Mars 2012 - Quartier du Berceau

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Mars 2012 - Quartier du Berceau
N° 202
Périodique
www.leberceau.be
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Editorial
Tradition pascale
Le chemin
Printemps, te voilà !
Maman
La prière du chien
Pour la Saint Valentin
Le carillon du beffroi
Le nouveau carillon
Le nouveau carillon
Le nouveau carillon
Quoi de neuf dans le Quartier
File moi ta recette
Des laitues pour toute l’année
Récré enfants
Rions un peu
Résultats des illuminations
Ch. Chatelain
G. Bricout
L. Lambilliotte
Ch. Quaresme
G. Bricout
S. Delcroix
-2-
2012
Avec le temps … avec le temps, va tout s’en va … (Léo Ferré)
Et oui … l’année 2012 est bien-là avec son cortège de prévisions bien peu réjouissantes !
Et si nous envisagions l’année 2012 sur un ton plus léger plutôt que de nous enfoncer dans
un climat d’austérité et de restrictions ? Soyons un peu fous !!! Laissons place à notre
imagination !!!
Quelques rêves pour l’année 2012 :
De l’amour et … de l’argent
Des baisers … bisous … bécots … becs
Un cœur ouvert à tous
Un déluge de bonnes intentions
De l’espoir … pour 2013
Un peu de fantaisie dans ce monde de
brutes
Une m anne céleste pour les déshérités
Des nuages de petits bonheurs
Un océan de souvenirs
Des perles de pluie là où il ne pleut jamais (J.Brel)
Une quantité de bonnes nouvelles
Des rêves de soleil et de ciel bleu
Un bon génie pour l’Europe
Des sous … toujours des sous
Des halos de lumière pour ceux qui n’en
ont pas
De la tendresse dans les cœurs
Un idéal pour les jeunes
Un bon vent pour chasser tous nos soucis
De la joie dans les yeux des enfants
Une Wallonie prospère
Des kilos de mots doux
Que vos zygomatiques s’entraînent au sourire
Que l’univers soit en paix
Des petites lueurs dans un ciel bien
sombre
Voilà … Un peu de fantaisie dans un monde qui en manque cruellement ! Cela fait du bien et
j’espère vous avoir fait rêver !
Christiane Chatelain
3
T
radition pascale
...le lapin de Pâques. Le lapin est l'animal de la
déesse de l'Amour, Aphrodite, ainsi que celui de la déesse
germanique de la Terre, Holda. Mais comme l'œuf, il est aussi
symbole de vie et de fertilité.
Au printemps, les lapins ont des portées très nombreuses et
donnent ainsi la vie. Autrefois, quand on apercevait la lapine
et ses petits, on savait que l'hiver était enfin terminé.
Par ailleurs, de nombreux lapins couraient dans les villages au
printemps, à la recherche de nourriture. Il est très probable que
ce comportement très proche des hommes ait donné naissance à
la croyance que le lapin venait déposer des œufs. De vieux
récits de Zurich décrivent la coutume suivante : chaque
année, à Pâques, les enfants étaient invités par leurs parrains
et leurs marraines à la recherche du lapin de Pâques et des
œufs qu'ils avaient cachés.
On racontait que seul le lapin, beaucoup plus rapide que les
poules, pouvait déposer ces œufs multicolores sans qu'on ne
s'en aperçoive . En Allemagne, les premières traces de cette
coutume apparaissent en 1678 sous la plume d'un professeur
Texte transmis par Geo. Bricout
de médecine de Heidelberg.
Le Chemin
Etre toujours par voies et chemins, c'est dur !
Entrer dans le chemin de fer, facile !
Faire la moitié du chemin, et, chemin faisant, s'arrêter en beau chemin, ou à mi chemin pour prendre le chemin
des écoliers et suivre les chemins battus ou de remembrement car, tous les chemins mènent à Rome ou sur le
chemin de Compostelle . Et, à la croisée des chemins, chemin de croix ou chemin de table, il ne faut pas suivre
un mauvais chemin ni un chemin de travers, c'est mieux de suivre le droit chemin pour retrouver son chemin
sans rebrousser chemin ni passer son chemin. Même en chemin de ronde, il faut choisir le plus court chemin
pour barrer le chemin à quelqu'un sans s'arrêter en chemin. Il faut faire son petit bonhomme de chemin, pour
trouver le chemin du cœur d'un ou une autre. Et pour le chemin de la réussite, il ne faut pas y aller par quatre
chemins! Cette idée a fait son chemin avant d'être de l'autre côté du chemin...Celui du paradis, pas de l'enfer.
