cliquez-ici - Institution Robin

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Association Fraternelle des Anciens ÉLÈVES DE ROBIN
A.F.A.E 1890-2013
ROBIN HIER ET AUJOURD’HUI…
1890-2013
Notre Association - A.F.A.E. ROBIN - a été créée en 1890. Ses statuts ont été modifiés en 1920, puis en 1977.
Régie par la loi 1901, elle fonctionne grâce à son Conseil d’Administration qui se réunit très régulièrement. Voici
la liste de ses membres, leurs adresses, leurs numéros de téléphone, leur profession et leur année de sortie, pour
que vous puissiez les contacter, leur faire part de vos idées, vos critiques ou vos compliments, leur dire ce que
vous attendez d’eux.
Présidente
Michèle BRODURIES, professeur d’espagnol à Robin
« Bagatelle » 8, impasse de la Chapelle
38850 BILIEU
Téléphone : 04 76 06 62 36
sortie en 1955
retraitée en 1998
Vice-Président
Pierre BAZAILLE, notaire
sorti en 1968
23, rue Denfert Rochereau
69700 GIVORS
Téléphone étude : 04 78 73 01 11 - Domicile : 04 78 73 56 83
Trésorier
Vincent CLAVAGNIER, biotechnicien
sorti en 1973
116, chemin du Mur Noir
38121 CHONAS L’AMBALLAN
Téléphone : 04 74 58 83 48
Secrétaire
Norbert GARROUX, architecte
sorti en 1972
9, rue Victor Hugo
38200 VIENNE
Téléphone : 04 74 85 36 14
Membres
Pierre-Michel CHATAIN
68, cours de la Liberté
69003 LYON
Téléphone : 04 78 62 75 19
Charles DEVILLE, retraité passementerie
21 rue de la Barre
38440 SAINT JEAN DE BOURNAY
Téléphone : 04 74 58 50 72
Christian Donato DI PINTO, avocat à Nice et Vienne, chargé d’enseignement
20, bd Jean Jaurès
06300 NICE
Téléphone : 04 93 08 89 62
Cyril PERVILHAC, conseiller international de santé publique
Résidence Rousseau 15
67, chemin des Bergeronnettes
01280 PREVESSIN-MOËNS
Téléphone : 04 50 28 40 13
Jean-Pierre PONSOT, professeur d’EPS à Robin
344, Route de Rive de Gier
69560 SAINT ROMAIN EN GAL
Téléphone : 04 74 53 03 74
Valérie SIBUT-ROLLAT, directrice société de transport
Le Moriat
69700 LOIRE SUR RHÔNE
Téléphone : 04 72 49 95 34
Guy TABARDEL, surveillant à Robin
31 rue Chazal
69560 SAINTE COLOMBE
sorti en 1973
sorti en 1944
sorti en 1966
sorti en 1972
retraité en 1996
sortie en 1989
Membres de droit et d’honneur : Jeannette COUTURIER, Jean Pierre FINET, Yves HASSLER.
sorti en 1976
SOMMAIRE
• Lettre de notre Présidente • Réunion Annuelle
• Monsieur Robin
• Ecole Robin…
• Des nouvelles du Robin d’aujourd’hui
• Des nouvelles du Robin d’hier
• Une seconde passion…
• Témoignage d’un ancien
• Parmi les Anciens
• Réflexions sur l’avenir de notre association
• Des nouvelles des uns et des autres
• Naissances-Mariages-Décès
• Au revoir à :
- Patrick SEGUIN
- André GALLIFFET
- Henri PRADIER
- André MASSOT
• Rapport Financier
• Cotisation
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pages 30 à 33
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pages 40 à 43
page 44
page 3ème couv
Lettre de notre Présidente
Robin, ce 2 septembre 2013
Chers amis,
Plusieurs fois par an, des Anciens me racontent : « Ah, j’étais à… » et quelqu’un que je ne
connaissais pas a dit « J’ai été élève à Robin. » Alors, j’ai répondu : « Moi aussi ! » C’est
vrai, le nom de « Robin » nous rassemble et en a rapproché certains, même au sommet du
Kilimandjaro… (je n’invente rien !) Mais savons-nous ce que représente ce nom, connaissonsnous l’histoire de notre école ? Je vous propose de découvrir « Monsieur Robin » et, avec lui,
les six premières années de « l’Institution Saint Maurice » qui a eu 140 ans le 2 octobre dernier.
« Connaître et respecter notre passé, c’est là notre fierté. » Nous pouvons être fiers de ce qu’ont
été nos prédécesseurs, dont la notoriété a dépassé nos cours de récréation ; par exemple,
Hubert Morand, aujourd’hui oublié, entre autres.
Après ces voyages dans le passé, nos actualités : depuis notre réunion annuelle, nous avons
accueilli au bureau deux nouveaux membres : Christian DI PINTO (66) et Cyril PERVILHAC (72),
assez éloignés géographiquement (Nice et Genève) mais qui partagent notre enthousiasme
pour poursuivre la tâche.
Poursuivre… maintenir notre association bien vivante. Les idées ne manquent pas et nos
réunions du bureau toujours très animées. Je tiens à remercier chacun, en particulier notre
secrétaire et notre trésorier. Et aussi l’Institution Robin, en la personne de Louis LACOME,
auquel nous devons beaucoup.
Mais l’avenir de notre association dépend surtout de chacun des Anciens. Nombreux de par le
monde, nous ne pouvons vous contacter qu’avec des coordonnées précises, adresse postale
en particulier.
Notre doyen, Robert CHAPUIS (34), a 94 ans, et les plus fidèles sont les plus âgés. Ceux
sortis dans les 60-70 sont en train de prendre la relève et nous les attendons nombreux à
nos prochaines réunions, espérant que ceux qui ne se sentent pas encore concernés par ces
retrouvailles reprendront un jour, le chemin de notre école.
Ensemble poursuivons, pour que continue de vivre notre Association. Vous pouvez compter
sur nous, tous les membres du Bureau.
Au nom de tous,
Michèle BRODURIèS (55 et 98)
Présidente depuis 1987
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NOTRE RÉUNION ANNUELLE AURA LIEU
À Robin Sainte Colombe
Le samedi 12 octobre 2013
16 h
Messe en l’église de Sainte Colombe,
Paroisse Saint Ferréol
17 h 15
Visite des locaux de Sainte Colombe
18 hAssemblée Générale
19 h
Apéritif offert par l’Institution Robin
20 hRepas
Chacun de nous, s’il contacte au plus tôt ceux et celles qu’il souhaite
retrouver, fera de cette rencontre une réussite.
Convocation envoyée à tous ceux dont nous avons
les coordonnées, plus de 4 000.
Pour ceux sortis en 1943, 53, 63, 73, 83, 93, et 2003.
Un anniversaire à fêter ! !
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Monsieur ROBIN
En 1872,
1872, deux ans après le désastre de Sedan (2 septembre 1870) 
et la fi n du Second Empire.
La  Troisième  république  a  été  proclamée.  Elle  va  durer  jusqu’en 
1940… adolphe THIErS en est Président (1871-1873).
1940… adolphe 
à  Vienne,  petite  ville  de  province  de  quelque  20 000  habitants  où 
à
l’industrie textile, le long de la Gère est fl orissante.
Le 2 octobre 1872, le curé de la paroisse ouvre l’école Saint Maurice,
dite « le Petit Séminaire », dans les locaux du presbytère, place Saint
Paul, tout près de la Cathédrale. Il accueille trois élèves : Clovis daVId en 8ème, Henri GUy en 
9ème, et désiré TrUMEaU en 8ème, pour deux professeurs, Monsieur NUSSBaUM, oratorien 
d’origine alsacienne et Monsieur MoLoNy, basilien d’origine irlandaise, professeur d’anglais.
élèves avant 1878
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Ce curé de Saint Maurice, c’est Jacques-César ROBIN, surnommé Jacob. Il est né le 29 juin
1826, à Solaize dans le canton de Saint Symphorien d’Ozon, dans la maison de ses parents,
petits propriétaires terriens, près de l’église. Il est le quatrième enfant de cette famille né après
trois autres décédés. Il aura une sœur, cinq ans plus tard, mais restera l’enfant chéri de sa
mère, qui l’assistera toute sa vie.
Il reconnaît lui-même qu’il n’a pas été un enfant parfait, et qu’il garde « le regret d’avoir été
trop longtemps sans penser à Dieu ». Dès l’âge de 7 ans, il étudie le latin au presbytère de
Solaize, puis poursuit au Collège de Feyzin, chez les Basiliens. Dès la classe de quatrième, il
tient un Journal, « J’étais fier, exigeant, orgueilleux, plein de vanité… Pourquoi n’étais je pas
sage ? Ah c’est qu’on ne m’humiliait pas assez. J’étais le plus étourdi, le plus mauvais enfant
du voisinage. La paresse, la légèreté me valurent bien des punitions. »
Mais vers l’âge de quinze ans, il est « touché par la grâce » et sa dévotion à Marie le conduit
tout naturellement à vouloir être prêtre. Pendant les récréations, il ne pense plus qu’à réciter
le chapelet avec l’un de ses camarades ! Bachelier en Lettres à 18 ans, il prend la soutane des
Pères Basiliens et devient professeur. Il enseigne à Vernoux en Ardèche ; à Annonay. Passe le
baccalauréat de Sciences Physiques en 1847, puis celui de Mathématiques la même année ;
se retrouve avec une classe de 55 élèves en 1848… Ordonné le 21 juillet 1850, il célèbre sa
première messe le 25, fête de Saint Jacques le Majeur.
Il dirige dès 1854 le petit Séminaire du Rondeau, à Grenoble, jusqu’en 1859… et introduit
parmi les activités, la course en char pour les « Jeux Olympiques du Rondeau » ! Il publie à
cette époque un « Traité de l’éducation », dans lequel il prône l’étude de la nature, qu’il partage
avec ses élèves au cours de longues promenades.
