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NOUVELLES PARUTIONS en arabe 2014 - 2015 Avertissement NOUVELLES PARUTIONS en arabe 2014 - 2015 Le présent catalogue n’a pas la prétention de recenser tous les éditeurs arabes, ni de présenter toutes les nouvelles parutions arabes. Il propose un certain nombre de titres susceptibles d’intéresser les éditeurs francophones en vue d’une traduction en français. Les éditeurs non cités peuvent contacter le bureau du livre pour figurer dans la prochaine publication. Éditer, c’est faire partager sa passion pour un texte. C’est présenter, dans un espace public de débat, la pertinence de telle ou telle lecture, la proposer avec autant d’enthousiasme intellectuel que de réalisme économique et professionnel. Le monde du livre à Beyrouth – les auteurs, les éditeurs, les libraires, les importateurs – témoigne d’un espace qui ne se ferme pas sur une frontière, mais qui est, à la fois, largement ouvert et pluriel. Les éditeurs et les libraires du Liban organisent la présence d’ouvrages non seulement en arabe et en français, mais aussi dans d’autres langues. Ces professionnels du livre exercent leurs métiers indissociablement au Liban même et, depuis bien des années, dans l’ensemble de la région moyenorientale. Et au-delà de cette région, à travers ce que Stélio Farandjis nomme l’arabofrancophonie, néologisme initié il y a trente ans, en 1983, ils entretiennent aussi des relations spécifiques et très fortes tant avec le Maghreb qu’avec « Paris » - et de plus en plus, également, avec des régions françaises – ainsi qu’avec cette francophonie plurielle qui tisse un réseau complexe d’affinités de par le monde. Cette année encore, le Salon du livre francophone de Beyrouth propose un espace de vente, animé par la Maison du livre, destiné aux livres en arabe traduits de la langue française : de Camus à Bourdieu en passant par Maalouf ou Sorj Chalandon.Cette démarche s’inscrit nécessairement dans une réciprocité. Ainsi, les nombreux titres français traduits en arabe font-ils écho à la participation à la scène littéraire française d’auteurs libanais, d’auteurs concernés par le Liban. Mais cette participation, au-delà des écrivains de langue française, devra naturellement s’ouvrir plus largement à l’édition de traductions en français de livres publiés initialement en langue arabe. Tel est l’objectif de ce catalogue présentant une sélection – limitée, forcément limitée – d’ouvrages publiés en arabe. Il est destiné aux professionnels francophones – et notamment français – du livre. Il est le fruit d’une coopération entre l’équipe de l’école de traduction et d’interprétariat de l’USJ et celle du bureau du livre de l’Institut français du Liban. Bureau du Livre de l’Institut français du Liban éditions Academia International Depuis sa création en 1990, Academia International œuvre à enrichir la vie intellectuelle et culturelle dans le monde arabe. Très productive, elle est spécialisée dans la publication d’ouvrages scientifiques et universitaires dans différents domaines. Elle est notamment devenue une référence en matière de dictionnaires adultes comme jeunesse, et d’encyclopédies scientifiques. www.academiainternational.com Academia International 8ème étage, imm. Banque Byblos, rue Rachid Karami, Verdun BP 113-6669 Beyrouth, 1103 2140 Liban Tél : +961 1 800811 Fax : +961 1 805478 [email protected] éditions Academia International Bahloul Sana Shibani Retrouvez Bahloul avec ses histoires drôles où sagesse, intelligence et vivacité d’esprit font bon ménage. C’est un recueil d’histoires rédigées dans un style séduisant et réjouissant. Découvrons ensemble ce bel ouvrage et jouissons de la lecture de ces histoires amusantes et passionnantes. Une chaise à l’école Basma Al-Khatib Faten souhaite aller à l’école et apprendre, tout comme son frère, mais malheureusement son père croit que ce n’est pas la place d’une fille. Plus tard, il comprendra qu’il avait tort: la fille a également le droit d’étudier. Les souhaits de Faten se réaliseront-ils? Ira-t-elle à l’école ? Maman aime le fattoush Eva Kozma Maman aime notre salade libanaise, le Fattoush! Je me suis toujours demandé pourquoi maman n’en mangeait pas elle même ? N’aimait-elle pas les concombres, les tomates découpées ou les oignons ? Mais je la voyais parfois en train de les manger. Quel est alors le mystère caché derrière le Fattoush ? Cette agréable histoire nous le dévoilera. éditions Academia International Le constructeur d’avions Hassan Abdallah Chawki était mauvais élève mais il était doué ; il confectionnait des avions en papiers. De dures circonstances l’obligèrent à quitter l’école et à aller travailler en ville. Des jours et des années s’écoulèrent et Chawki ne cessait de changer de travail. Finalement, il devint propriétaire de grands magasins de jouets. Que s’était-il donc passé et comment Chawki, le pauvre petit gamin, devint un grand commerçant ? Vous trouverez la réponse dans cette histoire fascinante. Ghalia pendant les vacances Sana Shibani Ghalia est une fillette qui vit avec ses parents et sa sœur aînée. Aujourd’hui, Ghalia a grandi d’un an, elle est devenue plus mature que l’an dernier. Elle a appris beaucoup et a commencé à se débrouiller toute seule. Aujourd’hui, c’est jour de congé ! Comment Ghalia passera-t-elle cette belle journée ? Que fera-t-elle pour profiter de son temps libre ? Beaucoup de questions restent en suspens… Pour en connaître la réponse, lisez cette histoire agréable, amusante et instructive. éditions All Prints Société d’impression et d’édition libanaise Sarl Fondée en 1969 à Beyrouth, elle est l’une des premières à fournir des services d’impression et d’édition dans le monde arabe et le Moyen-Orient. Elle a des antennes à Abou Dhabi et au Koweït. Elle publie des ouvrages en arabe, dans les domaines de la politique, de la religion, de la littérature adulte et enfant, l’architecture, le droit, l’économie, l’histoire, l’art culinaire, sans oublier les dictionnaires et les travaux de grands auteurs comme Robert Fisk ou Noam Chomsky. All Prints est liée à des sociétés du même groupe au Liban, au Royaume-Uni, en France, au Koweït, et aux émirats arabes unis, comme GEO Projects Education pour l’éducation, GEO Projects UK Ltd – Cartographers pour la cartographie, Garnet Education UK Ltd pour l’académique, Garnet Publishing UK spécialisée dans l’édition générale en anglais et la recherche sur le Moyen-Orient. www.all-prints.com All prints Département de Copyrights Tél: +961 1 750872 (Ext: 1) Fax : +961 1 750873 [email protected] éditions All Prints C’est le sang Nawal AL Saadawi Place des Martyrs, le Caire, Egypte. C’est en 2011 que commence l’histoire. Elle remonte le temps avec ses personnages pour rapporter des scènes vivantes vécues dans toute leur amertume et leur obscurité, jusqu’à aboutir au choix fatidique, la révolution, avec tout ce qu’elle comporte de répressions allant au-delà même des limites de la tuerie et du sang. • Badriya, l’écrivaine qui décide de s’exiler et de s’enfuir, • Fouada, la femme qui se détache de toutes les autres, • Chaker, que le père réveille en accablant sa mère de coups, • Hamida, qui essaye de se suicider à l’âge de vingt ans, • Saida, qui emmène sa fille chez un chirurgien pour la faire avorter. C’est Nawal AL Saadawi, avec son audace légendaire, sa volonté impulsive à révéler ce que les autres préfèrent éviter et son style peaufiné qui arrive à capter le lecteur dès la première scène. Elle plonge dans les différents milieux de la société égyptienne, du sommet de la pyramide jusqu’au-dessous même de sa base. Elle dévoile les vices de la société égyptienne et sa dégradation à tous les niveaux. Elle pointe aussi le doigt sur l’Etat qui, à son avis, porte une grande responsabilité. Rien n’échappe à cette constante dégradation : ni la société, ni les mœurs, ni la politique, ni même la Religion. Mais comment l’homme à principes devient-il arriviste et l’homme civilisé se transforme-t-il en homme primitif ? Comment vend-on son âme et sa plume ? Comment détourne-t-on la révolte d’un peuple afin de nourrir les intérêts des puissants ? Nawal AL Saadawi plonge avec ses personnages au cœur de la révolution égyptienne, de l’opposition et des trafiquants. Elle s’approfondit de plus en plus jusqu’à arriver aux raisons qui ont conduit à cet échec, aux signes avant-coureurs de la victoire en commençant par la psychologie de l’Egyptien, en passant par la dépendance économique et tribale, pour arriver enfin aux interventions les plus compliquées dans le domaine des relations, aux positions politiques et aux évènements surprenants. éditions All Prints Idiotie Radi Chehade Un livre aussi envoûtant que moqueur, qui réunit le roman, l’épopée et les histoires populaires. Il tisse une trame dramaturgique qui raconte l’histoire de l’ancienne et de la nouvelle Palestine en ayant recours à des personnages historiques. Il décrit la Palestine avant son occupation, ce qu’elle a subi tout au long de ses douloureuses années et ce qu’elle est devenue aujourd’hui, en dénonçant ce que l’on préfère taire. L’auteur puise son inspiration de ce qu’il a vu et entendu de la vie des Palestiniens. Il mélange savamment ouvrages réalistes, historiques, imaginaires, histoires populaires, textes philosophiques et documents officiels pour créer des personnages modifiés par sa plume, en changeant leurs noms et en regroupant plusieurs personnages en un seul, les représentant tous à la fois. Qu’est-il advenu des habitants et comment s’est déroulé la dure et sanglante séparation ? Des tavernes brillant de mille feux, fourmillant de vertus et de bienfaiteurs et des rues dans lesquelles errent de maigres enfants aux habits en lambeaux et aux pieds nus, à la recherche d’un bout de pain ! Un roman qui ouvre les yeux sur beaucoup de réalités : l’expatriation des Palestiniens au Liban et ce qui s’en est suivi de crimes et de malheurs, les avis partagés des Palestiniens en Israël sur la question de l’occupation israélienne et plusieurs autres débats qui témoignent du vécu des Palestiniens dans les moindres détails. Un roman qui ne laisse pas indifférent, où les personnages emportent le lecteur dans toutes leurs émotions : la douleur, la joie, l’espoir et la frustration. éditions All Prints Danser dans l’ombre des marronniers Abbas Jaafar AL Husseini Un Libanais de dix-sept ans du sud du Liban prend l’avion pour l’URSS pour aller vivre à Kiev où il rencontre une fille nommée Irina. Il découvre plus tard qu’elle est juive. Leur relation arrive rapidement à un stade où il ne reste plus rien à faire puisqu’Irina décide d’émigrer en Israël. Il vit donc tiraillé entre les principes, les convictions et les valeurs qui lui ont été inculqués au sein de son environnement sud-libanais et une passion dévorante accompagnée des plus beaux souvenirs de sa relation avec Irina. Il finit le cœur brisé, privé de son fils que sa compagne a pris avec elle en Israël. Il demeure déçu et se remémore tout ce qui l’a marqué de l’histoire de l’Union Soviétique, de Lénine à Poutine. Il vit en compagnie des étudiants arabes, russes et ukrainiens des évènements fabuleux qui révèlent les secrets de Kiev et ses coulisses. La nature des relations entre l’Ukraine et l’URSS se révèlent : le combat entre la dépendance et l’indépendance commence. Ce roman expose les relations tendues entre de jeunes rebelles et met en relief des réalités autant religieuses que linguistiques. Il porte aussi l’écho d’évènements importants et de batailles sanglantes. On y découvre aussi les secrets des mafias, les activités de l’Agence Juive et les vraies relations entre les pays de l’URSS. « Danser dans l’ombre des marronniers » est un roman… qui d’une certaine façon a su prédire ce qui se passe aujourd’hui en Ukraine. éditions Amers Amers éditions a été créée à Beyrouth en 