DOCUMENTATION - Mobility Hub Africa

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DOCUMENTATION - Mobility Hub Africa
DOCUMENTATION
Mohamed AREJDAL
Artiste visuel vit et travaille au Maroc. Né en 1984.
Av. Youssef ben Tachafin N 116 Guelmim Maroc
[email protected]
+212 (0) 671121415
À props de mon travail
Diplômé de l’institut national des beaux-arts de Tétouan [Maroc] en 2009,
j’ai pu poser les bases d’une pratique pluridisciplinaire grâce à laquelle
j’explore les relations qui nous unissent à l’Autre. La performance y tient
une place à part en ce qu’elle nécessite un engagement corporel et sensoriel évident et permet de donner toute son importance à la place du spectateur. Ma recherche prend des formes pourtant diverses : de la performance live à l’installation en passant par la vidéo et la photographie.
Mes travaux récents évoquent des histoires de rencontres qui naissent de subtils
déplacements et tendent à souligner ce qui sépare et rassemble les individus.
Ainsi, les espaces publics qui deviennent des lieux de rencontres intimes ; les
objets familiers des uns, une part de la vie quotidienne des autres ; et mon propre
corps le lieu d’une confrontation permanente. J’explore ainsi la manière dont
nous habitons des espaces, dont nous partageons des territoires et par dessus
toute la manière dont ces paramètres reconfigurent sans cesse notre rapport à
l’Autre. De cette façon, j’espère que de petites anecdotes de la vie quotidienne
puissent devenir des paraboles universelles grâce auxquelles les frontières des
espaces culturels, mentaux et sociaux se trouveraient lentement redessinées.
Mohamed AREJDAL
EXPOSITION INDIVIDUELS
2010 : « ANTI-CONTEXTE_2 » à la maison de la culture de Tétouan. Maroc.
2010 : « OUI, J’AI BESOIN DE TOI » au Riad GACELA, Tétouan. Maroc.
EXPOSITIONS COLLECTIVES
2012 : « PLPAC» Institut francais, Rabat, Maroc.
2012 : « BETWEEN WALLS», Organisé par Yasmina NAJI, Rabat, Maroc.
2012 : « CETTE FOIS, LE SUJET EST PERSONNEL » Makan , Amman. Jordanie
2011 : « De NORD en SUD : ALLER-RETOUR » La Halle – Pont-en-Royans. France.
2010 : « MAHATA » à la cinématèque de Tanger, Maroc.
2008 : L’institut espagnol CERVANTES de Tétouan, Maroc.
2007 : La galerie du centre culturel espagnol de Tanger, Maroc.
2007 : « ANTI-CONTEXTE_1» à la maison de la culture de Salé Jadida, Maroc.
2007 : « ELDORADO » au centre culturel Al Andalous à Martil, Maroc.
2007 : « RECADOS » à Toledo, Espagne.
2004 : Le 4ème festival national des jeunes à Bouzouki, Casablanca, Maroc.
PARTICIPATIONS
2009 : Festival Thé-Art, Villa des arts, Rabat. Maroc.
2008 : La XIIIème Biennale des Jeunes Créateurs de l’Europe et de la Méditerranée, Puglia,
...........Bari, Italie.
2007 : LA 1er édition du Festival SAGA AFRICA à Rabat, Maroc.
2006 : Festival des Arts vivants à Casablanca, Maroc.
2010 : Le 17ème Festival International d’Art Vidéo, Casablanca. Maroc.
RÉSIDENCES
2012 : « SUMMER’S LAB », Le Cube -Independent art room- Rabat, Maroc.
2012 : Proposition pour un laboratoire des pratiques artistiques et curatoriales, le Cube -Independent art room...........et l’institut français, Rabat, Maroc.
2012 : « BAÎT MAKAN », espace d’art indépendant, Amman, Jordanie.
2011 : Cité International des Art de Paris, France.
WORKSHOP’S
2011 : « TRANS-MAGHREB » », Alger, Algérie.