De 1860 à 1864, il est à Solaize, pour assister le curé fatigué et malade. Ensuite à Vénissieux ;
puis archiprêtre à Villeurbanne alors dans l’arrondissement de Vienne où il arrive finalement
en 1870.
Il est chargé d’une cathédrale en piteux état : un incendie s’est déclaré en 1867, le bâtiment
est en ruine. Le curé Robin finance de ses deniers une partie des travaux mais un violent
orage de grêle brisera les vitraux en 1878… Il se passionne pour les débris ayant échappé à
l’incendie, en fait l’inventaire et publie en 1876 un ouvrage intitulé « Recherches sur les précieuses Reliques de la Sainte église de Vienne » (livre conservé à la Bibliothèque Municipale,
transféré au Trente, médiathèque à l’Espace Saint Germain).
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Le 2 octobre 1877, (date anniversaire de la fondation de l’école…) il organise une Fête
Solennelle en l’honneur des Saintes Reliques : cinq évêques sont présents, le Procureur de
la république… la messe est chantée par la chorale de Vienne sous la direction de Monsieur 
MaSSoT (cela ne s’invente pas !) et la quête ne peut se faire sans diffi cultés tant la foule est 
compacte… Procession, pavois, drapeaux, musique du 5ème Régiment des chasseurs. Cette
fête est grandiose et reste dans les mémoires. Le chanoine robin est aussi l’aumônier de 
l’armée en garnison.
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Le 2 octobre 1872, le chanoine Robin a ouvert le Petit Séminaire, et en 1873, ayant accueilli
dix-sept élèves, il accomplit le pèlerinage promis à Notre Dame de Fourvière dès qu’il en aurait
douze. Pourtant les conditions matérielles sont précaires… « la pluie s’infiltre plus facilement
que la lumière dans le dortoir » et les soucis nombreux. Monsieur Robin s’interroge sur l’avenir de son école, doute du soutien des parents… En 1875, il y a 55 élèves, mais les effectifs
baissent l’année suivante : cependant, le chanoine pense qu’un jour, il faudra déménager et il
commence à prospecter pour l’achat d’un terrain, en compagnie d’Henri Guy, l’un des premiers
élèves, retenant surtout celui des anciennes verrières, à l’angle nord du quai du Rhône (c’est le
Robin Vienne d’aujourd’hui) ou celui du Clos Michoud ancien couvent des Cordeliers à Sainte
Colombe (c’est le Robin Sainte Colombe d’aujourd’hui…). Malheureusement surmené, il tombe
malade et meurt le 24 novembre 1878, à 52 ans, au presbytère.
Ses funérailles sont grandioses « une immense procession où se pressaient six mille personnes » « la foule couvre jusqu’aux toits des maisons », le 27 novembre, avec une centaine
de prêtres. Il est ensuite inhumé au cimetière de Solaize dans la chapelle qu’il a lui même fait
construire et où repose toute sa famille.
à peine deux ans plus tard, le 19 mars 1880, la première pierre de l’école Saint Maurice est
posée et bénite. Elle deviendra l’école Robin, en hommage à son fondateur, déjà mentionnée
comme telle en 1882 dans le testament de sa mère et diversement signalée, même dans des
documents postérieurs.
Le testament de Monsieur Robin a été signé le 18 janvier 1878, en l’étude de Maître Venard.
Il se termine par ces mots : « Maintenant que j’ai tout donné et témoigné ainsi mon affection
pour les personnes et pour les œuvres ; j’exprime mon regret de n’avoir pas fait tout le bien
que j’aurais pu et dû faire. Je demande pardon à Dieu et aux hommes de mes nombreuses
fautes. Je confie mon âme aux Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie. J’appelle à mon secours
Saint Joseph et mon bon ange et m’abandonne à l’infinie miséricorde de Dieu ».
Son Journal, tenu scrupuleusement, d’une écriture penchée, fine, traduit ses doutes et son
humilité. Le 15 juillet 1865 : « J’ai à déplorer beaucoup d’infidélités à mes règlements précédents.
Il faut pourtant que je commence une fois sérieusement à être un prêtre passable… Peut-être
que mes infidélités précédentes viennent de la grande confiance que j’ai eue en mes propres
forces. Je commence par protester de toute l’énergie de mon âme contre ce sentiment et par
affirmer que je ne compte que sur Dieu ».
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Lors de ses funérailles, l’évêque de Valence, Monseigneur CoTToN en trace le portrait suivant :
« Le chanoine robin fut un travailleur infatigable, un administrateur habile et un pasteur aussi 
intelligent  que  dévoué.  Sous  une  apparence  que  l’on  aurait  pu  qualifi er  de  sévère  et  une 
physionomie qui dénotait une rare énergie, il cachait une bonté d’âme que tous ceux qui l’ont
approché ont su vivement apprécier ».
Ces quelques éléments incomplets, certes - de la vie du chanoine Robin nous font découvrir
le fondateur de notre école, celui auquel elle doit son nom.
Pour conclure, voilà ce qui fi gure sur le mémento - faire-part de son décès et qui me semble 
bien le résumer
« Il était savant comme un docteur, simple comme un enfant »
Michèle BORDURIES
école robin… il y a 100 ans, 70 ans, 60 ans, 40 ans
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Terminale 1942-1943 avec le Père PErrIN
10ème 1952-1953 avec Mlle HELIoT
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1ère a & B 1972-1973
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DES NOUVELLES DU ROBIN D’AUJOURD’HUI
Certains Anciens reviennent à Robin longtemps après leur sortie - quelquefois cinquante ans
après ! - et ont ainsi beaucoup à découvrir. Notre école évolue très vite !
En voici quelques aperçus…
Les effectifs tournent autour de 2 800 puisque Robin c’est :
Une école maternelle et primaire
Un collège
Un lycée d’enseignement général
Un lycée professionnel
Des BTS enseignement supérieur
Un lycée hôtelier
295
1 013
709
412
259
86
La fermeture partielle de Bon Accueil, en juin 2012 a entraîné l’arrivée inattendue d’élèves au
dernier moment et la location d’Algeco.
Il y a à peu près égalité entre le nombre de filles et de garçons ; les bâtiments ont poussé, la
rénovation est permanente pour trois sites : Robin - Vienne première construction dès 1880,
pour l’école et l’enseignement supérieur, Sainte Colombe acheté au début des années cinquante
par le Père Gros et bien amplifié depuis, pour le collège et les lycées.
Le « château Bellerive » au 1, quai Frédéric Mistral à Vienne, construit en 1901, pour le lycée
Hôtelier.
Il n’y a plus d’internat depuis une dizaine d’années.
La direction est laïque depuis le départ du Père Carret en 1973. Louis Lacome, depuis
1988, mène cela de main de maître et est reconnu par tous pour ses compétences, son
humanité, son efficacité, son écoute.
Tout repose sur le Projet éducatif de l’Institution : « Robin fait partie de l’Enseignement Catholique
de l’Isère, associé à l’état par contrat, depuis 1959, et participe à un service d’éducation dans
le cadre des principes définis par l’éducation Nationale. L’Institution constitue une communauté
éducative autour du chef d’établissement où parents ; enseignants, personnels, élèves et
anciens élèves collaborent à une œuvre commune de formation et d’éducation qui se réfère
à la conception de l’homme qui puise sa source dans l’évangile. Elle est ouverte à tous les
jeunes quels qu’ils soient, dans le respect des opinions et des consciences, quelle que soit
leur origine sociale ou culturelle ».
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Chaque unité développe chaque année ses priorités, ses objectifs en tenant compte de l’âge des
élèves et de leur profil. L’équipe éducative de l’Institution est composée de 200 enseignants
dont 178 à temps plein, 79 salariés et 28 pour la société SODEXHO (restaurant et ménage).
Les résultats aux examens sont excellents. Quelque 250 élèves se présentent au Bac général
et technologique, avec un taux de réussite de 98 % ce qui classe Robin pour 2012 au 7ème
rang des lycées Nord-isérois. Ces résultats ne constituent pas le seul critère reconnu, est
prise en compte entre autres la capacité à accompagner le maximum d’élèves de la Seconde
jusqu’au Baccalauréat…
à consulter pour plus d’informations :
www.education.gouv.fr/indicateurs-résultats-lycées.
En BTS hôtellerie :
100 % de réussite…
En Commerce international :
92 %
En Terminale ES : une élève réussit le bac avec 19,21/20 (20 en espagnol et en anglais).
Pour avoir une idée de l’évolution des résultats au Baccalauréat, quelques repères…
En 1882, pour la première fois, 4 élèves présentés, 4 reçus dont un avec mention,
En 1892, 7 reçus, trois avec mentions,
En 1933, en fin de Première, sept reçus sur huit
En 1954, en Terminale, idem : 87,5 %
En 1963, sur 61 présentés, 54 % de réussite,
En 1973, sur 77 présentés, 48 % sont reçus alors que la moyenne de l’Académie est de 67,73 %.
Depuis une vingtaine d’années, les résultats sont bien meilleurs !
Le sport n’est pas en reste :
Cléo MOUSSY, champion de France du 50 m nage libre lycée,
Clara FANJAT, vice-championne de France du 50 m nage dos lycée.
L’équipe de tri-sports du collège est vice-championne de France…
Plusieurs étudiants BTS Hôtellerie atteignent les finales nationales des concours et ont été
présents aux J.O. de Londres comme d’autres à ceux de Chine…
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Plusieurs anciens font partie du Conseil d’Administration et suivent ainsi la bonne marche de
l’établissement :
Pierre BaZaILLE (68)
Michel BEaL (67)
Franck BoNNIEr (69)
Jean Pierre FINET (58)
Vincent FrENay (66)
Jean Claude HaSSLEr (48) Président de la Société Immobilière
Martin JaCQUET (61)
Eric MaGNaT (78)
dominique MaTHIaN (58)
Léon PaILLarET (68) secrétaire
Bruno rICHard (60)
Bernard SEGUIN (73)
Et moi-même en tant que Présidente de l’aFaE.
