Abteilung Brückenangebote - Berufsbildungszentrum Biel
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Abteilung Brückenangebote - Berufsbildungszentrum Biel
Berufsbildungszentrum Biel-Bienne Centre de formation professionnelle Biel-Bienne 148. Jahresbericht 148e rapport annuel Schuljahr Année scolaire 2014 / 2015 Inhaltsverzeichnis – Table des matières Gestaltung/création : Stiftung/Fondation Battenberg, Polygraphie, Biel-Bienne 2 – 5 Direktion Wir bewegen uns sehr rasch Direction Nous évoluons très vite Dienstjubiläen, Ein- und Austritte 6 – 13 Abteilung Brückenangebot Rückblick über die Aktivität der Abteilung BrA Rétrospective des activités des SolTr Après l’hiver Rapport annuel catering Anschlusslösungen Das Berufsvorbereitende Schuljahr (BVS) begrüsst BerufsbildnerInnen in der Schulanlage Linde Berufliche Lösungen der BVS-Schüler 14/15 14 – 21 Abteilung Berufliche Grundbildung (BGB) Mit festen Schritten voran… Une ferme volonté d’aller de l’avant Brücken bauen und nutzen (Comenius) Première édition de la semaine santé Projekt Klimawerkstatt Bereichsübergreifende Projekte fordern die Phantasie Delegationen aus Südkorea am BBZ Biel Lehrabschlussprüfungen BGB 2015 22 – 31 Abteilung Berufsmaturität/Mediamatiker Die Umsetzung der neuen Berufsmaturitätsverordnung (BMV) steht kurz bevor La mise en œuvre de la nouvelle ordonnance sur la maturité professionnelle fédérale (OMPr) est imminente Roadshow 2015 Flipped Classroom Flipped classroom Abschlussergebnisse Juni 2015 32 – 43 Abteilung Technische Fachschule (TFS) Rückblick über die Aktivitäten der Abteilung TFS Le LT encourage les performances et la créativité SKS Programm für Spitzensportler Programme Sport – Culture – Etudes pour les sportifs d’élite Concours Horloger Diplomfeier und Projektwettbewerb TFS Erfolgsquote – Taux de succès 2015 Zahlen & Fakten 44 – 53 BBZ Biel/Bienne Neues Organigramm Statistiken 1 Wir bewegen uns sehr rasch Das Berufsbildungszentrum Biel-Bienne setzt das erfolgreiche Schweizerische Berufsbildungssystem in unserer landschaftlich wunderbaren und soziokulturell herausfordernden Region erfolgreich um… 2 Beat Aeschbacher, Direktor Wir befinden uns am Jurasüdfuss, im Arc Jurassien, mitten im Industrie- und Exportgürtel des Kantons Bern. Der Bundesrat hat unsere Heimat als Innovationsstandort von nationaler Bedeutung erkoren, der Kanton doppelt nach und baut in den nächsten Jahren den Campus Technik der Berner Fachhochschule in Biel/Bienne. Diese markanten Leuchttürme werden künftig viele Betriebe in unsere zweisprachige Region locken, die von unserer sprachlichen und technologischen Brückenfunktion profitieren können. Austausch wird im Zentrum stehen. Die Berufliche Grundbildung muss hier sehr nahe als Basis für die Heranbildung von Fachkräften und als Zulieferer der Weiterbildung angesiedelt sein. Sie muss aktiv gefördert werden. Das BBZ Biel-Bienne antwortet mit seiner Vision 2020 und mit seiner strategischen Ausrichtung auf die Herausforderungen. Vier unterschiedliche Abteilungen mit ebenso verschiedenen Haupttätigkeiten und Kompetenzen bewegen sich konstant in die Zukunft. Sprache und Integration sind die Kernkompetenzen der Abteilung «Brückenangebote». Junge Menschen bereiten sich hier auf einen erfolgreichen Start in die Arbeitswelt vor oder erhalten die Grundlagen für ihre Integration. Der neue Lehrplan fordert ganzheitliches Handeln, was teilweise eine Umstellung für die Lehrpersonen ist. Die Abteilung «Berufliche Grundbildung» wird hauptsächlich von sich verändernden externen Rahmenbedingungen gefordert. Sie ist ein Abbild der wirtschaftlichen Situation in der Region. Wir stehen mitten in einem Konzentrationsprozess, hin zu einer Dienstleistungsgesellschaft. Das Mengengerüst an Berufsausbildungen im handwerklich-technischen Sektor wird abnehmen. Klassen werden zusammengelegt. Unsere Region darf hier nicht Verliererin sein. Industrie, Gewerbe, Regionalverbände und Politik müssen jetzt zusammenstehen und das Kompetenzzentrum Bildung und Technik Biel/Bienne weiter stärken. Die Abteilung «Berufsmaturität/Mediamatiker» entwickelt sich. Die Nachfrage nach Berufsmaturität 2 ist nach wie vor sehr hoch. Zu Recht wird die Berufsmaturität als beruflicher Königsweg bezeichnet, wir fördern ihn in der Region Biel-Seeland. Der neue zweisprachige Berufsmaturitätslehrgang darf als absolute Innovation bezeichnet und muss überregional angeboten werden. Schulintern löst die Umsetzung der neuen Berufsmaturitätsverordnung vor allem auf der Stufe der Fachgruppen Bewegung aus. Der Beruf Mediamatiker/in EFZ boomt. Hier gilt es sicherzustellen, dass die Ausbildungsqualität trotz dem grossen Mengengerüst hoch gehalten wird. Die Abteilung «Technische Fachschule Biel» befindet sich in Bewegung. Sie baut ihre Bildungsgänge um und passt sie an die Bedürfnisse der Wirtschaft an. Die Zusammenarbeit mit der Industrie wird verstärkt, darum werden dringend Praktikumsplätze für die jungen Berufslernenden gesucht. Ein Praktikum ergibt für alle Betroffenen nur Vorteile. Das neu geschaffene Ausbildungsmodell für die Berufe Mikromechaniker/in EFZ und Mikrozeichner/in EFZ darf als fortschrittlich und innovativ bezeichnet werden, weil den Lernenden im 4. Lehrjahr verschiedene Ausbildungsoptionen zur Verfügung stehen. Im Beruf Horloger CFC wird eine neue Bildungsverordnung umgesetzt. Der Beruf Elektroniker/in EFZ rundet das Angebot der Technischen Fachschule Biel ab und ist nicht wegzudenken für das projektbezogene, integrative Ausbildungssystem. Sehr geehrte Leserinnen und Leser, Sie sehen : Vier Abteilungen bewegen sich in die Zukunft, Veränderungen werden als sportliche Herausforderung angenommen. Konstant bleibt die hohe Unterrichtsqualität. Für uns gilt es, in diesem interessanten Spannungsbogen die Balance zwischen Verändern und Bewahren zu finden, denn Bildung braucht auch Stabilität. In diesem Sinne war mein erstes Amtsjahr als Direktor des Berufsbildungszentrums Biel-Bienne Bewegung pur – und Bewegung hält bekanntlich fit. Nous évoluons très vite Le Centre de formation professionnelle CFP Biel-Bienne applique avec succès le système éprouvé de la formation professionnelle suisse dans notre région aux magnifiques paysages et aux grands enjeux socio-culturels. Beat Aeschbacher, directeur Notre école se situe au Sud du Jura, dans l’Arc jurassien, au cœur de la ceinture industrielle et exportatrice du canton de Berne. Le Conseil fédéral a décidé de faire de notre région un site d’innovation d’importance nationale, le canton lui emboîte le pas et construira au cours des prochaines années le campus technique de la Haute école spécialisée bernoise à Bienne. Ces fleurons vont attirer de nombreuses entreprises dans notre région bilingue afin de profiter de notre fonction de pont linguistique et technologique. Les échanges seront au centre. La formation professionnelle initiale doit servir de base à la formation de spécialistes et de porte d’entrée vers la formation continue. Elle doit être encouragée de manière active. Le CFP Biel-Bienne relève ces défis avec sa vision 2020 et son orientation stratégique. Nos quatre divisions distinctes avec des activités et des compétences tout aussi diversifiées regardent toutes vers le futur. La langue et l’intégration sont les compétences clés de la division «Solutions transitoires». Les jeunes se préparent à un départ réussi dans le monde du travail ou acquièrent les bases de leur intégration. Le nouveau plan d’études exige une action systémique, plaçant ainsi les enseignant-e-s devant certains changements. La division «Formation professionnelle initiale» sera avant tout mise à l’épreuve avec les conditions cadres externes en mutation. Elle vit au rythme de l’économie de la région. Nous nous trouvons au milieu d’un processus de concentration vers une société de services. Le nombre de formations professionnelles dans le secteur artisanal et technique est en baisse. Les classes sont regroupées. Notre région ne doit pas être perdante. Industrie, artisanat, associations régionales et politiques doivent faire front commun et continuer à renforcer le centre de compétence de formation et de technique de Biel-Bienne. La division «Maturité professionnelle/Médiamaticien» est en phase de développement. La demande en maturité professionnelle après l’apprentissage (MP 2) est toujours très forte. La maturité professionnelle est à juste titre considérée comme la voie royale, et nous l’encourageons dans la région Bienne-Seeland. La nouvelle filière de maturité professionnelle bilingue peut être qualifiée d’innovation absolue et doit être proposée au niveau suprarégional. Au niveau interne à l’école, la mise en œuvre de la nouvelle ordonnance sur la maturité professionnelle a un impact avant tout pour les groupes de branche. La profession de médiamaticien-ne CFC est en plein boom. Il convient d’assurer que la qualité de la formation reste élevée malgré le grand nombre de formations. La division «Lycée Technique Bienne» se trouve en mutation. Elle restructure les filières et les adapte aux besoins de l’économie. La collaboration avec l’industrie est renforcée, raison pour laquelle nous cherchons urgemment des places de stage pour nos jeunes apprenti-e-s. Un stage ne présente que des avantages pour toutes les personnes concernées. Le nouveau modèle de formation pour les professions de micromécanicien-ne CFC et de dessinateur/trice en construction microtechnique CFC est tourné vers l’avenir et innovant, étant donné que plusieurs options de formation sont ouvertes aux apprenti-e-s pendant la 4e année. En ce qui concerne la profession d’horloger/horlogère CFC, la nouvelle ordonnance sur la formation est appliquée. La profession d’électronicien-ne CFC parachève l’offre du Lycée Technique Bienne et trouve toute sa place dans notre système de formation intégratif centré sur des projets. Chère lectrice, cher lecteur, comme vous pouvez le constater, nos quatre divisions regardent vers le futur, les changements sont abordés comme des défis sportifs. La qualité de l’enseignement est maintenue à un niveau élevé. Pour nous, il s’agit de trouver l’équilibre entre le changement et la continuité, la formation ayant aussi besoin de stabilité. Dans cette optique, ma première année de directeur du Centre de formation professionnelle Biel-Bienne a été «sportive», mais c’est bien connu, le sport, c’est la santé. Direktion Direction 3 Dienstjubiläen, Ein- und Austritte Anniversaires de service, nouvelles arrivées et départs Andreas Zehnder, Verwalter Dienstjubiläen Lehrpersonen (Kanton Bern)/Anniversaires de service chez les enseignant-e-s (canton de Berne) 10 Jahre/ans Catanese Silvia, Reinigungspersonal Güggi Geneviève, Informatikdienst Hermann Rolf, Abteilung BGB Kjelsberg Denis, Abteilung BM/Media Siegrist Nathalie, Abteilung BGB 15 Jahre/ans Genzoni Olivier, Abteilung BGB Meier Rémy, Abteilung TFS Messerli Reto, Abteilung BGB Schneiter Barbara, Abteilung BGB 20 Jahre/ans Dick Matthias, Abteilung BGB Gross Erich, Abteilung BGB Heiniger Peter, Abteilung BGB Huguelet Catherine, Abteilung BM/Media Käser Roger, Abteilung BM/Media Long Deanna, Abteilung BM/Media Moser Peter, Abteilung BGB Pfister Bernard, Informatikdienst 25 Jahre/ans Friedli Heinz, Abteilung BGB Hutmacher Ulrich, Technischer Dienst Ursprung Marco, Abteilung BM/Media Zeidler Thomas, Abteilung TFS 4 30 Jahre/ans Stähli Christian, Abteilung BGB 35 Jahre/ans Fehlbaum Beat, Abteilung BGB Hofmann Agnes, Reinigungspersonal Löffel Rudolf, Technischer Dienst Schwendimann Regula, Abteilung BM/Media Stöpfer Peter, Abteilung Brückenangebote Dienstjubiläen Verwaltungspersonal und Hausdienst (Kanton Bern) Anniversaires de service pour le personnel de l’administration et de la conciergerie (canton de Berne) 10 Jahre/ans Güggi Geneviève, Informatikdienst 25 Jahre/ans Hutmacher Ulrich, Hauswart 35 Jahre/ans Löffel Rudolf, Technischer Dienst Neue Mitarbeitende Verwaltung und Hausdienst Nouveaux collaborateurs et collaboratrices de l’administration et de la conciergerie Kunz Fabienne, Verwaltung Schläpfer Christa, Verwaltung Zurflüh Chelsea, Verwaltung Austritte Verwaltung und Hausdienst Départs de l’administration et de la conciergerie Hirschi Gisela, Verwaltung Kunz Fabienne, Verwaltung Neue Lehrpersonen 2014/2015 Nouveaux enseignant-e-s 2014/2015 Baumann Patrick, Abteilung BGB Brasser Corinne, Abteilung Brückenangebote Chavanne Jeremy, Abteilung TFS Degors Romain, Abteilung Brückenangebote Diener Lukas, Abteilung BM/Media Gfeller Eveline, Abteilung BM/Media Giebel Maxence, Abteilung BM/Media Grossenbacher Lukas, Abteilung BGB Hirschi Gisela, Abteilung BM/Media Kamm Matthias, Abteilung BGB Kaptan Tuncay, Abteilung Brückenangebote Kessi Andreas, Abteilung BGB Köppel Thomas, Abteilung Brückenangebote Kuehni Michael, Abteilung BM/Media Kunfermann Christine, Abteilung Brückenangebote Messer Valentina, Abteilung Brückenangebote Pirelli Nadia, Abteilung Brückenangebote Schlecht Daniel, Abteilung BGB Sinzig Olivier, Abteilung BM/Media Troxler Romy, Abteilung BM/Media Victot Luc, Abteilung Brückenangebote von Deschwanden Andreas, Abteilung Brückenangebote Vuille Laurent, Abteilung Brückenangebote Welte Veronique, Abteilung BM/Media Wettsetin Adrian, Abteilung BM/Media Austritte Lehrpersonen 2014/2015 Départs d’enseignant-e-s 2014/2015 Antonioli Dana, Abteilung Brückenangebote Donzé Judith, Abteilung Brückenangebote Graf Martin, Abteilung BGB Grossenbacher Lukas, Abteilung BGB Grossenbacher Milène, Abteilung Brückenangebote Heimberg Camille, Abteilung Brückenangebote Jost Yvan, Abteilung BM/Media Kocher Willy, Abteilung BGB Kuhn Nina, Abteilung Brückenangebote Schläppi Bruno, Abteilung Brückenangebote Schlecht Daniel, Abteilung BGB Silberstein Olivier, Abteilung Brückenangebote Trachsel Daniel, Abteilung TFS Wacker Jonas, Abteilung Brückenangebote Welte Véronique, Abteilung BM/Media Pensionierungen /Départs à la retraite Bonetti Sonja, Abteilung BMS Käser Fritz, Abteilung BGB Lanz Andreas, Abteilung BGB Neuhaus Robert, Abteilung BGB Direktion Direction 5 Abteilung Brückenangebote (BrA) Rückblick über die Aktivitäten Peter Stöpfer, Abteilungsvorsteher Brückenangebot Lehrplan Im Schuljahr 2014–2015 wurde der neue kantonale Rahmenlehrplan für das berufsvorbereitende Schuljahr (BVS), an dem über 80 Lehrpersonen sowie Vertreterinnen und Vertreter aus der Arbeitswelt zusammengearbeitet haben, finalisiert und vom Erziehungsdirektor Bernhard Pulver unterzeichnet. Dank zahlreicher Treffen zwischen Schulleitungen, Lehrpersonen und den Verantwortlichen für die Erarbeitung des Lehrplans war es dem Erziehungsdirektor letztlich möglich, fundierte Entscheidungen zu treffen und die Feedbacks von Lehrpersonen darin einfliessen zu lassen. Die grösste Änderung, die der neue Rahmenlehrplan mit sich bringt, ist die Reduktion von aktuell drei auf neu zwei Grundangebote, nämlich das BVS «Praxis und Allgemeinbildung» und das BVS «Praxis und Integration». Künftig können die Lernenden ihr Programm aus vier Berufsfeldern auswählen und der Unterricht ist in Blockzeiten von sieben Lektionen pro Tag organisiert. Die Durchlässigkeit zwischen den Berufsfeldern ist noch grösser als heute. Der Praxisanteil im Unterricht und in den externen Einsätzen wird erweitert und wie die Berufsfachschulen und die Volksschule mit dem Plan d‘Etudes Romand (Westschweiz) und dem Lehrplan 21 (Deutschschweiz) arbeiten wir künftig kompetenzorientiert. Intern war das Schuljahr also geprägt von den ersten Projekten, die darauf abzielten, den Lehrplan an unseren Kontext anzupassen und Überlegungen zum neuen Stundenplan und den Unterrichtsfächern, zu unserer Personalpolitik, zum Ablauf einzelner Aktivitäten und künftiger Projekte anzustellen. Ferner standen die ersten Weiterbildungen zum Thema situatives Lernen und Handlungskompetenzen auf dem Programm. 