2010 : « Art, Technologie et Ecologie » Laboratoire dirigé par Abdellah KARROUM à Ecole Supérieure des
.............Arts Visuels, Marrakech, Maroc.
2008 : « ART INTERACTIVE » interactive pour les jeunes artistes, dirigé par le collectif Studio AZZURO, à
........... l’espace Actua, Casablanca, Maroc.
2008 : « LA PERFORMANCE » avec l’artiste Latifa LAABISSI à l’espace 150 x 295 cm, Martil, Maroc.
2007 : « 3 R’s Maroc » avec l’artiste Seamus FARRELL et Faouzi Laatiris à l’espace 150 x 295 cm, Martil,
...........Maroc.
2007 : « LA GRAVURE » avec l’artiste Paco AGUILAR à l’institut «Cervantes» à Tanger, Maroc.
2007 : « L’INSTALLATION » sous la direction de l’artiste Ulrike WEISS à l’Institut National des Beaux-Arts,
...........Tétouan, Maroc.
FORMATIONS
2008 / 2009 : Diplôme du 2ème cycle, Option Art à l’Institut National des Beaux-arts, Tétouan, Maroc.
2006 / 2007 : Diplome du 1er cycle, Option Art à l’Institut National des Beaux-arts, Tétouan, Maroc.
2004 / 2005 : Baccalauréat sciences expérimentales, lycée Imam Malik, Tighmart, Guelmim.Maroc.
BIBLIOGRAPHIES
2012 : Catalogue de L’exposition « BETWEEN WALLS », Organisé par Yasmina NAJI, Rabat, Maroc
2009 : Catalogue du Festival Thé-Art, Villa des Arts, Rabat, Maroc
2008 : Catalogue de la XIIIème Biennale des Jeunes Créateurs de l’Europe et de la Méditerranée, Puglia, Bari,
...........Italie.
QUI TIANDRA L’AFRIQUE TIANDRA LE CIEL
Installation In-situ
Dimension variable
2012
Photo: © Chourouk Hriech, Maroc, 2012
Photo: © Younèes Baba-Ali, Maroc, 2012
« Qui tiendra l’Afrique tiendra le ciel », une installation in-situ qui consiste à
construire une carte d’Afrique trouée au centre du plafond d’une chambre. La
construction de la carte est basée sur la déconstruction lourde sur toute l’épaisseur d’un plafond en béton pour créer une ma que géographique enclavée !
Une ouverture vers le ciel. Un grand trou au coeur de l’Afrique qui risque de
s’élargir dans la mesure où ce continent est encore constitué d’économies fragiles, produits d’une longue histoire de domination (colonisation, développement,
mondialisation) et en subit avec encore plus de violence
qu’ailleurs tous les effets négatifs et déstabilisateurs.
VALISE DE 1948
Projet en progresse
140 x 42 x 14 cm
2012
Photo: © Hafid Jander, Jordanie, 2012
Photo: © Hussam Da’ana, Jordanie, 2012
« Valise de 1948 » ; une valise qui prend la forme d’une carte de Palestine en 1948,
résumant la souffrance des réfugiés palestiniens et la diffculté de l’exil en général.
Mahmoud Darwish a écrit: « Ma patrie n’est pas une valise et je ne suis pas un voyageur ». Pourtant, la Palestine s’est devenu transformé en valise et la palestinien est
devenu un voyageur permanent dans le reste du monde.
ÂOBOR
Photo: © Mohamed Arejdal, Sénégal, 2010
Photo: © Mohamed Arejdal, Maroc, 2010
« Âobor » mot arabe signifiant « Transit ».
Récupération de chutes de tissus lors d’une traversée de trois pays: le Maroc, la
Mauritanie et le Sénégal, pour former des zones imaginaires en les cousant.
Les chutes, tissus inutilisés car dépassant les limites du corps, vont servir à démiliter de nouvelles frontières en interrogeant le concept de pays et
de territoire humain.