Après un chemin d'exemple, au bout du chemin de vie, tout le monde est en chemin et les idées font leur chemin.
On cherche son chemin, on le perd et le retrouve sans demander son chemin mais sans être sûr de trouver le bon
chemin. Frayer son chemin sans en faire un chemin à risque et faire ensemble, en si bon chemin, un bout de
chemin!
Surtout ne vous trompez pas de ch …….
Liliane Lambillotte
4
Printemps, te voilà !!!
La terre, très heureusement, n’oublie pas de tourner mais
n’exagère t’elle pas un peu notre bonne vieille terre ?
N’avez-vous pas cette impression qu’elle tourne de plus en plus
vite ? Tourner lui prend la tête, la déséquilibre.
Parfois, elle dérape … Il lui arrive de bousculer les saisons.
C’est ainsi que le printemps de décembre et janvier fut suivi de
neige et de gel hivernal qui massacra les premières fleurs tout
étonnées de revenir si tôt à la vie ! Mais la nature, amie de
longue date de la terre et des hommes, cette nature s’émut et médita sous son manteau de glace.
Se laisser emporter par la colère contre la terre qui perd le nord et la trahit ?
En silence, Dame Nature se mit en boule et, patiemment, laissa passer l’orage qui grondait. Car qui, en fin
de course, serait touché par les divagations de sa vieille amie la Terre ?
L’homme, bien sûr, qui attend, d’un vif désir, les premiers signes de la nature porteuse de vie et qui
alimente sa propre vie.
D’ailleurs, à quoi bon se fâcher, bouder, faire triste mine ?
Il en est entre la terre et la nature comme dans un vieux couple. Aucun des deux n’est devenu parfait mais il
y a tellement longtemps que l’un s’appuie sur l’autre qu’il ne peut avancer encore sans son regard.
« Ce n’est qu’une bêtise !!! Pour être moi-même, j’ai besoin d’être reconnue par toi. Alors, je peux m’offrir
aux autres. »
Et voici pourquoi, cette année encore, sous le regard aimant de ces vieux amants, terre et nature, nous ces
autres, enfants, hommes et femmes de ce printemps 2012, nous voyons la sève monter à l’assaut des
arbustes de nos jardins. Les bois, doucement, verdissent leurs fins branchages. Nos
parterres se colorent des jaunes et mauves de beaux crocus. Et même, recroquevillée
par le gel, notre première annonciatrice du renouveau, la perce-neige, redresse sa tige
et s’étale en clochette blanche.
Ah ! Que la terre soit un peu folle et déboussole la nature ! Qui n’a pas ses caprices ?
Qui, l’une ou l’autre fois dans sa vie, n’a pas eu la tête qui lui tourne à l’envers ? Qui
n’a pas désiré avancer à son propre rythme ? Vient toujours le moment où l’on
reprend le sens de sa vie, où l’on vient se réchauffer au cœur de l’autre, reprendre
racine, être vivant !
Ainsi, nos amies Terre et Nature, dépassant toutes vexations, s’en vont, bras dessus bras dessous, semer à la
ronde, pour notre pur plaisir, des semences de printemps colorées de beauté, de joie, de vie !
Un printemps qui nous fait tourner la tête !
Christine Quaresme
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Maman,
Rien ne peut remplacer le cœur d’une maman.
Plus on prend, plus il donne.
Dans nos joies, dans nos peines, on savait qui trouver.
Tu étais sans pareille pour nous consoler.
Par ta persévérance, tu fis de nous des hommes !
Maman, merci pour tout ce qu’aujourd’hui nous sommes.
Il m’arrive parfois de te voir dans mes rêves,
T’écouter, te parler, minutes trop brèves.
Je revois la maison, c’était ton horizon.
Toujours sur la brèche, quelles belles moissons !
