économique - CCI Seine Mer Normandie
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P LE POR TAGE SAL AR IA L D ES D ES ENTREP R IS ES P OUR LES J EUNES JEUNES P OUR LES ENTR EP RISES ATOUS TA GES.COM ARRIVÉE DE LA SOL ITA IRE DU FIGA RO À DIEP PE DB I, L’A SSOCIA TION COM P ÉTENC ES ... artenaire DES Revue trimestrielle de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Dieppe économique PAR TEN AIRE É CONOMIQU E - OCTOBR E 200 9 - N°1 96 EDITO Le monde du travail évolue rapidement. On assiste à un net recul de l’emploi à temps plein. De nouvelles formes d’emploi se développent : travail à temps partiel, travail temporaire, intermittant ou à durée déterminée, télétravail, employeurs multiples... Pour s’adapter aux évolutions, de nouveaux statuts ont été créés en France, pour le portage salarial, le travail à temps partagé ou celui d’auto-entrepreneur. Dans ce “Partenaire Économique”, vous sont présentés les nouveaux dispositifs qui devraient permettre de développer l’emploi, et qui représentent de réelles opportunités pour les entreprises. Restant à votre service, Eveline DUHAMEL Président de la CCID P AR TENAIR E ÉC ONOMIQUE N° 196 - O CTOBRE 2009 TRIMESTRIEL ÉDITÉ PAR LA CHAMBRE DE 4 LE POR TAGE SALARIAL “Le « Portage salarial » est né vers la fin des années 80, il répondait au besoin de cadres seniors chômeurs qui, pour retrouver de l'activité, devaient s'inscrire dans une logique de prestations de services facturées en honoraires et qui pour autant ne voulaient pas perdre la protection sociale et l'assurance chômage attachées à leur statut de salarié.““ P.2 COMMERCE ET D'INDUSTRIE DE DIEPPE 4, Boulevard Général de Gaulle - BP 402 76206 DIEPPE Cédex Téléphone : 02 35 06 50 50 Télécopie : 02 35 06 50 51 Site internet : www.dieppe.cci.fr Courriel : [email protected] Abonnement annuel : 6 euros ISSN 1252-977X Dépôt légal à parution DIRECTEUR DE PUBLICATION Éveline DUHAMEL COMITÉ DE RÉDACTION 4 DES E NTR EPR ISE S P OU R L ES J EU NE S D ES J EU N ES P OU R LE S E NT REPRI SE S “ Le Gouvernement a annoncé, le 24 avril dernier, un plan de 1,3 milliards d’euros pour la formation, l’apprentissage et la professionnalisation des jeunes. Objectif : aider 500 000 jeunes à s’insérer dans la vie active d’ici à juin 2010. “ P.5 Delphine FREULET CONTACT PUBLICITAIRE Delphine FREULET Tél : 02 35 06 50 50 - Fax : 02 35 06 50 51 Courriel : [email protected] IMPRIMERIE : Imprimerie Dieppoise PHOTOS : CCID - P. HALLE - PAIN CLÉMENT - JC. PARRAUD M. LESUEUR - SNVVPA - COUVERTURE : M. LESUEUR Toute reproduction partielle ou totale d'un article du Partenaire Économique est soumise à l'accord préalable de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Dieppe 4 ATOUSTAGE S. COM , UN SE RV ICE POUR L E S ST AGE S E N MIL IEU PROFES S ION EL “ Le service Atoustages Normandie réunit les compétences de partenaires du tissu économique et associatif local. Soucieux du rapprochement du monde de l’éducation et celui de l’entreprise, le service interrégional Atoustages met tout en oeuvre pour faciliter la recherche de stagiaires pour l’entreprise et accompagner le jeune dans sa recherche de stage. “ P. 11 1 EN TRE PRISE S Recruter un apprenti, c’est simple avec le Point A de la CCI 4P .7 La “Nuit de l’Orientation” 4P. 7 Rencontres régionales de la création reprise d’entreprises 4 P.8 “Nous avons un but affiché : accompagner les entreprises” 4 P.9 Une filière d’excellence sur les énergies en Haute-Normandie 4P.10 Alerte ! Facturation d’annuaires professionnels 4P .15 REPORT AGE Dieppe Plaisance : “Nous sommes fiers de notre boutique” 4P .12 Pain Clément à Val-de-Saâne depuis 40 ans 4 P.13 La Solitaire du Figaro à Dieppe 4P.14 COM MER CE NQC, 3 entreprises labellisées4 4P. 15 MÉCÉ NAT Agissons pour sauver notre patrimoine 4P .16 CRÉATION DBI, l’association des compétences4 4P .18 DBI, 10 entreprises labellisées 4P. 18 FORMATION Offre de formation de l’ICD 4 P.19 VIE D E LA CH AMBR E4 P. 20 REN DE Z- VOU S 4P. 21 La Haute-Normandie en chiffres et en cartes 4 P.21 CON J ON CTU RE 4P .22 MOUV EM EN TS D ES EN TRE PRISE S 4 P.23 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > DOSSIER LE PORTAGE SALARIAL Le « Portage salarial » est né vers la fin des années 80, il répondait au besoin de cadres seniors chômeurs qui, pour retrouver de l'activité, devaient s'inscrire dans une logique de prestations de services facturées en honoraires et qui pour autant ne voulaient pas perdre la protection sociale et l'assurance chômage attachées à leur statut de salarié. é L EE C ON NC EPPTT L'article L1251-64 du Code du Travail définit le portage salarial comme étant « un ensemble de relations contractuelles organisées entre une entreprise de portage, une personne portée et des entreprises clientes comportant pour la personne portée le régime du salariat et la rémunération de sa prestation chez le client par l'entreprise de portage. Il garantit les droits de la personne portée sur son apport de clientèle ». Art L1251-64 créé par la Loi n°2008-596 du 25 juin 2008 - art.8 L'accueil d'un intervenant dans la structure juridique d'une société dite de portage salarial s'adresse généralement à des professionnels de haut niveau agissant comme experts, consultants, formateurs ou prestataires de service, entièrement autonomes dans leur prospection commerciale et leurs interventions en entreprises. L’intervenant peut intervenir dans un mode proche du travailleur indépendant sans avoir à monter sa propre structure juridique. Le portage salarial est aussi avantageusement utilisé pour passer progressivement au statut d'entrepreneur et tester en toute sécurité la viabilité d'un projet de création d'une société de prestations de services. Il se démarque très nettement de l'intérim sur deux critères : - L'action commerciale est faite par l'intervenant et pas par la société de portage, - L'intervenant n'a aucun lien de subordination avec l'entreprise cliente. é P OOURR QQUUELLSS M ÉÉTTIEER SS ? Le portage salarial concerne principalement des interventions de prestations de services (conseil, audit, formation, animation, cycle de conférences) dans les domaines techniques, d'organisation ou de gestion, pour lesquels le consultant n'a aucun lien de subordination avec l'entreprise cliente (entreprise privée, administration, collectivité locale, association...) Il peut concerner des interventions tant en France qu'à l'étranger. Il est incompatible avec les professions réglementées (avocat, expert-comptable...). Domaines d'interventions généralement observés (non limitatif) : Coaching / Communication / Environnement / Expertise technique / Finance / Formation / Gestion de production / Informatique / Internet / Logistique / Marketing / Organisation / Qualité / Ressources Humaines / Traductions. Quelques entreprises proposent également du portage pour des métiers particuliers (ex. négociateurs immobiliers), manuels (artisans) ou administratifs. é P OOURR QQUUI ? L'intervenant doit avoir une expertise avérée dans un (ou plusieurs) des domaines d'activités du portage salarial, être entièrement autonome dans sa prospection commerciale et la conduite de son intervention. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 2 Profils concernés : - Créateur d'entreprise voulant valider son projet sans risque, - Cadre en activité (rémunération complémentaire ou test d'un nouvel employeur), - Consultant (souhaitant se libérer des contraintes administratives, comptables et fiscales pour se consacrer exclusivement à son métier), - Jeune diplômé (pour décrocher une première expérience), - Cadre en recherche d'emploi (maintien des droits ASSEDIC et prolongation de la durée d'indemnisation), - Senior retraité, préretraité (souhaitant garder une activité réduite et un revenu complémentaire). é L E P ROOC ESSSSUSS L'intervenant signe avec la société de portage salarial une convention dite " Con ven ti on de po rta g e" qui fixe les modalités d'accueil de l'activité de l'intervenant dans sa structure juridique de la société de portage. L'intervenant prospecte sa propre clientèle et négocie les termes de son intervention (contenu, planning, conditions financières...) Une fois l'intervention entièrement définie, deux contrats distincts sont établis : > DOSSIER - La société de portage signe avec le client de l'intervenant le c ont rat de p res t at ion (ou la convention de formation). - Simultanément l'intervenant signe un contrat de travail avec la société de portage qui devient son employeur. La société de portage salarial facture le client de l'intervenant, gère les recouvrements et lui verse chaque mois son salaire après déduction de frais de gestion pouvant varier de 3% à 15% (généralement 10%). LA C O N V E N T I O N D E P OR T A G E Les modalités d'hébergement de l'activité de l’intervenant dans la structure juridique de la société de portage sont définies contractuellement dans une Con ven tion d e Port ag e. Elle n'a pas valeur de contrat de travail, mais fixe par avance les engagements réciproques de la société de portage et du consultant, le montant des frais de gestion, les modalités de paiement du salaire, des frais de mission et de fonctionnement. La durée de cette convention peut être indéterminée. Il ne semble y avoir aucun obstacle juridique à signer pour une même période une convention avec différentes sociétés de portage. Cependant, certaines sociétés exigent une exclusivité. é L ESS EN NTTRR EPPRR ISSESS CCO ON NCCEERRN NÉEES - Toutes les entreprises, administrations, associations de tous secteurs d'activité et de toutes tailles. - Les entreprises ayant un besoin spécifique, ponctuel ou non, et ne pouvant pas recruter de nouveaux effectifs. Faire appel à des consultants portés leur permet de saisir les opportunités de développement, tout en maîtrisant leur masse salariale. - Les entreprises désirant utiliser des compétences qui ne relèvent pas de leur domaine d'activité et qu'elles ne peuvent avoir en interne. é L ESS A VVAA NTTA GEES P OU URR LL’ EENTTR EPP R IISSEE L’utilisation du portage salarial est une solution souple et efficace pour recourir à des compétences externes pointues. - La réactivité et la flexibilité : face à une demande urgente, à un nouveau projet, faire appel à un consultant porté est une solution rapide à mettre en œuvre. L'entreprise adapte son effectif immédiatement, en fonction de ses besoins. Cela lui permet de gérer au mieux les variations d'activité et de s'adjoindre des compétences non présentes dans ses équipes, sans augmenter ses effectifs. - La facilité d'une mise en œuvre rapide : L'arrivée d'un consultant peut se faire dans un délai très court. Il est choisi par l'entreprise. Soit le consultant est déjà en portage salarial, et le démarrage de sa mission peut se faire après signature du bon de commande par l'entreprise cliente. Soit il n'est pas encore en portage ; dans un délai très réduit, il choisit alors sa structure pour devenir adhérent, ce qui lui permet d'émettre son premier bon de commande. - Une gestion simplifiée : la gestion administrative est allégée puisque la mission prend la forme d'une prestation de services. L'entreprise signe un bon de commande avec la société de portage salarial et reçoit une facturation adaptée. - Des coûts totalement maîtrisés : le budget alloué à la mission est parfaitement connu. L'entreprise achète une prestation précise, dans un temps limité qui n'entraîne pas de coûts supplémentaires… é L ESS NAAN NT A VAAN NTTAAG GEES PPO OU UR L ’IINTTERR VEE- - Créer son activité sans créer de structure juridique, - Constituer et conserver sa propre clientèle, - Se consacrer exclusivement à son métier, - Gérer son emploi du temps en harmonie avec sa vie sociale, - Valoriser son image, - Ne pas perdre de