Photo: © Mohamed Arejdal, Mauritanie, 2010
Installation
Dimension variable
2010
MOJRRAD SO’AL
Pesformance/Installation
Dimension variable
2010
Photo: © jacek Orasinski, Maroc, 2010
Photo: ©Khalid El Bastrioui, Maroc, 2010
« Mojarrad So’al », en francais « Juste une question ».
Au milieu d’une composition de zellige tradtionnel, un point central dessiné représente le lieu de la performance. Je pose une question au public “Quel chemin
dois-je emprunter pour arriver chez vous?”
En respectant l’orientation géographique, je trace les trajectoires décrites par les
personnes du public à l’aide de dessins, textes, repères et fèches... La trace de
cette performance se transforme en une installation; un
schéma de la visite imaginaire du public.
KHOUTOUA
Installation In-situ
Dimension variable
2008
Photo: © Mohamed Yettoun, Maroc, 2008
Photo: © Mohamed Yettoun, Maroc, 2008
« Khoutoua »; en français « Le Pas ».
L’oeuvre représente la mémoire d’un voyage initiatique dans la ville de Tétouan. Pendant 28 jours, je marche en suivant les trajets dessinés par des personnes rencontrées dans la rue pour me rendre d’un point à un autre. Les schémas
sont conservés, superposés et agrandis sur un espace au sol. Le spectateur a la
possibilité de voyager sur les lignes, en y laissant des traces avec ses pas. Des
traces, vont naître une autre carte.
FAITES DE BEAUX RÊVES
Installation
Dimension variable
2012
Photo: © Mohamed Arejdal, Maroc, 2012
Photo: © Mohamed Arejdal, Maroc, 2012
« Faites de beaux rêves » réunit une sélection de photographies de soldats marocains emprisonnés, torturés, mutilés et amputés dans les geôles Algériennes
à Tindouf. 30 ans plus tard et de retour au Maroc, ils se retrouvent seuls, sans
ressources et rejetés par leur propre camp.
Cet objet se présente comme héraut, ultime acte de défiance de ces héros désespérés qui ont entamés depuis plus de 3 mois un sit-in permanent.
En reproduisant, à l’identique cet objet, j’ai tendu à mettre en lumière l’histoire
de ces soldats qui peinent à se faire entendre par les autorités concernées. Il
s’adonne à une exercice périlleux, celui de confronter la problématique d’un
Etat en mauvais état.
OHISSOU ANNI MAHALLA NADAR
Performance /Chapitre I
2009
Photo: © Mohssin Harraki, Maroc, 2009
Photo: © Mohssin Harraki, Maroc, 2009
« Ohissou anni mahalla nadar » en Français « Je me sens au centre de la vision
». En plein public, je m’habille d’un costume composé de photos d’identité,
assemblées par des points de couture, qui représentent les gens que j’ai croisé
dans différent endroits.
Devant le spectateur, mon corps devient un support de présentation et un espace
de connaissance de l’autre à travers un ensemble d’images.
À la fin, j’enlève le costume, je le mets dans une valise et je pars vers une autre
destination.
OHISSOU ANNI MAHALLA NADAR
Performance /Chapitre II
2009
Photo: © Julia Grillo, Maroc, 2009
Photo: ©Khalid El Bastrioui, Maroc, 2009
Toujours habillé de mon costume composé de photos d’identité, je demande aux
gens de s’exprimer librement sur les photos de leur choix à l’aide de feutres.
LE COQ
Performance
2012
Photo: © Youssef Ouchra, Maroc, 2012
Photo: © Aziz Nadif, Maroc, 2012
Sur une place publique au centre ville de la capitale du Maroc, j’installe un
cercle de tissu blanc au sein duquel je me place avec un coq gaulois noir attaché
avec un fil. Le fil est fixé par un clou au milieu du cercle.
Le coq gaulois, symbole de la France, nous rappelle à travers sa couleur noire
le sacrifice des poules.
