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GRAND ANGLE SANTÉ PUBLIQUE P. 17 N°144 Novembre-décembre 2014 Sommaire >>> VIVRE ENSEMBLE >>> CABASSE N° 144 Novembre-décembre 2014 AUBANEL N’ATTEND PAS LA DÉVIATION C’EST MA VILLE >>> ARRÊT SUR IMAGES FÊTE DU TRAIN L’Édito ARRÊT SUR IMAGES P. 4 >®MBDPORVÐUFEF8FTU1SPWFODF >-FT$JHBMFUUFTEBOTMFT1ZSÏOÏFT > Devoir de mémoire pour les militaires >)PNNBHFBVYIBSLJT >)PNNBHFBVY*OEPDIJOPJT >-FTBOOJWFSTBJSFTEF$SPJ[BU C’EST MA VIE P. 9 >'MBWJF1JOFUEBOTMFNJMMF > Le nouveau livre de la Ligne de Faire > État civil >/JLJUB7BMFO[BTPVTVOFCPOOFÏUPJMF >/PTMZDÏFOTEBOTPhosphore > Fontlongue, partenaire particulier > Nouvelle rentrée, nouvelles directrices >6OFWJMMFBV.PZFO¬HF GRAND ANGLE > La santé, une priorité SUIVEZ-NOUS Retrouvez toutes les informations, événements, photos et le magazine en ligne, avant sa distribution, sur le site de la ville : www.miramas.org P. 17 ÉCONOMIE > De nouveaux métiers suscitent des vocations > Les brèves de l’emploi P. 21 COMMERCES >(PVSNBOEJTFFOGBNJMMF > Anipromaux > Les brèves du commerce P. 22 VIVRE ENSEMBLE P. 24 C’EST MA VILLE P. 27 $POUBDUF[MFTFSWJDF communication avant le : OPWFNCSFQPVSMFNBHB[JOF EFKBOWJFSGÏWSJFS KBOWJFSQPVSMFNBHB[JOF de mars-avril… Suivez l’actualité sur Facebook : www.facebook/ville.de.miramas Visionnez les photos sur Flickr : www.flickr.com/photos/ville_de_miramas BANDEROLES ASSOCIATIVES Renseignements à la maison des associations : 04 90 17 30 21. P. 36 > Fête des associations >%FTUJOBUJPO0QUJNJTUFSSF >-BZPVSUFEFM"%.3EÏNÏOBHF >0OTFYQPTFËMB(BMFSJFEFT.PMJÒSFT >-F.)#01VTJOFËDIBNQJPOT >7$.JSBNBTQÏQJOJÒSFTVSSPVUF > Bootcamp, une première réussie > La montagne, une passion TRIBUNE P. 41 AU FIL DES VIES P. 42 > Les commerces d’antan FAIRE PARAÎTRE DES INFOS [email protected] [email protected] Regardez les fi lms sur vimeo : www.vimeo.com/miramas MES LOISIRS >$FOUSFTTPDJBVYMJFVYEFQBSUBHF >$BCBTTFVOFQÏQJUFËQSÏTFSWFS > Nuisances sonores, respectons-nous > Un exercice pour éviter le pire >$IBOHFNFOUEFWPJF >-FTQPNQJFSTTVSUPVTMFTGSPOUT >0QÏSBUJPO#SJPDIFT > Aubanel n’attend pas la déviation SAN P. 34 > Fête de la science >6OFFYQPËMBSUPUIÒRVF >1BUSJNPJOFMFDIFNJOEFMFBV >.ÏEJBUIÒRVFEVOPVWFBVTVSMBUPJMF MIRAMASINFO N° 144 Hôtel de ville, 13140 Miramas. Tél. : 04 90 58 79 79 %JSFDUFVS EF MB QVCMJDBUJPO 'SÏEÏSJD 7JHPVSPVY t Directrice de la communication : Véronique Barbetti t +PVSOBMJTUFT #FUUZ 3FCPVM $ÏMJOF (FSNBJO t $SÏEJUT QIPUPT .BSJPO #PVJMMFU +FBO1BVM 0MJWF $ISJTUPQIF $BTUJMMP $ISJTUJOF 'BMDP (%*% %3 t (SBQIJTNF ɨ BMBNVT t *NQSFTTJPO *NQSJNFSJF 7BMMJÒSF t5JSÏ Ë Ή FYFNQMBJSFT t *NQSJNÏ TVS QBQJFSSFDZDMÏt%ÏQÙUMÏHBMOPWFNCSF édito Hervé Gourdel CHERS COMPATRIOTES, $PNNFUPVTMFT.JSBNBTTÏFOTMFTÏMVTNVOJDJQBVYPOUBQQSJTBWFDÏNPUJPOMIPSSJCMF BTTBTTJOBUEFOPUSFDPNQBUSJPUF)FSWÏ(PVSEFMFO"MHÏSJF /PTQFOTÏFTTFTPOUUPVSOÏFTEBCPSEWFSTMVJMIPNNFEFMJCFSUÏFUEFSFTQFDUEFT autres. /PVTBWPOTBVTTJTPVIBJUÏBTTVSFSTFTQSPDIFTEFMBDPNQBTTJPOEFTIBCJUBOUTEFOPUSF ville et de notre soutien dans cette terrible épreuve. Nous avons enfin lancé un appel au rassemblement des Miramasséens. /PVTBQQSPVWPOTMBWPMPOUÏEV(PVWFSOFNFOUEFMVUUFSBWFDMBQMVTHSBOEFGFSNFUÏ contre le terrorisme et nous nous réjouissons que les Français le suivent dans cette EÏNBSDIF Nous voulons également que les Miramasséens restent unis pour dénoncer tout BNBMHBNFFOUSFMFTBHJTTFNFOUTEÏMJSBOUTEFGPVTTBOHVJOBJSFTFUMFTTFOUJNFOUTEFOPT DPNQBUSJPUFTNVTVMNBOTRVJFYFSDFOUMFVSGPJBWFDEJHOJUÏSFUFOVFFUVOFQSPGPOEF volonté de paix. %ÒT MB USJTUF OPVWFMMF DPOOVF JMT POU ÏUÏ USÒT OPNCSFVY Ë OPVT JOEJRVFS MFVS ÏDVSFNFOUEFWBOUDFDSJNFIPSSJCMFDPNNFMBÏHBMFNFOUGBJUMF$POTFJMGSBOÎBJTEV culte musulman, leur instance nationale. &OTFNCMFUPVUFTPQJOJPOTDPOGPOEVFTOPVTEFWPOTBïSNFSOPUSFWPMPOUÏEFSFKFUFSFU de combattre tous les extrémistes. Le maire et l’ équipe municipale MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 3 ARRÊT SUR IMAGES FÊTE DU TRAIN À LA CONQUÊTE DE WEST PROVENCE C’est en toute complicité que les cows-boys et les Indiens se sont affrontés pour cette 6e Fête du Train, le 4 octobre. Autour de la gare SNCF, stands, animations, spectacles ont fait la joie des petits, et les grands n’étaient pas en reste pour se substituer à Buffalo Bill ou à Géronimo. Au son du banjo, les plaines de Miramas West Provence ont été envahies par des spectateurs avides de voyager dans des locomotives de légende, de s’essayer au rodéo mécanique, de se mesurer au vélo-rail ou d’applaudir les danseuses du saloon, les Amérindiens et les cavaliers… Les associations, les syndicats et surtout vous, public miramasséen ou visiteurs, avez contribué à la réussite de cette Fête désormais légendaire au-delà de nos frontières. 3FUSPVWF[UPVUFTMFTQIPUPT TVS'MJDLS.JSBNBT 4 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 ARRÊT SUR IMAGES MERCI POUR VOS DONS ! Ή ǎ POU ÏUÏ DPMMFDUÏT BV QSPëU EF MPSQIFMJOBUEFTDIFNJOTEFGFSGSBOÎBJT-F NFJMMFVS SÏTVMUBU PCUFOV Ë DF KPVS .FSDJ pour eux ! -FWFOESFEJBV$PNEJBMFMBODFNFOUEF .JSBNBT 8FTU 1SPWFODF B EPOOÏ MJFV Ë MB QSPKFDUJPOEFEPDVNFOUBJSFTGFSSPWJBJSFTFO présence de leur réalisatrice, pour alimenter un débat autour de l’avenir du train. Soirée qui s’est poursuivie par un grand western PáMFUSBDÏEFMBMJHOFEFDIFNJOEFGFSFTU posé comme enjeu économique de la nouvelle ville… Une similitude certaine avec MIJTUPJSF EF .JSBNBT DF RVJ B HÏOÏSÏ VO EÏCBUJOUÏSFTTBOUDPOEVJUQBS$JOÏSBJMMPSHBOJTBUFVSEVGFTUJWBMJOUFSOBUJPOBMEVëMN GFSSPWJBJSF MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 5 ARRÊT SUR IMAGES LA MOBILITÉ ET LA FÊTE DU TRAIN Une action sur laquelle la municipalité s'est appuyée pour distribuer le programme de la Fête du Train. La gare de Miramas a été choisie par TER Paca pour vivre un moment privilégié avec la clientèle de la SNCF. $FUUFBDUJPOBQPVSWPDBUJPOEFGBJSFEÏDPVvrir et apprécier le train comme véritable BMUFSOBUJWF ÏDPMPHJRVF FU ÏDPOPNJRVF Ë MB WPJUVSF FU WBMPSJTFS MFT USBOTQPSUT DPMMFDUJGT Lors de cette rencontre, les agents de terrain renseignent la clientèle, mais reçoivent aussi les remarques et propositions des abonnés, QPVS TBEBQUFS BV NJFVY Ë MFVST EFNBOEFT et leur proposer les services qu’ils attendent. La création de trois trains supplémentaires Toulon-Vitrolles-Miramas est d’ailleurs issue EFT EFNBOEFT GPSNVMÏFT FO $FT USPJT OPVWFBVYUSBJOTTBSSÐUFOUUPVTË.JSBNBT “L’information, ce n’est jamais assez !” avoue $ÏDJMFKVTUFBWBOUTPOEÏQBSUQPVS.BSTFJMMF GARBURE LES CIGALETTES DE MIRAMAS DANS LES PYRÉNÉES 6OTFVMQFUJUQPJOUBVSBTÏQBSÏMFT$JHBMFUUFT EVQPEJVN1PVSMBUSPJTJÒNFGPJTMÏRVJQF miramasséenne, composée de membres de MPïDF EF UPVSJTNF TFTU SFOEVF EBOT MFT 1ZSÏOÏFT"UMBOUJRVFT QPVS QBSUJDJQFS BV 22eΉ DIBNQJPOOBU EV NPOEF EF HBSCVSF Alors que certains membres de l’équipe TBêBJSBJFOU Ë MB QSÏQBSBUJPO EF DFUUF TPVQF QBZTBOOFËCBTFEFQPNNFTEFUFSSFGFVJMMFT 6 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 EFDIPVQPJSFBVYOBWFUTFUDBSPUUFTEBVUSFT BTTVSBJFOUMBQSPNPUJPOEVDIBNQJPOOBUEV monde de soupe au pistou, promouvant de TVSDSPÔU OPUSF UFSSJUPJSF -JMJBOF 3PVWJÒSF B donc cuisiné sur place et distribué environ deux cents portions de soupe provençale, bien différente des saveurs locales, que les 1ZSÏOÏFOTPOUEÏDPVWFSUFFUBQQSÏDJÏF ARRÊT SUR IMAGES LES COMMÉMORATIONS Pour les travailleurs indochinois 2VJO[FKPVSTBQSÒTMJOBVHVSBUJPOBVY4BMJOTEF(JSBVEEFMBQSFNJÒSF TUÒMFDPNNÏNPSBOUMIJTUPJSFEFTUSBWBJMMFVSTJOEPDIJOPJTGPSDÏT EF VO OPVWFM IPNNBHF BQQVZÏ MFVS B ÏUÏ SFOEV MF PDUPCSF BV1BSDEFMB1PVESFSJF%BOTTPOEJTDPVSTMFNBJSFTFTUSÏKPVJRVF“la France, par la voix de Kader Arif, secrétaire d’État aux anciens combattants et à la mémoire, ait enfin reconnu la responsabilité de la Nation dans le mauvais traitement infligé à ces 20 000 travailleurs forcés”. Depuis quatre BOT.JSBNBTFU4BJOU$IBNBTTBMVFOUDIBRVFBOOÏFMBNÏNPJSFEFDFT IÏSPTNÏDPOOVTEFOPUSF)JTUPJSF Journée d’hommage aux harkis -FTFQUFNCSFMFTIBSLJTMFVSTFOGBOUTFUQFUJUTFOGBOUTÏUBJFOUSÏVOJT avec les élus et les corps constitués devant le monument aux morts pour commémorer “le sacrifice et le sang versé lors de la guerre d’Algérie”, comme le soulignait Abderraman Arfi, le président de Dialogues Mémoire IBSLJT*MBSFOEVIPNNBHFBVYGFNNFTWJDUJNFTMPOHUFNQTJHOPSÏFTFU QJMJFSTEFTGBNJMMFTFODFTQÏSJPEFTUSPVCMÏFT DEVOIR DE MÉMOIRE POUR LES MILITAIRES 1PVS SFOESF IPNNBHF BVY BODJFOT FU BVY WBMFVST RVJMT JODBSOBJFOU et célébrer le 70e BOOJWFSTBJSF EV EÏCBSRVFNFOU FO 1SPWFODF VOF soixantaine de militaires du 503e régiment du Train a couru pendant USPJT KPVST FOUSF M&TUBRVF FU (BSPOT -B [POF EF SFHSPVQFNFOU FU EBUUFOUF ;3" EF .JSBNBT B BDDVFJMMJ DFT IÏSJUJFST EFT QBSUJDJQBOUT au débarquement en 1944 dans la nuit du 16 au 17 septembre, après la traversée de la ville, pour un repos bien mérité. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 7 ARRÊT SUR IMAGES BON ANNIVERSAIRE Après les vacances, les usagers de Croizat qui ont fêté leur anniversaire cet été ont entendu, le 25 septembre, les vœux d’Anne-Marie Chayot, ajointe au maire déléguée aux personnes âgées et de Jean-Marie Pascal, adjoint au maire délégué aux anciens combattants. Ils sont nés en juillet : 1BVMFUUF "SHJPMBT 9ÏOJB .BUBSB[[J .BSJB .VSDJBOP +FBOJOF 1BTUPS .POJRVF 1BWJB +FBOJOF 3JCPMEB[[J .BSJF"OUPJOFUUF 4BODIF[%FOJTF4DBSQBSJ.JDIFM$BJMMBSE3FOÏ$POTUBOUJO+FBO 1JFSSF(VJOBNBOU3PHFS-BESFZU-JPOFM-BWFSTJO(BTQBSE3J[[P 1BUSJDL5SVNPOU+FBO7BMMÒT Ils sont nés en août : .JSFJMMF#BSOÏPVE"SOPVMFU²MJBOF$BHOBDDJ.POJRVF$PJêBSE .POJRVF .BSDBOU $ISJTUJBOF %FNBT )VHVFUUF %FSÏ +FBOOJOF &DVFS %FOJTF -BBT .BSJF"OHÒMF -BCPVHMJF $IBOUBM .FUHF 1BVMFUUF 1BDIPMTLJ 4V[BOOF 1ëU[NBOO $MBVEJOF 3JFUCFSHFO "OHÒMF 3J[[P 1JFSSF %FTUSVFM )FSWÏ &NNBOVFM $ISJTUJBO (PJSBOE²NJMF-BJHVFTTF+BDRVFT-PSFOD4FSHF3JDBSE Ils sont nés en septembre : 'SBOÎPJTF#BISP:WFUUF#BSPOF+BDRVFMJOF%VUJMMFU.BSHVFSJUF +PVSOFU .JDIFMJOF ,FNQFO 1JFSSFUUF 1PVWSFBV 4ZMWJF 3PTTFM (JTÒMF ɨ JÏCMJO +FBO "OHÏMPOJ +FBO $BSFUUF )FOSJ 'BCSÒHVFT 3PHFS+VBOB+FBO$MBVEF.FSDJFS.BSDFM&ZSBVE Ils sont nés en octobre : -F PDUPCSF MF NBJSF "OOF.BSJF $IBZPU EÏMÏHVÏF BVY QFSTPOOFT ÉHÏFT FU +FBO.BSJF 1BTDBM EÏMÏHVÏ BVY BODJFOT DPNCBUUBOUT GÐUBJFOU MFT OBUJGT EPDUPCSF /BEJOF #BSOÏPVE $MBVEJOF$BSBWFO.BEFMFJOF%BMNBV"OESÏF'BJWSF+BDRVFMJOF (SBD.POUTFSSBU/PHVÏSB(BCZ1JUUPSF$ÏMFTUF1PSSÏDB(JOFUUF 4FHVOEP &VHÒOF $MÏNFOU 4BMWBUPSF %J .VSP (FPSHFT (SBD 3PMBOE3JQFSU ÉTAT CIVIL Ils sont nés : Elsa Auger, le 1er KVJMMFU t Tao Miternique, le 1erKVJMMFUt"NJS)FOOJ MFKVJMMFUt.BÑM(IFTRVJÒSFMFKVJMMFU t-ZBN1FUJUMFKVJMMFUt-ÏBOESP'JPSJ MFΉKVJMMFUt.BIEJ-BNSBOJMFKVJMMFU t -ÏP #PVWBSE MF KVJMMFU t ²MBOPS Bellantonio, le 1er BPßU t 4PWBOUIB-JTB -PCJFS 4VO MF BPßU t $PSBMJF 1SPVWF[ MF BPßU t -PHBO #FSUFFU MF BPßU t $ÏMJB &FDLIBVU MF Ή BPßU t %KFTTZOO +BOEPS MF Ή TFQUFNCSF t "MZDJB #BSEFMMZ MF Ή TFQUFNCSF t +VMJBO 7JMMBTFWJM MF 8 ΉTFQUFNCSFt)JOE%PVJEJMFTFQUFNCSF t :PVNOB )BSCBPVJ MF Ή TFQUFNCSF t .PSHBO %FNBSFT MF Ή TFQUFNCSF t 5FSFODF5VSQJOMFΉTFQUFNCSF Ils se sont mariés : /JDPMBT 3BEPVBO FU -BVSF.BSUJOMFKVJOt$ZSJMMF%FCBJSF FU.BSJBN0VFESBPHPMFKVJMMFUt:BOO $BNBUUFFU'MPSJBOF(PVSMPUMFKVJMMFUt ɨ PNBT3JWJÒSFFU"VSÏMJF3BVKPMMFBPßU t4UÏQIBOF.BSDIBEJFSFU"VSÏMJF0MJWFJSB %BDPTUB MF BPßU t ,BEFS $IBCBOF FU 4BOESJOF.BÕOFUUJMFBPßUt"CEFTBNBE #FOIBTTPV FU .BSJF"MJDF 4BMMF[ MF Ή BPßU t (VJMMBVNF .BOEBMMB[ FU ²MPEJF 'FSSJFSMFBPßUt+FTTZ-BMBOFFU²MPEJF 'FDIJOP MF BPßU t (FPêSFZ 7JOTPO FU 4BOEZ +PPOOFLJOEU MF BPßU t #FSOBSE $BSSFSPU FU 4POJB 1VJTTBOU MF BPßU t François Selesque et Sandrine Manini, le BPßU t "OUIPOZ %FDIBUSF FU 3PTBOF 'BCSJFS MF BPßU t $ZSPN )FOOBSU FU 4BCSJOB(POUIJFSMFBPßUt+FBO(BCSJFM 'SPNFOU FU 4BOESJOF 7FSJO MF BPßU t Lionel Mancini et Emmeline Moinier, MF BPßU t .JDLBÑM .BOFT FU $BSPMJOF 4XJFDJDLJMFBPßUt5FEEZ4QJOEMFSFU $BSBMJF#PVMMFMFBPßUt4UÏQIBOF#PJY FU4POJB"MMPVDIFSZMFBPßUt"OUIPOZ MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 .BVSJRVF FU 7JSHJOJF $IBZPU MF BPßU t #SVOP ɨ FVOZODL FU /BUIBMJF 3JEFM MF BPßU t #FSOBSE 2VBSU FU 1BUSJDJB 7FSEJOJMFTFQUFNCSFt%FOJT#BSSBODP FU "VSÏMJF %FCFMMJT MF TFQUFNCSF t "MJ #FMBÕEFU3PTFMJOF.JDIFUEFMB#BVNFMF TFQUFNCSFt"CEFMLBSJN#PV[FMNBUFU 4BGBF-BHTBCMFTFQUFNCSFt"CEFMMJMBI FU 'BUJNB &M .PVKBIJE MF TFQUFNCSF t 0MJWJFS 7BSOBU FU /BUIBMJF 2VJOUBOB MF PDUPCSF t .BUIJFV 1BSBTDBOEPMB FU 4BSBI ;PVBJNJB MF PDUPCSF t (BCSJFM "VHJFS FU ²WFMZOF %PWJT MF PDUPCSF t 'FUJI #FOEKFEEPV FU 3BDIJEB .PVOJS MF C’EST MA VIE ! GENS D’ICI Portrait FLAVIE PINET DANS LE MILLE Pourquoi la sarbacane ? .POQÒSFGBJUQBSUJFEVDMVCEFT"SDIFSTEFMB$SBV EF.JSBNBT-PSTEVOFDPNQÏUJUJPOKBJFTTBZÏFU cela m’a plu. Dimanche 6 juillet, les nuages menaçants au-dessus d’Ancelle, dans les Hautes-Alpes, se sont transformés en rayons de soleil lorsque Flavie Pinet est montée sur le podium pour être sacrée championne de France de sarbacane. Comment devient-on championne ? +FNFOUSBÔOFUSPJTIFVSFTQBSTFNBJOF.BJTKBJTVS UPVUMBDIBODFEÏWPMVFSEBOTVODMVCPáJMZBVOF bonne ambiance, avec des entraîneurs, André Bagnol FU(JMCFSU%PMDFNBTDPMPUSÒTTZNQBTFUBVTTJEF partager des moments privilégiés avec mon père. Flavie, adolescente de 12 ans qui sait laisser ses UFOVFTDPRVFUUFTBVWFTUJBJSFQPVSTFUSBOTGPSNFS FO WÏSJUBCMF TQPSUJWF B VOF GPJT EF QMVT QSPVWÏ sa détermination. Dans sa catégorie, celle des Ή BOT MPST EF MB NBOJGFTUBUJPO OBUJPOBMF PSHBOJTÏF QBS M6GPMFQ FMMF B SÏBMJTÏ MF TDPSF impressionnant de 993/1040 sur cible et 270/480 TVSBOJNBVYGBDUJDFT6OQBMNBSÒTÏUPêÏQBSVOF deuxième place en équipe jeune-adulte. PDUPCSF t +ÏSÏNZ ;BNNJU FU .PSHBOF $VDVQIBUMFPDUPCSFt.BEJI4BCSFFU 4BNJSB&M)BJTTPVëMFPDUPCSFt'BCJFO #FSSFUUBFU+FOOJGFS7FMBMFPDUPCSF Ils nous ont quittés : $ISJTUJBO 1BTRVJ BOTMFKVJMMFUt"OUPJOFUUF3JDDJBSEP WFVWF#PSHBOTMFKVJMMFUt(BFUBO 1POUJEB BOT MF KVJMMFU t 'SBODJT $BUBMEPBOTMFKVJMMFUt"CEFMLBEFS $IJCJBOTMFKVJMMFUt.PIBNNFE #FOBZBEBBOTMFKVJMMFUt"OUPJOFUUF -PQF[WFVWF6UUXJMMFSBOTMFBPßUt Henriette Hinaut veuve Dumont, 75 ans, MFBPßUt$ISJTUJOF(SBOHFWFVWF1FSSFU Des compétences particulières ? Non, simplement beaucoup de souffle et une bonne concentration. Une anecdote ? 