Revue de presse Mai 2015 - Ordre des experts comptables
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Revue de presse Mai 2015 - Ordre des experts comptables
Conseil Régional de l’Ordre des Experts-Comptables Marseille-PACA REVUE DE PRESSE Mai 2015 La Provence Mardi 19 Mai 2015 8 La Provence Jeudi 2015 Club21deMai l’économie Jeudi 21 Mai 2015 www.laprovence.com Aix-Marseille Université à la La plus grande université de France recevait hier, dans ses locaux du Pharo, le Club de l’économie de "La Provence", pour ILS ÉTAIENT LÀ L’ensemble des partenaires du Club de l’économie de "La Provence", réunis au siège d’AMU, au Palais du Pharo, hier matin. C ’est en son siège prestigieux, situé dans le jardin du Pharo, qu’Aix-Marseille Université organisait hier le petit-déjeuner mensuel du Club de l’économie de La Provence, autour d’un thème qui a suscité les réactions de l’ensemble des partenaires : "Comment l’université et le monde socioprofessionnel peuvent-ils encore mieux collaborer ?" Un enjeu de taille pour cet acteur majeur du territoire, classé 131e au palmarès international des universités, qui multiplie les liens avec ses homologues de par le monde "pourvu qu’ils soient devant et pas derrière nous dans ce classement", précisait le président Yvon Berland. Un acteur issu de la fusion des trois universités marseillaises et aixoises, en 2012, qui emploie 8 000 personnes et compte 73 800 étudiants, soit 2 000 de plus que l’an dernier. Comment mettre ces jeunes adultes en relation avec le monde de l’entreprise et avec l’emploi ? C’est la question à laquelle le président d’AMU a tenté de répondre hier, entouré de son équipe, mais aussi de la directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations, Élisabeth Viola, et de la directrice régionale déléguée à l’emploi d’EDF, Michèle Boi. "Nous avons un partenariat global, cohérent et ambitieux avec AMU", expliquait Élisabeth Viola, pour qui il est important de "repérer des talents et donner aux étudiants le goût de l’entreprise". De fait, l’université s’adapte en permanence à l’évolution des besoins de ses étudiants et du monde économique. Pour preuve, le travail mené en direction des filières de sciences sociales ou littéraires pour les rapprocher des entreprises. "Il y a une recherche de compétences en humanité dans les entreprises avec notamment le sujet de l’acceptabilité, et d’un autre côté il y a nécessité de faire mieux comprendre à ce secteur des sciences humaines et sociales qu’il a un rôle important à jouer dans le monde de l’entreprise." La pédagogie aussi évolue, souligne le Pr Berland : "Aujourd’hui, nous allons de plus en plus vers ce qu’on / PHOTO PATRICK NOSETTO appelle la pédagogie inversée, c’est-à-dire des étudiants qui s’informent par eux-mêmes en amont puis réalisent une mise à niveau en petits groupes". Les "Mooc" (formations en ligne) font aussi leur apparition, AMU en a déjà mis en place deux et va en lancer deux autres, tandis que l’université voit de plus en plus d’enseignants s’inscrire dans son centre d’innovation pédagogique. "Nous développons une stratégie concernant notre offre de formation qui va nous demander un an et demi de travail", précise le président, en vue du futur contrat pluriannuel avec l’État. L’université, qui développe aussi l’alternance - le chiffre d’affaires de son centre de formation continue est le 2e plus important de France-, cultive également l’innovation dans ses murs, à travers notamment sa labellisation Imitative d’excellence (Idex), qui lui permet de bénéficier de 25 millions d’¤ annuels pour la recherche innovante. "J’ai pu constater la production scientifique extraordinaire des sept premiers talents accueillis il y a deux