À chaque fois que je me rapproche du coq, il s’éloigne en essayant de se détacher. Un dialogue se crée entre nous jusqu’à ce que le coq se libère de la zone
circulaire, à ce moment je le suis partout entre les spectateurs. À la fin de la
performance, les personnes du public commencent à suivre le coq et ainsi, ils
continuent le jeu de la liberté sauvage.
FI’DAKAR
Performance
2010
Photo: © Ly Mamadou, Sénégal, 2010
Photo: © Ly Mamadou, Sénégal 2010
« Fi’dakar » en Français « À dakar ». Déambulation dans les rues de Dakar à la
recherche de tranquilité dans un centre ville oppressant où je suis un étranger.
Une marche entrecoupée de poses où je m’installe pour y chercher l’intimité. Je
m’intégre ainsi dans un espace à priori hostile pour y trouver ma place. Des scènes se crééent qui me permettent d’exister autrement dans des espaces urbains
habités ou abandonnés.
Photo: © Ly Mamadou, Sénégal, 2010
Photo: © Ly Mamadou, Sénégal 2010
TABA
Performance
2010
Photo: © jacek Orasinski, Maroc, 2010
Photo: ©Abdellah Charnoubi, Maroc, 2010
« Taba » n’a jamais vu le nord du Maroc. Il ne peut pas marcher. Il vit à Guelmim, ma ville natale, au sud du Maroc. Il aime beaucoup voyager.
A l’occasion de son premier voyage au nord, Taba rencontre un public qui est
venu spécialement pour lui. Il s’installe sur des coussins et je prend sa place sur
la chaise roulante. Un dialogue s’installe entre nous puis avec le public.
Taba va partager ses idées, ses histoires et son principe “J’ai le droit d’être
comme les autres!”.
ADAN
« Adan » en Français « Appel à la prière ». Trois hauts-parleurs appellent à la
consommation de produits quotidiens dans un souk (marché populaire), un quatrième appelle à la prière. Un dialogue sonore et burlesque va s’installer entre
les hauts-parleurs.
Cette oeuvre nous amène à la question du choix entre ce qu’ on a envie de posséder dans la vie quotidienne et ce qu’ on a envie de savoir sur l’existence de
Dieu et de nous même.
Photo: © Brahim Arejdal, Maroc, 2010
Vidéo/ 05,5min
2009
ÂOKKAZ
Performance
2008
« Âokkaz » en Français « La canne ». Avec des yeux bandés, je marche comme un
aveugle avec une canne transformée . Dès que je touche un spectateur, je lui demande
de partager la canne avec moi et je lui bande les yeux afin qu’il aille à son tour chercher une autre personne dans le public.
« La vue est une espèce de toucher ». Ou précisément, l’aveugle c’est quelqu’un qui
touche sans voir. C’est quelqu’un qui ne peut pas transporter la matérialité de la chose
jusqu’à son oeil. On touche sans avoir jamais vu. Si la vue c’est le toucher, que se
passe t’il lorsqu’on touche sans jamais avoir vu ? Comment peut on comprendre la
sensation d’être aveugle sans être aveugle ?
Photo: © Younèe Rahmoun, Maroc, 2008
La sensation d’être aveugle
(Notes de Cours par Jules-Henri Greber)
La Philosophie de la connaissance
Nancy Université 2005-2006
Photo: © Younèe Rahmoun, Maroc, 2008
JAMI’Â EL ITTIJAHAT
Installation in-situ
2008
Photo: © Mohamed Arejdal, Maroc, 2008
« Jami’â el ittijahat » en Français « Toutes directions ».
Pendant 28 jours, je marche à la ville de Tétouan en suivant les trajets dessinés par des personnes rencontrées dans la rue pour me rendre d’un point à un autre. Les schémas
conservés et reliés les uns aux autres vont constituer une carte de Tétouan. Des enveloppes où l’ expediteur et le destinataire sont signi»és par les trajets dessinés symbolisent mon
rapport aux autres lors du voyage. Un point de départ, puis un geste. Le point deviendra une ligne, directe ou courbe. Aller de lieu en lieu, circulation, rencontre, connaissance,
découverte grâce aux autres. Marcher à grands pas vers l’extérieur pour un petit pas vers l’intérieur.
