le comité - Les Services de Réadaptation du Sud
Transcription
le comité - Les Services de Réadaptation du Sud
SOMMAIRE MOT DU PRÉSIDENT ET DU DIRECTEUR GÉNÉRAL DÉCLARATION DU DIRECTEUR GÉNÉRAL PRÉSENTATION DE L’ÉTABLISSEMENT Mission Territoire desservi Données démographiques du territoire 5 6 7 8 9 9 Services offerts 10 Structure organisationnelle 14 Ressources humaines ACTIVITÉS DE L’ÉTABLISSEMENT Réalisations et orientations des différentes directions Direction des services de réadaptation Direction des services professionnels, de la qualité et de la recherche Direction des ressources humaines, du développement organisationnel et des communications Direction des services financiers, techniques et informationnels Entente de gestion Orientations stratégiques de l’établissement Démarche d’Agrément et plan d’amélioration Gestion de risques Bilan de la commissaire aux plaintes COMITÉS Conseil d’administration Comité de vérification Comité des usagers Comité exécutif du conseil multidisciplinaire Comité de vigilance et de la qualité Comité de gestion des risques Comité éthique ÉTATS FINANCIERS État du suivi des réserves Rapport de l’auditeur indépendant CODE D’ÉTHIQUE ET DE DÉONTOLOGIE FONDATIONS 13 15 16 16 21 28 40 46 48 49 51 54 57 58 58 60 62 62 63 64 65 82 83 85 91 Ce document est disponible en version électronique sur le site Internet de l’établissement. ISSN 1927-2111 (Imprimé) ISSN 1927-212X (En ligne) Dépôt légal - Bibliothèque et Archives Canada du Québec, 2013 ADOPTÉ PAR LE CONSEIL D’ADMINISTRATION DU 16 SEPTEMBRE 2013 Dépôt légal - Bibliothèque nationale du Canada, 2013 LISTE DES PRINCIPAUX ACRONYMES AEO Accès, évaluation, orientation MSSS AQIS Association québécois de l’intégration sociale Ministère de la santé et des services sociaux PDRH ARATED Association régionale Autisme et TED Plan de développement des ressources humaines ASSSM Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie CIT Centre de traitement informatique CLSC Centre local de services communautaires CMR Centre montérégien de réadaptation CPSST Centre patronale de santé et sécurité du travail du Québec CRDITED Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement CSSS Centre de santé et de services sociaux DI Déficience intellectuelle Principes pour le déplacement sécuritaire des bénéficiaires PI Plan d’intervention PICA Programme d’intervention des comportements agressifs PIGE Planification intégrée et gestion des effectifs PSI Plan de services individualisé RAC Résidence à assistance continue RIS Réseau intégré des services en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement RITM Réseau intégré de télécommunications multimédia Directeur général RNI Ressource non institutionnelle DRHDOC Direction des ressources humaines, du développement organisationnel et des communications RPCU Regroupement provincial des comités des usagers Ressource de type familial DSFTI Direction des services financiers, techniques et informationnels RTF DSPQR DG 4 PDSB RI Ressource intermédiaire SIPAD Système d’information pour les personnes ayant une déficience Direction des services professionnels, de la qualité et de la recherche SSSS Services de santé et des services sociaux DSR Direction des services de réadaptation SISSS Système d’information sur la sécurité des soins et des services ICI Intervention comportementale intensive SQETGC Service québécois d’expertise en troubles graves du comportement IPEC Intervention postévénement critique SRSOR Les Services de Réadaptation du SudOuest et du Renfort SST Santé et sécurité au travail ITCA Intervention Thérapeutique face aux comportements agressifs LSSSS Loi sur les services de santé et de services sociaux Liste des principaux acronymes - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 TED Trouble envahissant du développement TGC Troubles graves du comportement MOT DU PRÉSIDENT ET DU DIRECTEUR GÉNÉRAL Il nous fait plaisir de vous présenter le rapport annuel de gestion 2012-2013. À la lecture du présent rapport, vous serez en mesure de constater que de nombreuses activités ont été réalisées afin d’améliorer l’offre de services aux personnes ayant une déficience intellectuelle ou un trouble envahissant du développement. À nouveau cette année, la personne a été au coeur de notre action. À nouveau cette année, les SRSOR ont réussi à respecter le budget alloué tout en offrant des services spécialisés à 2 243 personnes. Par ailleurs, un vaste plan de restructuration concernant nos immeubles a été entrepris. Cette opération générera des économies récurrentes de 304 000 $ à compter du mois d’août 2014. C’est grâce à l’engagement de notre personnel et des membres de notre conseil d’administration que les SRSOR ont accompli leur mission avec tant de succès et de passion. Un grand merci à vous tous! En effet, nous sommes très fiers d’affirmer que nous avons atteint la grande majorité des objectifs fixés lors de notre planification stratégique. L’entrée en vigueur de la Loi sur la représentation des ressources de type familial et de certaines ressources intermédiaires et sur le régime de négociation d’une entente collective les concernant (Loi 24) a nécessité la mobilisation de l’ensemble des directions de l’établissement pendant plusieurs mois. 5 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Mot du président et du directeur général DÉCLARATION DU DIRECTEUR GÉNÉRAL À titre de directeur général, j’ai la responsabilité d’assurer la fiabilité des données contenues dans ce rapport annuel de gestion ainsi que des contrôles afférents. Les résultats et les données du rapport de gestion de l’exercice 2012-2013 du CRDITED Les Services de Réadaptation du Sud-Ouest et du Renfort : •décrivent fidèlement la mission, les mandats, les responsabilités, les activités et les orientations stratégiques de l’établissement; •présentent les objectifs, les indicateurs, les cibles à atteindre et les résultats; •présentent des données exactes et fiables. Je déclare que les données contenues dans ce rapport annuel de gestion ainsi que les contrôles afférents à ces données sont fiables et qu’elles correspondent à la situation telle qu’elle se présentait au 31 mars 2013. Gilles Bertrand Directeur général 6 Déclaration du directeur général - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 7 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Présentation de l’établissement MISSION ADAPTATION RÉADAPTATION INTÉGRATION La mission des centres de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement (CRDITED) s’inscrit dans un contexte légal. L’article 84 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (L.R.Q., c.S-4.2) confirme que : « La mission d’un CRDITED est d’offrir des services d’adaptation ou de réadaptation et d’intégration sociale à des personnes qui, en raison de leur déficience intellectuelle (...) requièrent de tels services de même que les services d’accompagnement et de support à l’entourage de ces personnes. 8 À cette fin, l’établissement qui exploite un tel centre reçoit, sur référence, les personnes présentant une déficience intellectuelle; il s’assure que leurs besoins soient évalués et que les services requis leur soient offerts à l’intérieur de ses installations, dans leur milieu de vie, à l’école, au travail, à domicile ou, si nécessaire, il s’assure qu’elles soient dirigées le plus tôt possible vers les centres, les organismes ou les personnes les plus aptes à leur venir en aide. » À notre mission première qui est d’assurer des services aux personnes vivant avec une déficience intellectuelle se sont ajoutés des services spécialisés à la clientèle ayant un trouble envahissant du développement. Ces services d’adaptation et de réadaptation sont offerts sur référence aux personnes et à leur entourage qui comprend la famille et les différents milieux qu’elle fréquente. Présentation de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 TERRITOIRE DESSERVI DONNÉES DÉMOGRAPHIQUES DU TERRITOIRE La Montérégie représente un territoire de plus de 11 000 km2 dont près de la moitié fait partie du territoire des SRSOR. En 2013, 621 260 personnes résident sur le territoire desservi par les SRSOR, ce qui représente un peu plus de 40 % de la population montérégienne. Le territoire des SRSOR compte aujourd’hui 86 municipalités, 5 centres de santé et de services sociaux (CSSS) et 2 réserves autochtones : Akwesasne et Kahnawake. 1 5 15 B 6 23 3 24 4 22 17 14 10 2 A 19 9 21 VALLEYFIELD 11 20 16 7 CENTRE ADMINISTRATIF CHÂTEAUGUAY CSSS HAUT-RICHELIEU-ROUVILLE CSSS JARDINS-ROUSSILLON CSSS DU SUROÎT POINTS DE SERVICE SIÈGE SOCIAL A SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU B CENTRE ADMINISTRATIF CHÂTEAUGUAY C BUREAU ADMINISTRATIF HENRYVILLE Une population en croissance, mais tout de même vieillissante Selon les projections de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ), la population desservie par les SRSOR devrait s’accroître de 17 % entre 2013 et 2031. Le taux d’accroissement de la population de ce territoire sera donc supérieur à celui de la population montérégienne (13 %). Le vieillissement de la population est un des défis majeurs auquel la région fait face. Entre 2013 et 2031, le poids démographique des personnes âgées de 65 ans passera de 14 à 23 %. 1 Chambly 2 Maribro (Saint-Jean) 8 Cusson 9 Dépelteau 8 CSSS VAUDREUIL-SOULANGES CENTRES D’ACTIVITÉS ET ATELIERS 13 St-Sébastien 18 Henryville 14 Drouin 19 Kateri 3 Kateri (Candiac, Delson) 10 Jauniaux 4 Châteauguay 15 AlphonseDesjardins 11 Moffat 16 Hector 5 12 Paquette 17 Albert-Wallot Valleyfield 18 13 12 CSSS DU HAUT-ST-LAURENT RÉSIDENCES Vaudreuil 7 Napierville 6 C 20 Ormstown 21 Phaneuf 22 Valleyfield 2423 MaisonValois 24 CHSLD J.L. Lapierre Ainsi, la population desservie par les SRSOR sera plus jeune que la population montérégienne, laquelle comptera 25 % d’aînés en 2031. Toutefois, le rythme du vieillissement sera légèrement plus rapide sur le territoire des SRSOR qu’en Montérégie : la proportion d’aînés s’accroîtra de 60 % sur le territoire des SRSOR, comparativement à 56 % en Montérégie. Le vieillissement de la population s’accompagne d’une augmentation du nombre de personnes âgées de 65 ans et plus. Sur le territoire des SRSOR, le nombre d’aînés s’accroîtra de 87 % entre 2013 et 2031, passant de 88 878 à 166 411. 9 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Présentation de l’établissement SERVICES OFFERTS LES SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS À LA PERSONNE Les SRSOR offrent les services d’adaptation et de réadaptation spécialisés qui permettent de : •Établir le bilan fonctionnel de la personne; •Identifier les écarts significatifs de fonctionnement et mettre en place les interventions visant à les réduire; •Rendre disponibles les évaluations professionnelles (psychologie, orthophonie, ergothérapie, sexologie, éducation, travail social, etc.); •Déterminer le plan d’intervention, le mettre en œuvre et le réviser périodiquement. LES SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION RÉSIDENTIELLE Divers milieux de vie substituts à la famille naturelle sont disponibles et choisis selon le niveau d’intensité requis par l’intervention, notamment : •La ressource de type familial (RTF) offre un milieu de vie se rapprochant le plus possible d’un milieu naturel, adapté à l’âge, aux besoins de la personne et intégré à sa communauté. •La ressource intermédiaire (RI) offre à ses résidants des services qui comprennent un suivi médical et psychosocial visant, entre autres, à faciliter leur intégration. •La ressource à assistance continue (RAC) permet d’intervenir de manière intensive auprès d’une personne pour lui permettre par la suite de retrouver un milieu de vie le plus naturel possible. Le répit spécialisé est un autre service offert par le CRDITED SRSOR. Il permet aux familles d’avoir un moment de repos, grâce à un service d’hébergement temporaire pour usagers. Il a pour objectif d’offrir un séjour agréable à l’usager par des activités stimulantes et adaptées, dans un environnement approprié. En plus de permettre aux familles de se ressourcer, le répit favorise le développement de certaines habiletés chez les usagers, entre autres, les habiletés sociales et relationnelles. 10 Présentation de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 LES SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS AUX PARTENAIRES Lorsque la situation le requiert, les SRSOR offrent des services spécialisés qui permettent de : •Transmettre des connaissances quant aux diagnostics ou aux syndromes et leur impact sur le développement et le fonctionnement de la personne; •Transmettre des renseignements concernant l’instrumentation et les techniques d’intervention; •Soutenir la mise en place d’aménagements; •Soutenir le développement des compétences des partenaires ou du milieu dans la situation du développement de la personne. LES SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION COMMUNAUTAIRE Ces services s’adressent autant à l’usager qu’à la communauté. Ils visent à sensibiliser, informer et soutenir la communauté environnante de la personne ayant une déficience intellectuelle ou un trouble envahissant du développement. Également, par la réalisation d’activités valorisantes, ces services permettent de : •Développer des centres d’intérêt et de faire l’apprentissage de nouvelles connaissances par le biais d’activités réalisées dans les divers milieux de vie (milieux de garde, écoles, loisirs, etc.); •Développer des compétences et des habitudes sociales pour une plus grande intégration sociale; •Favoriser l’intégration et la participation sociales par des contacts avec différents milieux; •Favoriser l’éveil de la personne à son environnement; •Découvrir, expérimenter et explorer différents programmes par des approches sensorielles ou autres; •Développer et maintenir ses centres d’intérêt; •Donner l’occasion de faire des choix; •Préserver ses acquis; •Répondre à ses besoins relationnels, affectifs et de confort de base. 11 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Présentation de l’établissement LES SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION AU TRAVAIL Les services d’intégration au travail ont pour but de faciliter l’accès à l’emploi et à l’autonomie fonctionnelle des usagers. On évalue les centres d’intérêt de la personne et ses capacités en lien avec le travail. On développe ses compétences en lui assurant la plus grande intégration possible. De plus, des attitudes et des stratégies qui favorisent l’intégration et la participation sociales de la personne sont développées. Enfin, on intervient de manière intensive, lorsque nécessaire, pour stabiliser et réorienter la personne vers un milieu de travail le plus intégré possible. LES SERVICES D’ASSISTANCE ÉDUCATIVE SPÉCIALISÉS À LA FAMILLE ET AUX PROCHES Lorsque la situation le requiert, les SRSOR offrent des services spécialisés qui permettent de : •Actualiser les capacités des parents et des proches à intervenir auprès de la personne; •Soutenir le développement de nouvelles compétences chez les parents et les proches dans le but d’optimiser l’effet des interventions d’adaptation/ réadaptation; •Offrir du soutien spécialisé dans les démarches visant l’intégration de la personne; •Répondre à leurs besoins de répit spécialisé, de dépannage, de prévention, de placement, de situations de crise et d’urgence. LES SERVICES D’ACCÈS, D’ÉVALUATION ET D’ORIENTATION (AEO) Les SRSOR reçoivent sur référence des CSSS, les demandes de services et procèdent aux évaluations requises pour : •Déterminer l’éligibilité de la personne aux services; •Identifier les services spécialisés requis; •Orienter la personne vers les services appropriés des SRSOR; •Référer, s’il y a lieu, vers les autres dispensateurs de services requis. 12 Présentation de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 RESSOURCES HUMAINES 327 Employés temps complet régulier 148 Employés temps partiel occasionnel 48 Employés temps complet temporaire 63 Employés temps partiel régulier 40 Cadres temps complet Total : 626 EMPLOYÉS OCCASIONNELS Nombre d’heures rémunérées au cours de l’exercice Équivalents temps complet EMPLOYÉ EN SÉCURITÉ D’EMPLOI 292 772 148 1 13 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Présentation de l’établissement Présentation de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Conseiller cadre à la programmation et à la qualité Chef des services techniques Chef du service des ressources informationnelles Sous-région de Saint-Jean Conseiller cadre en soins de santé Chef du service des communications et des ressources administratives Secteurs du développement organisationnel et relations de travail Chef des ressources humaines Coordonnateur en réadaptation Services résidentiels, communautaire et travail Coordonnateur en réadaptation Services résidentiels, communautaire et travail Coordonnateur en réadaptation Services spécialisés à l’ado/adulte et à l’hébergement RI-RTF Coordonnateur en réadaptation Services spécialisés à l’enfance et ICI Chef des ressources humaines Chef du service des ressources informationnelles Sous-région de Châteauguay Coordonnateur à l’accès, l’évaluation, l’orientation et à la gestion de l’information clientèle Secteurs planification de la main-d'oeuvre, de la dotation, de la rémunération et des avantages sociaux Coordonnateur en réadaptation Services spécialisés à l’ado/adulte et à l’hébergement RI-RTF Direction des services de réadaptation Chef du service de santé et sécurité au travail Direction des ressources humaines, du développement organisationnel et des communications Chef du service des ressources financières Direction des services financiers, techniques et informationnels Coordonnateur au soutien clinique Direction des services professionnels, de la qualité et de la recherche 14 DIRECTION GÉNÉRALE CONSEIL D’ADMINISTRATION Chef en réadaptation, liste de rappel et garde établissement Chef en réadaptation, service résidentiel RAC (Jauniaux et Moffat) Chef en réadaptation, service résidentiel RAC (Paquette et St-Sébastien) Chef en réadaptation, service résidentiel RAC (Cusson et Dépelteau) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Saint-Jean) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Saint-Jean) Chef en réadaptation, service résidentiel RAC (Drouin et Hector) Chef en réadaptation, service résidentiel RAC (Alphonse-Desjardins et Albert Wallot) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Kateri) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Châteauguay) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Valleyfield) Chef en réadaptation, contexte d’intégration travail et communautaire (secteur Vaudreuil) Chef en réadaptation, RI-RTF répit spécialisé (sous-région de Saint-Jean) Chef en réadaptation, soutien spécialisé à l’ado/adulte (secteur Saint-Jean) Chef en réadaptation, soutien spécialisé à l’ado/adulte (secteur Saint-Jean) Chef en réadaptation programme ICI (secteurs Châteauguay, Kateri et Saint-Jean) Chef en réadaptation programme ICI (secteurs Châteauguay, Kateri, Ormstown, Valleyfield et Vaudreuil) Chef en réadaptation soutien spécialisé à l’enfance (secteur Saint-Jean) Chef en réadaptation soutien spécialisé à l’enfance (secteurs Ormstown, Valleyfield et Vaudreuil) Chef en réadaptation soutien spécialisé à l’enfance (secteurs Châteauguay et Kateri) Chef en réadaptation, RI-RTF répit spécialisé (sous-région Châteauguay-Suroît) Chef en réadaptation soutien spécialisé à l’ado/adulte (secteurs Ormstown, Valleyfield et Vaudreuil) Chef en réadaptation, soutien spécialisé à l’ado/adulte (secteur Châteauguay et Kateri) Structure organisationnelle STRUCTURE ORGANISATIONNELLE 9 15 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement DIRECTION DES SERVICES DE RÉADAPTATION L’année 2012-2013 a été marquée d’imprévus, il va sans dire, mais aussi d’actualisation de dossiers qui ont eu un impact majeur sur la dispensation des services à notre clientèle. Notons l’entrée en vigueur de la Loi modifiant le Code des professions et d’autres dispositions législatives dans le domaine de la santé mentale et des relations humaines (PL21), loi qui a exigé de revoir les rôles et responsabilités pour chacun des titres d’emploi concernés. 16 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 De plus, l’entrée en vigueur de la Loi sur la représentation des ressources de type familial et de certaines ressources intermédiaires et sur le régime de négociation d’une entente collective les concernant (Loi 24) a orienté les liens d’affaires à actualiser avec les représentants d’associations et responsables de ressources de type familial (RTF) et intermédiaire (RI). Ce dossier a exigé la mobilisation de l’ensemble des directions de l’établissement afin de revoir l’organisation et la dispensation de services pour la clientèle hébergée en RTF et RI. Dans un autre ordre d’idée, la signature par la Table des directeurs généraux de la Montérégie d’un cadre de référence montérégien pour l’implantation d’un réseau intégré de services en déficience intellectuelle et troubles envahissants du développement (RIS) a donné le coup d’envoi pour la signature de protocoles de collaboration avec nos partenaires CSSS. La hiérarchisation des services est au cœur des discussions et l’épisode de services spécialisés s’actualise graduellement. Il va sans dire que ces changements commandent de revoir les façons de faire pour s’adapter aux nouvelles réalités de dispensation de services et exigent rigueur et professionnalisme pour les intervenants quant à la tenue de dossier, notes de suivis à rédiger, heures de prestation de services à coder et interventions directes auprès de l’usager à planifier et actualiser. C’est avec fierté, qu’une fois de plus, je peux dire mission accomplie pour ce qui est de reconnaître la personne au cœur de notre action, un défi de tous les jours. Services d’adaptation/réadaptation spécialisés à la personne (enfance) Voici quelques réalisations de l’année : •Mise en place d’un calendrier commun entre l’Association régionale Autisme et TED (l’ARATED), le CSSS JardinsRoussillon, le CSSS de VaudreuilSoulanges et les SRSOR concernant l’offre de services régionaux pour les parents : rencontres d’accueil, formations, ateliers thématiques, cafés-rencontres. Le calendrier a été distribué à toutes les familles d’enfants en service et est transmis à chaque nouvelle famille en liste d’attente. •Annualisation des groupes d’habiletés sociales pour les enfants de 6-12 ans. Dix-neuf groupes ont été mis en place au cours de la dernière année. Ces groupes portaient sur les habiletés de jeux ou sur les règles de la conversation. •Collaboration avec le service de l’accès, l’évaluation et de l’orientation (AEO) pour dépister, dès l’entrée dans nos services, les enfants qui pourraient bénéficier des groupes d’habiletés sociales. •Signature d’un protocole d’entente avec la ville de Mercier pour l’intégration de la clientèle ayant une DI-TED en camp de jour. Une psychoéducatrice des SRSOR a participé à l’embauche des accompagnateurs de la ville et assure un suivi hebdomadaire au cours de l’été. •Harmonisation de la procédure de présuivi fait auprès des parents de la liste d’attente. Des intervenants et gestionnaires de chaque équipe ont été impliqués dans la démarche. Le présuivi téléphonique vise à bien cibler les besoins de l’enfant, à déceler les difficultés de comportement et à évaluer la vulnérabilité et le niveau d’épuisement des parents. Le présuivi se veut un outil objectif, qui permet un contact avec les parents en liste d’attente, afin de valider leur situation actuelle et de répondre aux situations urgentes, en mettant des mesures d’appoint ou en assignant plus rapidement le dossier. •Élaboration par les intervenants d’une banque de services disponibles par secteur (loisirs, répits, associations, transport, etc.) et orientation des parents de la liste d’attente vers ces ressources au besoin. •Nouveau rôle au programme d’intervention comportementale intensive (ICI) pour deux techniciens en éducation spécialisée qui assurent un rôle d’éducateur sénior à mi-temps. Ils donnent la formation aux nouveaux employés et s’assurent que la formation et les techniques apprises sont bien intégrées au quotidien en donnant du soutien sur le terrain. Les nouveaux intervenants sont donc autonomes plus rapidement et la transition entre deux intervenants s’en trouve facilitée pour l’enfant. De plus, ce nouveau rôle dans l’équipe, permet de procéder rapidement au remplacement des absences afin de diminuer les ruptures de service. 