Revue de presse Mai 2015 - Ordre des experts comptables

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Revue de presse Mai 2015 - Ordre des experts comptables
Conseil Régional de l’Ordre des Experts-Comptables Marseille-PACA
REVUE DE PRESSE
Mai 2015
La Provence
Mardi 19 Mai 2015
8
La Provence
Jeudi
2015
Club21deMai
l’économie
Jeudi 21 Mai 2015
www.laprovence.com
Aix-Marseille Université à la
La plus grande université de France recevait hier, dans ses locaux du Pharo, le Club de l’économie de "La Provence", pour
ILS ÉTAIENT LÀ
L’ensemble des partenaires du Club de l’économie de "La Provence", réunis au siège d’AMU, au Palais du Pharo, hier matin.
C
’est en son siège prestigieux, situé dans le jardin
du Pharo, qu’Aix-Marseille Université organisait hier
le petit-déjeuner mensuel du
Club de l’économie de La Provence, autour d’un thème qui a
suscité les réactions de
l’ensemble des partenaires :
"Comment l’université et le
monde socioprofessionnel peuvent-ils encore mieux collaborer ?"
Un enjeu de taille pour cet acteur majeur du territoire, classé
131e au palmarès international
des universités, qui multiplie les
liens avec ses homologues de
par le monde "pourvu qu’ils
soient devant et pas derrière
nous dans ce classement", précisait le président Yvon Berland.
Un acteur issu de la fusion des
trois universités marseillaises et
aixoises, en 2012, qui emploie
8 000 personnes et compte
73 800 étudiants, soit 2 000 de
plus que l’an dernier. Comment
mettre ces jeunes adultes en relation avec le monde de
l’entreprise et avec l’emploi ?
C’est la question à laquelle le
président d’AMU a tenté de répondre hier, entouré de son
équipe, mais aussi de la directrice générale de la Caisse des dépôts et consignations, Élisabeth
Viola, et de la directrice régionale déléguée à l’emploi d’EDF, Michèle Boi. "Nous avons un partenariat global, cohérent et ambitieux avec AMU", expliquait Élisabeth Viola, pour qui il est important de "repérer des talents et
donner aux étudiants le goût de
l’entreprise".
De fait, l’université s’adapte
en permanence à l’évolution
des besoins de ses étudiants et
du monde économique. Pour
preuve, le travail mené en direction des filières de sciences sociales ou littéraires pour les rapprocher des entreprises. "Il y a
une recherche de compétences en
humanité dans les entreprises
avec notamment le sujet de
l’acceptabilité, et d’un autre côté
il y a nécessité de faire mieux
comprendre à ce secteur des sciences humaines et sociales qu’il a
un rôle important à jouer dans le
monde de l’entreprise." La pédagogie aussi évolue, souligne le Pr
Berland : "Aujourd’hui, nous allons de plus en plus vers ce qu’on
/ PHOTO PATRICK NOSETTO
appelle la pédagogie inversée,
c’est-à-dire des étudiants qui
s’informent par eux-mêmes en
amont puis réalisent une mise à
niveau en petits groupes". Les
"Mooc" (formations en ligne)
font aussi leur apparition, AMU
en a déjà mis en place deux et va
en lancer deux autres, tandis
que l’université voit de plus en
plus d’enseignants s’inscrire
dans son centre d’innovation pédagogique. "Nous développons
une stratégie concernant notre offre de formation qui va nous demander un an et demi de travail", précise le président, en
vue du futur contrat pluriannuel
avec l’État. L’université, qui développe aussi l’alternance - le
chiffre d’affaires de son centre
de formation continue est le 2e
plus important de France-, cultive également l’innovation dans
ses murs, à travers notamment
sa labellisation Imitative
d’excellence (Idex), qui lui permet de bénéficier de 25 millions
d’¤ annuels pour la recherche innovante. "J’ai pu constater la production scientifique extraordinaire des sept premiers talents accueillis il y a deux ans", souligne
Yvon Berland, qui regrette toutefois le manque d’implication du
monde de l’entreprise dans la
gouvernance de l’université,
"deux personnes seulement siègent au conseil d’administration
et elles ne viennent jamais".