Entre toutes les mères, tu fus la plus exquise.
Si j’avais pu choisir, c’est toi que j’aurais prise.
J.D. (transmis par Geo. Bricout)
LA PRIERE DU CHIEN
Seigneur, mon Maître
dont je partage la destinée, ma fidélité n’est pas mesurée aux
commodités de ta demeure, ni à la pâtée que tu me réserves. Je
garde ta maison, comme la mienne, qu’elle soit de planches ou de
marbre.
Je te suis où tu veux, fais ce que tu m’ordonne et tout est facile et
agréable quand tu me montre de l’amitié.
Car, plus que le confort que tu m’assures, ou ne peux m’offrir, j’apprécie la
caresse amicale de ta main et de ton regard confiant. Montre-moi, parfois, que je
compte un peu pour toi, Seigneur mon Maître, qui est tout pour moi.
Pour la Saint Valentin
Le ciel est bleu,
J’suis amoureux.
J’ai envie de lui donner
Toutes les fleurs du pré
Le ciel est bleu,
J’suis amoureux.
J’lui ai souri
J’crois qu’elle aussi
Le ciel est bleu,
J’suis amoureux.
J’voudrais lui dire à l’oreille,
Plein, plein de merveilles !
Le ciel est bleu,
J’suis amoureux.
Ça y est ! J’ai osé le coup,
Une lettre qui lui dit tout
Le ciel pleut.
J’suis malheureux
Elle a tout raconté
Et ils se sont moqués.
Simon Delcroix
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Madame Fernand Delmotte nous a aimablement transmis un grand nombre de documents anciens gardés
par son mari. Nous les reproduirons au fil des parutions du bulletin du Quartier.
En cette période de Pâques, nous avons choisi de vous présenter le carillon du Beffroi.
Un grand merci à Madame Delmotte
LE CARILLON
A l'instar des autres villes de Flandre et de Wallonie, Thuin possédait un carillon. Quand celui-ci fut-il enlevé ?
De combien de cloches se composait-il ? Quels airs jouait- il ?
Voilà autant de questions auxquelles il est bien difficile de répondre tant nos archives locales sont pauvres à ce sujet.
Il est certain que le carillon existait à la fin du XVII me siècle. L'obituaire de la paroisse de la Ville-Haute signale une
fondation de Jean Doye (T 24 novembre 1692) pour les messes du vénérable, du jeudi, comportant une rente de cent et dix
florins sur la Ville de Thuin. Le curé a cinquante-six florins, le restant va aux revêtus, au clerc, au sonneur et au carillonneur. Les
gens de Thuin tiennent à la sonnerie des cloches. Dans le même obituaire nous relevons plusieurs fondations pieuses où il est
nettement spécifié de faire sonner la deuxième et la troisième des plus grosses cloches (obit François Dubois t 171 6 et
AnneGorlier t 1701 fondé le 19 septembre 1701). Jean-Baptiste Playoul, prêtre de l'Oratoire (1768) et Anne Evrard, veuve
Antoine Hubert (1772) désirent aussi un service avec sonnerie des grosses cloches.
Il faut croire toutefois que cet amour de la musique campanaire diminua en notre bonne ville car, en 1808, les sonneries au
grand clocher de la ville prévues pour l'annonce des messes du samedi fondées par Jean Colin furent supprimées ce sonnage...
était devenu entièrement inutile... ne servait plus qu'a annoncer aux femmes et ouvriers l'heure de leur déjeuner et caffé
peut-on lire dans un mémoire inédit du curé Grandigneau.
Pour la même raison, on ne sonne plus la messe du jeudi dès 1808.
Il est vrai que le carillon n'existe plus depuis la tourmente révolutionnaire. Notons également, qu'à partir de 1725 et pour
raison d'économie, le métier des drapiers cesse également de faire carillonner pour la fête de son patron Saint JeanBaptiste. Un compte antérieur (Seconde moitié du XVII me siècle) mentionne à M. N. De Hault, tribouleur,
carillonneur 3 florins.