ans", souligne Yvon Berland, qui regrette toutefois le manque d’implication du monde de l’entreprise dans la gouvernance de l’université, "deux personnes seulement siègent au conseil d’administration et elles ne viennent jamais". Déjà très proches, ces deux univers ne demandent pourtant qu’à mieux se connaître. AMU : Yvon Berland (président), Evelyne Marchetti (vice-présidente déléguée à l’orientation et à l’insertion professionnelle), Basile Sircoglou (vice-président délégué aux partenariats avec le monde de l’entreprise), Delphine Bucquet (directrice de la communication). EDF : Michèle Boi (directrice régionale de l’emploi) Caisse des Dépôts et Consignations : Elisabeth Viola (directrice régionale) CCI : Jean-Paul Solal et Cheffia Natouri (directrice de la formation). Grand Port Maritime de Marseille : Laurent Grimaldi (responsable communication). Mutuelle de France Plus : Bruno Huss (directeur général). RTM : Hervé Beccaria (directeur général), Marie Petit (responsable communication externe et relations presse) Chambre des métiers et de l’artisanat : Marge Vandendries (directrice de la communication). CEPAC : Lucien Cerboni (directeur développement des RH) Institut Paoli-Calmettes : Carole Pascal (responsable collecte de fonds privés) Ordre régional des Experts-Comptables : Mohamed Laqhila (président). AFPA : Jean-Luc Le Clech (directeur régional), Fabrice Marion (directeur de la communication). La Poste : Hélène Renard (déléguée au développement régional RSE/RH), Laurent Miralles (responsable relations presse). Kedge : Nelinda Jimenez (buisness developpment manager) Point P : Magali Humay Gagliano (chef d’agence Marseille Maison-Blanche) Orange: Fabien Finucci (délégué régional), Christian Leborgne (campus manager-Orange sud-est) La Provence : Claude Perrier (PDG) M.-C.B. Quand les entreprises trouvent des formations sur-mesure pour leurs employés Michèle Boi (Groupe EDF) : "Le groupe EDF est un gros recruteur et va continuer à l’être dans les prochaines années. C’est ce qui a motivé notre partenariat avec l’université. Nous participons à toutes les manifestations d’AMU pour présenter aux jeunes les différents domaines qui pourraient s’ouvrir à eux. Le deuxième axe de notre partenariat s’articule autour du développement, de la recherche et de l’innovation. Je pense au nucléaire avec le CEA. Dans le cadre de l’opération Henri Fabre qui, notamment, touche l’industrie et la mécanique, Aix-Marseille Université nous apporte également son soutien. Cela nous permet d’avoir une vision Bruno Huss, directeur général de Mutuelle de France Plus Fabien Finucci, délégué régional d’Orange d’avenir sur la maintenance du futur." Bruno Huss (Mutuelle de France Plus) : "En faisant rentrer l’université dans le monde de l’entreprise, c’est une trajectoire très positive. Mais je trouve qu’à l’inverse, l’université reste très fermée aux entreprises. Comment le monde de l’entreprise peut-il aller encore plus loin dans l’université ? À savoir : comment mieux exploiter la présence des entrepreneurs au sein de l’université ? Certains sont prêts à consacrer du temps aux étudiants. Et comment les entreprises peuvent-elles être impliquées dans la gouvernance d’AMU ?" Hélène Renard (La Poste) : "La Pos- te est un gros recruteur avec 15 000 nouveaux emplois prévus dont 1 000 postes offerts sur notre site. Nous n’avons pas de partenariats mais on ne désespère pas. On croit au partage des connaissances. Il y a des compétences à AMU dont nous avons besoin. Je pense notamment à la formation continue, car aujourd’hui, un employé effectue 4 à 5 changements au cours de sa carrière. Et AMU, en tant que première université de France, a une capacité à répondre très