Mort du RêvOTi Fère Rossi Notre Marine de

Transcription

V
CDITION DE TOULOUSE
42e ANNEE - N° 14.633
las
Relations
GBMano-Mrioaiitss
AB r -'NEMENTis
« Vils s bit t il
Ftuce al Coioaia ..... 22fr 43<r 82fr
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p]cio ,„ i|poIul 6Qb
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Le Plan d'Entente
de M. Mussolini
DIRECTION » 2ï>, Kue Roqueiaine,
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léléphone 2-12, Chèque
Posta» 4 93b
ANNONCES SOW HEÇMS <* tAgenct HAVAS, ?* m #*tot».âàmam. * lotuoust
* fAgence HA VAS, 62. rut Richelieu, t Pans. Oam toute* set Succursale* e> t(iez. nom nos Corresoonaants.
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i Me la
LUNDI 3 AVRIL 1933
M.
de Jouvenel à Paris
Fédération Républicaine
La réunion Philippe Henriot
a Narbonna
Une interview
centimes
LES REUNIONS
L'Exposition Canine de Paris]
MWHBMfc
fl®
commerce, et c'est ce dernier qui a
tout absorbe, faisant de gros béneuces.
LA QUESTION DES FONCTIONNAIRES
M. Henriot fait connaître sa manière
de voir sur la questron des fonctionParts, 2 avril.
Narbonne, z avril.
naires.
M. de Jouvenel, notre ambassadeur
Bien avant l'heure fixée pour la
« Il faut donner aux fonctionnaires
à Rome, s'est t'ait interviewer, ce maréunion,
une
louie n<.iiu>reuse se de quoi vivre honorablement, mais sans
tin, sur le plan de M. Mussolini.
resse, boulevard liambeua, uu tout a superflu, comme il s'en trouve cuez
Il avait convoqué la presse pour Que
heure dans la granité suile du Kui- certains à l'heure actuelle. Mais on ne
celle-ci lui demande si. après avoir insaa.1, trop petite pour coiuenir tout le doit pas séparer le fonctionnaire en
monde, va avoir lieu la grande réuformé le gouvernement, i] ne croyait
deux ; le lonctionnaire doit, rester le
nion, organisée par ie gioetpe d'Union
pas nécessaire d'infoimer le public.
fonctionnaire et je suis pour celui-là.
« Je suis d'autant plus de cet avis, a
Républicaine de l'arrondissement de Mais je suis contre les syndicats .les
N a r bon rie.
répondu M. de Jouvenel, qu'on a beaufonctionnaires qui veulent en imposa."
A 9 h. 30, M. Henri Uech de Laclauze
coup travaillé à induire le public en
au gouvernement en menaçant de lout
avocat, vice président de l'Union dé- saboter : écoles, postes, chemins de fer,
erreur. Je tiens même pour un devoir
partementale, monte a la tribune.
de mettre une bonne fois l'opinion
car c'est la révolution et je n'en
Il est entouré de MM. Rey, conseiller etc.,
française en garde contre les campaveux pas. »
municipal de Ginestas ; docteur Mourgnes de fausses nouvelles que mènent
M. Henriot parle ensuite de la quesgues de Carcassonne, vice-président du
les intérêts opposés au rapprochement
Comité de l'Aude : Bartlie, vice-prési- tion de la politique étrangère. Il le
de la France et de l'Italie et dont 'ai
fait
avec beaucoup de précision et de
dent
:
Plauchon,
secrétaire
général,
eu le premier exemple dès le lendemain
etc , etc.
detarls. l! rappelle le prêt a l'Autriche,
de mon arrivée à Rome, quand on a
, ,c
i. iVIOKrt!,-.
M Pec-h de Laclauze remercie, tout à la demande de l'Amérique ; l'interrépandu à travers Paris, la France et
le ncvel ambassadeur américain
d'abord, les électeurs qui ont répondu vention de l'Angleterre ; tes conférenl'étranger le bruit absurde d'un dissenavec empressement à 1 appel du Co- ces de Genève, le rôle de nos hommes
à Berlin.
timent entre le gouvernement italien et
mité de .Virbonne.
politiques ; l'accusation que le Cartel
[Photo Wlde Worid)
moi afin d'ajouter autant, que possible
11 fait ensuite l'éloge de l'orateur, adresse
aux
Français clairvoyants,
aux difficultés de ma tâche.
M
i-hilipipe
Henriot,
député
de
la
comme
on l'a fait à la Chambre, a M.
• D'autre part, le projet que j'ai vu
M. et Mme de JOUVENEL
Gironde, dont on connaît le grand Maurice Vallat, de créer une psvcbose
publier ces jours-ci n'est pas, il faut
talent, et rappelle sa récente interven- de guerre, et exprime, en terminant,
leur arrivée à la gare de Lyon,
qu'on le sache, celui qui est sorti des
tion à la Chambre des dépotés lors de la certitude qu'en dépit des difficultés
'J'iioto WMé norî'IS
délibérations de Rome.
l'interpellation sur
le
scandale de de l'heure, triomphant des luttes da
• Toute précision sur la lettre d'un
l'Aéropostale. Sa péroraison est vive- combinaisons de parti, la France detexte est, d'ailleurs, prématurée et ne
ment applaudie.
meurera fidèle à son passé et sa vopeut crue contribuer à gêner et à déforM. Philippe Henriot commence.
cation.
mer la négociation, alors ou'aucun
« Je tiens la parole que j'avais dontexte n'est encore définitivement arrêté.
La fin du discours de M. Henriot,
née a M de Laclauze ae venir à Nar• En revanche, tout le monde a intéhomie, mon ele.Hion faite ; car, si nos comme son discours lui-même, a été
rêt à être dès maintenant éc'arré sur le
adversaires sont fort en peine pour soulignée par de larges et longs apvéritable esprit de la proposition Musrendre compte de leur mandat, nous plaudissements.
solini, que beaucoup n'ont pas comn'hésiterons pas. nous à faire entenII est près de midi et la séance prend
prise peut-être, parce ou'elle a. surpris,
dre et expliquer nos faits et gestes par fin. A la sortie, Philippe Henriot est
Le* événements d'Allemagne, consécu- mais dont i'apoorte une interprétation
toute la France »
longuement applaudi. On se rend à
D'ici trois jours, on n'entendra
tif» à ia victoire d'Hitler, la modération ! autorisée
Après ce préambule, l'orateur rap- ra Dorade, où le maître coq Montai a
«II est, en effet, d'une extrême impor.
plus parler de la persécution d'Isdu chancelier au point de vue extérieur,
pelle ia non différence entre le Cartel préparé un repas de enoix.
raël en Allemagne. A la demande
le boycottage des israélites, la soumission tance de ne pas laisser fausser une
de 1925 et 1932.
conception qui doit avoir pour effet de
La majorité de 1932 prétend que si
des calques d'acier aux troupes d'assaut garantir à TuËrope 10 ans de paix,
des intéressés eux-mêmes, les main.
la situation de la France est très obéhitlériennes, l'écrasement du communis- pourvu que les Etats en tirent parti
f"stalions du dehors vont en s'afjat'
M. Poitou-Dup!e*sy
rée la faute en est à M. 'Iardieu. Mais
me, accepté par les communistes, et pour négocier les uns avec les autres
blissant. La conscience du monde ne
qu'ont, fait depuis les nouveaux élus
imînUnunt l'effondrement de la social- et non pour plaider les uns contre les
et les nouveaux gouvernements ? Les
se révoltera plus contre Hitler.
à Ernée
dernocratie et la démission de M. Otto autres.
impôts ont-ils baissé • Non : la situaOn le disait près de périr par sa.
« Le pacte d'entente et de collaboraWels du bureau de la U me Internationale,
tion reste la même.
tion politique proposé par M. Mussolini
Ernée (Mayenne), 2 avril.
propre folie et parce qu'il rvait prn.