17 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement •Mise en place au programme ICI, d’une grille de résumé pour les parents. Cette grille est un document qui fait état des progrès de l’enfant dans chacun des domaines travaillés (ex. : autonomie, communication, motricité, etc.). Cela permet aux parents de suivre la progression de l’enfant et de pouvoir, dans certains cas, poursuivre la généralisation à la maison. Les parents apprécient ce nouveau document qui est clair et plus accessible, pour ce qui est de la forme et des termes utilisés. •Collaboration avec le transport scolaire pour y intégrer un enfant du programme ICI. L’intervenante était présente en début d’année dans le transport scolaire, ce qui a permis à l’usager de fréquenter la prématernelle et ne pas avoir de mesure contraignante, de type harnais, dans l’autobus. •Dans la dernière année, lors du plan de services individualisé (PSI) avec les parents, l’équipe du programme ICI s’est assurée de la présence d’un intervenant des milieux de garde de l’enfant, ce qui a permis de mieux identifier les besoins de soutien des parents qui sont alors travaillés par la suite dans la programmation. Services d’adaptation/réadaptation spécialisés à la personne (ado/adulte) •Actualisation d’un projet de vie en appartement pour 11 usagers en provenance d’une RTF ou de leur milieu familial. •Application, en équipe interdisciplinaire, d’un protocole d’intervention pour actualiser le retrait de contention de type Ségufix pour 3 usagers adultes. •Animation, en partenariat avec le CSSS Haut-Richelieu-Rouville et les SRSOR, de 6 rencontres d’information destinées aux parents dont l’enfant est en liste d’attente. 18 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 •Animation, en partenariat avec le CSSS Haut-Richelieu-Rouville, l’école Marie-Rivier et les SRSOR, de rencontres d’information offertes aux parents de jeunes adultes en fin de scolarisation. •Mise en place d’un groupe d’habiletés sociales pour adolescents ayant un TED avec DI dans la région de Vaudreuil. Actualisation d’un projet de vie en appartement pour 11 usagers en provenance d’une RTF ou de leur milieu familial. Services d’adaptation/réadaptation spécialisés en intégration résidentielle (RTF, RI et RAC) •Rédaction d’un programme-cadre résidence d’assistance continue (RAC) et démarche d’autoévaluation afin d’identifier les actions à poursuivre pour la spécialisation des services. •Intégration de 65 nouveaux usagers en RTF-RI. •Actualisation de « la mesure de répit spécialisé aux SRSOR ». Mise en place d’une structure organisationnelle qui a permis de diminuer significativement la liste d’attente. •Accréditation d’une RI dans le secteur Kateri pour adolescents présentant un trouble du comportement. •Transformation de deux RAC à Châteauguay en une RAC spécialisée pour clientèle présentant un trouble grave du comportement. •Spécialisation d’une RAC pour accueillir la clientèle jeunesse présentant un trouble grave du comportement. •Actualisation du mandat transitoire pour deux RAC impliquant le départ d’usagers vers une ressource RTF et RI et retour en famille naturelle pour un usager. •Déploiement et appropriation de la Loi sur la représentation des ressources de type familial et de certaines ressources intermédiaires et sur le régime de négociation d’une entente collective les concernant (Loi 24) impliquant : •Formation et passation de l’instrument de détermination et de classification des services de soutien ou d’assistance pour l’ensemble des usagers hébergés en RTF et RI en vue de préciser le requis de services et la rétribution pour la ressource; •Mise en place d’un comité avec les différentes directions de l’établissement pour l’élaboration, l’appropriation et la diffusion des processus administratifs, politiques et procédures; •Information et formation des intervenants aux nouvelles ententes collectives spécifiques et particulières; •Révision de la structure organisationnelle du service afin d’assurer le suivi sur la qualité des services rendus aux usagers; •Précision de la relation d’affaires entre l’établissement et les représentants des associations des ressources RTF-RI.  19 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Services d’adaptation/réadaptation spécialisés en contexte d’intégration au travail et communautaire •Les allocations consenties par le ministère de la Santé et des Services sociaux pour les activités de jour pour la clientèle de 21 ans et plus, ont permis de dénombrer la clientèle en besoin de services de 1re ligne et d’amorcer les discussions pour un transfert d’activité en partenariat avec les CSSS et les organismes communautaires. •Actualisation du transfert de 12 usagers vers un service de 1re ligne en collaboration avec le Parrainage civique et le CSSS de VaudreuilSoulanges. •Fermeture de 2 plateaux de travail dans la région de Saint-Jean et relocalisation transitoire des usagers concernés. •Ententes convenues pour : •Stage clientèle chez Énergie Cardio, Valleyfield; •Plateau de travail Maison des jeunes, Châteauguay; •Plateau de travail Walmart, Châteauguay; •Plateau de travail Walmart, SaintJean-sur-Richelieu; •Plateau de travail Maison des aînés, Valleyfield. 20 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS, DE LA QUALITÉ ET DE LA RECHERCHE Qualité, formation et gestion des risques •Participation à une journée colloque portant sur la sécurité des usagers, au printemps 2012, pour 87 % des ressources RTF-RI des SRSOR. •Élaboration du programme-cadre sur le vieillissement des personnes ayant une DI ou un TED et diffusion aux équipes de la DSR. L’année 2012-2013 a été une année d’adaptation face à certains changements imprévus au sein de l’équipe de la DSPQR. Malgré ceux-ci, ce fut une année riche en réalisations, tant sur le plan des services du soutien clinique que des services touchant l’accès, l’orientation et l’évaluation (AEO), la qualité des services auprès des usagers et le soutien aux partenaires. Le plan de travail, prévu par la direction, a été réalisé ou est en cours de l’être en grande partie. Plusieurs efforts ont porté sur l’amélioration de la sécurité et la santé des usagers, de leur qualité de vie ainsi que sur l’appropriation de pratiques centrées sur la spécialisation des services, en lien avec une clientèle présentant des problématiques complexes. •Élaboration du programme-cadre RAC et de sa grille d’autoévaluation afin de soutenir les gestionnaires dans l’amélioration continue de la qualité des services offerts en RAC. •Analyse et recommandation pour la mise en œuvre de la nouvelle formation Intervention thérapeutique face aux conduites agressives (ITCA) avec l’enseignement à 6 formateurs multiplicateurs. •Mise en place d’équipes d’intervenants IPEC (intervention postévénement critique) en vue de soutenir le personnel lors d’événements critiques telle une agression par un usager. Diffusion d’un calendrier 2012-2013 intégrant toutes les formations et groupes de soutien (SRSORARATED-CSSS) offerts aux parents ayant un enfant TED âgé de 0 à 12 ans sur le territoire des SRSOR. 21 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Rapport sur les mesures de contrôle L’année 2012-2013 fut une année de consolidation, tant par rapport au fonctionnement du comité des mesures de contrôle que du suivi de l’application du « Protocole sur les mesures de contrôle », adopté en 2012 par l’établissement. Les suivis et rappels systématiques (aux 2 mois) aux gestionnaires ont été mis en place grâce aux renseignements saisis au SIPAD, afin d’obtenir toutes les données requises sur les mesures de contention et d’isolement autorisées par l’établissement, particulièrement quant aux suivis de chaque usager dans tous les services. Une plus grande rigueur dans l’application de l’article 118.1 de la Loi sur les services de santé et de services sociaux, tant pour ce qui est des consentements des usagers que des contextes d’application, a été instaurée. Le calendrier de formation prévu dans le « Protocole sur les mesures de contrôle » a été réalisé et plus de 300 intervenants ont été formés cette année, par les membres du comité sur les mesures de contrôle. Le calendrier de formation prévu dans le « Protocole sur les mesures de contrôle » a été réalisé et plus de 300 intervenants ont été formés cette année. 22 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 De plus, une cohorte de 6 intervenants (3 éducateurs et 3 psychoéducateurs) a été formée par M. Jocelyn Bourdeau, consultant pour le SQETGC et auteur de la formation Intervention thérapeutique face aux conduites agressives (ITCA), afin de la donner aux équipes dédiées à la clientèle présentant des troubles graves du comportement. Ces formateurs sont également appelés à enseigner sur place les meilleures pratiques face à un usager ayant des comportements d’agression. D’autres réalisations à plus petite échelle, mais tout aussi importantes, concernant l’élimination des contentions de type Ségufix (contention au lit) pour 3 usagers adultes qui faisaient l’objet de cette mesure de contrôle depuis des années, ont été effectuées. 87 usagers ont fait l’objet d’une mesure de contrôle au cours de l’année 2012-2013, ce qui représente 3 % de l’ensemble des usagers desservis par les SRSOR. On note donc une très légère diminution de 0,4 % du pourcentage d’usagers sur le nombre total desservis, avec qui une mesure de contrôle a été utilisée en comparaison avec l’an passé, mais une augmentation absolue de 6 usagers (augmentation de 7 % par rapport à l’année passée). Cela illustre l’importance de cibler une diminution de l’utilisation de telles mesures, que ce soit la contention ou l’isolement, et ce, malgré la complexité des problématiques rencontrées. À noter également que 63 % des usagers faisant l’objet d’une mesure de contrôle présentent une déficience intellectuelle, comparativement à 37 % qui présentent un trouble envahissant du développement. Ce pourcentage est semblable à l’an dernier. Le comité des mesures de contrôle s’est réuni à 13 reprises cette année et a traité 148 demandes d’autorisation de mesures de contrôle. Ce comité est multidisciplinaire et dirigé par la DSPQR. Les SRSOR poursuivent toujours l’objectif de diminuer l’utilisation des mesures de contrôle avec ses usagers et, à cet effet, plusieurs moyens sont mis en place et priorisés dont : Soutien clinique •Élaboration et diffusion d’une formation sur « le trouble de l’attachement et comportements problématiques : comprendre pour mieux intervenir ». •Bonification et formation des spécialistes en activités cliniques sur l’analyse fonctionnelle. •Révision de la formation Principes pour le déplacement sécuritaire des bénéficiaires (PDSB) pour soutenir les partenaires communautaires; 300 intervenants ont été formés sur le protocole des mesures de contrôle au cours de l’année. •Production d’une présentation Power Point sur la formation PDSB. •Création d’un guide sur le consentement libre et éclairé destiné aux usagers et élaboré en collaboration avec la chaire de recherche en déficience intellectuelle et en troubles du comportement (DI-TC) de l’UQAM. •Élaboration d’un formulaire de consentement pour les usagers qui consultent un professionnel à l’externe. •l’amélioration des connaissances sur les mesures de remplacement et alternatives aux contentions et isolement; •l’utilisation des meilleures pratiques en TGC; •la formation; •le soutien aux équipes et aux gestionnaires. •Création d’une grille de dépistage pour la clinique vélo pour les enfants. •Rencontre avec la compagnie TRIVEL (vélos adaptés). •Révision du protocole et des procédures pour les équipements lestés. •Cliniques préventives conjointes SRSOR - Centre montérégien de réadaptation (CMR) pour les fauteuils roulants. •Deux cliniques d’évaluation conjointes SRSOR-CMR pour le besoin d’un fauteuil roulant et de son positionnement. •Rencontre conjointe SRSOR-CMR afin de bonifier les services pour la clientèle TED présentant des troubles alimentaires. •Partenariat avec une école (région Kateri) pour la mise en place d’une salle sensorielle. •Formation neurosensorielle pour la Commission scolaire des Grandes Seigneuries (Kateri-Châteauguay). 23 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement •Participation à un sous-comité de pratique du Service québécois d’expertise en troubles graves du comportement (SQETGC) en lien avec la prévention des troubles graves du comportement (TGC). •Participation au groupe d’intérêt en autisme de la Rive-Sud (regroupement d’orthophonistes travaillant avec des enfants autistes dans différents milieux). •Participation à la conception de salles d’évaluation dans les locaux des SRSOR (Delson, Saint-Jean). •Participation au focus-groupe de la Fédération des CRDITED. Soins de santé •Participation à l’équipe de l’Agrément et dépôt de 7 plans d’actions. •Participation pour la préparation des plans lors de modifications de nos installations telles que le 1200, boul. Ford, le 27, rue Goodfellow et la RAC Moffat. •Deux stagiaires en ergothérapie de l’Université de Montréal ont été accueillies. •Élaboration d’un protocole de suivi dans les ressources régionales. •Création d’un protocole pour obtenir un suivi ou une évaluation professionnelle à l’externe. •Participation avec succès à un projet de décontention au lit de type Ségufix dans une ressource. •Mise en place des consultations sans référence. •Révision des contenus de formation de base, tels que l’administration des médicaments, les notions de base de soins et d’hygiène à la personne et la prévention des infections. •Évaluation des pratiques liées à l’hygiène des mains. •Production d’un guide de pratique des mesures de prévention et de contrôle des infections. •Production d’affiches adaptées de précautions additionnelles lors d’éclosion d’infections. •Élaboration du guide de la gestion sécuritaire des médicaments. 24 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Production d’un guide de pratique des mesures de prévention et de contrôle des infections. AEO, SIPAD et dossiers des usagers ACCÈS, ÉVALUATION ET ORIENTATION •Traitement de plus de 878 demandes d’accès. •Participation aux rencontres d’hébergement temporaire en urgence. •Mise en place d’un comité AEO et DSR en lien avec les arrimages pour la mise en place de l’offre de service répit spécialisé. •Révision de la procédure de fermeture de dossier qui vient préciser les mécanismes en lien avec la fermeture pour fin de service, déménagement, changement de diagnostic. •Participation ad hoc au RIS de 4 CSSS du territoire. •Mise en ligne sur le site Web des SRSOR de la trajectoire locale des services. •Participation active au comité d’accès régional une fois par mois. •Tournée d’information de l’archiviste médical dans les réunions d’équipe de la direction des services de réadaptation. •Participation au comité provincial des archivistes médicaux en CRDITED. SIPAD •Réalisation de 2 bulletins SIPAD. •Création du fichier de compilation pour l’outil d’évaluation Brigance. •Suivi et mise en application de la procédure de suppression de la note d’évolution. •Création d’un rapport pour l’échéance du plan d’intervention - plan de services individualisé (PI-PSI). •Participation active au comité SIPAD de la Fédération des CRDITED pour les pilotes et le porteur de dossier. DOSSIERS DES USAGERS Quant aux demandes d’accès à l’information, nous en avons reçues 140 et traitées 138 au cours de l’année 2012-2013. •Collaboration à l’ouverture de la résidence St-Foy, ressource régionale pour les adolescents TED avec trouble de la conduite. •Utilisation de l’outil d’intensité de soutien Supports Intensity Scale (SIS) et Adaptive Behavior Assessment System-II (ABAS-II). •Collaboration à la mise à jour du protocole de collaboration avec le Centre jeunesse de la Montérégie. •Création d’un fichier d’archives regroupant les dossiers de l’institut Doréa et ceux de Maribro ne figurant pas au SIPAD (dossier historique). Participation active au comité SIPAD de la Fédération des CRDITED pour les pilotes et le porteur de dossier. 25 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Données statistiques sur la clientèle USAGERS INSCRITS AUX SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS À LA PERSONNE Usagers au 1er avril 2012 NOMBRE 2 419 Nouveaux usagers 441 Départ d’usagers 617 Total au 31 mars 2013 2 243 DEMANDE D’ACCÈS ACCEPTÉES PAR GROUPE D’ÂGE 2012-2013 GROUPE D’ÂGE DI TED TOTAL NOMBRE D’USAGERS DISTINCTS 0-5 ans 14 183 197 195 6-17 ans 52 215 267 248 18-99 ans 252 112 364 214 - - 828 657 Grand total 26 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Répartition des services INSCRITS 2012-2013 SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION RÉSIDENTIELLE Résidence à assistance continue (RAC) 77 Ressource de type familial (RTF) 321 Ressource intermédiaire (RI) 366 SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION COMMUNAUTAIRE Centre d’activités SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS EN CONTEXTE D’INTÉGRATION AU TRAVAIL SERVICES D’ADAPTATION/RÉADAPTATION SPÉCIALISÉS À LA PERSONNE 314 Atelier 88 Plateau 333 Stage 296 0-17 ans 1 528 ICI 0-5 ans 59* 18 ans et + 1 332 *(inclus dans le 0-17 ans) Total services inscrits 4 655 Liste d’attente (au 31 mars 2013) USAGERS EN ATTENTE D’UN PREMIER SERVICE À L’ÉTABLISSEMENT Total DI 87 TED 219 306 27 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES, DU DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL ET DES COMMUNICATIONS L’année 2013-2014 s’annonce également sous le signe de changement d’importance avec la fermeture de la RAC AlphonseDesjardins et la transformation du service des ressources non institutionnelles (RNI) résultant de l’application de la Loi 24. Planification de la main-d’oeuvre, de la dotation, de la rémunération et des avantages sociaux L’année 2012-2013 a surtout été marquée par des réaménagements majeurs au niveau de certains services, notamment la fermeture des RAC Quo Vadis 103 et Quo Vadis 105 et la mise en place de la RAC Drouin. L’année 2013-2014 s’annonce également sous le signe de changement d’importance. 28 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Embauche Au cours de la dernière année, nous avons reçu plus de 1 900 candidatures et avons tenu 114 comités de sélection et ainsi rencontré 330 personnes en entrevues. De ce nombre, nous avons embauché 84 personnes, tandis que 77 employés ont quitté l’établissement, dont 19 pour la retraite. 2012-2013 2011-2012 COMITÉ DE SÉLECTION (Nb de jours d’entrevue) 114 97 PERSONNES RENCONTRÉES 330 316 EMBAUCHES 84 99 (incluant 19 retraites) (incluant 20 retraites) CANDIDATURES REÇUES 1 914 77 DÉPARTS 2 118 84 En résumé, nous avons tenu un peu plus de comités de sélection et rencontré plus de candidats comparativement à l’exercice précédent. Néanmoins, le nombre d’embauches a légèrement diminué, tout comme le nombre de départs. Stagiaires Au cours de l’année 2012-2013, l’établissement a accueilli 45 stagiaires dans nos services de réadaptation, dont 15 ont été embauchés, soit 1 stagiaire sur 3. 2012-2013 2011-2012 STAGIAIRES STAGIAIRES EMBAUCHÉS STAGIAIRES STAGIAIRES EMBAUCHÉS (Maîtrise) 5 5 5 3 (Bac.) 4 1 3 2 (Bac.) 2 1 - - TRAVAIL SOCIAL/ PSYCHOLOGIE 2 2 - - ÉDUCATION SPÉCIALISÉE 25 5 12 0 ÉDUCATION SPÉCIALISÉE 6 1 18 4 RESSOURCES HUMAINES 1 0 - - PSYCHOÉDUCATION PSYCHOÉDUCATION ERGOTHÉRAPIE (Bac.) (DEC) (AEC) (Bac.) 29 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Accès à l’égalité en emploi Relevés de présences Afin de contrer la discrimination en emploi, nous avons procédé à l’élaboration et l’implantation d’un programme d’accès à l’égalité en emploi. Ce programme, appuyé par la Commission des droits de la personne et des droits de la Jeunesse, vise à favoriser une meilleure représentation des groupes fréquemment victimes de discrimination en emploi : les femmes, les autochtones, les minorités visibles, les minorités ethniques, les personnes handicapées. C’est pourquoi, au cours de la dernière année, nous avons développé des stratégies et mis en place des mesures permettant de représenter équitablement certains de ces groupes de personnes visés, figurant en minorité au sein de notre établissement. Depuis le 20 octobre 2012, l’approbation des relevés de présence a été décentralisée. Chaque gestionnaire est maintenant responsable d’approuver les données inscrites par ses employés en comparant avec l’horaire informatisé. Pour certains, cela implique le soutien de l’agent administratif attitré à leur service. Ainsi, le service de la planification de la main-d’œuvre n’effectue dorénavant que l’approbation des relevés de présence des employés des équipes volantes ou des employés travaillant sur la liste de rappel. Mise à jour des profils de compétences Agrément Canada et la Commission des droits de la personne et des droits de la Jeunesse recommandaient d’établir un processus de dotation en fonction des compétences « spécifiques » à l’emploi. Par conséquent, à la suite de cette consigne, nous avons optimisé nos outils de sélection afin de mieux répondre aux besoins de notre clientèle de 2e ligne. Pour ce faire, nous avons amélioré nos canevas d’entrevues, nos tests écrits et poursuivi la description de poste pour tous les titres d’emploi de l’établissement. 