à l’initiative de Louis LaCoME, en février 2013, a été créée une 
à
AMICALE DES ANCIENS PROFESSEURS ET PERSONNELS.
Quelque 60 personnes concernées. Une quarantaine était présente 
le 20 février pour un premier déjeuner offert par l’Institution.
Quelques  activités  communes  se  mettent  en  place ;  randonnée, 
repas… c’est sympathique. Gérard ODIN (09) en assure la
présidence.
« L’UFC que choisir » a étudié l’équilibre nutritionnel dans 606
communes et restaurants scolaires de France. Dans le secondaire privé, la moyenne
nationale est de 10,3, seul Robin se détache avec 16,6 !!
dans diverses salles à manger scolaires évoquant plus le Club Méditerranéen que les cantines 
du XXème siècle, 540 repas sont servis par jour. Et 150 à l’école soit 50 % de l’effectif.
Voilà un tour d’horizon, incomplet, certes, qui peut vous donner une idée de la vie à robin 
aujourd’hui. Les activités sont multiples : les actions humanitaires, les voyages à l’étranger, la 
Pastorale, les manifestations sportives…
Si vous souhaitez en savoir plus… vous pouvez consulter le site Internet de l’établissement,
contrôlé chaque jour de l’année scolaire, avec des reportages, chaque mois plus de 10 000 
visiteurs…
www.institution-robin.com ou me téléphoner !
Michèle BRODURIES (55)
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DES NOUVELLES DU ROBIN D’HIER
Rubrique ouverte à tous. Quelques lignes, une anecdote, une photo…
Cela, sans vous, serait perdu. Faisons revivre ceux que nous avons connus lors de
notre solidarité.
En juillet 2012, certains ont quitté Robin :
- Pour prendre leur retraite :
Brigitte CARNOY, Sciences économiques et Gestion.
Luc REVELLIN (68), Histoire-Géographie.
André TISSOT, Histoire-Géographie et Direction du Lycée.
Marie-Isabelle TRENTESAUX-HODIN, Sciences économiques et Gestion au Lycée Hôtelier.
- à la suite d’une mutation :
Valérie HUMEAU, économie et Gestion.
Alain JOLAIS, Mathématiques.
- Pour disponibilité ou convenances personnelles :
Pauline DELAFON, Histoire-Géographie et Pastorale.
Marie-Agnès HELLY, Mathématiques.
Myriam PERRIN, Anglais.
Parmi les retraités de 2012, André TISSOT mérite une place à part.
André est né le 25 janvier 1949 à Constantine, en Algérie, dans une vieille famille de cheminots,
installée dans ce pays depuis 1854. Il a été rapatrié avec ses parents en 1962 et tous s’installent
d’abord en Arles, ville d’origine de sa grand-mère, puis à Villeurbanne. Arrivé à Robin en 1973,
comme Professeur d’Histoire-Géographie, André, depuis 1979, a été Directeur du Lycée, en
même temps, jusqu’à sa retraite… Trente-neuf ans, pendant lesquels les lycéens sont passés
de 153 à 750, grâce à l’équipe solide et chaleureuse construite avec Gilbert CHAZOT, Conseiller
Principal d’éducation, -CPE-, retraité un an plus tôt.
17
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André n’a pas quitté tout à fait Robin, car, passionné de Théologie, il a proposé d’enseigner
la culture des religions, une fois par mois, aux classes de Seconde.
Pour beaucoup d’élèves, André reste le professeur en blouse blanche qui adorait la craie, le
professeur qui proposait des citations au tableau, mais bien plus encore. Une Ancienne nous
a écrit : « Toujours présent, il a été pour moi un père de substitution, à l’écoute de chacun
de nous ». Discret mais disponible, d’humeur égale, sérieux mais souriant, André reste un
exemple, reconnu par tous.
Ses « vacances permanentes » vont lui permettre de se consacrer davantage à sa famille :
cinq enfants, tous Anciens de Robin, et plusieurs petits-enfants. Il projette de retourner en
2014 en Algérie et a déjà retrouvé des copains du Primaire et de 6ème-5ème. Ce « retour au
pays » sera chargé d’émotion.
Pour remercier André au nom de tous, nous lui avons remis, le 14 octobre 2012, un « papier »
grâce auquel il a choisi une caméra. Il viendra peut-être nous faire part de ses retrouvailles
avec son enfance. Et, bien sûr, nous l’attendons à chacune de nos réunions.
Patrick de FURSAC (68) fait « un travail passionnant au service de la jeunesse » et se reconnaît
« plein de gratitude » pour tout ce qu’il a reçu à Robin.
Marie-Huguette FAYOLLE (68) écrit : « Terrorisée par le Père CARRET, j’ai pourtant été prof
de Français. Par contre, j’ai tellement apprécié les cours de Grec avec le Père SORLIN que
cette langue morte m’a passionnée et je l’ai également enseignée longtemps ».
Autre « vocation » après Robin : « C’est le Père MASSOT qui m’a donné le goût de la Philo.
J’ai passé une licence à Lyon. Son auteur préféré, c’était Jean GUITTON ».
Denis DONIKIAN (63)
Marie-France BERTRAND-CHAPUIS (62) garde un excellent souvenir de sa Philo : « Le premier
trimestre à Robin-Vienne ; le reste à Robin-Sainte Colombe. Les cours du Père MASSOT étaient
très intéressants et enrichissants. C’était, pour la plupart, l’année de nos 18 ans, du permis
de conduire, et nous fêtions tout cela. Classe studieuse et joyeuse, à mon point de vue ».
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Guy DERAIL (66) évoque Mademoiselle BARDIERE : en 7ème, en 1957 : « Elle donnait des gifles
avec le revers de sa main, à laquelle elle portait une bague pointue. Elle était très sévère ».
Tout cela, à l’époque, était considéré comme « normal ». Beaucoup se souviennent de Jean
MICHALLON et ses coups de règle sur les doigts ou les mollets…
Marc MOUSSIER (65) a envoyé un courriel à son professeur d’Espagnol, 46 ans plus tard :
« Seriez-vous le professeur qui, pour me faire apprendre la belle langue de Cervantés, me
mettait au fond de la classe, à genoux, les bras en croix ? ». Et Michèle BRODURIES (55) lui
a répondu : « Oui, et j’assume. C’était courant et personne ne se plaignait, ni les parents, ni
les élèves. J’ai commencé à enseigner à 19 ans, à une vingtaine de garnements de 14 ans, en
Quatrième. Cette façon de faire les calmait… Par la suite, j’ai modifié mes façons de faire… ».
Jacques GALLAY (41) nous transmet la liste des élèves de 1940-41, de la Terminale à la
Huitième : quelque 175 noms, contrôlés de la main du Père CATTIN, Supérieur de l’époque.
Sauf erreur, seuls vingt-six sont encore là. Et le Père GALLAY se demande si, en Terminale,
ils étaient 10, 11 ou 12 à bénéficier de l’enseignement d’Emmanuel MOUNIER, venu pour
un an seulement à Robin, de Lyon. Ses Bulletins de notes de l’année donnent des chiffres
fluctuants. Qui peut l’aider à éclaircir ce mystère ?
Roland GRENIER (68) se souvient, « en vrac » :
- des confessions obligatoires avec le Père CAMPEOTTO qui nous donnait un bonbon après
l’absolution.
- des punitions pour bavardages pendant l’étude surveillée OBLIGATOIRE de 17 h à 19 h : à
genoux sur l’escalier de la chaire, avec un gros dictionnaire sur les bras tendus.
- de l’enclos des cochons, au fond de la cour à gauche. Les élèves allaient « les déranger »
jusqu’à ce que la cuisinière sorte en hurlant.
- du goûter à 16 h 30 : tranches de pain dans une corbeille à linge et une barre de chocolat.
- de Monsieur RUIZ, professeur de Maths, avec sa blouse blanche immaculée, sa grande règle
en bois jaune et son traditionnel : « ôtes tes lunettes » avant d’envoyer une claque magistrale.
- des colles du dimanche matin, où l’on servait la messe.
- et de son oral du Bac Philo, au cours duquel un professeur, voyant son livret scolaire avec la
croix sur la couverture, lui a dit : « Tu as la croix… Eh bien, tu reviendras l’année prochaine. »
20
Le Robin’s Club depuis… 1994
dans le bulletin 1996, un article et une photo avaient fait part de l’existence d’un club réunissant 
quelques anciens, tous « footeux » et de la même génération. Ils étaient 7, ayant commencé 
à 4 le 6 avril 1994, et sont maintenant 9 ; et ce sera le maximum ; après, on passe à 2 chiffres, 
et ce n’est pas le but recherché, celui-ci étant la réunion de tous une fois par mois, autour
d’une bonne table, JaMaIS La MÊME.
Nous en sommes à 207 repas en commun… Il peut y avoir des « invités » par exemple, nos 
épouses, pour les grandes occasions, comme lors du 200ème repas, à Beau-Rivage.
