2003 - Côté Court
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2003 - Côté Court
sur France 2 ceux qui fa s courts vous en parlent histoires courtes les mardis soirs france télévisions 7 ESPLANADE HENRI DE FRANCE PARIS CEDEX 15 TEL. 01 56 22 50 61 c.taudiere@france 2 .fr ~ .. ~ ...,. Ou 28 mars au 6 avril 2003 Le Conseil &énéral de la Seine-Saint-Denis et la ville de Pantin présentent CÔTÉ COURT en Seine-Saint-Denis 12e festival du film court au Ciné 104, Pantin et au~ cinémas : Le Cin' Hoche. Br1p,11old L'Écran, S4.lint-DclliS l' Espace Paul Eluard, St~ins le Jacques Tati, Tren11l'oy pn t ranr~ le Magic Cinéma, flotligny le Méliès, Mo'ltrP.II le Théâtre du Garde-Chasse, l e' ltlas le Trianon, Ronairwi11c 1 Noisy le Sec Avec le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d'Île-de-France -Ministère de la culture et de la communication, de la Région !te-de-France et du Centre National de ta Cinétnatoeraphie Côté court : 104, avenue Jean lolive /93 500 Pantin 1 Métro : Église de Pantin Tél. : +33 1 48 91 24 91 1 Fa~: +33 1 48 44 93 95 Site Internet: www.cotec ourt. org f e-mai 1: cote.court@wanadoo_tr AStan Brakhat • DEPUI S S A C RÉATION, IL Y A PLUS DE DIX ANS, è 1'1n1t1at1ve ANNÉE ENCORE, LA VILLE DE PANTIN EST du Conseil général de la Seine-sa·,nt-Denis, de la vil le de Pantin et dw Ciné 104. le festiVal HEUREUSE D 'A C CUEILLIR AU Côté court en Se1ne-Saint-Oenis s'est 1mposé comme un l 1cu incontournable de découverte CÔTE COURT, QUI a su au f 1l des ans devemr un événement incontournable du CINÉ 1 04 , LE FESTIVAL e1 de valorisation d u cinéma de court métrage. paysage cinématograph ique départemental et national. Il se smgulanse par une d~rectiO'l art1st1que ex1geante. dans le cadre de la compétit ion natio- Loin des logiques stnctement économiques des produ1ts culturels qui n'ont pas l'humain nale et des differentes sections qui le composent. Il rend hommage cette année au cinéma pour objectif ni son développement personnel et son Indépendance ma1s visent à en fa ~re mil 1tant. dont l'actualité est aujourd'hUI d'autant plus manifeste que les tensions soc1ales un simple consommateur. ce fest1val est b1en d~ns l'espnt de l'exception culturel le frança1se s'accentuent. Cet hommage a été conçu dans le cadre d'une collaboration étroite avec l a a laquelle nous sommes très atlachés. m·1ss1on de valonsation du patrimoine cinématographique en Seine-Sa1nt-Den1s créée par l e Outre les f 1lms en compét1tion. 11nous propose cene année une rétrospective du cinema m1l 1tant. Conseil général. Bon festi val à toutes et à tous Le fest1val Côté court est l'un des temps forts de la vie cmémalographique départementale, rythmée par d'autres événements, • Théatnes au c1néma • et • Résonances • à Bob1gny, • Est ce ains1 que les h01T1~.)1ivent? • à Saint-Dems. • Pour éve1l ler les regards • à AtJbervilliers, et les • Rencontrei\i~~~t6graphiques de la Se1ne-Sa1nt·Den's • dans le ré>eau de cinémas ... . public' du départem~fl\ . Je tiens à apporter~ I"*Jd1~ organJ:;.atnce de cette douzième edition du f!!'t1val tous mes vœux de réuss1te 2 CETTE Nathalie Berlu, LE FESTIVAL COTÉ COURT EN SEINE-SAINT-DENIS A ACQUIS CINÉMA DE NOTORIÉTÉ ET RECONNAISSANCE AUPRÈS DES INCONDI - DE TIONNELS DU FILM COURT, en valonsant la d1vNsité des irnages. et en PROPAGANDE, LE CINÉMA MILITANT OFFRE UN TÉMOI- revelant les nouveaux tdlents. L'éclecttsme des modes d'ex~r•ss1on prbents dans la GNAGE INDÉNIABLE SUR L' HISTOIRE DU XX• SIÈCLE, au ce rcndeL-vOciS travers de ses espoirs et désespoirs révolutionnaires, de ses idéologies et dissidences. programmation, l'exigence. la qual1té ella richesse de la selection font de un l 1eu pmilégié de découverte et de promotion du court mC\rage. Le CNC encourage activement ce secteur, véritable v1vier de la créatio" LA L'URGENCE CLANDESTINITÉ, ET DE LA PRÉCARITÉ VOIRE CINÉMA D'AGITATION OU DE MaiS, est-11 un genre à part entière? A-t-il ses chefs-d'œuvre? Peut-il naïlre du désir d'un tiflérn~to cméaste? Peut 11 dépasser ce pour quoi 11 a été pensé? graphique. E.n tDncertation avec les professionnels, 11 a récemment réformé son système Plurielle et pluridiscipi'maire, la danse contemporaine occupe une place un 1que dans le de soutien à la prodLJCI1on et à la d1tfusion afin que les films courts rencontrent le plus rnonde des arts du spectacle. Elle se noumt de tout (poésie, arts plast1ques. théâtre. l~rge public. Je me réjou s de constater le succès de rnanliestations telles que le fest1val cit1éma. cirque ... ) et repousse un peu plus chaque JOur les lim1tes de ses champs d'expé Côté court en Seine Sa'mt Den1s q,, v1ennent ams1 relayer eff1cacement l'act10r des rimentation_ Elle entretient une r elation étroite et parfois orageuse mats plus souvent pouvoirs publ1cs pour permettre une meilleure circLJia\1011 des œuvres. té con de avec 1e théâtre a Jacky Le cinéma lui aussi repousse chaque jour un peu plus ses frontières, en témoignent le Evrard, Délégué généra\ du Festi<al, Président de la Maison du film court. et à son équipe. renouveau du cinéma d1t expérimental avec une nouvelle génération de cinéastes radicau~ Je tiens à renouveler mon sout1en. mes vœux de succès et mes remerciements David Kessler, et indépendants, et la persistance d'aînés tOUJOUrs plus 111transigeants malgré des difficultés de production inchangées. Ce cinéma Inclassable prouve que le 7' art est loin d'avoir épuisé ses potentialités créatives. Arnold Pasquier et Thomas Draschan tracent chacun un sillon de cinéma très perso11nel, où la démarche prime sur le résultat, ou la recherche est prépondérante et dont les films se situent justement à la l1sière du c1néma. de la VIdéo et des arU plastiques. Françoise Lebrun, Jacky E"rard, l-'rF~ rl~·~t~. Ut:!~~t1i: t:r.ru:'f~ 1 3 TIRAGE- PROJECTION ... Sommaire V'l ~ :::l 0 u c: ~ N 0 0 N 4 14 COMPET1T10N VmRI-i:i nq films et sept p•ox d&ernés par t·o s jurys cl J,ldr 1(· ;Jubhr.. 20 PANORAMA ~ n l'j .• ;::•r~ progrf!mn,es. Pt •.: .. gt 'ïlm"i. un ;, pe"ç"" :1e lrl prut.J ...~.:llPi rAr.PntF': rh. court métrëlge 26 28 MANIFESTE: EXPÉRIMENTAL r C'EST PAS MON "GENRE" ! FOCUS Soll,cti.-.n 34 t='r(jncc pr- lntPrn~tionale c•néma n ffe.·~nt FILMER LA DANSE r!.HI'it.' d P•{•t11"~ 1tj!l : 38 LA FOLLE NUIT DU COURT Oc 1, , IJ .• ëtl• dP.I ;mtrp a la ·pnccntre. r.u (JU:l~ de,.. partagé avec ~.-l :-:...nq.P t:•lé. \C" bdÎ~t·r-;. ~~)$ ~ti!~C:. d iSputes. au Cnute Pt 44 a ~ sépa ra~IOI"". ECRAN DES ENFANTS M ... ~ !\ll1 1 m1~;,• rlr! l'cPuvm r:e G~,~g~~re Solo~e·~;tf I'AI~i:ril~ 47 •;., i. P.J\H' '\ LES UGRAINEURS Des f'ili'J'S nHitr.m\~ ~r v• t.:CJIIl•::l'lt rl-;~;-o·int i ' fM il1ÎI\!ti'S 49 Militante 1engagement UNE RETROSPECTIVE OU CINtMA MILITAHT EH FRANCE (1 9 13 1 20021 lmdQ:ts rc::;'eS. 1~ ÇIUS S:J ... le ..l produi~P.:~ t!l d H... ëc'l N t m;~rgf• û "'Y"If'Uh'. Dr.s r rT'IS a ~re}cPccuvrir dep....,s le r1P.hut tl .. 20' 'ii!l-ll' jll'\( )ll'it ;.J IIIf urcrhuî. 70 CONTACTS RtTROSPECTIVE 71 EXPOSITION DU COLLECTIF TENDANCE FLOUE 72 TABLES ROHDES Oe4! _.!tes anti:.::J1::J• a L'" aiJx f utle~ n..\i'JI•t(•<:.. De '2ge bma:Jul! du 74 cmc~mrt , .. 'ta,..l d ~011 ~e:r 01· nt-P !'l:ls•~o- •..-re~> CONFRONTATION Deux clnéa st,':loo; r. ur mëreo~"' t c:trts graptliqu(.!~ cl (Hl~ IJl~';l lqu<:'i 75 THOMAS DRASCHAN 79 ARNOLD PASQUIER 85 LECTURES DE SCtNARIOS 89 LA CRtATION SONORE ET LA MUSIQUE DE FILM 91 LE FILM ANNONCE 93 INDEX DES FILMS 9' L'tQUIPE DU FESTIVAL ;J 1.1 ~ph~rP trlrnrr. ur.. L AUREATS 2002 , , de eauche.! dtnile. Darielle Tillon 1 Sarah Petit 1 Y3tem Gaudrssart 1 Estelle Larrivaz 1 Michel Klein 1 Valérie Mréjen Sélection Prix du public Grand Prix Coté court Prix de la presse Mes insomnies de Valér Je m'appelle de Stéph.lne UmJdJr<ln e G<!u()r•:.arl Jury professionnel La Délaite du rouge -gorge de V~l<'ro<> Mrejen Prix spécial du JUry Ala vitesse d'un cheval au galop de DMiellc Ttlon Palmarès 2002 Mention du jury de la presse L'Arpenteur c1 P. Sm<1h Pelrt et Mrchel Klcm Élisabeth Depardieu, :o,.,ed , ~nne. rJirectrrc" "~·''IQ ..e rnmP.rgence Romain Goupil , r r.alr>:;ter.r Luc Moulle!, rcolr>~tcur Sylvie Pras, r es ~O 'I>dl;l c ç,..ërrru du Certre C.eorgt>s Pompidou Emmanuel Schlumberge r, proOlH:te•H Menti on du jury Mes insomnies d~ V~h~r1e G~: Jr.:~~:;dr l Prix du G.N.C.R . Angèle de Franço se ToJr'l1e·r Prix d'interprétation féminine Nathalie Boutefeu H\~or·Hll c~ .. Jurys 2002 n~ns • Mes de Vdlëm~ G,:IUd iSS<'! rt Jury presse Hugo Bélit, Brel Valérie Cadet, le Murrrk Coup de cœur SFX La Petite Cérémonie dl: Beneclrc:tf! Pagnol Christophe Chauvi lie, RqJ<!r•if~> Jean-Sébastien Chauvin, Les CJ.~rer> r1uCmP.m..J Prix d'interprétation masculine Marc Voinchet, Fr;ln.cf! ,-u!tur~ Hovnatan Avédikian dars • L ArpP.r ter.r • c1P. Sarah Petri el Jury Prix Beaumarchais M"'IP. KIP.in Scénarios Mention spéciale d'interprétation Marine Mandrila d Célestin Sou brier d a~; • l a V~rrte • de ~énédrc lc Béatrice De Mondenard, Synu;J>r> Hélène Vayssières, l.• SeiJIIAtl<' Prix Beaumarchais Petite lumière c1P Alain G011r> ~ft·'l~t Prix du meilleur scéna rio Prix de la jeunesse de l'atelier d'écriture Notre père de: E>l<!lli! L;Jrriva? Mention du jury jeune 6 Je m'appelle d( Skp'r•r•c Elrr·~d!wr La Goune ~" Err11I1P. r..yrm UNE ENCYCLOPÉDIE DU COURT MÉTRAGE FRANÇAIS Parent pauvre des h1Sto1res offiCielles du c1néma, le court metrage n'en EXTR AIT DU SOMMAI RE: ex1ste pas mo1ns depu1s le dèbut du sep\lème art. Cette encyclopédie veut contribuer a ri! parer une injust•r.e en meltlnt ~ JOUr un conbnent trop SOli- AFCA, les Affaires publiques. Afnque existe. Animation, Argos, Aubervilliers. Blue Jean. Bobines, Patrick Bokanowskt, Bonnes Causes. Walerian vent oubl•e quand Id nt d'autres ouvrages de c1néma ressassent des sujets Borowczyk, Pierre Braun berger, les Canuts, Censure, Film déJa largement rebaltLIS. Porter ce regard sur ce monde parallèle. c'est ouvrir 11ne brèche par laquelle s'engouffre un champ au~ richesses sousestimées. La palette de ce secteur es.t autrement plus vas.te et ~us ht.>re que ce que pe11t proposer l'h1sto~re du long métrJge. Les. catégories les ~us classiques [f1ction. dOCIJmenta~re, an1mationJ se révèle11t protéiformes. Se 50. Alexandre Alexeieff, Al2er l a Bl anche, Guerre d'Algérie, l'Amour à chute. Cmë-L1berté. C1néma pur. Cmémathèques, Cinématon, Clip, Jean Cocteau, Ëm1le Cohl, Jacques Colombat, Cinéma colonial, Films de commande. Commune, Du court au long, le Cyclope de la mer, Diffusion, Documentaire, Marguerite Duras, Serge Elissa Ide, Emilie Müller, Enlr'acte, Essai, Ethnographie, Etna, Jean Eustache, Expérimental, Faux Documentaire, Film d'Art. Peter Fol des. Georges franju, GREC, Jean-luc Godard, Gradiva, Graphyty. Jean GrémHion, Paul Grimault, Groupe des Trente, Marcel Hanoun, Images f1xes, lskra, Jeux de plage, Jofroi .. pencher sur le court mélrage. c·e:.t rappeler que le cinéma est irrigué de la sève expérimentale. se nourrit des sciences et de tous les arts. qu'1l peut êtr~ essai. poème. t1lm ethnographique. bande amaletn, porno p1rate présenté dans. les bordels. faux documentaire, f11m de propagande. cinéma engagê, films sur lartet hten d'autres ch<»es encore Ëclairer par ce bOI•s la carrère de certa•ns c.néa~tes apporte, sv leur c1néma. un autre poont de vue. néghgè de la plupart des monograph•es. Élire certa1n~ films courts redess1ne auss1 un autre territoire, au sein duquel émergent des trésors oubhl!s, des hlms. ovn•. en un mot de véritables œuvre~ Insoupçonnées. Ou'e~t-ce qu'un court métrage ? On Yerra qu'en tentant <le répon<lre Il cette quest•on Simple, 011 est amené <i dar" de; contrées mal balisées, cinéma, sur les Cinéma>. ~ ~ fra~r LES R ÉDA C T EU RS : Raphaèl Bassan. M1rei1Je Beau!teu. Hugo Bélit, Jean-Pierre Bertin-Maghtt, Ntcole Brenez, Gisele Breteau-Skira. ltmi/e Breton. Christophe Chauvil/e, Sylvie De/pech, Karim Ghiyali, Stéphane Kahn, Jacque; Kermabon. luc Lilgier. Thierry Lefebvre, Mane-Claude Loiselle. Nathalte Mary. Rodolphe 0/cése. Tal1i[ui Perron. Mtchel Roudevitc/1, Vmcent Vatrican, Valérie Vtgnaux. Luce V~o. Pascal V1menet, Arnauld V1sinet. él<lrg1r notre champ de vision sur le découvrir de$ be•IJfès inattendues, une histoire [esthét•que. économ1que, JUfldJque ... l QUI autr~ partais précède l'histoi- re officielle du cinéma et q"'· en tout cas, décourage très vite tuute ambi- tion d'ex11aust1v1té. Une encyclopédie du court métrage français veut sur- UNE ENC YCLOPÉDIE D U COURT MÉTR AGE FRANÇ AIS Un ouvrage sous la dJrectior~ de Jacky Evrard et Jacques Kermabon Coproduction : l"estiva/ Côré Court- Yel/ow Now/Côté cinétn<l Nombreuses Illustrations noir & blanc et CO!Jieur. 450 pages- 16,5 x 24.5 cm tout ouvrir les regards ou. pour reprendre la formule de Jean VJgo contri- ISBN 2-87340-181-8 buer à • nous dP.ssiller les yeux •. 30 €- Parution mai 2003 7 8 Ouverture ... J)) Pantin CINÉ-TRACTS LES HALLES LA NAISSANCE RÉALISATION COLLECTIVE 1968-70 1 BËTA SP 1 ARCHIVES N&B 1 MUET 1 2G' 1 ACCOMPAGNEMENT MUSICAL D'ERIC STERENFELD ANONYME 1908 1 35 MM 1 1,33 1 N&B 1 MUET 1 7 FRANÇOIS HU GO Des images belles él €mouvames des 1932 1 35 MM 1 1.37 1 N&B 1 SONORE 1 2' Tan/ô/ re.J.Ii5és par des amateurs. /i3i116t par cit:s ,;.mru}e.'J 70 H<olles Balt,.rd a Parts. d€1wites ,Ju début Vendredr 28 mars. 20h15 DE GLOUGLOU Film d ·~U71tn"1tion publie~wire pour les Vins N1çvlhs c'es c1neastes cliev.ronnéès. ies cine tracts fwenr longtemps (!11/lses pour J'agrt-prop en ma1 68. Ils denoncent f:ln vmç ta soc: j'ete GRIBOUILLE REDEVIENT rk !.:rmsi'Jrllmation: les r:.rime:i des furr:c.'i BOl REAU de l'wJr~. le general C<) Gaulle. IDAS ~~ ClJitwe bollrgeoise. ... et clôture PATHÉ 1912 1 35 MM 1 1.33 1 N&B 1 MUET 1 7' FRAMMENTI ELETTRICI N" 2 VIETNAM YERVANT GIANIKIAN ET ANGELA RICCILUCCHI ITALIE 1 2001 1 BETA SP 1 COUL i N&B 1 9 Cc~ fi/rn "·'t çonstrutl apart1r de films ama/cur.~a tournes par un sold~1t frança1s Un férnol;;;na}?e NOUS TRAVERSONS LA VIOLENCE DU MONDE Studios Pat.he en 1912. avec l'un des i)/'" Dimanche 6 avril. 14h45 fameuxac/e(JI'.> de leooque. Andre Dee<l. Nous trdversons ~J v,•o!ence c1u monde"' CliJi! rJ'atJord 1111 fivre di~ ~)hatugra{Jhlf~."i. Le f1/m est tmc rderrurc de ces imap,es. Cinémathèque française 4. rue ~e Longcl1anp 751 Hi P~ns (LE PONT N'EST PLUS LÀ) re .. ot 53 65 74 74 TSAI MING-LIANG fax : Dl 53 TAIWAN 1 FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 l.BS 1 COUL 1 23' Mart Berthoumieux 6~ 74 65 UNE PROMENADE EN MARNE, UN JOUR D'ÉTE PATHÉ 1913 1 35 MM 1 1.33 1 N&B 1 MUET 1 5' 1 Tél. : 01 cl!yr S!Ji! 1mt! ff~rnme e-m~l qw cherche tJ Gr.dphyly Oii r;m::,olé:ncf!cl'lm r:jf1Ûihf~! JJmvocafl:ur tliÛ ;; gratte frJ pclltcu!c c:ommc d'autres watten/ res murs pour y fa 1sser res traces de leurs obsessions et de leurs 4:~ 3R 99 99 : IT1r'lrc:@he:rthovniP..tx.com Wo~.w.mrl rctlc~r1~1 m .. ., .• ,r: .1x. CtlrT' de la Marne. Une P.f se d1Ve1trr au ls•us des collections de la Cinémat~èque française, les films de ce proa:ramme ont tous été restaurt!.s par ses soins, retrouvant ainsi leur beauté originelle et le chemin des écrans. Venus de France ou d'ailleurs, tous ces films .sont autant de raretês qui révèlent l'i m<~ginaire protéiforme du cinéma de cette époque. Au clëbul c111 J.·x· stëcie 1 les !JLNriers vena1ent se rcposf. r T'a1pet. S!Jiang JEAN-PIERRE BOUYXOU 1969 1 16 MM 1 COUL 1 SONORE 1 21' fantasmes CONTACTS t< Dc·~w;nlliJ giJre c:entra!e de sur fa vie clrJn:. les COLLECTIF TENDANCE FLOUE FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 N&B 1 6' penddnl fa p,ucru~ c:oi,miafe du Vi(.'ffliJm. THE SKYWALK IS GONE ))) Pantin comiqu,~ GRAPHYTY bord r~!lt'"""'" e v!aente a f'(!nivers c''A uguste Renoir. l" ft lm fëmoig11e egalement de /ïmpor/iJriŒ rlu théme cfe i'e<1u dans iê cmema frilnÇilis traverser fa P,rancir~ avt~nu~ maigrè J 1ntense circufaticrr. Un po!fc_·,,y lr~s tJ<rP.tç: P.t feur riP.mande leur carre d s'î.·x~cute. identi/r~. Ces tro~s films seront accompagnés SI,<Jng-r.-t.yi à l'accordéon par Marc Berthoumieux. mais ia femrne œfJ.Jse. en ar;,;;uanl oue r,J passer~lle Qu'e1/e av.Jit 1'tJabiturJe rf'lltiliser" dtsparu. ,~ TH E SKYWALK I S GONE ,rj.J 9 C 1NÉASTES A 1DES DEPUIS 1 993 J t) 1.4urent Athord J D1d1ef Bivel J Bruno BonUolaKis J Laurent Cantet J Castella ) Yves Cau11111n J la1da Ghorab-Volta J Delphine Gleize J Philippe Ha rel J Joan-Baphste Huber J Thierry Jousse J lacq••• Maillot J Masson ) Orso Miret J Ain ès Obad1a ) Françoi s Ozon J Philippe Ramos J Alain Raou st J AI•Jandra Rojo J Marie Vermillard ) Erick Zonca Aides et prix Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis a soUleno depuis dix ans les cinéasles lauréats el mentionnés pouvaient être soutenus financièrement pour un nouveau projet de réalisation de court métrage ou de Il est cour ·espr; d"> li"ux llC> vilgilhond~g" que 111! COr'ltfiiiSI"Ie•'! :'li IC ~Crrip~. 'IIIE S rer.elte'l. n1·rê·re la n~œssité de ~rou 1er rf:g1 :Ill~. pm If' IH"'' SOUt1e11 développement de long métrage. Cette procédure de soutien à la création cinématographique a été quelque dl(1'r. . Il e>t nes P.t.x QU• ne v vc·1\ sin~=:ul1crs remise en cause par la Préfecture de Seine-Saint-Denis au mois de décembre 2001, au motif que le que 1fC:coutcs cl Conseil2énéral n'était pas autorisé à attribuer des subventions à des sociétés privées de production et ···u.,~"Mil1té fe nt bor' më~~rJ~r.. r:iJ l'nrl ,P cinématographique. Le retard pris dans ce contexte pour l'attribution des subventions concernant les s'arrête QJ.Vl instant pour 'l ' c.Jx cinéastes lauréats et mentionnés des éditions 2000, 2001 et 2002 du festival Côté court sera régularisé Ces ltet..< ont la dèiiCd!esse dt! ne.~~- voth dans le cadre d'une convention cadre passée entre le Conseil aénéral et la Préfecture de Seine-SaintDenis. Cette convention n'est aujourd'hui toujours pas validée par les ser\lices de l'Etat. La comple~ité de mise en œuvre de ce dispositif, redéfini par une circulaire élaborée par le Ministère de la Cullure prcpusc dèroutc, :JI\.:.orc P.~ .•. et le Centre national de la cinématographie en mai 2002 incite le Département à redéfinir prochainement son mode d'intervention en laveur de la création cinématographique. A • Bedu•.,Jrchais. • 0..1 nous !.UL!ernnç. l ~... Seine-Saint-Denis ___ ...., Département de la cor..sE L Gt"''i:fl.t.. 1 ck Vlbrllt lnns. O~J l'cwr.la~e Emergence LE Gr·:JUP€'~"1ent N~Hion~l rJe~ C 1C 1 1''"~ tJ c! ~eçlw1cl1e :.:ir,C rliJ~ '€dère des S<~lles cars 10~1\~s le> adeS f1lrn s_ c:Qr~L•tP. il l'm1RJne ;1(1r S~mdiJm:c rt IJne rë•Jexton cc ecfr-1c. en -r-uuvcm\!fll. 1 a ,f:, ·P.xpé·H~l"'ce du ln!l.ft!utr.:::k Robf.rt Hedtcrr.J ~t pJnau'ée pJr GérarJ r.:t rm\liJtt-!IJrS. ;] dMenc;P df'S inlqx!llthmh. I;J lnspin:~: DeP"•ll•co~ ,.,f J<J<:k t r'l erge11ce est Jne a>soci~\iorHlmlt le but ~si ~e perr1ettre ii ~ept c:~' t1uit jc•ur1cs n~aliSi.l ,f!IJr~. fr,mçf'ùs et P.trrmgE!rs. d'érJrOLtver r.e réglons d1rerent es. meMbres du ku• proJet de ~""''.'"'lo ng "'"''"ge. Emergence est ~w.anltoullJtl l ic14 forr.e r il re-;t~r... eroupement ;,ttnbuera ùn prut,, Vl CV d apprent•ss.Jge. ur laboratoire Le court ndr,JI(C Cr' ~>1 un. OJ• ellleurc. çlu>icur> 'IIMs<n r.ompelill,n. Ce(\J I Ilml~) propos1t1ons. C'est aussi Jn ec de Pil>i!XJY.C ldurcdH>l "''~(m•:l P"~'ent~(:;l ~a"' IP. r..>r.·• P.~ du d•spos1t11 Une heure :u~\ cwrt • en des tcchmci"n~ btnevo!P.s q .te des acteur<.> ctaque annee une d•zaine de l ur·p,~ partenariat a.ec l'f\genc<: ~ J cu urt rndrd~C t:è::lèi.Jrc:,. UU i n CUPliU':i. mP.trrlgr.s. elu 1t> t1o1,raine de c:o~.t~b Celte ~ ·Ill.~ 0'1 r.ans un réseau de salles f dc.e rndr.,~otc!.. ildherP.nt"" ".r GI\C~ !avor se la decouverte FTer~enc.e O*te" '1Si un lteu c.JC nous ~1-;o ,s >or·wte> ttcur<.>ux dr. p,J<;~t:H rherch~ '"Ose. tout cel,~ et r1ous p.1r1~ger t1epu•s q LielQues iH'"1éc~ nc1·c: ronv1<:fi:1n ;wF-r. les respors~otes d ~l re>!IVJI Cô:c~ A.,.~oôfJtWP 10 GNCR Association Beaumarchais ' L..t,tia Aides Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis dans le cadre de la compétition française du festival Côté court en Sei ne-Saint-Denis. Ces cinéastes ChariO$ Reavrnarchats murt. 1e JU'Y GNCR comp osé d~ ~JJ:•c c x~lu1t•·•t> ~ 'ltl<:~,; c~ r1P. hr..l~l:\()gP. :11. f n'l retrouve a u~sr OIC' I al'espri! de Ct>~IP<!!(HOIIrl<li(<!. er Sùrlgenre â lOL~ tk IC::L.'lC~ a\J,eurs et. r:ror;tc-P ;]Ul< ~(:t"l~ rCP.S tr~rt)mss1on ~: déllcib ~vf.!'c llt~~ n~al l!'-<Jt(~IJrs m1 cr ~n.Jr.s. . rf!I J:< rl:mt IP. désir P.St t1e croi5er les e e peHnet ~ at}'I=/IQ.Je de de~ œuvrf.!'~ rer~or 1 !rE::" Lmiq Lte "'~'"~""'" "" nlus m ultiples. U11 espace de l'dl/a ct de VIE! ciJ ~e: mf!t;mgP.nt e: C:Jnvcrj.!cnt lt!~ ï-:efl~~rdtions 1:t f:os mP.tiP. PS. J 1 IJis me Rallv. 75009 P,1ris GNCR Tr!l: 0140:?3 4580 55. _.,..-" ---·- i fel: 01 428294 06 lUC tf L'le.! Uu·ec un ouol1\.:. nur'·:dvt::•lt. r!e Ch..~l!~a~ufun. 7:J009 Pmt:s. ne conl;;cl@eme,genœ. lm. fr N'\IVW. c!mergenc:e. tm. fr Prix du jury de la presse Dio~crn~ ~d r ur\ j ury de la pres~e. daté par ari'P Cri:è COtllt!l600 € au réal•sJt eJr] et oar LTC 11600 € de prest~t•ans l ~bor~t,, re). PriX de la jeunesse [~~rnP. Pil" un jurt c u m~é tJc ncu( jë.Jres du cCpi.rlcmcfll ~~es de 16 Prix la Jetme~~e Grand pri~ 2< a ·1s. le ConsP.rl gP.r,l\•<'11de 1• ~~d es .J. .. Spor1s ete la SP.<ne·Salnt- p•· Côté court OP.çP.rrP. par un.<~') de pro'•"sionnel>. do·c pa• ~ P"''•" ë ~ar la D11ect•~n départementale de Seme·S~ "1· Dc111> 11600€ ;Ju r(!.JIIS<Jtcur). p~r KUCJk 13 000 € er• pell"ulcl cl TechnovislOn ( 1 600 € en locatior• de materiel ~e tav•l'age carnera 3!:>mrr) Den•s 11 bOO € au rP.a'·"'~"'•' l P.l nnti! C<ninter ( 1 900 € r.n or.al•o-.. de ma tc·tc ci'P.r.larr.>&E!}. Prix du Groupement National des Cinémas de Recherch e Décerne par 'e GNC~ a <Hl o.• nlu<iellls fJi!T'> • en comp<>tr:•on. C:P.{s} frlml~i laurl'>,1t(sJ sera(nniJ :>r~scn'e[s) dan> le c.>drc du Prix spécial du jury Dêc:cmc p~r ur- llJry dE~ prolc~~~Œ H'I.!b. dutè par la V r~ d• "antirl ( 1600 € au réal•sateurl et P<l' LVT 1~ 600 € ~e presta\lan~ sous t•lr~g<>l. Dét.:~rr"lês pc.H t..'lf ..ltY ck ~r:.Jfcs.s.lo:.mru~h . Côté cct.rt (7 50 E chacun]. Prix du public O~cn• c par un vntP. ~ .. puhtrc. dolo> ;:>or Côt~ cou•\ .. Une heure lout t.:OlJ'1>~ en ~Jr:cr•.r 2: •vcc 1 ~gence du court r'1étr.lge 1.!\U !UBTII.I~G Prix Emergence 1 Côté court Ce nrix. :lPrrT'P.t nu laurêflt, A 'O('r.ac.,ton de Prix d'interprétation féminine et masculine doté~ par d 1 s.pos.1~'1 11600 € au r~dlio;,11P.I,rt e~ '"" Crnrntr" (1900 € e•llocull<lfl de rr dlc;·rr.l ,r.,c:l.mu~c]. ~wn ~rnJet ~e pre n iN long rrctrdY.C. d'ê'n: CdrHJI<JJt f 'ld\"tc lo" d 'une OrOd•~ne sc~'li un Emcr~t.t.:n.:c. Prix du meilleur scénario Oans le c.adre des leclurt'S dP ~r.•r~ nn\ Pilrr~ mi\e' par A~e . B"almMrc~a • s ((J ~mr~r,,:rnwl~ Dnlt par 'A>soctiltiOII 11 700 €] cl ~ar Syr•op' ~ dt.: deux. Jn~,à la revue}. 'c :;cc·••''" IJureal 'era egal~ ,e·l t ed•té cr' llgn~ pdr Ar~e sr...r WNW.arte tv.c:om r 11 1\) 1\.) 0 0 1\.) tt) ::::s n 0 c ~ r+ - ·...,~I~ÉTI~ll Il~ "'n 0 DEKORS 3 - "C R~~ER DERRIERE LES VOlETS -- t'tl• ~ 0 - :::s APRlS w BOUCHE A BOUCHE ""C D) :::s 0 ""'f D) 3 D) AOUI Y AHORA l'AOIE U AU PIRATE POUR SA 12• ÉDITION, LE FESTIVAL COTÉ COURT A SÉLECTIONNÉ 25 FILMS POUR LA COMPÉTITION NATIONALE PARMI 350 FILMS VISIONNÉS. CETTE SÉLECTION EST LE FRUIT D 'UN LONG TRAVAIL QUI NE VA PAS SANS HEURTS, NI TIRAILLEMENTS, CAR QUI D IT SÉLECTION DIT CHOIX. N o u s attendons d'un film qu'il nous étonne et nous ravisse par des instants de pur cinéma des chemins non balisés. La mise en scène par le travai l avec les acteurs, le choix des cadres, où en totale indépendance et comme en apesanteur, qu'il nous suspende à ses lma&;es. Le film la justesse des plans el des du rées r évèle plutôt prend corps quand le cinéaste accepte d'être lui-même surpris par ce qui naît devant ses yeux. cinéma, lieu du mystère et de l'expérience, révèle mieux que tout autre art la face cachée du Au-delà des genres abordés, des sujets traités, les films de la sélection sont liés les uns aux mon de et des êtres. qu · e~plique et suggère plutôt qu'expose. Le autres par des relations subtiles dans leurs démarches cinématographiques respectives. Les Cene sélection est comme chaque année accompagnée d'un panorama de 20 films. Ce panorama cinéastes de ces films ont privilégié une écriture cinématographique singulière qui tend à n'est en aucun cas constitué des •recalés• de la sélection mais vise plutôt à la compléter, à l'enrichir s'affranchir du carcan du scénario, qui prend des risques avec le récit et nous entraîne sur et à donner un reflet de ta production des films de l'année. J~r;ky ·.~ ~~ ...... "' rV.J ~ "' m Ji". :.. 8 ~ 'W z ~ )} ~ $ ~ ;;: z ~ 0: ..g : ~ :l "' 0 !1:0 ~ ~ z z "'u z " ~,2 .. a ~ : i ~ .,. ;;: ~ > ~ z ~ ::l ."'~ .. ~ œ ii ~ 8 u ~ ~ ::; :l ::: ))) 3 :! ::: ... œ ...a § a ~ .. ~ .. ~ œ )J)4 l:: = ~ ~ ;:; ;;; ::: ... " ~ !!; evrard Pantin RËVER APRÈS Samed • 29 JUAN PITTALUGA 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 9' ANGELO CIANCI 2002 1 35 MM 1 1.8 5 1 COU L 1 37' Réalisation, scénario : Jva•• f'ottaluga Réalisation : Angelo C•:J••c cir. ArtMPOIJ. m~r~ Lund• 31 mars à L4h a 20h15 Jeudl 3 avril à 18 h 121 rue rl'Ahouklf. 75002 Samed• 5 avril à 22h15 p.,,,, e-r!IJ 1 : .u~n. po!fa [email protected] Production : L'~' F1tms du RJ! 3i.>. rue de Punlf"'"'· 7~ClOa f'JfiS TP.I. : Cll ~6 59 93 61/ rax: 01 4/ ~,gg 01 lmare : N1c.o a> Le GJI Son : P<Jtrirk Genet. Charles e-11~il : kiHcprodur.t.ons@war,Jduu Ir DEHORS Montage : M•rine H[liER CISTERNE 2002 1 35 MM 1 1. 65 1 COUL 1 28' Interprétation : Jul1" GayP.t. Réalisation, scénario : .!Jst•n Taurand ?4. 1~1hau!t de Mon :Jiombcrt 3, rL. e 1éon Dcl1·urr" r'" ' 750b f' ar•s T1\l. : Ol 48 28 89 03 Tél.: 01 4:? 25 30 27' BPnveni~!~ Filmoaraphie : Pre11ie• f1lrn Réalisation, scénario : Hé oc• Ct>lern" <:-r~;lll 229. ru e MarractP' . 15018 PJr ~ Tel : 01 42 26 41 .:1~ Production : Le G R.E.C 14. rue AlexJildrc P~rc.! • . 750:0 Paris D;,ns LJrt salan. u" l mrnrne r.:1conte : TP.. : 0 1 4·1 89 99 95 f [iJX : ()1 44 8'199 94 Son p,c~s lc ,1 lui n f.!t,JJ t-rJ pas pr"v" d;; ns Image : P•erre Weité le Son : Florl!ol Ktn<:kenbring , Malh1cu Oci~~IRr"' Montage : Thoma> Marcn•nc Interprétation : M~l(uy. Hugo. Go. y el H éh~ · C sterne, M c~e Cubur1. Bem;mt.l" '·~ · ' "'· Jr.an-M;,rie S~mille. _Llten M 1ruu Filmorraphie : f'rernier l llrn p.f so.-1 fi1s P1erre dans urw rrt,Jisorl t.'>oiee rw n11lreu d?.s bolS. Url jcur. urt llltï)(lfliJ ;Jrri v(! el demandé qu 'on fe c,Jctw. i 'fy;f,,rrt. s~ut. tloit prendre une d2cis ion. O..·hm~. les gendtJrmr:~ mer.ent une s.. femme qui dort !ldll~ f-r chaml:v~ a côw se reverlle el vi~nr lui dir<: '':r: caucrtemar. L'Jwrnmt! la r;.:ssure èt Id r~cil rJrru~rw au r'" r~vc >QIJi im :te q,, ? rrr. : f' r1~il bJ~ue. (~ KI~ us L!·r'1al1 : r a~ : !ïl P.u~..~r.re~hotmad 8 1 53/~-~ 9 1 ccm Montage : tl<rrbarJ 8dscou ' fax : Ul ·! 9 23 9-t 77 : ve nd~tl a'llr'l')tJl"otm()ll. (Qr'l Image : ,,,e. d~ Pemhièvrc. 75008 P~ns Son : Lucien Bd bar 6, •uC DCSiliR'"" T~ll Pars f él · 01 49 23 94 Sacrebleu Produdon• lmar e : Frl! dc••r. ServP. j usllnt~ urand @y• huo.f r Production : Vende:ta f1IM> Interprétation : Gerad•ne Pailh•:.. Enr. Savill, .~ré my S1lhon Filmographie : Mn' qlMf'P. M~ro1ére; vul""'"' f JXj<I(CI l. L"' V1e cx ,ùur:; Son : Laurent Sclwartt 11998l. Le Ca:u· nd Ci m Montage : Mc;rg•nne Sp.1CJ61ld 1!9991. Sens ~~S~J:. dt>ssous : la Interprétation : J '''" lluçi'Js. Man~ R•v•. Rcm1 Bresson noire (t'OOI) Dans r;r, v!N,Jgt~ corse. ~nt à Cesdr: uri sor1 pelll garçon de c::nq '"" a/leim d 'une dt:lolc:~r:t:nt. Alwc•. A •otS q uè ses parenl!i :.; pla;w r/ 1rmlriiine dans tme mar:>an ~1uee povr 1i!te. A dt:f,rur cff' pauvorr se i)çJflfY: •ls font l'amour. ~e t-~our MJntl, fJ vic. tourne autovr d~ L.rwrenl. Filmographie : Frcn1cr f1lr~ r~nc:,:.ntrc M1c/1el. ouvner awicule!. VIl <rvec sa femme 14 M1c ~aurt DERRIÈRE LES VOLETS JUSTINTAURIINO 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU L 1 25' 222. r ~r. elu fbg Sa'": !kro" 75010 Paris Tet. 1 ~~~ : 01 4€: U f l:!7 74 Scénario ~ Stêp~1.u1r. Krl7tmr_,,,ar' Co-production : K• re; f'rod uf.l1ons 45-~~. 'l.e de la Mar~ . 75020 P~ris TL~ . : 0~ 58 ~3 ~~ 00 1 tax : 01 59 53 ~~li:> malformation de na1ssann: lir~e nvrl. r a uren! dec~e. Pourtant le lc:f"clemam. f a r;renl esllou;ours wvant .. L'ADIEU AU PIRATE Pantin SIMON LECLÈRE 2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 25' Lundi 31 mar> a 22h15 Vendredi 4 avril Réalisation, scénario : Sn'1Qn 1er.lere a lSh :o brs. 'l.e des ~n"' fl"t,;. 4~000 OriP.""" : ç, ·rn.,, ~-"r,~ Samedi 5 avr1l il 20h15 •~r.lcrt-:rë_.(~ltcm;Ro-procLt.:om Production: A :tor E;:u PrudKI o·r 283. r JO de> Mur "1>. 4~000 Orléd"S LA CHATTE ANDALOUSE GERALD HU STACHE-MATHI EU 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 48' BOUCHE À BOUCHE AQUI Y AHORA T~~ :ta x : 02 38 70 D9 38 Réalisation, scénario : G.,r,Jicl ALEXANDRA LECLÈRE 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 7 fRANCISCO LOPEZ BALLO email: in•.J:ija !e~"ego prod.('.O.,, H lJ iftKtH~-MiJthic u 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 17' Image : Mati' as Ho7pendow>ki 8 Son : Fr~ni'r\c D•\10. Fn<d<:rrc B " " 94:20 Fcntenay Montage : Ctr~·llc ~~jo e Interprétation : Michael Hal oJ·rr. Sm1on Production : DhMofTl'<JiiJ Réalisation, scénario: J\le<an:lr~. lec:h~r~ Réalisation, scénario: F·ancism Lopez l>allc llO. •.:.lu Rerces. t:.l)06 P;o·rs Tél : 1! 