«
Nous
nous
trouvons,
aiuourd
nui,
ont alarmé l'opinion.
s'inscrit dans le cadre de la S. D. N.
De son côte. M. Poitou-Duplesay a voqué ces deux forces irrésistibles,
dans une situation qui ne s'était jaLs ai ave Temps lui-même demande si 11 doit, être conclu
entre
les quatre
mais présentée, nous sommes au mois fait une conférence à Ernée sur la l'Internationale financière et l'Interon doit absolument désespérer, si le peu- Etats européens auxquels tous les aud'avril sans que le budget soit voté. » situation financière. Très applaudi parla
ple allemand est encore capable d'une ré- tres Etats ont reconnu le droit à
M Philippe Henriot parle ensuite des son auditoire, il attribua les difficul- nationale ouvrière. Parlons-en !
action quelconque contre la dictature ra- permanence dans le conseil en vertu
La première de ces deux Internaprojets du ministre des Finances. La tés dans lesquelles se débat notre pays
ciste et s'il mettra fin, un jour ou l'aude leurs responsabilités éminentes
répression de la fraude fiscale, la mo- non seulement à la crise économique tionales, qu'est-ce que l'Allemagne
qui
sévit
en
Fiance,
comme
partout
«
Quand
ces
quatre
se
seront
mis
nopolisation et la diminution des crétre, au désarroi, à la fuite devant les
ailleurs, mais surtout à une crise mo- peut en craindre ? Il y a longternp$
d'accord il leur restera à gagner à leur
dits militaires.
responsabilités et à l'abandon au pire,
solution le conseil de la Société où
Avec beaucoup d'humour,
1 orateur rale, qui se traduit par une absence qu'elle l'a mise dans sa poche acea
qui paraissent être son lot actuel.
quatre voix ne font pas
la majorité,
fait la critique de ces projets et parle totale d'autorité chez nos gouvernants, les crédits dont elle a été gavée *é
Nous ne nourrissons pas, ici, un tel l'Assemblée ou les Nations sont pius de
de son intervention dans l'interpella- et par un manque absolu de discipline qui se sont gelés comme des banquifétichisme pour les Droits de l'Homme | cinquante
chez certain» serviteurs de l'Etat.
tion Albertin.
.
ses. C'est d-ailleurs de ce jour qu'est
dont la méconnaissance apparaît comme j
« Le destin du plus petit Etat du
Il parle du récent incident qui s est.
« Le rérultat est qu'aujourd'hui une
un tel sacrilège qu'il devrait arrêter la , monde "e pourra donc, s'il fait partie
produit dans le groupe socialiste, de infime minorité de contribuables étant né le proverbe : « bête comme un
marche du soleil ; nous ne professons pas; de la S. P. N. être réglé sans lui.
la- nécessité de mise en minorité du dé- spoli»s, au profit..d'une majorité de banquier n;
puté de Narbonne et de sa démission de piêbcndiers, le prix de revient des
à l'égard du peuple allemand de telles'
«Cette -proposition renforce pratiqueQuant à l'Internationale ouvrière^
L'ATELIER DE LITHOGRAPHIE
produits de toutes nos activités natioprésident du groupe.
IHusions J Jj apparaisse comme un SS^feraS^^Ï!
EST DETRUIT
nales est très élevé, d'où paralysie et oû est-elle ? Cherchez-la. Les mempeuple semblable aux autres, pour <ï«e ; , a ns avenir si l'Italiè et la Grande-Rre.
bres de la section allemande f ont
LA CRISE AGRICOLE
faillite.
Paris, 2 avril.
cette succession d événements nous sem- tagne' qui ont garanti les frontières enParis, 2 avril.
comme
les représentants des commu*
«
Que
penser
du
désarroi
de
notre
Hier après-midi, M. Victor Janvier,
bie tellement anormale.
i tre la Fratce
et l'Allemagne,
entre
M Henriot continue en développant
Un. violent incendie a éclaté, cette
La modération extérieure d'Hitler, une : l'Allemagne et la Belgique, prenaient nuit, à t'Imprime- ie Nationale, et voici 53 ans, mandataire aux halles, a été 'e vote par la Chambre d'un crédit de ministre du Budget qui renon-6 à ré- nautés juive* d'Allemagne Ils $wp.
trouvé étendu sur ie parquet, 62, rue 320 millions demandé par le gouver- tabli'' l'éqitiilibre budgétaire, malgré rilient qu'à l'étranger on ne s'occvve;
dernière illusion serait de s'y fier. Le Parti contre un des pays entre lesquels dans quelles circonstances t .
le vote des dernières lois fiscales, qui
Les gardiens avaient effectué, com- i'iqueionne au pied de l'escalier desser nement pour venir en aide aux produc- ont cependant écrasé de nouveaux im- pas d'eux. Pour ne pas en perdre
chsncelier se trouve en présence d'une «Jes ont accepté la charge d 'assurer la
paix
me à l'ordinaire, une ronde, à 1 h. 30, vant son bureau. Relevé sans connais teurs de blé qui avaient vu diminuer le nftts ceux que M. Lamoureux a appebesosne intérieure qu'il place trop au
l'habitude, le bureau a lancé un ma« Il ne saurait être question d'un di. ce matin. Ils n'avaient absolument rien sance, il a été transporté à l'hôpital de prix de 180 à 103 francs le quintal.
lés à juste titre, les victimes.
premier plan pour ne pas s'y consacrer rectoire de quatre grandes nations prénifeste. Ce document est piteux, la
'emarqué d'anormal. A 1 h 45, au la Charité, où son état a été jugé très
« Mais à qui est allée cette somme de
d'shord.
« Les récentes mesures législatives, guerre est déclarée au nazisme et nu
tendant imposer ses volontés à l'Eu- cours d'une nouvelle ronde, M. Henry grave.
320 millions? A l'agriculteur? Non !
Gettp tâche, il l'a suffisamment procla- rope, à l'Asie et à l'Amérique où se Chapuis, gardien de nuit, découvrit un
Un paquet contenant 180.000 francs en
« Les malheureux ont riù vendre direz-vous, ';nt PU aussi pour résultat fascisme, mais, cette guerre, chaque
mé, c'est d'unifier l'âme allemande et rencontrent, certaines autres grandes foyer dans une rue des locaux situés billets de banque et coupures, dont il pour faire face à leurs besoins immé- de réaliser des économies, oui ; mais
n
était
porteur,
n'a
pas
été
retrouvé.
On
nations
dont
on
voudra
bien
admettre
à l'angle de la nie du Capftalne-Menard
de concentrer les efforls du peu îe allediats; à l'Office National; pas plus, seulement sur le dos des rentiers et section la conduira dans son propre,
au détriment d not-e défende natio- pays On ne se frotte ni à Mussolini
mais à qui donc ?»
mand vers un but de politique extérieure : que leur existence n'a pas passé com- et de la rue de Javel. Il donna immé- suppose qu'il s'agit d'un», agression.
Et M Henriot rappelle que lors de la nale, au risqua de compromettre notre ni d Hitler.
la resiiura ': n de la puissance allemande. plètement inaperçue des négociateurs diatement l'alerte en brisant la vitre
LA VICTIME EST DANS LE COMA
Toute la question se ramène par con- d'un avertisseur
discussion du projet dans ies commis- sécurité et de nous faire courir à un
Les représentants de feu le socia*
séquent, à savoir s'il vaut mieux que
Les pompiers de plusieurs casernes,
Il était dans les nabitudes de M. Jan. sions il n'était question de distribuer nouveau cataclysme.
les quatre puissances occidentales de aussitôt arrivèrent sur les lieux se mi- vier d'emporter de chez lui des som les 320 millions qu'au producteur ou a
« Nous ne redresserons notre situa- lisme italien se sont dispersés à Vi»
l'Europe s'entendent ou qu'elle ne s'en- rent immédiatement A l'ouvrage. Le mes importantes. Aussi, Mme Janvier l'Office national du blé.
tion qu'en faisant des économies mas- franger. El ceux de la défunte socialtendent pas.
