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W http:// FTP W UNITAR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET L’INTERNET UN ACCES GLOBAL POUR UN PROBLEME GLOBAL http:// SEARCH ENGINE W http:// Un manuel d’information pour les Points Focaux de l’UNFCCC des Pays les Moins Avancés LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET L’INTERNET UN ACCES GLOBAL POUR UN PROBLEME GLOBAL Un manuel d’information pour les Points Focaux de l’UNFCCC des Pays les Moins Avancés TABLE DES MATIERES QU’ EST CE QUE L’INTERNET 7 Bref historique de l’Internet 10 Comment fonctionne-t-il ? 10 Comment se connecte-t-on ? 11 Les services offerts sur le Web 12 Comment l’information est-elle organisée sur le Web ? 13 Quels sont les avantages du courrier électronique ? 15 Les outils que vous pouvez utiliser 15 THE WORLD WIDE WEB - LA TOILE 19 Une navigation intelligente 22 La protection contre les virus est impérative! 25 Informations générales sur la terminologie informatique 27 Lexique et acronymes 28 LES SITES WEB SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES 29 Le site web du secrétariat de l’UNFCCC 31 Fonds pour l’Environnement Mondial 34 PNUE 35 PNUD 35 ONUDI 36 Banque Mondiale 37 Autres agences des Nations Uniess 39 Sites web des PMA 39 Quelques sites web de pays en voie de développement 39 Quelques sites web de pays industrialisés 39 Réseaux de recherche/Organisations non gouvernementales 40 Glossaires scientifiques 42 LISTE DES POINTS FOCAUX PARTICIPANT AU PROJET 43 REMERCIEMENTS Ce manuel d’information s’adresse aux Points Focaux nationaux de la UNFCCC et à leurs équipes locales travaillant sur les changements climatiques. Il informe sur la manière de communiquer par Internet, d’obtenir des informations sur le web. Il vise en particulier à faciliter l’utilisation efficace de l’information disponible sur les changements climatiques sur différents serveurs, notamment sur celui de l’UNFCCC. Cette publication est le résultat des efforts conjoints des programmes de l’UNITAR sur les changements climatiques et des technologies de l’information, en collaboration avec le secrétariat de l’UNFCCC, le financement du FEM et l’appui du SAFEL, l’Agence suisse de l’Environnement du Paysage Remerciements particuliers pour leurs contributions à Janos Pasztor, Kevin Grose, Moussa Diakhite et Sharon Taylor du secrétariat de l’UNFCCC, Michael Williams du PNUE, Ajay Mathur de la Banque mondiale, Avani Vaish du secrétariat du FEM, Richard Hosier, Rose Diegues et Jamil Bonduki du PNUD, Jocelyn Fenard, Ron Valerio et Christina Ulardic de l’UNITAR. Odile Ambry, Pascal Renaud et Annie Roncerel ont assuré l’édition et la traduction de la version française. Brandon Turner a édité la version anglaise. Des exemplaires de ce manuel sont disponibles au siège de l’UNITAR. Le document est également accessible sur le site web www. unitar.org/cc. Genève, avril 2002 Annie Roncerel, UNITAR, Responsable du projet QU’ EST CE QUE L’INTERNET BREF HISTORIQUE DE L’INTERNET I nternet est le produit d’une longue histoire de recherche-développement qui a finalement abouti grâce à l’association des technologies de l’informatique avec celle des réseaux de télécommunications. modique. Il faudra attendre 10 ans avant qu’il ne soit définitivement détrôné par Internet. Dans le même temps, l’Agence américaine de recherche militaire (ARPA) expérimentât un réseau d’ordinateurs sans concentrateur ni commutateur central, tel que l’avait défini le chercheur Paul Baran dès 1964. Ce système, qui fonctionnait indépendamment des opérateurs commerciaux, offrait à la fois une très grande sécurité et une totale indépendance. C’est en 1972 que 37 laboratoires furent reliés par le truchement d’un réseau nommé ARPAnet. Cette technologie sera ensuite améliorée par Vint Cerf et Bob Kahn pour finalement créer le Protocole Internet (IP). En 1984, la Fondation américaine pour la Science (NSF) lança un programme destiné à partager l’utilisation de supercalculateurs (les ordinateurs les plus puissants) entre plusieurs universités grâce à un débit de transmission des données très rapide pour l’époque. C’est alors que la technologie Internet fut sélectionnée comme référence pour l’ensemble du réseau et NSFnet constitua l’infrastructure technologique de base de ce que l’on appelle l’Internet. Dès le début des années 60, les grandes entreprises, notamment les banques, développèrent des réseaux de terminaux dont certains traversaient l’Atlantique. Toutefois, ces réseaux restaient centralisés et ne permettaient que d’interroger les bases de données. Il était rare qu’ils offrent la possibilité d’envoyer des messages électroniques vers l’utilisateur travaillant sur un autre terminal. A cette époque, il n’existait pas de connexion globale et chaque réseau n’était composé que d’ordinateurs et de terminaux ne dépassant pas une centaine d’utilisateurs. La mise en réseau de plusieurs ordinateurs fonctionnant de manière autonome rendit finalement nécessaire la définition d’une norme de communication, aussi appelée protocole. Les premiers protocoles de réseaux furent qualifiés de “propriétaires” car ils étaient mis au point par, et pour, une marque et un type de machine. Ils étaient protégés par des brevets. C’est la mise au point de la première norme non-propriétaire, appelée le «réseau à commutation de paquets» qui va permettre de relier un très grand nombre ordinateur. Son usage s’est généralisé dans les pays les plus industrialisés dès le début des années 70. C’est l’expérience française du Minitel qui apporta la synthèse du savoir de l’époque en reliant des ordinateurs hétérogènes à des terminaux grâce à cette nouvelle méthode de communication. Avec le Minitel, l’utilisateur dispose d’un terminal bon marché, très simple à utiliser qui lui permet de choisir un service sans avoir à se soucier de la liaison et ni du type d’ordinateur avec lequel il entre en contact (compagnies de chemin de fer, compagnies aériennes ou certains services publics) pour d’obtenir des renseignements. Au début des années 80, ce sont plusieurs millions de Minitels qui seront mis en service en France et dans quelques pays francophones. Le premier réseau télématique grand public était né avec ce service accessible à un coût C’est finalement le Word Wide Web qui a donné à Internet le visage que nous lui connaissons aujourd’hui. Inventé au CERN (Centre européen de recherche nucléaire) à Genève, par Tim Berners-Lee en 1991, il était destiné à faciliter l’accès à des bases de données hétérogènes et dispersées à travers les laboratoires de physique du monde entier. Les potentialités de cette découverte vont en faire le grand standard du multimédia. C’est grâce au CERN que quelques années plus tard, Internet sortira des milieux universitaires pour conquérir le grand public. Il est indéniable que le caractère ouvert, la publication des normes et des méthodes, la gratuité des logiciels d’Internet et l’accès libre à leur code sources ont considérablement favorisé l’imagination et l’innovation. Aux services de base que sont le courrier électronique, le transfert de fichier et l’accès à distance (Telnet, pour Terminal Network) vont très vite s’ajouter de nouveaux services tels que les possibilités de «News» (NNTP) et de «mailing lists», Wais (1990). La croissance d’Internet est désormais exponentielle. En 1999, il y avait plus de 143 millions d’utilisateurs dans le monde, connectant aussi bien des universités, des instances gouvernementales, des entreprises, des ONG 9 que des individus. Le rapport mondial 2001 sur le développement humain du PNUD estime que 6,7% de la population mondiale est connectée contre 2,4% en 1998. des Réseaux». D’un point de vue institutionnel, il est géré par plusieurs instances internationales volontaires. L’IETF (Internet Engineering Task Force, un sous-group de l’ISOC – l’organisation mondiale Internet Society) gère les protocoles TCP/IP. Le consortium WEC (World Wide Web Consortium) est responsable des normes multimédia utilisées par Internet et l’ICANN (Internet Corporation of Assigned Names and Number) gère l’attribution des noms de domaines et des adresses IP. Toute nouvelle norme TCP/IP est publiée dans une série de documents nommés RFC (Request for Comments/Demande de commentaires) qui fait l’objet d’une classification adoptée par consensus par ces instances. Actuellement, Internet reste un service publiquement géré, coopératif et autonome qui est accessible à des centaines de millions d’individus (entre 450 et 513 millions de personnes selon les instituts de statistiques) dans le monde entier. Physiquement, il utilise les réseaux de télécommunications publics pour relier des ordinateurs en tous points de la planète, chacun d’ entre eux étant relié à un système de réseaux informatiques local. D’où son nom de «Réseau COMMENT FONCTIONNE-T-IL ? G Interprétation de l’adresse IP lobalement, d’un point de vue technique, l’Internet reste caractérisé par l’ensemble des protocoles TCP/IP - Transmission Control Protocol/Internet Protocol, tels qu’ils furent définit dans les années 70. T out ordinateur connecté à Internet possède une adresse IP, appelée aussi, mais plus rarement, numéro Internet. Cette adresse est un ensemble de 4 chiffres, allant de 0 à 255, séparé par des points. Ainsi, 212.27.191.132 est l’adresse IP du serveur Internet de l’UNITAR. Protocoles de communication TCP/IP, le langage de communication de base utilisé par Internet est un programme qui comprend 2 couches logicielles: Les adresses IP, comme celle de l’UNITAR ci-dessus, sont parfaitement comprises par les machines, mais absolument incompréhensibles pour les utilisateurs. C’est pourquoi on assigne à chaque adresse IP un nom de domaine alphanumérique correspondant. Ce dernier aide les usagers à retenir l’adresse IP qui va leur permettre de communiquer avec d’autres ordinateurs (pour envoyer des courriers électroniques ou accéder à un site web). Ainsi, www.unitar.org est la traduction de l’adresse IP 212.27.191.132. Ce système, appelé serveur de nom de domaine (ou DNS en anglais pour Domain Name Server) est le dispositif utilisé par Internet pour localiser et traduire les adresses IP. • La couche supérieure, TCP, gère l’assemblage d’un message ou d’un fichier en multiples paquets transmis via Internet puis reçus par une couche TCP qui, à son tour, rassemble les paquets pour reformer le message original. • La couche inférieure, IP, gère l’adresse de chaque paquet de telle sorte que le message atteigne la bonne destination. Chaque ordinateur de routage (routeur) installé sur le réseau contrôle l’adresse indiquée pour savoir où il doit envoyer le message. Même si certains paquets appartenant à même message sont routés différemment les uns des autres, ils sont réassemblés à leur arrivée. 