6OFGPJTNPOFOUSBÔOFVS"OESÏBBDDSPDIÏVOF NPVDIFFOQMFJOWPMFOTPVð BOUTPOEBSE2VFM exploit ! BOTMFBPßUt)ÏMÒOF#SÏHOZBOTMF BPßUt+PTFQI3BZBOTMFBPßUt "MJDF1BTDBMWFVWF'BOPBOTMFΉBPßU t.POJRVF4BOOBWFVWF"WWPDBUPBOT MF BPßU t (BCSJFM #SFOHVJFS Ή BOT MF Ή BPßU t .BSDFM ɨ PNBT BOT MF Ή BPßU t 4JNPOF #BVEPJO WFVWF 1JOÎPO BOTMFBPßUt)VPOH5SBOBOT EÏDÏEÏ MF BPßU t +FBO1JFSSF 7BMMÒT ΉBOTMFBPßUt'SBODJT4FSSFBOT MFBPßUt(JMCFSUF#FSHFSFUWFVWF#VUUFU BOTMFBPßUt+BDRVFT#SJTTPOΉBOT MF Ή BPßU t $BSTUFO .FTTOFS KPVST MF Ή BPßU t #FSOBSE #SVOFU BOT MF ΉBPßUt/BUMJOB1FSMFUUJWFVWF%PBOT MFBPßUt&SOFTU1PWFEBBOTEÏDÏEÏ MFTFQUFNCSFtɨ JFSSZ#MFSWBRVFΉBOT MF TFQUFNCSF t "MESFEP .BOEBHMJP ΉBOTMFTFQUFNCSFt1JFSSFUUF$PMNBOU ÏQPVTF -FDPNUF BOT MF TFQUFNCSF t .BSD ɨ PSFBV BOT MF TFQUFNCSF t +BDRVFT3FOBVEBOTMFTFQUFNCSFt (JTÒMF3JDIFSBUFBVWFVWF$BZFBOTMF TFQUFNCSF t 'MPSFOU (VJEJDJ BOT MF TFQUFNCSF t 3BZNPOEF %FZNJFS WFVWF(JMBCBSUBOTMFTFQUFNCSFt )VHVFUUF'FSSBOUFÏQPVTF(VJHVFΉBOT MF TFQUFNCSF t 'BUNB )BNBEPVDIF WFVWF .FMMBL BOT MF TFQUFNCSF t +FBOOF $MBSBD WFVWF .BVSJO BOT MF TFQUFNCSF t .BSDFM #PWBSE BOT MFTFQUFNCSFt4JNPOOF3PVTTFMWFVWF (SÒ[FT BOT MF TFQUFNCSF t 4BOJZF %FSJDJÏQPVTF&TFOBOTMFPDUPCSFt 1BVM.BSUJOJBOTMFPDUPCSFt3PCFSU 3PNÏSP BOT MF PDUPCSF t 3PMBOEF ɨ PNBTTPU WFVWF 'PVSOJFS BOT MF ΉPDUPCSFt)VHVFUUF%FMQVFDIBOTMF PDUPCSFt'SÏEÏSJD$PSCBOJOJBOTMF PDUPCSFt MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 9 C’EST MA VIE ! GENS D’ICI Portrait NIKITA VALENZA SOUS UNE BONNE ÉTOILE Comment l’univers a commencé, c’est ce que cherchent les physiciens du Cern (centre européen pour la recherche nucléaire). C’est aussi ce que cherche à savoir Nikita, Miramasséenne de onze ans et demi. Le personnage %BOTTPOCFSDFBVEÏKË/JLJUBÏDBSRVJM MBJUMFTZFVYFUSFTUBJUÏNFSWFJMMÏFMPSTRVF -BVSFODFTBNBNBOPVWSBJUMBGFOÐUSF laissant entrevoir la lune et les étoiles. À RVBUSFBOTFMMFQBSMFEÏKËEVTZTUÒNFTPMBJSF et des constellations, qu’elle peut même nommer en latin. Actuellement en 5e au DPMMÒHF"MCFSU$BNVTFMMFFTUTPVUFOVFQBS TBGBNJMMFEPOUTFTRVBUSFTVST/JLJUB BTTPVWJUTBTPJGEFDPOOBJTTBODFTVSMPSJHJOF EFMBWJFTBQQVZBOUTVSEFTSFWVFTTDJFOUJ ëRVFTFUTFTQSPQSFTSFDIFSDIFT6OFNQMPJ EVUFNQTSZUINÏQBSCFBVDPVQEFMFDUVSF des leçons de piano et un peu de sport “pour faire plaisir à mes parents”. La passion La création de l’univers. Quand ses amis regardent les dessins animés, elle, visionne MFTÏNJTTJPOTEFTGSÒSFT#PHEBOPWFUTVJU BWFDJOUÏSÐUMFVSUIÏPSJFEV#JHCBOH4PO but, découvrir ce qui se passe lorsque les particules entrent en collision, être en mesure d’expliquer pourquoi les protons et les électrons ont une masse, pouvoir accéder VOKPVSËMBDDÏMÏSBUFVSEFQBSUJDVMFTMFQMVT QVJTTBOUDFMVJEV$FSOFO4VJTTFGBJSF découvrir au monde entier le Boson EF)JHHT1PVSRVPJ &MMFOFQPVSSBJU MFYQMJRVFSNBJTDFTTVKFUTMBGBTDJOFOU La visite au Cern 4BTVSBÔOÏF*TBCFMMFDPOUBDUF.BVSJ[JP Bona, conseiller du directeur général du $FSO5PVDIÏQBSTPOJOUÏSÐUQPVSMFT travaux de son organisation, il demande RVF/JLJUBÏDSJWFBVEJSFDUFVSHÏOÏSBM 3PMG)FVFS&MMFFTUJOWJUÏFFOKVJMMFUQPVS QBSUJDJQFSËVOFWJTJUFEFMÏUBCMJTTFNFOU commentée par un scientifique, UIÏPSJRVFNFOUSÏTFSWÏFBVYBEVMUFT Concours de nouvelles ®WPTQMVNFTFUSFOEF[WPVTMFGÏWSJFSQPVSDPOOBÔUSFMFTDIPJYEVKVSZ 1BSBMMÒMFNFOUËMBNBOJGFTUBUJPO.-JSFPSHBOJTÏFQBS0VFTU1SPWFODFFU dans le cadre de la Fête de la Fraternité, le concours de nouvelles s’ouvre Ë WPVT EÒT BVKPVSEIVJ TVS MF UIÒNF EF MB GSBUFSOJUÏ /PVT BUUFOEPOT WPT SÏDJUT MF KBOWJFS EFSOJFS EÏMBJ BV TFSWJDF DPNNVOJDBUJPO *MT devront être présentés en version imprimée et en version électronique. 7PVT USPVWFSF[ MF SÒHMFNFOU DPNQMFU TVS MF TJUF www.miramas.org. Les bulletins d’inscription sont disponibles au service communication, ËMPï DFEFUPVSJTNFFUËMBNÏEJBUIÒRVF $PNNF/JLJUBEFTTJOFBVTTJUSÒTCJFODFTU elle qui avait illustré la nouvelle Les cœurs de Valentin rédigée par la classe de 6e$EV DPMMÒHF"MCFSU$BNVTPSHBOJTÏFEBOTMF DBESFEF.-JSFVOFNBOJGFTUBUJPOMJUUÏSBJSF SÏTFSWÏFBVYDPMMÏHJFOTFU$. UNE VILLE, DES VIES L’équipe de salariés de la Ligne de Faire éditent un troisième PVWSBHFTVS.JSBNBT*MUSBJUFEFWPVTBVUSBWFSTEFRVBSBOUF EFVY QPSUSBJUT EF .JSBNBTTÏFOT 1PVS SFODPOUSFS DFVY RVJ TFYQSJNFOUEBOTDFMJWSFFUDFVYRVJMPOUGBCSJRVÏSÏEBDUFVST QIPUPHSBQIFT HSBQIJTUFT VO TFVM MJFV FU VOF TFVMF EBUF *MT dédicaceront Miramas, une ville des vies le jeudi 27 novembre Ë I BV $PNEJB SVF 7BJMMBOU$PVUVSJFS BMPST RVF MB OPVWFMMF ÏRVJQF FMMFT DIBOHFOU UPVT MFT TJY NPJT EF WJOHU RVBUSFTBMBSJÏTUSBWBJMMFEÏKËËVOFRVBUSJÒNFÏEJUJPO Service communication : 14, avenue Marius-Chalve. Tél. : 04 90 17 48 38. 10 La surprise Devant ses connaissances et son engoueNFOU.BVSJ[JP#POBEFNBOEFË/JLJUBEF MFTVJWSFFOTBMMFEFSÏVOJPO&UMËTVSQSJTF “M. Bona m’a présenté M. Heuer. Je lui ai répondu qu’il n’avait pas besoin de me dire qui il était car c’est mon idole. Un peu comme si mes copines rencontraient Justin Bieber !” MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 C’EST MA VIE ! NOS LYCÉENS DANS “PHOSPHORE” JEUNESSE Éducation Phosphore est un mensuel destiné aux lycéens. Dans le cadre de la dernière manifestation M’Lire, plusieurs élèves du lycée Jean-Cocteau se sont prêtés au jeu du micro-trottoir. Micro-trottoir , , Si vous etiez du sexe oppose ? Recueilli à Miramas, par Isabelle Verbaere. Photos Bernard Tribondeau J’aurais beaucoup plus de liberté. Dans mon milieu, les garçons peuvent rentrer tard, s’habiller comme ils veulent, fumer… sans se prendre de remarques. Linda Je me permettrais plus d’excentricités. Je porterais des jeans troués, une casquette, des grosses baskets. Les filles n’osent pas parce qu’elles ont plus peur d’être ridicules. Léa Je ne me prendrais pas la tête avec mon physique. J’accepterais mes kilos en trop, mes boutons. J’aurais plus confiance en moi : plus naturelle, spontanée et mieux dans ma peau que la plupart des filles. Martial J’oserais faire le premier pas... Moi, je n’ose pas, j’ai peur d’être ridicule si je montre mes sentiments. Coline Je passerais mon temps avec les filles. Je serais rassurant, protecteur avec elles. Les amitiés entre gens de sexe opposé sont plus fortes, parce qu’on ne se juge pas, on n’est pas dans la compétition. Ophélie Je défendrais la cause des femmes car il reste beaucoup d’inégalités. Elles occupent peu de postes à responsabilités, sont victimes de violences, notamment conjugales. Trystan Dans l’édition du mois de juillet, on pouvait reconnaître des Miramasséens qui avaient traWBJMMÏ BWFD %BWJE (SPJTPO SÏEBDUFVS FO DIFG EF Phosphore TVS MF UIÒNF i4J KÏUBJT VO HBSÎPO TJ j’étais une fille...”. 4J MF NBHB[JOF B WPDBUJPO Ë USBJUFS EFT TVKFUT RVJ DPODFSOFOU MJOGPSNBUJPO MÏEVDBUJPO FU MFT MPJTJST JM FTTBZF FTTFOUJFMMFNFOU EBDDPNQBHOFS MFT KFVOFT FO TBQQVZBOU TVS EFT FYQÏSJFODFT6OFBJEFQPVSMFTBOTËBJHVJTFS son regard sur le monde, être tolérant, développer TB QFSTPOOBMJUÏ DIPJTJS TPO PSJFOUBUJPO 6O PVUJM dans lequel les sujets sont traités de concert avec les MZDÏFOT-BEPMFTDFODFFTUVOFÏUBQFDIBSOJÒSFEBOT MBDPOTUSVDUJPOEFDIBRVFJOEJWJEVFMMFFTUMFNPment de l’autonomie dans le travail et des premiers grands enjeux d’orientation, mais aussi le temps des amis, des nouvelles relations, de la curiosité et de la DPNQSÏIFOTJPOEVNPOEFRVJOPVTFOUPVSF6OF aventure qui leur aura permis de voir les rouages de la construction d’un journal. PHOSPHORE ‹ 7 › JUILLET 2014 C’est un magazine dans lequel les jeunes s’adressent aux jeunes. Ce sont des journalistes professionnels qui rédigent la plupart des articles, mais on met en avant des jeunes, des lecteurs, au travers de portraits, de témoignages, d’ interviews... Il y a quelques années, nous parlions beaucoup des études et d’orientation, mais nous sommes vraiment devenus un magazine d’actualité. David Groison, SÏEBDUFVSFODIFG J’ étais contente qu’on ait diffusé mon avis. J’ai beaucoup aimé les photos. Ophélie. L’expérience a été agréable et amusante. Je ne savais pas comment il fallait poser et cela m’a beaucoup stressé. Quand je parlais à la journaliste, ce n’ était pas simple de trouver les bons mots pour être clair. Vladyslav. La séance de photos, c’ était génial et j’ étais contente de me voir dans un magazine ! Par contre, j’ai trouvé difficile de dévoiler son ressenti face aux questions. Linda. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 11 C’EST MA VIE ! JEUNESSE Éducation FONTLONGUE PARTENAIRE PARTICULIER Au-delà des enseignements généraux, Thierry Quere, le proviseur du lycée Fontlongue, souhaite donner à ses élèves toutes les chances de réussir leur vie active. La formation accompagnement ® SBJTPO EF USPJT IFVSFT EFOTFJHOFNFOU QBS TFNBJOF QFOEBOU MF QSFNJFSUSJNFTUSFMFTÏMÒWFTEFMBëMJÒSF4BQBUBJEFËMBQFSTPOOFFU BVYUFSSJUPJSFT CÏOÏëDJFOUEFTDPOOBJTTBODFTEVQSPGFTTFVSFODPNNVOJDBUJPO.JDIÒMF.BSDFMMJOFUEFMJOUFSWFOBOU.JDIFM.BHBVE TQÏDJBMJTÏFOSFTTPVSDFTIVNBJOFTFUDPBDIJOH -FQSPWJTFVSTBESFTTFËMBDMBTTF“Ce module me tient particulièrement à cœur. La connaissance de soi et celle d’autrui est un atout non négligeable dans cette filière. Ce nouvel enseignement vous permettra de savoir maîtriser vos émotions ainsi que celles des autres, de gérer des situations complexes en milieu professionnel. Il étoffera votre CV. Il faudra savoir vous mettre en valeur lors des entretiens et j’espère sincèrement que votre participation à ce nouveau module vous aidera dans votre vie quotidienne !” Journées portes ouvertes 4BNFEJGÏWSJFSEFIËI 4BNFEJBWSJMEFIËI)PSUJGPOUMPOHVF 4BNFEJNBJEFIËI 12 Opération prévention ®MBEPMFTDFODFMBSFDIFSDIFEFTPJFUMFCFTPJOEÐUSFBDDFQUÏQBSTFT pairs sont présents. Les jeunes assimilent la consommation de proEVJUTBEEJDUJGTËVONPZFOEBOJIJMFSUJNJEJUÏFUDPNQMFYFT4VJUFBV “constat désolant d’une consommation excessive de tabac”, Frédéric Della .BHHJPSF +FBO-PVJT $BEPSF -JTF %VNPVMJO FU +FBO&NNBOVFM -FGÒWSFÏEVDBUFVSTFOWJFTDPMBJSFPOUJOUFSQFMMÏMFTKFVOFTTVSMFTSJTRVFT EFT BEEJDUJPOT Ë MBMDPPM BV UBCBD FU BV DBOOBCJT *MT TPVIBJUFOU MFVS GBJSFQSFOESFDPOTDJFODFEFTSJTRVFTFODPVSVT$FUUFTFOTJCJMJTBUJPOFTU BQQVZÏFQBSMFTUÏNPJHOBHFTFUDPOTFJMTEJOUFSWFOBOUTQBSUJDVMJÒSFNFOU DPODFSOÏT EF MB NBJTPO EFT BEPMFTDFOUT .%" FU EF MBTTPDJBUJPO OBUJPOBMF EF QSÏWFOUJPO FO BMDPPMPHJF FU BEEJDUPMPHJF "/1"" BJOTJ RVFQBSMBQSPKFDUJPOEFSFQPSUBHFTBV$PNEJB6OFTPJSÏFEÏCBUQPVS MFTQFOTJPOOBJSFTPSHBOJTÏFMB.%"FUM"/1""BQFSNJTËDIBDVOEF s’exprimer librement. Partenaire des projets municipaux La municipalité en appelle aux Miramasséens pour deux projets : .JSBNBTTÏFOTEVNPOEFFU1IPUPEFGBNJMMF-BDMBTTFEFUFSNJOBMF 4BQBUBQBSUJDJQÏBVYSFDIFSDIFTVOFBJEFQSÏDJFVTFRVJBVSBQFSNJTË la mairie de trouver des volontaires et aux élèves d’élaborer un projet qui s’inscrit dans leur cursus. “Nous avons rédigé un flyer de façon collégiale et sur le terrain, nous avons dû faire preuve de persuasion” confie .BYJNFÏMÒWFEFUFSNJOBMF2VBOUË-BFUJUJBCÏOÏWPMFËMB.