blabla - Cité scolaire Marcel Gambier

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Un journal de lycéens - 20 mars 2013
Lycées Marcel Gambier et Paul Cornu - Lisieux
VIOLENCE
Actualités Restructuration de nos lycées
Médias Addictions aux jeux vidéos...
Sport Les joueurs professionnels originaires du Pays d’Auge
Mode Les «victimes» de la mode
Vie scolaire Interview
Magazine à télécharger sur les sites des deux lycées.
La ligne éditoriale
Les élèves de seconde faisant
partie de l’option «littérature et société» de gambier, ont décidé de
faire appel à la section production
graphique du lycée Cornu afin de
collaborer dans le but d’aboutir
à un projet commun : la création
d’un journal.
De là, le journal prend forme petit
à petit jusqu’à devenir «le blabla
de Paul et Marcel», un titre qui
parle !
Le journal a été créé avant tout
pour les lycéens et plus particulièrement pour les lycéens de
Marcel Gambier et Paul Cornu.
Celui-ci permettra d’informer les
lycéens sur les faits de sociétés
actuels. La mode, la culture, le
sport, l’actualité ou encore la vie
scolaire sont les rubriques que
vous retrouverez. Elles s’inspirent
des journaux et magazines existants. Mais nous avons voulu porter un regard lycéen sur l’actualité
pour la donner à lire à des lycéens
dans un journal lycéen.
Actualités
Actualités
Le lycée Marcel Gambier a été construit en 1964, puis a été agrandi en 1970 pour
créer un espace Administration et une salle des professeurs. Cet établissement a
depuis connu un agrandissement en 2001 avec la création du Centre de Documentation
et d'Information et un accroissement de la surface du gymnase.
Néanmoins des parties du lycée Marcel Gambier n'ont pas été rénovées depuis 1970 donc les conseils
Régional et Général ont décidé de le restructurer dans un raisonnement de dévolepemment durables. Lors
d'une étude menée en 2010 une commission est venue à Gambier et a testé toute l'architecture afin de
savoir si les locaux étaient aux normes de sécurité... Il s'est avéré que les coupes-feu n'étaient plus
conformes aux lois actuelles. De plus la vétusté de certains bâtiments comme le gymnase et en particulier
les vestiaires font que cette restructuration est aussi attendue par les élèves. On peut dire que la cité scolaire
s'inscrit dans un raisonnement de développement durable. L'établissement va connaître une mise au norme
qui devrait rendre l'établisssement conforme au loi énergétiques (renforcement de l’isolation du bâti, amélioration des installations de chauffage, remplacement des éclairages à incandescence par des lampes basse
consommation....).
Cepandant la principale nouveauté de cette restructuration serait la création
d'un pôle science dans le bâtiment lycée ce qui séparaient totalement les
deux bâtiments, et qui normalement, amènerait en dehors des pauses, les
lycéens à ne plus côtoyer les collégiens. La restructuration comprend aussi
la création d'un garage à vélo dans une logique de transport propre et de
protection des vélos.
Ce projet vise également à repenser le self. Il aurait pour objectif la
diminution du temps d'attente des élèves. Les réfectoires seraient eux aussi
repensés. Il n'y aurait plus que deux réfectoires ; un réfectoire lycéen et un
réfectoire collégien.
Le projet initial prévoirait enfin le renouvellement de l'internat, en rénovant principalement les sanitaires.
Lors des réunions de 2012, les politiques accompagnés de techniciens ont expliqué que la restructuration
du lycée coûterait 15 millions d'Euros. Cependant le budget voté par le conseil général et par le conseil
régional est de 11 millions d'Euro. Alors deux projets ont été proposé :soit la restructuration de l'internat soit
la restructuration du self. Le projet retenu est la restructuration du self, ce qui entraîne la fermeture de
l'internat. Le motif financier est recevable en temps de crise. Cependant la suppression totale de l'internat
supprimerait des postes. Les concernés seraient les surveillants qui sont présents le soir, ainsi que les CPE. Il
faut ajouter à cela le personnel préparant la nourriture et assurant la maintenance.
Quelles sont les solutions proposées aux internes après la restructuration ? Les responsables politiques
proposent que les internes rejoignent l'internat de Paul Cornu. Cependant un interne a confié : « préférer
faire 45 minutes de Bus » plutôt qu'aller dans un autre internat. Le lycée Gambier en perdant l'internat,
causerait une dégradation du niveau de vie des actuels internes. En effet, même si les pensionnaires acceptaient d'aller à Cornu, il leur serait imposé de prendre une navette pour rejoindre le lycée Gambier.
Le début des travaux de la restructuration sont prévus en juillet 2014. La cité mixte Marcel Gambier va
connaître une restructuration qui ne convient pas à tout le monde en particulier aux internes...
La restructuration
de la cité mixte
Marcel Gambier
Mon emploi du temps ? Et le votre alors ?
Que vous soyez lycéen à Paul Cornu ou à Marcel Gambier, vous remarquerez que seuls quelques uns d'entre nous
sont satisfaits de leur emploi du temps. Et chaque année, au mois de septembre, on râle contre les « privilégiés ». En
fait, on les envie...
On se pose alors une question existentielle : Qu'est ce qu'un bon emploi du temps ?
Pour nous, lycéens, c'est lorsque le rythme scolaire de la semaine est régulier, c'est à dire quand toutes les
heures de nos journées sont équitablement réparties et que nous avons suffisamment de temps pour manger. Les
journées sont alors homogènes entres elles. Si par exemple, une journée est composée de 4 heures le matin et 4
heures l'après midi, plutôt que 3 heures et 5 heures, Si toutes les journées sont comme celles décrites auparavant,
nos semaines seraient beaucoup moins fatigantes.
Une autre question se pose aussi :Les emplois du temps sont-ils meilleurs à Cornu ?
Pour vous, nous avons interrogé Édouard HUE, un élève de seconde
professionnelle étudiant
au lycée Paul Cornu. D'après lui, son emploi du temps est convenable,
bien que les
après-midis soient quelque peu trop chargés au détriment de
matinées.
N'allez pas vous imaginer que seuls les élèves du
lycée Paul Cornu ont un morceau de gruyère en guise
d'emploi du temps car d'après Clémence GUBARE élève
de seconde 1, au sein du lycée Marcel Gambier , son
emploi du temps est plutôt agréable. Pourtant elle
nous fait remarquer que dans une semaine elle aura
quelques fois une matinée tranquille et un après-midi
surchargé, ou bien une journée très calme et une
autre qui sera un véritable parcours du combattant.
Le bilan de ces deux interviews nous pousse à
constater que les élèves sont malgré tout satisfaits,
ayant suffisamment de temps pour manger le midi.
Pour élargir géographiquement la réflexion, les
lycéens sont-ils mieux lotis en Europe ?
Les emplois du temps des lycéens en Allemagne, ou
en
Angleterre, sont différents , ils travaillent le matin et ont des
activités sportives l'après-midi. Ces journées plus légères ont l'avantage de
faciliter la concentration pendant les cours.
Pour autant, si la France devait adopter cette manière d'enseigner, il
faudrait savoir que
nous aurions moins de vacances. Les lycéens allemands et anglais, sur cette année scolaire 2012-2013 ont 97 jours
de vacances en tout alors que nous en avons 124 .
Nous pouvons conclure qu'il n'y a pas d'emploi du temps idéal, il faut alors s'habituer et s'adapter aux
contraintes, que peut occasionner celui-ci .
sétilautcA
Actualités
Et vous, vous en pensez quoi ?
Ceux qui sont contre :
Le cannabis et vous
On l'attendait cette étude. Et quelle étude ! Pendant près de trente ans, plus de 1000 personnes nées entre
1972 et 1973 ont été observé et ont vu leurs comportements analysés pour arriver à cette conclusion : fumer du
cannabis de manière régulière entraîne une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte. En effet, les consommateurs réguliers de cannabis, durant leur adolescence ont vu leur QI diminuer de 8 points, indicateur sensé être
stable à vie. De plus, les chercheurs néozélandais ont constaté que même les petits fumeurs étaient concernés avec
des problèmes d'attention, de mémoire et de concentration. Alors évidemment, on pourra toujours remettre en
cause cette étude, mais le sérieux avec lequel elle a été mené nous laisse à penser que les résultats sont fiables.
Effectivement, les chercheurs ont pris soin d'éliminer les facteurs associés -consommation d'alcool, éducation- qui
risquerait de fausser les résultats.
Finalement, ces études sur la drogue peuvent
nous sembler assez lointaines. C'est pour cela
que nous avons décidé de partir à la rencontre
de quelques lycéens de Marcel Gambier et de
Paul Cornu pour connaître leur opinion à
propos du cannabis. Alors pour ou contre, à
vous de choisir...
A coté de cette étude, certains pays ont déjà légalisé le cannabis. On
connaissait déjà quelques Etats tel que l'Espagne, les Pays Bas, l'Australie,
ou encore la République Tchèque autorisant la consommation ainsi
que la possession d'une petite quantité de cannabis. Et désormais,
depuis le 6 décembre 2012, dans l’État de Washington aux États-Unis,
ses habitants pourront détenir jusqu'à 28,5 g de marijuana et la fumer
à des fins récréatives. En effet, depuis le vote d' une loi votée par
référendum à 56% de oui, cet Etat américain fait partie du club très
fermé des « prolégalisation », juste avant l’état du Colorado. Néa
moins, la loi votée n'a pas permis d'atténuer les tensions autour de ce
débat. Pour calmer l’inquiétude des opposants à cette légalisation et
accessoirement rassembler une plus large coalition, les Autorités ont mis en
place un compromis prévoyant de durcir la législation sur les routes.