1 4q ~ l hO 4~ ? r Je cie rna1,: .=!IP.XlJ'1:1rrt·lr::~~!m'ft!wi)l~t1:1oo.fr Co-production : Le; IJirn; Zcr' 33, rtH~ 93210 "" P/c;,ne Sd>nl Den•s IPatl : r.:r·nt.:lrf@ ~s.tilrnsrP.n.r.ni"T"' IC I 3 1.3. ·t.f. Yvf.'~\ Tc>~J\~tc. m.: 01 ~.:-n'i.1 : 750l:J P•.H~~ 44 52 55 90! tax: Dl 44 52 56 91 lt:cJ@fr~~.fr Image: Lac~renl DariiJ1d Son : Nic.G 1 a~ P'I:''-'05t Montage : !l'ath ride r:or.< •r 1nte rprétati on : Arc~X<-l r1dr:J V;~ rJCc•ttou\. -1-:'ilt\rH: F::~Jbcrl Filmographie : Prcrr·•cr Frlr•r Lou1Se vie:1t rendre v;:;;,fe ;j Sd ~c~u; M~Hiinc: QUI na bite rc-~rJ;;. LLD. boul~va•d Rocl1echouMt 75018 Paris Production: 1a ~~l'li s fc.fi! ;.; 1.'fJc' gmn(}C! tlfJI~V~~rt(~ Ma~n~1y r.-'l'l(lll : '.lcsafl,d?.:ft.:r·li'l.fr SeYg,~. ~"un dan~ l~me (l'l'l'l) 25 an"i. !:O.st rJt.' mtour le. temps week -end dans la petite v.Jie qui la Il y retrouve Rrcllard. un amt Image : J..rlicr Dudle>·le Son~ Scbastie~ P1erre. ~rP.rJÇ:n("'jue Hcmm:h liLJ granL1ir: Montage : Sm'OI1.,3Çfl'-"~ 1nte rprétation : JRroo mo Bor,:. Mu ·11c:a JO ans. Rich'arct n:a/(nnaisrzwrté t,J vrlN:. li r.·.-:·1 au;nurd'h11i crii(J/oye mwJicit.Jd/. JMOS7. h~~P.~"lC:hJE~ Ht::~mit.:''' mari<' cl ororc dün~ petite fille. Un tossé Filmographie : U''" lror"'lpette podr H~mon 1200:1 Un homme E'SSiJiE! rie ri'lrouver son chemin pour aff(.:r iJ MonlpdlitY. Sllr fa ''üllte. '' rt:nu'ntre 1mr~ ft!ic qw iw fera retar::!er sem parrours. d·enf,~nce '1'3 dt.:) Cdrnères SOLJS Bo.,s : gahteo~noo~Jr 1.1-1~. r.IP. G;1~tcm L.;.lluJ::t•~.::. Filmographie: la Mort 6. 'Le ~rancoeiJr. r~nu~ Pfm~ lél.: O: ~~41 21 lGi 'ilx: 015341 O?!lO PruJll'tu•t, -e. : Dl ~9 Il bi 60: ta x: Dl 4'1 11 6!J 4~ ~ '~elu!. b1~. ru~ qu'il n·a plus cro1se depu.s s ·esr creusé entre eu.x. Malgré eux. !}2210 S• •ri-C ~v~ Tél. : 01 41 12 20 ~ l ! ta x : 0~ 41 1~ 7() 4/ c-moil: d~laram>ala@dharam>ala.tr Image: Aurélieo Deva1rx Son : Pierrf!- Anc1rf!. 'r':)(Jrl Du rna~ Montage : Fmnçor:, QJrque•c Interprétation: Süp~lic Quinto11, Bra1ca Li. Cedric Grnro 1, Clér11ence Filmographie: M~ssart LTnre~istreur (!()93; PoJbelles i 19%). PP.". r1e v•r.he. !20CX1} Swu• Arrf(éle eslwle jeunE rEiigteuse rfj peme virlF."'l el un ans. Le man11 matin, elle vend, sur la place du m2rche. le m1el rms en oot par sa t-omrm mauté : [cs 1( Petrtes Sœurs de 1<1 Courmrno' r!E(Jirl,.\. •. r>ws. l'aorr·'s-midl. crJ .~r.·cr'CI; elle rejou1t tf.'l/(.'lHIC hmnmc dans un bungalow rfu tJ&ra d•' rn er.. . cd' sœ,Jr 1\ngele a etes pra tiQues pas lrès ::rllhcliq I!SS . 15 )JI Pantin SEULE MAMAN A LES JULIA ET LES HOMMES Samedi 29 mars tl L8h YEUX BLEUS Mardr L avril à 22h15 ERIC FORESTIER 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 29' THIERRY JOUSSE 2003 1 3~ MM 1 1.85 1 COUL 1 32' Vendredr 4 ~vril a 20h L5 Samed1 5 avril à 18h Réalisation, scénario : Réalisation : Erir. Forf!C\trer 2. place Ac.olph., Mox. 7500'l P~r.s 1él. ' 01 49 95 97 17 Production : Le> Frlm> Scénario: M2"d An·ehr·e 40. t~Je de Parad1s. 750!0 Pan~ Production : la F er1is Tél.: lll 55 03% &, rue F•iJrKoerJr. i~0;8 Paf1s Td:Ol5341211G;fax:Ul e mail : l.lc,,lgc@kll~S.fr ~3-110280 Image : P,ltricia Alarrd"io Son : 1oie Pornrniè~. N1c.:ula~ B~nNct Interprétation : V~lerie Llréville, D~nièl'~ Do ~JI21 . .IP.~n-IJt:~rn1er Harbin. Sébastien P<y•·• Filmographie: PETITE LUMIÈRE ALAIN GOMIS 20G2 1 3~ MM 1 1.85 1 COUL 1 15· L~gc !er·~re !2001) Ld au:re rie PiP.rre. (111 enfant de seot ans. est de re/our r:hrY elle aprés w1e breve Réalîsatîon : A~a1n Go1"'1i~ LAURENT PERREAU 2002 1 3S MM 1 1.85 1 COUL 1 22' Image : 0 v cr Ch;n~·lhon Rêalîsatîon : LtJ.Jrr.,..~ Pl':'rrP.~u L:~urer1t Production: Mrll<: d tmP. Pmd.Jcf o~s Production : 4 A a 42. rlJP. Tel.: Ul 47 70•14 7Qtf~': 0147 70-14 li Image : A1~pén~, Dt~vd ux Son: Alroune Moow. Bnmc rlP.rla·d Pcrwau. ~~~ F.11.~owg ril~rJr.P. Hrc;lJin Tel. : Dl 53 36 n 88 r fax : lll 53 36 73 64 En ln~ r t.nf~ c:onvr-:r~atio:T .'-;LJr 1.:; seduction e l"'lait: quc.J~r0.=.HllJrltm@yt)hOo.tr et des mornents de sa vic~ intime. Jutta ta~e Image : Pénélope Peu rrliJt J t'amour et ases contrad1clmns. Son : N co as W"clikow>ki Montage : FatJrice RoL.aLJd Montage: 'iat11al'e ll11bert, Frd'IC< Lilkilctle. Interprétation: M ç~z Lescot. 1\le<ilndrü ie méme prënom, les méme5 vêtements 1~ ~ron Ndr~ye ·Doss "· t,wd ML"'Y". qur! ~a mère. n1.c11s c ·esr manifesrenlent r.o,Jmt'lrJ Di(jrl.::JnkrJ. Filmographie: O~"''~ ~-~~~" photogrzr-~e une m.t!rt! fnmme. Pourquoi Pi?.rrt2 est.=! Filmographie : Tout le< monde pee: se !1~198} re seul ,j s'cr1 n~nr!m :ro~·~cr 1\n~t:JcL Ar:;~ttu~ DmnrP.. Sabine H.J\.lGt~~ir 119981, Tü1Jrb1llons !19\l\J). P,wl. 25 ans. est gr:Jrdien av zou du Jardin des p,·ar:lt'S. Ji rm:·ne une v,e paJSible '' D,af...ar. SenP.ga!. F;JtlmcJ e.st une pet.rte ."'i!lsiar de son amrr?tJI lille de 8 a11s. fn OiJVrdnl el fermant Ji a remarque Julu:: qui vil~nl re rëtn;:eralcor. !~fie sc rJemcJnde 5; la IWT11t!re reste alium6·: lorsque la porte se f12ferme.. . Llle derouvrr! que non .. P~ulippl~ K;.Jkrtm~ Filmographie: Le 1u~r d" Nne 119991, Noo1 cie cede : Sact1a 12001 l Interprétation : A»y F•lll. Dio•ol Mbcng•••· ILM. 200!) Son : Ceci rie Delone d11 Te•npl~. 7~0ll P<ris la femme qui se presenl<' ; cil" pmtP l'r\fr,Jnce 03 96 40 Interprétation : ./LJira faure. l·'~ris absence. Mais P1erre ne f(.'c:onmût pas 1':~1mr:te? ~6 Montage : Albar,e Pénararrda 48. rue de Paradrs. 75010 P.-mari : mlll~~tunP.@aol.çon· :lü i f~x: 01 e-rJiall: tl@m;J(lr:inpr..l~krl.lr Scénarîo : P~r" HdliJP HISTOIRE NATURELLE ], rue Saint-Bertl"rd. 75011 Montage : Cynl l.r J!t- y 16 T~ierry JoLJ;,,c 15. BuJI"varc; ~P.Io Wlet!e. 75010 Fdf\S Tel : 01 ~zoo s.1 os (cHic:~lt:!. le paresseux. ffm;.~mer .:Jll /no cfeows quc! IQdeSJOurs. Jlnrc a-r-f•fle r~~mar~IIH~ Paul qw rt!cupè.re ses 'i.Jruwliw ~~ (1t~ d!~fi~m :Jprt~s sor. d-::oart 7 . n~tn ii:·· -- LE VOEU Pantin D1manche 30 mars ~ Vendredi 4 avri l à 22h15 ~ ...:. ~ MAHER MMOUN 2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 26' a 14~ 'i: • Mard i 1 avril à 20h L~ Réalisation, scénario :Mdl c• K.lmoun CARLA B. avenue Lr.oru-Rclhn, 75012 PMIS RIMA SAM MAN 2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 28 ' Production : Magour c Productions 9. u e de Chgna~court , /~l!l f'•rJS LA COUPURE Tél., 01 53 ŒJ 93 10 i fax, 0: 4? 52 35 4fl NATHAliE LOUBEYRE e m.ait : m;;tgotJPr.eeil5>ynet.rr 3~ 2002 1 MM 1 1,85 1 COUL 1 20' Réalisation, scénario : Nalh~l'" Lcul:~eyre :J8. r\lc ~e> V1gnc•les. 75020 Par<s 7é. ·Dl •13 l:i 4(1 ~(i e ma1l, Production : Sr. n•a r>rucludJCm :2-14 . ru(! Son : Guilloumc VJie lx. LOIC Mor• oa~ JEAN-CLAUDE MOIREAU 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 22'30 Montage : Stépl1an1e 1\raud Interprétation : KemP. Houhi7a , R~nh•ëlle Ev1a. Mo~ldrr·rcd 1\mi Filmographie : Prem1cr f1l rn ser-ia.prcd~wa11~ctoo .1r Image: Joëll ~h•l Son : JP.iln-M.me Bkmclr. . Nic:c "' NJcgdene Montage : Nodule IJcrcJJCr Réalisation, scénario: r.lr. lP.s Pr<xl u<:ll or\~ J~•n·Ciau 1e :1<> l'Amour Fou Production: Le> Production> ~o I'Arn"'" Fou grand" surfdcc. Il eprouve SC'Crétemen/ Image : r'~"" Sto»tw.• Filmographie : CrèP'le tif:s sr~nti:nents pour la jeune vendeuse Son : Frd 'Il'"'~ rie fa pl!armacoe du centre commercoal Montage : Cam1lle Culle à qui ri achete regullèrement lnterpretatio~ Gu1llour1~ : M~r e Rous!>eau, Cyr le 1houvenin Filmographie : Prem1er hlm Jea' C la~de Bonil•it 1/ cs/ incapable de l'aborder. . (lflfl9l C: r:>st 1l'liver. Une lemme seule prend ~5 00 21 OP.~euz~s Con~<;. EI1~Jbctl• Ma/gui c"~ nom !Jfl:us"' oppor/umtc... Filmographie: M.A 1i!l87). Fr.,l<(rncnt• : 01 43 45 15 25 1 fax : 01 43 <>·nail: ~"'"IT\~fl lins@onl r ne Ir Image : Air La"'o~t Son : N rcola ~ waschow,;ki e ,.e". laelllla.p·nd~noc.,.tr des medicaments pour 'iJ mère ~nès S~urd1l'or . 1n1pa ssP. MO\*~M! ~. 7~12 P~rj~ T~l . Montage : !>nphiP. 1tal>ib (30 ans) v.t tou;ours che? ses ()aren!.; . tl trav~,me iJV rayrm paissc)rrnr:rre r1'11rU: fla<r'l'IOv Gra1J. Gt..• d\lme Junot. Interprétation: Mw<>•u Production : Sés.-1me F1lm• '2/, 24. •uc rJe Pe"tl11èvre. 75008 Pans Tfi., Ul4:>l1 1 140::! ft~x ,(Jl45bl 14 0/ k"tn·Jd<.:~uc~ Rt.:lJS!.t~~LI, 93 ~00 fl.'unlrcuil Të. : 01 48 70 02 02 1 Id~' 01 <R\10 07 20 e 'l'êll, Image : Olwi"r Cll.mJ:>Orl DaoLJîa Merrr~t". AmM Ben Ahrl~H~h, nathall~.l~i;t>eyre(!'!·wm•<!doCl.fr Réalisation, scénario : RiMa Samn•ar cio Sés~n1e r,,,..,s SIGNE D ' HIVER Interprétation : b~bdl" G~r•r~tl, Rodolphe CatrO\IX et cremailllérf! 11 999) Car/Q est une jcurm C/udiantc de 24 ans, fuy;mM t'/ ,;olili!ire E.J/e est fan de Rcta HiJyworth. i!ime parler dES cruussures J talons. menage les hommes qu;md e lle les qurtre el entret•ent une rei.Jtion singuliéie et E!ll[lmatique aver ~" Vlll.,inc de pa11er. en stop un jeune homme. Une retatu:;n pdrticut,er~ s·rnstalle ... Soma. c:aissi2re d<Jns une grande surfacé. erre dans 1,1 7one ccmllrterc:'illl! pendant ses deux hn11rc~ clf~ !~OUJl4HC. De superrnarr:Ms r:rl r:ai<!ICrrJ. de par•'lilfiS en vo1es ferrr~~:~. dé~ hrdr~llc.'~ tl ~wtoro~Jte en lliitcls d'Jflaire.s, elle mamt1Rnf Je licrt. par /elepnonR. i!Vl'<: ~on/ils . rentre d" rollége. 17 ))) Pantin LES CORPS SOLITAIRES Lu ndr Jl mars à !Rh PIERRE LACAN 2002 1 35 MM 1 1.85 1 CO UL 1 15'3() Jeudr 3 avnl è 22h 15 Réalisation, scénario : PiP.r·e 1 ac•n r.lo ~.·e1cl" ToJch 20()2 1 3S MM 1 1.85 1 COUl 1 21'3() fel.: 01 4S 11 ..,, AMAURY VOSliON 2002 1 35 MM 1 2,35 1 COU t 1 18' Image : ENSEMBLE X A.ek~ ·• t,;cr o{;J•Jt,;,.,r Son : Sébastien S•virrc. A:t:x" f>IJri'. Flnr<:>nt 1avallée OLIVIER SËROR 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU L 1 20' Réalisation, scénario : Am• ury Voslrcr Montage : llomir qce Pëtrot Réalisation : Oirvier Interprétation : V• ler e G<lbriel. Pte•te 1~1.:014::!14~965 Ld~arl. '"'" de F;;odor Atk'1oe 1 ;;;~, •ue de~ Ccuronn~s. IP.I.. CJl 46 36 32 73 Co-production : Magr,!rc,lt r.orr·> du F;.wtlodrg Po1S!J.0'1r è1e. Filmographie : Cornbtf.n '" m·~ in1es ( 1999: Sommeil profond 120001 75009 Pdr > Tél ; 01 53 J4 19 941 filX: 01 44 19 06 B6 UfiC jcmm' femme rêve cie trou~er enfm e mait ; magn1••c:at fllrthttw(madoo.fr son prifiC~ c:hiJrman/. Un sotr, pe/ls.Jili Mar~ Hlrn~ fe rencontr~• en 22::1. "'" ~e Pan>. 93 100 M~nlrcuil Tél.: 0~ 53 728400 J"o·r-Pao~l Son : Shorly. Jul11:n Rrper!, f ~Il' L•lurent Montage : Jedn- ~u' TluHnas per.;onne d'11n jevne homme. eUe vd finir la ouil t'Jvac ltn. M,,is peM a petit. tous rJ'ctJx s<>nl gagr11!' pt; r le H Agns!111 ~~ au.~,..,; m~Jr a dire"· et Je sir~mce s't'nst,JIIe t.•ntre r~wrs corps. .. ~ie ror Scénario : Oli"ier St.:h.:· tf:J:Jrr.:o;, unP. rtêP 1~010 Par.s tma2e : Clvi>t(til11e Ar:"" Vt::rœlÔP,!. sw~se Son : Emmil•H.P. Vtllard. Tl' oc•ry H.JVdr< f. Hardm~•?.r A t~XrH'iln~ Ahr~r:"' Son : Je e·1 S1cort Bt1Htr1 Re•l,lnC Montage : Err--~a rHJe lle Montage : S.:.raf1 Atlccr>ul1 Interprétation : A~ ""' . ~b:-.e Sollrd tllno. Filmoiraphie : 1e~ Asstè~:es i 19991 TR•.; 0 1 47 70 2: t:-·na : ;)9 1 '·lX; R.<,c:h~l. Mrrtchc•v, Si!l>r ''" ZcrkotJI1P.. Sur ki place d 'un m;;rciJc victc. une femme 01 47 70 25 54 ·• 1r.s@b.:l 1 tl1aLor~rod . rol'1 ~3 r"x, Dl 40 IH 02 26 Les Eleclrcn> 1 orr.' f 1C)Cl<)l 15 ans, est amourettSc! rJ Hc~rvc!. un (C:llrtr! !yc:c!P.rt . C est cf,Jr1S f'rSCJit'ei rmrkJSSe les fr(Jits el légumes qw j<mr:11ent de sor1 rrltrm.•ulil~ Qt,-rls se retrouvent. '" ,·ot. (ltles met dans son cab.Js. On r:~t lon di. jour rtu marcf1e. En apparence roui Gab'i ell•,~rn~:r s ·embrassen! el sr• r/l!çm;vrenr. v.rJ bien dcHIS l;J vie tf :Anna .. Montage ; fr.n•;o' OtJtquerë f-Iente lui p ropose rA: lrJm! IJfiC fvgue lma2e : r P.TP Stoeber Son : Pit..!rrc: A·1rlre. 1rançoi~ Interprétation : 1"-dbdlo Mt4~,y. fO~lO r.~tal~o. de riviere td}·lliquc pCJur piqu<'·nique' Mçts dé.s le dÉbu t quelque ch os" c/ocr'''· Pour l ou. fe malarse 5<' lrans /CJrmc rforJC:cnnent en cauchemèr. Une 11<1it. en Normandre .. Bu Lou el rnom.a s c/u:rdtt"lllm peltl coin rk f"rre ... l:JJ:IIc:. Filmo2raphie : Sem !OJr 3 elle 119981. ... cl (.Ji v.1 1frMitage 120001 tremb/em~nl Vve~ 17. rue de r EciiiQIJI@r. t~; o Paris Filmo&raphie : Ur lege• diffc·P.nl i1 99!!). • ri y a tW un ret.. F.lms. ::I1P.IT1" de P'a1e1tes ;!5. rue Production : 8alth•1ar Prcdcr : cr > C:hri•foilhl? Gauthier, Hélène Mrchcl Je""' sars plus ... Qu'L'SI-ce qu<!je fi;!is iç• ? • hur~@t~botJ!x. ~"r·• Ms er Filmo2raphie : 1tl l rorsiérne œil (200ll 18 Té' . . 01 40 18 72 00; : 1-!aroilbé l'erro:ey MasXJro. Ju!ten Bois,cllcr. Jullr. Fm,,,. "'· Um~ iJPf!<mlion c-r1~ 11 der Br.rg". StP.(l1ar e 5ok01t'1'ilo. C.wllk· J,Jf>;- Ma•r. a Oi Un p/1o/o;trapl1c. . 'ax: Cl 4.l 74 93 . a xrtpt.tw.:;nc.~doo.'r lnlerprétation : N1r.:t Me u~~ ~~c. Cl~r"l?nt v~ 1 ~ ' l""ud r. c.11~1an Interprétation : Mar e t>aycn. Ora7to Une journaliste . . Un petrrtre.. t:··n~l h11'1s Production : 'JI')IJ euc •ovisu~l Image : rtru•llas /~0/0 =-dr"IS l~!ln TP.I. : 01 4:l (,5 52 12' :->0. pJssage a~ 1• B•J'mr. G•arno. /!:>011 Pdris T~l . o: 49 79 ~5 50' 'ax : 01 ~n ?'1 4C. 10 3973 30, -...e des 3 C\urnc,, 75011 Pa·" Réalisation, scénario : !\ ' De Ma ~'-'" ( d'~pr~s let r~t.ll4Vr. r. ne StSè"lre Tarnaro) n . ru e (J (!é''IO Gêrarcl . 94300 Vli1Cel111eS 1[, Co-production : T.Jb:> Tel. i l<lx: 0 1 4R 7R 39 titi e ,,~il : prcrrc!dca,@hntmarl.com n:J e <1o"tl : frr1<'rr'KIIJdrœ!lr.nl111e.l r 42, " -" <1<> lloc:hecllOuJrt 75009 Port> TROUBLE ~IFI01C !tcl SR. r.1e ne la Conventiu·1. 7!:>015 Prr s f1lr1'~ Production : F•ei1C:h TOLlCI\ r Image : DE NOUVEAU LUNDI ALIX DE MAISTRE 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 22' Réalisation, scénario : rrdc;•rr. Samedr 5 ovri l à 16h ~ 1 . ~t.r. L ' ESCALIER fREDERIC MERMOUD 1 "~~ .. . ._ . ' /~ - Pantin 0Jmanche 30 mar> Mardr l" avril a 22h15 a !Sh Jeudr 3 avril il 20h15 A BRIGHT INTERVAL Samedr 5 avril à l4h EMILIE LAMOJNE 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUl 1 12· Réalisation, scénario: fr1ille 1 Jrrorre. UNE SAISON PIERRE CRETON 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 18' REYNALD BERTRAND 200Z 1 35 MM 1 1,37 1 COUL 1 8 30 Réalisation, image, son, montage : Rf!yrmlc a:.'c ..c B~rtr~md Tt:l : 02 35 28 83 65 Image : MMi" Pa tevn· Tél. , Dl 45 85 29 41 Production : AliJr~lc ProdLrtlicns Son : Scénario : Axelle Ro pen 2 bis, ,,,e Dlii>Onl de l'[ure. 75020 Pars Monta2e : Alb"nc ~" Pic"' X Production: f!ena filrrs Interprétation : Yaël Perln,~n. Myr1"N Tekaï" ?5. r\Je M1c.he! le Com~P.. 7C.003 P•ris TÉ' :UI43G74935 r.re~or. Jean-Chn,toph€ Scénario : Mathil(le Declerco Ed~uJrd Production : Le l;ompte Go.Jttes Filmographie : Le Mixage : M~t!lll<>ll Co•r r• Interprétation : Maric-A11nc Pdu y lsabe•le Texec•J~ Filmographie : RequierTJ 11992), Un f1lr'1 de propag<~rde a11arcl,·,ste (19991, J,,,t (e Une 1t~11nc lemme tN1 v,c,na [[ 993), L'flss"1etti rrort t:'ODJJ Buw rie J{)f(!S-111tdi cféiC. deux Jellrl(.'' (i/ii!S, fo is alors qu'elles aiment le même hGmme. Elles q uittenlla vi/le deseltèe DO<Jr v ne balade e11 vo1/ure et s'arrêtent rians 1m parc au bord rl'IJn etang. Réalisation : St~r.g~ Bo.~:,.m 54. "ven wc de Cl•~i>y. 75013 P"r s T<:l :Dl 42 74 31 00: '<x: Ol 42 74 41 00 "-·n" : ~dVIJ.II• ur·@~llc">.'r !mage : Cél111e BoLon Son: Laurent Gat,iot, Melr>sa "e~1t 1 e~, Montage :Cyril 1e.rt~y Interprétation : Lo,JrF.nl L;lr.o~e. Gu•llil!Jrre Verdier. St!rgc BuLur;, VI<.H.Jifl' r Lëon. Ax!.:llé R~pert. P"!riti~ B""Y<. Chi~!! bdrJffo. ,, Aucune tentatwe de tJ/mer le Ira vat/ c/1eL UlJre·Jt Talo•l, Yves Ldo,,ard 11 'a abo~ti. J'essayaiS par Filmographie: l'Amitrè {1 M, 1998) ail/~1.)(5 d 'ëcrrre llfl scënar10, imaginant une f,ctlotl sociaux est su1vie par de:s journal1stes Elle~ t~n Godr" """'!"'·'· flrr un Cludiant malr.rJe. deux milliaires pour le SJL!ver: ses /rëres. q1 J{.' j€~ Ou encore: cornl!die mustcaie ' malade'- c1dapfee â !a 'Jn(~ amie~. s~toaftOl1 rac(.lnftJi~ ma à : Catht~rim2 rr~ncuntrc avec ll)i. r·tmrcgislfais et Qt.ie je ft.av.ai 'I.Jr.Ç i?nsuitt~ CQ(t'} me Url texte. " fit le R~pl1aëlle n es! possible C 'es/ da riS re/te ÇJi~JS im{:Jos~it}/l!te f(..YnO i, p 2 L scrrJp~Jfè'LJX. Pto•na~ M1clrel/e el Kim. se rencontrent pour la (l999!. La Tournée 12002). La Vie après la de lrens rupturt.~ sus~wfat1 [email protected] pr~mière on!Ctm reCtJI pour 1 ,,~-e~i 1?001) 1 : Filmographie : Premier 'llin flm~ Interprétation : C•trl!:r 'lC Pern<!!, Yv<:s ~am br. e! M~"'~· /~010 Par~s SERGE BOZON 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUl 1 59 ' e rn<1 Ldcm!~iflcr c-rlHÎ~. IS(J~lr.Hr..~l11ou@w;Jnal1oo.fr MODS ]2. die•r·m c'E!I~Iles. 761 Il Vilt!ctol sur Mc" C·r")i:l-11: r•..!ynaldb~rlr<::~nd@\·.·Jr 1 ar..:oo.fr ?6. r.Je 75011 rans Cre!cn Montage: Prew Cct~lpl!~-Gouth~~~ P~rroen!1er. : emllldCJmoim~@t\utrn"ll.corr Production : Suspina F .,., 13. rue des !\mand•ers. 75020 Parr> Tél.: 01 41973llll'a•: Ul 4548~3 33 Réalisation, scénario, son, image : Pre-re FLOWERS FOR DIANA 146, over-.Je !~-rriCJil diSQli~ raye. rei.~tt Qu i~ 19 Pantin Samed• ?9 mars à 14h Lund• 31 mars à 16h LUNE HUBU?T GILLET 2002 1 3~ MM 1 1.85 1 COUL 1 23' Réalisation : H whcrt G111cl !6. fliC Ga·ll"'~run. Tél. 1 fax: P.-'l'a Dl~~ 75018 P~m~ 90 92 5 1 : hlJI>ertGJIIel@wanJd<"JO.fr Scénario : Anna D• f'•lmil. Hune<t G•llel Prod uction : BaPdo1co·1 18-20. rue Claude Till1er. 75012 Pa·" Ti!•. : 01 I!J 67 82 26 i fax : Dl 43 67 82 28 e·mail . ba ndonoon/~w;;l~doo.t r Image : MP.h'Jw.l Aksin Son : J~ri:me. G;Jr do~ Montage : A llf' C M"nig<~nd Interprétation : Clarl!.se DJ'Iier. NJdkt RJ•e~tir. MeiJnie 1 eray. Phili>lf)e A•l"\:,r u>~n • Filmographie : Pren11~r '1lrr lune. une petite Mie <1e six am•. ·~~.r wlmi~ j SJ m~re n.~turel/e el placée ciJc..- "'',e paysanne genéré'use et attentive:. P,':1s fac1le de se la1sser am;Er tarsql)'t! mJttqve 11<1 morce-c,~.J de- sa vte. HAÏKU , ROSE VICTORIA ARNAUO VIARD 2003 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 15' Réalisation, scénario : .4rnauct v ard C!n LP.< 1001 n-~rr.h,..; ~.VtM<.I@II bcrlysur'.lr APRÈS LE COMBAT c-m;lll : MARC PONETIE 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COU t 1 16. Production : Le; lOCH Réalisation : M"'" P~n.,ll" B. re~e dJ ConservJiwc. 701009 P•n> e •..ail : a .viar~~ltbet1~s._,rUr 16, •ue Hou;J~n . n·• rc~c' 75018 PJri> LA FEMME PAPILLON N I V UE , NI CONNUE VIRG INIE BOU RDIN 2002 1 35 MM 1 L.85 1 COUL 1 10' DOROTHÉE SEBBAGH 2002 1 35 MM 1 2.85 1 COUL 1 24' Réalisation, scénario : v,rgtnte Oou•d" Réalisation, scénario : Il !1.3, 'lie Gros Ge·ard, 59<100 1ille Production : Tél : 01 42 5-1 lB 08 Image : P~<r.~l Pouce\ P n1ail : [email protected] Son : J~rf>Me. AV"'" e t•1ail : vi>Ourd ll1'i1!'T'dt;eos.r.om Scénario: Mue Pone!te. Patnce .ui'' Montage : A· ar·r. Bo"ftl"' Production: LP.s Production : F1ril P.rrer; Interprétation : Ptcrr<! 19. ;.vc-n.c Gahnell'~r. 'l:-1100 Mor!re J tl TH : 0 :48 !>l 0299sfax: 014851 !':079 P.c~ssel, e 1"1Ji1. willlartl.~icot@f"l~·~·nc·,ta.:um Image : N'Colas Gaurin Son : .l••n-ltK Montage : A .:.:.e~a\. Am·e L<~ r e.or ~ a bou:he 11997) Un lwmrru' n iJ.rriV(~ (M.r.. ij fair.! t(~ {Jt..•ui1 de sa Mie (ré••llc ou fantasmee). Il cm: Pe~rt Errm••nJ ell~ P~nca let Interprétation : r"tnr.e. Jtliff. (iabri•IIE> v,,len>i. [r,c L:lr•drctn. Rene R~ml>l11:r. G olC)'!) Cohen. Mi-7x flll! Leroux L1ans fJaris J ru~ o.n.~•,rtloo. !~':f r~cllerct1e .. de son pi3SS(~. de s~s sen>Jtt0<1S. d'Ln stgnE ~e son 17, rue 59100 RuJ b41X 'ax : OJ 20 Il Il J: Célt~e B~<On M~>ome Gdv~udd n : f ·nmJf'.te e Ga bel sa,.rre . '-1•11c G -1' er•?., DJihril K<:s!<:mur•~ Bcu~~ E.f1rn Pcr1 ~ Filmographie : Pre<•tier /11tn avemr. ... de I~JHnème ... L1r1 spect<lteur. ,n:o~fl'!J.JHlJ.l.JriJrud.::a•n Interprétation : V•l•r P. llcniellt. Gtt• dJrre ~d uloiP< Montage : Serge hOlO l'a(tS Image : Montat~e Image : Mari1ke Van Kel:s Marionnettes : St.:.:vl'n De.: ~ IJIP.r, I"E::h email: Son : c-ma : smr@skyn~t be Son : l'<rnau<l 1>!: Sebbagh ProdL.c1tOr1S Té.: 01 47 70 21 99 f l•x: Ol 47 70 ?5 S4 <lu Nord Tél. : 03 20 Il Il 30 r Ztm:>ky Filmographie: 49. ~ilms Dorot~ëe H~ltl1a1~r QUJ est une nNJrionne:tc Filmographie : VJ\~. v1~c l.ltSS~1t 120001 Li!lr., Û iil VP.IIIe de noël. Alice VG ie oc.ms les f.r.Jrl(/\ rn~lgi'Stns. Ave c ono. Filmographie : Pr<>t,icr 1 'Il J hl. npp~wdil tli?Vdnll~<> luws tl~ ;ti.JIJil! d;: Id Ft:mmt: Pd{>JIIcm. un~ aulrr: iJV& ~lègdnt:t, c.tvcc ft'1lent mëme. . f:lobo est bcxCIJI. Ft ce so1r, ri est content. '""rimm<:llc à Ill d<J.~I •l est .;,-nou~ux. Surtout pas Pascal qui fr,JVdrllt: Suus IJ lorce de ses ;1fJpiJuciissemenls. les ii ra ~'écunté cu m~xJs•n cu eli<: v1cn1 ti!s qui le tiennenr j sa place de spectateur ~~ ~;~;tr S.clriS cornple~es. If <l gagné SOn CUl n/lal. S:~ulement è QUOI r:lle se:t la victoire. ,,- 011 "" ~'''"' (IJ p,Jrldgt:r avr:-c personn...:? Cor'!lli'lf-'fH:c alors oour cJdenl t1insi libre. tl ,:ourt re;oindre Uobc tm& ~nan ce jtJSqu ·a~ bo"t de i<> fa ni.Jil ,Jfin de troover Q~lelqT.J 'LJrl d~teC qw c:onavenr en la t1berant eusst de son des tm. tl pourw "' ""'''r t:en =t être frer de lu/. Pèr$0/itle ne pourrdil /,J scupçon'1er. Femme P,>ç;illon dJn.s l'espolf de la 21 1'. ,ff!, ...... t.v.# "'"' EN CHEMIN Pantin Samed• 29 mars Mardt l' avr11 ~ ~ 18h LIGNE DE VIES MIKHAÏl KOBAKHIDZE SERGE AV~OIKIAN 2002 1 35 MM 1 1.37 1 N&B 1 13 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 12' 16h Réalisation, scenario, montage : lb, .. Tél. , 01 4? :r; '113 1 , savearkian~noos.tr '.l~ 'I.P. 'v'l~~lay. /5003 Pil rl~ RON OYEN S 2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 4' Ark~ i on LE PAPILLON ANTOINE ANTIN ET JENNY RAKOTOMA MONJY Filmographie : Bnnrm1r Mo"' ' ~'JI !1990), 2002 1 35 MM 1 M"""" ac:wrntlllc 11992). Au rcvuu rn~d"'"' " 11996l. M'>rcurs-DJmes 11997) Réalisation, scénario, animation : Un Vle:l/l~,"'me r~con/e : j'a1tou;otH.~ porte 4 b s. "'" des Gab O"'IS. de.~ /8;9o Crciss} sur Seine k:\ g;mJr!r. On redoutait I.J nuit presque 1.66 F T~ 6. ·ue rlP. Soint Pdr.rs iJm,r_g 7500!! P•••> 1 COUL 1 3'30 Td. : 01 44 77 98 9 8 ' 'il X : C1 45 22 73 ~0 lma2:e : Ar-tui11t! Bnot, N it.:êlaj Sut.JK' I idh·~ll Son : r rarçois Colin Interprétation : Cyr Chevalier Antci ne A'1ti r Filmographie: .Je1mP. ilmnur (1%11. lP. M;J~I:ge tl962 l. L• Noce 11964). Lt: P;ri!p .11c ll965l. le> ML.' c cr•> 11969) •~·ma11 : :Bn!lrlêlc:tlrtlrltlll.::,, m Realisation, scénario : 'lon Oyeos il 87. rue Jean Prerre Oimbaud. /50 Il Paris avlant que le jour. On cform.Jit éveille Jcr~y pour ne pas rêver. Swtovt ne ~s rêver. 2 ~venue tJ J GéPêrJ Lt.-clcr<. . possêrle per(:rJif cnrm lo liber!" '1111 Une nuit. :ls amenërent un novve<!v. 91700 Sdrnle Genevic'Ve ~;es Burs !ai m,Jnqud•l j usque·lâ. Cc f1Jm est une un homme barbu. l él.: 01 69 51 01 95 f>.1rdbolc rntemporelle de fa destiflée et de t;J sagesse twmame. e-r·l~•l P.-mï-lil : lemnout?;r.a,dmcul.ccm Production : ll •h~ f ,., Montage : Jérôr'le verm to Tél .: 0 1 43 36 86 26 ! r,,. : Dl 43 36 9 1 e rratl : ronc1yt>ns~holm~ il con Production : S~r.r;ohiP.u PrrA.urtton~ 24. rJC de p.,nthièvrc. 75008 P~rl' Tel : 01 42 <:5 30 271 l4 x: 01 53 75 25 91 : b:e <. SJcr~~hot'llail. r urn Image : Cha11el Seg<." Interprétation : d .(. P. fl ur.h~ne. Ut" homme qui rJ .verrlu tour re qu ·,i Rakc;türMmOn/Y t:-am~e avec humour el poes1e. 44 . ru~ d u Fw ;) ,..,...oulm. 75005 Pw1~ 1aure nt Ler.e•er Filmoa:raphie: ~-n·J t 7~ b ~ ul •tt>@bi b"l "IIS.co·r· Ambiance sonore : Pho11g Ho T~i ~,- toi "~c reuse 11999;. Lil Fl~rr..r·c 1200 1:. L'Ho·mttc l~rclic 12002) 22 Té.· 01 ·17 56 02 LO / la x: Ol ·17 .56 12 60 Animation : Alain Am1elet lunette>, mérru! dU c:,unJJ ji.Jwû~ œus~i F1lrr·~, Pr<~lt1:·1io11 9. rue GdS!Or f'Jy•r•. 92110 Clll·1·y b o'~! Montage : S•mo, Pracl111as 1 fax, 01 4:, n d ;,o Co-product ion : ilili•ocdct o: 42 77 20 56 l'· rl1~i l : il iiCqU II I ~:l>IV~IIdC OO. fr Image : F•ed Tr li~~-~ n-rl'tJI1 : ar-<e n'1J •on.~Cb\.\'artldroû.fr Production : 1 ·~ Htms dP I'Arleq 11i1' PAROLES, PAROLES ,.e d AsSd5, 75006 P<:'•S i2, place o·A1vers 75009 Pans e T;;l, . 01 42 77 20 55! lux : M1k~ •~ Kobakh•cl<e Realisation, scénario : Se·f<C Avéd <ar• Filmographie : Pren••er f1lm Dr1n!-i le JfJf=Wl rncffrrvnl. l1~ r.·omlJat Un homm~. LJne. fen·me l es àflnees 20. c1'une {(Ymnc nmlf pmfl.•g(.' l fa mdmcirc lès JfllX r:Je seduct•on . Mais ia fTkl'cl;imœ .. ~,~son f1ance. s.drnourai mort ii tJ guerre. ·- < Panti n YAM AM O T O SA N D1manche 30 mars a 1<!/1 DAVID FOU RIER 2003 1 35 MM 1 1,66 1 CDUL 1 13' Jeudi 3 avrrl à 1611 Réalisation, scénario: Dav1C: Fmmcr LE L AC ET L A RI V IÈRE 61 rue de Bal(nulct. 75020 P•ns Té. · 0143 5616 27 SARAK PETIT 2002 1 35 MM 1 1.37 1 COU L 1 56' Production : Coâ:e•• RoLJge Prod ~Jc tion Réal isation, scenario : ~ara~ P~t't 1?. pl~ce r.·Arve~. h(l()<) Pans Tr. . : 01 42 8 1 'l4 Réal isation, scénario : ·•e de PJraC:o~ . 750 :0 Pans '1 es. , 01 56 03 96 30 ; t~~ , o 1 sr, o3 96 40 40, , "'(. 1e @r·•aa~mpolska.tr E Ctld Flll""l~ 25. rue Mrr.hd .r. Cr.mte. 7500.~ p,,,~ Image : c Demuni J. rue lioLJdart . 75020 1~ ~1 Pan~ 9\1 l~x. 01 4:i 159100 P-rra11 . pa..,.. sofrlm<#h~Prt)'~~ rl fr lmaee : ra,ral l a,gnffotJI Oronne. M~mel Sntvay. rv<a,ianne MP.rlo. Montage : C•trr.r "'P. Kr•s«<1vsky Interprétation : Thoma; Cer so o. LP.i Drnely, Mona t1eftre. Je..1r .. PII.:'LI Borm~ trc . Frc.: t.h:m; l'hll· ~pP. Rehhot Filmoifaphie : J'atkrd' Dclnld peL' pc1rdre f!·mtlll : r:h4-Jtr~iHJ -r(')[email protected] F A R W EST ALEX VINCENT 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COUL 1 16' PASCAL Image : P r.r·c Siucbcr Réalisation, scénario : Pao.cal Al~x \forcer\ Son : Cédnc Dc!o~l e t,·,.·e C at~ e·ire MJille Filmographie ; Des r·Mjor~:"':H~s d:Jrs I'P.!\~tl\.P !19961. lclhpu11 1:9991. Suzukt San 120021 C•o Local f 1lfl1S Co-production : 1ocal 4~. rue des ~ ··m s ürte~\1<. f~O?Cl l'~r • Toi ., ()14493 B 5fJifax: 014493 7033 e-marl : lor:alfllm~@'rccJr An1iproo. 1. rue de Met.< 75010 Par s Un Japonais v1srte l'Europe en voy<Jge Tel. : 01 40 C/fli,mi;,! OuiJ/ir. fliJr 11: c:,. r S(Jr le bord e <"l,fll , ant,oro-.1@wa nadoo.fr rlc la mutr~, il r.w1~ ddfl.\ f,J r:nmp;;gnf! Image : Sylv1a françarse avdnt de trot~ ver rr!lug<: auiJr(,s Son : Alexi' fam,, d'une c<~mionneuse. 22 63 03 1 t,lx · 01 42 46 ;,3 B9 C~ lle Montage : Mv1c Brctun Interprétation : Juhcn Gauthrer. G ill~s 12000) Bn'Tlpart Pa r"~s Inter prétation : H11o Hur.l1iyarn a. Cat'1er.I1P., Ler.lnu Interprétation: JJ~ ~·• "!émy. t'\gatoe l;r~"el 750 L8 Production : Pa raiso pro d•ctro·• Montage : 1\ncuck Z vy 1 Je~renl D~ $rnel Darn rer·:'f~)t,t , l é'.' UJ 4/ :.>.l 06 Hl ll•x, 01 4? /.3 36 Hl do P" r<J i~u produ<.:Licm Son : Stèpl>•r·c Le""· Gl 1•ncm Lcp-•rc:e david.lhiort@ ~cii"J s.lr Son : rr r.r>e N•:n• 43, rt1e Montage : l él.' 01 4.'1 Te .: 0142 74 3 1 OOtrox: 0142 74 4100 e rna il , NATHALIE OONNINI 2002 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 24' ::lO Co-production : le> flli'IS H•:• r e-m~ LE CADE A U COMMUN G la ~. Tony Sourintone. Jean Hass. Cl1loé Berth e·. Al eXIS M r. l-<•115 Filmographie : Nat:OOII90 1 199~). Gl;we. le; L'T1~P.s ti99/) . I'ArpenteLJri?OOll aller élCheter un cttdetli.J po11r tevr (Jmu! r-,~m .- tréhur.he 11998), -'" R~>rllt~ts P1erre arrive pJr UflL., bei/~ lOUfnt!c ci!~ Ag11e,. flle''" "'"d'"11""""'" c1d<ts le ~"rVIf:r. ps_ychii!i;iq uc de l'hépi/ill où A{?nës d. I>.JC :2001J prmtemos rians un vill.;ge du viw wb/e iJl~uJ cien r:.,mr~w {!est emlJ.31.JCilê par i~rrne (!lJVner agnrole. Parfois. ils p.1ssent IJ rwil r:rr.;enb'e. Mais. J leJna. la l'.~àtel. hr~tte ;.umft1tenrre- ri y a(Js.si, F'1erre va atmer tes deux. m,j··~ 'i't>drtJrcJ ~eo'. V,J ierr~ et Cee<le ~éJOLJtrlC. se relrmw~nl p r1 r1< Les ifDIS ;;m1es p.Jssenr un Fil mographie : A quatr~ ·r• n• (l9!'J4: Lric doit passè!r ses llâcances en Beauce. momerli avec e!ie et prerment le cnemr11 chez son gr,rnr;!-pere. Q(I ÏÎ n;:, ~5 re•·u du reto ur. Ma1s la /O I!rnee n 'esr pas fi111e depUIS fongremps. ( iJ CfJf!iJ/)i.'/Jfion si1r-;nonn! diffu:i!P. d 'a ufan! p!w~ ~ ~sf)pdltt mmNt~n;Jnf q;u~ Enc Ridw L'f r~ue sa~· meilleurs arr•is K<Jku et M•koJ debarquent sa11s criereJrc . . 23 ..... AU NOIR ··-- ---........ RO NAN LE PAG E 2002 1 35 MM 1 L. 66 1 COUl 1 25' ' ..... Y.-k-·· : • • Réalisation, scénario: Ron•n 1P. f'age 4. •ue des Maronites. 75020 P;ms PREMIER AOÛT 1el , 01 46 36 68 77 JOHA Nt+ BUCH HO lZ 2002 1 35 MM 1 1,S6 1 COUL 1 8' Production : 1S Procl ucli<Jns 32 hotJIP.vmct Heaumarchais . 75011 PJr' T"l : Dl 48 06 40; 1 t:-m<.~lt: jd'<J I Hl~·d~!:u}.fr· Scénario: e 11.a Brul"lo Kl1erro wbr 33. r ..ro St?phenson, 4~ 'Y :; '6 9? /3 Montage: ll~nclré t;;;ph~ël ["nma r "e 2ro>l'i Hr\>a·d SiJmu~ l LE BOUT DES DOIGTS NICOLAS BI RKENST OCK 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 21' PP.rche. Clauçle Weyl Filmographie ; P1erni<<r ftlrn /~ll 1 i:l Dimanche 30 mars. à 18h ve,dredr 4 a<ril à 16h : h pr t.it:@d utJ-m~l:met.fr Interprétation : Production : rlebul 01 Image : Gertrllde [loltllol Son : Oltvier Ja ~li.H11 i Bl~c~lt•o11 . fflX: ....• _Pa_n_li_ n _ _ __ -:l' P~ris Tél : 01 53 10 24 00 f ....... !"'r.l i-t . 73. rue Nn!re-llome des Champs, 75006 Réalisation : Johann BuchiJUit llf§llll Réalisation, scénario ; N r.nl.1s Hirkenslock 9~. ~venue Ch~rle; Pari> T"l : 0153 092109 rf,,. ,UJ53 09 2180 GwU,Jume. 20 ~in s. quitte P1H1S pour M<.odé e-roail : inlo@d"bu:.fr de G~ull., , ~)4160 Sairt cffrH:IwY r!t?.