Toutefois le culte de St Roch très en honneur parmi nos populations, se voyait accompagné, les vieux chassereaux en
font foi, de sonneries aux cloches et au carillon, mis en branle dès la veille de la procession du 16 août. L'expression les
grosses cloches semble impliquer l'existence de cloches plus petites. Leur nombre nous est inconnu. D'après l'examen de
la charpente du beffroi et de l'avis des experts il y aurait eu six ou sept cloches balançantes et une bonne douzaine
d'autres, soit en tout, un carillon d'une vingtaine de cloches. Mais ceci n'est qu'une supposition qu'aucun document ne
vient corroborer.
Quatre noms des anciennes cloches sont venus jusqu'à nous. Il en est fait mention dans un écrit de 1765. Ce sont : SaintThéodard fondue en 1547 et refondue en 1647 Hélène fondue en 1637 Catherine fondue en 1638 Anne fondue en
1698
Un compte de 1718 fait aussi connaître que Burguet, maître horloger à Liège avait disposé un appareil pour égrener
cent notes sautillantes et cristallines. Le carillon marquait les heures par des refrains qu'il n'a pas été possible de
retrouver. Enlevées par les révolutionnaires en 1794, les cloches auraient été transportées, pour la fonte à Philippeville.
Nous relevons néanmoins, le 25 thermidor, an II (12 août 1794) que le comité de surveillance invite la municipalité à
faire remonter une cloche pour sonner les demi-heures et la retraite.
Dans le vieux beffroi, deux cloches demeurent, laissées là sans doute, à cause de leur poids et de leurs dimensions
qui en rendaient leur transport plutôt malaisé.
La plus grosse, qui tinte aux heures, a environ 1 m. 70 de haut et 1 m 25 de diamètre. Son poids peut atteindre 2000
kilogrammes.
Elle porte l'inscription suivante Maria Vocor et me expensis civitatis fuderunt Petrus Monaux et filii ejus, anno J766.
Consulibus DD Petro Josepho Warolus et Eugénie Dagnelie. Sa sœur qui fait entendre sa voix aux demi-heures est de dimensions à peu près semblables mais d'épaisseur moindre. Sur sa robe, on peut lire Expensis civitatis Paula. refusa sum
an-no 1766 a. Petro Monaux, consulibus Andréa Gorlier et Guillelmo Massart.
Désormais les deux bonnes aïeules ne seront plus seules. Dans la tour austère tintera joyeusement l'essaim
harmonieux des cloches, grandes et petites du ….
7
NOUVEAU CARILLON
1794 - 1937 !...
143 ans après !...
Les gens de Thuin ne sont guère pressés !...
Il y a quelques années, Monsieur Léon Barbier conçut le projet de restaurer le carillon. Il fut suivi
et encouragé par quelques personnes de bonne volonté qui formèrent un « Comité de Restauration du
Carillon» dont le but était de réunir les fonds nécessaires à l'achat d'un nouveau jeu de cloches.
Il fallut du temps, beaucoup de temps et si quelques souscriptions importantes furent faites dans le bel
emballement du début, elles ne tardèrent pas à devenir de plus en plus rares : le Thudinien ne déliant pas
volontiers les cordons de sa bourse s'il n'aperçoit pas l'utilité immédiate de sa dépense.
De temps à autre, à l'occasion d'une naissance, d'un mariage, d'un banquet, quelque obole venait grossir
l'encaisse. Nul ne saurait compter les nombreuses démarches dues au dévouement des membres du comité !
Il fallait arriver à la grosse somme pour acquérir le Carillon.
Et voici que le Syndicat d'Initiative prit naissance. Suivant son programme de mise en valeur de la ville,
il s'attacha à seconder le « Comité de restauration du Carillon » par ses sollicitations auprès des grands
organismes touristiques, ses campagnes de presse, ses dons, etc...
Le Carillon peut enfin être commandé. La firme Slegers-Causard de Tellin apporte le maximum de
soins aux très délicates opérations de la fonte des cloches : celles-ci devant en effet posséder une
tonalité donnée.
Elles furent expertisées par le très réputé carillonneur de Nivelles, diplômé avec grande distinction, à
l'unanimité du jury, à l'école de Carillon de Malines, membre du jury aux concours de Carillon en Hollande :
Monsieur Léon Henry.