temps sur des tâches administratives, comptables, fiscales... - Ne pas risquer son patrimoine personnel, - Bénéficier du statut salarial (Sécurité sociale, prévoyance, retraite, et généralement l'assurance chômage) - Transformer le handicap de l'âge en atout, - Intégrer la dynamique d'un réseau d'experts, - Bénéficier d'une assurance responsabilité civile professionnelle, - Utiliser le numéro d'organisme formateur de la société de portage lorsqu'elle est enregistrée comme prestataire de formation... Source : www.guideduportage.com 3 A UTRE S A LTE RNA TIVES LE T RAVAIL Q U’EST-CE À TEMPS PARTAGÉ QU’UNE ENTR EP RISE DE TR AVA IL À TEMP S P A RTAGÉ (ET TP) ? Constitue une entreprise de travail à temps partagé toute personne physique ou morale dont l’activité exclusive c on sist e à m ett re à d isp osit ion d ’ent rep ri se s c lien te s d u pe rso nn el q u al ifié qu’elles ne peuvent recruter ellesmêmes à raison de leur taille ou de leurs moyens. L’ETTP qui exerce son activité dans le cadre législatif prévu échappe au risque de condamnation pénale pour prêt de main d’œuvre à but lucratif exercé en dehors de la réglementation applicable au travail temporaire. L’entreprise de travail à temps partagé peut également apporter à ses seules entreprises clientes (celles auprès desquelles elle met à disposition des salariés) des conseils en matière de gestion des compétences et de la formation. Les entreprises de travail temporaire peuvent également exercer l’activité de travail à temps partagé. LA MISE EN OEUVR E D U TR AVA IL À TEM PS P A RTAGÉ Le travail à temps partagé repose sur une re lat ion t rian gu laire entre l’ETTP, le salarié à temps partagé et l’entreprise cliente (ou « utilisatrice ») : - l’ETTP et le salarié mis à disposition de l’entreprise cliente seront liés par un c on tra t de tra va il ; - l’ETTP et l’entreprise cliente seront liées par un c ont rat d e mis e à d isp os ition , le salarié étant mis à disposition pour des missions qui pourront être à temps plein ou à temps partiel. é Le co ntra t de tra va il ent re l’E TTP et le s ala rié mis à dis pos itio n Le salarié qui sera mis à disposition d’une ou plusieurs entreprises clientes est lié à l’ETTP par un contrat de travail écrit. Ce contrat de travail est réputé être à durée indéterminée. Sa résiliation est effectuée selon les dispositions du code du travail prévues pour la résiliation du contrat à durée indéterminée. Le contrat de travail doit inclure une clause de rapatriement du salarié à la charge de la société de travail à temps partagé dans le cas où la mise à disposition s’effectue hors du territoire métropolitain. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > DOSSIER Cette clause devient caduque en cas de rupture du contrat à l’initiative du salarié. é Le co ntra t de mis e à dis po sit ion ent re l’E TTP et l’en trep rise c lient e Pour chaque mise à disposition individuelle de salarié, un contrat doit être signé entre l’entreprise de travail à temps partagé et l’entreprise cliente (ou « utilisatrice »). Ce contrat précise : - le contenu et la durée estimée de la mission, - la qualification professionnelle, - les caractéristiques particulières du poste de travail ou des fonctions occupées, - le montant de la rémunération et ses différentes composantes. Toute clause tendant à interdire l’embauchage du salarié mis à disposition par l’entreprise utilisatrice à l’issue de la mission est réputée interdite. L ES C OND ITIONS D ’EMP LOI DU SA LA RIÉ MIS À D IS POS ITION Lorsqu’il est mis à disposition d’une entreprise utilisatrice, le salarié bénéficie des dispositions suivantes : - Sa rémunération ne peut être inférieure à celle d’un salarié de niveau de qualification identique ou équivalent occupant le même poste ou les mêmes fonctions dans l’entreprise cliente ; - Il doit avoir accès dans l’entreprise cliente, dans les mêmes conditions que les salariés de cette entreprise, aux moyens de transports collectifs et aux installations collectives, notamment de restauration, dont peuvent bénéficier ces salariés ; lorsque, de ce fait, des dépenses supplémentaires incombent au comité d’entreprise, celles-ci doivent lui être remboursées selon des modalités définies par le contrat de mise à disposition liant l’ETTP et l’entreprise utilisatrice. Pendant toute la durée de la mise à disposition, l’entreprise utilisatrice est responsable des conditions d’exécution du contrat de travail telles qu’elles sont déterminées par celles des mesures législatives, réglementaires et conventionnelles qui sont applicables au lieu de travail. Source : www.travail-solidarite.gouv.fr, site internet du Ministère du Travail. L’AUTO- ENTREP RENEUR Depuis le 1 janvier 2009, le nouveau régime de « l’auto-entrepreneur », créé par la loi de modernisation de l’économie du 4 août 2008 permet d’exercer une petite activité professionnelle indépendante. er QU’EST-CE QU’UN A UTO -ENTREP R ENEUR ? L’auto-entrepreneur est une personne qui souhaite créer une entr epris e in divi du elle pour exercer une activité commerciale, artisanale ou libérale, à titre principal ou complémentaire. Le chiffre d’affaires de l’entreprise ne doit pas pour 2009, dépasser : - 8 0 00 0 eu ros pour une activité principale de vente de marchandises, d’objets, de fournitures et denrées à emporter ou à consommer sur place ou de prestations d’hébergement. - 32 0 00 eu ros pour une autre activité de services. L’auto-entrepreneur bénéficiera : - D ’une d is pen se d ’imma tric ula tio n au Registre du Commerce et des Sociétés ou au Répertoire de Métiers. - D’un e exo néra tio n de TV A. L’auto-entrepreneur ne facture pas de TVA. La mention « TVA non applicable, article 293 B du CGI » doit être mentionnée sur les factures. Il est redevable de l’impôt sur le revenu. Deux modes d’imposition à l’impôt sur le revenu : 1/ Le calcul et le paiement de l’impôt l’année suivant la réalisation du bénéfice. 2/ Le nouveau régime micro-fiscal simplifié (versement libératoire de l’impôt sur le revenu) sous conditions. Afin d’opter pour ce régime, le régime fiscal de référence ne doit pas excéder 25 195 euros (revenu 2007) par part de quotient familial. Sous ce régime, chaque mois ou chaque trimestre, l’auto-entrepreneur paiera l’impôt sur le revenu sur le bénéfice de l’entreprise en même temps que le forfait de charges sociales. Le montant de l’impôt sur le revenu correspondra à un pourcentage des recettes encaissées au cours de la période retenue, à savoir : - 1% pour les achats / reventes, ventes à consommer sur place et les prestations d’hébergement, - 1,7% pour les autres services relevant des bénéfices industriels et commer- PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 4 ciaux, - 2,2% pour les activités libérales. En optant pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu, l’auto-entrepreneur est également exonéré de taxe professionnelle l’année de la création de l’entreprise et les deux années suivantes. - D’ un rég im e m icr o- so c ial sim p lif ié. Chaque mois ou chaque trimestre (selon l’option choisie), l’auto-entrepreneur paie ses cotisations sociales en fonction des recettes encaissées au cours de la période retenue. Le montant des cotisations est égal à : - 12% du chiffre d’affaires pour une activité d’achat revente, de vente à consommer sur place et de prestation d’hébergement ; - 21,3% du chiffre d’affaires pour les prestations de services ; - 18,3% du chiffre d’affaires pour les professions libérales relevant de la Caisse d’assurance-vieillesse de la CIPAV (Caisse Interprofessionnelle de Prévoyance et d’Assurance Vieillesse). Ce régime simplifié de calcul et de paiement des cotisations sociales ouvre des droits à l’assurance maladie et à la retraite. CO MMENT NE UR ? SE DÉC LAR ER A UTO -ENTREP RE - En effectuant une simple déclaration d’activité auprès du Centre de formalités des entreprises de : - La chambre de commerce et d’industrie, pour une activité commerciale - La chambre de métiers et de l’artisanat, pour une activité artisanale - L’URSSAF, pour une activité libérale. Cette déclaration peut se faire également sur Internet à partir du site : ww w.la ut oen trep ren eur. fr L’entrepreneur en activité qui remplit les conditions préalables pour devenir autoentrepreneur, a accès, à compter du 1er janvier, à ce nouveau régime. Il doit effectuer sa demande par écrit auprès de la caisse de base du régime social des indépendants ou par internet sur le site www.lautoentrepreneur.fr, avant le 31 décembre 2009 pour une application au titre de 2010. w ww .a uto -en trep ren eur. cc i.fr h ttp ://b log .a ut o-e ntre pre neur .cc i.f r > ENTREPRISES DES ENTREPRISES POUR LES JEUNES DES JEUNES POUR LES ENTREPRISES Le Gouvernement a annoncé, le 24 avril dernier, un plan de 1,3 milliards d’euros pour la formation, l’apprentissage et la professionnalisation des jeunes. Objectif : aider 500 000 jeunes à s’insérer dans la vie active d’ici à juin 2010. U NN P L A NN JJEEUN NESS D D’ URR G GE NCC E PP O U R LLEES Le Président de la République a annoncé, le 24 avril 2009 plu sieu rs mes ures en f av eur de l’alt erna nc e et d e l’in sert ion d es jeu nes s ur le m arc hé du t rav ail . Au total, ce plan 2009-2010 concerne 500 000 jeunes et représente un investissement de 1,3 milliards. “ Je veux un effort exceptionnel pour l’emploi et pour la formation. Je veux miser sur les jeunes pour la sortie de la crise. En préparant les jeunes à leur avenir, la France prépare son avenir “ a annoncé Nicolas Sarkozy, Président de la République. L’État investit 1,3 milliards d’euros dans ce Plan d’urgence pour les jeunes. Il doit permettre de réaliser deux objectifs essentiels : 3 Développer l’alternance avec 32 0 00 0 c ont rat s d ’ap p rent issa g e et 170 0 00 c ont ra ts d e pr ofe ssio nna lisa tion signés en 2009/2010, 3 Soutenir l’emploi des jeunes, en faisant embaucher 50 00 0 s ta gia ires en CDI et en créant 5 0 0 00 Con tr a ts Init iat ive Emp loi dans les métiers porteurs. Pour cela, de nouvelles aides à l’embauche pour les employeurs d’apprentis sont créées : - U ne p rime d e 1 80 0 eur os pour toute embauche d’un premier apprenti ou d’un apprenti supplémentaire dans les entreprises de moins de 50 salariés ; L’objectif est donc de so ute nir le re cru tem ent d’a pp ren tis pa r les en trep ris es, de d éve lop per l’off re d e f orm at ion dans les secteurs porteurs et de m ob ilise r les a ct eurs afin de mieux informer, sensibiliser et promouvoir ce type de contrat. - Un dispositif “ Zé ro cha rg es a pp rent is “ pour les employeurs d’apprentis, Les Chambres de Commerce et d’Industrie appuient et complètent l’action du gouvernement en lançant un grand “ Pla n ap pr entis sa ge “. Les CCI s’engagent aux côtés de l’État en faveur d’une grande cause nationale : l’emploi des jeunes. Elles interviennent à un double titre, comme représentants des employeurs et comme deuxième réseau de formation en France. - Pour les embauches de jeunes en Contrat de Professionnalisation, un e pr ime d e 1 0 00 euro s, portée à 2 000 pour les jeunes de niveau inférieur au Bac… Le contrat d’apprentissage permet d’associer une formation pratique en entreprise et une formation théorique en centre de formation des apprentis (CFA). Avec près de 285 000 contrats signés en 2008, l’apprentissage est l’un des outils les plus importants et les plus efficaces pour l’emploi et la qualification des jeunes. Le nombre de contrats d’apprentissage a connu un net fléchissement sur les premiers mois de 2009 (-23%) en raison de la crise. 