~ tri-Jvaux chez s~'.l grand mère Production : Btanca r ilins Image ; Ol1vier L~yro m1•~ [!le attend sa vr.'ww depuis longtemps. 32. nJ>: Delr7y <H6'l4 .,,c V1e rnei~::oe r Il s·y rend à contre-r:cr.•ur. Tl:. : 01 41 83 74 74 r f;,x: 01 4H 40 73 83 Son ~ 11orr Montage; Jan Hrabandl Interprétation ; H•r.or. >ll1erraub . Vidor G~uU11cr Image : Pascal LintJcr~P.r R~phaèl 1 el1rer t:ollec ttaMHJr dt! rêve> 120011 Interprétation : Vlflcent se rclrouv" seul wr la pl.;ge. M~r ., Son ; Ht.gt.e> Marte, Guillaw rne Montage : A Ja1d~ d e qu~ l~uCSJ:!iliJfJ(.'/!f;s, Cedex ~-mdlt: l.,I<J rlt:<Jfl1 r·I~@~H)t•r•.tjl1 .1:om Filmographie; Tc ou !20011. 1e ll~ premier aod r, .:w bord de la d&~ress,on. P~r tm Gn ~ 7.lgl.e ~tu tsc 11. 0 ,, er Ptccl1dCLyk. Véro r11qu" M;JngPont. f rat1L~~ "'scher. N•co "' Gr"~>el. l<urc•1t Blor.h Marjorie Lhcmrne Filmographie : Premier t11m if retrouvera le sourtre. Martul a éte c hoiM pw If r~.•~:rtcr une poés,e à la fêle de fecale. Sort péri! (mmd fe.s ci"oses ltès J 24 .. ~ œ ur w LE VIGILE LUC FlET 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 13' FR~ DrRIC PELLE 2002 1 35 MM 1 1.66 1 N&B 1 14' Réali sation, scénario : L•·C '•et Réal isat ion, scénario : 1rè<Jenc Pelle Scwli~L1el·cf kl 'apres liOe 18. Il 1U'.J(, ~ Herl•n. A, e n·.a:lre r1 P St~pi1PI1 llixnrl b, ·o.P. c;;,.,le f;;g1Jel 93500 P•nl n f?.l. ; 00 4!) 30 77 00 85 1D ' Production : Boar co fax: 00 49 j() 77 00 85 :1 32 ruo: Del•.:r. 93694 Poro:.11 ccc ex Tél. : Dl 41 83 74 7·1 f la x: Dl 43 ·10 7J 8:1 c-1·.dil : l uc: 1u~t@gt"'JC Co-Production , l'rod~c. l R ~d eP 1 cc t 1,, . una 01s Distribution ! .. =t LIJilcl rrodu;:•ff\'IS 20 pa~:xJI,(.' d'! ·~ B~·ll'c Gr~m·c. 75011 55 oo • '"' . 01 <~8 or 11 AA r-r1ail . r11'fliS1.:"n~h."'.1I'I"Oc1 ro.,.. Image : W1l'•~'Tl \'latte r n~ Image : Olivier R<nor CARINE TARDIEU 2002 1 35 MM 1 1.85 1 COUL 1 14' Son : M.lrl0'1P. t.harn~•l. M•!t- ec ~""'" '' Montage : R<:ynil1<1 Bc •~··· ·· c ~ b s. fue ~ '110f. l>wncnt. /~01~ p,, Monta~e : A· J Agnel lu Production : Wody F1lr·1> Interprétation: sabell<! S~n•pe•e. ~'·· Jv~n ut C .:. Jde VelletJ~oJX. 7~,o1 rJ Pr~r1i~r hom ·e . 1rax : 01 ·1~ 39 ~~ oremtère aventvre 1 ~nr O.. IT"ijgf. v·a ll ~=:c; ,,:"'r::~;HJX r:P. Montaee : Em: Prete: :1~ es c ~~ ! : 199?!. •ml h~r1r1~ l2000L l " Cr.rt><·;, ~ 120011 A CETTE SANDRI NE TREINER ET FRANÇOI S CHAY[ 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COU L 1 26' Réalisation, scénario : Sand r•ne TrP. 1er et fr ,'''ÇO ' CIMy~ (~ "a prê> une ·1o.tvelle. C;:~hr.mh~ 1\rl'!~~,m'lnn ir".~ylor) 31. ru~ Oc.dry. 750 13 C· •IJd P~ris : ~J:ïtl •wc . ~· ew cr@n0€JS.lr Production ; Le> 1oJn:. d "Octobre 41. nJP. H~nro M>rtln. 9:'100 t:olorrbes lmaa:e : "h•1•pr"' G.JIIhP.1 Son : More ~ rogcl:i Montage : 1\ntoine Laviullc De G"r ~ ~ Interprétation: Sy1v.e Gr~ narrer C: ot.dP .le,lr Pl1ilillpe. vox de VJrda recl!erc.~E d'un emploo, Gcme7 DIJI:nvny et LP.sl1e f . G •o.no~·g Filmographie : La ChwnhrP. rte S•'11 o~ ll990), P·cmocr fdiiVICr (199:1. Olrrlilm:lu: ~ 1\ • 11991L L•• N"it ~~ cluwro 119941 lleccnstructing Woodt 12000) Interprétation ; Noen· e De,elay. osabe Ho·~r Filmographie , accepte un boulot de vigiie. Son : lvrJr' D1J1 1a:t. D1U l!r CJtlin Uterc. o ,c:,er AI;.JiitJr . vr· >: l.JJ r ~P! BateJ ~' Lt.:c ..h. Je~~ r·~r· çois Galbtt~ li IJ 1'1 e ,-a : wark)11m,ttnno<:-'r Image : 1-Jremu~r ~mo~u. pn~mièrc nistoire de sexe, J~,m-C ~uf.Jc l'. l ;.r : 0 1 441!l ?.<l39 e-rn.1•l : ::..Jrmc. :~ r~lcuftf•c~.:!) ..l' f.rr l!o·o< ll ~~he 0!. r\athan Vaye Interprétation: N t:uo~ Abrohom. Réali sation, scénario : Catin• ra•c•e" INCONN U ADRESSE cJr. LES BAISERS DES AUTRES Son : Cdrlu ...HJ~~. E1•11 ~li.HHIC~I C':JLC~ Filmographie : "ilr~s e mail· b ~nc.êfllrn~tlhot·T1 ..lil ::.01.., Por~ réf. -o; ...a 01 nc.uv~l le Hr;MtmP. "1JZP' 1980. 1Jr1 f •t.mrror: ri iJg~> moir f!t ens~~nb!e Filmographie : l're-r· .,. 'olno llfiP. JP.IJnl: femme se retrouvcr1t pour f!.'Vt~ilr.J fa corresponddnce q u 'ont entre lem"~ le~;rs pères dans les arm~es Ces/11>i:>toire a ·un e r,,,e oe 1!>ans qw 193?-1934. les deux nommes étalent fro~vc;;t h~ vle Êcœ"'''"Jnte. fn pleme cnse tm11s et "'ssoo es dans vne g~-=Jiene de r;,,;,,!tJfP il New York. L'tm. J11emç~nd. cf;xtc.'escenc.:e. s,,,c;r,., !; 'tltl prend a tovt le nondP : m .. ~n "-':if'1.'tl(:. at.'(! r:o sua au r;f41, ot~:·t;rJU{Jl:. :·r!i~; .u·~ !'1 u SC:!-. !HJ'rdcomcs. tJ ~yc:. )c n:wurm; vivr(! çr1 A::t:nwgm~'''l 1.9JJ7 sr.:t cl !,r· ~Jis.~J !,~~dwrt! fkJr Îl' n;ui!'-trm. L'.Julr...... ,,!if. ~r.std d.JX ftrJb-Un1s 25 MANIFESTE Le 16 novembre 2002. au Cine 104 de Pantin. une trenta111e de structures CHoematographrques ont proposé un manrfeste fo11dateur. suivi pa r de nombreux acteur< du cinema d'avant ~a rde . La voaueu r du manifeste réside dans les proposotoons d'accompaanernellt institutronnelles et culturelles de lit ms appartenant a la fo is au patrimoine ci nematographique et à la poo nte l a plus r adrcale de son expression actuelle . Expérimental ? C'est pas mon« genre» • îf> IN OROER N OT TO BE HERE LE VIEUX PRINCIPE DE L'UNDERGROUND, MINER LE TERRAIN DE GALERIES SOUTERRAINES JUSQU'À CE QUE LE SOL AU-DESSUS DE NOUS S'ECROULE, NE PEUT PLUS AVOIR COURS- NOUS SOMMES D'ORES ET DÉJÀ DÉCOUVERTS. a e•pcr n•1mta 1 une esthétique part<:ullère, a des 1~1ages plus ét011 nantes ou bien mo1ns spect.Jcu est d'aider la production cont1n uent a en n1écomailre 1'existence. Une ce rtl 1ne nxonnJ <>Sa nœ "si laires. D"IJn txliJf ~ l';aJire de 1~ chaine, le cinema expériment~l. c'est une pratiQlJe el une èconom<:)_ nevitable, et un er.gagerne·ll. D"PLJis b ~""'''" l'lf.O. ilutmJJ d'" mo~x'<rd\lves de d~Sirihution s'est 1t~velo~p~ ~es tol.t u~ réseau de d1tluS10r1 altL~rnatillvcntablernenl all~rn;lil! 1) q1J1 r>l0111r" t~s l1lrll> princopiJI"''""'' nécessa~re. Le v•eux principe de l'underground, rriner le terra1n de galeries souterra·r- JUsqu'il ce que le so' au-dessus de nous d'cm~s d d~:J;) dùcnuv~~rts. 'Vl;.~l~ pmJr ~·e<:roule, ne peut plvs avoir cour.; nous sommes lm~vl!~i wle C\ nécessaire plcir1 ;mou a~ 'and des caves. t'artots. ces d1ffuseL1r.> travaitle·1t ponctueloemenl avec des lreux pl.1s sance ne doil pas $e •aire n'importe comment. dans sa version complète au Ciné 104. institues a ltx:c~s1an de programmations thématiques ou régulières· salles de conéf'la classees J\rt [lie doit s·appuyer sur les structures exist;J ntes Par ailleurs, le cahier de signatures sera à la disposition du public et des professionnels pendant et respecter le wc JI\ de diffusion q\ll a été la durée du festival. et lssai. ·mJ~ccs, galePes [P.,tivals, etc. CP.' incdrslons ont depu•s lo~ftemps démontré que ce cmérT'a ,-·etait pa5 corldamm! ij rcst~:r él(!rpldli:rnent confdr~r,t.fJ ~u-dle ~Oil. t.dl" rcr.unna1S- Le présent texte est extrait du manifeste Expérimental ? c'est pas mon «genre•! qui sera disponible tl;,r•'; des squats. des friches. des l1eux artistiques au!ogèrés. des salles de ci·lèma improvisées en bâti. Ce reseau, elle ne doit pas i'lnstitution""1""" hrut;JI«fTit!rll, mais lui ~prx~rler son suul«rl en en respect~ nt l'ecologie. Le pire sera1t de f1ger Dr' I<Jit. l'engoue1Tent récent pou• le c•nema ex;>énn,enta\ corre spond a une prod~ction q1Ji ~ decu- ple dw•s les arnees 1990 et Jne d•ffus10'1 qw a suiv1le rnouveP1ent. é.ar~<iSSO'll souda1r le public concem<~- vér~table recanna1ss~,ce ~xp~rimeni<J~ drms le p.atrirnoim~ et (~n 1:1~ ~;~!os, lrJ ~lrPp1t! ,.; gP.nrjflcrJtion" ressei'T"blerait a une momit1ca1ion ~ cn~d1L Des lorsqu" •e cinema CX\>i:rimmtal ~t~l de 'on sr1E;nd1de ISolement, institullcnnelle de ce C11én1a r'a eu l1eu tl faut !Ji donner l'assise PDclf qu'il ne soit pas annexe par pou> lort que lui. PDIJr ljU.il PuiS$(' lair<' Constarrr-n1:nt renvoyé~ des i1rts plas~lques .JLI cméma. du c:memù aux arts plastiques, c·es~ en enterdre sa •oix, rwenter de nouvehes formes et de nouvelleo; •açon~ d'atleindre un p~bl1c cl ~uc marge Que rourt,1nt. aucune le c•nêma le~; cmchl'(,fe~ n·ont cessé de :;rod u1 re et de 5·orgclll i~w en un rése"u iJ '<, fo1s incroya- llle-nent dyr1a·n1q,Jr. cii'H:ny~tJI~'"""'t lr;•gll<:. AiiiOWif~ ~~ o(J 1~ IX)Ir'tt< extre·ne de l'l••slrtutrr)'l q,JI crmlr bue~ r'l1ontre, t.h~~ l1lrns 1:n prc:nr! ltJ t1~fE~ns!~. il s~~ra1l Pdr~dox.ll q~w lt!s n 'l1c 1r't~s donll<; l;k'1~~ sa po5 ton c•itique plusse rester en prise avec le monde qu r entou re. Le temps n'esl pus au repl sur soi et gageons qu'1l Si!Ura alor.; s'engage< dans un dialogue fructue~x avec les praloques audiovisuel le' "PP<"U~s pll.s •éç~m-ne~t : v1dea de r.réa~1on . trers-seo:teu· aJO ovisJel. etc. ! 27 J)) Pantin Samedi 29 mars à 20h15 C._.ARLEMAGNE 2; PILTZER ••.,J .(-- SKELLAHELLAVISION CHARLEMAGNE 2 PILTZER PIP CHODOROY FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 COUl 1 22' Contact: Collee!'! JeLJne Ci,-è,,a F.-mrlil: q("".f'lflmfltc">'\l~~mrH1on.f~ ECLATS D'ORPHÉE PATRICK BOKANOWSKI FRANCE 1 ?007 1 16 MM 1 COUL 1 5' Interprétation : Fm1e Bposlac1. L.•••rr.nŒ THE MAN WE WANT TO HANG KENNETH ANGER USA 1 2002 1 IG MM SKELLAHELLAVISION MARTHA COlBURN USA 1 2002 1 IG MM COUL 1 12· Contact: CdnyCF\ Cillm'" [r,, Gerken. Muriellk ;;•y. Pie"e Martin t·-n·ai1 · tilms@car~yrJnc~nerna.~ol"l Karine Pterre • Le Y decembre 1998. Gll.u1<.'rnaf.m' m'a demandé de filmer son cancer t pr.arw Contact : Cclle<llt .let.oe t;111ema tJ l'occasion d'vn vernissage ;i ia gatene 1 t!m rea!fse d'apre.s ta f.llè-Ce,.., OtpfJéOtl "· (it:ndant le concert c:CJrr~:soondent .:JUX tnterprétee par (e héâtre liu r<JQèat:. qw rmr d!' loiHnëcs. rnanr~~ (.'/'! iJ(:Clllti5m~ liritJflrli<Jlle. Aleisfe: C:rmvii.'_Y J travers {eS deSSifl:i. Pfltzerj Pèrts. Les 69<15 notesJovees G'i?3 imagf!s rte la pdli<:llie S11per R Fvm:.'JNW 1 rfu r réalisEs par Wl il Rl.'ï-1 ')47) pemtLi(C:$ f:f c>h/(~J:; ou StJr I~Ji. provenant cit!s collect1011S î.1e Keith R1chnE'JtEt Jtrnmy rage cf ()ncJo TfJOïpl! OrientiS lnternat on.-aJ : M.:!-"l'id Cu ::.urr- spiOers,llOvL'~hutn<Jil ..:uw OEBORAH STRATMAN USA 1 2002 1 BETA SP 1 COUL 1 1 33' ~&8 VtsJc;rr rle .:am:/1t'lf"O:Jt, :mP. iongoe;g Interprétation : .loor,,in qv.Jstm~sll f.'J11(/W'. ( c~, Contact : c:orp.'i d :=Jcfrin~.'i de poma sont {Je1nts de .façon ~y~li'itlattq1.u.: pour ressembler d de> sr:weletles ;JU cJ de.5 corps e:1 décorT?pOSiflt~fl . ,.,.," : 0yth<.~gm;~:s D~. ~P11~n\R P·od.Jd QPs <l"llJ@py\ll~;;urd>lllrr>.cu·r Obsr:!rvar1on attentive du ;;ifence terrdld!1t qu1 .rE:nJu~·re (es p,uko ,g~. !r!s tmuiiques ïl les v ..m licue:i rt~s·id(~nla:if:·~::; rl'! mc ~or:•etë 1 1e titre i!Sf i me n]fc:rcnn.· i~ IJ.r. gr:.JS t'fr~ i·lfami!nf d!l Sunôi.W Excm.•.;s rJE.'no·1çant Crawley ainst qu "utl reu de mo/:i ~! ,r •e dm.1ble sers de,,. hanR ». ~t suspendre 28 Contact : e mail Cl db e. Jedn-Luu"; Cculloc'h. Kclil "l"i~. COUL 1 8' IN OROER NOT TO BE HERE ÇJt':mJ~ •.· ,·ses t~~Nea~IX) di1tt~'l~aine de varia sêcL'nt.:t. plus en plus obnubilee Pantin ... __ GOLb _·r: LE SILENCE EST EN MARCHE ENLIGHTEN LE SILENCE ENLIGHTEN BEACON GOLD EST EN MARCHE CHRISTOPH Gl RAR DET AllEMAGNE 1 7000 1 BETA SP 1 COUL 1 N&B 1 6. MATTHIAS MÜLLER ET CHRISTOPH GIRARDET ALLEMAGNE. PORTUGAL 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 VO 1 15" DOMINIQUE GONZALEZ-FOERSTER ET ANGE LECCIA FRANCE 1 200 l 1 35 MM 1 1,66 1 COUL 1 47 ' PIERRE-YVES CRUAUD FRANCE 1 2001 1 BETA SP 1 COUl l N&B 1 4· Conta ct : Mcntevideo ' r ''e [lased (1 rts Contact: ··~t·: Con;, L:-'nê ' : I&!"IICL\f't!@IIR~1tt::.mt'.ürj.! r:-•nf! : tht>.J':'IIli:rnnntt1~ "'len.nl Fnl1g htcn f!sl un •nonfdgt; d'imiJges Des barriéres lumtt:rJ! LE REGARD DE PIERRE PIERRE-YVES CRUAUD FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 N&B 1 7' Contact : M~nt~vioéo i Ti me Baseël -~ 1s e 1'.:111 : i'lcL.s:ftMontf!video. nt . ~• d'a;1~<:~nt1ons f'esoac~ v1U f p/os ou fn::l!rlS i1~unaines ri ·!~dl1m:; i:f)J/r•dt~(~S ,j prJrlir r!e (ifms exist~~nts. Llles rfont fJ.JS c:te filmee~ Nc.,us sot-:<mes remo1ns do développement • en reel'· ma .. s ont éte (Jbriqt~e~s r!e fiJrme.!;' dP v1e au. sor~f de_rd presque artifl~:~etiement pour ({:giN !C"It~:ej. res r.·:ms. Contact : Agcn:c d Il r.r. urt m~trage o ll Contact: C;Jmèr<J Lu..:: l'fl :'!ortuga1 l! -·r·;J e rnait: agenca@C.:~IrlCJ:::mclra.r:c··b.pt Bc~;Kor' c~sr 1m rNmttJge de f:Jms de rt.~pt..~ra~·cs lOtlrr~!~fl c!t:Jns cirx lif?.ux drfférents d.Jns. ie monde. U.'IJf po1nl r:mnmun est dè se trouver au L~ara tJc! ''' mer. Ce film est ~-lit cl"ellQUêtes psychogcographiQU!.'.'-1 rr!(.'m:c.~ 1 bbsen.tat10t1 CJes pt::: lits dtfli~1lS. C.:Or1 f~:se cirms le suri-en /(.'SI cles U.its-Unis. Les mmes abandonnees. les paysa,(ies manlagnellx. les coyotes ~tfes tr-a!llS rdppe.'/el11 J prenuere Vil~ les fi!ms de western. ma:s ces stereotypes sont t,..cJiN~s t< Pmch.Jc:~J:ms : L:i.lr'!'ll.!rJ.Iut.:t:.IJ@w.;:~n.:ldOu.rr par des effets soecri-Jux tmclitiunn~l.), Cit1S rJh~ir..-H:Iion.'l d rJr;~ nppo~i/if){IS. cr rncon.r:.(:iente. se den:nJte paraJ1t2/e.ment Lo.~ iJ la pcrn:pl ion du tout. • Cette pw<JSe de et de C:h os!Jkovilc/1. teibrul.l' (}cftm' ma tr.:J;ectcnre arristtq ue . par [)avis Shea et Sc~nner. bo.mde. sor1. n·tCiat;~·c. de saris d1recrs a t! te c om l)osee 29 Pantin CER NI E RES V~ SITES Mard1 1·· avr1l il 20h15 A VANT TR A V A UX ~ MYSTERIES FOLIGRAPHIE N•1 DERNIÈRES VISITES HYMEN MYSTERIES AVANT TRAVAUX CAROLE ARCEGA FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 COUL 1 N&B 1 10' JONAS MEKAS MARLÈN E RABAUD FRANCE 1 2002 1 16 MM 1 N&B 1 19' BeP' Jllia Interprétation ; 1ou" Heneit~au. Contact: r.~rnle Arcega Contact; Agence du t:uu rl rnélrJJ.;e S1<ogfr1P.d Breger Contact; Agence <lu wurt rr•elrJv,e SYLVAINE RATHIER FRAN CE 1 20Q2 1 16 MM 1 COUl 1 15' Interprétation : Cathenne Le r n~. Ak1m e rnail : [email protected] S!H J;J rc>ult~ c:h<Ja!iqut! c1w rfè>ir. un c:ouple se rejo~1e J lïntim san pdil therjfre amowEt~X et grotesque, en attendant fa revo/1)/!on. Luc HosS<opi~d. email: ac11fn@· ,uos.fr Tmi' homme> partiJgent f,J ils Ala rechercl1e d tm cinema organiQ ue. un rcJpport 1ntime se crée: celui t1ün corps qu1 meme r!th1que : '~n~orH lf.'IHS praprc~."i bf.'.~ oin s de. comportcrncn! r.-rna 11 : c aml f:giJmln~@hotm tl ll.:-.mn comrrH~ ~ 'if..; (.•n rr){Jo·Jdc ()I;Jic.'nt !)(.'uh dans un monde qui aurait pour unique vocat!0/1 de les regarder passe~ se meu! et m ute dans la oeau du film . USA 1 1966-2002 1 16 MM 1 COUl 1 43' Contact: RE.VOIR If !-~'h~il d'un~ pedorman.ce imp rov1see du Liv1ng ThedftY ,;j Cassfs. Pour la prP.miP.re part1e. c 'est une sene de rabfcaux v1vant.~ sépares par du noir pendant leq ue/ les ade urs evoluent. Apres il y a une ~· tnle d'actions •mprcwtsees; les acteurs /rrJVC'r~t.•nt f;J sn~;np. çh,;Jctm ,~ lev r tour. en acJopWnt 111 W rft.'1 n;uch{: E:f 11ne ..Jtrit(Jc1e parlicuJiêr2s. La musi,fue dt~ Pfu'lip GI~J.Ç.<> e sr elfe aussi impro visee. fors d un concerrprOJeCtiOil J 1/lnt/Jo/agy f rlm An::hives 30 de ce .~1~me film è /1 2001. Pantin DISPARAÏTRE Mardi l'· avri l a 22h15 HUGO BtUT FRANCE 1 2003 1 35 MM 1 1.66 1 COUl 1 10' Contact : ArlcJ"• In· crn~t o.,~ e nldll : tuilette grantl<'I'IO~ I@ortc~n.Jr Pi1ris. l'r!lc!. Un(! tll\pdrition. LETTRE A ROBERTO FANES PORTRAITS FILMÉS (14 SOUVENIRS) L'IDIOTE DANS LA CHAMBRE VAlÉRIE MREJE N FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 14' ALEJANDRA RDJO FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COU l 1 17 JE AN-ClAUDE ROUSSEAU FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 13' VAlERIE MRËJEN FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 2' Contact : Car•'rc' ~'lins Interprétation : JocclyllC Ocr>vc•ct>i:rc. e-Mdll : capncr.l@'ln0$.1r Claude RJmbaut lnterp~étation Contact : Valér~e Mré,er C. De Bo'll\. S. Kmnl,md . N. Mouh.,, S De~ • Il est rappelé q11au jour du départ les ciMrnbres doivent être l111ërees avant e-m~ 1 1 Bouqud. C Cl<.terre1c.her. A CiuP.rlnt- Contact : nocvnent;we sur Gr•no EcrJfl e-m~11 micf1. Toul r<!larcf en/rainera la facturation Déux Jeunes femmes com~rcnt leurs Kourouklr.o, B.Mo:.,d. P. Prrnc'.c'lS, Q. Her·ern d 'une nuit suppl,;men/ilire. • recettes de soupe aux fanes ae rad.s : v mre)en@wan~doo.fr : F. Wild. ;:; Oœn. [ lbwensohn, Contact : Galer,e centS J " d es amiS OU à deS COfll!iJSS~Jf)CC:~ fff: raconter un souven.rr: rôccnl . antir:n. m,>rquant ou anodm, te premier a surf(ir de J \,,. la memoire ou un qw creu~fJ r fa tête. :l éœssir~ de se mais vr1 smJVenir qw att eu 1;r1 s~,.'ns partk:ufier. Assis face a Ca camera. ch~cun fiJ.rr tc rr~c:,r r1f! sem Interprétation : Alejandra Roto. B4l~~a1a r Pclhères. FlorJ v tai : d'ge~?.n .r.nm M1ch11!an Oeil. apres son kidnapoirrg. e mait : [email protected]• • Dans la st'ne POlirdits fllmés. j ;,, demandé \ ~ LA VIE APRÈS LA MORT tu.>to,..-e P.cr~t à son fils r!.? huit ans. raut en s 'cntraimml;; IJ surv1e et à 1.• guerre. elle lui parle d~ ses r.nangements ohysiQlJes et mentaux. Son fl'l.;, rr.ste seul a la "'"'son. commumque ave<.' (t~:' iJn'miJl;x. PIERRE CRETON FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.66 1 COU l 1 23' Interprétation : Je•r l ambert. f'rerre Creton. Marie Lepaller.. Arrane Doublet. V:>ix de Mf'l~ Tdlbol Contact : Ai!CflC<' du cour: r•rc:tr•~c e maol · ac-r.lm@noo'>.fr fi J';wdiS trtle.r,Jt<~mc!nt organisd ma r!!ncon!rC ,']Vf~C .Jt~tH~ ( amht~rt. Of!~ f al COI1/1 U C:el que. homme, ic mc SUi!:! nl1S aredovter sa mort N ·avatl-il pas renté de m'en prévenir : choisir un am: ~:ieux . .. 31 Pantin FRAMMENTI ELETTRICI N' 3 Mercredi 2 avril à 20h15 COR Pl YERVANT GIAfiiKIAN ET ANGELA RICCI LUCCHI ITALIE 1 2003 1 BETA SP 1 COUL 1 9' Con,act : FRAMMENTI ELETTRICI N• 1 ct ROM {UOMINil t·ndil : YERVANT GIANIKIAN ET ANGElA RI CC! LUCCHI ITAliE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl/ N&B 1 14. Contact: Y-.:·v<Jttl et Argela ~~·~ci u.~ LliCCt1i dEJLJxit:~me f:(!erre mondiate. files tr,JJientde lïmmigratian el de 1~ tra11e.r.s tm Ef"',..l!{;tstremen~ rurwtc:ur Fm S11pt:r 8 d'une ft":rni!l~~ If€: ba,'l•.·mit'HI.'). APPUNTAMENTO BOUCHRA KHALILI FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 Voix : UenIsE=: 1~-null Li' : tl ..:.~~j;J K~olll i trave..-see d'une vi!le méditerranéenne. a !~J tombee de fa nurt. S:tTWft~"mement cmt fif'IJ re frjjfet en atJfobus d'tm Jeune .nl:tJI:rw. pc~rr!u ciiui~ sr!."i rmf éN! fnurnees clQnde.sf,nernent t=n FRAMMENTI ELETTRlCI N' 2 VIETNAM YERVArH GIANIKIAfl ET ANGELA RICCI LUCCHI ITAliE 1 2001 1 BETA SP 1 COUL 1 N&B 1 9 Contact: Yervant G .H\Ikraf' ct An~"lil R1r.r. luc.r.hl g-(~cJI"Pit~cc@llh~m.lt ;Jmtl teurs tournes par 1m sofdat françdis (J(ll!dr.mt {(J guerre cofontals du V1etn-am. r.·n~tdfr~ Contact : Light ((>"le e m.:-1il · ligl'ltco.,e~Piightccne.org Vc.~rsror: PCIUf url ~·iC:U! !!Cran r}f! 1iflf)(tJ!I;--morr sep?.re ces images L1e ses fJ!ms de lamifie d'J rnêrne et tes <:"j :stockées po~J.r. f1n~1/ement dont le Srd~ a ete po1tè a norre ~tter.tion le.c, Ce film est consrrwl J partif 1!e f,1m.> f?titmtt""lïJtl .cor,·t !Jc.. n.tl owttre boot .:1 bouf. cornme lJnE Ujl/cc:rion t1é.: c:rJr(J:i tk c-·nu1!: Pe~eot Contact: BoiJChr.l s· ~:krcJmlut:-:.:tJ avec cu sans telèGl)JCC{J!. {( tJ ftirn. io."i archiw:."i prdvu:mJcnl xenophob1ea TU, SEMPRE 'lANN BEAUVAIS FRANCE 1 2002 1 DV 1 COUL 1 38 S~.-•ocr 8 (J;jr i m iHm:if(~ur rj(Jr:s l~s rmnees 50. G1<:l"ltk il Tl d ·une collection prwt:t' cr !Jn! (~/e tournées juste ~~prf:s la Gi" n1kl;J ,, Des rmages de femmes i."'lconnues sur fa pi.<Jg~! e mali, g• <lnrlliCCI;ll,ben' it Dans Yerv~ t~~ Ar-~.clil R,cci L.Jcc~l f~!rT!i'! 1e.5 5Jns vtr;a;;cs. L'oh~t.'.'i~lon nom. l artiste eturJit.~ ces .:70 derméres .:Jn.nees. (1fiOnymes sai~if! tJt: vol. CHROMABURST lAN HELLIWELL GRANDE-BRETAGNE 1 200Z 1 BETA SP 1 COUl 1 ~- Contact : Lt.x email, rli kd.ll t.x.org.LJ' F.,,, r!IJstrait c:ompos::: d':mages Super 8 !11~ m.'WIS ufifls'~···'· rnn!fn t~ maff~n;hJ bfanchu:s dc:s i? l tr.Jitet~s t~rmes. rJ i'r~rlcrc pcwr OnJt. r.:u~1:r et des rex!w'Cs carnplcx(.•.c; {Jf!r!."t~~es f~ltl!'!t"' vr..1ix tr..'minme i.3C!HliJrlt LltlC.~ mnccmtri.'~. ,'es rende:z- yous.. 1 "arten tc.~ et I.J s éparat~tm. 32 CHROMABURST ra (Jpm UJ))U ll -· W' Pantin PLAY ----- RICARDO IACONO GRANDE-BRETAGNE 1 200 l 1 BETA SP 1 Mercredi 2 avril;, 22h15 COUl 1 4' Contact : Lux e-rn•il: rrllkc@ILIX urg u~ C'EST LA RÉPUBLIQUE FREEDUB #1 PIERRE MEREJKOWSKY FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUL 1 2'30 STËPHANE ELMADJIAI'I Cè!ébrDf!OI1 de ! ~Jmitici. FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl/ N&B 1 1' f'l'1<1rmomf~ Contact : 1a~~ .Jx ~ rï?fJO."iarll d'rmagc.s aninJL~es. cl~ !iJ g<Ji~?N:! f!f ~ur dt.~ rk um •c:omiJinai~un video et de. musrq~,..:e en in,.e. Contact: !.rJrdux i-i1P1•'i r1"11 : larduxoft :-:llJ :"'·''"lh=::mr:~' r~ 1/.:i milité contre 1e tunnel. {!a ete :ruerné. c-T;~ F•1m~~ iJrdLx@dwU-inlcrru.:-l.;r L ~~nll"na! est un homme :::J~,ue de rai.soo. C ·esr la f-le1wtJ;ique. CHRYSALI$ ['KRIZ~ÔISJ NF PERSON'NA SOME FRIENDS (APART) OLIVIER MË.GATON JENNIFER DEBAUCHE BELGIQUE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl/ N&B 1 13' STEPHEN DWOSKIN GRANDE-BRETAGNE 1 2002 1 BETA SP 1 COUL 1 25' Interprétation: ·-~ln,J D ;'l 11. Oc1dk H..1v,'ll!~. Interprétation : Vugmi~ Dcb"cdJ~ l>~bdlc Contact : Lux C~dir~ N:n.•s'la. _er Decl'l e rnail , FRANCE 1 2002 1 BETA SP 1 COUl 1 26' Chorégraphie : W.•y-~ rv'cCregor Ct, rH\ Cl111~.arJ, 'lt:~lfHn, Dam~n E ~. H100 Contact : Je1r ter llei)3LJCI1e Wdync McG·cgor e-r•Mil, ler~~ch0/l';ll1c1 1 mail.çom Contact : lie lire d'Cie productions f"·rl~il Kd : su rTI 1 ""l€1ti me. •j1 ms~waradOCl. fr deCL1~wt:r1LJ•J'if c~}m/ fllfff~rc'?nt r}c~':i awtres •nsec;es fi pense. rf t.\xiste et 1/ vt:ut dèvemt ... lh1 ëtre htNJ.3ill 1 /lr'rivera fr! enf1n ,;J v1vr~·~ .son m1possibre '11st~tre d'a.rr11JL1r avf.'~· r:clh! jt~tme fme eg~in?e .' ..., Un l1lm medital1f ellyriqlle sur les amis du. réalisate11r: et auSSi lm film sur f.frn d'amma!ion qw ressemble J un conte le regard el comment le reg"rd façonne ::le. tees ;ntense èl macabre. < D~ la gelee et des ch~w'S qw Vibrent : L.ltl buffet les reiaftons avec Ct!UX que nous t1pp(:lcJns ri~! Je~ nos amis, Film if iltmcJ.r.;(lttl~rc ï:l- d 'apr1:•:-. stanclt-,rds rJ~ Owus.ktrt. c21;:Jnl C/armf! r:wiJ:-> I"':Jrfm,t.s. Fntre:t par fa fenêtre f}<Jrl.'l 11.' pt.mrt1:~on ;Je Vlergc.•.•oll~lt!n'qi!C."i s(.'S !lt:rruCres oeuvres qw k.1ger .Jt!t!"l(/rmt i~.i r(~d!:mp!i(}rl cl;Jrb kur p'lJS CHRYSALIS I'KR~Z•ÛIS) NF mike@!u<.~l·g.u~. ,olie ;,:at.~d~J. très optimiste et ch.afeureu.>r. " 33 ., t"' MARTHA GR A~ A M VA ~ES KA Fil mer la danse GERT Danse et Théâtralité 1 :E •is~e ·:.<· ?L" 1 1 cie> d\OIOV,kll''IC> '"''' n~"'P. ~ IP. r1 nw R'porxer1; te r:o•ps ~Cl ' y rel!cu•t•cr ": ""' "· :'l· re dt.',. J~IYt::,jux nuyt~l·,,:·c)l.;m·~~:;~:l"". ~t.r 1 ~etro.)'.·~r l'essence ci,J tes.~~ Les '1''~térlaux a ld l\rJ'..l.! :Ir.: r. V:i)'~ ~- ~n~ Il~ ~u~lt:. l\!.'i;, rJ')<. tlr?-u~. l('ll\.1"1iere ·à(~S r'! 'IJ , typç- !'"11.J\T<fl:t1ll e\ Cll~br~. ~·-b'>td·lCl>S t.:n1uu~~ Ll,:n,s ..:s pro'cf1c~~ .Hs dt. :--nrft' rleci r..;:iiSS.en! d LJ'1 frOt}:.:t!r"IC.~rlt Li.! ~lff'C c .~ ru:. dc;.rt:. LIHi:' F.Jli~. LJ T'lm(~ rl iP.n"',a,iP. V.?lf?S{3 Ge<t. ~ c~crégrap'le pent1r B"'-' a.l> Q<,i<Jr S::t·t.""'"'"'· r. rl;ln•,ew 11« Httn lotl;trni Hljl<-11•, >,tar:ll.• G•a'ld·r· p, ..a BaLSCh. ChcJrlcc.::. :··d·~lit·. 6'-",t<:r t<.c~J'nr..la ..":qLfo~ ';,tc Sc1rT'.Jê. l!erket. k1 :-."l.(l""t~JSP danse..~e Mt.!K'd 1h tl,,k.. LJ.• Bùb Wt"al . t•nl r.l•oorP. ;!@<. r~oe-; rtu .,.rr,~ ~~~~ ~· nott!l<' ~e p::r:,onl..J~ rë dP il r1arse e\ d.J ,., lf'le. ~ 1! SC lot't nK"'îL~ P.·!'!S.II nf? Si!~use ~s dd'1~ ·,·,tr,gJ-:.11 k pe~'Z'I'nd~ J •.tr ~ ,.Jr\C: 1/\:tl~lJC • ·c)V(!r.,(,', r d..:~ ~dWÜiJriJ., fiC~ G~~~ l~ IHI" lM;)I(- 1• V'l ,: Jnt~ dur:e h:d~L·u~ pus ~rgf:. =l•·P. r.j:;lle ce te"ldj ~.mcvicqJ.Jfi:JK.• · ncn· ~.ll.'lrlcc r,..rl..J h:-.hnr. "'~'l?.:itra ~1t'rn.la î1 rcJ rnak;..1tK"r. 1.., a'nv~r.!cux 1 n~~. e f}' pe5. d .!'4~'1L::r1Cff~ : ~Cl~X :Jr. II":'I~UP nL:I'I~' · I l~ v t ~ (~ ~~.c:;.)r!~' r:• r.fi.IX ~p <il)fl ll"t'tTllt~. ~ ;')PT~j:'H1Jg.;: P"-f;: Ji r lê'T'.t ~:')"'1 :J'~lJ'C (\t,.:('- r.'Ph?.TF ...ts r.e o::lt.Je~J'S. ~.~e l 1gnt-~ J:> :.cu 1fle-~. Ur~ ~1:c..~de Ct: ~1r\ •i.•1: r ·:,~-· P.v-?. IJ' r~IJ.;;Y."nP.'T'e'"t ~MUS S0•1t ai.Jt.t"'l d ~ .:·Of.Jt.J<; dt: (t ·~.; ..~l·c. O~r :.OlL~ ~~J ~)'.,td l lL..!~ r'ITd:~rJJic~ ;il: lr•;IN,.,1, t1~ ,..,("l• \'f!rt1t?l"lts. . ce:: Stl..SdL..ts . de-... ~"-"t:t·l ~'.IL~ •crees Le ::JL1r j.A ••If.Jr•,.;c .. r 0 '-1C":r •i, ~'.!J ' ...,~ ~ :.Lr j::~l~ :ou:. c'lh,g·.,c: ~VPll du rfll~ . ". FI ,1e ~ r:.ersc.n""age rytb•r'r ~u!.! • J ;mJpJ~ d ,m 't:.1c E1run(~ [k'l~mwc. r:,t• nvrr~;'i. ;wf!(~ At~~u~ t:-1 r0.e ~~t u'"',f.: ~C•.J •.: -.! t:l.' •·l te (lQJf:~~ de r~~ . . ·.cw·-t~d ' I S(I. Ir. '·i~,·.. :.vlr '~·•L de a rr>,.rSKt.... t! . Il Yc.1 ...JI... i!liU IJ'I t;,p~\ ·~~s Ml~""~·. ~t.dr. 1.w ;:w;; l..l: ''1 r·h.: t: txt,·~~:;:, urh : Il. n1(\,Nf:n~f··t t:o~ ;U r''ll : rvel 11l : I J~I''1f!~11 Cs~.a· $("1"11~ r,'•TlPr 1 e rtfe ~ ::..p~if~ti'.. C(H"'ln' e: ~~s~.aPn :1.;me ~JeU f1'Mler·2~1 Ll.!~ ~'tl ·:•4J :Jit:''~. li ~ r.1rrlt~t c~ ·1c;;. tc~...te l.- ,i~ r11h·r-l r.: l~. •. nP. r.·~•st C.lt~ tJL~ k.'!'i t:'"l•::~t-; C'\ 'r'- ~';.t!. ~·! l 'l{'.t!rp,;;n: i!\: ff. te r -.. t..;o,J'tl~ . L-? B~· ..~~l• i t~l•Tr;rr.~,i? ,.1r'g<tb~ '"' :l'i~' li~c s,Jr r;il:e. p<. At! L:c.: , t 'l~t:J .,x ••)t JXQ .J~;lr;;; nn ·1~" -~ ::;.?.r c:~·; g~stt?S T n ~"'1~: !..c1CL:J:Ies, tr .. na soqs ::lL ::.:.)rïJ"::.. ~-~t::s r:r t'klso;.1. rnn<NM1r.11t:. d'avant en aniP.rc. d ~vJnt e<1 avant. o arrière P.n arrO.:.'fc le Il<! -.seur a~ leur nP.xprr1'1c P<J> d5 élills Mai> ucs trajectoiresiP. k•"'! cl<.•..queles le personrage vnr... ~luc Av~nt de crée< sa premiP.- se suçeiPCI"enl rlilr~ r.F.! •bôme Nuil .u·ruur jour sur n1.ft. Pl'" la'rl. Jrx-;~\tr: """'~d' un :.ouf'oe. i!Xprre "" cristal. Où meurt le personn,1ge r1P. JOCod:Jc 7 Il rneurt dJ~S Id VIe. S.1 m•.rt mod~"' ~J vic Hdrald re lolle ah<;lra tc. Kancir.sky compo<;;~. f.n 19Œ!. le >~'Clac e • $of1(l'f.~ ~lune • elon; le-s pcrsor.nages sort Krf:uzbL~I: rru~ll'. danseur de<> dan>e~.")-r.nuiP.ws. Puc.r Kilndrrlsky. s.1 la n10rl. r.nnlr;~:tmt. vibrent acr tond de r.hilqiJe 1:1""~- cc chaque être. url sor-. une différence dt! ry\tlfn(:". Ce son s'tn•..{.!r'1e e•1 w~:xmt. t:!n se tend~ nt. en ~·etiranl d;,ms ~~~ W1C~ de 'oree dun CQrré. r1'1Jr lnanKIC, dans d5 l1gr.es hri>;P..,, ~cs C'<:ldirS d~ '1 g·-.es. U; tensinn se ni'-'· se l!galr.l'lcnl dJrl> .e cinéiT1o ~XP"f.'"Clnni>lc. c~le délo<me el é~re '"' ClliJCI>. b ldble,. les clra10es, fa1t 11~1·;~. •i~UO!.C et créateur d<! Ftemal m r:k.·. roue lous les rOie5· r.erUI. a vi<.-,ge déc:OIN<:rt, de Cr\ gestes e\ CeiJX. a~.rt)lés r1e mil>'liH:S WOic'>que>. CabJret~e<. se.gnet.r. r.mJrt- SJr1e. 1a mort F.SI ~m; r'~<.Jsquc cl c.:'c)t son n·..:-11hetJr. 1P vlsagP. ~ ~llo>p·>Ofesce~ce. Hr. mlc!~Jeur ~!mc marque app.:1rail StJ r tJn tond ~ 1êle mmte mt-rl<:>•tr.; d'une ~ape ~cire . l.J n\\YI ç'.,;t la"'" ~111 ne PfCI·d pas Le dOl i sest scu,dé f.m dP,Uk .la ~ràct~ prt~~q~lt:: !i.:)n~ corps. SJr~s épl('lerrre P.t k=J pré:~m:e ~-:·ctco;qu~ ondulf!r IP.s rues c~ le-,. laçaôes les personnag<c\ cxpK'SS•on-.istes, contP.n,JS presque Iron r.hunelle. Artilud. BJrrault. Brook. DecrOIJX. Mey<>1i1old. dans les étaux ne r.c~ L'Spa<:C. sont amputés. se r.nurhent ct ~Tient Slil·trslaVSk•. Schlemmer. W.gman. Gral••m. R•·ner. Brecht HJ•kala. Kealon. VJI~ Gert reprenrt la tP.-r;oon p;'lcrale etl• tension r1P rar..~Jr cxprc,;sron- BL-ckcll ldissèren! oes lrêces P.<:r t... ~'/O.llJiJIII le fOUI d un ac!eur constrt..i! rlr>!e. Avec elle, la le-ls•on c.hilnge de ndturc eloe :leviErt pla<;limw. elasliquc mec'"" ~u mande un ac!eu r r1P c.nuleurs. rte :.<lUffk.'S. de ligres gëo tnétr"ltJI!S et n1~1 f.{:o~riétriquè'.i. Trrer w• rote J ch• que foiS de œ flr. rncr. un f"''"" U! lm>IOrl. qu ava t ~)riS le r110ndP.. SP mlnliliUfl>c dJr<> LJne '""'""'" ên'U?. J)ilr '"' fg''"'' de b rue du Berl•n de. a-.nees ?0. lxlnr~:>. prust1tuées, tem•"les de m~n,1ge. Elle r.o"""""'"" p.Jr des irrmol>•t\é$ w..l~>nt<" ct lorn'C p."eSQlte rOie et "'' çnrps. L.t.~ rnette..Jrs er't sr:~,e r1P. n r· r.ma 1~1 dt: le personnage né de la danse et du mime, s'il se loge dans une intrigue, des situations, l~s th~~trc ne s'identifie pas totalem ent à elles. li ne s'épuise pas dans l'Intrigue, ilia traverse. li vit d'une yet1x. UPe ~r~ s'ensommc•llc. u..e ~vtre s'éveille. tlle ~nnl((: IJ~n,; 1" ;.rorte•lt rôle naissar>l. Elle preserve la dlffArPI'1<:e rlc "!llv;,~: de :e pe;sonn<Jge fuRillf- mm~ 111.:lvd p.Jrlc d~ lemfl') secret POI.l' la JlilS par 1Klontlf•:alion. Elle !<>ne lE> lais<;,tnt pa'"" ~IJce. e'1 r>e le t•.a~t .e tord. s'et~re et les COJfl' de sur id~ 41Jel e se •<~ins. '>OUVBn~ f~cçenl St lr le durée beaucoup plus large que celle de l'intrigue. Il tend à une vie quotidienne renouvelée de ucpl•ceme·>ts cie> ac~eu~ n~n>o< cl le rllrrH: CQn\empo par la fiction, la théâtralisation, la dramatisation. marchE'< e<' "''acte. Il fduf ater'- CO'\nP. ~ elle·""'-"'•. '" br.r,quc<ic, >echangent tMTédliliP.nrml r.n plil>li<:tlè th tl5 années avant r. «<:r.Drl'J~~ Ln Pu>.t tldush se sitUe 1(1 Otll f>No tA..• d(:> c>pt.'CCS renco<1tre ..m~ tmfl'I'•SC. le> ~e sunule. !.OIS se trOI..ent. les cc<ps se llé<;OIT1r>O>P.n1, cl<:> mecanismes devora<:. fP. ,.,. ~*""r 1@. fTlouvcmcnlsin·p!e non olu ~ SI>I•IP.