maigrir,
et ainsi du gravissime problème
auquel certains abus vont mener,
l’anorexie, dont j’ai malheureusement vu quelques cas au cours de
ma carrière.
Ainsi, en l’espace d’une petite heure, de jeunes amateurs, grâce à des
textes sans fioritures inutiles ni
prétentions littéraires, ont réussi
par leur spontanéité et leur simplicité à fasciner non seulement un
vieux schnock de professeur, mais
toute une salle. Les commentaires
des adultes après la représentation
étaient éloquentes : Cette jeunesse
est loin d’être superficielle qu’on le
pense ou qu’on le prétend parfois.
Ses problèmes sont ceux de toute
notre société. Ils s’en rendent bien
compte, ils y sont confrontés aussi
bien que les adultes, et ils doivent
essayer de leur faire face.
Raymond Schaack
31-03-2011
66 activités et projets
LGL English Theatre
Group presents
“The Exam”
When given a choice, students will by Andy Hamilton, a play about
invariably pick the play that repro- pushy parents, nerves before exams
duces their own situation. That is and ... a ghostly presence on stage.
why we ended up doing ‘The Exam’
activités et projets 67
F e s t i v a l d e s d a n s e s “Dichtung als Spiegel der
du monde
Welt“ - Poetry Slam auf der
Le vendredi 26 novembre et le
4M5
samedi 27 novembre 2010, les
titulaires du cours de salsa (option classes de 1ère) ont accompagné plusieurs élèves du groupe au
Festival des Danses du Monde à
Moutfort, organisé par Los Magos
del Arte et El Ritmo Latino. Au programme: des ateliers de salsa et
d’autres danses (kizomba, kuduro,
samba ...) suivis de soirées salsa
et de spectacles internationaux le
vendredi et le samedi. Parmi les
artistes invités pour animer des
ateliers ou présenter des spectacles, il y avait des danseurs de
renommée internationale comme Jacky Tabone, Yand Klaise,
Melissa Fernández et Luis Vázquez.
Spectacle de Flamenco
Le 19 mai 2011, les élèves du cours
d’espagnol des classes de 3ème
A et 3ème option (toutes sections) ont participé à un spectacle
d’introduction aux arts du flamenco
par la troupe de Fran ESPINOSA au
Centre Culturel Kulturfabrik Esch.
Bericht von: Giulia, Annemie, Jill,
Anita, Laure, Anne, Samuel, Lis und
Max.
Im ersten Trimester haben wir uns
mit den Themen „regenerative
Energien“, „Klimawandel“ und „Gentechnik“ beschäftigt. Wir haben uns
in Gruppen aufgeteilt, um Referate vorzubereiten, die später in der
Klasse vorgetragen wurden. Durch
die Referate bekamen wir einen
ersten Einblick in spannende und
oftmals problematische Bereiche
der modernen Welt. Um unsere
Kenntnisse zu vertiefen, kamen im
Rahmen des „Projet d’établissement
- LGL en FRVscience“ drei Experten
in unsere Klasse: Mit Claude Turmes
haben wir über die Energiegewinnung in Europa geredet. Mit JeanFrançois Hausman vom „Institut
Gabriel Lippman“ haben wir über
Genetechnik debattiert und mit
Joseph Rodesch, besser bekannt
als „Mister Science“, vom „Fonds
National de la Recherche“ haben
wir Experimente zum Thema Klimawandel gemacht.
Die Begegnungen mit den Experten
haben uns sehr viel Spaß gemacht
und wir haben viele Informationen
bekommen, die bei der Vorbereitung
unserer Gedichte nützlich waren. In
der Klasse haben wir mit unserer
Deutschlehrerin das Thema „ Poetry
Slam“ vertieft und wir haben einen
Einblick in diese Szene bekommen.
In einem anschließenden Workshop
mit Bas Böttcher haben wir Gedichte verfasst, Übungen zur Kreativitätsförderung gemacht und Bas hat
68 activités et projets
the penalty. He has to find out who
the offender is and if he isn’t careful enough he might condemn the
wrong person.
auch einige seiner Gedichte vor uns
performt.
Voller Tatendrang und von Bas
Böttchers Werken inspiriert, haben
wir uns an die Arbeit gemacht und
unsere Ideen zu Papier gebracht.
Die Endversionen unserer Gedichte
haben wir auf große Plakate geschrieben, die wir liebevoll dekoriert haben und die vor der „Salle des
Fêtes“ ausgestellt wurden.
Das Fazit zu diesem Projekt ist, dass
wir viel über moderne Formen des
Dichtens gelernt haben. Es hat uns
sehr viel Spaß bereitet, die Experten
zu treffen und auch der Workshop
mit Bas Böttcher sowie das Verfassen unserer eigenen Gedichte und
die Vorbereitung der Ausstellung
haben uns gut gefallen.