vite. Jean-Luc Le Clech (Afpa) : "L’Afpa a répondu à un appel à projets avec la création du centre de transition énergétique. Mais ce qui nous manque, Mohamed Laqhila, président régional de l’Ordre des experts-comptables Michèle Boi, directrice régionale de l’emploi chez EDF c’est une réponse pédagogique allant du niveau 5 au niveau 2. Seul un partenariat avec AMU pourrait nous offrir cette opportunité. Voyons-nous le plus vite possible, président Berland !" Fabien Finucci (Orange) : "Depuis deux ans, dans le cadre du déploiement de la fibre optique, nous avons mis en place un partenariat sur le numérique. Cette convention est concrète puisque des intervenants, surtout des ingénieurs d’Orange, viennent dispenser des cours au sein d’AMU. On doit continuer, voire évoluer, sur d’autres volets. Orange va faire 20 à 30 milliards d’investissements d’ici 2022 qui vont engendrer des milliers d’emplois. Des nouveaux métiers vont aussi apparaître. Au final, on est tous gagnant-gagnant." Mohamed Laqhila (Ordre des Experts-Comptables) : "On est 2 000 sur la région et chaque année, ce sont 100 à 120 diplômés qui sortent. Mais on a besoin de l’appui d’AMU." Laurent Grimaldi (Grand Port Maritime Marseille) : "Le seul partenariat est une licence pro "management et droit du transport maritime". Cette formation est dispensée au cœur de nos locaux et quasiment la totalité des étudiants trouvent un emploi à l’issue de la formation." Propos recueillis par Florence COTTIN Jean-Luc Leclech, directeur régional de l’Afpa La Provence Jeudide 21 l’économie Mai 2015 Club Jeudi 21 Mai 2015 www.laprovence.com 9 conquête des entreprises évoquer les dispositifs qui la rapprochent du monde de l’entreprise, lui-même demandeur de formations adaptées C omment l’université répond-elle aujourd’hui au défi de l’emploi ? C’est la question à laquelle les membres du Club de l’économie de La Provence ont tenté de répondre hier, en rappelant les nombreux partenariats qui unissent déjà l’institution et le monde de l’entreprise. Un rapprochement qui ne s’est pas fait en un jour et qui demande encore à être travaillé. Yvon Berland, président d’Aix-Marseille Université, prévoit ainsi l’instauration d’un "guichet unique auquel le monde de l’entreprise pourra s’adresser". Car les besoins des acteurs économiques en matière de formation sont multiples, comme en témoignaient les membres du club. Orange a ainsi impulsé la création d’un diplôme d’ingénieur transmédia avec l’Université de Toulon. Mais si les grands groupes, comme EDF - dont Michèle Boi, directrice régionale déléguée à l’emploi, rappelait l’implication dans le tissu économique -, parviennent à tisser des liens étroits avec l’université, Basile Sircoglou soulignait les difficultés des PME à franchir le pas. "Com- vice-présidente d’AMU déléguée à l’orientation et à l’insertion professionnelle. "Il y a des formations professionnalisantes, dispensées notamment par des professionnels, mais aussi des formations plus généralistes. Des conseils de perfectionnement vont être mis en place dans lesquels siègeront des représentants d’entreprises pour aider les responsables de formations à mettre en place des cursus très professionnalisants à très court terme". Les généralistes ont la cote "L’université est un acheteur à hauteur de 90 millions d’euros par an." ment faire avec celles qui n’ont pas les moyens de mobiliser une personne auprès de nous ?" Le vice-président délégué aux partenariats avec le monde de l’entreprise imaginait ainsi la création de petits groupes, par filière, avec l’aide des chambres de commerce et de l’Union patronale. Le monde économique dispose en outre d’une semaine AMU/Entreprises, en novembre, qui permet à ces deux