5 L EE P LAANN A PPPPRENNTTIIS SAAGGEE D ESS C CI “ Les CCI accompagnent le plan d’urgence proposé par le Président de la République. Elles lancent un plan d’action pour le développement de l’apprentissage. Chaque année, elles accueillent déjà près de 100 000 apprentis, à tous les niveaux. Elles sont prêtes à accueillir 10 000 apprentis supplémentaires d’ici fin 2010 “ a annoncé Jean-François Bernardin, Président de l’Assemblée des Chambres Françaises de Commerce et d’Industrie. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > ENTREPRISES LE CO NTRAT D’ APPR ENTISSAGE U ne sér ie d ’ac tion s e n f av eur de l’a p p ren tiss ag e est m ise en p lac e : > Po ur mob ilise r les entr epris es L es “ D évelo pp eur s de l’a pp ren tiss ag e “ visiteront les entreprises afin de promouvoir l’alternance, de présenter et d’expliquer les mesures incitatives, notamment celles qui ont été mises en place dans le cadre du plan d’urgence en faveur de l’emploi des jeunes. OBJ ECTIF w Permettre à un jeune d’obtenir un diplôme ou un titre reconnu, à finalité professionnelle. Les maîtres d’apprentissage et les tuteurs sont les acteurs clés de la réussite de l’alternance. La reconnaissance de leur action auprès des jeunes doit aboutir à la c ertif ica tio n de 1 0 00 t ute urs et m aît res d’a pp rent iss ag e. Les CCI proposeront un parcours de formation ou de certification de compétences. FORMA TION w Dispensée dans un CFA en alternance avec l’entreprise. > Pou r con va incre les jeune s L es “ Me rcred is d e l ’a pp ren tis sa ge “ L’apprentissage prépare à tous les métiers, à tous les niveaux, mais trop de jeunes l’ignorent. Les collégiens et lycéens pourront rencontrer des apprentis qui leur feront partager leur expérience, au cours des « Mercredis de l’apprentissage ». AU TRE S N O UV E L L E S M E S U R E S - EMBA UC HE D’UN JEUNE EN C ONTR A T D E P ROF ESSIONNA LISA TION Les entreprises qui embauchent un jeune de moins de 26 ans en contrat de professionnalisation peuvent bénéficier d’une aide de 1 000 euros. Cette prime est portée à 2 000 euros pour un jeune n’ayant pas le niveau bac. - E M BA UCHE D’UN J EUNE INITIATIVE E MPLOI ( CIE) EN CONTRA T Le CIE est un contrat aidé du secteur marchand visant à favoriser l’insertion professionnelle durable des jeunes de moins de 26 ans ayant un niveau de qualification inférieur ou équivalent à Bac+3 et rencontrant des difficultés d’accès à l’emploi. L’État propose 50 000 CIE supplémentaires pour l’embauche de jeunes au second semestre 2009. L’employeur peut bénéficier d’une aide financière pouvant aller jusqu’à 47% du SMIC (modulable en fonction des difficultés du salarié embauché, du statut de l’employeur, du secteur d’activité, de la qualité des actions d’accompagnement et de formation professionnelle mise en œuvre et de la situation du bassin d’emploi). PU BL IC w Jeunes de 16 à 25 ans révolus. N ATU RE ET D UR ÉE DU CON TRA T w Contrat de travail à durée déterminée, de 1 à 3 ans selon la formation. RÉ MU NÉ RATION w Calculée en pourcentage du SMIC, elle varie en fonction de l’âge de l’apprenti et de l’ancienneté dans le contrat. (sauf dispositions plus favorables prévues par convention collective) Âge 1ère année 18-20 ans 21-25 ans 41% 53% 16-17 ans 25% 2ème année 3ème année 37% 49% 61% 53% 65% 78% % SMIC ou du minimum conventionnel de l’emploi occupé E XON ÉR ATION CH ARG ES S OCIAL ES w Ent rep rises d e mo ins d e 1 1 sa la riés ou inscrites au répertoire des métiers Exonération des cotisations patronales (d’origine légale ou conventionnelle) imposées par la loi, sauf accidents du travail et maladies professionnelles. w Ent rep rises d e 11 sa lariés e t plu s Exonération des cotisations patronales de sécurité sociale, sauf accidents du travail et maladies professionnelles. Nouveau ! (Mesure Plan Urgence Jeunes 2009-2010) « Z éro c har ges a p pren tis » po ur les no uve lles emb a uch es en a pp rent iss ag e Cette mesure s’applique pour un an pour les embauches réalisées entre le 24 avril 2009 et le 30 juin 2010. Pour bénéficier de cette aide, l’entreprise doit adresser une demande à Pôle Emploi. AID ES FIN AN CIÈRE S w Prime dont le montant et les conditions d’attribution sont déterminés par chaque conseil régional. (en Haute-Normandie, entre 1 530 et 2 000 euros) Nouveau ! (Mesure Plan Urgence Jeunes 2009-2010) U ne prim e ex cep tio nne lle d e 1 800 eu ros est accordée aux entreprises de moins de 50 salariés pour l’embauche d’apprentis supplémentaires entre le 24 avril et le 30 juin 2010 (y compris un premier apprenti). Pour bénéficier de cette aide, l’entreprise doit adresser une demande à Pôle Emploi. w Un crédit d’impôt de 1 600 euros (2 200 euros sous certaines conditions) par apprenti. E NRE G ISTR EME NT D U CONT RAT Les CCI assurent l’enregistrement des contrats d’apprentissage pour les entreprises inscrites au registre du commerce, pour les associations et pour les professions libérales. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 6 > ENTREPRISES RECRUT ER UN APPRENTI, C’EST SIMPLE AVEC LE « POINT A » DE LA CC I Le “ Po int A ” est un service de la Chambre de Commerce et d’Industrie qui depuis le 28 juillet 2006 (décret du 26/07/2006) a pour mission principale l’enregistrement des contrats d’apprentissage des ressortissants de la CCI. Le “ Po int A ” informe également les entreprises et les jeunes sur les mesures législatives liées à l’apprentissage ; ainsi que sur les formations existant en initial ou en alternance. Vo us s ou haitez re cruter u n appren ti et v ous êtes resso rti ssan t de la CCI de D ieppe, non in scri t au Répertoi re des Méti ers ! Le Po in t A : - vou s i nforme sur to utes les mesu re s pou r la quali fi catio n et l ’emplo i des je une s - vou s guide dans l a rec herch e des j eun es, du mei ll eur co ntrat de travai l et de la formati on la pl us adaptée - vous ac compagne dans l es démarc hes admini strati ves pour vos con trats d’appre ntis sage et d’alternance . UNE BOURSE DE L’A LTERNANC E ET D E L’ AP PR ENT ISSA GE Contact : Point A – CCI d e Diep pe St éph an ie D EBA UT - M ireille L OU V ET Tél : 02 35 06 50 50 - Fax : 02 35 06 50 51 Courriel : [email protected] Vous pouvez aussi saisir vos demandes sur le site w ww. ap pre ntis sa ge .cc i.f r La CCI met en ligne sur son site Internet des outils pour rapprocher les offres et demandes de contrats en alternance. w ww. die pp e.c ci.f r (rub riqu e M e f ormer ) NUIT D E L'ORIENTATION 2010 UNE NUIT POUR S'ORIENT ER SANS STRESS da ns vo tre C CI DIEPP E Col légie ns, l ycée ns, é tu diants, pare nts, ven ez trou ver des répon ses à vos qu esti on s et éc hanger avec des pro fe ssi on nel s l ors de l a Nu it de l 'Orie ntati on organ is ée par l a Chambre de Comme rc e et d’I ndustri e de D ieppe l e ven dre di 22 janvi er 20 10 de 17h à 2 2h 2, boulevard Général de Gaulle - Dieppe Que vous soyez dans une filière générale ou professionnelle, que vous ayez ou non une idée du métier que vous souhaitez exercer plus tard, cette soirée vous permettra de rencontrer de nombreux professionnels, de collecter des informations et ainsi d’alimenter votre réflexion et votre projet d’orientation. Contact : Mireille LOUVET - CCI de Dieppe - Tél : 02 35 06 50 50 Courriel : [email protected] 7 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 Création et reprise d’entreprise Édition 2009 Rencontres régionales C hambre de C ommerce et d’I ndustrie DIEPPE jeudi 19 novembre UN PUB LIC D’EN TRE PRENEU RS Les porteurs de projets Les chefs d’entreprises Les étudiants des universités et des écoles d’enseignement supérieur de Haute-Normandie Le grand public UN PUBLIC DE PROFES SIONN ELS Les professionnels du monde de la création/reprise Les services des Collectivités territoriales DES RENCONTRES ORGANISÉES AUTOUR DE 5 PÔLES DE COMPÉTENCES 1. Création / Reprise : montage du projet 2. Prévisions financières / financement / cautions 3. Localisation / implantation 4. Structure juridique / régime fiscal / formalités de démarrage 5. Protection sociale de l’entrepreneur / recrutement de salariés / assurances DES CONFÉRENCES SUR DES THÉMATIQUES LIÉES À LA CRÉATION REPRISE D’ENTREPRISES, ORGANISÉES TOUT AU LONG DE LA JOURNÉE. www.normandie.pro/crea PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 8 Horaires d’ouverture : 9h00 - 19h00 Accès gratuit à l’ensemble des rencontres > INTERVIEW B ern ard LEMOINE , ingénieur divisionnaire à la DREAL-DI “NOUS AVONS UN BUT AFFICHÉ : ACCOMPAGNER LES ENTREPRISES ” Pou rq u oi la c réa t ion de la D RE AL , à qu and la DIRE CCTE ? Pour mieux correspondre à leur ministère de tutelle, les services de l’Etat installés en région se restructurent. Ainsi l’exDRIRE est devenue pour sa partie réglementaire la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement), nouveau service de l’Etat qui regroupe également les fonctionnaires de l’équipement (ex-DRE) et de de l’environnement (ex-DIREN) et correspond aux attributions du ministère actuellement dirigé par Jean-Louis Borloo. L’autre partie de la DRIRE, qui déploie principalement des actions de développement économique, est restée attachée à la DREAL sous le nom de DREAL-DI, mais elle se regroupera début 2010 avec les fonctionnaires du ministère du travail et les autres services économiques de l’Etat pour devenir la DIRECCTE (Direction Régionale de l’Entreprise, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l’Emploi). Cette nouvelle administration sera l’antenne en région du ministère de l’Economie, de l’Industrie et de l’Emploi dirigé par Christine Lagarde. Qu elles so nt vo s miss ion s et vos d oma ines d ’in ter vent ion ? Nos missions sont exclusivement tournées vers le développement économique industriel régional. Ceci inclut les entreprises bien entendu, mais également l’animation des filières industrielles régionales (aéronautique, électronique, agro-alimentaire, lin, industrie verrière, automobile, industrie du bois, énergie, la plasturgie ou l’emballage…) et les pôles de compétitivité (Movéo, Novalog et Cosmétic Valley). Nous avons également largement participé à la création de la nouvelle agence régionale de l’innovation Seinari. Nous disposons d’un outil efficace : l’a ction collec tive . Nous avons un but affiché : ac com pa gn er les en trep ris es et p rin cipa lemen t les PME pou r am élior er leur com pét itivit é. Nous disposons pour cela des moyens financiers de l’État (ministère de l’industrie), de l’Europe (Feder) et selon le cas d’un renfort de financement par le Conseil Régional dans le cadre du contrat de projets État-Région. Il est à noter que depuis deux ans, et en concordance avec le nouveau Fonds Européen de DEveloppement Régional : FEDER 2007-2013, nous engageons des actions répétées sur l’introduction massive de l’innovation dans les entreprises, c’est à nos yeux une (bonne) façon d’améliorer leur compétitivité et de préparer, avec elles, l’avenir industriel régional pour les années à venir. Quels pa rt ena riat s la D REAL - DI d évelo p pe -t- elle a vec les ac teu rs éc on omiq ues rég iona ux ? Nous sommes une petite équipe d’une dizaine de personnes et vous imaginez que, sans les liens forts que nous avons tissés depuis des années avec les acteurs économiques régionaux, notre action n’aurait pas de sens. Nous travaillons en « chemins croisés » entre les territoires d’une part et les secteurs industriels d’autre part et à chaque « croisement », il y a un ou plusieurs partenaires économiques qui relayent et amplifient notre action. Nous avons, bien sûr, une bonne vision globale de l’industrie régionale et nous connaissons de très nombreuses entreprises, mais chaque action ne prend sa réelle efficacité que dans un portage de terrain fait par ceux qui sont les plus proches géographiquement des entreprises. Les CCI, les comités d’expansion économiques, les associations d’animations de filières, les structures d’animation des pôles de compétitivité, les organisations professionnelles et syndicales de chefs d’entreprise… nous y aident grandement. 