Déjà très proches, ces deux
univers ne demandent pourtant
qu’à mieux se connaître.
AMU : Yvon Berland (président), Evelyne Marchetti
(vice-présidente déléguée
à l’orientation et à
l’insertion professionnelle), Basile Sircoglou (vice-président délégué aux
partenariats avec le monde
de l’entreprise), Delphine
Bucquet (directrice de la
communication).
EDF : Michèle Boi (directrice régionale de l’emploi)
Caisse des Dépôts et
Consignations : Elisabeth
Viola (directrice régionale)
CCI : Jean-Paul Solal et
Cheffia Natouri (directrice
de la formation).
Grand Port Maritime de
Marseille : Laurent Grimaldi (responsable communication).
Mutuelle de France Plus :
Bruno Huss (directeur général).
RTM : Hervé Beccaria (directeur général), Marie Petit (responsable communication externe et relations
presse)
Chambre des métiers et
de l’artisanat : Marge Vandendries (directrice de la
communication).
CEPAC : Lucien Cerboni (directeur développement
des RH)
Institut Paoli-Calmettes :
Carole Pascal (responsable
collecte de fonds privés)
Ordre régional des
Experts-Comptables : Mohamed Laqhila (président).
AFPA : Jean-Luc Le Clech
(directeur régional), Fabrice Marion (directeur de la
communication).
La Poste : Hélène Renard
(déléguée au développement régional RSE/RH),
Laurent Miralles (responsable relations presse).
Kedge : Nelinda Jimenez
(buisness developpment
manager)
Point P : Magali Humay Gagliano (chef d’agence Marseille Maison-Blanche)
Orange: Fabien Finucci (délégué régional), Christian
Leborgne (campus manager-Orange sud-est)
La Provence : Claude Perrier (PDG)
M.-C.B.
Quand les entreprises trouvent des formations sur-mesure pour leurs employés
Michèle Boi (Groupe EDF) : "Le
groupe EDF est un gros recruteur et va
continuer à l’être dans les prochaines
années. C’est ce qui a motivé notre
partenariat avec l’université. Nous
participons à toutes les manifestations d’AMU pour présenter aux jeunes les différents domaines qui pourraient s’ouvrir à eux. Le deuxième axe
de notre partenariat s’articule autour
du développement, de la recherche et
de l’innovation. Je pense au nucléaire
avec le CEA. Dans le cadre de
l’opération Henri Fabre qui, notamment, touche l’industrie et la mécanique, Aix-Marseille Université nous apporte également son soutien. Cela
nous permet d’avoir une vision
Bruno Huss, directeur général de
Mutuelle de France Plus
Fabien Finucci, délégué régional
d’Orange
d’avenir sur la maintenance du futur."
Bruno Huss (Mutuelle de France
Plus) : "En faisant rentrer l’université
dans le monde de l’entreprise, c’est
une trajectoire très positive. Mais je
trouve qu’à l’inverse, l’université reste
très fermée aux entreprises. Comment le monde de l’entreprise peut-il
aller encore plus loin dans
l’université ? À savoir : comment
mieux exploiter la présence des entrepreneurs au sein de l’université ? Certains sont prêts à consacrer du temps
aux étudiants. Et comment les entreprises peuvent-elles être impliquées
dans la gouvernance d’AMU ?"
Hélène Renard (La Poste) : "La Pos-
te est un gros recruteur avec 15 000
nouveaux emplois prévus dont 1 000
postes offerts sur notre site. Nous
n’avons pas de partenariats mais on
ne désespère pas. On croit au partage
des connaissances. Il y a des compétences à AMU dont nous avons besoin. Je pense notamment à la formation continue, car aujourd’hui, un employé effectue 4 à 5 changements au
cours de sa carrière. Et AMU, en tant
que première université de France, a
une capacité à répondre très vite.
