e MB SOIERIES LYONNAISES
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Il faut aller à VÂL3... pour y trouver Fête Patronale e MB SOIERIES LYONNAISES Notre fêle débuta samedi par une brillante retraite aux flambeaux exécutée par l'Harmonie Albenassienne et la clique des Sapeurs-Pompiers. Un Une importante MAISON de LYON a créé pour la SAISON grand bal eut lieu ensuite sur la place l'Hôlel-de-Ville. aux Magasins Japonais dans le Parc (près l'Intermittente) deDimanche, une grande animation régnait dans notre ville. Le clou de la un RfiYOK DE SOIERIES ou l'on y trouve à des fête fut assurément le gentil corso fleuri auquel participèrent de nombreux P R I X T R È S ^V-^ZSTT^G-STJX: enfants. On admira les belles voitures arlistement et originalement décorées, t o u t e s les cier»rtîèr»es N o u v e a u t é s le* superbes groupes costumés. Que dire, en effet, de ces flamboCrêpe de Chine, crêpe yants « Soleils », q u i promenaient marocain, Taffetas, Satin, gravement leur petit roi, un blondinet Toile de soie, Voile, fan- aux yeux bleus, à l'air éveillé, sinon taisies d'été, Bas, Robes qu'ils jetaient une note gaie, et attiEcharpes, Articles pr pei- raient tous les regards. E t a i e n t - i l s gnoirs et pijamas, etc. etc. « crânes » dans leurs belles auréoles d'or et n'y a-t-il pas lieu d'en féliciter de l'E. P . S. de Largentière ; Paulette sans réserves les créatrices de celte livre témoigne d e rares qualités d'obser- mon, A r gaud, Emilie Bousr.hon, Irène Chancpetier, merveille. Et cette somianle marquise vation. Dans Le Trinnon de Marie-Antoinette, .M,truelle Reynaud. Sophie Sayue*, de l'E. n était elle pas pleine de grâce ? Elle a M. PiF.nnK DE NOLIIAC R"lrace l'histoire d«* P. S. de Privas ; Jeanne Riou, du lycée de charmé tout le monde avec son petit Triauon depuis le « Triauon de porcelai- Tournon ; Thérèse Rollandin, du cours com- air altier, sa minuscule mouche, sa ne •> jusqu'au hameau de »¡arie-Antoinette. plémeutaire de Bourg-St-Andéol ; Marthe jolie toilette si bien réussie et qui lui Tout le XV11I5 siècle dans ce qu'il a île Agier, Fernande B.iyle. Euphrasie Ghanvy, seyait à r a ù r et, nous avons entendu plus exquis, d e plus frivole aussi, revit Emilie Debard, Berthe Fayat, Marie LafTont, chuchoter prés de nous : oh ! la séduiSerre, Jeanne dans ces pages. C'est qu'elle appartient .Marthe Rochette. Isa OCNT, JMUUO Vatlet, TU..G.,. , • . ,, . , ,. , aux arts, à tons les nrts y compris celui du cours complémentaire du Gheylard ; Ju-f sanie Marquise., elle est si nelle dans C H O I X •L u i i S I D E R A B L E d e s jardins, l'histoire de Triànon, aux lettres aussi par les rejirésLîutalions théâtrales qui y furent données, à la « grande histoire » enlîn par la malencontreuse influence qu'exerça précisément sur l'esprit du public la vie d e 1* « Autrichienne » à Trinnon. Cependant ce qu'elle évoque surtout, magnifiques nu g-aci>-uscs, nifiis toujours fugitives ce sont les l'êtes, l e s réceptions, les illuminations, les collations champêtres. Et c'est à tout cela qu ! fut la vie même d e Trianon, que M. de Nolhac sait nous initier : il n e lui suffit point de commenter avec une érudition universellement appréciée des décors qui subsistent e n partie, il fait passer les sourires, les entrechats, les feux, d'artifice, les conversations galantes e l l e s couplets dnn* l'éternité. MARCEL TIIIÉUAUT. Echos ot Nouvelles liette Risson, du cours complémentaire de s a j u p e à p a n i e r s q u o n s o u h a i t e r a i t La ovist'e ; Marguerite Ballard, du cours com- que la mode des robes à corselets et plémentaire du Pouzin ; Marie D.iloche, Ju- jupes à godets revienne. La chaise à liette E-itoz-ît, du cours complémeniaire de porleur bien