+$ “Pour trouver des participants, je me suis appuyée sur les réseaux sociaux ainsi que sur mon réseau de proximité. Une belle expérience.” MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 C’EST MA VIE ! JEUNESSE Éducation NOUVELLE RENTRÉE, NOUVELLES DIRECTRICES Deux professeurs des écoles ont pris leur fonction de directrices à Garouvin et à Miramas-le-Vieux. Rencontres. Laurence Fourès à Miramas-Village Les vœux de la nouvelle directrice ont été FYBVDÏTUSBWBJMMFSOPOMPJOEFDIF[FMMFEBOT VOFQFUJUFÏDPMFBWFDEFTFOGBOUTFOCBTÉHFFU EBOTVODBESFJEZMMJRVF“Toutes les conditions sont réunies pour que je sois heureuse”1PVSTPO premier poste de direction, Laurence Fourès TPDDVQF EF TFJ[F ÏMÒWFT EPV[F FO HSBOEF section de maternelle et quatre en cours préparatoire : “Malgré la gestion de l’enseignement et la direction, je peux vraiment me concentrer sur l’apprentissage et avoir un rapport privilégié avec chaque élève, à qui j’apprends l’autonomie. C’est la configuration idéale.”1PVSDFUUF BOOÏF TDPMBJSF Ë QFJOF FOUBNÏF MJOTUJUV trice a des projets : “qui tournent tous autour de l’environnement, du cinéma et du théâtre, une envie de jardin potager dans l’enceinte de l’ école, avec des prolongements à Cabasse et à la Poudrerie dont la proximité est un atout”. Enfin, Laurence Fourès juge “ important de garder les villages vivants”. Une école au sein EFDFMVJEF.JSBNBTMF7JFVYSÏQPOEËDFUUF attente. Sophie Sauvi-Eyraud à Garouvin 1PVSTPOQSFNJFSQPTUFEFEJSFDUJPO4PQIJF 4BVWJ&ZSBVE FTU DPNCMÏF “C’ était mon vœu numéro un, après sept ans en brigade [les titulaires remplaçants de l’ éducation nationale, NDLR] à Miramas, Saint-Chamas et Berre”. Dans cette petite école qui regroupe vingt- USPJTÏMÒWFTEFQFUJUFFUNPZFOOFTFDUJPOEF NBUFSOFMMFMFOTFJHOBOUFGBJUUPVU“y compris la cantine”. Dans un cadre “qui donne envie de réaliser des tas de choses”MJOTUJUVUSJDFGFSB découvrir les environnements et le milieu GPSFTUJFSËTFTUSÒTKFVOFTÏDPMJFST“ des sorties à Cabasse, au bord de la mer et des élevages d’escargots, de chenilles, de papillons”. Et le 1&%5 FTU CJFO FOUFOEV DPIÏSFOU BWFD TPO projet : du jardinage dans les bacs de la cour. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 13 C’EST MA VIE ! QUARTIERS COMME AU MOYEN ÂGE Derrière les étals, sur le campement de Miramas-le-Vieux, damoiselles et gueux ont GBJUMFTQFDUBDMFFODFCFBVXFFLFOEEVΉFU BPßU 1FOEBOU MFT .ÏEJÏWBMFT PSHBOJTÏFT par la municipalité avec le concours de La Terra de Miramaris et l’implication active EFT DPOTFJMT EF RVBSUJFS EFT $PMMJOFT FU EFT 2VBUSF$IFNJOTMBQMPOHÏFEBOTMFTTJÒDMFT 14 passés était de mise. Elles ont permis au public (on dénombrait plus de 15 000 visiteurs BVTPJSEVEJNBODIF EFSFWJWSFMFRVPUJEJFO EFT BSUJTBOT DIFWBMJFST QBZTBOT BSDIFST DBMMJHSBQIFT GBVDPOOJFST FU TFJHOFVSTy tous revêtus de répliques exactes des tenues d’époque pour couvrir une période de dix siècles. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 1BS MFVST DPOOBJTTBODFT MFT TQÏDJBMJTUFT POU CBMBZÏ EVO HFTUF MFT JEÏFT SFÎVFT &OUSF défilés, ateliers, combats, ripailles, spectacle EFGFVFUSFODPOUSFTMJNNFSTJPOMVEJRVFFU JOTUSVDUJWF EBOT MF .PZFO ¬HF FO B ÏUPOOÏ plus d’un. C’EST MA VIE ! MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 15 C’EST MA VIE ! CONSEIL DE QUARTIER LA CRAU Tél: 06 83 40 35 57 ou [email protected] "QSÒTBWPJSTVJWJEFUSÒTQSÒTDFSUBJOFTSÏIBCJMJUBUJPOTMFDPOTFJM BDSÏÏVOFDPNNJTTJPODPNQPTÏFEIBCJUBOUTFUEFNFNCSFTEF MBNJDBMFEFTMPDBUBJSFTEFT$BSBWFMMFT.BJMMF QPVSQBSUJDJQFS FUWFJMMFSËMBSÏIBCJMJUBUJPOEFTMPHFNFOUT%FTUSBWBVYRVJ concerneront le bâti, prérogative de 13 Habitat, la voirie et le moCJMJFSVSCBJOEÏQFOESPOUEFMBNVOJDJQBMJUÏ6OFEÏNBSDIFRVJ vise toujours le mieux-vivre ensemble. CONSEIL DE QUARTIER DE LA GARE [email protected] Le nouveau président du conseil de RVBSUJFSEFMB(BSF-VEPWJD3PVMFUB SÏDVQÏSÏMFTEPTTJFSTEVDPOTFJMËMBSFO USÏF-FTNFNCSFTBVSPOUQPVSPCKFDUJG d’étudier différentes possibilités pour améliorer la circulation sur l’avenue .BSÏDIBM+VJO Ludovic Roulet, le nouveau président du conseil de quartier de La Gare. CONSEIL DE QUARTIER DE LA LEVÉE [email protected] Les membres du conseil continuent leur réflexion sur la circulation EFMBSPVUFEFT$IJSPOT*MTFONÒOFOUVOFBVUSFFOQBSUFOBSJBUBWFD MFTIBCJUBOUTEVRVBSUJFSFUMBNVOJDJQBMJUÏTVSMBNÏOBHFNFOUEV QBSDEF-B$BSSBJSF6OBNÏOBHFNFOUFOEJSFDUJPOEFMBKFVOFTTF QUARTIERS VOS CONSEILS DE QUARTIER IMAGINENT 2015 CONSEIL DE QUARTIER LES COLLINES Quelques membres du conseil de quartier Les Collines ont joué le jeu pendant les Médiévales. Vos cinq conseils de quartiers sont des lieux d’information où débats et réflexion sur la vie de quartier deviennent projets d’aménagement et d’amélioration. Après la naissance des conseils de quartier en 2009, les membres ont TV EÏWFMPQQFS MB QBSUJDJQBUJPO DJUPZFOOF -FT DPOTFJMT EF RVBSUJFS TPOU EFWFOVT GPSDF EF QSPQPTJUJPOT BVQSÒT EF MB NVOJDJQBMJUÏ "VEFMË EFT SÏVOJPOT NFOTVFMMFT RVJ QFSNFUUFOU BVY IBCJUBOUT EF TFYQSJNFS FU EFTTBZFSEFUSPVWFSEFTTPMVUJPOTDIBDVOBMBQPTTJCJMJUÏEFTPVNFUUSF TFTJEÏFTFOSFODPOUSBOUMFTNFNCSFTTVSMFUFSSBJOPVFOQSFOBOUSFOEF[ WPVTQBSDPVSSJFMPVQBSUÏMÏQIPOF"VRVPUJEJFOWPTDPOTFJMTEFRVBSUJFS SFTUFOUQSÒTEFWPVTGBWPSJTBOUMBEÏNPDSBUJFEFQSPYJNJUÏ*MTPOUFOUFOEV MFTEFNBOEFTEFDIBDVOFUWPJDJRVFMRVFTQSPKFUTQPVS 16 [email protected] Les membres seront des relais privilégiés lors des importants traWBVYEBTTBJOJTTFNFOUEFTRVBSUJFST&TU%FGBÎPOQMVTMVEJRVF BQSÒTBWPJSBJEÏËMPSHBOJTBUJPOEFT.ÏEJÏWBMFTBVYDÙUÏTEF-B 5FSSBEF.JSBNBSJTDFSUBJOTTPVIBJUFOUEÏWFMPQQFSVOFBTTPDJB UJPOEFDPVUVSFQPVSDSÏFSEFOPVWFBVYDPTUVNFT-FΉNBJMFT EÏQFOEBODFTEF$BCBTTFBDDVFJMMFSPOUMBQSFNJÒSF'ÐUFDIBNQÐUSF RVJGBJUTVJUFËVOFEFNBOEFEFQMVTJFVSTIBCJUBOUT CONSEIL DE QUARTIER LES 4-CHEMINS [email protected] Les membres continuent de prendre en compte les demandes EF DIBDVO FTTFOUJFMMFNFOU CBTÏFT TVS MB WPJSJF *MT ÏUVEJFOU BWFDMBQPQVMBUJPOMFTNPEJëDBUJPOTËBQQPSUFSBVYQSPDIBJOFT .ÏEJÏWBMFTQPVSTBUJTGBJSFMFTSÏTJEFOUTEV7JFVY.JSBNBT Plus de renseignements sur www.miramas.org. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 GRAND ANGLE Santé publique LA SANTÉ, UNE PRIORITÉ ! La politique de santé publique ne doit pas seulement lutter pour l’absence de maladies. Elle doit plus largement favoriser un état général optimal de chaque habitant : physique, mental et social. Cet objectif global de bien-être de la population miramasséenne est au cœur du projet porté par l’équipe municipale. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 17 GRAND ANGLE Santé publique “Depuis 2009, indique 'FSOBOEF3FZOBVE, DPOTFJMMÒSFNVOJDJQBMFEÏMÏHVÏFËMBTBOUÏ, la ville s’est engagée dans une démarche active et globale de santé publique, bien au-delà de ses strictes compétences communales, parce que les enjeux sont fondamentaux pour l’avenir de Miramas”. Actions de prévention, promotion de la santé, soutien de ses acteurs, développement et diversification de l’offre médicale, GBDJMJUBUJPO EF MBDDÒT BVY TPJOT QPVS UPVTFUËUPVTNPNFOUTMBWJMMFFTUTVS UPVT MFT GSPOUT &MMF JOUFSWJFOU DPNNF DPPSEPOOBUFVSFUGBDJMJUBUFVSEFTJOJUJB UJWFTNFOÏFTQBSMFTQSPGFTTJPOOFMT&MMF mobilise et responsabilise aussi tous les IBCJUBOUT L’ATELIER SANTÉ VILLE -BUFMJFS TBOUÏ WJMMF "47 FTU MF EJTQPTJUJG de coordination des politiques de santé publiques et de lutte contre l’exclusion. Après l’élaboration d’un diagnostic et d’un plan local de santé publique, en collaboration avec les BDUFVST TBOJUBJSFT TPDJBVY FU ÏEVDBUJGT EV UFSSJUPJSF MB NVOJDJQBMJUÏ B GBWPSJTÏ MF EÏWF loppement des actions mises en œuvre par MFT QSPGFTTJPOOFMT BTTPDJBUJGT JOTUJUVUJPOOFMT 18 ou libéraux, et a mobilisé les financements nécessaires. “Le financement se fait essentiellement sur des crédits de l’agence régionale de santé (ARS), sur des crédits spécifiques dans le cadre du contrat de ville et sur différents appels à projets de collectivités territoriales, principalement la Région”FYQMJRVF'FSOBOEF3FZOBVE Le plan local de santé publique 2011-2014, qui se termine, définissait quatre priorités : MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 MBTBOUÏEFTFOGBOUTEFTKFVOFTFUEFTGBNJMMFT celle des publics précarisés, la lutte contre les addictions et enfin l’alimentation et l’activité QIZTJRVF “Cinquante-huit actions de prévention, promotion de la santé et accès aux soins ont été menées. Un nouveau plan se profile auquel les professionnels du territoire seront étroitement associés” conclut la conseillère municipale. GRAND ANGLE Santé publique QUELQUES EXEMPLES D’ACTIONS Vers de nouvelles modalités de prise en charge des addictions Une structure de soin en addictologie a été NJTFFOQMBDFËMBNBJTPOEFTBOUÏ-ÏRVJQFFTU DPNQPTÏFEVOQTZDIPMPHVFFUEVOUSBWBJMMFVS social qui interviennent en collaboration avec VONÏEFDJOHÏOÏSBMJTUF$FEJTQPTJUJGJOOPWBOU FU BDDFTTJCMF QFSNFU VOF QSJTF FO DIBSHF globale et coordonnée : médicale, sociale et QTZDIPMPHJRVF Un réseau de soins et de prévention des maladies chroniques liées à l’alimentation "QQPSU TBOUÏ BODJFOOFNFOU %JBCBJY FTU VO SÏTFBVEFQSJTFFODIBSHFFUEFQSÏWFOUJPOQPVS MFT NBMBEJFT DISPOJRVFT MJÏFT Ë MBMJNFOUBUJPO -FTQSPGFTTJPOOFMTEFDFSÏTFBVJOUFSWJFOOFOUFO lien avec les médecins généralistes qui le souIBJUFOU QPVS VOF QSJTF FO DIBSHF DPPSEPOOÏF EFTQBUJFOUTBUUFJOUTEFEJBCÒUFPVEIZQFSUFOTJPOQBSFYFNQMF$FSÏTFBVQSPQPTFEFTUFNQT EÏEVDBUJPO UIÏSBQFVUJRVF BJOTJ RVF EFT DSÏOFBVYEBDUJWJUÏQIZTJRVFBEBQUÏFËMB.BJTPO SÏHJPOBMFEFTBOUÏBVDFOUSFTPDJBM(JPOPFUËMB Maison de santé. La Ville engagée dans le Programme national nutrition santé %FQVJT .JSBNBT GBJU QBSUJF EV programme national nutrition santé. La ville TFOHBHFBJOTJËEÏWFMPQQFSEFTBDUJPOTEFTFOTJbilisation et d’éducation nutritionnelle et veille Ë MB RVBMJUÏ EFT SFQBT EJTUSJCVÏT Ë MB DBOUJOF +BDRVFMJOF ɨÏSÏOÏ EJÏUÏUJDJFOOF BV TFSWJDF éducation jeunesse, a pu développer des actions EFGPSNBUJPOBVQSÒTEFTQFSTPOOFMTEFDBOUJOF ou encore mettre en œuvre des séances de sensibilisation et d’éducation nutritionnelle ludiques dans les écoles primaires de la ville. Les écoles (ÏSBSE1IJMJQF +FBO.BDÏ FU +FBO.PVMJO ont bénéficié de conseils sur l’amélioration du temps de pause méridienne. Toutes les classes EF MÏDPMF +PVSEBO FU EFVY DMBTTFT EF .BSDFM (SFTTFU POU TVJWJ EFT TÏBODFT EÏEVDBUJPO nutritionnelle. Éducation à la santé dans les collèges et lycées La Maison des adolescents 13 Nord développe EFTBDUJPOTËEFTUJOBUJPOEFTBOTEBOTMFT DPMMÒHFTMZDÏFTPVFODPSFMFTPSHBOJTNFTEFGPSNBUJPO$IBRVFBOOÏFFOWJSPODJORDFOUTKFVOFT bénéficient de ces campagnes de prévention et de sensibilisation, notamment sur les addictions, les questions de sexualité et de contraception, MBMJNFOUBUJPOFUMBDUJWJUÏQIZTJRVF Lieux d’accueil enfants-parents Trois lieux ont été ouverts au multi-accueil AnDFM-FOWPM EBOTMFTDFOUSFTTPDJBVY(JPOPFU -B$BSSBJSF-BNBJTPOEFTMVUJOT *MTSFÎPJWFOU MFT QBSFOUT FU MFVST FOGBOUT KVTRVË Ή BOT -FT BDUJWJUÏTQFSNFUUFOUEFQSÏQBSFSËMBTÏQBSBUJPO QPVSMFOUSÏFFONBUFSOFMMF*MTBHJUEFGBWPSJTFS MB SFMBUJPO QSÏDPDF FOGBOUTQBSFOUT EBOT VOFQFSTQFDUJWFEFQSÏWFOUJPOFUEFTPVUJFOËMB GPODUJPOQBSFOUBMF LE CENTRE DE SANTÉ MUTUALISTE LABELLISÉ MAISON RÉGIONALE DE SANTÉ “À notre initiative, le centre de santé mutualiste, où de très nombreux Miramasséens se soignent, a été en 2011, labellisé Maison régionale de santé pour élargir ses champs d’actions en faveur de la population” explique Frédéric Vigouroux, le NBJSFEF.JSBNBT$FUUF.BJTPOSÏHJPOBMFEF TBOUÏGBWPSJTFMFTTPJOTEFQSFNJFSTSFDPVSTBWFD des médecins généralistes, des spécialistes, des DIJSVSHJFOTEFOUJTUFT FU PSUIPEPOUJTUFT BJOTJ que des infirmiers et des auxiliaires médicaux, puis s’occupera aussi de la prévention, de la promotion de la santé et de l’accès aux soins. “La Maison régionale de santé informe et prévient en relayant par exemple les campagnes nationales comme celle d’Octobre Rose contre le cancer du sein ou héberge des permanences des associations Apport Santé/Diabaix ou encore Arcades”EÏWFMPQQF'FSOBOEF3FZOBVE MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 19 GRAND ANGLE Santé publique UNE NOUVELLE MAISON MÉDICALE A ALE PLURIDISCIPLINAIRE E “Faire face à la pénurie sanitaire qui se fait ressentir en ville” FTUMPCKFDUJGEV%r3FOÏ.FZFS qui vient d’ouvrir une Maison de santé avec deux médecins généralistes, deux infirmiers FU VOF TBHFGFNNF “Nous voulions répondre aux attentes de nos patients, proposer aussi le traitement des petites urgences et mettre en place notre relève” explique le médecin. Un praticien IPTQJUBMJFS FTU BSSJWÏ MF er octobre et quatre internes rnes les le rejoindront dront en e 2015. 