6 Das Berufsvorbereitende Schuljahr Plus (BVS Plus) im 2. Jahr Die Zusammenarbeit zwischen den Romands und den Deutschschweizern konnte verbessert, die Präsenzzeiten sowie der Austausch formalisiert werden. Die Zusammenarbeit mit dem Case Management Berufsbildung hat gut funktioniert, was uns erlaubte, während des Schuljahrs neue Schülerinnen und Schüler aufzunehmen. Im nächsten Jahr wird das Angebot des BVS Plus verdoppelt, für die Westschweizer Schülerinnen und Schüler bleibt das Angebot dagegen unverändert. Trotz all seiner positiven Eigenschaften stellt uns das Programm vor zahlreiche Herausforderungen, ist es doch extrem schwierig, etwa alle zwei Wochen einen Praktikumsplatz in einem Unternehmen zu finden. Besonders schwierig gestaltet sich die Suche nach Praktikumsbetrieben für unsere französischsprachigen Schülerinnen und Schüler. Oft müssen die Jugendlichen in Berufen arbeiten, die wenig mit ihrem Wunschberuf zu tun haben. Ein weiteres Problem sind die Kosten für die Anreise zum Praktikumsbetrieb. Westschweizer Schülerinnen und Schüler etwa finden kaum Praktikumsplätze in Biel und müssen deshalb in den Berner Jura oder den Kanton Neuenburg ausweichen. Die Lehrpersonen schätzen das System mit Präsenzzeiten, die ihrem Pensum entsprechen, also z.B. vier Präsenztage für einen Beschäftigungsgrad von 80 Prozent. Ihr vielfältiges Aufgabengebiet umfasst neben dem Unterricht das Coaching und die Kontaktpflege mit Betriebsleitungen und Eltern, was ihre Arbeit zwar anstrengend, aber spannend macht. Aufbau eines Unternehmensnetzwerks Auf dem Weg zu diesem Ziel braucht es langen Atem. Wir sind aber auf gutem Weg. Die Lehrpersonen können fast alle Unternehmen, in denen unsere Schülerinnen und Schüler Praktika absolvieren, besuchen. So haben sie Gelegenheit, den Betrieben unsere Arbeit und unsere Bedürfnisse näherzubringen, persönliche Kontakte zu knüpfen, sich besser über die Anforderungen der Personalverantwortlichen zu informieren und letztlich unsere Schülerinnen und Schüler noch professioneller zu begleiten. Im vergangenen Jahr haben wir Deutschschweizer KMU-Leiterinnen und -leiter aus den Bereichen Mechanik und Elektrik eingeladen, um ihnen unser Umfeld und unsere Arbeitsweise näherzubringen und unsere Infrastruktur zu zeigen. Dieser Austausch war ein Erfolg und kann als erster Schritt eines langfristigen Projekts betrachtet werden. Vorlehre Die Zusammenarbeit zwischen unserem Sekretariat und der Vorlehre funktioniert sehr gut und die Website wurde angepasst. Es gibt in unserem Qualitätsmanagementsystem allerdings noch eine Reihe von Dokumenten, die einer Anpassung bedürfen, und es müssen noch mehr Synergien zwischen den Lehrpersonen aufgebaut werden. Die räumliche Distanz ist nach wie vor ein Hindernis, obwohl die verschiedenen Aktivitäten unserer Abteilung regelmässige Kontakte ermöglichen. Schulanlage Linde Bei der Übergabe des Cafeteriabetriebs von der FONDATION gad STIFTUNG, einem regionalen, nicht gewinnorientierten Unternehmen, an die Gastronomiegruppe ZfV, die sich als Cateringpartner grösserer Schulen in der ganzen Schweiz etabliert hat, hatten wir natürlich ein paar Bedenken. Diese erwiesen sich aber als unberechtigt, und zwar hauptsächlich deshalb, weil wir unser Personal behalten konnten und dieses bei der Organisation der Mensa freie Hand hat. Die finanzielle Situation bleibt nach wie vor etwas angespannt. Es scheint, als könne man mit dem Betrieb unserer Cafeteria keinen Gewinn erzielen. Personelle Veränderungen Am Ende des Schuljahrs gab es zahlreiche Veränderungen. Neun Lehrpersonen haben uns verlassen, um eine neue Herausforderung anzunehmen : Judith Donzé, einer der Eckpfeiler unserer zweisprachigen Klassen, Milène Grossenbacher und ihr Unterrichtspartner der Integrationsklasse, Olivier Silberstein, Dana Antonioli und Camille Heimberg, unsere energiegeladenen Sportlehrerinnen, Nina Kuhn, die unsere deutschsprachigen Integrationsklassen im Gestalten unterrichtet hat, Heinz Hauser, der es verstand, unsere Jugendlichen für das Thema Elektrizität zu begeistern, und Bruno Schläppi, Leiter unserer Metallbauwerkstatt und Praxislehrer. Ich danke all diesen Kolleginnen und Kollegen für den Einsatz, den sie auf menschlicher und beruflicher Ebene geleistet haben, und wünsche ihnen viel Erfolg für die weitere berufliche Laufbahn. Brückenangebot Solutions transitoires 7 Division Solutions transitoires (SolTr) Rétrospective des activités Peter Stöpfer, Abteilungsvorsteher Brückenangebot Plan d’études Durant l’année scolaire 2014 – 2015 le nouveau plan d’études cadre cantonal des Années scolaires de préparation professionnelle a été finalisé et signé par le Directeur de l’Instruction publique, M. Bernard Pulver. Ce plan d’études est le fruit du travail de plus de 80 enseignant-e-s et représentant-e-s du monde du travail. Différentes réunions entre les directions, les enseignant-e-s, les responsables du développement du plan d’études et M. Pulver ont permis à notre directeur de l’instruction publique de prendre des décisions fondées et basées sur les feed-back des enseignant-e-s. Les principaux changements sont à chercher dans les domaines suivants : nous passons des trois programmes actuels à deux. Un «Pratique et formation générale» et l’autre «Pratique et intégration». Ces programmes se basent sur 4 domaines professionnels et le travail hebdomadaire sera structuré en bloc de 7 leçons par jour. La perméabilité entre les domaines professionnels sera encore plus présente qu’actuellement. La partie pratique, à l’interne ou externe, sera plus développée et comme l’école obligatoire avec le plan d’études romand pour les romands et le nouveau plan d’étude 21 pour les alémaniques et les écoles professionnelles nous travaillerons en nous basant sur les compétences des jeunes. A l’interne, l’année a donc été rythmée par les premiers projets visant à adapter ce Plan d’études à nos réalités, à des réflexions sur un nouvel horaire et les branches qui seront enseignées, à notre politique de l’emploi, au déroulement des activités particulières et de nos projets dans le futur, ainsi qu’aux premières formations continues consacrées à l’apprentissage en situation et compétences opérationnelles. 8 Année scolaire de préparation Plus : An 2 La collaboration entre Romands et Alémaniques s’est affinée et les temps de présence, les échanges ont pu être formalisés. La collaboration avec le Case Management a bien fonctionné, ce qui a permis d’accueillir de nouveaux élèves dans le courant de l’année. Pour l’année à venir, le BVS Plus doublera son offre alors que chez les Romands, la stabilité restera de mise. Toutefois ce programme, malgré toutes ses qualités, pose de nombreux problèmes. Il est extrêmement difficile, encore plus chez les Romands, de trouver environ toutes les deux semaines, une place de stage dans des entreprises. Souvent les jeunes travaillent dans des métiers bien éloignés de leur but professionnel. Un autre sujet problématique est celui des coûts liés aux déplacements pour ces stages. Les Romands ne trouvent par exemple que peu de places sur Bienne et se déplacent de ce fait dans le Jura bernois ou le canton de Neuchâtel. Les enseignant-e-s apprécient le système d’engagement avec un temps de présence correspondant à leur pensum, par exemple 80 % correspondent à 4 jours de présence. La diversité de leur mandat qui se situe entre l’enseignement, le coaching, les contacts avec des patrons d’entreprise, les entretiens avec les parents, rend leur tâche fatigante mais passionnante. Création d’un réseau d’entreprises Cet objectif demande un travail de longue haleine. Il est bien engagé et nos enseignant-e-s effectuent une visite dans les entreprises pour la majorité des jeunes en stage. Ils peuvent en profiter pour expliquer notre travail et nos besoins, établir des contacts personnels, mieux cerner les exigences des responsables du personnel et ainsi guider nos élèves de manière encore plus professionnelle. Chez les alémaniques, nous avons invités des patrons de PME dans les domaines de la mécanique, de l’électricité afin de les mettre en relations avec nos réalités, leur montrer nos infrastructures et leur faire comprendre notre manière de travailler. Nous pouvons considérer que cette rencontre a été couronnée de succès et qu’elle est le premier pas d’un projet qui doit s’installer dans la continuité. Préapprentissage La collaboration entre notre secrétariat et le préapprentissage se déroule au mieux et la page Web a été adaptée. Il reste toutefois encore un certain nombre de documents dans notre système qualité à adapter et surtout à établir plus de synergie entre les enseignant-e-s. La distance géographique reste un frein, mais les différentes activités de notre division permettent des rencontres assez régulières. Bâtiments du Tilleul En passant de la fondation GAD entreprise régionale et sans buts lucratifs au ZfV établi dans de grandes écoles, dans l’hôtellerie et ce dans toute la Suisse, pour la gestion de notre cafétéria, nous avions bien sûr eu quelques craintes. Celles-ci se sont vite dissipées principalement parce que nous avons pu garder notre personnel et que celui-ci a les coudées franches pour organiser le quotidien dans notre mensa. Au niveau des comptes, la situation est toujours un peu tendue et il semble qu’il sera difficile de s’enrichir en gérant notre cafétéria. Mutations Beaucoup de changement à la fin de cette année scolaire. Pas moins de 9 enseignantes et enseignants nous ont quittés pour se lancer dans de nouveaux défis. Mme Judith Donzé, une des piliers de nos classes bilingues, Mme Milène Grossenbacher et son partenaire de la classe d’intégration M. Olivier Silberstein, Mmes Dana Antonioli et Camille Heimberg nos énergiques maîtresse de sport, Mme Nina Kuhn, qui a initié nos élèves des classes d’intégration alémaniques à la création libre, M. Heinz Hauser qui a su intéresser nos jeunes à l’électricité, et pour finir M. Bruno Schläppi, responsable de l’atelier de serrurerie qui est parti en même temps que l’association louant des locaux au CFP. Je remercie toutes ces personnes pour ce qu’elles nous ont apporté, tant au niveau professionnel qu’humain et leur souhaite bon vent pour leur carrière future. Brückenangebot Solutions transitoires 9 Après l’hiver 10 Joëlle Gerber, maîtresse de classe APSP Deux cinéastes, jeunes et passionnés, une classe d’élèves, entre 16 et 18 ans, une école où l’on travaille sur le choix professionnel, entre autres activités, et voici que la magie opère ! Alors naît «Après l’hiver» et une aventure extraordinaire peut commencer. Au départ, un projet de film sur le choix professionnel et les difficultés rencontrées par les élèves est proposé à plusieurs classes. Dans la mienne, des graines de star rêvent de passer à la télévision (mais pas seulement sur TeleBielingue) et donnent le meilleur d’euxmêmes lors du casting préliminaire. Le hasard fait que les conditions requises pour l’objectif de nos deux cinéastes conjuguées aux jolis minois de mes élèves nous amènent à être choisis pour la réalisation de ce documentaire. Les dés sont jetés et chacun va devoir tenir son rôle face à la caméra. Nous serons filmés de janvier à juin 2014, avec une présence importante des cinéastes dans la classe et dans la vie privée des jeunes. Lorsque les prises ne sont pas à la hauteur des exigences nos professionnels, il faut recommencer la scène ! Voici alors les premiers signes de découragement des élèves qui se rendent compte que la vie de star n’est pas si simple ! Parfois les élèves ne répondent plus aux appels téléphoniques des cinéastes, parfois ils trouvent des astuces pour repousser les rendez-vous et parfois ils ne se rendent pas aux rendez-vous lorsqu’il s’agit de filmer leur vie privée. Des discussions communes avec les professionnels auront permis de clarifier les exigences et les rôles de chacun. Les élèves souhaitaient préserver leur vie privée et ont su mettre des limites quant à ce qu’ils acceptaient. Belle maturité ! Mon rôle aura été celui d’un médiateur dans ce cas-là et celui d’un rassembleur quand il fallait remotiver les troupes. Le but étant que le film aboutisse à un résultat, quel qu’il soit. Ces hauts et ces bas ont contribué à produire ce film. Finalement, la sensibilité des cinéastes et leur professionnalisme en font un documentaire émouvant. Ils ont su tirer profit de chaque situation sensible et en rendre la plus belle des images. Ce film a également permis de révéler les grandes compétences de nos élèves, capables de se dévoiler devant la caméra, avec authenticité. Les émotions sont au rendez-vous et se manifestent dans la