EO - Publireportages - Le Droit - Rochef

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EO - Publireportages - Le Droit - Rochef
PUBLIREPORTAGE
Les leaders de l’exportation en Outaouais
De Disney World à New York
Rochef Chocolatier a beaucoup d’appétit : cap sur les États-Unis
Petite chocolaterie deviendra grande !
Voilà le souhait avoué de son fondateur Roch Fournier, 37 ans, lui qui avait
commencé à vendre ses chocolats à
la pièce en 2006 à la Maison Bisson
et à la Trappe à fromage ici même,
à Gatineau.
De petite fabrique de chocolats fins,
Rochef a déjà bien grossi depuis sa
création. La chocolaterie a déménagé trois fois, embauché deux
maîtres-chocolatiers supplémentaires
et investi quelque 1,5 million de dollars
ces dernières années avec l’intention
de passer dans les ligues majeures.
Export Outaouais fournit de la formation et des occasions de réseautage qui s’avèrent fort utiles à Rochef
Chocolatier. En effet, la PME collabore
avec Export Outaouais afin de prendre
de l’expansion à l’extérieur du Québec
et aux États-Unis. « Ils vont nous donner des informations, des conseils et
surtout nous aider à participer à des
missions ou des foires commerciales »
détaille Alain Fredette, copropriétaire
de Rochef.
De l’Ontario à Disney World
« J’étais un peu comme un dragon ! »,
poursuit M. Fredette : « Quand j’ai
embarqué dans l’entreprise, elle avait
un petit chiffre d’affaires. » Ce dernier ne voulait pas se contenter d’y
investir en capital de risque, mais de sa
personne (en devenant coassocié). Le
chiffre d’affaires a ainsi augmenté de
manière significative depuis l’arrivée
de M. Fredette chez Rochef, confirme
M. Fournier et ce notamment à travers
l’effort de diversification des marchés
hors Québec.
L’année 2009 a marqué un autre jalon
dans la croissance de l’entreprise gatinoise : ses produits ont atterri sur les
Alain Fredette et Roch Fournier, copropriétaires
Rochef Chocolatier
www.rochef.ca
Entreprise exportatrice de la semaine
•
Réseaux de distribution aux États-Unis et en Ontario : de 500 à 600
points de vente
•
Des chocolats vendus à Disney World en Floride,
à New York et dans l’Ouest américain
•
Récipiendaire 2011 du prix Commerce et distribution
de la Chambre de commerce de Gatineau
•
Finaliste des prix Mercador Outaouais 2014
présentoirs de Farm Boy, une chaîne
alimentaire très populaire à Ottawa.
Le succès de Rochef sur les marchés
étrangers repose sur un bon choix
de distributeurs et de réseaux de
distribution. C’est ainsi qu’il y a eu la
conquête de Disney (rien de moins)
en Floride et d’autres points de vente
acquis à New York et dans l’Ouest américain. La participation de Rochef à des
foires spécialisées, comme le Fancy
Food Show à New York, en juin 2013,
n’est pas étrangère à l’obtention de
ces contrats.
« La participation à des foires commerciales ciblées est une des stratégies
classiques pour établir son réseau de
distribution à l’étranger et identifier de
nouveaux prospects. Mais attention,
60% du succès commercial réside dans
la préparation minutieuse à effectuer
avant la participation à une foire »
souligne Édouard Biot, commissaire à
l’exportation à Export Outaouais.
Aux États-Unis, c’est un peu plus compliqué et coûteux d’y faire des affaires.
« Cela fait deux ans qu’on travaille sur
l’exportation aux États-Unis. Ce n’est
pas facile », confie M. Fredette. Frais de
douane, de transport, d’entreposage
rendent l’aventure moins facile qu’en
Ontario.
D’ailleurs, Toronto est le deuxième
marché dans la mire de Rochef
Chocolatier, particulièrement depuis
l’automne 2013. Des 600 points de
vente que compte Rochef, environ une
centaine se trouvent dans la région de
Toronto ou à Ottawa.
Export Outaouais
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projets d’exportation?
Export Outaouais propose à ses membres des
services de base gratuits pour outiller les entreprises de l’Outaouais dans leur démarche de
développement de leurs marchés hors-Québec
et à l’international.
www.exportoutaouais.ca/AEE
Avis de l’expert
Cibler les foires commerciales
dans les marchés où votre
recherche indique que vous avez
un avantage concurrentiel est
une excellente première étape
et une approche abordable pour
développer de nouveaux clients.
Lorsqu’un potentiel marché d’exportation, par exemple les ÉtatsUnis, offre des perspectives de
revenus intéressantes, mais que
les coûts directs d’exportation
sont prohibitifs, vous pourriez
alors considérer la création d’une
co-entreprise avec un partenaire
dans ce marché afin de réduire les
coûts. Une autre alternative est
de se retourner vers le commerce
électronique puisqu’il permet au
vendeur d’envoyer son produit à
partir du Canada et de faire assumer les frais de douanes et de
livraison par le client.
Justine Hendricks,
Vice-Présidente, Groupe de
Ressources et de l’Industrie
légère
EDC offre aux exportateurs
canadiens des services de
financement, d’assurance et de
cautionnement ainsi que son
expertise des marchés étrangers.
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