2 “Nous pratiquons une médecine d’’ éq équipe avec l’idée de s’investir dans une politique de soins de prévention avec des actions sur le terrain. Puis dans un futur proche, j’espère que le dispositif pourra évoluer vers une maison pluridisciplinaire avec des soins de premier recours et des pôles Prévention et Gériatrique” DPODMVU3FOÏ.FZFS POUR UN DES MÉDECINS NOUVEL HÔPITAL LIBÉRAUX MOBILISÉS À SALON “La ville de Miramas nous apporte un soutien sans faille” EÏDMBSF +FBO-PVJT (BMJCFSU TFDSÏUBJSF HÏOÏSBM EF 'PSDF 0VWSJÒSF EF MIÙQJUBM EF 4BMPOEF1SPWFODF &O octobre 2013, le conseil municipal a voté Ë MVOBOJNJUÏ MB NPUJPO DPODFSOBOU MB DPOTUSVDUJPOEVOOPVWFBVDFOUSFIPTQJUBMJFS “Plus d’un Miramasséen sur deux a fréquenté l’ hôpital en 2012. C’est beaucoup. Défendre le projet d’un nouvel hôpital plutôt qu’une réhabilitation est clairement plus adapté aux besoins et moins coûteux. En plus, il rapprochera sans doute l’ hôpital de Miramas. L’ancien pourra fonctionner le temps de la construction, d’où notre total soutien” explique le maire RVJ FTU JOUFSWFOV BVQSÒT EV (PVWFSOFNFOU &U DPNNF MF QSÏDJTF +FBO-PVJT (BMJCFSU MF dossier avance : “Nous entrons dans une phase cruciale avec la présentation du dossier devant le comité interministériel de la performance et de la modernisation de l’off re de soin. La mobilisation doit être totale, il y a urgence. C’est l’affaire de tous et nous remercions encore tous les Miramasséens pour toutes les preuves de soutien qu’ils nous montrent à chacune de nos interventions. Vous y êtes sensibles, vous êtes mobilisés et toujours à l’ écoute, cet hôpital, c’est clairement aussi le vôtre” conclut-il. 20 “La démographie médicale est en baisse constante, souligne le Dr ²SJD /(VZFO NFNCSF EF MBTTPDJBUJPO 404 .JSBNBT Médecins. La situation est difficile mais avec une plus forte mobilisation de tous, on devrait pouvoir trouver une solution”. Très impliqué, le généraliste a participé avec EFT DPOGSÒSFT Ë EF OPNCSFVY SFOEF[WPVT avec l’agence régionale de santé. Le maire les accompagne toujours pour montrer que la population est aux côtés de ses médecins. “Nous sommes seize médecins en activité, douze à prendre des gardes et bien- tôt on devra faire face à de nouveaux départs en retraite. Il faut agir à tous les niveaux : renforcer le centre de santé, faire aussi preuve de plus de solidarité entre nous, rendre la ville attrayante pour que les professionnels de la santé s’y installent et peut-être trouver un autre système de fonctionnement pour les gardes. Il faut agir tous ensemble et maintenant”DPODMVU²SJD/(VZFO En pratique Centre de santé mutualiste-Maison régionale de santé : BWFOVF+FBO.FSNP[5ÏM PV Centre social Giono : place des Baladins. Tél. : 04 90 50 30 50. Maison de santé (et Amis de la médecine sociale à Miramas) : QMBDFEFT7FOUT1SPWFOÎBVY Tél. : 04 42 86 88 18. L’Envol :BWFOVFEV.BSÏDIBM+VJO Tél. : 04 90 58 49 99. Maison des adolescents 13 Nord : QMBDFEFT7FOUT1SPWFOÎBVY Tél. : 06 33 19 81 66. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Centre social La Carraire : place du Foirail. Tél. : 04 90 50 09 79. Médecin de garde et Samu : 15. Urgences chirurgiens-dentistes : 0 892 566 766. Pompiers : 18. ÉCONOMIE DE NOUVEAUX MÉTIERS SUSCITENT DES VOCATIONS EMPLOI Deux diagnostiqueurs immobiliers, Guillaume Bautheac et Jean-Luc Valenza proposent leurs services sur la commune. Adic Expertises CheckupImmo "ODJFONFOVJTJFSÏCÏOJTUFGPSNÏDIF[MFT$PN QBHOPOT EV EFWPJS (VJMMBVNF #BVUIFBD TFTU reconverti en 2013 comme spécialiste dans le diagnostic immobilier. “Le métier existe depuis un moment, mais il se démocratise. La législation autour de la vente ou de la location d’un bien évolue sans cesse. Je suis passionné par le monde du bâtiment et je dis souvent à mes clients qu’il ne faut pas voir notre visite comme une contrainte mais plutôt comme un véritable « plus » pour la vente.” Avec les DPOUSÙMFT IBCJUVFMT DPNNF MF %1& EJBHOPTUJD EFQFSGPSNBODFÏOFSHÏUJRVFPCMJHBUPJSFQPVSEFT ventes et ceux concernant l’amiante, le plomb, MFT UFSNJUFT FUD (VJMMBVNF #BVUIFBD QSPQPTF un diagnostic numérique et aussi des prestations de prévention. “Je propose des DPE volontaires pour connaître les points forts et faibles du logement avant d’entamer des gros travaux, mais aussi des audits « sécurité piscine », des diagnostics de plomb dans l’eau, etc. L’information et la prévention dans notre métier est tout aussi important” conclut le jeune entrepreneur d’Adic Expertises. “J’ai travaillé près de trente ans dans le bâtiment comme ancien conducteur principal de travaux, très clairement, le client peut être tranquille en ce qui concerne le diagnostic” explique +FBO-VD 7BMFO[B SFTQPOTBCMF EF MBOUFOOF NJSBNBTTÏFOOF EF $IFDLVQ*NNP PVWFSUF depuis le mois de septembre. Diagnostic de QFSGPSNBODFÏOFSHÏUJRVF%1& HB[QMPNC MPJ$BSSF[FUDQPVSMBWFOUFMBMPDBUJPOPV la construction... Les prestations sont nombreuses et complètes. “Pour coller au plus près des évolutions énergétiques, nous proposons aussi des attestations RT2012 qui encadrent les émissions de gaz à effet de serre. Avec cette nouvelle réglementation thermique, on peut nous demander, par exemple, de qualifier la qualité énergétique du bâti avant la construction, afin que le constructeur optimise au maximum les produits utilisés. On vient de lancer notre activité sur Miramas mais l’on espère ouvrir bientôt un local” DPODMVU+FBO-VD7BMFO[B Adic Expertises : 06 69 65 70 35. Site : http://www.adic-expertises.fr/ Disponible 7 jours/7. CheckupImmo Miramas : 07 82 67 99 38. Site internet : http://www.checkupimmo-miramas.com/ Disponible 7 jours/7. DES EMPLOIS POUR NOËL 1PVSWPVTBDDPNQBHOFSFï DBDFNFOUEBOTWPUSFSFDIFSDIFEFNQMPJMB NVOJDJQBMJUÏWPVTJOGPSNFRVFDFOUWJOHUQPTUFTEFNBOVUFOUJPOOBJSF BDDFTTJCMFTËUPVTTPOUËQPVSWPJSFOUSFMFer et le 26 décembre, pour VOFEVSÏFEFVOFËDJORTFNBJOFTEBOTVOFTPDJÏUÏJOTUBMMÏFË$MÏTVE Deux entreprises de travail temporaire assurent le recrutement : t"EFDDPSVFEFT'SÒSFT+PVSEBO4BMPOEF1SPWFODF Tél. : 04 90 44 04 44. t"EFRVBUCPVMFWBSEEV3PJ3FOÏ4BMPOEF 1SPWFODF Tél. : 04 90 17 62 20. 7PVT QPVWF[ ÏHBMFNFOU DPOUBDUFS MB NBJSJF BV TFSWJDF FNQMPJ PV USBOTNFUUSF WPUSF DBOEJEBUVSF QBS DPVSSJFM Ë OOP[FSBO!NBJSJFNJSBNBTGS Un troisième diagnostiqueur propose ses TFSWJDFTË.JSBNBT+PÑM.FSDBEFSSVF "MQIPOTF%BVEFU5ÏM PÉRISCOLAIRE 2014-2015 Des animateurs pour le périscolaire sont recrutés pour la rentrée 2014-2015. -FTEPTTJFSTTPOUËSFUJSFSFONBJSJF AIDE À LA PERSONNE %BOT MF DBESF EF MB TFNBJOF TFDUPSJFMMF EF MBJEF Ë MB QFSTPOOF MB .BJTPOEFMFNQMPJPSHBOJTFVOFKPVSOÏFËMBNBJTPOEFTBTTPDJBUJPOT MFNBSEJOPWFNCSF-BNBUJOÏFTFSBDPOTBDSÏFBVYJOGPSNBUJPOT TVSMFTNÏUJFSTFUMFTGPSNBUJPOTFUËVOFWJTJUFEVQMBUFBVUFDIOJRVF EVDPMMÒHF"MCFSU$BNVT-FTFNQMPZFVSTSFDSVUFSPOUMFTDBOEJEBUT pendant l’après-midi. 3FOTFJHOFNFOUT BVQSÒT EF MB .BJTPO EF MFNQMPJ BWFOVF +FBO .PVMJO 5ÏM QPVS DPOOBÔUSF MFT IPSBJSFT FU MFT plannings exacts. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 21 ÉCONOMIE COMMERCES LE FISAC, UNE AIDE AUX COMMERCES Plusieurs commerces du centre-ville ont pu bénéficier du dispositif intercommunal, le Fisac. 4045ÏMÏMBQÉUJTTFSJF"SHJPMBTMBCPVMBOHFSJF-BSUEVQBJOy-BMJTUF des commerçants qui ont pu lancer d’importants travaux grâce au Fisac, MFGPOETEJOUFSWFOUJPOEBOTMFTTFSWJDFTMBSUJTBOBUFUMFTDPNNFSDFT FTUMPOHVFWPJSDJEFTTPVT -F'JTBDQFVUÐUSFVUJMJTÏQPVSMBSÏOPWBUJPO EFTGBÎBEFTMFTÏRVJQFNFOUTMJÏTËMBTÏDVSJUÏMBNÏOBHFNFOUQPVSMBDDFTTJCJMJUÏBVYQFSTPOOFTIBOEJDBQÏFTFUËNPCJMJUÏSÏEVJUFFUFOëOBVY JOWFTUJTTFNFOUTSFMBUJGTËMBNPEFSOJTBUJPOEFTMPDBVY“Ce financement intercommunal aide nos commerces de proximité à valoriser leur magasin. C’est sans conteste une valeur ajoutée, qui a pour objectif d’attirer les Miramasséens dans notre centre-ville” explique Fadela Aoummeur, adjointe au maire déléguée au commerce et au Fisac. ILS ONT BÉNÉFICIÉ DU FISAC Des Témoignages 1PVS -VEPWJD -FCSFUPO NBÔUSFBSUJTBO FU QSPQSJÏUBJSF EV TBMPO &MÏNFOUh)BJSBVBWFOVF.BSJVT$IBMWF “Le Fisac est une belle initiative et une aubaine pour les commerçants. J’ai pu refaire la façade et revoir le système de surveillance. Dans peu de temps, le Village de marques va s’installer dans notre ville et il est important d’avoir de beaux commerces dans le centre-ville, ce qui va brasser plus de monde et donc plus de potentiels clients.” 1PVS(JMMFT.JOÏPQSPQSJÏUBJSFEV#BSEFT4QPSUTBWFOVF+FBO.PVlin. 1SPQSJÏUBJSFEV#BSEFT4QPSUTEFQVJTNBJOUFOBOUBOT(JMMFT.JOÏP EJUi(JMMPVwFTUSBWJEFTUSBWBVYRVJMBGBJUSÏBMJTFSFOKVJOEFSOJFSBWFD l’aide du Fisac. “C’ était vraiment très abîmé, la façade comme les fenêtres et la porte d'entrée. Et puis, ce qui est bien, c’est que ça m’a même donné l’envie de continuer la modernisation de mon bar en m’occupant de l’intérieur. C’est donc vraiment une très bonne chose” conclut le propriétaire du bar-restaurant. Bar O Mistral 3ÏOPWBUJPOEFMBTBMMFEFSFTUBVSBUJPO TZTUÒNFEFTÏDVSJUÏ Marianne Création *OTUBMMBUJPOEVOSJEFBVNÏUBMMJRVF Bar des Sports %FWBOUVSFDIBOHFNFOUEFMBQPSUFEFOUSÏF L’Orchidée 3FNJTFBVYOPSNFTÏMFDUSJRVFT Artistik Liberté Devanture, enseigne La Glacerie %FWBOUVSFBDDFTTJCJMJUÏ1.3 Pâtisserie Argiolas 4UPSFTSÏOPWBUJPOJOUÏSJFVSFDIBOHFNFOU de la porte d’entrée SOS Télé Devanture, enseigne, rénovation intérieure L’art du pain 3FNJTFBVYOPSNFTÏMFDUSJRVFTEFWBOUVSF Body Gym Devanture, enseigne, rébovation des sanitaires Martine et Sylvie Électricité, rideau métallique, peinture intérieure Chich’n Snack %FWBOUVSF8$1.3 Conduite Euro 2000 1PSUFEFOUSÏFFUQPSUFEBSSJÒSFCPVUJRVF Mira’Ménager Enseigne, vitrine, rénovation intérieure, remise aux normes électriques Element’Hair %FWBOUVSFSJEFBVNÏUBMMJRVFTZTUÒNFEF vidéosurveillance -BTVCWFOUJPOEFFTUQSJTFFODIBSHFËQBSMF4"/ 0VFTUΉ1SPWFODFFUËQBSM²UBU * Personnes à mobilité réduite 22 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 COMMERCES ANIPROMAUX PLUS QU’UN MÉTIER, UNE PASSION GOURMANDISE EN FAMILLE Début septembre, Djamel et Lætitia Nadji ont ouvert une nouvelle croissanterie espace Beley, à côté de la gare. “Mon beau-frère, Djamel, a toujours rêvé de tenir une boulangerie, il est tellement gourmand que le nom de notre enseigne était en fait tout trouvé” explique la pétillante -UJUJB %ÏKË QSPQSJÏUBJSFT EF DPNNFSDFT EBOT MB UÏMÏQIPOJF MFT EFVY KFVOFT HFOT TF lancent dans une nouvelle aventure et ne manquent pas de projets, s’impliquent et QBSUJDJQFOU EÏKË BVY ÏWÏOFNFOUT EF MB WJMMF comme la Fête du Train : “On verra dans les mois à venir, mais c’est vrai que j’ai un faible pour les produits bio, sains et de bonne qualité. J’espère pouvoir bientôt en proposer à notre clientèle, mais on va y aller doucement, LES BRÈVES MARCHÉ HEBDOMADAIRE -FNBSDIÏIFCEPNBEBJSFEVKFVEJ USBWFSTFSBMBWPJFGFSSÏFMFer janvier 2015 pour retrouver les quartiers sud EFMBWJMMFQMBDF+FBO+BVSÒTBWFOVFT .BSJVT$IBMWFFU+FBO.PVMJOFUSVFT BEKBDFOUFT RENAISSANCE MARINE 7ÏSPOJRVFFU$ÏDJMFWPVTBUUFOEFOUEBOT sinon ça va faire trop pour le beau-frère” glisse Lætitia avec le sourire. Dès qu’arrive MF QSFNJFS USBJO Ë I MB DSPJTTBOUFSJF QSPQPTF EFT QÉUJTTFSJFT EV UIÏ EV DBGÏ des boissons, mais aussi du pain et des GPSNVMFT MF NJEJ BWFD EFT TBOEXJDIFT FU EFTTBMBEFTQPVSëOJSMBKPVSOÏFWFSTI “C’est beaucoup, surtout que l’on va ouvrir le dimanche matin, mais, honnêtement, si les clients sont là, on sera là aussi, nous sommes très heureux d’avoir ouvert cette croissanterie en espérant créer une franchise dans quelques années” conclut Djamel Nadji. Le Gourmand, avenue Falabrègues. Ouvert du lundi au vendredi de 5 h 30 à 20 h et le dimanche matin. MFOPVWFBVTBMPOEFDPJêVSF3FOBJTTBODF .BSJOFBVSVF4JNJBOE+BVêSFU Tél. : 04 90 59 82 40. MIRA’MÉNAGER Une nouvelle adresse pour le magasin EÏMFDUSPNÏOBHFS*MFTUJOTUBMMÏSVF (BNCFUUB5ÏM NATUR’ELLE L’institut de beauté Natur’elle a déménagé BVSVF$BSOPU5ÏM L’été aura été mis à profit par Joëlle Bidart, la gérante d’Anipromaux, pour effectuer des travaux de rénovation et proposer à sa clientèle, dès la rentrée, plus de choix et de confort. -BGFSNFUVSFEVNBHBTJOQBSVOFCBJFWJUSÏFFU l’isolation du site étaient plus que nécessaires. *MGBVUEJSFRVFMPSTRVFWPVTWPVTSFOEF[DIF[ +PÑMMF#JEBSUOPOTFVMFNFOUWPVTQSPëUF[EF QSJYUSÒTBUUSBDUJGTFUDPNQÏUJUJGTTVSEFHSBOEFT NBSRVFT EF DSPRVFUUFT NBJT WPVT CÏOÏëDJF[ BVTTJ EF TFT DPOTFJMT BWJTÏT $FUUF QBTTJPOOÏF diplômée en animaux domestiques prendra tout le temps nécessaire pour vous renseigner selon les caractéristiques de votre animal QPJETSBDFBDUJWJUÏTQBUIPMPHJFT NBJTBVTTJ selon votre budget. Alimentation (générale FU WÏUÏSJOBJSF KPVFUT BDDFTTPJSFT GSJBOEJTFT IZHJÒOF WÐUFNFOUT VOF HBNNF DPNQMÒUF FU WBSJÏF QPVS DIJFOT DIBUT PJTFBVY SPOHFVST QPJTTPOT WPMBJMMFT DIFWBVY SFQUJMFTy &U TJ WPVTOFQPVWF[QBTWPVTEÏQMBDFS+PÑMMFMJWSF gratuitement tous les lundis. Anipromaux : 5, boulevard d’Espagne, zone d’activité des Molières. Tél. : 04 90 45 08 15. Site : www.anipromaux.com https://www.facebook.com/anipromaux. croquette.miramas/manager MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 23 VIVRE ENSEMBLE CENTRES