gestuelle, la voix et les regards. Les élèves portent le film et montrent une image d’une jeunesse sensible, éprouvée par les difficultés liées à la recherche d’une place d’apprentissage. Le manque de places pour les Romands reste un problème. Malgré tout, ils font preuve de courage, de ténacité dans leurs recherches et d’un grand cœur pour que ce documentaire soit une réussite. Ils sont récompensés, car le film acheté par la RTS passera au mois de septembre sur la chaîne romande de la télévision suisse, bravo à eux. Auparavant, nous avons la chance de vivre une avant-première au cinéma Rex ! C’est la fête : les élèves répondent présents, la salle est comble et un apéritif préparé par Susanne Gerber nous attend au terme de la projection. Merci à elle ! Pour les élèves, un nouveau défi se présente : affronter une salle de 300 spectateurs et répondre à leurs questions suite à la présentation du film. Ils gèrent cette nouvelle situation avec authenticité, avec émotion, et montrent à quel point ils ont évolué dans leur expression orale et leur gestuelle. Les spectateurs sont époustouflés et émus par ces jeunes si touchants. Ils s’identifient à eux, vivent leurs émotions et ressortent bouleversés parfois, preuve que le film parle à chacun. Notre école en tire tout bénéfice, car l’image positive montrée par les cinéastes témoigne d’une école où chacun s’engage pour que nos élèves atteignent leurs objectifs professionnels. J’espère que de nombreux employeurs seront touchés par ces images et le vécu des jeunes à cette étape de leur vie. Les coups durs sont atténués par le contrat d’apprentissage, mais tous n’y arrivent pas et nous avons cherché à préserver ceux pour qui la réussite n’était pas au bout du chemin dans le film. Aujourd’hui, Milca vit sa première année d’apprentissage avec plaisir et apprécie les relations et la complicité qu’elle a avec son patron ; Mélissa poursuit sa formation chez Vero Moda et est fière des progrès qu’elle a faits durant cette première année ; Noémie continue ses études d’employée de commerce chez Rama Watch et se sent valorisée par son travail ; quant à Hugo, il a quitté le CEFF et cherche une place de logisticien à la Poste. Je souhaite bon vent à tous et succès dans leurs démarches. Merci encore à chacun, direction, cinéastes et élèves, de m’avoir permis de vivre une expérience si enrichissante, même si au préalable, le stress de la caméra était bien présent ! Rapport annuel catering Patricia Jan, maîtresse de classe APSI et adjointe du préposé 25 février 2015 – Catering pour le départ de Monsieur Walther, ancien directeur de la direction Sport culture de la ville de Bienne. Cette journée du 25 février fut de celles qui comptent dans une année scolaire en APSI ! Mobilisé dès huit heures du matin, les 14 élèves et les deux enseignantes n’ont pas chômé. En effet, ils ont eu à préparer un buffet riche pour les quelque cent invités de Monsieur Walther. Bien entendu, un gros travail de préparation avait été effectué en amont. Ainsi, les élèves ont consacré une matinée, le mardi précédent, tant à s’exercer au service des vins et autres boissons qu’à apprendre à organiser leur place de travail pour la réalisation des diverses recettes : règles d’hygiène, préparation rationnelle du matériel, dosage des ingrédients, réalisation des recettes, mise en place attractives sur les plateaux de présentation,… Ce même 25 février, 2 classes APP du cours «économie domestique/service», sous la houlette de leurs maîtresses de branche, mettaient aussi la main à la pâte et confectionnaient pour ce service traiteur tartelettes aux légumes, sablés aux épices, cakes salés et tresses au lard, toutes choses qu’il était impossible de réaliser avec la classe APSI car celle-ci ne disposait pas de cuisine agencée pour ses préparations et a dû «recycler» sa salle de classe pour en faire un éphémère laboratoire. Jusqu’au milieu de l’après-midi, consciencieusement, avec autant de sérieux que de bonne humeur, les apprenants se sont ingéniés à confectionner d’appétissantes bouchées apéritives. Vint ensuite le moment de charger, avec délicatesse tout cela dans les voitures pour le transport puis, pour les élèves, de se rendre en bus jusqu’au centre-ville, là où se déroulait la réception. En un peu plus d’une heure, les tables étaient dressées et les jeunes, vêtus de noir et blanc, prêts à assurer le service. Peu à peu, les invités arrivèrent et les élèves, entre les diverses allocutions, eurent l’opportunité de mettre en pratique avec brio les compétences acquises en théorie. Tout au long de la soirée, ils eurent la fierté d’être complimentés sur leur travail de préparation ainsi que sur la qualité de leur service. Les sourires sur leurs visages, mieux que de longues phrases, prouvèrent le plaisir ressenti à l’exécution des divers travaux demandés. Il était presque 21 heures quand ils purent commencer les rangements : débarrasser les tables, nettoyer la salle et la vaisselle, charger une fois encore les voitures de transport …puis bénéficier enfin d’un repos bien mérité. Alors que le nouveau plan d’étude de l’APP insiste sur l’interdisciplinarité, le travail par projet et la mise en situation des apprenants, l’organisation d’un tel événement, pour lequel il a fallu non seulement travailler sur les connaissances, mais aussi sur les aptitudes et les attitudes de nos jeunes, y trouve parfaitement sa place : il est tout à la fois enrichissant (mise en commun de savoirs – faire, collaboration, apprentissage de nouvelles techniques de travail), gratifiant (voir le résultat du travail effectué, recevoir des compliments) et en lien avec le monde professionnel. De plus, comme cette prestation a pu être facturée, la classe a réalisé un bénéfice qui lui a permis, lors de la semaine de clôture, de découvrir le train le plus raide du monde sur le Mont-Pilatus et de s’adonner à la luge d’été ! Brückenangebot Solutions transitoires 11 Das Berufsvorbereitende Schuljahr (BVS) begrüsst BerufsbildnerInnen in der Schulanlage Linde Hans-Kaspar Egli, Fachlehrer Mathematik, Objektverantwortlicher Kantonale Schulanlage Linde Die Ausgangslage An einem Lehrmeister Anlass des Elektro-Verbandes Biel-Seeland im Jahr 2013 wurde über die Problematik diskutiert, dass BerufsbildnerInnen in gewerblich-handwerklichen Berufen aus verschiedenen Gründen zum Teil Mühe bekunden bei der Rekrutierung von geeigneten Lernenden. Unser Fachlehrer für Elektronik Heinz Hauser wies bei dieser Gelegenheit darauf hin, dass sich die Lehrpersonen des Berufsvorbereitenden Schuljahrs (BVS) jedes Jahr sehr stark und kompetent um Lehrstellen für ihre Lernenden bemühen würden. Die meisten BerufsbildnerInnen hätten zwar schon vom BVS gehört, jedoch kenne praktisch niemand die Ausbildungsstätten des BVS vor Ort. Der Obmann der Lehrabschluss-Prüfungskommission des Elektro-Verbandes Biel-Seeland zeigte sich ebenfalls sehr interessiert an einem Besuch der Werkstätten des BVS. Die Ziele des Anlasses Die praktischen Fachlehrer am BVS Heinz Hauser (Elektro), Urs Matter (Bau), Peter Schneider (Mechanik), René Zwahlen (Holz) und Bruno Schläppi (Metall) beschlossen daraufhin, die Initiative zu ergreifen und einen Berufsbildner-Anlass in der Schulanlage Linde zu organisieren. Ziele des Anlasses sollten sein : •Vorstellen des BVS (Facts, Werte, Arbeitsweise) und deren Lehrpersonen, inkl. Rundgang durch die Werkstätten und die Schulanlage Linde •Gegenseitiges persönliches Kennenlernen der BerufsbildnerInnen und der Lehrpersonen des BVS • Gemeinsamer Apéro mit Möglichkeit zum Networking und Gedankenaustausch. 12 Der Anlass Angeschrieben und eingeladen wurden unter tatkräftiger Mithilfe von Aude Perrenoud des Sekretariats 470 gewerblich-handwerkliche BerufsbildnerInnen aus der Region (Schreiner, Elektroinstallateure, Heizungsfachleute etc.). 20 interessierte Personen fanden sich schlussendlich für den Anlass am Abend des 30.10.2014 in der Schulanlage Linde ein, darunter auch die Kollegen von der TFS, was uns speziell freute. Trotz grossem Aufwand und ziemlich ernüchterndem Rücklauf wurde der Abend zu einem gelungenen Anlass. Nach der Begrüssung und der Präsentation des BVS in der Aula durch die Schulleitung ging es auf den Rundgang durch die verschiedenen Werkstätten, wo die jeweiligen Fachlehrpersonen ihre Räumlichkeiten und Arbeiten mit den Lernenden kurz vorstellten. Zum Abschluss trafen sich alle zu einem leckeren Apéro im Foyer, das die Integrationsklasseklasse von Sarah Baumgartner und Hans Kuhn liebevoll zubereitete und persönlich servierte. Das Fazit Wir von der Organisation sind der Meinung, dass sich unsere Initiative und der Anlass trotz bescheidenem Echo von den Betrieben in mehrfacher Hinsicht gelohnt hat : Die anwesenden BerufsbildnerInnen zeigten sich sehr interessiert an unserer Arbeit mit den Jugendlichen und auch beeindruckt von der Infrastruktur und der Grösse der Schulanlage. Der Blick hinter die Kulissen des BVS habe sich in jedem Fall gelohnt, so der Tenor der Anwesenden. Etliche Kontakte zwischen BerufsbildnerInnen und Fach- und Klassenlehrpersonen konnten geknüpft werden und sie bestätigten dabei auch unsere Ausgangsthese, wonach die Betriebe vermehrt Mühe bekunden bei der Rekrutierung von geeigneten Lernenden. Persönliche Kontakte zu Lehrpersonen und das Wissen um die Arbeitsweise am BVS können ihnen die Suche in Zukunft durchaus erleichtern. Und nicht zuletzt war es auch für uns Organisatoren ein lehrreicher Prozess : Durch den Besuch und die Präsentationen vor den BerufsbildnerInnen müssten wir uns quasi selbst dazu «zwingen», wieder einmal vertieft über unsere tägliche Arbeit mit den Jugendlichen nachzudenken : Wo setze ich meine Schwerpunkte in der Arbeit, wie mache ich das und vor allem auch warum mache ich es so ? Diese Auseinandersetzung mit dem eigenen Unterricht erwies sich als sehr wertvoll und spannend. Berufliche Lösungen der BVS-Schüler 14/15 Solutions professionnelles des élèves de l’APP 14/15 13 1% Arbeitsstelle/Place de travail 1% Arbeitsstelle/Place de travail 1% Arbeitsstelle/Place de travail 47% Lehre/Apprentissage 47% Lehre/Apprentissage 47% Lehre/Apprentissage 5% Ohne Lösung/Sans solution 5% Ohne Lösung/Sans solution 5% Ohne Lösung/Sans solution 6% Praktikum/Stage 6% Praktikum/Stage 6% Praktikum/Stage 9%Schule/Ecole 9% Schule/Ecole 1% Arbeitsstelle/Place de travail 9% Schule/Ecole 47% Lehre/Apprentissage 2% Vorlehre/Préapprentissage 2% Vorlehre/Préapprentissage 5% Ohne Lösung/Sans solution 2% Vorlehre/Préapprentissage 6% Praktikum/Stage 0% Verschiedenes/Divers Verschiedenes/Divers 9% Schule/Ecole 0% 0% Verschiedenes/Divers 2% Vorlehre/Préapprentissage 30% 0% Verschiedenes/Divers 30% Übergangslösung/Solution intermédiaire 30% 30% Von den 161 Schüler/innen, die eine Berufslehre begonnen haben, gingen die deutsch- und französischsprachigen Schüler/innen in folgende Berufsfelder : Verkauf 23 Métaux, machines Wirtschaft, Verwaltung 21 Transports, logistique 12 5 Metall, Maschinen 18 Economie, administration 4 Gesundheit 12 Hôtellerie et restaurant 2 Gastgewerbe 9 Electrotechnique 2 Elektrotechnik 8 Vente 2 Gebäudetechnik 5 Beauté, sport 1 Holz, Innenausbau 4 Création, art 1 Planung, Konstruktion 4 Bois, aménagements intérieurs 1 Verkehr, Logistik 4 Véhicules 1 Natur 3 Planification technique 1 Bau 3 Santé 1 Fahrzeuge 3 Nature 0 Informatik 3 Alimentation 0 Kultur 3 Textiles 0 Nahrung 1 Imprimerie 0 Schönheit 1 Construction 0 Gestaltung, Kunst 1 Technique du bâtiment 0 Chemie, Physik 1 Chimie, physique 0 Bildung, Soziales 1 Informatique 0 Textilien 0 Culture 0 Druck 0 Enseignement, social 0 Brückenangebot Solutions transitoires Die untenstehende Grafik zeigt, dass die grosse Mehrheit der Absolventinnen und Absolventen BVS/APP eine Anschlusslösung gefunden hat. Abteilung Berufliche Grundbildung (BGB) Mit festen Schritten voran… 14 Matthias Dick, Abteilungsvorsteher Berufliche Grundbildung Das Schuljahr 2014/15 brachte in der Abteilung Berufliche Grundbildung (BGB) viel Neues. So erhielt ich die Chance, ab dem 1. August 2014 die Abteilung als Nachfolger von Beat Aeschbacher zu leiten. In diesem ersten Amtsjahr ging es mir darum, parallel zu meiner persönlichen Einarbeitungszeit Bewährtes zu konsolidieren und gleichzeitig neuen Ideen die Türen zu öffnen. Im zweiten Halbjahr fand das Comenius-Projekt «Brücken bauen und nutzen» mit dem Besuch der Partnerschulen am BBZ Biel-Bienne seinen Abschluss. Herzlichen Dank an dieser Stelle an Thomas Weber, welcher als Mitinitiator dieses Projekt massgebend mitgeprägt und ihm zu einem erfolgreichen Abschluss verholfen hat. Neue Wege hat das Team der Sportlehrpersonen eingeschlagen. In der letzten Schulwoche vor den Sommerferien organisierten sie für alle Lernenden der zweiten Lehrjahre im Rahmen einer Gesundheitswoche den jeweiligen ABU-Halbtag. Dort standen die zentralen Aspekte einer gesunden Ernährung und gleichzeitig von genügend Bewegung im Mittelpunkt. Ich bedanke mich an dieser Stelle ganz herzlich für diese Innovation und in Absprache mit der Fachgruppenleitung Sport läuft bereits die Planung für die Durchführung 2016. Im Allgemeinbildenden Unterricht ABU setzten sich die Lernenden des zweiten Lehrjahrs als Elektroniker/-in EFZ mit Möglichkeiten im sparsameren Umgang mit Ressourcen auseinander. Lernende reichten ihre Beiträge gar beim nationalen Wettbewerb «Klimawerkstatt» ein und hatten dabei Erfolg. Ich gratuliere den beiden erfolgreichen Lernenden und danke Priscilla Kunz für ihren Einsatz zu Gunsten dieses Projekts. Bereiche, welche im Unterrichtsalltag häufig separat vermittelt werden, miteinander zu vernetzen, ist auch das Ziel der «Bereichsübergreifenden Projekte» (BÜP2) der Fachgruppe Maschinenbau. Diese bilden integrierenden Bestandteil der Ausbildung als Polymechaniker/-in EFZ und Konstrukteure/in EFZ und lassen sehr viele kreative Ideen zu. Mit viel Schwung und Knowhow haben sich die Lernenden in diese Projektarbeiten eingegeben und freuen sich über das Erreichte. Die Abteilung BGB erhielt gegen Ende des Schuljahrs zudem die Gelegenheit, sich über die Landesgrenzen hinaus zu präsentieren. Aus dem Umfeld einer berufsbegleitenden Weiterbildung entstanden lose Kontakte nach Südkorea. Diese führten dazu, dass sich Vertreter/-innen