décorée, dans laquelle Tournon ; Paule Pinst, du cours complémen- était assise la marquise, était portée par taire de l i Voulle; Jeanne Rivière, de l'école ¡ 7 marquis, gentiment costumés, avec libre des Vans. ii leurs habits rouges chamarrés d'or, Divers : Lucienne Jolivet, de Prades ; Marie leurs perruques blanches, leur marquis Silet, de Lablachère ; Marie Denis, rue Sauqui les coiffait si bien et leur frimousse zéat, 4, Annonay. «H AUBENAS Tournée du camion-cinéma Expositinn de la Société Commerciale des Potasses d'Alsace Les cultivateurs de notre région vont certainement apprendre avec grand Assises plaisir que le Camion-Cinéma-ExposiLa session dns assises dn l'Ardèche tion de la Société Commerciale des pour le troisième trimestre 192-i s'ouvri- Potasses d'Alsace va parcourir notre ra à Privas, le lundi 4 août' prochain, département, pendant près d'un mois, â 10 h-ures du malin. selon l'itinéraire que nuus donnons cidessous : Ditix affaires soai inscrites au rôle : Lundi 4 août : J j a u Toussain, 19 ans, 2 *nût, Aubenas ; 3, Valgorge; 4. Largarçon coiffeur a Annonay. meurtre, e uuère ; o, Les Vans ; 6. J o y e u s e ; ? , tentative3 de meurtre et pc-rt tl'ar m > Vallon ; 8, Uochemaure ; 9, La Voulle ; prohibé* . 10, Antruisues ; 11, Alontpezat-sousMinistère pnb'io. M. Aubin, procureur liauzon ; 12, St-Etienne-de-Lugdarès ; de la Ripubiiqne ; d^feri^ur, M« Pierre 13, Coueouron ; 14, St Pierreville ; 15, Lantier, du barreau da P.iv.is. •i i li ylurd ; 16. Vernoux-d'Ardèche ; Mirdi : Garmiiu Djch:er. 31 an--, 17, Lalasere ; 18, St-Agrève ; 19. Satilmanœuvre à Annn iay'el Marie P.er- lieu ; 20, St-Pérsy ; 21, Tournon ; 22, thet, femme Du -hier, ménagère à An- Serrières ; 23, Annonay. nonay : infanticide et suppression de Dans chacune des localités désignées part. psr cet itinéraire la population sera adMinistère pub'ic, M. Brunei ; défen- mise à visiter librement le camion et en seur, Me Daschauds, du barreau de fiu de journée une conférence sera faite par uu ingénieur-agronome du Bureau Tournon. Central d'Etudes sur les engrais. Examens L'Exposition comprendra notamment Le coicours d'admission aux croies des échantillons de sels de potasse, des normales d'iRstitnteu<s et d'instiiutricfs vues des mines, des photographies, des el les examens du brevet élémentaire résultats de champ d'expérience, etc... ont eu lieu à Privas. La conférence exposera tout ce qu'il Voici la liste des lauréats : est indispensable de connaître en prati1° Concours d'admission à l'Ecole normale : que pour employer judicieusement et avcc profit les divers engrais que la a) Instituteurs : Frédéric B:iconnir.r, Marcel Chamontin, Léopold Gleyz.il, Raymond Kane, science et l'industrie mettent, aujourMarcel Seuzarel, de l'a. P. S. d'Aubenas ; d'hui,- à la disposition des agriculteurs. Jean Faravel, Marcel Giraud, Edouard Roux, Sans nul doute, nos populations agricode l'E. P. S . du Chevlard : Rogar Tliéron, de les, toujours soucieuses de progrès, as1 E. P. S. de Bourg-St-Andéol ; Henri Glau- sistèrent nombreuses à celte intéressanzel, de l'E. P. S. de Grest (Drônïe) ; André te causerie qui sera suivie de projections Bertrand, du cours complémentaire de Ver- cinématographiques montrant les mines noux ; Henri Clialvet, .Uar.