30 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Planification intégrée et gestion des effectifs Dans le but d’une amélioration continue en ce qui concerne les méthodes de travail, nous avons finalisé l’implantation du module PIGE (planification intégrée et gestion des effectifs) utilisé par le secteur des assignations. Celui-ci vise principalement à faciliter la planification des effectifs et l’assignation de certains besoins non comblés à un employé dont la disponibilité correspond, et ce, par ancienneté sur une période de plusieurs jours plutôt que sur une base ponctuelle des besoins. Afin de contrer la discrimination en emploi, nous avons procédé à l’élaboration et l’implantation d’un programme d’accès à l’égalité en emploi. Développement organisationnel La formation et le développement professionnel Le service du développement organisationnel dresse un portrait des investissements effectués en formation et en développement professionnel pour la période s’échelonnant du 1er janvier au 31 décembre 2012. Afin de se conformer à la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’œuvre (Loi 90), qui stipule que 1 % de la masse salariale doit être investi en formation, l’année civile est la référence à utiliser. À noter que nous sommes toujours assujettis à la Loi sur l’équilibre budgétaire du réseau public de la santé et des services sociaux (Loi 100) qui nous oblige à réduire de 25 % nos dépenses, entre autres, en formation. La spécialisation de notre établissement (mission de 2e ligne) demande une mise à jour continuelle des compétences des intervenants et spécialistes œuvrant auprès de la clientèle. L’usager étant au cœur de nos actions, le développement professionnel demeure une priorité au sein de l’établissement. En effet, 2,37 % de la masse salariale a été investi en formation, ce qui a permis de développer les compétences de 527 employés, et ce, en offrant 599 activités de formations. En tout, 13 225 heures de formations ont été données. Le développement professionnel des employés passe par des formations continues, mais également par des programmes académiques dans divers établissements d’enseignement. Voici un résumé des investissements en formation pour chacune des directions de notre établissement : DIRECTION DES SERVICES DE RÉADAPTATION (DSR) Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés en contexte d’intégration résidentielle (RAC) Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés en contexte d’intégration au travail et communautaire Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés en contexte d’intégration résidentielle (RTF-RI) 365 554 $ 51 372 $ 95 235 $ 14 618 $ Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés à la personne (ado/adulte) 108 290 $ Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés à la personne (enfance) 73 533 $ Les services d’adaptation/ réadaptation spécialisés à la personne (ICI) DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS, DE LA QUALITÉ ET DE LA RECHERCHE (DSPQR) 22 506 $ 43 655 $ DIRECTION DES SERVICES FINANCIERS, TECHNIQUES ET INFORMATIONNELS (DSFTI) 11 303 $ DIRECTION DES RESSOURCES HUMAINES, DU DÉVELOPPEMENT ORGANISATIONNEL ET DES COMMUNICATIONS (DRHDOC) 11 550 $ Afin de soutenir les employés, 171 965 $ ont été investis dans le remboursement de frais de scolarité, ce qui porte l’investissement total 31 en formation à 678 770 $ pour l’année 2012. RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Deux formations visant l’ensemble des employés ont été déployées au courant de l’année 2012-2013. En effet, les formations Civilité en milieu de travail et le Protocole sur les mesures de contrôle ont débuté en mars 2012. Présentement, 275 personnes ont assisté à la formation Civilité en milieu de travail et 5 autres groupes recevront la formation d’ici l’hiver 2014. De plus, à l’automne 2012, 6 intervenants ont acquis les compétences afin de devenir des formateurs internes pour former les employés sur l’ITCA (Intervention Thérapeutique lors de conduites agressives), qui est la nouvelle approche d’intervention qui remplacera le programme d’intervention des comportements agressifs (PICA) utilisé jusqu’à maintenant. Les employés de la direction des services de réadaptation (DSR) ont commencé à être formés depuis le mois de mars 2013 et l’ensemble des employés concernés par cette nouvelle technique d’intervention sera formé dans les deux prochaines années. Enfin, 6 nouveaux formateurs ont été également formés ce printemps afin de répondre aux besoins. L’année 2012-2013 a également été témoin de la mise en place d’un calendrier annuel de formations donnant la possibilité aux employés d’être renseignés, par l’entremise de l’intranet, sur les formations planifiées tout au long de l’année. 32 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Ce calendrier de formations est possible, en grande partie, grâce à la collaboration de nos nombreux formateurs internes qui se rendent disponibles afin de développer les compétences des employés. Toujours dans l’objectif d’être plus efficient au niveau de la formation continue, le service du développement organisationnel a poursuivi son travail de développement de l’apprentissage en ligne (E-learning) en 2012-2013. Il a également procédé à l’adaptation de la formation sur le relevé de présence afin d’accompagner le déploiement prochain sur le Web du logiciel sur le relevé de présence. Finalement, les SRSOR ont contribué à la formation de plusieurs de ses partenaires. En effet, nos formateurs internes sont appelés à donner un appui aux écoles, CLSC, camps de jour dans les villes et autres établissements sur des sujets reliés à la déficience intellectuelle et aux troubles envahissants du développement. 275 personnes ont assisté à la formation Civilité en milieu de travail et 5 autres groupes recevront la formation d’ici l’hiver 2014. Voici un aperçu des thèmes ou titres de formation où il y a eu les investissements les plus élevés : NB D’ACTIVITÉS DE FORMATION THÈME OU TITRE DE LA FORMATION Formation des nouveaux employés de la liste de rappel : volet 1 INVESTISSEMENT (10 séries de 18) 180 72 000 $ 17 35 600 $ 9 31 800 $ (175 employés) 11 20 500 $ Programme de soutien à la scolarité (100 %) PNF (Plan national de formation) -TED 16 125 500 $ Programme de soutien à la scolarité (50 %) 39 46 375 $ Formation des nouvelles ressources (RTF-RI) 36 15 550 $ Formation des nouveaux employés des services soutien Civilité en milieu de travail (205 employés) Nouveau protocole de mesures de contrôle Voici un aperçu de l’investissement regroupé selon le thème des formations : THÈME INVESTISSEMENT Les troubles envahissants du développement (TED) 145 500 $ La déficience intellectuelle 42 000 $ Le développement des habiletés d’intervention 51 000 $ 33 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Procédure pour les programmes de participation de 50 % ou 100 % de remboursement de frais de scolarité Les SRSOR encouragent depuis plusieurs années les employés désirant suivre un programme d’études universitaires ou collégiales. En effet, il est primordial, pour l’accomplissement de notre mission spécialisée de 2e ligne, d’avoir des employés qui désirent mettre à jour leur profil de compétences. Ainsi, la procédure produite permet de formaliser une pratique existante à l’établissement depuis plus d’une décennie. Plan d’organisation Le service du développement organisationnel s’est vu offrir le mandat de produire le plan d’organisation des SRSOR, mandat qui a été principalement réalisé à l’automne 2012. Le plan d’organisation a été adopté par le comité de régie en janvier 2013 et présenté au conseil d’administration du 18 mars dernier. Programme de relève des cadres 34 Au printemps 2012, les SRSOR ont convenu d’adhérer au Programme régional de relève des cadres intermédiaires de l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie. Ce programme vise à préparer la relève de cadres intermédiaires, autant en termes de qualité que de quantité, afin de répondre aux besoins des établissements de santé et de services sociaux de la Montérégie. Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 À la suite d’un appel de candidatures puis d’un processus de sélection qui s’est déroulé au courant de l’été et de l’automne 2012, 52 candidats, pour l’ensemble des établissements de la région, ont été choisis afin de faire partie de ce programme, dont une employée des SRSOR. Elle fait présentement partie d’un programme de formations de 2e cycle donné par l’Université de Montréal et participera à deux séminaires en lien avec les compétences à développer en tant que cadres intermédiaires. Un nouvel appel de candidature pour une cohorte 2013-2014 vient d’être lancé. De plus, dans la même période, les SRSOR ont aussi adhéré au Programme national de relève des cadres supérieurs du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) et ont recommandé un candidat qui poursuit actuellement son programme de développement et de mentorat. Le plan de développement des ressources humaines (PDRH) En conformité avec les obligations légales (LSSS, art. 231), le processus d’Agrément et la planification stratégique, les plans d’action du PDRH ont été présentés aux gestionnaires en juin 2012 et ils ont été approuvés par le conseil d’administration à l’automne suivant. Depuis, une mise en action a été lancée afin d’atteindre les objectifs planifiés en fonction de l’échéancier établi. Les employés ont également accès aux plans d’action par l’entremise de l’intranet. Relations de travail Comité de relations et griefs D’AVRIL 2012 À MARS 2013 SCFP-FTQ CAT. 3 Nombre de CRT 8 L’année 2012-2013 aura été sous le signe d’une redéfinition des rôles et responsabilités de chacune des parties. En effet, le changement presque complet des représentants syndicaux du STTRMO-CSN, au début de l’année 2012, a engendré une période d’ajustement avec nos nouveaux partenaires. D’ailleurs, des démarches sont toujours en cours entre les deux parties afin de jeter les bases d’une nouvelle relation patronale-syndicale qui, souhaitons-le, permettra de mieux collaborer, et ce, autant pour le bénéfice des employés que pour celui de nos usagers. Nombre de comité de griefs - Du côté du syndicat SCFP-FTQ, l’année qui se termine en aura été une de continuité. Les bonnes relations patronales-syndicales ont permis d’être préventif au niveau de la résolution de problèmes. Deux griefs seulement ont été déposés en raison du fait que les sujets donnaient lieu à un débat de fond et qu’il était préférable de les faire trancher par un tiers. STTRMO-CSN : Syndicat des travailleurs et travailleuses en réadaptation de la Montérégie-Ouest – CSN représentant le personnel des catégories 1 (personnel en soins infirmiers), 2 (personnel paratechnique, des services auxiliaires et de métier) et 4 (techniciens et professionnels de la santé et des services sociaux). SCFP-FTQ : Syndicat canadien de la fonction publique – FTQ représentant le personnel de la catégorie 3 (personnel de bureau, techniciens et professionnels de l’administration). D’AVRIL 2012 À MARS 2013 STTRMO-CSN CAT. 1 CAT. 2 CAT. 4 Nombre de CRT 7 (multi-CSN) Nombre de comité de griefs 10 (multi-CSN) Politiques et procédures Cette année, deux politiques ont été élaborées, soit celle sur le bris d’objet personnel par des usagers ainsi que celle sur la vérification des antécédents judiciaires. Nous en sommes à la phase de validation et approbation finale afin de les diffuser dès le début de l’automne 2013. Santé et sécurité du travail Prévention et culture de sécurité Afin de favoriser la santé et la sécurité dans nos milieux de travail et d’instaurer une culture de sécurité au sein de l’établissement, nous avons réalisé en 2012-2013 plusieurs activités axées sur la prévention et la sécurité : •Mise à jour de la formation des nouveaux employés sur la santé et sécurité, intégration des droits et obligations selon la Loi sur la santé et sécurité du travail ainsi qu’un volet sur la santé psychologique. •Promotion des semaines thématiques en santé et sécurité, incluant la Semaine nationale de la santé mentale. 35 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement •À la suite d’une recommandation du Centre patronal de santé et sécurité du travail (CPSST), dont l’un des objectifs était la diminution des agressions physiques, la formation PICA a été réévaluée et remplacée par la formation ITCA depuis janvier 2013. Trois équipes de deux formateurs ont été formées pour dispenser la formation à tous les intervenants. •Mise en place d’une capsule de sécurité sur la santé psychologique au travail. •Suivi des absences reliées à une contamination en milieu de travail, incluant les mesures préventives pour contenir l’éclosion, et ce, en collaboration avec le service de soins de santé. •Vaccination contre l’influenza offerte à tous les employés. •Implication dans l’organisation de la semaine de la qualité et de la sécurité. •Collaboration avec la DSPQR à l’implantation du programme IPEC (intervention postévénement critique). •Réalisation de 7 inspections de lieux de travail afin de s’assurer que les milieux de travail sont sains et sécuritaires. •Émission d’une soixantaine de recommandations en SST auprès des services concernés (notes de service, lectures suggérées, rapports statistiques, transmission d’articles, formation sur demande pour différents services, ajout à l’intranet, capsules de sécurité, réponses à des problématiques SST). •Mise à jour du dossier de secouristes en milieu de travail afin d’assurer la présence de secouristes et de trousses de premiers soins dans les points de service. Au total, plus d’une centaine d’actions en prévention de la santé et de la sécurité du travail ont été réalisées au cours de l’année 2012-2013. 36 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 •Présentation d’une séance d’information de deux heures aux gestionnaires portant sur la sensibilisation à la santé et la sécurité du travail et le stress en milieu de travail. Au total, plus d’une centaine d’actions en prévention de la santé et de la sécurité du travail ont été réalisées au cours de l’année 2012-2013. Présence au travail •Élaboration et présentation aux gestionnaires d’un guide de gestion de la présence au travail, visant notamment à maintenir le lien avec l’employé absent afin de favoriser un retour au travail sain et durable. •Gestion rigoureuse des dossiers d’absence et support aux gestionnaires dans le suivi à faire avec les employés absents. •Embauche d’une technicienne en administration à la suite du départ à la retraite de l’agente administrative. •Participation à un partage de meilleures pratiques en gestion de la présence au travail avec d’autres établissements du réseau. Au sujet des statistiques de présence au travail, le tableau 1 présente le portrait des déclarations d’accidents du travail ou de maladies professionnelles pour les 4 dernières années. Tableau 1 : Compilation des déclarations d’accident du travail ou de maladie professionnelle Déclarations d’accidents du travail sans perte de temps Déclarations d’accidents du travail avec perte de temps Total des assignations temporaires Total des déclarations d’accidents du travail Déclarations attribuables aux agressions physiques DIFFÉRENCE DIFFÉRENCE DIFFÉRENCE DIFFÉRENCE 2009 2010 2010 2011 2011 2012 2012 2013 2008-2009 vs 2009-2010 2009-2010 vs 2010-2011 2010-2011 vs 2011-2012 2011-2012 vs 2012-2013 (N) (N) (N) (N) (%) (%) (%) (%) 199 339 430 340 -15,68 70,35 26,84 -21,11 19i 26ii 22iii 31iv -29,63 36,84 -15,38 40,91 20 26 10 17 11,11 30,00 -61,54 70,00 218 365 452 371 -17,11 67,43 23,84 -18,10 92 217 324 238 -25,20 135,87 49,31 -26,77 i Dont 2 consécutives à une agression physique. ii Dont 4 consécutives à une agression physique. Durant l’année 2012-2013, le service de santé et sécurité du travail a traité 371 déclarations d’accidents du travail ou de maladies professionnelles. Ce qui représente une diminution de 18,1 % par rapport à l’année financière précédente. ii Dont 8 consécutives à une agression physique. iv Dont 12 consécutives à une agression physique. En 2011-2012, il y a eu une diminution de 15,38 % par rapport aux dossiers avec perte de temps. L’année 2012-2013 démontre une augmentation de 40,91 % des dossiers avec perte de temps. 37 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Les dossiers avec perte de temps représentent 8,35 % du total des déclarations d’accident comparativement à 4,86 % pour l’année financière 2011-2012. Sur 31 accidents ayant occasionné un accident de travail ou une assignation temporaire, 12 font suite à une agression physique comparativement à 4 pour l’année 2011-2012. Cela représente une augmentation de 66 %. Les agressions physiques comprennent toute tentative ou passage à l’acte d’un comportement agressif envers un travailleur. Il peut s’agir d’un pincement, d’un coup ou d’une morsure. Les statistiques d’accidents du travail ou de maladies professionnelles sont distribuées aux directeurs et coordonnateurs deux fois par année. En ce qui a trait à l’assurance salaire, les dépenses pour 2012-2013 s’élèvent à 1 262 047 $ pour un ratio de 7,82 % des heures payées en assurance salaire sur les heures totales travaillées. La cible fixée par le Ministère pour les SRSOR étant de 6,09 %, nous constatons que l’objectif n’a pas été atteint. Tableau 2 : Compilation des ratios et coûts de l’assurance salaire RATIO AU 31 MARS 2013 2009 - 2010 4,63 % COÛT ASSURANCE SALAIRE 2010 - 2011 6,89 % 1 045 839 $ 2011 - 2012 5,78 % 963 970 $ 2012 - 2013 38 7,82 % 707 543 $ 1 262 047 $ Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Puisque le problème de la hausse du taux d’assurance salaire est ressenti à la grandeur de la Montérégie, les responsables en SST des établissements de la Montérégie travaillent en collaboration pour essayer de trouver des solutions durables, qui permettront de favoriser une présence accrue au travail et de ramener les taux d’assurance salaire à des taux acceptables, et ce, tout en supportant les employés en invalidité. Communications et ressources administratives Les compressions budgétaires ont été un facteur important dans les activités du service des communications en 20122013. À la suite du départ du technicien en communication, le poste n’a été affiché que six mois plus tard. Le service des communications a dû axer ses énergies sur les tâches essentielles pour s’assurer du bon fonctionnement des outils sous sa gouverne. Avec l’arrivée d’un nouveau technicien en mars 2013, le service des communications a pu reprendre ses activités régulières. Intranet Le site intranet a été peaufiné. L’arborescence a été revue pour optimiser la navigation. L’employé peut maintenant explorer autant par sujet que par direction. La mise en place d’éléments graphiques rend également le site encore plus convivial. Politiques et procédures Un projet de politique sur les communications a été élaboré et sera présenté au conseil d’administration à l’automne 2013. De plus, le service des communications a encouragé chaque direction à revoir leurs politiques et procédures conformément au guide de rédaction, qui a été déposé et approuvé par la direction en 2012. Plans de communication et dépliants Divers plans de communication et dépliants ont été élaborés pour répondre aux besoins des directions : mesures de répit spécialisé, civilité, etc. Étude sur le service de l’accueil Avec le départ récent de deux agents administratifs, le moment est en effet propice pour revoir le fonctionnement. Les compressions budgétaires, l’utilisation croissante des nouvelles technologies et le souci constant d’optimiser les processus viennent consolider cette remise en question. Élaboration de tests pour les agents administratifs secteur secrétariat En collaboration avec le cégep de SaintJean-sur-Richelieu, des tests ont été élaborés pour vérifier les connaissances et compétences des personnes appliquant sur des postes d’agents administratifs. Les tests évaluent le niveau des candidats sur le français, Microsoft Word et Excel ainsi que sur la qualité de leur jugement par des mises en situations. Une étude sur le service de l’accueil du siège social a été élaborée et présentée à la direction. Présentement, le service est ouvert 365 jours par année, de 6 h à 22 h, sans interruption. Outre les tâches régulières d’un service d’accueil, il effectue les remplacements en dehors des heures normales de bureau et fait le suivi pour le programme ICI pour les modifications d’horaire de dernière minute. 39 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement DIRECTION DES SERVICES FINANCIERS, TECHNIQUES ET INFORMATIONNELS Nous avons utilisé notre avoir propre comme levier, ce qui nous a permis de restructurer nos installations et de créer une opération qui générera des économies récurrentes de 304 000 $ à compter d’août 2014, tout en regroupant nos services et en les adaptant aux nouvelles réalités d’aujourd’hui, tant pour les usagers que pour le personnel. L’année 2012-2013 s’est terminée avec un écart favorable de 84 058 $. Au cours de cette période, nous avons dû faire face à des compressions budgétaires reliées à la Loi 100 de 74 282 $, ainsi qu’à des mesures d’optimalisation d’un montant de 255 109 $. C’est donc dans cette optique que nous avons entrepris la révision de certaines dépenses, dont, entre autres, celle de la distribution du courrier à l’interne ainsi qu’un vaste plan de restructuration concernant nos immeubles, qui affectera nos coûts de location. 