English Crime Stories
Extracts
(5eM7)
[...]The detectives stepped into the
courtroom. You could see at first
sight that one of them was a bit retarded and freaky.
At the hearing, it all depends on
the judge. Only he has the legal
authorization to pronounce a judgement and to take the final decision. It’s only him who decides on
‘Let’s hear Mr. Lindenbough and Mr.
Dumb’s statement. Mr. Dumb what
did you find out?’
‘Well, I’ve got the strong feeling that
the victim cut herself open in that
dark haunted house. If we consider
that I’ve been studying psychology
for over 4 years and that she was
so desperate and unhappy, then it
could have been only one person.
She was the only one who had a reason to kill herself.’
The judge thought: Holy crap, if he
continues talking gibberish, I will
have to interrupt him and politely
ask him to leave the courtroom,
even if I would prefer to kick his
bum. I have never heard such nonsense in my whole career.
‘So any more questions about Mr.
Dumb’s evidence?’ the judge asked
the public prosecutors.
Actually Mr. Dumb wanted to continue talking about his theory, but
finally the judge interrupted him
by asking the public prosecutors a
question, which showed that he obviously did not believe in the detective’s silly theory. He was a nutter.
[...]
Written by Tara-Lee Glode,
Jil Reinardt, Pamela Hasanovic,
Susy Schmit and Charel Heinen.
Figur 1: Mr Dumb and Mr Lindenbough (illustrated
by Charel Heinen)
[…] The game is over and two people
are dead. Just one person had been
hurt. Who committed these horrible
murders? Nobody knows. It was a
painful game this time, because I
loved this dead boy.
I know that I must leave the country.
Staying in Edinburgh is too dangerous for me. After a while the police
could suspect me.
It was going to be a simple game,
but John and Jamuna made it a little
bit more difficult. I am smiling. They
thought that I was stupid.
Jamuna thought that she could talk
me out of it and then I would let her
go. Jamuna thought that she would
stay alive. It isn’t a fairy tale. It’s real
life with bad and good people in a
world without fairies!
I put some of John’s ash into my
matchbox. I would keep it.
‘Miss, do you have any luggage?’ a
man who controls the luggage asks
me.
I smile and answer: ‘No, I haven’t got
any luggage.’
On the plane I take my seat. Next to
me is a handsome guy.
He smiles at me. ‘Have you read the
newspaper? That is horrible!’
He is talking about the murders. Not
about ordinary murders, but about
my work.
‘They were my friends. I couldn’t
stay in Edinburgh anymore because
it’s too horrible!’
‘I am so sorry for you.’ He smiles
pathetically.
The plane is in the air. I am going to
fly to Spain. […]
Written by Saba Bazazan,
Naomi Lehnen, Sati Shivani and
Jamuna Khatri.
activités et projets 69
Depuis de nombreuses années, le LGL
participe au concours MaachMat(h)
destiné aux classes de septième
et sixième de l’enseignement
secondaire ainsi qu’aux cycles 3 et
4 de l’enseignement fondamental. Ce concours interclasses encourage les élèves à travailler en
groupe. Dans leur démarche de résolution, les élèves s’exercent en
mathématiques en résolvant des
problèmes inédits et stimulants, apprennent les règles élémentaires
d’un débat scientifique en discutant
et en défendant les diverses solutions proposées, développent leurs
capacités à travailler en équipe et
assument l’entière responsabilité d’une épreuve. Aux professeurs,
ce rallye fournit une excellente
occasion d’observer leurs élèves
en activité de résolution de problèmes et d’évaluer les stratégies
et les capacités d’organisation
et de collaboration des élèves.
classe 6L1 (en bas)
“le quotidien” du 1/7/2011
classe O3 (en haut)
Contrairement aux autres concours
proposés qui mettent l’accent sur la
performance individuelle, les élèves
doivent élaborer en groupe une
réponse unique par problème. Les
élèves décident en autonomie de la
constitution des groupes. Chaque
groupe rédige une solution des problèmes pour lesquels il est responsable. Les problèmes, au nombre de
7, sont choisis de telle façon que
chaque élève, indépendamment de
son niveau et de son bagage mathématique, puisse y apporter une contribution. Le travail en groupe est
indispensable car la tâche est généralement trop complexe pour un
seul élève, aussi bon soit-il. Les solutions sont prises en compte pour
le classement de toute la classe.
Mais il n’y a pas que l’exactitude de
la réponse qui compte. Les solutions sont jugées aussi en fonction
de la rigueur des démarches et de la
clarté des explications fournies.