Jean-Luc Le Clech (Afpa) : "L’Afpa a
répondu à un appel à projets avec la
création du centre de transition énergétique. Mais ce qui nous manque,
Mohamed Laqhila, président
régional de l’Ordre des
experts-comptables
Michèle Boi, directrice régionale
de l’emploi chez EDF
c’est une réponse pédagogique allant
du niveau 5 au niveau 2. Seul un partenariat avec AMU pourrait nous offrir
cette opportunité. Voyons-nous le
plus vite possible, président Berland !"
Fabien Finucci (Orange) : "Depuis
deux ans, dans le cadre du déploiement de la fibre optique, nous avons
mis en place un partenariat sur le numérique. Cette convention est concrète puisque des intervenants, surtout
des ingénieurs d’Orange, viennent dispenser des cours au sein d’AMU. On
doit continuer, voire évoluer, sur
d’autres volets. Orange va faire 20 à
30 milliards d’investissements d’ici
2022 qui vont engendrer des milliers
d’emplois. Des nouveaux métiers
vont aussi apparaître. Au final, on est
tous gagnant-gagnant."
Mohamed Laqhila (Ordre des Experts-Comptables) : "On est 2 000 sur
la région et chaque année, ce sont 100
à 120 diplômés qui sortent. Mais on a
besoin de l’appui d’AMU."
Laurent Grimaldi (Grand Port Maritime Marseille) : "Le seul partenariat
est une licence pro "management et
droit du transport maritime". Cette
formation est dispensée au cœur de
nos locaux et quasiment la totalité des
étudiants trouvent un emploi à l’issue
de la formation."
Propos recueillis par Florence COTTIN
Jean-Luc Leclech, directeur
régional de l’Afpa
La Provence
Jeudide
21 l’économie
Mai 2015
Club
Jeudi 21 Mai 2015
www.laprovence.com
9
conquête des entreprises
évoquer les dispositifs qui la rapprochent du monde de l’entreprise, lui-même demandeur de formations adaptées
C
omment l’université répond-elle aujourd’hui au
défi de l’emploi ? C’est la
question à laquelle les membres
du Club de l’économie de La Provence ont tenté de répondre
hier, en rappelant les nombreux
partenariats qui unissent déjà
l’institution et le monde de
l’entreprise. Un rapprochement
qui ne s’est pas fait en un jour et
qui demande encore à être travaillé. Yvon Berland, président
d’Aix-Marseille Université, prévoit ainsi l’instauration d’un
"guichet unique auquel le monde de l’entreprise pourra
s’adresser". Car les besoins des
acteurs économiques en matière de formation sont multiples,
comme en témoignaient les
membres du club. Orange a ainsi impulsé la création d’un diplôme d’ingénieur transmédia avec
l’Université de Toulon.
Mais si les grands groupes,
comme EDF - dont Michèle Boi,
directrice régionale déléguée à
l’emploi, rappelait l’implication
dans le tissu économique -, parviennent à tisser des liens étroits
avec l’université, Basile Sircoglou soulignait les difficultés des
PME à franchir le pas. "Com-
vice-présidente d’AMU déléguée à l’orientation et à
l’insertion professionnelle. "Il y
a des formations professionnalisantes, dispensées notamment
par des professionnels, mais aussi des formations plus généralistes. Des conseils de perfectionnement vont être mis en place dans
lesquels siègeront des représentants d’entreprises pour aider les
responsables de formations à
mettre en place des cursus très
professionnalisants à très court
terme".