2007. Elle publie des livres d’art et témoigne de l’activité artistique et culturelle au Liban. Amers œuvre à étendre la visibilité des artistes à travers le livre tout en l’envisageant comme objet artistique. Son objectif éditorial est de publier : -Des monographies d’artistes modernes et contemporains reconnus ou émergents, et actifs dans la région. - Des écrits libres liés à l’art et à la pensée esthétique. - Des ouvrages de collaboration entre artistes et / ou personnalités autour d’une thématique de recherche en lien avec le Liban et le Moyen-Orient. Amers privilégie autant que possible les livres bilingues ou trilingues pour permettre à un plus large public de découvrir les ouvrages. Editions Amers [email protected] www.facebook.com/groups/151735461540776 éditions Amers Théâtre Beyrouth Hanane Hajj Ali Le livre Théâtre Beyrouth est le fruit d’une recherche menée par la comédienne Hanane Hajj Ali pendant de nombreuses années. Elle y retrace et documente le trajet culturel houleux de ce théâtre, le premier à avoir ouvert ses portes à Beyrouth dans les années 60. Elle présente le Théâtre de Beyrouth comme espace multiple, un espace dans un autre, où se sont entrechoquées les dynamiques sociales, politiques, artistiques et culturelles, le stimulant ou au contraire le contraignant au gré des réalités qui ont animé la ville de Beyrouth durant ces années. Guide du Clown Semaan Khawam Ce livre est une prose rédigée dans les années 2000, pendant lesquelles Semaan Khawam épuisait la forme poétique courte qui reprend des thèmes classiques – l’amour, la dépendance passionnée à l’alcool, à la femme, la dérision de soi, la fascination pour la chute, et dans une moindre mesure le recul par rapport au sacré. C’est l’envie de tourner la page et d’interrompre cette forme qui a motivé l’auteur à publier ses textes. C’est donc un acte de publication qui annonce tacitement une rupture. éditions Amers Untitled Tracks On alternative music in Beirut Photographies de Tanya Traboulsi Untitled Tracks regroupe des textes et des photographies qui explorent la scène musicale alternative émergente dans ses divers genres et courants à Beyrouth. Les photographies sont réalisées par Tanya Traboulsi qui photographie et documente cette scène depuis 3 ans dans le cadre de son projet artistique “Music is Life”. Les textes sont signés par des auteurs et artistes de milieux musicaux et artistiques différents concernés par la production artistique au Liban. La Société de Diffusion Arabe La Société de diffusion arabe a été établie en 1997 par Abdul Ghani et Nabil Mroueh. Elle compte plus que 1200 titres à son catalogue, de la littérature jeunesse jusqu’aux ouvrages explorant les différents aspects de la culture arabe. La Société de diffusion arabe se caractérise par son engagement à moderniser le patrimoine arabe, à mettre l’accent sur l’audace et à faire revivre le patrimoine islamique et arabe loin de la rumination à laquelle fait face parfois la culture arabe. La Société de diffusion arabe - Dar al Intishar- est membre de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants. www.alintishar.com La Société de Diffusion Arabe Tél: + 961 1 659 148 Fax: +961 1 659 150 [email protected] Arab Diffusion Company Dans l’attente de la virilité Ibrahim al-Khdeir L’auteur discute de l’impuissance sexuelle; selon l’auteur, c’est un sujet compliqué où la puissance est étroitement liée à la virilité. Selon la culture arabe, l’homme manque de virilité s’il est impuissant . D’où l’importance de discuter ce sujet, notamment au niveau psychique, d’une manière scientifique mais aussi fictive et littéraire. Le récit tourne autour d’un psychologue qui parle de sa vie en tant qu’être impuissant sexuellement. Croyant que l’amour « courtois » pouvait faire réussir un mariage sans vie sexuelle, il est stupéfait lorsque sa femme, cet être raffiné, timide qui l’adorait devint, après les noces, une partenaire agressive l’accusant de ne pas être “un vrai homme”. Emu par la réaction de sa femme, le mari psychologue décida de partir en quête d’un traitement convenable pour son cas. Au cours du récit, un personnage important apparait, la psychanalyste à laquelle l’époux se référa ; ainsi, il s’engagea dans des sessions thérapeutiques pour des années sans savoir réellement si ce traitement lui convenait. L’époux entre en conflit avec soi-même en tant qu’être cultivé. Sur ce conflit se base le récit qui insiste sur la vie de l’homme impuissant dans une société et culture traditionnelles. Arab Diffusion Company “Tala” Mohammad al-Mazini «Tala» est le dernier ouvrage narratif de l’écrivain saoudien Mohammad alMazini, qui introduit dans toutes ses écritures cette personne absente des événements quotidiens passagers. Pour cela, l’auteur analyse en profondeur la société saoudienne, tout en décrivant ses personnages et évènements marquants, notamment «Tala». Tala est une fille née d’une mère française et d’un père saoudien, ce mélange est reflété clairement dans la vie et culture de Tala, voire dans son comportement et les comportements des autres envers elle. Tala a assimilé cette différence grâce à la liberté et l’indépendance accordées par ses parents. Ainsi, elle s’est transformée en une femme distinguée et épanouie au sein d’une société conservatrice qui tente de la remodeler conformément à ses traditions et coutumes. Tala refuse catégoriquement cette transformation et se consacre à la lecture de la littérature française dans l’espoir de trouver un caractère lui ressemblant. Heureusement, elle tombe sur Nathalie Clifford Barney, femme de lettres saoudienne et poète américaine du XIXème siècle, émigrée à Paris. Tala trouve plusieurs points communs avec ce personnage et décide de modeler sa vie conformément à celle de Barney, en faisant même un scandale et elle tente la vie homosexuelle à l’instar de Nathalie. Tala cherche le moyen d’entrer dans le monde de l’écriture, l’art qui a élevé Nathalie au rang des plus grands auteurs. Arab Diffusion Company Que fait un homme dans mon manteau? Nawal al-Jaber On sait bien que l’homme peut être une source d’angoisse pour la femme. L’auteur décide d’analyser le monde masculin de près et de déchiffrer les codes constituant l’âme de l’homme, notamment en étudiant ses relations à tous les niveaux de vie. Dans cette série narrative, l’auteur donne l’occasion à la femme de se dévoiler et communiquer sa peine et ses angoisses librement tout en l’aidant à exprimer ses désirs les plus refoulés. Ainsi, la femme se présente d’abord émotionellement, puis moralement et physiquement. L’auteur établit une comparaison entre l’état de la femme et celui de l’homme et la perception de l’amour par les deux sexes, et a cette fin, l’auteur introduit un dialogue entre la femme et l’homme. Dans cette série narrative, l’équation difficile est bien exprimée à travers deux héros exceptionnels : l’homme et la femme. Le livre est construit autour de 30 petits récits. Lettres d’amour probables entre Henry Miller et Anaïs Nin Leila al-Balouchi «Lettres d’amour probables entre Henry Miller et Anaïs Nin » est un ouvrage littéraire par Leila al-Balouchi portant sur la correspondance échangée entre le romancier américain Henry Miller et la femme de lettres américaine Anaïs Nin. Les deux personnages du récit ont noué une relation d’amour et d’amitié solide, au cours de laquelle 52 lettres d’amour décrivant cette relation auraient été échangées selon l’auteur. L’auteur fait ressentir la psychologie et les émotions de deux personnages considérés comme faisant partie des auteurs les plus controversés du XXème siècle. Arab Scientific Publishers La maison d’édition Arab Scientific Publishers a été créée en 1987 pour répondre aux besoins du public arabe en matière de connaissance académique. Elle a commencé par traduire des ouvrages fondamentaux, puis s’est lancée dans les ouvrages de sciences exactes, sciences humaines, littérature, livres pour enfants et livres jeunesse. Ses publications de qualité s’adressent à tous les publics et tous les âges. www.asp.com.lb Arab Scientific Publishers Imm. Al-Reem, rue Saqiet Al-Janzir, Ayn El-Tineh. BP 13-5574 Beyrouth, Liban Tél: +961 1 785107 /08 [email protected] Arab Scientific Publishers Mon amour est muette Mohamad Badr a-Salem Quand on termine notre lecture de « Mon amour est Muette », on hesite à classer cette oeuvre comme roman ou comme recueil de pensées. En fait, le titre rend les deux options possibles, car l’auteur écrit un récit personnel à travers lequel il se faufile doucement dans la conscience du lecteur, le menant à vivre une histoire d’amour imparfaite. C’est l’histoire de son amour pour une fille muette et comment il s’est éloigné d’elle quand la société l’a rejetée. Il dit : “ Ma tristesse devient intense à chaque fois que je me rappelle que notre société entière s’est dressée contre nous, comme pour établir des normes pour l’amour que nous ne devons point transgresser... Cela m’attriste de voir qu’une femme comme toi, avec une beauté et des qualités pareilles, n’ait pas beaucoup de chance de vivre comme il lui plairait ..... Ils ont commis un crime contre nous ma chérie, ils nous ont séparés par leurs « il ne convient pas » ou « il est indigne que », passant complètement outre le fait qu’ensemble, nous pouvons surmonter l’obstacle de la voix, lorsque je deviendrai ta voix et tu seras mon silence…” Dans son oeuvre, a-Salem raconte l’histoire sous forme d’une lettre à la première personne adressée à une deuxième personne. Ainsi la première est-elle Hattan, le narrateur, présent sous forme directe dans le texte. Il s’adresse à Hanin, la muette, présente sous forme indirecte à travers lui. Le texte est donc une longue lettre adressée à une personne absente, le recours aux métaphores et aux images poétiques pures accentuant la richesse et la beauté du style et de l’expression poétique. Arab Scientific Publishers La malédiction Nazek Saba Yared « La malédiction » est un roman débattant de la question de l’Interdit inhérent à la culture arabe, de l’inceste dans monde où se complètent oppression masculine et tabou social. La narratrice soulève alors cette problématique de par l’héroïne de son roman, « Salma », et de par tous les incidents et événements auxquels elle fait face, que ce soit par action ou par réaction. Saba nous plonge dans un cadre realiste et consacre tous ses efforts artistiques à ce que sa narration soit simple et dépourvue de toute complexité ou banalité romanesque. La narratrice nous emmène de ce fait dans le monde de « Salma », cette adolescente qui, à l’aube de ses quatorze ans, perd sa mère dans une mort soudaine. Salma commence alors à cupabiliser de ne pas avoir réussi à sauver sa mère du sceptre de la mort qui allait s’abattre sur elle ; coupable d’être toujours là, en vie, alors que la malheureuse, elle, reposait sous terre. Ses notes commencent à régresser, et, son père ne pouvant plus payer ses études, elle est renvoyée de l’école, vouée alors à rester à la maison. Un des ses proches, profitant un jour de ce qu’elle était seule, l’agresse. Il persiste ainsi à la violer à chaque fois que son père s’absente et y réussit en l’amadouant avec de petits cadeaux futiles… jusqu’à ce que le père découvre ce qui se tramait et chasse le coupable. Malheureusement, sa menace de le poursuivre en justice n’a point d’effet ; la loi ne punissant le violeur que si la victime réussit à prouver qu’elle s’était défendue ; chose qu’il fut impossible de prouver. Arab Scientific Publishers Le garçon qui a vu la couleur du vent Abdo Wazen écrit par l’auteur et critique littéraire Abdo Wazen, ce roman raconte l’histoire de Bassem, un garçon malvoyant de treize ans qui fréquente un centre spécialisé afin de découvrir un monde nouveau, différent de celui du village où il a vécu pendant toute sa vie. Bassem commence