univers de se rencontrer, par exemple autour du numérique ou de la place des femmes dans l’entrepreneuriat. Car la palette des formations universitaires est large, comme le rappelait Evelyne Marchetti, La recherche pourvoyeuse d’innovations est aussi à l’origine de nombreuses start-up, vraies passerelles entre les mondes économique et universitaire. / PHOTO DR Les start-up font le lien Le lien entre le monde de l’entreprise et l’Université se fait aussi par l’entrepreneuriat et en particulier par les start-up. Evelyne Marchetti souligne ainsi qu’AMU est labellisée "Pôle entrepreneuriat étudiant" avec pour objectif de susciter l’esprit d’entreprise parmi les étudiants, à la fois par la maîtrise du métier de chef d’entreprise et l’accompagnement à la création. "L’effectif a doublé en un an, aujourd’hui plus de 200 étudiants sont inscrits dans ce dispositif". Et les innovations issues des labos de recherche ne manquent pas, comme le soulignait le président Berland : "Longtemps le chercheur était dans la démarche "je cherche puis je publie". Désormais, il regarde avant de publier s’il y a des possibilités de breveter sa découverte et beaucoup de start-up naissent comme ça, nous travaillons avec l’incubateur Impulse et il y en a de plus en plus." Hervé Beccaria, secrétaire général de la RTM, témoignait ainsi de l’application pratique de recherches dont a pu bénéficier la société de transports autour du développement de solutions alternatives, comme les bus 100 % électriques ou encore le développement de sonorités différentes, à chaque arrêt de bus… M.-C.B. Les membres du Club de l’économie de "La Provence" réunis au siège d’AMU au Pharo à Marseille. / PHOTO PATRICK NOSETTO DANS La Poste au cœur du prochain Petit déjeuner le 25 juin Selon le président Berland, la conception de l’université qui "donne un enseignement et ensuite laisse l’étudiant se débrouiller avec, eh bien c’est terminé". Il reste que les profils généralistes ont toujours la cote. Lucien Cerboni, directeur du développement des ressources humaines à la Caisse d’Épargne (Cepac), témoigne : "on a constaté de belles réussites chez des collaborateurs qui n’ont pas un cursus professionnalisant mais plutôt généraliste. Nous sommes capables d’accompagner ces profils-là vers nos métiers en interne et de tirer profit de ces formations initiales pour créer une vraie relation avec nos clients." La banque finance en outre une chaire intitulée "banque et développement", "qui permet de réfléchir à l’évolution de nos métiers". À La Poste, Hélène Renard, déléguée au développement régional en ressources humaines, confiait elle aussi accueillir "beaucoup d’étudiants en sociologie ou philosophie qui viennent nous questionner sur l’évolution du management et nous apporter leurs connaissances théoriques". Un lien qui existe aussi avec le monde de l’artisanat, au nom duquel Marge Vandendries (Chambre de métiers et de l’artisanat) rappelait la nécessité d’une complémentarité entre les types de formations, pour répondre à la multiplicité des besoins du monde économique. Marie-Cécile BÉRENGER [email protected] De gauche à droite : Yvon Berland, président d’AMU, Eric Berton, Evelyne Marchetti, Thierry Paul, Basile Sircoglou et Denis Bertin, vice-présidents. Aix-Marseille Université, une université ancrée dans son territoire à l’ambition internationale. Première structure métropolitaine, AMU (Aix-Marseille Université) est aujourd’hui la plus grande université francophone, accueillant près de 74 000 étudiants en formation initiale et continue, dont 10 000 étudiants internationaux, et près de 8 000 personnels. Elle affiche cette année ses valeurs : audace, force, ouverture et transmission, le meilleur pour