Exposées dans la cour du Collège du 18 au 2l juillet 1937, les cloches reçoivent la visite d'un grand
nombre de nos concitoyens qui les firent tinter à plaisir afin de se convaincre de leur présence réelle en nos
murs. Elles nous étaient promises depuis si longtemps !...
Le dimanche 18 juillet, Monsieur l'Abbé Duquenne, doyen de chrétienté, procéda à la bénédiction du
Carillon.
Nos lecteurs trouveront ci-après la liste des cloches avec leurs inscriptions :
Thudinie
CIVes eJUs teMporls soLLICItl aD CIVes aeVI qUIetlorls.
Le Comité
Président d'honneur :
Léon Barbier
Président : Léon Blampain Vice-Présidents : Victor Blampain, Edgard Dethier
Les Membres
Arthur Bastin, Jules Degehet, Hubert Franc, Marcel Gérard, Anicet Godefroid, Edmond Hennuy,
Edgard Herbecq, Jules Hermant, Hector Huart, Joseph Lenom, Joseph Saubain, Joseph Snel.
Le Secrétaire, Jules Hennuy
Le Trésorier, Isidore Bohain
L'inscription est surmontée des armes de la ville : écu d'azur, billeté d'argent, au lion de même,
armé et lampassé de gueules, l'écu timbré d'une couronne d'or.
8
Louise
Je m'appelle LOUISE
Je chante le souvenir des Thudiniens trépassés. Que Dieu leur accorde la paix éternelle.
J'ai été acquise avec le traitement de bourgmestre du Baron PAUL GENDEBIEN abandonné à cette fin de
1922 à 1936.
L'inscription St Théodard P.p.n. accompagne une effigie d'évêque et les armes de la famille Gendebien :
d'or, au pal de gueules accosté de six flammes de même complètent le tout.
HELÈNE-CATHERINE-ANNE
sororIbUs abLatIs – 1794 féLIX sUbeo - 1936 sICUt ILLae DICta sUM.
ASTRID
Je me nomme ASTRID
Je sonne en souvenir de notre douce Reine, messagère de charité qui passa comme un printemps dans le ciel
de Belgique.
Offerte en 1936 par le Baron LÉON GENDEBIEN-T'SERSTEVENS, député de l'Arrondissement de Thuin de 1904 à 1935.
JEAN DE LA BIESMELE
Cloches dont les battants ont martelé l'histoire Dans les éruptions de triomphe et de foi A travers vos chansons de
métal et de gloire, je sens que vous pleurez pour moi.
Extrait du poème " Les Cloches par Jean de la Biesmèle en son recueil : La lampe éteinte …
Non-Nommée
Offerte en 1936
par les amis de Maurice des Ombiaux,
Monsieur Emmanuel Lemaire-Derbaix, la famille Spalart, Monsieur Léon Barbier-Hennuy.
FRANCISCA
vocor - Dono data sum Francisco Dupont-Caudron et Léoncio Deltenre-Dupont
ALPHONSE-MARIE Nostrorum mémoriam résonate offerte en 1936 par Alphonse et Marie Liégeois.
Non-Nommée offerte en 1936 par le Touring Club de Belgique.
LA JACQUELINE
offerte en 1936 par Monsieur Marcel Balot.
NADINNE offerte en 1936 par Monsieur Edgard Dethier à la mémoire de sa petite f i l l e Nadinne Dethier.
VITAL-ROSE offerte en 1936 par Monsieur Paul Blampain.
JULIETTE offerte en 1936 par lA Famille Vilain- N iffle.
ANGÈLE offerte en 1936 par Monsieur Edouard Guillaume.
SAINT-ROCH offerte en 1936 par le syndicat d'initiative de la Thudinie.
DÉSIRÉE offerte en 1936 par la famille Buisseret-Desombiaux
LA NERVIENNE offerte en 1936 par la société des joutes La Nervienne
CARINA offerte par M. R. Anciaux le 7 octobre 1936 et 7 mai 1937.
AD PACEM PER JUSTITIAM Hanc Campanulam Obtulit familia Piret-Latteur 1937.
JEANNE-MARIE-FRANÇOISE Que le s éc hos du Parnasse répètent ton chant. Don de Auguste Maillard 1er
échevin.