ainsi une nouvelle vie dans le centre : il apprend la langue Arabe, la lecture en braille et comment taper à l’ordinateur. En deux ans, Bassem réussit à avoir du succès surtout après avoir gagné un concours de nouvelles. Dans son histoire, Bassem s’est inspiré de sa vie et de son expérience en tant que malvoyant déterminé à surmonter son handicap et à réaliser ses rêves. Le garçon de l’histoire de Bassem vit aussi une innocente histoire d’amour qui reste sans fin. Mais, Bassem qui a quitté son village n’oublie pas la vie si paisible qu’il a vécue auparavant. C’est l’histoire de Bassem qui a défié l’obscurité de ses yeux et a réalisé ses rêves. Mais qu’advientra-t-il de son amour pur et innocent pour sa cousine ? Arab Scientific Publishers La noyée du lac Moraï Antoine Douaihy « La noyée du lac Moraï » est le nouveau roman du poète et penseur libanais Antoine Douaihy. Il se base sur l’histoire d’un amour étrange et touchant qui réunit puis sépare deux mondes et deux cultures. L’auteur plonge dans les profondeurs de la passion, et part a la découverte des secrets de l’âme humaine. Il tente de pénétrer l’essence même de chacun des mondes et de pointer le doigt sur la crise de l’homme moderne qui y vit. L’incident des « deux amants de Clairy » ou des « deux amants du lac », retrouvés noyés dans ledit lac, retient toute l’attention du narrateur. Ces deux amants, dont les corps ont été retrouvés un beau soir du printemps de l’an 1992, deux jours avant leur mariage, n’ont jamais pu quitter les pensées du narrateur ; il voulait à tout prix découvrir le secret de leur suicide. Mais il n’aurait jamais imaginé vivre une histoire d’amour semblable ! C’est cette passion-là qui, consumant les deux amants, fait que la vie apparait bien plus qu’une simple existence ; elle est l’unique Vérité ; la Mort, au comble du bonheur est une bien noble et meilleure solution qu’une vie vécue dans le désespoir. Voilà le message que voudrait transmettre Antoine Douaihy à travers son narrateur. Tous deux font alors le serment de conter l’histoire d’un amour singulier qui « pénètre les abysses de l’âme, rendant toute existence sans lui impossible. Aussitôt que l’amour devient réalité, de quelque manière que ce soit, il flétrit et se meurt. Ainsi, il n’y a point de vie réelle, et il n’y en aura jamais. Et qui voudra vivre, devra le faire à l’intérieur de lui-même, dans les profondeurs de son âme. C’est le mirage de la vie ». Arab Scientific Publishers Ci-gît la tentatrice Mohammad Ikbal Harb « J’ai peur qu’à ma mort on n’inscrive sur ma tombe… Ci-gît la tentatrice », une tentatrice qui tisse la toile de son désir pour les hommes tout comme une veuve noire. Ces expressions prononcées par Sabrine, l’héroïne du roman, écrit par le poète et romancier libanais Mohammad Ikbal Harb, ne s’éloignent pas beaucoup des traditions fixées par la société arabe. L’auteur a voulu nous faire plonger au coeur du roman en partant du quotidien de la femme arabe. Il n’expose pas de récits habituels mais plutôt des séquences qui se succèdent dans des récits séparés. « Ci-gît la tentatrice » est un texte qui évoque le sujet de la violation de la dignité et de la liberté de la femme. C’est un drame qui peut avoir lieu en tout temps et en tout lieu dans ce vaste monde et surtout dans n’importe quelles circonstances. Ces circonstances peuvent émaner d’une relation amoureuse, de la confiance entre un homme et une femme, des guerres, de la pauvreté, des abus sexuels et de l’inattention d’une femme ; et c’est ce qui est arrivé à Sabrine, l’héroïne du roman, qui avait grandi dans une famille arabe traditionnelle et comme toutes les filles, rêvait d’amour, de mariage . Mais hélas, arriva un drame au sein même de sa maison : « Il frappa à ma porte, demandant la grâce. Je l’ai laissé ce jour-là à l’extérieur sans fermer la porte, par soucis de courtoisie. Il viola mon intimité, déchira mon voile... ». « Ci-gît La Tentatrice » traite du sujet dans un discours narratif qui découle de la réalité du vécu des femmes. C’est un discours qui dévoile l’injustice infligée aux femmes par les mentalités masculines. ASALA Asala est une succursale de la maison-mère Al-Nahda Al-Arabiyya, fondée en 1964 et dédiée à l’édition universitaire dans le monde arabe. Née en 1999, Asala est spécialisée dans les histoires pour enfants, avec à ce jour 600 titres à son actif. Elle aspire à donner aux enfants le goût de la lecture à travers des textes faciles, des dessins de qualité et des prix étudiés. Des conseillers pédagogiques apportent leur contribution au contenu des ouvrages et à leur publication. www.asala-publishers.com ASALA Imm. Kreidieh, rue Midhat Bacha, Zeidanieh BP 11-3434 Beyrouth, Liban Tél: +961 1 743166/7 Fax: + 961 1 7360071 [email protected] Asala Daghfoul Chaykha Al Ziara Daghfoul était embarrassé, il ne savait que penser après le départ de son ami du verger. Il avait peur que son père ne décide de déménager ; il craignait de devoir s’éloigner de ce verger qu’il aimait tant. Daghfoul demanda à son père s’il n’avait pas été agriculteur, quel autre métier aurait-il pu avoir ? Il voulait s’assurer que son père resterait toujours à ses côtés. Une discussion intéressante s’ensuivit. Le père répondit qu’il aurait pu être pilote, violoniste, plongeur, cuisinier, ophtalmologue etc. Ce fut l’occasion pour l’enfant de découvrir un grand nombre de métiers. Quel que soit le métier et quelles que soient les circonstances, il comprit que son père restera toujours à ses côtés et ne l’abandonnera jamais. Asala Toujours à tes côtés Dr. Abir Anouar Quand un enfant tombe malade, ses parents prennent soin de lui… Ce roman raconte l’histoire d’un enfant qui éprouve de la jalousie parce que ses parents se préoccupent de son frère malade et le négligent. Il ne sentira la souffrance qu’a endurée son frère que lorsqu’il tombera lui-même un jour malade ; c’est alors qu’il comprendra. Le voilà en fin de compte qui essaie de soulager les souffrances de son frère, de rester à ses côtés et de prendre soin de lui, attitude qui contribue à renforcer la relation entre les deux frères. Une aventure sur «Facebook» Nidaa Kanadilo Après avoir négligé la demande d’ajout de son nouveau camarade d’école « Fadi » à sa liste d’amis sur Facebook, Mona vécut une grande aventure durant son camp d’été. Elle fut exposée à beaucoup d’intimidations pendant la nuit et supporta les railleries de ses amis à cause de ses visions. Mais à la fin, aidée de ses amis, elle découvrit la vérité et le coupable. Fadi présenta ses excuses auprès de Mona et de ses amis ; une vraie amitié naquit alors entre eux. Asala Que vas-tu faire chère Lina ? Margo Sawaya Khoury Cette histoire raconte les bêtises d’une petite fille qui s’appelle Lina. Sa mère la met toujours en garde contre le fait de fouiller dans les affaires d’autrui mais Lina ne se soucie point de ce que sa mère lui dit. Un jour, fouillant dans les affaires de sa mère, elle tombe sur une montre qui lui plaît. En la manipulant, elle la casse ! Elle sort au jardin où elle rencontre son voisin Nader qui lui aussi a désobéi aux ordres de son père qui lui avait recommandé de ne pas jouer au ballon à la maison. Nader et Lina demeurent ensemble au jardin jusqu’au soir. A l’heure de rentrer chez eux, ils commencent à se demander comment se faire pardonner ? Une excellente idée leur vient à l’esprit ; ils décident de leur offrir un joli bouquet de fleurs et de s’excuser auprès d’eux de leur comportement inacceptable mais involontaire. Quand tu t’irrites Deniazade Al Saady Ce livre a emporté le prix «Communications 2013 » pour la meilleure mise en page. Ce prix est l’un des plus importants de la littérature enfantine. Le sujet traité est d’envergure : la colère. La colère est un sentiment naturel aussi bien chez les adultes que chez les jeunes. C’est en somme une réaction à la frustration. Ce livre permet aux enfants d’apprendre comment contrôler la colère immodérée et la transformer d’une énergie négative en une énergie positive à travers des activités comme le dessin, le chant et la musique. Ce livre se distingue par ses illustrations de haute qualité dont les détails contribuent à transmettre le message d’une manière exacte et attirante. Atlas Aujourd’hui, Atlas continue l’œuvre de la Maison Atlas des années 1950 qui était une des premières librairies et maisons d’édition de la ville lors de sa fondation à Damas en 1956,. Cette maison n’est pas une simple entreprise mais elle est un héritage familial, à présent dirigée par la seconde génération de la famille. Atlas offre un catalogue très diversifié allant des romans aux essais et de la politique à l’histoire. Cette maison d’édition publie des traductions de plusieurs langues sources vers la langue arabe afin de promouvoir différentes cultures dans le monde arabe. Cette diversité de publications est respectée et elle offre à tous les genres littéraires la même chance d’être publiés. Atlas fait rapidement son entrée dans le monde de la publication électronique arabe (e-publishing). Ayant reçu une formation dans ce domaine, notre groupe de travail entame des liens avec d’autres maisons de publications intéressées par cette industrie dans le but de partager nos expériences de travail avec elles. Récemment, Atlas a ouvert une nouvelle branche à Beyrouth dans l’intention de republier des héritages de traductions licenciées et de romans en langue arabe. La Maison Atlas est fière d’être un membre de l’Alliance Internationale des Éditeurs Indépendants depuis l’année 2009. Atlas Tél : +961 3 886423 [email protected] Atlas Le pensionnat de Maryam Nabil Melhem Ce roman porte sur la révolution syrienne d’avril 2011 dans la perspective où elle crée des espaces de refuge pour des êtres humains détruits par la violence et le monopole du pouvoir et non pas comme un simple événement historique. Le pensionnat de Maryam est l’endroit qui cache des humains délaissés, des personnes qui ont tourné le dos au désir de vivre et qui ont quitté les espaces larges pour s’enfoncer dans une chambre sombre et poussiéreuse. Mais la révolution a rendu à Maryam son rôle de femme et à Anis une mémoire chargée d’espoir. Dans son roman, Nabil Melhem, nous emporte d’un monde politique comprenant des discours et des partis politiques vers un autre monde rempli d’espoir qui libère l’esprit et la sensualité de l’humain, lui donnant l’envie de danser et de s’envoler à nouveau, après avoir été vieilli et renfermé trop longtemps. Atlas Les femmes de l’imagination Mamdouh Azzam Le roman porte sur la période des années 50 et 60 en Syrie. C’est l’histoire de quatre amis qui tentent d’empêcher l’arrivée du Parti Baas au pouvoir. Durant leurs années d’études, ces jeunes hommes fondent une bande qu’ils nomment le Stylo Noir et se mettent à rédiger des lettres d’amour à toutes les filles de l’école, ce qui intrigue les agences de sécurité. L’histoire est narrée par Zaydoun, membre de la bande qui trouve 20 ans après les archives secrètes de la bande. Cette découverte fait remonter tous les souvenirs et le pousse à retrouver toutes les pièces manquantes de cette histoire à travers la recherche de ses camarades . Mais Zaydoun sera surpris de trouver que ses camarades ont changé et ces changements sont le reflet de ceux qu’a subis la société syrienne entière durant un règne de dictature totale. Le dernier jeu avant d’imposer les règles Alaa’ Rachidi Comme le titre l’indique les huit histoires de ce recueil ont été choisies pour avoir reflété une période de transition entre un régime et l’autre, y compris les critères culturels et esthétiques de la société syrienne. Les histoires ne sont ni des témoignages de vie réels servant d’archives pour des événements historiques, ni des bilans de littérature révolutionnaire afin d’embellir une certaine utopie, mais, elles sont des histoires qui tentent