tous. Tous les champs de la connaissance sont enseignés dans ce grand établissement répartis dans 6 secteurs disciplinaires et structurés en 19 composantes : * arts, lettres, langues et sciences humaines * droit et sciences politiques * économie et gestion * santé * sciences et technologies * pluridisciplinaire (ESPE et IUT) Des diplômes de niveau licence, master et doctorat y sont délivrés mais éga- CEPAC lement des diplômes universitaires technologiques, des diplômes d’ingénieur, des diplômes de santé, ainsi que des diplômes universitaires. Sur le territoire, AMU contribue largement à l’économie de la connaissance et à la diffusion du savoir. Selon son président, Yvon Berland, "la modernisation de l’université passe par de nouveaux liens avec les entreprises. À la clé : plus d’innovation grâce à la recherche ; un enrichissement des compétences des salariés ; une meilleure approche des problématiques professionnelles dans nos formations ; des stages et des emplois pour nos diplômés. Depuis 2012, les partenaires socio-économiques d’AMU sont plus nombreux au bénéfice de la formation, de l’emploi et de la recherche. C’est une chance pour l’économie du territoire". Avec 130 structures de recherche, le plus souvent en partenariat avec les plus grands organismes de recherche nationaux, elle investit 5 grands domaines de recherche : l’énergie ; les sciences de l’environnement et de l’univers ; les sciences de la vie et de la santé ; les sciences et technologies avancées ; les sciences humaines et sociales. La transdisciplinarité et la valorisation de la connaissance sont les axes majeurs de développement d’AMU au bénéfice du plus grand nombre. Chiffres-clés : 5 grands campus, 54 sites universitaires ; 1 idex (initiative d’excellence) ; 1 opération campus sur Aix-en-Provence et Marseille ; une trentaine de partenaires sociaux économiques locaux et nationaux ; + de 700 partenariats avec les universités du monde entier. Méridien Mag Jeudi 21 Mai 2015 La Provence vendredi 22 Mai 2015 Mériduen Mag Mai Juin 2015 France Bleu Provence Jeudi 21 Mai 2015 Retrouvez le reportage et l’interview de Monsieur Laqhila sur le site de France Bleu Provence http://www.francebleu.fr/infos/le-grand-journal-de-18h-de-france-bleu-provence/legrand-journal-de-18h-176#.VV8Yw1zohD4 France 3 Provence Alpes Jeudi 21 Mai 2015 Retrouvez le reportage sur le site france3 JT 19/20 du 21 mai 2015 http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/emissions/jt-1920-provence-alpes GO MET’ Lundi 25 Mai 2015 Le coup de gueule des experts comptables contre la gestion douteuse de la protection sociale des indépendants - GoMet' 25/05/2015 09:53 Recherche... L'actualité à Marseille, Aix-en-Provence, Aubagne, Martigues, Istres, Salon-de-Provence et dans toute la métropole DIY : 3 astuces pour aménager son extérieur en petit coin de paradis ! TOUT CHAUD ACCUEIL L’ACTU PAR THÈMES ∠ L’ACTU À LA CARTE ∠ MÉTROPOLE ∠ CITY GUIDE ∠ > MARSEILLE INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER Le coup de gueule des experts comptables contre la gestion douteuse de la protection sociale des indépendants "0 J’aime FEUILLETER L’ACTU ∠ 50 DE ALAIN MASSON PUBLIÉ LE 24 MAI 2015 12 H 55 MIN DERNIÈRE MODIFICATION LE 24 MAI 2015 12 H 55 MIN En région Paca, plus de 2 000 sociétés d’experts comptables se disent furieuses des dysfonctionnements du RSI, le Régime Social des Indépendants. Votre adresse e-mail EN BREF 24 mai 2015 16:41 [Exposition] Les derniers jours de Micro Macro à Martigues 24 mai 2015 16:18 [Media] Jean-Michel Marcoul nommé directeur des rédactions de La Provence 22 mai 2015 9:32 [Temps Forts] Start-up WE Aix-Marseille spécial « green & tech » à l’Arbois 21 mai 2015 15:48 [Département] Martine Vassal veut une aide aux communes mieux répartie et plus transparente 21 mai 2015 8:20 Salon des sports 2015 à Aix-en-Provence : inscriptions jusqu’au vendredi 29 mai Plus d'infos Une pétition est lancée ce jeudi 21 mai, réclamant http://www.go-met.com/coup-gueule-experts-comptables/ Page 1 sur 3 GO MET’ Lundi 25 Mai 2015 Le coup de gueule des experts comptables contre la gestion douteuse de la protection sociale des indépendants - GoMet' 2 notamment la possibilité, pour les petites et très petites entreprises, d’auto-calculer leurs charges et cotisations, en fonction de leur bilan. Depuis 2009, le nouveau système de sécurité sociale des travailleurs non salariés ne fonctionne pas correctement, sauf dans quelques départements, comme le 05, l’Hérault ou la Corse et l’Auvergne. Partout ailleurs, les erreurs s’accumulent, réclamant parfois des dizaines de milliers d’euros indus, ou traitant mal les dossiers. Et avec des retards inquiétants Représentants inadéquats ? À VOTRE AVIS ? Pourtant ces caisses de sécurité sont administrées par des représentants de ces assurés. Manifestement le Medef et la Confédération des PME se sentent mal représentés par les Artisans qui sont majoritaires dans Quelle est la personnalité du mois d'a Provence ? Didier Réault (59% des Votes) ces institutions. Les pétitionnaires, déjà plus de 360 , s’alarment du fait que ces lourds et répétés dysfonctionnements nuisent à la bonne santé des activités économiques.. Certains mal assurés vont jusqu’à Danielle Milon (19% des Votes) envisager de fermer boutique, accablés qu’ils sont par toutes ces tracasseries et paperasses parfois ubuesques. D’où ce slogan lancé par l’ordre marseillais des experts comptables : « du RSI au RSA » (Revenu Minimum de Solidarité). Laure-Agnès Caradec (15% des Vote Soprano (7% des Votes) Des milliards FIL TWITTER Rappelons qu’en Paca, l’artisanat compte plus de 100 000 ressortissants, réalisant un chiffre d’affaires de 20 milliards d’euros. 17 milliards, c’est le montant des prestations versées par ce RSI pour plus de 4 millions de bŽnŽÞciaires. Concrètement dès maintenant chaque entreprise peut se borner ˆ remplir un document unique nommŽ DSN, DŽclaration Sociale Nominative, qui remplacera toutes les autres formalitŽs. EnÞn cette profession tient à souligner que l’origine du métier de comptable se situe en Mésopotamie, 2 000 ans avant Jésus-Christ, et n’est pas à la veille de disparaître. A Marseille, c’est Mohamed Laqhila (notre photo avec le micro, crédit : XDR) qui préside depuis 2012 le Conseil régional de l’ordre des experts comptables. # PARTAGEZ $ + Tweets GoMet' @Gometmedia [Flash 9h] L'actu à #Aix #Provence : @eugenec come back go-met.com/ßash-infopic.twitter.com/Gy8Hw & Auteur ALAIN MASSON GoMet' @Gometmedia [Nomination] Promu en Michel Marcoul devient rédactions à @laproven #PQR go-met.com/news/med Étendre A lire aussi sur GoMet GoMet' @Gometmedia [L'image] L'élue @eelvp aux #Régionales2015 e Madrague de Montredo bonne cause. Tweeter à @Gometmedia 24 MAI 2015 "1 DIY : 3 astuces pour aménager son extérieur en petit coin de paradis ! 24 MAI 2015 "0 [Enquête] Festivals à Marseille : Rockisland, l’île impossible mais déjà un « roc legend » (4/4) 24 MAI 2015 Votre avis nous intéresse, réagissez à cet article http://www.go-met.com/coup-gueule-experts-comptables/ "0 Soit dit en passant : la chronique décapante d’Hervé Nedelec Le FIGARO Lundi 25 Mai 2015 CityPost Mercredi 27 Mai 2015 Retrouvez le reportage et l’interview de Monsieur Laqhila et Monsieur Canesi sur le site de City Post http://www.citypost.fr/2015/05/du-rsi-au-rsa-explications/ GESTION SOCIALE Jeudi 21 Mai 2015 GESTION SOCIALE ACTEURS MOHAMED LAQHILA. Le