Nous sommes maintenant tous retraités, ayant autour de 70 ans. Les plus jeunes, Jean-Jacques 
daVId (61) est encore très actif, puisque Maire du 6ème arrondissement de Lyon et Conseiller 
Général du rhône. Michel PErrIN (60) habite à Panissières, dans la Loire, où il a retrouvé 
Pierre BoTTINELLI (53) ancien international de foot scolaire. Michel PoINCIGNoN (61) est 
allé à Compostelle à pied… 1 700 kilomètres. Jean-Jacques dENoLLy (61) est toujours un 
passionné de chasse. Guy aBErT (59) après la perte de son frère Jean-François ( ) († 2008)
s’occupe  de  sa  maman,  bientôt  centenaire.  Jean-Paul  BENaTrU  (60)  et  moi-même  (59) 
vivons une retraite bien méritée et bien occupée !! dominique SaINT-PIErrE (60) a publié 
plusieurs livres.
Nous avons tous eu, bien sûr, quelques ennuis de santé : cancer pour certains, prothèse pour 
alain BoNNET-BErGEr (60) mais, dans l’ensemble, la forme est toujours là !
Les  voici  autour  d’une  des  meilleures 
tables de France, en mai dernier, grâce
à la générosité de l’un d’entre nous, qui
avait dit : « Il ne faut pas mourir sans
avoir mangé chez B… »
La prochaine étape,
c’est en avril 2014,
pour fêter le vingtième anniversaire
de nos retrouvailles.
Jacques BRODURIES (59)
21
UNE SECONDE PASSION
Entrée en 1979 à robin, j’ai enseigné la musique jusqu’en 2002 
et convaincu par l’intérêt du jeu de la fl ûte à bec en classe, je pus 
réunir une vingtaine d’élèves en orchestre et former un groupe qui
prit le nom de TErPISCHorE. L’ensemble se développa sous 
l’égide de Michel aNdrIEUX, mon premier directeur. Puissamment
soutenu par Louis LaCoME son successeur, j’y ajoutai plus tard un
soutenu par Louis 
chœur à voix égales et bon an mal an TErPSICHorE compta 80 
élèves. Tournées et enregistrements ponctuèrent son existence.
Mais l’art du vitrail me hantait déjà et me conduisit, une fois à la retraite, à me lancer dans
l’apprentissage de la technique qui me permettrait de réaliser enfi n (!) les vitraux dont je rêvais.
FABRICATION D’UN VITRAIL
Un vitrail est composé de morceaux de verre de couleur teinté dans la masse qui, juxtaposés, 
formeront une sorte de tableau aux couleurs chatoyantes. Comme pour le peintre, les créations
possibles sont infi nies !
LES DEUX MÉTHODES DE FABRICATION
La méthode ancestrale (au plomb) :  on  utilise  un  profi lé  de  plomb  en  forme  de  H  renversé 
pour sertir chaque morceau de verre.
Les intersections seront soudées.
La méthode dite de « TIFFaNy » 1 (au cuivre) : il s’agit d’un ruban en cuivre dont l’envers est
adhésif qui sera fi xé sur la tranche de chaque 
morceau de verre et rabattu des deux côtés. 
Encastrées les unes dans les autres les pièces 
seront soudées sur les rabats de cuivre,
l’ensemble sera ainsi rigidifi é.
Note : Une porte de salon
Toutes les lignes droites sont faites selon la méthode ancestrale
Le dessin des fleurs est réalisé selon la méthode TIFFANY
 Louis-Comfort TIFFaNy (1848-1933) fut connu dans le monde entier pour la réalisation de ses célèbres abat-jour.
1
22
Bernard LaBoUyrIE
23
témoignage d’un ancien…
Mademoiselle Vasserot, ma première maîtresse.
J’ai été sans doute parmi les premiers élèves de Mademoiselle Vasserot, en 1951, au
Jardin d’Enfants de Robin. On ne parlait pas encore, à cette époque-là, de « grande section de
maternelle » mais on utilisait ce joli nom de « JARDIN D’ENFANTS » qu’un ministre a essayé
de remettre au goût du jour, il y a quelques années, sans succès.
Mon souvenir de ce Jardin d’Enfants est d’une entrée un peu merveilleuse dans le monde de
l’école avec une institutrice douce et souriante, qui ne se fâchait jamais et qui nous aimait
beaucoup. Le spectacle de fin d’année, au Théâtre Municipal, c’était magique ! Au théâtre
municipal c’était la distribution des prix. Voir les bulletins de 1996 à 2012.
Au fil des années, quand il a fallu commencer à apprendre et à travailler, le monde de rêve
s’est estompé et j’ai quelques souvenirs douloureux de mise au « piquet » pour travail mal fait
ou copiage sur le voisin. C’était en Dixième ou en Septième, peut-être, mais je ne dirai pas les
noms et c’était sans doute pour mon bien !
Au Jardin d’Enfants, tout n’était que jeux, mais des jeux éducatifs, si ce n’est la traversée
depuis Sainte Colombe sur la passerelle qui n’arrêtait pas de bouger, en plein hiver glacial et
venteux ; moi je traînais des pieds pour rejoindre Robin et c’est ma sœur, âgée de 3 ans qui
me remorquait !
Certains jours, pris de pitié, notre père nous emmenait en voiture et nous avions la fierté de
véhiculer notre institutrice, Mademoiselle Vasserot, depuis sa maison de Sainte Colombe,
avec un chemin qui montait vers la maison, un beau jardin, tout en longueur.
Il y a quelques années, des anciens élèves avaient eu la bonne idée de fêter les 80 ans de
Mademoiselle Vasserot. En réponse à mes vœux, j’avais eu la joie de recevoir une gentille
lettre de sa part, comme si elle se souvenait de ce petit garçon de 4 ans… un instant de rêve !
Guilhem Royer de la Bastie (64)
l’un des 17 élèves de la première année
24
Anne-Marie VASSEROT-MERLE (1922-2012) diplômée de psychologie enfantine, a mené 
ce Jardin d’Enfants de 1951 à 1987. Nièce de Léopold, un des premiers élèves du Chanoine 
robin. Sœur de Pierre (36) (décédé en 1994). anne-Marie a marqué des générations.
Jardin d’enfants 1969-1970
25
PARMI LES ANCIENS…
Parmi les Anciens, depuis la fondation de notre école, certains ont été relativement célèbres,
sur le plan local - tel le docteur TrENEL (1897), fondateur de la clinique de Sainte Colombe 
- sur le plan régional - comme l’abbé CaLES (1890), peintre encore bien coté - et même sur 
le plan national - comme Jo FraCHoN, un des Compagnons de la Chanson. La plupart sont 
aujourd’hui oubliés. Pourtant, l’un d’entre eux était, en son temps, reconnu, puisqu’un ancien
Président de la République, des ministres… ont assisté à son enterrement. C’était :
Hubert MORAND 1878-1932
Originaire de Salaise-sur-Sanne, il entre en Septième à l’Institution SaintMaurice  en  février 1889,  « saute »  la  classe  de  Cinquième,  « rafl e »  la 
plupart  des  Prix,  dont  celui,  en  1893,  des  anciens  élèves,  créé  en  1890 
et récompensant le meilleur élève dans toutes les matières. Il obtient le
Baccalauréat en 1895, avec mention assez Bien.
é
élève de l’école Normale Supérieure à Paris, il est agrégé de Lettres à 21 
ans et se consacre d’abord à l’enseignement, à Nice, où il marque ses élèves 
par sa personnalité. Le plus célèbre d’entre eux, Joseph KESSEL, ne l’a jamais oublié et en 
fait un portrait très chaleureux dans le Journal des débats du 7 juin 1932 :
1912… une classe de Troisième, trente élèves…
« Hubert MoraNd, mon maître. dès qu’il parait, un courant léger, bienfaisant, s’établit entre 
sa classe et lui. Il était mince, de visage fi n, très ferme et très doux. Ses beaux yeux bruns 
nous regardaient comme nous n’avions jamais été regardés auparavant : avec sérieux et
indulgence, avec une compréhension et une amitié profondes.
« Je ne punirai jamais, nous dit-il, car je sais que je n’aurai jamais à punir ».
Comment dire la richesse, la valeur d’une pareille entente ?… Il avait une ingéniosité, une
patience, une délicatesse et une tendresse infi nies… Ce fut un éblouissement, une sublime 
féerie…
Je lui dois tant depuis, que je ne saurais le dire en quelques lignes… Il restera pour moi le
maître qui dispensait une lumière dont toute ma route fut éclairée ».
Hubert MoraNd enseigne ensuite à Grenoble, à Paris, au Collège Stanislas, puis se tourne 
plutôt vers le journalisme, [20 ans au Journal des débats, au Figaro], les conférences [14 ans 
Secrétaire Général de l’alliance Française ; Lecteur de français à l’Université de Budapest]. 
Ses mérites sont reconnus avec la remise de la Légion d’Honneur en 1928.
26
Toujours très fidèle à notre école, il gardait pour elle « une reconnaissante affection. C’est la
maison où j’ai commencé à apprendre quelque chose et où j’ai trouvé de si bons maîtres et
de si bons amis ».
Lors du 50ème anniversaire de la fondation de Robin, à la réunion du 18 juin 1922, Hubert
MORAND raconte dans son discours ses années d’études : « Nos maîtres nous aimaient
véritablement » ; il évoque les représentations théâtrales, les lectures spirituelles et conclut :
« C’est d’abord l’école Saint-Maurice de Vienne qui m’a fait ce que je suis ».
Malheureusement, Hubert MORAND décède le 30 mai 19321, des suites d’une opération.
Ses funérailles à Paris, en l’église Saint François-Xavier, réunissent un ancien Président
de la République, Alexandre MILLERAND (1920-1924), des Ambassadeurs, des Ministres,
des Députés… Plusieurs discours mettent en valeur sa personnalité, son talent, sa richesse
humaine. Comme il l’a souhaité, il est enterré quelques jours plus tard à Salaise, en présence
du Chanoine Oronce JAIL2, de Jacques DOUILLET3, tous deux représentant notre école. Il
laisse trois jeunes fils.