KHALIATI
Peformance /Installation
2007
Photo: © Mohamed El Mahdaoui, Maroc, 2007
Photo: © Mohamed El Mahdaoui, Maroc, 2007
« Khaliati » en Français « Ma cellule ». Je tisse autour de moi une cellule composée de bandes vidéo sur lesquelles j’ai enregistré des images et scènes de mon
entourage, dans ma maison, mon atelier et ailleurs.
A la fin de cette performance, je déchire ma cage noire et je vais vers l’autre, le
public.
ÂAJALA
Peformance
2006
Photo: © Othman Fekraoui, Maroc, 2007
Photo: © Othman Fekraoui, Maroc, 2007
« Âajala » en Français « La roue ». Mon corps s’efforce de rester attaché à une
roue suspendue à l’aide d’une corde, malgré les mouvements circulaires et aller/
retour.
Deux corps qui s’attachent et se détachent en permanence. Un des deux est attaché tandis que l’autre est libre. Un long dialogue entre les deux; une vie.
ITNAN FI WAHED
Vidéo / 01min
2009
« Itnan fi wahed » en Français « Un en deux ». Une rencontre avec moi même à
travers un miroir intérieur, où la ressemblance vient de la différence. Le dialogue, symbolisé par un cri, viendra briser le miroir.
Photo: © Abdeaziz Harraki, Maroc, 2009
ITNAN FI WAHED
Autoportrait
2009
Photo: © Khalid El Bastrioui, Maroc, 2009
« Itnan fi wahed » en Français « Un en deux ». Cet autoportrait résulte mon
regarde sur l’ambivalence des regadres. Un visage qui rend visible l’autrui qui
m’habite d’une manière assez étrange.
Un visage qui réflete le visage de la schizophrénie de notre société. Et qui interpelle et qui illustre parfaitement le fait qu’aux yeux de bon nombre des Occitentaux, tout musulman porte en lui les germes d’un islamiste radical.
IKTIRAH
Vidéo, travail en cours
« Iktirah » en Français « Proposition ».
À Dakar, Sénégal. Des personnes filmées en plan fixe dans leur univers quot
dien, que se soit celui intime de la maison, ou celui public de la rue et du lieu de
travail, tentent de s’approprier un objet qui leur est étranger: un instrument de
musique traditionnel berbère que je transporte avec moi.
Commment un objet, ici un instrument de musique, venu d’une autre culture va
t’il être utilisé par l’autre? J’observe les réactions, les gestes et ce rapport naissant entre une personne et un objet étranger.
Une proposition de partage en sept scènes, qui renvoit au partage de l’Afrique
par les sept pays coloniaux.
Photo: © Mohamed Arejdal, Sénégal, 2010
Photo: © Mohamed Arejdal,Sénégal, 2010
MAQAM E’CHAHID
Photo: © Benjamin Echazarreta, Algérie, 2011
Photo: © Mohamed Arejdal,Algérie, 2011
Le « Mémorial du Martyr », un édifice érigé à la mémoire de la révolution algérienne
trônant sur les hauteurs d’Alger est la vision qui s’icruste dans tous les esprits voulant
avoir une image d’Alger. De ce point précis part l’idée de rencontrer des personnes d’une
manière totalement aléatoire, de les suivre dans leur déambulation et de recueillir leurs
propos et leurs sentiments pour enfin tracer une carte vidéo et sonore de ces différents
chemins qui se rejoignent sur un seul point « Maqam E’chahid ».
Photo: © Mohamed Arejdal, Algérie, 2011
Vidéo, travail en cours
Mohamed AREJDAL
Artiste visuel vit et travaille au Maroc. Né en 1984.
Av. Youssef ben Tachafin N 116 Guelmim Maroc
[email protected]
+212 (0) 671121415