Mais pendant que cette discussion se sives suivant en cela l'exemple de démocratie, où sont-ils ? Où sont Ici
spectacle était impressionnant et. par ns s'étonna-t-elle point d3 le voir partir,
Cette première tâche n'est pas très dif« Ceux qui ont suivi les travaux de le nombre des voitures — dix lances nier après-midi, avec le produit de ses développait, il y avait dans les couloirs tous les autres pays et de i'Amérique,
chefs politiques et les chefs syndicat
ficile à remplir : nous avons souligné, en Genève de près ou de loin savent h étaient en batterie — et par la hauteur
de la Chambré un certain nombre de en dernier lieu Les socialistes se reventes rie vendredi et de samedi
listes, Brritscheid, Severing. Leipart,
Maintes occasions, combien les divers par- quel point l'accord des membres per- d"s flammes qui s'échappaient de dif- 70.00') francs pour vendredi et enviroi
personnages
sous la conduite d'un fusant à entrer dans cette voie, les
tis allemands pensent identiquement dès manents du conseil les ont facilités au lérepts endroits illuminant les alen- 110.000 francs pour samedi, en billet
grand parlementaire, et la commission radicaux ont le devoir, pendant, qu'il e^c. ? Combien d'entre eux se soî
qu'on leur parle de la révision des trai- temps où cet accord existait et com- tours.
de mille et de 100 francs. Ces billet
ajouta au texte que le crédit de 320 mil- en est temps encore, de rompre avec déjà soumis ? Cette social-démo -ratie^
A 3 h. 50, les pompiers s'étaient ren. étaient enfermés dans un filet à provi- lions irait non seulement à l'agricul- eux ; ils montreront ainsi -qu'ils préfètés.
Seuls pouvaient lui paraître sus- ?j e n les solutions sont devenues péninu'on disait, si puissante, elle s'est efpects, au point de vue de l'unification de
« 'P°w ne pas dire impossibles, de- dus maîtres du sinistre. Il était localisé. sions, doublé d'étoffe noire.
ture, à l'Office national, mais aussi au rent la patrie au parti. »
fondrée d'un seul coup. Au pays de
Le mandataire s'arrêta-t-il en cours
r*nJ
l'âme .ium»ndP.
allemande, le*
les communistes
communistes oui
qui P'"* cme k^s thèses ries Etats les plus Ce matin, du vaste atelier de lithogratorts se sont affrontées au heu de se phie situe au troisième étage de l'im- de route î Où et pourquoi faire ?
Karl Marx, le marxisme a eu pour efobéissent à Moscou et les Juifs qui cons- "oncilier.
La première hypothèse qui se présenmeuble, il ne estait plus rien. Six cents
11° Le général de brigade Picard, fet de produire une traction qui l a
tituent une race difficilement assimilable.
« Personne ne saurait par ailleurs, mètres carrés de toiture avaient été te à l'esprit est que M. Janvier s'arrêta
commandant la 8= brigade aérienne t*- emporté.
N'ajoutez pas les catholiques qui obéis- se dissimuler que l'état déjà, grave de ravagés et l'on peut, d'ores et déjà éva- à une banque pour y déposer son arO., détaché au centre des hautes étuQue devient l'Internationale oudeviendrait
singulièrement luer le montant des dégâts à un demi- gent Mais il est impossible d'admettre
sent à Rome ; Rome pratique toujours le l'Europe
des militaires, est nommé commandant
cette hypothèse, les banques sont fer« rendez à César * et, dès l'avènement alarmant au oas où la Conférence du tnillion environ
P. I. de la 48 régtoii aérienne â Lyon, vrière sans les Allemands ? Ce n'est
MM. Camille enautemps, ministre 'de mées le samedi après-midi.
d'Hitler, l'épiscopat allemand a rapporté désarmement se séparerait sans avoir
maintenu au centre des hautes études. plus rien, puisque la social-démocraabouti, laissant l'Europe partagée en l'Intérieur ; Renard préfet de la Seine ;
D'autre part, Mme Négret, la conLe décret du 7 février 1933. portant tie en était l'âme. Que devient le «o*
les mesures prises contre l'hitlérisme.
camps hostiles ou en plein désarroi, de Fontenay, président du conseil mu- cierge de l'immeuble de la rue Tiquenomination dans l'état-major général
Hitler parait, du reste, avoir surestimé éclaterait une demande quelconque de
cialisme lui-même ? Un panneau rê*
nicipal ; Chiappe, préfet de police as- tonne où a été trouvé, assommé, au
des
forces aériennes, est annulé.
ses adversaires communistes et juifs. Les révision des frontières. C'est d'un tel dan sistaient aux opérations.
pied de l'escalier desservant son buclame devant lequel, à peu près senti
communistes s'embauchent dans le cas- ger qu'it s'agit de garder l'Europe en
Les causes du sinistre ne sont pas reau,
le
mandataire,
se
souvient
Paris, 2 avril.
s'arrête encore l'électeur français T1,
que d'acier ; quant aux Juifs, ils sont les unissant les quatre grandes nations encore établies. Un court-circuit, dit-on, d'avoir vu M. Janvier passer devant
Un décret portant réorganisation de
est probable que c'est bien assez bon
premiers à protester contre les manifesta- dans un efforç commun pour mener s'est, produit à 1 h. 4a, c'est-à-dire au sa loge, mais elle ne peut préciser s il
l'année de 1 air est publie au Journal
moment où le feu a été découvert, mais portait un paquet ou un-<«ae.
pour lui.
tions antiallemandes qui se multiplient à j a Dl «i f Conférence
Officiel
de
ce
jour.
« Et dans l'hypothèse où elles n'y ce court-circuit est-il la cause de l'inL'examen des blessures semble bien,
Ja-nue, SAINVILLE.
l'étranger, en affirmant qu'elles ne peu
Aux termes de ce décret, les unité»
parviendraient pas en constituant, sur cendie? Nul ne peut l'affirmer.
en attendant, établir qu'il y a bien
vent que servir de prétexte à de nouvelaériennes stationnées dans une région
les bases de la proposition de M. Museu attentat. Les chirurgiens de la
les persécutions.
solini, une Société d'assurances contre
Charité où M. Janvier a été hospita- déterminée sont placées sous ies orTananarive, 2 avril.
Par là, ils démontrent qu'ils sont capa- les risques de son échec et contre ceux
lisé ont constaté que le mandataire dres d'un sem chef exerçant a ta fois
Aux usines Citroën
Un avion de l'escadrille de Madagasbles, au moins en Allemagne, d'une cer- d'une tentative de révision des traités l'union européenne, soutenu la vanité portait deux blessures à la tête : 1 une le commandement des troupes, le commandement
territorial
et
l'instruction
car,
qui
avait
quitté
Majunga
pour
red°s
réglementations
numériques
quand
I au sommet du crâne, qui semble avoir
taine assimilation ; ils admettent parfai- par la force, il est de l'avanta,sre évident
gagner la base d'ivato, s'est abattu, â LES TECHNICIENS SE SOLIDARISENT
réserves.
AVEC LES OUVRIERS
tement la théorie du lapin qui a com- de tous les Etats qu'aucune des signa- elles ne sont pas précédées par des ac- 1 été f « j te avec une matraque ou un des
En conséquence, ont été prononcées la suite d'une perte de vitesse, sur la
cords politiques, restait fidèle à sa pen-i marteau, et l'autre à la basé du crâne,
ttftès
des
quatre
grandes
puissances
mencé et sont prêts à reconnaître que
Paris, 2 .vril. ''"'
sée en reconnaissant aujouird'hui l'in-' celle-ci pouvant être consécutive à la les nominations et affectations suivan- route de l'Ouest.
occidentales
ne
mannue
au
contrat.
s'ils sont persécutés, c'est la faute des
Les techniciens et employés des usiLe sergent aviateur Dewost, qui pi« Tel est Te véritable sens de la pro- térêt d'un pacte qui affermit, au mo- chute :
cette dernière a entraîné la tes "
1« 'Le général de division Barès, vice- lotait l'appareil, a succombé des suites nes Citroën ont décidé de se solidaripeuples étrangers.
ment où elles paraissaient le plus paralysie de toute la partie du côté
position de M. Mussolini.
ser entièrement avecr les ouvriers, avec
président du Conseil supérieur de l'air, de ses blessures.