sémillant président du conseil régional de l’Ordre des expertscomptables Marseille-Paca veut accélérer la refonte du RSI. En attendant la réforme promise par Matignon, il préconise d’affecter des correspondants identifiables aux cabinets d’expertise comptable, et de transférer aux professionnels des comptes la compétence de l’établissement des bordereaux et calculs de cotisations. Sa démarche est soutenue par le Medef et la CGPME de la région. Elle est étayée par un sondage réalisé auprès des membres de la profession. Il en ressort que huit sur dix ont déjà été confrontés aux dysfonctionnements : retards de notification, double inscription impossible à régulariser, relances sans fondement, etc. YANNICK FAVENNEC. Le député UMP de la Mayenne propose d’accorder des trimestres supplémentaires dans le calcul de leur retraite aux responsables bénévoles d’associations déclarées ou reconnues d’utilité publique. La bonification serait de trois mois pour cinq années d’exercice effectif à la tête d’un organisme à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire ou sportif. Ce serait, dit-il, une forme de récompense après « de lourds sacrifices dans la vie personnelle et professionnelle ». ÉRIC PERCIE DU SERT. Directeur de l’usine Michelin de Roanne, il va mettre en musique Pacte d’avenir Roanne 2019, un projet industriel et social visant à transformer le site qui n’avait plus d’avenir en l’état, faute de compétitivité. Conçue en concertation avec les syndicats (CFDT, CGC, SUD) et supervisée par le président du groupe, l’opération prévoit un investissement de 80 M€, le maintien de 720 emplois dans l’établissement auxquels pourraient s’ajouter 80 postes supplémentaires dans une phase ultérieure. Elle comprend par ailleurs un volet sur la qualité de vie au travail. MARIE-ANNE LEVÊQUE. Avant la réforme territoriale semée d’embûches, la patronne de la DGAFP veut un dialogue méthodique avec les syndicats de fonctionnaires. Elle vient de leur transmettre un agenda qui prévoit d’ici à l’été des concertations avec les préfets configurateurs et les directeurs ré- ENTREPRISES Alstom Grid met l’accent su ttirer les femmes vers les réseaux électriques n’est p A sur l’égalité professionnelle, q Grid ces jours-ci pour trois an spectaculaire. Le DRH, Fran Pascal Gentelet (CFDT) et Ar objectifs modestes. Il leur suffi en CDI sur quatre, mobilité int qu’au moins une sur cinq bé taux de féminisation des équi pas question de multiplier les prise, qui n’est pas en phase d deux manifestations extérieu formation. En interne, elle prév sur le thème de l’égalité tous de sensibilisation aux stéréoty cédent accord datant de 2012 rentalité. L’employeur s’engag de maternité ou du congé d’ad cours professionnel et sur l’év l’augmentation individuelle ». trices. L’évaluation des risques compte du sexe et donnera li ments de poste. En cas de gro de travail sera adapté, mais le les personnes travaillant de n de jour. Au chapitre des avan cieront du maintien intégral absences prolongées pour un de six mois, d’autorisations d’ caux (y compris pour le conjo voriser l’articulation entre la de ses salariés », et se dote, po de jours à concurrence de cin Danone : vers une révision d direction de Danone Prod le dispositif de G LButad’améliorer de la manœuvre : accélérer Voire stimuler les départs volo observé chez IBM. Le groupe Les syndicats favorables à la r thème soulignent que le texte à un plan social contraint ou que ce soit explicitement indi rendre plus attractifs les palli exercent des métiers sensibles des solutions. Les intéressés s ments temporaires dans des co Retrouver toute la conférence en vidéo sur le lien : https://oecpaca.box.com/s/689r42k1ebwkqg0wj3r0weanejclnyxn