<Mnl r1 3n> 1<> pnids. tl ar~ le-s mg<· >en:. Curnrncnt v>1fier ce dé'.e-1 'l~e· Ollle5 f<>rc<,; '"''t separees. "'\eS r11a~ ~m .m4.! l!l=;r·e L:OI''S~·~ute. LP. ~~~ ra~· pan. •rt r:hm:henl • sc rt:IOirllJrt: tlésespéré•"lenl dans Ir. rnr.IJrtrc ella dévO'J t1on ? Urw. r..(lr~s.R r1P.C:.mNm t~·~ d~·n~rne. mars. tror. tard. 1m ::ou p. ~u sion. Pm~ ri~:ux Il la ut du te1T1[1S dépnuller a•l cr.Md nL" habrludc•.o mu~ re es e\ de v1vcn~ Je, ova~l de darse•;r ac1et.~r, le mim€-.JdmJr MJrtl cvéne1"1e·liS s,r"lrJies, rnusicJux tet myst~ rr~<Jrd~e·. !Je ~·".:in cr Udrli un<! l.goe de IP.M:>,. LI:> pcr!>Dnnages provel'a'lt de r.e temQ\ .•1nt rt',rr"' <lillurt la répéle JU<,qti<i 1('>JUi>L<l'~nt la sc.nde et Pn t~ de r.RJX q1.1 tbi:rc c-c qiJ~hc rele·lil~ Cuurses subtes dépliir.P.Mr.llt. en curtc~. ~5 "'P.~ l'oan~ fln, ~·ag~ de se dL'S êtres de r1u""' qtJI lldusch rrwentedes dé:OU"i. dP.sdP.rv~~IOrl> dfirl d~ séparer! amour r1u rTI•Oitr· t·e Ole campe sur 3 Il t!e f, mer la visroo de r.nvnls soudaon. dk: .'ébre hache de d01.reur. dr. lêY.è•ctc ~e n10vvernents inamutiS. ldble querque part rt~n~ ~ne d•~ére1- """""''1 de 1espace. 5amtr<i Har.kell ocrivn longten"p<; JVJnl Nwl L'l '•W: Jn ·10mme assis. rr.:. ns posées su- ..rne nut 11"Ciine sa tête selon ùnP. r.ourlx: rfc rèvc L~ a•f'.JSC en lace de l~i sor 1p.;rt<xe rr,t et 'ércx:P.. Ch• ries C.,_1nl n. P•nd Bausch. Voleska Ce-t Buslr.r K,:o:ll!'. Jacques Ta b. Samu~! <l<lublc les personr..:•ges ~ oil r1•n:-c. <lv rn~rnc SO!'I im'Tiédoa:emfn~ dnu\J~! . Il' SC>rrt à la luis J'act&.r et Elec.ke~ . IP. '''"': Ct·~~l•·• l 'l6chan~ et se~b~nt-11. K<>.1t<m. irnw>Sillle el Il"'· Ma1: hi! Gr•hilm. cng!JieiJ>c cl cou·. r.1<trt'l<l Grah al.., ne (a(.Ontent P,.1S dr.s hr.;;lcire;. riS del•ie·mer>t l l'l<' h'St()lrr.. lb f'IV'.·rlenl Url r\OU veav ;01.1r. MJrtha Grdhall' a col"1pœé. de p~ce '"' p!Ccc. "" perso1111~g~ qi1 aii1P. rJn ·cr~al de >llUffle be. P1no f:!"·"r.h. r.trnw·•tc ct· 11•de, Becket. · ·w~u 1re111ll aol. d \..1 C:OI~rOOs, L:cr!J~. ;d LlL".;. ;mg,l~..~ ~,,ys quL>S 1r1~. w1t de Pf!~l~e~ ~:ŒJrlx!:i. LC tr'St3l rel1e les ,1~1gles. .1r1 1ncs :Je IR. r.rist:-:11 ~.lt se rP.r-:c1rP. tm deux. ces! e fa"l'&J)( ge:,t@. SlltJC'I.:Jit) 11r. Joc.J~te d,::.ns N!ghl JO~Jrnpy tête et oof.ore e" a•n~ra. elle s'ovv·e ~ ~bi'N: """·rne , ·onoe. Selc11 M•1t-,1 r;,,., ""'·la r~cr. el 'e p~r co~p :'lë.g~yen! ~t ::r<':ll~anl d~ êv~nm.i P.! r.vc:illo, '1~ es ka l,,m è<o; et r.l ombres. D~r,.. . Ger:. tendue ell~astiCJ I JP. . HIJika!;,, fl•é.ltrc cl c•néma ~nt toujo iJIS bP.~u a app•e•·d·o et a s·apo-e<>r1rP.. Bernard Remy 35 JI~ ))) Pantin ..- Mercredi 2 avnt. 16tl ~ ETERNAL CIRCLE TANZERISCHE PANTOMINEN H. SEGGELKE 1952 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 12' SUSE BYK 1925 1 BETA SP 1 OOCU. N&B 1 MUET 1 3· Kreu tzberg ~e la Darse Un t:tJt(ls s'e/tre. se ccanttacrc, !.c mai<Jxe LJe ct: rnrxlt.'lrJgf' de SOl rnêrne nait IHJr~ hJr7J!ère rovgrmy;'Jfl!e, apparaissent de~ figure.s urbames. lx}/1/IE!S. H~r.tlc Mercred i 2 avnl. l8h Musique : rlledricl' W1kk<m' Interprétation : V•l.-•ka Ger: Contact : C "ICmdt'l•~ .JP. Chorê2raphie, interprétation : ))) Pantin maquerelles. pro,Muee5 pro venant du B"r/1.~ des annees 20. 1" réallte est ph:s vaste qu1: !e reve. Contact : Cu"'~Ma\hèquc 1~r. I,J Dt)nse le rntme allemand HiJralcl Krt~uzber~. joue i.mr~ mort Jg1te. noire et le rOJe de la mor:. phosphorescente. qwluc c!e.; persan.'l,~ges rirJiwl~s. Quel es/te potJO"Oi(, <illr:lle est ;,, ftiSf(.'~~-,~ r;u1 humain<·. sep"rent dans r esnc~':r~ i;J grlice el le Ct"G/esque 7 V.Jicsk.J Gf:rl est une des préscnœ; lus p lus plasltqu.:s rie 1/Hs/air€ humaine. flle rouma av~'C Pdb;l, Fel/mi. Sch/cmdort. En elfe p.1sS€ remotio11 ri" l'espèce humaine TOTENMAL WOYZECK ANONYME JANOS KENOE 1998 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 62" DIE KLAGE DER KALSERIN (LA PLAINTE DE L'IMPÉRATRICE) Chorégraphie, interprétation : .~:lse r N<tli PINA BAUSH 1989 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 104" r.•rJ rfcve:-ur. 1929 1 BETA SP 1 OOCU. N&B 1 MUET 1 12 " Chorégraphie, interprétation: Ma·y W1gman Contact : C••1érnathtquc ~c 1.1 Dar~~~ Mary Wtf?<Tl.:llllll,m:he. di!nSoi! au crulteu de> morts de Id guerre rl" 14-18 Elle trace. en • .1 Contact: C•n ~r'idlhequ" rk '" 1J~11se C.:aç;tJr,on r}l~ I;J r:horègrap/1ie. mise r:r• scene d 'apres ia p1tn' • VlaJo7e.:k•. t"œa.:vr~ de Georg BJt:l•fiPr. dawé~ Choré~raphie : P•r• Raush Interprétation : Pwa Fl"llsh. l~ Conp.l)(riiP l'ma 8JJSI'o Contact : C•nérnJthcquc ne '" llJrse r!'Juc.:ur, en del·é unC! ltgn•! entre tes vi v;'' ifS et les morts S: r~s é!~tt'i dr!'i nnos sont en marc.~tJrrx, la terre. les 'm"iM(!S ;.•iJSSt. Un chenur co,sMuê L1 esoui>~e.-... dt:J trernbfè!llents. l:' oscJliiiti_ms passerrt e~~~~re ce.s fragn,et~ls 1.10 d!{'''· de natüre, de viN~!. cl mMg~s .1' HARALD KREUTZBERG OANS .. ETERNAL CiRCLE» ll,p Ul ~ • n~Jn ~ • Pantin - Mercredi 2 avri l. 20h JOSEF NADJ JËRÔME CASSOU Pantin APPALACHtAN SPRING STANCES 2 Mercredi 7 avril. ?;>h 15 PETER GlUS HAN OK 1958 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 30' JËRÔME CASSOU Chorégraphie, interprétation : M~rth,, D1vcrrè~ Décors : l' "" .1 flollll,udu Contact : Cuocmdthèaue de la Odnse Contact : Jérôme Casscu M,JrthiJ Grafiilm JOUe le roli! cl 1111 j"urw frll<' N~~ J animer~ fM t C"'"'" ft1 timit€ avei..: les d~":ln.sevr$ ~n rerJtJtilmn. fxtt;;ûts d~ ~ 1e r!tJil~ 1(! ~ùu.: ~ 1amour. C;;;~taiiOll du solo Stances 2 de Catherine Diverro<s Un des plvs be,,ux solo de la cl1orégraphe. le corps devient un coeur qvi bol. qui. ~ans ce.,se. s'ouvre el se replie sur soi. r.·l ,..Lt.'S Veii!~:;IN.,..,. NIGHT JOURNEY 7 FEMMES SUR LES TERRES DE WIM VANDEKEYBUS MARIE-HËLÈNE REBOIS 2002 1 BETA SP 1 OOCU. COUl 1 52' La~,•a ALE XANDER HAMMID 1961 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 29' Choréeraphie : Martha Gr•~'"'' Interprétation : M<1rlhJ Grdtam cl Paul Taylor Musique : W1lham Scllul"'lan Contact : Corén-dthècue de a Danse Choréeraphie :W., Varde<eyb$ Interpretes : r~,JL...s.mc:c dt~ e rnait ; [email protected]':él'.ccmatwanildoo.lr celui Lfes vJste;; etendues amèricames. Rencontre &.Nec ;e Cflcrêgrc'iJhEJ Jos~f f'htd.J. Vcnl t;J l'Jmour est doui:Jie : celui de 1hommE. Contact : .le•ôrrP. e-maîl : ,r:m~rh"::~ll.iSfll l e:w,~rli::dUt..: .rr Chorégraphie, interprétation : C.:ll'>e•ore Grah;,m 2001 1 BHA SP 1 DOCU. COUL 1 26' Chorégraphie : l'•Se' 2001 1 BElA SP 1 DOCU. COUl 1 13' Ars Alvare1. 'Aar1e H~~ne Marllo.J Gtdham rouc- IL· r<}lc rie Jocaste. Contact : IJ;:;;, carole Kd<e T'f,ra. '<>M '<.fo'>V'1Ç'Y Natall.l mêre d C!dipc. [/le cdsse le mythe. ouvre Cinémathèque de la Danse 1;,b;mr. Mfl'l nil: Mastr~•t;)'lil'-11. Cr~1iuc Pcrr:Jud deux fois son s;;ersonnage au cosmos : 4, rue de Contact : C;o.,.,i'r,, Luc d~ Prtxh.. •::br · ~ en se fend,~nt en deux. en exptrant d'tJn 75t t6 Paris c-··r'iJ11 : c,Hru:;:rd . lu.:~c.!~~ l..twdrlddoo •r ~ouflle. Vand~~eybvs entrd;,~ ~{ols r11Jri~t:•J~r::-. JdSqv ·r:; 1evr~ tllrld'(!5. 1n :-:!dfi~rJir1c:c! H~~~ènç! Rr?fml~ a S!I!V; fa r1tÛ!i$,lftt.:c M(Jric.... de- "Sc:r~j!r~hin;,- tfiC (·u,fY F;c1t.1s ~· per1d~1nt :J r:1o,~ ,,, '.Jr·or,te comrrênlur1 choregrat.:~h~ t:'l s~ot 'e•TW?es _,,,~ co~e :e cor1te. Il r:'y i! p;,s cl(? c!1eux mamp!II,J/i,urs. lfmqr11:rm'"' rif'.;· fore:"'· Tous C:P' pr~r!-JrJWMgc.ç CL~ rJrJl Llrl pomt cmnmun : sont les Iodions les plus proc/1es de 1~ r<!Jiil<!. C'est IJ forme q"e prend le temps avar'l cf: nait~"E. Une avallt rombre des statues d~ naissance. â p1erre de 1hi!>IO!re. lonj~champ Tél.: Dl 53 64 74 70 Fax : Dt 53 65 74 65 .(-l::: PAULETTE ET NENESS La folle nuit du court Le Couple dans tous ses états De la QIJête de l'autre ala rencontre, du quotidien partiJé avec sa complitite, ses baisers, ses petites disputes. ses tromperies à la lassitude, au dotrte et à la séparation, cene prouammatioo vous invite. le temps d'une nu il à olmr'ler des histoires de COIIJlles auss1diverses et variées que troublantes et attachantes. JI) Pantin Vend red 1 4 avri 1 De 22h15 à l'aube -<:&UN JOUR "\!u", 2~ avez a·1s el vous êlcs célibataire. Ce nes! pas très grave. Vous vous rassurez en VOJS disant qua f'ari"i une perso·lne sur trois est dans la rnême Situation que vous. Vous po.-tez brd. V(HJ~i YiVf~/ ~n(lrl iiVE~C lhl(!lqu Url. C~~St le bontH~IJr ... Vous poUV€7 snober fr.:ln- chemert la Sa1111 Val~ntin el alt"mer sans fausse provocation ni hypoms1~ que œ~" llP"'''tion ·"'""'·"'" ... ~l" exhibent vos attentes. les plus douloureuses: trol'ver 1àme sœur, rencontrer le ccmmerciale est un vrai scandale (rTJais vous n 01.rbl1ez 1amais d appder votre mère le jow de Id p(ince r.hf.lrn,r.m1. fète des meresi. dèda1gneux sur les pan11eaux nimenl~r ':'~v f. rk l:otlpl~ ... Vm~~ publ1cita~res V<h" h;lhite; ensemble d~ptJi~ SIX ar• s. Vou:, ètes enf1n un • vmi • couple ou plutôt .. 1:n CUUI-)IC "'· des rnagazmes 'emin1ns. et un œil hypocr~terrent MiWII("IiH!I. rc1g,:; s<!c:rflh:r•u:r-1 d': nêlrE~ 1rwlhHt~l qu ;:) déprm1e. VCliS décl111eLrnêrne 1•witJtion sous un prétexte 1ou1ours ur peu plus pall1étique <i vas Un fOUr •ient pourt,1nt oC. vous surprene< dans son œo\ 1~bsence de la pet te flamme qui vous avez f~Jit fr~::;sor1m~r. FI oui. 11 y él quelqu'un d'r.3ulrt~ dtms s.2l v~~. FI c:t-'!tl~ déçotl'lf~rte vous inflige non seule- yeux. 'Jm.s critiquez votre meilleure copine Cllat·lotte depuis qu'elle ne passe plus se> soirees rm!rllla dOtJil~IJr d'Mr{~ tmrn~)(i(~~} mt:Ji!-i i:H.J~~~ l'hurn-11 1 .-:t:icm cl1m ctHJP1(~ atlL~Itèfe qui canvole dar1s des d~"lers ilV"c V(>U~. de c:oup c~s. t.m~plt::~ qLJi prH t':1illeurs !ion\ vcb mc~11cur5 ~rnis. E' p11rro-L!~ I(~S jours. de pendue au télèp~one, evoqJant tm.s ses rendez-vous m<1~qués. ses plans f01reux, et vot•e dos. r inis les bais~·s langour.,ux. les te·1dres caresses. les coups d'œil campliCCOs. Plat.";, la ~uriCJJt rh: puis ~li elle r1e se déplace pltJ> '~n> wr jules quelle J rencontre ~LI manage dune rancune. aux pet1tes aweurs .. Ses sales manie~ passees er revue LJne ~ une. Son pa~um. cousine. le corn~k e1·core présent SU' certarns de vos vêtements, q~• vous met les larmes aux yeux Le manque et lj~.J r:dlc.:~J1e s~lon vous. VlHJS h,n;.,~cz le~~~ gcms qlli m~ vou~ 1Mrl~~r1t qu<~ de f~m rno1t1e. Voc.s clamez haut cl lo~ que non, dècideiTJent. vou5 n êles pas lail(eJ po1Jr lo vic de cou[ile. la colère. CoupiP- interna au cœur. meurtri. de IJ destruction d ' un couple. Vous vous separez. que .a rout.ne. le train Irair. les habitudes, bien peu pour 'lous. VoliS"""" ce l'"",;; pr1vilégoé qui vous 11~it ill ill.;rc. Lii viP. dP. çotJrle. son ~uotrdren. s~ routine, llll IUIJr. ç~ y est. LJ rerccntre a erf1n 11eJ. C e>t presQve le coup de foJdre. Vos regat·ds se sont vcus manqucnl. Airoceme~111. Vou~ n'tlurii:L jamdis 1m:-Jgjr\é. Lf~ ft!mp~ pdS..<.tt~. cre)!"~' illl ~IJp(~'MJrché de •otre quartier. •ous e~ avez fait tomber vos carottes râpées et vos H1e•. vous n"éle5 pa; bien s,ir(e). nl.liS oui. ent1n. peut-être rtiJC .. h1e1, il se pourrait b'"" q,Jc yaourts 'ldtur" btu I!X~ra llght •ous ayez rencortré quelqu ur d ac.tre .. ra~ ne ~x11t prtdis ... dans.l expectative. VO.JS gardez toujours IJ ltgne. a1ors que ta"'lt d autre~;;; ~!~ s~~ra ~nt !~te ~ur I'J VDLJ'S !) et l'altlre. IO.ICh>ydc~J ~>ouftc! ~Xll~r P·M V(llre regard qm1 ~~~r·:;{~r püru~~r..lnt (~1 DP.Ja. vo.Js èchanger•ez hier· vol•c dWl1brc de bon r-E' prok.rlcl. ~~~~J r rt'ilnq ut: VlHJ\J afft!Ctlf. meti:.;. piis a ,,iddc1 ~ù '1l w pi!JS g.anrJ. A il'-~~ rwflilSS(!r. Stepha~rie Charpentier cJr,ux. 39 h '-..~_:::ADORATION .., · CAI LLASSES (DAS RA Dl ;:... BALLADES VOILA MON MARI LA MEILLEURE BOBONNE Ct?.:1rlotte ~Jtnve dans la va1ture de sport d'=: son GEORGES HATOT FRANCE 1 1906 1 35 MM 1 1.33 1 FICTION N&B 1 MUET 1 6. MARC ALLËGRET ET CLAUDE HEYMANr.t FRANCE 1 1930 1 35 MM 1 1.33 1 FICTION N&B 1 20' F11e rnnnN! r:he? l'anc,en. Il ' ~·Kn~eil,'e avec une ÇJrofus,on de paro1.:s. Contact : ArL~''N~S lr.:mçJi':ic d~l '1lrt1 Interprétation: ""rr•w1d"l. B"HY Spdl. P1erre D~riP. ul. M"~eleuw GJII·.r Mon.s1eor piirt ~n voyag2. MadJ'1Ie en profite pour fa.1re vemr son amant Contact: Lr,, F ,,,,, rl u Je.1d, Tel :01 40 46 97 98 M~1s c:t:llll~ci n ·esr pas pluf6t rentre que Madame reçoit vtsites st1r Vl$ites. Un qw ob!tRonf l"amot.tr(.'IIJ< ii perpétueilement ~e cacher. afin qu'li cammand.te :sa dernit?re rnventton. Mats h~;mme invite a î.1ejeuner l"lltl de ses vtei..',X: sa banne le ouitte. Sa femme df~cidf! alors de :ian:; lui frl/S~r:r pl;h 'tY 'P.' franç""" dL. fllr'l ~w derrue.t mom,~nl Ct:/1(? ci se (9ve et va ouvrir I:J lcnëtr!: !lu sa/un. Elle I.:J remp!dcer. DANIEL GOLDEN BERG 1 1960 1 35 MM 1 U6 1 FICTION N&B 1 16. Interprétation : LIJCie Ann ~ . .l~~n-CI~IJrlP. 11o111orr1 ~~1 a/or~ l(:rno in m1i1t.aire et r>?.vttmt c(Algsne. (ls se sont ècnt. flle sa1t ce qu 'r.l a vr2cu au Interprétation : JeJn-Ciau1e Hr·• r:our:; cfe c:t.::tte r;uerre y. pret~xtes inondaliuil~. Ils r:·mcontreflt d~~ r:e d~)t11 personne r{•l~mr. l!."i .,e pronon.-e le e~pén:~nt fl(.'anmoirJs norn. Ils ont dL•S.SI pç~rvemr ~J ECHANGERAIS CHAMBRE DE BONNE GEORGES SPICAS FRANCE 1 1964 1 BETA SP 1 FICTION N&B 1 13" CHARLOTTE ET SON JULES JEAN-LUC GODARD FRANCE 1 1958 1 35 MM 1 1.37 1 FICTION N&B 1 20· Interprétation : G\d,lVC . Mo~<: 01~., RI M~rg ..o·•l• s~'c"'· IJ"nlel ~;;illet. Ot:o.!lle.: L::l c,,,..Hl,(JI Lc~st:r~~SS(~ •.IX Contact : Gcu•,;c> S~' -"' ' Té-'. : Di ~8 08 13 i~ Interprétation: JccFI· ;.cl.J1 40 ~ ..!lrr·orl,::>. ÂrH'(~ Cn1dt~. Gt~rr;·~ Contact : Les <111 '" ,: .. -~udi .' T<.'l : 01 40 4G 9ï 9 8 Hf.-1111 Vwre .~ d ew:. dii,, S L.:r~2 c!ratribre d= tom,e Oè 10 rnètr":OS carre est une gagt?11re. . Mër-:·;e Ql.and ons ~ï,me. oel-'r se retrouver .. CONTRE PLUS GRAND J divertissen ;en; r/'~~1/~! des Films anciens du Minislère de la Culture. li.wfrt! Coml1n~ IJ11r quaniite de diffiC.:uftës qui sont dans le cadre du plan de Sauvegarde qu~~ Contact: 1P.s fllrrs rl1J JcJd /Td.: 01 40 46 97 'lS Un couple Vt.·ur rcicmdre Paris. U y a des Films restaurés par le SeTVice rJes Archives française du film et du Dépôt légal a ia gare de L.von_ Il "si i/,ver 1960. Llne femme viml attendre son ma.i FRANÇOIS TRUFFAUT ET JEAN-LUC GODARD FRANCE 1 1958 1 35 MM 1 1,37 1 FICTION N&B 1 12· le spect"Kie de c:e c:ouple en p/ejn entratn. déshabille à san four sa femme Cinêmato~raphie, IJI'l t7ï(Jt UNE HISTOIRE D'EAU d'l!Pe scéne grivo1s~ dans ie jardin et vJ chercht?r son rniJn I.Jt.ti, \'uyanl du Centre National de la ~. FR~NCE l'un Une be/le {ournée cnsol,~i!f~·~(~ : ! m homme fil {t-' JOUm'"JI (J côte de sa femme on:upr! j1.1les· Contact: 0J"Jic' Go1c!\~nbt:r~~:' E-rna11: cthdHC·lclo~co·I,PLSC'VC.f::-~rn ANONYME FRANCE 1 1925 1 35 MM 1 1,33 1 FICTION N&B 1 MUET 1 430 {~~· ~ K LE RETOUR L~amar~idt~S rl:·~vrsw tJiJll(jUif;r LES VOYEURS Contact: Arc.l- nouvea~J 1:!' ~.:=.LES {·y ECHANGERAIS CHAMBRE DE BONNE CONTRE PLUS GRAND DIMANCHE SOIR QUA'TRE VŒUX RUE ST DENIS (PARIS VU PAR ... ) BALLADES LES QUATRE VŒUX JEAN-D~NIEL POLLET FRANCE 1 196~ 1 35 MM 1 1.65 1 FICTION COUL 1 12' CATHERINE CORSINI FRANCE 1 1983 1 35 MM 1 1,66 1 FICTION COUl 1 17' MICHEL OCELOT FRANCE 1 1986 1 35 MM 1 1.37 1 ANIMATION COUl 1 6" Interprétation : Md•el ''" Dax. C iHJ<JC Mel<i Interprétation: 'Jelly Contact: .e> Fil'!'> dei Lu><'IXC> T"l :Dl 44 03 87 10 Contact : Lm restaurant. QUI fJit le COin de'" rue. Saint-fJf!ni.·> d'A;ado. hatJite depui~ quelqur:.~ joun.; a~J ~i.xh!r,.~~ r1t~J6(~ ci 'url vic.•i/ Ag~~r.e tlo·g~,11Jct. -~q11~5 fl~nn"ff~, MMc.»' Bolcmnd nu rr,,.r: r1i!tr.1ge 1eon pfong~ur dc1t1S Ar1ntJ d Ptulif};if" d c!c.• Id rtl(! Puw Anna. cette rrwson sembie figee par son passe. l'amour de Ph1i1ppe irnmL'u1Jfe. rue~ elu Fauhourg S,Jml-Dem~. Ei c."()mrm! trc;tto1r entre sùn {u}u dé~ ic~s orostrluees f~mr le trdV(Ji/ t:•t sor1 dormcr!e. il clécJde. Wl soir. d ·r:n amener une chez tuf. C'est afors Qt.Je ie filrn L~ommence. dans l3 r:hdmbre de teon .. l-·ic~nm:nl vivre daos rui parait enfant1n et va1r1. Ene a Meme.~ un~ p€llr ln.1e maison L1e cam(J.3gne. oréfere fwr. ADORATION OLIVIER SMOlDERS FRANCE 1 1986 1 3S MM 1 L.66 1 FICTION N&B 1 Js· Contact : Agence d J •:o,Jrt Contact: AgP.nçP. d'lndocnim!1 vit <"Jvec Pdlll12lN! r1ui b fonglcrr~p~ L'•HW!m p!vngew;e. Tou.s. deox 1livent t~VC.'r· lc:ur dans une mlrH.tSCiAi~ log~.· Interprétation: Calhenne Ayrl'ene, [";,shi ~·é;rJge Nenes~. tJri("(P.fi p~rachut~ste travdil!~~ A1•clrc .e'.itJeur rhmrwnt ils onl une passicn comrnun:.: : (,~ ~li! vm. la eour d'wJ vico dr1fHi ?f}/clte ùnrncubit~ OJt:s,cn. Saint Millt/11 accords qu,~tre vœux a "n v11am er a sa femme. U nya plus qu'a souhtJiter tou~ ce qu 1/ f.;wt pour ètr~ flf:Wreux a jamai."i. LE BAISER PASCALE FERRAN FRANCE 1 1990 1 35 MM 1 1,66 1 FICTION N&B 1 8' YANN PIQUER FRANCE 1 1980 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 9· Po~ ,,:k IV'<J"tJe!. Co dtc~ lv';lirc. M1c:~a:l Ocdot :Km quot1d1en· ('Je so1t QIJ habitudes. Pjerœ: quelle rencontre au VIllage, ;/ fm.Jdr;Jit cxofiquï•r qu'die PAULETTE ET NÉNESS Interprétation : Voix~ Contact : Agc·1t:t: L1U t.:o.Jrl rm.'lr<J~,c ~IJ Interprétation : Dix sep! COL.ples c··nco~nus Contact : AgPnCP.. d,J cout metr•ge Qul.' ~l~ iJi1S~~!·f-lf sur rleux vi:,agc5 r u~fe avant un baiser? Lt juste a prEs ? \'l~t,tln r.mnt nt<;lrag" DIMANCHE SOIR le J 1 JVin 1981. •i Paris. Sagawa invite chc>z lw tme je(Jne femm~. Aprë.s lw· i.l votr !dit i1re t1es po€ mes devanr un enregistreur. il (c1 tue. fa dépèce et !d rn1.1nge 11 ore nd ensuite des p~,l~i raids SOlANGE MARTIN FRANCE 1 1992 1 35 MM 1 1.66 1 FICTION COUL 1 6' Interprétation : Cr·IS!r,phe Contact : Agence dt. DP.I~r.~"'.IX, Br.q;m·, '' Marlir~ c:o~~r~ Meir"~" Que dire d 'wl enfant Pt d Wl pêre QW S~ SépjrMt parce QJ.Je C'est dlm~llChs SOir ? 41 <> "ti, PAULETTE ET -Ql NADINE "ft PLAISIR D'OFFR~R PLAISIR D'OFFRIR TOUT N'EST PAS EN NOIR WARNING MARC- ~ENRI OUFFRESNE ET FRANÇOIS MOREL FRANCE 1 1994 1 35 MM 1 1.66 1 FICTION COUL 1 8' PHILIPPE FAUCON FRANCE 1 1996 1 35 MM 1 1.66 1 FICTlON COUL 1 5' NIC OLAS KLEIN FRANCE 1 1997 1 35 MM 1 1,66 1 FICTION COUL 1 9' Interprétation: Chr~>tl"l1 C'id•rrcni"PI. Benuît Mawmcl. S1mon Sport1r.h Interprétation : François. Morel, K'ISlll' Scoll-H1or•iJS. Jcaruroc s~udiUrl Interprétation: Moussy. S~rg~ Ger,~n~ Contact : Agence du court métrage Contact: Agenc<O diJ r.ourt mélr•g• C'est l'h1s/alfe de C!Qire. amie de.s Belles Lettres, tnchotillonklmaqwe à ses heures. Un COtJple homose.xtle1 dans li.l vie de C ést àUSSI 1histoire de f'ierr(!. m,m attentionne. Vaguement ObSeSSionnel. If a une "envie" de caviar. Son amis "eftort~e de le Sdlisf,<Jirl~. rr1iJIS ('inspec:fevr b/ên·ut, Contact: Age·1ce du cuL!'l mèlr"~" ro~1s ff~S iO(JFS : nm il·f~ux est enceinte Sebast1en passe son perm1s de conduire. Il realtse un r} déCOUVre Sa femme c1lJ cr~11eaLJ brcJS d (J/1 sans faute a~Jtre homme NADINE SCÈNE DE LIT UN JOUR MARC SALMON FRANCE 1 1994 1 16 MM 1 FICTION COUL 1 29' FRANÇOIS OZON FRANCE 1 1996 1 35 MM 1 1,66 1 FI CTION COUL 1 26' MARIE PACCOU FRANCE 1 1998 1 35 MM 1 1,66 1 ANIMATION N&B 1 4'30 Interprétation : Sal;>i11~ Bail. c.t~er '1e l:.rl1ardy, Jean LLIC Barras Interprétation: Valérie Drugcel. rrançois DtldiV<!. Conta ct : Agen<:e d Il r.m,rt metr@ge Sanchez, rrançois Centy, f'a>r.•l Arbillot Contact: Contact: Agence d.J court '11P.tr@ge Un iour. un homme est entre dM> mon ventre .. A.,ssi. ce lui un choc Une fcmrrw d'un e trentame d'annP.es se rend a une sair!~f~ org;Jmsëe Varri1tian amourrwse autc.wr par un club de rencontres dont elle est adherente 42 ù NËNESS d!.l ~ept c.m,., J~ ry. LIIC:I" couples çms dans 11!1 moment d 'intinuté. Voix : C~ns!1ne t:agneu< Ag~nŒ 011 r.mJrt métrog~ quand il partit. ROUEN, 5 MINUTES D'ARRËT TAXI DE NUIT LE PETIT WEEK-END INGRID GOGNY FRANCE 1 1996 1 35 MM 1 1.37 1 FICTION COUL 1 15' MARCO CASTILLA FRANCE 1 1997 1 35 MM 1 1,66 1 ANIMATION COUL 1 10' MICHEL BERTROU FRANCE 1 1998 1 35 MM 1 1.65 1 FICTION COUL 1 20' Interprétation : K~rlne VIM~. s~rgl Lnpe7 Contact: Agerce du COLr1 metrage Interprétation : Ar•\c)lr'" Ct'"PP"Y M;~r lyn" :.nto Contact: A~~nœ rloJ court m<;lr.Re rarr:e qu il s'est aven/ure 1'" so1r dans la 42' w e ~~qu'il à rencontre 5/;Kks, Contact: Agt!m.:~ du L..:ourl mè~r~gç Un dimanc/1e. M arguerite, icunc rouennaise enceinte, r~r Ma no. un m"rin espagnol en transit. font connaissance. le temps d'atre~ndn~ un train. IHI C:JlçJUffeur de ~.,xi va eire condamne .. nlO it. (D'apres Boris Vran). JJcqu<2s el Irene debarq.,ent la nuit dans une p et1te stJfiOil ba/nea,re <1e ra côre normande. Ifs entretiennent d epv;s peu une. r;a,son \. -Qt DES ~.LES MORCEAUX DE MA FEMME .(> VOYEURS ~cr LE BAISER LA PART D'OMBRE ANNE ET MANUEL CAILLASSES (DAS RAD) YVON MARCIANO FRANCE 1 1999 1 35 MM 1 1.85 1 FICTION COUl 1 11' VALËRIE MRËJEN FRANCE 1 1998 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 2'30 CHRIS STENNER. ARVID UIBEL ET HEIDI WITTLINGER FRANCE 1 2001 1 35 MM 1 1.66 1 ANIMATION COUL 1 8' Interprétation ; Natalra Dontcheva, Ber'lard Verley. Perkin> Lyautey Interprétation ; Anne Curr>igny. Marruc·l MaLdudrcr Voix: M •c~ae Hahek Contact: Agenc e. elu court métrage Caniac! : Va ér•e Mre1en 1 E-r1ail : v.rnrejcn@wdnJ~uu.fr Contact : Age~r.e r111 r.nurt 'T1Rlrege Que/(.jw?s minufe.'i rléciswe5 dans la vte d'rme jeune femme Un couple prend l'aperitif a(}tour d'un guendon Plan tes sur une colline. Hew 1~! Kcw, deux brmshomme.1· cJe picrr~. LA FÊTE DES MÈRES HUGUETTE CHRIS VANDER STAPPEN BELGIQUE 1 1999 1 35 MM 1 1,85 1 FICTION COUL 1 16' VALERIE MRËJEN FRANCE 1 1999 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 3'30 Interprétation : M~ riP. flunel. Hélère Vincent Interprétation : Daniel Kenrgsbe.rg Contact ; Agc,nr.c du r.o u rt mP.tr•g~ Contact: Valerie Mréjeon mail, >[email protected] SachJ. une jeune femm~ de 32 ;JrJs. a enfirl decidé d~ rcv~lcr "Jn Un surplombent la vallee dont ils observent J'actiVite avec rn/erêt. har7wsexual•té a sa de la mere. homrn!~ Soudarn. l'homme apparait, etl histoire s'accélére ... i.JsS'·" iJ,'jns 1m G·Hh·JtJé phrlr~ rJ€! ~nn iJmle Huguett(!. Pour se jeter J leau. elle choisrtle week -end r,;re des meœ.s et pour tvi faire avaler iJ pihi/e, elle l'invite dans un cen!rr. f!ï~ thrJiassotheraple. CLAU DE LALLEMAND FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 2.35 1 FICTION COUL 1 17'30 Interprétation : Valérie K<lP'isky. Laurent Poitrena ux Contact: Agence du court métrage Anloirrc P./ F;mny sont rnarié> depuis plus•eurs années. Fanny trava1lle DES MORCEAUX DE MA FEMME FRÉDÉRIC PELLE FRANCE 1 2000 1 35 MM 1 1,66 1 FICTION N&B 1 10· LE SIÈGE YVES-MARIE MAHË ET SËVERINE BELLINI FRANCE 1 1999 1 BETA SP 1 EXPERIM ENTAL COUL 1 4' FENÊTRE SUR COUPLE dans la pub. E/11! gdgne bwn SiJ vi<.'. Antoine, lui. est m; chômage J'ATTENDRAIS LE SUIVANT ... Interprétation : Grltw.rto ArP.vP.~Q. ''kolas ~.hr~h~m. Marte 1a plume Conta ct : Ag.,,r.~ nu r.m .1 mi:tr~ge Une h1sroire d amo1.Jr qui n'y ressemble pas toul (fe S!JI!l~. PHILIPPE ORREINDY FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1 FICTION COUl 1 s· Interprétation ; Yves Ma·re Mat1c ~• Sever ·re tlell•nr Interprétation : SophiP. forte. 1~nma s G~udrn. Pasco• C:asanova Contact: lrght Cane 1E-mail : lrghtcone@lrg'Jlcone org Contact : AgP.nr.P. nu r.ot,rt QuJnd Id guerre des sexes retoml la luttE des c.~oses. Un hamm~ qul'!tc l'amOIJt mP.tr~gp. ci~rl.' le mNro. 43 ,fJ )J) Pantin Samedt 29 mars a 1611' ·.r Dimanche 30 mars ~ a 16h' lundi 31 mars à 13h4!> Mardi 1 • avril a 13h4!> •Projections suiv ies d'un goûter n J À part ir de 2 ans LOULOU ET AUTRES LOUPS FRANCE 1 2002 1 3~ MM 1 1.66 1 AN IMATION 1 CDUL 1 50 ' , Ecran des enfants Personn~ge, r lé ~-'conte, e l<n tp est. dans C:P. prngr~r1r1e, t :llJ rn~ Pr'l r1P. (~S,iO "'' et L1éc:liré dilr'~ 1k~ •~'liVc~ r-:,. cllff,·:mrlts r.t •rw~~~~fs lovfov et ~~vtres i:;wos est L1n pro}.!rc.HrHIIC Pour la troisième année consécutive, et particulièrement pour l'édition de ce festival 2003, nous avons désiré un rapprochement encore plus fort avec le Festival de Court Métrage pour Jeune Public de Stains (du 24 mars au 4 avril 2003) qui, grâce à son originalité et à son savoir-faire, en fait pour nous, un partenaire exceptionnel. Nous avons donc travaillé ensemble et choisi de vous faire découvrir 3 programmes communs à nos deux festivals. r.l 'an~rnatton. destt~é "'· trè> jeune pu~''c Il P.St r:nm7l·~P. d 'lm r.ot.rt-rrP.fr:jgP, ~P. 27 mtr ulcs • clopl.; ~" cell:hrP a lh.•m d e GrcY,oir" Sulula·cfl pu bite ;, I'È.:ol" Lies loi5irs, loutou. el de 'T'etra~:es realtsés ~udlre cuurl> par des a uteurs graphtques ~e ;:r~n!l~ n·.gm~lllè. f'lliltnpe Petti·Rnul<>t, Fracçots Chili"!. MMe r~1illnu 1!1 R t:t 4·~ M\,; Guir..:. A >d '•<.O't. cl1dCCJn de ces pelis 'tlr1; L~ )!.p ore Lme vo·1 e oJ rt"tcu llèr~ oe l'arf trldltc,r, (C ~éat,or e! ann11at tcn 11 n;ç~e mer! sur crdt rah~IJr J ~~ i nvent~ .Jr P. noU 'J P.l l~ Cf: r?J:"'.(l"\t(~ · I' IJ II P r.f.~ plliS V I~ 1 P.~ h ~stc!l r~S elu ·p wtc: (~. mar ère Le:; L:Wq 1tlm 'i sc.ml C:;.:r ·.!. pc:H JC.i:l'' - L.tc: Frt!f'lt.'tlla cl Grêg:.wc S.Jlot.;:lrc rç. J)) Pantin MARIE K ET LE LOUP LOULOU MARIE CAILLOU 1 7· SERGE ELISSALDE 1 ?7' Mercredi 2 avril à lllh' Jeudi 3 avril à 13h45 ror.-morJo!l. JOli job. Ma1s p,are à 1;; concurrence lemps d'ete au ;J.lys d~s lliJins. M,lls. si ~ loup qw vous serf d'acces.-cire. à votre tandiS qu e rom Se pre!aSS~ S&f l<l OliJ;JI'. place ri!•e des ·asseolf. !ln dr2me se ;aué' azt~:, le socis-txJEs. J 1oulnu. !e Jf!lltl•! IO.Jf.. su rmm:J\If: ~r:IJI .:Ju r " mrmde Comnusll S.Jtv;'wc C,JLJJf1d on ne sa;r ru cc qu'on esr ,--:j c.~ q.., f.m esr cens-é MICRO LOUP a 13h45 San1ed15 avrol à 14h" LE MAQUIS COURS BELSUNCE "'PnJjections .suivies crun roûtet ABDELAZIZ BEMMEHDJOUB ALGERIE 1 1983 1 35 MM 1 1.3 7 1 FICTION 1 18 . AUGUSTIN BURGER FRANCE 1 1998 1 35 MM FICTION 1 33' Inter prétation : Zahr,, N·:,c:lwlcllr Interprétation : M~ste'a 5t'r'. Axel Aidan. J JJ À par tir de 8 ans manger.' Adopt= pu.s repud'e par d~s RICHARD MC GUIRE 1 6" lipins. lovlaLI va Monrre.r le plus petit ''''-'P dv monde à New y~,k. rJ'm:a>rrl. Fm:ort! (brJI-il vr:illr~r à Le que re p,ouh} rzr.· c:mqac JhJS fd Gm:;se (~,.-e son aoprenVs.s.1g~ entr~ re ronfort l"1oumet ~o tertfP.t P.l 'E?5 p(:rt!."i ri~! !.V1t:' b fod't. A,J~rJet,; rlt!S rJiffr:rc.'Nc~:."'. RrllrUk: .1t;stairL: fic: fr)fc~r,.~rlC'C Ce programme i nvite le jeune public à découvrir l'Algérie d'hi er. 1.111 acfv'escen: asp.re a rnontèr au maquis 1'bprè.s-midl. rJu bord de I,J mer, ri déctde au moment de la guerre, du côté qu f~ ~:: rJ'amit1t:. Pomme. algér'1en comme du côté français. Distribution : GébèkJ 4(, r,l P r,1~1s . l''-"" Sé1"l~r~. (,\JOO/ 1 yr.r T'ES OÙ MÈRE·GRAND ? IRI.: 04 i2 Il f,/ ?1 f~x : l'l* ~~ /& t)~ 61 FRANÇOIS CHAlET 1 6' c-rrtJ t : r.·~-r l'heure du gcürer ~~ Mè~ a clJSf""" Vendred1 4 avril Crand 1 oup et Chaperon partent,; S<J rcch~tr:.'Jc. 1 1foétgr:t:r.ki3f1lrr1·-.J:l>rn l'Algérie en courts S!~ c: ·~~sf Il ! pu :scntc tr~irlÇJis. ,1 Mar'SeJIIe. enez s"n O'":le évoqué l'Algérie d'auJourd'hui. LA BOiTE DANS LE DÉSERT C'ÉTAIT PAS LA GUERRE AlEXANDRINE BRISSON FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1 FICTION 1 25· Bo~r.~ llé. t'l.1n~ """ q,,e,,e. s.~ns oublier tes dents s1irr:menr le VhJS •f""''portQnt. BRAHIM TSAKI ALGË.RIE 1 1980 1 35 MM 1 FICTION 1 20' Interprétation : IP~ fm'~r~' dP. S (. Y~mwl Les enfants !Je SICI• Yacoub. riim.Jssenl des d~chers de ferraille pour confectronner cl~s n1<:!chmes mmvscvles pour fO<Jer. M,"'rte. 6 ilf1S. observe !es ev~nements qu• oreceder•t i'incf<>pend:;mce de I A!geri;,, :-w-J i t!-. l'1 es pcits. t."!es yeux. at:?s f)Jfrcs. des ,,rci'1cs. D1i!mel. po.;" ra premiè•~ r,;;s Dans le prolongement de cette Histoire déchirante et brutale sera H'!tlll"l. M-trtu~f!: Sr:hambèlC"her 1-iommëlge '~ Ji1CCJU(:,c., Prl~VC:fl . . If f,scJl rn~re. ~m.r.'i le.·~ rl~ barqv: Lt c'est fe drame .. Interprétation : Jô,Q ues PHiliPPE FETIT-ROULET 1 5' ln voyé d'A ip,érte pi!t SJ 8 ans. Ç.e Vii swinguer sur lcJ planere. POUR FAIRE LE PORTRAIT D ' UN LOUP Nasstr1 Ki!d:1CI.Ir morm:nl cu 1 jtJm~ns. 1·O<:r:o)sior'l fmils rf1m ïUIIIItJm: 1,85 1 c11mpu:mJrŒ (es adultes sub1ssent W YtOff.' r !Ctl s~m; fw rionm·r île r:f(!. Le s ,·rcr~~c des t3d!Jfœs cs; une~ vio!cnc:r~ ae fJhJS POLJr :·enfa.··,l. Qll ·~ l[e etnporterJ d,l1S sa v1e d'Jcrul/e. 45 J)) Pantin Samedi 5 avril a 16h Projection su~vie d'un g.oUter JJJ À partir de 6 ans REPRISE DU PALMARÈS DU FESTIVAL DE STAINS l:e programme pennettra aux enfants du Festival de Pantin de découvrir une sélection de films en compétition primés par un jury d'enfants au Festival de Stains. LE FESTIVAL DU COURT METRAGE POUR JEUNE PUBLIC NAÎT EN 1988 AU MOMENT DE NOËL À STAINS, les progrJmrnc> courts ci\toy~nt IPS l'dd ~1o11~1r.l~ f1lr"IS d~ fin r1 ;1r11éf!:. Qu(1tre éH1S plus- tard. beaur.:cl)p ::J'enthousfdSrl'!t:! cl de p(~rsf!vémnr:P so~lt venus~ bout ct~ r(!~l~t.ances: 1~ ft~st1val prP.rd son envoL e'ltièrernent dé.d·é aux cuurls ml!lr~Rt~s. Celte •na1i!estation unlqLJe e•1 ~Or\ ~cme -lil pro'l1o1 ~r des ŒIJ 'Ir?.> courte~ pour eotanls c~tée d'année t:r'l diJ .•"Y ~~nnée par le ICWH! I.H.. llhr..: qUI i.:ür!':ilitliC ur\ 1ury iJ par1 p·o!essiçnnel. JarTlais à ccurt d dées (furcélr,entl. le r.ompétJtlon devient mternat10r1ale. qu(; pQ..Jr 1~ pmrnoticm r1'1Jn :::n suivant le c::~ur1. le:::. œuvrar~t 1~nt ~mP.m.:t ~~~:.ltH'~ :.