Ne croyez pas qu'il en aille autrement
« Les déclarations de M. Daladier. le ébranlées. les bases de la S. D. N.,
gauche.
Toutes les notabilités de Tananarive lesquels ils se sont réunis.
« Je suis en état de déclarer crue ces
des social-démocrates ; pour eux, il ne récent discours de M Patil-Roncour ont
Ce matin, un inspecteur a tenté prend le titre d'inspecteur gênerai de
Ils chargent leur organisation syndil'armée de l'air, au lieu et piace d ins- ont assisté aux obsèques de cette prela
véritable d'interroger M. Janvier.
saurait être question d'un soulèvement de; été accueillis à Rome comme la prewve explications expriment
mière victime de l'aviation malgache. cale de demander à ia direction de»
« Souffrez-vous, lui a-t-il dit? Vous pecteur gênerai des forces aériennes.
l'internationale contre le fascisme ; c'est crue la France, ayant pratiqué la poli pensée du chef du gouvernement ita£° Le gênerai de division Ueuaui ,V.
Répondant aux voeux de la popula- usines Citroën, immédiatement et en
souvenez-vous de quelque chose? »
contre l'internationale qu'ils se soulèvent, tique de Locarno, défendu l'idée rie lien. »
présence des délégués des, ouvriers,,
La victime roule des yeux hagards L. E.). membre du Conseil supérieur tion . le gouverneur général a décidé
en demandant à chacune de ses sections
et prononce des paroles inintelligibles ; de l'air, délégué dans les fonctions de de faire ériger une stèle commérnora- une explication claire et officielle dei
d'organiser son action nationalement et,
son bras et sa jambe gauche restent chef d'ôtat-uûtjor général des forces tive à l'endroit où le sergent Dewost J mesures qu'elle entend prendre à leui
égard.
par conséquent, de ne pas s'occuper de ce
toujours immobiles. Il a fallu, pour aériennes, est nommé chef d'état-ma- est tombé en service commandé.
qui se passe chez les autres.
auiourd'hui, renoncer à l'interroga- jor général de l'armée de l'air
3» "Le gênerai de division de Goys de
toire ; demain, il sera tenté à nouveau.
H y a dans les griefs de M. Otto Wels,
Vlezeyrac. membre du Conseil supérieur
4 côté de querelles d'ordre intérieur, quelde l'air, est nommé inspecteur de l'aque chose qui le rapproche à la fois
viation de défense métropolitaine.
d'Hitler et des Israélites allemands et que
4" Le gênerai de division Bourgeois,
révèle la lettre que vient de lui écrire
membre du Conseil supérieur de l'air,
est nommé inspecteur rte l'aéronautiF. Adler. secrétaire de l'Internationaleque militaire des renseignements méRome, 2 avril.
M. Otto Wels reproche au Rulletin offiOn annonce le décès à Rovereto, au tropolitains.
ciel du parti de s'être fait l 'écho de faus5» Le général de division Mrcnaud,
couvetit de Sainte-Catherine, à l'âge
ses nouvelles Et quelles fausses nouvelde 60 ans du K P. capucin Hilaire membre du Conseil supérieur de l'air,
les ! Sur la foi d'un organe socialiste aunommé
inspecteur
des
forces
Itossi, connu par sa conduite patrioti- est
trichien, le Bulletin a annoncé que « le
aériennes d'outrë-mét
que pendant la erande guerre
camarade Bœchel, rédacteur en chef de'
6« Le général de division ArmengauQ,
tin tyià au début des hostilités. 1
s'en alla croix en main, à la rencon- membre du Conseil supérieur de 1 air,
la Eofdsh'mme de Chemnitz, a été tué ».
tre des troupes italiennes qui venaient est maintenu dans les fonctions d'i.isIl ne l'a pas été ; il a été seulement cou1' franchir la frontière sans se sou- pecteur des écoles et de commandant
vert de telles blessures au cours d'une
cier ne;- postes autrichiens qui s'appiê- au centre d'études de l'armée de 1 air.
agression des nazis, qu'on a dû 1e transjo i >e général Masseuet-Koyer de Mataifmt a disputer le terrain à leurs adporter à l'hôpital ; mais il y a bien un
rancoun, est nommé inspecteur de ' aversaires
mort dans l'affaire, qui est le directeur
Le Père Rossi suivit, pendant toute viation légère de défense, adjoint au
de l'imprimerie du journal de Chemnitza durée du conflit, les troupes italien- général inspecteur de l'aviation de nénes dans le val l.agarina et dans les fense métropolitaine
Vous ne voyez pas en quoi l'erreur sur
y Le général de brigade Gérard,
tranchées de Mont-Ruido.
' a victime diminue l'horreur du forfait î
commandant par intérim la l re divi_
-ww
Moi non plus. M. Otto W<>'« ne veut pas,
sion à Met?, est nomme commandant,
ceoendant, que la mauvaise foi soit de son
par intérim de la premtçw région
côté
aérienne t\ Metz.
S'étonner de tous ces faits, c'est déjà
9» Le gênerai de brU-ade P'>n-M >>
fort • en méconnaître la nature, c'est fou
çnetti, commandant pur in
DEUX CROISEURS
>« dèviston aérienne 1 l'a ri s.
Ainsi lord Cecit vient de déclarer, a 'a
SONT MIS EN CHANTIER
mô commandant,
pi
Chnmhre des communes, que « le désar2" région aérienne fi
.vril.
""•ment doit avoir le pas sur toute auNantes,
I
aà Ht!
Les chantiers rie la Loue e
""e préocounaiion T>. Le pius fort, c'est
liera et chantiers de Satnt-X»'
Que ce n'est pas du désarmement d'Hit
Voici l e Professeur (à gaucher déb irnuant du train transatlantiqu
à
reçu l'ordre de même sur cal
'*« qu'il parle ainsi.
la gare Saint-Lazare ; devant lui. Mme PJCCARD. On reconnaît à droite
semait» et le c.hatcan-Rena
wn iv, JU . , d'Un c«inct
i 'i'ouis,
seul* dé la tranche VMZ.
«£0rge ( CAMPENTIER,
Gaston GUËZE.
de M. de Jouvenel
De notre correspondant particulier ;
Les Idées
et les Faits
La faillite
es deux kernatioaa'es
Eionnement
Un Concurrent de Taille
Le feu
Mystérieux attentai
contre an
à Imprimerie Nationale
mandataire des Halles
Tous complices
La réorganisation
de l'Armée de l'Air
Dn accident mortel d'aviation
Le Professeur PiGcard est rentré d'Amérique
Mort du RêvOTi Fère Rossi
Notre Marine de Guerre
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
Au Concours Hippique
LUNDI 3 AVRIL 1933
Concours de
L'EXPRESS DU MIDI
BON N°34
MOT RETABLI
Valeur du mot pour le classement :
562
Le
mot
du
fi>uillet"n
comporte
de ce
Jour
CINQ LETTRES
La Foire de Lille
est inaugurée
Lille, 2 avril.
fuira commerciale a été iuauguvij-.urd'hui; de somptueux bâti,,i
Is abritent ies exposants qui, l'an
si encore, étaient installés sous
u'u
enses hangars démontables.
Xujoiird'hui, a eu lieu un congrès des
niîiires du Nord et du Pas-de-Calais.
Coûte la semaine se dérouleront des
h>i rrtiées) consacrées aux différentes
t r-ncties de l'activité industrielle et
r oumereiale
Samedi, la journée de la Marine sera
, r. -idée par M. Georges Leygues.