de transformer une expérience sociale vécue en oeuvre littéraire. Les derniers événements vécus par la société syrienne méritent d’être valorisés et repris dans une approche totalement libre ou même une approche spirituelle et existentielle. Atlas La révolution Syrienne Sa situation actuelle, ses débouchées et ses horizons Salameh Kayleh Le livre porte sur les six premiers mois de la Révolution Syrienne de2011. Il débute par la période d’avant-guerre pour analyser la situation économique de cette période, la lutte des classes sociales et les transformations économiques de la dernière décennie, afin d’essayer de comprendre les causes économiques de la révolution. Il raconte ensuite les débuts de la guerre, son déclenchement ainsi que les régions où elle a gagné du terrain en expliquant les raisons de sa propagation dans ces régions. De même, l’ouvrage cite des slogans répétées lors des manifestations avant d’analyser la crise de la Résistance Syrienne et les conditions nécessaires à sa victoire. Enfin, il poursuit en exposant les positions étrangères vis-à-vis de cette révolution , en essayant d’évaluer chaque prise de position. «N»: L’honnête défunt Georges Kadr Ebn Mouaataz disait: les arabes ont l’habitude d’attribuer beaucoup des noms différents aux concepts qu’ils aiment ou qu’ils craignent. Que dire alors des centaines d’appellations choisies par les arabes pour désigner la relation sexuelle entre l’homme et la femme alors qu’ils hésitent toujours à la qualifier par un nom osé de 3 lettres, déclaré par Adam et trouvé sur les gravures d’Aad. Ce nom que la plupart d’entre nous n’osent prononcer qu’entre les 4 murs d’une chambre : al nayk. L’étymologie du mot comprend une double signification. Selon le Coran, elle fait allusion à l’homme et signifie la pénétration. Par contre, lorsqu’il fait allusion à la femme, le terme “al nayk” porte les connotations de la fertilité et de l’amour. Ce livre explicite les origines du mot “al nayk”, ses racines linguistiques ainsi que les facteurs qui ont transformé ce mot religieux en “un mot tabou”. Bait Al-Mouaten Bait El-Mouwaten est une maison d’édition fondée en 2013. Elle a pour objectif principal de diffuser la culture citoyenne et les concepts qui y sont liés : la démocratie, la laïcité, la société civile, les droits de l’Homme, le genre, les droits de l’enfant et le développement durable… Le programme de la maison s’articule autour de trois axes : la citoyenneté, l’éducation civique, et des témoignages de Syrie. Bait Al-Mouaten Tél : +961 78 840213 [email protected] Bait Al-Mouaten La situation de la femme syrienne dans la crise actuelle Aliaa Ahmed L’image traditionelle de la femme a-t-elle changé ou a-t-elle été ébranlée en Syrie? C’est la question fondamentale d’une étude dans laquelle l’auteur s’efforce de repérer les modifications de la position sociale de la femme en examinant l’étendue de la participation féminine dans la vie publique en Syrie. L’auteur se concentre sur la période de la crise actuelle et se pose la question de savoir si l’intégration de la femme syrienne dans la crise, en tant qu’opposante ou en tant que partisante, représente un moyen de réaliser ses droits... ou si, au contraire, elle ajoute à ses souffrances. À ma fille Hanadi Zahlout L’ensemble des textes narratifs réunis dans ce livre constitue un témoignage saisissant sur l’histoire syrienne. C’est le témoignage sans pareil d’une jeune fille qui rêve de liberté et de dignité et qui se révolte espérant triompher et réaliser son rêve. Sa révolte est d’autant plus intense qu’elle s’insurge aussi bien contre la tyrannie que contre les préjugés sur la femme et sur les appartenances confessionnelles des citoyens. L’auteur dédie son témoignage aux futures générations syriennes représentées par sa fille qui n’est pas encore venue au monde et l’invite à faire une lecture juste de la révolution et à en tirer les leçons. “Alors, et seulement alors vous réussirez, ma fille, à bâtir ce pays...”. Bait Al-Mouaten Comme qui témoignerait de sa propre mort Mohammad Dibo Dans ce livre, le témoignage s’ouvre sur une concordance entre le prénom d’un martyr et celui de l’auteur qui est aussi le témoin lui-même. Et de cette fenêtre grande ouverte, s’évadent et se propagent les souvenirs de l’Intifada qui porte en elle une lueur d’espoir et de joie ainsi qu’une vague d’affliction et d’inquiétude. La langue se déplace avec délicatesse de la poésie à l’analyse politique et s’anéantissent ainsi les barrières entre une langue et l’autre pour que soit posée la première pierre de la mémoire collective d’un peuple qui a voulu un jour se réveiller. Le témoignage de Mohammad Dibo reflète une image assez transparente du tissu social syrien déchiré et illustre la profonde souffrance éprouvée. Il pose cette dure question: “Est-il possible que seule la mort puisse rassembler les Syriens après que la patrie les eut séparés?...” pour ensuite se reprendre: “Que nous importe la patrie, une fois morts ? Allons-nous la transporter dans l’autre monde?” Le vase d’un massacre Mustapha Taj Eldin Moussa Un témoignage retraçant la vie quotidienne d’un médecin durant le second blocus de la ville de Deir Al-Zor, au cours de l’été 2012. L’auteur, qui y exerce comme médecin, est aussi un poète connu. Il archive les petits détails de la vie de sa famille proche, suite au siège de l’armée et aux opérations militaires visant à combattre la révolution. Le livre prend le parti de se tenir loin des généralités et des positions politiques préconçues, pour se concentrer sur les petits détails de la vie dans l’idée de « démanteler le blocus ». Le Centre culturel arabe Le centre culturel arabe a été créé il y a plus d’un demi-siècle, partant d’une bibliothèque à Casablanca suivie d’une maison d’édition à Beyrouth. Il a pour visée de favoriser les échanges culturels entre le Moyen-Orient et l’Afrique du nord afin de promouvoir une réflexion arabe commune. Le Centre encourage la traduction de la littérature mondiale ainsi que les jeunes auteurs, et œuvre à attirer une nouvelle génération de lecteurs. Le Centre Culturel Arabe Tél: + 961 1 352826 [email protected] Le centre culturel arabe La République du Singe Rouge Yasser Ahmad Le roman tourne autour d’un front politique formé par un groupe de jeunes à la suite de la révolution du 25 janvier. Il suit les bouleversements politiques qui ont eu lieu dans les années qui ont suivi la révolution et les divisions qui ont séparé les révolutionnaires. Les événements s’enchaînent et font état de la réalité et des rêves d’une génération qui jongle entre ses ambitions et les changements successifs sur la scène politique. On est transposé ensuite dans le futur où se dessinent alors une nouvelle révolution puis la république pour laquelle les révolutionnaires œuvrent. Les choses se transforment avec l’apparition, toujours dans le futur, du “Singe Rouge”; c’est un jeu hypothétique qui glisse vers la réalité par le biais des moyens de communication modernes et souligne alors les contours d’un nouveau conflit politique. Le centre culturel arabe La boîte aux noms Mohamed El Ash’iri Lorsque les premiers signes de la grossesse commencèrent à apparaître, Soraya vivait toujours dans un tourbillon. Les derniers mois furent bien tumultueux jusqu’à ce qu’elle eut réalisé que le fait de gagner Richard serait l’exploit de sa vie. Et si elle y ajoutait le feuilleton romantique qu’elle rêvait de réaliser pour la télé, elle serait une femme comblée. Elle vivait alors une expérience intense avec son Anglais jusqu’au moment où elle se souvint de quelqu’un … Il s’appelait Imad et était entré dans sa vie jadis. Elle éprouva, pour elle-même, une sombre pitié. Que lui était-il arrivé pour qu’elle ait tellement perdu sa conscience du temps et sa perception des autres ? Etait-ce uniquement l’amour qui l’avait menée à ces ténèbres ? Ou était-ce un fil qui avait précédé l’amour et qui s’était tendu au fond d’elle dans l’attente d’un événement qui couperait ce qui la reliait au reste du monde ? A partir de cet instant, elle commença à voir Richard sous un nouvel angle. Elle le regardait d’un oeil inquiet, passionné, confus. Elle devenait obsédée par la précision et comme lui, se mettait à vérifier tous les détails de leur passion. Ne relate pas tes visions Abdel Wahab Al Hamadi « Je suis étendu… Il fait noir et il n’y a aucune trace de lumière… J’observe… Je discerne des points brillants, infiniment petits… Je réalise que c’est le ciel… Ce sont les étoiles qui scintillent et qui luisent… Soudain, de l’obscurité sort un visage terrifié et qui m’est familier. Il crie : « Ils vont me tuer », puis commence à jeter la terre sur moi et comble ainsi la tombe… J’étouffe et j’ai peur de dormir. » Le centre culturel arabe Frij Al Murar Hamed Nazer Quelque chose en moi se transforme, c’est comme une homogénéité, une harmonie avec ce chaos qui ressemble tellement à celui des salles de transit. Je me souviens des paroles d’un ancien ami à moi, qui venait du Murar, et qui ne parle plus aujourd’hui… « D’habitude, les gens donnent aux endroits un aspect, une allure, mais Frij El Murar est un cas exceptionnel. C’est lui qui donne aux hommes une sorte d’identité qui les marquera à jamais … » Elsa m’a aussi dit quelque chose de pareil dans le passé. Pour elle, les endroits, sans les gens, sont des feuilles vierges, vides, sans contenu, ni sens, ni but… Depuis mon retour d’Adis Abeba, le Frij me semble bien différent. Il a l’air d’un mur énorme qui sépare les gens de leur passé. Les aspects du Frij veillent à garder leur impartialité envers tout : l’histoire, la géographie, le futur, les sexes et les rêves. Section 14 Abbad Yehia Les soldats revenaient de la section 14 au cœur de la nuit et entraient dans les dortoirs, ivres et épuisés. C’était bien le vide qui se dessinait sur leurs visages. Je les observais s’abattre un à un sur les lits alignés le long des deux côtés des dortoirs. Ils s’écroulaient l’un après l’autre comme si une mitrailleuse située au fond du couloir ouvrait le feu sur eux. Je ne tardai pas à commencer à m’imaginer leur nuit surchargée; leurs odeurs, leur ivresse et leurs propos indécents m’inspiraient pour créer une scène exposant la section 14 et ses chambres. Je tentais ainsi, et à chaque fois, de déjouer le piège de la mitrailleuse qui les emportait tous. Abbad Yehia est un romancier palestinien, dont le premier livre Ramallah la Blonde a été publié par le Centre Culturel Arabe. Dar Al Adab Fondée en 1956, Dar al Adab est l’une des maisons arabes les plus anciennes. Prestigieuse et réputée pour sa ligne éditoriale exigeante et littéraire, Dar al adab publie de nombreux auteurs d’envergure, allant de Zakaria Tamer, à Paul Auster, en passant par Élias Khoury, Hoda Barakat et Albert Camus. Au-delà de la littérature, Dar al Adab est aussi une maison engagée, notamment à travers sa revue culturelle et littéraire Adab, fondée en 1953. Dar al adab publie principalement des œuvres de fiction, des études littéraires, du théâtre, de la poésie, et de la littérature de jeunesse. www.daraladab.com Dar Al Adab Imm. Beyhum, Sakiet al-Janzir BP 11-4123 Beyrouth, Liban Tel : + 961 1 861633 [email protected] www.facebook.com/Dar.Al.Adaab Dar Al Adab Le poisson pensant Hasan Abdallah Un poisson veut découvrir un nouveau monde, au-delà des mers. Quelle solution lui proposera son amie la grenouille? Le Sénégalais Mustapha Moussa Le cheikh saisit une poignée de sable jaune et la glisse dans une petite bourse en tissu qu’il resserre avec un cordon. Puis, il la lance sur les genoux du jeune homme brun et lui dit: -”C’est ta terre”. Ensuite, il ôte de son doigt une alliance en argent et dit: -”C’est ton honneur”. Puis il fait sortir un livre à la couverture en cuir épais bleu et dit: -”Et cela est ton ciel. Garde-les bien, c’est toute ta vie”. Dar