Camille et Baptiste, élèves de 2nde à Marcel
Gambier
Si c'est pas trop fort... Je ne vois pas pourquoi
on l'interdirait étant donné que l'alcool et la
cigarette qui peuvent rendre tout aussi accro
sont autorisés.
On se pose donc l'éternelle question : au vue des résultats inquiétants des études portant sur le sujet, légaliser le
cannabis aurait-il un effet sur la baisse de la consommation ou bien, au contraire, contribuerait-il à la « bêtification »
des adolescents ?
Pour ce qui est des pays ayant déjà légalisé le cannabis, certaines voix s'élevent déjà pour remettre en cause cette
légalisation. Cependant, le problème ne concernerait pas la consommation de drogue en elle-même, mais plutôt
l'explosion du trafic de drogue dure (héroine, cocaine, ectasy), les trafiquants de drogue s'étant rattrapés sur ce type
de drogue, plus lucratives à la suite de la légalisation des drogues dites douces. De plus, la légalisation du cannabis
n'étant pas en place depuis très longtemps dans les différents pays, il faudra attendre plusieurs années pour voir les
résultats de l'étude se réaliser.
Ceux qui sont pour ou souhaiterais que l'on en
parle un peu plus:
Camille, élève de terminale à Marcel Gambier
Je trouve qu'on est trop hypocrite à propos de
ce débat. La France est le pays où les ados
fument le plus de cannabis, alors il serait
peut-être temps d'aborder le sujet !
Rémi, élève de 1ère à Paul Cornu
Ça peut être dangereux, mais il suffit de ne pas
en abuser.
Marie, élève de 1ère à Paul Cornu
Personnellement, je n'en ai jamais pris. Cela
dit, je trouve que cela ne sert à rien de
prendre du cannabis dans le but de s'évader
ou de s'amuser vu les risques qu'il y a
derrière.
Pauline, élève de 2nde à Marcel Gambier
pose d'appeler les gendarmes pour qu’ils
effectuent un contrôle. Dans le cas de l'affaire
que je vous ai racontée, les gendarmes ont
trouvé une barrette de chite cachée dans le
plafond et un carnet où l'un des élèves qui
dealait écrivait le nom de ses acheteurs et de
ses fournisseurs, ce qui a permis aux gendarmes de démanteler un réseau.
Ce genre d'affaire arrive-t-elle souvent ?
On n'a pas été souvent confronté à des
affaires aussi importantes, même si l'on se
doute bien que certains élèves consomment
de la drogue et peut-être même qu'ils en font
circuler dans le lycée.
Ne pensez-vous pas qu'une légalisation
pourra faire baisser la consommation des
jeunes ?
Personnellement, je pense que la consommation ne diminuerait pas mais que cela changerais peut-être le mode d'achat.
Les personnes que nous avons interrogés nous ont permis de nous rendre compte qu'il existe bien des avis différents à propos de la consommation de cannabis. Certains sont radicalement opposés, d'autres souhaiteraient
que l'on en parle plus, tandis que quelque-uns sont en faveur de sa légalisation. On trouve ce clivage jusqu'aux
plus hautes sphères de l'Etat où le ministre de l'Education Nationale Vincent Peillon s'était déclaré « pour » une
légalisation du cannabis avant de se faire rapppeller à l'odre par le premier ministre.Quoi qu'il en soit la consommation de cannabis en France est considéré comme une infraction pénale punie d'une peine qui peut aller
jusqu'à dix ans de prison ou d'une amende pouvant atteindre 75 000 euros.
La réputation des lycéens.
Actualités
Le lycée Marcel Gambier a été construit en 1964, puis a été agrandi en 1970 pour
créer un espace Administration et une salle des professeurs. Cet établissement a
depuis connu un agrandissement en 2001 avec la création du Centre de Documentation
et d'Information et un accroissement de la surface du gymnase.
Néanmoins des parties du lycée Marcel Gambier n'ont pas été rénovées depuis 1970 donc les conseils
Régional et Général ont décidé de le restructurer dans un raisonnement de dévolepemment durables. Lors
d'une étude menée en 2010 une commission est venue à Gambier et a testé toute l'architecture afin de
savoir si les locaux étaient aux normes de sécurité... Il s'est avéré que les coupes-feu n'étaient plus
conformes aux lois actuelles. De plus la vétusté de certains bâtiments comme le gymnase et en particulier
les vestiaires font que cette restructuration est aussi attendue par les élèves. On peut dire que la cité scolaire
s'inscrit dans un raisonnement de développement durable. L'établissement va connaître une mise au norme
qui devrait rendre l'établisssement conforme au loi énergétiques (renforcement de l’isolation du bâti, amélioration des installations de chauffage, remplacement des éclairages à incandescence par des lampes basse
consommation....).
Cepandant la principale nouveauté de cette restructuration serait la création
d'un pôle science dans le bâtiment lycée ce qui séparaient totalement les
deux bâtiments, et qui normalement, amènerait en dehors des pauses, les
lycéens à ne plus côtoyer les collégiens. La restructuration comprend aussi
la création d'un garage à vélo dans une logique de transport propre et de
protection des vélos.
Ce projet vise également à repenser le self. Il aurait pour objectif la
diminution du temps d'attente des élèves. Les réfectoires seraient eux aussi
repensés. Il n'y aurait plus que deux réfectoires ; un réfectoire lycéen et un
réfectoire collégien.
Le projet initial prévoirait enfin le renouvellement de l'internat, en rénovant principalement les sanitaires.
Lors des réunions de 2012, les politiques accompagnés de techniciens ont expliqué que la restructuration
du lycée coûterait 15 millions d'Euros. Cependant le budget voté par le conseil général et par le conseil
régional est de 11 millions d'Euro. Alors deux projets ont été proposé :soit la restructuration de l'internat soit
la restructuration du self. Le projet retenu est la restructuration du self, ce qui entraîne la fermeture de
l'internat. Le motif financier est recevable en temps de crise. Cependant la suppression totale de l'internat
supprimerait des postes. Les concernés seraient les surveillants qui sont présents le soir, ainsi que les CPE. Il
faut ajouter à cela le personnel préparant la nourriture et assurant la maintenance.
Quelles sont les solutions proposées aux internes après la restructuration ? Les responsables politiques
proposent que les internes rejoignent l'internat de Paul Cornu. Cependant un interne a confié : « préférer
faire 45 minutes de Bus » plutôt qu'aller dans un autre internat. Le lycée Gambier en perdant l'internat,
causerait une dégradation du niveau de vie des actuels internes. En effet, même si les pensionnaires acceptaient d'aller à Cornu, il leur serait imposé de prendre une navette pour rejoindre le lycée Gambier.
Le début des travaux de la restructuration sont prévus en juillet 2014. La cité mixte Marcel Gambier va
connaître une restructuration qui ne convient pas à tout le monde en particulier aux internes...
La restructuration
de la cité mixte
Marcel Gambier
Pourquoi avons-nous tous cette mauvaise habitude,
aussi bien au lycée qu'ailleurs, de « coller des
étiquettes sur le dos des autres » ? Nous avons
tendance à juger les autres au premier abord sur leur
style vestimentaire, leur physique ou encore leur
beauté. Malheureusement, c'est souvent trompeur.
De nos jours, la réputation débute souvent à cause
de rumeurs qui se propagent sur les réseaux sociaux.
Or, avant qu'internet existe, les rumeurs circulaient
par le fameux « bouche à oreille » , qui s'attenuaient
plus facilement. Désormais, depuis l'arrivée du web
et donc des réseaux sociaux, ou de plus les
téléphones portables, les avis sur les autres sont plus
persistants. Les rumeurs qui circulent ne sont pas
forcément déformées, tout dépend des personnes
qui les propagent. De plus, il y a des personnes qui
ont une réputation qui joue en leur faveur et décide
de la laisser s'amplifier, comme le fait d'être « populaire » ou encore « riche /friqué».
Les rumeurs ne sont pas toujours basées sur nos
actes, elles peuvent aussi concerner le style
vestimentaire de chacun d'entre nous, qu'on soit
punks, gothiques, emos, hippies, etc... Quoi qu'on
fasse, peu importe qui nous sommes, on sera
toujours critiqué, alors autant vivre sa vie comme on
le souhaite. Pour s'en protéger, il faut savoir l'accepter et ne pas se fier aux regards des autres. Il faut
garder le moral et ne pas baisser les bras, elles
finiront par s'atténuer.
De plus, il ne faut en aucun cas dévoiler sa vie sur
Internet. Il faut faire attention à ce que l'on publie
sur les réseaux sociaux parce que cela pourrait se
retourner contre nous par la suite. Nous sommes
tous prisonniers de ce que l'on met sur le Net. La
preuve avec l'exemple d'une jeune canadienne,
nommée Amanda Todd, qui s'est suicidée après
qu'un homme l'ait harcelée, et ai posté des photos
d'elle nue sur le réseau social Facebook.
sétilautcA
Les lycées perçus par les lycéens.
Les deux plus gros lycées de Lisieux, Marcel Gambier
et Paul Cornu, ont chacun une réputation differente.