I -i musique
des équipages de
la
' cite et une compagnie de fusiliers
• ; nus de Lorient prêteront leurs concours à la fête.
i i
Una expérience médicale
sensationnelle
LES AVEUGLES
POURRONT-ILS BIENTOT VOIR
GRACE A LA GREFFE DE L'ŒX 1
Londres, 2 avril.
Le monde médical et chirurgical at;i à avec impatience le résultat d'une
vtfétiênce que vient de tenter un jeune
•Kdecm Gallois, à Londres, sur l'œil
s "t ; rie personne aveugle, expérience dé.isive. puisque, si elle réussit, elle consacrera la greffe de l'œil et pourra
issurer la vue à ceux qui ne voient pas.
la suite de la catastrophe de Lutham oui faisait de nombreux blessés
i Londres, lors d'une explosion dans
• usiné de parfums, ce ieune chirurs'i prélevait de l'œil qu'on avait dil
•iilever à un blessé un greffon qu'il
t '>iiliqua.it aussitôt à l'œil d'un aveuËt c'est le résultat de cette opération
• ie l'> monde' scientifique attend avec
ifi'' ôfsse.
I v a trois mois déjà, d'ailleurs, le
né me ieune chirurgien greffait sur
adl d'un bébé, aveugle de naissance,
a cornée d'un enfant de fi ans à. qui
'on avait dû enlever un œil.
<>r, peu à peu. on constata chez le
léiié des si-jne<s certains d'une amélioatinn dp la vue
1, 'enfant montait la main devant cet
eil et l'œil se déplaçait, suivant les
'blets qui passaient devant lui et l'on
:snère fermement que l'enfant verra.
L'Onion
les Aveugles de Guerre
L'ASSEMBLEE
A TRAVERS LES JOURNAUX Faits Divers
UNE BELLE SÉANCE
On a la avec quelque stupeur le
L'Allemagne d'Hitler est en pleine
compte rendu de cette séance de la folie, et cette persécution juive comChambre où MM. les députés ont dis- porte une part de grotesque sur laquelle
cuté affaires étrangères pendant deux il est inutile d'insister. Mais ii en est
heures sans qu'aucun ministre respon- iiui ne l'ont vas volée, déclare \1. René
sable daigne paraître. Cela pige un Gast dans t'Avenir, ceux-là même qui
gouvernenicnt et une majorité.
• tut favorise l'hitlérisme :
Figaro marque la complicité des soPlaignons les pauvres gens sur lescialistes et l'abdication du gouvernequels les bandes de jeunes nazis ont
ment :
assouvi leur joie de faire du mai. Mais
Nos majoritaires se consolent en pen- il y a certains juif* dont j'apprendrais
sant — combien a tortl — que cette avec un grand plaisir qu'ils ont reçu
diminution diplomatique est sans con- dans quelque coin de rue une bonne
séquences électorales ou ministérielles. volée. Ce sont ceux qui dans les débuts
La grosse question pour eux, c'est le du national-socialisme ont glissé leur
congrès d'Avignon. Il faut arriver bel argent à Hitler, et ont facilité les
jusque-là en maintenant le bloc : gou- premiers pa.s du peintre en bâtiments
vernement, radicaux et socialistes de malgré son programme.
soutien. Pourquoi faire? Pour durer,
sans plus Que le ministère, tel qu'il
Sans doute pensaient-ils
que cet
esi, soit incapable de faire face a la argent serait par eux regagné sur les
situation extérieure et qu'un remanie- chrétiens comme de juste, fussent-ils
ment, pour le moins, s'impose,
cela hitlériens, mais surtout ils croyaient
n'est ni discutante ni discuté : on en acheter ainsi le droit d'échapper aux
convient même au sein du gouverne- conséquences de la révolution. Cette
ment ;
mais,
naturellement,
aucun lâcheté n'est pas spécifiquement juive.
ministre ne veut partir et le ministère
Ils ont voulu jouer au plus malin. 1H
s'accroche à la S. F. 1. O., nécessaire
C'est dommage, mais
\ son existence ; les nouveaux t pos- ont été roulés.
sibilistes » lui sauvent quotidienne- c'est tant pis nom eux.
ment la vie en raison de sa docilité
DIFFERENCES
et de son obligeance.
Les radicaux,
malgré quelques accès de jalousie, sa« Nous voulons vivre en paix », clatisfaits,
se
laissent
traîner
à
la ment avec conscience tous nos hommes
remorque
de gauche. C'est très beau mais avec
Un petit incident à la fin de cette l'Allemagne, c'est une mauvaise attiséance d'hier fut symbolique. On sait tude, noie M. de La Palisse au Petit
que le gouvernement avait demandé Journal :
deux douzièmes provisoires. La comCe que le Français moyen aime par
mission n'en avait accordé qu'un, M. dessus tout, c'est sa tranquillité. C'est
Lamoureux persistait à en réclamer elle qu'il cherche dans sa liberté de
deux. Au nom des socialistes, M. Fian- mouvement. « Pourvu
qu'il
n'arrive
cette vint à son secours. La S. F. L O., rien », voilà le souhait de la plupart
qui, jadis, ne votait pas le budget, des Français à leur réveil. A la même
aujourd'hui, quand on lui on propose heure, ia plupart des Allemands penun seul, prétend en voter deux. M. sent : « Pourvu qu'il arrive
quelque
Fiancette n'eut qu'à parler ; devant chose I » parce qu'ils ont une convoicet appui, les radicaux s'inclinèrent tise obscure mais puissante « d'autre
immédiatement.
chose ». Lorsque l'inconnu s'offre à eux.
loin de l'écarter ils l'embrassent avec
C'est par des incidents de celte sorte
qu'on aperçoit clairement le rôle pré- ardeur, vivant beaucoup plus près nue
pondérant
du
socialisme
dans
le nous de la mort ; la catastrophe ne les
effraye point.
Cartel.
Ils acceptent le risque de jouer gros
jeu : ils appellent cela du « dynamisme • : ils en sont fiers. En manquer
Après M. Tardicu, M. Emile Burê
est à leurs yeux signe de décadence, et
entonne le refrain de ta revision de
la Constitution, il montre les vices du ils nous accusent d'en manquer.
régime parlementaire dans un article
lumineux :
REDRESSEMENT ANGLAIS
REVISION !
REVISION !
Tous les régimes ont usé de la ruse,
mais lorsqu'elle leur devient habituelle
Ils en crèvent. Je suis pour ma part convaincu que la paix aurait été meilleure
si les socialistes avaient eu. durant la
guerre, moins d'influence sur le gouvernement.
Les affaires de la France
allaient mal, elle a eu besoin de leur
concours, elle l'a payé fort cher.
Pour ce qui est de Raymond Poincaré,
les radicaux qui participèrent à son
gouvernement lui permirent évidemment de stabiliser le franc sans trop de,
peine, mais ils lui imposèrent par ailleurs une politique qui devait par la
suite ruiner le Trésor public.
Louis Loucheur, lorsque je lui reprochais d'avoir fait voter la folle loi des
Assurances sociales, me réoondait :
« Adressez-vous à Poincaré ». Les chefs
des divers gouvernements nationaux, de
1928 à 1932. ont porté sur leurs bras les
coûteux enfants de leurs adversaires,
mais ils avaient été confiés à leurs
soins par Raymond Poincaré : je ne
polémique pas. je constate que les hommes politiques les mieux doués sont
dans notre fausse démocratie constamment contrariés dans leurs desseins nationaux. Un moment Aristide Briand
eut, lui aussi, le goût de la grande
politique. Comment finit-il ? « Hélas,
ie suis un galet que les couloirs ont
trop roulé » déclarait-il désabusé.
Une. révision s'impose donc ; celle que
préconise André Tardieu n'a rien qui
ouisse inquiéter les vrais républicains,
tout au contraire, devraient-ils ardemment la souhaiter.
11 reste à savoir si ces vices tiennent
à la Constitution ou au régime luimême
GENERALE
Paris, 2 avril.