SOCIAUX LIEUX DE PARTAGE EXCEPTIONNELS Le centre social est un équipement de proximité au cœur des quartiers, permettant la mise en place d’actions à vocation sociale, culturelle, artistique et sportive. Lieu de vie, carrefour intergénérationnel, relais des services publics, le centre social est un espace ouvert à tous, conçu pour et par les habitants. S’inspirant des valeurs de dignité, solidarité et démocratie, il est un lieu d’initiatives, EÏDIBOHFTFUEFSFODPOUSFT%FMBDDVFJMEFT IBCJUBOUT FO QBTTBOU QBS EFT BUFMJFST FU EFT événements culturels, les activités proposées au sein d’un centre social sont variées et acDFTTJCMFT Ë UPVT *M EÏWFMPQQF TFT TFSWJDFT FU TFTBDUJWJUÏTFOGPODUJPOEVOQSPKFUÏMBCPSÏ BWFDMFTIBCJUBOUTRVJKPVFOUVOSÙMFDFOUSBM EBOT MFT DIPJY FU MFT PSJFOUBUJPOT EF MÏRVJpement. *M FTU VO MJFV EF NJYJUÏ EF TPMJEBSJUÏ FU EF DJUPZFOOFUÏPVWFSUËUPVUFTMFTHÏOÏSBUJPOT 6OMJFVPáMFTEJêÏSFODFTTPOUEFTSJDIFTTFT GBWPSJTBOUMFTSFODPOUSFTFUMFTÏDIBOHFTFOUSF 24 MFTIBCJUBOUT*MFTUVOMJFVEVEJSFFUEFMBHJS PáDIBDVOFTUMFQSJODJQBMBDUFVS6OMJFVEF brassage perpétuel où se transmettent des WBMFVSTDJUPZFOOFTRVFMFTBEIÏSFOUTMFTVTBgers, le conseil d’administration, les équipes et les partenaires, portent tous ensemble. Les activités sont souvent découpées en secUFVSTTFMPOMFQVCMJDDPODFSOÏPOZUSPVWFEFT SÏGÏSFOUT iFOGBODFw iKFVOFTTFw FU iGBNJMMFw Un lieu où les mots partage, écoute, lien, aide, soutien, animations, vacances prennent tout leur sens. LA DIVERSITÉ DES ACTIVITÉS DES CENTRES DE MIRAMAS PEUT SE RÉSUMER AINSI : Enfance Jeunesse Familles t"DDVFJMEFMPJTJST t1ÏSJTDPMBJSF t"DDPNQBHOFNFOU ËMBTDPMBSJUÏ t%JWFSTBUFMJFST TQPSUJGTDVMUVSFMTy t4PVUJFOJOTFSUJPO GPSNBUJPO t"DDVFJMEFMPJTJST t"DDPNQBHOFNFOU ËMBTDPMBSJUÏ t4UBHFTy t"JEFËMBQBSFOUBMJUÏ t"JEFBVYWBDBODFT t²DSJWBJOQVCMJD t"JEFBENJOJTUSBUJWF t4PSUJFTGBNJMMFTy 5PVUFGPJTMFTDFOUSFTEÏWFMPQQFOUEFTBDUJWJUÏTTQÏDJëRVFT1PVSMFTDPOOBÔUSF OIÏTJUF[QBTËMFTDPOUBDUFS MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 VIVRE ENSEMBLE Notre ville bénéficie de l’expérience et du savoir-faire d’animateurs et de professionnels répartis sur trois structures, Giono, La Carraire et Schweitzer. Les centres sociaux animent la vie de quartier grâce au soutien des bailleurs sociaux et aux partenariats développés avec les différentes associations de MB WJMMF "VEFMË EFT BOJNBUJPOT MFT équipes ont pour mission de travailler BVQSÒT EFT GBNJMMFT FU EF NFUUSF FO VWSF UPVUFT MFT BDUJPOT WJTBOU Ë BDDPNQBHOFS soutenir et développer la parentalité et MB WJF EF GBNJMMF -JFV EÏDPVUF QSJWJMÏHJÏ QBSFOUTFOGBOUT WPVT QPVWF[ ÏHBMFNFOU USPVWFSMFTPVUJFOOÏDFTTBJSFËWPTEÏNBSDIFT administratives auprès des écrivains publics. activités aux jeunes, ou plus ponctuelles, DPNNFMFTTBNFEJTi1SPYJwPVi$BQTVSw “Un centre social est un outil que les habitants doivent s’approprier afin de devenir acteurs de leur quartier, de leur cité. Il doit permettre à chacun de s’épanouir, de trouver sa place de citoyen” DPOëFMBEJSFDUSJDF*TBCFMMF-BDBSBRVJSÏTVNF l’état d’esprit des directeurs de centres sociaux. $FOUSFTPDJBM(JPOPQMBDFEFT#BMBEJOT DIFNJOEFT²DPMJFST5ÏM $PVSSJFMDTHJPOP!XBOBEPPGS Samedi 6 décembre, de 9 h à 17 h : CPVSTFBVYKPVFUTBVQSPëUEV5ÏMÏUIPO Samedi 13 décembre, de 12 h à 17 h : journée de réflexion et de partage i6ODFOUSFTPDJBMQPVSRVJ 1PVSRVPJ w La Carraire Albert-Schweitzer *M FTU PVWFSU Ë MFOTFNCMF EFT IBCJUBOUT EV DFOUSFWJMMF FU EFT RVBSUJFST $IJSPOT FU 4BJOU4VTQJ*MBMBQBSUJDVMBSJUÏEFQPTTÏEFS VOHSBOEKBSEJORVJMNFUËEJTQPTJUJPOEFTFT BEIÏSFOUT"ëOEFSÏQPOESFBVNJFVYËTFT missions d’accueil et d’accompagnement, le centre est actuellement en reconstruction sur 600 m 2 et trois niveaux au 17, rue Eugène1FMMFUBO "MCFSU4DIXFJU[FSCPVMFWBSEEV+VJMMFU Tél. : 04 90 58 20 49. $PVSSJFMDFOUSFTPDJBM!BMCFSUTDIXFJU[FSGS Jean-Giono Les animations de proximité peuvent être régulières comme les mercredis aprèsmidi où les éducateurs de rue sont présents au pied des immeubles pour proposer des CENTRES SOCIAUX $FU ÏRVJQFNFOU EF QSPYJNJUÏ BV DVS EFT RVBSUJFSTEF-B$BSSBJSFEV.POUFBVFUEV .BT/FVGQFSNFUMBNJTFFOQMBDFEBDUJPOTË vocation sociale, culturelle, artistique, sporUJWFFUEFMPJTJST/PVCMJF[QBTRVFMFDFOUSFB NJTFOQMBDFVO1ÏEJCVTQPVSMFTFOGBOUTEF +FBO.PVMJOFU-B$BSSBJSF -B$BSSBJSFQMBDFEV'PJSBJM Tél. : 04 90 50 09 79. $PVSSJFMMBDBSSBJSF!XBOBEPPGS Appel à participation "ëOEFSÏBMJTFSVOFFYQPTJUJPOi"VëMEV UFNQTwMFDFOUSFTPDJBM-B$BSSBJSFSFDIFSDIF EFTQIPUPTBODJFOOFTEFTRVBSUJFST$BSSBJSF .POUFBVFU.BT/FVG4JWPVTTPVIBJUF[ QBSUBHFSWPTTPVWFOJSTOIÏTJUF[QBTËMF contacter. Les centres sociaux travaillent en étroite DPMMBCPSBUJPO BWFD MFT IBCJUBOUT FU BWFD MFTDPOTFJMTEFRVBSUJFST4JWPVTTPVIBJUF[ que votre rue ou votre quartier bouge, DPOUBDUF[ MVOF EF DFT TUSVDUVSFT FU GBJUFTMFVS QBSU EF WPT JEÏFT OPWBUSJDFT FU EZOBNJRVFT &MMFT OF NBORVFSPOU QBT d’être étudiées. Si les centres sociaux gardent une notion EFEÏDPVQBHFFO[POFT t/PSE+FBO(JPOP t$FOUSF"MCFSU4DIXFJU[FS t4VE-B$BSSBJSF DIBDVOSFTUFMJCSFEFGSÏRVFOUFSMFDFOUSF social qui lui correspond. $PPSEPOOÏFTEFTDPOTFJMTEFRVBSUJFSTFO p. 16 et sur le site www.miramas.org. -BDIBSUFGÏEÏSBMFEFTDFOUSFTTPDJBVYFOUFOERVF“Un centre social est un foyer d’initiatives porté par des habitants associés et appuyés par des professionnels, capables de définir et de mettre en œuvre un projet de développement social pour l’ensemble de la population d’un territoire”. +FSSZ(SVBUDPOTFJMMFSNVOJDJQBMEÏMÏHVÏËMBDPIÏTJPOTPDJBMFFUBVYDFOUSFTTPDJBVYQFOTFRVF“Ce qui doit faire la particularité, actualisée, de nos centres, c’est qu’au travers de la diversité des activités, ils puissent accompagner, soutenir les habitants désireux de trouver du sens dans leurs convictions et valeurs, de trouver du sens par leurs relations avec « l’autre », de trouver du sens par leurs actes, bref, trouver du sens à l’existence.” Avec TFTDPMMÒHVFTÏMVTJMWFVUGBJSFDPNQSFOESFËUPVT“Qu’avec les centres sociaux, on peut renforcer notre mieux-vivre dans notre cité, dans notre vie, démocratiquement et avec respect, et ce, malgré les difficultés conjoncturelles d’aujourd’ hui. Alors, n’ hésitez pas à vous investir !” MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 25 VIVRE ENSEMBLE CABASSE UNE PÉPITE À PRÉSERVER Cabasse, cadre de verdure et de loisirs exceptionnel est un site quelquefois maltraité par des occupants occasionnels. Des incivilités qui nuisent pourtant à tous. 2VFM.JSBNBTTÏFOOFTFTUQBTSFOEVË$BCBTTF QPVSTFQSPNFOFSDPVSJSGÐUFSVOBOOJWFSTBJSF EJTDVUFSQFOEBOURVFMFTFOGBOUTKPVFOUTVSMBJSF EFKFVYPVBVGPPUEBOTMFQSÏQJRVFOJRVFSy La municipalité a engagé plusieurs actions pour sécuriser et garder le site propre en rajoutant des containers et des barrières interdisant MBDDÒTBVYWÏIJDVMFT$FTNFTVSFTOFTPOUIÏMBT QBT SFTQFDUÏFT QBS UPVT 1PVS RVF DF MJFV privilégié de promenade et d’activités de plein BJS QBSUBHÏ TPJU DPOGPSNF BVY BUUFOUFT EF MB ville et surtout de celles des promeneurs, des panneaux, en trois langues, ont été implantés, rappelant quelques règles de vie comme MJOUFSEJDUJPO EF GBJSF EFT CBSCFDVFT PV SFTQFDUFSMFOWJSPOOFNFOU4JDIBDVOBEPQUF MF CPO DPNQPSUFNFOU $BCBTTF SFTUFSB VO lieu de quiétude et de sérénité pour tous. NUISANCES SONORES RESPECTONS-NOUS ! La législation française sur la prévention et la répression des nuisances sonores vise à assurer la tranquillité de la population. Le bruit porte atteinte à la santé de chacun et il est un élément perturbateur de la vie publique, d’où la nécessité d’avoir recours à des lois qui régissent les bruits en général et de se donner les moyens de les appliquer. -F CSVJU DPOTUJUVF QPVS MFT DJUPZFOT MVOF EFTOVJTBODFTMFTQMVTGPSUFNFOUSFTTFOUJFT Hormis cette importance pour la qualité de la vie, le bruit a aussi des répercussions prouvées sur la santé avec des effets imméEJBUT DPNNF MBVHNFOUBUJPO EV SZUINF DBSEJBRVFPVËQMVTMPOHUFSNFDPNNFMB GBUJHVFPVMJOTPNOJF4JDFSUBJOTTPOUOBUJGT 26 EF .JSBNBT EBVUSFT POU GBJU MF DIPJY EF WFOJSTZJOTUBMMFSQPVSTBRVBMJUÏEFWJFTPO EZOBNJTNF TFT JOGSBTUSVDUVSFT PV QPVS TB RVJÏUVEF$FMMFDJFTUCJFOUSPQTPVWFOUQFS turbée par les engins motorisés ou les averUJTTFVSTTPOPSFT7JMMFGFSSPWJBJSF.JSBNBT FTUiFOKBNCÏFwQBSEFTQPOUTEPOUDFSUBJOT ne permettent pas une bonne visibilité aux BVUPNPCJMJTUFTRVJOIÏTJUFOUQBTËBOOPODFS MFVS QBTTBHF Ë HSBOET DPVQT EF LMBYPO $FT JODJWJMJUÏT DPOUJOVFOU NBMHSÏ MFT QPTFT EF NJSPJST QBS MFT TFSWJDFT UFDIOJRVFT FU nuisent aux riverains. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Rappel Article R416-1 du Code de la route En agglomération, l’usage de l’avertisseur sonore n’est autorisé qu’en cas de danger immédiat. Les contrevenants peuvent être TPVNJTËVOFBNFOEFEFǎ VIVRE ENSEMBLE TRANSPORTS CHANGEMENT DE VOIE Les dessertes TGV, TER et Intercités vont évoluer en 2015, et déjà à partir de novembre 2014. Pour connaître les détails des changements d’horaires sur les grandes lignes, reportez-vous au site de la SNCF. UN EXERCICE POUR ÉVITER LE PIRE Un exercice dans l’enceinte de l’établissement principal de munitions Provence (EPMu) a permis aux différents intervenants de vérifier que tout est en bon ordre dans l’éventualité d’un incident majeur. -VOEJTFQUFNCSFËIVOFTJSÒOFSÏTPOOFEBOTM&1.VMFYFSDJDFFTUMBODÏQPVS TJNVMFS MJODFOEJF EVO DIBSJPU ÏMÏWBUFVS dans un magasin de munitions. Tous les NJMJUBJSFTFUMFQFSTPOOFMDJWJMEFMB%ÏGFOTF TBWFOU DF RVJMT POU Ë GBJSF “Nous avons eu des réunions avec les pompiers du Sdis 13 et préparons cet exercice depuis le mois de mars”, TPVMJHOF MF MJFVUFOBOUDPMPOFM $VWFMJFS -F commandant Bouvier ajoute : “Il est de notre mission de former le personnel régulièrement, les hommes et les équipements sont parfaitement adaptés” $FU FYFSDJDF FTU EPOD VUJMF pour mesurer les relations entre les mairies de .JSBNBTFUE*TUSFTQVJTRVFM&1.VDPVWSF les deux communes, les pompiers et l’armée, TPVTMJMBUUFOUJGEV$ZQSÒTDFOUSFEJOGPSmation pour la prévention des risques majeurs car “ le risque accidentel est extrêmement minime et nous faisons en sorte qu’ il n’arrive paswJOTJTUFMFMJFVUFOBOUDPMPOFM$FQFOEBOU la coordination entre les différents responTBCMFTFUMBQSÏGFDUVSFFTUJOEJTQFOTBCMFQPVS SÏQPOESF Ë UPVUF ÏWFOUVBMJUÏ FU QSÏQBSFS MF GVUVS QMBO QBSUJDVMJFS EJOUFSWFOUJPO 11* 6O FYFSDJDF Ë MB HBSF EF USJBHF B FV MJFV MF ΉTFQUFNCSFEBOTDFNÐNFPCKFDUJGDPVWFSU par la législation environnementale. INTERCITÉS TER LA CÔTE BLEUE 1PVSDFRVJDPODFSOF.JSBNBTEFTJOUFSruptions de circulation sont prévues entre le 8 et le 11 novembre 2014 sur les trajets $BWBJMMPO.JSBNBTFU.JSBNBT-BWBMEVD Une liaison supplémentaire du lundi BVWFOESFEJEÏQBSUEF.JSBNBTËI du TER Miramas-Vitrolles aéroport. 5PVMPOI.JSBNBTI "WJHOPOI 5PVMPOI.JSBNBTI TBVGMFTTBNFEJTEJNBODIFTFUGÐUFT "WJHOPOI.JSBNBTI 5PVMPOI Deux créations sur l’axe Avignon-Marseille augmenteront le nombre de départs depuis MBOPVWFMMFIBMUFE"SFODWFST3PHOBD Vitrolles et Miramas : .BSTFJMMFI.JSBNBTIBWFD desserte d’Arenc, du lundi au vendredi. .BSTFJMMFI.JSBNBTIBWFD desserte d’Arenc, du lundi au vendredi. Renseignements : www.sncf.com TGV &OMFTGSÏRVFODFTTFSPOUJEFOUJRVFTË celles de cette année, avec deux allers-retours RVPUJEJFOT.JSBNBT1BSJT -FTEÏQBSUTEFQVJT.JSBNBTFU"WJHOPO TFSPOUEÏDBMÏTEFNJOVUFT0SBOHFCÏOÏëDJFSBËUJUSFFYQÏSJNFOUBMFUTPVTSÏTFSWFEF NPEJëDBUJPOT EVOBMMFSSFUPVSTVQQMÏNFOUBJSFTVSMFT5(71BSJT"WJHOPO.JSBNBT Des travaux sont prévus entre le 16 mars et le 22 mai 2015, puis du 19 octobre au ΉEÏDFNCSF/PVTWPVTUJFOESPOTJOGPSNÏT ËMBQQSPDIFEFDFTEBUFT MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 27 C’EST MA VILLE DÉVELOPPEMENT DURABLE DÉPLACEMENTS DOUX, ON Y TRAVAILLE À BICLYCLETTE ! Laisser sa juste place aux modes de déplacement doux et aux cycles en particulier, dans un aménagement urbain qui le permet, est un enjeu pour la municipalité, à travers l’une des actions de l’Agenda 21. Une étude sur les modes de déplacements doux, et particulièrement les pistes cyclables, est en cours. Son application se fera en trois phases selon trois grands principes. La volonté de repenser le développement urbain en se rapprochant de la notion de développement durable n’exclut pas les enjeux financiers : le coût des aménagements se calculera au plus juste en fonction des usages futurs. LES PRINCIPES En pratique La 1ère QIBTFQFSNFUUSBEFSFMJFSMFOPSEBVDFOUSF des Demeures des Molières au boulevard Aubanel FUËMBWFOVFEFMB3ÏQVCMJRVF 28 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 t Accès aux équipements publics. t 3FMJFSMFTRVBSUJFSTBVDFOUSFWJMMF t 'BJSFMFMJFOBWFDMFTGVUVSFT[POFT d’aménagement. t Développer un réseau le plus étendu QPTTJCMFËGBJSFWJWSFBWFDWPVT t -FGBJSFÏWPMVFSFOGPODUJPOEFTVTBHFT t *OTUBMMFSEFTQJTUFTDZDMBCMFTFUEFTWPJFT vertes partout où il est possible EFMFGBJSFËDPßUNPEÏSÏ C’EST MA VILLE DÉVELOPPEMENT DURABLE aménagement d’une rampe d’accès aménagement en site propre 1JTUFTFUCBOEFTDZDMBCMFTFOQSPKFU CBOEFDZDMBCMF Une bande cyclableFTUJNQMBOUÏFTVSMBDIBVTTÏF Elle mesure 1,20 m en voie unique, 2 m en double sens de circulation. Une voie verte en site propre FTUJOEÏQFOEBOUFEFMBDIBVTTÏF MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 29 C’EST MA VILLE DÉVELOPPEMENT DURABLE L’éco-conseil du mois LE VÉLO AU QUOTIDIEN PRATIQUE 0OTFEÏQMBDFQMVTGBDJMFNFOURVFOWPJUVSF Le vélo est adapté aux petits trajets quotidiens et il est possible de l’utilliser en complément des transports en commun. ÉCONOME Quatre pleins d’essence d’une voiture DJUBEJOFFOWJSPOǎ WPVTQFSNFUUFOU EBDIFUFSVOWÏMPOFVG BON POUR LA SANTÉ &êPSUQIZTJRVFNPEÏSÏSJTRVFTDBSEJP vasculaires limités, espérance de vie allongée avec seulement trente minutes de vélo par jour. BIEN CIRCULER EN ATTENDANT LES PISTES CYCLABLES t1PSUF[UPVKPVSTMFTÏRVJQFNFOUTEFTÏDVSJ UÏDBTRVFTFUHJMFUTSÏìÏDIJTTBOUT t3PVMF[ËESPJUF2VBOEMBSVFFTUÏUSPJUF PVFOTFOTVOJRVFSPVMF[BVNJMJFV t*OEJRVF[RVBOEWPVTBMMF[UPVSOFS t$IBVTTÏFIVNJEFPVHSBTTFSPVMF[NPJOT WJUFFUGSFJOF[QMVTUÙU t"UUFOUJPOBVYBOHMFTNPSUTEFTWÏIJDVMFT RVJWPVTQSÏDÏEFOUOFMFTTVJWF[QBTEF trop près. t4VSVOFWPJFGFSSÏFDSPJTF[MFTSBJMTQFSQFO diculairement. t/FSPVMF[KBNBJTTBOTÏDMBJSBHFMBOVJU t3FTQFDUF[MFDPEFEFMBSPVUFFUMBTJHOBMJ sation. Pour en savoir plus www.ademe.fr www.clcv.org www.fubicy.org (fédération française des usagers de la bicyclette) LE BUS, UNE AUTRE ALTERNATIVE 6MZTTFFTUVOSÏTFBVEFUSBOTQPSUVSCBJOHÏSÏ QBSMFTZOEJDBUNJYUFEFHFTUJPOFUEFYQMPJ tation des transports urbains ouest-étang de #FSSF4NHFUV RVJSFHSPVQFMF4"/0VFTU 1SPWFODFFUMBDPNNVOBVUÏEBHHMPNÏSBUJPO EV QBZT EF .BSUJHVFT *M EFTTFSU OFVG DPN 30 NVOFT FU B USBOTQPSUÏ Ή WPZBHFVST en 2013. Un effort particulier a été entrepris pour DSÏFSEFTMJHOFTFUBVHNFOUFSMBGSÏRVFODFEFT rotations, qui ont été doublées depuis l’année dernière. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 La boutique du réseau Ulysse à Miramas est implantée dans la gare. Tél. : 04 42 77 07 07. Liens utiles : www.lepilote.com, www.ouestprovence.fr, www.miramas.org C’EST MA VILLE DÉVELOPPEMENT DURABLE Centre Commercial Nord g ur Un ya um e- de 10 France Nord Av . Royaume-Uni Les Alpilles 10 SALLE MULTISPORTS COSEC DES MOLIERES Bd l’O lym JC Gresset 25 Av. JeaThéâtre Cocteau n Merm oz l Médiathèque De CENTRE SOCIAL SCHWEITZER CONCORDE SALLE MULTISPORTS COMŒDIA Les Rosiers e lv e MOSQUÉE ESPACE SPORTIF JEAN MOULIN C. Cial Sud Briand Cité Jardin CLINIQUE DE SOINS DE SUITE Camus 25 COLLÈGE A. CAMUS ISTRES CENTRE SOCIAL LA CARRAIRE 10 Maupassant la Crau Rond-Point des Vents Saladelle Ru e TERRAIN DE SPORT 11 CENTRE TECHNIQUE MUNICIPAL 6 D1 0 de CIMETIÈRE ue d s en ue en Su Jean Moulin CTM Ga Cimetière Av du 1 A Je an Mo Briand v.TERRAIN uli n Liberté DE RUGBY Chalve Mas Neuf Zola Av MAISON DE L'EMPLOI Av e Mas Neuf Balzac om Briand Tristani Stade Méano Sa la d e l l e s o dr MAISON DU DROIT des ut . Ch l ’A eM Ch . de nu SEMAINE DE LA MOBILITÉ te Chir Briand Centre Ville Carnot OFFICE DE TOURISME a POLICE des Rou MAIRIE CCAS TRÉSORERIE ons COLLÈGE LA CARRAIRE 6 25 Gare SNCF 1 10 11 13 25 Avenue LA POSTE Voltaire 10 G aulle Péro la de Ch. d Sauvaire MÉDIATÈQUE CONSERVATOIRE INTERCOMMUNAL DE MUSIQUE rian EGLISE SAINT LOUIS MAISON POUR TOUS A. B Charles de Gaulle THÉÂTRE LA COLONNE MAIRIE ANNEXE Briand Sully Bd Talabot Dassier Dépôt SNCF LYCÉE J. COCTEAU Briand Avenir 6 SALLE MULTISPORTS JULES FERRY nne Aubanel A u ban e 10 13 Quenouilles 6OJRVFNFOUMFKFVEJKPVSEFNBSDIÏ Entressen Q Miramas. 6OFOBWFUUFEFTUJOÏFBVYFNQMPZÏTEFMB QMBUFGPSNF$MÏTVEQSPQPTFEFTUSBKFUTBV EÏQBSUE*TUSFTFUEF.JSBNBTEVMVOEJBV vendredi. Avenue 11 13 Théo do re Deux navettes : t Fontlongue 11 Une tarification unique sur l’ensemble du réseau et la gratuité pour les moins de 26 ans. Ponan Rousse Molière 6 COLLÈGE MIRAMARIS St-Exupéry 11 Bd POLICE CMP é ry EHPAD LES JARDINS DE LA CRAU Chantegrive Un service de transport à la demande (Allo le bus). PMI du CENTRE DE SECOURS Avenue Piscine MIRAMAS Av . Gendarmerie pie La ligne 25 : Miramas Q *TUSFTQ Martigues : un bus toutes les trente minutes aux IFVSFTEFQPJOUF-JHOFGPODUJPOOBOU MFEJNBODIFFUMFTKPVSTGÏSJÏT Solaire MAIRIE ANNEXE CENTRE SOCIAL GIONO de La ligne 13 : Miramas Q *TUSFT;"EV5VCÏ Cadran 10 Salle des Fêtes Cadran Solaire Caravelle du La ligne 1 : Miramas Q *TUSFTQ Fos : un bus toutes les trente minutes aux IFVSFTEFQPJOUF iel du Demeures des Molières TERRAINS DE SPORT rc-en-C SALLE DE DANSE COSEC GUY DRUT 10 Trois lignes Intercités : Terrasses Av. de l’ A e . Av Bd LEP LES ALPILLES du ZONE INDUSTRIELLE LES MOLIÈRES Ro du i m xe Lu LA POSTE DÉCHETTERIE La ligne 11 : $IBOUFHSJWF Q 4BJOU$IBNBT bo St-Exup PÉPINIÈRE OUEST PROVENCE A ve n u La ligne 10 : Alpilles Q +FBO.PVMJO VOCVTUPVUFTMFTRVJO[FNJOVUFT BVYIFVSFTEFQPJOUF 7BMPSJTBUJPOEFTUSBOTQPSUTDPMMFDUJGTBMUFSOBUJWFËMBWPJUVSFMFUSBJOÏUBJUNJTËMIPOOFVS QBSMB4/$'QFOEBOUMBTFNBJOFFVSPQÏFOOF EFMBNPCJMJUÏEVBVΉTFQUFNCSFEBOT VOFHBSFJNQPSUBOUFTJMFOFTU.JSBNBT$F NPZFOEFMPDPNPUJPOWBEFQBJSBWFDMFCVT MFWÏMPMBNBSDIFËQJFEMFTSPMMFSTRVJTPOU BVUBOUEFGBÎPOTEJêÏSFOUFTEFTFEÏQMBDFS TERRAIN DE SPORT 6 25 24 lignes sur le réseau À Miramas : rrig ue s Château d’Eau MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 31 C’EST MA VILLE LES POMPIERS SUR TOUS LES FRONTS Sollicités par les autorités de l’Hérault lors des dernières inondations, les pompiers de Miramas sont partis en renfort. Une action “presque de routine” pour ces hommes et femmes formés à répondre à toutes formes de sinistres. -FDFOUSFEFTFDPVSTEF.JSBNBTFTUSJDIF EF NPZFOT UFDIOJRVFT FU IVNBJOT $FTU QPVSRVPJ FO EFIPST EF MFVST NJTTJPOT IBCJUVFMMFTEFTBVWFUBHFFUEFMVUUFDPOUSF les incendies, les sapeurs-pompiers sont FONFTVSFEFQPSUFSNBJOGPSUFËEBVUSFT 32 LES BRIOCHES DE LA CHRYSALIDE DBTFSOFT $FTU BJOTJ RVF QBS MF QBTTÏ JMT sont partis dans le Var, les Alpes de Haute1SPWFODFPVFODPSFË)BÕUJ -FTGPSNBUJPOTSÏHVMJÒSFTBVYPQÏSBUJPOTEF EÏCMBJFNFOUBVY$JUÏT+BSEJOBVYSJTRVFT TJTNJRVFT DIJNJRVFT MFVS QFSNFUUFOU VO SBZPOOFNFOU OBUJPOBM FU JOUFSOBUJPOBM toujours au service des populations. UN SEUL NUMÉRO POUR LES POMPIERS : LE 18. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Vendues par les bénévoles au profit des QFSTPOOFTIBOEJDBQÏFTNFOUBMFTMFTCSJPDIFT POUSBQQPSUÏDFUUFBOOÏFǎË.JSBNBT $F SÏTVMUBU USÒT TBUJTGBJTBOU USBEVJU WPUSF HÏOÏSPTJUÏ HFOT EF MB SVF BTTPDJBUJGT QFSTPOOFM DPNNVOBM FOGBOUT EFT ÏDPMFT -B TPNNF SÏDPMUÏF BWFD DFMMF EFT PO[F BVUSFT communes, sera utilisée pour la création et la SÏOPWBUJPOEFGPZFSTFUQPVSEFTQSPKFUTTQPSUJGT et culturels. C’EST MA VILLE LES CHIFFRES CLÉS tTFNBJOFTEFUSBWBVY t$PßUQMVTEFſ tN¤EFWPJFTSÏOPWÏFT tQIBTFTEFDIBOUJFS tTFDUFVST t-JWSBJTPOKBOWJFS TRAVAUX AUBANEL N’ATTEND PAS LA DÉVIATION Pour le confort et la sécurité des Miramasséens, la ville a entrepris des travaux de reprise de chaussée du boulevard Théodore-Aubanel. Des travaux, sur cette voie très fréquentée desservant Istres, Fos-sur-Mer et Entressen, particulièrement attendus par la population. Sans attendre la déviation routière, actuelMFNFOUFODIBOUJFSMBNVOJDJQBMJUÏBEÏDJEÏ de réaliser des travaux de remise en état et de sécurisation du boulevard Aubanel. Les travaux ont commencé début septembre avec la création d’un nouveau passage piéton devant Mac-Donald, pour la sécurité des élèves de Fontlongue, et la rénovation de celui situé devant Netto. Le calendrier préWJTJPOOFMEÏDPVQFMFDIBOUJFSFODJORQIBTFT importantes de travaux pour une livraison en janvier 2015 (calendrier pouvant évoluer FO GPODUJPO EF MBWBODFNFOU EV DIBOUJFS EFT JOUFNQÏSJFT PV BWBSJFT ÏWFOUVFMMFT -FT QVSHFTEFDIBVTTÏFQFSNFUUSPOUEFEÏDSPßUFS les voies et d’enlever les racines des pins qui TPOUMVOFEFTDBVTFTEFMBEÏGPSNBUJPOEFMB route, la première étant le trafic intense des WÏIJDVMFT QPJETMPVSET -B OPVWFMMF DPVDIF EFSPVMFNFOUDPVMÏFMBOVJUFOUSFIFUI BTTVSFSB VO NFJMMFVS DPOGPSU EF DPOEVJUF QPVS MFT BVUPNPCJMJTUFT FU DPOEVJSB Ë VOF baisse des bruits de roulement, améliorant le DPOGPSUBDPVTUJRVFEFTSJWFSBJOT 6OFGPJTMBEÏWJBUJPOFOTFSWJDFEFTUSBWBVY plus conséquents seront entrepris pour transGPSNFS MF CPVMFWBSE FO WÏSJUBCMF CPVMFWBSE VSCBJO GBJTBOU DPIBCJUFS BVUPNPCJMJTUFT conducteurs de deux roues, utilisateurs des transports en commun et piétons. Un projet RVJ TF GFSB BMPST FO DPODFSUBUJPO BWFD MB population. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 33 SAN OUEST PROVENCE FÊTE DE LA SCIENCE : UN SUCCÈS ! Du 9 au 18 octobre, la médiathèque intercommunale a fêté la science avec des ateliers, des visites à l’extérieur, une conférence, une exposition, etc. Les enfants comme les adultes sont venus nombreux. Apprendre en s’amusant L’édition 2014 de la Fête de la science a abordé USPJT HSBOET UIÒNFT TDJFODF FU IJTUPJSF autour d’un camp américain de prisonniers BMMFNBOET EÏDPVWFSU Ë .JSBNBT TDJFODF et biodiversité avec les visites de la réserve EBDUJGTOBUVSFMTEF$PTTVSFFUEFMBCSBTTFSJF EF 4VMBV[F FU FOëO TDJFODF FU KFVOFTTF BWFD EFT BUFMJFST BOJNÏT QBS MFT 4BWBOUT GPVT “Pendant dix jours, nous avons fêté la science avec un public le plus large possible : ce fut un grand succès avec plus de 1 500 participants, dont 539 scolaires, soit une hausse de 47 % par rapport à l’an dernier. Cette grande fête nationale n’est en aucun cas pour nous une vulgarisation de la science, mais plutôt une médiation avec le public, qui interagit et nous interpelle” FYQMJRVF 1BUSJ[JP %J .JOP responsable du département sciences, sport et vie pratique. enfants ont adoré car c’est très spectaculaire, très ludique”DPOTUBUF1BUSJ[JP%J.JOP%FSSJÒSF DFT FYQÏSJFODFT BNVTBOUFT MFT FOGBOUT POU finalement beaucoup appris sur les sciences en général. Un camp de prisonniers allemands découvert 'SÏEÏSJD .BSUZ BSDIÏPMPHVF BV QÙMF intercommunal du patrimoine culturel de 0VFTU 1SPWFODF B NFOÏ BWFD TPO ÏRVJQF VOEJBHOPTUJDQSÏWFOUJGTVSMFTUFSSBJOTEFMB Témoignages 4JWPVTQPTTÏEF[EFTJOGPSNBUJPOTPV EFTEPDVNFOUTSFMBUJGTBVDBNQEF prisonniers de Miramas, merci de bien vouloir contacter le pôle intercommunal du patrimoine culturel au 04 42 11 27 72 PVFOWPZFSVODPVSSJFMËGSFEFSJDNBSUZ! PVFTUQSPWFODFGS TRENTE ANS APRÈS, ÉTAT DES LIEUX REVISITÉ Des rires avec le Professeur Citrouille La médiathèque intercommunale a mis à l’honneur le paysage urbain et les photographes contemporains. 1SPGFTTFVS$JUSPVJMMF“Qui voudra manger de mon gâteau ?” -FQVCMJDiMoi ! Moi !” -F1SPGFTTFVS“Du gâteau avec du pipi de chauve-souris... Qui veut en manger ?” -FQVCMJDFODPSFQMVTGPSU “Moi ! Moi !” 1SPGFTTFVS$JUSPVJMMF“Ils sont fous !” -BTTFNCMÏFSJUEFQMVTCFMMF1PVSDMPSFMB'ÐUF de la science, les Savants Fous ont proposé VO TQFDUBDMF IVNPSJTUJDPTDJFOUJëRVF “Les "QSÒT USFOUF BOT MF 4"/ 0VFTU 1SPWFODF B BDRVJT UPVU MF GPOET EF DPNNBOEFT QIPUPHSBQIJRVFT EF -FXJT #BMUZ (BCSJFMF #BTJMJDP+PIO%BWJFTFU+FBOMPVJT(BSOFMM réalisées pour la Datar, la délégation interNJOJTUÏSJFMMFËMBNÏOBHFNFOUEVUFSSJUPJSF FUËMBUUSBDUJWJUÏSÏHJPOBMFË'PTTVS.FSEF Ë“En plus de cet inventaire, j’ai invité des photographes contemporains pour 34 GVUVSFEÏWJBUJPOSPVUJÒSF"QSÒTEFOPNCSFVY TPOEBHFT MB TVSQSJTF GVU HSBOEF BWFD VOF EÏDPVWFSUF JOBUUFOEVF MF DBNQ iw EF prisonniers allemands tenu par les Américains EVEÏDFNCSFËMÏUÏ“Ce camp a quasiment disparu de la mémoire collective. Nous avons découvert les fosses des anciens urinoirs, latrines, lavoirs et lavabos. Puis nous avons retrouvé des photos, qui confirment l’existence de ce camp, tout proche du Depot District de Miramas, l’un des principaux centres de ravitaillement des troupes américaines. Les prisonniers, et ils ont pu être jusqu’ à huit cents à l’ intérieur du camp, servaient de main-d’œuvre pour les services d’approvisionnement, de transport et pour les transmissions. En 2015, l’Inrap finira les fouilles. Les équipes vont sûrement découvrir encore beaucoup d’ éléments. Miramas est la première ville dans le sud de la France à prendre en compte le patrimoine archéologique de la Seconde Guerre mondiale” conclut 'SÏEÏSJD.BSUZ MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 porter un nouveau regard sur ces paysages. À l’aube de la Métropole, il est intéressant de disposer de ces outils pour mieux connaître notre territoire” FYQMJRVF $BNJMMF 'BMMFU commissaire de l’exposition. “L’art est un objet de communication et de réflexion, qui interroge et qui assure ici la mémoire d’un patrimoine” DPODMVU #ÏBUSJDF #FIB MBSUPUIÏDBJSFEFMBNÏEJBUIÒRVFEF.JSBNBT