Dès 1933, est instauré un Prix Hubert MORAND, disparu lors de l’interruption du Palmarès
pendant la guerre. Quelques noms de lauréats sont encore dans nos mémoires… Pierre
VASSEROT-MERLE, Robert MICHALON, Charles FRECON, Fernand GARON, Jean MASSOT,
Emile RIMAUD, Bernard PEILLON, pour un Concours Littéraire soutenu par les Anciens et
faisant l’objet d’une souscription.
Le temps a passé, le temps a effacé le nom d’Hubert MORAND, comme celui d’André
RIVOIRE4, inconnu ou presque des Viennois. Tous ceux qui les ont connus sont morts. Mais
rien ne nous empêche de conserver leur mémoire, de les faire revivre et d’être fiers de leur
parcours, pour notre école.
Michèle BORDURIES (55)
1
1932 : Après l’assassinat du Président Paul DOUMER, le 6 mai, Albert LEBRUN est élu le 10. Edouard HERRIOT
est Président du Conseil, notre Premier Ministre d’aujourd’hui.
2
Oronce JAIL, prêtre, a été Supérieur, le Directeur d’aujourd’hui, de 1895 à 1922.
3
Jacques DOUILLET, prêtre, Supérieur de 1930 à 1934.
4
André RIVOIRE, 1872-1930, Ancien élève (85), poète, journaliste, auteur dramatique. Commandeur de la Légion
d’Honneur. Une place à Vienne porte son nom, devant le Collège Ponsard et l’église Saint-André-le-Haut.
27
28
Réflexions sur l’avenir de notre association
« Ces enfants habitent donc le virtuel. Les sciences cognitives montrent que l’usage de la toile,
la lecture ou l’écriture au pouce des messages, la consultation de Wikipédia ou de Facebook
n’excitent pas les mêmes neurones ni les mêmes zones corticales que l’usage du livre, de
l’ardoise ou du cahier… Ils n’ont plus la même tête… Ils n’habitent plus le même espace…
Ils ne parlent plus la même la même langue… » (Michel Serres, Petite Poucette, éd. Le
Pommier, 2012, pp. 12-4).
Quelques Anciens ont 20 ans, 30 ans en 2013 et savent exactement - pour la plupart - où sont
tous leurs amis, et ce qu’ils font. Plus de 20 ans après la naissance du Web, 1990, 63 % des
Français utilisent Facebook chaque jour et rejoignent les réseaux sociaux (Le Monde. Comment
sortir du piège de l’e.mail « 16 avril 2013, section éco et Entreprise », pp.4-5).
Alors, à quoi peut leur servir notre Association ?
D’abord « Jeunes Anciens », nous constituons aujourd’hui la grande majorité des participants
des réunions annuelles actuelles, des « seniors ».
Cela est toujours source de joies pour nous :
- Retrouver les copains, égrener des souvenirs, revivre notre adolescence
- Découvrir l’évolution de « notre » Robin, tant dans les nouveaux bâtiments que dans les
mentalités
- Ressentir et partager ce dont le Père Gros nous parlait souvent - nous ne savions pas que
nous en serions imprégnés à vie - l’ESPRIT ROBIN.
Oui, mais, pour les « Jeunes Anciens », cela présente-t-il un intérêt ?
Que pouvons-nous leur proposer ?
- Une VRAIE FÊTE tous les cinq ans ? en 2015 par exemple ?
- Développer un réseau Internet - par exemple un page Facebook des Anciens élèves ?
- Lancer des appels de dons pour financer un web-master pour le site ?
- Les aider dans leurs projets, leurs choix professionnels, leurs recherches de stage ?
Comment transmettre ce que nous avons reçu et maintenir notre association parmi les plus
dynamiques en France ?
Toutes les idées et réactions des Anciens sont les bienvenues !
Par solidarité, par sympathie, nous leur tendons les bras… Quand ils auront 50, 60 ans, ils
reprendront sans doute le chemin de Robin et continueront de faire vivre cet ESPRIT.
Cyril PERVILHAC (72)
29
DES NOUVELLES DES UNS ET DES AUTRES
À travers nos courriers, nos courriels, nos
rencontres, nos échanges au téléphone et
ce qui est publié dans la presse ou même
présenté à la télévision…
Le vendredi 12 octobre 2012, la Chambre de 
Commerce et d’Industrie de l’Isère a honoré
Charles DEVILLE (44).
(44).  daniel  ParaIrE, 
Président, lui a remis la médaille d’honneur
de la C.C.I., en même temps qu’il lui souhaitait
un bon anniversaire : 87 ans ce jour-là.
Charles, après ses études à robin, où il venait la plupart du temps à vélo depuis Saint-Jean 
de Bournay, puis à Grenoble et Lyon, a dirigé l’entreprise familiale GaLLIa, fondée en 1884 
par sa grand-mère et spécialisée dans la passementerie. Faisant partie pendant plus de trente
ans de la C.C.I., il a été président, puis vice-président de la Commission Industrie.
Charles est depuis de nombreuses années membre de notre Bureau, et en a été le trésorier
jusqu’en 2001.
Toutes nos félicitations pour cette vie bien remplie et nos meilleurs vœux pour les années à venir.
Robert CHAPUIS (34), en maison de retraite dans l’ain, reste fi dèle à notre association malgré 
l’éloignement et son grand âge ? Il réagit à la lecture de notre Bulletin : « une réunion tous les
cinq ans ? Catastrophique !! Tous les deux ans ? discutable. »
Ayant fait, il y a des années, un séjour d’une semaine dans la cure du Père Bruno FAURE
(45) à 20 km de Tokyo, il a été plutôt surpris des conditions de la célébration de la messe : 
une table basse à 25 cm au-dessus du sol, quelques vieilles Japonaises accroupies, plus rien
à voir avec notre « protocole » européen.
30
Maurice CHRISTOPHLE (45) nous confie la lettre d’adieu que lui avait adressée le Père
Henri PERRIN de la cure de Tolvon (Isère) en 1951, un mois et demi avant sa mort : « Je suis
tellement malade que je n’ai plus la force d’écrire… Soyez heureux… Adieu, mon cher Maurice. »
Le Père PERRIN a été professeur de Lettres et Directeur des études de 1930 à 1946, sauf en
1940-42. Décédé en 1952. De nombreux articles dans des Bulletins précédents l’ont évoqué :
2002, entre autres.
Beaucoup d’Anciens, d’un âge certain, nous font part de leur regret de ne plus pouvoir assister
à nos réunions annuelles. Nous les remercions de leur fidélité et ne les oublions pas :
Parmi eux :
Bernard LASSALLE (44)
Jean SEGUIN (Ain) (39)
Maurice CHRISTOPHLE (45)
Michel GIRARD (42)
Jean GARON (38) (décédé depuis)
Jacques GALLAY (41)
Jean EYNAUD (41)
Philippe FRENAY (42)
Madame GONDARD cherche des souvenirs de son mari, Paul, présent à Robin en 1945-46,
en 6ème avec Mademoiselle Bardière, en 1946-47 en 5ème, puis en 1950-51 en 1ère. Né en
1934 à Roussillon, il est décédé en 2009. Il était conducteur de travaux et s’était marié en
1970. Nous ferons suivre à Madame Gondard ce que ceux de cette époque voudront bien
nous communiquer.
Eric SILVESTRE (67) est directeur d’une auberge au Sénégal. Une maison de caractère, un
havre de paix et de tranquillité aux bords du fleuve Sénégal, face à la Mauritanie, loin des villes.
Six chambres, dont trois « historiques »… une bibliothèque de 800 livres, une table d’hôtes.
Ses coordonnées :
Auberge de Tekrour
Quai El Hadj Boubou Sall
BP 90 PODOR Sénégal
Tél. 00 221 772 498 665 / 06 14 49 68 97
ericsilvestre @ yahoo.fr
www.podor-rivegauche.com
www.aubergedutekrour.net
Vous serez les bienvenus.
31
Michel RONDET (39) a fêté le 30 octobre 2012 le 70ème anniversaire de son entrée dans la
Compagnie de Jésus. Ayant assuré la formation des novices en divers centres jésuites ou
séminaires en France et au Tchad, il réside depuis 2004 à Grenoble et a écrit plusieurs livres
de théologie spirituelle.
Il nous signale : « J’ai bien conscience d’avoir été marqué par les années passées à Robin
avec les Pères Rivail, Cattin, Brun, Perrin, Martin-Noël… »
à cette époque, nombreux ont été les prêtres anciens élèves de Robin.
Parmi eux, Jacques DUGAS (39), Père Blanc définitivement revenu du Burundi, vit aussi dans
une communauté jésuite, à Francheville. En juin 2012, il a participé au pèlerinage diocésain
de Lourdes, en tant que « malade » à cause de l’âge, et en garde un souvenir merveilleux.
Christelle DELAFON-MARTELLY (85), après quatre ans à Strasbourg, habite maintenant
Quimper, suivant les mutations de son mari militaire. Elle a cinq enfants.
Boris CHATIN (45) a reçu la Légion d’Honneur. C’est le 50ème ancien de cette longue liste
publiée dans le Bulletin 2010. Toutes nos Félicitations.
Brigitte CLAVAGNIER (68) a été promue Chevalier (ou Chevalière ?) dans l’ordre du Mérite.
Elle est avocate spécialisée dans le Droit des Associations. Félicitations !
Yves MEASSON (74), membre depuis de nombreuses années de l’équipe du Théâtre
Saint-Martin à Vienne, a décidé d’être pour la première fois seul en scène et a présenté un
spectacle en solitaire. Il est également directeur d’une grande surface consacrée au Jouet à
Salaise-sur-Sanne.
Notre B.B. - Yves BONNET-BERGER (51) - est toujours très actif au sein de « Connaissance
du Monde » qu’il préside à Vienne depuis 2007.