9 Quel ap pu i la D REAL - DI pe ut- elle a p por te r a ux ent repr ises ré gion ale s ? Depuis quelques années et au niveau national, les aides directes aux entreprises sont gérées par les conseils régionaux. L’État n’intervient donc plus auprès des entreprises qu’au travers d’actions collectives. En Haute-Normandie, nous démarrons une trentaine d’actions collectives chaque année ouvertes aux entreprises (PME) régionales et une vingtaine d’autres spécifiques aux pôles de compétitivité (avec notamment l’animation technologique et territoriale des pôles). Ces actions touchent tous les secteurs d’activité de l’industrie et des services à l’industrie mais elles n’ont qu’un seul but : améliorer la compétitivité des entreprises. Les entreprises qui participent à une action collective assument une partie du financement de l’action (20 à 30 %), le reste étant pris en charge par les pouvoirs publics. Nous avons en Haute-Normandie, en année courante, 350 PME impactées par nos actions collectives sur un potentiel de 1 000 à 1 100 PME. Cela signifie qu’il y a, en permanence une PME sur trois qui est accompagnée par notre dispositif. Pour citer quelques exemples plus spécifiques, prenons celui de la métallurgie dieppoise. Après avoir totalement financé une étude approfondie sur la situation économique et technologique des entreprises de la métallurgie du bassin dieppois à la demande de la CCI et de la Communauté d’Agglomération notamment, nous avons ouvert une action collective pour conforter les entreprises volontaires soit dans leur dynamisme commercial, soit dans leur accréditation Qualité, soit dans leur diversification industrielle. Cette action est portée par la CCI de Dieppe et financée par l’Etat et l’Europe. Dernière action collective mise en place, cette fois au niveau régional : la « veille des marchés publics et privés » pour les entreprises de l’industrie et des services PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > INTERVIEW à l’industrie. Comment donner aux entreprises PME industrielles la culture de l’appel d’offres comme l’ont presque naturellement les entreprises du BTP ou de la construction ? Comment les aider à décrypter les appels d’offres, à y répondre dans les délais, à se regrouper pour mieux y répondre ? En prévision des grands marchés à venir ou en projet (EPR de Penly, le terminal méthanier d’Antifer, le grand chantier de maintenance de Total, le parc off-shore d’éoliennes du Tréport…), la DREAL a souhaité préparer les PME régionales à cet exercice pas toujours facile de l’appel d’offres. Pour 83 euros par mois, l’entreprise inscrite à l’action a un de ses salariés spécialement formé à la technique de l’appel d’offres, reçoit deux appels d’offres par semaine correspondant à ses savoirfaire et participe à des ateliers inter-entreprises d’échanges et de partages d’expériences. Sachez qu’en 2008 il y a eu, sur le seul secteur de l’industrie, 3 200 appels d’offres dans notre région et que nous sommes passés largement… à côté de tout ! Pour plus d’informations, un site dédié y est consacré : www.veillemarches-hn.fr V ou s pa rlez d e Penly , co mmen t ne p as « pa sse r à c ôté » c omme vou s di siez t out à l’ he ure ? Le projet de construction de l’EPR est une chance exceptionnelle pour l’industrie régionale et le commerce du bassin dieppois tout entier. Ne brûlons pas les étapes, nous sommes actuellement dans la phase du débat public et ce n’est qu’à l’issue de cette phase que sera décidée ou non la construction définitive de l’EPR à Penly, soit à la mi-2010. Si la réponse est positive, les travaux préparatoires pourront commencer et laisser place ensuite aux travaux de construction à proprement parler. Ce type de grand chantier génère, en dehors des travaux très spécialisés que seules des grandes entreprises savent effectuer, une multitude de travaux de sous-traitance, de travaux d’accompagnement, d’activation d’entreprises de service (sécurité, gardiennage, restauration, transport en commun, traitement des déchets des chantiers, logement des salariés…) sans compter tous les travaux qui seront à faire en dehors du chantier proprement dit pour accueillir les salariés et faire en sorte que le commerce local profite de cette opération pour préparer son avenir dans un grand secteur géographique totalement redynamisé. Tout ceci nécessite une préparation particulière à laquelle nous participons activement au seul profit de l’économie régionale : préparation des entreprises, bien entendu mais également préparation des salariés, en incluant dans ces actions d’ampleur les publics en difficulté et principalement les jeunes. Une fois rendues les conclusions de la commission du débat public et si celles-ci sont positives, cette action d’envergure deviendra, pour nous, une grande priorité. A ve z- vo u s u n mes s a ge p ar ti cu lie r à d élivr er aux che fs d ’entr epris e ? Pour croire en l’avenir, il faut commencer par croire en soi-même. La situation actuelle est souvent difficile mais l’avenir, à court terme est plus serein. Profitez de cette occasion exceptionnelle pour « mettre au top » votre entreprise et entraîner vos salariés dans un grand mouvement général de compétence accrue. Nous sommes à vos côtés, tant la DREAL que la DRTEFP pour vous aider à rejoindre ce cap d’excellence qui rendra les entreprises haut-normandes encore plus compétitives et donc les plus créatrices d’emplois directs ...ou indirects. Direc tio n régio na le de l’En viron nem ent, d e l’Aména g emen t et du L og eme nt d e la Ha ut e-N orm an die 21, avenue de la Porte des Champs 76037 Rouen Cedex Tél. : 02 35 52 32 00 Fax : 02 35 52 32 32 Bernard LEMOINE [email protected] UNE FILIÈRE D’EX CELLENCE SUR LES ÉNERGIES EN HAUTE-NORMANDIE Les énergies renouvelables ne peuvent en l’état actuel se substituer à la totalité des énergies fossiles, le défi est donc aujourd’hui de trouver la meilleure complémentarité entre les différentes sources d’énergie disponibles. La mise en concurrence des différents acteurs contribue à l’émergence de solutions énergétiques nouvelles, mais ne suffira pas à relever les défis économiques et environnementaux auxquels la société doit faire face, la fédération des compétences des entreprises les plus concernées par la question de l’énergie peut apporter une contribution utile à cet objectif. Prenant conscience de cette situation et adhérant à la notion de “pôle régional des énergies” proposé par le rapport du CESR Haute-Normandie, les entreprises régionales concernées ont décidé de se structurer en tant que “filiè re d ’exc ellen ce” . L a Ch am bre de Co mmer ce e t d ’I ndu st rie d e Diep p e a ac com pa g né la c ons tit utio n de c ett e f ilière. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 La “Filière Én erg ies” en H au te- N orma nd ie La filière rassemble des entreprises implantées en région Haute-Normandie et qui ont leurs activités principales dans le domaine de la production et distribution de l’énergie. Son ambition est de jouer un rôle d’animation au sein du “pôle régional des énergies”, qui englobe tous les acteurs locaux dans ce domaine. Il s’agit de contribuer aux actions menées par les Pouvoirs Publics (État, Collectivités Territoriales, organisations consulaires...) pour accroître l’attractivité et développer le territoire Haut-Normand en agissant dans les domaines de compétences des entreprises adhérentes. La filière est le point de rencontre privilégié de toutes les formes d’énergie présentes en Haute-Normandie tout en préservant l’indépendance de chacun de ses membres par le strict respect des lois et règles en matière de concurrence. 10 Siège social de l’association : INSA - site du Madrillet - avenue de l’Université - BP 08 - 76800 Saint-Etienne du Rouvray. > ENTREPRISES ATOUSTAGES.COM, UN SERVICE POUR LES STAGES EN MILIEU PROFES SIONNEL Le service Atoustages Normandie réunit les compétences de partenaires du tissu économique et associatif local. Soucieux du rapprochement du monde de l’éducation et celui de l’entreprise, le service interrégional Atoustages met tout en oeuvre pour faciliter la recherche de stagiaires pour l’entreprise et accompagner le jeune dans sa recherche de stage. A TOOUSSTTAAGGEES Atoustages est un service interrégional (Basse-Normandie et Haute-Normandie) pour les stages conventionnés en entreprise, association ou administration. Atoustages, service gratuit, vise à agir comme interface entreprises - candidats. A TTOUUSSTAAGGESS PP OU UR LLEESS EENTTR EEP RRIISEES Même principe pour les entreprises, elles s’inscrivent, formulent leurs offres de stages de façon anonyme. L’identité de l’entreprise n’est pas dévoilée aux candidats. Les entreprises peuvent profiter aussi des autres avantages Atoustages : Cvthèque anonyme, fiches contenus de stages en lien avec les Rectorats, modèles de convention... L’équipe d’Atoustages peut aider les entreprises à formuler les offres de stages : contenu de mission, profil du stagiaire, conditions de stage... Le service « Atoustages » présélectionne les candidatures et assure la mise en relation avec l’entreprise. PPO OU UR LLESS JJEU UNEES Atoustages s’adresse aux jeunes en formation initiale, continue ou qualifiante, du CAP à Bac +8, à la recherche d’un stage conventionné en entreprise. Les jeunes s’inscrivent et postulent aux offres de stages qui les intéressent sur le site Internet w ww .a tou st ag es. co m. Atoustages accompagne les jeunes dans leur recherche de stages et leur offre un certain nombre de services : des conseils CV et lettre de motivation, des informations juridiques... Ils sont avertis par mail des nouvelles offres correspondant à leur profil. Le Centre Régional Information Jeunesse (CRIJ) de chaque Région est chargé de la mise en œuvre du service. Con tac t : CRIJ - S ervic e Atou st ag es - 84 r ue Bea uvo isin e - 76 000 R oue n T él. : 02 3 2 10 49 4 2 - ww w. at ous ta ges .c om - w ww. crij- ha ut e-n orma nd ie.o rg ! !"#$% &' () ' ' '!'* # + , , ! - " # $ %&$ '$ . & + ((() * +)+ ! 11 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > REPORTAGE DIEPPE PLAISANCE “NOTRE BOUTIQUE, NOUS EN SOMMES FIERS !” réussite et cette longévité. Il faut toujours essayer de faire mieux, et éviter la monotonie”, déclare M. Léautey. “C’est pour se remettre en question, que nous avons notamment engagé une démarche qualité avec la CCI de Dieppe et obtenu le label Normandie Qualité Commerce, en 2007. Notre boutique, c’est une fierté, nous avons toujours réussi à la maintenir et a évolué.” Un e bou tiq ue liée a u por t de p lais an ce La boutique Dieppe Plaisance, située sur le Quai Henri IV, à Dieppe, a vu le jour le 1er avril 1989. À cette époque, Philippe et Patricia Léautey étaient alors convaincus que les projets d’aménagement d’un port de plaisance allaient aboutir. En 1989, le magasin propose à la vente des articles de pêche, des vêtements marins et de la décoration marine. Les premiers pontons du port de plaisance ne verront toutefois le jour qu’en juin 1995. Les premières années d’existence du magasin ont donc été plutôt difficiles. “En 1995, l’arrivée du port a changé le commerce, il nous a permis de dynamiser notre chiffre d’affaires”, affirme M. et Mme Léautey. Ils ont investis dans une réserve de 40m2. En 1995, leur chiffre d’affaires se développe. U n d eux ième a gra nd iss emen t en 1 997 En 1997, M. et Mme Léautey ont l’opportunité de s’agrandir en mitoyenneté avec leur magasin. “Après la création du port de plaisance, cette opportunité nous a encore permis de nous développer. Nous avons donc étendu notre gamme de vêtements de grandes marques et la décoration marine et développé une gamme de vêtements pour les femmes. Nous avons réduit progressivement jusqu’à arrêter en 2002, la vente d’articles de pêche pour favoriser les vêtements marins”. 