Les généralistes
ont la cote
"L’université est un
acheteur à hauteur
de 90 millions d’euros
par an."
ment faire avec celles qui n’ont
pas les moyens de mobiliser une
personne auprès de nous ?" Le vice-président délégué aux partenariats avec le monde de
l’entreprise imaginait ainsi la
création de petits groupes, par filière, avec l’aide des chambres
de commerce et de l’Union patronale. Le monde économique
dispose en outre d’une semaine
AMU/Entreprises, en novembre, qui permet à ces deux univers de se rencontrer, par exemple autour du numérique ou de
la place des femmes dans
l’entrepreneuriat.
Car la palette des formations
universitaires est large, comme
le rappelait Evelyne Marchetti,
La recherche pourvoyeuse d’innovations est aussi à l’origine de
nombreuses start-up, vraies passerelles entre les mondes
économique et universitaire.
/ PHOTO DR
Les start-up font le lien
Le lien entre le monde de l’entreprise et l’Université se fait aussi
par l’entrepreneuriat et en particulier par les start-up. Evelyne Marchetti souligne ainsi qu’AMU est labellisée "Pôle entrepreneuriat
étudiant" avec pour objectif de susciter l’esprit d’entreprise parmi
les étudiants, à la fois par la maîtrise du métier de chef d’entreprise
et l’accompagnement à la création. "L’effectif a doublé en un an,
aujourd’hui plus de 200 étudiants sont inscrits dans ce dispositif". Et
les innovations issues des labos de recherche ne manquent pas,
comme le soulignait le président Berland : "Longtemps le chercheur
était dans la démarche "je cherche puis je publie". Désormais, il regarde avant de publier s’il y a des possibilités de breveter sa découverte et beaucoup de start-up naissent comme ça, nous travaillons avec
l’incubateur Impulse et il y en a de plus en plus."
Hervé Beccaria, secrétaire général de la RTM, témoignait ainsi de
l’application pratique de recherches dont a pu bénéficier la société
de transports autour du développement de solutions alternatives,
comme les bus 100 % électriques ou encore le développement de
sonorités différentes, à chaque arrêt de bus…
M.-C.B.
Les membres du Club de l’économie de "La Provence" réunis au
siège d’AMU au Pharo à Marseille.
/ PHOTO PATRICK NOSETTO
DANS
La Poste au cœur du prochain
Petit déjeuner le 25 juin
Selon le président Berland, la
conception de l’université qui
"donne un enseignement et ensuite laisse l’étudiant se débrouiller avec, eh bien c’est terminé". Il reste que les profils généralistes ont toujours la cote.
Lucien Cerboni, directeur du
développement des ressources
humaines à la Caisse d’Épargne
(Cepac), témoigne : "on a constaté de belles réussites chez des collaborateurs qui n’ont pas un cursus professionnalisant mais plutôt généraliste. Nous sommes capables d’accompagner ces profils-là vers nos métiers en interne
et de tirer profit de ces formations initiales pour créer une
vraie relation avec nos clients."
La banque finance en outre une
chaire intitulée "banque et développement", "qui permet de réfléchir à l’évolution de nos métiers".
À La Poste, Hélène Renard, déléguée au développement régional en ressources humaines,
confiait elle aussi accueillir
"beaucoup d’étudiants en sociologie ou philosophie qui viennent nous questionner sur
l’évolution du management et
nous apporter leurs connaissances théoriques".
Un lien qui existe aussi avec le
monde de l’artisanat, au nom
duquel Marge Vandendries
(Chambre de métiers et de
l’artisanat) rappelait la nécessité
d’une complémentarité entre
les types de formations, pour répondre à la multiplicité des besoins du monde économique.
Marie-Cécile BÉRENGER
[email protected]
De gauche à droite : Yvon Berland, président d’AMU, Eric Berton, Evelyne Marchetti, Thierry Paul, Basile Sircoglou et Denis Bertin, vice-présidents.
Aix-Marseille Université, une université ancrée dans son territoire à
l’ambition internationale.