~ei Gervais, du qui produisent les sels de potasse, le cours complémentaire de Joyeuse ; André travail de leur extraction et leur prépaChambonnct, Adrien Garay, Marcel Lévêque, du cours complémentaire, do Lavoulte ; Paul ration pour la vente, les résultats obte Cros, du cours coiupléiiieniaire de Suint- nus par leur emploi, etc... L'exposition, la conférence, les proAgrève ; Léon Valetie, Jean Vernit, du cours complémentaire du Teil ; André Crouzet, du jections cinématographiques sont entiècours roinpléraentair • de Tnuruon ; Georges rement gratuites. Palix, du cours complémentaire de Privas ; Nous invitons nos lecteurs à répandre Léon Payan, du cours complémentaire des autour d'eux cette bonne nouvelle et à Vans. réserver le meilleur accueil h cette intéb) Institutrices : Marie Badellon, Rose Bes- ressante initiative qui vient leur apporSOD, Lucienne Chaze, Lydie Fabre, Amardine ter de précieux enseignements. Pieuecassagne, Marie Ponrret, de l'E. P . S. d'An îonay ; Suzanne Arthac, Juliette Donson, Jeanne Gouuon, de l'E. P. S . d'Aubenas ; ï l i e Brnn, Odette Jourdan, Marthe Rocheite, de- l'E. P. S. de Largentière ; Thérèse Eernard, Léona Boucliet, Emma Bournac, H é l è n e Jaussen, RostHe Laville, Daisy Pontal, Lydie Ruel, de l'S. P . S. de Privas; Odette Chapus, Laure Vayant, du cours complémentaire de Dourg-Siint-Audéol ; Lucie Faugeron, Henriette. Louron, Berlhe Lespet, Rose Monis, du cours complémentaire du Gheylard ; Marguerite Ghalays, du cours complémentaire de Lainastre ; Marcelle Brusset, Madeleine Coulomb, Léouce Valette, du cours complémentaire du Pouzin ; lien nette Arsac, Marcelle Glavel, Odette Espeysse, Marie Maurel, Raymonde Montabonnet, du cours complémentaire de Tournon ; Ida Ghazallet, du i;hambon-sur-Lignon (Ilte-Loire) ; Marie Denzof, Odette Ridet, de Maçon. 2° Brevet élémentaire : a) Aspirants : Paul Bonnv, Georges Briand, René Darme, Henri Violet, da l'E. P. S. de Bourg-Saint-Andéol ; René Pastre, do l'E. P. S. d'Annonay ; Georges Roux, René-Louis Serre, de l'K. P. S. d'Aubenas ; Albert Boyer, dn cours complémentaire du Pouziu ; Georges Boyer, du cours complémentaire du Teil ; Georges Gliastagnier, du cours complémentaire de Privas ; Marcel Noally, du cours complémentaire de Lamarre : Léon Du port, du cours complémentaire de Vallon ; Auiédée fr'eauve, du cours complémentaire de Vernoux ; Henri Guériu, instiiution libre de Bourg-Saint-Andéol ; Camille Etienne, école libre de Laurac. b) Aspirantes : F.mande Blachère, Denise Faure, Léa Merle, ?Jarie Tosi, de l'E. P. S. d'Annonay ; Paulette Névissas, de l'E. P. S. d'Aubenas ; Marie Salomon, Marcelle Salo- SOCIÉTÉ MARSEILLAISE DE CHÉDiT Agences de V I C H Y - L a BOURBOULE AUBENAS ( V a l s - I e s - B a i n s ) LAUSANNE ( S u i s s e ) TOUTES OPÉRATIONS DE BANQUE Probité Samedi dernier, 26 juillet, au bureau de t:<bac, tenu par M"10 Mortier, faub. Gambetta, en face le Café Français, un client laissait choir un portefeuille bien garni en billets de banque. Heureusement il tombait en d'honnâtes mains, celles de Mme Mortier et de ses deux enfants qui après s'être rendu compte de son contenu, qui était supérieur à 2.000 fr., ne se dirent point : a Qui tient, garde » mais s'empressèrent d'en faire la restitution. Après de longues recherches, on découvrit le propriétaire M. X..., de St-Joseph-desBancs qui ignorait totalement où il avait l'ait la perte de son portefeuille. Comme ailleurs le quartier de l'Airette possède d'honnêtes gens et l'acte de probité de M®» Mortier mérite d'être cité eu exemple. utilement pour cela. Et vous aurez raison. Nous avons gardé pour la dernière la nourrice, toute petite et jeunette. Avait elle grand air avec son coquet tablier blanc, ses manchettes et son mignon bonnet. Elle poussait consciencieusement dans une élégante voiture son adorable bébé tout enrubanné et pomponné. Elle était si grave cette mignonne et prêtait tant d'attention à son chérubin qu'on peut d'ores et déjà affirmer qu'elle sera plus tard une parfaite mère de famille. Papa et maman de la blondinette soyez sans crainte sur l'avenir de vos futurs petitsenfants, ils seront bien soignés. A la suite des voitures, il y avait quelques fillettes costumées. Citons