Al Adab Les tresses de Sa’dah Marwan Al-Ghafory Ce roman relate l’histoire du Yémen, de Sa’dah et de Sanaá, d’Imane, de ses tresses qui tombent des hautes montagnes et du secret de son ventre gonflé. Il dépeint la guerre et les prises de positions, les coutumes et les traditions. Il parle des salariés et de tous ceux qui exploitent la religion au profit des intérêts politiques et personnels. Il dénonce l’ignorance, le fanatisme et la féminité écrasée... Diamant et femmes Lina Hoyan El Hosn Diamant, une chrétienne de Damas, est la petite-fille de Babour, l’Hindoue. Elle épouse Karam Khoury, un comte libanais qui habite à Paris, et entame un voyage imprévu. Pour son histoire d’amour, elle traverse l’Atlantique et finit par se retrouver à São Paulo où elle se bâtit une nouvelle vie avec les émigrants arabes. Elle ne retourne à Paris que pour mettre au monde Carlos, le fils tant attendu du comte. Carlos grandit à Damas et partage ses rêves avec son ami kurde, Bhoutane qui est le petit-fils d’un des plus célèbres princes kurdes. Bhoutane quitte Damas pour poursuivre les rêves de son père. Quant à Carlos, il marche sur les pas de Diamant, sa mère, et de son diamant bleu en direction du Brésil. Dans ce roman, c’est la société de Damas avec ses communautés religieuses qui est abordée. C’est la première œuvre qui se penche sur la diaspora syrienne en Amérique latine. Derrière les portes fermées Samah Idriss C’est l’histoire d’adolescents et de ce qu’ils ont enduré durant leur dernière année d’étude. Il relate aussi les difficultés qu’ils ont rencontrées en choisissant et en suivant une spécialisation à l’université. Au milieu de toute cette souffrance, il y a des expériences de premier amour, de jalousie et d’abandon. Et c’est à travers des chansons arabes et des adages répandus au sein de cette jeune génération qu’une tourmente de sentiments est exprimée sur Facebook. Layla tira ses cheveux en arrière et les attacha en queue de cheval. Elle se mit du rouge à lèvres, puis, elle appliqua un soupçon de mascara, et souligna délicatement ses yeux avec du khôl. Ensuite, elle étala du fond de teint sur son visage, ses sourcils étaient bien dessinés, ses ongles, parfaits. Son nouveau collier vert était magnifique, de grande valeur et ayant beaucoup de classe. D’ailleurs, il attira l’attention de tous ceux qui étaient présents pour la fête de Hicham, tous, à l’exception de Rayan Dicaprio. Mais il lui manquait une goutte de parfum pour être parfaite. Alors, elle en mit un peu sur le cou même s’il n’allait la voir que sur Skype. Elle se scruta dans le petit miroir et mit la dernière touche à son visage et à ses cheveux. Elle ouvrit l’armoire et se contempla de la tête aux pieds devant le grand miroir. Je suis belle, ma foi! Pardieu Rayan, tu es le roi des imbéciles ! Dar al-Farabi Société Libanaise d’impression S.A.L Fondée dans les années cinquante au Liban, Dar Al-Farabi est bien implantée dans le monde arabe. En dépit de la censure imposée dans de nombreux pays, la maison a résisté aux pressions des autorités et des forces du marché. Ainsi, elle a su préserver sa ligne éditoriale engagée pour des alternatives aux tendances idéologiques, culturelles et religieuses dominantes. Dar Al-Farabi est membre de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants. www.dar-alfarabi.com Dar Al Farabi Imm. New TV, rue Jabal al-Arab, Wata al-Msaytbeh BP 11-3181 Code postal : 11072130 Beyrouth, Liban Tél : +961 1 301461 Fax : +961 1 307775 [email protected] Dar al Farabi Le Soldat Arabisant Fayçal Jalloul, libanais Qu’un orientaliste, même s’il est du type de Maxime Rodinson, passe sept ans dans notre pays n’est pas un argument suffisant pour rédiger un livre sur son séjour. Or, qu’un orientaliste refuse d’ajouter toutes ces années à son compte « scientifique », est assez surprenant surtout que d’autres personnes sont restées moins que lui parmi nous et n’ont pas maitrisé l’arabe comme lui. En réponse à la curiosité qu’a suscitée la décision de chasteté de cet homme, ces discussions ont vu le jour. Ce livre modeste n’est qu’un hommage « rétroactif » à un homme dont l’orientalisation l’a exempté de l’orientalisme ! Dans la scientificité de la pensée de Khaldoun Mehdi Amel La révolution intellectuelle d’Ibn Khaldoun consiste à avoir libéré la pensée historique de la domination religieuse repérant la dimension matérielle qui y existe. Il a fait régner la sociologie à la place de Dieu et remplacé l’interprétation par l’explication. L’explication est nécessairement matérielle et scientifique. Ce qui ne signifie pas un refus de la religion ou de la sharia et de ses principes. La sharia est différente de l’Histoire ou de la sociologie et l’on ne peut pas les confondre ou combiner leurs champs. Voilà la réalité de l’ordre dans « l’introduction ». C’est plutôt un ordre sociétal, historique, matériel et non divin. Il serait alors étudié selon la société et ses lois et non conformément aux principes de la religion ou de la sharia. La sharia a sa raison et les affaires de la sociologie et l’Histoire ont les leurs. Il n’est donc pas possible, dans le savoir, de confondre les deux. Dar al Farabi Le roman arabe Youmna Al-Eid Ce livre traite de la relation entre l’imaginaire romanesque et ce que l’auteure appelle « la référence vivante ». Elle met en lumière la trajectoire du roman arabe, ainsi que les caractéristiques de sa construction et ses significations. écrivaine et critique libanaise, Youmna Al-Eid a travaillé dans l’enseignement secondaire et universitaire à La Sorbonne ainsi qu’à la Faculté des Lettres arabes de l’Université libanaise. Elle a reçu le prix de la Fondation Al-Awis. Ainsi parlaient les Mutazilites avec la raison Ishaq Al Cheikh Yacoub Avant que la pensée mutazilite ne gagne une place historique, la transmission avait un pouvoir absolu au détriment de la raison. Les mutazilites ont libéré la pensée musulmane, ouvrant les textes religieux à l’exercice de la raison. Ce débat sur la pensée continue d’occuper une place dans la vie intellectuelle d’aujourd’hui. Ishaq Al Cheikh Yacoub est né en Arabie Saoudite en 1927. Il s’est enfui au Bahreïn, puis au Liban et en Syrie, où il a écrit dans différentes revues. Depuis 1976, il est rentré au pays où il milite sur le plan intellectuel. Dar al-HADA’EK Dar Al-Hada’ek est une maison d’édition libanaise spécialisée dans la publication et la distribution de livres et de magazines arabes pour enfants. Elle a publié à ce jour plus de 400 livres pour enfants qui ont obtenu des prix au Liban et à l’international. www.alhadaekgroup.com Dar Al-Hada’ek 6ème étage, imm. al-Sharq al-Awsat, Pont de l’aéroport BP 216-25 Beyrouth, Liban Tél : +961 1 840389 Fax : +961 1 840390 [email protected] Dar al-Hadaek D’habiles passants Nabiha Mouhaydili Illustré par Hassan Zaher el Din Ce livre nous invite à la découverte de scènes de contemplation à travers les yeux d’une petite fille. Des scènes répétées autant de fois que le paysage qui s’offre à elle depuis son balcon. La petite fille vit ces scènes de contemplation et d’observation en interaction avec les passants du trottoir sur lequel donne son balcon. L’histoire a le même théâtre d’actions durant tout le récit, mais les temps changent ce qui confère de la vivacité au texte. Ce tapis blanc sous nos pieds Nabiha Mouhaydili Illustré par Loujayna el Asil C’est l’histoire d’une petite fille Naya et de son tapis blanc qui ne ressemble en rien aux tapis communs. Naya est un personnage optimiste qui marque les esprits avec joie et calme, son tapis blanc est cousu et orné avec le fil de ses pensées et ses questionnements joyeux et sagaces. Une histoire qui reflète l’esprit de curiosité propre aux enfants. Dar al-Hadaek Les histoires de Jeha Amani El Echmaoui Illustré par Hanadi Salit Jeha est un personnage important dans le patrimoine humoristique arabe, il est connu pour sa personnalité enjouée. Jeha est le protagoniste principal de ces nouvelles connues qui cachent des maximes tirées des aventures de Jeha. Ce livre a pour but de créer des liens entre les nouvelles générations et la littérature arabe traditionnelle. Dar El Ilm Lilmalayin Fondée en 1945 à Beyrouth, elle a plus de 3000 titres à son catalogue. Elle a distribué près de 300 000 ouvrages dans des domaines variés : linguistique, histoire, littérature, critique, politique, sociologie, droit, philosophie, éducation, psychologie, santé, nutrition, sciences, culture générale, livres scolaires et jeunesse, sans oublier les dictionnaires. www.malayin.com Dar Al-Ilm LilMalayin 2ème étage, Centre Medco, rue Mar-Elias, Tallet el-Khayat BP 1085 Beyrouth 2045 8402 Liban Tél: +961 1 306666 Fax: +961 1 701657 [email protected] Dar El Ilm Lilmalayin Le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité Dr Lama Bendak Rassurez-vous madame : «Tout enfant qui s’agite continuellement n’est pas nécessairement atteint d’un trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité ». Reconnue pour ses compétences scientifiques et son expérience pédagogique, l’auteur aborde avec son collègue l’une des plus grandes difficultés de l’apprentissage. Elle distingue l’excès d’énergie de la turbulence tout en expliquant comment traiter cette dernière au niveau comportemental, académique et pédagogique. Elle trace également les grandes lignes d’un programme de formation constitué d’activités qui permettent d’améliorer l’attention, la mémoire, la réflexion et la langue orale. L’art culinaire aleppin Sana Oubari Barbir C’est un nouveau livre de cuisine internationale, un recueil de plats aleppins, les plus célèbres et les plus savoureux! Des recettes appétissantes, faciles à préparer. Rédigé dans un style clair et agrémenté d’images en couleurs. Tous les ingrédients pour vous mettre en appétit ! Dar El Ilm Lilmalayin Miaou n’aime pas sa couleur Maha Atef Al Shahri C’est une histoire drôle qui emporte l’enfant dans le monde de l’animal, en lui en faisant découvrir les différents genres et formes. Elle veille aussi à lui apprendre les différentes couleurs. Ses illustrations soignées ressemblent au style des dessins d’enfants colorés avec des crayons de cire. J’ai horreur de tomber malade J’ai horreur de tomber malade C’est l’histoire d’un enfant qui s’absente de l’école pour cause de maladie. Il nous décrit comment se passent ses journées à la maison et nous parle de sa maladie et de ce qu’il ressent. En même temps, il pense à ses camarades qui jouent, dessinent, écrivent et s’amusent à la sortie de classe… Il nous raconte aussi ses souffrances et l’ennui qu’il ressent, comment son père l’aide à oublier sa douleur et comment il passe son temps en attendant de guérir et de retourner à l’école. Dar El Ilm Lilmalayin Les soucis de Siba Ghida Al Yaman « Tous mes amis ont des téléphones portables, j’en veux un aussi », phrase souvent répétée par les enfants et sujet souvent controversé au sein des familles. C’est le cas de Siba et de sa mère Hoda. Le rêve de Siba est le même que celui de toutes les filles de son âge. A chaque fois qu’elle aborde ce sujet avec sa mère, cette dernière lui oppose un refus total. Elle dit qu’il y a déjà un téléphone fixe et un téléphone portable à la maison. Nul besoin donc d’acheter un portable à une fille de l’âge de Siba ? Mais cette dernière prétend que tous ses amis en possèdent un. C’est une histoire vraie et amusante, adressée surtout aux jeunes. Une histoire que vivent la plupart des familles arabes de nos jours. Elle relate l’histoire de la jeune fille Siba et ses amusantes tentatives d’acheter son propre téléphone portable. Comment s’achève l’histoire ? Siba parvient-elle à réaliser son rêve ? Dar Al-Saqi Fondée en 1979 à Londres, puis à Beyrouth en 1990, Dar al-Saqi a pour philosophie de faciliter l’échange culturel. Dans cette perspective, la maison publie des auteurs arabes de toute la