~ V<i ~rc"IC! IJ'l 'lOIJVel poJr la decmJVerlt.'"" du pdtrirnoim~ ~st plébis- son ::mx a cbté P..,, en 1994, la r.jnf!m,ltograpl1ique d'auteur auorès elu Jel..ne publ1c. ·cn:Qnlrcql, sE-~ c:ong;gue-nt. DP.p ~1i~ trois ;ms Ci.:~té covl el S:ain:; a1!1ent leur bo"lre hLJmeur et e.Jrs compétem.·c:. thf!miJ~~'llJf!S fc~l ent1f!r~ tl~ril1.J~nt rnédits at. jelme pJb c. Cette r~lt:v~nl ~uu:. ~~~ a~wéc, dd1:; po.Jr pré:o.P.nt~r encore, es t!nfanl':i. Ll!.! P·<.mtin nnmf!s a Stains: de l'ar•ma1icr aux images. CJ rèel drôles Dll oar'o s gr~WC$ n<JI\; des 3rogran"1,es rh~r:rhJvr.rr,nt :uL.,rw·s les f1lrrs r1'1JnP. QUél1 1~c. Ces c:ourts aHrRnt un tour rrrnr 7nn de la création cont~mp(Jralne lc~Jrd d1lerrw1e.: pour g'"?!r"'rlP. rlc:par.a- ger tuus ces rê:dll5a\l1Jr~ 11c talr.:n~ CI.Ji rmus erwnie,..~ de Ofl:tlts. tl ms rJu rnonde e·1tier Le cllou..:huu rh:: •.:Jo prograT·natricc se:ra-l- 1 lt: rnf!rne QLJP. cr.:h~ r.~ ·1n~re jt'!une p..Jb r.: '! Reponse le s.?.·nedt 5 ~lvr.•. i3 CUle coc 1 bien slir 46 RTT DE L 'IMAGE DU QUARTIER FAlZA GUtNE 2002 1 BETA SP 1 LI' ENQUtTE MENEE PAR JULIEN SICARD. MAlEK FOOILI, FAlZA GUÈNE, GUY BÈNISTY ET JERÔME POLIDOR 2002 1 BETA SP 1 1l' Interprétation ; M~lek K~ddra Gu~ni', et llamza ~odolo, Sonoa Chokh. (hros•onhe Robct. NJbil.l Re7kallah De TFI 7rlhra. mer2 ce/i baliiire. part<Jge diNrôlement son temps entre S<ln travdrl el l'éducation de ses tro•s enf,mls. ti f'occasron de .<iJ cm:rnii'"~ jO!Hnée de RTT tellf: rlr'r:rmvre que son fils aine ,; M6, lnulc.s IL'S te/ès er1 parlaient: l 'lN.Sit-CU.R/. Tf!. Et les couoables etJient monlrés du doigt : les jeunes et/es Cilës de banl•eue. Contre·enqui!le sur lill S()Jel re,Jiise pa r Fr;mr:c 2 en fe vrier 2001. D'ICI ET DE LA-BAS SALE REPU T' JULIEN SICARD 2002 1 BETA SP 1 14' Les Engra•neurs est une asscdat•on ela bl•e à la Maison de Quartier des Cr>urtillert:s à P,mtin dont l"objer;t•f est de faire en développant de~ eme.rg~r rmc parole cl1ez les jeunes des proJP-t<. aud<Clvisuels de proximite~ qu~rti.,rs dits sensibles. pebte ou gram!<: portée. Chaque prOJCI ne hlm issu d 'un trava il rndo~·•du el ou r.ollo:r:til en ateloer d'écnture e>t encadré par un réalosateur adulte Les adhérents participent folms : écroture. tournage et montage. a toutes les étapes de fabrication d"~ Interprétation: I>Jbeo'e carré. Sooia Chikh, M•l~k Fod tll, Mourad llow•otJI!, Guy Bl!ni•ty. Jcan·C~r·stophe flollv.,l, D1aby :>ou cour~. Bernard Rfçhard. Bons Scgu •o. .. l / ne journaliste de /tilé est chargee cïenquêter sur le phenomP.ne des rend~" dt! ,e,mes en ban!icue. GrJCt! ;} un lJ/111 MEMOIRE DU 17 OC TOBRE 1 961 el sa fille l11i mentent de;J<rts long/çmps.. . Les Engraineurs ~:> LARB! EL KOUH ET JULIEN SICARD 2001 1 BETA SP 1 13' FAlZA GU~NE ET BERNARD RICHARD AVEC LA PARTICI PATION DE JEAN · LUC EINAUDI 2002 1 BETA SP 1 17' Scénario et dialogues: L•r~i f.l KaJt· Interprétation: At..doulaye N'Diaye. Félix Benr!Cl. Mdrndduu Kend. Sad o Oour.oun; Mo~madou. J 1 ans. est renvoyé de cours Convoqué (l<l' le orincipal. il apprend q u'en Frilnœ. la paltlesse exige que 1or1 "·'Cilfde les adultes dans les yeux... .<I ·~ A l'aris. /~ sorrd" J 7 c>ctobre 1.96!, la police trre sw d es m,m;f,si,H>Is P<'crfrques. Deux r:fYIIS morts selon les org,,ni,;Jicurs deux selon 1<1 préfecture, cfir~é" à l'é(lO(Jue par un certam Maurice P<Jport. Rencontre avec quelques un. de ceux qui. maigri! l'Hr~taim rJI/rcicllc. n 'ovblreronlJi!mais. educateur, eiiP- riéndrc d.Jrts une c•!'ë. ac.:ompagnee cJ'r,n c.3meraman et d'vn prP.rteur cif~ son .. DISTRIBUTION ltJ l es Engraineurs. Maison de Quartier des Courtillières, 93500 Pantin, tél: 01 49 15 37 00 47 ,. '- 7 ..: .. - - 'r- :.. - - - d'i.e :.•. • i 0 - :. , .. - 6rna,1 fj'" ... ·. Trimestriel, Un abonnement 48 BREF est publié par l'Agence du court métrage. a BREF, le magazine du court métrage, permet de recevoir. outre les 4 numéros annuels et les 3 lettres· agenda, une invitation pour deux personnes pour chacune des soirées de courts métrages organisées par l'Agence au Forum des images- Paris. Abonnement (4 numéros~ 3 lettres! France 25 €. étranger 37 €. Cheques ou mandats l'ordre de l'Agence du court métrage 2 rue de Tocqueville 75017 Pari s. Tél 01 44 69 26 60. a la colêre ouvriêre, comme l'exploitation des travailleurs immigrés, ne fut longtemps abordée que par les cinéastes militants. Il est vrai que la censure veillait. le cinéma militant savait la braver, osant la diffusion et Je tournage clandestins. Petites morts et Grands soirs du cinéma militant L es liens entre le cinéma militant et te film court sembiMt places. a pnon, sous te signe de des ftgures communes. quasi •ontologiques• (et souvent tauto:ogiquesl de ce cinéma. Il y a du monde a l'écran, les images ayant pour ob;ectt de mettre en mOtNement. à leur tour, des spec- l'évidence. Court par nécess·té (économique), le cinéma militant l'est parfo·s par souci d'efficacité (po1•tique) Cinéma de !"urgence el de la précar"lé, voire de la clandestinïé, le cinéma mil~ tateu~-<:amarades . tant M également. dans la plupart des cas et pendant longtemps, un cinéma de la comf'lande. stigmatiser l'adver.>aire et de tatre na"tre de no.svelles sol dartés. Un plan peut doonc ghsser d'un Mais, parce que les mct.s militant et mtl.taire ont la même rac.ne, parce qu'il y eut au film a un autre pa-ce que c'est devenu un symbole. ou disparaltre parce que la 1gne a changé. cou~ du XXe siècle tant d'espoirs polljjques déçus. souvent tragiquement. un VOile pudoque semble avoor Les images de répress· on, les blessures et la IYlCrt permettent, elles, de m eux Plane sur ces flms l'ombre des •grands anctens• (Etsemstein, Vertov, MedvedKine, Karmen, qualifiée de cmn•tante•. Cause Ivens ou Alvarez) dont tes constructions esthétiques sont devenues tout au long du xx• siècle des annexe à cet effacement majeur , pendant loongtemps une part importante des histo'res du mamères de penser et de représenter te pol•t1que. la geste révolutio11naire ou l'infall'e répression. recouvert toute une producton cinématographique, fort dtve~. cinéma fut écrite par des auteurs goOtant fort peu !"histoire sociale, OIJVri~re ou pol1t1que. Comme les images passent d'un film à un autre, certains de ces cinéastes traversent les fronM- Il est néanmoins posstble de répondre, par étapes, à celte question crypto-bazinienne •Qu'est<e res, vo'ent de pays en pays el, en fonct.on des réalités de la lutte, du romantisme révolutionnaire Gue le cinéma militant ?•. Le cinéma mtl!tant serait en fait un genre cinématographique i n~me ou des impératifs stratégiques, les villes ouvrières et les terres étrangères se transforment tour à ment lié au pol1l1que et à l'histoire. Un genre cinématographique avec ses codes, ses récurren- tour en épicentres de la production m111tanre. de Besançon ces, ses références et ses •périodes•. dont les points nodaux seraient, ce n'est pas un hasard, Palestine en passant par le V1etnam. a Saint-Nazaire, de l'Espagne à la ré~lisé Cependant, comme genre esthét•que mais aussi comme moment politique, le cinéma militant et dtstnbué collectivement. La mobilisat1on, tes gestes de solidarité, la prise de consc1ence sont parait doublement morteL En France. te cinéma militant aurait une préhisroire : avant 1914, 1936 el 1968. Un genre au service d'un but, d'une cause; généralement pensé, produit, quand une avant-garde libertaire et littéraire, un peu syndicale et pas mal franc-maçonne, enten- esthétiques, poussa loin ses recherches formelles en accompagnant, par exem pie, les créations mili- dait tirer l'ouvrier, la femme et leurs enta nts des •beuglants•, en produisant des reconstitutions tantes de Godard, Marker ou Muel. La contribution etfective, démocratique, de certains ouvriers à des historiques et des mélodrames populaires. Un âge classique : des années 1920 aux années collectifs participa grandement à •l'extension du domaine du cinéma•. Le groupe Medvedkine reste 1960, alors que l'on privilégiait le montage et le commentaire, de stables et masculines figures il ce titre l'exemple le plus célèbre et le plus fécond. Ainsi. après avoir largement participé au recul ouvrières attachées à la CGT et majoritairement fidèles au Parti communiste (toutefois pointa1t de la censure, ennchi considérablement le documentaire puis tout le cinéma, osé certa1nes au da~ déjà, parfois au sein même de ces réseaux, une certaine modernité militante et cinématographique). Et puis il y aurait un ~ge baroque, les années 1970 (après 1968): le fourmillement de plastiques, après engueulé par fractio~s s'être copieusement et films i nterpasés et nouveaux collectifs, le développement de l'extrême gauche, l'apparition de nouveaux combats et parfois lourdement fourvoyé, le cinéma militant de nouvelles figures, plus diverses, plus féminines, moins ethnocentriques. Le cinéma militant aurait remp/1 sa mission historique avant de ~me. serait donc /1é à un temps de l'histoire où des groupes et des organisations politiques• y disparartre corps et croyaient• , c'est-à-dire qu'ils ou elles croyaient à la notion d'avant-garde, à la prise du pouvoir, rien à dire, à montrer, m à dénoncer ? de la parole el de l'image, à la nécessité d'alerter ou d'éveiller, de fasciner ou d'informer les •mas- Certes, les groupes et organisations qui sou- N'aura1t-11 donc plus ses•. Un temps d'avant Et puis, à la fin, c'est-à-i:lire dans les années 80, avant même de rece- tendaient le cinéma militant ont parfois voir un bout du Mur sur la tête, le cméma militant serait mort, simplement mort, englouti par la disparu ou alors, affaiblis, certains d'entre désillusion, le renoncement, la commumcatton. Il n'y eut pas de tentative de bilan. Sans doute eux se sont rangés derrière l'Idéologie de la craignait-on, avec raison, de rencontrer à nouveau le sourire de Mao et, juste au-dessus, la mous- commumcat1on et du consensus. Mais, tout tache de Staline. Mais comme tous les tracts ne sont pas des pavés, tous les films militants ne comme il y eut une très grande diversifica- A l'heure où l'on (re)découvre qu'Hanna Arendt tion du cinéma militant au cours des années 1nclua1t au sein du totalitarisme le colonialisme, l'on constate que le cinéma militant fut parmi les 1970, apparaissent ces derniers temps les premiers, parfois le seul, à dénoncer les cnmes coloniaux. Rares et précieuses sont à ce titre les premiers signes d'une résurrection et d'une i mages de René Vautier ou de Yann Le Masson. La colère ouvrière, comme l'exploitation des tra· lalcisation d'un •néo-crypta cinéma militant. dressent pas forcément des bustes de bronze. vailleurs immigrés, ne fut longtemps abordée que par les cinéastes militants. Il est vrai que la cen- (parfois proche du documentaire). Comme sure veillait. Le cinéma militant savait la braver, osant la diffusion et le tournage clandestms. Le en novembre et décembre 1995, quand de courage fut d'ailleurs souvent une vertu de ces Cinéastes, tel Roman Karmen tournant sous les nombreux salariés ressenta·1ent la nécessité born bes de Madrid ou René Va utier sur la barrière électrifiée de la •ligne Mo ri ce• séparant de fil mer grèves et manifestations /il s'agis-- l'Algérie de la Tunisie. S<Jit généralement là de documents ama- Et l'on ne saurait résumer le cinéma militant à quelques bonnes intentions ou è de simples ades de teurs), on rencontre aujourd'hui des Jeunes femmes et des jeunes hommes en colère, caméra à bravoure ; souvent contraint par la censure et la chicheté de ses moyens, il sut parfois faire preuve la ma in. TachoriS que les project1ons de leurs films ne soient pas clandestines. Pour la réflexion d'audace et de créativité. Les plans d'Andœ Dumaltre sur la lutte des mineurs de 1948 restent gra- et la connaissance, le plaisir aussi. il n'est peut-être pas inutile, de plus, de voir ou revoir certai~s vés dans nos mémoires (même si le même opérateur filma par la suite des meetings è la glo1re de Staline), tout comme tes images de Jean-P1erre Thorn (malgré les 1cOnes de Mao) consacrées aux •classiques du Peuple• et de découvrir certains incunables. jeunes métallos de Flins. Sacha Vierny ou Pierre Lhomme prêtèrent également leur talent à la réali- -<:&: VENT D'EST Tanpi Perron, Chargé de miss/oll Patrimoine el cinéma en Seine·Saini-Denis sation de films de lutte. L.:ingénieur du son An!oine Banfanti. présent sur tous les fronts palitiques et 51 DÉMOCRA~~~~~ C'EST D'ARRIVER À CE QUI EST CONNAISSEURS» FAIRE DU «PETIT GERE CONNAISSEURS. UN GR A ND CERCLE D Bertolt Brechl ( S1Jr le réalisme) •Dam; la fréquentaton du cinéma m111tant. ce que nous avons appris c'est la morale. C'est-a-<lire la façon dont le pouvoir que FILMS LUMIÈRE représente une caméra (sa capacité d'Interven r, de s'immiscer, d'extorquer, de provo- 1896 -1 903 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 20' quer - de n'od•f1er la situation sur laquelle elle se greffe) est ré~échie ou non par ceux Contact : Assoe<ahon frères lumières qui font les films• ( .. ) • Je dira1 que l'mté<êt pour les f•lms mil•tants est un ef'et de la cinéph'l e autant que du Pour concrétiser son invention, louis Lumière taurne quel ques petits films, scènes de la vie réelle, dant il donnera une première représentation publique le 29 décembre 1895, A partir surmoi po' t'que. Dans la cinéphihe-Qihie/5 de 1896, il envaie des opérateurs dans le monde entier fil mer, vands el petits événements. (celle cernée par Bazi11J, Il y a cette Idée du riSQUe, d'Un certain cpriX• des Images. Dans le cinéma militant, il y a cette idée du risque. Non plus un risque métaphys'que,mais un risque physique risque de Baignade de nègres (] 896) Plusieurs nêgres se jettent en meme temps al'eau, plongent, reviennent à la surface... n'êlte pas tà au bon moment, risque de re pas ma1\riser suffisamment la techniqùe, Nè2res en corvée (1896) risques judiciaires et même, riSQue que le Des negres font le nettoyage et le lavage d'un plancher film, une fois fait, montré aux gens qu'il concerne (ceux qui luttent et qui M sont pas des cinéphiles), ne leur pla·se pas, ne Enfants annamiles ramassant des sapèques devant la Pagode des Dames (18 99) Des enfants se précipitent pour ramasser les piécettes que leur lancent deux femmes. les alde pas, ne SOit pas compris par eux. La cinéph•l e, ce n'est pas se<.~lement un rap- ~s mines de charbon de Hongay (1899) port particulier au c1néma. c'est plutôt un Des indigènes gravissent/a pente en poussant des chariots. rapport au monde à travers le cinéma. Je me souviens de ce que disaient des gens Biskra : Enfants indigènes ramassant des pièces de monnaie (1 903) comme Moulle! ou Godard dans les années Un homme lance des pièces à des enfants qu1 se précipitent pour les ramasser. cinquante : 1ls avaient appris la vie dans le cinéma.• Entretien avec Serge Da ney par 8111 Krohn La Maison cinima et le monde (Tome 1.) de Serge Daney LE P. C.F. ET LA QUESTION PAYSANNE ~ LA COMMUNE COLONIES DE VACANCES L'IDËE ARMAND GUERRA 1913 1 35 MM 1 1,33 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 14' ANONYME 1932-33 1 16 MM 1 DOCU. N&B MUET 1 35' BERTOLD BARTOSCH 1935 1 35 MM 1 1,37 1 ANIMf\TION N&B 1 19' Scénario : luden Oescaves Contact : Ciné-Archives' Produdion : Le Conéma du Peup!e Contact : ClnéiTlathèque françaiSe• PRIX ET PROFITS ~ Première et touchante tentative dans l'histoire du etn!!ma, qui plus est par une coopérative libertaire, de reconstituer les débuts de la Commune de Paris. Apparition, in fine, des derniers communards. La municipalité ouvriere et communiSte de Bagnolet se bat contre l'héritage de l'ancienne malfle (conquise en 1928) et l'hostilité des services de la préfecture pour envoyer ses enfants J la mer. Colonies de vacances suit avec enthousiasme le parcours des jeunes administrds sur ITie d'Oléron, au centre de La Vignerie inaugurée en 1932. Le film fut diffusé par le Secovr.s Ouvrier International. PRIX ET PROFITS PRIX ET PROFITS 54 ~ YVES ALLÉGRET 1931 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 20' LA MARCHE DE LA FAIM Contact : Archives frança'ses du filrr• 1935 1 16 MM 1 FICTION OOCUMENTrE N&B 1 20' L'itm~ralre de la pomme de terre, du producteur (le paysan) au consommateur (l'ouwierJ. Las, entre les dewc sévissent les in/er~1aires et le pme dv féculent est mvlt!plié par cinq. Une seule SD/ution : /'umon des travatlleurs des villes el des travailleurs des champs et la Révolution. Prix et profits a été produit par la Coopérative de l'[nseignement laie fondée en 1927 par Célestin Freinet. Un film ou l'on reconnal!. entre autres, Pierre et Jacques Prévert. 1. M. DANIEL Interprétation : Jean Lurçat Musique : Joseph Kosma Contact: Cinémathl!que Universitaire- Paris Ill Un chômeur, seul et père de deux enfants, en plein désespoir, tente de se suicider. ln extremis, il va rejoindre le c/lem111 de la lutte ... La marcne de la fa1m, film •d'avant Je Front popvlafre. est fortement marqué, esthétiquement et idéologiquement. par ravant-garde allemande. Scénario, réalisation et production : Berto'd Bartosch Musiqlœ : Arthur Honegger. exécuté par les Ondes Musicales Contact : Archives trança:ses du l'lm' Base sur un livre du même titre par Frans Masereel, L'Idée est un film d'animation composé entièrement de woodculs (des formes animées se déplacent sur trois couches de feville de verre allumées par en dessous ou de côté). Ce film, allégorie tragiqve, symbolise la lutte de l'homme pour l'rdéal à travers la figure d'une femme nue représentant l'idée d'un artiste. Rejetée par l'homme d'affaires elle bureaucrate, elle est adoptée par un jeune militant. fnsemble, ils jugent l'oppression subie par les ouvriers et leur rébellion. GRÈVES D'OCCUPAT ION LA FËTE DE GARCHES CŒUR D'ESPAGNE ANONYME (COLLECTIF CGT) 1936 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS OUVRIËRES ti&B 1 12' ANONYME 1936 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS OUVRifRES N&B 1 10' GEZA KARPATHI, HERBERT KLEIN, PAUL STRAND, LËO HURWITl ET ALEX NORTll 1937 1 35 MM 1 1,37 1 OOCU. N&B 1 VERSION DE 16' Images : Jacques Lemare Contact : Ciné-Archives• Voi~ : Jean-Paul Dreyfus La fête dv parti commvniste et de son (Jean-Paul Le ChanOiS) journal, l'Humanité, en banlteue parisienne, Contact : Ciné-Archives• ManifestatiOns et greves de juin 1936 dansleparcdeGarches, le30.roDt 1936. Ce film montre d'abord l'afflux de la foule, en région parisienne. Les occupations un aperçu des stands s•tués au sein d'usines sont présentées comme joyeuses de la fête, des démonstrations sportives, des extraits de spectacles... et disciplmèes. Ce preetewc document sur la culture et les d~filés OIJVriers signe également une des toutes premieres rencontres entre le monde ouvrier parisien (les métallos en particulier) et une partie du monde du cinéma (les travailleurs du film et leur syndicat). ~ FILS DU PEUPLE La /tll€fTe d'Espagne sws ses aspects civils et militaires, nationaux et intemationaUIC. Cœur d'Espagne montœ les con~uences des bombardements, le r6le des paysans, le courage des soldats Œpublicatils et des Brigades intemationales et l'aide médicale américaine... Réalisé par un collectif de cinéastes de gauche américains. le film fut dtStribœ en France par les réseaux communiStes. ANONYME 1937 1 35 MM 1 1,37 1 FILM PUBLICITAIRE N&B 1 5' VICTOIRE DE LA VIE Contact : Ciné-Archives• F1ls du Peuple a~ réal1sé pour assurer la promotion de la biographie éponyme de Maurice Thorez, écrite en 1937 et diffusée à partir dv mois d'octobre de la méme année. De la représentation du •bonheur KENRI CARTIER-BRESSON EN COLLABORATION AVEC HERBERT KlEIN 1937 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 49' lma&e : Jacques Lenare et Herbert Klein Voix : P1erre Unik Contact : Ciné-Archives• bourgeois• à !Incarnation avant-gard,sle d'une mythologie prolétarienne. nationale et populaire... L'effort sanitaire et la mobilisatiOn de l'Espagne républicaine. sur le front et à l'arriere et la solic/ari~ médicale des pays étrangers, coordonnée par la Centrale Sanitaire lntematjona/e (CS/). VICtoire de la Vie a été conçu pour soutenir l'Espagne rêpubltcaine, présenter avec ~sion l'œuvre de la CS/ et obtenir des dons en argent pour celle-ci. ANTOINE BONFANTI c La premlt:rc bs qu 11 a apl)lls à tenir une perche, à rrc.'tre U'l m·cro a la bo"ne p'ace, c'éta t en 1945 su: La Balle et 1.1 Béte de Jean Cocteau. Depws. Antotne Bon'anlt n'a tarra s cessé dlrnagir.er le son, daO a sa ll!Ct'erthe, le Nagra à l'épaule. ~6 comme run des pion~iers du son direct en dl!cors rtaturels, 1 est auss• celui qui sUit la construction d'Wl ~fliVCls sonore, du tournage au miX.lgc. La liste est 1mrnense et les noms des réalisateurs pre~t·g~ux. Sll'o'l pointe les films dont~ e fa1t le roixase. enr~stlé 1.1 musique, au perChé les dialogues et leS so"s seuls - sans oublier les courts métrngcs ~on en compte au moins 430 ! Quelques titres parmi les films qu1 compter1t particulièrement pour tu1 : Murl~:/d'Aiain Res~ aiS (1962). Le Jali MJJ et ~Jette de Chris M41ker (1962), Pien-ot Le Fou de Jeao-Luc Godard U965l, Un Soir; Un Tram d'André Delvaux {1967), Le Dernier Tango de Bernardo Bertolucci 11973), Bertlfl-~ruS<~fem d'Amos G1t.lï (1988). • A ce portrait d'Anbnc Bonfanti écrit Jl<lf' Claude Baiblc. on pov•.a t riljOI<Ier que, Corse et communiste. né en 1923 à A;accio, Antoine Bont.!r.t fut loJjours. des cœnbals de la Résistance aux crea,,o,s cmérra:ogtllphi(;ues et m.:,:antes, un lro~me • engage • ESSC!1t1c cment à partir des ar nées 1960, Antclne Bonfantl prêta éiiNi son talent au meilleur du Cll'ér)a • pol !ICMl• ou • coote:;tataire •, à des cinéilstes comme Sl des fSl'OUPe5 m lltants , Godard et Marker mais aussi William KJein, Guy Debord, Alain Resnais, RenéVautier, Bruno Muel et le groupe Medvekine... 55 LA MUTILATION DE BARCELONE BREIZ NEVEZ ANONYME 1938 1 35 MM 1 1.37 1 DOCU. N&B 1 8' ANONYME 1938 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITÉS OUVRitRES N&B 1 12' Contact : Ciné-Archives• Contact : Cmé-Archives• Barcelone après es terribles bombardements Breiz Nevez illustre avec force les solides du 18 mars l!BB. La Mub'abon de implantations- trés /ocal~es- du parti Barcelone, COOÇIJ pourdénoncer • l'œuvre du fascisme intematiorlal•, montre l'ampleur des dég,ats materiels, le COlJrage de ra communiste en Bretagne, ainsi que sa population et les pertes rée/tes et symboliques nationale. Les plans sur la camionnette de subies par la France. Il fut aussi réalisé l'Humanité furent interdits par la censure. po/1tique culturelle sous Je Front populaire, politique syncrétique, /J la fois régiOnale et clans le but de susciter l'aide active de la population française. LA RELÈVE COLLECTIF CGT 1938 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 10' Contact: Ctr\é-Arch;.,es• AUBERVILLIERS EUE LOTHAR 1946 1 35 MM 1 1,37 1 OOCU. N&B 1 25' Réuni dans un modeste logis, un groupe Texte : Jacques Prévert de travailleurs du bJt,ment évoque Contact: Ctné-Archives• les luttes passées de la corporation, ses conquêtes et ses attentes scus un gouvernement de Front populaire. Un jeune travailleur du Mt1ment. rentrant tout juste d'Espagne, lance un appel pour une véritable mobilisation en faveur de l'Espagne républicaine. Descriptions parfois caustiques des conditions de travail et de logement clans les usines et les docks de la zone industlie/ie d'Aubervilliers où l'on découvre la colère de Prévert... L.A GRANDE LUTTE DES MINEURS 56 LA GRANDE LUTTE DES MINEURS L'HOMME QUE NOUS AIMONS LE PLUS RENÉ VAUTIER Nt ACAMARET 1 MER EN 1928 VICTORIA MERCANTO~ 1949 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 20' Texte et voix : Paul Eluard. Contact : Ciné-Arcrives• LA GRANDE LUTTE DES MINEURS COllECTif CGT 1948 1 3 5 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS OUVRIËRES N&B 1 12' Image : André Oumaltre Montage, son et commentaire : Paula Neurtsse et Fab'enne Tzank Contact : Cinè-Arch ves• La grè'.Je des mineurs françdis d'octrlbre et novembre 1948. Fortement marq~ par la guene froide, Je film fut conçu pour susciter une solidarité actiVe en faveur des mineurs en lutte. Il fut interdll par la censure, suite à l'arrêté du 6 décembre 1948 qui soumettait les films non-commerciawr à une censure préllable, ce qui permettait J'interdictron de la plupart des films miltlênts alors produits par le P.C.F. et/a CGT. Pour le liY anniversaire du • généralissime Staline •. après avoir parcouru la France. des camionnettes et des camions, chargés de présents, confluent vers Pans ou sont exposés tous les cadeaux qui vont élre envoyés à Moscou. L'homme que nous aimons le plus est une plongée soignée (el saisissante) dans l'organisation par le PC.F. du culte Stalme durant la guerre fro1de. Ce film, Interdit par la censure, n'obtint pas de visa commercial el non commercial. a EN AMÉRIQUE ! RAYMOND VOGEL 1950 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 12' Image : Paul Carprta Voix: Paul Frankeur Contact: Ciné-Archives• Mêlant des plans documentaires el des images fic/ionnelles, ce court-métrage militant dénonce avec virulence la présence et l'influence américaine en France ; des bases mitrtaiœs au cinéma, en passant par le Coca-Cora elles journaux pour enfants, symboles de • gangstérisme et de racisme •. René Va.ot er se situe !1 ravant scène de l'action m'l tante Cinél'"latographique en France Résista'lt a qu· rue ars. il ertre ~ rtDHEC en 19«6, lat ses sremères arTe:> sur le; wu•nages de films CO: e<:t fs, puar. réaliSe & v.ngt ens so'l premier film, Afrique 50. COI'lSldérê CO<T'!'I'e le premier film ar>tiCOlonialiS!e frdnça•s (treize lnc~lpations et une condamnaloo a un an de P'ISOf'.l f tn 1956, il part en Algér'le toumer dans les Aur~' Nementchas des images rares de • maqv·s de l'Armée de LIOén~tiDf1 N~Mnale (M 1)8S9et'a vingt-cinq mois dans une prison fLN en TullJ5te). En 1962, il partiCipe, avec le JeUne Al1med Rachedi, à la créabon du Centre Aud10'11 JJCI d'A~er pour forrner des tlnCastcs et diffuser des fJitPs ~ trdVl!r>; le pays. De rctQIJr en franco en 1966, il crw I'Uru~ de PrOOuction C•néma Bretagne puiS té31JSa re cêlèbre Awir Vins! 8/IS dans les Aurès (!972) dont le scénario s1nsl)lfe de témoignages. d'appelés de la guelTe d'A!gé,.,e. Dans les anr.ées 10, Va.ber tourne également de nombreux flm:; en vidéo avec des o..v.' ers lnotlmment Quand tu dl$8!$ Va~.y e:'l 1975), sur les pr~> blèmes 1/è:us en Bre'.agre (Marée noire, colère rouge en 1978), sur les CC~ditJQnS. de v·e d~ Immigrés en F'ranœ. ou e!l:ore sur la lori!;re en Algér1e {A Propos de rau/Tc délai/, 1988). .1\tJIOI.lrd'hui, n monte un film sur l'hilitO re. des irt1ilges censurées en FraMee. 57 AFRIQUE 50 LE CHOIX LE PLUS SIMPLE VIVENT LES DOCKERS RENt VAUTIER 1950 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 17' HENRI AISNER 1951 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 22' ROBERT MËNËGDZ 1951 1 35 MM 1 1,37 1 ACTUALITËS OUVRIËRES N&B 1 Il' Réalisation, montaze, narratioo : René Valt.ier Image : NICO!as Hayer, Jean lsnard Contact : Ciné-Archives Voix : Jean Grémillon Premier film réaliSé par René Vautier et prem1er film anticolonialiSte tranÇQis. cet efficace pamphlet contre le colonialisme en Afrrque noire valut <l son auteur treize inculpations et une condamnation J un an de prison en raison d'un décret datant du 11 mars 1934 (signé par l'ex-ministre des colonies P1erre Laval). Contact : Ciné-Archives• Tourné en quatre jours et vne nwt, monté en trois semaines, le film se construit à partir de • l'rmage paisible • des • simples gens • de Saint-Ouen et les images horribles de la guerre. Contact : Ciné·ArchM!S• Les luttes des dockers françaiS mobilisés contre la politique améncaine et le plan Marshall. le réarmement allemand et la guerre d'Indochine durant /'hwer et le début du prmtemps 1950. Le film fut interdit par la censure. Grand prix du documentaire au festival de KarlovyVary 1951. TERRE TUNISIENNE RAYMOND VOGEL ET JEAN-JACQUES SIRKIS 1951 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 30' Contact : Cmé-Arch VI!!. ;g 0 Réquisitoire contre le colonialisme français en Tunisie. Terre tun·sienne dont le ton virulent, parfois acerbe et caustique. n'est pas sans rappeler celui d'Afr'que 50, fut d'abord commandé par le Parti commumste tums1en René Vautier. avant que celui-ci ne soft ex.pulsé par les services du protectorat. a 58 CEUX DES CHAMPS GHISlAIN CLOQUET 1952 1 35 MM 1 1,37 1 FICTION DOCUMENTÉE N&B 1 20' MANIFESTATION CONTRE RIDGWAY D'AUTRES SONT SEULS AU MONDE ANONYME 1952 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 3' RËALISATION COLLECTIVE 1953 1 35 MM 1 1.37 1 DOCU. N&B 1 Contact : Cmé-Archives Contact : Ciné-Arch ves Filmé en terre llfT)()USine, un département rural~ forte tradition communiste et destiné au monde PiJysan, Ceux des champs décrit l'action des paysans contre la faiblesse des prix de ta Viande J la vente, et témoigne de la capac1té du parti communiste à s'adresser à d1vers secteurs de la société franÇ<Jise ainsi que de son implimlation dans certaines couches de la petite paysannerie française. Ce film n~ jamais été montré depuis sa restouran·on. Man~estation contre Ridgway est un indice de la violence des affrontements qui eurent Heu entre les manifestants et la police lors de la manifestation orifjjnisée par le P.C. F contre la venue J Paris du Général américain Ridgway. OBSÈQUES DE HOCINE BELAÏD ANONYME 1952 1 35 MM 1 1,37 1 DOCU. N&B 1 MUET 1 2' 30' YANN L.E MASSON Nt ABREST EN 1930 Ar>eM!I' êlêiiC Cie l'ENCP IJUIS de l'IDHEC, VdrJl le est penda;~t longremps r~;n des meolleurs du cinélr1a <frect ~ opérateur sur lJfle trentaine de loogs mélrages, ii réa'·se Pill'llltèl&meN~ films militants, dOnt le documen!;me J'ili huit ans 11961) sur des enfants algériens réfugiés en Tun SIE!. Il part au Japon au début des an rées 70 ~ lma&e : Claude Martin, Paula Neunsse Contact :Ciné-Archives" ~ Portrait hagiographique du jeune marin Henri Martin, empflsonné pour son oppos1tion à la guerre d'Indochine. Parfois nommée •l'affaire Dreyfr.Js de la quatrième Républrque •, l'affaire Henri Martin révèle entre autres les capacités de. mobilisation du PC.F. ainsi que son engagement contre la guerre d'Indochine. Interdit par la censure, le film fut saisi par le commissaire de Melun lors d'une projection milrtante à Kashrma Paradtse (1973-75). Plus qu'un documemaire sur la réiiOiution industrielle ~ponaose. ce en mars 1953. SOCJa'e ol co-réal se Le Poiss/Jn commande (1978.l ct en ram~ne trente heures d'images quo aboutiront folm POi oloque analyse avec une grande méeantsmes soc:~aux r~gueur les et idéologiques de la Jttiété japonaosc. A partir de 1976, le C1néaSte partiCij:lè.