2 0 an s de p rése nce s ur le Qu ai H enri IV Chaque matin et ce, depuis vingt ans, le couple se réjouit de rejoindre leur magasin et le port. En aucun cas, ils ne quitteraient le quai Henri IV et son port, pour rejoindre la rue commerçante du centreville. “J’aime profiter chaque jour de ce bel outil de travail et de la vue, que l’on m’a offert en face le magasin”, confie fièrement M. Léautey. La clientèle y est soidisant différente, plus détendue et moins stressée, le Quai Henri IV étant propice à la flânerie, la promenade en famille et entre amis. Dieppe Plaisance a fêté cette année ses 20 ans. “Notre grande disponibilité, la qualité des produits vendus, l’écoute de nos clients sont, je pense, les clés de cette PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 12 Un e im plic at ion d an s l’anim at ion c omm ercia le et to uris tiq ue de la v ille À côté de sa boutique, M. Léautey est très impliqué dans l’animation commerciale et touristique de la ville. Il participe activement et bénévolement à l’organisation de la traditionnelle foire aux harengs, aux marchés nocturnes et aux différents évènements (Tour de France à la Voile, arrivée de la Solitaire du Figaro...) qui animent et créent une bonne ambiance sur le Quai Henri IV et dans toute la ville. “J’estime ainsi participer à la promotion de la ville, pour essayer de dynamiser le commerce et le tourisme dans la région. C’est avant tout une histoire d’équipes, une équipe de bénévoles fédérés autour de ce bassin Jehan Ango.” Die pp e P lais anc e 4 5 Qu ai H enri IV - 762 00 Die pp e T él : 02 35 0 6 1 0 90 F ax : 0 2 35 84 79 20 w ww. die pp e-p lai san ce. co m d iep pe. pla isa nc e@wa na do o.f r > REPORTAGE L’ENTREPRISE PAIN CLÉMENT À VAL-DE-SAÂNE DEPUIS 40 ANS L’entreprise Pain Clément, installée à Val-de-Saâne, fête cette année son quarantième anniversaire. L’occasion de revenir sur cette aventure familiale et agroalimentaire. Marcel Clément, grand-père de l’actuel directeur général Olivier Poigny, a transformé, en 1949, la petite entreprise familiale de biscotterie fondée en 1876 en véritable industrie, à Déville-les-Rouen. L’entreprise Pain Clément fabrique alors des biscottes. Séduit par l’environnement rural de Valde-Saâne et une bonne accroche avec le maire de l’époque, Marcel Clément décide, en 1969, d’installer une deuxième entreprise dans cette commune. Les ventes se développent. Il créé en 1973 une troisième usine à Montpellier pour développer la commercialisation des biscottes sur le marché espagnol et italien. Jusque dans les années 1980, Pain Clément commercialise sa production de biscottes uniquement en boulangerie. Toutefois, le marché montre des signes de faiblesses, des difficultés commencent à se faire sentir. L’entreprise fait alors le choix de commercialiser sa production de biscottes sous la marque de distributeurs. Olivier Poigny prend la direction de l’entreprise en 1984. Pour sauvegarder Pain Clément, il choisit de fermer le site de Déville-les-Rouen. En 1985, un incendie détruit totalement le site de Val-de-Saâne. Pour assurer la production, une partie des salariés et leurs familles partent à Montpellier. L’entreprise de Val-de-Saâne est progressivement reconstruite, et rouvre ses portes deux ans plus tard. L a d ivers ifica tio n s’imp os e À cette époque, la biscotte est l’unique production de l’entreprise. L’avenir de Pain Clément est au coeur des discussions, la question de la diversification est alors envisagée. Pain Clément investit et développe alors le pain de mie pour une distribution sous la marque de distributeurs. Le fonds de commerce de biscottes et le site de Montpellier sont revendus. Parallèlement, Pain Clément intègre le groupe agroalimentaire rennais Norac, groupe qui compte environ 3 500 salariés. Un e at ten tion p ort ée à l’env ironn emen t Pain Clément est attentive à l’environnement et au développement durable. Olivier Poigny, soucieux de la qualité du paysage et du cadre de vie environnant, a très à coeur d’insérer l’entreprise dans le respect de cette qualité de vie et du paysage. Des investissements ont été consentis pour limiter les nuisances phoniques et le traitement des eaux usées et pluviales. Malgré des périodes difficiles, l’entreprise a toujours réussi à maintenir le cap. Elle a beaucoup progressé. Pour Olivier Poigny, les salariés participent à la réussite de Pain Clément. Il salue notamment leur courage, leur respect des valeurs de l’entreprise et du travail. 2 0 000 t onn es d e f ar ine pa r an po ur 50 millio ns d e p a ins Aujourd’hui, l’entreprise emploie 180 personnes et travaille essentiellement avec les marques distributeurs. Trois lignes de production tournent six jours sur sept pour assurer la production de pain de mie, de pains spéciaux et de baguettes précuites traditionnelles, cuites sur sol de pierre. 20 000 tonnes de farine permettent chaque année la fabrication de 50 millions de pains. L e p a in préc uit , ent re tra dit ion et in nov ati on Pain Clément a su innover et s’est lancé sur le marché du pain précuit. Issu du savoir-faire de la boulangerie française, le pain précuit fabriqué par l’entreprise allie innovation et savoir-faire traditionnel de l’artisan boulanger. L’entreprise s’est aussi développée à l’international et exporte ses produits sur le marché européen (Espagne, Portugal...). Des projets de développement sont en cours avec la Belgique, l’Allemagne, l’Angleterre et la Suisse. 13 U ne op éra tion d e méc éna t pou r l es 40 a ns d u site Pour marquer les quarante ans de l’entreprise sur le site de Val-de-Saâne, Olivier Poigny a sollicité Thierry Tran, artiste peintre normand, pour réaliser une installation photographique dans l’entreprise. L’exposition intitulée “Croisée de valeurs”, était principalement destinée aux salariés et à leurs familles, et présentée à l’occasion de journées portes ouvertes qui se sont tenues du 9 au 12 septembre 2009. La proposition artistique de Thierry Tran a fait entrer l’environnement à l’intérieur des locaux industriels, par l’installation de fenêtres photographiques. Cette opération fait écho aux différentes manifestations organisées par l’association ArtNorac, créée par le président du groupe Norac, qui a organisé en 2008, la première biennale d’art contemporain de Rennes, sur le thème des relations entre l’art et l’entreprise. Pa in Clémen t Le V ieux M oulin - 76 890 V a l d e Sa ân e Tél : 02 3 2 80 01 01 Fax : 02 35 6 5 61 22 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 LA SOLIT AIRE D U FIGARO À DIEPPE La CCI de Dieppe a eu le plaisir d’accueillir, pour sa 40ème édition l’arrivée de la Solitaire du Figaro dans le port de plaisance Jehan Ango, du 17 au 23 août derniers. La dernière étape entre Dingle et Dieppe a été remportée par A nto ine KOCH (Sopra Group). Nic ola s L UN V EN (CGPI) s’adjuge le classement général après seulement 3 participations. Il a été accueilli par Éveline DUHAMEL, présidente de la CCI de Dieppe et Sébastien JUMEL, maire de Dieppe. La fougue du jeune Breton aura eu raison des assauts répétés de Yann ÉL IÈS (Générali), qui en remportant la 1ère étape à la Corogne et la 2ème place au général, réalise un superbe retour sur la Solitaire, quelques mois après son accident sur le Vendée Globe. Seulement 20 petites minutes les séparent au terme de trois semaines de course, suivis de très près par F rédér ic DUT HIL (Bbox Bouygues Telecom) qui complète ce podium. Cette semaine fût ponctuée de moments forts en émotion, en suspens, lors de l’arrivée des bateaux, de divertissements pour les milliers de visiteurs à travers les nombreuses animations nautiques, les animations musicales et autres, les nombreuses dédicaces des skippers, le village d’exposants et la somptueuse parade de clôture. Michel DESJOYEAUX (Foncia) termine 5ème au général. > COMMERCE NORMANDIE QUALIT É COMMERCE TROIS ENTREPRISES LABELLISÉES Mademo iselle C - Dieppe Maroquinerie haut de gamme Passionnée depuis toute petite par les sacs et accessoires de mode, Cé lia Fa ud emer s’est lancée et a ouvert en septembre 2006, rue Victor Hugo, à Dieppe. “Choisir d’entrer dans la démarche permet de faire le point sur le fonctionnement de l’entreprise et d’engager une réelle démarche de progrès.” ALERTE ! FACTU RATIO N D’A NNU AIRES PR OFES SION NELS O U A UTRES REG ISTRES Les informations utiles à l’enregistrement légal de votre activité sont délivrées par le C en tre de Fo rmal ités des En trepris es (CFE) de la Chambre de Commerce et d’Industrie (pour les commerçants et sociétés). Mais on Delacou dre - Auffay Charcuterie Traiteur Ma th ieu Dela cou dre a repris cette charcuterie d’Auffay, avec son épouse en juillet 2005. “S’engager dans une démarche qualité, c’est accepter de remettre en question ses méthodes de travail en ayant pour objectif l’amélioration de ses pratiques commerciales, de son positionnement, de ses produits, de son lieu de vente, en visant en permanence l’anticipation de la satisfaction de ses clients.” SEULES les factures émises par : - le CFE , - le greffe du Tribun al de c om me rce , - ou l’IINPI D OI VE NT RETE NIR VOTRE A TTEN T ION. Harvard - Dieppe Prêt à porter hommes grandes marques Fran çois e Let ellier est installée à Dieppe depuis mars 1986. Elle a souhaité rentrer dans la démarche pour mieux répondre aux attentes de ses clients. “ C’est un bon moyen de faire le point sur le fonctionnement de son entreprise et apporter des points d’amélioration pour le confort de la clientèle.” Si d’autres sociétés vous contactent en vous envoyant une facture pour une inscription à un autre registre, sachez qu’elle n’est en rien obligatoire. UNE NOUV ELLE UNI ON C OM M ER C IAL E P OUR LONGUEVILLE-SUR-SCI E Après une mise en sommeil de près de dix ans, l'union commerciale et artisanale de Longueville-sur-Scie est enfin relancée, avec le soutien de la Mairie de Longuevillesur-Scie et de la CCI de Dieppe. Un bureau a été élu avec Hubert Vadecart, président, Michel Duboq, vice-président, Michel Tessier, trésorier, Catherine Chabot, trésorièreadjointe, Valéria Pungier, secrétaire, et Anne Derny, secrétaire-adjointe. Plus de 30 entreprises (commerçants, artisans et professions libérales) ont choisi d’adhérer. Plusieurs actions ont déjà été menées, une opération Fête des Mères et une participation active à la foire à tout du 6 septembre dernier avec l’accueil de Dieppe Rétro. Prochaine opération : l’Opération Noël. Félicitations à l’union commerciale de Longueville-sur-Scie et à son président et aux forces vives qui ont choisi de s’inscrire dans cette démarche commerciale. 15 Un doute ? N’effectuez pas de versement avant d’avoir vérifié l’origine de ces factures et demandez conseil à votre CCI : CENT RE DE FORMALIT ÉS DES ENTR EP RISES MIREILLE LOUVET 02 3 5 06 5 0 13 Afin d’obtenir des informations complémentaires sur la société prestataire. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > MÉCÉN AT AGISS ONS POUR SAUVER NOTRE PATRIMOINE PA RTICIPEZ À LA R ESTA URA TION DE LA CHA PELLE DE B ON SEC OU RS DE NEU VILLE -LES-DIEPP E Dominant le port et la ville, faisant face au Château, petite et fière, la Ch ap elle N otre -Da me- d e-B ons eco urs dite « Chapelle des marins » se dresse tel un phare sur la falaise du Pollet, offrant sa silhouette aux voyageurs venant des 4 points cardinaux et semble dire « Soyez rassurés, moi, Notre-Dame-deBonsecours, je suis là et je veille ». Construite en 1876, bénie le 18 juillet de la même année, Bonsecours appartenait à la Société de Secours Mutuel de la Marine et fut tout d'abord un lieu de pèlerinage. Isolée de toute habitation jusqu'en 1914, elle devint la chapelle paroissiale de Neuville-les-Dieppe, le 1er mai 1933. L'Association diocésaine de l'Archevêché de Rouen l'acheta en 1935. Ouverte au culte, elle est un sanctuaire des marins disparus en mer comme en témoignent les ex-voto apposés sur les murs par les familles. Ayant beaucoup souffert des intempéries, elle bénéficia d'importantes restaurations, toutes rendues possibles grâce à la géné- POUR rosité de la population. Dés 1938, elle est restaurée et embellie. En 1973, une autre restauration fut nécessaire mais celle-ci se révéla insuffisante. En 1984, intervient un évènement majeur dans l'histoire de la chapelle et qui permettra sa sauvegarde pérenne. Face à l'urgence de la situation A sso cia tion d e S auv ega rd e de la (menace d'effondrement) l'A Chap elle- N otr e-D ame -d e-B ons eco urs est créée et entreprend de remettre en état l'édifice de façon systématique. Prés de 25 ans d'efforts ont permis une restauration en profondeur des murs intérieurs, remise en état complet de deux voutes, toitures, vitraux, peinture , ex-voto … Aujourd'hui, l'Association porte toute son attention sur les murs extérieurs, qui demandent une consolidation (chutes de pierres, infiltration d'eau ). L'opération prévoit le rejointoiement complet avec le remplacement de pierres et de briques vernissées au besoin, qui font tout le charme et l'originalité de la chapelle. Le devis s'élève à 97 000 euros. RÉ UNIR LA T OTALIT É DE LA SOMME , L'A SSOC IAT ION COMPT E SUR VOUS ! Si vous souhaitez apporter votre aide, complétez et expédiez le bon de souscription ci-dessous, accompagné de votre don. En retour, vous sera délivré un reçu fiscal vous permettant de bénéficier de l'économie d'impôt prévue par la loi. ! B O N D E S OU S C R I PT I O N Je fais un don pour participer à la restauration de la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours. Mon don est de .................. euros et je bénéficie d'une économie d'impôt. > P our le s particuliers : don déductible de l'impôt sur le revenu à hauteur de 66% du don et dans la limite de 20% du revenu imposable > P our le s e ntreprise s : réduction d'impôt de 60% du don dans la limite de 5 ‰ du chiffre d'affaires. Votre don donnera lieu à l'envoi d'un reçu fiscal, que vous pourrez joindre à votre déclaration fiscale Nom ............................................................. ou Société ........................................................................... Adresse ...................................................................................................................................................... Code Postal .............................. Ville ........................................................................................................ Coupon à envoyer à : ASSO CIATION D E S AUVEGA RD E D E L A C HAP ELL E NOTR E-DA ME- DE-BONS ECOUR S - Serge LANNIER 17 Rue de la Bastille - 76370 Neuville-les-Dieppe PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 16 D ES STAG E AN I MÉ PA R ESS IO N N ELS E E X PE T R TS PR OF STAGE DE FORMATION ORGANISÉ TOUS LES TRIMESTRES POUR ACQUÉRIR LES BASES DU MÉTIER DE CHEF D’ENTREPRISE Au pro gramme : - La démarche globale de la création / reprise d’entreprise - L’étude de marché - Construire son projet : les moyens commerciaux / les moyens de production / les moyens juridiques / le social et le fiscal - La faisabilité du projet - Les formalités Coû t de la f o r m a t io n - L’informatisation du projet 150 eu ro s - La reprise d’entreprise - Le suivi et le développement de l’entreprise In scri pti on obli gatoi re auprè s du s ervic e créatio n/repri se d’ entrepri se de la CCI de D ieppe : Al exandra BRI CE – Ann e-Marie GA RCI A – 0 2 3 5 0 6 5 0 5 0 > CRÉATION DIEPPE BRESLE INIT IATIVE L’ASSOCIATION DES C OMPÉTENCES De gauche à droite : Be rnard L ABYE , représentant de la coordination régionale des plateformes de HauteNormandie ; Je an-Pie rre BR OUSSOIS, Président de DBI ; Be rnard BR UNHES, Président de France Initiative. 2008 : DBI EN C HI FF RES 3 6 pro jets la be llisés (246 depuis 1993) 2 9 prêt s d’h onn eur accordés (+40%) 2 21 000 euro s - Montant total des prêts d’honneur accordés 2 4 40 46 0 e uros d e prê ts b anc air es associés aux prêts d’honneur 9 2% - Taux de pérennité à trois ans des entreprises reprises ou créées 5 0% des créateurs ou repreneurs sont sans emploi avant de créer 3% ont moins de 30 ans 2 2% sont des femmes 3 9% des interventions concernent des reprises 10 ENTRE PRISES ONT REÇU RÉCE MMENT L E L ABE L M . ALL ARD - NOU VE L ET ABL ISS EM EN T FR ANCE FROID MARTIN EGLISE Activité : Stockage et prestations sur produits alimentaires Effectif : 7 - Création : décembre 2008 M . ARS LAN - EFE S KE BAB DIEPPE Activité : Restauration Effectif : 2 - Reprise : mai 2009 Dieppe Bresle Initiative (DBI) a tenu son assemblée générale, le 22 juin dernier, à la CCI de Dieppe. DBI est une association loi 1901, née en 1993 à l’initiative de la CCI de Dieppe et du Centre des Jeunes Dirigeants. DBI couvre les territoires des circonscriptions des CCI de Dieppe et Littoral Normand Picard (cantons de Eu, Blangy-sur-Bresle et Aumale). Ses missions : - Acc omp ag ne r les c réat eurs et re pre neu rs d ’ent rep rises dans l’élaboration de leur projet, - Fa cilit er les d éma rch es en fédérant les partenaires économiques et professionnels. En deuxième partie de soirée, Ber nard BRU NH ES , Président de France Initiative, est intervenu lors de la conférence M me DU CROCQ, M . CORUB LE , M. G U ER OU L T - NOMAB BACQUEVILLE-EN-CAUX Activité : Négoce de machines et outillage pour le bois, affûtage Effectif : 3 - Création : mars 2009 DIEPP E BRE SLE INI TIA TIVE Mm e B YHE T - GRA IN DE B EAU TE LE TREPORT Activité : Institut de beauté Effectif : 1 - Création : avril 2009 M. ROS E - RTI FORAG E MANEHOUVILLE Activité : Forage et pompage Effectif : 3 - Création : mai 2009 M. L EV AS SE UR - M GPL VILLERS SOUS FOUCARMONT Activité : Mécanique générale Effectif : 1 - Création : février 2009 M. FOU LON - FOUL ON AU TOMOBIL E S SAINT-MARDS Activité : garage automobile Effectif : 6 - Reprise : mars 2009 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 “Cr éat ion - R epr ise d ’ent rep rise : a ct e in div idu el ou a ct e colle ctif ?“ , animée par le journaliste, Bertrand TIERCE. Il a salué le travail de DBI et rappelé l’importance des TPE dans le développement économique local ; le fort besoin d’accompagnement dans une société complexe ; enfin l’impossibilité pour l’État de tout faire luimême et la nécessité pour lui de s’appuyer sur des acteurs comme France Initiative. Les créateurs et repreneurs ont pu témoigner de l’intérêt d’être passé par cette plateforme. Hervé GOMART a ouvert fin août l’Ilôt Pirate, une plaine de jeux pour enfants avec un restaurant. “J’ai pu bénéficier d’un regard extérieur sur le projet et d’un prêt d’honneur qui m’ont crédibilisé aux yeux des banques”. Franck AMELIN a raconté son parcours de repreneur de l’entreprise d’électricité industrielle où il était salarié et qui emploie aujourd’hui 40 salariés. “Grâce à DBI, je ne me suis jamais senti seul. Le partage avec d’autres, et notamment mon parrain, ont été aussi importants que le prêt d’honneur”. Selon Jean-Pierre BROUSSOIS, son président, DBI fédère de nombreux acteurs économiques, s’inscrivant ainsi sur le territoire et tout au long du parcours de la création reprise d’entreprise comme “une association de compétences”. 18 M . PED ROSA - TR ANS PORTS DU HORN AY par création de la holding RSE FINANCES ENVERMEU Activité : Transport de marchandises Effectif : 28 - Création : septembre 2008 M me TEL L IER - SOCIE TE N OUV EL LE P IOCH EL ROUXMESNIL BOUTEILLES Activité : Prestations de parachèvement sur produits verres Effectif : 34 - Création : juin 2009 M . BE CK ER ICH - TE CHN I OU TIL L AG ES INCHEVILLE Activité : Étude et réalisation d’outils de presse et d’outillages de précision, réalisation de prototypes Effectif : 18 - Création : juin 2009 > FORMATION IN S T I TU T C O N S U L A I R E DE D I E PP E DOMAINE L ANGUES (ANGL AIS, ES PA GNOL, A LLEM AND, ITALIEN, Cours particuliers (1 personne) Cours collectif en intra (2 personnes) Cours collectif en intra (3 à 5 personnes) Cours collectifs en inter Test de niveaux Séjour immersion en Angleterre Séjour immersion en Angleterre pour étudiant Langues rares I NFO RM ATIQUE BUREAUTIQUE Windows Word Base ou perfectionnement Excel Base ou perfectionnement Internet Internet - création de site FRONTPAGE Open Office Writer base ou perfectionnement Open Office Calc base ou perfectionnement Open Office Impress base ou perfectionnement Ateliers informatiques (par thèmes) ET SÉCUR ITÉ C.H.S.T (Comité d’Hygiène Sécurité et Conditions de Travail) S.S.T Recyclage S.S.T HA BIL ITA TIO NS ÉLEC TRIQUES UTE C 18530 UTE C 18510 S ÉCURITÉ Sensibilisation aux risques explosion Sensibilisation à la sécurité Évaluation des risques Gestes et postures Gestion du stress Risques chimiques Sensibilisation à l’agression physique Sensibilisation risque incendie CA CES CARI STE - D ÉBUTA NT - CA CES CARI STE - E XPÉRIM ENTÉ Type 3 Type 5 Type 1, 3 Type 1, 5 Type 3, 5 Type 1, 3, 5 A UTO RISA TION OU R ECYC LAGE DE COND UIR E (NOUS C ONSULTER ) Possibilité de formation en INTRA DURÉE COÛT INDIVIDUEL COÛT GROUPE FR ANÇ AIS P OUR ÉTRA NGERS OU P ER FEC TIONNEM ENT) selon objectifs et niveaux 49 € / heure selon objectifs et niveaux 64 € / heure selon objectifs et niveaux 75 € / heure selon niveaux 11 € / heure 45 min 15 € le test (déduits lors de l’inscription) 1 semaine nous consulter 2 semaines nous consulter nous consulter 1 jour 2 jours 2 jours 1 jour 2 jours 2 jours 2 jours 2 jours 2 heures/semaine HY GIÈNE Type 3 Type 5 Type 1, 3 Type 1, 5 Type 3, 5 Type 1, 3, 5 Tél : 02 3 5 06 85 9 0 co ur riel : ic dieppe@w anadoo .fr 140 € 280 € 280 € 140 € 1 260 € 280 € 280 € 280 € 15 € / heure 3 jours pour les sociétés de -300 personnes 12 heures 4 heures 492 € 630 € / jour 1 jour 2 jours 168 € 266 € 630 € / jour 630 € / jour 1 jour 1 jour 2 jours 1 à 2 jours 2 jours 1 jour 1 jour 4 heures 210 € 161 € 266 € 161 € / jour 266 € 161 € 161 € 630 € / jour 630 € / jour 630 € / jour 630 € / jour 630 € / jour 630 € / jour 630 € / jour 560 € 142 € 48 € 5 jours 580 € 650 € 660 € 730 € 790 € 870 € 3 jours 350 € 400 € 430 € 480 € 560 € 640 € - 924 € 312 € Coût / jour : 770 € Cette liste n’est pas exhaustive, nous restons à votre écoute pour tous besoins spécifiques. 