40 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Nous avons également eu, en cours d’année, des développements de budgets qui sont d’un montant de 735 820 $ pour 2012-2013 et, sur une base récurrente, de l’ordre de 1 382 357 $. Ces budgets de développement ont servi principalement à la mise en place de nouvelles ressources d’hébergement. Outre la restructuration de nos immeubles en location, les services techniques ont mis l’accent sur la planification du maintien d’actifs auprès des fondations. Cette opération permettra à ces dernières de prendre de meilleures décisions dans le cadre de la planification des réparations majeures, pour ainsi préserver leurs immeubles. Cet échéancier leur sera également utile pour prévoir et adresser des demandes auprès des organismes concernés afin d’obtenir des subventions. La Loi 24 a nécessité le déploiement d’énormément d’énergie jusqu’à maintenant et cela devrait se poursuivre encore pour les prochains mois. Nous espérons qu’au bout de l’opération, l’établissement ne sera pas pénalisé par cette transformation majeure. Pour ce qui est des ressources informationnelles, en plus d’actualiser notre maintien d’actifs, nous avons collaboré avec l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie concernant le partage du logiciel de l’entrepôt de données avec d’autres CRDITED. Comme établissement, nous sommes heureux d’avoir contribué à des mesures d’optimalisation au niveau régional. Ressources financières Loi 100 Encore une fois, le CRDITED SRSOR a atteint les cibles fixées par le Ministère concernant le suivi de la Loi 100. L’objectif total pour la réalisation des compressions budgétaires échelonnées jusqu’en 2013-2014 sera conforme aux exigences demandées. Pour l’exercice 2012-2013, la cible totale à atteindre était de 437 279 $, constituée de 98 553 $ pour la Loi 100 et de 337 726 $ pour les mesures d’optimisation. L’établissement s’est doté d’un processus rigoureux de suivi budgétaire. Une analyse périodique des écarts budgétaires est présentée à la direction et celle-ci met en place des mesures adaptées selon les situations financières qui se présentent. Ces mesures tiennent compte des compressions budgétaires imposées par la Loi 100 et des mesures d’optimisation au montant de 437 279 $ et les cibles de réduction sont retranchées dans les secteurs identifiés par le Ministère. L’exercice financier 20122013 se termine avec un surplus de 84 058 $ pour les fonds d’exploitation et d’immobilisations, représentant moins de 1 % des revenus combinés octroyés de 50 596 209 $. De par ce résultat, la direction s’est assurée de respecter l’équilibre budgétaire tout en appliquant les exigences des restrictions causées par la Loi 100. Les cibles à atteindre pour l’exercice 2013-2014 sont les suivantes : •Loi 100 : 74 282 $ •Mesure d’optimisation : 255 109 $ Le suivi rigoureux assuré par la haute direction garantit que ces cibles de réduction de dépenses soient respectées selon les normes du ministère de la Santé et des Services sociaux. Subvention ou allocation de développement Le CRDITED SRSOR a reçu différentes subventions ou allocations en cours d’année pour de la création de places disponibles dans ses ressources. 41 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Une première subvention couvrant la période du 1er avril 2012 au 31 mars 2013 d’un montant de 300 000 $ a permis d’ajouter 6 places disponibles pour nos usagers et une allocation DI-TED de 435 820 $ pour la période du 1er avril au 31 mars 2013 a aussi permis de développer de nouvelles places dans nos ressources, offrant ainsi plus de services à nos usagers. Impact des départs à la retraite Le service des ressources financières a débuté l’exercice financier avec deux nouvelles employées responsables de la rétribution aux ressources, qui ont reçu l’accompagnement requis et un suivi rigoureux de la part de la personne qui quittait pour la retraite. Cette nouvelle équipe a su se doter d’outils pour se conformer à la Loi 24 avec toutes ses particularités et nouvelles façons de faire, et établir des liens de partenariat avec des associations. Loi 24 Cette nouvelle loi, entrée en vigueur au cours de l’exercice financier 2012-2013, a nécessité beaucoup d’énergie afin de suivre le dossier en constante évolution. Des négociations entre les différentes associations représentant les ressources (RTF-RI) et le Ministère ont eu pour effet de changer les modèles de classification, ainsi que la façon de rétribuer les ressources. Le logiciel a dû être repensé et mis à jour pour appliquer les nouvelles règles.  42 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Le personnel impliqué a été formé afin de comprendre la loi, ainsi que son contenu. Le CRDITED SRSOR rétribue 161 ressources, réparties en 4 associations distinctes. Module de compensation gouvernementale L’implantation du module de compensation gouvernementale exigé par le Ministère a été réalisée et celui-ci fut mis en application, afin de se conformer aux exigences et d’assurer un suivi des comptes fournisseurs selon les standards établis. Transfert électronique de fonds Un plus grand déploiement de l’utilisation du mode de paiement par transfert électronique de fonds améliore l’efficacité du processus de paiement de nos fournisseurs et partenaires, tout en diminuant le temps de traitement, rendant ainsi le processus plus efficient. Services techniques En support aux services de la DSR, de la DSPQR, de la DRHDOC et de la DSFTI, les services techniques gèrent les biens meubles et immeubles des installations appartenant soit à l’établissement, aux fondations ou en location. Des services de déménagement, d’adaptation et de conseil sont également offerts aux ressources non institutionnelles, aux familles naturelles et à certains organismes communautaires. Voici les principales activités qui se sont réalisées au cours de l’année 2012-2013 par secteur d’activité : Entretien et réparation des installations •Effectuer l’entretien préventif des équipements reliés aux usagers. Immobilisation •Planification et dépôt à l’Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie (ASSSM) du PCFI 20122013, 2013-2014, 2014-2015 (plan de conservation et de fonctionnalités immobilières). •Planification et dépôt à la Société d’habitation du Québec (SHQ) du PPI 2013-2015 (plan pluriannuel immobilier) des projets de maintien d’actifs. •Réalisation des projets de maintien d’actifs et de réaménagements fonctionnels 2012-2013 de l’établissement et des fondations. •Réalisation de la phase 1 du projet majeur de réaménagement et d’agrandissement au 27, rue Goodfellow à Delson, nécessitant le déménagement de tout le personnel pour la poursuite de la phase 2. •Poursuite du projet majeur de réaménagement au 1200, boul. Ford à Châteauguay. La relocalisation du centre d’activités de Châteauguay et des intervenants a été effectuée pour toute la durée des travaux. •Adaptation d’une résidence de la région de Châteauguay pour une RI spécialisée. •Fermeture du 87B, rue Marie-Victorin à Candiac et relocalisation des intervenants au 27, rue Goodfellow à Delson. Gestion des approvisionnements •Réalisation et suivi du projet d’optimalisation du courrier interne. •Dépôt à l’ASSSM du PCEM 20102013 (plans triennaux de conservation de l’équipement médical, non médical et mobilier). •Reddition de comptes requise (conseil d’administration des SRSOR, système électronique d’appels d’offres). •En lien avec la Loi 24, élaborer un appel d’offres spécifiques pour le recrutement des nouvelles RI. •Planification et dépôt aux fondations des projets de maintien d’actifs recommandés pour l’année 2013. 43 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Gestion des baux •Non-renouvellement du 273, boul. St-Jean-Baptiste, Châteauguay. •Renouvellement du 1200, boul. Ford, Châteauguay. •Renouvellement du 67, rue Georges-Gagné, Delson (prévu jusqu’en septembre 2013). •Renouvellement du 401, boul. Harwood, Vaudreuil. •Renouvellement du 433C, rue St-Denis, St-Alexandre. •Fermeture du 87B, rue Marie-Victorin à Candiac. Gestion de la sécurité et mesures d’urgence Participation au comité de gestion des risques : •Réalisation des exercices annuels d’évacuation, des formations prévues au personnel et mise à jour du plan de mesures d’urgence. •Ajouts et uniformisation des systèmes d’alerte d’urgence (boutons d’appel d’urgence et centrales d’alarme). Gestion de l’entretien ménager •Renouvellement des contrats de service d’entretien ménager de la région de Châteauguay-Suroît. Autres •Implanter le développement durable au sein de l’établissement, en conformité avec la Loi québécoise sur le développement durable et en lien avec le comité régional de l’ASSSM. 44 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 •En lien avec les préparatifs de l’Agrément 2013, coordonner l’équipe de la prévention des infections en vue d’élaborer les plans d’action requis. Ressources informationnelles Voici un survol des activités que l’équipe des ressources informationnelles a accompli tout au long de l’année 2012-2013. Aménagement du 27, rue Goodfellow À la suite de l’agrandissement du site, nous avons procédé au rehaussement du système téléphonique et des équipements informatiques, selon le calendrier du maintien d’actifs informationnels. Fermeture Victorin du 87B, rue Marie- De concert avec les aménagements du 27, rue Goodfellow, nous avons procédé à la fermeture du point de service du 87B, rue Marie-Victorin. Réseau intégré de télécommunications multimédia (RITM) Dans le but d’améliorer et de préparer les liens de télécommunications pour faire face à l’augmentation de l’utilisation des technologies de l’information, les 14 points de services n’ayant pas déjà migré à la fibre optique ont été rehaussés. Cette opération a nécessité une grande coordination entre Telus, les services techniques pour l’installation de conduits pour la fibre et les services informationnels. Entrepôt de données (Logibec) Bureau d’assistance (Helpdesk) De concert avec l’Agence et la firme Logibec, nous avons élaboré une entente par laquelle le serveur d’entrepôt de données, utilisé par le service de la planification de la main-d’oeuvre et celui des ressources financières, sera dorénavant hébergé au Technocentre de la Montérégie. Notre établissement fait partie des premiers à transférer ce module, démarche qui s’inscrit dans la mise en place des CTI (centres de traitement informatique) régionaux. De plus, l’Agence a racheté le logiciel de base de données déjà acquis par les SRSOR et en fera ainsi profiter les autres établissements qui se joindront au CTI régional. Beaucoup d’efforts ont été déployés dans la mise en place du bureau d’assistance, tant sur le plan organisationnel qu’au niveau de son utilisation. Ceci permet une meilleure coordination, ainsi qu’un meilleur suivi des activités accomplies. Depuis sa mise en place en mars 2011, plus de 6000 demandes de service ou incidents ont été comptabilisées dans le système. L’optimisation de l’outil se poursuivra au cours de la prochaine année, afin de tirer profit de toutes les fonctionnalités disponibles. Dossiers informatiques clientèle (hors SIPAD) Faisant face à de fréquents transferts de dossiers informatiques entre intervenants et considérant que ces manipulations avaient pour résultat l’existence de plusieurs copies desdits dossiers, nous avons procédé à la centralisation graduelle de ceux-ci. Ceci a eu pour effet d’améliorer la gestion de la sécurité et d’assurer l’intégrité des informations de la clientèle. Maintien d’actifs informationnels Nous avons poursuivi le remplacement des équipements selon les règles du maintien d’actifs. Au total, 24 ordinateurs ont été remplacés en cours d’année. 2011 2012 2012 2013 44 43 NOMBRE DE POSTES DE TRAVAIL 493 477 NOMBRE D’UTILISATEURS AYANT ACCÈS AU RÉSEAU 632 685 NOMBRE D’UTILISATEURS DE LOTUS NOTES 281 277 NOMBRE DE SITES RELIÉS AU RTSS 26 25 NOMBRE DE SERVEURS 45 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement ENTENTE DE GESTION Les engagements 2012-2013 de l’établissement au regard de la planification stratégique régionale 2010-2015 P13BILAN 11-12 ENGAGEMENT 12-13 P13BILAN 12-13 RESSOURCES RÉSIDENTIELLES DE PROXIMITÉ - DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED 1.3.8 Nombre de places en ressources résidentielles de proximité Déficience intellectuelle et TED (DI-TED) •Nombre de places en RTF-RI •Nombre de places en projet novateur (hébergement alternatif et nouveaux partenariats) •Nombre de places en autres ressources •Nombre de place en ressources résidentielles 586 68 Aucun engagement requis 1.5 DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED 1.45.5.5 Pourcentage des demandes de services traitées en CRDI, selon les délais définis comme standards du plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et un TED - TOUS ÂGES - TOUTES PRIORITÉS 94,8 % 1.45.5.6 Pourcentage des demandes de services traitées en CRDI, selon les délais définis comme standards du plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et un TED - TOUS ÂGES - PRIORITÉ URGENTE 100 % 90 % 100 % 1.45.5.7 Pourcentage des demandes de services traitées en CRDI, selon les délais définis comme standards du plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et un TED - TOUS ÂGES - PRIORITÉ ÉLEVÉ 91,5 % 90 % 91,09 % 89,51 % DI-TED < 6 ans 100 % DI < 6 ans 100 % TED < 6 ans 100 % DI-TED ≥ 6 ans 88,31 % DI ≥ 6 ans 78,79 % TED ≥ 6 ans 1.45.5.8 46 Pourcentage des demandes de services traitées en CRDI, selon les délais définis comme standards du plan d’accès aux services pour les personnes ayant une déficience intellectuelle et un TED - TOUS ÂGES - PRIORITÉ MODÉRÉE Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 95,45 % 95,6 % 75 % 89,24 % 16.5 DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED - OBJECTIFS SPÉCIFIQUES DE LA PLANIFICATION STRATÉGIQUE RÉGIONALE 16.5.00 L’établissement aura élaboré et implanté sa trajectoire de service 16.5.01 Taux de conformité de la trajectoire locale à la trajectoire régionale P13BILAN 11-12 ENGAGEMENT 12-13 Oui Voir note 1 P13BILAN 12-13 N/D Note 1 : 50 % des établissements ont élaboré une trajectoire locale de service 3 RESSOURCES HUMAINES 3.1 Ratio entre le nombre d’heures en assurance salaire et le nombre d’heures travaillées 3.14 L’établissement aura obtenu un Agrément incluant le volet des ressources humaines 5,7 % 6,5 % Oui Oui 1.5 DÉFICIENCE INTELLECTUELLE ET TED S 1.5.7 Nombre d’enfants de moins de 6 ans recevant un service d’intervention comportementale intensive (ICI) de type ABA S 1.5.8 S 1.5.14 67 59 Nombre moyen d’heures hebdomadaires pour les usagers de moins de 6 ans recevant un service du programme ICI 13,75 14,6 Nombre de personnes de 6 ans ou plus recevant un service spécialisé (TED) 1 144 1 100 Nombre de jeunes âgés de 6 à 21 ans recevant un service spécialisé (TED) 1 003 954 141 146 Nombre d’adultes de plus de 21 ans recevant un service spécialisé (TED) 47 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement ORIENTATIONS STRATÉGIQUES DE L’ÉTABLISSEMENT LA MAJORITÉ DES OBJECTIFS FIXÉS LORS DE NOTRE PLANIFICATION STRATÉGIQUE A ÉTÉ ATTEINTE. RÉUSSIR la transformation des services à l’interne. AVOIR DU PERSONNEL ACTEUR DU CHANGEMENT, compétent, en nombre suffisant, travaillant dans un milieu valorisant et sécuritaire. CONSOLIDER le réseau de RTF-RI en lien avec l’offre de service. DE NOUVELLES PRATIQUES pour contrer les listes d’attente. UNE DISPONIBILITÉ du répit spécialisé aux familles naturelles. LES RESSOURCES INFORMATIONNELLES adaptées à la transformation des services. AVOIR AMÉLIORÉ la qualité et la sécurité. RÉUSSIR LES TRANSFORMATIONS qu’exige la spécialisation de deuxième ligne avec ses partenaires. LA TRANSFORMATION QU’EXIGE LA SPÉCIALISATION DE DEUXIÈME LIGNE AVEC NOS PARTENAIRES EST EN VOIE DE RÉALISATION. 48 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 DÉMARCHE D’AGRÉMENT ET PLAN D’AMÉLIORATION Trois ans après avoir reçu leur certification d’Agrément Canada (2010), c’est sur le thème DESTINATION : L’EXCELLENCE! que les SRSOR ont de nouveau mis en place, comme la loi le prévoit, le processus d’Agrément Canada en 2012. L’auto-évaluation de l’automne 2012 a permis d’identifier 18 cibles prioritaires qui constituent notre plan d’amélioration continue. De multiples projets liés à ces cibles seront mis en place avant la venue des visiteurs en octobre 2013. Ils ont été analysés et planifiés par les 5 équipes du processus Qmentum au cours de l’hiver et du printemps 2013. Nous devons donc, d’ici l’automne 2013, fournir des preuves d’amélioration dans différents domaines tels que : •la sécurité des usagers; •la prévention des infections; •la gestion des équipements; •la prévention de la violence au travail; •la gestion des médicaments; •le développement des compétences; Satisfaction de la clientèle Des moyens ont été mis en place pour évaluer la satisfaction de la clientèle et les principaux constats découlant de l’évaluation de la satisfaction de la clientèle. Évaluation de la satisfaction : Répit Tourbillon Et Diapason Au cours de l’année 2012-2013 (avril 2012), notre établissement a procédé à l’évaluation de la satisfaction des familles qui utilisent le service de répit La Maison Tourbillon Et Diapason. Les résultats de ce sondage, à la suite d’un taux de participation de 48 %, nous permettent d’affirmer que 80 % des parents ont une satisfaction élevée du service de répit et que 90 % estiment comme très positif l’impact du répit sur leur qualité de vie. De plus, 90 % des parents disent que leur enfant apprécie leur séjour à la Maison Tourbillon Et Diapason. Les répondants avaient tous utilisé le service à plus de 6 reprises. •la gouvernance. L’été 2013 sera l’occasion de planifier la venue des visiteurs d’Agrément Canada qui évalueront la qualité et la sécurité des services que nous offrons en vertu des normes requises. Ce processus d’amélioration est continu et permet à l’établissement de viser constamment l’excellence à tous les niveaux de l’organisation. L’auto-évaluation de l’automne 2012 a permis d’identifier 18 cibles prioritaires qui constituent notre plan d’amélioration continue. 49 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Évaluation de la réunion PSI/PI La rencontre pour le plan de services individualisé (PSI) ou le plan d’intervention (PI) est une démarche qui permet la planification et le suivi des services offerts pour répondre aux besoins de l’usager. Après chaque réunion, un sondage est envoyé par la poste aux participants. Ce sondage nous permet d’évaluer le niveau de satisfaction face au déroulement de la rencontre. Voici un aperçu des résultats en 2012-2013 : Principaux constats 84 % des participants ont une satisfaction élevée ou très élevée de la réunion; 93 % des participants ont apprécié l’accueil, l’explication des termes et le fait d’avoir pu s’exprimer pendant la réunion. Les améliorations proposées exprimées dans le sondage concernent principalement : •la rapidité de la mise en place des interventions; •l’offre de service en orthophonie aux enfants de moins de 5 ans; •le travail et les activités de loisirs pour les personnes présentant un TED. 50 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 84 % des participants ont apprécié l’accueil, l’explication des termes et le fait d’avoir pu s’exprimer pendant la réunion. GESTION DES RISQUES Nos priorités cette année ont été la promotion d’une culture de sécurité au niveau des ressources non institutionnelles et l’amélioration de la divulgation des accidents. Voici quelques-unes de nos réalisations et un portrait statistique qui rendent compte des belles améliorations. •Révision de la formation Sécurité des usagers destinée aux nouveaux employés. •Réalisation d’une tournée dans 5 villes différentes pour tenir une journée de colloque dédiée aux RTF-RI sur la sécurité et portant le thème : Tu vis sous mon toit, je fais attention à toi. •Dépôt de rapports trimestriels et annuel sur la sécurité des usagers au comité de vigilance et de la qualité. •Révision de la politique et de la procédure sur la déclaration et l’analyse d’incidents/accidents et sur la divulgation à l’usager ou à son représentant légal, en lien avec les nouvelles directives du Ministère. •Réalisation d’une troisième analyse prospective sur les risques de chutes chez nos usagers. •Diffusion de 2 bulletins Ensemble pour la sécurité des usagers et un bulletin spécial sur la qualité en lien avec l’Agrément. •Réalisation de la semaine de la sécurité et de la qualité en octobre 2012. Portrait statistique Pour la période du 1er avril 2012 au 31 mars 2013 : Le nombre de déclarations d’incidents/ accidents s’élève à 1145. 35 % de ces déclarations rapportent des incidents et 65 % des accidents. Réalisation d’une tournée dans 5 villes différentes pour tenir une journée de colloque dédiée aux RTFRI portant sur la sécurité. 51 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Portrait des déclarations selon le niveau de gravité de l’événement Les présents tableaux nous permettent de constater que : TOTAL % 22 50 334 406 2% 4% 29 % 35 % •Notre établissement développe une culture de sécurité à tous les niveaux, car le nombre de déclarations d’incidents et d’accidents a augmenté de 4 % par rapport à l’an dernier. 363 300 64 11 1 739 32 % 26 % 6% 1% 65 % 1 145 100 % INCIDENTS A B C Total Incidents ACCIDENTS D E1 E2 F G H I Total Accidents Total Incidents Accidents INCIDENTS DÉCLARÉS ACCIDENTS DÉCLARÉS Total 2012 2013 2011 2012 406 400 739 697 1 145 1 097 •Les ressources (RTF-RI) déclarent davantage les incidents et accidents avec une augmentation de 10 % par rapport à l’an passé. •93 % des événements n’ont eu aucune conséquence ou seulement des conséquences mineures (A,B,C,D,E1). •7 % des événements ont nécessité une intervention professionnelle spécialisée, incluant des consultations médicales, l’intervention d’un pharmacien ou l’appel à des services d’urgence (E2). •En comparaison avec l’an dernier, il y a eu une augmentation des accidents qui ont nécessité des soins spécialisés (77 %). La sensibilisation à la déclaration et les programmes mis à la disposition des intervenants devront servir de levier afin d’effectuer un dépistage plus rapide et plus efficace des risques pour éviter les conséquences graves pour les usagers. •11 événements ont conduit à une hospitalisation (F). •Un événement a nécessité des techniques pour maintenir la personne en vie. 52 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Suivi des événements sentinelles Les événements sentinelles englobent les événements de deux catégories : •Ceux dont la récurrence est la plus élevée; •Ceux dont les conséquences sont majeures. 48 % des événements qui ont été déclarés sont des chutes ou des erreurs de médicament Des 12 événements ayant eu les conséquences les plus élevées (G-H), 4 étaient des chutes. 30 % des événements sont des chutes Au cours de l’année, la sensibilisation à la prévention et à la déclaration des chutes a été poursuivie. De plus, le programme de prévention a été présenté dans toutes les équipes et des rappels ont été effectués aux équipes rencontrées par l’agente de gestion, planification et recherche, quant à l’importance de déclarer toutes les chutes, même sans conséquence. 