Nous avons rencontré des lycéens de Cornu et nous
leur avons posé cette question : Que pensez-vous
de Gambier ?
Khadija en Seconde à Cornu, nous a répondu ceci : « C'est une prison, il n'y a pas assez d'herbe contrairement à Cornu ». Cette lycéenne ne fait que
reprendre les avis généraux. Le lycée Marcel
Gambier est perçu comme une prison pour un
grand nombre de personnes étant à l'exterieur de
cet établissement.
Nous avons collecté une opinion de Swann, élève
de Seconde, sur son propre lycée, Gambier : « C'est
plûtot cool par rapport à Frémont. On est plus libre,
on n'est pas oppressé. Gambier est moins sévère. »
Comme nous pouvons le voir, les avis sont contradictoires. Ceux qui se trouvent dans un autre lycée
que Gambier n'ont pas les même préjugés que ceux
qui y sont. Les apparences sont parfois trompeuses.
Nous avons également demandé l'avis des lycéens
de Gambier sur Cornu ; nous avons recueilli ces
réponses ci :
Florian, en Seconde à Gambier : « La cantine est
bonne, le lycée est beau et plus moderne. » Et
Maxence, autre élève de Seconde a rajouté : « C'est
comme les portes de Leclerc. »
Ronan, élève en première STMG nous confie son
point de vue sur son lycée, Cornu : « J'aime bien,
c'est sympa on rigole bien . Il y a pleins de formations, c'est ouvert aux étudiants, on a une grande
liberté. »
Comme vous avez pu le lire
les réponses aux questions
sont divergentes ou parfois
complémentaires. C'est un
bon exemple de réputation
car ces avis mettent bien en
évidence le « bouche à
oreille » que nous avons cité
précédement dans l'article ,et les rumeurs qui circulent
dans Lisieux.
Contrairement au dicton, il
ne faut pas le voir pour le
croire, mais il faut l'entendre
pour le croire. En conclusion
, à chacun d'être assez
intelligent pour aller creuse
derrière les apparences.
Multimédia
Apple
Apple gagne un milliard de dollars par semaine depuis la délocalisation de l'Iphone en Chine.
Mais pourquoi la Chine ? Un article posté sur
le blog du Harvard Business Review offre une réponse
à cette question :
« Il n'y a tout simplement pas d'usine employant
250 000 travailleurs, capable de rouler jours et nuits
aux États-Unis. »
Foxconn est un sous-traitant d'Apple, son fabricant de
composants électroniques de ses produits. Cette société est le leader sur le marché de la sous-traitance
avec 1,2 milliards d'employés.
Or, Foxconn est accusé de forcer des étudiants stagiaires ( médecine...) à travailler sur les lignes de
montage des Iphones. Avec ses conditions de travail
inhumaines, elle ne respecterait pas la Convention
des droits de l'Homme,
article 23.
Ainsi, les employés se surpassent et parfois se suicident en se jetant du toit d'une des treizes usines de
Foxconn. De plus, elle emploiterait des adolescents
agés de 14 ans, ce qui est encore plus grave : heures
supplémentaires (12 heures par jour, 6 jours par
semaine), salaires rognés (900 yens soit une centaine
d'euros par mois), logements dangereux et management militaire.
Pour sauver son image, Apple a publié un communiqué : «Nous sommes fermement engagés pour que
nos chaînes de production soient sûres et que les
employés y soient traités avec respect et dignité».
À son tour, Foxconn a multiplié les mesures installant
des filets anti-suicide autour des bâtiments et a
recruté 2000 psychologues et agents de sécurité.
À ce jour, le groupe d'électronique Foxconn pourrait
accepter des syndicats librement élus dans ses usines
chinoises. Le Syndicat des travailleurs de l'Union
d'Apple dit vouloir de meilleures conditions surtout
après la vague de suicides. Sur sa page web,
le syndicat dénonce qu'Apple met tout en œuvre pour
contribuer à ce désir.
Le retour tant attendu de
Megaupload
Témoignage de Mathilde, 21 ans, parisienne :
« Je suis droguée à Apple. J’ai un Mac Book, un
iPhone, un iPad et un iPod. Pour moi rien ne peut
rivaliser avec la pureté et la beauté de ces objets. »
Les produits les plus connus de cette marque sont les
ordinateurs Macintosh, l’iPod, l’iPhone et l’iPad.
Les produits Apple sont présentés comme étant
destinés à toutes les tranches d’âge mais les premiers
touchés sont les jeunes. Au tout début d’Apple, l’iPod
ne faisait que lire de la musique ce qui répondait aux
attentes des jeunes de «l’époque».
L’iPhone est devenu, en quelques années, une
référence incontournable dans le monde de la
téléphonie, à tel point que beaucoup de lycéens en
possèdent un.
L’iphone a de nombreuses qualités, ce qui lui permet
de se démarquer des autres téléphones tout en
commençant par sa rapidité à aller sur internet.
Apple a su donc toucher son public avec une stratégie
dans le choix du produit, avec une stratégie commerciale pour réussir et se développer avec succès.
Apple touche toute sorte de population allant du
jeune qui souhaite écouter sa musique, au cadre d’entreprise qui a besoin de toujours rester disponible, en
passant par les personnes âgées trouvant dans l’iPad
une
manière simple de voir l’informatique, souvent plus
ludique et instinctive que l’ordinateur classique dans
son utilisation.
Mais il faut savoir qu’il y a tout de même des
conséquences derrière ce fabuleux résultat...
Les jeunes sont-ils conscients de ce qui se passe en
réalité ?
Gaborit Clémence et Levassort Axelle
Témoignage de Sabrina, jeune fille de 18
ans qui vit à Bordeaux :
«Je n’ai pas le temps de voir mon téléphone
ramer pendant 5 minutes quand j’ai besoin
d’une info rapide sur Internet ou de consulter mes mails. Je suis en stage dans un
cabinet d’avocats, il faut que ça aille vite ;
si j’ai besoin d’un renseignement, c’est tout
de suite ! L’iPhone est selon moi le meilleur
téléphone pour naviguer rapidement sur le
net».
«Megaupload» est un site Web créé en 2005 par
Kim Dotcom. Megaupload permettait à un internaute de mettre en ligne, pour que tout le monde
puisse s’en servir, n’importe quel type de fichier dans
la limite de 1 Go (1 Giga octet) pour les utilisateurs
libres, et sans limite pour les utilisateurs Premium.
Accusé d’avoir violé les lois sur le copyright, le site
fut fermé le 9 Janvier 2012 par le département de
la Justice des Etats-Unis, considéré comme un site
illégal. Mais certaines sources affirment cependant
que la vraie raison de la fermeture est principalement
due aux lobbys de l’industrie musicale, par crainte de
la concurrence d’un système de téléchargement gratuit
que Megaupload aurait appris à mettre en place. En réponseàcettefermeture,lemouvementAnonymousavait
lancé une opération de protestation baptisé #OpMegaupload seulement un quart d’heure après l’annonce
officielle qu’a annoncé le gouvernement américain.
Cependant, cela aurait été surprenant que Kim
Dotcom en reste là. En effet il présente en octobre
2012 le successeur de Megauploap, Mega, le service est disponible depuis le 19 Janvier 2013. Cette
nouvelle a fait les grands titres, dans le 20 minutes «Mega : Peut-on faire confiance au nouveau
service de Kim Dotcom?», dans le Monde «Kim
Dotcom lance Mega, un an après son arrestation»
et dans Libération « Mega, revanche Kim size».
Dès la réouverture, selon Kim Dotcom, plus d’un million de personnes auraient déjà ouvert un compte
en quarante-huit heures, information invérifiable,
d’autant qu’il a été très difficile d’accéder au site
surchargé tout le week-end du 20 Janvier 2013.
Mais Méga a vécu quelque raté comme le prouve un
article du Monde, «Après les ratés de son nouveau service de téléchargement Mega, Kim Dotcom présente
ses excuses». Il assure tout de même que tout est légal.
Le 31 janvier dernier, Kim Dotcom affichait fièrement les premiers résultats de sa plateforme : 50
millions de fichiers hébergés par Mega, et seulement
0,001% d’entre eux ont été l’objet de demandes
de retrait par les ayants droit. Avec environ 50 demandes de suppression par jour, Kim Dotcom semble
avoir réussi son pari. Mais au prix de quelques efforts.
Une loi existe contre ces sites de téléchargements,
la loi Hadopi (Haute Autorité pour la Diffusion des
Oeuvres et la Protection des droits sur Internet). Elle
existe depuis 2009. Elle consiste à avertir ou sanctionner les internautes qui téléchargent illégalement des
fichiers. On leur envoie un courrier d'avertissement et
si ils recommencent, ils recoivent une amende.
Maheux Elsa
Addiction aux jeux vidéos
La dépendance au jeu sur écran est une maladie
reconnue depuis peu et qui rejoint d’autres dépendances, comme les achats compulsifs ou la boulimie.
Quand le joueur a envie de décrocher, il n’y arrive
pas, en souffre, on considère qu’il est malade. Ce qui
était une distraction a envahi sa vie. Mais en général, même si les joueurs ont du mal à se freiner, ils
ne sont pas accros pour autant. On peut dire qu’un
joueur est addict lorsqu’il dépasse le seuil des 35h.
Témoigne un élève de Gambier addicte aux jeux
vidéos :
«Tous les soirs, en rentrant du lycée, je joue de
17h00 à 22h00 en faisant une pause d’une heure
pour faire mes leçons, et pendant les vacances dès
que je me lève jusqu’à la fin de la journée sauf si j’ai
des soirées.»