région allant de l’Afrique du nord au Golfe, et traduit vers l’arabe la littérature mondiale. Sa ligne éditoriale se démarque par son audace. Au-delà du plaisir esthétique de la lecture, elle cherche surtout à élargir l’horizon des lecteurs, et à stimuler la réflexion. Dar al-Saqi publie des œuvres de fiction et de non-fiction, de la poésie, ainsi que de la littérature de jeunesse et de jeunes adultes. www.daralsaqi.com Dar Al-Saqi Imm. Al-Nour, rue al-Oweini, Verdun BP 113-5342 Beyrouth, Liban Tél : +961 1 866442 Fax : +961 1 866443 [email protected] Dar Al-Saqi L’Etat Islamique Les Racines … La sauvagerie … L’idéologie … Le futur Abdel Bari Atwan Le journaliste écrivain Abdel Bari Atwan, spécialiste d’al-Qaida, révèle l’origine de « l’Etat islamique » et de la « Khilafah » décrite par le ministre de la défense américain comme étant « l’ultime menace terroriste à laquelle font face les Etats-Unis ». Il cherche les racines de cet Etat, ses fondements idéologiques, la nature des forces qui le composent, les secrets de sa montée soudaine, les sources de ses forces et de ses faiblesses, sa relation avec l’organisationmère « Al-Qaida » et les facteurs de litige et d’accord entre les deux. Atwan scrute aussi les causes de sa brutalité sanglante contre ses opposants dans l’histoire islamique et occidentale à la fois. L’auteur s’arrête sur les sources de financement et d’armement de l’Etat islamique. Il étudie également son puissant empire médiatique, sa diffusion dans le monde islamique et le secret de la ruée des jeunes pour rejoindre ses rangs. Enfin, il essaye de prévoir l’avenir de l’Etat Islamique et sa capacité à survivre et à fonder un Etat. Il examine la légitimité de ses ambitions et la possibilité de les réaliser sur le terrain. Dar Al-Saqi Le rebelle Mohamed Al-Gharbi Amran Une fois la maison de son père brûlée et sa mère accusée d’adultère et de déplacement de sa famille, le masqué se trouve sans abri à la recherche de sa mère aux quatre coins du Yémen divisé, vivant les affres d’une révolution pour l’unir. Entre accusation d’avoir formé des cellules d’opposition au régime de l’imamat et arrestation, fuite et tentative de vengeance pour son passé, le masqué rebelle connaît une vie riche et intéressante. Ce roman plonge au tréfonds de la société yéménite, à la recherche d’histoires discrètes d’une révolution visant à éliminer la monarchie et à établir une république. Provision pour perte Charbel Dagher Yusra se suicide dans des conditions mystérieuses, après avoir déposé son journal intime chez le voisin qui travaille comme auteur-employé. Elle lui demande de rechercher son fils, Hadi. Son testament pousse l’auteur-employé à voyager au Sénégal où avait vécu Yusra avec son époux Nabil, le commerçant libanais. Il part à la découverte des traces d’une longue histoire épineuse. L’auteur-employé commence à retrouver le fil d’une histoire qui va le pousser à la recherche de lui-même. Un roman qui traite de personnes exposées au viol dont les plaisirs sexuels sont refoulés aux plus profonds d’eux mêmes sous l’effet de la guerre et des sociétés qui portent atteinte à leur humanité. Dar Al-Saqi La fille de Souslov Habib Abed Arrab Srouri Sa femme meurt dans une explosion terroriste en France et son sang se mélange aux crayons mines qu’elle lui apportait en cadeaux. Omran retourne au Yémen dont le Nord et le Sud se sont unifiés et où le Salafisme s’est répandu jusqu’à Aden, la ville de sa jeunesse : cette ville qui lui a volé les regards de l’adolescente Faten et leurs intimes rencontres silencieuses et où « la Docteur » lui a appris l’alphabet de la vie sexuelle. A Sanaa, il rencontre une prédicatrice salafiste, avec laquelle il aura une relation interdite. La révolution du Yémen éclate et il descend aux places, portant des rêves anciens et une pensée intellectuelle éclairée, alors que les salafistes se révoltent contre un régime qui les avait toujours tolérés. Il s’agit d’un roman qui patauge dans l’interdit et raconte la réalité du Yémen contemporain ainsi que l’histoire d’Aden qui se transforme en une ville opprimée et voilée, après avoir eu la bonne fortune de partager le nom du « Paradis. » Les Oiseaux de la Nuit Majed Sleiman Burhan a été arrêté avec douze autres personnes pour avoir planifié une tentative de coup d’état. Ils se retrouvent dans le monde effrayant de la prison…De la prison au désert, entre la fuite, l’espoir et l’amour, Burhan passe sa vie frôlant la mort après le décès de tous ses amis. En prison, le choix de la mort est plus facile que celui de la vie. La décision du gardien de maintenir la vie du prisonnier devient une forme de torture supplémentaire, surtout quand la pancarte accrochée sur la porte principale dit «Bien traiter les prisonniers, ils sont des êtres humains ». Dar Annahar Fondée en 1967 par Ghassan Tuéni, PDG du premier quotidien de Beyrouth, An-Nahar, la maison d’édition Dar An-Nahar qui s’est illustrée dans les deux domaines arabe et francophone, tout en publiant des ouvrages en anglais ou trilingues, est connue pour son avant-gardisme littéraire, le sérieux de ses études historiques et sociales, son intérêt pour les questions d’actualité ainsi que pour les soins apportés à la présentation des livres qu’elle publie. www.darannahar.com Dar Annahar Tél: 01 747 620 / 01 747 621 [email protected] Dar Annahar Ce Pont Ancien La chute/fin du Liban chrétien Kamal Dib Ce livre, à travers le cas du Liban, examine la transformation du Moyen-Orient d’une région où les chrétiens étaient majoritaires au VIIe siècle alors qu’ils ne sont plus que 10% aujourd’hui. Le cas du Liban s’explique par le fait que c’est le seul pays où les chrétiens participent au pouvoir politique, ont une base économique importante et continuent de jouer un rôle social et culturel prépondérant, bien qu’ils soient passés de 80% en 1918 à moins de 35%. Le livre aborde le sujet sans indulgence pour les leaderships chrétiens libanais et leur fait assumer une large part du déclin, notamment par leur choix d’écarter de leurs rangs les élites éduquées et éclairées pour se mettre au diapason des leaderships musulmans et des dictatures régionales permettant à ces derniers de monter en puissance sur la scène locale et de les marginaliser progressivement, transformant le pays en scène d’affrontement chiite-sunnite où ils ne jouent plus que les seconds rôles auprès des uns ou des autres. Il en résulte un désintérêt grandissant des chrétiens pour la politique, une baisse de leur participation aux élections, et l’exode. Le livre, qui pousse son analyse en anticipant jusqu’en 2020 conclut sur une note plus optimiste en exposant des solutions et des choix pour l’avenir proche. Dar Annahar L’histoire De Matil May Daher Yacoub Basée sur des faits véridiques, notamment un échange de correspondance dont des extraits sont repris, « L’Histoire de Matil » est celle d’une jeune femme courageuse et ambitieuse, qui souffre du carcan des conventions sociales et des traditions. Petite-fille d’une famille qui a fui l’Anatolie pour la Palestine puis le Liban à la suite des massacres perpétrés contre les minorités, Matil est contrainte de se marier dans des circonstances dégradantes. Elle connaitra la misère, la violence conjugale, les humiliations puis les affres de l’émigration en Argentine, avant de rebondir, en devenant à force de persévérance une femme d’affaires reconnue qui reviendra vers sa famille et son passé 37 ans après avoir quitté le Liban, et trouvera respect et dignité. C’est le premier roman de May Daher Yacoub, ancienne journaliste au quotidien An-Nahar. Histoire de la Syrie Contemporaine Kamal Dib Le livre de Kamal Dib sur la Syrie est l’un des best-sellers de Dar An-Nahar depuis sa parution et son succès ne se dément pas. Certes, il existe de nombreux ouvrages sur la Syrie, en français, mais l’un des points forts de celui-ci est qu’il est bien le seul à couvrir une période aussi longue, près d’un siècle, comme le note Patrick Seale, qui avait lu le manuscrit, dans un commentaire figurant en quatrième de couverture ; commentaire qui souligne aussi le style narratif et délié de l’ouvrage. En outre, le livre retrace non seulement l’évolution politique mais également l’histoire sociale et économique du pays depuis son accession à l’indépendance. Ouvrage très fouillé, avec, à l’appui, des références en langues arabe, française, anglaise et allemande. Dar Attanweer Les Editions Dar Attanweer ont été lancées au début des années 80 puis ont cessé leurs activités au milieu des années 90. Fin 2012, les Editions Dar Attanweer connaissent un nouveau départ fidèle a leur histoire qui se démarque par les travaux des principaux penseurs arabes et par l’enthousiasme de leurs éditeurs pour la mise en place d’une institution culturelle dont le but est de mettre la culture en avant en Egypte, au Liban et en Tunisie. Les Editions Dar Attanweer ont publié des œuvres dont le but est d’introduire de nouveaux noms dans la culture arabe et de rééditer les classiques avec des annotations et des préfaces. Les Editions Dar Attanweer accordent une grande importance à la culture française puisqu’elles travaillent actuellement à traduire des œuvres d’Alain Badiou, Luc Ferry, etc. www.dar-altanweer.com Dar Attanweer Tél Beyrouth: +961 1 843340 Tél Caire: 00201005418118 [email protected] [email protected] [email protected] Dar Attanweer L’Italien Chukri Al Mabkhout C’est au cours de l’histoire contemporaine de la Tunisie, depuis Bourguiba et jusqu’aux augures qui ont annoncé la révolution, que se déroule la narration de l’Italien. Les insurrections des étudiants, le conflit politique entre la gauche, les laïcs et les forces islamiques, les ambitions des héros du roman, aspirant à la liberté personnelle, le dévoilement des vices du pouvoir instauré par Ben Ali, la confrontation des tabous sexuels, religieux et sociaux avec le sentiment de révolte qu’ils créent… C’est ainsi que la vie de l’Italien, par son expression poignante, apporte un éclairage nouveau sur cette période de la vie de la Tunisie. Le monde de Saddam Hussein Mehdi Haidar « L’effort, le souci de précision et l’empreinte profonde de l’art sont engagés dans l’écriture. C’est l’une des rares fois où l’on ose vraiment aborder l’Histoire dans nos romans. » Abbas Beydoune (Journal Assafir) « Œuvre instituant un mouvement littéraire qui nous est étranger : celui du dictateur arabe. » - Abdo Wazzan (Journal Al-Hayat) « Roman qui accorde à l’esprit le luxe de savourer la créativité. Bien riche en description et en production artistique. Narration prenante pleine de finesse. » - Badria Al Bishr (Journal Al-Riyad) « Ce roman tourne autour d’une personnalité controversée mais tend aussi à bâtir un monde romanesque fascinant et idéal. » - Mohamed Al Ghamidi (Journal Al-Hayat) Dar Attanweer Le Papillon bleu Rabih Jaber C’est à travers une écriture captivante que Rabih Jaber traite d’une étape transitoire de l’histoire du Mont-Liban. S’entrecroisent dans son récit l’histoire du Français Portalis qui fonde son usine de soie et celle de l’immigration des Libanais vers l’Egypte ainsi que le début de l’ouverture du Mont-Liban sur un monde plus vaste. C’est l’époque durant laquelle la région se débarrassait de la domination turque. Rabih Jaber est lauréat du Prix Booker du roman arabe. Ses œuvres ont été traduites en plusieurs langues, dont le français, et ont été publiées par les plus grandes maisons d’édition. Histoires Maha Hassan Comme une magicienne douée, Maha Hassan puise de son imagination, ses histoires de romans. Elle commence par raconter sa vie dans son pays originaire, la Syrie, pour passer ensuite à sa vie à l’étranger et nous emporte dans ses voyages entre Paris, le Canada, la Syrie de nouveau et l’Égypte. L’histoire du roman se déroule dans tous ces lieux et se fixe finalement dans le