De nombreuses classes de 7ème
et 6ème du pays ont participé une
nouvelle fois aux deux tours éliminatoires. Cette année, et cela est
inédit, trois classes du LGL se sont
qualifiées pour la finale : les classes
O3 et 6L1 de M. Bremer et la classe
6LM2 de M. Klosen. Autre fait inédit
: jamais auparavant une classe n’a
été qualifiée deux années de suite
pour la finale. Les élèves de la 6LM2
ont réussi l’exploit d’être en finale
dans la catégorie des 6èmes après
avoir remporté l’année passée la finale dans la catégorie des 7èmes.
En finale, le 30 juin 2011, les classes O3 et 6L1 ont remporté le premier
prix dans leur catégorie respective.
Nous profitons de l’occasion pour
féliciter une fois de plus nos élèves
pour leur excellente performance.
70 La communauté scolaire
C’est désormais une tradition bien
implantée dans notre Lycée : le deuxième mercredi de janvier se tient
l’épreuve éliminatoire de l’olympiade
mathématique. Il s’agit de répondre
au mieux à 30 questions, dont 25
à choix multiple. Chaque réponse
correcte est créditée de 5 points,
chaque abstention de 2 points, alors
qu’une mauvaise réponse ne rapporte aucun point. Comme chaque
année, une bonne centaine d’élèves
du LGL ont participé à l’épreuve.
Tous ont profité de l’occasion pour
faire une autre mathématique que
celle du quotidien scolaire. Leur motivation commune était le plaisir de
faire des mathématiques, de calculer avec des nombres, de construire
des figures, de lire des graphiques,
de raisonner sur un problème, bref
de travailler l’esprit.
Dix de nos élèves se sont par la suite
qualifiés pour la demi-finale le 2
mars 2011: Oliver NICK (O3) ; Pierre
PIROTTE (6L1) ; Cédric QUINTUS
(6LM2) ; Tara AGHAJANI et Philippe
MARGUE (5L1) ; Charel THULL (4L1);
Luis MUNOZ, Michel THULL, Joé
BRENDEL et Bernard MAZOUIN (3B);
Grégory CORDEIRO FONSECA, Daniel PUTH, Anne-Sophie WAGNER,
Jasmine MOHTASHAMI et Laurent
BINSFELD (2B); Ben MOLITOR, David
BIRGET et Stéphane LENERT (1B)
Ensemble avec 201 élèves des autres écoles du pays, ils ont donné
de leur mieux en essayant de résoudre les 30 exercices proposés.
Malheureusement la concurrence
était très forte cette année. Aucun
élève du LGL n’a pu participer finale
du concours à Namur. Toutefois,
cinq de nos élèves classés parmi
les meilleurs de la demi-finale mais
non qualifiés pour la finale ont été
récompensés par une multitude de
cadeaux remis lors d’une séance
académique début juillet.
Wasser für Mariam :
auch kein Trinkwasser in der Umgebung der Schule zur Verfügung.
Das Projekt « Wasser für
In der Primärschule in Balandougou Mariam » bestand darin, dass die
gibt es keinen Brunnen und es steht « Fondation Raoul Follereau
Luxembourg » Spenden für einen
Brunnen und eine Wasserpumpe
sammelte indem sie Sparbüchsen
für Kleingeld verteilte.
Die drei Klassen O1, O3 und O5 haben
sich an diesem Projekt mit viel Einsatz beteiligt. Der Tiefbrunnen wird
errichtet werden und es werden
weniger Menschen an unsauberem
Wasser sterben.
O1, O3, O5
Laure Wagner O1
activités et projets 71
Different
point of view
4th of March, what an interesting day
And all the curious students say,
That it was a very instructive exhibition,
And writing this poem is a funny mission
.
and white
Colours floating in black
tears
Ships sinking in a mess of
Shaking iron hands
Rising in the dark
L e
S P O S
e t
s e s
a c t i v i t é s
Annual meeting for pupils
continuing their education
at a British university
The annual meeting for pupils interested in continuing their education at a British university, and current-ly enrolled in IIe and IIIe at the
LGL, was held on 17th June 2011.
Mr Chris Pesch, president of The
Society of Luxembourg Students in
Britain (SLSB), who graduated from
the University of Glasgow this summer, introduced prospective students to studying in the U.K. His
highly informative talk about the
enrolment procedure through UCAS
and life as a student in Britain was
followed by a lively Q&A session. Mr
Pesch’s presentation was much appreciated by his audience.
Simone Biewer
R a l l y e
c i t o y e n
Le Rallye citoyen est un complément à l’éducation civique offerte
à l’école et destiné aux élèves
des classes supérieures. Cette
année les organisateurs, dont le CIJ
(Centre d’Information Jeunes) et le
CGJL (Conférence Générale de la
Jeunesse Luxembourgeoise a.s.b.l.),
ont mis en place un parcours permettant aux élèves d’aborder des
sujets en lien avec ‘nos libertés’. Les
élèves de la 3eG ont participé au rallye pendant une journée.