Première structure métropolitaine,
AMU (Aix-Marseille Université) est
aujourd’hui la plus grande université
francophone, accueillant près de
74 000 étudiants en formation initiale
et continue, dont 10 000 étudiants internationaux, et près de 8 000 personnels.
Elle affiche cette année ses valeurs :
audace, force, ouverture et transmission, le meilleur pour tous.
Tous les champs de la connaissance
sont enseignés dans ce grand établissement répartis dans 6 secteurs disciplinaires et structurés en 19 composantes :
* arts, lettres, langues et sciences humaines
* droit et sciences politiques
* économie et gestion
* santé
* sciences et technologies
* pluridisciplinaire (ESPE et IUT)
Des diplômes de niveau licence, master et doctorat y sont délivrés mais éga-
CEPAC
lement des diplômes universitaires
technologiques, des diplômes
d’ingénieur, des diplômes de santé, ainsi que des diplômes universitaires.
Sur le territoire, AMU contribue largement à l’économie de la connaissance et à la diffusion du savoir. Selon son
président, Yvon Berland, "la modernisation de l’université passe par de nouveaux liens avec les entreprises. À la clé :
plus d’innovation grâce à la recherche ;
un enrichissement des compétences des
salariés ; une meilleure approche des
problématiques professionnelles dans
nos formations ; des stages et des emplois pour nos diplômés. Depuis 2012,
les partenaires socio-économiques
d’AMU sont plus nombreux au bénéfice
de la formation, de l’emploi et de la recherche. C’est une chance pour
l’économie du territoire".
Avec 130 structures de recherche, le
plus souvent en partenariat avec les
plus grands organismes de recherche
nationaux, elle investit 5 grands domaines de recherche : l’énergie ; les sciences de l’environnement et de
l’univers ; les sciences de la vie et de la
santé ; les sciences et technologies
avancées ; les sciences humaines et sociales. La transdisciplinarité et la valorisation de la connaissance sont les axes
majeurs de développement d’AMU au
bénéfice du plus grand nombre.
Chiffres-clés : 5 grands campus, 54 sites universitaires ; 1 idex (initiative
d’excellence) ; 1 opération campus sur
Aix-en-Provence et Marseille ; une trentaine de partenaires sociaux économiques locaux et nationaux ; + de 700 partenariats avec les universités du monde entier.
Méridien Mag
Jeudi 21 Mai 2015
La Provence
vendredi 22 Mai 2015
Mériduen Mag
Mai Juin 2015
France Bleu Provence
Jeudi 21 Mai 2015
Retrouvez le reportage et l’interview de Monsieur Laqhila sur le site de France Bleu
Provence
http://www.francebleu.fr/infos/le-grand-journal-de-18h-de-france-bleu-provence/legrand-journal-de-18h-176#.VV8Yw1zohD4
France 3 Provence Alpes
Jeudi 21 Mai 2015
Retrouvez le reportage sur le site france3
JT 19/20 du 21 mai 2015
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/emissions/jt-1920-provence-alpes
GO MET’
Lundi 25 Mai 2015
Le coup de gueule des experts comptables contre la gestion douteuse de la protection sociale des indépendants - GoMet'
25/05/2015 09:53
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Le coup de gueule des experts comptables contre la
gestion douteuse de la protection sociale des
indépendants
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50
DE ALAIN MASSON PUBLIÉ LE 24 MAI 2015 12 H 55 MIN DERNIÈRE MODIFICATION LE 24 MAI 2015 12 H 55 MIN
En région Paca, plus de 2 000 sociétés d’experts comptables se disent furieuses des
dysfonctionnements du RSI, le Régime Social des Indépendants.