la danseuse bohémienne munie d'un tambourin, qui paraissait si leste dans ses légers troufous, le coquelicot, au corselet noir, aux pétales rouges rappe lant encore la fleur des blés par une coiffure et une bourse en coquelicot ; la marguerite, coiffée de la superbe fleur des prés, une magnifique robe à pétales blancs qui faisaient envie, sur tout le parcours du corso, à maints jeunes gens et jeunes filles qui auraient bien voulu, s'ils avaient osé, aller l'effeuiller la marguerite en murmurant tout bas :.. ii ou elle... m'aime ... un peu... beaucoup... etc... pas dn tout 11! ou... à la folie ! Nous terminerons par les deux Tulipes qui symbolisaient si bien la fleur hollandaise. Avec leur corselet vert, leur jupe cerbe ou jaune d'or, leur coiffure donnant l'illusion d'une vraie tulipe, leur canne bien enrubannée, surmontée également d'une tulipe, ces fillettes nous rappelaient les prémisces du printemps et ajoutaient une note gaie à la perfection de l'ensemble* le I Puis, ce fut le Rallye-Ballon, dont on ne connaît pas encore les résultats et des danses, des rondes; des farandoles qui mirent en joie tous nos enfants Dans l'après-midi, des jenx furent organisés dans les différents quartiers de la ville. Le soir, les bals se rouvrirent sur les places de l'Airette et du Champ-deMars où se continua la bataille de confetti. A 11 h., la pluie malencontreuse vint hâter la clôture de lu fête patronale, dont il y a lieu de féliciter les dévoués organisateurs de la classe. Mardi, à 6 h du soir, eut lieu le tirage de la tombola. —o— A propos de la fâte patronale Nous ne publierons p»s le comptr J rendu de notre fê.e locale, sans remercier ei féliciter, au nom de la population enthousiasmée, M. le Maire d'Aubenas, qui a fait tout ce qui a dépendu de lui pour aider la classe dans l'organisation de la fête. C'est à lui que nous devons ég lement la réalisation de la fête de l'enfance, idée neuve et touchante qui est allée au cœur de toutes les mamans. Procurer à tous ces petits une véritable joie, leur faire voir que l'on pense à eux» qu'on ne les laisse pas de côté comme de petits riens négligeables, n'est-ce pas une pensée très délicate et qui ne peut que faire plaisir à tous : parents et enfants. Aussi, nous savons gré à M. Artige d'avoir engagé les jeunes fans de la classe 1925 à faire figurer uneféte de l'enfance dans le programme. Nous remercions également les dame* de l'Œuvre de l'Hygiène de l'Enfance qui ont prêté aimablement leur concours. Elles se sont dépensées sans compter et chacune d'elles a su donner une note originale et personnelle & ce gentil corso dont le grand succès sera pour l'avenir le meilleur enconregement. Les années suivantes, nous en avons la certitude, on fera mieux encore. Mais pour cela, il sera utile qu'on procède avec moins de hâte, en s'y prenant beaucoup plus tôt. La préparation d'un corso est une chose délicate et méticuleuse qui demande les plus grands soins. Ne pourrait-on également organiser des soirées, tombolas, quêtes afin de se procurer plusieurs mois avant la fête patronale des ressources qui p e r mettraient à tous les parents de costumer leurs enfants et de décorer des petites voitures ? Il en est qui prêteraient volontiers lenr concours, mais n'ont pas les moyens de s'imposer des sacrifices pécuniaires. I l iaut que cette fête de l'enfance revête un earactèrc démocratique et que tous riches et pauvres soient appelés à y participer. Espérons que notre idée sera retenue et que nous pourrons voir dès 1925, fraterniser tous nos chers petits, à quelque classe de la société qu'ils appartiennent. bien poudrée. Un bon point à la Rose de France, à la teinte si délicate, d u cœur de laquelle émergeait une petite tête blonde, toute