On estime que 3 à 4 % de ceux qui jouent pour de
l’argent sont dépendants, la proportion pourrait
être la même pour les jeux vidéo, bien qu’il n’existe
aujourd’hui aucune étude chiffrée.
La diffusion toujours plus large des équipements
informatiques et des connexions à Internet va entraîner une augmentation des addictions, et le succès des
jeux en réseau renforce la tendance, comme World
of Warcraft ou EverQuest. Car ces jeux en ligne ne
nécessitent plus d’aller chercher au dehors l’objet de
sa dépendance : le joueur reste chez lui.
S’il vit seul, sa dépendance peut passer inaperçue.
Les jeux en réseau se jouent sur Internet à une
échelle mondiale et aspirent le joueur dans un
espace-temps qui n’est plus celui du pays où il vit,
il est dans un monde et ne pense plus qu’à jouer.
Engageant des joueurs des quatre coins du monde, le
jeu progresse en permanence, et toute absence peut
provoquer la chute de l’avatar du joueur,
ce personnage qu’il a créé.
Rodrigues Florian
Événement musical : Fils d’actualités
Musique du moment
http://www.justmusic.fr/wp-content/uploads/2012/11/Will-i-am-BritneySpears-Scream-Shout.jpg
i
Avec plus de 1 249 735 736 de vues sur Youtube,le clip Gangnam Style,de psy,paraissait comme une évidence dans
notre séléction. Tout droit sorti de Séoul,le chanteur est devenu en quelques semaines,une star mondiale.’’Gangnam’’
est le nom d’un quartier huppé dans lequel vivait le chanteur
quand il vivait en corée. Grâce au succès rencontré sur cette
plate-forme, ce titre du chanteur Psy détient désormais le record absolu de popularité d’une vidéo sur le Net.N’avez vous
jamais dansé la célèbre danse ‘’du cheval’’ ( aussi appellé
«virus du cheval fou») ? Ou encore,chantonné cet air,ces
exclamations «Gangnam Style», ou «Oppa !» qui scandent
le titre ? Classé en quelques jours en première position sur
les sites comme Deezer ou iTunes,ce succès a déjà rapporté
un joli pactole à l’artiste, plus de six millions d’euros, selon
l’agence Associated Press.Les stars du monde entier se sont
essayées à la chorégraphie de Psy : Ai Weiwei Novak Djokovic, Briyney Spears ou encore le secrétaire général de l’ONU
Ban Ki-Moon.En France le succès est phénoménal. Psy a rassemblé plus de 20.000 personnes au Trocadéro, à Paris pour
02:30 / 05:15
(www.lefigaro.fr)
Le 5,6 et 7 Juillet aura lieu le festival Beauregard a Hérouville St Clair au château de Beauregard. L’èvenement
musical remporte comme chaque année un vif succès.
Passons immédiatement à trois présentations d’artistes
prévus au programme de cette année 2013 :
Le chanteur M passera au festival le 6 Juillet.M est un chanteur
compositeur interprète né le 21 Décembre 1981.Fils de Louis
Chédid,le chanteur se fait principalement connaître grace à
son excentricité.Pour vaincre sa timidité maladive, Mathieu se
créé un personnage à l’allure loufoque. Il est habillé d’une veste
rouge et coiffé en pétard, ce qui donne à ses cheveux l’étrange
silhouette d’un M. Mathieu Chédid se révèle être un musicien
professionnel accompli qui accompagne en studio des artistes
tels que NTM, Sinclair ou Billy The Kick. En mars 97,il se lance
dans le bain et sort son premier album, "Le baptême".Depuis il
enchaine les albums tels que : Je dis aime, qui de nous deux ?,
mister mystère et enfin sa dernière création: Îl
The Smashing Pumpkins
Clip de l’année 2012
gangnam style!
:
Il y a quelques mois paraissait "Scream & Shout", nouvelle
collaboration musicale entre la chanteuse Britney Spears
et Will.i.am, le leader des "Black Eyed Peas". Un nouveau
featuring pour les deux artistes américains qui fait sensation
au près du jeune public. Bien écrit, rempli de rythme et plein
d’énergie, mettant en scène deux stars, illustré par un clip marquant et bien réalisé, qui devient très bling bling sur la fin…
Cette chanson fait partie du quatrième album de Will.i.am
(Willpower.) Les deux artistes ont déjà collaboré ensemble en
2011 sur deux morceaux pour l'opus Femme Fatale. Initialement, appelé Sexy Sexy d'après les rumeurs, le duo devait
être publié le 15 octobre 2012, mais will.i.am a repoussé la
date de sortie du single en raison de diverses fuites illégales
de son album sur Internet. ''Scream & Shout'' est une chanson de musique dance et electropop dont les paroles traitent
du bon temps que l'on peut passer au cours d'une soirée.Le
single a été numéro 1 dans 27 pays, et ce devant d’enormes
hits comme ''Skyfall''d'Adèle ou ''Gangnam Style'' de Psy.
Le groupe The Smashing Pumpkins fera l’honneur de déverser son rock
corrosif sur la scène de Beauregard le samedi 6 juillet. Pour les qualifier les
adjectifs sentrechoquent : extravagants, mélancoliques, bruts, poétiques,
leur son est chaotique, leurs textes hautement symboliques, leur musique
addictive. C’est un groupe de rock alternatif américain, fondé en 1987 à
Chicago par le chanteur et guitariste Billy Corgan, composé de Billy Corgan,
James Iha, Jimmy Chambelin et D’Arcy Wretzky, le groupe se sépare en
2000 avant de se reformer en 2006. Le groupe connait un début difficile,
après avoir passé la fin des années 1980 à jouer dans les bars de Chicago,
le groupe passe à l’enregistrement et sort le 28 mai 1991 son premier album
« Gish ». Depuis ils sortent albums après albulms. ( Siamese Dream (1993)
,Zeitgeist (2007), Teargarden by Kaleidyscope (2009), Oceania (2012) ).
Recher-
Nous avons séléctioné pour vous,chers lecteurs,deux clips
qui ont fait ‘’sensation’’ dans cette année 2012 :
Quoiqu’on en dise, la lecture reste toujours, chez les adolescents, un moyen pour se divertir. Par exemple,
nous pouvons voir que « Twilight » ou encore « Harry Potter » font partie des livres les plus lus. Par conséquent, nous remarquons que les séries sorties en livres avant les films sont appréciées par les adolescents.
Il faut aussi savoir que les livres lus par les adultes sont très différents de ceux lus par les adolescents.
Prenons un exemple en interrogeant un professeur de Français, M. Lavenan.
-Quel est votre livre préféré le plus récemment lu?
M. Lavenan:-J’aime plusieurs livres, en fait je n’ai pas un livre préféré en particulier, il y en a plusieurs, mais
j’ai une préférence pour les romans qui parlent de romans. J’adore la littérature qui parle d’elle même. Je
donnerai donc en exemple « les faux monnayeurs » d’André Gide, et puis peut être une littérature un peu plus
particulière telle que « 53jours » de Georges Perec.
Beauty and a beat
Le jeune canadien,agé seulement de 19 ans,reconnu dans
le monde entier,a sorti récemment la chanson ‘’Beauty and a
Beat’’ en duo avec Nicki Minaj. Après la sortie du clip,le 12 octobre 2012,des milliers de ‘’Beliebers’’ ( Fans de Justin Bieber
) ont applaudis avec grand entousiasme le chanteur. Le clip a
été vu plus de 135 millions de fois sur Youtube en seulement
quelques jours. C’est le 3ème Single extrait du 3eme Album
de Justin Bieber ‘’Believe’’. Après avoir été découvert sur
YouTube, il continue à articuler savamment sa présence sur
de nombreuses plateformes, en particulier sur Youtube, mais
également sur twitter. Cette force de frappe lui vaudra d’ailleurs
d’être considéré par le magazine Forbes cette année comme
la 3ème célébrité la plus influente.30 secondes de scènes
de la vie personnelle de Bieber s’enchaînent alors avant
que... la musique ne commence et ne laisse place au clip de
«Beauty and A Beat», filmé en totalité dans un parc aquatique.
-Qu’est ce qui vous a plu dans ce livre?
M. Lavenan-Ce qui m’a plu dans ce livre... c’est un peu compliqué. En fait, on a plusieurs mises en abymes,
cinq plus précisément, sachant qu’une mise en abîme est un récit dans le récit.
Donc pour faire simple, je dirais qu’au début du roman on a un personnage qui est contacté pour enquêter
sur la disparition d’un auteur. Celui-ci va essayer de retrouver cet auteur en lisant le roman que l’auteur est
entrain d’écrire. Ce roman enchâssé raconte l’histoire d’un auteur qui disparaît avec un enquêteur qui va essayer de le retrouver en lisant son livre,
etc, jusqu’à 5 niveaux. Et en fait, ce qui est génial dans ce livre, enfin, ce qui est beau, c’est que ce roman est le dernier roman de Georges Perec. Il
n’avait pas pu le terminer, il est donc inachevé. L’éditeur a eu la bonne idée de mettre à la fin de ce roman les brouillons, ce qui fait que le lecteur est
amené à faire une enquête à partir des brouillons de l’écrivain, comme si finalement ce dernier niveau, qui est la réalité, englobait le roman, et que
le roman était une mise en abîme lui même de notre propre vie. Enfin bon, quelque chose d’un peu compliqué. Justement, ce qui est beau dans ce
livre, c’est le fait que ce soit vertigineux.