18 % des événements sont des erreurs de médication En 2012-2013, 210 erreurs de médication ont été déclarées, soit 18 % du nombre total des déclarations. Le nombre d’erreurs de médication est demeuré sensiblement le même par rapport à l’année précédente (213 en 2011-2012). NOMBRE D’ERREURS DE MÉDICATION 2012-2013 210 2011-2012 213 2010-2011 151 Objectifs pour l’année à venir Communiquer nos réalisations, diffuser nos outils, informer sur nos projets à venir et reconnaître nos bons coups. Une de nos cibles est de favoriser la prévention plutôt que la réaction. Nous devrions ainsi remarquer, en 2013-2014, la poursuite de l’augmentation des déclarations d’événements dans les ressources RTFRI et une diminution des accidents avec conséquences graves. La publication des bulletins sur la qualité et la sécurité demeure un moyen privilégié de communiquer les informations et les rappels à l’ensemble du personnel. Former les nouveaux gestionnaires, soutenir les équipes de gestion face aux événements sentinelles afin d’agir sur les causes. Réaliser les rappels nécessaires quant au respect des protocoles et processus en place. Poursuivre la formation de tout nouvel employé et nouvelle ressource quant à la sécurité des usagers. Évaluer la sécurité des usagers à l’aide des rapports trimestriels produits grâce au système informatique sur la santé et les services sociaux (SISSS). Suivre les recommandations émises par le comité de gestion des risques et le comité de vigilance et de la qualité. Prévenir et améliorer : Prioriser l’amélioration de nos méthodes de travail permettant la réduction des événements sentinelles les plus fréquents qui sont les chutes et les erreurs de médicament. Être proactif en mettant en place les mesures prévues par l’établissement pour prévenir les agressions. 53 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement BILAN DE LA COMMISSAIRE AUX PLAINTES Pour consulter le bilan complet du rapport de la commissaire aux plaintes, le lecteur doit consulter la section Publications de notre site Internet au www.srsor.qc.ca. SOMMAIRE 2012-2013 Sommaire des demandes Total 1 Plaintes en première instance Assistances NOMBRE 8 2 5 Interventions 15 Nous avons reçu un total de 15 demandes : 8 plaintes, 5 assistances et 2 interventions. LES PLAINTES ASSISTANCES ET INTERVENTIONS NOMBRE Seules les demandes exprimées par NOMBRE TOTAL 2012 D’OBJETS l’usager ou son représentant sont DE DES PAR 2013 DOSSIERS OBJETS recevables, et ce, conformément à la DOSSIER loi. Cependant, nous traitons également Plaintes 11 1 11 les demandes faites par des tiers et les Interventions 2 2 4 inscrivons sous la rubrique assistance ou Assistances 2 1 2 intervention. Grand total 15 4 17 RÉPARTITION DES OBJETS DE DEMANDES PAR CATÉGORIES DE MOTIFS/DOSSIERS DE PLAINTE 2012-2013 PLAINTES 1 54 Accessibilité et continuité Soins et services Relations interpersonnelles Organisation du milieu de vie et ressources matérielles Aspect financier Droits particuliers Sans objet (dossiers actifs au 2012-03-31) 4 4 Total 8 INTERVENTIONS ASSISTANCES 4 1 2 5 2 Il est à noter qu’outre le présent rapport, un rapport est aussi déposé annuellement à l’Agence régionale en juin. Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Le niveau de traitement (recommandations) Sur les objets de plaintes, la conclusion du dossier a été : TRAITEMENT APPORTÉ AUX DEMANDES/ DOSSIERS DE PLAINTES 2012-2013 Mesures correctives Sans mesures correctives Dossiers refusés/abandonnés ou interrompus PLAINTES INTERVENTIONS ASSISTANCES 5 3 1 4 2 8 5 2 Dossiers actifs au 31 mars Total Les actions prises à la suite du traitement des demandes ACTIONS PRISES EN LIEN AVEC LES DEMANDES 2012-2013 Aucune action Avis/information/clarification/ démarche d’amélioration/aide Conseil/conciliation/ intercession-liaison Mesure corrective Référence Dossiers actifs au 31 mars Total PLAINTES/ INTERVENTIONS INTERVENTIONS ASSISTANCES 1 3 3 5 1 8 5 Les mesures correctives recommandées et leur suivi 2 2 DÉLAI DE TRAITEMENTS DES DOSSIERS 2012-2013 Le tableau détaillé des mesures correctives a été présenté aux membres du comité de vigilance. Le délai des traitements des plaintes La Loi sur les services de santé et services sociaux oblige le traitement d’une plainte dans un délai de 45 jours. La moyenne pour l’ensemble des dossiers est de 19 jours et celle des plaintes est de 14 jours. Il n’y a pas de délai de traitement prescrit pour les assistances et les interventions. PLAINTES INTERVENTIONS 0-29 jours 30-45 jours 45-60 jours 60 jours et plus Total 7 3 1 1 1 8 5 55 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Activités de l’établissement Les plaintes déposées au Protecteur du citoyen Au cours de l’année 2012-2013, aucune plainte n’a été adressée au Protecteur du citoyen. Au cours de l’année 2012-2013, aucune plainte n’a été adressée au Protecteur du citoyen. Constats et perspectives Au cours de l’année 2012-2013, la commissaire a : •Participé au comité de vigilance et a présenté des rapports sur les plaintes. •Participé à la table régionale des commissaires et à la table provinciale des CRDITED. Comme chaque année, la commissaire tient à souligner le support de la Direction dans l’exercice de ses fonctions, support indispensable, et l’excellente collaboration de l’ensemble du personnel. 56 Activités de l’établissement - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Pour l’année 2013-2014, la commissaire prévoit : •Procéder à la révision des instruments de promotion du régime des plaintes avec la directrice des services de réadaptation. •Planifier une rencontre de l’ensemble des cadres de l’établissement pour faire la présentation du régime d’examen des plaintes. •Poursuivre son implication en ce qui concerne les diverses instances en place : les comités régional et provincial, participation au comité de vigilance. 57 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Comités LE CONSEIL D’ADMINISTRATION JEAN-CLAUDE BEAUDOIN, Président Agence PHILIPPE SIMONATO, Président Population PHILIPPE SIMONATO, Vice-président MANON BOUDRIAU MANON BOUDRIAU, Secrétaire RICHARD MÉNARD Population Population GILLES BERTRAND Directeur général GINETTE BISSONNETTE Membre coopté JOCELYNE JUNEAU Membre coopté JONATHAN LAVOIE Conseil multidisciplinaire STÉPHANE LAFOND Conseil multidisciplinaire MARIE-JOSÉE LEDUC Comité des usagers NICOLAS LÉGER BOURGOIN Conseil multidisciplinaire RICHARD MÉNARD Membre coopté JOSÉE MONAST Membre coopté SYLVIE MORIN Membre coopté NATHALIE PIERRE-ANTOINE Population RICHARD ROBITAILLE Membre coopté DEBRA SHEA Comité des usagers JACQUES VARIN 58 LE COMITÉ DE VÉRIFICATION Agence Comités - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Population Membre coopté LES PRINCIPAUX DOSSIERS ÉTUDIÉS PAR LE CONSEIL D’ADMINISTRATION ONT ÉTÉ LES SUIVANTS : Plan d’action 2012-2013 de la planification stratégique Plan directeur immobilier Planification du répit spécialisé Formation des comités du conseil d’administration Étude de faisabilité d’un rapprochement organisationnel Rapport du comité de vérification Ordonnances de placement de la Cour Adoption du budget Protocoles d’entente avec les Fondations Entente de gestion Fumée secondaire pour les usagers Processus Qmentum 2012-2013 d’Agrément Canada Politique sur l’utilisation des médias sociaux Visite des représentants du Ministère dans nos ressources d’hébergement Rapport du comité de vigilance et de la qualité Rapport du comité des usagers Rapport annuel de gestion Rapport du comité d’évaluation du rendement du directeur général Rapport de la commissaire aux plaintes Rapport sur la présence au travail Plan de développement des ressources humaines 59 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Comités LE COMITÉ DES USAGERS MARIE-JOSÉE LEDUC Présidente DEBRA SHEA Vice-présidente ODETTE GRÉGOIRE Trésorière JACQUES-ANDRÉ BESSETTE Administrateur SYLVIE BLANCHARD Administratrice CAROLE CHARTRAND Administratrice SYLVAIN LAROCQUE Administrateur IRÈNE VINET Administratrice Voici le sommaire des activités du comité des usagers : Conférences et colloques 60 •Congrès des Regroupements provinciaux des comités des usagers qui s’est déroulé à Saint-Hyacinthe du 26 au 28 septembre 2012. •Colloque Institut québécois de la déficience intellectuelle qui a eu lieu les 8, 9, 10 novembre 2012 à Gatineau, sous le thème Se mobiliser pour les communautés inclusives! Le comité conserve tout document d’information reçu lors des conférences ou de colloques pour consultation. Formations Les membres du comité ont participé aux ateliers suivants : •Prendre sa place comme partenaire de l’établissement : le moyen d’actualiser son mandat. •Monter et piloter un dossier : technique qui s’apprend. •Accompagner un plaignant : un chemin à tracer. Dans le but d’être informés des améliorations dans le domaine de la déficience intellectuelle et des troubles de développement et d’être à l’affût des meilleurs services dans le domaine, les membres du comité ont participé aux conférences et colloques suivants : •Exercer ses fonctions comme personne-ressource : une expérience pluridimensionnelle. •Congrès de l’Association du Québec de la déficience intellectuelle Aujourd’hui pour demain qui s’est déroulé les 24, 25 et 26 mai 2012 à l’Hôtel des Seigneurs de Saint-Hyacinthe. •Soyez entendu : techniques de communication permettant de développer sa façon de bien rendre son point de vue. Comités - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 •La peur des représailles : brisons le silence. •L’évaluation de la satisfaction de la clientèle : un puissant levier d’action. •L’intelligence émotionnelle : son rôle dans nos interactions avec les autres. Relations avec l’établissement Mme Debra Shea et Mme Marie-Josée Leduc représentent le comité des usagers au conseil d’administration de l’établissement. Elles font de leur mieux pour défendre les droits et intérêts des usagers. Comité de gestion des risques Mme Debra Shea siège au comité de gestion des risques, qui a le mandat d’assurer la sécurité et santé des usagers des SRSOR. Comité de vigilance et de la qualité Mme Marie-Josée Leduc siège également au comité de vigilance avec la commissaire aux plaintes et le directeur général de l’établissement pour s’assurer d’une bonne qualité des services. Implication et promotion Regroupement provincial des comités des usagers (RPCU) Le comité des usagers des SRSOR est membre du Regroupement provincial des comités des usagers (RPCU). La mission du RPCU est de travailler à améliorer la qualité des services offerts aux usagers du réseau de la santé et des services sociaux. Il offre du support et de la formation au comité des usagers. Association du Québec pour l’intégration sociale (AQIS) Le comité des usagers des SRSOR est également membre de l’Association du Québec pour l’intégration sociale. La mission de cette association est de faire la promotion de la défense des droits des personnes présentant une déficience intellectuelle tout en visant à préserver et à améliorer leur qualité de vie. Sondage sur les indices de la qualité de vie en milieu résidentiel Mme Debra Shea et Mme Odette Grégoire travaillent présentement sur le sondage. Elles ont terminé le choix des questions et l’ont validé auprès des différents organismes et parents d’usagers. Elles en sont à l’étape de la mise en page. Outils de promotion L’envoi du projet « aimant » a été fait. Le comité s’est procuré des cartes professionnelles et a travaillé sur la mise à jour du lien « Comité des usagers » sur le site Internet des SRSOR. Le comité des usagers tient à remercier M. Gilles Bertrand, directeur général, M. Jean-Claude Beaudoin, président du conseil d’administration, Mme Chantal Boisvert, directrice des services de réadaptation et Mme Mélanie Lamoureux-Hébert, directrice des services professionnels, de la qualité et de la recherche. Un merci également à tous ceux qui ont apporté leur support et leur collaboration au comité des usagers. 61 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Comités LE COMITÉ EXÉCUTIF DU CONSEIL MULTIDISCIPLINAIRE ÉLODIE BERGERON PIERRE CAOUETTE MÉLANIE LAMOUREUX-HÉBERT DANIEL THIBODEAU LE COMITÉ DE VIGILANCE ET DE LA QUALITÉ GILLES BERTRAND Directeur général DANIÈLE GAGNON Commissaire aux plaintes et à la qualité des services MARIE-JOSÉE LEDUC RICHARD MÉNARD SYLVIE MORIN Le comité de vigilance s’est réuni en juin 2012 et a analysé les recommandations et les suivis découlant du rapport annuel de la commissaire aux plaintes, du rapport annuel de la gestion des risques et du rapport annuel sur les mesures de contrôle. Les membres sont donc informés des actions entreprises pour mettre en œuvre les recommandations concernant la satisfaction de la clientèle et la sécurité des usagers. 62 Comités - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Le comité de vigilance a par ailleurs discuté de certains points telles : •L’importance de diffuser l’information au personnel, sur le rôle de la commissaire aux plaintes; •La diminution des mesures de contrôle utilisées auprès des usagers; •La formation aux usagers sur la prévention des accidents. Plusieurs des sujets abordés feront l’objet de suivis en 2013-2014 et sont directement en lien avec les cibles d’amélioration continue d’Agrément Canada. LE COMITÉ DE GESTION DES RISQUES DANIÈLE JUTRAS (En remplacement de Julie Vendette) Présidente du comité et gestionnaire de risques MARIANNE COUDÉ (En remplacement de Danièle Jutras) Vice-présidente du comité et secrétaire responsable de la gestion des risques BRUNO BERNIER Représentant des services techniques NAOMIE CHARLES Représentante des ressources (RTF-RI) CAROLE DANSEREAU Représentante du comité de santé et sécurité au travail NATHALIE DESCHÊNES Représentante clinique Le comité a notamment pour mandat de rechercher, de développer et de promouvoir des moyens visant à : •Identifier et analyser les risques d’incidents ou d’accidents en vue d’assurer la sécurité des usagers; •S’assurer qu’un soutien soit apporté à la victime et à ses proches; •Recommander au conseil d’administration de l’établissement la prise des mesures visant à prévenir la récurrence de ces incidents et accidents ainsi que la prise de mesure de contrôle, s’il y a lieu; •Transmettre des rapports trimestriels et un rapport annuel au conseil d’administration. LINE DROUIN Représentante clinique (RAC) MÉLANIE LAMOUREUX-HÉBERT Directrice des services professionnels, de la qualité et de la recherche MICHELLE LANDRY Représentante des infirmières DEBRA SHEA Représentante du comité des usagers VÉRONIQUE PROULX Représentante des ressources (RTF-RI) 63 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Comités LE COMITÉ D’ÉTHIQUE DANIÈLE JUTRAS Présidente du comité LINE DROUIN Vice-présidente du comité ISABELLE DESCHAMPS GILLES DALLAIRE LUC LEMIEUX ANDRÉ PLANTE MARTHA ROYER Le comité d’éthique clinique créé en 2012, à la suite de l’adoption du cadre sur l’éthique aux SRSOR, se veut un lieu de réflexion et de dialogue sur des questions ou situations à caractère éthique qui préoccupent les intervenants et les gestionnaires des SRSOR ainsi que les usagers et leur famille. Il cherche à nourrir les réflexions de ceux qui sont aux prises avec des choix difficiles. Le comité d’éthique clinique est composé de 7 personnes qui ont manifesté leur intérêt pour l’éthique et représentent divers services de l’établissement. Le comité a tenu 3 rencontres entre le 1er avril 2012 et le 31 mars 2013 et 2 personnes ont participé à une formation sur l’éthique organisée par le comité d’éthique clinique du CSSS Haut-Richelieu-Rouville, le 12 avril 2012. Au cours de la dernière année, le comité d’éthique clinique a été interpelé à 3 reprises pour les situations concernant des usagers. Des avis éthiques ont ensuite été rédigés et remis aux demandeurs pour chaque situation. 64 Comités - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Les objectifs pour l’année qui vient sont : •Poursuivre la promotion sur le comité d’éthique clinique aux SRSOR. •Compléter des fiches éthiques (dépersonnalisées) à la suite des avis demandés et les rendre disponibles sur l’intranet. •Participer à la formation des membres du comité. •Participer aux réflexions sur le consentement entrepris par les SRSOR et le CSSS Haut-Richelieu-Rouville. •Utiliser la nouvelle grille d’analyse éthique. •Intégrer un représentant des parents au comité d’éthique. 65 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers RAPPORT DE LA DIRECTION SUR LES RAPPORTS FINANCIERS Les états financiers du CRDITED Les Services de Réadaptation du Sud-Ouest et du Renfort ont été complétés par la direction qui est responsable de leur préparation fidèle, y compris les estimations et les jugements importants. Cette responsabilité comprend le choix des conventions comptables appropriées qui respectent les Normes comptables canadiennes pour le secteur public ainsi que les particularités prévues au Manuel de gestion financière édicté en vertu de l’article 477 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux. Les renseignements financiers contenus dans le reste du rapport annuel de gestion concordent avec l’information donnée dans les états financiers. Pour s’acquitter de ses responsabilités, la direction maintient un système de contrôles internes qu’elle considère nécessaire. Celui-ci fournit l’assurance raisonnable que les biens sont protégés, que les opérations sont comptabilisées adéquatement et au moment opportun, qu’elles sont dûment approuvées et qu’elles permettent de produire des états financiers fiables. Gilles Bertrand Directeur général 66 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 La direction du CRDITED Les Services de Réadaptation du Sud-Ouest et du Renfort reconnaît qu’elle est responsable de gérer ses affaires conformément aux lois et règlements qui la régissent. Le conseil d’administration surveille la façon dont la direction s’acquitte des responsabilités qui lui incombent en matière d’information financière et il a approuvé les états financiers. Il est assisté dans ses responsabilités par le comité de vérification. Ce comité rencontre la direction et l’auditeur, examine les états financiers et en recommande l’approbation au conseil d’administration. Les états financiers ont été audités par la firme Raymond Chabot Grant Thornston S.E.N.C.R.L. dûment mandatée pour ce faire, conformément aux normes d’audit généralement reconnues du Canada. Son rapport expose la nature et l’étendue de cet audit ainsi que l’expression de son opinion. La firme Raymond Chabot Grant Thornston S.E.N.C.R.L. peut, sans aucune restriction, rencontrer le comité de vérification pour discuter de tout élément qui concerne son audit. Jacques Rochon Directeur des services financiers, techniques et informationnels ÉTAT DES RÉSULTATS REVENUS REVENUS Subventions Agence et MSSS : p. 408) Subventions Agence et MSSS (FI : (FI p. 408) Subventions Gouvernement du Canada : p. 294) Subventions Gouvernement du Canada (FI : (FI p. 294) Contributions des usagers Contributions des usagers Ventes de services et recouvrements Ventes de services et recouvrements Donations : p. 294) Donations (FI : (FI p. 294) Revenus de placement : p. 302) Revenus de placement (FI : (FI p. 302) Revenus de type commercial Revenus de type commercial sur disposition : p. 302) GainGain sur disposition (FI : (FI p. 302) Autres revenus : p. 302) Autres revenus (FI : (FI p. 302) à L.11) TotalTotal (L.01(L.01 à L.11) CHARGES CHARGES Salaires, avantages sociaux et charges sociales Salaires, avantages sociaux et charges sociales Médicaments Médicaments Produits sanguins Produits sanguins Fournitures médicales et chirurgicales Fournitures médicales et chirurgicales Denrées alimentaires Denrées alimentaires Rétributions versées ressources Rétributions versées aux aux ressources non non institutionnelles institutionnelles financiers : p. 325) FraisFrais financiers (FI : (FI p. 325) Entretien et réparations, y compris les dépenses Entretien et réparations, y compris les dépenses non capitalisables relatives aux immobilisations non capitalisables relatives aux immobilisations Créances douteuses Créances douteuses Amortissement des immobilisations : p. 422) Amortissement des immobilisations (FI : (FI p. 422) Perte sur disposition d'immobilisations (FI : p. 420, Perte sur disposition d'immobilisations (FI : p. 420, 421)421) ExploitationImmobilisations Immobilisations TotalTotal Exploitation Ex. courant Ex. courant Ex. courant Ex. précédent Ex. courant Ex. courant Ex. courant Ex. précédent (r.de p. 358,C3) (C1 + C2) (r.de p. 358,C3) (C1 + C2) 2 1 2 3 3 4 4 1 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 01 49 728 49 728 789 789 02 03 3 889 3 889 153 153 04 1 590 1 590 601 601 05 06 55 867 55 867 07 08 09 xxxxxxxx 10 xxxxxxxx 11 128 128 210 210 12 55 392 55 392 620 620 13 14 15 16 17 13 32 644 32 644 118 118 14 15 16 17 32 644 32 354 xxxxxxxx 32 644 118 118 32 354 946 946 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 15 834 18 18 15 834 327 327 19 19 15 834 14 880 xxxxxxxx 15 834 327 327 14 880 532 532 70 260 70 260 68 544 70 260 70 260 68 544 20 21 22 23 24 25 20 21 22 23 24 25 539 539 322 322 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx Autres charges (FI : p. 325) TOTAL (L.13 à L.27) 26 27 28 xxxx 6 254 825 55 272 592 SURPLUS (DÉFICIT) DE L'EXERCICE (L.12 - L.28) 29 120 028 50 596 49 347 867 867 420 42050 596 209 209 49 347 548 548 3 889 3 870 xxxxxxxx3 889 153 153 3 870 296 296 1 590 1 357 xxxxxxxx1 590 601 601 1 357 889 889 xxxxxxxx 1 400 1 400 xxxxxxxx xxxxxxxx 55 867 55 867 55 901 55 901 1 400 1 400 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 81 099 128 128 210 210 81 099 56 261 54 712 868 868 820 82056 261 440 440 54 712 733 733 150 150 000 000 689 689 322 322 xxxx xxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 682 346 682 682 346 682 346 346 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxx xxxx 2 184 6 257 009 904 790 56 177 382 (35 970) 84 058 497 497 351 351 xxxxxxxx 793 793 271 271 xxxxxxxx xxxx 6 256 138 54 850 782 (138 049) Colonne 2 : établissements publics seulement 67 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers ÉTAT DES SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS DÉBUT DÉJÀ ÉTABLIS SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS AUAU DÉBUT DÉJÀ ÉTABLIS FONDS TOTAL FONDS TOTAL ExploitationImmobilisations ImmobilisationsEx.Ex. courant Ex.Ex. précédent Exploitation courant précédent courantEx.Ex. courant + C2) Ex.Ex. courant courant (C1(C1 + C2) 1 1 2 2 3 3 4 4 2 181 543 9 315 2 190 2 190 858 2 328 907 0101 2 181 543 9 315 858 2 328 907 Modifications comptables avec retraitement années Modifications comptables avec retraitement desdes années antérieures (préciser) Rectificatif de la subv. à rec antérieures (préciser) Rectificatif de la subv. à rec 0202 Modifications comptables sans retraitement années Modifications comptables sans retraitement desdes années antérieures (préciser) antérieures (préciser) SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS DÉBUT REDRESSÉS SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS AUAU DÉBUT REDRESSÉS (L.01 à L.03) (L.01 à L.03) SURPLUS (DÉFICIT) L'EXERCICE SURPLUS (DÉFICIT) DEDE L'EXERCICE Autres variations Autres variations : : Transferts interétablissements (préciser) Transferts interétablissements (préciser) Transferts interfonds (préciser) Note Transferts interfonds (préciser) Note 1 1 Autres éléments applicables établissements Autres éléments applicables auxaux établissements privés conventionnés (préciser) privés conventionnés (préciser) Total autres variations (L.06 à L.09) Total desdes autres variations (L.06 à L.09) SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS À LA (L.04 + L.05 + L.10) SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS À LA FINFIN (L.04 + L.05 + L.10) Constitués éléments suivants Constitués desdes éléments suivants : : Affectations d'origine externe Affectations d'origine externe Affectations d'origine interne Affectations d'origine interne Solde non affecté (L.11 - L.12 - L.13) Solde non affecté (L.11 - L.12 - L.13) Total (L.12 à L.14) Total (L.12 à L.14) 68 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 096 6868 096 096 6868 096 0303 2 181 543 0404 2 181 543 120 028 0505 120 028 411 2 258 2 258 954 7777 411 954 970) 058 (35(35 970) 8484 058 0606 0707 (643 272) (643 272) 643 272 643 272 0808 0909 1010 xxxx xxxx (643 272) (643 272) xxxx xxxx xxxx xxxx 643 272 643 272 1 658 299 1111 1 658 299 1212 1313 1414 1515 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 2 328 907 2 328 907 (138 049) (138 049) 0 0 xxxx xxxx 0 0 xxxx xxxx 684 713 2 343 2 343 012 684 713 012 2 190 858 2 190 858 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 2 343 2 343 012 xxxx 012 xxxx 2 343 2 343 012 xxxx 012 2 190 858 2 190 858 2 190 858 2 190 858 ÉTAT DE LA SITUATION FINANCIÈRE FONDS FONDS TOTAL TOTAL Exploitation Exploitation Immobilisations Immobilisations Ex.Ex. courant courant Ex.Ex. (C1(C1 + C2) + C2) précédent précédent 1 1 ACTIFS FINANCIERS ACTIFS FINANCIERS Encaisse (découvert bancaire) Encaisse (découvert bancaire) Placements temporaires Placements temporaires Débiteurs - Agence MSSS p. 362, FI 408) p. 408) Débiteurs - Agence et et MSSS (FE(FE : p.: 362, FI p. Autres débiteurs p. 360, p. 400) Autres débiteurs (FE(FE : p.: 360, FI :FIp.: 400) Créances interfonds (dettes interfonds) Créances interfonds (dettes interfonds) Subvention à recevoir (perçue d'avance) - réforme Subvention à recevoir (perçue d'avance) - réforme comptable p. 362, p. 408) comptable (FE(FE : p.: 362, FI :FIp.: 408) Placements Placements dede portefeuilles portefeuilles Frais Frais reportés reportés liésliés auxaux dettes dettes Autres Autres éléments éléments (FE(FE : p.: 360, p. 360, FI :FIp.: 400) p. 400) TOTAL TOTAL DES DES ACTIFS ACTIFS FINANCIERS FINANCIERS (L.01 (L.01 à L.12) à L.12) PASSIFS PASSIFS Emprunts Emprunts temporaires temporaires (FI(FI : p.: 403) p. 403) Créditeurs Créditeurs - Agence - Agence et et MSSS MSSS (FE(FE : p.: 362, p. 362, FI :FIp.: 408) p. 408) Autres Autres créditeurs créditeurs et et autres autres charges charges à payer à payer (FE(FE : p.: 361, p. 361, FI :FIp.: 401) p. 401) Avances Avances dede fonds fonds enen provenance provenance dede l'Agence l'Agence - enveloppes enveloppes décentralisées décentralisées Intérêts Intérêts courus courus à payer à payer (FE(FE : p.: 361, p. 361, FI :FIp.: 401) p. 401) Revenus Revenus reportés reportés (FE(FE : p.: 290 p. 290 et et 291, 291, FI :FIp.: 294) p. 294) 2 2 3 3 4 4 0101 0202 0303 0404 0505 0606 2 234 213 2 234 213 2 805 750 2 805 750 304 893 304 893 924 095 924 095 xxxx xxxx (113 794) (113 794) 2 193 2 236 2 236 406 740 563 2 193 406 740 563 2 805 750 3 800 3 800 000 2 805 750 000 027 324 920 917 058 2020 027 324 920 917 058 924 095 653 730 924 095 653 730 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 113 794 113 794 0 0 0707 0808 0909 1010 1111 1212 1313 3 547 273 3 547 273 500 500 000 000 696) 3 454 3 454 577 2 166 2 166 745 (92(92 696) 577 745 500 500 000 000 500 500 000 000 6 114 6 114 6 114 6 114 7 424 7 424 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 7777 168 168 5656 248 248 4949 432 432 1010 329 329 030 030 8 841 8 841 768 768 xxxx xxxx xxxx xxxx 7777 168 168 1010 279 279 598 598 1414 1515 1616 4 731 4 731 169 169 262 262 980 980 5050 000 000 4 781 4 781 169 169 7 630 7 630 199 199 26 25 26 27 8 804 665 18 286 8 804 665 1 474 933 2 831 337 11 636 002 13 284 081 (2 781 905) (1 306 972) (4 442 313) ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) (L.13 - L.26) ACTIFS NON FINANCIERS Immobilisations (FI : p. 420, 421, 422) ACTIFS NON FINANCIERS Stocks de fournitures : p.421, 360)422) Immobilisations (FI : p.(FE 420, Frais payés d'avance (FE : p. 360, Stocks de fournitures (FE : p. 360)FI : p. 400) TOTAL DES d'avance ACTIFS NON (L.28 À L.30) Frais payés (FE FINANCIERS : p. 360, FI : p. 400) 27 1 474 933 (2 781 905) (1 306 972) (4 442 313) 3 466 470 3 277 186 xxxx 183 366 183 366 366 183 3 466 470 xxxx 3 466 470 148 xxxx 3 466 148 618 3 466 470 183 514 3 183 649 514 984 3 277 186 101 501 3 101 378 501 687 TOTAL DES ACTIFS NON FINANCIERS (L.28 À L.30) CAPITAL-ACTIONS ET SURPLUS D'APPORT 31 32 183 366 3 466 618 3 649 984 3 378 687 CAPITAL-ACTIONS ET SURPLUS D'APPORT SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS (L.27 + L.31 - L.32) 32 33 1 658 299 684 713 2 343 012 (1 063 626) SURPLUS (DÉFICITS) CUMULÉS (L.27 + L.31 - L.32) Obligations contractuelles (pages 635-00 à 635-05) Éventualitéscontractuelles (pages 636-01(pages et 636-02) Obligations 635-00 à 635-05) 33 1 658 299 684 713 2 343 012 (1 063 626) Autres éléments (FE : p. 361, FI : p. 403) TOTAL éléments DES PASSIFS à L.25) Autres (FE(L.14 : p. 361, FI : p. 403) TOTAL DES PASSIFS (L.14 à L.25) ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) (L.13 - L.26) 28 29 28 30 29 31 30 xxxx xxxx 773 773 374 374 190 190 840 840 251 251 902 902 2020 027 027 2020 519 519 100 100 000 000 100 100 000 000 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 1 647 1 647 096 096 1 647 1 647 096 096 1 718 1 718 709 709 150 150 000 000 150 150 000 000 3 955 3 955 210 210 3 254 3 254 484 484 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 18 286 45 288 2 831 337 11 636 002 13 284 081 18 286 45 288 Dettes Dettes à long à long terme terme (FE(FE : p.: 361, p. 361, FI :FIp.: 403) p. 403) Passifs Passifs environnementaux environnementaux Passif Passif auau titre titre desdes avantages avantages sociaux sociaux futurs futurs 1717 1818 1919 2020 2121 2222 2323 24 2524 773 773 374 374 100 100 000 000 xxxx xxxx xxxx xxxx 3 955 3 955 210 210 xxxx xxxx 18 286 xxxx 190 190 840 840 2020 027 027 Éventualités (pages 636-01 et 636-02) Colonne 2 : établissements publics seulement L.06, C.32: le montant doit être égalseulement à zéro Colonne : établissements publics L.32 : applicable aux établissements L.06, C.3 : le montant doit être égal àprivés zéro seulement L.32 : applicable aux établissements privés seulement 69 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers ÉTAT DE LA VARIATION DES ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) ACTIFS FINANCIERS (DETTE NETTE) AU DÉBUT ACTIFS FINANCIERS NETSNETS (DETTE NETTE) AUDÉBUT DÉBUT ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) AU ÉTABLIS DÉJÀDÉJÀ ÉTABLIS DÉJÀ ÉTABLIS Modifications comptables avec retraitement Modifications comptables avecretraitement retraitement Modifications comptables avec des années antérieures desannées annéesantérieures antérieures des Modifications comptables sans retraitement Modifications comptables sansretraitement retraitement Modifications comptables sans des années antérieures desannées annéesantérieures antérieures des ACTIFS FINANCIERS (DETTE NETTE) AU DÉBUT ACTIFS FINANCIERS NETSNETS (DETTE NETTE) AUDÉBUT DÉBUT ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) AU REDRESSÉ à L.03) REDRESSÉ (L.01(L.01 L.03) REDRESSÉ (L.01 ààL.03) SURPLUS (DÉFICIT) DE L'EXERCICE (p.L.29) 200 L.29) SURPLUS (DÉFICIT) DEL'EXERCICE L'EXERCICE (p.200 200 L.29) SURPLUS (DÉFICIT) DE (p. VARIATIONS AUX IMMOBILISATIONS VARIATIONS DUESDUES AUXIMMOBILISATIONS IMMOBILISATIONS VARIATIONS DUES AUX Acquisitions (FI : p. Acquisitions(FI (FI::p. p.421) 421) 421) Acquisitions Armortissement de l'exercice ( FI422) : p. 422) Armortissement de l'exercice p. 422) Armortissement de l'exercice ((FIFI::p. / Perte sur dispositions (FI208) : p. 208) (Gain)(Gain) Perte surdispositions dispositions (FI::p. p. 208) (Gain) //Perte sur (FI Produits sur dispositions (FI208) : p. 208) Produits surdispositions dispositions (FI::p. p. 208) Produits sur (FI Réduction de valeurs (FI : p. 420, 421-00) Réductionde devaleurs valeurs(FI (FI::p. p.420, 420,421-00) 421-00) Réduction Ajustements des immobilisations (FI420, : p.421-00) 420, 421-00) Ajustements desimmobilisations immobilisations (FI::p. p. 420, 421-00) Ajustements des (FI FONDS TOTAL FONDS TOTAL FONDS TOTAL Exploitation Immobilisations Ex. courant Ex. précédent Exploitation Immobilisations Ex. Ex.courant courant Ex. Ex.précédent précédent Exploitation Immobilisations (C1++(C1 C2)+ C2) (C1 C2) 11 1 080 042 01 01 22080 0802042 042 01 02 02 02 22 2 33 3 44 (3871) 267 871) (1829) 187 829) (3267 267 871) (1187 187 829) (3 (1 03 03 03 080 042 04 04 22080 0802042 042 04 120 028 05 05 120028 028 05 120 (3775) 199 775) (1733) 119 733) (3199 199 775) (1119 119 733) (3 (1 (35 970) 84 84 058 (35970) 970) 84058 058 (35 (1522) 430 522) (1430 430 522) (1 (138 (138049) 049) 049) (138 (421 (421354) 354) 354) (421 793 271 793271 271 793 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx (871 (871 (871630) 630) 630)(871 (871630) 630) 630) (871 682 346 682 346 682346 346 682346 346 682 682 (1 400) (1 (1 400) (1400) 400) (1400) 400) (1 1 400 400 4001 400 11400 11400 TOTAL DES VARIATIONS AUX IMMOBILISATIONS TOTAL DESVARIATIONS VARIATIONS DUESDUES AUXIMMOBILISATIONS IMMOBILISATIONS TOTAL DES DUES AUX (L.06 à L.13) (L.06ààL.13) L.13) (L.06 14 14 14 xxxx xxxx xxxx (189 (189 (189284) 284) 284)(189 (189284) 284) 284) (189 VARIATIONS AUX STOCKS DE FOURNITURES VARIATIONS DUESDUES AUXSTOCKS STOCKS DEFOURNITURES FOURNITURES ET ET VARIATIONS DUES AUX DE ET AUX FRAIS PAYÉS D'AVANCE AUXFRAIS FRAISPAYÉS PAYÉSD'AVANCE D'AVANCE AUX Acquisition de stocks de fournitures Acquisition destocks stocks defournitures fournitures Acquisition de de Acquisition depayé frais payé d'avance Acquisition defrais frais payéd'avance d'avance Acquisition de Utilisation de stocks de fournitures Utilisationde destocks stocksde defournitures fournitures Utilisation Utilisation depayés frais d'avance Utilisation defrais frais payéspayés d'avance Utilisation de d'avance 15 15 16 16 17 17 18 18 TOTAL DES VARIATIONS DUES AUX STOCKS DE FOURNITURES ET AUX FRAIS PAYÉS D'AVANCE (L.15 À L.18) 06 06 07 07 08 08 09 09 10 10 11 11 12 12 13 13 15 16 17 18 xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx xxxx 371 917 371917 917 371 xxxx xxxx xxxx (81 865) (81865) 865) (81 xxxx xxxx xxxx (82 013) (148)(148) (82 (82013) 013) (148) 19 (81 865) (148) Autres variations des surplus (déficits) cumulés 20 (643 272) 643 272 0 AUGMENTATION (DIMINUTION) DES ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) À (L.05 + L.14 + L.19 + L.20) 21 (605 109) 417 870 (187 239) ACTIFS FINANCIERS NETS (DETTE NETTE) À LA FIN (L.04 + L.21) 22 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 (1522) 430 522) (1430 430 522) (1 68 096 68 68 096 68096 096 68096 096 68 06 07 08 09 10 11 12 13 70 4 1 474 933 (2 781 905) (82 013) (1 306 972) 8258 825 88825 8 825 242 693 (1 187 829) ÉTAT DES FLUX DE TRÉSORERIE ACTIVITÉS FONCTIONNEMENT ACTIVITÉS DEDE FONCTIONNEMENT ACTIVITÉS DE(déficit) FONCTIONNEMENT Surplus Surplus (déficit) Surplus (déficit)sans incidence sur la trésorerie : Éléments Éléments sans incidence sur la trésorerie : Éléments sans incidence Créances douteusessur la trésorerie : Créances douteuses Créances douteuses Provisions liées aux placements garanties prêts Provisions liées aux placements et et garanties dede prêts Provisions liées aux payés placements et garanties de prêts Stocks et frais d'avance Stocks et frais payés d'avance StocksPerte et frais payés d'avance (gain) disposition d'immobilisations Perte (gain) sursur disposition d'immobilisations PertePerte (gain)(gain) sur disposition d'immobilisations disposition placements Perte (gain) sursur disposition dede placements PerteAmortissement (gain) sur disposition de placements des revenus reportés aux immobilisations Amortissement des revenus reportés liésliés aux immobilisations Amortissement des revenus reportés liés aux immobilisations Gouvernement du Canada - Gouvernement du Canada - Gouvernement du Canada - Autres - Autres - Autres Amortissement des immobilisations Amortissement des immobilisations Amortissement des immobilisations Réduction valeur des immobilisations Réduction dede valeur des immobilisations Réduction de valeur des immobilisations Amortissement des frais reportés aux dettes Amortissement des frais reportés liésliés aux dettes Amortissement des frais reportés liés aux dettes Amortissement de la perte (gain) de change reporté Amortissement de la perte (gain) de change reporté Amortissement de la perte (gain) deet change reporté Amortissement de l'escompte de la prime Amortissement de l'escompte et de la prime Amortissement de l'escompte et de la prime Autres Autres AutresTotal des éléments sans incidence sur la trésorerie ( L.02 à L.14) Total des éléments sans incidence sur la trésorerie ( L.02 à L.14) Total des éléments sans incidence sur la trésorerie ( L.02 à L.14) Variation des actifs financiers des passifs reliés fonctionnement Variation des actifs financiers et et des passifs reliés auau fonctionnement Variation des actifs financiers et des passifs reliés au fonctionnement Flux trésorerie provenant des utilisé pour les) activités Flux dede trésorerie provenant des (ou(ou utilisé pour les) activités Flux de trésorerie provenant des (ou utilisé pour les) activités de fonctionnement (L.01 + L.15 + L.16) de fonctionnement (L.01 + L.15 + L.16) de fonctionnement (L.01 + L.15 + L.16) ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT IMMOBILISATIONS ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT ENEN IMMOBILISATIONS ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT EN IMMOBILISATIONS Immobilisations Immobilisations : : Immobilisations : Acquisitions Acquisitions Acquisitions Produits disposition Produits dede disposition Produits de disposition Flux de trésorerie provenant des utilisé pour les) activités Flux de trésorerie provenant des (ou(ou utilisé pour les) activités Flux de trésorerie provenant des (ou utilisé(L.18 pour+les) activités d'investissement en immobilisations L.19) d'investissement en immobilisations (L.18 + L.19) d'investissement en immobilisations (L.18 + L.19) ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT Variation des placements de portefeuilles : Placements effectués Produit de disposition et de rachat de placements Placements réalisés Variation d'autres éléments : Subvention à recevoir - Réforme comptable Flux de trésorie provenant des (ou utilisé pour les) activités d'investissement (L.21 à L.24) Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice Exercice courant précédent courant précédent courant précédent 11 22 1 2 01 0101 058 (138 (138 049) 8484 058 049) 84 058 (138 049) 0202 02 03 03 03 04 013) 04 (82(82 013) 04 05 (82 013) (1 400) 05 (1 400) 05 06 (1 400) 06 06 8 825 8 825 8 825 0707 07 08 08 08 09 682 346 793 271 09 682 346 793 271 09 10 682 346 793 271 10 10 11 1 310 310) 11 1 310 (1 (1 310) 11 12 1 310 (1 310) xxxx 12 xxxx 12 13 xxxx xxxx 13 xxxx 13 14 xxxx 815) 14 (2 (2 815) 14 15 (2 815) 600 243 797 971 15 600 243 797 971 15 600 243 797 971 16 2 420 443 (5 (5 402 246) 1616 2 420 443 402 246) 2 420 443 (5 402 246) 17 3 104 744 (4 (4 742 324) 1717 3 104 744 742 324) 3 104 744 (4 742 324) (871 630) (421 (421 354) 1818 (871 630) 354) 18 19 (871 630)1 400 (421 354) 19 1 400 19 1 400 20 2020 (870 230) (421 (421 354) (870 230) 354) (870 230) (421 354) 21 22 23 (500 000) 24 (1 287 832) (480 920) 25 (1 287 832) (980 920) 71 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers ÉTAT DES FLUX DE TRÉSORERIE (SUITE) ACTIVITÉS FONCTIONNEMENT ACTIVITÉS DE FINANCEMENT ACTIVITÉS DEDE FONCTIONNEMENT ACTIVITÉS DE FINANCEMENT Variation des dettes : Surplus (déficit) Surplus Variation (déficit) des dettes : Emprunts effectués - Dettes àtrésorerie long terme: Éléments sans incidence sur Emprunts effectués - Dettes à long terme Éléments sans incidence sur la la trésorerie : Emprunts effectués - Refinancement de dette à long terme Créances douteuses Emprunts effectués Refinancement de dette à long terme Créances douteuses Emprunts remboursés - Dettes à long terme Provisions liées aux placements et garanties de prêts Emprunts remboursés Dettes à long terme Provisions liées aux placements et garanties prêts Emprunts remboursés - Refinancement dede dettes à long terme Emprunts remboursés - Refinancement de dettes à long terme Stocks et frais payés d'avance Capitalisation l'escompte et de la prime Stocks et frais payésde d'avance Capitalisation de l'escompte et de la prime Perte (gain) disposition d'immobilisations Capitalisation des gainsd'immobilisations ou pertes de change Perte (gain) sursur disposition Capitalisation des gains ou pertes de change Perte (gain) de placements Variation desdisposition emprunts temporaires effectués - fonds Perte (gain) sursur disposition placements Variation des empruntsde temporaires effectués - fonds d'exploitation Amortissement des revenus reportés aux immobilisations Amortissement des revenus reportés liésliés aux immobilisations d'exploitation Emprunts temporaires effectués - fonds d'immobilisations Gouvernement du Canada - Gouvernement du Canada effectués - fonds d'immobilisations Emprunts temporaires Emprunts temporaires effectués - Refinancement fonds - Autres Emprunts temporaires effectués - Refinancement fonds - Autres d'immobilisations Amortissement des immobilisations d'immobilisations Amortissement immobilisations Empruntsdes temporaires remboursés - fonds d'immobilisations Emprunts temporaires remboursés - fonds d'immobilisations Réduction de valeur des immobilisations Réduction de valeur des immobilisations Amortissement des frais reportés aux dettes fonds d'immobilisations Empruntsdes temporaires remboursés - Refinancement Amortissement frais reportés liésliés aux dettes Emprunts temporaires remboursés -change Refinancement Amortissement de la perte (gain) de reportéfonds d'immobilisations Variations d'autres éléments : Amortissement la perte (gain) :de change reporté Variationsde d'autres éléments Amortissement l'escompte et prime Fonds d'amortissement duet gouvernement Amortissement dede l'escompte dede la la prime Fonds d'amortissement du gouvernement Autres Autres Flux trésorerie provenant des (ou pour les)(activités Total des de éléments sans incidence sur utilisé la trésorerie L.02 à L.14) Flux de trésorerie provenant des (ou utilisé pour les) activités Total des sans incidence deéléments financement (L.01 à L.12) sur la trésorerie ( L.02 à L.14) de financement (L.01 à L.12) de financement (L.01 à L.12) AUGMENTATION (DIMINUTION) DE LA TRÉSORERIE ET DES ÉQUIVALENTS AUGMENTATION (DIMINUTION) DE passifs LA TRÉSORERIE ETfonctionnement DES ÉQUIVALENTS Variation des actifs financiers et des DEdes TRÉSORERIE (p. 208-00, +reliés p. 208-01, L.13) Variation actifs financiers etL.17+L.20+L.25 des passifs reliés auau fonctionnement DEtrésorerie TRÉSORERIEprovenant (p. 208-00, des L.17+L.20+L.25 +pour p. 208-01, L.13) Flux de (ou utilisé les) activités Flux de trésorerie provenant des (ou utilisé pour les) activités fonctionnement (L.01 + L.15 +DEL.16) TRÉSORERIE ET(L.01 ÉQUIVALENTS TRÉSORERIE AU DÉBUT dede fonctionnement + L.15 + L.16) TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE AU DÉBUT TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE À LA FIN (L.14 + L.15) TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE À LA FIN (L.14 + L.15) ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT IMMOBILISATIONS ACTIVITÉS D'INVESTISSEMENT ENEN IMMOBILISATIONS TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE À LA FIN COMPRENNENT : Immobilisations : TRÉSORERIE ET ÉQUIVALENTS DE TRÉSORERIE À LA FIN COMPRENNENT : Immobilisations Encaisse : Encaisse Acquisitions Acquisitions Placements dont l'échéance n'excède pas 3 mois Produits disposition Produits dede disposition Flux de trésorerie provenant des utilisé pour les) activités (L.17 +provenant L.18) Flux de Total trésorerie des (ou(ou utilisé pour les) activités d'investissement en immobilisations (L.18 + L.19) d'investissement en immobilisations (L.18 + L.19) AUTRES RENSEIGNEMENTS : Immobilisations : Compte à payer sur les immobilisations Intérêts : - Intérêts créditeurs (revenus) - Intérêts encaissés (revenus) - Intérêts débiteurs (dépenses) - Intérêts déboursés (dépenses) Placements temporaires Échéance inférieure ou égale à 3 mois : - Solde au 31 mars de l'exercice précédent - Solde au 31 mars de l'exercice courant Échéance supérieure à 3 mois : - Solde au 31 mars de l'exercice précédent - Placements effectués - Placements réalisés - Solde au 31 mars de l'exercice courant (L.27 + L.28 - L.C3429) 72 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Exercice Exercice Exercice Exercice courant courant courant courant 11 1 1 0101 01 01 02 02 02 02 03 03 0303 04 04 04 04 05 05 05 06 05 06 06 Exercice Exercice Exercice Exercice précédent précédent précédent précédent 2 2 2 2 058 8484 058 (71 613) (71 613) (138 049) (138 049) (71 613) (71 613) 013) (82(82 013) (1 400) (1 400) 8 825 8 825 06 07 07 08 07 07 08 552 736 552 736 08 09 09 0909 10 10 10 682342) 346 (42 (42 342) 08 10 11 1111 11 12 12 12 1313 12 1414 1515 13 13 13 453 062 453 062 682 346 793 271 (190793 088)271 (190 088) 1 310 1 310 310) (1 (1 310) xxxx xxxx xxxx xxxx 815) (2 (2 815) 600 243 797 971 600 243 797 971 438 781 191 361 438 781 191 361 2 420 443(5 953 402 246) 14 463 237) 1616 12385 420 443 (5 (5 402 246) 14 1 385 463 (5 953 237) 3 104 7446 986 742 324) 15 861 913 1717 113072 104 744 (4 (4 742 15 072 861 6 986 913324) 16 16 2 458 324 2 458 324 1 033 676 1 033 676 17 1 033 676 2 458 324 17 18 2 458(871 676 630)1 033 (421 354) 18 (871324 630) (421 354) 18 1919 1 400 1 400 19 2 458 324 1 033 676 20 50 000 2 785 2020 (870 230) (870 230) (421 354) (421 354) 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 3 800 000 3 800 000 994 250 2 805 750 3 800 000 ÉTAT DES RÉSULTATS REVENUS REVENUS Subventions Agence et MSSS (p. 362) Subventions Agence et MSSS (p. 362) Subventions Gouvernement du Canada p. 290/C2 p. 291) Subventions Gouvernement du Canada (C1 (C1 : p. :290/C2 : p. :291) Contributions usagers (p. 301) Contributions desdes usagers (p. 301) Ventes de services et recouvrements (p. 320) Ventes de services et recouvrements (p. 320) Donations (C1 : p. 290/C2 : p. 291) Donations (C1 : p. 290/C2 : p. 291) Revenus de placement (p. 302) Revenus de placement (p. 302) Revenus de type commercial (p. 351) Revenus de type commercial (p. 351) Gain sur disposition (p. 302) Gain sur disposition (p. 302) Activités Activités Activités Total Total précédent Activités Ex. Ex. précédent principales accessoires (C1 + C2) principales accessoires (C1 + C2) 1 1 2 2 3 3 4 4 01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 01 49 728 49 728 789789 02 03 3 889 3 889 153153 04 1 590 1 590 601601 05 06 55 867 55 867 07 