10 COMMENT SE CONNECTE-T-ON ? P our pénétrer et naviguer sur Internet, il faut disposer d’un ordinateur relié à un point d’accès Internet, c’est à dire à un autre ordinateur connecté à Internet qui constitue le fournisseur d’accès. Cette liaison vers le fournisseur d’accès se fait généralement via une ligne téléphonique à l’aide d’un modem. choisir le contrat qui vous convient le mieux en fonction des prix proposés et de vos besoins. La qualité de la ligne étant très importante, il RÉSEAU INTERNET vaut toujours mieux se connecter à Internet par une ligne téléphonique directe, en passant par un système de connexion automatique. Il existe également des solutions techniques pour corriger certains défauts, notamment atténuer le bruit et les parasites qui peuvent être perçus. Les fournisseurs d’accès à Internet Un fournisseur d’accès à Internet (FAI) est une entreprise auprès de laquelle vous vous inscrivez (habituellement par abonnement) qui permet de vous connecter à Internet. Ces entreprises offrent également d’autres services à ses abonnés tels que le courrier électronique, l’enregistrement de noms de domaine ou l’hébergement de sites web. Pour cela, elle propose généralement à ses abonnés un «kit d’installation» comprenant un logiciel de courrier électronique et un navigateur. Si le point d’entrée Internet est situé localement, vous n’aurez à acquitter que les frais d’un appel local, et non d’un appel interurbain ou international: vous bénéficierez donc d’un accès au monde entier au coût d’un simple appel local. Vous aurez à payer le tarif de votre FAI tel que le stipule votre abonnement, mais sans coût additionnel pour les sites que vous consultez au cours de votre navigation. Le Modem Les lignes spécialisées (LS) Un modem (MODulateur DEModulateur) est un boîtier (interne ou externe à votre ordinateur) qui traduit les signaux numériques de l’ordinateur (zéro ou un) en sons acceptables pour une ligne de téléphone ordinaire. La ligne spécialisée ou dédiée (dedicated or leased line en anglais) est un moyen de télécommunication entre deux points qui est disponible 24h/24 pour un utilisateur identifié (entreprise). C’est une ligne «physique», appartenant à l’utilisateur ou louée à une compagnie téléphonique. Son débit – ou bande passante – exprime la vitesse à laquelle les données circulent à travers le modem et la ligne. Les premiers modem avaient de très faibles débits (de 300 à 1200 bit par seconde ou bps). De nous jours, ceux à 2 400 bps sont également devenus obsolètes. Ceux à 14,4 kbps (kilobit par seconde) et 28,8 kbps furent des étapes intermédiaires sur le chemin de systèmes et de réseaux à plus haut débit. Depuis 1998, la plupart des ordinateurs personnels sur le marché sont dorénavant livrés avec des modems à 56 kbps, le débit maximum d’une ligne de téléphone ordinaire. FAI LIGNES TÉLÉPHONIQUES Avant l’arrivée de l’ADSL (voir ci dessous), les LS étaient la seule manière d’avoir un accès permanent à Internet à prix forfaitaire. Ces lignes sont principalement utilisées par les cybercafés et autres lieux publics d’accès à Internet. L’ADSL U n technologie nouvelle, l’ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) offrent des débits de 128 kbps à 256 kbps en voie montante (lorsque votre ordinateur envoie des données) et de 500 Kbps à 1 Mbps (megabit par seconde) en voie descendante (lorsque votre ordinateur reçoit des données). Toutefois, les services ADSL ne sont aujourd’hui disponibles que dans les zones urbaines, et seulement auprès de quelques fournisseurs d’accès. L’installation de cette technologie suppose une modification des infrastructures locales de télécommunication (centraux et répartiteurs). Connections à Internet par les lignes téléphoniques Le modem doit être connecté à une ligne téléphonique pour appeler le réseau informatique de votre FAI, vous y connecter, et relier votre ordinateur à Internet. A l’instar des services téléphoniques, votre FAI offrira différents contrats et systèmes de tarification depuis des forfaits jusqu’à une facturation à la durée. Vous devrez 11 PRISE MODEM LE RNIS villes. Les usagers, aussi bien particuliers que les professionnels, qui installent une prise RNIS au lieu d’un modem 56 kbps accèdent plus rapidement au web, notamment pour les pages contenant des images. Cependant, le RNIS nécessite l’installation d’adaptateurs à chaque extrémité de la transmission. Votre fournisseur d’accès doit donc également être équipé d’une telle prise. L e Réseau Numérique à Intégration de services (RNIS) est un service de téléphonie numérique. Il offre des débits supérieurs aux lignes classiques (de 64 Kbs à 128 Kbs) et une très grande fiabilité. L’accès RNIS (ISDN en anglais) s’appuie sur une infrastructure de téléphonie numérique et n’est disponible que dans certains pays et certaines LES SERVICES OFFERTS SUR LE WEB Courrier électronique Le World Wide Web L Toutes les ressources et les utilisateurs connectés à Internet utilisent le protocole de transfert hypertexte (Hyper Text Transfer Protocol - http), qui permet l’accès au World Wide Web (Web). Http définit un ensemble de règles permettant d’échanger des fichiers (texte, images, sons, vidéo ou fichiers multimédias) sur le Web. Ce protocole appartient à la famille des protocoles TCP/IP. e courrier électronique (email en anglais, quelquefois traduit par le mot «courriel» en français)) est l’échange de messages stockés sur des ordinateurs. Les messages électroniques sont principalement composés de texte, le plus souvent codé en ASCII par le logiciel de courrier. Vous pouvez également envoyer des messages non textuels, tels des fichiers d’images ou de sons, en pièces attachées au message texte. Aujourd’hui l’usage du réseau des réseaux qui reste le plus populaire est le courrier électronique. Il fut l’un des tous premiers usages d’Internet et génère un pourcentage important du trafic total. Les emails peuvent être distribués à des individus ou à des listes d’abonnés. C’est est une nouvelle forme de texte dans lequel des liens dynamiques permettent d’aller d’un endroit à un autre sur une même page, mais aussi de passer d’une page à une autre, d’un site web à un autre. L’hypertexte permet aux utilisateurs de suivre un chemin de lecture non linéaire en passant d’un site à l’autre. Le serveur de liste Le protocole de transfert de fichier (FTP) Une liste de diffusion est administrée automatiquement par un serveur de liste. Le serveur de liste – ou encore un serveur de liste de diffusion – est un programme qui traite, d’une part, les demandes d’inscription pour une liste de diffusion et distribue, d’autre part, les nouveaux messages, les lettres d’information ou tout autre envoi des membres à la liste entière des abonnés; ces envois s’effectuent au fur et à mesure de leur arrivée ou en fonction de leur préprogrammation. Le protocole de transfert de fichier (File Transfer Protocol ou FTP) est utilisé pour échanger des fichiers entre ordinateurs connectés à Internet. Comme Http qui transfère des pages web affichables et les fichiers correspondants, et SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) qui envoie des emails, FTP Il appartient à la famille des protocoles TCP/IP. FTP peut être utilisé pour transférer des informations telles que des fichiers ou des pages web que vous avez trouvées ou créés, et qui, archivées sur votre disque dur local sont transférées vers le serveur de votre fournisseur d’accès. Elles peuvent dès lors être consultées depuis le monde entier. Cela s’appelle télécharger un fichier sur un serveur. FTP est aussi communément utilisé pour télécharger des fichiers et des programmes sur votre ordinateur depuis d’autres serveurs situés dans le monde entier. Il ne faut pas confondre un serveur de la liste avec le serveur de mail qui est le système chargé de traiter les messages entrants et sortants des internautes. 12 Ces services seront développés dans la partie suivante COMMENT L’INFORMATION EST-ELLE ORGANISÉE SUR LE WEB? • TLD génériques Uniform Resource Locator ou URL L’URL (Uniform Resource Locator) est l’adresse d’une ressource ou d’un fichier disponible sur Internet. L’URL contient: • le protocole de cette ressource - son nom de domaine • le chemin et le nom du fichier (l’adresse par exemple, dans l’URL http://www.unfccc.org/resources/ library/index.html: le début «http» indique le protocole; la suite «www.unfccc.org» correspond au nom de domaine, le domaine principal étant «unfccc.org», alors que «www» est un pointeur vers un ordinateur ou une ressource. Le reste, «/resources/ library/index.htm» est le pointeur vers un fichier spécifique situé sur le serveur. .com Secteur commercial .org Organisations non commerciales .net Fournisseur d’accès Internet et réseaux .nt Organisations internationales .edu Education • Nouveaux domaines génériques En examinant le nom de domaine, on constate qu’il fournit un moyen facile et logique pour l’usager de se rappeler une combinaison alphanumérique et ainsi de localiser l’adresse qu’il recherche. Elle est composée d’un domaine de niveau supérieur et d’un domaine de second niveau. .biz Business .info Media .name Nom • Autres TLD réservés à l’usage exclusif des Etats-Unis d’Amérique .mil Military institutions .gov Governmental institutions Le nom de domaine de second niveau est en fait la version «lisible» de l’adresse Internet. Sur le web, le nom de domaine est la partie de l’URL qui indique au serveur de nom de domaine, utilisant le DNS (Domain Name Server), s’il doit - et où il doit - envoyer une requête de page web. Domaine de premier niveau U n nom de domaine de premier niveau (en anglais TLD pour Top-Level Domain) est la partie de l’URL ou de l’adresse Internet, qui identifie le type général de domaine Internet, tel que «.com» pour commercial «edu» pour éducatif etc… Quand cela est justifié, un nom de domaine de premier niveau peut être géographique. Aujourd’hui, la plupart des noms de domaine non-américains utilisent un nom de domaine de premier niveau, basé sur le code pays. Les TLDs ont été groupés en plusieurs classe. Exemple: Dans le nom de domaine www.undp.org, la partie du nom de domaine «org» indique le type d’entité (dans ce cas une organisation non commerciale). C’est ce qu’on appelle le nom de domaine de premier niveau. La partie «undp» du nom de domaine définit l’organisation ou l’entité. C’est ce qu’on appelle le nom de domaine de second niveau. 13 TLD nationaux pour les PMA Afghanistan .af Libéria .lr Angola .ao République du Malawi .mw Bangladesh .bd Madagascar .mg Bénin .bj Mali .ml Bhutan .bt Maldives .mv Burkina Faso .bf Mauritania .mr Burindi .bi Mozambique .mz Cambodge .kh Myanmar .mn Cap-Vert .cv Népal .np Central African Republic .cf Niger .ne Comores .km Rwanda .rw République Démocratique du Congo .cd São Tomé e Principe .st Samoa .ws Djibouti .dj Sénégal .sn Equatorial Guinea .gq Sierra Leone .sn Erythrée .er Iles Salomon .sb Ethiopie .et Somalie .so Gambia .gm Soudan .sd Guinée .gn Tuvalu .tv Guinée Bissau .gw Tchad .td Haiti .ht Togo .tg Kiribati .ki Ouganda .ug République Démocratique Populaire Lao .la Tanzanie .tz Vanuatu .ls .vu Lesotho Yémen .ye .L’adresse email U ne adresse email typique est composée d’un nom d’utilisateur - le nom d’une entreprise, d’une personne, d’un sigle ou toute combinaison de lettres et de nombres permettant d’identifier le récepteur final. L’adresse inclut aussi un nom de serveur, un nom de domaine de second niveau et un nom de domaine de niveau supérieur. Exemple: L’utilisateur appelé «Aongola» ayant un compte sur le serveur «ministère de l’environnement et des ressources naturelles » en Zambie à l’adresse email suivante: 14 QUELS SONT LES AVANTAGES DU COURRIER ÉLECTRONIQUE? au même moment. De plus, vous pouvez créer des forums de discussion ou des serveurs de liste ; C omparé aux services de courrier traditionnel, le courrier électronique a de nombreux avantages car il est: Pratique. Ses données sont exploitables. Le message reçu peut être annoté, corrigé, sa présentation peut être modifiée et réexpédiée; Plus rapide; Asynchrone: il n’est pas nécessaire que les correspondants soient disponibles au même moment ; Facilement gérable. Les courriers peuvent être classés et facilement retrouvés. La plupart des outils d’emails permettent de créer des répertoires pour les organiser et disposent de moteurs de recherche intégrés pour les y retrouver. Economique: une fois que vous êtes abonné auprès d’un FAI, vous payez la communication sur la base d’un appel local, que vous envoyez un message localement ou dans toute autre partie du monde ; Convivial. Il favorise la communication à l’intérieur d’un groupe: un message peut être explicitement envoyé à plusieurs personnes LES OUTILS QUE VOUS POUVEZ UTILISER L l’adresse du destinataire (la rue/adresse email) ’utilisation de services Internet nécessite des outils spécifiques qui sont normalement fournis avec votre ordinateur au moment de l’achat. Vous pouvez aussi trouver des outils complémentaires sur cd-rom (voir ci-dessous). l’adresse de l’expéditeur (la rue/adresse email) mettre ce paquet d’information dans une boîte d’envoi. Les outils de messagerie Les outils de messagerie sont des logiciels établissant une connections avec d’autres serveurs d’email pour envoyer ou recevoir des messages et/ou d’autres documents multimédias. Il existe de nombreux outils de ce type qui peuvent être intégrés dans le navigateur web, comme c’est le cas de Netscape Messenger, ou des fournisseurs de courrier électronique tels que MSN Hotmail ou Yahoo! mail. Le service de transmission doit: L’email ressemble beaucoup à l’envoi d’un courrier par la poste. Comme pour un courrier postal, l’expéditeur d’un message électronique, doit: rédiger un message indiquant l’objet et le nom du destinataire Dans le cas d’email, le destinataire peut: ramasser le courrier dans la boite d’envoi, ajouter un