-A quel registre correspond ce livre ?
M. Lavenan:-Ce qui est bien est le fait que ce soit un roman policier, c’est donc entraînant.
Le conseilleriez-vous à vos élèves?
M. Lavenan:-Ce qui est drôle c’est que je l’ai étudié une fois avec des élèves, et qui, de leurs propres aveux, ont eu l’impression de comprendre. Mais
en fin de compte, ils n’ont pas trop compris... Ce qui est tout de même génial, c’est qu’ils ont adoré parce qu’ils se sont bien rendu compte qu’il y
avait quelque chose dans ce roman qui était très particulier. Si je pouvais rajouter quelque chose, c’est que, bien évidement, je conseille ce livre,
« 53 jours », de Georges Perec.
Mode-Phénomène de société
Mode-Phénomène de société
Différences, élégance ?
Alors plutôt branché, vintage ou bab ? Tee-shirt XXL ou bustier à clous ? Hum, dur de savoir n’est-ce pas ? Très bien,
alors jouons un peu ! Cap de s’indentifier à un ces différents look, de rentrer dans la peau d’un de ces personnages au
style décodé afin de savoir sur quel pied dansez vous ? Allez, dis moi comment tu t’habilles, et je te dirais qui tu es...
Skatteur
A la pointe de la mode
Plus c’est large, mieux c’est. Bref, c’est toujours le
genre de pantalons larges, dans le genre baggy, pour que
nous puissions admirer leurs magnifiques postérieurs, les
grands sweats à capuche, pardessus une chemise sympathique la plupart du temps ou un t-shirt plutôt stylé. Pour les
filles c’est un peu la même chose, mais nous pensons que
comme nous, vous aurez remarquez que ce style est plus
porté par les garçons. Les chaussures de skate, quant à
elles, sont particulièrement chères et imposantes avec de
gros lacets.
On retrouve ce style de vêtement que portent toutes
les accros aux tendances dans tout les Elle et Madame
Figaro. Ceux adoptant ce style sont ceux qui suivent de très
prés, tout le temps et de tout temps la mode. Si cette saison
les MoonBoots avec une jupes sont déclarées officiellement
hype, toute fashionistas qui se respecte adopteras ces deux
petits bijoux, car les considérant comme étant topissimement
classe. Et si demain cela devenait ultra ringard, et bien elles
jetteraient tout pour racheter les vêtements en 27ème pages
du dernier Grazia. Néanmoins elles (ils) ont une règle d’or,
toujours rester classe avec le but de se faire remarquer, en
employant le refus massif d’entrer dans la banalité de « tout
ces bouzeux de campagne »
C’est donc un look sympathique. Au moins on est à
l’aise dans ses vêtements. Et on a pas besoin d’être toujours
habillé selon le dernier cri, une façon de revendiquer sa liberté et sa passion !
C’est peut être un peu idiot d’être enfermé dans un
style qui est celui des magazines, cette façon de suivre à la
lettre tel le mouton les dernière voies à suivre en matière de
tendances. Ceci peut être interprété comme un manque de
caractère, mais peu aussi aussi révéler un choix bien réél de
montrer son appartenance à une sorte de religion fashoniste !
Vintage,
Gothique
Pour la petite info, le vintage, selon le monde de la
mode désigne des vêtements anciens de créateurs renommés. Bien que tout le monde met souvent dans le même
panier vintage et fripe, sachez que ce n’est pas du tout pareil
! Le vintage est tout d’abord le reflet d’une authenticité, de
techniques ou coupes de couture, alors que la fripe, c’est une
pièce d’époque, mais pas forcément griffée. Donc, attention !
On ne mélange pas tout !
La mode gothique est l’ensemble des éléments liés
à l’apparence physique associés au mouvement gothique,
car cette sorte de « religion », ne s’arrête pas qu’aux pantalons à anneaux, et tee-shirt déchiré, noir par excellence.
L’apparence vestimentaire de ces envoutants corbeaux, et
vus comme le signe d’appartenance à un mouvement bien
concret, et qui revendique raffinement et élégance. Malgré la
présence obligatoire d’un corset, noir, et d’une robe en dentelles, noire, dans une garde robe féminine, ce style est loin
d’être figée, et laisse une large place à la créativité personnelle .
Être vintage, c’est être stylé, alors une règle d’or
patiné s’impose: être sûre de soi et assumer son look, c’est la
base, pour arriver à faire renaitre toute une histoire dans une
seule tenue, il faut de l’assurance ! Des T-shirts rock vintage,
des jeans customisés, des bottes en cuir, des déguisements,
des vestes d’hommes, des pulls «lose», ainsi que des blouse
en soie, et autant de vestes en cuir ! Les Vintage, c’est de la
dentelles à volonté, des colliers en perles, et de beaux
perfecto ! Mais pour bien porter le vintage, il faut le «mixer»
avec du neuf et du moderne ! On retrouve donc des accessoires qui suivent les tendances, et qui apportent un peu de
« fraicheur », pour ne pas tomber dans le total look mémé
Yvette ou tatie Géraldine. S’habiller vintage, c’est donc tout
un art, où se mélange vieux, usé, dernier cri, nouvelle collection, et robes du siècle dernier.
Bateau
Ou peut être, que là ou vous vous êtes reconnus n’étais
pas ce à quoi vous vous attendiez ? Allons, pas de quoi
paniquer, vous êtes peut être un de ceux qui imite, pas
forcément volontairement mais qui ne manque pas pour
autant de personnalité et d’originalité ! Aller, on se bouge et
on change...pour un style qui nous plais vraiment, et surtout
dans lequel on se sent bien, parce que n’oubliez pas que
l’important c’est d’être en harmonie avec ce que l’on porte.
Simple mais classe. C’est ce que porte majoritairement les gens du lycée, il se démarque parfois dans le fait
que certaines personnes ont un charme et une façon de porter ces vêtements qui font de ce style, un juste milieu. Ni trop,
ni trop peu, on remarque facilement dans ce look, quelques
petits détails, parfois propre à chacun, qui apporte de l’originalité à la tenue.
Tu as beau chercher, rien à voir avec ce que toi tu considère
comme stylé, c’est surement que tu possède ton propre
style, unique, dans lequel tu te sens bien, et que tu assumes
parfaitement ! Tu te détaches du lot et tu le vis bien !
Baba Cool ( dit « Bab »)
Hippies
Un autre mouvement vestimentaire bien en marge de
la société, sont les « hippies ». Ces extravagants et passionants personnages sont essentiellement non violent et pacifiste. On reconnaît les Hippies par leurs styles bien visibles, à
leurs façon d’être et de s’habiller. Paix, harmonie, musique et
égalité sont leurs mots d’ordre. Ils ne portent pratiquement jamais de marques connues, préférant acheter des vêtements
dans des friperies ou encore de les fabriquer eux-mêmes.
Couleurs, souplesse, confortabilité, sont leur base, les
« hippies »sont donc très ouverts et rêvent d’un monde meilleur, une vraie religion libérée tant par la pensée que par le style !
Avec ce style là, les gens sont libre de tout mouvement de création et de superpositions vestimentaires. Les
couleurs sont à peu près aux goûts de tous et les dreads,
ainsi que les atebas. C’est un peu remix du style hippy des
années 70, où sarouels, couleurs vives et liberté ne se
demode jamais. Le symbole de cette religion ? Bob Marley
évidemment ! Grand inspirateur de ce mouvement, où les accessoires tiennent une place symbolique. En effet, écarteurs
d’oreilles, bijoux en bois, nombreux bracelets, mais aussi
des bagues, quelques piercings. Vade retro mini-jupes, rose
bonbon, et escarpins, un seul mot d’ordre, être bien dans ses
pompes !
Le style baba cool correspond bien à certaine personnes à d’autres moins, et le mouvement peace and love,
qui revendique le « J’aime les couleurs et je profite de la vie »
n’est pas de mauvais goût !
Alors ? Rentrez vous dans une de ces cases ou
sortez vous du lot ? Si vous vous êtes reconnus alors bravo,
vous faites partie d’une famille, plus ou moins grande au
lycée, plus ou moins respecté, enfin ça c’est une autre histoire ! En tout cas, vous vous êtes trouvé, vous avez trouvé
une base à laquelle vous accrocher, vous vous assumer, ou
presque, et en prime, vous avez un style bien particulier et
qui se voit !
Cette catégorie est plutôt pas mal, en toute logique.
Pas de style particulier, ce qui permet de garder un côté
plutôt discret, mais attention ceci ne veut pas dire pas de personnalité, car de petites choses font souvent une différence
assez sympathique. Et puis comme ça, on peut porter de tout
sans se poser de questions, et varier les tendance selon ses
envies.
Mode-Phénomène de société
La réputation utile ou futile ?
Au sein des lycées, les élèves sont identifiés sous formes de catégories ( populaire, skatter, geek...). Au sein de ces
mêmes catégories, les personnes ont les mêmes gouts et les mêmes centres d’intérêts ( comme le style vestimentaire ).
Ils écoutent le même genre de musique et pense la même chose. Certains sont plus connus que d’autres selon leurs catégories, comme les populaires ou les « loser ». Tout nouveau ou nouvelle élève est directement catalogué dès la première
impression. Il est difficile d’en sortir quand les lycéens jugent beaucoup sans connaître et souvent à tort.