à la r6alosahon conectove de films d'ontervention avec René vaurer el Nicole Le Garrec, P<J.S plusleo.!rs films avec tes femmes du MotJVement pOUr ta Contact: Ciné-Archives• loberté de I'AYOrtcmcr.t et la Contraception (MLAC) d'Aix-en-Provence dont Reg;Jrde, elle a les yeUK grands ouveJt5 (1979-80). Les obséqves. à Aubervilliers, le 13juin 1952, de Hocine BelaTd, ouvrier muniopal mortellement blessé lors de la manifestation contre la venue du Général RKig.vay. •Fi lms restaurés par le Service des An: hives fra nçaise du film el du Dépol t!~al du Centre National de la Cinématazraphie, dans le cadre du plan de Sauvezarde des Films anciens du Ministère de ta Culture. 59 SUCRE AMER (OU DES CRÉOLES EN COLÈRE) YANN LE MASSON 1963 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 26' Contact: Les Films Grain de Sab'e 1 j ~ o..___~~--....E..~----1~.:.~.,;; '<& 38 1 ANNIVERSAIRE DE LA RÉVOLUTION D'OCTOBRE ANONYME 1955 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 13' lma&~ : André Dumattre Conlact : Ciné-Arch1ves Le d1scours de Maurice Thorez (secrétaire général du P. CF.) tors du 3& anniversaire de la Révolu/Jan d'Octobre, le 8 novembre 1955 aPariS, au Vélodrome d'hrver. Apres avoir été longuement applaudi par une foule estimée a20 lXXJ personnes, Thorez fait l'apologie de la révolution soviétique. Le film montre la prégnance du culte de ta personnalité de Maurice Thorez, l'attachement du P. C.F. à Staline deux ans aprés la mort de celui-ci. et la volonté pour le Parti communiste de nouer désormais des alliances avec le Parti socialiSte. 60 J'Al HUIT ANS YANN LE MASSON ET OLGA POLIAKOFF 1961 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 8' Production : Comité Maurice Aud•n Contact: les Films Grain de Sable J'ai huot ans. court-métrage toumé clandestmement pendant la guerre d'Algérie, est réal~ apartir de dessins d'enfants algériens recueillis en 1961 dans un camp de réfugiés en Tunisie. Par leurs dessms,les enfants expriment toute l'horreur de cette guerre qui les a obligés, eux et leur famille, à fuir leur pays. Le film sera mterdit par la police et saisi dix-sept fois. Le visa de censure ne lui sera accordé qu'en 1974, douze ans après la fm de la guerre d'Algérie. Documentaire tragiqÜe, le • bon Zoœil » venu de France. éloquente image de foule que l'on pousse comme un troupeau l'l!fS la mairie de la grande ville... Documen/iJire comique: comique, Michel Debré. lorsqu'tl essaie de faire croire a tous ses auditeurs, orig;nau<!S pour la plupart d'Afrique, des Indes, de Madagascar ou de Ch1ne, que leurs ancétres sont des Gaulois. Documentaire irréfi.Jtable enfin, par tous ces témoignages de créoles en colère parce qu'ils n'ont pas reçu leur carte d'électeur et qui citent/es nombreux cas de morts qui ont r déposé • un bulletin dans l'urne! V ENDREDI SAINT A POLYCARPA LE GLAS ANONYME 1966 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 6' RENÉ VAUTlER 1964 1 BETA SP 1 FICTION DOCUMENTÉE N&B 1 S' Contact : Dovidis Image : Ali Marcxk Voix : Dj.b~l Diop Mambety Occupation sauvage de terrains par des sans logis, en majorité des paysans, portant Musique : Black Panthers leur maison précaire A dos d'homme, filmée par des militants colombiens. Contact : CinémathèQue de Bretagne Film r~alisé avec le ZAPU (Zimbabwe ~ TROTSKY Afn'can Party for Unity), sur trois JACQUES KtBAD IAN 1967 1 16 MM 1 DOCU. N&"B 1 50' révolutionnaires africains pendus à Salisbury Le Glas fut interdit en France lors de sa sort1e. Contact : Jacques Kébad 1an Portr.Jit de Trotsky réalisé A partir de scènes reconstituées et d'images d'archives. D'abord réalisé pour l'ORTF. ce film ne fut RIO CHIQUITO JEAN-PIERRE SERGENT 1965 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 20' BRUNO MUEL NÉ ASAINT-CLOUD ER 1935 8rUI'Io Muel est l'~ des rg;.~res de proue du cméma cf l'lter\lentJon SOCiille. en France et a tw'I'C!!i le œoMe OpératclK ôM!C Jean-Pierre Selgetl: et Marcellne lor!dan s.r Algérie année 0 (1962), 1 IOV''llll f!IISUI!c en COI<lmbll!l (Rio Chiquito et Cam1t10 TOfrcs, 1965} en République Centrafricaine !sangha, 1967-68), en Jordanie et en ltak CLes Pafaslimens, ~ KIJI'dtSIJn lfakien, 19691. au Pa}'S Basque espagnol ( Borboka, 1972), au Cl'fu (Septembre r;fi/lterr, 1973), en A~la {Angola, fUetrC du peuple, 1975), et au Sahara Dttidental (SaNra (J(x;lrJenttJI, 111d~pendilnce txJ gdi1ot;.it!e ?. 1975-76).. Sur le front l'tel<.agonal. 11 part1C<PC en 1967 a Larn diJ Vietnam (séqtlence restée irl6dtle de Ruy Gerra), puis à Oser lutter. DSef ~lncre (1~) de Jean-Pierre Tl'om et à Mat 68 par lUI- pas diffusé à la MléviSJon. meMe (1978), Avec. le groupe t.'edvedkine. 11 LE PREMIER MAl 1 967 À S AI NT-N A ZAIRE I'T'arquan\s Classe de lulle U%81, Scx:hatJx. ll jullll968 (19701. tes 'Crois ~rts de ta .;eu970), sang des autres U9741, capt.va~t dœsier s~'!' la Y'lr ~à SOchaux et à Image : Bruno Muel CAMILLO TORRES Contact : Dovid's Document tourné en Co/om/);e, BRUNO MUEL ET JEAN-PIERRE SERGENT 1965 1 35 MM 1 DOCU. N&B 1 10' avec la guérilla des FA.R.C, dans Contact : DO'IidiS MARCEL TR1LLAT ET HUBERT KNAPP 1967 1 BETA SP 1 REPORTAGE N&B 1 25' au moment de l'attaque de l'armée Entretien en frança1s du prêtre colombien Contact: Archives Départementales gouvernementale. Camillo Torrès qui a rejoint le maquis de la Se. 1e-saint-Denis la zone d'autodéfense de R1o ChiqUito de I'E.L. N. et fut tué quelques mois après avoir accordé cette interview. Bcsançor, ses ft:rrs.les plus Week end ASoi;IJaw-U97ll pour i!Ooult a A\1'8C~ lence patronale aux usines Pea..geot. Le premier mai 1967 à Saint-Naza·re, reportage sobre et émoi.Jvant, donne la pi:irole aux ouvriers de la constructpn navale aprés deux mois de grève. Ce film fut interdit d'antenne par l'ORTF qui l'avait pourlant commandité. 61 LA REPRIS E DU TRAVAIL A UX USINES WONDER CE JOUR- LÀ JACQUES KRIER, MARCEL TRILLAT ET PAUl SE BAN 1967 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 30' Scénario et réalisation : Jacques Krier <& A BIENT6T J'ESPÈRE CHRIS MARKER ET MARIO MARRET 1967 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 43' Son : Antoine Bonfanti Contact : ISKRA Besançon, mars 1967 Témoignages de travailleurs usés et viet!fis précocement par les •troiS-huit•. Des dizaines de licenciements sont annoncés aux éfabltssements Rhodiaceta; une grève, incertaine. se déclenche. L'avanl-m<li, entre la grisaille et la révolte quigronde. LE FOND DE L'AIR EST ROUGE CHRIS MARKER 1967-77 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 COUL 1 180' Interviews et enquêtes : Marcel Trillat Montage : Paul Seban, Srig:tte Dornes Voix : Simone Srgnoret, JOtEe Semprun, Contact : Ciné-Archives Davos Hanich. sandra Scarnati, Franço;s La mobilisatton et la manifestation des Jeunesses communistes contre la euerre du Vtet-Nam, le 26 novembre 1967. Ce reportage suit principalement un groupe de jeunes communistes partis en bus de Lille jusqu'à son retour dans la cité nordique, aprés avoir traversé Saint Denis et manifesté à Paris. place de 1.3 République. POURQUOI LA GRÈVE? PAUL SE BAN 1967 1 16 MM 1 REPORTAGE N&B 1 43' Contact : Archives Départementales Son : Chris Marker Maspero. Laurence Cuvillier, Franço·s Pérter el Yves Montand. Production : ISKRA. INA, Dovtdts Contact : ISKRA • ... Au cours des dtx dernières annèes. un certain nombre d'hommes et de forces (quelquefois plus lnsttnctives qu'organisees) ont tenté de jouer pour leur compte -fut-ce en renversant les piêces. Tous ont échoué sur les terrains qu'ils avaient choisis. C'est quand mème leur passage qui a le plus profondément transformé les données politiQues de notre temps. Ce film ne prétend qu~ mettre en évtdence quelques étapes de cette transformatiOfl. • Chlis- de ra Seine-saint-Denis Raisons des gréves et techniques de moblt.5abon en France dans les années 70. Film commandité par la CGT. SANGHA BRUNO MUEL 1968 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 20' Contact : David is Des chercheurs de diam<lnls en Afrique noire. 62 1 UN FILM COMME LES AUTRES JEAN-LUC GODARD 1968 1 16 MM 1 FICTION COU LI N&B 1 100' LE CHEMINOT FERNAND MOSZKOWICZ 1968 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 22' Contact : Fernand f-loszkOWICZ D ' UN BOUT À L'AUTRE DE LA CHAiNE GROUPE CINÙHIQUE 1968 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 20' Contact : Ci lémalhèque frança se LE GROUPE «MEDVEDKINE,. Le groope est ne en déceMbre 1967 de la prise de consoenc:e par des rru rtams ~ l:lesançon que le vértlable dnéma proléta. r en ne peut ê:re I'ŒINnl que des prolétaires do eux-mêmeS. Contact : Gaumont En mai 1968, un cheminot parfois étonné, toujours attentif, VISite la Sorbonne A~ac Je pcAAOir de la té.t!, les masses sont Auparavant. d'avr"l a décembre, Cll•IS Ma•ker • Un film comme les autres se décompose occupée. Il se mêle aux multiples transformées en téléspectaleurs. Les et Mario Marre! ava~ent réalsé un film sur la mécaniquement en trois éléments: deux images visuelles et une sonore. Les Images groupes qui se font el se défont, écoute et échange, témoigne de ses conditions •CommémoratiOns• de 1968, dtx ans après, visuelles étaient d'une part un groupe de travail. On a libéré la parole. représentations• enchainent ainsi les masses Manifestation de solidarité, en juin 1968, grève de l'us1ne Rhodraceta de Besançon À blentDt, fesp&e Le 27 avnl <JVait lieu a Besançon la première du film devant les rnilrtarts de la Rhod aœta, qu1 •en pensaient pkJ!Ot dtJ ben• matS le trouYaienl un peu •trtste• et •romantique•. Tri~te parce que, selon eux, ü manque de per. spect1ves et romantique parce que s'il montre des militants et des grèves. il escamote la prépa raton des grèves et la formation des militants, tout l'aspect le plus Important du rn1libnUsme en us•ne. ChriS Marker et Mario Manet avarent répondu que le film qui montrerait cet aspect ne pouvait etre ra·t que par autour de la Maison de la radio investie par la police. les ouvriers evx-mêmes. Le groupe s'est baptisé Medvedkrne, du no'11 en foumrssent un bel exemple. •Les d'ouvriers de Flins ct d'étudiants de •aux rapports d'exploitation el de Vincennes discutant des événements de mai-juin 1968, et, d'autre part, des dénominatron•. plans tournés par ces mêmes étudiants et ouvriers pendant cette période. L'rmage sonore était faite d'une multitude de teJdes - •théoriques et pratiques• -produits par les luttes révolutionnaires- nationales et étran~res- de 178911 1968. • Jean-Luc Godard LA REPRISE DU TRAVAIL AUX USINES WONDER IDHEC 1968 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 9' OPÉRATION JÉRICHO ANONYME 1968 1 BETA SP 1 REPORTAGE N&B 1 3' Contact : les Productions de ta Lanterne Cnntact : Archives Départementales Avant de devenir le prétexte et le but de la Seine-Saint-Denis du beau frlm d'Hervé Le Roux, Reprise, une des images-symboles de 1968 hantait d~ la mémoJre de nombreux cinéphiles et militants. Simple plan-séquence d" çlnêaste SOViét que qur, dans les années 3(), M t tcrt.e de faire du cin~11a un moyen d'une ic6ne en colère, d'un err. Une jeune femme craque : elle ne veut plus •refoutre les pieds dans cette taule dégueulasse• Des hommes l'entourent, lui disent, de manière contradrctoire, ce qu'il faut faire, et reconstituent devant nous le petit théâtre de 1968. de formllltln dilns la l utte ~mique des OSER LUTTER , OSER VAINCRE JEAN-PIERRE THORN 1968 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 88' populatrons Cdmpagnardes et animé un tra1n de propagande ci~ro:Jt;ograph·que. (CIN! MA 70, N° 151 , OËCEMBR EI Contact : les Productions de la lanterne A l'usine Renault de Flins, Ja base déborde Je syndicat et occupe l'usine sans attendre les mots d'ordre. Cela ne va pas sans mal... 63 CLASSE DE LUTTE LES TROIS COUSINS LA CARAVELLE GROUPE MEDVEOKINE 1968-69 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 37' RENÉ VAUTJER 1969 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 10' RENË VAUnER 1970 1 BETA SP 1 FICTION N&B 1 8' Contact : ISKRA Image : Bruno Mlle! et Robert Besançar, après 1968. Les owriéres et les otMiers, malgré les pressions etles sanctions, relè.enlla téte. Suzanne, une délégrk cc;r. belle comme une.Jean Sebetg filmée par Gcdard, exp/que son combat quolidien qui I'O!Me aux autres et au monde. !o. ~ Léz~..>n Interprétation : El,zabelh Wtener Derdour, Hamid OJel ouli Contact : Cinémathèque de Bretagne Montage : Nedjma Scia·am, Eric Faucherrl. <9 RHOOOA•o lmag! : Bruno Muel Interprétation : Mohar>ecl Z<net, Farouk Anne Papillaut Musique : MIChel Portal. Françoise S!arckenberg Production el diffusion : UPCB, Regane Films. O.A.A. A œuse du souvenir /JoumatiSélnt de la guerre d'Algérie, une jeune inslrtutrice française, qui enseigne en Tunisie, noue des rapports diffiCiles avec un orphelin a/gt:rien. Contact : Cmémathèque de Bretagne SOCHAUX, 11 JUIN 1968 Fiction tragique sur les conditions de vie de trois cousins algériens~ la recherche d'un tra~ail en France. Logés dans un étroit réduit, le poêle à charbon proYOque leur asphyxie. COllECTIF DE CINËASTES ET TRAVAILLEURS DE SOCHAUX 1968-70 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 20' FRÉDÉRIC VARIOT, MARCEL TRILLAT ET L'ÉQUIPE DE SCOPCOlOR 1970 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 60' Image : Bruno Muel Contact : Archives Départementales de la Conll!ct : ISKRA SeitM:·Saini-Oenis Sochaux le 11 juin 1968 : • l'ordre et/a reprise •. Après vingt-deux jours de grève, la police ne fait pas de détails, deux morts, cent cinquante blessés. Images et témoignages. <)Î MICKEY AU VIETNAM ANONYME 1970 (DATE INCERTAINE) 1 16 MM 1 DESSIN ANIMt SATYRIQUE N&B 1 2' Contact : ISKRA RHODIA 4/8 GROUPE MEDVEDKINE DE BESANÇON 1969 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 7' Contact : ISKRA 64 ËTRANGESËTRANGERS Colette Magny préte sa magnifique voix de chanteuse de blues au combat syndical. C'est la guerre américaine au Vtetnam. Mickey s'engage. En Seine-Saint-DeniS (Aubervilliers et Sarnt-Denis), au début des années 1970, bidonvilles, foyer.; insdlubres et caves ~accueillent • de nombreux travailleurs qui participent tl/a prospérité de la Fraflce. Dans une intervie.v mémorable, Francis Bouygues, justrfie le tout avec un certain talent (et beaucoup de cynisme). Document unique sur les conditions de vie et de logement des travailleurs immigrés, Etranges Etrangers montre également des solidarités syndicales se développer face à ces situations lamentables. WEEK-END À SOCHAUX BRUNO MUEL, THÉO ROBICHET ET ANNA RUIZ 1971 1 16 MM 1 FICTION DOCUMENTÉE COUL 1 57' Son : Antoine Bonfanti Contact: ISKRA NOUVELLE SOCIÉTÉ N-8 RÉALISATION COLLECTIVE 1970 1 16 MM 1 DOCU. N&B 1 12' Un film écrit, joué et rêvé par le groupe Medvedkine de Sochaux, composé de jeunes ouvriers travaillant à la ch:1Tne chez Peugeot et de techniciens du cinéma. Contact: ISKRA 256 PRO.BI.È\111S Tii.ÉORIQUES DU C!N&IA Mn.rrANT. ... ,.._p..ttp) · - · ·"" ~!=- Film réalisé par les ouvners de l'usine Penarroya à Saint-Denis pendant l.l première grande grève de travailleurs immigrés. Images de la greve, des cond1tior15 de vie et de travail des grévisles. W.ti~Ma:~& ...... lE CINÉMA m· LA PALESTINE. ~-", , - - :SRECHr. -~ l ~·~-~~Jouroal .X ~n.il~ OJTIQUüS. ,._.... TECHNIQUEMENT SI SIMPLE RENt VAifTIER 1971 1 BHA SP 1 FICTION N&B 1 18' ... _..~ ~~:11&11~ . . . . . . lOF. Image : Bruno Muel Production: U.P.C.B Contact : Cinémath~que de Bretagne Un technicien coo~rant se remdmore son •travail technique• lorsque, durant le conflit algénen, JI Installait des mines qui tuent encore de nombreux civils. Essai préalable au tournage d'Avo1r vingt ans dans le> Aurès. ALBERTINE, LE SOUVENIR PARFUMÉ DE MARIE-ROSE COLLECTIF EUGtNE VARLIN l972 1 35 MM 1 1,37 FICTION COUL 1 25' Contact : Jacques Kébad an AVOIR VINGT ANS DANS LES AURÈS LES CINÉASTES RÉVOLUTIONNAIRES RENË VAUTIER 1972 1 35 MM 1 1,85 1 FICTION COUL 1 90' PROLI~TARIENS Son: Anto· ne B:lnfanti Contacl : Cinéma P~bl1c Films Huit cent heures de témorgnages condensés dans une chron~que filmée reflétant l'état d'esprit des jeunes du contingent appelés ou rappelés en Algérie. Le film est tourné en Tunisie, comme un • documenta/ne recorl5titué • et retrace la vie d'un commando de chasse dans lesAurèsenavril1961. Une nuit, un des soldats, Noé/, déserte avec un prisonnier pour échapper à la corvée de bois. réalité lor- damclltlllc la plus ta!:~ à l'on:e ect..e; • rUSJno ce MQUVemellt ~Ill ondlCe de ~:lon ne senlé VOilé) te (lUI nciJS UTHt, la dênonciatJon de la ré)XI!SSIOn etc·~ re=l!el. Quart â œ qu nolli !1 ffé enc~e, c'est une Question de po nt de YUc · rKJJS par+.OflS, noLS, de la révolte des maSSICS Pour jlilrtir do li! révolte comme I"Wthode d"ana1)1se et lie ccmprêMI!I'Sion du monde, on doit adopler d'aut~ méthodes de lrava 1 , !alli Otre ''~ aux masses, aller aux masses C'esl toute une conception du monde. Nous <Jvcm~conr~anœ dans l'avenir, et nous pensons que nos amis 'Cin~astes errrprunteront la Même vo·e que not-s en l'enr'ch.ssanl de- Ioules leUIS expénences. SEPTEMBRE CHILIEN BRUNO MUEL Un film qui met en scéne des JeUnes filles etjeunes ga~ns de 14 à 18 ans qui newendiquent leur droit à une sexualité sans entraves et le droit à l'avortement pour les mineures. L., · m de Karm tz, Camarades, md que la préCCC\. pat'on d'un ~ ~' la (CINtMA 70, N°15l, DËCEMBRU 1973 1 16 MM 1 OOCU. COUL 1 39' Contact: ISKRA C<Jmpte-rendu à chaud des journées qui ont suwi le coup d'Etat du général Pinochet. ASantiago, la peur se lit sur les visages. Des milttants de l'Unité Populaire osent cependant parler. ébauchent des explrcations, font part au monde de leur détermination. Les obsèques de Pablo Neruda donnent lieu à la première manifestation contre le régime. 65 L'AUTRE FAÇON D'ÊTRE UNE BANQUE COLLECTIF CINÉ lUTTE 1974 1 BITA SP 1 OOCU. N&B 1 38' Contact : Les Folms d'Ici A partird'mterviews de grévistes et d'images d'occupaDon!; et de manifestations, ce film mili/Qnt retrace le déroulement d'une grève au Crédtt Lyonnais A Paris, au printemps 1974. La plupart des scènes de manifesta/Jons et de grèves sont filmées à l'intérieur et à !'~rieur des sièges du Crédit Lyonnais. JUSQU'AU BOUT CHARLES BITSCH ET COlLECTIF CGT 1978 1 16 MM 1 REPORTAGE COUL 1 8' Photo ' Marie Jésus Diaz Son : Jean-Plerre Jacquet Scénario : Jacques Dupont Dessin : Michel Q<Jare:z Personnalité : Georges Séguy (déclarabon du 28 juin 1978). Contact : Archives Départementales de la Seine-Saint-Denis La CGT et la politique, simplement conçu - montage de témoignages off et de photos - présentent la nécessité et l'efficacité d'une propagande confèdél'ille reposant sur des revendications concrètes. CINr LUTTE 1975 1 BETA SP 1 DOCU. N&B 1 39' # 66 LA CGT ET LA POLITIQUE LE REMORDS KASHIMA PARADISE RENË VAUTIER ET NICOLE lE GARREC 1973 1 BETA SP 1 FICTION COUl 1 10' YANN LE MASSON ET YANN OESWARTE 1974 1 16 MM 1 OOCU. N&B 1 110' Contact : Cinémathèque de Brelagne Contact : Les F11ms Grain de Sable M1rolr de l'attitude de nombreux cirW<Jstes français qut s'autocensurent d<Jns les années 60et 70, l e Remords montre comment un réaltsateur justifie le choix de se taire sur les problèmes des immigrés algériens. Document;; ire tourné au Japon sur l'hiStoire d 'un village bouleversé par f'édtfication d'un complexe industnel géant. Ce film dénonce les violents affrontements entre les forces de l'ordre et les paysans qu1 refusent de vendre leurs terres au profit de l'expansion économique du pays. Contact : les Films d'Ici En 1971, des travailleurs immigrés entament une grève de la faim dans l'égliSe de Ménilmontant pOUr protes lw contre la circulaire Fontanet-Marr:e/lm qui restreint l'obtention des cartes de séjours et des cartes de travail. Exemple-type de cméma militant dénonçant/a légrslation du travail et les conditrons de recrutement des OtJVriers ètnmgers, ce film tourné sur le vif s'attache à décrire l'ambiance chaleureuse de la grève et des manifesta/10/ls. COCHON QUI S'EN DÉDIT JEAN-LOUIS LE TACON 1980 1 VHS 1 OOCU. COUl 1 45' Contact : les Fi'ms Grain de Sable Un jeune agriculteur barbu, les pieds dans le ltsier; le doigt dans l'engrenage de l'endettement, crie sa colère, ses fantasmes el ses phobies. Il est dans la merde jusqu'au cou. Quand le meilleur du cinéma militant de la fin des années 1970, caustique et provocateur, aborde les rives de la psychanalyse... REGARDE , ELLE A LES YEUX GRANDS OUVERTS NOUS, SANS PAPIERS DE FRANCE YANN U MASSON ET LE MLAC 1982 1 16 MM 1 DOCU. COUL 1 100' RÉALISATIONCOLLECTIVE 1997 1 35 MM 1 1,66 BANDE ANNONCE COUL 1 3' Contact : Le5 Films Gra'n de Sab'e Ce film 13CCflre l'histoire d'un groupe Conlact : ACID LA DÉLÉGATION LE GROUPE CHRISTOPHE CORDIER 2000 1 BETA SP 1 OOCU. COUL 1 35' •DZIGA VERTOV• Contact : Ateliers Varan Ils lavent les trt~ins, ils briquent les locos, ils aspirent et ramassent. Les chefs, les de femmes d'A/x-en-Provence et de leurs Un visage de femme 001re (Madjtguéne clans, les divisklns. Ils sont tous immigrés. proches, maris, compagnons, enfants, Cissé) sur fond noir, un simple plan- Certains subissent. d'autres relèvent de 1975 ~ 1982. Ces femmes découvrent séquence, fixe, des paroles sobres la tête. SUD Rail, nouveau syndicat créé aYee le MLAC qu'elles peuvent ensemble transformer el vivre autrement des et précises. L'mjustice au grand jour. ~ la SNCF. tente d'aider et de développer moments aussltmportants pour elles que :avorter; accoucher, choisir de faire ou non un enfant. RENË VAUTIER , L'INDOMPTABLE MICHEL BOYER 1995 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 26' Contact : René Vauber LA LIBERTÉ SANS RIVAGE SOPHIE LABONNE 1997 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 20' Contact : Sophie Labenne Mars 1997,1e Il ème arrondiSsement de Paris, tout juste acqUJs aux socialiStes, coml'Tiémore la Commune de Paris par la mise b feu symbolique d'une gui/lolme. la sect1on nettoyage. Une grève régionale se pr~pare sur fond des 35 heures. Arn'veront-ifs ensemble à lutter et .!1 organiser la solidarité ? •Ailrè5 Ma', j'.i rencontré un garçon, m ij(ant des Jeunesses Commun:s!es Manustes 1h1 Mtes )ell'l-P.em! Go•" : c'était la rencontte de deUil pef'30!1ntS. l'~me oter.ant dU cmtfNI I'O!'Inill, ~ un m· ltllnt qw aVIlit dlicld6 que talle do tifltma était rune de ses tacheS I)Oimques • Il fola pour lhêotiser Me• d rel)aliSer è Ill pallque ll!nd 111.1e moi te. wutais me 6er -' quelq.u un qu· ne w:Jla t pa:; du dnêma. Bret, l'un dés rant faire du ciné~. l'autre dês•ra~t le quitter, c'était essa-,er de cons~ru~tc une nouvelle unité fatte de deux cantra irL'S, selon le concept marxiste, et donc essayer de constituer une nouvelle cellule QUi ne fasse pas du cinéma polrtique mals qui essaye de faire pol'trquement du oréma poUtiQue, cequ ét!ut assez différent de ce que lai· sa~entles autres cinéastes milrtants.• Jean-Lu c Godard (CINtMA 70, N° 151, orcEMBRE) Le film interroge le mythe communard, tmission de Michel Boyer, produite par en donnant la parole aux héritiers : 1œil du Cyclone et dtffusée svr Canal+ les mamfestants, et aux acteurs de en 1996. l'événement: des brt~illements de Jules Vallès av lyrisme de Louise Michel. Mt!lant fiction et documentatre, La Liberté sans rivage revient sur les contradictions d'une révolub'on brisée, et sur son humanité. 67 ROMAN KARMEN , UN CINÉASTE AU SERVICE DE LA RÉVOLUTION PATRICK BARBtRIS ET DOMINIQUE CHAPUIS 2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 90' Contact : Ku iv Prod~ct ons SABRINA MALEK ET ARNAUD SOULIER 2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 60' Documentaire passionnant sur la guerre d'Espagne, Roman Karmcn et les mises en scenes de la révolution. Cinéaste et combattant. cameraman d'un sang froid particulier, contrebandier de l'image ou metteur en scêne de génie, de la constructton du socialisme en URSS au début des années trente aux barrieëdes de Tolède pendant le guerre d'Espagne, des grottes du Yu Nan avec Mao Tsé Toung ti la rédtlion de Von Paulus à Stalmgrad, de l'ouverture des camps ti la chute de Berlm, dei maquis du V.retnam Minh avec Allende : Roman Karmen a chevauch61e siêcle. Contact : TS Productions <f {y RENÉ VAUTIER, CINÉASTE FRANC-TIREUR Portrait du cinéaste mJ/1/ant. son parcours et sa rénexion sur l'engagement, construit ti partir de ses témotgnages et d'CA:traits de ses films. IMMONDIALISABLE YOUSRY NASRALLAH 2001 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 4' Contact : les Films d'lcl En association avec les Cahiers du cinéma elles Films d'Ici, La Sodét.é des Réaltsateurs de Films a proposé â des cinéastes du monde entier de témoigner des conséquences de la mondta/isation dans leur pays à parttr de la question suivante : • Que vous mspire l'idée selon laquelle la mondialisation met en péri/la pluralité de la création cinémalqfraphique ?•· ON N'EST PAS DES STEACKS HACHÉS AliMA AROUALI ET ANNE GALLAND 2002 1 BHA SP 1 DOCU. COUL 1 54' Contact : A 'rna Arouali et Anne Galland Il était une fois, l'hiver 2001-2002 A Paris, au Mc Donald's du Faubourg Saint-Denis... Pendant 115 jours. les 40 employés du McDo vont tenir téte àU géant de la restauration rapide, jusqu'~ la victoire. Avec l'aide de nombreux militants de leur comité de soutien, ils découvrent le droit du travail ella lutte syndicale. EN PARLER OU PAS LA POLITIQUE MARION LARY 2002 1 BETA SP 1 FICTION COUL 1 30' Contact: V.LR. Productio:ts Claire, 20 ans, est vendeuse J mi-temps dans une croissanterie. Makomé, son nouveau copain, a dtsparu. Il n'a pas de papiers. Il est Zaïrois el peut étre expulsé au momdre confr(jfe. Claire décide de l'aider. Son parcours la conduit dans dtvers l1eux associatifs qui lui permettent d'interroger la réàlité de l'engagement politique aujourd'hui.. . DE LA DICTATURE DU BIEN-ËTRE STÉPHANE ELMADJIAN 200 2 1 BETA SP 1 DOCU. COUL 1 3' Contact: l.ardux Fllms 68 "' 0 0 Des caisses de supermarché, un vigile, un monde idyllique. .. JENINE, UNE VILLE SOUS SILENCE ARLETTE GIRAROOT 2002 1 BETA SP 1 REPORTAGE COUl 1 20' Contact : Arlet:e G1rardot Dernier jour de COUliT'f!-feu (18 avril) et premierjour d'ouverture de Jenine: les habitants découvrent J'ampleur des destructions. Le 2 ma1 2002, le secrétaire e(méral des Nations Unies, Kofi Hannan, faisant droit au chanlilge d'Ariel Sharon, d1ssout formellement/a miss1on qui devait faire la tumiére sur les événements du camp. MANIFESTE HUGO VERLINDE ET H(LËNE DESCHAMPS 2002 1 16 MM 1 EXPtRIMENTAl COUL 1 12' Contact : Collectif Jeune Cinéma Parr::e qu'il est urgent de crier qu'il f<lut enfin faire du cinéma de toul. Qu'il faut enfin faire de tout du cinéma. Apropos de tout, de tout ce qui fall notre vie, nos espoirs, nos luttes, nos rêves. Parce qu'il est nécessaire qu'existent enfin sur un écran notre monde, notre réi3/llé, notre vérité. L A TÉLÉVISION NOUS ENCULE liONEl SOU KAZ 2002 1 VHS 1 EXP~RIMENTAL COUL 1 7' Contact : Lionel Soukaz •Je trouve des verres pornos de lanterne magique qu'en rentrantJe mets devant ma télé, etj'enregistre. Merr:i à Agathe Dreyfus. • """'~- Contact : Ag•nce du court métrage BOM B I RAQ 1 -# Toulouse, 21 septembre 2001, 10h17, t'usine AZF explose. Les dégJts son/ considérables. Le site a éM totalement dévasté ainsi que les alentours. Plusieurs milliers de personnes seront marquées pour la vie. Mais la vic continue..