Il s’agit d’un circuit au cours duquel
les jeunes ont eu accès à quelques
institutions phares de la ville de Luxembourg, où s’exerce la démocratie.
La découverte de ces institutions
s’est faite en petits groupes de
manière éducative et ludique. A
chaque étape les élèves devaient
faire face à différentes épreuves
pour accumuler le plus de points
possibles. Ces épreuves leur donnaient ainsi l’occasion d’accéder
à différents organismes qui
s’engagent pour le respect des
Droits de l’Homme (p.ex. Centre Hamilius, Maison de l’Europe, Chambre des Députés, Villa Pauly, Centre
d’Information Jeunes, Amnesty International).
Ils ont alors pu rencontrer et
s’échanger avec des personnes exerçant leur métier au sein même
des établissements visités. Grâce à
cette démarche interactive, ils ont
abordé des notions telles que la démocratie, la citoyenneté, les Droits
de l’Homme.
Par le biais de jeux de rôle, quiz,
énigmes, mises en situation et exposés, les élèves ont eu la possibilité d’élargir leur culture générale et surtout de réfléchir sur les
conditions de vie et de liberté dans
d’autres pays et sur leur propre condition de vie et de liberté. Ils ont été
sensibilisés à la réalité nationale
et internationale au moyen de ces
rencontres et du parcours accompli
pendant cette journée.
72 activités et projets
Journée d’information
sur les professions
Ce projet s’adresse plus particulièrement aux élèves des classes de
deuxième. Le terme de leurs études
secondaires approchant, nombreux
d’entre eux sont amenés à se poser
des questions quant à l’avenir.
Le choix de futures études commence à devenir une de leurs préoccupations majeures. Or, souvent les
élèves connaissent peu le monde du
travail et ils n’ont qu’une idée vague
de ce qui pourrait les attendre dans
tel ou tel métier.
C’est une des raisons pour
lesquelles le LGL s’est engagé, il y a
une quinzaine d’années déjà, à faire
connaître aux élèves ce monde du
travail. Cette année, le SPOS a invité 35 professionnels qui sont venus présenter leur métier à un jeune
public intéressé et motivé. Les différents professionnels ont été regroupés selon leur profession dans
les ateliers suivants:
• Architecture
• Police
• Assistance sociale et le métier
d’éducateur gradué
• Banque, Assurance, Révision
d’entreprise et Comptabilité
• Biologie et Chimie
• Carrières du Droit
• Ergothérapie, Diététique et
Kinésithérapie
• Economie et Managment
• Les métiers d’Ingénieur et de
Mathématicien
• Journalisme
• Médecine, Vétérinaire et Pharmacie
• Profession d’enseignement secondaire, Carrières moyennes et
supérieures de l’Etat
• Psychologie
• Publicité, Communication
• Les métiers du théâtre
• Enseignement fondamental
Les intervenants ont présenté leur
parcours individuel pendant une
heure et demie, en faisant part de
leur passion pour le métier, de leur
motivation dans le choix de leurs
études, ainsi que des avantages et
des difficultés qu’ils rencontrent
quotidiennement sur le terrain. Ils
ont parfaitement réussi à susciter
l’intérêt de leurs interlocuteurs et
ils ont pu conclure leur intervention
par un débat animé.
Les échanges éducatifs
et scolaires
Découvrir des horizons inconnus,
nouer de nouvelles relations, apprendre en vivant la langue du pays
d’hôte …... . Les raisons des jeunes
de plus en plus nombreux qui optent
pour un séjour éducatif dans un
pays étranger sont légion. Une des
tâches du Spos consiste à aider ces
jeunes et leurs parents à trouver la
formule qui leur convient le mieux.
En cas d’échanges scolaires et éducatifs, le Spos aide les adolescents
dans leurs démarches et dans la
préparation du volet scolaire de leur
séjour. De plus, nous veillons avec
l’ensemble de la communauté scolaire du LGL à garantir aux jeunes
hôtes, qui viennent chez nous, un
excellent accueil et un séjour réussi
dans notre école. L’essentiel de nos
activités tourne autour de deux programmes distincts. C’est d’abord le
Programme Schuman qui offre à des
élèves de 6es et de 5e l’opportunité
de séjourner dans une région limitrophe pendant deux semaines en
début d’année scolaire, sachant
qu’ils accueilleront leur partenaire
(allemand, belge ou français) ici
au Luxembourg un bon mois plus
tard. D’autre part, plusieurs de nos
élèves ont séjourné au Canada soit
pour un mois (août), soit pour onze
semaines (en août, septembre et
octobre). D’après leurs témoignages concordants ces expériences
se sont révélées enrichissantes et
valorisantes.