mignonne, u n peu Après avoir défilé à travers nos rues intimidée parcelte foule qui ne tarissait pas d éloges. Cette rose qu'on pourrait et faubourgs, le cortège se rendit sur la appeler la reine des roses était traînée place de 1 Hôtel-de-Ville, où M. Artige, par deux papillons très bien imités, maire, prononça une courte allocution au thorax jaune d'or, cerclé de noir, et remit de belles bannières, peintes aux ailes légères, savamment reprodui- avec u n goût exquis par les jeunes tes. Les antennes fixées au sommet filles de nos écoles. Voici les prix acde la tète dodnaient une note originale cordés : Prix individuels. — Prix d'honneur et nous pouvons affirmer sans crainte d'un démenti, que ces dames avaient ex-œquo : Danseuse bohémienne, les à merveille copié la nature dans la Tulipes de Hollande, le Coquelicot et la Marguerite. réalisation de ce tableau printanier. Prix des groupes et voitures fleuries. Nous (n'oublierons pas Mme Chrysanthème, coiffée de la fleur dont elle — Prix d'honneur et de somptuosité porte le nom, à l'air si fûté derrière son Les Soleils ; prix d'honneur et d'élééventail et sous sa gracieuse ombrelle. gance : Marquise et Marquis Louis XV Sur sa petite voiture toute décorée de (chaise à porteurs) ; prix d'honneur et lleurs du Japon, n'avait-elle pas l'air d'c-létrance : La Rose de France ; prix d'une petite reine, conduite par deux d honneur et grand prix Pierre Loti : japonais au costume national et ne Madame Chrysanthème (pousse-pousfaisait-elle pas songer à l'héroïne de se) ; prix d'honneur et grand prix d'originalité : Le Grand Mandarin (pousse Loti ? Un double banc en l'honneur de pousse) ; prix d'honneur et prix de 1 Œuf, idée originale et supérieurement l'Abondance (offert par le Ministre de réalisés, artistement posé sur u n nid l'Agriculture : La Hotte (brouette) ; de mousse. Le bambin, coiffé d'une prix d'honneur et grand prix de la Repetite perruque de poussin, qui sortait population (prix Cognacq Jay) : l'Œuf, de l'œuf crevé sa mignonne frimousse, le Poussin et la Nourrice ; prix d'hon neur et grand prix de l'Avenir : Barque était gentil à croquer. Hourrah ! pour la magnifique barque à voile Magui Madou ; prix d'honneur à voile, Magui-Madou, si bien cons- et grand prix de l'Espérance : Barque truite et ayant comme matelots, deux fleurie ; prix d'honneur et grand prix beaux bébés si jolis et si gracieux qu'ils de la joie et de la jeunesse : La petite avaient l'air de deux belles poupées Nourrice et les Fleurs. Après l'attribution des prix, le cortèque chacun avait envie d'embrasser ge se disloqua. au passage. «- » * Nous complimenterons aussi la barFonds de commerce, industries, châque fleurie dont lagcoque avait était enteaux, villas, propriétés, immeubles, A l'issue du corso, l'Harmonie Albe tièrement recouverte de fleurs blan- nassienne donna, sur la place de la autos, etc., adressez-vous à ches el qui avait à bord un joli couple Rotonde, un joli concert fort applaudi. revêtu du pittoresque costume bretons soir, alors que la fête foraine batet chaussés des traditionnels sabots, taitLe son plein, deux grands bals réu[ui, entre parenthèse les embarrassaient nirent les danseurs à l'Airette et an ort. i.e petit garçon avait un air vrai- Champ-de-Mars et la bataille de confetti ment conquérant avec son chapeau fut fort animée. Consultez M. Fsaì LAVILLE, rond, son bel habit sortant d'un grand * Directeur de ÜAgence d'Aubenas, faiseur de... Quimper, son pain de 6 • * livres sous le bras et un panier conteLe lundi, place de l'Airette, un grand Faubourg de Vernon. nant un canard de l'autre ; sa compaconcours de boules, dolé de prix im- R. dtt C. tf +.89Î Anbenas. Téléphone 87 gne portait avec grâce la seyante robe portants