19 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > VIE D E LA CHAMBRE u P RIX DU B IC ENTEN AIRE DE L A C CI DE DIEPPE ... = À L ’H IP PO DR O ME DE RO UXMES NIL-BO UTEILLE S Le 19 juillet, Dominique Garçonnet, membre du Bureau de la CCI de Dieppe, a remis le prix du Bicentenaire de la CCID, qui s’est tenu sur l’hippodrome de Rouxmesnil-Bouteilles, organisé par la Société des Courses de Dieppe. = AU JU MPIN G DE DIEPP E Le prix Bicentenaire de la CCI de Dieppe a été remis par Philippe Leveau et Laurent Covelli, membres du Bureau lors du concours de sauts d’obstacles, organisé, comme chaque année, sur les pelouses de la plage, à Dieppe. LES FEMMES DAN S L’E URO PE - CO NFÉR ENCE -DÉB A T Une conférence-débat sur la thématique “Les femmes dans l’Europe”, initiative de Éveline Duhamel, présidente de la CCI et présidente de la circonscription Nord-Ouest du Conseil Européen Femmes Entreprises et Commerce (CEFEC) et Paulette Laubie, présidente fondatrice du CEFEC, a réuni bon nombre de femmes et quelques hommes, le 9 juillet dernier à la CCI de Dieppe. Françoise Vilain, Présidente de la délégation aux Droits des femmes et à l’égalité des chances entre hommes et femmes au Conseil Économique, Social et Environnemental Palais d’Iéna était l’invitée d’honneur. SA VO I R- FA IRE E T P RO DU IT S INN O VA N TS DE N O S EN TR EP R IS ES u À l’occasion de son Bicentenaire, la CCI a organisé, du 5 au 19 juin une exposition sur les “Savoir-faire et produits innovants des entreprises” de la région dieppoise. À travers cette vitrine de notre terroir, la CCI a souhaité communiquer et valoriser la richesse industrielle et commerciale de notre région, des savoir-faire, des technologies et des produits innovants de nos entreprises. = A U C ON COU RS CO MPLET DE BA CQ UEVILLE Un trophée Bicentenaire de la CCI a récompensé un des vainqueurs du concours complet d’équitation organisé par la Société des Courses de Bacqueville-en-Caux, le 16 août. Il a été remis par Éveline Duhamel, présidente de la CCI. A R RIVÉ E DU TO U R FRA NCE À L A VOILE DE Éveline Duhamel et Jean-Marcel Piétri étaient présents à La Seyne-sur-Mer du 21 au 23 juillet pour l’arrivée du Tour de France à la Voile. U NIVERSITÉS D’ÉTÉ DES C CI À MAR SEILLE Éveline Duhamel, Jean-Marcel Piétri et les membres du Bureau de la CCI étaient présents les 3 et 4 septembre aux 13èmes Universités d’été des CCI à Marseille, sur la thématique “Le choix du futur - à la recherche de nouveaux équilibres”. PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 LU NE R A Y - U NE U NI O N D ES C O MMER Ç A NT S ET A RT IS A NS DYN A MIQ U E u L’union des commerçants et artisans de Luneray (UCAL) a organisé, le 12 juin dernier un cocktail dînatoire, à la salle d’activités. Cette rencontre conviviale a réuni des chefs d’entreprises, élus locaux, représentants de la CCI de Dieppe et présidents d’association commerciales. En présence d’Alfred TrassyPaillogues, député, de Martial Hauguel, maire et conseiller général, d’Éveline Duhamel, présidente de la CCI, de Jean-François Bloch, président de la Communauté de Communes Saâne et Vienne et de Denis Fauvel, président du Syndicat Mixte Terroir de Caux, le Président de l’union commerciale, Stéphane Vasseur a en quelques chiffres, montré le dynamisme de la commune de Luneray. L’UCAL a soufflé ses quarante bougies, elle comptait 26 adhérents en juin 2008, 52 en décembre de la même année et en compte 70 aujourd’hui. L’objectif de cette rencontre était vraiment de faire se rencontrer des acteurs de la vie économique de la région, de créer des liens, d’échanger des idées et de mieux se connaître. u DES A S S IS ES L O CA L E S D E L ’A UT O MO BI LE À l’initiative de la cellule de veille économique mise en place par la municipalité, la Ville de Dieppe, en partenariat avec la CCI et la Sous-Préfecture, a organisé, le 12 juin, à la salle des congrès de Dieppe une matinée d’échanges entre chefs d’entreprises, syndicats, institutionnels et élus locaux. Objectif : dresser un bilan et proposer des perspectives concrètes pour aider les entreprises du secteur automobile à traverser la crise. 20 > RENDEZ-VOU S... S AL ON DU MARIA GE E T DE L A FE TE ROUEN - PARC DES EXPOSITIONS www.rouen-expo.com 13/11/2009 au 15/11/2009 L E S AL ON DE S S ERV ICES À L A P ERS ON N E PARIS - PORTE DE VERSAILLES 01 47 61 49 31 www.salon-services-personne.com 19/11/2009 au 21/11/2009 M AINT EN ANCE E XPO Solutions, produits et services pour la maintenance PARIS NORD VILLEPINTE 01 47 56 52 34 www.maintenance-expo.com 17/11/2009 au 20/11/2009 À li re À VOS AGENDAS ! M IDES T Salon de la sous-traitance industrielle PARIS NORD VILLEPINTE 01 47 56 52 34 www.midest.com 17/11/2009 au 20/11/2009 CR ÉATION & SA VOIR- FAIRE Salon des loisirs créatifs PARIS PORTE DE VERSAILLES 01 76 77 11 11 www.creations-savoirfaire.com 19/11/2009 au 23/11/2009 S AL ON N AUT IQU E DE PARIS PARIS - PORTE DE VERSAILLES 01 47 56 64 52 www.salonnautiqueparis. com 4/12/2009 au 13/12/2009 POLL U TEC HORI ZON Salon des solutions d'avenir au service des enjeux environnementaux et économiques PARIS NORD VILLEPINTE 01 47 56 21 24 www.pollutec.com 1/12/2009 au 4/12/2009 ECL AT DE MODE / B IJORH CA PARIS - PORTE DE VERSAILLES 01 47 56 52 82 www.bijorhca.com 23/01/2010 au 26/01/2010 MAIS ON & OBJE T PARIS NORD VILLEPINTE 01 44 29 02 00 www.maison-objet.com 22/01/2010 au 26/01/2010 PR ÊT A PORTE R PARIS PARIS - PORTE DE VERSAILLES 01 44 94 70 00 www.pretparis.com 23/01/2010 au 26/01/2010 WH O'S N EXT Prêt-à-porter accessoires de mode PARIS - PORTE DE VERSAILLES 01 40 13 74 74 www.whosnext.com 23/01/2010 au 26/01/2010 SA LON D U JOU ET E T D U J EU GRANDE HALLE DE LA VILLETTE 01 41 98 42 82 www.jouets-et-jeux.com 24/01/2010 au 26/01/2010 LA HAUT E-NORMANDIE EN CHIFFRES ET EN CART ES Réalisé en partenariat avec la Préfecture de région Haute-Normandie, la Chambre Régionale de Commerce et d’Industrie (CRCI) de Haute-Normandie vient de publier la deuxième édition de son Pan ora ma éco nom iqu e : “la H au te- No rma nd ie en chif fre s et en ca rte s”. Pour cette édition 2009, l’ouvrage a fait peau neuve. Son contenu a été étoffé avec la présentation des filières régionales et des pôles de compétitivité notamment. Le panorama économique de la Haute-Normandie regroupe de nombreux indicateurs (graphiques et cartes) et recense de manière synthétique l’ensemble de l’information économique régionale au travers de 14 thèmes : l’emploi, le commerce, l’industrie, la R&D, l’enseignement, la formation... Plus que jamais, ce document constitue un socle de connaissance actualisé sur l’économie de la région au service des entreprises et des territoires. Un outil d’aide à la décision et à l’action. L e Pa nora ma éco nom ique d e la H au te- No rma nd ie e st d isp onib le en té léch arg eme nt gr at uit à l’a dres se s uiva nt e : w w w .d ra k k a r o n li n e. c o m / ru b r i q u e1 2 . h t m l SMIC HORAIRE 8,82 eu ro s CHIFFRES C LÉS INDICE DU COÛT DE LA CONSTRUCTION 1 503 (1 er tri me stre 20 09 ) 21 TAUX DE BASE BANCAIREE 6,60% PLAFOND ANNUEL 2009 DE LA SÉCURITÉ SOCIALE 34 308 eu ro s PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > CONJONCT URE COMM ERCE Au cours des 8 premiers mois de 2009, le nombre de créations commerciales a légèrement diminué par rapport à l’année précédente : on relève ainsi 94 créations, pour 116 l’année précédente. Le nombre de radiations est également inférieur à celui de 2008 (80, contre 107). Le solde reste positif en matière d’établissements (+14), supérieur à celui de 2008. En terme d’emplois dans le commerce, le premier semestre se caractérise par un solde légèrement positif (+14) ; c’est moins bon qu’en 2008, où le solde était de +226 emplois. IND US TRIE Du 1/01 au 31/08/2009, le nombre de créations d’établissements dans l’industrie est en diminution par rapport aux années précédentes : on relève ainsi 30 créations, contre 45 l’année précédente. Le nombre de radiations est supérieur à celui de 2008 (19 contre 14). Le solde reste toutefois positif en matière d’établissements (+11), mais inférieur à celui de 2008 (31). En terme d’emplois dans l’industrie, les 8 premiers mois de 2009 se caractérisent par un solde négatif (-60), avec 162 emplois créés et 188 supprimés. S ER VICES La dynamique de croissance s’est repliée dans les services au cours des 8 premiers mois de 2009, avec 55 créations d’entreprises (contre 90 en 2008 et 65 en 2007), et un nombre de radiations stable par rapport aux années précédentes : 43 radiations. Le solde reste légèrement positif à +12 établissements. C’est nettement moins qu’en 2008 (+45) et 2007 (+25). Le solde des emplois reste toutefois positif (+63), mais inférieur à celui des années précédentes, surtout à 2007, où il atteignait plus de 400 emplois. ACT IVITÉ S PORT UAIRE S Au cours des 8 premiers mois de 2009, l’activité du port de Dieppe est marqué par une certaine forme de stabilité par rapport à 2008 : - Avec un peu plus d’un million de tonnes, le trafic global du port de Dieppe (port de commerce et fret transmanche) est en très léger repli de 4% par rapport à la même période en 2008. Le fret transmanche diminue significativement de 7,5%. Le trafic des graves de mer reste le plus important du port de commerce (hors fret), avec 211 261 tonnes, plutôt stable depuis un an. Le trafic des pales d’éoliennes est en nette progression, avec 6 703 tonnes, contre 163 tonnes en 2008. On notera également l’apparition d’un trafic de bois à l’export significatif de près de 5 000 tonnes. - Le nombre de passagers, sur le transmanche, est resté sensiblement équivalent à celui de 2008, pour s’établir à 144 324 personnes. - La production du port de pêche est restée du même ordre que celle de 2008, avec 1 400 tonnes. On notera toutefois une forte hausse de la production de poissons frais (+40%), et une diminution importante de la coquille-Saint-Jacques (-27%). PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 22 > MOU VEMENT S D ES ENTREPRISES MOUVEMENTS DES MOIS DE AVRIL À AOÛT 2009 ACH ATS D E FON DS AU FFAY S AR L ECO E N V IRON N EM E NT CON S E IL - 19 RUE VICTOR HUGO ETUDES ET RECHERCHES SUR L’ENVIRONNEMENT - 30/04/2009 Vendeur : ECO ENVIRONNEMENT INGENIERIE EEI SA B ACQUE VIL L E EN CAU X S ARL D AVID - 7 RTE DE DIEPPE NEGOCE DE QUINCAILLERIE BRICOLAGE MOTOCULTURE ET MATERIEL AGRICOLE 01/07/2009 Vendeur : QUINCAILLERIE DELAPORTE S ARL CHA RCUT ERIE TRAITE UR CL ARA - 10 PL DU GENERAL DE GAULLE - CHARCUTERIE TRAITEUR - 07/07/2009 Vendeur : RAILLOT MARIE JOSE D IEPPE S ARL LIT TL E ITAL Y - 42/44 QU DUQUESNE - PIZZERIA RESTAURATION RAPIDE 01/04/2009 Vendeur : LE ROYAL S ARL F.C.L - 1 AV JEAN JAURES RESTAURATION - 04/04/2009 Vendeur : SMAIL INVESTISSEMENT S ARL G OS S ET - 2 QU DU CARENAGE - BAR BRASSERIE 14/04/2009 Vendeur : BAER MARYSE S AS G ECOFI - 125 GRANDE RUE - NEGOCE CHAUSSURE, MAROQUINERIE, ARTICLES DE SPORTS ET ACCESSOIRES 01/05/2009 Vendeur : BROUARD COLETTE S AR L A UX PAIN S DE L ICES 13/15 QU HENRI IV - BOULANGERIE PATISSERIE - 01/05/200 Vendeur : BUISSON DANIEL S ARL PIZZ A BU L LE - 12 RUE DE L’ORANGER - RESTAURATION RAPIDE PIZZERIA - 13/05/2009 Vendeur : L E M A R C H A N D PATRICE M ME PL E KA RINE - BD MARECHAL FOCH - RESTAURATION RAPIDE FRITES SANDWICHS BOISSONS GLACES 04/05/2009 Vendeur : LEBAS JEAN LUC L U NE RAY M ME N ICOL L E BE TTY - 14 RUE DE LA PORTE ROUGE - FLEURISTE AMBULANT - 02/06/2009 Vendeur : PAULMIER ALEXANDRE B ACQU E VIL LE EN CAU X E U RL CAU D IM PE X - RTE D’ABLEMONT - NEGOCE ACHAT DISTRIBUTION DE TOUS PRODUITS BIENS ET SERVICES - 10/06/2009 M ARS L AN ALE X - 6 BIS RUE VICTOR HUGO - RESTAURATION RAPIDE - 02/06/2009 Vendeur : SARL EFES KEBAB N EU V ILL E L ES D IEPPE M HOV AERE MICH EL - 1 RTE D’ENVERMEU - CAFE BAR RESTAURANT - 08/07/2009 Vendeur : FIQUET ERIC E URL ID2 B - 140 RUE JEANNE LA LORRAINE - CONSULTING INDUSTRIEL - 01/07/2009 S AR L M AG OU RAYA - 10/12 RUE DUQUESNE - BAR RESTAURANT VENTE A EMPORTER 15/05/2009 Vendeur : SARL HONG KONG M COG NAR D DAMIE N - 95 AV GAMBETTA - CAFE PETITE BRASSERIE - 04/06/2009 Vendeur : HOLINGUE OLIVIER S ARL ANN ET TE - 101 QU HENRI IV - RESTAURANT SALON DE THE - 16/06/2009 Vendeur : ROMAIN S ARL L E BÔ BA R - 16 RUE DE LA BOUCHERIE - CAFE BAR 04/07/2009 Vendeur : DIAM’S S N C ES TM - 2 QU DUQUESNE CAFÉ BAR TABAC PETITE BRASSERIE PRESSE - 01/08/2009 Vendeur : SNC BARY-VINCENT M L UCAS P ATRICK - 34 QU DUQUESNE - CAFE PETITE BRASSERIE - 04/08/2009 Vendeur : VARIN NADINE S ARL L A REG ATE - 20 CRS DE DAKAR - CAFE BAR RESTAURANT 15/08/2009 Vendeur : SARL BLASSIEAUX M ME L EFE BV RE JE SS ICA - 31 GRANDE RUE - VENTE D’ARTICLES DE CUIR MAROQUINERIE - 21/08/2009 Vendeur : SARL C-ONE L ONG U EIL S ARL COUL ON - 71 RUE DE LA MER - CAFE ALIMENTATION RESTAURANT - 11/06/2009 Vendeur : SARL MAURY M ARTIN E GL IS E M ME FRIB OU L ET S YL V IE - 7 RUE HENRI IV - CAFE EPICERIE RESTAURANT - 01/07/2009 Vendeur : LAIR BRUNO OFFRAN V ILL E S AR L M ARIN E IMM OBIL IE R GRAND PLACE - AGENCE IMMOBILIERE - 31/07/2009 Vendeur : SARL AGENCE IMMOBILIERE