• En mal 68, certains d'entre oo.JS trava a.ert au sein de la Commission de la D-ff~s· 0'1 des tœts généraux du Cmérra · cette COMmiSSicll OrgAJnisa'l et assurait notamment des projections de ~IIT'S pour les grév:stes t:ui occupe1cnt ma·. de nombreux leur:; en'repr ses. Après Clnœstcs Cou g•o.Jpes de onéastesl 011! eu pour bt.t ta réaliSIIboo ce films cUl:!; •mî !anis• Par'ars. leur acti~1té avait d'ailleurs débuté avant ma 68. Ces films étaient géfl(!ralement l'express 0!'1 de différentes tendances de gauChe ou gaucMte . cette diversité ne d01t pa~ 1 LIVE IN A BUSH WORLD MASSACRE POLITIQUE À LA TRONÇONNEUSE (TEX AS CHAIN POLITI CAL MASSACRE) l'appartenance soct~les de beaucoup de Cinéastes. Parm· nous. œrt<um éta1ent com- LIONEL SOUKAZ 2002 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 6' liONEl SOUKAZ 2002 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 6' l!lns e-~a tl"t COllaboré & des f 'ons comme A Contact : Lio,el Soukaz Contact : Lio~el Soukaz •Les trois premières minutes que j'ai filmées sur les ChampS [lysées, ilia ~ou L'USINE S'ENGAGE JACQUES MITSCH 2002 1 35 MM 1 1,66 1 OOCU. COUL 1 4' LE GROUPE « DY NADI A » demande de DereK Woo/fenden, sont tirées de son film Playdead. Puis Bush est arrivé il Paris et, comme tous ces manifestants, j'ai rédg1. • lJCne/ StNI<az T8)(1Js encore, un massacre s'ensuit. Massaçre politique et mondial. • étonner, si l'on ne perd pas de vue l'ac'Sine et munistes, d'autres riQn (OIJ pas enœ.a) • w- liieniiX, j'espere oo L(ll(l du V'.etoom. (CINOlA 70, N°151. DÉCEMBRE! ,..,.._ BOMB IRAQ! LIONEL SOUKAZ 2003 1 VHS 1 EXPËRIMENTAL COUL 1 8' Conta ct : Lionel Sou kaz •Les Pom Pom Queers inlerviennent librement sur le thème de Bush. Je les filme devant la st?Jtue de la lilie!té J Paris. • I.Jonel&lul<.ol 69 .. Ah ma Aroualo 1 Anne Galland Association frères Lum1êre Cinernathè'lue Umversitai re ,·. Paris fff Kui v Productions Sophie labonne Coffectof Jeune Crnema '., Cio Arch oves Françaoses du Folm - CNC ~ . Dovodis Lardux Films les Films d'fel Fernand Moszkowicz Ateliers Varan Contacts •• 1 . . ' Les Productions de la lanterne les Folms G1ain de Sallie 1' ~~ Ac id ',, 1 1 1 ! Conéma Pubhc Fofm '• Il Gaumont ' Agence du court noetrage . Lionel Soul<az Cinémathèque de Bretagne • ... t Arlette Gorardot Archives françaises du F1l m .. TS Productions . , 1.· ISKRA V.L.R. Productions Archives Departementales de 11 Seine Sa1nt-Den1s ' 70 1 1 Cine-Archives Cinematheque lranca1se Jacques ~êbad 1 an •• r • EXPOSITION DU COLLECTIF TENDANCE FLOUE tt t Pantin Tendance Floue, né en 1991, est un collectif de onze photographes. Au fil des productions individuelles et collectives, Tendance Floue se retrouve autour d'idées communes, de recherches techniques ou sémantiques. Il ne s'agit pas Fr·,~,. 1 V'P de donner à voir mais plutôt de faire ressentir. de rester proche des préoccupations de notre monde, de confronter, d'associer les différents langages, et, dans un contexte journalistique, de laisser place au doute. «Nous n'irons plus aux paradis» CONTACT Tendance Floue 1 LES PHOTOGRAPHES Ul Pascal Airnar 1 Caty l a ~ 1 1 Thi er ry Ar d o ~1 n Ph4 1ppe Lop pa•e'l 1 De ~o s Boor&es 1 Gill es Coulon 1 Meyer 1 Patri Ck Tourneb oeuf D'ivier Culm an n 1 Step han Zaubitz er • - Mat la cob 71 )J) Pantin Samedi 29 mars Bibliothèque Elsa Triolet Entrée libre De 14h30 à 16h00 "DES LUTTES ANTICOLONIALES AUX LUTTES OUVRIÈRES• De 16h30 à 18h30 " DE L'ÂGE BAROQUE DU CINÉMA MILITANT À SON TRIOMPHE POSTHUME• Invités 'Yann La Masson, Bruno Muel et René Vautier Invités , Richard Copans, Hervé Le Roux, Jean-Henri Roger, Lionel Soukaz, Jean-Pierre Yann' Le Masson (né à Brest en 1930), Bruno Muel (né en 1935 à Saint-Cloud), René Vautier T~orn, Marcel Trilla!... (né en 1928 à Camaret 1 Mer), font figure aujourd'hui de • pionniers du ciném<l militant• dont Tables rondes ils ont arpenté le genre bien avant 1968. t:étincelle René Vautier, après une participation active aux combats de la Résistance, contribua comme assistant-stagiaire à la réal,sation de La Grande lutte des mineurs (1948, réalisation collective), tifs particulièrement divers deni certams, il est vrai, couvaient depuis quelques temps. le groupe cinglant film militant qui se ~~ aussitôt interdlfe. Le cinéaste réalisa ensuite en Afrique noire, Les l"'ilms du V;llage, le service cinéma du secteur propagande de la CGT Ces colleclifs ont fait émerger des f1gures qui ne ta·sa·en! généralement juSque~à que de la f'guration : travailleurs Afnque 50 11950) qui se vit également censuré et qui lui coûta, aussi, de nombreuses Inculpa- 72 (~ lskra. en Russel de 1968 a provoqué un feu d'a~if,ce, un jaillissement de collec- Medvekine, Scopcolor, le groupe Dziga Vertov, Ciné--lutte. Cméthoque, Les F1lms Gra.in de Sable, tions. Viendront également la • pérode a:gérenne • (du cOté des maquos pus du pouvo11 FLNJ immigrés, OS, femmes en l utte, paysans, prisonniers, •minorités• sexue: es. régionales et po;i- puis ta • ~iode brc:onne • (oj se mêierontluttessyndicales, fém'1isteS, régionalesetécotoeistesl. 1ques... À certaons tracts filmés relativement Indigestes répondaient des audaces cinématll!!ra- Renê Vaut er rentre aujourd'hui d'lsraê- et de Palestine et envisage de se rendre en Irak ... Partil:ipa'l! 3 nornbreux corrbat5 anticoloniaux et anti-impêrialistes. tournant en Tun·s:e et en p'liq..:es ; ~ la talf.olc€;e propagandiSte, de beaux dévoi:ement5... Ces films se conntlattaient, certa·ns ci'léastes se halssaient et pourtant. des Images et des f gures de sty'e gllssa'ent d'un film A'gër·e du temps des gverres colon·a·es. réalisant avec Benie Deswarte le magnir!Que Kashima à attre, et q<le:qLes cinéastes participaient mên'.e, altemativement oJ simultanérrent, à tel ou Par.idise (1973) au Japo'l avant de filmer en France les luttes des temmes, Yann Le Masson a '''"""''"'lmnjn< connu mais relativement simi'aire, rrême si, sur le plan politique, son atta.C.F. dura moins longtemps que celui de René Vaut er. quant à lui, lit ses prem:ères armes de cinéaste en Algérie, en Colombie et en pu·os tut l'un des piliers du groupe Medvekine, fnuctueux et célèbre collectif de 11'1 p·ouvrlers devenant à leur tour cinéastes, essaimant de Besançon à Sochaux. des questions qui seront abordées lors de la table-ronde: engagements de mili~~"~•....,.4a,,m,,nt< de cinéastes, passage des luttes anticoloniales aux luttes ouvroères, Jnté- te! in~·...,,dli•*•I<Llon Bruno Muel et René Vautier rendront également hommage~ Antoine Bonfanti, qui ne pourra être présent à la table-ronde. an or-ça la mort du cint!ma mtlltant et on constata une réelle absence de • transmisdu cinéma documentaire a pourtant pris ces nouvelles figures en héritage el les;t(ir4llrav:hilk!es. Et émergent peut-être aujourd'hui les signes avant-coureurs d'une apparition Retrouvez sur notre site Internet www. humanit e.fr les entretiens avec : Ken Loach - Bertrand Tavemier - Fabrice Lucch1ni- Henri Cueco -José Montalva - 73 Guy Bedos - Patrick Chamoiseau - Régine Chopinot - André Velter - Nathalie Baye - Jean-Michel Jarre- Jean-Pierre Le Pavee - John Irving - Robert Guéd1gu1an Charles Aznavour - Abbas Kiarostam1- Joe Cocker - Bruno Solo - Yvan Le Bolloc·h - Patrick Bruel - Rufus - Serguei Bodrov - Cedric Klapish - Nicolas Philibert Atom Egoyan - François Bon - Nadine Gordimer - Mohamed Rouabhia - Ari elle Dombasle - Olivier Assayas - Philippe Caubère - M ike Le1gh - Eric Pittard - Assef Soltanzadeh - Alain Bashuno - Georqes Moustaki- Cheb Marni .... DANS LE CINÉMA DE ORASCHAN, CHAQUE IMAGE EXPOSE L'ECART ENTRE LA PERCEPTION VISUELLE D ' UN PHÉNOMÈNE NATUREL ET CELLE RÉSULTANT DU DISPOSITIF CINÉMATOGRAPHIQ U E. Thomas Draschan / ,/ T .orras llraschan, n~ en 1967 en Autr~r.l c. prat1que la fragm;;nMiun et l'échanhllnnnay,c CH1è.natograpll QUP.S d~r" 1~ grande 1gnée <!P. Ken Ja~ob~ et PetP.r Ku bel ka 4ui lure~! ~ profc~ $E:U1S. 0.1M un curp:; ;, corps intenSP. ave<: !1011 rn•te,au. 1 !'\'!formule rdd!Calemert IFS <lt.rècs ct les tempnralltc' pour fa 11e 1alo r des rl1sc.onhnuitës o·goaques. hypnotiques et v1bta\1IP'; Ala n.w, Ile Franziska ( 199/1. un plan Ile tro1s 'llln\115 fr~Rmcme en pte-sieurs mill e~> de morceaux. Thcnl<)s Dlaschan réasSP.nble cn,\JIIe son rnalénau dor s l'urdre onrbal mA.s en ontrocluisanl des <liffèrcnces de focalosahon. Le dt'l:adrage de l'lrTiilge P'!rrT\CI l'apparl!lon <le-; l""furation~ de la l)elllculc - ~ i'ld1cat1on> tec'llnique; " film satety" ou "kodaduome· en sont r.orl'rnc le retrair , Ot. bien la r~ oc:llf..::atlon <le.\ d ~rnc 11sKms du p~t()8r•mmc l•ldll'l les changements de rythme, ~· lurr•iè•c, Ge v•tesse. c~tt<: JLJiupsie vise a prés~ rver les centres d 'e x p re.siOn~ ncrveu> de l ' 1 m~ge afin de réan•rner un r. orp,; <liffércnt du premi~r. Le Slm~l~ défile,nent er,ge,<lm 1 ~11SIOrlS et concentral itll'l> orConnéP.S aulmJr de IJ ligure de ~r.m.T,.~iJ. de sM oc c•.>l t~tion ~sa d1>par11ion lorsque s u rexpo~cc elle ~ ·e ft"r.e . Ce rèenc•lllntement du me> wvc~1CI1! obé•t il "~~ <lnuhlc l"giQJe sensitlvn <le vitesse et d '1nter>S1 l~ . <!ont ln Ne.,~elll991l n'Ir" une vers1011 plus 'lai.Jranstc T1101.,as l)rasr.hil'l pJrl d'Ln1e per1Drnar,cc de .'art ste aut rich•~n Hcr·r.ann N•tsch a Nan es il laquel,e ol a parti<:1pC curn~re a>S1star! ~~ •cleu•. 75 A part•· c1P. fragn·ent:. :.or.lrP.S allt.s•ons arr•otJreuses et P.rot•t;cc' -. n·ér.h~lltil lon> lll\JS1C~.Jx, c'•nlagc~ poJrrait le ftmP. .. lil\Jf et Puil q~•ut''~'"""'" proches du juurn~l f1l111é telll~(•l pu êlr~ pr~tique ilux ttat•-Unis par J<YlcJS Mekas. ,1 n·.me paup·1crc. Cc;tte co1struit ur\ punie volontaircme., t \ 'lC.(•mpl~l P.1 sorore:.. à t>lJsiP.Io<S 1iveaux. les t~·m~,,s,to5. d1orrys•flQIJP.S. Pourtant. c :,r.nnt1nu Qlli jJc3rJ ~IIcnt : Ot>çu cnrnme ~IP.~1ents tC~ ~n rr1on'·•~• 11~ r~ot>. vi,ue s TOI..lf.)J r~ ~ur lo:~ ùc'» e<:'l;m~llons real <>o d"" r.cr!i mfœs spat~~h:.~s. h,,m~1nes. se nsucll~s tJ P<lrtlr de la dis<.:c>t\tln.!lte en:eg~~trcc iWfOIJr d'ur nom:m~ prf!- "'" act1nns e~t corn m" ICJ rer:t"~rche intégrc..IC d'IJt"'jP. cont1r.uilé lJist:<mt,nue par de~ "decores ddns le mouvcmf!l'lt Q.JI r e tien•oy~ger. L. i1d1soo npe·ée entr~ nent ta!Mis compte Ile-. csp;Jces el des lemps l't'!tP.rogènes auxquels 11~ 3 FILME rlÎ' ~pp.!rtl('nnc'lt r•n~m.• Fl~le. Lél r1mmah~rgje s'O'Ji';.lrll~, r.: ;JtJ~our Le mont•~" se pr.1t1que dJ't:. 1~ de 1ruis. st~q\JP.r cdméra ellourllill'cll· AUTOBIOGRAPHIE JJI premier film : un documentaire sur l'escalade de l'Everest. J'ai eu très tôt l'envie de travailler dans ce domaine, mais on me disait toujours que c'était très difficile, compliqué et hors de prix. Finalement, vers 1988, je me suis procuré une caméra super B. Au même moment, j'ai commencé à fréquenter quotidiennement le musée du cinéma australien. Après une participation à l'université d'été de Sallbourg avec Peter Kubelka, j'y suis devenu un invité e~ plU$ tard, etudiant à l'École des 8eaux·Arts de Francfort. Depuis, j'utilise dans mes œiiVres le film, la photographie et les collages. Mon travail a pris un tDurnant important avec la rencontre de Ulrich Wiesner qui m'a appris à travailler avec des images d'archives. Vu la quantité d'images qui sont passées entre nos mains, nous avons acquis une grande expérience en montage. pour nourrir ma pensée quelque peu éclectique - dans la littérature, comme, par exemple, J.C. Huysmans qui m'a toujours inspiré, mais aussi de nombreux artistes du xiX' , r.t r1'1Jr,e suct.:t~s on frti. nétu~ue ple•·>el'lCIIII•" virt·.Ji!lltés d '~ n <:11\èn1a du CCSSf! en evoMoor•. <1"1 doo- sunil~udes ~ fo·rndlr.s l/{1'-! œuvr'iJ 1 rent~ ~fl::i U'i.lc:\t vltA~ t"'lmldine~ Surtout. r.etie mise en relr11ion d·l· unP. rec~ nsio11 p rc,Q IJ~ P>hacslove des d>ffé•Pnts typ~> il'> ma&"'\ ~u cartu~s. ~Ire~. ~ nimatiU'IS. ~cu 00\.umer>!.li'C>. p •Il<>. etc. <X~ 1• perc~i>~Or\. la o1'l 3r'lèrc lucl1q1,P. et rad ocole d'un 0::1uparr1va r1t. Ces l'org• n<$0'Jon sensorielle Ile r.!>'< le·. wupes sonl re1«!c>;, Rf.1nM v1tesse >elon ·'ndmrJ(')l ~~ d~ M~tmce 1'1natter:.on'" Leona1rc: lnrsquï réal >~il ~grP.ne'"lt Jn nombre rl 'p'J·~ges. partielles P.t volot•l~~ dor·: le pr>nc: oe ~va il dCfil ete ~q1, ssé pa• Dr""han avP.C Alnka oonus ( 19B2i. du nonce r.xtérlf'ur Comme to JJours cheL Y<!s ? Ow >J"! (?007) est :.Ir .x:t.Jré ,;eloo te m~"'" wnr.ipe et provier11 ùu rnr.me r.orpus ~·~rctuvP.S. nraschJr\ Il P.St égale~ltlll co-ré• >Sé <lvec Ul11<:h W1esrer q~1i ct1u1>il 1~ chansor de MICI1el Poln•reti La Puupi>R m~1"~ de le '1l1T Interroge re proceSS1.JS Ill Mer ct 5<~" r.co1po;Jnl;.. le> p~nto gr,)mn"P.S , leurs enc·k3inemert; C'Orltinl!~ ou lliSCOIItlnus. leur eSP<!CC Ile perr.eptoon. leur :em~r•ltü. Avec ce 111-n. il 'c rapproche du (Hn Mgla1s). ·~~ ril~t>l e én111e ~or~lc dt, liln1. 1iGée de dc'par+. ll!gP.re. IJJ/x'> (() royiimd ~ne roumesols 11982) (:ncore ::le la ~~m: M;J sorcière btc.:r: armP.P.. tlcwm'm~<> oiJ L'IJamp provençai po.;rt1e dv l1ln . t.;, la prcr.,oèrP. et trois•è<nc ,·•x1al - se •utour c1tJre ''*- <le B;îiP. el r~v~le "" enctlcJit,,!rnP.I"'t r.: hc1ral Llc.! st;perpositiurb des d'll lu>lrm tes mots :le D<Jn> a;juCIIc '"" clni m.;lti<Jr1~ abstm ·~t"!:s. lnL.Je\s - Ut: ~out "~'· d~ns "nl~llr.~l"" >CliO de a teléVISiD'I f1lm~ ~cienti11(juc::i; av~~<: trava1l de Ros" LowMer et de f• "" t:omme Les (19 19), En èt~ t 1~ ..:h.mç;nn pou' en l "'lrc r.xplo.<=,er la St'udun! par ~ccu'l''llldtion ct profu!i.ton. 1es rldlo(t!~ prov·lenner~ d~ ù1ffi:rPntP.s sources. des acte1.rs toua~l T~<7.Jn Il ex Adrkel. Bu~lcr Crdhhel. de scènes liré•s de per~·l"-Q•> :iC)I't des de tl!rns iJr1w1al1ers alJSlrJIIcns ml €n 7003. Tho·rw' Dril'CIIan réalise To thP. ll,JPpy r.,.,._ f1lrT1 c.;c lourd foota~e pJrtiLulèrP.menl mu"'· c~l. ,,tnJr:turé 3utour de .• ryt~rniQ.JR les •treb f1~ure on)'StiG.JC !lu • mandata •. Ces grapl11que cl plil>hqtJe p>yr.~é\l~li((ucs . ~vec ima~!S lr.n<.tiCMellt ~~~ ~y-><:hr01·oe une ~ha~ son de Bol ywood af<r de renforcer 1rcvuquement D•ns le c11eo'la de Dr,J;;r.~i\11. c11aqve ionagc cxpc>SP. recart e1".'e I,J nP.r· • rbrf~. CP.PtiOf> v<Sucli<; d ·,,n phena<rcnl! M !IJro et cel e rr;>.Jtlanl rtlJ d1spos1\ol CIIIC•r~tograp h iQ ue . le pro- P~" n Jes. voit"""· r. P.l. nu ag~s. l'•m•ge se •e1èle <lans une .:P.!Iè d'éc'lJnti u nMge. al he a une rcr.'lPrc~e se~s•I M! du 'T1ont~ge el oe ses ll'ut:l:di.IP'i de liai"'"" VItre pao tra ..>p<m,'l<'.P et double ta mise en c• dP doscontir.JIIc>. r.or'P.re à se:. /lmo, lil h rme d'un orgonism" v1vant dontrenscrnble. rtes relation> v>Suele> : lumières ~cP.ne dt.. c~dre ....,.J p h.l<l~Jr. n~rrnet sf!ri(l1isat on photogra de co rr'T'IJter des po·1 n\~ p r~ •1kme~ ~ SHI'Jit~·•cc •lors Que r.x:.t · 'li!tura•ste' ne une conlc~roorrl cis Uc 1'1m~ge pour I l!~ orr'le~v.er d~ 'dçon 76 .,~l"e r.onstitué ile. ;m:hves sars J peL cirq cc:1ls fil'11s. Me/rupolcr. rte.< leichlsin"> s'mJVrP. par ull voww. mag~ ùclou'Tli!<>S s'cpère >clor• 11"' ~lruct ..,re IT'~U,én'dtiqL.e. ~n f11rn lui mêl'le, ~.livi r1L dètOLH!lcrm~nt r1 P. 'tlrr.s porno. cfHnilges de cellulc::i , rlf! naLssancc. ~lJKidc l11l.ant !lrdur,n~ nPJr u,e D'aussi loin qu'il m'en souvienne, j'ai toujours eté fasciné par le cinéma, avant même d'avoir vu mon et du début du u • siècle. rJa r1~ f! de ~·P.nv ron filrrs s..ms qudht<;> se loge <l v tl pcrœpl1f ~ui va heurter 1• vis>On nJtJrdli:.te souv~llll'inspiration- le1. l letons. c.!lttc•s. cl-.ss111s Jni1>Cs f\u ,o,lra<rP.. dan~ 3 F'olm<" ( 1991). le> unag~s reprlldUIS<:I1! une fi'li<m rlu n1ouveme11L ~t:r1e. P.t scir r.e s. Jn a•brc. 1m hnnHne et une VIJC ne Je trouve p ubl ~<:ilo> . t1fs. vt!l't Pires o:onst1tuL-cs: 1re. l1lrner. ~~tte"nents l'espace ct lo JYnfondtLJI de d•;Jm[l 1\,sagc <Lm ~lal éroa~ pl~" t•l~lérogèr~ C01'>J<""' ~~ r. P.I1taires ~c sn<. r~es dillérentcs. f1lr" éd '1CJ· BerrlJrd poo<1t!> de I<.JNm c1 ur IT\ltL"•"U h<<''"''lCI te La ~P dép ac er. ménJ>:.! n1<11JVP.mt:m1 cornn1c les mode dL, juLr- D ro >r:h~r. 'ilrl[lhng. T11o·rws Dra'('lan a peu ::is d ~CIIOI1S., LJoirc. 1l;Jn~. le •oc~II S<.~I •<>ns. d' llus or1~ tlu r<'e . Sctl!e<•>cr. GP.Qrg WJS">Cr cl A 11~ Crum·ll~rl c·co.t enr.cre te mont<lF,e o'l' ~el et sonore qu1 IO.Jrnt tes <r<~iqur. <1 ~'sooation les Mdmpole" dèS loi<:ltl>inn.< :?OOOJ. r~"""" avec Ulnch W1c"'"'· ali e les vertu~ dP. la ser'<lhte cl ~" •ronlat:" rt&-.ontlnLJ af111 de ·•~liSer les f.JOlo••llal~i'ol conle1uc' rl~ns c~s l1ln1; pr&c<;d~11ts . S~-ortout. ~o.·t ~u1"nt rte te1"!S.ion~ voyilge er 1:"1"' e•1tre qwt·e coné.J>te' trhcnl<Js ~~.·~nt rli i'\SI r;::onforllus vc--s le de ÙCP<Jrt snn! d•speoses ct d1:;trrht.P.s selc., un nrrlre no1rs. '1Ui ertrecoutn:nt P. t1!rn r.etle rr1.1j.)t1t.lrl LllJ c:orp& et de son tr,:1t·sme. r'<JI. ltfJimn 11999) èvoqiJ<? rtt> teux de ~tm1 s.>isi~ re~ <SIIItliJe Hugo Bélit n. p::~rtcc s;gnlf·(Jint~ C e~tt: (c;r'T'~ eiit pariais rrJëTt! 1(! ~~~rlngrap'l e ~c notr~?~: .,...onde Filmographie BETT INA 1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' Contact : Ttwmas Drasrh~ n J'at svt'vi 8 eittnil. e l 'urtcwt ses jJmbes. lors d'une p romcfi,Jdc. La l urmère effleure METR OPOL.EN D E S L EI C HTSIN N S ses mollets. ~:Ife porte un pa niJion QUI ne ftJ c:ou vre ~IJe jusqu~ (JX gP.ruwx. Fin-Jfcmcn t. t:!te svce une g i;Jt. f! EVA FRANZISKA NEAPLE (NITSCHl 1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3' 199S 1 16 MM 1 COUL 1 MUET 1 S' 1997 1 16 MM 1 COUL 1 6' ICH 1 Contact : Trurt'JS Drasc h~n 1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' U ne semaine dans"" ''11/Mt/C!menl ,j Vevey. en Stll.''"· t!dm un m agnifique :salement. Contact : Thomas Dra s r.~ a r Contact : Thorn•> llrosr.han f L1~hl Core • Fr<Jfl.tc~ ka es/ f'envoù/Jnl resu!MI d'1m travail d'artisan p ervers : Dm~ r:/ 1an Contact : Thorn.Js n rasr.l'lan 1 log/11 Cone • Au c entre de œ rnof'l/age extrémement éla bore et rleiJtl/e, plein d e jev x cie mols cl Auto cbservaHon. prinopalementd;;ms " fragmente 1111 plan de trot., minutes d 'rm,Jgt·~·. ma ••ie de tau' lt!s tOurs en 3 240 d étoJrls (. ) •. r homas Korschtl. rr1-1i., plu/ot des fragmentç ri" /'cxpëriet)ce 11u ne se sit(!en/ nt lJ vrlll~ ni l 'art. ttualidrenne et e." m tim~ t<•mps très GÜNTER individ"elle. ( ... 1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3' ICH 11 -X IN WIEN 1994 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 2T 1996 1 16MM 1 N&B 1 MU ET 1 3· Cuntact ' fhnm,,, 1P. c-iru:,Js/e Günler Zehetner (Jrt:rul une r!ouche, tandts qu'une pcfitf! r:.:Jmera Fncr~rc Super-S . volette. o7lii0U f tle son corps jr!fJrna/ bien narcisstque. mot en train rrr?pteSSionnm tl, oh.~~rvant SQtl ancJt'Jmie. dt' deper<r, de voyJii" '· ci 'al/er à d es rende?- un peu d auto-obs.ervhlion 1 vous d e perd re rmm temps de mille et une fcJç:on.,. SCHWIMMEN 1992 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' N . Y. 1-4 1995 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 !?' La star dP. ;·, frlm est encore (me p.,;r,, c<Jmer,, Super !:J. We m ·., accompagné 4Uj)rt~'l d'un tac. 0 lOI.,JjOI.Jf!) l t.'fi1JC ;} ""''"" t.~uand Je nage;"'· la main. Dra> <:''~ '' ~'renne 3-FILME 1998 1 16 MM 1 COU L 1 MUET 1 9' Apri!s plusieurs annees pdSSéeS il Fr,Jm:fort. je reviens J !•. Tllamas Korschil. peut cJ1~ux s"malf)eS. Je porte tJn regard ~r!rllimer11~1 sur des choses el ri.:> P.vém~m•.•n/s Contact : Thorn~s Filrn 1 : ;'lrhm. bou;:~nt Dra.ch<ln i Lighf ConP. l rui~ IOLHS. DP.s fP.~Ji11m. rf<Jr>:.lc /1lrn (PJr le f1l ml. Dt:s Hl la- ord rnaires . m<mgcr d es wic nerscllnitzel ges golcnf le t'louve ment p~oto~o:rd~l' q~e avec m es vieux amts. dt>am b uler dJns m on\ c f le reproduisP.nf d•ns le f1lm, en tant mon ;m r:ic n appartement... q ue f! C: IiO"'' Cie 'TIOU VCrri (! P:, Film 2 : GP.<>rg. baoc:ur. tro1s ,ours A gauc:hr., a" bord. se lient 'lUelqu'u" GJ' it film 3 : pace cie Hale. ICl JrlnlJit. Uoe Ouotrr. pc /Jli!s h istcNes en Sui)Cr 8. urchestr•t,on complexr. de superpos1t1ons ~oumecs tors de mon sEJour û N~w Yori<. c· T'ages el de lUM ières. 77 ~ Filmographie BETTINA 1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' J'at suivi Beitmil. er ""'o"t ses jambes. lors d'une prvrru:nadc. La l unl!ère effleure METROPOL.EN DES LEICHTSINN S ses mollets. ~:lie porte un pan/Jion QUI ne{,) ~·ouvre ~/Je jusqu~tJX gP.naux Firwlcmcnl. elle sLtce unP. gl&r: EVA FRANZISKA NEAPLE (N ITSCHl 1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3' 1995 1 16 MM 1 COUL 1 MUET 1 S' 1997 1 16 MM 1 COUL 1 6' ICH 1 Contact : TburlldS Draschan l.lr~c semaine d,Jns ,j Vevey. en 1993 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' un ''('lldtlemt:>nt Stll.,sr•. d-Jns un magnifique Contact: Thom~~ Drasr.~ar Auto ob~rvahon, prirlopalementd;ms osolement. ma ••ie de tau' lf!S murs Contact : Thoma> tlr•~r.han i l<~hl Co~e • FrdnrL~k,l cs/ l 'envoùt,mt resultat d'un lrJvail d'artisan pervers: Om~r:l<afl Contact : Thom.Js nrasr.han 1 Lol(lll Cone • Au centre cie œ moN;;ge extrêmement éla bore et rMidll/è, plein de jeox cie mols cl " fr.Jgmentt: om plan de lrc11.' minutes d'rm,J[;t>~·. en 3 240 d étiJ<ls. (. ) •. rhomas Korschl/. mai., plutôt des fragmefll< rif: l'cxpëtier)ce r1u ne sr? sitl,Jen/ mlJ VIII/! ni l'art. tii.JOiidtenne GÜNTER 1991 1 SUPER 8 1 COU L 1 MU ET 1 3' ICH 11-X IN WIEN 1994 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 27' 1996 1 16MM 1 N&B 1 MUET 1 3· Contact' lhnm•:• / "c·im:,Js/e Gùnter Zehe/ner rm:ml une tlouche, /Jndts qu'une pct;/c r:.:Jmera Fnmm un peu d auta-observi>l•onl Super.S • volette • ,1/Jiour de son corps jO<Jrnal bien tlarciss.qve. 1rnpresstonmm!. ete" mém~ temps très !•. Thomas Kor'Scl1il. individ"elle. ( ... olls.~rvant sat1 an,Jt'Jmle. mQt om train Ord !.<:'l~'l Aprés plusieurs annees pJSSéeS a Francfort. ie rèviens J Vtenne pour cfl:u~ dL' deperlf, de voyJiil"'· cJ'alfer à des '~"dez· ~'1maines. Je porte tJn vous de perdre rrmn temps de mllle sur des •·hoses el d~::; Hvf5ru~rru!nls et une faç:om. regard ~r!rll1ment~r 3-FILME 1998 1 16 MM 1 COUl 1 MUET 1 9' Contact : Thom~• Dra.ch<ln i Light l ;onP. Film 1 : •rhlf:. (roi> IOLIIS. De> re.. ill<!\ bougent <1ar·> le /1hn (par le film). D<:s lil la- ordmaires .. . IT!imgcr des wienerschnitzel ge> golcnt le t'louve onen! p'lotoKt<l~l' q._e SCHWIMMEN avec me; vi~:11x arn1s. d~Jmbuter clans mont cl le reproduisP.nt 1992 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 3' mon EfiÔl:rl app.artemen.t... que f•c:liO"' r.le rno.tvr.m c: P\, N.Y. 1-4 1995 1 SUPER 8 1 COUL 1 MUET 1 12' La ster dl! n: film est encore tme pi:lik d~ns Film 2 : Genrp, ba o:u<'. tro1s ,ours A gaur:hr.. "" bord. se henl qur.lqu'u" <;JI it ccJrrrer<J SLlper 8. E.fle m ·a .:Jcc:om(Jagrrè Contact : 1 torro• Drdsctlan ,Ju;Jrt:'ç d'un tac. O,;,;trr. fJC/t/cs h istcNes en Su(Xir Il. u•chestr.;t,on complexr. de ~ournccs c· T ages el de IUM ièJcs. fOVjOUf!; !"t.'fiiJC ;} mémc r.;uand te nage'"'· 1J main. tors de mon SEJour ;i N_w York. le l •lm, en lanf Film 3 : pace cie Hale. IClJclnuit. U~ e superpos•t1on~ 77 .zf/ METROPOLEN OES LEICHTSINNS ITALIEN YES? OUI? JA? RENDEZ-VOUS lM WELTALL 1999 1 16 MM 1 COUl 1 3· 2002 1 16 MM 1 CO UL 1 4' 2003 1 16 MM 1 COUL 1 g· Contact : T"oma> Contact : 1homas Dras.c'la'• Contact : Utt JStront1ute t'tumcfonne son vai~seë)lJ compagme de trois aotrP.o cineastes Le matériau d" depart de ce l1lrr> c!.l compose de ru.>hr?> rle f.'!ms educatifs d~r1s (Bernllard Schreü1er. Georg d'Allemagne <1e l'Est. plr:in., ae pet1ts experiences tout r.·n grr~phiQ(Jes el pl.'rsonnJiites. Un Wm s~r Draschar~/ L1ght Con~. un voyage e11 Italie en W,Jsne~ Afin~ Gwrm/IP.r) qui se presente s~rlr!IJ/ comme rie rertond~m:e<. r11om~s D·a;chan <Jillerritoirr; 1nco.onu t!l fait diftr;mnte s ~mpruntanr dwersr~., ta musique, chOISie aar UfriciJ W1esner. de I.J c/Ja"'nn un ioum,rl Mme : botre, filmer ... est une rcpflse en anglais de Mielle/ Polmreff. • La Poupee•. METROPOLEN DES LEICHTSINNS (Les Métropoles de l'insouciance) THOMAS DRASCHA I'I ET ULRICH WIESNER 2000 1 16 MM 1 COUL 1 12' Contact : Th~mJ> Dra,,r.h~ll! Ugl1t Co11e TO THE HAPPY FEW 2003 1 16 MM 1 COUL 1 4' Contact : Tt•orn-1:; ll rasch~n l;J 'tructure du film rC(XJ.<oe sur l 'idee 11/tn dr. f01md foo/age qui traite d aspects rlu Manda/,3. daf1s ce cas, rie< •mages cr<~Ciaux dt: L1 (lausS..'\) du soleil. des gataxi,., cl dt!s V>e. Le film commence wr une sorre de voyage dans lê hlm lui-même. p!anetes. Cr.s images sont synclmmisè!!S mene au sexe cr J lu nar.ssance pour pos1~r avec un chant rnclien de Bollywood (JO!lf Id C/Uf!S/IOr1 de ce ~"r. l'lm f"'ul fatre ou non accentuer tes el/Cl-' psevrlo- av"c ''' v1e (p,1r exemple Sr.' S~Jic,der!. IJ>Ychedf!liques. AFRIKA BONUS THOMAS DRASCHAN ET ULRICH WIESNER 1982-2003 1 16 MM 1 COUL 1 3' Contact : -hno1a s Drascilan Parodie de U11sere A/rik.,reise de I'O~b<'lk,J. il ;Ji!rtir rte stock shots d<~ puhl1cites sud· alrit:dmes. DEUTSCHLAND LACHT THOMAS DRASCHAI'I ET ULRICH WIESNER 1982-2003 1 16 MM 1 COUl 1 3' Contact : Thnmas Dra>cl1an On retro~ve le thr~'"'' rie la chasse. mJis il ,,1 rci tJI•IIse ,·omrne mt't;Jphore de I.J qut'lc rlcl.·•mour. CONTACTS Thomas Draschan c·rn111l : U,omas@dr~sc: hdru:or1 Light cane FRA N Z ISKA ~ e-rnJII : ilghlcone@hgl··tc<ol iC.org SI ARNOLD PASQ U IER SEMBLE ÉBLOUI PAR CE POINT D ' ÉQ U ILIBR E ENTRE L E CORPS ET SO N MILIEU, C ' EST BIEN PARCE QUE CETTE QUEST ION SOUS-TEN D L ' ENSEMBLE DE SES FILMS. AUR EVOIAETMERC I .. Arnold Pasquier D ""' Vladr~m le lrè<, L'Amour de la forme de l'amour be~u lilm A/ç/;,J /rfi!cr.nrd! w-rédiiSê en 1996 P"' Amol<l r•.rsq J IC' cl LP.O'l.IOUm •l<lc voyage en hde. 1~ c•mAr• s",Jitardc vokmlrers suri arabesque M'r,n bras. 1d grâc~ c111ne: 11P.I'T'Jar:.:hc. le c.JchC t.:'.Jr· ~ume. le claQt.P.tnfo:"lf c1u vero:. ~..s r les ro!Jes ue 1eun~~ lerm·es face .i la mer. la srrte !le cl orë,:·•phie oa~urelle Ces '"frP.' ct clcs c'clflcn~ Pour Vl t: nC4!i\C cpr~ de ::IJnse. Q.JI dlfr'P. 1~ mnn~h~ ~r:cstc d c ~ t1lm~r le (:UqJ~ l.!t:!i d~C")SeU'S. est l'occas.io., c ·eme-rvelllflrlent., suutl.wl~ cette LI.! Q~ste r.ont nl llil~ r évCII~C C'l\re S~f"lble ~vn .. t~mr..-e ~on s1te nat'JreJ. ~on heu d:C;..aP<ut.. ~serr"ent [.t, st A-rn1d f=,hq UI-!.!' :,ctrl Ulc éolou par r:e p.,int d '~Q~ ~" bre er;re le rorps Pl son m rlr cu. c·c;t bien parce (!\Je CP.It ~ r.,. r.,I IClrl "'us-tend ren sem ~l e ,,,, f1ln1s. Un p~!r:-.mHht.Y.C r~cune tm CüL. o d~ fo t J \1r~. 11P.c:lilr(~ sa 'lJrl'"ne à LH1 act·e. tente tJr 1 mrœ~~1 bk tr;,vr~ il :1li rl ~·I J II . Ma 1 ~ cl!l:c Liée a 1atiC~'I ac:I10p;,)P.. 1'~<1r~~,sc t:t tl :,:n... ~ . J c:uPhaence ne renccmtr'! pas d"éc~ o : l'a.Jire se reflE<! • "uHrallde. e>quive la de'T'P.1Me D~.: c..:tt~ -!~qLlive. r:~rlVfllm: re de r.ett~ c1 1 Hi r tJ1t{~ de: rf~rnçrJr, ~·"lcil( ll" p~ rlo;.~i,c n~it L.~"\e d ars~ . PIJIS:'1 \H':: 1a OU S'JùSei1\P.. p1uulc èctJoue 2 (,'êtt.:ulc cs! rét ve. l e del. i rrpn~s hlr.1. t'c~: le gc~le qlli te11te rJe se ~utï~~t1tuN ii elle 79 P Ce qu·on ne S<JUrdlt d ire. >Jrlout P. ll~MP.r. au·,, rl~n' les '1\ms o·r.,,c;d Ça~:is~e Pa~u 1cr. 11 fdl..t le f•erlnr'ler. le c hJnter. mdis des nodclc'S inmol!llc; 'C'J' IP.S P.11MES c·une plaœ s.c' er•·le ( Tn115 ont bestJin d·amour (Pa/crmol. 2002] nJ des fl'!..SOMa~;es erratiq ues dJr> un ,a•cl ~ tAnge!.~. 1996). cl1ac..,·1 l~vé. co~Hbc c·un co• tm lour jj ~cur. f1n1t par ~réfërc. 'sé. rn~m ~r. a 1. l'"" ne 1• parole. esq , •sser un ge>le iarJbcosq Jc rl 'lln h·•s e•lrn L•e·r ~~~ d·,., t~r seJ en guise d'~ffrand co. D;;n;; en $l le,~c:e. le:; nK.Iuvcmert:~ AngP.I,•, r,haçc,, rJc l'autre. Rsrp. ssar'lt ur p~ls cle (7eJx .,-,,rt ouvre un l~èJtre Pourq uoi ? P.t•cc GUC 1<> so'lt mP."I. tout ;; co ...p, >e a 1nterpre:er au centrtt d'une ~ènc •uë·.a1 qt_r. r9' Il n·P.st quP r1'tJO::.erver ccmm~nt !>C:> 1a compos \lOI' du C<Jd r ~ privil c;;" 1,, front~· l1té AUTOBIOGRAPHIE IJI ma prem ière réponse pourrait-être : .. Et, ma main dans ta eueule !?! ». Si je me le redemande gentiment. je me répondrais peut-être : .. Pour être Et si, c'était la réponse de Claude lelouch ? Alors, pour filmer mon fiancé ? Comme Truffaut, quoi ! J'ouvre mon Jankélévitch de poche et, entre la rue du louvre et Pigalle, le 74 me roule une pensée merveilleuse : • Si l'homme vivait éternellement et s'il le savait, la nostalgie n'aurait pas ce goût d'amertume ; dans le nombre infini des expériences qu'un homme peut faire au cours d'une vie immortelle, nous garderions toujours une chance de recommencer telle ou telle expérience déjà faite. (... ] Or la vie est finie et par conséquent toute ré itération advient comme une chance inouïe, et un hasard miratuleux "· Ah ! Faire des films pour redire ce sentiment de nuit qui s'allonge sur la baie, glisser sur le corps des garçons et des fille s qui me touchent, mettre un disque. Éterniser la m1nute bienheureuse en la fabriquant renchantement de faire un li lm me dédommage des ciels intimes enfuis. Inventer quelque chose pour combler la perte ! Le cinéma est un monde ou toutes sortes d'espérances et de facilités à ma liberté. lr.;,·d Uc L~~~ (1998} ; 1~ ruloon 1k :~hot<Jgraphies ~e so·> rnstdllalion Nous d•rs no-n~r<> <1<> ~~'" n·~IIM., f!<l.\ mor.mr? es trOi> ~IJ II~·Stl<Jil"nCPS r1e c·e$( rer que Je C/OrlrlC r.Jc; bi11SP.r.< 11993), lon,ant cne OOU· cl~ >ccno?,r<Jprll~rJel\m velllrg •v~ ni. m,Jrr1 1200l;· il\. plan lrxe, lr•velllrl~ Jrrlerel: le~ SOf'l d'u"e C:h3r1SOr) QL.o ~.a~~C! ~ I'C!I"ld·mt. fUI S photos au banc-t11re a l'envers pou· évut.;uc.!' ~~ (rny l' ·u~tor re l'arc:t1e rfiJn no,,t, la ~d:m~. ri~ f'M'COlJr'> le ja•drn lou;.,,. q~oc o•i_gmel. Forme r.irt ulaire renlorcêe par 1" cdrdc ltrr. fam11ier :1~~ 11e11• et de~ per>Oilnily,c•,: les m~mP' comed ennes !Guilainc lom!c<. Do·•dta o·u·so.... ) a po.!r~isseot de l 1hn c•1 f1lm, e ' •nlôme d Angel~ hante le; dlfft'rcntc-s l it:IIClM. lt~ lle. rée ~ ou inventée. se :Jcvirrc >ou:. la .Jmière cree de ·elé. M"" CJ:dlcment P•" le go:Jt ro•" lè ChUSO'\ de varrclc. :..cnlir·mntale et tri>te. qui la1t o'l•~e de cl cc: amt1or (es frlrns d.A ·ro•d Pasqu1e· sont de> f1lm> cf•ffr.c:t, 11s v1s~nt le pJll1étiqw<:l cl ,..,,,~!. pM le retour itérJt ' d~r retrain . d'olfru u ·tc boucle le-nrfll•• e. décuup<! c!1JnP. fenétr~. •.Jt~nl r1e poins de Mai>, iliJ·dP.I;i d<> 1• ;::l1a~son de variété ital1cm1c uu du t~r,~o ~rgent1n. sa~s doute est ce IJ 'orne v.Je ~ ''' te~Mnf il sceno~rap hie• a c~lr '\<.! de l'prëra qJi est vi>ee. t.