Voici deux photos montrant Lisa
Sedrani de la 3A et sa partenaire
Marissa Bialowas au Canada et au
Luxembourg.
LGL - Gut und schnell
“Es ist ein großes Ziel von mir, die jungen Leute zum Sport zu motivieren”
erklärt Kevin Hartert, Sportlehrer im
LGL seit 2001.
Seit 1991 verfügt das LGL über
einen großen Sportkomplex. Wo
heute die zwei Sporthallen des
LGL stehen, befanden sich vor den
90er Jahren die Ausstellungshallen des Limpertsberg. Neben
diesen zwei Haupthallen existiert
außerdem noch ein Fitnessraum in
dem man mit verschiedenen Geräten
arbeiten kann. Ein Fechtraum und
eine Kletterwand sind ebenfalls
vorhanden. In den zwei großen
Sporthallen wird die nötige Ausrüstung zur Verfügung gestellt, um
alle möglichen Sportarten auszuprobieren. Von Basketball, Fußball,
Handball und Volleyball über Hockey, Badminton und Rugby kann man
hier alles ausüben. Der Fechtsaal
wird unter anderem für unterschiedliche Tanzkurse, wie Hip-Hop und
Step, aber auch für Karate genutzt.
Unter anderem bietet das LGL
seinen Schülern auch außergewöhnlichere Sportarten wie Karate, Judo
und Tschoukball an. Das Ziel besteht darin, die Jugendlichen, neben
den traditionellen Sportarten auch
für andere Disziplinen zu begeistern
und ihnen die Gelegenheit zu bieten,
diese näher kennenzulernen.
Sportprofessorin Tamara Schuh,
die selbst seit ihrem 4. Lebensjahr im Karate tätig ist, möchte
den Schülern ihre Leidenschaft
weitervermitteln und ihr Interesse
an den Kampfsportarten wecken.
Neben den obligatorischen Sportstunden gibt auf es auf 3e auch
eine Sportoption, die sich intensiv
mit Kampfsportarten beschäftigt.
Ausgerüstet mit der passenden
Kleidung und den vorgeschriebenen
Verteidigungsschützern werden die
Karateka in die waffenlosen Techniken eingeführt. Das Koordinations- und Reaktionsvermögen soll
durch diese konzentrierten und dynamischen Bewegungen gestärkt
werden. Dieses Angebot ermöglicht den Schülern Erfahrungen für
ihre Zukunft zu sammeln und diese
können sie in den angebotenen
1ère- und 2e-Sportoptionnen weiterverfolgen.
Unter anderem bietet das LGL auch
paraschulische Aktivitäten an und
das Ziel besteht darin, vor allem
jenen Schülern, die nicht in einem
Sportverein sind, die Möglichkeit zu
geben, sich zusätzlich zum Schulsport sportlich zu betätigen. Diese
können sie dann außerhalb des
obligatorischen Schulsports ausprobieren. Diese Aktivitäten er-
74 éducation physique et association sportive
möglichen den Schülern, auch
während der Prüfungszeit, wo sich
viel Stress anhäuft, einen kühlen
Kopf zu bewahren. Der Sport ist nach
Meinung der Sportlehrer eine gute
Therapie, um Stress abzubauen.
Das LGL ermöglicht seinen Schülern
ebenfalls einerseits als Klasse
gegeneinander anzutreten und
andererseits sich individuell oder
im Team an anderen Schulen zu
messen.
Fußball und Federball sind die
meist besuchten paraschulischen
Aktivitäten. Viele Jugendliche sind
weiterhin vom Fußball begeistert,
weil es noch immer eine sehr
attraktive und beliebte Sportart ist.
Auch der Federball, der in diesen
Sportstunden viel praktiziert wird,
findet Anklang.
Seit 1972 nimmt das LGL auch an
internationalen
Veranstaltungen
teil. In diesem Jahr ist es den
Basketballspielerinnen der Altersstufen von 14 bis 17 Jahren gelungen, sich gegen die nationale
Konkurrenz durchzusetzen und sich
für das “Tournoi Mondial ISF” in
China zu qualifizieren. Diese Reise
wird ein einmaliges und unvergessliches Erlebnis für die Spielerinnen werden und es bedeutet für die
Sportlehrer auch viel Arbeit, denn
es müssen Sponsoren gefunden
werden, die die Reise nach China
finanziell unterstützen. Insgesamt
werden. 24 Mannschaften in der
Stadt Zhangjiagang gegeneinander
antreten. Das Niveau der Konkurrenz
ist sehr hoch, daher erhofft sich
Paul Hengesch, der die Mädchen begleitet, dass seine Mannschaft um
die Plätze 16 bis 20 spielen kann
und das LGL ehrenhaft verteidigen
wird.