Michel DUMAS (68), alias MILO DIAS a exposé de mai à septembre 2013 à Gabrovo en
Bulgarie et en septembre 2013 à Paris, rue Richard Lenoir.
Philippe GONNET (70), journaliste au Dauphiné Libéré, a publié « Arcabas, vitraux en RhôneAlpes » aux éditions Patrimoine de l’Isère, 80 pages, 13 euros. Arcabas, très présent à Saint
Hugues en Chartreuse, a réalisé de nombreux vitraux dans les églises de département. Philippe
reconnaît leur diversité et la créativité de l’artiste.
Marie-France BERTRAND-CHAPUIS (62) a fait, après la Philo, des études supérieures de
Géographie. Mariée en 1965, elle a eu quatre garçons et maintenant huit petits-enfants. Elle
écrit : « Après ma sortie, je suis allée aux réunions des Anciens. Puis, pendant de nombreuses
années, plus rien. Dernièrement, par hasard, sans savoir ni pourquoi ni comment, j’ai renoué.
Quel plaisir de retrouver des camarades, que de choses à nous raconter. C’est une grande
joie. C’est MAGIQUE ! Cela m’a permis aussi de retrouver. »
32
Philippe MOIGNET (62) après cinquante ans ! Prêtre, ayant vécu plusieurs années en
Bolivie, son contact par téléphone m’a permis de mieux comprendre une de mes belles-filles,
du Honduras. Merveilleuse journée de retrouvailles, donc. Avec une belle messe, de beaux
discours, de longues conversations et un bon repas !
Bruno DELAIGUE (96) était, en 2012-2013, principal-adjoint du Collège Marcel Chene à
Pontcharra.
Jacques GALLAY (41), Prêtre, a quitté la paroisse de Saint-Pierre en Roussillon (Saint-Clair
du Rhône) en septembre 2012, pour celle de Saint-Geoire en Valdaine, près de Voiron. Il
assiste le Père Jacques RICCARDI et « essaie de prendre un rythme accordé à [son] âge ».
Daniel OLLAGNIER (64) a été fait Chevalier de l’Ordre National du Mérite le 17 octobre 2012.
Il est Conseiller pour l’Allemagne à l’Assemblée des Français de l’étranger et Président pour
la Hesse de l’Union des Français de l’étranger. Il est aussi organiste.
Patrick PERRIN (66) poursuit son travail de fourmi et développe ses listes de « retrouvés »,
parmi les Anciens des années soixante. Les courriels se multiplient, les photos circulent - il faut
préciser les noms de tous et toutes ! - et se crée ainsi un réseau de plus en plus conséquent. Il
convie chacun à notre réunion du samedi 12 octobre 2013. Les retrouvailles seront chaleureuses !
Paul CHARBONNEL ( ) vient de publier un livre : « André Klein, vie d’un prêtre du diocèse
de Grenoble ». André était un ami intime du Père GROS, avec le Père Joseph ARTRU. Si
ce document vous intéresse : Paul CHARBONNEL : 04 76 36 04 20 à St André de Royans.
33
Bienvenue à :
Théo, en novembre 2011. Arrière-petit-fils de Jean GARON (38) (décédé en 2013).
Léonie, le 12 juin 2012 à Vienne. Deuxième fille de Cyrille DUPEYRON (98) et Vanessa.
Urbain, le 20 juin 2012 à Perpignan. Sixième enfant de François LIVIO (95). Arrière-petit-fils
de Margot BERNARD (86), professeur d’allemand à Robin, décédée en septembre 2011
(voir bulletin 2012).
Timothée, le 30 juin 2012 à Grenoble. Premier enfant de Jérôme DUPEYRON (99) et Emilie.
Flavien, le 19 septembre 2012 à Jardin. Premier enfant de Cédric Bon (95) et Anne-lise.
Séraphin, le 1er octobre 2012. Fils de Philibert JACQUET (96), petit-fils de Martin (61), arrièrepetit-fils d’Henry (32) - décédé en 2008.
Sarah, le 3 octobre 2012 à Bourgoin-Jallieu. Petite-fille d’Anne Marie OLLIVIER (72).
Rose, le 3 décembre 2012 à Métabief (Doubs). Deuxième fille de Marie CHAZOT (98) et
Nicolas. Deuxième petite-fille de Gilbert, CPE à Robin, retraité en 2011 (voir bulletin 2012) et
de Mireille, assistante de direction à Robin.
Sybille, le 21 décembre 2012 à Le Taillon Médoc, cinquième enfant de Damien RICHARD
( ) et Raphaëlle. Petite-fille de Bruno (60) et Marie Claude.
Lou, le 27 décembre 2012 à Moissieu sur Dolon, premier enfant de Pierre-Louis CHAZOT
(00) et Aurélie. Troisième petite-fille de Gilbert et Mireille.
Alistair, le 15 janvier 2013 à Lyon. Deuxième fils de Frédéric BEAL (98) et de Lana. Petit-fils
de Michel BEAL (67) et Nicole BAILLY () neveu de Philippe (90) et Caroline (93).
Tomas, le 17 mars 2013 à Jacob Bellecombette (Savoie). Premier enfant de Sophie BESANCONQUAINO (2000) et Gonzalo. Petit-fils de Philippe (70). Neveu de Marion (96), Laurence (95)
et Olivier (98).
Alice, le 6 avril 2013 à Paris, premier enfant de Pauline et Benjamin. Première petite-fille de
Sylvie (71) et Bertrand ( ) SEGUIN-FRECON.
Maxime Marie, le 17 avril 2013 à Lyon. Première fille de Fabien SEGUIN (97) et Mélanie.
Deuxième petite-fille de Sylvie (71) et Bertrand ( ) SEGUIN-FRECON.
Deux arrière-petites-filles de Charles FRECON (40) († 2007) ancien Président de notre
association de 1966 à 1973.
Coline, le 15 avril 2013 à Marseille. Troisième enfant de Marion LAPLANTE- BESANCON
(95). Petite-fille de Philippe BESANCON (70).
34
Nos Vœux de Bonheur pour :
Véronique GARON (75) et Bernard CRAPLET le 30 juin 2012 à Vienne. Mariage civil célébré
par Gérard ODIN, professeur d’EPS à Robin, retraité en 2009 et adjoint à la mairie de Vienne.
Caroline de LA VILLARDIERE et Edouard de JENLIS, le 28 juillet 2012, à la Frette. Fille de
Bernard ( ), nièce de Joseph ( ).
Charlotte BAZAILLE (04) et Cédric DUCARROUGE, le 15 juin 2013 à Givors. Fils de Pierre
(68) et Noëlle. Sœur de Marion (99), Etienne (01) et Emmanuelle (06). Nièce de Frédérique
(71) et Jacques (75) et Gilles (81) et de Michel AILLOUD(74).
Au revoir à :
Bernard CONTAMIN (62), le 26 décembre 2011 à Ordres (Landes). Fils de Pierre, professeur
de physique-chimie à Robin et de sa femme, professeur de lettres à partir de 1962 à Robin.
Frère de Christian ( ), Geneviève ( ) et Monique ( ).
Docteur Jacques DELAIGUE (37), père de Régis, Marie Françoise ( ), Jean Pierre et Bernard
( ) (décédé en 2001). Frère de pierre ( ) et Jean ( ).Grand-père de Bruno, (96) et Christophe (96).
Jean-Pierre BOSSU (72) en juin 2012 à Savas-Mépin. Professeur à Robin à la fin des années
60. Père de Frédéric (90). Ancien directeur régional de l’ANFOPAR à Vienne puis délégué
régional pour les régions Rhône-Alpes et Auvergne. Président de l’Association Responsable
ou LEAP Paul Claudel à Villemoirieu (Isère) de 2005 à 2011.
Marion GOUILLY, le 15 juin 2012 à Sainte-Foy-les-Lyon. Maman de Gérard (55) et Jean
Robert ( ) (décédé). Elle résida pendant la guerre avec sa famille dans l’un des appartements
de Robin de la rue Delorme, remplacé par un immeuble.
Jean Claude CALVIER, en juin 2012, à Ruy. Fils de Claude (55) et Jacqueline.
Jacqueline DYANT-CHAMPALBERT, le 28 juin 2012 à Lyon. Sœur de Philippe (61).
Pascal COLLOMB (91) en juillet 2012 à Vienne. Fils de Marie Danielle, surveillante à Robin.
Frère de Cédric ( ).
Ginette MOUGNARD, en juillet 2012. Maman de Nicole (72), Bernard (68) (décédé en 2008),
Michel (73) et Yves (75).
35
Jacques COLAS ( ) en juillet 2012 à Saint Symphorien D’ozon. Fils de Joannes (25 - décédé
en 2002), frère de Jean ( ).
Michel ROCHEDY (73) en août 2012, accidentellement à Vienne.
Suzanne VILLAND, en août 2012, à Chavanay. Maman de Jean-François (66) et Bernard
(67) et Michel ( ).
Henri PRADIER (48), le 21 août 2012 à Paris. Frère de Marie-Jo MARECAUX (51) et Chantal.
Voir article à la suite.
Renée CHAPOTAT, en août 2012 à Vienne. Femme de Gabriel, ami du Père Gros (75)
(décédé en 89).
Robert SEGUIN (45), le 15 septembre 2012 à Lyon. Frère de Jean (39).
François EMPTOZ (48) le 26 octobre 2012 à la Côte Saint André, papa de Bernard (72). Très
fidèle à notre école.
Pierre KRATCHKO (60) en octobre 2012 à Lieudieu, frère d’Hélène ( ), Nicole ( ) et Anne
( ).Père de Sonia ( ) et Tatiana ( ).