café “Shéhérazade” à Paris où se confondent différents événements qui racontent les défis, les échecs et les espoirs de la révolution égyptienne. Le roman “Histoires” mêle les causes des femmes, leurs rêves et leurs relations avec leur passé jusqu’à leur arrivée au “Shéhérazade”. Dar Attanweer Le pouvoir dans l’Islam Abdel Jawad Yassine L’idéologie politique du pouvoir dans l’Islam s’est bâtie en réaction aux discordes et aux conflits entre les membres de la triade politique musulmane constituée par la théocratie sunnite et par les deux mouvements qui l’opposent : « le chiisme et le kharijisme ». Cet ouvrage expose les problèmes de la pensée politique musulmane contemporaine qui se concentre sur ses constituantes salafistes incapables de trouver des solutions aux conflits actuels. Dar Onboz Dar Onboz est une maison d’édition indépendante basée à Beyrouth, au Liban. Elle se spécialise en récits illustrés pour enfants et pour adultes, livres d’art, livres d’artistes et bandes dessinées en arabe. Il s’agit d’une plateforme inter et multidisciplinaire qui transforme livres et histoires en morceaux de musique, théâtre, animations , films et autres formes d’art afin de toucher un large public tout en rendant l’art et le design accessibles dans un contexte qui manque d’espaces et d’institutions visant à faciliter cela dans le monde arabe. Plusieurs prix internationaux prestigieux ont été décernés à Dar Onboz, y compris trois prix au Salon du livre pour enfants de Bologne, en Italie. Nous croyons au pouvoir de l’art et de la culture comme pierre fondatrice de nos sociétés. www.daronboz.com Dar Onboz BP 11-8007 Beyrouth, Liban Téléfax: +961 1 380533 [email protected] [email protected] [email protected] www.facebook.com/daronboz Dar Onboz TABATI / MA BALLE Nadine R.L Touma Illustration et conception : Lara Assouad Khoury [1] Peut-on donner vie aux formes géométriques basiques ? Peuton avoir recours à ces mêmes formes géographiques et couleurs de base pour raconter des histoires et illustrer le monde qui nous entoure ? La calligraphie arabe, si complexe et linéaire, peut-elle devenir constructiviste et s’élaborer à partir de formes géométriques plates ? Ces questions ont initié la réflexion conceptuelle qui donna lieu à une histoire puis un livre illustré et enfin une police de caractère. Tabati (Ma Balle), un livre destiné aux tout-petits et accompagné d’une animation en DVD, a relevé ce défi. À travers son contenu et son style, il a réussi à matérialiser une forme abstraite, d’affirmer qu’un cercle est une balle, un soleil, une roue ou un point au sein d’une lettre. Affirmer aussi que le rectangle est un Aleph et un brin d’herbe. Nadine R.L Touma s’est posé la question puis a rédigé les textes tandis que Lara Assouad Khoury a illustré et conçu le livre pour ensuite créer la police de caractère que nous avons appelée TABATI. La police de caractère TABATI a remporté le prix du Type Directors Clubs en 2011. En 2012, le livre a reçu le Prix Opéra Prima au salon du livre pour enfants de Bologne, en Italie. La police de caractère TABATI a été créée sous sa forme latine afin d’illustrer le concept que nous avions créé en typographie arabe. Dar Onboz Hal Hathihi Souraton Chamsyyah ? / Est-Ce Une Photo De Passport ? QUESTION DE NADINE R.L TOUMA ILLUSTRATIONS AREEJ MAHMOUD Un livre rempli de questions où chaque question mène à une autre. « Les feuilles sontelles le nez des arbres ? ». « Pourquoi n’y a-t-il pas une échelle entre la terre et le ciel ? » Vous avez très certainement en tête une liste de questions qui vous ont traversé l’esprit ou que l’on vous a posées. Ce livre encourage ses lecteurs à appréhender ces questions comme une fenêtre sur un autre monde à découvrir et non à craindre. L’ultime question de ce livre est: « A-t-on une réponse pour chacune de nos questions ? » Sous forme d’histoire visuelle sans parole, tel un film muet, cet ouvrage rassemble des dessins au crayon et à l’encre de chine dont les détails conduisent le lecteur à une autre liste de questions. Kharbacha / Gribouillage TEXTE NADINE R.L TOUMA ILLUSTRATIONS RENA KARANOUH Une ligne noire qui s’étire, un point qui se forme, la naissance d’un sentiment, une pensée qui se dessine, des histoires qui nous éclaboussent, se tissent et demeurent au sein de notre imagination, elle-même couverte de gribouillages. Ces mêmes gribouillages qu’on nous interdisait de faire sur les murs ou dans les livres. Chacun de nous a sa propre imagination et chaque imagination ses gribouillages. Dessins à l’encre, collages, plumes, pierres, coquillages, fils, enveloppes, fil de fer et papier ont tous été utilisés par l’illustrateur pour donner vie à chaque détail de l’histoire. Dar Onboz Madina Moujawira Lil Ard / La Ville Voisine De La Terre Texte et dessins : Jorj Abu Mhayya Un roman graphique, le premier du genre dans le monde arabe. Notre protagoniste arrive un jour du travail et découvre que sa maison a disparu. Est-il bien ce qu’il pense être ou quelqu’un d’autre ? Est-ce bien chez lui ou un autre endroit que l’on prénomme chez soi ? Parfois, ce que nous appelons notre chez-nous, ou ce que nous faisons, est si étrange ou éloigné de qui nous sommes que nous finissons par créer notre propre monde, entre réalités et fiction, afin de préserver notre santé mentale tout en la perdant peu à peu en route. Ce roman graphique, avec ses dessins d’une merveilleuse délicatesse ainsi que la complexité du scénario qui se tisse au fur et à mesure, nous emporte vers les sombres secrets de notre moi profond et les endroits où nous vivons. Noojoom / Noujoum HISTOIRE NADINE R.L TOUMA SCULTPURES ERIC DENIAUD Un mythe moderne ou un conte populaire à propos d’une fille appelée Noujoum Stars. Transparente, telle du verre, depuis sa naissance, elle ne put s’arrêter de pleurer jusqu’à ce que d’anciennes rivières coulent à nouveau, inondant la ville et provoquant l’exode de la petite fille et de ses parents. à travers Noujoum nous redécouvrons la mer, ses créatures et la vie qui l’entoure et qui existait, il y a bien des années, au Qatar. Avec elle, les créatures de la mer reviendront et les vieilles histoires renaîtront. Difaf Les éditions DIFAF (Rives) est une jeune maison qui a été crée en aout 2012 ; elle repose sur la grande expérience de son créateur Bachar Chebaro qui a été le gérant d’une des plus grandes maisons d’édition libanaises : Arab Scientific Publisher et cela pendant 27 ans. DIFAF a la particularité de se spécialiser en sciences humaines, littérature et jeunesse, servant ainsi un projet culturel et une ligne éditoriale stricte. DIFAF dès son premier anniversaire compte 275 ouvrages dont 5 traductions du Français vers l’Arabe ; elle assure une diffusion très large à travers les différant pays arabes grâce à un réseau de partenaires venant d’Algérie, Maroc, Iraq, Tunisie, Jordanie…. Nous défendons par nos publications les valeurs de la modernité, les libertés, la tolérance et le rationalisme, d’où notre intérêt particulier aux littératures étrangères et à la philosophie occidentale. DIFAF Tél : +961 3 223227 [email protected] Difaf L’amour au déclin de l’automne Nour El Din Boukhalifa Le narrateur se questionne sur la possibilité d’une vie au jour le jour. C’est l’histoire de deux personnages qui ont en partage les principes de l’amour, de la vie, de la religion et des femmes. Nour El Din ne connut ni la faim ni la pauvreté, il n’a jamais souffert dans sa vie. Raison pour laquelle il ignorerait l’amour jusqu’au point de le bannir comme si l’amour ne prenait source que dans les esprits tourmentés par la souffrance. Kasem Amir a acquis sa sagesse religieuse grâce à son ami Abdallah el Tarashi qui marie l’amour de Dieu à l’amour des femmes. Sa vie entière va changer le jour où il va rencontrer Loubna ou Jamile qui va lui procurer un habitat, une bibliothèque et de l’amour. Elle deviendra donc un tournant dans sa vie, grâce à l’amour sa vie passe d’un extrême à l’autre. Il ne passera plus ses nuits dans une voiture garée sur le bord de la route mas dans un appartement avec une bibliothèque, il ne couchera plus avec des corps sans noms mais se créera une amitié nouvelle ; il vivra surtout une histoire d’amour différente de celles qu’il lisait dans les livres. Une vie sans amour est une vie dénuée de sens. Burkini ou Confessions d’une femme voilée Maya El Hajj Comment une femme portant le foulard islamique perçoit-elle son propre corps ? Que cache-t-elle sous son voile ? Quel genre de relation entretient-elle avec son corps, le sexe, les hommes, l’art, la société, la mode et autrui ? Burkini nous invite à la découverte du dilemme qui existe entre le corps et le voile. Il est le premier livre qui traite du voile et de l’état psychologique des femmes qui le portent, il s’incruste dans des scènes intimes et décrit des sentiments refoulés dans les plis du voile. Ce livre est le témoignage d’une artiste voilée qui peint la nudité, il fait écho au conflit intérieur que vit cette femme entre coutumes et choix. Difaf La chambre des souvenirs Béchir Moufti Le narrateur suit de près la relation qu’entretiennent trois amis entre eux durant une période critique qui débute dans l’espoir de l’attente du chef « zaim » avec de nouveaux emplois. Celle-ci prend fin avec la mort de ce dernier, une mort qui enterre avec elle toutes les lueurs d’espoir. S’ensuit une période tragique de violence et de changement dans leurs personnalités ainsi que du déchirement de leurs rêves de paix et de liberté. L’histoire tourne autour d’Aziz Malek qui est le personnage principal du roman. Âgé de cinquante ans, il est pris de tristesse et de tendresse, il cherche donc à écrire son premier et dernier roman. Une envie folle le guidera à écrire et à retracer ses souvenirs depuis son enfance, en passant par l’époque où il avait fait la connaissance du cercle de poètes qui rêvaient d’écrire et de goûter à tous les délices de la vie, jusqu’à arriver à son histoire d’amour étrange dont les fils resteront en l’air avec Leila Morgan. Le livre s’ouvre sur la série de questionnements intimes que se pose le narrateur après avoir reçu une lettre d’une femme qu’il aimait, lettre qui témoignait d’un échec. Cette lettre le poussera à écrire et c’est dans l’écriture qu’il va découvrir les souffrances de sa génération. Nazik Hanum Lina Hoyan El-Hassan L’héroïne de l’histoire est une jeune fille arabe libérale de Damas, l’une des plus anciennes capitales de l’Orient. Elle quitta sa ville pour aller vivre librement à Paris. De nombreux syriens ont entendu parler de Nazik Hanom qui dit-on avait posée nue pour Picasso, elle faisait également partie des dix premiers mannequins habillés en smoking pour la première fois par Yves Saint Laurent. Elle fut la première à porter le bikini sur les plages de Damas et à conduire en tenue de tennis. Apres la mort de son mari, un riche iranien qui avait fui son pays qu’il considérait la demeure de la tristesse, elle rentra dans sa ville natale et devint le sujet de conversation de toute la ville. Un jeune Damascène riche et cultivé, cependant très croyant et appartenant à un parti conservateur, succombera à son charme. Apres qu’il l’eut convaincue de l’épouser, il l’assaillira avec sa jalousie, un conflit éclatera quand il lui demandera de porter le voile. Elle décidera alors de retourner à Paris, il la tuera par balles et quittera le pays pour diriger des groupes extrémistes. Ce livre met en lumière l’ambiance parisienne des années 60 et l’influence culturelle parisienne sur les étudiants arabes. Hachette Antoine Hachette Antoine est le fruit d’une joint-venture entre le groupe Hachette Livre et la Librairie Antoine, la plus grands chaîne de librairies du Liban. Créée en 2009, la maison est en passe de devenir l’un des acteurs majeurs de l’édition dans le monde arabe. Le catalogue « Trade » d’Hachette