timbre indiquant la date et le nom du serveur transférer le courrier mettre le paquet dans la boite arrivée du destinataire. ouvrir la boite arrivée au moment qui lui convient; il peut aussi être prévenu vocalement quand un courrier arrive («Vous avez un message!») qu’il peut consulter de plusieurs endroits si son adresse est conçue pour un accès global. insérer le message dans une «enveloppe» avoir une vision d’ensemble des messages reçus et les ouvrir un par un. écrire l’information sur «l’enveloppe» 15 Un agent de transfert de message (en anglais Message Transfer Agent – MTA) prend les messages sur Internet et les dépose localement chez les destinataires ou les transfère auprès d’autres MTA. Une norme appelée Simple Message Transfer Protocol (SMTP) a été mis au point pour que les MTA puissent échanger des informations sur Internet. Un message SMTP est un flux de caractères composé de 2 parties, l’entête et le corps. En tête A: [adresses des destinataires] Date: [quand le message est envoyé] De: [adresse de l’expéditeur] Répondre à: [adresses où est envoyée la réponse] Sujet: [objet du message (concis)] Cc: [adresses des destinataires en copie] Bcc;[adresses cachées de destinataires invisibles] Message-Id: [numéro et références du message] Corps Cher monsieur Pasztor, Je vous remercie de votre message précédent. Veuillez trouver mes commentaires... La signature email Exemple: U ne personne qui reçoit un message ne peut pas nécessairement vous identifier à partir de votre adresse email ; il est donc important de lui fournir votre nom, votre adresse et coordonnées (numéros de téléphone, fax) ainsi que votre titre et votre organisation. Cela facilite la communication entre des partenaires répartis dans le monde entier. Sharon Taylor Librarian Information, Outreach and Administrative Services Climate Change Secretariat Bonn Germany Tel: (49-228) 815-1003 Fax: (49-228) 815-1999 La plupart des logiciels de messagerie offrent cette fonctionnalité qui s’active à chaque nouveau message. Habituellement, cette option est disponible dans un menu appelé «préférences» où vous pouvez choisir l’option «signature». Voyez, par exemple, le texte de la signature d’email automatique utilisé par la personne responsable de la documentation et de la bibliothèque au secrétariat de l’UNFCCC. 16 Gestion des emails le bon document. Un double click sur le fichier recherché l’ajoutera à la liste des pièces jointes : vous pouvez alors envoyer l’email accompagné du document souhaité. S i vous utilisez votre courrier électronique fréquemment, vous allez générer une longue liste de messages qu’il sera important de classer correctement. La plupart des outils de courrier électronique offre une fonction qui permet aux utilisateurs de créer des répertoires et d’organiser leurs messages reçus et envoyés. Les outils de messagerie offrent aussi la possibilité de créer (et d’effacer) des sous-répertoires et d’y déplacer les messages. Pour archiver un message sous forme de fichier ou de mail dans un répertoire spécifique, sélectionnez, coupez et collez -- ou encore glissez-le, dans le répertoire que vous aurez crée au préalable. Format de fichier Les documents que vous pourriez recevoir ou que vous souhaiteriez produire et envoyer, peuvent être soit des fichiers purement textuels, des images, des tableaux, soit un mélange de plusieurs d’entre eux. Selon le programme que vous utilisez, ces fichiers auront différentes abréviations, liées au nom de fichier, après un point (exemple: réunion.doc pour un document appelé réunion qui est sauvé en fichier Microsoft Word). Les pièces jointes Pour plus d’information sur les extensions de fichiers, consultez http://www.filext.com. Vous y trouverez des informations précises sur les extensions ci-dessous et sur de nombreux autres formats de fichiers. Les formats de fichier les plus courant sont listés dans le tableau ci-dessous. Il est aussi possible de joindre un ou plusieurs fichiers ou documents à votre email. Pour ce faire, suivant l’outil de mail disponible, allez sélectionner «pièce jointe» dans une des options de la barre de menu. Une boite de dialogue s’ouvre alors et vous permet de naviguer dans les répertoires de votre ordinateur afin de sélectionner le bon fichier ou FICHIERS TEXTUELS .txt fichier texte ascii(ouverts sous Notepad, WordPad, Word, ou beaucoup d’autres programmes) .doc (fichier de traitement de texte, notamment MS-Word) FEUILLES DE CALCUL .xls (programme qui permet d’effectuer des calculs) .wks (feuille Lotus pour des calculs) .rtf (rich text format, ce format pourra être lu avec d’autres logiciels de traitement de texte ou d’autres systèmes que Microsoft) FICHIERS COMPRESSÉS IMAGES COMPATIBLES AVEC LE WEB .zip (pour une économie d’espace d’archivage) .bmp - Windows bitmap file format .tif-Tagged Image FIle Forrmat .gif-Graphic Interchange file format .jpeg-JPEG file format .ai Graphique vectoriel d’Adobe Illustrator .pcx- PC Painter interchange file .png-Portable Network Graphics .tga- Targa file format .wmf-Windows Metafile format .pix- SGI/A/W image file format WORLD WIDE WEB .html (format W3C de page web normal) .pdf (format ADOBE pour la diffusion de document qui permet de conserver intégralement la mise en page d’un rapport quel que soit l’ordinateur sur lequel il est lu ou l’imprimante utilisée) 17 WORLD WIDE WEB THE WORLD WIDE WEB - LA TOILE Adresse générale sur le web Le navigateur L U n navigateur («browser» en anglais) est une application qui propose un moyen de consulter et d’interagir avec toute l’information disponible sur le Web. Le terme «browser» semble avoir été créé avant le web comme un terme générique pour les interfaces utilisateurs qui permettent de parcourir ou encore de naviguer, à travers les fichiers et de les lire en ligne. Techniquement, un navigateur web est un programme client qui utilise Http pour effectuer des requêtes auprès des serveurs web à la demande de l’internaute. Ce logiciel de navigation établit une connexion avec le site web et peut télécharger ou retrouver pour affichage, le fichier ou la page web demandé. Il existe un certain nombre de navigateurs sur le marché; les plus répandus pour les PC sont Netscape Navigator/Communicator et Microsoft Internet Explorer. es fichiers sur le web peuvent être localisés grâce à leur adresse ou, comme expliqué plus haut, grâce à leur URL. Quand on utilise le protocole Http, l’adresse du fichier est composée d’un nom de serveur, d’un nom de domaine de second niveau, d’un nom de domaine de niveau supérieur, suivi du chemin interne au serveur d’hébergement. Exemple: Un fichier nommé «about-Internet.html» dans le sousrépertoire «Climate Change»du répertoire «training» hébergé sur le serveur de domaine «www» dans Unitar aurait l’URL suivante: http://www.unitar.org/training/ClimateChange/ about-Internet.html Qu’est ce qu’un site web? U n site web est une compilation de documents et fichiers en langage web, reliés entre eux, qui inclut un fichier d’entrée, appelé la page d’accueil. Les sociétés ou les particuliers vous indiquent comment accéder à leur site web en vous donnant l’adresse (URL) de leur page d’accueil. A partir de cette page, vous pouvez ensuite accéder à toutes les autres pages du site donné. Qu’est-ce qu’une page d’accueil Internet • Exemple: L’adresse de la page d’accueil du site web du PNUE est: http://www.unep.org Cette adresse mène ensuite à des centaines d’autres pages incluses sur le site web du PNUE. Attention ! Dans le terme «site web», le mot «site» évoque un lieu géographique ce qui crée une confusion avec le mot serveur. Un serveur est un ordinateur au sein d’un réseau qui est utilisé pour fournir des services (tels que l’accès à des fichiers, à des périphériques partagés ou le routage de courrier électronique sur un ou plusieurs sites). Un site web, même s’il n’a une seule adresse nominale, peut en fait être géographiquement hébergé sur plusieurs serveurs qui sont situés en des endroits très différents ou distants les uns des autres (cf: l’exemple du site www.unep.org). Pour un utilisateur d’Internet, la page d’accueil est la première page Web qui s’affiche à l’ouverture du navigateur. Généralement, le constructeur du logiciel ou le fournisseur d’accès, l’a configuré de façon à afficher sa propre page d’accueil. Il est aussi possible de sélectionner le site web de votre choix. N’importe quelle adresse de site web peut en fait devenir votre page d’accueil lorsque vous l’aurez pré-sélectionnée. Vous pouvez également opter pour une nonpage d’accueil et c’est une page blanche qui s’affichera. • Pour un développeur de site web, la page d’accueil est la première page qui se présente à l’internaute qui a sélectionné cette adresse sur le web. C’est en fait est la porte d’entrée du site web qui conduit vers d’autres pages stockées telles que le répertoire et les sousrépertoire du site. Une barre oblique – slash- (/) indique la séparation entre les différents niveaux ou répertoires à l’intérieur de la hiérarchie du contenu d’un site web. Pour être accessible par un navigateur, une page web doit être rédigée dans un langage standard du type «HTML» (voir ci-dessous). 21 Créer une page d’accueil Internet Chaque page web d’un site a également une adresse web unique (URL) à laquelle on peut accéder directement. Il n’est donc pas nécessaire de passer par la page d’accueil chaque fois que vous souhaitez accéder à certaines pages spécifiques d’un site web. Il vous suffit de taper directement cette adresse, dans le cas bien sur, vous la connaissez déjà. S i vous souhaitez créer votre propre page d’accueil, grâce à HTML, il existe des logiciels gratuits sur Internet qui expliquent le programme et offrent des outils d’édition. En téléchargeant ces outils (http://www.selfhtml.com.fr/) vous pourrez construire votre page web propose site et offrir vos propres informations climatiques sur le web. D’autres logiciels gratuits (en anglais) sont également disponibles aux adresses suivantes: www.virtualmechanics.com (IMIS Web Dwarf - file size 4.73mb) www.web-studio.cjb.net (Web Studio 3 - file size 832kb) Pour d’autres outils et logiciels, vous pouvez également consulter le site: www.downloads.com Hypertext Mark-up Language H ypertext Mark-up Language (HTML) est un ensemble de codes ou de symboles de balisage insérés dans un fichier destiné à être affiché par un navigateur web. Les balises indiquent au navigateur la manière de mettre en page, d’afficher les images et le texte d’une page web pour l’utilisateur. Une navigation intelligente E HTML fournit une description du document de la page qui peut être affichée ou imprimée indépendamment de la configuration matérielle: une page web au format HTML peut être regardée sur n’importe quelle marque d’ordinateur équipée d’un navigateur. n raison de la croissance exponentielle de la masse d’information disponible sur Internet, il est difficile de trouver rapidement ce que l’on cherche. Des outils de recherche ont été mis au point qui vous aideront à trouver ce que vous cherchez. Il en existe plusieurs que vous utiliserez en fonction du type de votre recherche. Cependant, chaque navigateur affiche les pages web en fonction des capacités de l’ordinateur et de la configuration spécifique effectuée par l’utilisateur. En d’autres termes, la même page web ne s’affichera pas de la même façon sur chaque ordinateur, mais elle est fonction des configurations individuelles. Si vous ignorez l’adresse du site que vous souhaitez consulter ou si vous recherchez de l’information sur un sujet particulier, vous pourrez faire une recherche: par répertoire ou catalogue thématique La version 4 d’HTML, développée par le W3C (World Wide Web consortium: http:// www.w3.org) est le standard officiel. Cependant la plupart des navigateurs admettent les autres versions. par index par meta-recherche en utilisant une combinaison d’outils Conseils pratiques pour l’utilisation des outils de recherche Hyperliens p U n lien hypertexte ou hyperlien, est une partie de texte ou d’image (aussi appelée icône) qui, lorsqu’il est sélectionné par un clic de souris, ouvre directement un nouveau document web. Un lien hypertexte peut pointer sur une autre section de la même page, une autre page sur le même site, un autre site web ou encore déclencher un script ou une application. p 22 Utilisez en plusieurs