Las membres de l'Union des Aveuies do guerre, après deux jours dé
>n mussions préparatoires, se sont rêuis, ce matin, à la Sorbonne, en assena
iêe générale, sous la présidence de
I. Georges Scapini, député de Paris.
Parmi les questions à l'ordre du jour,
elle concernant l'édification de la
nnison des aveugles de guerre a reçu
me solution favorable. La maison sera
: ( s prochainement réalisée.
lin banquet, présidé par M. Gallet,
a i iteur, ancien ministre, président de
'office National des Mutilés et Réfornés, a réuni les aveugles de guerre et
eurs familles, ainsi que de nombreu
es personnalités, parmi lesquelles MM
le Fontenay, président du Conseil mu
lîcipal, Uormann et Henry, députés.
Plusieurs discours ont été pronon
es. Puis, M. Dormann, ancien minis
rp des Pensions, a. remis à M. deor;e s scapini la cravate de commandeur.
LES POIRES
Par quelle voiture
remplacerez - vous
votre vieille
10 C V.
10
Par «ne autre
CV. ? Mais que demandez-vous à voue voiture ? Un travail
journalier de 80 km. ? Avez-vous besoin
d'une 10 CV. pour cela ? De temps en
temps, une étape un peu plus longue.»
Mais il vous suffit pour tout cela d'une
voiture robuste et qui dépense peu... et
10 CV. dépense encore trop...
?9
Quand vous changerez voue voiture,
pensez donc à la 6 CV. Ford : elle répond
4 vos besoins. Une voiture bon marché 3
17.800 francs. Prix nettement inférieur A
celui d'une 10 CV., et elle se revend auNouvelles Exvres*
jourd'hui plus facilement. Une voiture
rapide : plus de 90 km. à l'heure en prise,
Du 2 avril.
60 à l'heure en 2e silencieuse : la meilleure
»---* Après une bataille de sept heures, vitesse utilisable qui vous permettra
«.-, troupes japonaises ont occupé la d'arriver vite sans vous faire dépasser sur
>ille de Shin M en Shi. sur In »rande la route, La première petite voiture cons«
nuraille, au nord-ouest de c;,an liai
truite selon les principes aérodynamiques,
Vouan.
de telle façon que l'air offre le moins de
»»—> Les membres du Congrès natiorésistance possible à la vitesse : d'où une
naliste hindou, que le gouvernement (
lyai! interdit, ont organisé une mani- i plus grande rapidité, et une économie
'estation au cours de laquelle six cents ' d'essence.
irrestations ont été opérées
»—> L'écrivain Salvador Rueda est
uort hier, après une longue maladie.
Il était considéré comme l'un des plut
p-ands poètes espagnols contemporains.
>:«—> A la suite d'une violente controverse littéraire, les écrivains Lovez
Vierra et Alfredo Pimenta se sont battus
;v duel, à l'épêe, /, Lisbonne. Au troiAvec une 6 CV. Ford, vous serez toujours
tient e assaut. Pimenta a été blessé à
l'avant-bras droit.
tranquille. Tous les avantages mécaniques
»-> La Croix de bronze du mont Se- des plus grosses voitures. La réduction
nario, de Florence, a été illuminée, hier du châssis de la 8 cylindres Ford qui a
soir, à 20 heures, par T. S. F., par le conquis la faveur des connaisseurs de
Pape.
l'automobile. Un confort parfait : grâc6
*»—» Un© messe solennelle a été célé- à sa suspension étudiée, à son moteur
brée, hier, à Vienne, à l'église des Ca- Isolé sur caoutchouc et à sa grande maniauxr.it-its, en l'honuauT du ir annlver- bilité. Une tenue de route comparable à
saiie de la. mort de l'empereur Charles celle d'une grosse voiture. Bref, celui
d Autriche Le R. P. Georges de Sa.re,
veut
voyager
économiquement,
un tirs filt du tcu roi. Auguste de Sa.ce, qui
confortablement, achète une 6 CV. Ford.
officiait.
Ci"'.
m—» M. Henrii Bordeaux a inauguré
à Alexandrie un buste de Maurice Barras, au allège
des
'rére, de SaintMti'c. ru présence de nombreuses personnalités. Vf Henni Bordeaux a tait.
Vèl-'tc de l'tt/ire de Maurice Barrés
un" de l'Egypte.
»*-» Le président de la République,
accompagné du colonel Bupied, a visité
hier malin, à 11 heures,
l'exposition
canihé du parc des expositions.
m - M Samuel R. BcU. président de
; , ' archmont National ûank, close dcmc'n la fermeture des banques,
s'est
y ni ridé dans son appartement à SewY 01 k.
»-> Aujourd'hui est décédé à Strasbourg
M. Eugène Gaudc.net,
juriste
è minent, professeur à la Faculté de
droit.
Mardi, to Vie île nohrme. et le hallct
> Le cargo Clorioald de mille tonnca-tr. de la Compagnie bordelaise de Ta-jUonl rhn llHSreHe.
.letiill, en matinée, Véronique, avec Llna
s-?*; brisé sur les roches de la villa
Quajjlta,
Close à Loncarneau.
Jbdéte
GRAND THÉÂTRE DE BORDEAUX
Le budget anglais est à peu près en
équilibre, ce qui, dans les temps actuels, emprunte un caractère quasi miraculeux. Mais c'est la période d'euphonie, note Saint-Brice au Journal :
Les Anglais enregistrent
avec un/!
grande satisfaction les conditions dans
lesquelles vient de se clore leur exercice
financier • ils n'ont pas tort. Malgré la
crise extrêmement sévère qui sévit dans
le monde pntier. l'exercice financier
terminé le l sr avril, se boucle avec une
insuffisance de recettes de 3 millions
de livres sterling, c'est-à-dire de 270
millions de francs. Heureuse Angleterre quand elle compare son sort, à celui
ries autres pays : 8 milliards pour 'a
France, 16 milliards en Allemagne, 23
milliards aux Etats-Unis ! Assurément
la Grande-Bretagne traverse la tourmente dans des conditions aussi favorables que nossible. Mais ce qui se
passe chez elle n'est pas une nouveauté.
ACCIDENT
MORTEL
DE
De notre correspondant particulier :
Montpellier, 2 avril.
Ce matL., M. Jean Bastide, 36 ans,
secré'-aire au Conservatoire, se trouvant
en partie de chasEe à Carnon, est décède à la suite d'un accident.
S'étant appuyé sur le canon de son
fusil, la chnrge lui partit dans l'estomac et le tua net.
C'ETAIT BIEN UN MEURTRE
Une arrestation
DU 2 AVRIL 1333
BULLETIN AGRICOLE
DE LA TOUR EIFFEL
Mlassif<:entral et régions sud-ouest et
sud. — Beau temps, après brouillard
matinal, ciel clair ou très peu nuageux,
vents variables faibles,
minimum de
température sans changement sur celui
de la nuit précédente,
Exposition Agricole d'Eté
ET CONCOURS REGIONAL AGRICOLE
05"
Autour de îa Loi Les Problèmes
de Finances
LE MINISTRE DES PENSIONS A LYON
De notre rédacteur particulier :
t-ontonx-sur-Adour, 2 avril.
Lyon, 3 avril.
Nous avons relaté
voici quelques
M. Miellet. ministre des pensions, a
jours, le décès de Jules Hoquin. culti- présidé, hier, le banquet de clôture
vateur, qui fut trouvé mort dans les annuel du comité d'entente des Assopins, au milieu des ajoncs.
ciations de victimes de la guerre et
Ce décès ayant paru quelque peu sus- d'A.C du Rhône.
pect, notre brigade de gendarmerie a
Au dessert. M, Herriot après avoir
t( a ané ues r
procédé, aujourd'hui, à l'arrestation MR-*- - ^^L^ 1,
P
P °di'un berger de Pontonx. Celui-ci a blêmes extérieurs.
'
Dans
le
discours
qu'il
a prononcé,
avoué s'être disputé avec Hoquin, l'avoir
M.