aus einer südkoreanischen Provinz und von der Regierung direkt am BBZ Biel-Bienne ein Bild von Berufsbildung «Made in Switzerland» machten. Abschliessend möchte ich mich bei allen bedanken, welche mir in meinem ersten Jahr an der Spitze der Abteilung BGB so viele fruchtbare, kritische und inspirierende Kontakte und Gespräche ermöglicht haben. Division Formation professionnelle initiale (FPI) Une ferme volonté d’aller de l’avant Matthias Dick, préposé de la division Formation professionnelle initiale 15 L’année scolaire 2014/2015 a été riche en nouveautés pour la division Formation professionnelle initiale (FPI). Pour commencer, j’ai eu l’opportunité de succéder à Beat Aeschbacher à la tête de la division le 1er août 2014. Durant cette première année de fonction, il m’a tenu à cœur de maintenir les éléments ayant fait leurs preuves tout en laissant la porte ouverte à de nouvelles idées. Le deuxième semestre a vu la fin du projet Comenius «Jeter des ponts» avec la visite au CFP Biel-Bienne des classes partenaires. Je tiens à remercier ici Thomas Weber, qui a co-initié ce projet et qui a largement contribué à son succès. L’équipe enseignante de sport a emprunté de nouvelles directions. Au cours de la dernière semaine d’école avant les vacances d’été, elle a organisé la demi-journée de culture générale pour tous les apprenti-e-s de deuxième année dans le cadre d’une semaine de la santé. Cette demi-journée était axée sur une alimentation équilibrée et sur une activité sportive suffisante. J’en profite pour remercier chaleureusement les initiateurs de cette nouveauté. D’entente avec la direction du groupe de branche Sport, la planification pour 2016 est déjà en cours. Dans le cadre de l’enseignement de la culture générale (ECG), les apprenti-e-s électroniciens et électroniciennes CFC de deuxième année se sont penchés sur les différentes possibilités d’économiser les ressources. Les apprenti-e-s ont même déposé leurs projets au concours national «Atelier pour le climat» et ont gagné. J’adresse toutes mes félicitations aux deux lauréats et remercie Priscilla Kunz pour son grand engagement en faveur de ce projet. La mise en lien des domaines qui sont souvent abordés séparément dans l’enseignement au quotidien est également l’objectif des projets interdisciplinaires du groupe de branche de la mécanique. Ces projets font partie intégrante de la formation de polymécanicien-ne CFC et de dessinateur-constructeur industriel CFC/ dessinatrice-constructrice industrielle CFC et autorisent de nombreuses idées créatives. C’est avec beaucoup d’élan et de savoir-faire que les apprenti-e-s ont traité leurs travaux de projet et ils et elles se sont réjoui-e-s des résultats. En outre, la division FPI a eu l’occasion, vers la fin de l’année scolaire, de se présenter au-delà des frontières de notre pays. Des contacts ont été noués avec la Corée du Sud dans le cadre d’une formation continue en cours d’emploi, ce qui a permis à des représentants d’une province sud-coréenne et du gouvernement de venir observer le «made in Switzerland» directement au CFP Biel-Bienne. Pour finir, j’aimerais remercier tous ceux et toutes celles qui m’ont permis d’avoir autant de contacts et de discussions fructueuses, critiques et sources d’inspiration pour cette première année à la tête de la division. Berufliche Grundbildung Formation professionnelle initiale Brücken bauen und nutzen (Comenius) Sarah Steingruber, BM-Lehrperson So funktioniert Europa In der Woche vom 20.–25. Mai 2015 kam das Unterrichtsprojekt «Brücken bauen und nutzen» am BBZ Biel-Bienne zu einem bemerkenswerten Abschluss. Drei Berufsschulen und ein Gymnasium aus Polen, Deutschland, der Türkei und der Schweiz waren seit über einem Jahr an diesem Austauschprogramm beteiligt. 16 «Wir wollen gute Gastgeber sein», sagt Direktor Beat Aeschbacher bei der Begrüssung der polnischen, türkischen und deutschen Gäste in der Aula des BBZ. Sichtlich gerührt nimmt er die Geschenke entgegen, die ihm von den Gastschulen überreicht werden. Bei der Begrüssungszeremonie stellen die Anwesenden sich und ihre Berufe vor. In der Mensa begegnen sich die rund 30 Lernenden dann bei «Chai» und Kaffee. Hier scheint die Sprachbarriere kein Hindernis zu sein. Eda Nur Alsan, Schülerin aus der Türkei, bringt den BBZ Lernenden sogleich bei, wie man auf Türkisch Danke sagt : «Tesekkür Ederim.» Arbereshe Hoti, die 22jährige Coiffeuse in Ausbildung, hat wie ihre Mitlernenden eine Woche Ferien genommen, um Gastgeberin zu sein : «Ich war im März selbst in Polen. Dadurch habe ich gemerkt, wie gut wir hier ausgebildet werden und welche Weiterbildungschancen wir haben.» Zudem konnte sie viele Freundschaften knüpfen und erleben, wie gastfreundlich die Leute in Polen sind. «Heute Nachmittag werde ich unsern Gästen einen Einblick in meinen Alltag im Coiffeurgeschäft Europe geben», erklärt sie stolz. Auch BBZ-Lernende aus anderen Berufsbranchen – Automobil-Mechatroniker, Bäcker-Konditor-Confiseur und Maschinenbau-Mechatroniker – ermöglichen ihren Besuchern eine Firmenbesichtigung. Die Austauschwoche bringt vielfältige Gelegenheiten zum gegenseitigen Kennenlernen : ländergemischte Gruppenarbeiten und Präsentationen, Feierabend im Restaurant Lago Lodge, Kajak auf dem Bielersee, die Schaukäserei in Gruyère und viele weitere Aktivitäten stehen auf dem Programm. Blick über die Grenze Bei den Gruppenarbeiten werden unter anderem die Arbeitsbedingungen, Verdienstmöglichkeiten, Sicherheitsvorschriften und Berufsaussichten miteinander verglichen. «Durch die Analyse und den Vergleich ihrer Berufsfelder entdecken die Lernenden sowohl berufliche als auch kulturelle Besonderheiten», so Thomas Weber, der Projektleiter der Schweiz. Er sei sehr überzeugt von diesem Austauschprogramm, obwohl es bei der Durchführung auch einige Herausforderungen gegeben habe. Ein Gedanke ging ihm immer wieder durch den Kopf : «So funktioniert Europa.» Die Schweizer hätten in den verschiedenen Sitzungen oft die Rolle des Bindeglieds eingenommen. Es galt zu übersetzen und bei Differenzen zwischen den Nord- und Südstaaten zu vermitteln. Auch für die Lehrpersonen der Gastschulen war die Erfahrung lehrreich. «Für unsere Schüler ist der grösste Vorteil dieses Austauschprogramms, dass sie ihre Sprachfertigkeiten üben können und merken, was ihnen die Fremdsprachen in einer global vernetzten Welt nützen», sagt die Deutschlehrerin Marta Alekusiewicz aus Polen. «Zudem ist die Schweiz für uns nun mehr als Banken, Uhren und Käse.» Ein Stereotyp habe sich jedoch bestätigt : Alles sei unglaublich teuer hier. Als Drittstaat toleriert Die Annahme der Volksinitiative gegen die Masseneinwanderung hat das Durchführen von weiteren Projekten erschwert. Das europäische Schüleraustauschprogramm Comenius hat entschieden, dass die Schweiz nicht mehr als offizielles Partnerland gilt und direkt vom Bund finanziert werden muss. «Wir sind ab sofort nur noch als Drittstaat toleriert», bedauert Thomas Weber. Trotzdem werde er sich dafür einsetzen, dass sich Lernende des BBZ an Austauschprogrammen – die in Zukunft unter dem Namen Erasmus+ laufen werden – beteiligen können. Eigene Webseite Am Projekt «Brücken bauen und nutzen», das von der CH-Stiftung für eidgenössische Zusammenarbeit finanziert wurde, waren im letzten Jahr insgesamt vier Klassen Lernende und vier Lehrpersonen des BBZ – Thomas Weber, Beat Fehlbaum und Stefan Bracher Valentino Baumgartner beteiligt. Die Ergebnisse der Gruppenarbeiten und weitere Informationen zum Projekt sind auf der selbstkreierten Webseite (www.bbun.eu) zu finden. Première édition de la semaine santé Fabrice Studer, responsable enseignement sport Du 23 au 24 juin 2015 a eu lieu notre première édition de «la semaine santé». Une grande partie des classes de deuxième année de langue allemande et française ont participé à cet événement. Pour cette première édition, nous avons décidé de parler de nutrition et d’activité physique. Nous avons choisi d’aborder ces deux thèmes pour les raisons suivantes: De nos jours, nos élèves récoltent un flux important d’informations sur ces thèmes, notamment par internet, les revues, les conseils d’amis et les fitness. Maintenant la question se pose de savoir quelles informations sont vraiment exactes et lesquelles pourraient malheureusement nuire à leur santé. Pour traiter le sujet, nous avons invité M. Andreas Lanz, un spécialiste dans ce domaine. Il travaille depuis de nombreuses années en tant que coach sportif dans la région de Berne, et est l’auteur du livre «Alles wird leichter». Après avoir assisté à un exposé de près d’une heure sur ce livre, les élèves se sont déplacés dans les salles de sport pour mettre en pratique une partie du contenu et des conseils de M. Lanz. Ces ateliers ont été dirigés par le team sport avec le soutien des enseignants de culture générale. Nous avons pu voir à cette occasion des élèves engagés et intéressés par les activités proposées. Les questionnaires d’évaluation remplis par les élèves ont été très satisfaisants, et nous espérons pouvoir à nouveau organiser cet événement l’année prochaine. Berufliche Grundbildung Formation professionnelle initiale 17 Projekt Klimawerkstatt 18 Priscilla Kunz, ABU-Lehrperson Im Bereich Ökologie und Klimawandel des Allgemeinbildenden Unterrichts hat die ET2013a am Projekt Klimawerkstatt teilgenommen. Die Klimawerkstatt wird von der Stiftung MyClimate organisiert und ist ein schweizweiter Lernenden-Projektwettbewerb für Schulen und Betriebe. Die Lernenden müssen kreativ sein und ein Produkt erfinden, welches CO2 reduziert oder ein Projekt aufgleisen, um Leute zu sensibilisieren. Die Lernenden Regina Kost und David Reis hatten sehr schnell eine spannende Idee, wie sie ihr Umfeld zum Thema Papierkonsum sensibilisieren möchten. Ihre Projektbeschreibung und Zielsetzung lautete wie folgt : «Die Produktion von Papier kostet weltweit enorme Waldflächen sowie grosse Mengen an Energie und Wasser. Mit einem Pro-Kopf-Verbrauch von 204 kg jährlich ist die Schweiz in der Pflicht, sich mit ihrer Papiernutzung auseinanderzusetzen. Zur Förderung solcher Überlegungen drehen wir ein Video, mit dem wir die Leute auch auf einer emotionalen Ebene ansprechen wollen. Dieses Video laden wir auf Youtube hoch. Zudem betten wir es auf einer eigens erstellten Webseite ein, worauf auch weitere Hintergrundinfos und Tipps abrufbar sein werden. Um auf das Projekt aufmerksam zu machen, verteilen wir zudem während einer Standaktion in Bern QR-Codes, die zur Webseite führen und streuen das Video über soziale Netzwerke.» Die Gruppe hat die Projektarbeit sauber geplant und durchgeführt und konnte durch diese Kanäle mindestens 540 Personen erreichen… und erntete damit einen Podestplatz im Rahmen des Wettbewerbs. Sie wurden eingeladen, am 15. Juni im aargauischen Spreitenbach in der Umweltarena ihr Projekt zusammen mit weiteren Siegergruppen auszustellen und durften den 2. Preis in der Kategorie Sensibilisierung entgegen nehmen. Insgesamt wurden im Rahmen des diesjährigen Wettbewerbs 105 Arbeiten aus Berufsschulen der ganzen Schweiz eingereicht. Das BBZ Biel-Bienne gratuliert der Gruppe ganz herzlich und freut sich auf weitere teilnehmende Lernende. Link Homepage Papyrus : www.technicalnet.ch/papyrus Link Homepage Klimawerkstatt : www.klimawerkstatt.ch Bereichsübergreifende Projekte fordern die Phantasie Andreas Herrmann, Fachgruppenleiter Maschinenbau Das vergangene Jahr stand im Zeichen der Umsetzung des Kompetenzen-Ressourcen-Kataloges bei den Berufen Polymechaniker/in EFZ und Konstrukteur/in EFZ im Bereich der Automation und Steuerungstechnik. Wir konnten die letzte Etappe in der Aufrüstung unseres Elektro- und Pneumatiklabors in Angriff nehmen und umsetzen. Nun haben wir in allen Belangen ein «Schmuckstück» , welches wir mit unseren Klassen ab dem 2. Lehrjahr rege gebrauchen können. Die neue Infrastruktur lässt den Unterricht zu, der im Bildungsplan auch verlangt wird. Im Bereich der «Bereichsübergreifenden Projekte» im 3. und 4. Lehrjahr bei den Berufen Polymechaniker/in EFZ und Konstrukteur/in EFZ müssen wir uns mit der Situation zurecht finden, dass ab dem Schuljahr 2016/17 dieses Fach benotet wird und in die Vorschlagsnote für das QV einfliesst. Dies ist in der BiVo der beiden Berufe so festgehalten und ist bis jetzt im Kanton Bern noch nicht umgesetzt worden. Wir hatten die Möglichkeit, dass wir uns mit einem Restbetrag der Investitionen für das Elektrolabor und mit Geld aus dem laufenden Budget einen 3D-Printer anschaffen konnten. Mit diesem sind wir dann in der Lage, einfachere Komponenten aus den Projekten von der Konstruktionsphase in die Solidphase zu bringen. Auch im normalen Zeichenunterricht im 1. Lehrjahr können wir so einige Modelle anfertigen, die es den Schülern erleichtern die Formen zweidimensional auf Papier zu bringen. Auf ein Projekt möchte ich gerne detaillierter eingehen: Im 4. Lehrjahr (PM2011b) führen wir verschiedene Projekte durch. Eine Gruppe entschied sich für den Nachbau eines BMW-Streetcarvers. Das Spezielle am BMW-Streetcarver ist die Lenkgeometrie und die Tatsache, dass ein Originalteil des BMW M5 verbaut ist. Der Streetcarver kann heute nicht mehr offiziell erworben werden, da er ausverkauft ist. Noch vorhandene, funktionierende Teile werden zu hohen Preisen auf den Auktionsplattformen im Internet gehandelt. Die Gruppe musste keine Dokumentation schreiben, sondern eine Homepage erstellen und aktuell halten. Sämtliche Zeichnungen und Bauteile wurden durch die Projektgruppe erarbeitet oder bestellt. Der Aufwand wurde von allen beteiligten Personen (inkl. Lehrer) stark unterschätzt. Dazu kam, dass sich die Gruppe für teilweise exklusivere, aber auch aufwändigere Lösungen entschied. Fazit : Der Streetcarver «Power-Engineering» ist ein Schmuckstück, aber nicht bezahlbar. Nehmen Sie sich die Zeit, um mehr Informationen zum Projekt auf der Hompage www.powerengineering.jimdo.com zu erhalten. Berufliche Grundbildung Formation professionnelle initiale 19 Delegationen aus Südkorea am BBZ Biel Matthias Dick, Abteilungsleiter BGB Am 27. Mai 2015 und am 24. Juni 2015 besuchten zwei Delegationen aus der Republik Südkorea das BBZ Biel-Bienne. Es handelte sich dabei um eine Gruppe von Mitarbeitenden der Regierung der Provinz Gyeongsangbuk, der östlichsten und am stärksten industrialisierten Provinz Koreas. Sie besuchte das BBZ Biel-Bienne im Mai. Der Abteilungsleiter Berufliche Grundbildung führte die Reisegruppe zuerst in das Schulsystem der Schweiz ein. Die Gestaltung dieser Präsentation zusammen mit einem Dolmetscher für Deutsch-Koreanisch stellte gleichzeitig eine Erleichterung und eine Herausforderung dar, da die zeitlichen Verhältnisse im Vorfeld nur schwer abzuschätzen waren. Die folgenden vier Eigenschaften des Berufsbildungssystems beeindruckten die Vertreterinnen und Vertreter aus Korea am stärksten: • Durchlässigkeit : Das Motto «Kein Abschluss ohne Anschluss» des Staatssekretariats für Bildung, Forschung und Innovation (SBFI) wird in Korea in vergleichbarer Form nicht umgesetzt. Sie zeigten sich von der Tatsache begeistert, dass allen Lernenden praktisch alle Optionen offen bleiben und auch für Absolventen einer klassischen Lehre immer noch die Möglichkeit eines Studiums an einer Universität bestehen bleibt. • Rückgrat der Berufsbildung : Im Gegensatz zu Korea, wo alle Menschen auf dem Weg ins Berufsleben vor allem die Ausbildung in einem der grossen Weltkonzerne anstreben, sind es in der Schweiz die KMU-Betriebe, welche mit 80 % den Löwenanteil an Lehrstellen anbieten. • Der Staat lenkt im Hintergrund : Zwar hat der Bund über Lehrwerkstätten und in geringem Masse über seine eigenen Lehrstellen die Möglichkeit auf die verfügbaren Lehrstellen am Markt zu reagieren, im Gegensatz zu Südkorea ist es aber nicht die zentrale Aufgabe des Staates in Absprache mit der Wirtschaft Lehrstellen zu generieren. Zur Veranschaulichung bot sich der Reisegruppe die Gelegenheit, die Technische Fachschule unter der Führung von Daniel Dietz zu besuchen. • Berufsbildung vs. allgemeinbildende Schulen : Am meisten überraschte die Delegation aber die Tatsache, dass in der Schweiz mit über 60 % viel mehr junge Menschen eine Berufslehre anstreben, als dies in Südkorea der Fall ist. Dort ist der Anteil der rein schulischen Anschlusslösungen an die obligatorische Schule viel grösser. 