·r "péra ''""""·t«. "'"'·"" " "· dll'1r.11e d '·" tra rr1 de b.mlreue, ·ap1onb d'c .,<.! bord. en chambre. au bord d 'tm" fdlaise. ~, '" bau~ v 1trcc r,,,.,. i.cr -~!i!iC lcJ verdure cJ une sw a iltlelndre. avec l e~ -ro yer· ~ d u une o•ar.e de Palern·e. il ··"leri"ur ~·ur1c mulotte. opéra qu1 lcr1tc 1• >ynthP."' ~" la r~tour~elle ~~ de la danse de la parole cl d ~ y,cstc. On r.cmprPnd d un liJrd1n. ~ l r~nsformer le mori'1P P.t tr~J mieux,.., r.oll•hnr• llon • vec le '11ettecr en scere Chn >llan G~f1Rf1Crof1 autot.• r1e 1opéra baroque Ire. A""" rl f>•<.qui<>r <~ffect1onne te e,-e·11 !L:4gnpprnP. ete H;endel ou Ananeun de ::hcrul>irll]. Rcu111r le rl r•m" el le çh~nl. le corp$ P.t le Œff@ ~ntré~ latérale que ;es génériq ~1cs \r,l· versent l'écra 1 de droite t·~a::uJ rd. pas Lm En nu!n1 1~ r;,<1 rP.. ~P.s a gJ~Jdic. c., o'P.Sl rc.~5an l lr.~ gi~s;m t d t~t c:m~li~M~~. tm rf'.HS. en S\.1' l rrJvP.rs~nt latér ~lc· c.o·r~èd •e15 oêlirnkn\ une: s:-.~11e oû s\~1'ront e "lt l'aveu tfcmu:ur d N1 m3~de. seml;le ~~e·11c >O~I·•rl d 'Arll(o\d P."qiJIN. Op~r~ 1nhn1e et 1n1pud rque. par délaut. tel ccll. Q.r'offre ce cu Jplc. '1ln•è "" cac~•!!• r1•ns 1• salle d·~ttente d'tm lunrcula~re. dont 011 ne vu 1 QIJP. les gc~k~ {1hi :;crnhra~~e nt. SP. c;~rrtmll es épau1es.). l.a"''d s que des ~ou~-l 1tr!::.. rr.pq~ de I(J sc:è'"ll:! dJ bak1:n E1 rms A f.l'i3C~ ,,, the St:n de Geor.ge S~cvcqs, nou~ t11sent · 'Ti pn~sih P. cnnversatcr'l 0'710Ur~,JSe (MOI1fès.Jrl10, 2002). S. le c oèaste e~plorc ldnt de fo•mes. '''"' 'lll" a forn P. e5~ au centre de ses l 1lms. l a l o•rl'c. c·~: ·.t à c ·~ l'OU' 1er le p..l''"'ge r1e '" d~ri,Jratlcn a la pasS•ùn. de la coni1Cicnce;, 1• chméw•phle, rle d~~se. 0~ 1 c pc JI l.lJÏ!tr<! !rapp<'. par la de cc ~~~~tm. c:oof1d~nr~s circ,.l~"té Dars (:'es1 merveilleux les r.•s~ent d 'lin ·rtcr UCIJ\r.l.' ~ IJ rcncunt·e "" sm.ven~r. fr déth•~n~ journal de voya&c. ll~llrc f1lrnec. c;>rtes postal!"\, flin de I:<Jn>P.. orër• hlmè. trctron. dllégo"e, ll.rr1old Pa>quivr i:l1!!rchP. a nécrire un amc>ur qui soit lUI· même l' 'lve'ltio·l d'une fur mc ··a ... :re. :t1acv1 se conr1c ilL :r.rrn,r rw• se cc1f•e 80 l1hns QJ rnstallation; : f.'dne passion ;vnavelrS~ t:~ ur !,'c~l kn·.q~:e: IP.s troi s protatlOI1istes Lie Tou~ unllx.·som ri'mnrmr asswc le l 1en entre la pamle r.omP.c11ens entrer11 r:lar.s le crarnp. Pdr le; bord>. st.r le.s r.r.t~~. lorCi'.ant les taçades et le>"''"'""""· magiques s'offrent prcr"aÎCn: cnrfr1P.'lte Le mes>a&e t:in.:u1c de pr:K:he Pn (PalerfTlOJ. c r('-.J\Jnt 'llllln dtJ il':t lt! ,.,;ain. c1P. place en pla<:e. pour rclruuvcr l'n frn prêt à ,;vftru. Cd avec les Autres "· t" d~ chaine .<!. qui r.::1ro uve en r,lém~nt danse q ue s·épiOIC le m~ndc cfArnnlrt P•"wrer. l.a darlSè doriPC ;; lire.. Si, je me demande .. Pourquoi filmez-vous ? • , ~r proc:hP. P.! semble •evenir à SOli expcdrtcur. Forme r.trr.ula1re que 1on retrouve m<:erta·•n. il tâtons. c·est dJns celle kn>ior~. ""''" 1• dl!r.l•r•t1cn toujours irl~atisla1te d >On ,,,p. q ui n~ \rocve pa; >e> rnols (Id ch• ~ •nr s upplée soc vent du d r310l(uc) c; le curp' iMm~hil<>. t~nc:u. TOU S ON T BESOIN D'A MOUR un c.:ol ~~un bur iJ .w ~F.r'\. ~ Jlm d~ssine Érik Bu/lot ~ · i.l •1•cr. Filmographie RÉALISATI O NS DE 1986 À 1995 Angela, Denis et moi 1 1986 1 VHS 1 30' ~ A T C H A [ D 'A C CORD] ARNOLD PASQUI ER ET VLADIMIR LEON 1996 1 U-MATIC 1 52' Angela-Arnold 1 1987 1 SUPER 8 1 8' Samuel 1 1987 1 SUPER 8 1 10' Histoire de ma mort 1 Last but not Least 1 l n/re Bombily cr Madr"~- Vi,,rlimir 1 eon et Arnold i'asqtuer œcueillcnf, fJQim! Co' commentent des ompressi<lns de voyage:~. Remember him whom passion's lover 1 1987 1 SUPER 8 1 9' l'Adieu 1 1987 1 VHS 1 120' et 16' Des endroits où ne poussent pas les arbres 1 1988 1 SUP ER 8 1 12' Warmth and Dazzting (Chaleur et Éblouissement) 1 1988 1 VHS 1 80 ' Alphabet, 8 pochoirs à Londres 1 Arnold PasQuier el Stéphanie Latour 1 1988 1 U-MATIC 1 37' Je m'appelle Nathalie 1 1988 1 U-MATIC 1 15' D'autres disent .•• 1 1989 1 8MM 1 1' Ils paraissaient indifférents à ces apparences de désordres ANGELA 1996 1 BETA SP 1 3G' Interprétation : 11. Bastide. 1\. Ben~rd L-;ch•. D. DUrs(). G. L.0<1~P.7. Il. r-,<e.rcy. J. Rolle~. l. YuUtll(. Production :A. P•squocr. INA. Dom mique ne pafV/ent pas a faire le deuil <f'A11gcld. Il réunit rf.Jns son Jc1rdin quelques Laisser derrière soi 1 Dtd Cathedral Town 1 1990 1 U-MATIC 1 20' amis QUI propowot f}dr d"' r:transnns. par D' une journée surchargée ... 1 1990 1 U-MATI C 1 2 X 6' des danses. une reponse .1 I'Jim,,œ_ Instants d'Angers 1 1990 1 U-MATI C 1 17' C'est une colline 1 1990 1 8 MM 1 3' DÉSIRÉ Viens 1 1992 1 U-MATIC 1 10' Les Scènes de l'Europe 1 Arnold PasQuoer el Madelei ne Gonzale7 1998 1 INSTALLATION VIDEO U-MATIC 1 2 X 33' 1 1994 1 BETA SP 1 52' Production : .e r ·esrtoy Beaucoup d' amour 1 199 4 1 U-MATIC 1 29' F"dCl~ ,;j On va faire les Indien s 1 1995 1 U- MATI C 1 18 ' de femnws qw f,x,:ro! '"' pmnf. hors Je t'aime 1 199l 1 U-MATIC 1 25' cham o. Le spcclàlt'>Jf .:;·1 irrv1/i; .•J PiJ~W' enttf ces regards crUJSt~s. Les Fruits tombant sans qu'on les cueille 1 1995 1 BETA SP 1 75· f;,r:e. cJP.s ('J(1rlrc1its d 'hommes et C'EST ICI QUE JE DONNE C'EST MERVEILLEUX C'EST MERVEILLEUX DES BAISERS 1999 1 SPECTACLE DE THËÂTRE ET DE DANSE 1 90' 2000 1 INSTAllATlON SONORE 1 33' 1998 1 16 MM 1 25' Interprétation : N. De Bdrros. C. D. Dï.lrso. G Londez. P. A. et L. LA JOY 1998 1 INSTAllATlON PHOTOGRAPHIQUE 1 30' Production ; Le rreS'lOj Po,~ui~r, D·~z. M~ngeot. D. Mercy, L. Trxrer. un ~r;r/Jrl. AnrW-Mdril~ G~ra! ~arlt~ cf~ l"rmage d ·un ciel de nuages. MOURIR? 1998 1 INSTAllATION PHOTOGRAPHIQUE 1 19' lor1d€7. M. Ri77i. f. lr.Jtfaut. C. Atabekian. G. C~oàfrf.. F. Co5>lfl. V. 8nJgue~. S. I'H:·mn u~li<~ nn.m1o:.:ip~1c t.l"Hi;~lll;m. Production : Le l'rc•snuy. Avec le suutrcl\ Production : Le l'rcsrru~. M~rF.t, i e film C'est merveilleux ~Jccompçlgne ci'lme c:réatrcm ~on ou~ ilrffu~t~C! !m huit pi:-o~~~~ sualra/isécs <1•.1r" ur. r:ydo viane r.:lfL·uiJife <'> ""' [MY MANl du G.R.E.C. C•nq femme.; architectes construisent C'EST MERVEILLEUX Trois sequences pour une danse de dewi. u11 thé,ître provi.>wre.;; u bord rie la mer 2000 1 BETA NUM 1 34· 1111 combdt polit1q11P. .w,gulier et Il fie pmrrtP.n<JciP. arnuumu~e sur une routf~ 1le campagne. iÎ Marsl.'il!c. Interprétation : G. Lur·~oL. G. Cludlre. M. Riai. D. D Urso. V. Drulo{uel. E. Truffaut. Musique : R. Robb os, J. Garba•eK. MERVEILLEUX L'AGRIPPINE DE H.;:ENDEL, Six f)t..?rsonn.Jgcs evoquent wl souvt?nir AUREVOIRETMERCI 1999 1 BETA NUM 1 9' MATÉRIAUX DE RÉPÉTITION amoweux J un at~diteu~ qui <1evient le 2001 1 BETA SP 1 5' 2000 1 BETA NUM 1 53' narrateur de la scene su1vante. de Roub.liX aMarseille. • Cherch~r ce qw est perdu Production : Le Fresnoy Mise en scène : C. Gargnemn Reperages, repelitwns, tourn,Jge~ j Interprétation: S. Manr-Degor, .1. Cnrreas Mar.se1/le el a Rouba1x oour la prépara/ion rlu spectacle C'est mervc·rlleux. Se retrow.-~r cfev'"Jnt le pay~~ge. RevP.nir ,j Sd rltJC/11(.'. Ne ofus savoir le rcgl.!fdcr. Inventer Musique : Georg "rrc~ridr HiiOIIdcl une v1e avec lui. Entr'apt>rcevorr fe bonheur Production : INA. ARCAL. Meao . TV 10 dans ses bras. L'appeler pour dire adieu •. Dm:urrmrJ lain~ ~ur ta sur un p<1t1ant met.>lltq(Je. et d'une bande son, mm posee de messages la1sses sur un r'épondeur télephon,que par les personnes pl1otograpl11ees aux côtes d'A mold Pasqwer. Musique : Roux Un~ dam;c r/~ spt~c:l('ldf! Pini3 81W>d1. "xrruitP. du • DanLon 1}. ÇA, C'EST L'AMOUR c~rérJtkF: d Ü!l spectacle 2002 1 BETA SP 1 4'17 d'opera. des pre.mtéœs rep6Wirms LA REDONNE ata generale. EVA TRUFFAUT 2001 1 DV 1 5'50 Musique: B.O.I' Le> GJrls, G. Cuk~r Un VISage sur la mer. l!ne main s'approche et fe caresse. La bande sorr et les sousMusique : [lruckr1er trtres en Un tournagf.' en Super 8 rMn:-o tc!'~ r:alanque.'-i 1 es Grrl' rie Ma rscJ/Ie. Un groupe sa vance entre ii lc·s bosq uers , dans fe vent. 82 en volet sur une m(Jsique. Production: A. Pa,~l.IW. INA. EN REGARDANT C'EST r,ngers. Le rresnoy. lnstallilliarr photographiq""· compm;<!C L"rtrc vidr!u. cnc/Jain<•rncnf rk photographies de Franck Lambert montees A. Scl1wart7. Mma Production : Le F resnoy ri 'ur• ru/)arl rt!clo ver~o de 42 p/Jotop,rap/ues 2001 1 BETA NUM 1 8' Musique: Troublemakers Cinq 1imlini~:rs lmvailli.'nl à la cr&Jiion dUn jardin public sur l'emplacement cl'llne triche industrielle a Roubaix. Musique: E. Tr~ffoJl, P. Léon NOUS N'ALLONS PAS Production: A. Pas~Jrer INA. De paule, n. D'Urso. G Musique : Ber.lhovcn Une cfiapos1tive e., t projetee F.n plein air ~ur L'Amour de Lorn. La m11Uombe. révélant Interprétation: J. franç~~~ d ·l.m{~ d1~ Georg~ sr:Cn'! dj.J film CLJkor Invitent 1Jr1 ~OrlgC .arno~tretJX. en LE TRAIN BLEU TWO MICHAEL SNOW IL CIELO IN UNA STANZA 2002 1 BETA SP 1 2'36 2002 1 BETA SP 1 4· 2003 1 BETA SP 1 2'02 Le reflet du visage rf'tlll ie une l'lomme Musique : dans la v1tre d'trn tra1n. L·arliste canadien Michael Snow se t1ent Une photowap/Jie. une dldnson Gli5ser devant un ecran de cmerna oLi est projete Sllr son visage. retemr par fa caresse À L'ENVERS 2002 1 BETA SP 1 1'03 Une poursuite ,j sl<.r. As 'aporocher. M1r.h~P.I Snow Musique : Gino un extrait de son film Two Lavoisier. who d'11n rravellmg al! banc-litre ce souven ir died avec lui dans ma ch,Jmbre. le c1e/ dans 1n the re1gn of terror. Un?oom avant se rap(Jroch" de ""' vtsage. pui' l'tmag<: cievif~nt floue. ju~qu ~3 (a pcrr~ ile {a forme. le c.:orps flou rlu skieun!P.vien/ net. unf!c:hamlJrt~. LA NOTTE MONTESANTO 2002 1 BETA SP 1 2'42 Un 1eurlf~ L0!Jf)h2 c~t ;J.'i~is P~ol1 rliJrl~ la slr~ficm TELEFONANDO ÇA, C'EST L'AMOUR 2002 1 BETA SP 1 2'58 2002 1 PROG RADIOPHONIQUE 1 80' Musique : M1•1a Production : Un v1sage emerge de l'obsctmle. 1/ appçr,Jil At ~:nc~r di.! cml.ltlc.m 2003 1 BETA SP 1 3'30 Musique : SiJ lv~tor<' Acla mo Oans les lettres evidees des mots ri..HJ1o:Jph0r1iquc. Fr<Jm:c Cullurl! de li! chanson qur apl)ar.!issent à l'Image du funiculaire de MoniL·sanlo. à NJp/es. pws dispar,Jit, se compose et se decompose, [ntrelacs de fl'c/lons. d'entretiens el de re temps de leur duree chantee, des sexes ch(1nsons : ie ç;rogramme se compose ii I.:J cn Ilia serre dans ses bras l'embrassé. s é(ire monstrueusement, se reformP. pour 1 ~s sous-litres. extraits de la scéne du ~t~ IJalum du film Une place au soleil de c:l'lanso" de Mina passee J /en vers Georg~ St<~VC!IS Les sous !tires de la chansc;n decrivent l~rJiensitc i!CÇOmpagnP.nt el revdenl de''' relillton. lrrJnsformcr ,:j nouve;;u. JIJ gre rJ'um~ rnnnt(}rt~ f.;roctmn~. rhm film riJ(Jioohoniq1H! llUi in vite ;j parh~r If ·ümO!H. une séparation amooreu.se. TOUS ONT BESOIN D'AMOUR (PALERMO) ENCHAÎNES C'EST ÇA, L'AMOUR? 2002 1 Bm SP 1 25· 2002 1 BETA SP 1 l'59 20G2 1 BETA SP 1 2'03 Interprétation: J. Ull homme lech~ une t,J/)/c pws "' bras Musique : Eva TrLJtlaLJt rl'un i!Utre hamme. Les sous-titres dévdoppent le réc1t d'tine passio!l amoureuse. LE TRAIN BLEU lJn Visage emergP. <i pem~! C1 1lH1P. tJIJP.(! h!,mdu~. Unt! m;Jirl c~n!re cian~ lt.' c:hamp~ r:ar.,.>sc le v1sage. s'attarde sut IJ ioue. S~lcmc. M. Ferrdille, G LJrtino. R. d. C c~le, M. Speciale Musique: N. S1mone. J. S. Bacl1. M 'lil Oeox femrnc.·s r.•l un homml! travY.·r~c.·nr r!e.•i p~~~ages dL· Pafcrrru~ en se fi~nant par CONTACTS Arnold Pasquier c-rr1o1l: arrW/(.I.~as~ ~ c·~r1oos.tr glisse sur les !evres. sort. Une vo1x fa mcJitJ. Un rardm. LJne pface. une scëne le Fresnay chuchote une chanson d ·amour. de 1/Jeatre .. Ils chantentie"rs destrs (Studio National des Arts Contemporains) 2'l ie JCllr et fa n~/Jt où on les airnerii. ~ -"'• : lefre,noy@le-fre, rny.tf'l.fr 83 r.~ 84 • JE N ' Al JAMAIS VU UN COMÉDIEN NE PAS DIRE QUELQUE CHOSE D ' INTELLIGENT OU D'INTËRESSANT SUR UN SCENARIO, sur son propre rôle ou même sur un autre rôle du film. C'est pourquoi j'essaie de faire des lectures avec les comédiens bien avant le tournage, de manière à ce que l'on puisse quelqu efois modifier des scènes ou des morceaux du scénario en fonction de ce qu'a dit le comédien. Ce n'est pas automatique, mais cela reste ouvert " l ntretie/1 ~11et Alain Rtsnats. C~meralstylo n'4 (septembre 1983) .,. .. .., ~ ~ ~ Lectures de scénarios " UJ Pantin Samed 1 5 avrol De 14h30 à 18h Au hlllc• q ~:~ t re é ~•t ors prèced~>l1tP.s, 1,,. lcct.ues de scénanos sont deve- nu ~ u~ de~ rel1d87·V0"' lr r.onttliJ'n"~lc s du testiV•I CotE\ c:owl. ChJque annee. des ~ r.IP.IJ" t<lls q ue Anne Alvaro, Aurélien Rc:<:eHlJ<. Romane Bol'>flr•ger ont h1en •roulu >c préler à ric he en !!motions. plaisirs et style. ,-..; VOIX bibloothéque El sa Tri olet e ntrée libre cet exerc1r.e pénllcu~ rnJis non moin' d éco~. vertes C~•cun ~sa rn.lnière. aver son son esprit. a pris poss.,.,ion d'un 'olm omagm~"e et P.n rtevc - " "· tOCJur le tr a1sorettre il nos n r~>ii!P.s r"'''"'· Assiste o à c es tettur• s. <:'c>l retrou ver l'état a·eoi~nç~ oiJ l'o r~ ecoule des contes m ervP.1IIe1Jx. Tr~> •11\e , Parrainées par Arte Avec le soutien de l'association Beaumarchais des ir'lages et des so"' se r.,.;.,,, d ~r1s •J tête et Vl f11m ~pp~ r~it. Ces lec- tuoes sont tm rommcnl prov:lëJ;ié ou 'o·1 partico pe il OJnP. rr.rocor~tr" inli111e et torte. r.P.•~ cfun .:Jt:\cur J VL'C un film à ta •re. enr.nr~ à l'êtal de rêve. Claude Rambaut et J.cky evrard /~, .::;.._ .... . . 4 JEAN·LUC GODARD PAR JEAN·LUC GODARD •."Jt:'l:"'; ; ... :··~~·-iî. ·_::~l' !1oiR-I :'bJll ... t al r fr po!,U ~ .. . ~ tr t• l_Kln Q'l.l~ po\lt: a t r f"" ..itiHI"•''" . 85 Synopsis est le magazine de !•écriture audiovisuelle : des mots aux images, il vous montre comment naissent les œuvres de fiction sur le grand et le petit écran. 86 UJ MANUEL BLANC JU JACKIE BERROYER )JI JOCELYNE DESVERCHÈRE CINË MA CINÉMA Les Bras m'en tombent, :.l. Je t'aime, je t'adore, B. Bonlwlakis P~rent Je ne vois pas ce qu'on me trouve, Rien ne va plus, C. Ct1abrol C. V"'""' r. Encore, P. Bon•t<er L'Eau froide, o. Assayas Le Péril jeune , C. CINÉMA KI~P•>c.h THÉÂTRE S'agite et se pavane, R. Planet-or; s. Afleur de peau, P. SJivaclori ))) ESTELLE LARRlVAZ CINËMA CINEMA le Pacte du silence, G. Guit Petites coupures, P. Bonitzer Un homme, un vrai, A. et J.-M. LarriP.Il Irène, Y Cal nerac Beaumarchais, E. Mol ~arc La Maîtresse en maillot de bain, L. 801Jki11tirH! Irma Vep. O. Des feux mal éleints, S. Moat1 De l'histoire ancienne, O. M1rc1 Chacun cherche son chat. C. J'embrasse pas, A. Ter. hin~ Les Destinées sentimentales. O. Assayas Beau fixe. C. Y1ncent l'Homme que j'attends, [llo11dy Ladies night, J . P. Dra ve! el O. Mace Conte d'au/amne, Est-ce que tu m'aimes?, R M1trov1st~ Dommage qu'elle soit une putain, .1. s~vMy KIJ~isch • Blonde et brune • de Chrisijne Dory JU CHRISTINE DORY ~Armée des ombres, J.- P. Melv1llc Le Grand Meaulnes, J.-G. Alb,cocco THÉÂTRE le Misanthrope, J. 1assalle Ma rie-Ange. A. Dac! '"' Hanse! et Gretel, P. Piana Jules César, J. l~osner La Remise, A. Fran con La Tête des autres, J.L. Tard•eL Jackie Barroyer l•ra le scénario t. Rohmer Dut one, J. Rivette A;say~s THËÂTRE THÉÂTRE ))) ALAIN LIBOLT Ham/et, P. Chéreau Manuel Blanc hra le scénario • Hymll! Jocelyns Dssvenchêre lira le scénariO à la R8zelle ~ de Ste p~anie Duvivier M JI) STEPHANIE DUVIVIER Par amour" de Yvon Marciano JJ) YVON MARCIANO Estelle l.arrlvaz 111a le scénario -Trois cllevaUll » de Isabelle CDI.ldrJer ))) ISABELLE COUDRIER Alain Llbolt lira le scénano « C61estB ~ de Valérie Gaud•ssart ))) VALÉRIE GAUDTSSART SC ÉNAR I01 RËALISATION SC ENAR 101 RÉAli SATION SCË NARIO 1RËA LISATION SC ÉNARIO 1REALI SATION Bruno n'a pas d'argent IC.M. 19991 Mariage en papiers IC.'III . 20001 Le Beau sexe (L.M . 2001) Pourvu qu'elle pleure /C.M. 1!)951 Mes insomnies /C.M. ?0011 Cendrillon 90 (C.M. 199ll La Part d'ombre (C M. 1999! Traversée du désir IC M. 19931 Apesanteurs /C.M. 1999) La Chose publique. M. Ar·1alnc Le Cri de la soie IL.M. 19961 Scénario : La Part animale. S. La Grande vie. E. Sal1nger tmilie Muller IC.M. 19931 Va et dis-le aux chiens IIJuréJI La Lueur lw-•C:.OII>J;cur P. Dubo>c. Docu. !Sf.J6) de l'ASSOCia lien Beaumarchais) Eau-delà des flaques avec li. Colomb (co réJ - Melmoth. Ë. Ba•b•er Variété frança ise, F. V1deau SCÉNARIO / REALISATION JJ .Jd c~u Des passerelles entre vous et moi (Docu. 1997: hsJteur N. Roméro, IJocu. 1991) 87 88 )JJ Pantin Vendredi 4 avril Rencontre présentée et animée par Sonia Jossilo rt En prtscr• cc du rcal~>dlcur Olivier Séror. De 18h à 20h du monleUI son H ette\s spëCIJU> sonores bibliothèque Elsa Tnol et Sébast1en No•rë. et du designer sonore, franço"l> CHARLOT P ATINE (THE RINKI ~ots1tein. f n présenr.P. de Ga~l M~ rte~ tl M(lrtannr.. Lyon du d(~ IJ Mu~H,lUC Centre~ OP. 1.1 SACEM. de Dot:umcnWiioli Cor-lt!mpOrJim.!. Myr1~rn MJrluu du Muv llll d"Ar·de, Centre artistique el ClliiLJrel el de Morad Kertobi du Centre La création sonore et la musique de film Nal•onal de la [)néma\ographie Tro~ souvent rgnor6cs. la crë~tior\ ~oru.m! ct Id StMCJfl::.. lif.· fc;r(11 ;.~-~c:r! œmpu~iliOrl c~·:\ rc .:1 ~ "' l' de mu,ique originale dar~s le covrt métrage ~ont j ,:;..:. •. l !'l..t.;;.. des èléme·,ts de toute importmce dan> le processus de créat<Jn. ))) Pantin Vend red 1 4 avril, 1 7h Cette rencontre s'articulera autour d'une projection de films suivie d'un débat, CHARLOT PATINE (THE RINKJ ENSEMBLE X CHARLI E CHAPLIN FRANCE 1 2002 1 35 MM 1 1.85 1 FI CTI ON 1 COUL 1 20' OLIVI ER SÉROR USA 1 1916 1 EETA SP 1 FICTI ON 1 N&B 1 21' Triolet. M1s'~ f!n :;cm rea!is~e rf~~ l'c~xfrait sous de Charlot patine~ ra direction de 1 rançcis 1-/otsztel!l. fredènc 1 rt~teau de Laclos. Vincent rn/baud, et avec les jeunes participants au projet 'Mus1-burlesque ?001". Comment r.trr.lq.te val11c avt=c 1(.! ré41i5t~t\'!lJr pP.n~c t:rèo:l~cur leur de musoqlre , S(.morc ou le ? d trrJ- t:cmpo~r cene rencontre permcllr~ aussi de taire le point su• les d Iferentes a•des qui existent po\Jr encourager la création sono présenté et animé par Sonia Jossilort de la Maison du Film Court, à la bibliothèque Elsa CommP.nt s'in.té:grf. nt-elJes r1"l r1s le f1•m MUSIQUE POUR UN APPARTEMENT ET SIX BATTEURS OLA SIMONSSON SUÈDE 1 2001 1 35 MM 1 1,85 1 FICTION 1 COU L 1 10' re et 1'1JSI<:.11e ctans le r.nurt 'Pétrage. Ouverture au public Du lun<.lr au mcrcrcd1. ue l2h Jeud r, de l4h .l 20h a !811 90 C ' EST LA LUTTE ... 2003 1 35 MM 1 1.66 1 COUlEUR 1 l' Réalisation : Jar. ky Evr;Jrd •~1 T;m~:ui Perron Montage : C;nollrlt! Dcloumdy Prise de son : Lilurcnt Boudaud Mi~age ERCIDAN : Claore-Anne l~rgeron Kinéscopage : T11ieny Taoeb :;~s ostè de Chrislopl•e G~ yon Direction de production : St~ph•ruc l:har:;>P.nloP.r Le film annonce Ce flfm a ete realrsé grjce ,w concou"· rJI·~, Arc/Jives DépartPment,riP.; rie L1 ScineSamt-Denis . Cmémd P111J/rr Fr1ms. Cinéslért;,, Err:kJ<Jn Films. trC. KodaA. (,, Fc~mi>, Les Pradu~lion s de la Lanterne. Ti~:hnovisian. Un grand merci à : Florc:m:c: Al11vr.n. Cllfls/i,ll> Ar/!E!IIIino, Luc Belin. C:hmlopl•e Cordier. Fdl!ic~n FrJurnil/on. Louis Philip()e Kûllflc. Marc<!/ Mazoyer. LrwdrJRiou, Roger ."'oucnc;wajg Paul Seban. Helene S•Ci'Jrd. Muriel Suder. 91 ~ le technicien du 1 1 an- 11 numéros 59€ aulieude66€ 2 ans -22 numéros 105 € au lieu de 132€ ....------' Offre spéciale découverte : un trimestre (3 numéros) : 15€ 0 1 an (11 numéros) au prix de 59 € au lieu de 66 € 0 2 ans (22 numéros) au prix de 105 € au lieu de 132 € 0 0ffre spéciale découverte : un trimestre (3 numéros): 15 € Règlement par chèque bancaire à l'ordre de Kotka Éditions140, roe Milton, 75009 Paris. Nom : 92 ----------------Prénom :-------- Adresse : - - - - - - - - - - - - - - - - - - - Index des films 7 femmes~"' les 1e•res de W1m Vandàeybus, p, 37 A bnght ir1terval. p. 19 1. p.15 Adreu at. prrate! A~nr~tron. p. 41 M•r~uel. Ann<> cl p. 43 CtHOrrlilbUr>l, p. 32 Far w~s~. p. 23 Lac c\ Id r vere (le). p. 23 Chrysdlrs. p. 33 Fer'1rne pap lon (lai, p. 21 Lenre Play. p. 33 The"'"" wc Wclnl lu Portrait> filf'léS. p. 31 t1ang . p. 28 Corps sohlô •es (les!. p. 1a f~n~trP. ligre de v1es. p. 22 Pour f~rre le !JOrtr@rt ~~e Cou pl! re liai p. 17 F?.tP. nes O'lèros {lol. p. 43 l nu.m •. p. 45 ratenrnal. p. 36 Cours Hel,tmre. p. 45 Flclwe·> fur D1J lid, p.l9 Lime.. p. 20 !l'un loup, p. 45 Prerr~ier aajt p. 24 D'lc1 F.t 1le la·b"s. p. 47 Fotrgrapl11e n''l. p. 30 Maquis l'el. p. 45 sw mup!P.. p. 43 A~p~l•d• Jrl S~ri11g. D.o 1'1mag" du qu•rlicr. p. 47 Frarnm~11l1 App~rtarrerto, De r10uve"u lundr. p. 18 RCII'1. p. 32 p. 37 p. 32 Après le cam bat, p. 21 Après. p. 14 a Roberto. p. 31 [lettrici n L skywatk is gone. p. 9 Tnl~t n'P.st pa~ P."l Pl>•r. p. 42 Trau\no. p. 18 Meilleure bobcrne (lal, Q,"liJe vœux 1esl, p. 41 Regard de P1erre (lei. p. 29 Retwr llel. p. 40 p.40 HP.ver. p. 14 Ure l11storre d'eau, p. 40 Marie K et le loup, p. 45 TL.. s~rliprc. p. 32 Un tour, p. 42 Dehors. p.14 framment1 Ete~m:i VrP.tnam. p. 32 Aqur y ~hora, p. 15 vtS1tes. avant travaux. p. JO Au norr. p. 24 UP.rrif!rP. ''" vo ets, p. 14 Curpi, p. 32 M1t10 luup. DP.s morcemJx FreedLJb Il l. p. 33 Mods, p. 19 de rnd femme, p. 43 Gold, p. 29 Musique pour un ,;pparte Die klage der ""tserir Haïku. Ra>r. VJdull;,. p. 21 rnP.ot et 6 b~tteurs. p. 89 1l~ H~lles (ocsl Mystc'lcs. p. 30 Scr.nr. de lrt. p. 42 Nadine. p. 42 Sl!IJ1C lik~!Nr' War~rnp,. Nr •ue. ni c011nue. p. 21 a le> yeux bleus, p. 16 WoyLetk, p. 36 N'igh\ jaL ·rey. p. 37 S1ege (lei, p. 43 Y.amamoto s,m, p. 23 Nous traverson;, la viole, S1g"e d'hiver. p. 17 S11P.rc:P. F.~t <'!'1 mM\:he F1tn·s RétrosoJectrvP., p. 53 (lel. p. 29 fil ms r1P. Arnolcl Baiser !le!. p. 25 Ba~>ers des a Jt•es (1€5). p. 41 llattades, p. 41 Dernières Pla ''"' de FrarnrN~rtt1 l'u'1pératricel. p. 36 H•stuir~ Bnuc lie~ buudJc, llirmnçl1~ sr,ir. H ugueMe. Buut des doigts !Jrsp.ral~re. Be~con. p. 29 p. 15 (le) p. 24 Cddeau commvn (le). p. 23 p. 41 p. 31 c ·estt~ p. 9 p. 43 c1"" la r.h~mhre !1'). p. 31 m~ :lClrHH! conlr~ I(Odlld. Elr.!ltric·l n''3 : Hyme11, p. 30 tel rote Ca1llasses (Oas R~d: p. 43 Merrmre naturelle p. 16 Ecf1ang€-~ra1:.a i.:h~mbrl! Cana, p. 17 n'2 : nu 17 octobre 1961. p.47 EciJls d o• p,ëe. p. 28 '1orc. p. 28 Pt~rQlc:.. p<.!ru1.:.!~. h.r..:o·lr'J PJitœr, p. 28 En cl1emin, p. 22 f. niJ[;ht~o. p. 29 fne•,..~le X, p. 18 Cl•arlol Pat111e p. 89 [''""'Je' 11'1. p. 18 p.43 Ch,;rl o~e Elclil;,l :: · ~lt· . p. 36 .los~l Fones. p. 31 .. ~rll~ r.t If'~' h;,r·n~~- p. 16 rènuhtrqu", p. 33 C'~larl n•s la l(.Jcr·e p. 45 Ch~Hh.•m;J~nc2 : C~atte et sor jt.leo. p. 40 anMalot. se !la). p. 15 ~~ C()!tE' adresse. p. 25 stJrv~nt N"r1,. p. 37 p. 22 PMI d'u•Jibrc (Id), p. 43 P;, ulttte J attenvrars le e Neness. Ferson'na. p. [Paris vu par... l. p. 41 v.e après 1" rnort !.ai. p. 31 VJ~ilc !Id. p. 25 Vœu !Ici. p. 17 Voilà mon rna r"~ !, p. 40 S~IP. r~put. V~yeu rs (le~l. Rue sa1nt Den1s. c.e ou rron<1e. p. 9 p,,pJIInr (le). p. 22 J~ Une s~rsnn. p. 19 c "rrét p. 42 RTT. p. 47 p. 45 ln n•r1er nul lu be 1J p. 40 RQtJr.". 5 r"''lniJh~~ p. 41 33 p. 47 a1 ra:;qu""· p. Sumc fricnds. (Ap,lrt). p. 33 Filr•ls ~c H1ur11a> Sl•lnce 2. p. 37 ;)r">dran p. 77 I'P.s o(J MérP.·Granrl "· p. 45 1an1erisr.he Pa~tam ~er·. Pe~1t e p. 36 P?. s • n'offm. p. 42 p. 42 S~ell"hellavi;;JM. p. 28 Petit week end [1~1. p. 42 tur1iere, p. 16 p. 40 W. p.25 Ti.lX.f lie:: rn.M. p. 42 93 6 CHAIN ES CINEMA, UN SEUL ABONNEMENT ! * AU CŒUR DU CINEMA LE CINEMA A VIVRE LE CINEMA AU MAXIMUM LE C' EMA EH UBERTE ••• ti'I3Hrt LE GRAND CINEMA 0 N&IIU:U ..)00 O~Q _, 0 ~,, •N~• J .~..... . LI•U PARTENAIRE OFFICIEL DU FESTIVAL COTE COURT PANTIN 2003 94 SUR LE CABLE ET @·l~f.! ft'îimiiJ Cl NECINEMA.FR 1 L'ÉQUIPE Photographe DU FESTIVAL Je~n-M 1che1 DéléiUé général Site internet Jar.ky Evr•rd rlor.ot;" Le Tioierry SIC.OI ASSOCIATION Le Méliès CÔTÉ COURT Stc;:>t•Jn~ Stéphanie c,a,pe'1tle· ~rançoo"' Equipe du Ciné 104 Du·r ·ut;ue B•x ra bie" Cunillera Nathaloe Bertu N ICOlas t vrar~ Na<! " Dcrnrnuu Sylvie Larmque Vërr.;n1que Fourt rhili p~e Mercier GrJ< ell• P1nault Coordination Rétrospe clive Agence du court métrage, K<lrorn Allag, Rémi Bo,r.ot, Stéphan"' Clnuet. Va~r· Gou;.nl. Philippe Germain. Le Trianon Seine-Saint-Denis, Françoise Burg. Pt ~ppe Malpertu. Chrost1~n Op~h!/ Archives françaises du Film, frMP.nr. Hugo!. Emrndnucl JaiT'bu. Stépo1ane Kahn. F~t>ror.e MarQudl! Archives Départementales de ta Lebrur> Conseil d'Administration Coordinalion Mu·otrcuol Présidente d'Enncquin Coordinatrice générale REMERCIEMENTS Goudet rr~léric Horgo,> Patrir.e CM'~ Ga~ll" Nathalie .lny?.ux M 1 ~hcle fl nmaor volc 1 Nu~>y· ~-sec Rl•lhac/ Ass ociation Beaumarcllais, Paul Tab<:tl Association frères lumière, Nathallf! More'lil / Bibliothèque Aubert. Jea, Bapt•ste GamP.rn. (ne l e Roy/ Arte, H élène VayssoP.res, M1chcl Elsa Triolet, Od1le Belked<lar. M~r' c·P•c•rc Ocge•/Bref, Hugo Rél1t, ls•he.t" Bonne:. J"cques rtcran Ker mabon /Centre national de la danse, Gael R1as, M1chel S~l.•. M~roon Tochc/ Ciné-Archives, Johe Amtdnd Badeyan C,17P.ravc, J<>dlc M~lberg / cinecinema, Patrice Carrl>. P•t r~r.~a Gdr~d il. Al c,sJndta Zane / Cinémas 93, Sa·1nt Oen1s Fr ocl.,nr. Bor~oa. Ma1ie· P1erre Warrault/Cinémathèque de Bretallne, Cla t1de Ar~al. Gilhert Le Tr• un/Cinémathéque de la Danse, Patnck Bar s~r1. Bcmd·~ Rémy/Cinémathèque française, Bcm"rd 0111 G, c~ G~rntcr Le Festival de court métrage Bénol ,el, [n'ille Caupy. C:la 1J~ 1ne K" ufrnJnrl. Ga~l l e V ,1a11e, H e rv~ P1r.ha-~/ Cinémathèque Ar~nc jeune public Universitaire, PariS 11 1. L•urP. Gat'd"nzi/ Cininter, M1chéle Pavesi/ CNC, Eric: Bn~l. Mor"~ Kertub·l. DJvi:l Huet Milita nee 1 Enllallement Accueil professionnel Florence Jovdon Patricia Ep~e Ke5'1er. Val~n t1ne Roul let. MariL~C ia i rc Thiriot/DDJS, Hélén~ ~'h•m Van /Dix et Demi-Quinze, F orenl Or.a·u! Brun Laure Annf! Huherl ranny Lesoge SIJin > C•rr~er/ Dovidis, Cal~onPc Poubea J/ DRAC ile-de-France, Ala1n D<mzcl. Anita Weber/ Emergence, D1na T•nguo Perrur N1na SamiJ~I Tangu1 Perron le Jacques Tati Cdrré. ~mn,~nue:l r~p,llun Tessarech/France 2, Ctoristophe T• tJdiérd GNCR, Karine P•evotea~. Fredénc Ynu/Galerie cen!B, raMy Trernb'a y.cn-FrJ rH.:e Gaudry/I!Humanité, .Jean-Fmma~ uel Ducuin. M•chel Guillou>. Patr~ck Staal /Institut CGT d'Histoire OliVIer Rinu Arb1b. El•>•bolh Depardieu/ Les Films d'Ici, C•!herme Roux/les Films Grain de Sable, .Jeen-Mich"l S1b1'e Placca/FIP, Florenc?. B~h ~r. Dominique Pensee /Forum des images, Eli>c Coordination Filmer la Chef de cabine Aleiandra Rotu danse P•trice Wcanal Duminiquc Toula\ Projectionnistes En assoclatoon Pocrre t:tcran des enfants franr:tt Auh1n avec Responsable cinéma Fémis, Ala1n Avclaue. carole Desbarat. ~a nny l.P.'age/Libération, Antoine de ll~er.quP.. Martine ZohrJ r olle• Ma•o.,·Chn,tiiiC w llo du Conseilllénéral de la Pe1gner 1Light Cane, Chri!,tophe BICher. Cla"e Gaussc/LTC, lou1s Ph1l,ppe Ktihne. Muncl Suder / lVT· Alexandra Cande Sei ne-Sai nt-Denis CMC, CI~,Jde lluouy/ Maison du film court, So11oa Joss1fort/ MK2 TV (Court circuit), lo..c lagier. M uriel Sociale, Elmne Brr."ol. Joel Hedde/ ISKRA, Matthieu de La~orde. l n~er Servel ~/ Kodak-Pathé, CI.H,do Ramhaul Relation avec les publics Philippe Desingue Eli51' "'•hilnt le Cin'Hoche Jean-P1erre Ma>et\1 BJ&M'et (Compétition 1 Panorama) Anne BerrOll Jar.ky EvrJr~ St6pllanie C~Mrpenf1er Oemrnou Traduction textes NiJdrc:~ Ma·1e-Sylw: Véroniqlle 'ourt R1vi~rP. (focusl J~( ~y Don11ni~tJP. Bax Boh1gny Le Théâtre du Garde-Chasse fvrilrd Cl~tJdP. Rarnoout Thome/les Producti ons de fa Wnterne, Nin.l D 1ck~. CIJude Golao7P.au/Réi;ion lie-de-France, A/Jin 1:r.;i f.lfr...- "t ,~ ~li".O ;-~o-.;1 r:J r;~I'I I"'..~Y'I le Magic Cinéma Nathalie Cokdlov,ky. Fatien ra..,rrollon. Gilles Poc1est~llaboratoires DAEMS, Jean P1erre KIP.in/ W ,. r l'ô'fr.a1 f:1:P ::u~ r'.......: :II!•Jt·~···~ ~L Comités de sélection Relation avec la presse G~c Ôfl.. T:i~·• ·n. / Re : Voir, P1p Chodorov/Schenker, Marc Avdouard. Julie C•l.,e'~/Synop sis, laurent Delmas, Marie S l' O~Id M,wO!r, Sylv1c Vdlbn /Technicien du film, B«"tiSte 1evoor/Technovision, Erwan R.ov/Tendance Floue, Mdl JL>s r.......: .....3"; J ~<:ob . I P~r ~ Vcrlcye/ Zurban, Dam·1e11 Molle/: '" d1ff~••nb services ae .)~{"l·lll'j....,. la Ville de Pantin Et ~ Marielle Barg11eno. M<lrianoe Bonir.PI. Xav1er Es..a'-' 1. Jacqtles Kébaoi an. Y""" Le MJ"o" . ,........., Librd1rie 1'/\t~l•er. Brun o M~e . Merci Ken~ VatJIIe.r. FcmJrld Mos~• ow 1r.Z a tous les réalisateurs et producteurs qui onl présen té leur film ainsi qu'aux distributeurs, aux intervenants et aux cinq lecteu rs de scénarios : Jackie Berroyer, Manuel Blanc, Jocelyne Desverc hère, Estelle larrivaz et Alain Libolt./ Conception du catalogue: Ag~nr.e B(:llcviiiC! /Photographie couvertu re : Photogramme~ Brigitte r ep~ge Les lol,ts 1 du 1 i1 1"Tl Lf.l Rc~r se dLJ t~"ava 1l c.hlX usinPs Wnndcr 95 ''Libération'' • e TOUS LES MERCREDIS 96 Le cahier Cinéma avec les chroniques, les entretiens et tous les films de la semaine TOUTE L'ANNÉE Avec les avant-premières exclusives réservées à nos lecteurs