Héliane JACQUET, en octobre 2012 à Vienne. Maman d’Anne (60), Florence ( ), Bénédicte
( ) et Martin (61). Femme d’Henry (32) - (décédé en 2008). Grand-mère de Corentine (93) et
Philibert (96). Belle sœur de Pierre (41). Tante des anciens des familles RAMET, BERTRAND,
MACABEO, FAURE, JAILLET.
Pascal MAGNAT (80) en novembre 2012 à Vienne. Frère d’Eric (78) beau-frère de Sylvie
LARDY(78).
Arthur LESSI, en novembre 2012 à Claix. Papa d’Hubert (78).
Roger FREYDIER, en novembre à Vienne. Papa de Denis ( ) et Catherine GAUTRET ( ).
Claudius THEVENON, en janvier 2013 à Vienne. Grand-père de Laurence (93) et Audrey
(96) ALLIX.
Patrick SEGUIN (66), le 16 janvier 2013 à Vienne.
André MASSOT (43) (77) le 30 janvier 2013 aux Herbiers, en Vendée. Frère de Jean (43décédé en 2010), de Thérèse (89 - décédée en 2012) et Jacques (46). Oncle et grand-oncle
de nombreux anciens, Jean-Claude, Bernard, Louis-Noël, Sophie, Camille, Marie-Christine,
Pierre, Emmanuel et Vincent… Voir article à la suite.
Albert PAILLARET, en février 2013 à Vienne. Père de Léon (68), Jean ( ), Michel (67 - décédé
en 94) et Marie-Thérèse ( - décédée en 2010), grand-père de Robin (89).
36
Thierry PATERAC ( ), le 20 mars 2013 à Grasse. Frère d’olivier ( ).
Nicole POINCIGNON, en mars 2013 à Vienne. Maman de Michel (62), sœur d’yves PIrodoN 
( ) (décédé).
Lina BELLET, en mars 2013 à Saint Clair du rhône. Maman de Marie Claire BISHoP (75) 
qui vit aux états Unis.
Robert SIBUT (45) en mars 2013 à Vienne. Frère de Jean (42) (décédé en 2010). Père de 
Pierre (75), Laurent (86), Christine ( ), Bruno ( ) et Philippe ( ).
Elisabeth POULET, en avril 2013 à Vienne. Maman de Stéphane ( ), Frédéric ( ) et Lionel ( ).
Fabrice GONZALEZ, le 13 avril 2013, employé à l’entretien à robin depuis 20 ans. Papa de 
deux élèves d’aujourd’hui en 3éme : Alexis et Fidji.
Marguerite Marie JURY, épouse dUBoIS le 14 avril 2013 à Ecully. Tante de nombreux anciens 
élèves de la famille JUry, à Chonas l’amballan.
Jean GARON (38) le 25 avril 2013 à roanne. oncle de Xavier ( ), Jean pierre ( ), Bernard 
( ) et Marie Hélène dEFFIS ( ).
Renate VANLANDEGHEM, le 25 avril 2013 à Lyon, maman de Koehn ( ).
Nicolas MARTIN (88), à Pact, en mai 2013. Frère de Xavier en (86).
Renée YANNI, à Vienne, en mai 2013. Maman de Nicole ( ).
Auguste AILLOUD, le 28 juin 2013 à Primarette. Beau-père de Pierre BaZaILLE (68) ; père 
de Michel (74). Grand-père de Marion.
Liste arrêtée au 30 juin 2013
Patrick SEGUIN (66)
1947-2013
Professeur de Philosophie, Patrick a commencé sa carrière à
robin, en Terminale, en 1969-70. Bernard ToUCHEBEUF (70), 
l’un de ses élèves, se souvient : « Il y mettait tout son cœur et
nous avait transmis sa passion avec beaucoup de patience et
de gentillesse ».
Patrick avait cinq enfants, neuf petits-enfants et sept arrièrepetits-enfants.
37
André GALLIFFET ( )
1933-2012
C’est le souvenir des années 45-50. Nous avons fait ensemble nos « Humanités », comme
on disait en ce temps-là. En classe de 6ème, Mademoiselle BAILLOUD étant notre professeur,
nous avions déjà sympathisé car André avait de la famille près de la Côte Saint-André, mon
pays d’origine.
André cachait, sous une apparente timidité, des idées déjà très affirmées et pour le moins
originales. En voici un exemple : ceux de ma génération se souviennent qu’au mois de mai, il
était de tradition de faire une narration en l’honneur de la Vierge Marie. Les sources d’inspiration
étaient très variées et souvent émouvantes et sentimentales. André avait choisi :
- Le pouvoir temporel du Pape est-il conforme aux Écritures ?
On avait quinze ans !
Les Mathématiques n’étaient pas son point fort. Notre professeur, Monsieur MICHALLON,
lorsqu’il était de bonne humeur et qu’il n’avait pas veillé trop tard à faire des farces au Père
BOURDILLON avec le Père MASSOT, choisissait ses victimes à faire passer au tableau : André
en faisait partie (moi aussi !). On entendait alors une voix grave s’exprimer : « GALLIFFET,
passe donc au tableau ! On va se distraire un moment ! »
Nous avons fait partie de la Chorale « à Cœur Joie », lorsque nous étions en classe terminale
et nous avons eu le plaisir de nous retrouver à Vaison-la Romaine en 1987, anciens de la
Chorale chez le Père Jean MASSOT. Pierre DEVIGNE avait remarquablement organisé ces
retrouvailles.
André, tu viens de rejoindre ceux de notre génération trop tôt disparus et ils sont nombreux.
On ne vous oublie pas.
Pierre BOTTINELLI (53)
André (52) devenu prêtre, a été surveillant à Robin de 1965 à 1967.
Curé aux Roches de Condrieu de 1979 à 1999 ; il s’est beaucoup occupé des handicapés.
Retourné à Grenoble, il a finalement pris sa retraite à Vinay. Il est décédé le 19 janvier 2012.
38
Henri PRADIER (48)
1931 - 2012
Henri, né le 5 novembre 1931 à Sainte Colombe, étudie d’abord 
à l’l’école  Saint-Louis  avec  Monsieur  BoISSoNNET,  puis  à 
robin, à partir de la 6ème, en 1942, avec le Père CaTTIN. Brillant 
élève, il obtient en juillet le Bac littéraire et, en septembre
Math-élem, avec mention. Cela lui permet d’entrer au Lycée du 
MathParc, à Lyon, pour Math-Sup et Math-Spé et d’être fi nalement 
à Polytechnique dès 1952.
En 1958, il commence sa carrière à la Shell par le bas. Il en sera 
nommé PdG en 1984, jusqu’à sa retraite en 1992. Il exerce à 
Berre, à Paris, au Maroc.
Retraité, il travaille quelques temps pour les Chevaliers de
Malte, puis aide un de ses fi ls qui a fondé une association en 
Roumanie pour les enfants abandonnés.
Henri a eu 4 enfants et 12 petits-enfants, auxquels il était très attaché. Très fi dèle à notre 
école, il a su rester humain et simple, qualité peu fréquente à son niveau de responsabilités.
  - offi cier dans l’ordre d’orange-Nassau, aux Pays-Bas.
  - offi cier de la Légion d’Honneur en 1992.
Marie-Jo MARECAUX (51)
Biographie construite grâce à sa sœur
k
39
André MASSOT (43)
1924 - 2013
andré est né le 26 octobre 1924, à Vienne. Il est le cinquième d’une famille de 
huit enfants. Six garçons, deux fi lles. Son frère Jean (36) a été professeur de 
Lettres et Philosophie puis directeur des études à robin jusqu’en juin 1963. 
Sa  sœur  Thérèse  a  été  professeur  d’anglais  jusqu’en  1986.  Sa  maman, 
décédée à 103 ans en 1991, a été institutrice et son père travaillait dans le 
textile, aux établissements Vaganay.
andré va d’abord à l’Externat Saint Louis, tenu par les frères des écoles
Chrétiennes pour ses études primaires. Il est ensuite à robin jusqu’au baccalauréat, en 1943.
En 1944, il évite le Service du Travail obligatoire (S.T.o.) car il va commencer des études 
supérieures. Surveillant à robin, il échappe de justesse à la Gestapo qui occupe l’établissement.
après la Libération il entre au grand Séminaire de Grenoble, mais doit rapidement interrompre 
ses  études  pour  des  raisons  de  santé.  Guéri,  il  revient  à  robin  comme  simple  surveillant 
puis surveillant général du Collège. Il organise des camps itinérants pour adolescents, et le
scoutisme tient une grande place dans sa vie.
ayant  quitté  robin  en  1977,  il  entre 
dans  la  Congrégation  de  Notre  dame 
de  l’Espérance,  rattachée  à  l’ordre 
des Bénédictins, au monastère de
Croixrault dans la Somme, qui accueille
des malades et des handicapés voulant
mener une vie religieuse. Il est ensuite
affecté  à  l’abbaye  de  la  Grainetière 
(l’abbaye a été fondée en 1130, elle se 
visite tous les jours : 02 51 67 21 19.) aux Herbiers, en Vendée, entre Cholet et le Puy du 
Fou. ayant repris ses études ecclésiastiques il est ordonné prêtre le 26 avril 1990. devenu 
Frère Camille il est nommé, plus tard prieur, en présence de sa maman de 101 ans. Quelques 
années ensuite, il se retire au Landreau, maison de retraite, toujours aux Herbiers, pour les 
prêtres et éventuellement des civils. La maladie de Parkinson l’affaiblit beaucoup, les contacts 
deviennent diffi ciles. andré meurt le 30 janvier 2013. Il est inhumé le 2 février au cimetière de 
L’aurore aux Herbiers.
Michèle BORDURIES (55)
Biographie construite grâce aux éléments fournis par Jacques MASSOT (46), l’un des frères
d’André.
40
Voici quelques témoignages d’Anciens.