Votre adresse e-mail
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& tech » à l’Arbois
21 mai 2015 15:48
[Département] Martine Vassal veut
une aide aux communes mieux
répartie et plus transparente
21 mai 2015 8:20
Salon des sports 2015 à Aix-en-Provence : inscriptions
jusqu’au vendredi 29 mai
Plus d'infos
Une pétition est lancée ce jeudi 21 mai, réclamant
http://www.go-met.com/coup-gueule-experts-comptables/
Page 1 sur 3
GO MET’
Lundi 25 Mai 2015
Le coup de gueule des experts comptables contre la gestion douteuse de la protection sociale des indépendants - GoMet'
2
notamment la possibilité, pour les petites et très petites
entreprises, d’auto-calculer leurs charges et cotisations, en
fonction de leur bilan. Depuis 2009, le nouveau système de
sécurité sociale des travailleurs non salariés ne fonctionne
pas correctement, sauf dans quelques départements,
comme le 05, l’Hérault ou la Corse et l’Auvergne. Partout
ailleurs, les erreurs s’accumulent, réclamant parfois des
dizaines de milliers d’euros indus, ou traitant mal les
dossiers. Et avec des retards inquiétants
Représentants inadéquats ?
À VOTRE AVIS ?
Pourtant ces caisses de sécurité sont administrées par des représentants de ces assurés. Manifestement le
Medef et la Confédération des PME se sentent mal représentés par les Artisans qui sont majoritaires dans
Quelle est la personnalité du mois d'a
Provence ?
Didier Réault (59% des Votes)
ces institutions. Les pétitionnaires, déjà plus de 360 , s’alarment du fait que ces lourds et répétés
dysfonctionnements nuisent à la bonne santé des activités économiques.. Certains mal assurés vont jusqu’à
Danielle Milon (19% des Votes)
envisager de fermer boutique, accablés qu’ils sont par toutes ces tracasseries et paperasses parfois
ubuesques. D’où ce slogan lancé par l’ordre marseillais des experts comptables : « du RSI au RSA » (Revenu
Minimum de Solidarité).
Laure-Agnès Caradec (15% des Vote
Soprano (7% des Votes)
Des milliards
FIL TWITTER
Rappelons qu’en Paca, l’artisanat compte plus de 100 000 ressortissants, réalisant un chiffre d’affaires de 20
milliards d’euros. 17 milliards, c’est le montant des prestations versées par ce RSI pour plus de 4 millions de
bŽnŽÞciaires. Concrètement dès maintenant chaque entreprise peut se borner ˆ remplir un document
unique nommŽ DSN, DŽclaration Sociale Nominative, qui remplacera toutes les autres formalitŽs. EnÞn
cette profession tient à souligner que l’origine du métier de comptable se situe en Mésopotamie, 2 000 ans
avant Jésus-Christ, et n’est pas à la veille de disparaître. A Marseille, c’est Mohamed Laqhila (notre photo
avec le micro, crédit : XDR) qui préside depuis 2012 le Conseil régional de l’ordre des experts comptables.
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[Flash 9h] L'actu à #Aix
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Auteur
ALAIN MASSON
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[Nomination] Promu en
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Madrague de Montredo
bonne cause.
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24 MAI 2015
"1
DIY : 3 astuces pour aménager son
extérieur en petit coin de paradis !
24 MAI 2015
"0
[Enquête] Festivals à Marseille :
Rockisland, l’île impossible mais
déjà un « roc legend » (4/4)
24 MAI 2015
Votre avis nous intéresse, réagissez à cet article
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"0
Soit dit en passant : la chronique
décapante d’Hervé Nedelec
Le FIGARO
Lundi 25 Mai 2015
CityPost
Mercredi 27 Mai 2015
Retrouvez le reportage et l’interview de Monsieur Laqhila et Monsieur Canesi sur le
site de City Post
http://www.citypost.fr/2015/05/du-rsi-au-rsa-explications/
GESTION SOCIALE
Jeudi 21 Mai 2015
GESTION
SOCIALE
ACTEURS
MOHAMED LAQHILA. Le sémillant président
du conseil régional de l’Ordre des expertscomptables Marseille-Paca veut accélérer
la refonte du RSI. En attendant la réforme
promise par Matignon, il préconise d’affecter
des correspondants identifiables aux cabinets d’expertise comptable, et de transférer
aux professionnels des comptes la compétence de l’établissement des bordereaux et
calculs de cotisations. Sa démarche est soutenue par le Medef et la CGPME de la région.