Das LGL hat somit ein vielversprechendes und aufschlussreiches Sportangebot, das durch die
dynamischen Sportlehrer noch verlockender ist.
financement des frais de transport
et d’équipement exigeaient la mise
en œuvre de moyens financiers
supplémentaires. Des demandes
de sponsoring auprès de sociétés
ont essentiellement abouti par des
réponses positives. Les professeurs
et les professeurs honoraires ainsi
que les parents d’élèves du LGL
ont, avec leurs dons, largement
contribué à étoffer la caisse de
voyage.
Après une préparation sereine où
notre équipe a essayé de peaufiner les systèmes de jeu et de
travailler l’esprit d’équipe, le jour
de départ était finalement arrivé.
La
délégation luxembourgeoise
s’était
fixée rendez-vous au
Findel où après les adieux aux
parents et amis, notre équipe a pris
un vol pour Munich ensemble avec
Wirion Pit
Schuster Alexia
Hauksson Hildur
Santioni Linda
C h a m p i o n n a t s
mondiaux scolaires de
basketball
23 avril au 1er mai 2011
Zhangjiagang (Chine)
Après la victoire surprenante mais
certes méritée de notre équipe
sur le favori de la compétition le
«SportLycée » en finale du championnat qualificatif pour les mondiaux
scolaires de Basketball ISF (International Schoolsport Federation),
nous étions assurés de nous rendre
à Zhangjiagang, petite ville chinoise
de quelques 1,3 millions d’habitants
située au nord de Shanghai près de
l’embouchure de la rivière Yangtsé.
Si la qualification constituait
notre premier obstacle, il nous
restait un deuxième obstacle à
franchir, à savoir réussir à financer
notre aventure. Nous étions assurés
de recevoir des aides financières
de la LASEL et du Département
Ministériel du Sport, mais le
éducation physique et association sportive 75
l’équipe garçons du «SportLycée ».
Après un vol Munich – Shanghai de
10 heures, un dernier transfert en
bus de 2,5 heures nous attendait
pour rallier notre destination finale
Zhangjiagang. Dans le bus, nous
avons fait la connaissance de nos
guides qui étaient aux petits soins
pour nous et qui nous donnaient déjà
une idée de l’amabilité de nos hôtes.
Le voyage en bus qui se déroulait
presqu’exclusivement en milieu
urbain, nous offrait un premier
aperçu de la mégalopole Shanghai
et dont nous voyions la « sky-line
» en toile de fond. Il nous permettait également de constater que les
infrastructures routières n’allaient
pas de paire avec une conduite
dans le sens d’un digne code de
la route. Après quelques frayeurs,
nous sommes finalement arrivés à
l’hôtel, où après l’accréditation officielle et un premier repas, nous
avons enfin pu regagner nos chambres et récupérer du long voyage.
La première journée de compétition
commençait à 9 heures du matin
avec notre premier match de poule
contre les Françaises. Après une défaite cuisante contre des joueuses
techniquement et physiquement
nettement supérieures, notre équipe
avait pris bonne note de la qualité
du tournoi où elle s’était engagé.
S’ensuivaient des défaites contre
l’équipe du Danemark et celle de
l’Italie. Du fait que nous nous étions
classés en dernière position du
Groupe D, notre équipe se retrouvait en bas du tableau et concourait
dans les 3 matchs de classement
restants pour les places de 9 à 16.
Si les équipes slovaques, israéliennes et irlandaises étaient à notre
portée, nous nous sommes inclinés
à chaque fois avec une différence
de 7, 3 resp. de 4 points et ce toujours en fin de match où notre équipe
payait le tribut d’un engagement
physique soutenu. Nous nous sommes finalement classés à la 16e
place sur 18 équipes.
Omis la déception de la compétition,
notre équipe a cependant pu vivre
d’autres moments forts. C’est ainsi
que nous avons pu assister lors de
la cérémonie d’ouverture à un spectacle « à la chinoise » haut en couleurs et riche en spectacle. Des centaines d’artistes dont certains très
jeunes et quelques centaines de
figurants, nous ont enchantés pendant deux heures inoubliables.
La journée culturelle nous a conduits
le matin dans un camp de vacances
dans l’estuaire du Yangtsé oû nous
avons côtoyé des enfants chinois et
pu les observer dans leurs activités.
L’après-midi une visite d’un lycée
était au programme. Accueillis par
la fanfare du lycée, les élèves de la
section internationale nous ont par
la suite montré leurs installations
en nous donnant parallèlement un
aperçu du modèle d’enseignement
chinois. Sur le terrain de sports, les
élèves du lycée nous ont présenté
un spectacle de chant, de danse
moderne et folklorique et d’arts
martiaux. Toute l’après-midi s’est
déroulée dans un esprit chaleureux
de rencontre entre jeunes occidentaux et orientaux.