groupa 16 quadrettes. En voiet la coquette coifle de l'Armorique. En un mot, ces deux enfants formaient ci les résultats : 1° Championnat, 110 DISCRÉTION E T SÉCURITÉ ABSOLUES dans leur barque un ensemble char- frs : Saunier père et fils. Vernet ; 2° 80 fr. : Boyer Jean, Pagunelli frères. Tir mant. l°Montchaud, du Teil ; 2° Vial fils, d'AuL'Agence n'accepte que les proposiTrès original le mandarin, assis tel benas ; 3° Pialat, d'Aubenas. Pointage : un magisrat dans sa somptueuse voi- Gravier, coiffeur, Teyssier, Gravier, tions sérieuses. Elle se charge â ses frais de tous déplacements, démarches, ture. Avait-il grand air ce £ Ivo-han facteur. publicité et n'a droit â une commission abrité sous une ombrelle, porté par que si les transactions s'opèrent par son un de ses sujets et traîné par un autre chinois costumé d'une façon impeccaDeux courses d e bicyclettes eurent intermédiaire. ble. Savez-vous, M. le Mandarin que lieu pendant ces fêtes. La première réSur demande, l'Agence envoie vérifier vous en imposiez et cela ne nous éton- servée aux amateurs, courue sur le cir- sur place toutes les affaires situées ne pas que vous ayez été nommé par cuit Aubenas-Vals donna le résultat dans la région. l'Empereur pour l'aider dans sa lâche suivant : 1 er Champanhet, d'Aubenas ; Elle ns fait rien payer d'avance. à gouverner les peuples. Mais vous 3* Faure, de St-Didier ; 3e Marcoux, de Voir en 4« page, une liste d« n'aviez tout de même pas l'air d'un Pont-d'Aubenas. fonds de commerce, villas, propriédespote et nous pouvons dire, sans nous La seconde qui comportait 5 fois le tés, etc., mis en vente par l'intermétromper, que pour un Mandarin, vous tour de Vais, soit 60 Km., réunit les diaire de l'Agence I m m o b i l i è r e d e devpz être un... bon Mandarin. meilleures pédales de la région. Arri- l a D r ô m e e t d e l ' A r d è c h e . Tous Une snperbe hotte, bien fleurie, mon- vèrent : 1 er Figuet, de Romans, sur renseignements sur ces affaires seront tée sur une brouette, contenant une Royal Fabric ; 2° Arsac, de Viviers, jolie fillette et conduite par un garçon- sur Dolmen ; 3" Cartier, de St-Ambroix, fournis par l'Agence d'Aubenas. net mérite aussi des félicitations. Certes, sur France-Sport. Correspondants dans toute la France une belle enfant est une précieuse denrée mais .. par ces temps de vie chère, Pour vos achats ou vos ventes, il aurait peut-être bien fallu l'accomA 16 h., sur la place du Champ-depagner d'une miche de pain, d un kilo Mars, un goûter fut i>ervi à tous les en- laites-vous inscrire gratuitement à * de chocolat, ou d'un pot de confiture. fants ayant participé la veille au corso l'Agence d'Aubenas. Vous allez me répondre que l'agricul- fleuri ; ils étaient fiers nos petits de ture manque de bras et qu'avant de croquer à volonté gâteaux et petits Ligne da Lalavade au Puy songer à remplir les hottes de victuail- fours, copieusement arrosés d'nn sirop les, il faudrait d'abord pensar à faire de grenadine avec de la limonade. JaLes protestations. — Voici les protespousser ceux qui pourraient travailler mais ils n'avaient été à une fête pareil- tations de 4 conseils municipaux, d'autres suivront : Chirols. — Le Conseil Municipal justement ému des projets d'abandon Demandez un ou tout au moins d'ajournement de la construction de la ligne Prades au Puy Bur le tronçon ardéchois, émet le vœu en faveur de la construction d'urgence du secteur Lalevade-Pont de-Labeaume et proteste contre l'abandon des études de la ligne |en Ardèche, ladite ligne devant rendre des services si appréciables & notre région sans vole impor- Voulez-vous voDire oo oGHetor rapidement l'Agence Immobilière le la Diûme et äe I M clie S IS CLAUDE BERGER Le Meilleur des Apéritifs