car aucun outil de recherche seul ne parvient à identifier l’ensemble des contenus du web. Renseignez-vous sur l’outil avant de l’utiliser. La plupart des outils de recherche informent les utilisateurs sur la manière dont ils compilent l’information et l’organisent, et sur la façon d’obtenir les meilleurs résultats. p p Vous pouvez aussi sauvegarder l’ensemble de la page que vous venez de consulter afin de pouvoir en relire le contenu sans avoir besoin de vous connecter de nouveau. Soyez précis. Si par exemple vous faites une recherche avec l’expression «émission des gaz à effet de serre» au lieu de «gaz à effet de serre», vous obtiendrez moins de réponses, mais elles porteront plus spécifiquement sur les émissions de gaz et non pas sur les gaz à effet de serre en général. Soyez conscients néanmoins qu’une page web sauvegardée ne permet plus de naviguer, car tous ses liens ne sont plus connectés au serveur. Utilisez les fonctions de «recherche avancée» vous permettant d’affiner votre recherche à l’aide de combinaisons de mots clés. Gestion des sites favoris U ne alternative à la sauvegarde de pages est la sauvegarde d’adresses de pages. Si vous souhaitez retenir l’adresse d’un site web pour y faire ultérieurement référence ou y accéder immédiatement plus tard, il est utile de stocker ces adresses dans une liste de favoris (ou «signets», selon le navigateur). Pour accéder à l’une de vos adresses favorites, allez dans «favoris» et cliquez simplement sur l’adresse enregistrée. La recherche sur Internet vous entraînera d’une page à l’autre tout simplement en cliquant sur les liens soulignés que vous trouverez. Vous pouvez entamer, par exemple, un cheminement sur le web qui, partant de la page d’accueil de l’UNFCCC vous emmènera sur le site de l’UNEP Nairobi, puis de Université de Wisconsin pour finir sur le site de Greenpeace, etc. au coût d’une communication locale! Compléments sur les outils de recherche Pour revenir à l’information que vous venez de quitter La plupart, si ce n’est l’ensemble, des outils de recherche intègrent des logiciels qui indexent le contenu du web. Une fois les pages d’un site indexées, l’outil de recherche retournera régulièrement sur le site pour mettre à jour l’index. Certains outils de recherche s’intéresseront plus particulièrement aux mots contenus dans les titres, les objets, les mots clés dans les balises HTML, les premiers mots d’une page et sur la fréquence de récurrence (jusqu’à une certaine limite) d’un mot dans une page. Chacun des outils de recherche utilise des schémas d’indexation et de recherche sensiblement différents. U ne première solution est d’aller et venir en utilisant la flèche située en haut à gauche de votre navigateur, mais il existe également d’autres options qui vous permettent de: · Visualiser plusieurs pages en même temps. · Voir une page que vous aviez sauvegardée. Vous pouvez visualiser plusieurs pages ou documents en même temps. En général, une solution pratique est de réduire une fenêtre sur votre écran avant d’en ouvrir une autre; celle ci sera donc toujours disponible en bas de votre écran. • Par répertoire thématique Au premier niveau, on trouve des répertoires thématiques très génériques qui permettent d’accéder à des sous-répertoires beaucoup plus précis et détaillés. Ils sont utiles dans une recherche pour une information générale sur un sujet, par exemple «le réchauffement global». Certains utilisateurs utilisent le répertoire thématique comme point de départ d’une recherche sur le web. Des spécialistes ont classé les documents web dans des schémas de classification ou des taxinomies par domaines. Les sites se rapportant à un même sujet sont donc ainsi Vous pouvez appliquer la même procédure lors de votre recherche Internet. Si vous souhaitez ouvrir une nouvelle fenêtre: positionnez le curseur sur le lien- cliquez avec le bouton droit de votre souris et ouvrez le lien dans une nouvelle fenêtre. Vous pouvez alors retourner à la page précédente et sauter d’une page à l’autre. 23 moteur de recherche. Pour une recherche efficace avec des moteurs de recherche, il importe de lire les instructions indiquant comment saisir les mots dans le champs de recherche (rubrique aide). reliés par catégorie thématique, même si ces sites n’utilisent pas toujours les mêmes mots clés. Par exemple une recherche sur les mots: réchauffement global, changements climatiques et gaz à effet de serre. Avec un outil tel que Yahoo (www.yahoo.com), on trouve le réchauffement global sous la rubrique Environnement et nature. Des répertoires spécialisés tels que Climate Ark (www.climateark.org, voir page 31) fournissent des listes et une recherche en texte intégral des sites web sur les changements climatiques (en anglais seulement). • Si le mot saisi est peu précis ou trop générique, le nombre de résultats que le moteur de recherche fournira sera très important. Il vaut ainsi mieux affiner la recherche en saisissant une séquence de mots plus précise, en ajoutant: • Plusieurs mots qui ont un lien direct avec le sujet exploré; • Des expressions qui qualifient votre requête; • Des relations logiques entre les mots en utilisant des combinaisons d’interrogation de type «ET», «OU», «SAUF», appelées des “opérateurs booléens”; • Des majuscules ou des accents dans les mots recherchés. Avec un moteur de recherche Les moteurs de recherche par indexation utilisent un robot qui scrute des millions de pages web dans le but de constituer des bases de données de contenus, en relation avec un index spécifique. Plus tard, le robot suivra les liens de chaque page déjà indexée pour créer des sous-index etc…Les internautes utilisent le plus souvent un moteur de recherche quand ils sont à la recherche d’une information complexe car ces outils vont indexer les mots ou les termes des documents recherchés. Les moteurs vont alors utiliser des «spiders» ou «robots» pour aller sur le web, trouver les pages individuelles, les indexer et identifier les documents recherchés. Ces robots sont des modules de code, qui ont des approches différentes ; certains mettant l’accent sur les mots-clefs placés dans les titres de pages ou sur la fréquence d’apparition de mots etc.; certains robots fabriquent des index de contenus alors que d’autres élaborent des index par expression ou mot significatif. Les moteurs de recherche les plus connus sont les suivants: Dans Alta-Vista vous pouvez combiner des mots clés avec «AND» – en français “ET”-- (le moteur recherchera les documents qui contiennent tous les mots associés) et avec «OR» – en français “Ou”- (le moteur recherchera alors les documents ayant au moins un des mots-clés listés). De tels moteurs de recherche permettent une recherche plus précise qu’avec un répertoire thématique. Chaque moteur impose sa propre syntaxe, dans certains cas, le «ET» est remplacé par un espace ou un virgule, le ou par un «+»… Il convient donc de toujours lire en détail les instructions données. Pour accéder à un moteur de recherche, tapez son URL (adresse) dans la barre de navigation. Tapez dans le champ de recherche les mots correspondant à votre recherche. Alta Vista http://www.altavista.com Yahoo http://www.yahoo.com Google www.google.com Google www.google.fr (en français) Infoseek http://www.infoseek.com Ask Jeeves http://www.ask.com/ All the Web http://www.alltheweb.com • Méta - moteurs de recherche Les méta-moteurs vous permettent de faire simultanément une recherche dans plusieurs outils de recherche, sans avoir à saisir la même requête dans chaque outil. Des méta-moteurs tels que Ixquick (www.ixquick.com/fra/), Surfwax (www.surfwax.com) ou Metacrawler (www.metacrawler.com) doivent être utilisés quand les répertoires thématiques et les moteurs de recherche ne vous fournissent pas de résultats. De nombreux outils de recherche proposent les deux options combinées (notamment Yahoo): recherche thématique et moteur de recherche. L’utilisateur peut opter pour une navigation dans les répertoires thématiques ou le lancement d’une recherche via les fonctionnalités avancées du 24 de détruire ou de modifier les données qu’ils contiennent. Ces macros virus peuvent se transférer d’une plate-forme à une autre, et se propager à chaque fois que vous ouvrez un fichier infecté. Les principaux autres méta-moteurs sont les suivants: Metasearch (www.metasearch.com) est relié à Yahoo!, WebCrawler, InfoSeek, Lycos, Open Text, TradeWave Galaxy et AltaVista. • Chevaux de Troie All4one (www.all4one.com) est relié à Yahoo, AltaVista, Lycos et WebCrawler. Les chevaux de Troie sont des programmes d’apparence banale, voire même utile - ce qui encourage à les faire fonctionner. Ils ont pourtant un objectif caché : endommager des fichiers ou placer un virus dans votre ordinateur. Un cheval de Troie n’est pas un virus à proprement parler, car il ne se duplique pas, et ne se propage pas. En raison de cette spécificité, les fichiers qui les contiennent ne peuvent pas être réparés. Enfin, les dernières versions des navigateurs web permettent d’accéder à un éventail de moteurs de recherche et de méta moteurs en cliquant sur le bouton «search» . • Vers Les résultats de votre recherche sont alors affichés de façon ordonnée (ou pas), conformément à la fonction d’ordonnancement des critères spécifiques que vous avez pré-établis. Les vers sont des programmes qui se dupliquent sans infecter d’autres programmes. Certains vers se propagent en se recopiant de disque en disque, à la recherche de certains types de fichiers sur un disque dur ou un serveur, afin de tenter de les détruire. D’autres types de vers se contentent de se dupliquer dans la mémoire vive, en créant des centaines de copies d’euxmêmes qui vont s’activer ensemble et ralentir considérablement le fonctionnement de l’ordinateur. A l’instar des chevaux de Troie, les vers ne sont pas des virus, et les dégâts qu’ils causent ne peuvent être réparés. La protection contre les virus est impérative! Le fonctionnement des virus U n virus informatique est un programme rédigé spécialement pour modifier le fonctionnement de votre ordinateur, sans votre permission ni votre accord. Un virus attache des copies de lui-même à d’autres fichiers qui, une fois activés, peuvent endommager des fichiers, contaminer le système d’exploitation, ou faire apparaitre des messages. Les virus informatiques infectent les fichiers système et les documents créés par des programmes incluant des macro-instructions. Certains virus sont programmés pour endommager des programmes, détruire des fichiers ou effacer votre disque dur. Le mode de propagation des virus U n virus demeure inactif tant que vous n’ouvrez pas un programme infecté, ne démarrez pas votre ordinateur à partir d’un disque contenant des programmes infectés ou n’ouvrez pas un document infecté. Ainsi, dans le cas d’un logiciel de traitement de texte contenant un virus, ce dernier s’active à l’ouverture du programme. Une fois que le virus est installé dans la mémoire, il infecte tous les programmes que vous ouvrez. Les virus peuvent se comporter de plusieurs manières : certains restent actifs en mémoire jusqu’à ce que vous éteigniez votre ordinateur, d’autres tant que le programme infecté est en route. En éteignant l’ordinateur ou en fermant le programme en cours, vous enlevez le virus de la mémoire, mais • Macro virus Les macros virus sont des programmes simples, conçus pour accomplir des tâches répétitives dans un document ou des calculs dans un tableur. Les macros sont écrits à l’aide de logiciels comme Word ou Excel. Ce sont des programmes nuisibles, conçus pour se reproduire de fichier en fichier, afin 25 Exemple: pas du fichier infecté, ni du disque. En d’autres termes, si le virus est installé dans un fichier système, il s’activera quand vous démarrerez le système d’exploitation de votre ordinateur. Si le virus est dans un programme, il s’activera à chaque fois que vous ouvrirez ce programme. Je travaille sur le fichier montravail-01mar.doc et je conserve sur une disquette - ou mieux, sur un autre ordinateur - montravail-28fev.doc, montravail27fev.doc. Si montravail-01mar.doc est détruit par un virus ou par un accident, je pourrais repartir avec un jour de retard. Si je m’aperçois que le virus était déjà là la veille. Vous pourrez appeler un spécialiste avant de toucher au fichier précédent. Logiciels anti virus P our parer à ces risques très réels, des logiciels anti-virus doivent toujours être installés sur votre ordinateur et régulièrement mis à jour. Certains peuvent être téléchargés à partir des sites ci-dessous: Notons que les banques conservent au moins 15 jours d’activités en trois exemplaires qu’elles font garder en trois endroits différents. Les Points Focaux UNFCCC se doivent d’avoir la même prudence. • www.symantec.com: célèbre logiciel antivirus très répandu. Une version est disponible pour évaluation sur le site web. R • www.mcafee.com: comprend un pare-feu et une protection antivirus (en anglais, français et espagnol) • www.sophos.com: comprend un système permettant de jouer le rôle de passerelle ou de serveur de courrier électronique; il est offert gratuitement pour 30 jours sur ce site. • www.grisoft.com: antivirus gratuit disponible sur le site web. Sauvegardes fichiers Si les virus peuvent provoquer des dégâts importants allant jusqu’à la perte totale de vos données et la mise hors service de votre matériel, ils ne sont pas les seuls facteurs de risque. L’erreur, l’accident matériel (foudre, incendie, maladresse… ) peuvent provoquer des résultats au moins aussi inquiétants. Tout travail sur ordinateur doit donc être systématiquement et méticuleusement sauvegardé. Lorsque vous utilisez votre ordinateur à des buts professionnels, il est recommandé d’effectuer quotidiennement une copie des fichiers que vous avez modifiés, de conserver si possible cette copie («Backup» en anglais) en un lieu différent. Enfin, il est souhaitable de conserver au moins deux des générations précédentes de votre travail. 