Malgré quelques déceptions au regard de nos résultats sportifs, notre
séjour en Chine restera certainement gravé dans la mémoire de nos
jeunes sportives et constituera
certainement une étape inoubliable
dans leur vie d’élève au LGL. Nos
hôtes chinois n’y étaient certainement pas étrangers puisqu’ils ont su
orchestrer cet événement à merveille et rendre notre séjour des plus
agréables. La cordialité, l’amabilité
et la gentillesse des Chinois et des
Chinoises qui nous chaperonnaient
n’y étaient certes pas étrangères.
En fin de compte, il ne nous restait plus qu’à engager le voyage de
retour, où après un périple de 23
heures entre l’hôtel et notre domicile, nous arrivions exténués mais
contents de notre voyage et la tête
pleine de souvenirs.
Pierre Becker - Paul Hengesch
76 éducation physique et association sportive
Les autres activités de
l’association sportive
Si la participation de notre équipe
de basket-ball aux championnats
mondiaux scolaires en Chine constituait l’activité- phare de l’année
2010-2011, nos élèves ont de
nouveau été très nombreux à participer aux différentes activités de
l’association sportive. Parmi les 521
élèves répertoriés, 255 ont participé aux championnats inter-classes,
293 ont suivi les entraînements
hebdomadaires et 274 ont participé
aux championnats Lasel. Les 557
participations à ces championnats
et les 94 titres de champion Lasel
( remportés par 74 élèves) ont permis , cette année encore, au LGL de
remporter le trophée de « Meilleure
AS de la Lasel ».
Journée des finales inter-classes
Reste à signaler que le classement
interne par points s’est soldé pour
la première fois par un podium occupé par 3 filles. Michelle Slunecko,
Zoé Weicherding et Claire Nilles ont
ainsi pu emmener le groupe des 16
élèves les plus méritants au 16e
stage sportif de fin d’année qui s’est
déroulé cette année à Abtenau (A).
éducation physique et association sportive 77
Remise des prix de l’association sportive
La participation
aux championnats
LASEL
Stage de ski 2011
La première semaine d’avril, 102
élèves (23 débutants) des classes
de 5e ont participé au 11e stage de
ski à La Plagne.
Malgré un soleil presque trop
généreux, les pistes étaient en bon
état et nous ont permis de goûter
au plaisir de la glisse. Comme tous
les élèves avaient suivi une préparation spécifique pendant les cours
d’éducation physique, ils ont pu
profiter au maximum des 5 heures
d’école de ski par jour.
En soirée, des activités diverses
leur ont permis de vivre d’agréables
moments de convivialité.
Le stage s’est conclu par la remise
des carnets de niveaux de ski alpin
de l’école de ski française certifiant
l’apprentissage réalisé pendant le
stage.
78 éducation physique et association sportive
Sportswoch 2011
Afin de récompenser ses élèves les
plus assidus et méritants, la section sportive du LGL a organisé son
16e stage sportif « multi-sports »
qui s’est déroulé du 9 au 15 juillet
2011 à Abtenau en Autriche. Lors
de cette semaine intitulée « Heavy
water week » les sensations fortes
étaient garanties. Les 16 élèves et
leurs professeurs ont ainsi vécu
des moments inoubliables lors de la
pratique du tubing, du canyoning, du
raft et de l’hydrospeed.
10ème Festival Olympique
de la Jeunesse Européenne
à Liberec(CZE) du 13 au
19 février 2011
Le Festival Olympique de la Jeunesse Européenne d`Hiver (FOJEH)
est un grand événement, où se
rencontrent les meilleurs jeunes
sportifs (14 à 18 ans) des sports
hivernaux, en tout 935 athlètes. Geoffrey Osch, étudiant du Lycée Classique Diekrich, et moi-même avons
été sélectionnés par le COSL pour
représenter le Luxembourg dans les
disciplines de ski alpin. Le Festival
a pour
objectif entre autres de
propager l`esprit olympique (fairplay, amitié, solidarité) parmi les
jeunes athlètes.
Le Festival a été inauguré par
une impressionnante cérémonie
d`ouverture,
où
la
flamme
olympique a été allumée. L`ambiance
dans l`énorme stade de hockey
était très émouvante, quelques
milliers de spectateurs internationaux y assistaient.
Entre les entraînements et les
courses, nous sommes allés voir la
Le plus important pour moi est
d`avoir participé et d`avoir vécu une
expérience inoubliable.
finale du hockey sur glace entre la
Russie et la Finlande, le saut à ski Je tiens à remercier particulièrement Mme Simon et M. Schroeder
et le biathlon.
pour leur soutien et leur encourageLe niveau des courses était très ment.