ERUZELA-ARMANDE
In mémoriam Don de Oscar Michot-Poutre
9
SIMONE offerte par Marcel et Simone Huaux
FLORETTE offerte par Léon Blampain
me
ARMANDE & CLAUDE Offerte par M
me
Armand Michot & M
Edmond Malarme
La marque : Fonderie de cloches G. Slegers-Causarc Tellin 1936 figure en outre sur chacune des
cloches.
Le clavier définitif sera installé très prochainement. Il est gracieusement étudié et monté par nos
concitoyens, Herbecq Edgard, Letouche Marcel et Wiry Joseph,
On trouvera plus loin le programme du concert d'inauguration du carillon.
Aux heures, les Thudiniens auront le plaisir d'entendre l'air connu de B. C. Fauconnier,
compositeur thudinien : TH U IN-ATTRACT IONS.
Le chant anonyme LES CORDONNIERS rappellera une vieille industrie locale et le bon vieux temps
où les ruelles sonores de la ville retentissaient du bruit des marteaux accompagné de gais refrains.
Des extraits de la belle cantate de notre regretté concit oyen Albert Navez marqueront les quarts et les
trois quarts.
Le jeu des cloches sera commandé pour les sonneries horaires par un tambour armé de taquets,
agissant sur des tringles reliées aux cloches. Ce tambour serait celui de l'ancien carillon. Il se trouve à
côté du mécanisme de l'horloge qui le met en mouvement.
Souhaitons longue vie au nouveau carillon dont les notes, tour à tour joyeuses et graves, réveilleront
les échos de notre vieille cité.
(Extrait de Inauguration du Carillon Librairie du Collège. Imprimerie Alfred Bavay 41
Grand’Rue Thuin 1937)
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Bienvenue dans le Quartier du Berceau :
Mr et Mme Armand Crom et la maman Madame Colaes Juliette
93, drève des Alliés
Mr Michel Debrichy et Mme Yvette Vanderborren
22, drève des Alliés
Mr et Mme Demars Jean-Marie et Martine Vilain
3, rue du Chêne
Mme Bourguignon-De Meyer Micheline
14, avenue du Berceau (1er étage)
Mr Jean Dagnelie
2, allée des Tilleuls
NAISSANCES
Zolin, fils d’Anne-Laure Gobert et David Haumont
60, drève des Alliés
Né le 22 décembre 2011
Louis, fils de Julien Demeure et Sophie Vancranem
né le 14/12/2011
Augustin, fils de Pierre-Olivier Cuisenaire et Fanny Lambert, né le
25 janvier 2012, 9ème petit enfant de Jean-Pierre et Liliane
Cuisenaire
Félicitations aux heureux parents et grands-parents
Il nous a quitté
In memoriam
C’est avec une grande émotion que notre
comité Bienvenue
de Quartier aau
appris
le décès toutes
de
Bambins,
nos félicitations aux
Monsieur Régibot, avenue du Berceau 32.
parents
Il aurait eu 80 ans le 24 mars 2012.
Tous les membres du comité présentent à
Madame Régibot et à sa famille leurs
sincères condoléances
G. Bricout
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Recettes de cuisine pour Pâques > Le poussin crudités
de Pâques
Ingrédients (par personne) :
- Salade verte
- 1 à 3 carottes
- 1 œuf
- Ketchup ou sauce tomate
Préparation :
Laver soigneusement la salade verte.
Après avoir pelé les carottes, découper
de fines rondelles de carotte (1 à 2
millimètres d’épaisseur) et râper le reste.
Préparer un œuf dur et le fendre, à l’aide
d’un couteau, par le dessus et d’une
longueur d’un centimètre environ, puis,
faire une petite fente sur l’avant pour
intégrer le bec du poussin.
Dans une rondelle de carotte, découper
un petit triangle qui constituera le bec et plusieurs petits triangles attachés à la base pour
constituer la crête.
Placer la crête et le bec du poussin dans l’œuf à l’aide des fentes réalisées auparavant.
Dessiner les yeux à l’aide d’un tube de ketchup ou de sauce tomate. Déposer la salade verte au
fond d'une assiette ou d’un ramequin, puis les carottes râpées par dessus. Placer l’œuf dur au
centre de cette composition. Et voila, un plat aussi agréable pour les yeux que pour la bouche !