Artothèque intercommunale, avenue de la République. Tél. : 04 90 58 53 53. SAN OUEST PROVENCE PATRIMOINE, TOUS À LA POUDRERIE /BUVSFM FU DVMUVSFM $ÏUBJU MF UIÒNF EFT KPVSOÏFT FVSPQÏFOOFT EV 1BUSJNPJOF .JSBNBTSÏVOJUDFTEFVYGBDFUUFTFUMFTCBMBEFTWPVTPOUFNNFOÏWFSTMF2VJMMÏOPN VTVFMEF.JSBNBTMF7JFVYQBSDFRVFQFSDIÏBVEFTTVTEFMÏUBOHEF#FSSFFUEFMB 1PVESFSJF-ËCBTPOBQVWJTJUFSEFVYDIBQFMMFTIBCJUVFMMFNFOUGFSNÏFTBVQVCMJD $FMMF EF /PUSF%BNFEF#FBVWF[FS BCSJUBJU VOF FYQPTJUJPO TVS MB DSÏBUJPO EF MB GPOUBJOF $BTUBHOF FU TVS MJOHÏOJFVY TZTUÒNF EBQQSPWJTJPOOFNFOU FO FBV EV WJMMBHF -BTTPDJBUJPO ²WBTJPO 1FJOUVSF BWBJU SÏBMJTÏ EFT UBCMFBVY QPVS MPDDBTJPO %BOTMBUPVUFQFUJUFDIBQFMMF4BJOU+VMJFOOJDIÏFBVDVSEVDJNFUJÒSFVOFFYQPTJUJPOFOSBDPOUBJUTVSMFTQSFNJFSTDBOBVYEJSSJHBUJPOEF.JSBNBTFUTVSMIJTUPJSFEFT NPJOFTEFMBCCBZFEF.POUNBKPVS -B1PVESFSJFMJFVEFQSPNFOBEFDIFSBVY.JSBNBTTÏFOTFUBVUSFTWJTJUFVSTPêSBJUVOF OPVWFMMFGBDFUUFEFTBQPQVMBUJPOMFTDJTUVEFTUPSUVFTQSPUÏHÏFT2VFMRVFTQSPNFOFVST POUFVMBDIBODFEFOBQFSDFWPJSRVFMRVFTVOFT4JDFOFTUQBTWPUSFDBTSJFOOFTUQFSEV MFQFSTPOOFMEFMB1PVESFSJFFTUËWPUSFEJTQPTJUJPOWPJSDJDPOUSF Découvrez le monde des cistudes Espèce de tortue protégée, la cistude est menacée, DPOUSBJSFNFOUËMBUPSUVFEF'MPSJEFFOWBIJTTBOUF RVJDPODVSSFODFMIBCJUBUFUMFTSFTTPVSDFT BMJNFOUBJSFTEFMBDJTUVEF-B1PVESFSJFPêSF VOIÉWSFEFQBJYËDFUUFUPSUVFFUMËCBTWPVT QPVSSF[MPCTFSWFSFOSFTQFDUBOUTBRVJÏUVEF 4JWPVTFODSPJTF[OFMFTUPVDIF[QBTOFMFT SBNBTTF[QBTDPOUFOUF[WPVTEBENJSFSMFVS DBSBQBDF-FTBHFOUTEFMB1PVESFSJFWPVT SFOTFJHOFSPOUTVSUPVTMFTCPOTHFTUFTËBEPQUFS La Poudrerie est ouverte les 1er et 3e dimanches de 10 h à 17 h et le mercredi de 14 h à 17 h jusqu’au 31 mars. 1 510, route de Saint-Chamas. Tél. : 04 90 58 27 93. Courriel : [email protected]. Site : www.miramas.org. MÉDIATHÈQUE, DU NOUVEAU SUR LA TOILE -B NÏEJBUIÒRVF JOUFSDPNNVOBMF EF 0VFTU 1SPWFODF QPVSTVJU TPO BWBODÏF OVNÏSJRVF 1PVS DFUUF SFOUSÏF TPO TJUF GBJU QFBV OFVWF &OSJDIJ EBOT TPO DPOUFOV JM FTU HSBQIJRVFNFOU QMVT DPMPSÏ FU EZOBNJRVF EPDVNFOUT du catalogue, abonnements en ligne, conseils de lecture, dossiers numériques, soutien scolaire, espace numérique jeunesse, collection patrimoniale... Un nouveau service est en ligne : les WebZooms, version allégée et maHB[JOF EFT EPTTJFST OVNÏSJRVFT SÏBMJTÏT Ë MB EFNBOEF EFT BEIÏSFOUT TVS MF TVKFU EF MFVS DIPJYEBOTVOEÏMBJEFRVJO[FKPVST "VUSF OPVWFBVUÏ MB OPVWFMMF QMBUFGPSNF EF l’action culturelle permet notamment la sélection des activités du réseau intercommuOBMQBSWJMMFFUUZQFEFNBOJGFTUBUJPOT Un blog vient compléter cette offre avec des JNBHFTFUJOGPSNBUJPOTTVSMFTBOJNBUJPOTSÏBMJTÏFTEBOTMFTNÏEJBUIÒRVFTEVSÏTFBVFUEBOT les différents espaces des partenaires culturels FUTPDJBVYEVUFSSJUPJSF0VFTU1SPWFODF Informations : www.mediathequeouestprovence.fr, https://amamediatheque.wordpress.com MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 35 MES LOISIRS ASSOCIATIONS LA PLÉIADE D’ACTIVITÉS DE LA FÊTE DES ASSOCIATIONS -FSFOEF[WPVTJODPOUPVSOBCMFEFMBSFOUSÏFBUFOVTFTQSPNFTTFT$IBDVOBQViUSPVWFS DIBVTTVSFËTPOQJFEwBVQSÒTEFTUBOET6OFKPVSOÏFQPVSDPOOBÔUSFMFTDSÏOBVYMFT activités proposées mais aussi avoir un aperçu concret avec les démonstrations au village TQPSUJGFUTVSMFHSBOEQPEJVN&OFêFUOPUSFWJMMFQFVUTFUBSHVFSEFQPTTÏEFSVOUJTTV BTTPDJBUJGQBSUJDVMJÒSFNFOUSJDIFBDUJGFUQBSUJDJQBUJGPáTQPSUDVMUVSFBSUTDPMMFDUJPOOFVST et passionnés sont représentés. Une journée qui a aussi été utile aux Miramasséens qui pouvaient se renseigner auprès des services publics sur l’avancement de leur dossier. "QSÒT MFT EÏBNCVMBUJPOT EF MB #BUVDBEB FU EFT NBSJPOOFUUFT HÏBOUFT -FT 3ÏVTTJUFT FO QSÏTFODFEF.JDIFM7BV[FMMFQSÏTJEFOUEFMB3ÏHJPO1BDBPOUNJTËMIPOOFVSMBKFVOFTTF NJSBNBTTÏFOOF-FTUBOEEVNJSPJSJOUÏSBDUJGEPOOBJUVOBWBOUHPßUEVUIÒNFXFTUFSO de la Fête du Train. 36 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 C’est décidé, cette année je m’occupe de moi et je reprends le sport après un intermède de 10 ans. Toutes les associations étant concentrées au même endroit, par thème, j’ai rapidement pu faire mon choix. Chrystelle, maman de trois enfants. MES LOISIRS Être bénévole au centre social m’a permis de passer le Bafa. Depuis, j’y suis employé. Isak Amrani, animateur du centre social Giono. La signature de la convention entre la municipalité et le Téléthon. UN CAFÉ-DÉBAT POUR UNE RÉFLEXION PARTAGÉE Le don de soi apporte beaucoup en retour et casse l’isolement. Quand vous êtes bénévole, vous n’êtes plus seul. Marie-Thérèse Rentini, vice-présidente du centre social Albert-Schweitzer. Un nouveau rendez-vous, pendant la Fête des associations, a permis à chacun d’échanger sur la notion d’engagement et de bénévolat. Un débat riche. +FSSZ(SVBUDPOTFJMMFSNVOJDJQBMEÏMÏHVÏËMBDPIÏTJPOTPDJBMFFUBVYDFOUSFTTPDJBVY a défini le bénévole, dans son discours d’ouverture du débat, comme un pilier du NJMJFVBTTPDJBUJGFUEFMBWJFEÏNPDSBUJRVF*MFTUHBSBOUEVCPOGPODUJPOOFNFOUEFT BTTPDJBUJPOTNBJTBVTTJMVOEFTNBJMMPOTFTTFOUJFMTEVMJFOTPDJBM0SDFUUFWPDBUJPO DFEPOEFTPJHSBUVJUTFQBVQÏSJTFFUDPNNFODFËGBJSFDSVFMMFNFOUEÏGBVUTPVWFOU HBOHSÏOÏ QBS MJOEJWJEVBMJTNF 3FQSÏTFOUBOUT EFT DFOUSFT TPDJBVY EF MB .+$.15 EVUJTTVBTTPDJBUJGÏUBJFOUJOWJUÏTËWFOJSÏUVEJFSEFTQJTUFTQPVSiCPPTUFSwMBNBDIJOF du bénévolat, encourager la passion, l’engagement et l’intérêt d’autrui, mais aussi la mise en valeur de soi. BÉNÉVOLAT La société change, on ne bénéficie plus du plein emploi, le bénévolat vient souvent après. S’engager dans quoi, l’écologie, le social… Tellement de choses, c’est difficile. Mais je vais m’engager ! Patrick Desbordes, retraité. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 37 MES LOISIRS ASSOCIATIONS DESTINATION OPTIMISTERRE En 2014, l’Optimisterre a choisi Miramas comme point d’ancrage. Une maison d’édition spécialisée dans la jeunesse et dont la ligne éditoriale est orientée vers le ludique et le pédagogique. Des supports très appréciés par les enfants, les parents et le milieu scolaire. &O MBTTÏT EFT QPSUFT RVJ TF GFSNFOU MBVUFVS +ÏSÙNF 4JOUÒT FU MJMMVTUSBUSJDF *TBCFMMF-FWJFVYEÏDJEFOUEFDSÏFSMFTÏEJUJPOT 0QUJNJTUFSSF %FT ÏEJUJPOT ÏDPSFTQPOTBCMFT ËMBGPJTDPMMBCPSBUJWFTFUJOEÏQFOEBOUFTEPOU MFT UIÒNFT QIBSFT USBJUFOU EF MÏDPMPHJF EV CJFOÐUSFEFMBTPMJEBSJUÏ$IF[0QUJNJTUFSSF DIBDVOBQQPSUFTPOTBWPJSGBJSFVOQBSUBHFEF DPNQÏUFODFT BWFD VOF EÏNBSDIF CBTÏF TVS MF ëOBODFNFOUQBSUJDJQBUJGTZTUÒNFEFQSÏWFOUF 1PVSMFVSEFSOJFSSPNBOArbraxas, un euro est SFWFSTÏËMBTTPDJBUJPO1MBOÒUFVSHFODFBëOEF QMBOUFSVOBSCSF7PVTQPVWF[SFUSPVWFSMFVST PVWSBHFTTVSMFTNBSDIÏTMFTTBMPOTFUMFTGPJSFT FUEÏTPSNBJTË.JSBNBTËMBMJCSBJSJF"VQBZT d’Alice, ou directement sur leur site. Des livres RVJTBESFTTFOUËVOQVCMJDEFËBOTPáMFT énigmes séduiront les plus grands. Les activités ËGBJSFËMBNBJTPOBWFDEFTQSPEVJUTEFSÏDVQÏration et les livres de coloriage divertiront les QMVTQFUJUT%FRVPJTPDDVQFSDFUIJWFSBVDPJO EVGFV Site : optimisterre.fr Je me suis demandé ce que je pouvais faire pour ma planète et pour apporter quelque chose aux générations futures. Sans être moraliste, j’invite les lecteurs à étudier certaines pistes de réflexion pour les sensibiliser au développement durable. Je reste optimiste, d’où Optimisterre ! Jérôme Sintès. ASSOCIATIONS LA YOURTE DE L’ADMR DÉMÉNAGE L’ADMR Loisir Culture Environnement a déplacé sa yourte de quelques centaines de mètres. Les activités se déroulent désormais dans le parc de l’ancienne Poudrerie. L’association propose, depuis sept ans, des activités créatives et pédagogiques inspirées EF MB OBUVSF 6O NPZFO EF EÏDPVWSJS PV transmettre des savoirs traditionnels dans le plus grand respect de l’environnement. -FDBESFFODIBOUFVSFUQSPUÏHÏEVQBSDEF MB1PVESFSJFBDDVFJMMFEÏTPSNBJTMFTBUFMJFST réguliers de l’association comme la culture de plantes aromatiques, des créations VOJRVFTFUEFTHPßUFSTHPVSNBOETËCBTFEF QSPEVJUTOBUVSFMTBJOTJRVFMFTBUFMJFSTËMB DBSUFTVSJOTDSJQUJPO DPNNFMBDPOGFDUJPO de bonbons et de sirops bio, des balades FU SBOEPOOÏFT Ë UIÒNFT MFT BUFMJFST EÏDSJUVSFy6OFSJDIFTTFEFTBWPJSTFU EF SFMBUJPOT IVNBJOFT RVJ GBWPSJTF MFT ÏDIBOHFTFUMFTMJFOTTPDJBVY ADMR Loisir Culture Environnement : 12, avenue Marius-Chalve. Tél. : 06 62 37 58 91. ON S’EXPOSE À LA GALERIE DES MOLIÈRES -FQIPUPHSBQIF$ISJTUPQIF$BTUJMMPFUMFQFJOUSF%BOJFM'BHFTTFTPOUQBSUBHÏMhBïDIFQFOEBOU VONPJT%FTQIPUPHSBQIJFTEIPNNFTFUEFGFNNFTUPSTFTOVTQPVSMVOEFTUBCMFBVYBVCSPV EFOPJYQPVSMBVUSF%FTi.POUTFUNFSWFJMMFTwQPVS$ISJTUPQIF$BTUJMMPEFTi7VFTEFMFTQSJU **wQPVS%BOJFM'BHFTFUEFVYWJTJPOTTJOHVMJÒSFTEFMIVNBOJUÏ“Avec un style très sobre, dépouillé et quand même de la fantaisie, je propose des voyages dans des contrées imaginaires dont je suis le premier visiteur. J’avais envie d’ouvrir le maximum d’espace avec un minimum de moyens” explique %BOJFM'BHFT1PVS$ISJTUPQIF$BTUJMMPMPCKFDUJGÏUBJUGPDBMJTÏTVSEFTCVTUFT“Les portraits de femmes semblent nous dire « je te montre mes seins, je te montre mon cœur, mais regarde aussi comme je suis très forte », tandis que les hommes, nus, n’arrivent pas à rester sérieux et s’amusent. Les hommes sont de grands enfants. C’est cela que j’ai voulu montrer.” Galerie des Molières : 11, avenue de Grèce. Tél. : 04 42 47 00 18. Du lundi au samedi de 14 h à 18 h. Site : http://lagaleriedesmolieres-miramas.com/ 38 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Témoignage “À la différence de l’ancien emplacement, ce nouveau site est sécurisé, ce qui nous permettra une meilleure organisation. De plus, la faune et la flore qui s’y développent sont en parfaite adéquation avec nos ateliers et nous permettront d’offrir au public du parc de la Poudrerie, une animation régulière en faveur de l’environnement”. :WFMJOF%FTHSBVQFTQSÏTJEFOUF EFM"%.3-$& MES LOISIRS SPORT LE MHBOP, RELÈVE ASSURÉE Avec deux titres de champions conquis la saison dernière, le club de handball fonde de grands espoirs sur la relève. Menés tout au long de la finale par une ÏRVJQF TBMPOBJTF TVQÏSJFVSF QIZTJRVFNFOU les garçons catégorie moins de 16 ans E0MJWJFS (FOTPVMFO FU 4BMJN 'FUUBDIF POU remporté, au bout d’un long suspense et EVOFCFMMFSFODPOUSFMFUJUSFEFDIBNQJPOT départementaux. “Ils ont su faire le dos rond pour renverser la tendance en fin de rencontre en récupérant des ballons importants et en marquant en contre-attaque. La technique individuelle et collective comme le mental ont clairement fait la diff érence” explique l’un des entraîneurs. Les filles de moins de 18 ans du club ne sont QBTFOSFTUFQVJTRVFMMFTPOUEÏDSPDIÏMFUJUSF EFDIBNQJPOOFTEFMJHVFSÏHJPOBMFFOCBUUBOU MÏRVJQF EF $IÉUFBVSFOBSE FU TF TPOU BVTTJ RVBMJëÏFT QPVS MF DIBNQJPOOBU EF 'SBODF “Cette génération de filles promet beaucoup et le club compte sur elles pour remonter rapidement l’ équipe seniors d’abord en pré-nationale puis en nationale 3. Avec un esprit de groupe et un comportement exemplaires pour évoluer vers le haut niveau, elles en ont incontestablement les moyens” DPODMVU "SNBOE /FZSP[ QSÏTJEFOU EV.JSBNBT)BOECBMM0VFTU1SPWFODF Miramas Handball Ouest Provence. Permanence du secrétariat au gymnase Concorde tous les mardis et vendredis de 18 h à 19 h 30. Site : http://club.quomodo.com/miramashandball. SPORT VC MIRAMAS, PÉPINIÈRE DE CHAMPIONS SUR ROUTE Troisième aux 6 h de VTT de Miramas, ainsi qu’au raid de Vauban et à la MB Race à Megève, l’une des courses les plus difficiles au monde, le Vélo Club Miramas tient le haut de la route. -FKFVOFDZDMJTUF.BUIJFV.BUIFSPOGBJUQBSUJFEFDFUUFÏRVJQFRVFMF7ÏMP$MVCEF.JSBNBT va amener le plus loin possible, comme l’explique Marcel Vérando, le président du club, qui compte, cette année, une soixantaine de licenciés. “Avec Daniel Campini, leur entraîneur, et moi-même, qui les suivons en voiture en cas de souci, ils respectent un plan d’entraînement très précis et adapté bien évidemment à leur âge. Avec des plages d’ échauffement, d’intensité et de repos, mais aussi des fractionnés et beaucoup d’autres exercices, qui ont pour objectif d’améliorer le VO2 max de chaque coureur.”%BOTDFUUFÏRVJQFEFKFVOFTHBSÎPOTÉHÏTEFËBOTPODPNQUF EPOD .BUIJFV .BUIFSPO NBJT BVTTJ %BNJFO +PTVBO 3ÏNJ 1JFSMPU $ISJTUPQIF "MWJOFSJF +BLVC,BNJOTLJFU4PëBOF$BNQJOJ“Ils n’ont pas tous le même niveau. Mais l’on a de bons espoirs, il nous faudra deux ans pour former un très bon groupe. Ce sont des jeunes que l’on a découverts, que l’on fait grandir et dont on fera, à coup sûr, de futurs champions” conclut Marcel Verando. VC Miramas : [email protected]. Tél : 04 42 56 02 90. Site : vc-miramas.org VO2 MAX, QU’EST-CE C’EST ? Le VO2 max est le volume d’oxygène maximal que l’athlète peut consommer. Il s’exprime souvent en ml/min/kg. Ce débit de consommation est un indicateur de la “cylindrée” du sportif. Le VO2 max se développe avec l’entraînement : plus la charge de travail en endurance est importante et plus ce dernier augmente. 