Si vous souhaitez évoquer ce que vous avez vécu avec André, merci de le faire avant
février 2014.
« André était mon surgé, un surgé1 plein d’humanité et de bienveillance envers un garçon
bien loin de sa famille ».
Marcellin KWHAN HU (66)2
« J’aurais pu lui avouer que je le craignais un peu, comme il se doit pour un bon surveillantgénéral. Je me souviens d’une punition collective vers 1962, pour quelque chahut oublié.
On était une dizaine, un jeudi après-midi (sans cours à l’époque), il pleuvait et il nous avait
donné l’ordre de nous habiller en conséquence pour une longue marche. Au fil des kilomètres,
l’atmosphère s’était détendue et en rentrant le soir à l’heure du dîner, il arborait un sourire
cordial et nous aussi ! »
Patrick PERRIN (66)
André MASSOT n’avait avec moi que des relations difficiles ! Mais, rebelle, fainéant, ne pensant
qu’au foot, je n’avais qu’une chose en tête : lui échapper.
Et puis un jour, me prenant à part avec mes parents, il m’a serré la main et m’a dit : « Allez,
sans rancune. » Et j’ai été viré de Robin !!
Aujourd’hui, j’ai une pensée pour lui, car les années ont fait leur œuvre et je garderai de lui
l’image d’un surgé dur, sans concession, mais d’un homme qui a rempli les missions qui lui
étaient confiées avec détermination pour le bien de nous tous.
Que ceux qui l’ont aimé et apprécié me pardonnent, mais nous lui devons la vérité et la mienne
est celle d’un petit pensionnaire qui avait peur de lui sans arrêt, ramassant « colle sur colle »,
ne travaillant pas en classe.
Qu’André MASSOT repose en paix.
Christian DI PINTO (66)
1
Surveillant général
2
Marcellin venait de Madagascar
41
André MASSOT nous a quittés…
Quelques flashs me reviennent…
Tout d’abord, ses impeccables pantalons en velours côtelé (couleur verte) accompagnés de
ses chaussures « Paraboot » régulièrement cirées, ses chemises en coton à grands carreaux
accompagnées le plus souvent d’un petit gilet sans manches. L’homme, manifestement, ne
craignait pas le froid. Il faut dire que, s’il était de taille moyenne, il avançait toujours à grands
pas, d’une démarche altière qui ne passait pas inaperçue, que ce soit à travers ses incalculables
traversées du Rhône sur la passerelle entre Robin-Vienne et Robin-Sainte-Colombe ou bien
encore entre la cour du cloître et le bâtiment des « navettes », espace sur lequel il régnait en
maître au niveau de la discipline.
Le Robin de cette époque, c’était le temps où les chaussures et les vêtements de sport étaient
interdits en cours. Des casiers étaient prévus à cet effet et même si les sanctions n’étaient pas
trop sévères, à chaque désobéissance, le contrevenant était tenu d’aller se changer illico-presto
pour se présenter en tenue convenable devant ses professeurs…
Croyez-moi, « Massot VI » (c’était facile pour nous, cette appellation qui avait chaque fois le
don de nous faire bêtement rigoler) veillait au grain quels que soient l’heure ou le lieu.
André Massot était également terriblement impliqué dans la catéchèse. Nous, élèves de 6ème
à l’époque, n’appréciions pas trop que celui qui passait à la fois comme surveillant général,
adjoint de direction du Père Gros, voire même maître d’internat, puisse venir porter un regard
inquisiteur sur ce que nous considérions comme étant « notre » classe.
Bien vite, il fallut se rendre à l’évidence : il n’était pas là pour ça. En une heure, il nous apportait
le témoignage de sa foi, un témoignage sincère qui mêlait la connaissance au quotidien très
simplement. Il répondait si objectivement aux questions que nous ne manquions pas de lui
poser que l’heure passait bien vite ; c’était, en quelque sorte, une récréation studieuse basée
sur les principes de la foi et de la vie. Il était venu, sans livres, sans cahiers, il repartait de
même et si, parfois, il n’y avait plus rien à dire, André nous faisait tout simplement chanter.
Des exemples… mais oui, ils sont là bien présents :
« En canon » : Quand le cheval de Thomas tomba,
Comment Thomas ne tomba-t-il pas ?
Thomas tomba-t-il ? Ne tomba-t-il pas ?
Il y avait aussi « Monsieur Crocodile », « Napoléon avait 500 soldats » ou bien encore
« Coccinelle ».
Toutes les paroles sont bien présentes dans ma mémoire. Je me promets de vous interpréter
tout ce répertoire dès que mon emploi du temps me permettra d’assister de nouveau à une
Assemblée Générale des Anciens, promis, juré !!!
42
Les années ont passé et c’est un peu plus tard que, cette fois-ci en tant que maître d’internat, 
puis animateur de l’Institution, j’ai découvert André qui avait la responsabilité des classes
préprofessionnelles de niveau à robin-Vienne.
devenu  adulte,  mon  regard  n’avait  pas  changé  sur  ce  personnage  mi-laïc,  mi-prêtre.  J’ai 
encore en mémoire quelques moments privilégiés où j’étais parfois convié le soir à la table 
des prêtres dans la Salle de la Mosaïque qui servait de réfectoire aux professeurs-hommes.
Siégeaient le Père GroS, le Père CarrET, le Père CaMPEoTTo, le Père FaUrE, le Père
BoUrdILLoN et, bien sûr, André MaSSoT qui avait sa place attitrée. On parlait politique, on
parlait vie viennoise…, culture…, social… Tout y passait, c’était aussi l’époque de la soutane, 
mais également des premières tenues civiles pour Ecclésiastiques.
André MaSSoT rayonnait à la table, surtout si Arnaldo BoNaZZa, en invité surprise, venait
partager le verre de l’amitié ; car ils étaient précisément les deux seuls à ne pas porter la
soutane et pouvaient s’autoriser quelques petites piques qui ne manquaient pas de mettre
un peu d’huile sur le feu, histoire de réalimenter le foyer de la conversation. André MaSSoT,
Arnaldo, il y avait des similitudes… Ces deux-là appréciaient les hommes à la soutane, mais je
pense sincèrement, sans trop m’avancer toutefois qu’à une époque ou une autre, ils auraient
aimé la porter !!! Ceci n’engage que moi…
André, tu es mort en ermite,
Paix à ton Ame
Jean-Pierre BLACHE (72)
43
A.F.A.E. ROBIN
Rapport Financier au 1.05.2013
Au 1.05.2012, nous avions en caisse : 11 357,92 €
Montant de nos recettes dues aux
Cotisations + Soutiens + Repas :
Montant de nos dépenses comprenant :
Papeterie et
Photocopies :
Dons et Fleurs :
Repas A.G.
Vin et Champagne :
Diverses Dépenses
de Fonctionnement :
1 853,14 €
2 246,00 €
1 956,76 €
305,40 €
427,03 €
7 504,00 €
6 788,33 €
Au 1.05.2013, nous avons en caisse (banque + CCP + liquide) :
12 073,59 €
Soit :
Position au 1.05.2012
+ Recettes
11 357,92 €
7 504,00 €
Dépenses
+ Position au 1.05.13
18 861,92 €
6 788,33 €
11 357,92 €
18 861,92 €
D
A
SIREN 381 294 677
R.C.S. Toulouse
S A R L
Réalisation
M M E
Le Trésorier,
Vincent CLAVAGNIER
I A G R
Siège Social
5, chemin du Pont de Bois - Quint-Fonsegrives
B.P. 13249 - 31132 BALMA Cedex
Tél. : 05 61 24 68 69 - Fax : 05 61 24 18 88
E-mail : [email protected]
44
Agence Rhône Alpes
68, chemin de la Mouche
69230 SAINT-GENIS LAVAL
Tél. : 04 78 86 93 46
Fax : 04 78 86 93 49
Agence La Réunion
103, rue de la Baie
97460 SAINT-PAUL
Tél. : 0262 24 78 60
Fax. : 0262 24 78 61
Notre Cotisation 2013 :
Basée sur l’année légale, son montant est de :
16 €
5 € pour les étudiants
symbolique pour les chômeurs dont nous connaissons la situation.
Vous pouvez la régler :
par chèque bancaire au nom de l’AFAE ROBIN
par virement postal au CCP AFAE Robin Lyon 4689 91 W
Il s’agit là, bien sûr, de la cotisation minimale, car chacun peut participer, par une somme supérieure, aux
quelques actions de soutien et d’aide que notre Association peut faire, compte tenu de ses modestes
moyens.
S’IL VOUS PLAÎT N’ATTENDEZ PAS
POUR EFFECTUER VOTRE RÈGLEMENT.
Notre Association a besoin de vous. Merci !
Cette cotisation vous permet de recevoir :
- Le Bulletin annuel de printemps, qui rend compte de la vie de notre Association et de notre école
- quelque 50 pages - dans lesquelles chacun a la possibilité de s’exprimer, à condition de le faire
avant fin février,
- Nos vœux de Noël et de Nouvel An,
- La convocation à l’Assemblée Générale annuelle à l’automne.
Attention : sans nouvelles de votre part, nous allons perdre votre trace !!!
Pour tout courrier merci de nous signaler vos nom et adresse, année de sortie, et d’indiquer, pour les
anciennes votre nom de jeune fille si vous avez changé d’état civil.
La rigueur de chacun facilitera notre travail et la mise à jour de notre listing, éternellement en cours et
pour longtemps !
Notre adresse administrative :
Association Fraternelle des Anciens élèves de l’Institution Robin
AFAE 38200 VIENNE
Notre adresse postale :
AFAE Robin BP 329 38204 VIENNE cedex
Tél. : 04 74 53 01 21
Fax : 04 74 53 75 88
www.institution-robin.com
E-mail :
[email protected]
[email protected]
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