20 Am 24. Juni 2015 besuchte dann Frau Sunyee Hong als Mitarbeiterin des «Korean Research Institute for Vocational Educaton & Training» KRIVET (http ://eng. krivet.re.kr) das BBZ Biel-Bienne. Das KRIVET ist in der Organisation und Anordnung mit dem SBFI in der Schweiz vergleichbar. Ihr Interesse ging weit über die allgemeine Berufsbildungsstruktur in der Schweiz hinaus. Sie liess sich detailliert über Inhalte und Organisation einzelner Berufe informieren und reiste mit umfangreichen Unterlagen weiter nach Deutschland. Lehrabschlussprüfungen BGB 2015 Examens finaux FPI 2015 Prüfungskreis Biel-Seeland plus ausserkantonale mit Schulort BBZ Biel-Bienne 21 Anzahl bestanden Nicht bestanden GN BBZ GN Kt Bern Automatikmonteur EFZ 16 13 3 4.7 4.7 80.00 % 80.00 % Automobil Fachmann EFZ 22 21 1 4.6 4.5 95.45 % 90.41 % Automobil-Assistent EBA 10 10 0 4.6 4.8 100.00 % 97.56 % Automobil-Mechatroniker EFZ 12 8 4 4.6 4.7 66.66 % 83.33 % Bäcker-Konditor-Confiseur EBA 13 12 1 4.9 4.9 92.30 % 93.33 % 18 18 0 4.9 4.8 100.00 % 13 12 1 5.1 5.0 92.30 % Coiffeur EFZ 18 17 1 4.6 4.8 94.44 % 97.76 % Elektroinstallateur EFZ 31 28 3 4.6 4.5 90.32 % 80.43 % Elektroniker EFZ 12 11 1 4.7 4.9 91.66 % 93.67 % Koch EFZ 33 31 2 4.9 4.7 93.93 % 94.86 % Bäcker-Konditor-Confiseur EFZ (Bäckerei-Konditorei) Bäcker-Konditor-Confiseur EFZ (Konditorei-Confiserie) Erfolgsquote BBZ Erfolgsquote Kanton Bern 97.62 % 97.50 % Konstrukteur EFZ 4 4 0 5.0 5.0 100.00 % 100 % Küchenangestellter EBA 7 5 2 4.6 4.6 71.43 % 84.91 % Mechanikpraktiker EBA 9 9 0 4.6 4.7 100.00 % 98.00 % Metallbauer EFZ 12 11 1 4.6 4.5 91.67 % 81.18 % Mikromechaniker 6 6 0 4.7 4.5 100.00 % 100 % Mikrozeichner 5 5 0 4.6 4.7 100.00 % 100 % Montage-Elektroniker EFZ 21 19 2 4.5 4.5 89.47 % 82.69 % Polymechaniker EFZ 25 25 0 4.9 4.9 100.00 % 95.63 % Produktionsmechaniker EFZ 17 17 0 4.7 4.7 100.00 % 98.55 % Restaurationsfachmann EFZ 11 10 1 4.8 4.7 90.00 % 91.73 % Assistant en maint. d‘auto AFP 10 10 0 4.67 4.8 100.00 % 97.56 % Cuisinier CFC 14 11 3 4.4 4.7 78.75 % 94.86 % Horloger CFC 13 12 1 5.0 4.9 92.30 % 92.00 % 8 6 2 4.2 4.2 75.00 % 83.33 % 21 20 1 4.8 4.8 95.24 % 95.83 % 5 5 0 4.8 5.0 100.00 % 97.50 % 10 9 1 4.7 4.8 90.00 % 97.76 % Micromécanicien CFC 3 3 0 4.8 Dessinateur constr. en micro. CFC 3 3 0 4.5 Polymécanicien CFC 7 7 0 4.8 Horloger Praticien CFC Opérateur AFP Boulanger-pâtissier-confiseur CFC (Pâtisserie-confiserie) Coiffeur CFC 100.00 % 100 % 4.7 100.00 % 100 % 4.9 100.00 % 95.63 % Berufliche Grundbildung Formation professionnelle initiale Bildungsgang Anzahl angetreten Abteilung Berufsmaturität/Mediamatiker Die Umsetzung der neuen Berufsmaturitätsverordnung (BMV) steht kurz bevor Olivier Plüss, Abteilungsvorsteher BM / Mediamatiker Das vergangene Schuljahr stand ganz im Zeichen der neuen BMV, welche ab dem 1. Januar 2015 in Kraft gesetzt wurde. Damit verbunden stand auch die Neuausrichtung der Berufsmaturitätsausbildung für Mediamatiker/innen am BBZ BielBienne. Zudem ist eine zweisprachige (Deutsch-Französisch) BM 2 Ausbildung mit der Ausrichtung «Technik, Architektur und Life Sciences» (TAL) in Planung. Leider mussten in den letzten Jahren zahlreiche Berufe mit hohen BM Quoten infolge der Berufsschulorganisation (BSO) das BBZ verlassen. Um jedoch die BM 1 Ausbildung in unseren angestammten Berufen wie Polymechaniker, Elektroniker, Elektroinstallateur weiterhin anbieten zu können, mussten auf das Schuljahr 2015/16 die BM Schultage mit den Schultagen der Mediamatiker koordiniert werden. Diese Anpassung der Schultage wurde nur dank der Mithilfe aller Beteiligten möglich. Einzig bei den Romands haben wir die optimale Lösung noch nicht gefunden. Wir sind aber davon überzeugt, dass wir auch hier noch einen für alle befriedigenden Weg finden werden. Mit Hochdruck arbeiteten die verschiedenen Fachgruppen an der Erarbeitung der neuen Schullehrpläne. Grundlage für die Erarbeitung waren die kantonalen Richtlinien, die 80 Prozent der Unterrichtsinhalte vorgeben. Diese mussten bis Ende November ausgearbeitet sein und beim MBA zwecks Anerkennung der Ausbildungsgänge eingereicht werden. Denn das BBZ ist die erste Schule im Kanton Bern, die bereits Ende Januar 2015 mit den neuen Ausbildungsgängen «Technik, Architektur und Life Sciences» (TAL) sowie «Wirtschaft, Typ Dienstleistungen» (DIN) startete. 22 Auch das Aufnahmeverfahren in die BM musste der neuen BMV angepasst werden. Dies beinhaltet neue Aufnahmeprüfungen sowie die Anpassung und Vereinheitlichung der BM Vorkurse. Für diese Vorkurse, neu EA Kurse genannt, wurde ein kantonaler Lehrplan erarbeitet. Einige Lehrpersonen des BBZ waren in den kantonalen Arbeitsgruppen vertreten. Die neue BMV bietet auch die Möglichkeit, eine mehrsprachige BM Ausbildung anzubieten. Diese Möglichkeit haben wir am BBZ Biel-Bienne ausgenützt und unter dem Aspekt «Förderung des Bilingismus» ein Ausbildungsmodell einer zweisprachigen BM 2 geplant. Die Pilotklasse startete im August 2015. Wir sind davon überzeugt, mit diesem Ausbildungsmodell auch den Bedürfnissen der Wirtschaft gerecht zu werden. Unseren Mediamatikerlernenden, mittlerweile mit Abstand die grösste Berufsgruppe am BBZ Biel-Bienne, steht ein neues BM Modell offen. Mussten die Mediamatiker bis anhin die technische BM absolvieren, was jeweils einigen Lernenden grosses Kopfzerbrechen in den naturwissenschaftlichen Fächern bereitete, besteht ab dem kommenden Schuljahr die Wahlmöglichkeit. Je nach Berufsziel und Fähigkeiten können die Lernenden entweder die BM Ausrichtung TAL oder DIN wählen. Diese Wahlmöglichkeit ist in der BM 1 einzigartig. Die kommenden Jahre werden nun zeigen, ob die neuen Ausbildungsmodelle erfolgversprechend sein werden und unsere Lernenden einen persönlichen Nutzen daraus ziehen können. Eine erste Zwischenbilanz erfolgt im nächsten Jahresbericht. 1.Jahr Technik, Architektur, Life Science (TAL) Wirtschaft, Typ Dienstleistungen (DIN) im ersten Jahr nur Grundlagenfächer (D, F, E, Math); sind für alle gleich 2. Jahr TAL (auch für Mediamatiker) DIN (integriert nur für Mediamatiker) 3. Jahr TAL (auch für Mediamatiker) DIN (integriert nur für Mediamatiker) 4. Jahr TAL (auch für Mediamatiker) DIN (integriert nur für Mediamatiker) Division Maturité professionnelle/Médiamaticien La mise en œuvre de la nouvelle ordonnance sur la maturité professionnelle fédérale (OMPr) est imminente Olivier Plüss, préposé de division MP / Médiamaticien L’année scolaire qui s’est écoulée était entièrement placée sous le signe de la nouvelle OMPr, qui est mise en œuvre depuis le 1er janvier 2015. Cela concernait aussi la nouvelle orientation donnée à la maturité professionnelle pour les médiamaticien-ne-s au CFP Biel-Bienne. Par ailleurs, une MP 2 bilingue (allemand-français) dans l’orientation «Technique, architecture et sciences de la vie» est en cours de planification. Malheureusement, au cours des dernières années, le CFP a dû renoncer à un grand nombre de professions affichant des taux de MP élevés en raison de l’organisation des écoles professionnelles. Toutefois, afin de pouvoir continuer à proposer la MP 1 dans nos professions bien établies telles que polymécanicien-ne, électronicien-ne, installateur-électricien/ installatrice-électricienne, les jours d’école de MP pour l’année scolaire 2015/2016 ont dû être coordonnés avec ceux des médiamaticien-ne-s. L’adaptation de ces jours d’école n’a été possible que grâce à la participation de toutes les personnes concernées. Une solution optimale n’a pas encore pu être trouvée pour les francophones. Toutefois, nous sommes convaincus que nous saurons trouver ici aussi une solution satisfaisante. Les différents groupes de branche travaillent d’arrache-pied à l’élaboration des nouveaux plans d’études sur la base des directives cantonales, qui prescrivent 80 % des contenus de l’enseignement. Les plans d’études doivent être prêts d’ici fin novembre et être soumis à l’OSP en vue de la reconnaissance des filières de formation. Le CFP Biel-Bienne est la première école du canton de Berne à avoir proposé, déjà fin janvier 2015, les nouvelles filières de formation «technique, architecture et sciences de la vie» et «économie, type services». La procédure d’admission à la MP a elle aussi dû être adaptée à la nouvelle OMPr. Elle englobe désormais de nouveaux examens ainsi que l’adaptation et l’uniformisation des cours préparatoires à la MP. Un plan d’études cantonal a été élaboré pour ces cours préparatoires. Certains enseignant-e-s du CFP ont fait partie des groupes de travail cantonaux. La nouvelle OMPr offre également la possibilité de proposer une MP plurilingue. Le CFP Biel-Bienne a exploité cette possibilité et planifié un modèle de formation pour une MP 2 bilingue dans la perspective de «l’encouragement du bilinguisme». La classe pilote a commencé en août 2015. Nous sommes convaincus que ce modèle de formation permettra aussi de répondre aux besoins de l’économie. Nos apprenti-e-s médiamaticien-ne-s germanophones, qui constituent le plus grand groupe professionnel au CFP BielBienne, bénéficient d’un nouveau modèle de formation MP. Alors que jusqu’à présent, les médiamaticien-ne-s devaient suivre la MP technique, ce qui était synonyme de casse-tête dans les branches des sciences naturelles pour certain-e-s apprenti-e-s, ils et elles ont le choix à partir de la nouvelle année scolaire. Selon leurs objectifs professionnels et leurs aptitudes, les apprenti-e-s peuvent choisir la MP soit dans l’orientation technique, architecture et sciences de la vie, soit dans l’orientation économie, type services. Cette possibilité de choix est unique dans la MP 1. L’expérience montrera si ces nouveaux modèles de formation seront couronnés de succès et si nos apprenti-e-s peuvent en tirer un bénéfice personnel. Un premier bilan intermédiaire sera établi dans le cadre du prochain rapport annuel. Berufsmaturität, Mediamatiker Maturité professionnelle, Médiamaticiens 23 Roadshow 2015 Fabienne Kunz, Praktikantin BBZ Am Donnerstagnachmittag, dem 15. Januar 2015, wurde am BBZ Biel-Bienne die jährlich stattfindende Roadshow, Informationsanlass der Fachhochschulen, durchgeführt. Dies ist die optimale Möglichkeit für Lernende, sich über die verschiedenen Weiterbildungsmöglichkeiten nach der Lehre oder nach der Berufsmaturität orientieren zu können. An dieser Veranstaltung nahmen bis zu 400 Schülerinnen und Schüler aus 23 Klassen der Abteilungen BM und BGB teil, auch auswärtige Interessierte waren herzlich willkommen. Insgesamt konnten sich die Teilnehmenden aus über 20 verschiedenen Studienrichtungen für zwei Workshops anmelden, die nacheinander durchgeführt wurden. Neben der Berner Fachhochschule stellten auch die Höhere Fachschule Mittelland, die FHS Nordwestschweiz, die FHS Chur, die PH Bern und die Polizei ihre Studiengänge vor. Somit waren VertreterIinnen sehr unterschiedlicher Ausbildungsmöglichkeiten am BBZ Biel-Bienne präsent, wie zum Beispiel Maschinenbau, Architektur, Musik, Multimedia Production, Informatik, Betriebsökonomie, Elektro- und Informationstechnik, Lehrerbildung u.a. Dozenten und Studierende der verschiedenen Studienrichtungen konnten während 40 Minuten ihren Studiengang den interessierten Lernenden näher bringen. Danach hatten die Schülerinnen und Schüler Zeit, ihre Fragen den anwesenden Referenten zu stellen, wovon die Teilnehmenden extrem profitieren konnten. Ein solcher Anlass ist sowohl für die weiterführenden Schulen sowie für das BBZ Biel-Bienne eine Win-Win-Situation. Die Veranstaltung ist eine gute Werbeplattform für die Anbieter weiterführender Ausbildungen und für die Lernenden eine gute Gelegenheit, sich über die unterschiedlichen Weiterbildungsangebote informieren zu können. So war die Roadshow für die jungen Erwachsenen eine ausgezeichnete Möglichkeit, ihre Interessen zu erkennen und sich über ihre berufliche Laufbahn nach dem BBZ Biel-Bienne orientieren zu können. 