Bon appétit.
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Mâche, pissenlit et salades précoces chassent l'hiver de l'assiette et saluent les prémices du
printemps.
Prévoyez vos semis et plantations de laitues. Qu'elles soient Batavia, Romaine ou Feuille de chêne, elles
vous apporteront vitamines, magnésium, potassium et santé tout au long de l'année.
Plus douces que les chicorées, les laitues sont cependant très variées : Pommées, Batavia ou
Romaine, les variétés ne cessent pas de s'améliorer.
Les laitues de printemps se sèment sous abri de février à mi-avril.
Ce sont les plus faciles à cultiver et les plus nombreuses.
En plus des variétés classiques (Appia, Merveille des quatre saisons, Reine de Mai), essayez
(Express pour sa rapidité de culture et Sucrine pour son goût et sa résistance à la sécheresse).
Pour les Batavia choisissez Dorée de printemps ou Salvinia.
Les laitues d'été se sèment d'avril à juillet. Attraction, Arno, Sorenza conviennent bien au
début de l'été.
Pour sa belle couleur dorée (et rien que pour le nom), semez de la « Grosse blonde
paresseuse»
Les laitues d'été doivent être arrosées régulièrement et abondamment. Sinon, elles montent en
graines.
Du côté Batavia, pensez à Pierre Bénite ou à Rossia.
Les laitues d'hiver se sèment en septembre et passent l'hiver sous abri à l'état de jeune plant. Essayez
Merveille d'hiver, et surtout Brune d'hiver, très résistante au froid (- 20°).
Le semis présente de nombreux avantages.
Il vous permet de bénéficier 'd'une grande quantité de plants que vous pouvez repiquer selon vos besoins.
Si le semis vous fait peur, essayez d'abord les plants vendus en barquettes de 8 ou l0 minimottes.
Mais attention, comme le semis, cela ne vous dispense en rien d'une bonne préparation du sol (bêchage de
25 cm au moins, engrais organique de préférence...) et d'une protection efficace contre les oiseaux et
surtout d'un traitement bio contre les limaces.
Conseil pratique
Pour éviter d'être en panne, réservez un coin du potager aux laitues à couper comme :
Feuilles de Chêne ou
Lolla Rossa.
Elles repoussent après récolte et permettent d'agrémenter vos salades presque toute l'année.
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A vos crayons de
couleur !!!!
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Une histoire de café
Si Jacqmotte n’avait pas mis son Rombouts dans le Chat noir de la Créole au Grand
Hôtel, il n’y aurait pas de Battard et ce n’est pas Légal
Liliane Lambillotte
Deux œufs de Pâques parlent entre eux :
- Tu connais le dessert préféré de la poule ?
- Les œufs en neige ?
- Nan ! Le dessert préféré de la poule c'est la mouche au chocolat...
Monsieur et Madame Deuf ont un fils. Comment s'appelle-t-il ?
John.
John Deuf
Comment se quittent 2 œufs de Pâques qui se sont fâchés ?
Brouillés.
Un coq rentre au poulailler avec un énorme œuf d’autruche. Il s'adresse aux poules :
Mesdames, je ne voudrais pas vous vexer, mais
vous voyez ce que produit la concurrence ?
Qu’est-ce qui est jaune et qui pèse 1 tonne ?
Deux poussins de 500 kilos.
De quoi le coq a-t-il le plus peur ?
D'avoir la chair de poule.
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Résultats de l’illumination des façades 2011
Premier prix : Valérie Huart, rue du Chêne
Deuxième prix : Cathy Briclet, 105 drève des Alliés
Troisième prix : ex-æquo
Noël Ruffin 23, drève des Alliés
Yves Dagnelies, rue de Stoupré (Vert gazon)
Quatrième prix : ex-æquo
Pascal Coquiart, rue du Chêne
Jean-Marie Demars, 3 rue du Berceau
Hors catégorie (Comité)
Jacquy Quairiaux et Maurice Fourmeau
Nous attendons pour le prochain
bulletin vos articles, vos recettes,
… AU PLUS TARD LE 15
juillet 2012
Editeur responsable :
Maurice Fourmeau
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