26 INFORMATIONS GÉNÉRALES SUR LA TERMINOLOGIE INFORMATIQUE En anglais: whatis.com/ www.cnet.com/Resources/Info/Glossary/ En français: www.css.qmul.ac.uk/foreign/eng-french.htm www.dicofr.com http://www-rocq.inria.fr/qui/Philippe.Deschamp/RETIF/ Glossaire informatique des termes de la Commission ministérielle de terminologie informatique http://www.linux-france.org/prj/jargonf/ Le jargon informatique En portugais: www.public.iastate.edu/~pedro/pt_all/pt_internet.html En espagnol; http://www.moheweb.galeon.com/diccinformatic.htm http://cursos.uacj.mx/InternetHistory/web%20pages/Diccionario%20de%20Terminos.htm Spécial pour l’usage du français: vous trouverez sur le net un dictionnaire qui donne l’orthographe des noms communs, noms propres, un atlas, des dossiers encyclopédiques et une grammaire du français à l’adresse: http://www.francophonie.hachette-livre.fr/ 27 LEXIQUE ET ACRONYMES ASCII Text Texte au format American Standard Code for Information Interchange – Le plus ancien codage de signes ne comportant aucun élément de présentation. Ce codage affecte des valeurs numériques aux lettres, aux chiffres, aux signes de ponctuation et à certains autres caractères. En normalisant les valeurs utilisées pour représenter les caractères, des fichiers en ASCII permettent aux ordinateurs et aux logiciels d’échanger des données. Bit Binary Digit - Unité binaire représentant un élément d’information en deux valeurs distinctes : 0 ou 1. Bps Bit per second - Unité de débit ou bande passante, c’est à dire le nombre de bits transportés en une seconde. Byte Octet, c’est à dire un ensemble de 8 bits. A ne pas confondre avec bit. DNS Domain Name Server - Serveur de noms utilisé pour établir la correspondance entre le nom de domaine et le numéro IP, c’est à dire traduire les noms d’hôtes en adresses Internet. FQDN Fully Qualified Domain Name – Nom de domaine complètement défini FTP File Transfer Protocol - Processus permettant de transférer des fichiers ou de pages web entre l’ordinateur local et un ordinateur distant en utilisant le protocole TCP/ IP. HTML Hypertexte Markup Language - Langage servant à écrire des pages web. Permet d’ajouter au texte des codes de formatage, des images et des liaisons hypertexte. L’hypertexte apporte aussi une méthode d’affichage permettant de combiner textes, images, sons et vidéos. HTTP HyperText Transfer Protocol - Méthode utilisée pour transférer les pages web sur le réseau. IP Internet Protocol - Ensemble de méthodes et de normes composant le langage commun de tous les ordinateurs sur Internet. ISDN Integrated Services Digital Network ou RNIS Réseau numérique à intégration de service - Norme de téléphonie numérique. Kbps kilobit par seconde= 1000 bps SMTP Simple Mail Transfer Protocol - Méthode de transfert et de surveillance de messagerie électronique de la famille TCP/IP. TCP Transfer Control Protocol - Services de base pour la communication sur le réseau Internet TLD Top Level Domain - Domaine de premier niveau. URL Uniform Resource Locator - Adresse d’un fichier accessible sur Internet. 28 LES SITES WEB SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES LES SITES WEB SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES C ette partie du manuel propose une liste non exhaustive de sites web offrant des informations sur les changements climatiques. Il importe de comprendre qu’une telle liste peut devenir rapidement datée. Cependant, l’accès à Internet étant encore souvent un défi dans de nombreux pays en voie de développement en raison de retards d’ordre technologiques, nous estimons que cette liste peut vous faire gagner du temps, en vous proposant des adresses directes, indispensables pour votre travail. Comme il est expliqué dans la partie technique du manuel, vous pouvez opérer une sélection des adresses les plus pertinentes et les compiler dans votre liste de “Favoris”. Sur le long terme, la meilleure source d’information demeure le site web du secrétariat de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CNUCC, UNFCCC en anglais). Voir l’adresse électronique sous la rubrique: Bibliothèque en ligne page 22. Ce site est régulièrement mis à jour et propose des liens vers les sites les plus utiles. Le site web du secrétariat de l’UNFCCC Dès l’ouverture du site web de l’UNFCCC, vous avez un accès direct à plusieurs sous-sections : • What’s new/Quoi de neuf?: les documents les plus récents http://unfccc.int/wnew/ index.html • Basic background information/ Thèmes des sessions : un guide sur le processus de négociation en cours à propos des changements climatiques, et un kit d’information sur les changements climatiques http://unfccc.int/resource/ index.html • Textes relatifs à la Convention et au Protocole de Kyoto: notamment l’état des signatures et ratifications http://unfccc.int/ resource/convkp.html • Documents officiels de l’UNFCCC: disponibles via un moteur de recherche spécialisé et des aides à la recherche http:/ /maindb.unfccc.int/library Les documents officiels se reconnaissent au fait qu’ils contiennent en en-tête les logos des Nations Unies et de l’UNFCCC, ainsi qu’un symbole documentaire de l’UNFCCC. Ces symboles (par exemple : FCCC/CP/2001/ 6) sont construits selon le même modèle: ils commencent par FCCC, puis indiquent les organismes désignés pour une Convention («CP» pour la COP, «SBI» ou «SBSTA» pour les organes subsidiaires ou «SB» pour des documents destinés aux deux organes subsidiaires) et se terminent par l’année de création du document. Les documents officiels précédant les sessions de l’UNFCCC sont disponibles avant une réunion de la CP, SBSTA or SBI, le plus souvent dans les six langues officielles des Nations Unies (anglais, arabe, chinois, espagnol, français et russe). Les documents qui suivent la session, en général les compterendus, sont également disponibles dans ces six langues. Les documents en cours de session ne sont disponibles que pendant les réunions (CRPs, Ls, MISCs). Les documents de type L sont en général traduits. Les CRP et MISC ne sont disponibles que dans la langue de la session. Les décisions, les recommandations et les résolutions de la Conférence des Parties (COP) se trouvent dans la seconde partie des rapports des COP. La première partie contient le rapport sur le déroulement de la session. Les suffixes suivants ne sont utilisés que pour les documents avant-session et finaux : /INF.- Documents d’information. Utilisés pour la diffusion de l’information, non traduits. Exemple : FCCC/CP/2001/ INF.5 /MISC. - Documents divers qui permettent de diffuser les vues soumises par les Parties, non édités, non traduits et sans en-tête. Exemple : FCCC/CP/2001/Misc.4 /Add. - Additif au texte du document principal : même type de diffusion que le document original. Exemple : FCCC/CP/2001/Misc.6/ Add.1 31 /Rev. - Nouveau texte (Révision) remplaçant un document précédent. Exemple: FCCC/CP/2001/L.27/Rev.1 http://unfccc.int/issues/index.html. • /Corr.- Ce suffixe indique que le document a été corrigé. Des modifications concernant certaines parties spécifiques y ont été apportées (erreurs, syntaxe ou réorganisation). Diffusion équivalente au document d’origine. Exemple: FCCC/CP/ 2001/INF.2/Corr.1 http://unfccc.int/press/webcast/ index.html /TP: Document techniques. Exemple : FCCC/TP/2001/2 • /L: - Documents à diffusion limitée, généralement disponibles en plusieurs langues. Leur diffusion est restreinte aux personnes directement concernées par les travaux. Ils sont aussi disponibles sur le site web du secrétariat. • Calendrier : notamment dates limites de soumissions et agenda prévisionnel d’événements: http://unfccc.int/calendar/index.html • Articles de presse : notamment les derniers articles important sur les questions de changements climatiques http://unfccc.int/press/index.shtml. • Non-papers - Documents disponibles de manière informelle pour faciliter les négociations en cours de session. Information du secrétariat : postes à pourvoir, programmes de recherche, contacts http://unfccc.int/secret/index.html • Country information/Information par pays : liens vers des documents de communication nationale, des points focaux nationaux, des documents de réflexion et des sites web sur les changements climatiques, par pays Bibliothèque en ligne, : accès au catalogue de la bibliothèque, ainsi qu’à d’autres sources d’information sur les changements climatiques : glossaires, librairies, revues, répertoires, moteurs de recherche et portails http://unfccc.int/resource/library/ onlinecol.html http://unfccc.int/resource/country/ index.html • Informations sur les sessions, les ateliers et les réunions : notamment dates et lieux, ordres du jour et programmes quotidiens, contacts, documents http://unfccc.int/sessions/index.html /CRP - Document de réunion (pour «Conference Room Paper» en anglais). Une catégorie de documents uniquement distribués en cours de session qui contiennent de nouvelles propositions et ne sont utiles que pendant cette session. Leur diffusion est restreinte aux personnes directement concernée par les travaux. Ils sont cependant disponibles sur le site web du secrétariat, mais presque toujours en anglais uniquement. Exemple : FCCC/SBI/2001/CRP.5 • Vidéos des réunions : notamment les archives vidéo des réunions les plus importantes, des conférences de presse de l’UNFCCC, des délégations, des ONG, ainsi qu’une sélection d’autres événements. Informations relatives au processus de négociation : notamment la mise en place de la Convention, du Protocole de Kyoto et les questions d’ordre institutionnel 32 Les sous sections des différents programme de l’UNFCCC supplémentaires consacrées à la technologie. Voir: http://unfccc.int/program/technology/ techno.html Le programme de mise en œuvre par les Parties visées a l’annexe I est chargé d’examiner les communications nationales de ces Parties, de coordonner leur compilation-synthèse, de faciliter les échanges d’information entre les Parties. Cette page contient également un résumé de la première communication nationale, de leurs compilationssynthèses et de la dernière soumission de leurs inventaires de gaz à effet de serre. Voir: Méthodologies et outils pour évaluer les impacts des changements climatiques. La décision 9/CP.3 prie le secrétariat de la convention de « poursuivre ses travaux de synthèse et de diffusion de l’information sur les technologies et le savoir-faire écologiquement rationnels propres à atténuer les changements climatiques ou à faciliter l’adaptation à ces changements, par exemple en accélérant l’élaboration de méthodes de conception de technologies d’adaptation, en particulier d’outils de décision pour évaluer les différentes stratégies d’adaptation». Dans la mesure où la