4PVSDFIUUQXXXWFMPNBYDPN MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 39 MES LOISIRS SPORT BOOTCAMP, UNE PREMIÈRE RÉUSSIE Plus de deux cents personnes ont participé à cette course d’obstacles. Le défi était de taille : trente-deux obstacles QPVSDFVYRVJQBSDPVSBJFOUEFVYGPJTMBCPVDMF EF RVBUSF LJMPNÒUSFT TPJYBOUFRVBUSF QPVS ceux qui couvraient quatre tours ! Les particiQBOUTIFVSFVYEFëHVSFSEBOTDFQSFNJFSCPPU DBNQ NJSBNBTTÏFO DPOWJWJBM FU GBNJMJBM POU cependant bien senti et ressenti les efforts endurés. “C’était vraiment génial. On est venu entre amis et on s’est régalé, même si dans les jours qui ont suivi, ce fut décrassage et repos !” détaille l’une des participantes. Marcel Brun, le président de M"TBD MBTTPDJBUJPO TQPSUJWF EBOJNBUJPO DIP SÏHSBQIJRVFEPOOFMFTSBJTPOTEFDFUUFÏQSFVWF BUZQJRVF “Les courses et ces entraînements dits « militaires » sont à la mode. Les sportifs, et les non-sportifs d’ailleurs, aiment cette nouvelle façon de faire du sport entre amis, en famille et en s’amusant. Pour les obstacles, on n’a rien inventé. Il y avait des murs à franchir, un canal à traverser, une fosse de boue. Mais avec des épreuves tous les 250 mètres et le tour à refaire plusieurs fois, on voulait clairement que le parcours soit intense et très cardio, pour que les coureurs se régalent mais se surpassent aussi.” Avec plus de deux cents participants pour cette première édition, Marcel Brun, éducateur TQPSUJGOFYDMVUQBTEFSFUFOUFSMBWFOUVSF“Des coureurs nous ont dit qu’ils seraient là encore plus nombreux. Alors on va voir. Peut-être au printemps prochain avec encore et toujours plus de sensations” conclut le président de l’Asac. du club alpin La Crau en Provence qui compte aujourd’hui près de deux cent cinquante adhérents et fêtera en 2015 ses trente ans d’existence ! En place maintenant depuis la fin d’année 2012, le président souhaite que “Le club reste bien centré sur ce qui est le cœur de sa passion : la montagne”. Massif des Écrins, les Pyrénées comme les Alpes, les Cévennes, le mont Ventoux, la Sainte-Victoire, l’Italie, l’Espagne... Toutes activités confondues, l’association, affiliée à la fédération française des clubs alpins et de montagne, propose en moyenne entre vingt-cinq et trente sorties par mois. “Trente bénévoles et diplômés encadrent toutes ces sections et nos adhérents partagent pleinement notre éthique : la protection de la montagne et le respect de la nature, avec aussi la lutte contre les déchets, l’invasion des moyens mécaniques tout en apprenant à être autonome et responsable face au milieu montagnard. C’est indispensable” conclut Yves Maitrejean. Pour plus de renseignements sur l’Asac : Le Studio, boulevard de France. Tél. : 06 28 13 24 24. Site : www.xtremeworkout.fr SPORT LA MONTAGNE, UNE PASSION ! Le Club alpin La Crau en Provence fêtera bientôt ses trente ans d’existence et multiplie les sorties et les activités sportives en pleine nature. Alpinisme, escalade, randonnée, canyoning, VTT, raquettes, ski de randonnée, marche nordique... “Tout en étant loin des montagnes, notre programme n’est pas, pour autant, des plus plats” déclare Yves Maitrejean, le président 40 MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Club alpin La Crau en Provence. Permanences les mercredis de 18 h 30 à 20 h au local : 10, place Henri Barbusse. Tél. : 04 90 50 02 64. TRIBUNE RASSEMBLEMENT BLEU MARINE -BTÏDVSJUÏFTUVOEPNBJOFJNQPSUBOURVJGBJUMPCKFUEVOFBUUFOUJPOQBSUJDVMJÒSFEFMBQBSUEFUPVUFTMFTUFOEBODFTQPMJUJRVFT" .JSBNBTQPVSMFFSNBHJTUSBUDFTUDPNNFEIBCJUVEFi50657"#*&/w "DSPJSFRVJMOFTFQBTTFKBNBJTSJFODIF[OPVT4JDFOFTURVFQPVSFYFNQMFMFXFFLFOEEFTBTTPDJBUJPOTPOFOUFOEDPNNF UBCMFBVEFUSBORVJMMJUÏVOWÏIJDVMFWPMÏFUPVCSßMÏEFVYDBNCSJPMBHFTBWBOUDÏUBJUBVYMPUJTTFNFOUTEFT0NCSFMMFTFURVFMRVF temps plus tard un résident s’est vu son volet et sa vitre transpercés d’un projectile de "gros" calibre, sans compter les personnes âgées agressées et tout le reste bien sûr. &UDPNNFUPVKPVSTJMGBVUi'&3.&3-&4:&69w0VJFêFDUJWFNFOUPOQFVUGFSNFSMFTZFVY.BJTKVTRVËRVBOE 1FOTF[ WPVTFOUSFBVUSFRVFMFOTFNCMFEFTJODJWJMJUÏTRVJWPVTUPNCFEFTTVTTPJUUPVKPVSTTVQQPSUBCMF /0/.POTJFVSMF.BJSF /PVTBUUFOEPOTEFWPUSFQBSUMBSJHVFVSOÏDFTTBJSFBVCJFOÐUSFEFTIBCJUBOUTEFOPUSFWJMMF &OëOOPVTWPVMJPOTTPVMJHOFSVOQFUJUNPNFOUIVNPSJTUJRVF.POTJFVSMF.BJSFFTUMFiHSBOEEÏGFOTFVSwEFMBEÏNPDSBUJFFUJM FOBTBOTOVMEPVUFVOFWJTJPOUSÒTiOFUUFw-FTHSPVQFTEPQQPTJUJPOTGPOUFOFêFUMPCKFUEFMBUUSJCVUJPOEVOCVSFBVFUEVNBUÏSJFM nécessaire pour leur permettre de travailler dans de bonnes conditions. /PVTBWPOTVOCVSFBVFUVOPSEJOBUFVS.BJTJMFTUBOPUFSRVFOPUSF.BJSFBZBOUVOFQFVSCMFVFRVFOPVTOPVTTFSWJPOTEF MBQIPUPDPQJFVTFQPVSÏEJUFSEFTUSBDUTPVKFOFTBJTRVPJEBVUSFOPVTFOBUSÒTiHÏOÏSFVTFNFOUwBMMPVÏVOFBQSÒTNVMUJQMFT EFNBOEFT GPODUJPOOBOUiËMBGFVJMMFQBSGFVJMMFw /FDSBJHOF[SJFO.POTJFVSMF.BJSFOPVTWPVTMBSFTUJUVFSPOUËMJTTVFEVNBOEBUFOÏUBUEFGPODUJPOOFNFOU7VTPOÉHFQMVTRVF DBOPOJRVFDFUUFiQBVWSFwNBDIJOFDPVMFSBBWFDOPVTEFTKPVSTEVOFSFUSBJUFCJFONÏSJUÏF Le groupe Rassemblement Bleu Marine remercie l’ensemble des grands électeurs rencontrés qui se sont portés sur la candidature de notre collègue Stéphane RAVIER aux élections sénatoriales. Nous saurons faire entendre votre voix. ESPALLARDO - REBOUL - POGGI - ALVAREZ - THOMAS 1FSNBOFODFMFWFOESFEJEFIËIPVTVS3%7BVPV EXPRESSION DE MARYLINE KERAUDY "VDPVSTEV$.VOJDJQBMEFKVJOEFSOJFSVOFEÏMJCÏSBUJPOQPSUBOUTVSMFESPJUËMBGPSNBUJPOEFTÏMVTNVOJDJQBVYFTUWPUÏF -ÏMVEÏMÏHVÏBVYëOBODFTBWBJUQSÏDJTÏiKJOTJTUFSBJTJNQMFNFOUQPVSEJSFRVJMTBHJUEVOESPJUËUPVTMFTNFNCSFTEVDPOTFJM municipal”. -FMBQSFTTFGBJUÏUBUEVOTÏNJOBJSFQPSUBOUTVSEJêÏSFOUTUIÒNFT/POTFVMFNFOUMPQQPTJUJPOOZQBSUJDJQFQBTNBJT DFMMFDJOBNÐNFQBTÏUÏJOGPSNÏF -F MF SÒHMFNFOU JOUÏSJFVS EV $ .VOJDJQBM FTU BEPQUÏ /PVT OPUFSPOT RVJOEÏQFOEBNNFOU EF TF SÏQBSUJS MF UFNQT EPDDVQBUJPOEVMPDBMRVJOPVTFTUBUUSJCVÏDFMVJDJOFEFWSBÐUSFVUJMJTÏRVËEFTëOTEFUSBWBJM%PODQBTEFQPTTJCJMJUÏQPVSWPVT SFDFWPJS*MTFNCMFRVFOPUSFTUBUVUEÏMVTPJUCJFOEJêÏSFOUEVMFVS $FSJTFTVSMFHÉUFBVQPVSDPOOBÔUSFVOÏMVEFMPQQPTJUJPOJMGBVESBGBJSFQSFVWFEFCFBVDPVQEFSFDIFSDIFDBSBVDVOEFDFTÏMVT n’est cité sur le site internet de la mairie !! MARILYNE KERAUDY EXPRESSION DE CÉCILE DUMAS -FTBNFEJPDUPCSFTFUFOBJUË.JSBNBTVOFSÏVOJPOEFTNBJSFTFUÏMVTEÏQBSUFNFOUBVYFUOBUJPOBVYEFT#PVDIFTEV 3IÙOFQPVSEÏCBUUSFEFMB.ÏUSPQPMF/VMOFDPOUFTUFMJEÏFEVOUFSSJUPJSFTUSVDUVSÏBVUPVSEFWÏSJUBCMFTQSPKFUTDPODFSUÏT Mais nous ne sommes pas dupes. Le gouvernement socialiste impose cette métropole pour installer localement sa politique EBVTUÏSJUÏBëOEBVHNFOUFSMFTJNQÙUTTVSMFTNÏOBHFTQFOEBOURVJMGBJUEFTDBEFBVYQBS.JMMJBSETBV.&%&'$FEÏOJEF EÏNPDSBUJFBUUFJOUTPOQBSPYZTNFRVBOEEFTÏMVTMPDBVY.7BV[FMMFEÏQVUÏ'7JHPVSPVY4VQQMÏBOU QSÏUFOEFOUMBDPNCBUUSF BVYDÙUÏTEFMFVSTDPODJUPZFOTBMPSTRVJMTMPOUWPUÏFBV1BSMFNFOU -F'SPOUEF(BVDIF&DPMPHJTUFFU$JUPZFOEF.JSBNBTTFGBJUMFSFMBJTEFMBDPMÒSFFUEFTJORVJÏUVEFTEFT.JSBNBTTÏFOT Les propos de l’opposition sont retranscrits tels qu’ils nous parviennent (NDLR). MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 41 AU FIL DES VIES L'avenue d'Istres dans les années vingt. L'avenue Marius-Chalve aujourd' hui. L'avenue de Salon dans les années cinquante. L'avenue Charles-De-Gaulle aujourd' hui. LES COMMERCES D’ANTAN Quelques anecdotes d'un autre âge. Anecdotes recueillies auprès de Martine Bautista, Viviane Royer, Jean-Marie Pascal. 42 La mère de mon père +FBO "WZ UFOBJU MB -JCSBJSJF EFT GBNJMMFT TVS MBWFOVF E*TUSFT BVKPVSEIVJ BWFOVF .BSJVT$IBMWF &MMF Z WFOEBJUEFTMJWSFTEFTGPVSOJUVSFTTDPMBJSFTEF la papeterie et tout un tas d’articles religieux : DIBQFMFUT DSPJY WJFSHF TBJOUT FO QMÉUSF "V mois de décembre, le grand-père de mon père GBJTBJU EFT DBCBOFT QPVS MB DSÒDIF FU FMMF MFT vendait aussi avec des santons Devineaux. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 Un jour, en fin d’après-midi, alors que mon père était avec sa mère, entrèrent dans la CPVUJRVFEFTTPMEBUTFOVOJGPSNFBMMFNBOE *MTëSFOUMFUPVSEVNBHBTJO-PSTRVJMTWJSFOU les articles religieux, ils se jetèrent dessus. Ma grand-mère s’étonna qu’ils puissent TJOUÏSFTTFS Ë DFMB FO MFVS EJTBOU “Mais comment ? Des soldats allemands ? Vous achetez ces articles ?” *MT SÏQMJRVÒSFOU BVTTJUÙU “Ah non ! Nous pas Allemands ! Nous Polonais !” AU FIL DES VIES Mon père nous raconte souvent : “Quand j’ étais petit, chez moi, il y avait toujours un chat noir. Pendant la guerre, je ne sais pas pourquoi, quand il atteignait l’ âge de 8-10 mois et qu’ il avait un bon poids, automatiquement il disparaissait. Alors, on en prenait un autre. Je me souviens qu’ à côté de chez moi, il y avait un restaurant : le Restaurant de la mairie…” Jusque dans les années quatre-vingts, Fernand était le coiffeur vedette de Miramas. *M BJNBJU KPVFS BVY DBSUFT FU JM ÏUBJU QMVT RVFNPSEVQPVSMFCBMMPO®IMFTDMJFOUT EFWBJFOUBUUFOESFTPOSFUPVSEVDBGÏ(SÏHPJSF MF #BS BNÏSJDBJO Pá JM QBSMBJU FODPSF EF GPPU 4VSUPVU RVË VOF ÏQPRVF MÏRVJQF NBSDIBJU EV GFV EF %JFV FO $'" BWFD EFT KPVFVST EF .JSBNBT 0V CJFO JM UFSNJOBJU d’abord sa partie de cartes avant de se mettre BVUSBWBJM&UQVJTJMSBDPOUBJUEFTIJTUPJSFTFU HBMFKBJUËMBNPJOESFPDDBTJPO0OEFTDFOEBJU EFVYNBSDIFTQPVSBDDÏEFSBVTBMPOBVEÏDPS BVUIFOUJRVF &U DPNNF MB SPCJOFUUFSJF ÏUBJU Ë SFGBJSF MFBV GVZBJU "VTTJ BWBJUJM JOTUBMMÏ un fil pour guider l’eau directement du SPCJOFU Ë MB CPOEF FU OF QMVT FOUFOESF MF flop de la goutte d’eau qui tombe sans cesse ! 1PVSBOOPODFSTFTPCTÒRVFTMBDUFQSÏDJTBJU 'FSOBOE'PVCFSUEJUi'FSOBOEMFDPJêFVSw de la laine, de la passementerie, des boutons, FUD JM Z BWBJU VO QFSSPRVFU &U DIBRVF GPJT RVFMFTFOGBOUTQBTTBJFOUEFWBOUMVJJMDSJBJU “Petite fille ! Petite fille ! L’a quaucun !” À Miramas, à côté de chez Marinette qui UFOBJUMFNBHBTJOMF1JOHPVJOPáFMMFWFOEBJU La graineterie Germain, inchangée depuis sa création. A l’espiçarié À l’épicerie Moun paire nous conto de longo que dóu tèms de sa jouinesso, dins VOPDBSSJFSPQSPDIPTPVOPVTUBVTFUFOJÏVOPFTQJÎBSJÏ-FTQFDJFSP ÒSPQJDIPUPNBJHSPRVËTJTFDPDPVNPVOPFTUPDPëTTPFJÏEJTJFO "OB$BEPGFTRVFRVBVDVOJÏEFNBOEBWPMBMVOPPCÒORVFOBWJÏ pas proun pèr paga, lou mandavo rascla de bouto en cridant : “Vai caga !”"VUBOUMÒVBHVÒSPOMÒVMÒVGBEFMBTVCSFOPVNB"OB$BHB 0SVOKPVSMPVGSBJSFEFNPVOQBJSFQBSUJHVÒFNÏMPVQBUSPVOBHF FOSPVNBWBHFË-PVSEPFUPVUMPVWFTJOBHFJÏEFNBOEÒBMPSEFJÏ SFDBNQBRVVOQBVEBJHPEFMBGPOUNJSBDMPVTPRVVOPWJFSHFEF Lourdo, qu un capelet e bèn segur n’i’avien que demandèron uno TJNQMPDBSUPQPVTUBMP"SSJCBËEFTUJOBDJPVONPVOPVODMFDBSQÒS GPSÎPÒSPNPVOPVODMFQFOTÒFOUØVUJNBJBVNPVNFOEFTDSJÏVSF ËO"OBMFTQFDJFSPOPVOTFQPVTRVÒSBNFOUBTPVOOPVNyDFSDBWP RVFDFSDBSBTy*ÏGVHVÒQBTQPVTTJCMF"OBy.BJ"OBDPVNF %F NBOEÒFOUØVUJBVUPVSEÏV3FTQÒSJÏEPVOBEFOEJDP2VBOEBHVÒ QSPVOUBTUPVOFKBTFEFDJEÒQBNFOTËFTDSJÏVSFTVTMBDBSUP Mon père nous raconte toujours que dans sa jeunesse, dans une ruelle QSÒTEFDIF[MVJTFUFOBJUVOFÏQJDFSJF-ÏQJDJÒSFÏUBJUQFUJUFNBJHSF QSFTRVFTÒDIFDPNNFVOFTUPRVFëTIFUFMMFTBQQFMBJU"OOB$IBRVF GPJTRVFRVFMRVVOMVJEFNBOEBJUMBMVOFPVCJFORVJMOBWBJUQBTBTTF[ QPVSQBZFSFMMFMFOWPZBJUQBÔUSFFODSJBOUiVa caguer !” aussitôt, ils FVSFOUWJUFGBJUEFMBTVSOPNNFS"OOB$BHB 6OKPVSMFGSÒSFEFNPOQÒSFQBSUJUBWFDMFQBUSPOBHFË-PVSEFTFU tout le voisinage lui demanda alors qui un peu d’eau, qui une vierge EF-PVSEFTRVJVODIBQFMFUFUCJFOTßSJMZFOFVURVJEFNBOEÒSFOU VOF TJNQMF DBSUF QPTUBMF "SSJWÏ Ë EFTUJOBUJPO NPO PODMF DBS QBS GPSDF JM ÏUBJU NPO PODMF QFOTB Ë UPVT NBJT BV NPNFOU EÏDSJSF Ë "OOBMÏQJDJÒSFJMOFQVUTFSBQQFMFSEFTPOOPN*MDIFSDIBDIFSDIB DIFSDIBy $FMB MVJ GVU JNQPTTJCMF EZ NFUUSF VO OPN EF GBNJMMF "OOBy.BJT"OOBDPNNFOU *MEFNBOEBËTPOFOUPVSBHF.BJT QFSTPOOFOFQVUMFSFOTFJHOFS"QSÒTCJFOEFTIÏTJUBUJPOTJMTFEÏDJEB FOëOËÏDSJSF Dono Ana-Caga Carriero de Port-de-Bou Miramas Madame Anna-Caga Rue de Port-de-Bouc Miramas. &CÒONFDSFJSJBTTFMPVWPVMJBTNBJMBDBSUPQPVTUBMPBSSJCÒCÒOË CPOQPSUFNÏyRVËVRVJDBDBMBTNBJEFTQPVTDUBNCÒO &UCJFOWPVTNFDSPJSF[TJWPVTMFWPVMF[NBJTMBDBSUFQPTUBMFBSSJWB CJFOËCPOQPSUBWFDRVFMRVFTÏDMBUTEFSJSFNBJTQBTTFVMFNFOU Texte écrit et traduit par Martine Bautista. Pages réalisées avec le concours de Martine Bautista, Sébastien Avy, Jean-Marie Pascal et le servce des archives municipales. MAGAZINE D’INFORMATION DE LA VILLE DE MIRAMAS - N° 144 - Novembre-décembre 2014 43 Élection de Miss Miramas 2014 en présence de Miss France et défilé des Miss régionales le samedi 15 novembre Programme sur www.miramas.org auet04 90www.miramas.org 17 48 38 Renseignements au 04 90 58 08et24 sur Remerciement spécial à Mezz d’Inkorporel Tatoo pour sa participation et pour l’utilisation de ses dessins.
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