24 Flipped Classroom Text und Bilder : Marco Ursprung, stv.Abteilungsvorsteher BM Kurzbeschreibung Unter «flipped classroom» wird allgemein «umgedrehter Unterricht» verstanden. Dabei erarbeiten die Schülerinnen und Schüler einen Lerninhalt mit Hilfe von Videos, Arbeitsblättern, Lernsequenzen und dergleichen zu Hause als Hausaufgabe. In der Schule bleibt dann mehr Zeit die erarbeiteten Inhalte an Beispielen anzuwenden und auf konkrete Probleme der einzelnen Schülerinnen und Schüler einzugehen. So gesehen, werden Unterrichtssequenzen, Vermittlung von Theorie und Lösen von Beispielen, wie das im klassischen Unterricht abläuft, umgedreht. Auswirkung für die Schülerinnen und Schüler Das Verlagern des Lerninhalts nach Hause führt dazu, dass die Lernenden in ihrem individuellen Tempo lernen können. Ein Lernvideo kann gestoppt und zurückgespult werden, um Sequenzen ein zweites oder drittes Mal anzugucken, bis sie verstanden werden. Dabei wird niemand gestört oder gelangweilt und entsprechende Bemerkungen von Mitschülerinnen und Mitschülern fallen weg. Falls Fremdwörter nicht verstanden werden, können diese im Internet nachgeschaut werden. Fitte Lernende sind mit dem Stoff im Selbststudium schneller fertig und werden in ihren Gedankengängen nicht gestoppt. Weiterführende oder ausholende Fragen können notiert und per Email an die Lehrperson gesendet oder in der folgenden Unterrichtssequenz im Plenum zur Sprache gebracht werden. Vorausgesetzt ist eine grosse Selbstdisziplin der Lernenden. Diese kann die Lehrperson erheblich steigern, indem sie den Schülerinnen und Schülern den Nutzen, den Sie daraus ziehen, gezielt aufzeigt. Dies geschieht dann auch oft mit einer schrittwiesen Einführung dieser Methode, indem kleine Lernsequenzen in Auftrag gegeben werden. Berufsmaturität, Mediamatiker Maturité professionnelle, Médiamaticiens 25 Auswirkung auf den Unterricht Im Unterricht bleibt mit dieser Methode mehr Zeit für Anwendungen, die sonst meist nur gestreift werden können. Die Schülerinnen und Schüler haben Zeit, sich in ein Problem hineinzudenken und Lösungen individuell mit der Lehrperson, im Team, in der Gruppe oder im Plenum zu bearbeiten. Es bleibt Zeit für Fallstudien und umfangreichere Anwendungen, welche als Hausaufgaben sehr schwierig zu erledigen wären. Die Lehrperson waltet so eher als Coach als Lehrer im herkömmlichen Sinn. Mit den heute gängigen elektronischen Hilfsmitteln kann sogar während des Unterrichts eine Lernsequenz, an die man sich nicht mehr genau erinnert, die aber genau auf ein Beispiel passen würde, ein weiteres Mal angeschaut werden. Auswirkung auf die Unterrichtsvorbereitung Flipped Classroom macht vielleicht auf den ersten Blick den Anschein, dass die Lehrperson nicht mehr viel für die Lektionen vorbereiten muss, denn es ist ja nicht vorhersehbar, wo während der Übungsphase Probleme auftreten und wie die Schülerinnen und Schüler auf die gestellten Anwendungsaufgaben reagieren, also minimiert sich die Vorbereitungszeit, denn es muss situationsspezifisch reagiert werden. Dies stimmt so nicht, denn es müssen Lernvideos erstellt werden ! Es reicht nicht aus, einfach den Theorieteil eines Lehrbuches lesen zu lassen. Je nachdem wie diese Videos aufbereitet werden und je nach Anspruch des Erstellers auf Perfektion, kann dies einen riesigen Aufwand bedeuten. Auch wenn tausende von Videos im Internet zirkulieren, wird vermutlich kaum eines gefunden, welches genau auf die gewünschte Lernsituation zutrifft. Ansprüche an die Lernvideos Ein Lernvideo muss das Wesentliche in kurzer Zeit prägnant wiedergeben, und zwar ohne Ausschweifungen und grosse Exkurse. Wie die grossen Didaktiker sagen, können Zuhörer einem Redner nur die ersten paar Minuten konzentriert zuhören, damit sie das Vermittelte auch wirklich behalten. Das ist bei einem Video nicht anders. Nach den ersten paar Minuten lassen die Konzentration und die Aufmerksamkeit bereits nach. Gut ist es, wenn das Video an Bekanntes anknüpft und eine persönliche Note hat, was auch ab und zu einen Versprecher zulässt. Die Schülerinnen und Schüler sollen den Bezug zu ihrer Lehrperson und /oder ihrem Lehrmittel durchaus sehen, das schafft Vertrauen und ist lernfördernd. Mich ermunterte die Aussage : «Haben Sie Mut und legen Sie Ihre Ansprüche zur Perfektion etwas zur Seite» von Christian Spannagel anlässlich eines Vortrags zu besagtem Thema dazu, mein erstes Video zu produzieren. Was für eine Schule unserer Stufe meines Erachtens nicht geht, ist die Aufzeichnung einer Lektion und das Veröffentlichen derselben als zukünftiges Lernvideo. Dies mag für eine Vorlesung an einer Universität ok sein, aber nicht für Berufs- oder BM Schülerinnen und Schüler, denn diese sind sich eine solche Lernform in der Regel (noch) nicht gewohnt. Aus diesem Grund ist auf unserer Stufe zum Anschauen der Lerneinheiten eine Begleitaufgabe oder ein Leitsatz unabdingbar. Die Theorie darf in keiner Weise später im Unterricht wiederholt werden, dies wäre der Tod der Methoden, denn dadurch fühlen sich die Studierenden nicht mehr ernst genommen und sie würden im Wiederholungsfall die Videos wohl kaum mehr anschauen. 1 Christian Spannagel, Professor für Mathematik und Mathematikdidaktiker an der PH Heidelberg 26 Beispiele aus dem Schulalltag In Deutschland gibt es Lehrpersonen, welche ganze Kursstufen mit «Flipped Classroom» unterrichten und dafür auch mit dem 1. Preis für innovative Unterrichtsmethoden ausgezeichnet wurden. Ich setze den umgedrehten Unterricht nur sporadisch ein, da er einfach eine weitere Lehrmethode im ganzen Methodik Spektrum darstellt. Guter Unterricht liegt ja auch in der Vielfalt der angewendeten Methoden. Eine bewährte Sequenz ist zum Beispiel die Einführung von GeoGebra . Begleitend zum Video erhalten die Schülerinnen und Schüler eine Aufgabe zum Bearbeiten. Dies motiviert dadurch, dass parallel zum Video mit dem Programm gearbeitet und das Gesehene gleich umgesetzt werden kann. Dabei wird das Video je nach Bedarf gestoppt, vor- oder zurückgespult, was alle Vorteile dieser Unterrichtsform beinhaltet. Versierte Studenten, die bereits Erfahrung mit dem Programm haben, können gleich loslegen und werden in ihrem Tatendrang nicht künstlich gebremst. Eine Win-win-Situation für alle. Link zum Video: www.youtube.com/watch ?v=CLN7p768BWo Für die Abteilung BM existiert bereits eine breite Anzahl von Lernvideos, welche für alle zugänglich auf YouTube abgelegt sind. Die Themen sind ganz unterschiedlicher Natur, sie reichen von Besprechungen komplexer Aufgaben, über Theorierepetitionen, bis zu Einführungen in neue Themen (Fach Mathematik). 2 GeoGebra ist eine Dynamische-Geometrie-Software (DGS), die zu ihren geometrischen Objekten nicht nur die übliche geometrische, sondern auch eine algebraische Schnittstelle zur Verfügung stellt und allen frei zugänglich ist. Berufsmaturität, Mediamatiker Maturité professionnelle, Médiamaticiens 27 Flipped classroom Texte et images : Marco Ursprung, remplaçant du préposé de la division MP Brève description «Flipped classroom» est souvent traduit par classe inversée, ou renversée. Dans cette approche pédagogique, les élèves traitent un contenu de formation à l’aide de vidéos, de feuilles de travail, de séquences d’apprentissage et d’autres supports chez eux sous la forme de devoirs. L’école dispose ainsi de plus de temps pour appliquer les contenus à l’aide d’exemples et pour aborder les problèmes concrets des différents élèves. De ce point de vue, les séquences d’enseignement, la transmission du savoir théorique et l’utilisation d’exemples, tels qu’ils ont lieu dans le cadre de l’enseignement classique, sont inversés. Conséquences pour les élèves Grâce au transfert des contenus d’apprentissage à la maison, les apprenti-e-s peuvent apprendre à leur propre rythme. Ils/elles peuvent mettre une vidéo sur pause ou revenir en arrière pour revoir une séquence une deuxième ou une troisième fois, jusqu’à ce qu’ils/elles aient compris. Les autres camarades ne sont pas dérangé-e-s, ne s’ennuient pas, et il n’y a plus de remarques désobligeantes. Si les élèves ne comprennent pas certains termes, ils/elles peuvent aller regarder sur internet. Les apprenti-e-s ayant des facilités ont plus rapidement terminé une matière pendant l’étude individuelle et le fil de leur pensée n’est pas interrompu. Les élèves peuvent noter leurs questions et les envoyer par courriel à l’enseignant-e ou les aborder en classe à la prochaine occasion. La condition est une grande discipline personnelle de la part des apprenti-e-s, que l’enseignant-e peut considérablement augmenter en montrant aux élèves le bénéfice qu’ils/elles en retirent. Cette méthode est souvent introduite étape par étape par le biais de petites séquences d’apprentissage confiées aux élèves. 28 Impact sur l’enseignement Pendant l’enseignement, cette méthode permet de dégager plus de temps pour la mise en application, qui n’est sinon que survolée. Les élèves ont le temps de réfléchir à un problème et de traiter des solutions de manière individuelle, avec les enseignant-e-s, en équipe, en groupe ou avec toute la classe. Il reste également suffisamment de temps pour des études de cas et des applications plus globales, qui seraient très difficiles à exécuter sous la forme de devoirs à la maison. L’enseignant-e assume davantage un rôle de coach que d’enseignant-e au sens habituel du terme. Avec les moyens électroniques habituels de nos jours, il est même possible de regarder à nouveau pendant l’enseignement une séquence dont on ne se souvient plus en détail mais qui correspondrait exactement à un exemple donné. Impact sur la préparation de l’enseignement L’approche didactique de flipped classroom peut au premier abord donner l’impression que l’enseignant-e n’a plus grand chose à préparer pour ses leçons, car il n’est pas possible de prévoir où apparaîtront les problèmes lors des exercices et comment les élèves réagiront aux tâches posées. Etant donné qu’il faut donc réagir en fonction de la situation, on pourrait penser que le temps de préparation devient minime. Or il n’en n’est rien, car il faut créer les vidéos didactiques. Il ne suffit pas de laisser les apprenti-e-s lire la partie théorique d’un support de cours. Selon la manière dont ces vidéos sont préparées et selon les attentes de la personne qui les a conçues, cela peut impliquer une énorme charge de travail. Même si des milliers de vidéos circulent sur internet, il est fort probable qu’aucune ne corresponde vraiment à la situation d’apprentissage recherchée. Exigences posées aux vidéos didactiques Une vidéo didactique doit résumer l’essentiel en un bref laps de temps, sans grandes digressions. Comme le disent les professionnels de la didactique, les auditeurs ne peuvent écouter une personne que quelques minutes de manière concentrée et mémoriser l’essentiel. Il en va de même pour une vidéo. Après les premières minutes, la concentration et l’attention chutent déjà. Il est conseillé de relier la vidéo à des éléments connus et de lui donner une touche personnelle, ce qui autorise une petite erreur ici ou là. Les élèves doivent toujours voir le lien avec leur enseignant-e et/ou leurs supports didactiques, ce qui inspire confiance et encourage l’apprentissage. Pour ma part, c’est une phrase de Christian Spannagel sur la perfection, émise dans le cadre d’un exposé sur la question, qui m’a motivé à produire ma première vidéo : «Rassemblez votre courage et oubliez un peu vos exigences de perfection». D’après moi, pour une école comme la nôtre, il n’est pas possible d’enregistrer une leçon et de la publier comme future vidéo didactique. Cela fonctionne peut-être pour un cours dans une université, mais pas pour des apprenti-e-s et/ou des personnes qui suivent la MP, car ces derniers ne connaissent en général pas (encore) cette forme d’apprentissage. Pour cette raison, à notre niveau, le visionnage des contenus d’apprentissage nécessite un accompagnement ou des lignes directrices. La théorie ne doit en aucun cas être répétée plus tard pendant l’enseignement, ce qui serait la mort des méthodes, car les apprenti-e-s ne se sentent plus pris au sérieux et ne regarderaient plus les vidéos si ces dernières sont visionnées une nouvelle fois. 1Christian Spannagel, prof. de mathématiques et spécialiste en didactique des mathématiques à la HEP d’Heidelberg. Exemples issus du quotidien scolaire En Allemagne, certains enseignant-e-s ayant transmis des niveaux entiers de cours à l’aide du flipped classroom ont été récompensés par le premier prix des méthodes d’enseignement innovantes. Je n’utilise cette approche pédagogique que de manière sporadique, car elle met en avant une méthodologie d’enseignement parmi d’autres. Un bon enseignement réside aussi dans la diversité des méthodes utilisées. Une séquence qui a fait ses preuves est par exemple l’introduction pour les germanophones de GeoGebra . En accompagnement de la vidéo, les élèves reçoivent un exercice à faire. Ce qui les motive, c’est qu’ils/elles peuvent travailler avec le programme en parallèle de la vidéo et appliquer immédiatement ce qu’ils/elles ont vu. Selon les besoins, ils/elles peuvent stopper, avancer ou reculer dans la vidéo, ce qui englobe tous les avantages de cette forme d’enseignement. Les étudiants doués, qui connaissent déjà le programme, peuvent se lancer tout de suite et ne sont pas freinés dans leur élan. En somme, une situation gagnant-gagnant pour tout le monde. La division MP dispose déjà d’un grand nombre de vidéos didactiques, toutes accessibles via YouTube. Les thèmes sont de nature très différente, allant de discussions de tâches complexes à l’introduction à de nouveaux thèmes (branche mathématiques) en passant par des répétitions de la théorie. 