première étape est de recenser la disponibilité et l’utilisation actuelle de tels outils, un recueil initial ces outils a été produit. Un formulaire destiner à communiquer ce genre d’information est également disponible à l’adresse suivante: http://unfccc.int/program/imp1.html Le programme de mise en œuvre par les Parties non visées a l’annexe I est chargé de faciliter l’appui technique et les activités de renforcement des capacités relatives à la mise en œuvre de la Convention climat par ces Parties; d’aider le suivi des négociations concernant les diverses procédures à utiliser pour préparer et soumettre leurs communications nationales; et apporter le soutien nécessaire aux questions relatives aux opérations sur les mécanismes financiers. Voir: http://unfccc.int/program/meth/index.html Fichier d’experts, L’Organe subsidiaire de conseil scientifique et technologique (SBSTA), lors de la onzième session des ses travaux (FCCC/ SBSTA/1999/14, para. 108 (b)) a noté que les fichiers d’experts devaient évoluer en fonction des besoins des organes de la Convention. Plusieurs pages web ont été conçues pour aider les Parties à mettre à jour leurs nominations et/ou nommer de nouveaux experts pour le fichier d’experts de la UNFCCC sur la base de la nouvelle fiche d’inscription figurant sur le site en réponse au mandat définit ci-dessus. Afin d’aider les Parties, des instructions pour la mise à jour des informations et la soumission de nouvelles nominations sont disponibles sur la page web intitulée «Guidance to the Parties: Updating of the UNFCCCC roster of experts». Des instructions techniques sur la manière de soumettre des informations électroniquement sont disponibles sur la page intitulées «Instructions for nomination on-line and update in the UNFCCC Roster of Experts». Voir: http://unfccc.int/program/nimp1.html Les activités mises en œuvre conjointe de la phase pilote (MOC) y compris les informations de références, les contacts sur les Autorités nationales désignées pour les MOC la liste des projets, une fonction de recherche de projet, de la documentation sur les questions de méthodologies, sur le cadre uniformise de présentation, les programme nationaux concernant la mise en œuvre conjointe et les documents officiels de la conventions sur la MOC sont disponibles à l’adresse: http://unfccc.int/program/aij/index.html Le site web concernant les changements climatiques et les Technologies, y compris le processus consultatif visé à la décision 4/CP.4, la réunion finale de Bonn qui s’est tenue le 7 juin 2000, les rapports d’activités, les compte rendu des ateliers régionaux d’Amérique Latine et des Caraïbes, les soumissions par les parties, la note technique sur les technologies d’adaptation côtière (FCCC/TP/1999/1). TT:CLEAR, (un prototype UNFCCC de clearing house d’information technologique) et un lien externe à un projet pilote visant a développer des pages web http://unfccc.int/program/roster/index.html La section sur le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP), y compris l’information telle que les informations de 33 référence, les institutions du MDP, la description du cycle de projet MDP et un kiosque ONG sont situés à l’adresse: actions de lutte contre quatre types de menaces critiques envers l’environnement global: la diminution de la biodiversité, les changements climatiques, la dégradation des eaux internationales et l’appauvrissement de la couche d’ozone. Le FEM est aujourd’hui le mécanisme financier des conventions internationales relatives à la biodiversité, aux changements climatiques et aux polluants persistants organiques. Il soutient également les travaux des conventions globales de lutte contre la désertification, pour la protection des eaux internationales et de la couche d’ozone. http://unfccc.int/cdm/index.html. Le Joint calendar of event/Calendrier des évènements communs est un calendrier d’intérêt commun aux trois conventions, celle sur les changements climatiques (UNFCCC), la convention sur la Désertification (UNCCD) et la convention sur la diversité biologique (CBD). Il est située à l’adresse: Le FEM - le seul organisme de financement qui ait émergé des travaux du Sommet mondial - est maintenant un acteur majeur dans la promotion des technologies d’énergies renouvelables, et une force d’intervention dynamique grâce à ses trois agences opérationnelles : le PNUD, le PNUE et la Banque mondiale. Les agences d’exécution du FEM sont la FAO, l’ONUDI, la Banque africaine de Développement, la Banque européenne de Reconstruction et de Développement, la Banque Inter-américaine de développement et le Fonds International pour l’Agriculture et le Développement. http://unfccc.int/wnew/jlgcal.pdf Le 2002 Responding to Climate Change Calendar/Le Calendrier 2002: Répondre aux changements climatiques a été publié à l’occasion du 10ième anniversaire de la signature de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques. La version électronique de ce calendrier complète le calendrier imprimé distribué aux participants de la 7ième conférence des Parties qui s’est tenue à Marrakesh en 2001. La version électronique de ce calendrier inclut toutes les dates importantes pour le processus des négociations sur les changements climatiques. Il est disponible à l’adresse: Le site web du FEM (www.gefweb.org) recense une série d’informations sur les activités du FEM concernant les changements climatiques. Un certain nombre de publications y sont disponibles en français, en cliquant sur “Français” à la page d’accueil. Elles relèvent de plusieurs grandes catégories: intérêt général, thèmes particuliers, stratégie et opérations et suivi et évaluation. Les documents disponibles sous forme électronique sont signalés par un lien visible. Les autres sont disponibles sur demande, sous forme imprimée uniquement, auprès du Secrétariat du FEM. Par ailleurs, en anglais pour l’instant, le site permet d’accéder à l’ensemble des sites des agences opérationnelles qui travaillent sous son égide. http://unfccc.int/calendar/index.html PMA: Un site web dédié aux Pays les Moins Avancés sera rapidement disponible à l’adresse: http://www.unfccc.int/LDC Pour plus d’information, prière de contacter: Secrétariat de la Convention UNFCCC Marthin-Luther-King-Strasse 8 D 53175 Bonn Allemagne Téléphone: +49-228 815 1000 Fax 49 228 815 1999 Email: [email protected] Pour plus d’information, prière de contacter: GEF Secretariat 1818 H Street, NW Washington, DC 20433 USA Fonds pour l’Environnement Mondial L e Fonds pour l’environnement mondial (FEM, GEF en anglais) a été formellement lancé en 1994, après une phase pilote de 3 ans, pour développer la coopération et financer des Téléphone: +1 202 473-0508 Fax: +1 202 522-3240/3245 E-mail: [email protected] 34 PNUE PNUD L e PNUE offre une somme d’informations multimédia sur les changements climatiques. Le portail global www.Unep.net en cours d’élaboration a une composante thématique sur les changements climatiques. Cette source d’informations sur les changement climatiques fait autorité. Elle est utilisée par le PNUE ainsi que par ses partenaires lors des évaluations environnementales intégrées dans le processus de L’Avenir de l’Environnement (Global Environment Outlook – GEO, en anglais). Le Programme de Nations Unies pour le Développement, (PNUD) est une organisation largement reconnue pour ses conseils fondés sur de solides connaissances de terrain et son plaidoyer en faveur d’une économie mondiale ouverte à tous. Le PNUD est un organisme de financement et encourage également la coopération Sud-Sud. Le PNUD s’emploie à remédier aux causes multiples de la pauvreté et à promouvoir le développement, en incluant les questions de l’énergie et du développement dans ses visées stratégiques (voir www.undp.org/). De 1965 à 2000, le budget consacré par le PNUD aux énergies renouvelables et aux changements climatiques a atteint un total de $ 1 651 millions. Le PNUD contribue au travail sur les changements climatiques en se préoccupant plus spécifiquement des énergies durables, et en participant au FEM (Fonds pour l’environnement mondial). Les projets et l’engagement du PNUE au sein du FEM (Fonds pour l’environnement mondial) sont décrits (en anglais) à www.unep.org/ GEF/. Ses activités concernant les transferts de technologie et d’énergie sont disponibles à l’ adresse: www.uneptie.org/home.html. Les produits informatifs à destination du grand public (dont un kit de 30 fiches sur la vision scientifique et politique des changements climatiques, et un Guide pour débutant sur la Convention sur les changements climatiques et le Protocole de Kyoto) se trouvent à : www.unep.ch/ conventions/. Les Vital graphics sur les impacts et les émissions de gaz à effet de serre se trouvent sur le site www.grida.no/climate/. Enfin, d’autres informations ainsi que des liens sont sur la page d’accueil du PNUE, www.unep.org (en anglais). En outre, le PNUE a mis en place et héberge dorénavant le site du UNEP/WMO IPCC à www.ipcc.ch/. Vous pouvez y avoir un accès immédiat aux quatre derniers rapports du GEIC 2001 (texte et illustrations). Le site web du FEM-PNUD (www.undp.org/ gef) offre toutes les informations concernant l’ensemble des projets sur les changements climatiques ($ 669 millions) qui ont été développés de 1991 à 2000. Le site recense les projets, par titre, description et mode de financement, ainsi que par région ou par typologie. On y trouve également la politique opérationnelle du FEM, des références, des outils, et les programmes de partenariat avec les entreprises. Une sélection de ses programmes est présentée ci-dessous: • Pour plus information, prière de contacter: United Nations Environment Programme Information Unit for Conventions Maison Internationale de l’Environnement 15, Chemin des Anémones 1219 Châtelaine, Suisse Téléphone +41-22-917 8242 / 8244 / 8196 +41-79-409-1528 (portable) Fax: +41-22-797-3464 Email: [email protected] FEM Small Grants Programme (SGP). Mis en place en 1992, il offre un soutien financier et technique aux projets des pays en voie de développement qui visent à conserver et restaurer l’équilibre naturel, tout en améliorant la vie humaine et le bien-être, et à démontrer qu’une action communautaire peut aider à maintenir l’équilibre entre les besoins humains et les impératifs de l’environnement. Le SGP opère la liaison entre les questions globales, nationales et locales grâce à une approche transparente et fondée sur la participation pays par pays, comprenant les étapes de réflexion, mise en place et implémentation. Pour plus d’informations, et notamment les contacts : www.undp.org/sgp http://www.undp.org/sgp 35 • FEM Country Dialogue Workshop Programme (CDW). Le CDW est l’une des principales composantes de la nouvelle stratégie de sensibilisation et de communication du FEM. Son but est d’encourager le dialogue billatéral entre le FEM et les pays membres, et de renforcer l’ancrage local du travail du FEM. Pour plus d’informations (matériel pour les ateliers, agendas, rapports, contacts) du PNUD aux politiques de changements climatiques, voir: http://www.undp.org/ seed/eap. Pour les informations concernant les publications, notamment les résumés, les conseils de téléchargement de documents, voir : www.undp.org/seed/eap/Publications/ Publications.html Pour plus d’information, prière de contacter: www.undp.org/gef/workshop. • UNDP - Bureau for Development Policy Sustainable Energy Programme 304 East 45th St. New York, NY 10017 USA FEM National Communications Support Programme (NCSP) Le NCSP a été mis en place par le PNUD et l’UNEP, en collaboration avec le Secrétariat de l’UNFCCC ; il travaille avec plus de 130 pays participants pour offrir un soutien technique visant à améliorer les capacités des parties non visées à l’Annexe I à préparer leur communication nationale initiale. Pour des informations sur le matériel de formation, les publications, les modèles et les données, les décisions du COP, les documents du FEM, les activités permettant d’entrer dans la phase II des communications, les contacts et des liens vers plusieurs sites web nationaux, régionaux et gouvernementaux sur les changements climatiques voir : Fax: +1 212 9065148 ONUDI L ’ONUDI (Organisation de Nations Unies pour le Développement Industriel) fut l’une des toutes première agence des Nations Unies à largement