Miellet
faisant
allusion
aux
prodépouillé de son portefeuille, et, durant
la rixe, ses coups auraient déterminé jets financiers du gouvernement ,a déclaré ;
la mort de son adversaire
« Nous avons déposé des projets qui
Le Parquet procède actuellement aux vous ont causé quelque inquiétude,
formalités d'usage.
niais, je le dis en toute franchise : un
gouvernement qui vous demande 5 %
UNE AVIATRICE
et qui vous le rembourse à la fin de
l'année, que vous demande-t-il en réaTOMBE DANS UN CHAMP
lité ? Bien ! Si vous étiez persuadé
Pontoise, 2 avril.
de la gravité de l'heure, vous, homMlle Hélène Aubry, âgée de 20 ans, mes de devoir, qui êtes partis A l'apdemeurant à Paris, exécutait nier, vers pel de la nation, le cœur gonflé d'espé16 heures, des acrobaties à bord d'un rance, au service du pays à des homavion alors que l'appareil volait à une mes comme vous qui avez tant donné
cinquantaine de mèrte du sol au-dessus si on demandait encore un sacrifice,
du territoire de la commune de Go- je suis persuadé que vous répondriez
nesse; cJ ie tomba de l'avion dans un encore : oui : Vous n'êtes pas partis
champ .
parce que vous étiez obligés de partir :
Mlle Aubry grièvement blessée, a été vous êtes plus grands que cela. Au-destransportée à l'hôpital Saint-Louis, à sus de nous tous, il y a la patrie, la
Paris.
France 1 »
TRAGIQUE ERREUR
Le ministre est reparti pour. Paris
aussitôt après.
D'UN PHARMACIEN
Le Caire, 2 avril.
Une méprise d'un pharmacien de village a provoqué la mort de quatre personnes.
Le médecin traitant de l'hôpital de
contagieux avait fait prendre certains
médicaments chez le pharmacien du
village .
Celui-ci remit par erreur tine bouteille de poison violent. Quatre malades ayant pris
de cette préparation
moururent dans d'atroces souffrances.
L'ordre fut donné d'arrêter le pharmacien, mais celui-ci se suicida dès
qu'il apprit la tragédie.
Macabre deeoufsrte
ON REPECHE
LE CADAVRE MUTILÉ D'UNE FEMME
Paris, 2 avril.
On a repêché en Seine, ce matin, à
la hauteur de la rue Peyronnet, à
Neuilly, le cadavre mutilé d'une femme. Le corps a été sectionné au bas
du ventre. Il paraît avoir séjourné plusieurs jours dans l'eau.
La victime semble âgée de 45 ans ;
eile a des cheveux noirs,
le visage
boursoufflé, la langue est sortie de
la bouche. Le cadavre porte également
des contusions dans la région du front.
Le cadavre a été envoyé à l'Institut
médlco-^gal.
PREMIERES CONSTATATIONS
M. Casslsus, commissaire de police
de Neuilly,
fit Immédiatement transporter dans ses locaux la lugubre trouvaille.
Les restes étaient ceux d'une femme
paraissant âgée de 40 à 45 ans. Ses cheveux sont brun: au milieu du visage
boursoufflé une langue pendait épaisse
noirâtre.
Le crâne portait, au côté droit, orne
blessure large comme la main.
Les
bras en une ultime crispation étaient
au-dessus de la tête.
A la main gauche, une alliance que
tant les doigts
Après les vaches grasses, les vaches l'on ne peut, retirer
étaient gonflés.
maigres !
Le
corps,
qui
est
entièrement
nu,, a
ROPART.
été coupé ou plus vraisemblablement
scié, un peu en dessous de l'ombilic.
Il est fort difficile d'identifier la victime. Des recherches vont être entre. I prises le long du fleuve afin de retrouver les jambes de l'inconnu.
La situation atmosphérique est encore très belle sur le continent où le régime des fortes pressions continue.
Des basses pressions persistent toujours dans l'extrême nord et l'extrême
strd de l'Europe.
Le ciel est eénéralement beau sur la
France, le vent y est faible du nordouest, les pluies nulles.
Les mi ni mas de température sont un
peu bas, mais les maximas relèvent le
jour
Dans nos régions,
le vent tend à
tourner à l'Est.
A Toulouse : Temps beau, vent variable faible.
Pression barométrique : "HO.
Température minima : 5
Température maxima : 18.
Vent : calme.
Soleil : Lever. 5 h. 30: coucher, 18 h. 20
Lune : Premier quartier le 3.
Probabilités : Temps beau, légèrement
brumeux, vent du sud-est.
ermere
CHASSE
C'est le même phénomène qui s'est
produit en France après la dévalorisation du franc, avec cette différence que
le redressement français opéré
dans
une période de prospérité générale a
été beaucoup plus aisé que le redressement britannique. Les Anglais seront
sans doute les derniers à se plaindre
si cela leur évite les illusions dana-eremses et les entraînements de dépenses. Us sont dans la période favorable
de la dévalorisation de la livre. Gare
au choc en retour !
»eai
LA TEMPÉRATURE
•\
TOMBOLi
SOUSCRIPTION
pour la
CAISSE DE RETRAITE
tfs
la Presse quotidienne
de Toulouse
il DEI-ILLI
LA GREVE DES MINEURS
Paris, 2 avril.
On sait que le 10 mars dernier, un
conseil national des travailleurs du
sous-soi s'est réuni*
au siège de la
C. G. T., rue Lafayette.
A l'issue de cette réunion une décision fut prise qui envisageait pour soutenir les revendications
corporatives
des mineurs et combattre le s atteintes
qui pourraient être faites à leur régime de retraite, une
grève de trois
jours dans l'ensemble des bassins.
Cette grèv-> commencera aujourd'hui
2 avril. Le mot d'ordre donné' par l'or-'
ganisation fédérale concerne non seu
lernent les mineurs,
mais étralemcn
les ouvriers t'es exploitations ardoisières.
LES MINEURS DE CARMAUX
SUIVRONT LE MOUVEMENT
Carmaux, 2 avril.
Au cours d'une réunion générale tenue hier matin, les mineurs de Carmaux ont décidé de suivre l'ordre de
grève génér 's de trois jours donné
par le conseil national de la corporation.
Avant le Coagrès
LES PROCHAINS ENTRETIENS
DE M. NORMAN DAVIS
Marseille, 2 avril
M. Franklin-Bou,li„ rl s est remiu <k
litivilauou du C initie ue liaison ,1™
Paris 2-avril.
| partis republicà.ns nationaux Qe Mar
Le représentant de s Etats-Unis
se seule et a lait une conférence tur
rencontrera, ce matin, avec M. de Fleu- • 1 iJiiipn pour la Nation,
riau ambassadeur de Fiance.
I
L'ancien président d,j la commission
En outre, ayant maintenant Teçu du des aflaires étrangères, dè s la dèhnt
uul
département d'Etat a Washington, une ê'»et cetw double aflirrnation •
'
I léponse à son premier rapport conte- Jamais, la sécurité de ia Franca
1 a été pius en péril. Jamais, se» 1,
nant ses impressions sur les entretiens n
qu'il a eu avec M. Mac Donald 1 et sir rets n'ont été pins menacés FatÏÏhi *7,
John Simon.
traité de Versailles dérlare-t-ll n i r„
M. Davis aura, aujourd'hui, une notii- pose sur la croyance en la persistant
velle conve.rsation-fcu:.Bc ..le., premie* mi- des accords entre les aillés et (iTnoss,
nistre.
r.ilité d'amendement de i'Allemaei «
Faillite de Genève qui n\ mpêche n'ai
la guerre. Pendant ce temps |'A iWna
INQUIETUDE POLONAISE
gne tire de sa défaite dix fois plu« que
la France de sa victoire
Varsovie, 2 avril.
» Et. comme si ce n'était pas assp?
La presse polonaise commente ..âtti- voici que l'Angleterre veut imposer là
tude prise par la Fiance en présence pacte à quatre.