Antoine a pour vocation de proposer une offre de qualité, principalement en langue arabe, et donne voix à de jeunes écrivains orientaux comme à des auteurs internationaux. Il comporte aussi bien des romans et essais que des livres jeunesse et pratique, en passant par des ouvrages de référence. La maison diffuse ses ouvrages dans tous les pays de langue arabe d’Afrique du Nord, du MoyenOrient et du Golfe. www.hachette-antoine.com Hachette Antoine Sin el Fil, Horch Tabet – Forest 965 building BP : 11-0656, Riad El Solh, 1107 2050 Beirut, Lebanon Tél : +961 1 483 513 Fax : + 961 1 510 501 Hachette Antoine Le Meneur de jeu Ahmad Mohsen Jeune journaliste passionné de football, Ahmad Mohsen part de l’univers du ballon rond pour progressivement déboucher sur une critique acerbe des différents milieux politiques libanais. Sa plume sarcastique, comme sa verve poétique, font du Meneur de jeu un roman piquant difficile à lâcher. Il est en lice pour le prix Sheikh Zayed 2015. Les Fous de Béthléem Oussama Al Issa Palestine, de nos jours. Avec brio, l’auteur s’amuse à raconter les histoires vraies des personnes qu’il a croisées à l’intérieur comme à l’extérieur des murs de l’asile de fous de Bethléem. Une approche originale et inédite qui dépeint, à l’aide d’anecdotes populaires, une réalité palestinienne dont l’auteur a pris le parti de rire… pour ne pas pleurer ? Hachette Antoine Les Bagages de la mémoire Charbel Qattan Les aéroports regorgent de bagages perdus ou abandonnés ; celui de Beyrouth ne fait pas défaut à cette règle. Eihab Allam travaille au service des douanes et il va découvrir au fur et à mesure de ses recherches que chaque bagage porte en son sein l’histoire et les souvenirs de son propriétaire. Ces différents récits vont vite le ramener à sa propre histoire, à celle de son père et à la guerre du Liban. Premier roman de Charbel Qattan, Les Bagages de la mémoire a été nominé pour le Prix international de la fiction arabe en 2012. Un petit goût de Mort Manav Zeitoun Si vous aviez la possibilité de recommencer votre vie de zéro, feriez-vous les mêmes choix ? Anouar se réveille dans un cercueil après avoir fait une crise cardiaque. Un prêtre l’entend et le libère de sa prison de bois. Un dilemme le tiraille alors : reprendre sa vie là où il l’a laissée ou se contenter d’observer de loin ses proches, qui le croient mort ? Le premier roman de ce jeune auteur syrien prometteur a été nominé pour le prix Sheikh Zayed 2014. Manav Zeitoun vient de publier son deuxième titre chez Hachette Antoine. Hachette Antoine Qassida Une sculpture de Saloua Raouda Choucair Le Zeyer Une peinture de Chafic Abboud La collection « Darb Al Fann » (« La route de l’art »), créée par Rime Najjar et Bassam Kahwagi, vise à familiariser les enfants à l’art contemporain arabe. Le premier titre de cette collection amène peu à peu ses petits lecteurs, par un jeu de formes et couleurs, à reconstruire la sculpture « Qassida » de l’artiste libanaise Saloua Raouda Choucair. L’album a été récompensé par le « Best Kids Book Design » de la foire de Beyrouth 2011. Le second titre, tout juste paru, est consacré au peintre Chafic Abboud et sa peinture « Le Zeyer ». Manshurat Al-Jamal Fondée en 1983 à Cologne, Al-Jamal a commencé en diffusant gratuitement des petits livrets aux étudiants et immigrés arabes en Europe. à partir de 1995, elle est devenue une maison d’édition du monde arabe à part entière et a édité plus de 550 livres dont de nombreuses traductions en littérature, sociologie et philosophie, ainsi que 21 numéros de la revue ‘Ouyoun. En 2005, une antenne a été ouverte à Bagdad, puis une autre en 2007 à Beyrouth. www.al-kamel.de Al-Kamel Verlag 7ème étage, Imm. Estral, rue Hamra Beyrouth, Liban Téléfax : +961 1 353304 [email protected] Manshurat Al-Jamal L’Abîme Salima Saleh Il sent à cet instant même qu’il est en train de renoncer à ce qu’il lui reste de sa vie, tel un client qui, ayant réglé son repas, laisse la monnaie au serveur. Il va donc renoncer à ce qui reste, même s’il lui reste beaucoup. Il va renoncer à toutes ces villes qu’il n’a pas vues, à toutes les mers que son bateau n’as pas naviguées, à toutes les histoires d’amour qu’il n’a pas vécues, aux enfants qui porteront son nom, à la maison qu’il ne pourra bâtir et à l’arbre qui ne croîtra pas et dont il ne verra point le tronc durcir. Puisque de toute manière tout disparaîtra un jour, mieux vaut alors que tout disparaisse maintenant. Chroniques d’une Disparition Ibtissam Azem Les péripéties du roman « Chroniques d’une Disparition » se déroulent en l’espace de 48 heures dans les villes de Jaffa et de Tel-Aviv, lorsque les habitants apprennent, à leur réveil, qu’un événement imprévu a tout bouleversé autour d’eux. Pour mieux décrire la situation, les faits relatés couvrent l’instant de cet événement-là et les incidents de la ville de Jaffa en 1948. C’est à travers la voix d’Alaa que le sens de la «Nakba » et les effets de son prolongement sur la vie personnelle des Palestiniens se cristallise. Lui-même palestinien, Alaa écrit son journal en s’adressant à sa grand-mère, originaire de Jaffa, pour se rappeler ses souvenirs avec elle. Son voisin Ariel, journaliste, trouve les mémoires d’Alaa et tente de les comprendre mais en vain, car il les lit à travers son propre regard. Entre ces deux voix apparaît le narrateur omniscient qui suit les développements de l’événement absurde et les réactions des personnalités, pour en venir à une conclusion résumant l’absurdité et la cruauté de l’histoire. Un roman sur la mémoire du lieu. Manshurat Al-Jamal Harat a-Soufaha’ Ali Mosbah Dans son roman Ali Mosbah relate les détails de la tragédie tunisienne sur un ton gai et ironique, soulignant les différences et décrivant le ridicule des palais, des tables et des festins, où l’on a renoncé à toute moralité, à travers des scènes drôles qui conviennent au théâtre et au cinéma de l’humour noir. Il décrit de la même façon le dictateur émergent qui a renversé le régime et s’est reinstallé au palais tout abasourdi. L’élite l’acclame alors jusqu’à ce que l’enivrement de la victoire se dissipe. Aussi se met-il à contrôler le chaos et à instaurer l’ordre comme le dicte le singe « Boukis » qui n’appartient pas à la race humaine et qu’il avait choisi comme premier conseiller. « Le lecteur arabe, habitué au soi-disant héros problématique dans le roman arabe classique, ne peut trouver ce qu’il recherche dans le roman d’Ali Mosbah où le héros n’est plus une personne mais représente aussi bien le groupe que les marginalisés. » Nameq Spencer et moi Shaker Al Anbari Le héros du roman et ses deux amis Nameq Spencer et Nader Radio incarnent l’histoire des Irakiens en exil. Il y a un quart de siècle, ils ont quitté leur pays à cause des guerres, des déplacements et de la répression politique et sociale. Ils ont connu un état de déchirement spirituel et familial sans pareil dû au changement de pays et de langue. Le héros se déplace d’un endroit à l’autre, seul ou en compagnie de ses amis. Quand il retourne à Bagdad en tant que correspondant d’un journal danois pour créer des archives sur la violence, il se sent comme un étranger dans ces endroits qu’il avait connus auparavant. Avec la mort de son ami Nameq Spencer, c’est une importante page de sa vie et de l’histoire du pays qui est tournée. éditions Oueidat Fondée en 1957, cette maison est spécialisée dans les traductions du français vers l’arabe qui couvrent 75% de ses publications. Forte de 1600 titres, Oueidat travaille avec des éditeurs de dictionnaires et d’encyclopédies, de même qu’avec Gallimard, Larousse, Fleurus, Bayard et les Presses universitaires de France, dont elle a traduit plus de 200 ouvrages de la collection « Que sais-je ? ». www.editionsoueidat.com Editions Oueidat 5ème étage, Imm. Hajmaco, rue al-Mama, Tallit el-Khayat Imm. Oueidat, derrière l’école de Combat, Haret Hreik Code postal : Riad Al-Solh, Beyrouth, Liban 1107 2050 Tél : + 961 3 616 033 Téléfax : + 961 1 305 961 Tél : 961 3 616 033 [email protected] [email protected] éditions Oueidat Le soulèvement de la pensée arabe Mohamed Abdel Rahman Marhaba Ce livre souligne le rôle des soulèvements, des révolutions et des grandes transformations dans l’accélération du mouvement de l’histoire. C’est là que réside le commencement de toute histoire et sa dynamique psycho-sociale. Les époques de grande transformation connaissent une explosion des idées. Ce sont elles qui font l’histoire. Il n’y a pas de réforme, de progrès ni de création sans idées. Les individus font les idées et les idées sont des charges d’énergie qui accroissent dès lors qu’elles sont soumises à la discussion. L’énonciation dans la rhétorique arabe Samir Abou Hamdan Cet ouvrage est innovateur dans sa forme et son contenu. Il explore une région encore vierge de la rhétorique arabe, celle de l’énonciation, qui se trouve à la charnière entre la psychologie et la linguistique. Le critique et écrivain libanais Samir Abou Hamdan énumère et compare les théories occidentales sur les valeurs énonciatives définies, avant de s’attaquer au champ de l’énonciation arabe. éditions Oueidat Cheikh Abdallah Al-Alaely et le renouvellement de la pensée contemporaine Fayez Tarhini L’Islam a dominé il y a quatorze siècles pour donner une nouvelle impulsion à la civilisation humaine, faire triompher le bien et anéantir le mal. Allah a envoyé le Prophète pour qu’il remette à jour les affaires religieuses et profanes des gens. Celui-ci a professé son message, insufflant une nouvelle vie. La personnalité universelle du cheikh Abdallah Al-Alaely incarne, à notre siècle, une valeur intellectuelle qui a fait beaucoup parler d’elle. Il existe un consensus sur le fait qu’elle était l’écho authentique d’une époque qui a connu de nombreux événements. Recueil historique des sciences arabes Mohamed Abdel Rahman Marhaba L’étude historique des sciences implique une étude du développement de la mentalité des scientifiques, et de ce qui a tantôt entrainé une réussite, tantôt une décadence. L’histoire des sciences arabes islamiques n’est pas la glorification d’un passé révolu. Ce qui nous intéresse chez nos ancêtres, c’est de nous immerger dans leur pensée scientifique, d’analyser les composantes de leur civilisation, et de savoir comment les sciences occidentales et orientales se sont mutuellement imprégnées, afin de mieux les assimiler et de pouvoir ensuite innover. éditions Oueidat L’autre dimension de Kamal Joumblatt Samir Abou Hamdan Critique d’avant-garde, l’auteur se retrouve face à une personnalité politique, intellectuelle et littéraire éminente. Abou Hamdan, qui est apparu au cours des précédentes années comme un des rénovateurs de la critique, de la pensée et de la littérature, se voit confronté à un exercice périlleux…. Qu’y a-til de plus ardu que de plonger dans une personnalité universaliste de l’acabit de Kamal Joumblatt, qui était un modèle à suivre en matière de politique, de morale, de littérature et de mysticisme? Sa philosophie morale est peut-être le seul garant pour mettre un terme à l’extravagance de notre civilisation contemporaine et pour le bien de l’humanité. Annexe L’Institut français du Liban Espace des Lettres, rue de Damas Beyrouth, Liban Tél : +961 1 420 200 Fax : +961 420 207 www.institutfrancais-liban.com [email protected] www.facebook.com/soutienaulivrebeyrouth (en arabe) www.facebook.com/bureaudulivrebeyrouth (en français) En collaboration avec l’Ecole de Traducteurs et d’Interprètes de Beyrouth (ETIB) - Faculté des Langues - Université Saint-Joseph Traduction faite par les étudiants de l’ETIB: Maya Achkar - Michele Bitar Nehme Rebecca Chahwan - Christelle Chami Noelle Galyoungi - Julien Hajj - Farah Matta Caline Gisèle Nasrallah - Marie-Ange Rizk Révision faite par les enseignantes de l’ETIB: Gina Abou Fadel Saad - Patricia Rached