élevé par le fait que chaque nation,
Catherine Elvinger
même les nations de ski comme
l`Autriche et la Suisse, n`a pu sélecPlus d`informations :
tionnerque ses 4 meilleures filles.
www.eyowf2011.cz
Sur 96 concurrentes, j`ai terminé
43e en slalom spécial et 54e en slalom géant. Les vainqueurs Charlotta
Saefvenberg(SWE) et Eli Plut (SLO)
ne fréquentent plus l`école, mais
s`entraînent pour une carrière sportive professionnelle. Peut-être d`ici
peu, je les suivrai à la télévision lors
de la remise des prix des médailles
olympiques. Je suis fière d`avoir
participé à la même course qu`elles.
avec notre projet d’établissement
actuel, intitulé « FRV–Sciences ».
FunRunVibration-Day
Le projet communautaire est
depuis toujours un des piliers importants du Lycée de Garçons de
Luxembourg. Après quelques années
sans engagement dans ce domaine,
c’est lors du conseil d’éducation du
premier trimestre, que l’idée de
relancer un projet communautaire
en le combinant à la fête scolaire,
est née. La direction, à laquelle
cette forme de soutien pour des
œuvres caritatives est chère, a été
enchantée par cette idée.
Comme le nom l’indique, un projet
communautaire se doit de mobiliser
la communauté scolaire dans son
ensemble ; c’est pourquoi un comité
d’organisation avec des représentants de tous les partenaires s’est
constitué. Des représentants du
personnel technique et administratif, du comité des professeurs,
du comité des élèves, du projet
d’établissement ainsi que de la
direction se sont réunis à plusieurs
reprises pour discuter du déroulement de cette journée intitulée «
FRV-Day », F comme Fun, R comme
Run et V comme Vibrations. Ce titre a
été choisi pour signaler le lien étroit
Lors des différentes réunions, les
grandes lignes de cette journée ont
été fixées, à savoir :
• la participation des élèves à des
ateliers scientifiques en rapport
avec le projet d’établissement
et à diverses activités non scientifiques
• un « Charity Run » pour collecter des fonds destinés à l’ONG «
Aide à l’enfance de l’Inde »
• la fête scolaire organisée par le
comité des élèves
Lors de nos réunions, nous avons
décidé de soutenir l’ONG « Aide
à l’enfance de l’Inde » et plus
précisément le projet « Programme
de renforcement de la position des
femmes, avec une orientation vers
la protection des enfants ». Les
objectifs de ce projet sont de
« rendre capables d’exercer leurs
droits les enfants actuellement
80 engagement communautaire
marginalisés et vulnérables en
créant pour eux un environnement
communautaire de support ». En
plus ce projet nécessite un soutien
pendant trois ans, ce qui nous incitera (en tout cas nous l’espérons)
d’organiser d’autres événements
qui permettront à notre communauté scolaire de soutenir ce projet
spécifique du début à sa fin.
étaient en rapport avec notre projet
d’établissement et nous permettaient de sensibiliser les élèves
pour ce projet et notamment les
sciences. Les autres ateliers étaient
d’ordre plus créatif et permettaient aux élèves par exemple de
pratiquer la danse bollywoodienne,
d’apprendre à faire la caricature, la
calligraphie ...
La journée FRV-Day a été un franc
Pour le « Charity Run », un succès. Lors de la clôture, les
certain nombre d’élèves d’une classe classes qui avaient couru le plus
formaient
une
équipe,
se de tours dans les différentes
relayant à tour de rôle pour une catégories se sont vu offrir des
sorte de marathon dans la cour du billets de cinéma. Il s’agit des
LGL. Chaque élève a été invité à classes suivantes :
chercher au préalable des sponsors
qui s’engageaient à offrir un don • Catégories 7e -6e : 7O6 avec 81
forfaitaire,
ou
une
somme
tours
déterminée pour chaque kilomètre • Catégorie 5e-4e : 4L1 avec 92
couru par le groupe de la classe.
tours
C’est avec un certain suspense que • Catégorie 3e-2e : 3EG avec 82
la communauté scolaire attend le
tours
résultat de la somme totale des
fonds collectés pour l’ONG AEI.
Retenons pour conclure que
Comme le nombre de coureurs l’objectif du projet communautaire
était limité, les élèves moins de réunir une majorité de personnes
sportifs pouvaient s’inscrire dans de toute la communauté scolaire
un des différents ateliers proposés autour d’une activité à caractère
lors de cette journée. Un grand caritatif a bel et bien été réalisé et
nombre d’ateliers, comme le Quiz nous espérons que ce sera le début
scientifique ou les ateliers d’une tradition de longue durée.
animés par nos professeurs de
sciences ou de mathématiques,
Marianne Thilges, André Michaux