xxxxxxxx 08 09 xxxxxxxx 10 xxxxxxxx 11 128128 210210 12 55 392 55 392 620620 13 14 15 16 17 Autres charges (p. 325) Autres charges (p. 325) TOTAL (L.13 à L.24) TOTAL (L.13 à L.24) 18 19 20 21 22 23 24 25 SURPLUS (DÉFICIT) DE L'EXERCICE (L.12 - L.25) 26 Autres revenus (p. 302) Autres revenus (p. 302) TOTAL (L.01 À L.11) TOTAL (L.01 À L.11) CHARGES CHARGES Salaires, avantages sociaux Salaires, avantages sociaux et et charges sociales p. 320/C2 p. 351) charges sociales (C1 (C1 : p. :320/C2 : p. :351) Médicaments (p. 333) Médicaments (p. 333) Produits sanguins Produits sanguins Fournitures médicales et chirurgicales (p. 340) Fournitures médicales et chirurgicales (p. 340) Denrées alimentaires Denrées alimentaires Rétributions versées ressources Rétributions versées auxaux ressources non institutionnelles (p. 650) non institutionnelles (p. 650) Frais financiers (p. 325) Frais financiers (p. 325) Entretien et réparations p. 650 7800) Entretien et réparations (C1 (C1 : p. :650 c/a c/a 7800) Créances douteuses (C1 : p. 301) Créances douteuses (C1 : p. 301) 49 728 49 728 789789 48 528 48 528 784784 3 889 xxxxxxxx 3 889 153153 xxxx 1 590 xxxx 1 590 601601 3 870 3 870 296296 1 357 1 357 889889 55 867 55 867 55 901 55 901 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 81 099 81 099 53 893 53 893 969969 13 32 644 32 644 118118 14 15 16 17 32 644 32 644 118118 xxxx xxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 32 354 32 354 946946 18 15 834 15 834 327327 19 20 539539 322322 21 22 xxxxxxxx 23 xxxxxxxx 24 6 254 6 254 825825 25 55 272 55 272 592592 15 834 xxxxxxxx15 834 327327 xxxxxxxx 539539 322322 14 880 14 880 532532 xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx xxxxxxxx 6 253 6 253 825825 53 950 53 950 965965 120 028 xxxxxxxx xxxxxxxx 128128 210210 55 392 55 392 620620 xxxxxxxx xxxxxxxx 6 254 6 254 825825 55 272 55 272 592592 120 028 461461 662662 (56 996) 73 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers Note 1. - Résultats des opérations Le résultat des opérations indiqué à la page 68 (page 200 du rapport financier annuel), ligne 29, est traité de la façon suivante : Le résultat se solde par un surplus de 120 028 $, et est imputé au solde des activités principales. Note 2. - Statuts et nature des opérations L’établissement est constitué en corporation par lettres patentes sous l’autorité de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (chapitre S-4.2). Il a pour mandat de promouvoir la santé, le bien-être et la contribution active de la population du territoire des SRSOR en orchestrant les soins de santé et les services sociaux, en misant sur l’accessibilité, la qualité et la sécurité tout en favorisant les partenariats afin de faciliter le cheminement intégré des personnes. Le siège social du centre est situé au 315, rue MacDonald, Saint-Jean-sur-Richelieu. Les points de service sont répartis dans l’ensemble des régions de Châteauguay-Suroît et Saint-Jean-sur-Richelieu. En vertu des lois fédérale et provinciale de l’impôt sur le revenu, l’établissement n’est pas assujetti aux impôts sur le revenu. Note 3. - Description des principales méthodes comptables Référentiel comptable Ce rapport financier annuel est établi conformément aux Normes comptables canadiennes pour le secteur public, à l’exception des éléments suivants : les immeubles loués auprès de la Société immobilière du Québec (SIQ) sont comptabilisés comme une location-exploitation au lieu d’une location-acquisition, ce qui n’est pas conforme à la note d’orientation no 2 des Normes comptables canadiennes pour le secteur public. 74 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Utilisation d’estimations La préparation du rapport financier annuel exige que la direction ait recours à des estimations et à des hypothèses. Ces dernières ont une incidence à l’égard de la comptabilisation des actifs et des passifs, de la présentation des actifs et des passifs éventuels à la date des états financiers ainsi que de la comptabilisation des produits et des charges au cours de la période visée dans le rapport financier annuel. Les résultats réels peuvent différer des meilleures prévisions faites par la direction. Comptabilité d’exercice La comptabilité d’exercice est utilisée tant pour l’information financière que pour les données quantitatives non financières. Périmètre comptable Le périmètre comptable de l’établissement comprend toutes les opérations, activités et ressources qui sont sous son contrôle, excluant tous les soldes et opérations relatifs aux biens en fiducie détenus. Les entités incluses dans le périmètre comptable d’un établissement sont énumérées à la note complémentaire 7 ainsi que la méthode de consolidation utilisée. Une description des biens détenus en fiducie ainsi qu’un sommaire des soldes sont présentés à la page 375 du rapport financier annuel ou à la note complémentaire 12. Revenus Les revenus sont comptabilisés selon la méthode de la comptabilité d’exercice, c’est-à-dire dans l’année au cours de laquelle ont eu lieu les opérations ou les faits donnant lieu.  De façon plus spécifique : Revenus provenant des usagers Les subventions (transferts) en provenance du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), des agences ou d’autres ministères, organismes budgétaires ou fonds spéciaux du gouvernement du Québec ou du gouvernement du Canada sont constatées et comptabilisées aux revenus dans l’année financière au cours de laquelle elles sont dûment autorisées par le cédant et lorsque les critères d’admissibilité ont été respectés par l’établissement, sauf lorsque la subvention (transfert) crée une obligation répondant à la définition d’un passif pour l’établissement. Ceci est notamment le cas lorsque la subvention (le transfert) est assortie de stipulations à respecter imposées par le cédant. L’établissement comptabilise alors un revenu reporté qui est amorti au fur et à mesure que les stipulations sont respectées. Les revenus provenant des usagers sont diminués des déductions, des exonérations et des exemptions accordées à certains de ceux-ci. Les sommes en provenance d’une entité hors du périmètre comptable du gouvernement du Québec sont constatées et comptabilisées comme revenus dans l’exercice au cours duquel elles sont utilisées aux fins prescrites en vertu d’une entente (nature de la dépense, utilisation prévue ou période pendant laquelle les dépenses devront être engagées). Les sommes reçues avant qu’elles soient utilisées doivent être présentées à titre de revenus reportés jusqu’à ce que lesdites sommes soient utilisées aux fins prescrites dans l’entente. Les sommes reçues par don, legs, subvention ou autre forme de contribution sans condition rattachée, à l’exception des sommes octroyées par le gouvernement du Québec et ses ministères ou par des organismes dont les dépenses de fonctionnement sont prises en charge par le fonds consolidé du revenu, sont comptabilisées aux revenus des activités principales dès leur réception et sont présentées à l’état des résultats du fonds d’exploitation. Lorsque les sommes reçues excèdent les coûts de la réalisation du projet ou de l’activité, selon les fins prescrites à l’entente, cet excédant doit être inscrit comme revenu dans l’exercice au cours duquel se termine le projet ou l’activité, sauf si l’entente prévoit l’utilisation du solde, le cas échéant, à d’autres fins prescrites. De même, si une nouvelle entente écrite est conclue entre les parties, il est possible de comptabiliser un revenu reporté, si cette entente prévoit les fins auxquelles le solde doit être utilisé. Les montants de ces charges sont déterminés de façon à égaler les montants des revenues correspondants. Revenus d’intérêts Les intérêts gagnés sur l’encaisse et les placements font partie intégrante de chacun des fonds et, dans le cas spécifique du fonds d’exploitation, sont répartis entre les activités principales et les activités accessoires. Dans le cas d’un prêt interfonds, les intérêts gagnés sur l’encaisse et les placements, réalisés à partir d’un solde prêté, appartiennent au fonds prêteur. Autres revenus Charges inhérentes aux ventes de services Débiteurs Les débiteurs sont présents à leur valeur recouvrable nette au moyen d’une provision pour créances douteuses. La dépense pour créances douteuses de l’exercice est comptabilisée aux charges non réparties de l’exercice. 75 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers Prêts interfonds Dettes à long terme Les prêts interfonds entre le fonds d’exploitation et le fonds d’immobilisations ne comportent aucune charge d’intérêts. Aucuns frais de gestion ne peuvent être chargés par le fonds d’exploitation au fonds d’immobilisations. Les emprunts sont comptabilisés au montant encaissé lors de l’émission et ils sont ajustés annuellement de l’amortissement de l’escompte ou de la prime. Frais d’émission, escompte et prime liés aux emprunts Les frais d’émission liés aux emprunts sont comptabilisés à titre de frais reportés et sont amortis sur la durée de chaque emprunt selon la méthode linéaire. L’escompte et la prime sur emprunts sont comptabilisés à titre de frais ou de revenus reportés respectivement et sont amortis selon le taux effectif de chaque emprunt. Passifs environnementaux Les obligations découlant de la réhabilitation de terrains contaminés sous la responsabilité de l’établissement, ou pouvant de façon probable relever de sa responsabilité, sont comptabilisées à titre de passifs environnementaux dès que la contamination survient ou dès qu’il en est informé. Les passifs environnementaux comprennent les coûts estimatifs de la gestion et de la réhabilitation des terrains contaminés. L’évaluation de ces coûts est établie à partir de la meilleure information disponible et est révisée annuellement. La variation annuelle est constatée aux résultats de l’exercice. Relativement à ces obligations, l’établissement comptabilise une subvention à recevoir du gouvernement du Québec, ce dernier ayant signifié sa décision de financer les coûts des travaux de réhabilitation des terrains contaminés existants au 31 mars 2008 et inventoriés au 31 mars 2011, de même que leurs variations survenues au cours de l’exercice 2012-2013. 76 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Dettes subventionnées par le gouvernement du Québec Les montants reçus pour pourvoir au remboursement des dettes subventionnées à leur échéance sont comptabilisés aux résultats du fonds auquel ils se rapportent. Il en est de même pour les remboursements qui sont effectués directement aux créanciers par le ministère des Finances du Québec. De plus, un ajustement annuel de la subvention à recevoir ou perçue d’avance concernant le financement des immobilisations à la charge du gouvernement est comptabilisé aux revenus de l’exercice du fonds d’immobilisations. Cet ajustement est déterminé par l’établissement à son rapport financier annuel. Régime de retraite Les membres du personnel de l’établissement participent au Régime de retraite des employés du gouvernement et des organismes publics (RREGOP), au Régime de retraite des fonctionnaires (RRF) ou au Régime de retraite du personnel d’encadrement (RRPE). Ces régimes interentreprises sont à prestations déterminées et comportent des garanties à la retraite et au décès. La comptabilité des régimes à cotisations déterminées est appliquée aux régimes interentreprises à prestations déterminées gouvernementaux, compte tenu du fait que l’établissement ne dispose pas d’informations suffisantes pour appliquer la comptabilité des régimes à prestations déterminées. Les cotisations de l’exercice de l’établissement envers ces régimes gouvernementaux sont prises en charge par le MSSS et ne sont pas présentées au rapport financier annuel. Immobilisations Les immobilisations acquises sont comptabilisées au coût. Il comprend les frais financiers capitalisés pendant la période de construction, d’amélioration ou de développement. Les immobilisations acquises par donation ou pour une valeur symbolique sont comptabilisées à leur juste valeur au moment de leur acquisition avec contrepartie aux revenus reportés, à l’exemption des terrains où la contrepartie est constatée aux revenus dans l’année d’acquisition. Les contributions pour l’acquisition d’immobilisations sont comptabilisées aux revenus reportés, à l’exception de celles destinées à l’achat de terrains qui sont constatées aux revenus dans l’année d’acquisition. Les revenus reportés sont amortis aux revenus au même rythme que l’amortissement du coût des immobilisations correspondantes. Elles sont amorties linéairement en fonction de leur durée de vie utile, à l’exception des terrains qui ne sont pas amortis : CATÉGORIE Aménagements des terrains Bâtiments Améliorations locatives Matériel et équipement Équipement spécialisé Matériel roulant Développement informatique Réseau de télécommunication DURÉE 10 à 20 ans 20 à 50 ans Durée restante du bail (max. 10 ans) 3 à 15 ans 10 à 25 ans 5 ans 5 ans 10 ans Les immobilisations en cours de construction, en développement ou en mise en valeur ne sont pas amorties avant leur mise en service.  Frais payés d’avance Les frais payés d’avance représentent des débours effectués avant la fin de l’année financière pour des services à recevoir au cours des prochains exercices financiers. Ils sont imputés aux charges de l’exercice au cours duquel l’établissement consomme effectivement le service. Instruments financiers Le 1er avril 2012 est entrée en vigueur la norme comptable de l’ICCA pour le secteur public SP 3450, « Instruments financiers ». Son application implique l’évaluation à leur juste valeur des instruments financiers dérivés et des placements de portefeuille composés d’instruments de capitaux propres cotés sur un marché actif. La variation annuelle des justes valeurs de ces instruments financiers engendre des gains et pertes non réalisés qui doivent être présentés dans un nouvel état financier appelé État des gains et pertes de réévaluation, jusqu’à leur décomptabilisation par extinction ou par revente. Les autres instruments financiers sont évalués au coût ou au coût après amortissement, sauf si l’établissement choisit de les désigner dans la catégorie des instruments financiers évalués à la juste valeur. En vertu de la Loi sur les services de santé et les services sociaux, le MSSS détermine le format du rapport financier annuel applicable aux établissements. Pour l’exercice terminé le 31 mars 2013, le MSSS a convenu de ne pas inclure le nouvel état financier requis puisqu’il estime peu ou non probable qu’une entité du réseau de la santé et des services sociaux détienne des instruments financiers devant être évalués à la juste valeur, étant donné les limitations imposées par la LSSSS en ce sens. L’établissement ne détient pas au 31 mars 2013 et n’a pas détenu au cours de l’exercice d’instruments financiers devant être évalués à la juste valeur et, par conséquent, il n’y a pas de gain ou de perte de réévaluation. Comptabilité par fonds Aux fins de présentation du rapport financier annuel, les établissements utilisent un fonds d’exploitation et un fonds d’immobilisations. Les opérations et les soldes sont présentés dans leurs états financiers respectifs. La comptabilité des établissements est tenue 77 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers de façon à identifier les comptes rattachés à chaque fonds, en respectant les principes et particularités suivants : •Le fonds d’exploitation : fonds regroupant les opérations courantes de fonctionnement (activités principales et accessoires); •Le fonds d’immobilisations : fonds regroupant les opérations relatives aux immobilisations, aux passifs environnementaux, aux dettes à long terme, aux subventions et à tout autre mode de financement se rattachant aux immobilisations. Classification des activités La classification des activités d’un établissement tient compte des services qu’il peut fournir dans la limite de ses objets et pouvoirs et de ses sources de financement. Les activités sont classées en deux groupes : 1.Activités principales : les activités principales comprennent les opérations qui découlent de la prestation des services qu’un établissement est appelé à fournir et qui sont essentielles à la réalisation de sa mission dans le cadre de son budget de fonctionnement approuvé par l’agence; 2.Activités accessoires : les activités accessoires comprennent les services qu’un établissement rend, dans la limite de ses objets et pouvoirs, en sus de la prestation de services qu’il est appelé à fournir. Centre d’activités En complément de la présentation de l’état des résultats par nature des charges, et à moins de dispositions spécifiques, la plupart des charges engagées par les établissements dans le cadre de leurs activités principales et accessoires sont réparties par objet dans des centres d’activités. Chacun de ces centres est une entité regroupant des charges relatives à des activités ayant des caractéristiques et des objectifs similaires eu égard aux services 78 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 rendus par l’établissement. Certains centres d’activités sont subdivisés en sous-centres. Unité de mesure Une unité de mesure est une donnée quantitative et non financière, compilée de façon spécifique pour un centre ou sous-centre d’activités donné dans le but de fournir une indication de son niveau d’activités. Un centre d’activités ou un sous-centre d’activités peut être appelé à mesurer ses données selon une ou deux unités de mesure, l’unité A et l’unité B. La définition des unités de mesure et le mode de compilation sont précisés dans chaque centre et sous-centre d’activités. Leur compilation permet à l’établissement d’établir un coût unitaire de production de produits ou de services relié aux coûts directs bruts ajustés lorsque l’on réfère à l’unité A, alors que l’unité B permet de déterminer un coût unitaire de consommation, relié aux coûts directs nets ajustés. Avoir propre L’avoir propre correspond aux surplus (déficits) cumulés du fonds d’exploitation et est constitué des montants grevés et non grevés d’affectations. Il comprend les résultats des activités principales et accessoires. L’avoir propre d’un établissement public ne peut être utilisé qu’aux fins de la réalisation de la mission d’un centre qu’il exploite selon l’article 269.1 de la Loi sur les services de santé et les services sociaux (chapitre S-4.2). Toutefois, son utilisation peut être subordonnée à une approbation de l’Agence. L’utilisation de l’avoir propre à l’égard des montants non affectés ou de ceux grevés d’affectations ne doit pas, distinctement, avoir pour effet de rendre le solde de ces derniers déficitaires. Note 4 - Modifications comptables Avantages sociaux futurs Dans le passé, les passifs afférents aux obligations envers les employés en congé parental et se prévalant de l’assurance salaire n’étaient pas inscrits aux états financiers. À compter de l’exercice 2012-2013, les passifs ainsi que le financement du MSSS reliés aux obligations relatives aux employés en congé parental et se prévalant de l’assurance salaire sont comptabilisés. Cette modification comptable, appliquée rétroactivement avec retraitement des données comparatives, a pour effet d’augmenter les postes suivants : Subventions à recevoir MSSS 2013 2012 571 799 $ 502 981 $ Passifs au titre des avantages sociaux futurs 572 859 $ 502 981 $ Charges avantages sociaux 112 601 $ Subventions - MSSS 111 541 $ Subventions gouvernementales (transferts) Le 1er avril 2012 est entrée en vigueur la norme comptable traitant de la comptabilisation des paiements de transfert (chapitre SP 3410 du Manuel de l’ICCA pour le secteur public). En vertu de cette norme, si un établissement octroie une subvention, il doit constater une dépense de transfert dès que celle-ci a été dûment autorisée, en fonction de ses règles de gouvernance et que les critères d’admissibilité ont été respectés par le bénéficiaire. Dans le cas où un établissement est bénéficiaire d’une subvention (d’un transfert), il doit constater le revenu de subvention (transfert) dès que celui-ci a été dûment autorisé par le cédant et que les critères d’admissibilité ont été respectés, sauf lorsque le transfert crée une obligation répondant à la définition d’un passif pour l’établissement. À compter de l’exercice financier 2012-2013, les établissements bénéficiaires de subventions (transferts) en provenance de ministères, d’organismes budgétaires ou de fonds spéciaux du gouvernement du Québec ne doivent porter à leur compte que la partie de la subvention (du transfert) ayant été dûment autorisée par l’Assemblée nationale pour l’année financière concernée, et ce, à condition qu’ils aient aussi respecté les critères d’admissibilité à ce transfert. L’autorisation de la subvention (du transfert) est obtenue : •lors du vote annuel des crédits par l’Assemblée nationale, lorsque les subventions (transferts) proviennent des ministères et des organismes budgétaires; •lors du vote annuel de leur budget de dépenses et d’investissements par l’Assemblée nationale, lorsque les subventions (transferts) proviennent des fonds spéciaux. De même, un compte à recevoir du MSSS (gouvernement du Québec) ne pourra être reconnu que pour la partie exigible de la subvention (du transfert) dûment autorisée, de façon à assurer la concordance entre les comptes du MSSS (gouvernement) et ceux des établissements qui bénéficient d’une subvention (d’un transfert). Par ailleurs, le chapitre SP 3410 précise également qu’une entité bénéficiaire d’un transfert du MSSS (gouvernement) ne peut constater un passif, c’est-à-dire un revenu reporté, que dans la mesure où le transfert lui crée une obligation répondant à la définition d’un passif. Ceci est notamment le cas lorsque le transfert est assorti de stipulations à respecter imposées par le cédant. Si tel est le cas, le revenu reporté comptabilisé doit être diminué au fur et à mesure que les stipulations du transfert sont respectées. Cette modification comptable n’a aucun impact sur les états financiers au 31 mars 2013, ni sur les données comparatives, lesquelles n’ont pas été retraitées, étant donné que la pratique en ce qui a trait à la comptabilisation des reve- 79 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers nus reportés est déjà basée sur la présence de stipulations à l’égard de la finalité du financement reçu ou de clauses temporelles. Instruments financiers Le 1er avril 2012 est entrée en vigueur la norme comptable sur les instruments financiers (chapitre SP 3450 du Manuel de l’ICCA pour le secteur public). L’application de ce nouveau chapitre n’a eu aucune incidence sur les états financiers de l’établissement. Subvention à recevoir sur les dettes financées par le gouvernement - réforme comptable. La subvention à recevoir - réforme comptable fait l’objet d’estimations comptables. Au cours de l’exercice, la méthode de calcul utilisée a été révisée relativement à l’ajustement à la subvention à recevoir pour le financement des immobilisations. Cette modification comptable appliquée prospectivement a pour effet d’augmenter (de diminuer) les postes suivants : 2013 Subventions à recevoir - Immobilisations Écart de financement Réforme comptable 68 096 $ Subventions Gouvernement du Québec 867 420 $ Surplus (déficit) de l’exercice (35 970 $) Note 5 - Présentation des données budgétaires Conformément à la Loi sur les services de santé et les services sociaux (chapitre S 4.2) et à la Loi sur l’équilibre budgétaire du réseau public de la santé et des services sociaux (chapitre E. 12. 