utiliser le réseau Internet en publiant sur le web dès le début des années 80, et ce pendant cinq ans, son Bulletin intitulé «Environment Awarness ». Ce bulletin offraient des informations relatives à l’énergie industrielle et l’environnement. http://www.undp.org/cc/ L’ONUDI a ensuite produit un site web «Energie et Environnement» qui propose des informations techniques concernant un certain nombre de secteurs industriels dans le domaine de la production plus propre et de l’efficacité énergétique. Il est accessible à l’adresse http:// www.unido.org/doc/50285.htmls. Pour plus d’information, prière de contacter: UNDP-GEF 304 East 45th Street New York, NY 10017 USA Enfin, tout récemment, avec l’engagement important de l’UNIDO dans la mise en œuvre de l’UNFCCC, une nouvelle page a été créée sur le Protocole de Kyoto et le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP). Elle permet de diffuser les résultats de ses travaux sur l’industrie et le MDP. Son point de départ est situé à l’adresse http://www.unido.org/doc/310797.htmls. Toutefois, dû à l’accroissement important des l’informations contenues sur ce site, et du fait du grand nombre de partenaires sur le réseau et des activités de projets, ces informations ont été transférées sur un nouveau site qui comprend un moteur de recherche appelé KNITT, à l’adresse suivante: http://www.unido.org/knitt/. Téléphone.: +1 21 906-5004; Fax: +1 212 906-6998 Email: [email protected] Energy and Atmosphere Programme (EAP). L’EAP a été créé en 1994, afin de mettre l’accent sur les activités soutenues par le PNUD dans le domaine de l’énergie qui combine à la fois l’énergie, l’environnement et le développement socio-économique, ainsi que les questions d’énergie liées à la pollution atmosphérique. Pour des informations sur le concept d’énergie durable, une vue d’ensemble des contributions 36 Des informations de référence et des conseils d’utilisation sur le système de recherche offert sur ce site sont accessibles à l’adresse: http:// www.unido.org/doc/48179.htmls. //www.worldbank.org/climatechange La Banque mondiale et le Fonds pour l’environnement mondial oeuvrent depuis une décennie pour le développement et la mise en place de plus de 100 projets d’atténuation des gaz à effet de serre dans le domaine de l’efficacité énergétique et des énergies renouvelables, qui ont, a leur tour, mobilisé plus de 5 milliards de dollars. Ce travail a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives pour l’efficacité énergétique, la fourniture d’électricité hors réseaux, notamment dans les zones rurales les plus reculées. Il a également permis d’élaborer des leçons clés à partir d’expériences : ainsi le fait que des réformes politiques sont essentielles pour mobiliser des capitaux privés, encourager la concurrence, et promouvoir des approches alternatives aux services énergétiques. Ce travail a également prouvé qu’il existe de nombreuses options économiquement viables pour réduire les émissions de gaz à effet de serre dans les pays en voie de développement, lesquelles peuvent aussi engendrer localement des bénéfices économiques et environnementaux substantiels. Voir: Pour plus d’information, prière de contacter: UNIDO Vienna International Centre A-1400 Vienna Austria Téléphone:+43 1 26026/3705 Fax: +43 1 21346/3705 Email: [email protected] Banque Mondiale E n ce début de 21ème siècle, les changements climatiques sont devenus une préoccupation centrale pour la Banque mondiale et ses clients. La montée du niveau de la mer, le réchauffement de la température, l’incertitude quant aux effets sur les systèmes agricoles et forestiers, des modèles météorologiques variables et volatiles auront sans doute un impact significatif et surtout disproportionné sur le monde en voie de développement ; là où résident les plus pauvres, les plus susceptibles d’être touchés par les dommages et les incertitudes potentiels, inhérents aux changements climatiques. La Banque vise à aider le monde en voie de développement à bénéficier des énormes investissements qui seront nécessaires pour lutter contre ce problème global : en prenant en compte ces considérations dans ses opérations de développement, en conseillant ses clients au regard de ces options, en aidant à promouvoir l’efficacité sectorielle et les alternatives d’une énergie propre, et en assistant ses clients dans les processus d’adaptation aux impacts prévisibles, tout en recherchant des réponses équitables à ce défi. www.worldbank.org/gef Le «National Strategy Studies Program», ou Programme d’étude sur les stratégies nationales est un programme qui a été lancé en 1997 en coopération avec le gouvernement suisse et la Banque mondiale. Ses objectifs sont de fournir une assistance aux pays hôtes de projets de type Application conjointe /MDP, pour que ceux-ci améliorent leurs capacités à maîtriser les mécanismes flexibles pour l’application du Protocole de Kyoto, les échanges de crédits des émissions de gaz à effet de serre. Avec le soutien conjoint d’autres bailleurs (Allemagne, Australie, Autriche et Canada), le programme du NSS vise près de 30 pays clients de la Banque et promeut l’intégration des questions des changements climatiques globaux dans leur développement durable. Voir: L’équipe «Changements climatiques» sein du département Environnement coordonne le dialogue sur les projets et les stratégies sur les changements climatiques au sein de la Banque et offre un soutien technique au Programme Banque mondiale - FEM. Pour des informations sur les thématiques clefs (atténuation, vulnérabilité et adaptation), les organismes opérationnels (FEM, PCF et NSS), les publications et autres ressources, voir: http: www.worldbank.org/nss. «Prototype Carbon Fund» - Le 20 juillet 1999, reconnaissant que le réchauffement global aura un impact très important sur ses pays emprunteurs, les directeurs exécutifs de la 37 Banque mondiale ont approuvé la mise en place du Propotype Carbon Fund (PCF). Le PCF, dont l’objectif opérationnel est l’atténuation des changements climatiques, est destiné à soutenir les projets visant à produire des réductions d’émission de GES conformément aux règles émergentes du Protocole de Kyoto. Son budget repose sur un partenariat privé-public entre les entreprises et les gouvernements ; le PCF développera des projets de réduction d’émission de grande qualité et construira et partagera ses expériences sur les décisions d’investissement, la détermination des lignes de référence, le suivi et l’évaluation. Voir : Pour plus d’information, prière de contacter: www.prototypecarbonfund.org CBD - Secretariat of the Convention on Biological Diversity Montreal, Quebec Canada www.biodiv.org The World Bank 1818 ‘H’ Street NW Washington, D.C. 20433 USA Téléphone +1 202 473-1000 Fax:1+ 202 477-6391 email: [email protected] http://www.worldbank.org Autres agences des Nations Unies «CDM Assist» - Le Mécanisme pour un Développement Propre (MDP, Article 12 du Protocole de Kyoto, CDM en anglais) permet aux pays en voie de développement de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre, et de vendre ces réductions aux pays de l’OCDE au prix du marché, tout en bénéficiant d’améliorations sur l’environnement local, de transferts de technologie et de l’apport de devises étrangères. Le MDP est dans une phase de mise en place, où les pays africains sont trop faiblement représentés. Le «CDM Assist» http: //www.worldbank.org/afr/cdm doit améliorer les possibilités de l’Afrique à attirer des projets MDP et renforcera les capacités de l’Afrique à développer et coordonner de tels projets. CITES - Secretariat of the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora www.cites.org FAO - Sustainable Development Dimensions \www.fao.org/sd/index_en.htm (traductions en français et en espagnol) MP - Secretariat of the Multilateral Fund for the Implementation of the Montreal Protocol Montreal, Quebec, Canada http:// www.unmfs.org/ SIDS - Small Islands Developing States Unit New York, NY, USA http://www.sidsnet.org/ h.html ESMAP (Energy Sector Management Assistance Programme) est un programme financé par la Banque mondiale et le PNUD. Il est géré par la Banque mondiale. ESMAP se préoccupe du rôle de l’énergie dans le développement économique dans le but de contribuer à l’allègement de la pauvreté, au développement économique, à l’amélioration des conditions de vie, et à la préservation de l’environnement dans les pays en voie de développement ainsi que dans les pays aux économies en transition. Pour plus d’informations sur les thématiques liées aux changements climatiques, voir : UN - World Summit on Sustainable Development (UN official website) http://www .johannesburgsummit.org/index.html UNCCD - Secretariat of the Convention to Combat Desertification Bonn, Germany http: //www.unccd.de/ UNESCO - Intergovernmental Oceanographic Commission (IOC) Paris, France http:// www.ioc.unesco.org/iocweb/ UNU - United Nations University - Global Environment Information Centre Tokyo, Japan http://www.unu.edu/ www.worldbank.org/html/fpd/esmap. UNITAR - United Nations Institute for Training and Research http://www.unitar.org 38 Quelques sites web de pays industrialisés WCCMS - Secretariat to the Convention on the Conservation of Migratory Species of Wild Animals, Bonn, Germany http:// www.wcmc.org.uk/cms/ Australie: http://www.brs.gov.au/greenhouse/ index.html Autriche http://www.accc.gv.at/ WHO - World Health Organization (OMS en francais) http://www.who.int/home-page/ Belgique: www.environment.fgov.be/Root/ tasks/atmosphere/klim/set_en.htm WMO - World Meteorological Organisation (OMM en français) Global Climate Observing System (GCOS) Geneva, Switzerland http:// www.wmo.ch/web/gcos/gcoshome.html Canada http://www.climatechange.gc.ca/ Etat Unis d’Amérique • CDIAC Oak Ridge National Laboratory, The Carbon Dioxide Information Analysis Center including the World Data Center for Atmospheric Trace Gases: http:// cdiac.esd.ornl.gov/wdca/wdcinfo.html. • Centre agrée des données sur les changements globaux et le centre d’information et d’analyse du ministère américain de l’énergie www.energy.gov/. Sénégal: http://unfccc.int/resource/ccsites/ senegal/index.htm • Global change research information office http://www.gcrio.org/index.shtml Tanzanie: http://unfccc.int/resource/ccsites/ tanzania/ • Global Change Research Program http://www.usgcrp.gov/ Zambie: http://unfccc.int/resource/ccsites/ zambia/ • National Oceanic and Atmospheric Administration http:// www.ogp.noaa.gov/ Quelques sites web de pays en voie de développement • The Ecological Society of America: http://esa.sdsc.edu/climate.htm Brésil: Ministry of Science and Technology and Climate Change http://www.mct.gov.br/clima/ingles/ Default.htm • Global Change Master directory NASA http://gcmd.nasa.gov/ • Global Climate Change Briefing Book, Congressional research Service National Library for the Environment Sites web des PMA Benin: http://www.sisei.net/nationaux/benin Cape Verde: http://www.sepa-cv.org/clima/ index.html Haiti http://unfccc.int/resource/ccsites/haiti/ index.html Cuba http://www.centre.unep.net/Cuba/ AMA/index.html • http://www.cnie.org/NLE/ CRSreports/BriefingBooks/Climate/ Ghana: Environmental Protection Agency (EPA) http://www.epa.gov.gh/ • USA Environmental Protection Agency Global warming: http://www.epa.gov/ globalwarming/index.html • USA Environmental Protection Agency GHG Emissions database/reports from Developed Countries : Mexique http://www.ine.gob.mx/ucci/cam_ clima/ccg.htm Zimbabwe: http://unfccc.int/resource/ccsites/ zimbab/ 39 http://www.epa.gov/ghginfo Climate Action Network, www.climatenetwork.org/ Communauté européenne Climate Ark http://www.climateark.org/ SITE TRES UTILE http://www.climnet.org/resources/ resources.htm#euenergy • Le site Climate Ark est le premier du genre: à la fois portail et moteur de recherche, il intègre et rend plus accessible les meilleures analyses documentaires et l’information concernant les changements climatiques sur Internet. Ce site web est dédié à la promotion des politiques publiques qui abordent les changements climatiques par le biais des réductions de CO2 et autres émissions de GES, la maîtrise de l’énergie, les sources d’énergie renouvelables et l’abandon de la déforestation. Ce site offre un très grand nombre de liens avec des articles de presse