Portrait de deux extrêmes.
Au lycée, il y a plusieurs catégories, dont les populaires et les « losers ». Les populaires sont considérés comme ceux
qui font attention a leur apparence et qui prennent soin d’eux. Ils sont connus et connaissent beaucoup de monde et ne
trainent en général qu’entre eux. Il ne fréquentent surtout pas les « loser » pour éviter les critiques et les remarques des
autres et même se moquent d’eux parfois pour montrer qu’ils sont supérieurs aux autres. Il ne peuvent se permettre de faire
le moindre faux pas au risque de voir leur popularité s’écrouler du jour au lendemain. Ils se doivent de montrer l’exemple
en matière de mode, de tendance et de comportement au sein du lycée. Tout le monde les connait et se sent flatté lorsque
qu’un populaire leur parle. Il doivent garder le mythe de la personne « inaccessible », il ne sortent en général qu’entre eux
seulement. Mais ce sont des extrêmes, des personnes peuvent se retrouver au juste milieu comme la plupart des gens.
Puis viens le tour des moins populaire, des « loser », un autre extrême. Ils sont le contraire, ou presque, des populaires, ils sont peu connus voire pas du tout, et en général s’en portent plutôt bien. Ce ne sont pas des victimes d,e la
mode et ne sortent pas du lot, ils sont un peu en retrait et ne cherchent pas à se faire connaître. Ils subissent quelque fois
les moqueries de la part des populaires, sur leurs allures ou leurs comportements qui pourrait être décalés par rapport aux
autres. En général, ce sont des gens vrais, qui ne se prennent pas la tête pour des questions de gloire ou de popularité,
ayant de « vrais amis » qui restent pour ce qu’ils sont et non pas pour ce qu’ils pourraient offrir.
Amitié,qualité ou quantité ?
Faut-il avoir un grand nombre d'amis et ne pas pouvoir compter sur eux ou avoir deux ou trois amis et tout partager
? Dans la cour des lycées, les populaires sont entourés de leur « fan club » alors que les losers eux, forment un petit
groupe à part mais soudé. Ce fan club peut se créer grâce aux réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, où plusieurs personnes ne montrent pas leur vraie personnalité, et se contentent de trainer avec ces populaires tout en ne
s'identifiant pas à eux. En revanche, ce petit groupe de loser n'est peut être pas reconnu aux yeux de tous mais ils
peuvent au moins veiller les uns sur les autres et créer une vraie amitié.
Humiliation.
Néanmoins, ils subissent parfois du harcèlement voir la violence des populaires qui se sentent plus forts et supérieurs.
Cette violence peut être physique ou morale,allant de l'insulte à des coups ou des menaces. Il y a également d'autres
groupes, plus connu sous le nom de « Brimade ». Une étude a montré que les brimades trahissent une recherche d'affirmation d'un statut social, cherchant à toujours devenir le plus connu possible dans son lycée mais aussi dans les autres
établissements. Cette hiérarchisation peut donc amener de la part de certaines personnes à montrer un nouveau trait de
leur personnalité qui pousse à des actes violents.
Mode-Phénomène de société
En revanche, les populaires, quant à eux, peuvent être victimes de rumeurs pouvant dégrader leur
image jusqu'à leur enlever ce « titre » de populaire. Ils devront alors attendre que les rumeurs s'apaisent et
être à l'image de ce que les autres attendent d'eux. Ces rumeurs peuvent partir d'une manière de s'habiller ou
d'une confession dite à une personne que l'on croyait de confiance, et qui l'a affiché sur des réseaux sociaux
ou répété à d'autres personnes peu discrètes.
Les gens tentent de s'affirmer d'autant plus à cause des réseaux sociaux. Ils cherchent à avoir le plus
de « j'aime » sous une photo mise en ligne, ou à la moindre intervention sur ces réseaux, afin d'être remarqué.
En outre, les réseaux sociaux ont un impact primordial sur la dégradation d'une réputation ou encore d'une
amitié car n'importe quelle photo peut être publiée. Il y a également des groupes sur ces réseaux qui peuvent
être créés contre une personne en particulier, ; dégradant par la suite son image et ses relations sociales et
pouvant aboutir à des actes graves de la part de la victime.
En résumé socialement, les lycées fonctionnent comme une hiérarchie. Chacun arrive et prend sa
place, qu'elle lui plaise ou non, chacun est automatiquement cataloguée. En sortant un peu du lot, on s'attend
aux regards et aux critiques. Certains assument d'avoir un style différent; d'autres se cachent, sans montrer
leur vrai personnalité par peur d'un jugement. Offrir une autre image que celle que l'on nous a attribué au
départ, est difficile. Certains passent toute leur scolarité à changer pour les autres et non pour eux. Cela est
dommage de voir des personnes qui peuvent donner beaucoup plus que certains et rester dans l'ombre par
peur de s'affirmer au niveau vestimentaire ou au niveau de la personnalité.
Coucou beau gosse !
Elle me vend
du rêve !
Mode-Phénomène de société
Laissez la tranquille !
morte de rire tu m’a prise pour
qui?
C’est l’homme
de ma vie !
ill arrive au jardin et aperçoit Vanessa.
Il se met à penser à elle.
William le prend mal et menace
une des amies de Samantha.
Ashley arrive à son tour
et dit bonjour à William
Il faut que j’arrete de
la regarder mais elle
est si belle
Un mathematicien n’urine pas,
il fait π π ! lol !
Mais quelle
boloss cette idiote
William se met à fixer Vanessa,
ce qui rend Ashley furieuse.
Ahaha t’es vraiment trop
drôle !
Ashley va parler à Vanessa
afin de se raprocher
d’elle pour l’éloigner de William.
Mais qu’elle
quiche celle là !
Trop has been
Trop la honte quoi !
Je ne peut pas sortir
avec elle ! Sinon adieu
mon statut de populaire !
Regarde ces shoes !
Les amis de William se moquent
de la tenue de Vanessa.
William ne cesse de penser à Vanessa.
Et se dit qu’au final,
elle ne vaut pas la peine
qu’il s’intéresse à elle
car c’est une loser.
Anciens ou nouveaux,
souvent entre deux étages
Joueurs originaires du Pays-d’Auge
Le Pays d’auge est le berceau de joueurs professionnels et a vu évolué quelques
uns de ces joueurs dans des clubs à proximité. Quelques joueurs sont donc partis joués en National ( 3ème division ) mais certains ont joué au plus haut niveau
en France, voire en Angleterre et en Italie, les plus grands championnats Européens.
2013
N’zonzi en Angleterre, Heurtaux en Italie
Notre région locale a donc vu naître plusieurs
joueurs de football professionnel, et pas des plus
mauvais. Notamment deux joueurs qui ont la
chance d'évoluer actuellement dans deux grands
championnats européens, Steven N'zonzi en
Premier League anglais et Thomas Heurtaux
en Serie A. Steven N'Zonzi est originaire de la
région parisienne et il a débuté dans le Paris
Saint-Germain de 1999 à 2002 puis dans notre
club local, le CA Lisieux, pendant une année. Sa
formation le mène à Caen et Beauvais, avant
d'arriver à Amiens en moins de 18 ans. Amiens
est donc le club qui a fait décollé sa carrière
et avec qui, il a fait ses débuts professionnels
jusqu'en 2009.
Il a ensuite eu la chance d'être repéré par Blackburn, qui évolue en Premier League. Il a donc
évolué à Blackburn pendant 3 années puis a été
transféré à Stoke City où il a la chance d'affronté
les plus grands. Il existe un autre joueur qui a la
chance d'évolué dans un grand championnat européen, et celui-ci est originaire de Lisieux. Thomas Heurtaux a donc évolué à Lisieux lorsqu'il
était jeune puis est parti au SM Caen de 2003 à
2012. Il a subi un prêt de 2008 à 2009 à Cherbourg puis est retourné dans son club. Il a beaucoup aidé l'équipe de Caen malgré leur descente
en Ligue 2 l'année dernière. Il s'est fait repéré par
plusieurs clubs français et étranger notamment
l'Udinese où il décide de partir. Il évolue toujours
en Série A où son club est actuellement 9ème. Il
rencontre actuellement quelques difficultés dans
son club où il n'explose pas.
Yohan Eudeline fait parti de ces joueurs qui
sont nés en Normandie et qui ont pu jouer à
notre plus haut niveau national. Yohan Eudeline a donc commencé à fouler les terrains à
Méry-Corbon, petite commune entre Caen et
Lisieux. Il a joué à Méry-Corbon de 1988 à
1995 avant d’être répéra par le stade Malherbe de Caen où il jouera jusqu’en 1995. Il
partit de Caen en 1997 et retourna jouer à
Argence, commune étant également situé
entre Lisieux et Caen. Il alla ensuite joué à
Mondeville pendant 3 années et retourna à
Caen pour faire ses débuts en Ligue 2 contre
Troyes. Au cours de la saison il s’impose,
participe à 34 matchs et marque six buts. Le
club remonta en Ligue 1 mais redescendit
la saison suivante parce qu’il a accumulé
plusieurs blessures.