0001), l’établissement a produit pour le présent exercice des prévisions budgétaires de fonctionnement, c’est-à-dire pour les activités principales et accessoires du fonds d’exploitation. Celles-ci ont été dûment adoptées par le conseil d’administration. 80 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 Ces données budgétaires ne sont pas préparées pour le même ensemble d’activités que les données réelles présentées dans le rapport financier annuel, lesquelles incluent également celles des activités du fonds d’immobilisations. Les prévisions budgétaires adoptées initialement par le conseil d’administration relatives aux activités principales et accessoires du fonds d’exploitation sont comparées aux données réelles correspondantes : ACTIVITÉS PRINCIPALES RÉEL BUDGET 01 49 201 396 49 201 396 - Augmentation (ou diminution) du finance- 06 ment 527 393 REVENUS Financement de l’Agence ou du MSSS - Budget net avec incidence sur trésorerie Sous-total (L.01 à L.07) 08 49 728 789 49 201 396 Revenus provenant des usagers 09 3 889 153 3 992 334 Revenus d’autres sources 10 1 646 468 917 251 Autres revenus non budgétisés 11 128 210 Total des revenus (L. 08 à L.11) 12 55 392 620 54 110 981 Coûts directs bruts des centres d’activités ou sous-centres d’activités 13 55 042 335 54 110 981 Charges non réparties 15 230 257 Total des charges (L.13 à L15) 16 55 272 592 Surplus des activités principales avant contributions de l’avoir propre et interfonds (L.12 - L.16) 17 120 028 Surplus des activités principales après contributions de l’avoir propre et interfonds (L.17 + L.18) 19 120 028 CHARGES 54 110 981 Note 6 - Passif environnemental Comptabilisation de passifs environnementaux, mais aucun coût couru relatif aux travaux de réhabilitation : L’établissement est propriétaire d’un terrain nécessitant des travaux de réhabilitation. À cet égard, un montant de 150 000 $ a été comptabilisé à titre de passifs environnementaux dans les états financiers au 31 mars 2013. L’établissement recevra une subvention du Ministère (projet PCFI) du même montant lors de la réalisation des travaux. L’établissement prévoit réaliser des travaux de 150 000 $ au cours du prochain exercice. Note 7 - Périmètre comptable Note 8 - Opérations entre apparentés Au cours de l’exercice, Les Services de Réadaptation du Sud-Ouest et du Renfort ont versé les sommes suivantes à des organismes pour différentes activités : Pour le maintien des résidences vacantes Notes 9 - Obligations contractuelles Les informations financières sont présentées à la page 635 du rapport financier annuel. Note 10 - Éventualités Les informations financières sont présentées à la page 636 du rapport financier annuel. Note 11 - Biens détenus en fiducie Aucune entité à consolider. Fondation des Ressources Alternatives Salaberry et Fondation Le Renfort Grande-Ligne soit à une influence notable commune de la part du gouvernement du Québec. L’Agence n’a conclu aucune opération commerciale avec ces apparentés autrement que dans le cours normal de ses activités et aux conditions commerciales habituelles. Ces opérations ne sont pas divulguées distinctement au rapport financier annuel. 2013 2012 95 447 $ 153 892 $ Les informations financières sont présentées à la page 375 du rapport financier annuel. Note 12 - Analyses financières L’établissement n’a pas reçu l’analyse financière de l’exercice 2012. Ces opérations sont mesurées à la valeur d’échange, soit la valeur établie et acceptée par les parties. En plus des opérations entre apparentés déjà divulguées dans le rapport financier annuel, l’établissement est apparenté à tous les ministères et fonds spéciaux ainsi qu’à tous les organismes et entreprises contrôlés directement ou indirectement par le gouvernement du Québec ou soumis soit à un contrôle conjoint, 81 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers ÉTAT DU SUIVI DES RÉSERVES, COMMENTAIRES ET OBSERVATIONS ÉMIS PAR L’AUDITEUR INDÉPENDANT DESCRIPTION DES RÉSERVES, COMMENTAIRES ET OBSERVATIONS ANNÉE NATURE 2012 (R, O 2013 OU C) 1 2 3 MESURES PRISES POUR RÉGLER OU AMÉLIORER LA PROBLÉMATIQUE IDENTIFIÉE 4 ÉTAT DE LA PROBLÉMATIQUE AU 31 MARS 2013 R 5 PR 6 NR 7 Signification des codes : Colonne 3 : R : pour réserve O : pour observation C : pour commentaire Colonnes 5,6 et 7 : R : pour réglé PR : pour partiellement réglé NR : pour non réglé Rapport de l’auditeur indépendant portant sur les états financiers P. 120-01 : Congé parental et ass-salaire non-comptabilisé. 2012 R Dossier # 2013-001 annexe # 5 R Rapport de l’auditeur indépendant portant sur les unités de mesure et les heures travaillées et rémunérées Rapport de l’auditeur indépendant portant sur le respect des modalités de la directive ministérielle relative aux conditions de rémunération offertes lors de l’octroi de certains mandats Questionnaire à remplir par l’auditeur indépendant (vérificateur externe) Rapport à la gouvernance 82 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 83 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - États financiers 84 États financiers - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 85 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Code d’éthique et de déontologie Le texte intégral du code d’éthique et de déontologie des administrateurs du CRDITED Les Services de Réadaptation du Sud-Ouest et du Renfort est présenté dans les pages suivantes. Pour l’année 2012-2013, aucun cas n’a été traité en vertu de ce code et aucun manquement n’a été constaté par les instances. Préambule L’administration d’un établissement public représente des caractéristiques et obéit à des impératifs qui la distinguent de l’administration privée. Un tel contrat social impose un lien de confiance particulier entre l’établissement et les citoyens. Une conduite conforme à l’éthique demeure, par conséquent, une préoccupation constante de l’établissement pour garantir à la population une gestion intègre et de confiance des fonds publics. Dans le respect des valeurs fondamentales, il est opportun de rassembler dans le présent Code d’éthique et de déontologie les principales lignes directrices éthiques et déontologiques auxquelles les administrateurs de cet établissement adhèrent. Objectif général et champs d’application Le présent Code n’a pas pour objet de se substituer aux lois et règlements en vigueur, ni d’établir une liste exhaustive des normes de comportements attendues de l’administrateur. Il cherche plutôt à réunir les obligations et devoirs généraux de l’administrateur. 86 Notamment, il : •traite des mesures de prévention, notamment des règles relatives à la déclaration de situations de conflit d’intérêts; •traite de l’identification de situations de conflits d’intérêts; •traite des devoirs et obligations des administrateurs après qu’ils cessent leurs fonctions; •prévoit des mécanismes d’application du Code. Tout administrateur de l’établissement est tenu de respecter les principes d’éthique et les règles de déontologie prévus par la loi et le présent Code. En cas de divergence, les principes et règles les plus exigeants s’appliquent. L’administrateur doit, en cas de doute, agir selon l’esprit de ces principes et de ces règles. L’administrateur est tenu aux mêmes obligations lorsque, à la demande de l’établissement, il exerce des fonctions d’administrateur dans un autre organisme ou entreprise, ou en est membre. Définitions « Administrateur » désigne un membre du conseil d’administration de l’établissement, qu’il soit élu ou nommé; « Conflit d’intérêts » désigne notamment, sans limiter la portée légale de cette expression, toute situation où l’intérêt direct ou indirect de l’administrateur est tel qu’il risque de compromettre l’exécution objective de sa tâche car son jugement peut-être influencé et son indépendance affectée par l’existence de cet intérêt. Code d’éthique et de déontologie - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 « Entreprise » désigne toute forme que peut prendre l’organisation de la production de biens ou de services ou de toute autre affaire à caractère commercial, industriel ou financier et tout regroupement visant à promouvoir certaines valeurs, intérêts ou opinions ou à exercer une influence sur les autorités de l’établissement; « Proche » désigne le conjoint légal ou de fait, l’enfant, le père, la mère, le frère, la sœur de l’administrateur. Cette notion englobe également le conjoint et l’enfant des personnes mentionnées précédemment ainsi que l’associé de l’administrateur. Devoirs et obligations de l’administrateur L’administrateur, fonctions : dans l’exercice de ses AGIT DANS L’INTÉRÊT DE L’ÉTABLISSEMENT ET DE LA POPULATION À cette fin, l’administrateur : •Est sensible aux besoins de la population et privilégie la prise en compte des droits fondamentaux de la personne. •S’assure de la pertinence, de la qualité et de l’efficacité des services dispensés. •S’assure de l’utilisation économique et efficiente des ressources humaines, matérielles et financières. •S’assure de la participation, de la motivation, de la valorisation, du maintien des compétences et du développement des ressources humaines. AGIT AVEC SOIN, PRUDENCE, DILIGENCE ET COMPÉTENCE À cette fin, l’administrateur : Disponibilité et participation active •S’assure de bien connaître et suivre l’évolution de l’établissement; il se renseigne avant de décider et, au besoin, évite de prendre des décisions prématurées. Neutralité •Se prononce sur les propositions en exerçant son droit de vote de la manière la plus objective possible. À cette fin, il ne peut prendre d’engagement à l’égard de tiers ni leur accorder aucune garantie relativement au vote ou à quelque décision que ce soit. Discrétion •Fait généralement preuve de discrétion sur ce dont il a connaissance dans l’exercice de ses fonctions. De plus, il fait preuve de prudence et de retenue à l’égard d’informations confidentielles dont la communication ou l’utilisation pourrait nuire aux intérêts de l’établissement, constituer une atteinte à la vie privée des gens ou conférer, à une personne physique ou morale, un avantage indu. •Garde confidentiels les faits ou renseignements dont il prend connaissance et qui exigent, suivant la loi ou la décision du conseil d’administration, le respect de la confidentialité. Relations publiques •Respecte les règles de politesse et de courtoisie dans ses relations avec le public et évite toute forme de discrimination ou de harcèlement prohibés par la loi. •S’efforce, dans les meilleurs délais, de toujours donner au citoyen l’information qu’il demande et qu’il est en droit d’obtenir; s’il ne peut le faire lui-même, il dirige le citoyen vers le service approprié de l’établissement. •Adopte une attitude de réserve et de retenue dans la manifestation publique de ses opinions. 87 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Code d’éthique et de déontologie AGIT AVEC HONNÊTETÉ ET LOYAUTÉ Le directeur général et les conflits d’intérêts •Ne peut, comme directeur général et sous peine de déchéance de sa charge, avoir un intérêt direct ou indirect dans une entreprise qui met en conflit son intérêt personnel et celui de l’établissement. À cette fin, l’administrateur : •Agit de bonne foi au mieux des intérêts de l’établissement et de la population desservie sans tenir compte des intérêts d’aucune autre personne, groupe ou entité. •Toutefois, cette déchéance n’a pas lieu si un tel intérêt lui échoit par succession ou donation, pourvu qu’il y renonce ou, qu’après en avoir informé le conseil d’administration, il en dispose dans les délais fixés par celui-ci. •Lutte contre toute forme de pouvoir tels les conflits d’intérêts, la violation des règles, l’inefficacité de la gestion, le gaspillage, la divulgation de renseignements confidentiels, la distribution de faveurs, le camouflage de ses erreurs ou la tromperie de la population. •Doit, comme directeur général, dans les soixante (60) jours suivant sa nomination, déposer devant le conseil d’administration une déclaration écrite mentionnant l’existence des intérêts pécuniaires qu’il a dans des personnes morales, des sociétés ou des entreprises susceptibles de conclure des contrats avec tout établissement. Cette déclaration doit être mise à jour dans les soixante (60) jours de l’acquisition de tels intérêts par le directeur général et, à chaque année, dans les soixante (60) jours de l’anniversaire de sa nomination. Conflits de devoirs ou d’intérêts •Évite des conflits de devoirs ou d’intérêts. L’administrateur autre que le directeur général et les conflits d’intérêts •Autre que le directeur général, sous peine de déchéance de sa charge, dénonce par écrit son intérêt au conseil lorsqu’il a un intérêt direct ou indirect dans une entreprise qui met en conflit son intérêt personnel et celui du conseil ou de l’un des établissements qu’il administre. De plus, son administrateur s’abstient de siéger et de participer à toute délibération ou décision lorsqu’une question portant sur l’entreprise dans laquelle il a cet intérêt est débattue. •Cependant, le fait pour cet administrateur d’être actionnaire minoritaire d’une personne morale qui exploite une telle entreprise visée ne constitue pas un conflit d’intérêts si les actions de cette personne morale se transigent dans une bourse reconnue et si l’administrateur en cause ne constitue pas un initié de cette personne morale au sens de l’article 89 de la Loi sur les valeurs mobilières (L.R.Q., chapitre V-11). 88 •Doit, comme directeur général, dans les trente (30) jours qui suivent la conclusion de tout contrat de services professionnels, déposer devant le conseil d’administration une déclaration écrite mentionnant l’existence de tel contrat conclu avec un établissement par une personne morale, une société ou une entreprise dans laquelle le directeur général a des intérêts pécuniaires. L’exclusivité de fonctions du directeur général Code d’éthique et de déontologie - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 •Doit, comme directeur général, sous peine de déchéance de sa charge ou de suspension sans traitement et sous réserve des exceptions prévues par la loi, s’occuper exclusivement du travail de l’établissement et des devoirs de sa fonction. Cependant, lorsqu’il occupe un autre emploi, charge ou fonction, il doit produire, dans les soixante (60) jours de l’anniversaire de sa nomination, une déclaration écrite mentionnant l’existence de ce fait. Biens de l’établissement •Utilise les biens, les ressources ou les services de l’établissement selon les modalités d’utilisation reconnues et applicables à tous. Il ne peut confondre les biens de l’établissement avec les siens. Avantages ou bénéfices indus •Se comporte de façon à ne pas tirer d’avantages indus, en son nom personnel ou pour le compte d’autrui, de ses fonctions d’administrateur. •Ne peut accepter ni solliciter aucun avantage ou bénéfice, directement ou indirectement, d’une personne ou entreprise faisant affaires avec l’établissement, ou agissant au nom ou pour le bénéfice d’une telle personne ou entreprise, si cet avantage ou bénéfice est destiné ou susceptible de l’influencer dans l’exercice de ses fonctions ou de générer des expectatives en ce sens. •Notamment est considéré un avantage prohibé tout cadeau, somme d’argent, prêt à taux préférentiel, remise de dette, offre d’emploi, faveur particulière ou autre chose ayant une valeur monétaire appréciable qui compromet ou semble compromettre l’aptitude de l’administrateur à prendre des décisions justes et objectives. Ne reçoit aucun traitement ou autres avantages pécuniaires à l’exception du remboursement de ses dépenses faites dans l’exercice de ses fonctions aux conditions et dans la mesure déterminée par le gouvernement. Transparence •Révèle tout renseignement ou fait aux autres membres du conseil d’administration lorsqu’il sait que la communication de ce renseignement ou de ce fait pourrait avoir un impact significatif sur la décision à prendre. Interventions abusives •S’abstient d’intervenir dans le processus d’embauche du personnel, sous réserve du directeur général ou d’un cadre supérieur. •S’abstient de manœuvrer pour favoriser des amis ou des proches. •S’abstient d’agir comme intermédiaire, même à titre gratuit, entre un organisme à but non lucratif ou non et l’établissement. L’administrateur, après la fin de son mandat doit : AGIR AVEC PRUDENCE, DISCRÉTION, HONNÊTETÉ ET LOYAUTÉ À cette fin, l’administrateur : •Se comporte de façon à ne pas tirer d’avantages indus, en son nom personnel ou pour le compte d’autrui, de ses fonctions antérieures d’administrateur. •Évite, dans l’année suivant la fin de son mandat, d’agir en son nom personnel ou pour le compte d’autrui relativement à une procédure, à une négociation ou à une autre opération à laquelle l’établissement pour lequel il a agi est partie et sur laquelle il détient de l’information non disponible au public. S’abstient, dans l’année suivant la fin de son mandat, s’il n’est pas déjà à l’emploi de l’établissement, de solliciter un emploi auprès de l’établissement. •Doit s’interdire, comme directeur général, sous peine de déchéance de sa charge, •Ne fait pas usage, en tout temps, de l’ind’accepter une somme ou un avantage formation à caractère confidentiel qu’il a direct ou indirect d’une fondation ou d’une obtenue dans l’exécution ou à l’occasion personne morale qui sollicite du public le de ses fonctions d’administrateur. versement de sommes ou de dons dans •Évite de ternir, par des propos immodérés, 89 le domaine de la santé et des services RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Code d’éthique et de déontologie sociaux. la réputation de l’établissement et de toutes les personnes qui y œuvrent. Mécanismes d’application du Code Introduction d’une demande d’examen •Toute allégation d’inconduite ou de manquement à la loi ou au présent Code visant un administrateur doit être transmise au président du Comité d’éthique et de déontologie ou, s’il s’agit de ce dernier, à tout autre membre du comité. La personne, à qui cette allégation est transmise, en saisit le comité qui doit alors se réunir, au plus tard, dans les trente (30) jours suivants. •Le comité peut également examiner, à sa propre initiative, toute situation de comportement irrégulier d’un administrateur. Examen sommaire Lorsqu’une allégation lui est transmise en vertu de l’article qui précède, le président du comité peut rejeter, sur examen sommaire, toute allégation qu’il juge frivole, vexatoire ou faite de mauvaise foi. Il doit cependant en informer les autres membres du comité, lors de la première réunion qui suit. Le comité peut alors décider d’enquêter quand même sur cette allégation. Tenue de l’enquête Le comité décide des moyens nécessaires pour mener toute l’enquête relevant de sa compétence. L’enquête doit cependant être conduite de manière confidentielle et protéger, dans la mesure du possible, l’anonymat de la personne à l’origine de l’allégation Information de l’administrateur concerné •Au moment qu’il juge opportun, le comité doit informer l’administrateur visé des manquements reprochés en lui indiquant les dispositions concernées de la loi ou du Code. À sa demande et à l’intérieur d’un délai raisonnable, l’administrateur a le droit 90 d’être entendu, de faire témoigner toute personne de son choix et de déposer tout document qu’il juge pertinent. Transmission du rapport au conseil •Lorsque le comité en vient à la conclusion que l’administrateur a enfreint la loi ou le présent Code ou qu’il a fait preuve d’une inconduite de nature similaire, il transmet au conseil d’administration un rapport contenant un sommaire de l’enquête et une recommandation de sanction. Ce rapport est confidentiel. Décision •Le conseil d’administration se réunit à huis clos pour décider de la sanction à imposer à l’administrateur visé. Ce dernier ne peut participer aux délibérations ou à la décision, mais il peut, à sa demande, se faire entendre avant que la décision ne soit prise. Sanctions •Selon la nature et la gravité du manquement ou de l’inconduite, les sanctions qui peuvent être prises sont le rappel à l’ordre, la réprimande, la suspension ou le recours en déchéance de charge. L’administrateur est informé, par écrit, de la sanction qui lui est imposée. Engagement Dans les soixante (60) jours de l’adoption du présent Code par le conseil, chaque administrateur doit produire un engagement. Chaque nouvel administrateur doit faire de même dans les soixante (60) jours de son entrée en fonction. De plus, tout responsable de l’application du Code doit produire, dans les soixante (60) jours de son entrée en fonction, un engagement. Code d’éthique et de déontologie - RAPPORT DE GESTION 2012-2013 91 RAPPORT DE GESTION 2012-2013 - Fondations DEUX FONDATIONS SONT RATTACHÉES AUX SRSOR Ces fondations ont pour mission de favoriser l’intégration sociale des personnes ayant une DI ou un TED en leur apportant soutien et accompagnement. Elles encouragent aussi les efforts et les initiatives des familles et des organismes de leur région en leur offrant soutien financier, prêt ou location d’équipement. Voici le montant cumulatif des dons remis par chacune des fondations actives à l’intérieur de notre établissement au cours de la dernière année, pour des activités telles que : •Camps et loisirs d’été •Répit et gardiennage •Intégration •Transport, etc. 92 Fondation des Ressources Alternatives Salaberry Fondation Le Renfort Grande Ligne 273, boulevard Saint-Jean-Baptiste Châteauguay (Québec) J6K 3C4 Téléphone : 450 692-1010, poste 359 Télécopieur : 450 692-9950 Courriel : [email protected] Site Web : www.lafras.com 315, rue MacDonald, bureau 105 Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec) J3B 8J3 Téléphone : 450 348-6121, poste 2306 Télécopieur : 450 348-8440 Courriel : [email protected] Site Web : www.lerenfort.com 85 319 $ 98 184 $ Fondations - RAPPORT DE GESTION 2012-2013
Similar documents
PDF, 2.4 Mo - Grand Théâtre de Québec
une fois de plus, à l’aube du 400e anniversaire de la fondation de Québec, que la destinée de la capitale et celle de son Grand Théâtre ont, plus que jamais, partie étroitement liée. La saison 2006...
More information