qui sont mis à jour quotidiennement, des archives très importantes d’informations ponctuelles sur les changements climatiques (10.500 documents produits à des fins pédagogiques au cours de ces 3 dernières années), une collection de plus de 500 liens sur les changements climatiques et les énergies renouvelables, des possibilités d’actions et un forum de discussion. et les dernières nouvelles sur les changements climatiques en Europe: http://www.climnet.org/news/ news.htm France • • Mission Interministérielle Effet de Serre www..effet-de-serre.gouv.fr/ • Agence française de Développement/ Fonds français pour l’environnement mondial http://www.ffem.net Japon: • Agence japonaise de météorologie: http: //www.goin.nasda.go.jp/GOIN/ JMA/htdocs/jmac.html • Ministère de l’environnement: http:// www.env.go.jp/en/topic/cc.html - Climate Change and Human Health Home Page (USA) http://www.psr.org/climate1.htm Nouvelle Zélande:http://aqdb.niwa.cri.nz/ indicators/climate_change_indicators.htm Climate Change Campaign WWF http://www.panda.org/climate/ Pays Bas: http://www.nop.nl/ Climate Change World Resource Institute (USA) http://www.wri.org/ Suisse: http://www.proclim.unibe.ch/about/ products_d.html Climate Institute (USA) www.climate.org Royaume Uni: http://www.defra.gov.uk/ Coastal Zone Management Centre (NL), http://www.netcoast.nl Réseaux de recherche/Organisations non gouvernementales Eco-Portal moteur de recherche qui permet aux internautes de rechercher sur des milliers de sites consacrés à l’environnement http://www.ecoportal.com/ Caribbean Planning for Adaptation to Global Climate Change www.cpacc.org Ecosustainable Hub comprehensive one-stop web connection to resources and tools on the environment and sustainability http://www.ecos ustainable.com.au Centre for Climate and Global Change Research (CN) http://ww2.mcgill.ca/ccgcr/index.php3 McGill University in Montreal CICERO: Center for International Climate and Environmental Research – Oslo http:// www.cicero.uio.no http://www.cicero.uio.no/publications/ Energy Research Centre of the Netherlands, http://www.ecn.nl/ 40 Environmental Defense (USA), www.environme ntaldefense.org Program (USA) http://www.toowarm.org/ South Pacific Regional Envrionmental Programme www.sprep.org.ws/ Environnement et Développement du Tiers Monde Energy Programme (Sénégal), www.enda.sn/ Stockholm Environment Institute (Sweden) www.sei.se (Stockholm office) and www.seib.org (Boston office) ENVORK (Islamabad) www.envork.org est consacré à la recherche sur les politiques sur les changements climatiques ainsi qu’au développement de projets MDP, en particulier dans la région asiatique. TERI (India) www.ccasia.teri.res.in voir aussi dans la section glossaires Acronymes climat et développement. Forest Conservation Portal: vast rainforest, forest and biodiversity conservation news & information http://forests.org. The Ultimate Heating Season, University of Wisconsin (USA) http://whyfiles.org/ 080global_warm/index.html Fragilecologies, web sur les interactions climatsociété-environnement www.fragilecologies.com développé par le Environment & Societal Impact Group (ESIG) du National Center for Atmospheric Research (NCAR) Boulder Colorado (USA) Tiempo: Climat et développement, Climatic Research Unit, University of East Anglia, UK - Le «Tiempo Climate Cyberlibrary» est un service d’information électronique sur les changements climatiques en particulier dans les pays en développement: www.cru.uea.ac.uk/ tiempo/. Global Climate Change Information Programme, http://www.doc.mmu.ac.uk/ aric/arichome.html Manchester Metropolitan University (UK) Union Internationale pour la Conservation de la Nature (IUCN/IUCN): http:// iucn.org/; Propose plusieurs documents sur les changements climatiques y compris «Wetlands and Climate change» à l’ adresse : http:// iucn.org/themes/climate/wetlandscc.html Global Climate Change, http:// www.globalchange.org/ A review of climate change and ozone depletion (USA) UK Climate Impact Programme www.ukcip.org.uk Global Warming International Center, http: //www2.msstate.edu/~krreddy/glowar/ glowar.html Mississippi State University (USA) World Climate Report http://www.nhes.com/ Wuppertal Institute for Climate, Environment and Energy (Germany), www.wupperinst.org Greenpeace International, www.greenpeace.org/ ~climate/ (site archive) et site régulièrement mis à jour: www.greenpeace.org/%7Eclimate/ climatecountdown/ Hadley Centre for Climate Prediction and Research, (UK) www.metoffice.com Helio International Sustainable Energy Watch: http://www.helio-international.org International Institute for Sustainable Development (CN) http://www.iisd.org/ Pew Center on Global Climate Change (USA)www.pewclimate.org RIVM, National Institute of Public Health and the Environment (NL) http://rivm.nl Sierra Club Global Warming and Energy 41 GLOSSAIRES SCIENTIFIQUES Acronymes concernant les sciences et les gouvernements, Free University of Berlin, Germany > 12,000 http://www.hwwa.de/Publikationen/Report/ 2001/Report208.pdf http://www.chemie.fu-berlin.de/cgi-bin/ acronym Glossary of Terms Related to the Convention on Biological Diversity http://webbie.kbinirsnb.be/bch-cbd/ glossary.htm Climate Change Resource Glossary produced by the Environmental Protection Agency (EPA), US Government International Development Acronyms (USAID) acronyms and terminology. http://www.epa.gov/globalwarming/ publications/outreach/general/glossary.pdf http://www.usaid.gov/hum_response/ofda/ fog/ch6txt.htm Glossaire de terminologie de chimie atmosphérique: International Union of Pure and Applied Chemistry, Commission on Atmospheric Chemistry. Glossaires des termes scientifiques sur les changements climatiques définis par ordre alphabétique, accompagnés d’informations explicatives. Voir: http://sunsite.wits.ac.za/iupac/reports/1990/ 6211calvert/glossary.html#web ISO Country Codes (Anglais et français) Deutches Institut für Normung e. V., 10772 Berlin www.din.de/gremien/nas/nabd/ iso3166ma/codlstp1/index.html Glossaire sur les changements climatiques du Cooler Heads Coalition formée le 6 mai, 1997 http://www.globalwarming.org/glossary.htm Glossaire sur les changements climatiques du Tata Energy Research Institute http://edugreen.teri.res.in/explore/ glossary.htm Glossaires de terminologie sur les changements climatiques du Center for Sustainable Development in the Americas (CSDA). La terminologie utilisée dans le processus de négociation sur les changements climatiques a été répertoriée, identifiant pour chaque terme l’origine de cette définition: http://www.csdanet.org/English/publications/ glossary.htm Glossary of International Climate Policy Terms International Climate Policy Research Programme, Hamburg Institute of International Economics, Neuer Jungfernstieg 21,20347 Hamburg,Germany 42 LISTE DES POINTS FOCAUX PARTICIPANT AU PROJET LISTE DES POINTS FOCAUX PARTICIPANT AU PROJET PAYS POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL TELEPHONE Angola* Lourenco Barao da Costa +2442390840 [email protected] Bangladesh Sunil Kanti Bose [email protected] Bénin Jeanne Josette Acacha Akoha Fax +880 2 861 +229 31 5058 [email protected] Bhutan Yangki T. Wangchuk Dechen Tsering +975223384 [email protected] Burkina Faso Mamadou Honadia +226 31 2464 [email protected] Burundi Ferdinand Nderagakura +257 221649 [email protected] Cambodge He Khieu Muth +85523 213 908 Tin Ponlok [email protected] Cap-Vert Manuel Leao Silva de Carvalho +238 61 5716 [email protected] Comores Youssouf Hamadi +269 736388 [email protected] Djibouti Moussa Ahmed Hassan Fax +253 351020 [email protected] [email protected] Erythrée Tekleab Mesghena +291 1120311 [email protected] Ethiopie Bekuretsion Kassahun +251 1517066 [email protected] Légende: Usage du français * ** Usage du portugais Usage de l’espagnol Usage de l’anglais 45 PAYS POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL TELEPHONE Gambie Bubu Pateh Jallow +220228216 [email protected] Guinée Toure Idiatou Camara +224464850 [email protected] [email protected] Guinée Bissau * +245 202452 Malam da Silva [email protected] Guinée équatoriale** Haiti +509 2457585 Gabriel Nicolas Moise Jean-Pierre [email protected] Kiribati Karibaiti Taoaba +68628211 [email protected] Lesotho +226 317325 Bruno Sekoli [email protected] Lebohang Bulane [email protected] Madagascar Randriassandratana Germain +261202240909 [email protected] Maldives Mohamed Khaleel +960 324861 [email protected] Mali +223292101 Mama Konaté [email protected] Mauritania Oumar Fall [email protected] Mozambique* Evaristo Florentina Baquete +258 1465843 Marilia Telma Antonio Manjate [email protected] Légende: Usage du français * ** Usage du portugais Usage de l’espagnol Usage de l’anglais 46 PAYS POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL TELEPHONE Myanmar U Thane Myint +951221689 Than Htoo [email protected] Népal Purushottam Kunwar +9771245369 [email protected] Janak Raj Joshi [email protected] Niger +227722559 Hassane Saley [email protected] Ouganda +256 41233559 Phillip Gwage [email protected] République Centrafricaine Lambert Gnapelet République Démocratique du Congo Kasulu Seya Makonga République Démocratique Populaire Lao Xayaveth Vixay République du Malawi E.E.Lodzeni +236618044 [email protected] +243 34390 [email protected] +856-21 218712 [email protected] Fax +265773637 R.P.Kabwaza [email protected] Rwanda Phocus Ntayombya +25082628 [email protected] Sao Tome and Principe* Adérito Santana Samoa Violet Wulf +239 1221975 [email protected] Fax +685 25856 [email protected] Sénégal Fatima Dia Toure +221 8226211 Ndiaye Cheikh Sylla [email protected] Légende: Usage du français * ** Usage du portugais Usage de l’espagnol Usage de l’anglais 47 PAYS POINT FOCAL & ADRESSE EMAIL TELEPHONE Soudan Nadir Mohamed Awad Fax +249 11 787617 [email protected] Tanzanie +213983/2118416 Richard S. Muyungi [email protected] Tchad Moussa Tchitchaou Fax +269 736388 Togo Awadi Abi Egbare +228 224836 [email protected] Tuvalu Fax +688 20178 Poni Faavae [email protected] Vanuatu Fax +678 22310 Johnson Naviti Rarua J. Nelson [email protected] Yémen Mohamed Said El-Mashjary Fax +967 12073 Anwar Abdulaziz Noaman [email protected] Zambie +260 1229410 Aongola Lubinda [email protected] Légende: Usage du français * ** Usage du portugais Usage de l’espagnol Usage de l’anglais 48 UNITAR L ’Institut des Nations Unies pour la Formation et la Recherche (UNITAR) fut créé en 1965. Il jouit du statut d’institut autonome au sein de l’Organisation des Nations Unies afin d’aider celle-ci à atteindre plus efficacement ses objectifs au moyen de la formation et de la recherche. L’UNITAR est administré par un Conseil d’Administration et dirigé par un Directeur Général. Les ressources financières de l’Institut proviennent de contributions volontaires octroyées par les gouvernements, les organisations intergouvernementales, les fondations et autres donateurs non gouvernementaux. L’UNITAR assume les fonctions suivantes: • Concevoir et organiser des programmes de formation à la diplomatie multilatérale et la coopération internationale, destinés aux diplomates accrédités auprès des Nations Unies et aux responsables gouvernementaux nationaux qui, de par leurs fonctions, sont appelés à participer aux activités des Nations Unies. • Préparer et mener une gamme étendue de programmes de formation dans le domaine du développement économique et social; la gestion de l’environnement est devenu le secteur dans lequel l’UNITAR offre le plus grand nombre de formations. • Effectuer des recherches en vue d’améliorer les résultats obtenus en matière de formation pratique et plus particulièrement des travaux sur et pour la formation; la conception d’outils pédagogiques y compris pour la formation à distance (e-learning), les manuels spécialisés, logiciels et vidéos. • Établir et renforcer la coopération avec des centres universitaires et autres institutions d’enseignement spécialisé, en particulier dans le domaine du développement de la recherche sur et pour la formation. UNITAR Palais des Nations CH 1211 Genève 10 Suisse Tel: +(41-22) 917 85 82 Fax: +(41-22) 917 80 47 e-mail: [email protected] Adresse : UNITAR Maison Internationale de l’Environnement Chemin des Anémones 11-13 1229 Châtelaine, Genève Suisse website: http://www.unitar.org DESIGN : ARNOLD GALLARDO Adresse postale :