Il passa la même saison l’année suivante
en Ligue 2 et il se fit transféré à L’en Avant
Guimgamp où il retrouva Patrick Rémy,
son premier entraîneur à Caen. Après avoir
passé deux années en Bretagne, il partit au
club de Sedan où il fut titulaire pendant toute
la saison et où il reusit une saison remarquable. Il fut tranféré à Nantes pendant le
mercato estival de cette année (période des
transferts). Simon Lugier joue lui en National
(troisième niveau national) à Quevilly. Il a
commencé sa carrière à Coutances avant
de partir à Avranches puis à Caen. A Caen,
il ne reusit pas à s’imposer. Il partit joué une
année à Avranches puis à Deauville pendant
une année et il partit donc à Quevilly.
Journal Gambier-Cornu
S
t
r
o
p
2013
Montée en puissance de l’Ovalie Caennaise
Après une fin d’année 2012 plutôt satisfaisante, les Normandes ont très mal
débutés en cette nouvelle année 2013. Trois défaites à l’extérieur certe, mais
trois défaites quand même et contre des équipes plutôt talentueuses. Mais
il y a une note positive, depuis la saison dernière, les Caennaises ont fait de
nombreux progrès nottamment sur le domaine du jeu.
Elève : Sandra, étant adolescente ou enfant, étiez-vous passionée par le rugby ?
Sandra Rabier : C’est mon père qui m’a transmis cette passion car lui-même faisait du rugby dans le club de Caen.
Elève : Faisiez-vous partit d’un club de Rugby autre que Caen, si oui lequel ?
Sandra Rabier : Non, j’ai toujours évoluée à Caen, même si j’ai toujours eu envie de jouer dans une un peu plus grande équipe comme celle de Toulouse !
Elève : Quel est votre club favori ?
Sandra Rabier : Mon club favori c’est Caen, bien évidemment ! Ensuite c’est le Stade Toulousain !
Elève : Êtes-vous fière de votre équipe (Caen) ?
Sandra Rabier : Je suis assez fière, oui. Je suis aussi très fiére de mes camarades dans les victoires, voir même parfois dans les défaites !
Elève : Y-a-t-il une bonne ambiance au sein l’équipe ?
Samedi 26 janvier 2013, c’est avec un
grand plaisir que nous avons réalisé une
petite interview téléphonique sur Sandra
Rabier, Capitaine de l’Ovalie Caennaise
et joueuse dans l’équipe de France de
Rugby.
Sandra Rabier : Oui ! C’est obligatoire dans une équipe de rugby ! Il faut une très bonne ambiance pour s’entraider. Sans ça il n’y aurait pas d’équipe, je pense.
Elève : Qu’elle poste ou numéro jouez-vous ?
Sandra Rabier : En deuxième ou troisième ligne aile, donc de 4 à 8. C’est les postes où il y a le
plus d’intensité et j’adore ça !
Elève : Quelle est votre idole dans le Rugby ?
Sandra Rabier : Je n’en ai pas vraiment, mais « l’arrière aux jambes de feu », Serge Blanco est
l’un de mes préférés !
Elève : Pour finir, en équipe de France, quel a été votre plus beau match ?
Sandra Rabier : Celui de 2008 contre l’Angleterre, nous avons gagnés, c’était un match intense
et très émouvant.
Journal Gambier-Cornu
t
r
o
p
S
Voici quelques questions que nous lui avons posés :
2013
Flash Back sur la carrière et le parcours de M. Restout
Nous sommes partis à la rencontre d’un ancien joueur d’un club semi-professionnel M. Restout, proviseur du Lycée Marcel Gambier. Retour sur sa carriere
et son parcours.
Tout d’abord, avez-vous fait parti d’un club de football professionnel lorsque vous etiez jeune ?
Non, ce n’etait pas un club professionnel.. Dans un club à Saint-Lô, un club qui a joué jusqu’en troisième
division nationale, l’équivalent maintenant du National même s’il y avait 4 groupes sur la France à l’époque.
Et j’ai à la fois joué et entrainé car je possédais également les diplomes fédéraux pour.
Lorsque vous jouiez à Saint-Lô, vous possédiez un travail en dehors du Football ? Et qu’est ce qui
vous a permis de devenir proviseur au Lycée Marcel Gambier ?
Oui, mais après c’est un peu différent du fait que j’etais professeur d’EPS ce qui me permettait de jouer à
coté comme beaucoup peuvent le faire ou entraîner si on arrive à jongler avec les horaires. Et après, quand
on est passé personnel de direction, on entre dans un autre système qui fait que nous sommes amener à
muter réguliérement et après parfois, on émet des vœux et nous ne sommes pas forcé pris sur le premier
vœu qui nous intéresse. C’est pour ca que je me suis retrouvé dans le centre de la Manche au pied levé,
puis à Lisieux.
Pour en revenir à votre passion pour le sport et notamment pour le foot, existe-t-il un joueur que
vous auriez aimé rencontrer ?
Oui, enfin à un moment on aimait toujours rencontrer certaines personnes, même quand on joue à un
certain niveau, ne serait-ce que par rapport à certains détails un peu sur la vie professionnelle, on s’attend
toujours à pouvoir rencontrer des joueurs professionnels. Evidemment, c’est beaucoup plus difficile si on
ne connait pas ou alors, les rencontres de Coupe de France nous permettent de rencontrer un adversaire
qui joue dans un club professionnel ou parfois on peut avoir des rencontres mais il faut aussi que cette
personne là accepte de discuter, ce qui n’est pas toujours le cas. J’ai eu plus de rapport avec d’anciens
joueurs professionnels notamment lors de stages d’entraineurs fédéraux comme lorsqu’on passe un stage
de 3 semaines à Vichy où l’on rencontre pas mal de joueurs en fin de carriere, etc. C’est un peu difficille de
rencontrer un joueurs lorsque nous sommes nous-même joueurs.
Aviez-vous une idole du Football ?
Non, pas spécialement. C’était plutôt la génération Platini qui était ici, lorsque je jouais. J’ai aussi suivi un
peu les parcours de Zidane pour ne citer que des joueurs Français. Il y a ceci dit d’autres joueurs, même à
l’etranger. Je suis toujours maintenant, mais en étant moins accro. Je pense que je m’y reconnais plus avec
ceux-la qu’avec les générations actuelles.
Qu’elle place occupiez-vous sur le terrain ?
J’etais numéro 6 soit au milieu de terrain, ou en défense. Ce que je préférais c’etait être milieu défensif, un
peu comme Deschamps. C’etait un poste qui permet de rallier, on est pas cantonnés toujours comme un
défenseur et j’avais aussi de bonnes qualités physiques, ce qui me permettait de pouvoir s’exprimer sans
être brider comme les arrières latéraux.
Avez-vous longtemps joué à Saint-Lo ?
J’ai joué jusqu’à pratiquement 33 ans dans l’équipe première parce qu’il arrive un moment où les
entraînements prennent beaucoup de temps alors qu’il y a la famille et le travail. De toute façon,
ce sont toujours les qualités physiques qui font la différence. Lorsqu’on sent que l’on ne peut plus
courir ou qu’on court moins vite que les autres, ça ne sert pas beaucoup de s’accrocher mais
certains le font. Ils redescendent d’une division ou ils vont s’expatrier dans des championnats où
cela va moins vite comme au Qatar, ou bien c’est pour d’autres raison comme financières.
Pour finir, vous avez un avis particulier sur le football de maintenant qui est quand
même enormément inondé par l’argent ?
Les joueurs sont maintenant une monnaie d’échange dans les clubs. Après, c’est vrai que l’on
s’aperçoit bien dans les transferts que même si on aimerait bien gardé un joueur, on est obligé de
le céder pour des raisons financières. L’argent a une grosse importance, tout comme l’extra-sportif. Moi, je serai plutot admiratif du football allemand au niveau de la gestion des clubs. C’est l’une
des rares division 1 en Europe qui dégage des bénéfices mais je crois que c’est aussi une philosophie qu’ont les Allemand de ne pas s’endetter comme font les Anglais ou les Espagnols. J’ai
toujours bien aimé le football Allemand par rapport à ca, la rigueur ainsi que les entraînements..
Journal Gambier-Cornu
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2013
Le sport comme vous ne l’avez jamais fait !
Etant adolescente, étiez vous passionée par les sports ?
- Pas plus par le sport que par le bricolage ou autre chose, mais néanmoins, je pratiquais un
sport étant adolescente
Quel sport pratiquiez-vous ?
- Etant adolescente je pratiquais la natation, la gymnastique ainsi qu’un peux d’escalade et de
randonnée, puis je me suis mis à la course à pied et la course d’orientation.
La course d’orientation, est une activité sportive de navigation avec une carte et une boussole,
qui se déroule en général dans la forêt ou plus rarement en ville. La forme traditionnelle est une
course à pied, de type cross-country, mais d’autres formes de course d’orientation sont nées au
fils des années, notamment à VTT et à Ski. Une personne pratiquant cette activité est appelée
orienteur (orienteuse au féminin).
Au départ d’une course traditionnelle, l’orienteur reçoit une carte ; le terrain qu’elle représente ne lui est généralement pas familier. Il doit alors effectuer un circuit composé de plusieurs
postes de contrôle appelés aussi balises. Pour les trouver le plus rapidement possible, l’orienteur doit suivre une démarche réfléchie en trois phases. Tout d’abord, une phase de repérage
sur la carte, ensuite il doit faire le choix de son itinéraire. Puis réaliser l’itinéraire choisit.