Elle est étayée par un sondage réalisé auprès
des membres de la profession. Il en ressort
que huit sur dix ont déjà été confrontés aux
dysfonctionnements : retards de notification,
double inscription impossible à régulariser,
relances sans fondement, etc.
YANNICK FAVENNEC. Le député UMP de
la Mayenne propose d’accorder des trimestres supplémentaires dans le calcul de leur
retraite aux responsables bénévoles d’associations déclarées ou reconnues d’utilité
publique. La bonification serait de trois mois
pour cinq années d’exercice effectif à la tête
d’un organisme à caractère philanthropique,
éducatif, scientifique, social, humanitaire
ou sportif. Ce serait, dit-il, une forme de récompense après « de lourds sacrifices dans
la vie personnelle et professionnelle ».
ÉRIC PERCIE DU SERT. Directeur de l’usine
Michelin de Roanne, il va mettre en musique
Pacte d’avenir Roanne 2019, un projet industriel et social visant à transformer le site
qui n’avait plus d’avenir en l’état, faute de
compétitivité. Conçue en concertation avec
les syndicats (CFDT, CGC, SUD) et supervisée
par le président du groupe, l’opération prévoit un investissement de 80 M€, le maintien
de 720 emplois dans l’établissement auxquels pourraient s’ajouter 80 postes supplémentaires dans une phase ultérieure. Elle
comprend par ailleurs un volet sur la qualité
de vie au travail.
MARIE-ANNE LEVÊQUE. Avant la réforme
territoriale semée d’embûches, la patronne
de la DGAFP veut un dialogue méthodique
avec les syndicats de fonctionnaires. Elle
vient de leur transmettre un agenda qui prévoit d’ici à l’été des concertations avec les
préfets configurateurs et les directeurs ré-
ENTREPRISES
Alstom Grid met l’accent su
ttirer les femmes vers les
réseaux électriques n’est p
A
sur l’égalité professionnelle, q
Grid ces jours-ci pour trois an
spectaculaire. Le DRH, Fran
Pascal Gentelet (CFDT) et Ar
objectifs modestes. Il leur suffi
en CDI sur quatre, mobilité int
qu’au moins une sur cinq bé
taux de féminisation des équi
pas question de multiplier les
prise, qui n’est pas en phase d
deux manifestations extérieu
formation. En interne, elle prév
sur le thème de l’égalité tous
de sensibilisation aux stéréoty
cédent accord datant de 2012
rentalité. L’employeur s’engag
de maternité ou du congé d’ad
cours professionnel et sur l’év
l’augmentation individuelle ».
trices. L’évaluation des risques
compte du sexe et donnera li
ments de poste. En cas de gro
de travail sera adapté, mais le
les personnes travaillant de n
de jour. Au chapitre des avan
cieront du maintien intégral
absences prolongées pour un
de six mois, d’autorisations d’
caux (y compris pour le conjo
voriser l’articulation entre la
de ses salariés », et se dote, po
de jours à concurrence de cin
Danone : vers une révision d
direction de Danone Prod
le dispositif de G
LButad’améliorer
de la manœuvre : accélérer
Voire stimuler les départs volo
observé chez IBM. Le groupe
Les syndicats favorables à la r
thème soulignent que le texte
à un plan social contraint ou
que ce soit explicitement indi
rendre plus attractifs les palli
exercent des métiers sensibles
des solutions. Les intéressés s
ments temporaires dans des co
Retrouver toute la conférence en vidéo sur le lien :
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