2GeoGebra est un logiciel de géométrie dynamique qui propose, outre les formes géométriques habituelles, aussi une interface d’algèbre et qui est gratuit et accessible à tous. Berufsmaturität, Mediamatiker Maturité professionnelle, Médiamaticiens 29 Abschlussergebnisse Juni 2015/ Résultats juin 2015 Alle Abschlüsse auf einen Blick BM-Typ Richtung Erfolgsquote BM-1 (lehrzeitbegleitend) technisch 97.7 % BM-2 (BM für gelernte Berufsleute) technisch 94.3 % BM-2 technisch 100 % BM-2 (BM für gelernte Berufsleute) gewerblich 100 % BM-2 gewerblich 66.7 % Fach Erfolgsquote Diplomprüfungen BM deutschsprachiger Lernender : BM-Typ Teilabschlussprüfungen deutschsprachige Lernende BMS1 technische Ausrichtung : BM-1 (lehrzeitbegleitend) BM-Typ Französisch 87.9 % Englisch 100 % Ergänzungsfach 100 % Richtung Erfolgsquote technique 88.8 % Abschlussprüfungen BM französischsprachige Lernende : MP-1 (lehrzeitbegleitend) 30 Beste Abschlussresultate BM Name Beruf Note 1. Rang Michel Isabelle Chemielaborantin EFZ 5,6 2. Rang Morand Janick Detailhandelsfachmann 5,5 3. Rang Hanhart Gwënaelle Staudengärtnerin 5,4 3. Rang Heiniger Oliver Zeichner EFZ Architektur 5,4 4. Rang Etter Tommaso Landschaftsgärtner 5,3 4. Rang Lauclair Pascal Schreiner 5,3 4. Rang Schlup Martin Automatiker 5,3 4. Rang Zwahlen Matthieu Horloger 5,3 Beste Abschlussresultate Mediamatiker/in EFZ Rang Name Beruf Note 1. Rang Lörtscher Carmen IPA 5,7 2. Rang Aeberhard Melanie IPA 5,6 2. Rang Kocherhaus Lukas IPA 5,6 1. Rang Aeberhard Melanie Gesamtnote EFZ 5,6 2. Rang Alisauskaite Alina Gesamtnote EFZ 5,5 2. Rang Glatthard Tim Gesamtnote EFZ 5,5 2. Rang Lörtscher Carmen Gesamtnote EFZ 5,5 1. Rang Alisauskaite Alina Berufsmaturität 5,4 1. Rang Lörtscher Carmen Berufsmaturität 5,4 2. Rang Nehrkorn Adina Berufsmaturität 5,3 31 Berufsmaturität, Mediamatiker Maturité professionnelle, Médiamaticiens Rang Abteilung Technische Fachschule Biel (TFS) Die TFS fördert Leistung und Kreativität Daniel Dietz, Abteilungsvorsteher TFS Fachkräftemangel, rückläufige Schülerzahlen, unbesetzte Lehrstellen, Desinteresse für die Berufsbildung, insbesondere für technische Berufe, all das sind Themen, mit welchen wir immer wieder konfrontiert werden. Dabei gibt er in kaum einem Land dieser Welt ein so differenziertes und vielschichtiges Bildungsangebot wie in der Schweiz. Das hat sich mittlerweile herumgesprochen. Anfang 2015 haben sich sowohl die amerikanische als auch die französische Regierung auf höchster Ebene für das erfolgreiche «Swiss Model» interessiert. Dabei galt ihr besonderes Interesse der beruflichen Grundbildung und deren Durchlässigkeit in die tertiäre Bildungsebene. Lehrwerkstätten wie die TFS spielen dabei eine wichtige Rolle. Hier erhalten junge Menschen eine interessante Bildungsalternative zu der klassischen betrieblichen oder gymnasialen Ausbildung. Professionelle Berufsbildner mit Industrieerfahrung können in Kleingruppen sehr effizient und vollständig die vorgegebenen Bildungsinhalte umsetzen. Es bleibt Zeit und Raum, um die Leistung und die Kreativität des einzelnen Lernenden zu fördern. Man lernt zu verstehen, anstatt nachzuahmen. Das alles hat natürlich seinen Preis, aber trägt auch seine Früchte. Viele unserer leistungsstarken Lernenden besuchen die Berufsmatura und bereiten sich somit auf ein späteres Studium vor. In der Industrie sind Ingenieure mit einer beruflichen Grundbildung sehr gefragt. Sie können meist schneller, effizienter und praxisnaher eingesetzt werden als Kollegen mit einer rein akademischen Ausbildung. Die Zukunft wird zeigen, ob das in der Schweiz so erfolgreiche Ausbildungsmodell auch im Ausland Schule macht. Wir an der TFS können stolz darauf sein, seit vielen Jahren einen nicht unwesentlichen Beitrag für den mikrotechnischen Sektor in unserer Region zu leisten. 32 Division Lycée Technique Bienne (LT) Le LT encourage les performances et la créativité Pénurie de main-d’œuvre qualifiée, recul du nombre d’élèves, places d’apprentissage inoccupées, manque d’intérêt pour la formation professionnelle, en particulier pour les professions techniques : tels sont les thèmes auxquels nous sommes régulièrement confrontés. Pourtant, il n’y a pour ainsi dire pas d’autre pays au monde qui possède une offre de formation si différenciée et si variée que la Suisse, et cela commence à se savoir. Début 2015, les gouvernements français et américain se sont intéressés en haut lieu au modèle suisse à succès. Dans ce contexte, leur intérêt portait surtout sur la formation professionnelle initiale et sur sa perméabilité vers le degré tertiaire. Les écoles de métiers comme le LT jouent un rôle important dans ce contexte. Les jeunes s’y voient offrir une alternative de formation intéressante par rapport aux formations classiques en entreprise ou au gymnase. Avec leur solide expérience de l’industrie, nos formateurs professionnels peuvent transmettre de manière très efficace et complète les contenus de la formation prescrits. Il reste du temps et de l’espace pour encourager les performances et la créativité des différent-e-s apprenti-e-s. On apprend à comprendre plutôt qu’à imiter. Tout cela a bien sûr un prix, mais porte aussi ses fruits. Nos apprenti-e-s talentueux suivent la maturité professionnelle et se préparent à de futures études. Dans l’industrie, les ingénieurs ayant commencé par une formation professionnelle initiale sont très demandés. Souvent, ils/elles peuvent être déployé-e-s plus rapidement, avec plus d’efficacité et de manière plus proche du terrain que leurs collègues avec une formation académique. L’avenir nous montrera si le modèle de formation si éprouvé en Suisse fera aussi école à l’étranger. Pour notre part, au LT, nous sommes fiers de fournir depuis de nombreuses années une contribution non négligeable au secteur microtechnique dans notre région. Technische Fachschule Lycée Technique 33 SKS Programm für Spitzensportler Daniel Dietz, Abteilungsvorsteher TFS An der Technischen Fachschule haben Leistungssportler die Möglichkeit, ihre sportliche Karriere weiter zu entwickeln und gleichzeitig einen Beruf zu erlernen. Das Angebot «Sport – Kultur – Studium» (SKS) schafft für talentierte Jugendliche mit nationalem Potential in den Bereichen Sport, Musik und Tanz optimale Rahmenbedingungen, so dass Talentförderung und Ausbildung gut nebeneinander Platz haben. Die TFS ist anerkannter SKS und Swiss Olympics Bildungspartner. Wie im Spitzensport werden auch in der Berufsbildung hohe Anforderungen an die Lernenden gestellt. Dies gilt insbesondere für Kandidaten, welche unser SKS-Angebot in Anspruch nehmen. Wir erwarten ein überdurchschnittliches Mass an Leistungsbereitschaft, Ausdauer und Konzentration und auch Faszination für den gewählten Beruf. Dafür bieten wir eine massgeschneiderte Ausbildung in einem unserer technisch anspruchsvollen Berufe an. Als SKS-Koordinator steht ab diesem Jahr der Sportlehrer Patrick Baumann auch der TFS zur Verfügung. In Biel und Umgebung gibt es über 100 junge Menschen, welche im SKS-Programm eingeschrieben sind. Leider verfolgen nur ganz wenige von ihnen eine technische Berufsbildung. An der Technischen Fachschule erhalten sie die Möglichkeit. Hansjörg Glutz, Leiter Sport-Kultur-Studium der Stadt Biel (Responsable sport-culture-études de la ville de Bienne) «Junge talentierte Sportler und Künstler brauchen Ausbildungsangebote, welche der grossen Belastung im Talentbereich entgegenkommen. Die Technische Fachschule Biel als Teil der Talentförderung-SKS der Stadt Biel deckt einen wichtigen Ausbildungsbereich ab. Die anspruchsvollen Berufslehren lassen sich dank dem Engagement und der individuellen Förderung der Technischen Fachschule ideal mit dem Leistungssport oder den Ansprüchen im Kunstbereich verbinden.» 34 Hansjörg Glutz, responsable Sport-Culture-Etudes de la ville de Bienne «Les jeunes sportifs et artistes talentueux ont besoin d’offres de formation tenant compte de leur lourde charge de travail dans leur domaine de performance. Le Lycée Technique de Bienne, en tant que partenaire de l’offre «Sport – Culture – Etudes» couvre une part importante de formation. Grâce à l’engagement et à l’encouragement individuel du Lycée Technique, les apprentissages exigeants peuvent être aménagés de manière idéale en fonction des exigences du sport de performance et du domaine artistique». «Je m‘appelle Gelindo Chiarello, j‘ai 17 ans et je viens de Bienne. Je fais du kayak depuis que j‘ai 8 ans. Il y a trois ans, j’ai intégré l’équipe nationale junior et suis multiple champion suisse junior en kayak, canoë et canoë deux places». 35 «Ich bin Gelindo Chiarello, 17 Jahre alt und komme aus Biel. Seit meinem neunten Lebensjahr fahre ich nun Kayak. Vor drei Jahren wurde ich in die Junioren Nationalmannschaft aufgenommen und bin mehrfacher Junioren Schweizermeister im Kajak, Canadier und Canadier zweier.» Technische Fachschule Lycée Technique SKS Lernender Gelindo Chiarello Seit August 2014 macht Gelindo Chiarello an der Technischen Fachschule eine Ausbildung als Mikrozeichner. Die Kombination von Schule und Sport ist für ihn ideal. Er kann seine sportlichen Ziele verfolgen und gleichzeitig einen interessanten Beruf erlernen. Programme Sport – Culture – Etudes pour les sportifs d’élite Daniel Dietz, préposé de la division LT Au LT, les sportifs d’élite ont la possibilité de poursuivre leur carrière sportive tout en apprenant un métier. L’offre «Sport – Culture – Etudes» permet aux jeunes disposant d’aptitudes pouvant prétendre à un niveau national dans les domaines du sport, de la musique et de la danse de bénéficier de conditions cadres optimales pour concilier leur talent et la formation. Le LT est un partenaire reconnu de l’offre SCE et un partenaire officiel Swiss Olympics. Comme dans le sport qu’ils et elles pratiquent, les apprenti-e-s qui suivent une formation chez nous dans le cadre de l’offre «Sport – Culture – Etudes» doivent répondre à des exigences élevées aussi dans la formation professionnelle. Nous attendons qu’ils et elles fassent preuve d’une disposition à la performance supérieure à la moyenne, d’endurance, de concentration et de fascination pour la profession choisie. En contrepartie, nous leur offrons une formation sur mesure dans une profession technique exigeante. Cette année, Patrick Baumann, enseignant du sport, est à nouveau à la disposition du LT comme coordinateur SCE. Plus de 100 jeunes à Bienne et aux alentours sont inscrits dans un programme SCE. Malheureusement, très peu suivent une formation professionnelle technique. Au LT, c’est possible. 36 37 «Je joue au FC Biel-Bienne en challenge league en tant que milieu de terrain. Mon objectif est d‘évoluer en super league. Ce n‘est pas toujours évident de pratiquer un sport à haut niveau et de vouloir suivre une formation en même temps. Il y a rapidement des conflits avec un planning d‘entraînement chargé. C‘est pourquoi je suis heureux que le LT m‘ait offert la possibilité de changer de métier pendant ma formation». «Ich spiele beim FC Biel-Bienne, das ist die zweithöchste Division der Schweiz. Ich spiele im defensiven Mittelfeld. Mein Ziel ist es, in der ersten Division der Schweiz zu spielen. Es ist nicht immer einfach, Sport auf hohem Niveau und eine Ausbildung gleichzeitig machen zu wollen. Gerade bei einem intensiven Trainingsplan kommen schnell mal Konflikte auf. Ich bin deshalb froh, dass die TFS mir die Möglichkeit gegeben hat, während der Lehre den Beruf zu wechseln». Technische Fachschule Lycée Technique Apprenti SCE Gentian Demoli Gentian Demolli est passé cette année d‘un apprentissage de mécanicien de production à un apprentissage de praticien en mécanique. Il est en 2e année et aimerait terminer sa formation le plus vite possible afin de se pouvoir se consacrer entièrement au sport. Concours Horloger Daniel Dietz, préposé de division LT Einmal im Jahr treffen sich die drei besten Lernenden der sechs Uhrmacherschulen in Genf, um gegeneinander anzutreten und um den besten Horloger der Schweiz zu küren. Organisiert wird dieser Wettbewerb oder besser gesagt «Concours de bienfacture et de precision» durch die renommierte Uhrenmanufaktur Patek Philippe. Zwei Tage lang müssen die angehenden Uhrmacher ihr Bestes geben. Beim Wettbewerb geht es darum, den Gang einer Uhr einzustellen. In der Fachsprache heisst das «Reglage». Das ist eine Arbeit, die seit mehr als einem Jahrhundert durchgeführt wird und äusserste Konzentration sowie Fingerspitzengefühl verlangt. Von den drei Uhrmachern aus dem 3. Lehrjahr, welche nach Genf gereist sind, hat sich Timothée Droz hervorgehoben. Er hat nicht nur als diesjähriger Sieger den 1. Preis gewonnen, sondern hat mit der Note 5.15 das seit der Gründung des Wettbewerbs beste Ergebnis erzielt. Wir gratulieren Herrn Droz für seine ausserordentliche Leistung und freuen uns natürlich, dass der Pokal «d’excellence horlogére» nach drei langen Jahren im Zeitzentrum in Grenchen einen neuen Platz in der Technischen Fachschule Biel gefunden hat. Une fois par an, les trois meilleurs horlogers et horlogères des six écoles d’horlogerie se retrouvent à Genève à l’occasion d’un concours récompensant le meilleur horloger ou la meilleure horlogère de Suisse. Ce «Concours de bienfacture et de précision» est organisé par la célèbre manufacture horlogère Patek Philippe. Deux jours durant, les futurs horlogers et horlogères doivent donner le meilleur d’eux même. Le concours consiste à régler une montre, c’est à dire à pro- 38 Bildtext : Erstplatzierter Herr Droz flankiert von Herrn Stern (Eigentümer und Präsident von Patek Philippe) und René Maillat (Berufsleiter Uhrmacher und Ausbildner 3. Lehrjahr). Le lauréat Timothée Droz, entouré de M. Stern (propriétaire et président de Patek Philippe) et de René Maillard (responsable des horlogers et formateur des 3e années). céder au «réglage» dans le jargon. Il s’agit d’un travail qui est exécuté depuis plus d’un siècle et qui exige la plus grande concentration et le plus grand doigté. Sur les trois horlogers de 3e année de notre école qui se sont rendus à Genève, Timothée Droz s’est particulièrement démarqué. Il a non seulement remporté le premier prix du concours, mais il a aussi obtenu la meilleure note depuis la création du concours, à savoir 5.15. Nous adressons toutes nos félicitations à Monsieur Droz pour son excellente prestation et nous réjouissons naturellement que ce prix d’excellence horlogère revienne au Lycée Technique de Bienne après trois longues années à Granges. Concours Horloger Lernender Thimothée Droz : «Dass ich Uhrmacher geworden bin, habe ich ein bisschen meinem Grossvater zu verdanken. Ursprünglich wollte ich eher Koch, Gärtner oder Schreiner werden. Doch nach einer Schnupperlehre bei der Uhrenfabrik Omega gab es keinen Zweifel mehr… ich werde Uhrmacher. Es war sehr beeindruckend, in der Eingangshalle einer so renommierten Uhrenmanufaktur zu stehen. Wir dachten zuerst von abgehobenen Managern empfangen zu werden, doch das Gegenteil erwartete