DE L’IF ROU XME SN IL B OU TE ILL ES M ME G U IL L E ME TT E M ARIE CH RIS TINE - 41/43 RUE DU CHAMP DE COURSES - BAR JOURNAUX PLAT DU JOUR 09/07/2009 Vendeur : BEN SALAH SOUMAYA S AIN T MARTIN EN CAM PAG NE S ARL LE COU R DE S H AL LE S RUE DES LIGUEURS - COMMERCE DE FRUITS ET LEGUMES CREMERIE POISSONNERIE VINS FINS - 14/07/2009 Vendeur : VINCENT SYLVIE S AIN T NICOL AS D’AL IER MONT M PL E UV RY D AVID - 500 RUE EDOUARD CANNEVEL - CAFE RESTAURANT JEUX 09/07/2009 Vendeur : FEUILLOLEY ANNICK CRÉATION S AU QUE ME SN IL S ARL AL U TEAM - 7 RUE DU BOIS RICARD - NEGOCE FABRICATION DE FONDERIE D’ALLIAGES NON FERREUX 01/07/2009 23 B OS C LE H ARD M D EN EU VE J OSE - 879 RUE DE LA VOLIERE - COMMERCE AUTO ET MOTO DE COLLECTION - 01/07/2009 M ME B LON DE L- REV ET DOMIN IQUE - 24 PL DU MARCHE CHAUSSURES MAROQUINERIE PRET A PORTER - 17/07/2009 B RACQUE MONT E UR L FRAN COIS DU JAR DIN 26 RUE DE LIMES - TERRASSEMENT AMENAGEMENT DE VOIERIE ET RESEAUX 01/05/2009 COTTE VR ARD E UR L LE FEB VRE M - 318 RTE DE LA DREULE - RENOVATION CONSTRUCTION D’IMMEUBLES MACONNERIE PEINTURE PAPIER REVETEMENT 02/05/2009 S N C M OM ACERE S - 662 RTE DE DREULE - TOUS TRAVAUX AGRICOLES - 01/06/2009 D EN ES TAN VIL LE S ARL AR B’ AV EN TU RE - RUE DE LA MER - PARCS DE LOISIRS RESTAURATION LOISIRS DE PLEIN AIR - 01/07/2009 D IEPPE M ME VAS SE L IN N ATH AL IE - 4 RUE DUQUESNE - CADEAUX SOUVENIRS - 01/04/2009 M LIE NAR D PIE RRE - 121 RUE DE LA BARRE - PIZZZERIA 06/04/2009 M SE FIN M AG DY - 26 GRANDE RUE DU POLLET - PIZZERIA RESTAURATION TRADITIONNELLE - 07/04/2009 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 > M O UV E M E NTS DE S E N TR E P R I SE S M ROG ER J OH AN - 13 RUE DES FONTAINES - COMMERCE AMBULANT DE BROCANTES ANTIQUITES - 08/04/2009 M G ROG N ET J UL IE N - 176 GRANDE RUE - PRET A PORTER CHAUSSURES - 10/04/2009 S ARL VIL L ADE COR BOIS - VDB 31 RUE DES FONTAINES - COMMERCE DE MAISONS ET TOUS PRODUITS EN BOIS 15/04/2009 M E RDOGA N TUR KE R - 83 RUE DE LA BARRE - SNACK RESTAURATION RAPIDE - 01/05/2009 M CLA PISS ON REN E - 10 RUE PIERRE FRANCOIS FRISSARD PECHE EN MER - 07/05/2009 M LE B UL TYN CK KA RINE - 22 RUE DE CLIEU - COMMERCE DE PRODUITS DE DECORATION 15/05/2009 E UR L L A B EL LE E POQUE - 9/11 RUE LEMOYNE - COMMERCE PETITS MEUBLES ET OBJETS DE DECORATION - 22/05/2009 E UR L J.B .N . RES TAU RATION 8/12 QU DUQUESNE - RESTAURATION RAPIDE 01/06/2009 M SAK AL AD EL - 21 RUE DE LA MORINIERE - RESTAURATION RAPIDE - 02/06/2009 S ARL L’IL OT P IRATE - LE VAL DRUEL - RESTAURATION PLAINE DE JEUX ET PIZZERIA 19/08/2009 S ARL D IEPP E RAVAL E MEN T - 15 RUE JEAN DOUBLET - RAVALEMENT DE FACADES 07/07/2009 E UR L L E COCO DE M ER - PROMENADE DE LA PLAGE - DEBIT DE BOISSONS RESTAURANT 08/07/2009 S ARL PHOE BU S IN GE NIE RIE IMP DU COMMANDANT EMILE DUBOC - BUREAU D’ETUDES TECHNIQUES - 30/07/2009 E UR L CA RBON ME TA - 18 RUE MARCEL GAMOT - LAQUAGE METALLISATION - 01/08/2009 D OU V REN D M L ECOEU R RE G IS - 1 RUE DU MOULIN - EXPLOITANT FORESTIER - 07/07/2009 G RU CHE T SAIN T S IMEON S ARL MB CAU X - 1304 RUE DE L’EGLISE - FABRICATION D’OSSATURES EN BOIS - 01/07/2009 S ARL V. F.I - 582 CHE DU CORBILLON HOLDING 21/07/2009 L A CRIQUE E UR L E LAG PL U S S OINS - 4 VOIE COMMUNALE - ENTRETIEN ESPACE VERTS VENTE DE BOIS - 25/05/2009 L ES GRA ND ES V EN TES S ARL POL I CARR EL AG E - 68 RES HENRI BRUNEL - POSE DE REVETEMENTS DE SOLS 01/07/2009 L U NE RAY M L E PAD E J U LI E - 6 RUE GUTENBERG - COMMERCE D’ARTICLES BEBE PRET A PORTER - 13/06/2009 M ANE HOU VIL L E S ARL RTI FORAG E - FORAGE GEOTHERMIE FABRICATION ET VENTE DE TUYAUTERIE 01/06/2009 N EU V ILL E L ES D IEPPE E UR L R .V. D. PROCONS EIL - 11 RUE ALBERT REVILLE - PREVENTIONDES RISQUES PSYCHOSOCIAUX - 01/05/2009 QU IBE RVIL L E S ARL LE QU IBE R - 6 RUE DU FRONT DE MER - RESTAURATION RAPIDE - 24/04/2009 R OU XME SN IL B OU TE ILL E S S ARL AL L O JB PL OMBE RIE - 3 SEN DES AJONCS - INSTALLATION D’EQUIPEMENTS SANITAIRES - 01/07/2009 S AAN E SA INT J US T S ARL E N V ERT L A TE RRE - 191 RUE DE L’ANCIENNE FORGE COMMERCE INSTALLATION DE MATERIEL DE CHAUFFAGE 01/06/2009 S AIN T HON OR E S ARL B FS CONCE PTION - 149 RUE DE LA BROCANTE - VENTE PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 REPARATION DE TOUS VEHICULES - 26/05/2009 S AIN T MARTIN EN CAM PAG NE S ARL LA T OU R DE PIZZ - RUE DES LIGUEURS - RESTAURATION RAPIDE - 15/04/2009 E UR L ABC CON ST RUCT ION S 41 RUE DE LA MER - MACONNERIE - 18/05/2009 S AIN T NICOL AS D’AL IER MONT S ARL LOS ANG E IMM O - 310 RUE EDOUARD CANNEVEL AGENCE IMMOBILIERE 02/04/2009 S ARL S OCIET E COM MERCIA LE M ETH ODE S IND US TRIE L LE S S CM I - 102 RUE ROBERT DUVERDREY - ETUDES DE FAISABILITE EN VUE DE LA CREATION DE PRODUITS INDUSTRIELS - 01/06/2009 S AS H AL BERG - EMBOUTISSAGE ET MECANISMES SAINT NICOLAS - 488 RUE D’ARQUES REALISATION ET RECHANGE DE PIECES METALLIQUES EMBOUTIES - 08/07/2009 S AIN T OU EN LE M AUG E R E UR L T RAN SL ITTORAL - 112 CHE DES CRIQUETS - TRANSPORT MARCHANDISES - 20/07/2009 S AIN T VAAS T DU V AL E UR L T IKAYS - 8 RUE DU MOULIN A VENT - EDITION DE SITES E-COMMERCE : ACHATS ET VENTES DE TOUS PRODUITS SUR INTERNET - 22/06/2009 S AIN T VICTOR L ’A BBAYE S AS HOU LE RES TAU RAT ION PRESTATIONS DE SERVICES DE RESTAURATION - 01/04/2009 S AIN TE MAR GU ERIT E M PA UMI ER ANT HON Y - 85 ALL SAINT PIERRE - PECHE EN MER - 24/07/2009 S EV IS M CH OUL AN T CHRIS TOPH E 370 RUE SADI CARNOT - COMMERCE DE TOITURES DE VERANDA - 21/04/2009 T OR CY L E PETIT M LE DAN Y S AND RIN E - 32 RTE DE DIEPPE - RESTAURATION RAPIDE - 04/05/2009 24 TOTE S S ARL V .D .B. - 14 LE BOSC AUX LIEVRES - TRAVAUX AGRICOLES - 01/05/2009 M LE CAIL LAT KAR INE - RTE DE DIEPPE - COMMERCE DE DECORATION ET ACCESSOIRES 15/05/2009 T OU RV ILL E S UR AR QU ES M BE AUFIL S PH ILIP PE - 16 RUE DE L’EGLISE - BROCANTE 04/05/2009 V AL DE SAAN E S ARL AL IX CON ST RU CT ION RUE DU MONT VARIN MACONNERIE BETON ARME GENIE CIVIL - 06/05/2009 E U RL AN T H ON Y MON T EIR O D ECORATION - RTE DE LA VALLEE - PEINTURE EN BATIMENT POSE DE REVETEMENTS 03/06/2009 V ARE NG EV IL LE S UR M ER M ME BE RTIN -M UR AT BEAT RCE PL DES CANADIENS - SALON DE THE BAR A VIN GALERIE D’ART - 12/04/2009 S AS INN OFL AX - PL DES CANADIENS - VENTE VALORISATION DE LIN - 30/06/2009 V AS SON VIL LE M ME LE ROND CH ANT AL - 180 RTE DE LA SCIE - CHAMBRE D’HOTES - 01/04/2009 CES S ATIONS D’ACTIV ITÉS AM BRU ME SN IL E URL COT EC - R DE L EGLISE CONSEILS ASSISTANCE ETUDES EN MATIERE DE GESTION D’ENTREPRISES - 31/07/2009 AV REM ES NIL M N E YER J ACQU E S - 425 GRANDE RUE - ACHAT VENTE ENTRETIEN REPARATION DE VEHICULES - 30/04/2009 B RACQUE MONT S ARL L OCATION SE RVICE - RTE DE BELLEVILLE - LOCATION DE VEHICULES POIDS LOURDS 28/08/2009 > M O UV E M E NTS DE S E N TR E P R I SE S CAL L EV ILL E L ES D EU X E G LIS E S ARL L ’ATE LIE R CALL EV IL LAIS 26 BIS RTE DE ST PIERRE MECANIQUE GENERALE 30/06/2009 CRE SS Y M LOIS EL JE AN M ICHE L - 113 R DE BAZOMESNIL - DEMONSTRATEUR ANIMATEUR 31/05/2009 D IEPPE S AS S AV EL YS - 66 AV DE LA REPUBLIQUE - REPARATION DE MATERIELS DE CHAUFFAGE ET DE PRODUCTION D’EAU 28/04/2009 M ME PAQUIE N VE RONIQU E E L L E B EA U TE - 16 R JEAN RIBAULT - SOINS ESTHETIQUES EN SALON - 30/04/2009 S A S PIR COMMU N ICA TION T OP AN N ON CES 12 BD DU GENERAL DE GAULLE - EDITEUR DE PUBLICITE 19/05/2009 M BARON H E NRI - HANGAR D’AFRIQUE N 15 - QU DU MAROC - COMMERCE DE GROS DE LEGUMES COURTIER 30/06/2009 M AMARA AB DEL MAJ ID - 1 R DU COMMANDANT DENIEPORT COMMERCE AMBULANT PRET A PORTER 31/07/2009 S ARL L ES TRE SORS DE G ALIN ET TE - 20 R DE LA BARRE - VENTE DE PRODUITS DU TERROIR 31/07/2009 M ME L ART IS IEN CH AN T AL CH AU SS U RES DU POL L ET - 29 GRANDE RUE DU POLLET VENTE DE CHAUSSURES 17/08/2009 S ARL PIZ ZA BU LL E - CH EZ S AM - 113 QU HENRI IV - RESTAURATION RAPIDE - 23/08/2009 H AU TOT SU R MER S ARL COFRA CT EC - 354 CHE DU CORPS DE GARDE - COFFRAGE BOIS FABRICATION NEGOCE - 15/06/2009 H E UG L EV ILL E S UR S CIE S ARL DOMAIN E DE L A CORBIE RE - LA CORBIERE - LOCATION DE GITES 30/06/2009 L U NE RAY S A RL ST E D E DI ST RI BU TI ON A UTOM OB IL ES CARAV ANE S PLAINE DE LA GARE - NEGOCE DE PIECES DETACHEES POUR VEHICULES - 10/05/2009 S ARL A L A CROISE E DES FILS - 1 PL RENE COTY - VENTE DE MATERIELS ET OBJETS POUR LA BRODERIE - 31/07/2009 N E UV ILL E L ES D IEPP E M PARFA IT JA CQU ES - CAFE D E L A PL AC E - 21 R JEAN PUECH - CAFE BAR JEUX 31/05/2009 S AIN T NICOL AS D ’AL IE RMON T M ME REIM BE AU HU G UE TTE 716 R EDOUARD CANNEVEL ALIMENTATION GENERALE 30/04/2009 S AIN T VAA ST D’E QU IQU EV ILL E M CH AU VE T S AN DRO - VE RD UR E NORM AND E - 419 RTE DE DIEPPE - CREATION ET ENTRETIEN D’ESPACES VERTS 30/06/2009 ON T QU ITTÉ LA CIRCON SCRIPT ION M ARTIN EG LIS E S A S CR US T AFR AIS - EUROCHANNEL - 55 R LOUIS BLERIOT - NEGOCE DE TOUS PRODUITS A USAGE HUMAIN OU ANIMAL PRODUITS DE LA MER 27/04/2009 S AIN T HE LL IER M L ECU YER V IN CEN T - VR OU M V ROU M PIZ ZA - CHE DE LA VARENNE - RESTAURATION RAPIDE - 02/05/2009 S AU QUE VIL L E S ARL PL OMB ERIE CHAU FFAG E E N ERG IE RE NOU VE LAB LE - 794 RTE DE LA POMME - PLOMBERIE CHAUFFAGE SANITAIRE ELECTRICITE - 07/08/2009 RE DRE SS EM EN TS J UD ICIAIRES A. B. S .F. - R DUQUESNE 28/05/2009 BER NE VAL LE G RAN D PRO BAT 76 - 44 R ALEXANDRE DUMAS - 20/08/2009 ET IE NN E S POR T TE CH N ICIE N DU S PORT - 9 R DUQUESNE 28/05/2009 BR IS E M AR IN E - 117 QUAI HENRI IV - 07/05/2009 HE U GL EV IL LE S UR S CIE MODE RN’H OME - 1807 RTE DE LA CORBIERE - 28/05/2009 DIEPP E PRES T’ARCH IVE S - ZAC DU VAL DRUEL - 4 R DE L’ESCARPE 23/04/2009 SAIN T HE L LIE R SE V ES T RE AN T OIN E 28/05/2009 - SAIN T MACL OU DE FOL L EV ILL E TABU PATRICK - 422 R D U FOUR A CHAUX - 16/07/2009 TOTES LE FORES TIER N ICOL AS - 14 R GUY DE MAUPASSANT 02/04/2009 L IQU IDAT IONS J U DICIAIRE S AUFFAY MONN IER CE CILE - 3 R VICTOR HUGO - 11/06/2009 AUZ OUV IL LE S U R S AAN E SARL EL ODIE - 11 R DU MOULIN - 24/09/2009 FRAMO - ZI EUROCHANNEL 17 R JACQUES MONOD 11/06/2009 POMME REV AL PAS TOL DOMIN IQU E - 251 RTE DE LA HEUZE - 28/05/2009 ROUXM ES NIL BOU TEIL L ES BARN ES SW - 20 R DE LA CROIX DE PIERRE - 16/07/2009 TOTES GOU GE ON EMIL IE - 2 R JEAN PIERRE CARON 07/05/2009 CAUCH OIS SYL VAIN - 2 R JEAN CARON - 28/05/2009 VAL DE S AANE SA RL BOU CHE RIE V AL DE S AAN AIS E - PL DE L’EGLISE 16/07/2009 BACQUE VIL L E EN CA UX LE RE LAIS DE BA CQU EV IL LE 64 PL DU GENERAL DE GAULLE 23/04/2009 DIA G NOS T ICS I MM OBI LI ER EU ROPEE N - 19 R DES MARTEL 11/06/2009 BIV ILL E S UR ME R TRAN SP OR TS CH ASS IN - AV DE L’EUROPE - 25/06/2009 DIEPP E VA U CL IN SE B AS TIE N 4 IMMEUBLE NORMANDIE - R JOSEPH VERNET - 02/04/2009 MORIN DAN IEL - 4 R VAUQUELIN - 23/04/2009 AKCABA T - 9 R ALBERT LEBEL 07/05/2009 KE SK IN IM AM - 31 R DES BAINS 28/05/2009 25 PARTENAIRE Economique4n°1964Octobre 2009 En octobre 1985, Coluche eut l’idée de lancer un appel à toutes les bonnes volontés pour distribuer des repas aux plus démunis. Les Restos du Cœur étaient nés. Sans cet artiste, et sa persévérance qui l’a amené à plaider cette cause devant le Parlement Européen, les Restos n’existeraient pas. Depuis, des dizaines de milliers de bénévoles participent chaque année à ce grand élan de générosité qui a permis en 2008/2009 de servir près de 100 millions de repas et de faire face à une hausse sans précédent du nombre d’inscrits, WRXW HQ DPSOLÀDQW OHV DFWLRQV G·LQVHUWLRQ $XMRXUG·KXL &ROXFKH n’est plus là mais l’idée de lutter contre l’exclusion en donnant QRXUULWXUH FKDOHXUHWUpFRQIRUWHVWSOXVTXHMDPDLVG·DFWXDOLWp Il est de notre responsabilité de la faire vivre. Les Restos du Cœur remercient vivement ce titre de presse de s’associer à leur action en leur offrant cet espace. © b[3]d Boulogne Envoyez vos dons aux Restaurants du Cœur, 75515 Paris Cedex 15 ou www.restosducoeur.org