En compétition, les points de contrôle doivent être visités aussi vite que possible. Pour y
parvenir, l’orienteur doit élaborer un itinéraire en s’aidant de sa carte pour rejoindre au plus vite
le prochain poste. La difficulté réside dans le choix de cet itinéraire trop compliqué ou trop long
peut faire perdre du temps. On dit que la course d’orientation est une activité sportive pour la
tête et les jambes.
Faisiez-vous partit d’un club de sport ?
- Oui, j’était dans un club de natation et de gym puis de course d’orientaion mais je faisais aussi
partie de l’association sportive de mon lycée et je participais à toutes les sorties.
Aviez-vous une idole du sport ?
- Pas vraiment, mais je regardais souvent les matchs de coupe d’europe de St Etienne. Mais
Carl Lewis m’a quand même beaucoup marqué durand les Jeux Olympiques.
Aviez-vous un sport préféré ?
- J’ai toujours aimé les sports d’endurance mais pas spécialement un sport en particulier.
Aviez-vous songé à devenir professeur d’EPS ?
- Oui, vers 11-12 ans avec mon entrée en classe de sixième où j’ai vraiment apprécié le professeur d’éducation physique et sportive ce qui m’a donnée l’envie d’en faire mon métier plus tard.
Qu’est ce qui vous plaît dans ce métier ?
- Ce qui me plaît dans ce métier c’est la partie invention, j’aime bien inventer diverses séances,
mais aussi avoir un public qui change régulièrement, il y a aussi le fait que c’est varié, qu’on
change souvent d’environnement. Ma priorité était de ne pas travailler à l’interieur d’un bureau.
Quel parcours avez-vous suivie ?
- J’ai suivie un parcours très classique en passant par un Bac Scientifique puis j’ai était formé,
et je suis entrée à l’UFR STAPS de dijon, ensuite j’ai passé le concours pour devenir professeur
d’éducation physique et sportive, pour enfin finir sur 1 ans de stage.
Pratiquez-vous un sport en dehors du lycée ?
Oui,je continue la natation pour m’entretenir en dehors du lycée et du ski de fond pendant les
vacances seulement.
Si vous aussi vous voulez devenir professeur d’Education Physique et Sportive, pratiqez une
activité sportive régulière en ne négligeant pas toutes les autres matières, qui sont elle aussi très
impotantes !
Journal Gambier-Cornu
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Aujourd’hui, nous avons rencontré Mme Antoine, professeur d’Education physique et Sportive
au Lycée Paul Cornu d’où la collaboration avec le lycée Marcel Gambier. Celle-ci a aimablement
accepté de nous recevoir et de répondre à quelque-une de nos questions. Cette interview vous
permettera sans doute d’avoir une ouverture d’esprit plus clair face à ce métier.
Interview de Monsieur Jonot :
Proviseur adjoint : Au lycée Cornu l’internat
Monsieur Jonot, proviseur adjoint du lycée
Marcel Gambier et ancien CPE du lycée Paul Cornu a pris le temps de répondre à quelques questions concernant la place qu’il occupe au sein de
l’établissement et de nous parler des différences
entre ces deux lycées.
Journaliste : Y a t-il des différences entre les
élèves de Cornu et ceux de Gambier ?
Journaliste : Cela fait combien de temps que
vous pratiquez votre métier ?
Proviseur adjoint : Cela fait 1 an que je suis
proviseur adjoint et dans mon passé j’ai fait 17 années de CPE.
Journaliste : Combien de temps avez vous travaillé au lycée de Cornu en temp que CPE ?
Proviseur adjoint : J’ai passé 1 ans à Cornu, et
les 16 autres années dans d’autre lycées.
est beaucoup plus grand 250 internes, à Gambier
54 internes, dont 13 garçons et 41 filles.
Proviseur adjoint : Je n’aime pas vraiment le
terme de différence entre les élèves. Chacun à sa
personnalité mais ça n’empêche qu’il sont tous pareil, (faites attention aux images véhiculées et aux
rumeur infondées. Différencier Gambier et Cornu demeurent l’échec de formation.)
Mais pour en revenir à la question, il y a pas vraiment de différence juste une proportion supérieurs de garçons à Cornu car les filières proposées sont plutôt masculines, alors qu’à Gambier
c’est le contraire.
Journaliste : Pour finir, quel conseil pourriezvous donner aux lycéens pour bien finir leur année scolaire?
Journaliste : En quoi consiste le métier de
proviseur adjoint ?
Mars : Epreuves en langues vivantes 1 et 2 !
Le 21 et 22 mars, les séries S et ES passeront
leur épreuves de compréhension orale des langues
vivantes 1 et 2. Cette note comptera pour 25% de
la note finale.
Une épreuve d’expression orale aura lieu au
cours du moi de Mai.
Evaluation de Travaux Personnels Encadrés !
Les élèves de premières passeront l’épreuve de
TPE le jeudi 21 mars. Chaque élève recevra une
convocation individuelle.
Mai : Le festival des chorales !
Il aura lieu le 24 mai à Mézidon et cette année
encore, Gambier y participera. Venez encourager
les participants ainsi que passer un bon moment !
Grandes vacances 2014 :
Des travaux sont prévus durant les grandes vacances de 2014 pour rénover l’établissement.
LYCÉE CORNU
Mars : Lycée Ciné !
Le lundi 25 mars, 200 élèves de Seconde en LGT
(lycée général et technologique) iront voir Vertigo, un film de Alfred Hitchcock, grâce au Lycéens
Cinéma.
Proviseur adjoint : Il consiste à s’occuper de
l’organisation pédagogique et de la vie scolaire.
C’est à dire, l’organisation pédagogique consiste
à s’occuper de la constitution des classes, création des emplois du temps, et gestion des ressources (salles professeurs). L’organisation de la
vie scolaire consiste à gérer les équipes de vie
scolaire, s’occuper de l’internat et de l’orientation des élèves.
Réunion Parents-Profs !
Le mardi 26 mars, à 17h aura lieu la réunion
parents-professeur des secondes LGT.
Avril : Don du sang !
Durant la matinée du 2 avril, le don du sang
aura lieu au Lycée Cornu.
Journaliste : Dans votre passé, vous travailliez au lycée Paul Cornu, pourquoi êtes vous arrivé dans notre établissement ?
Soirée de l’industrie !
Le 18 avril à 17h aura lieu la soirée de l’industrie. Cela consiste à inviter des industriels de plusieurs secteur afin de présenter leur travail. Cette
soirée se passera en nocturne.
Proviseur adjoint : J’ai été reçu au concours
personnel de direction.
Journaliste : Quels sont les points communs
et les différences entre les deux lycées ?
Proviseur adjoint : Dans les deux lycées il y
LYCÉE GAMBIER
Proviseur adjoint : Continuer à travailler ré-
a des formations dans le domaine général et technologique notamment des classes de seconde général et de 1ere S. Les structures des lycées et de
l’internat sont semblables. Dans le lycée Cornu,
est un lycée professionnel ou il y a des 5BTS différents et différentes 1ere technologique une STI2D
et une
STMG. De plus le lycée Cornu dispose d’un GRETA (Formations continue d’adultes).
gulièrement les cours, profiter de l’accompagnement personnalisé, s’améliorer dans les matières
dans lesquelles ils ont des difficultés et commencer à travailler son projet d’orientation.
Journaliste : Combien y a t-il d’internes à
Gambier et à Cornu?
PITOIS Kitty 2nd ²
Nous remercions Mr Jonot d’avoir pris le
temps de répondre à nos questions, de son accueil sourirant. Nous vous souhaitons une bonne
continuation et bonne fin d’année scolaire.
Ce journal a été réalisé dans le cadre d’un
partenariat entre deux classes des lycées
Gambier et Cornu à Lisieux.
Élèves du Lycée Marcel Gambier :
Benjamin Groult/ Marie Ceffrey/ Elodie Ladroue
/ Leopold Rodts/ Axelle Levassert / Elsa Maheur/
Quintard Noé / Ilona Guyou / Clémence Gaborit/
Sébastien Gautier / Mélissa Pouchin/ Elisa Levacher / Louisiane Leguern / Géraldine Leroyer /
Marie Gaudemer / Anne-lise Letellier / Clémentine Fouquet-Martinet / Florian Rodrigues/ Monia Lelarge / Ivannah Ortolé/ Kitty Pitois / Marie
Loustaud / Juliette Rattier / Agathe Flon / Hugo
Alves De Sousa / Noémie Mancel/ Claire Dreux /
Julien Guyon/ Mathilde Rausch/ Jeanne chedot /
Louise Mesmoudi / Nina Rossi / Lucile Brusset/
Laura Lehir/ Alexia Wiry / Mathilde Rausch.
Élèves du Lycée Paul Cornu :
RÉNOVATIONS
Cyril Hellynck / Jérémy Barbey / Axel Schweitzer
/ Romane Leroyer / Yaël Riou / Audrey Bourd /
Ella Borsi / Emmanuelle Vuilleumier / Mickael
Cravec / Alexandre Montero / Aurélien Leblond
/ Martin Leboulanger / Julien Fleury / Romain
Gouley.
Petits changements !
L’internat de Cornu va accueillir de nouveaux arrivants. En effet, l’internat du lycée Marcel GAMBIER va s’installer avec celui de Cornu pendant la
rénovation du lycée Gambier.
La difficulté a été de réaliser la mise en page en
une seule journée... Merci donc de votre indulgence car il peut subsister quelques erreurs, dans
les fautes de texte que dans la mise en page...