uns. Alle Mitarbeiter empfingen uns herzlich und wir fühlten uns gleich wohl. Der Stress beim Wettbewerb ist erheblich, nicht nur wegen der Rivalität unter den 18 Konkurrenten, sondern weil man ein sehr edles und wertvolles Uhrwerk in seinen Händen hält. Man muss da extrem aufpassen, der kleinste Missgriff kann verheerende Folgen haben.» Apprenti Thimothée Droz : «C’est un peu grâce à mon grand-père que je suis devenu horloger. A l’origine, je voulais plutôt être cuisinier, jardinier ou menuisier. Mais, après un stage dans l’entreprise Omega, je n’avais plus aucun doute… j’allais devenir horloger. C’était très impressionnant d’être dans le hall d’entrée d’une manufacture horlogère si renommée. Au début, nous pensions être reçus par des managers distants mais c’était tout l’inverse qui nous attendait. Tous les collaborateurs nous ont accueillis chaleureusement et nous nous sommes tout de suite sentis à l’aise. Le stress pendant le concours est considérable, pas seulement à cause de la rivalité entre les 18 concurrents, mais aussi parce qu’on tient une montre très précieuse entre les mains. Il faut faire extrêmement attention, la moindre erreur peut avoir des conséquences désastreuses». Technische Fachschule Lycée Technique 39 Diplomfeier und Projektwettbewerb TFS Die Diplomfeier der Technischen Fachschule war geprägt durch eine Aula voller festlich gekleideten Angehörigen und Gästen, durch ausgezeichnete Leistungen der Absolventen und tolle Projekte des CAPVEST-Projektwettbewerbs. Dabei handelt es sich um einen Wettbewerb, an dem alle Lernenden der TFS teilnehmen können, einzeln oder als Team. Auch berufsübergreifende Arbeiten sind zugelassen. Die Lernenden haben ca. sechs Monate Zeit, um an ihrem Projekt zu arbeiten, wobei auch viel Freizeit investiert werden muss. Daniel Dietz Eine externe Jury hat aus den 12 eingereichten Projekten drei herausragende Arbeiten nach folgenden Kriterien ausgewählt : • Kreativität & Innovation • Professionalität & Qualität • Funktionalität & Marktpotenzial •Dokumentation •Präsentation Herr Fernand Girardin, Mikromechaniker, erhält für die beste Abschussnote von 5.5 einen Sponsorenpreis und die Glückwünsche des Vorsteher. 40 Die Gewinner des Concours Capvest erhalten ihre Preisgelder Erster Preis : CHF 2000.– Projekt : Tracking Solarpanel Team : Baumgartner Florian, Elektroniker 2. Lj Jost Luca, Elektroniker 2.Lj Erfolgsquote/Taux de succès 2015 Der Notendurchschnitt aller EFZ & EBA Berufe ist auch 2015 konstant geblieben. Bei den Erfolgsquoten liegen diese 2015 im langjährigen Mittel, konnten jedoch gegenüber dem Vorjahr gesteigert werden. Daniel Dietz D&F 41 2015 2014 2013 Berufe/métiers Durchschnitt Erfolgsquote Durchschnitt Erfolgsquote Durchschnitt Mikromechaniker/Micromécanicien 100 % 4.7 100 % 4.7 100 % 4.7 Produktionsmechaniker EFZ 100 % 4.8 100 % 4.7 100 % 4.6 Mikrozeichner/Dessinateur-constructeur 100 % 4.6 100 % 4.6 100 % 4.7 Elektroniker EFZ 89 % 4.6 89 % 4.5 88 % 4.6 Horloger Rhabilleur CFC 90 % 4.9 100 % 4.9 89 % 4.7 Horloger Praticien CFC 71 % 4.3 50 % 4.7 67 % 4.2 Opérateur en horlogerie AFP 100 % 4.7 100 % 4.8 100 % 4.9 Mechanikpraktiker EBA 100 % 4.7 80 % 4.6 90 % 4.9 Durchschnitt aller Berufe 93.8 % 4.66 89.9 % 4.69 91.8 % 4.66 Zweiter Preis : CHF 1000.– Projekt : Copter-Remote Team : Müller Simon, Elektroniker 3. Lj Sridharan Narasimhan, Elektroniker 3. Lj Dritter Preis : CHF 500.– Projekt : Skeletierte Uhr Team : Musyoka Barbara, Mikrozeichenrin 3. Lj Gataby Salim, Uhrmacher 4. Lj Technische Fachschule Lycée Technique Erfolgsquote Zahlen & Fakten TFS/Faits et chiffres LT Daniel Dietz Abteilungsvorsteher TFS Zum ersten Mal seit 2010 sind die Zahlen der Bewerber markant rückläufig. Unter anderem machen sich jetzt die geburtenschwachen Jahrgänge bemerkbar, das ist ein Trend, der voraussichtlich weitere vier Jahre anhalten wird, bevor die Tendenz wieder kehrt. Trotzdem konnten alle Lehrstellen besetzt werden und durch die Aufnahme von sogenannten Quereinsteigern, konnte die Gesamtzahl neuer Lehrverträge auf 75 erhöht werden. Ebenso hat sich die Anzahl aller Lernenden an der TFS auf 202 gesteigert. Die Anzahl Lehrabschlüsse hat mit 57 ein allzeit Hoch erreicht und sich im Vergleich zu 2008 verdoppelt. Diese Steigerung ist unter anderem auch durch die erfolgreiche Integration der EBA-Berufe möglich geworden. Die Lernenden werden durch 21 professionelle Berufsbildner betreut. Die positive Entwicklung unserer Lehrwerkstatt ist in erster Linie ihnen und den Anstrengungen des gesamten TFS Teams zu verdanken. Pour la première fois depuis 2010, le nombre de candidat-e-s est en net recul. Les effets de l’évolution démographique se font notamment sentir, tendance qui durera probablement encore quatre ans avant de s’inverser à nouveau. Nous avons malgré tout pu occuper toutes les places d’apprentissage et augmenter le nombre total de nouveaux contrats d’apprentissage à 75 grâce aux personnes en réorientation. De même, le nombre total d’apprenti-e-s au LT est passé à 204. Le nombre d’examens de fin d’apprentissage a atteint un record (57) et a doublé par rapport à 2008. Cette augmentation a été possible entre autres grâce à l’intégration réussie des professions AFP. Les apprenti-e-s sont encadré-e-s par 21 formateurs professionnels. C’est en premier lieu à eux et aux efforts de toute l’équipe du LT que notre école de métiers doit son développement positif. 42 Diagramme Bewerbungen ab 2006/ Postulations à partir de 2006 400 385 350 397 319 308 300 284 269 250 250 200 43 183 157 150 130 100 0 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 Neue Lehrverträge ab 2006/ Nouveaux contrats d’apprentissage à partir de 2006 80 73 70 71 74 67 60 56 55 2008 2009 52 75 71 50 41 40 30 20 10 0 2006 2007 2010 2011 2012 2013 2014 Lehrabschlüsse ab 2006 / Fin d’aprentissage à partir de 2006 57 52 50 40 30 2015 45 46 47 2009 2010 2011 49 50 37 28 28 20 10 0 2006 2007 2008 2012 2013 2014 2015 Auszubildende an der TFS ab 2005/ Apprentis au LT à partir de 2005 202 200 195 197 2010 2011 192 196 190 177 180 180 170 160 150 140 149 148 2006 2007 139 130 120 110 100 2005 2008 2009 2012 2013 2014 Diverses Divers 50 BBZ Biel-Bienne Organigramm per 1.8.2015 Standort Linde Standort Salzhaus Dietz Daniel (Sonderlösung) 44 Legende = Linien = zur Zusammenarbeit zugewiesen 45 Direktion Diverses Divers Aeschbacher Beat (Stöpfer Peter) Sekretariat BBZ QL und Projekte Evento SIBE strategisch Standort Wasen = Mitglieder der Schulleitungskonferenz Statistiken BBZ Biel-Bienne Statistiques CFP Biel-Bienne Lernende nach Abteilung /Apprentis par division, 15.9.2014 Die Lernendenzahlen zeigen die Grösse jeder Abteilung. Die Abteilungen Brückenangebote und Technische Fachschule sind Vollzeitschulen, das heisst, die Lernenden sind die ganze Woche im BBZ Biel-Bienne im Unterricht. Die beiden anderen Abteilungen sind Teilzeitschulen, die Lernenden besuchen den Unterricht während einem bis zwei Tagen. 202 401 Berufliche Grundbildung Technische Fachschule 657 1363 Brückenangebote Berufsmaturität/Mediamatiker «27 % aller Lernenden im BBZ Biel-Bienne sind in einer Vollzeitausbildung» 46 Abteilung Brückenangebote /Division Solutions Transitoires, 15.9.2014 Die Produktepalette der Brückenangebote wird zunehmend diversifiziert und dem Bedarf der Gesellschaft angepasst. 47 Berufsvorbereitung mit Schwerpunkt Allgemeinbildung Berufsvorbereitung mit Schwerpunkt integration von Fremdsprachigen Diverses Divers 137 64 Berufsvorbereitung mit Schwerpunkt praktische Ausbildung 53 Section Intégration (de personnes de langue étrangère) 40 Section Pratique 39 36 Vorlehre 18 Section Formation générale APP Plus 7 BVS Plus 7 «Die Abteilung Brückenangebote zeichnet sich durch eine hohe Sprach- und Integrationskompetenz aus» Abteilung Berufliche Grundbildung / Division Formation professionelle initiale (Deutsch /allemand), 15.9.2014 Anzahl der Lehrverhältnisse nach Beruf. Bestimmte Berufe werden teilweise zusammen in derselben Klasse unterrichtet. Elektoinstallateur/in EFZ 136 Koch/Köchin EFZ 95 Polymechaniker/in EFZ 87 Bäcker/in-Konditor/in-Confiseur/in EFZ BK 83 Automatikmonteur/in EFZ 67 Automobil-Fachmann/Frau EFZ 60 Produktionsmechaniker/in EFZ 57 Elektroniker/in EFZ 57 Montage-Elektriker EFZ 55 Coiffeur/Coiffeuse EFZ 54 Automobil-Mechatroniker/in EFZ 49 Mikromechaniker/in EFZ 38 Bäcker/in-Konditor/in-Confiseur/in EBA 33 Konstrukteur/in EFZ 23 Restaurationsfachmann/frau EFZ 22 Mechanikpraktiker/in EBA 22 Automobil-Assistent/in EBA 21 Küchenangestellte/r EBA Mikrozeichner/in EFZ 48 Verbandslehre 16 12 10 «Vielfalt und eine grosse Spannweite der Berufsfelder zeichnen die Abteilung Berufliche Grundbildung aus.» Abteilung Berufliche Grundbildung / Division Formation professionelle initiale (französisch / français) Nombre d’apprentis par profession. 49 Horloger/-ère CFC Cuisiner/-ère CFC 47 Opérateur/-trice en horlogerie AFP 42 Polymécanicien/-ne CFC 41 Mécanicien/-ne en maintenance d'automobiles CFC 36 Coiffeur/Coiffeuse CFC 33 Assistant/-e en maintenance d'automobiles AFP 23 Horloger/-ère praticien/-ne CFC 21 Boulanger/ère-pâtissier/-ère-confiseur/-euse CFC 16 Apprentissage association 14 Dessinateur/-trice-constructeur/-trice en... 14 Micromécanicien/-ne CFC 12 « La diversité et la précision sont les pierres fondateurs de la division de la formation professionelle initiale. » Diverses Divers 67 Abteilung Berufsmaturität-Media / Division Maturité professionnelle-Média Anzahl Lernende nach Angebot. Mediamatiker EFZ 268 KURS Für erweiterte Allgemeinbildung inkl. 149 Berufsmaturität 2 101 Berufsmaturität 1 47 Maturité professionnelle 1 46 Cours préparatoire maturité profesionelle 24 Vorkurs Höhere Fachschule Mediamatiker EFZ Way-up 14 8 «Der «Boom-Beruf» 50 Mediamatiker ist für das BBZ Biel-Bienne eine wertvolle Bereicherung, aber auch eine ständige Herausforderung und bildet nebst der BM 2 und den Vorkursen das Kerngeschäft der Abteilung.» Abteilung Technische Fachschule / Division Lycée Technique Anzahl Lernende welche der Technischen Fachschule eine Vollzeitausbildung absolvieren. Horloger CFC 41 Mikromechaniker EFZ 41 Elektroniker EFZ 37 Mikrozeichner EFZ 26 Opérateur en horlogerie 21 Mechanikpraktiker EBA 20 Produktionsmechaniker EFZ Horloger Praticien CFC 9 7 «Das Ausbildungsangebot der Technischen Fachschule Biel richtet sich in erster Linie nach dem Fachkräftebedarf der regionalen Industrie..» Diverses Divers 51 Neueintritte Lernende 2014 nach Staatsangehörigkeit Nouveaux apprentis 2014 par nationalité Neben den drei grossen Gruppen von Lernenden mit ausländischer Staatszugehörigkeit (Italien, Portugal und Kosovo) sind zahlreiche andere Staatszugehörigkeiten im BBZ Biel-Bienne zum Lernen vereint : Äthiopien, Australien, Brasilien, Chile, China, Côte d’Ivoire, Irak, Kamerun, Kolumbien, Montenegro, Nicaragua, Rumänien, Somalia, Thailand, Tunesien, Ukraine, Vietnam, Afghanistan, Kroatien, Spanien, Sri Lanka, Frankreich, Mazedonien, Türkei, Serbien, Eritrea. 11% 3% 3% 4% Schweizer Italiener Portugiesen 79% Kosovaren Andere «Lernende aus 30 Nationen 52 sind auf 1.8.2014 ins BBZ Biel-Bienne eingetreten : eine bereichernde Vielfalt.» Behörden – Autorités 2014/15 Dietz und Zehnder Andreas Bund/Confédération Eidgenössisches Volkswirtschaftsdepartement Staatssekretariat für Bildung, Forschung und Innovation SBFI Département fédéral de l’économie, secrétariat d’Etat à la formation, à la recherche et à l’innovation SEFRI Maruo Dell’Ambrogio, Staatssekretär, secrétaire d‘Etat / Josef Widmer, Stv. Direktor, directeur suppléant / Jean-Pascal Lüthi, Leiter Berufliche Grundbildung und höhere Berufsbildung, chef formation professionnelle initiale et supérieure Verwaltung/Administration Aebi Sandra Hinz Silvia Hirschi Gisela Fontana Teresa Meier Vanessa Perrenoud Aude Schwab Marie-Louise Schlunegger Laetitia Sypniewski Pia Zehnder Andreas Kanton/Canton Erziehungsdirektion / Direction de l’instruction publique Regierungsrat / Conseiller d’Etat Dr. Pulver Bernhard Mittelschul- und Berufsbildungsamt Office de l’enseignement secondaire du 2e degré et de la formation professionnelle Vorsteher : Ninck Theo Vorsteher Abteilung Berufsschulen / Inspecteurs : Bürki Christian Chef de la section francophone : Cosandey Florent Bibliothek/Bibliothèque Marti Rudolf Rauber Urs Schulrat/Conseil d’école Trachsel Alexandre, Président, entrepreneur Kammermann, Markus, Vizepräsident, Geschäftsführer Swissmechanic Némitz Cédric, conseiller communal Dremelj Martin, Gewerkschaftssekretär Jugend, UNIA Ruedin Eric, secrétaire général APHM Wyss Armin, Geschäftsführer BiCT AG Berger-Hirschi Pierrette, Avocate Aeschbacher Beat, Direktor BBZ / Directeur CFP Stöpfer Peter, Direktor-Stellvertreter, Blaser Jürg, Berufsschullehrer Zehnder Andreas, Verwalter / Administrateur, Protokoll / procès-verbal Schulleitung/Direction d’école Direktor / Directeur : Aeschbacher Beat Direktor-Stellvertreter / Remplaçant du directeur : Stöpfer Peter Mitglieder / Membres : Dick Matthias, Plüss Olivier, Daniel Dietz und Zehnder Andreas Technischer Dienst/Service technique Löffel Rudolf Hutmacher Ulrich Informatikdienst/Service informatique Vorsteherin Informatikdienst : Aline Comment Fink Johnny, Greder Olivier, Kocher Marc, Pfister Bernard, Schwab Michael, Moser Dominik, Von Allmen Urs, Güggi, Geneviève Hausdienste/Services de la conciergerie Service de la conciergerie Hausdienstleiter / chef concierge : Barth Andreas Hauswarte / concierges : Culmone Enrico, Frei Roger, Freudiger Jürg, Jakob Urs, Marolf Jean-Daniel, Magri Orlando, Neuweiler Roger, Rauber Daniel, Gemelli Marco Mensen Klotz Wolfgang (Wasenstrasse) André Bleichenbacher (Linde) Diverses Divers 53 Kontakt für Fragen und weitere Infos: Pour toute question et information complémentaire: Berufsbildungszentrum Biel-Bienne Wasenstrasse 5 Postfach 4264 2500 Biel-Bienne 4 Centre de formation professionnelle Biel-Bienne Rue Wasen 5 Case postale 4264 2500 Biel-Bienne 4 Telefon 032 344 37 52 Telefax 032 342 14 49 www.bbz-biel.ch [email protected] Téléphone 032 344 37 52 Téléfax 032 342 14 49 www.cfp-bienne.ch [email protected] Der Jahresbericht ist auch als PDF erhältlich : www.bbz-biel.ch Le rapport annuel est également disponible en fichier PDF : www.cfp-bienne.ch