,
du, projet Mac Donald- Mussolini,
» C'est la .revision des traités derrière
Les journaux - gouvernementaux, aus- laquelle 1 £a la spoliation de la Polo
si bien que ceux de l'opposition, sou- gne, de la Tciiéeoslovn n uie de la Yen
tiennent que £0 projet a porté un coup goslavie et de la Roumanie'. Le dtanser
Kt?r
fatal à la. politique pacifiste. .
est grave ».
Le Kurjcr Coézienng gouvernemental
[..'orateur ayant ainsi expliqué ia siécrit. :
tuation, cherche les 'remèdes au uni
« Depuis quinze ans, la France n'a
Il souligne les progrès faits par ! ;a^
rien refusé à l'Allemagne.
C'est la vintion italienne
première fois cru 'elle -.dit- « non » au
« Il faut se hâter, aJoute-t-11, de pr â.
projet de directoire , inspiré par rvlle-.,
parer une bonne aviation et des arme
magne. La France aujourd'hui répond ] ntenfs forts. Pour v arriver la trêve rie»
catégoriquement, ca r ça* alliés se so-i- 1 pmtis s'impose II faut changer l 'atmosL
tant liés par
des intérêts communs, pl-ère politique •.
ont compris qu'ils étaient assez puisExammant rapidement
la question
sants pour s'en remettre à leur propre économique, M. Franklin-Bouillon afsort. »
firme que là encore, le pavs a été
Le gouvernement polonais,
écrit le trompé, que ia vérité lui a été cachée
Krujer polskt, est hostile au. projet de et il conclut :
*
Rome.
« Aucune mesure de relèvement éco.
Iâ Pologne ne se rallie à aucune des nomtque ne pourra être prise tant qu'il
décisions prises à -Rome, .-dit V&r&resse y aura des gouvernements de partis
Parait ny.
L'union nationale s'impose, comme en
1926 ».
M. Franklin-Bouillon a été chaleureuLES ENTRETIENS DE M. TITULESCO
<-ement applaudi.
Paris. 2 avril.
M Henry Béren.ger, président de la;
commission sénatoriale
des Affaires
étrangères, a reçu à son cabinet. - au
palais du Luxembom-g,
M. Titulesco,
ministre de s Affarres
étrangères de
Roumanie, avec leque] il s'est longuement entretenu
des problèmes européens actuels.
M. Titulesco a rencontré également,
hier matin, M. André Tardieu avec lequel il s'est entretenu
des différents
problèmes que soulève l'initiative
de
SES RÉPERCUSSIONS
Rome. 11 a eu aussi on entretien avec
M. de Jouvenel qui est descendu au mêA L'ETRANGER
me hCte] que lui.
Paris, 2 avril.
Air cours de l'après-midi, il s'est ren^ j
Partout, des protestationt; indigné?», 1
contré avec M. Ybamegaray; député.
Enfin, M. Titulesco verra- aujourd'hui plus véhémentes que jamais, après ie
boycottage organisé qui a sevi nier sur
M. Léon Blum.
tout le Reicn.
Toutes les associations confessionnel,
les. industrielles ou commerciales Israélites, de Paris notamment, ont lancé des manifestes contre ies excès dont
sont victimes les juifs allemands.
Le Boycottage
antisémite
en Allemagne
Elections aartislle
d'Avignon
CINQ
A LA FÉDÉRATION SOCIALISTE
DE LA SEINE
Paris, 3 avril.
La Fédération de la Seine du parti
socialiste, bien connue pour sa volonté
antiparticipationniste, a tenu hier, un
congrès politique consacré au rapport
du groupe parlementaire à l'action générale du parti et a la discussion decette double question.
Les débats, qui ont eu lieu bien entendu à huis clos, sont assez vifs, ainsi
qu'on pouvait le prévoir puisqu'il s'agit
pour la Fédération de prendre parti en
vue du débat qui va avoir lieu au congrès extraordinaire d'Avignon entre la
droite et la gauche de la S. F .1. u.,
c'ejt-ià-dire entre les partisans et les
Adversaires de la participation ; entre
pies défenseurs et les accusateurs de la
majorité parlementaire conduite par
M. Renaudel et ses amis.
M. Sévérac, secrétaire général adjoint
du parti S. F. I. O., a défendu la motion. Paul Faure-Léon Rlub qui exprime
la volonté de la fraction gauche du
parti. M. Sévérac estime, d'ailleurs, que
cette nrotion manque d'énergie. Il souhaite que l'on arrive à une formule qui
amène enfin le groupe parlementaire à
suivre la politique dictée par l'assemblée souveraine du parti socialiste, ce
qui sera la seule manière pour lui d'éviter le péril auquel est acculé la social
démocratie allemande qui a été menée
à sa perte par la politique du moindre
mal.
Après diverses interventions la suite
du débat a été renvoyé à l'après-midi.
SÉANCE DE L'APRES-MIDI
U| R0UV22a
cri d'alarme
de M. FraHkîinôuisiok
ÉLECTIONS LÉGISLATIVES
ONT EU LIEU HIER
Paris, 3 avril.
Les électeurs de Cinq circonscriptions
électorales ont été appelés , hier, à désigner leur représentant à la Chambre.
Dans l'une, celle de Boulogne-Billancourt, le député régulièrement élu le
S mai, avait été invalidé par la majorité cartelliste.
Dans les quatre autres : Fougères
(Ile-et-Vilaine); Brioude (Haute-Loire);
Marvejols (Lozère) ; Briey-2 e (Meurtheet-Moselle), il s'agissait de pourvoir au
remplacement de députés élus sénateurs. Voici les résultats :
Inscrits : 21.543.
Votants : 17.933.
Blancs et nuls : 267. Suffrages exprimés : 17.666.
Ont obtenu : MM. Ferrand. Laurent,
indépendant de gauche,
5.277 voix ;
Lagongette, soc. S. F. I. O., 4913 ; Duclos, communiste. 4031 : Jacobson, républicain de gauche, 3.250 ; Colombet,
républicain indépendant, 82 ; . Sa ntena 1",rémiblicain indépendant, 49. Drvrs, &4.
Il y a ballottage.
M. Fernand Laurent, avait été élu,
le 8 mai 1932 au scrutin de ballottage,
par 7.8-52 voix contre 7.681 voix à. M. Lagorgette et, 2.680 voix à M. Costes. communiste, sur 23.134 inscrits: et 18.487 votants.
,-,
Au premier tour les voix s'étaient
arnsi réparties :
MM. Laôrgette, 5,271 voix : Fernand
Laurpnt, 4.379 v. : Costes, 3.878 v.; Jacobson, républicain de sranche, 3 835 V.;
\ a renne, radical socialiste. WV.;.Ciiansette, indépendant.. 192 : N'a ta li né. républicain national. 131 v.; Klein, ouvrier,
100 v. . .
La séance de l'après-midi est présidée
MEURTHE-ET-MOSELLE
par M. Graziani. I ly a près de trente
orateurs inscrits. M. Bidou ouvre la
série en justifiant la discipline de
Briey, 2 avril.
DE LOTS EN ESPECES
M. Le.bas et de ses collègues qui tous,
Inscrits : 10.694. Suffrages exprimés •
à la Chambre, ont voté contre la majo- 9.272 Majorité absolue : 4.637.
f
représentés par des obligations
rité du groupe, contre la réduction des
Ont obtenu: :. MM. Philippe
Serre,
du Crédit Foncier
fonctionnaires prévus par l'article 83.
avooat à la Gouir de Paris, Jeune Répu•t de la villa de Paris
M. Jouglot défend la thèse de MM. Paul blique. 5.347 Voix, élu ; Henri Lbrentz.
Faure et Léon Blum, c'est-à-dire pas de avocat, républicain de. gauche, maire
1 Trente tirages par eni
discussion ni d'opposition systématique. il Briey, 2.701 ; fjfan Hus'son, républi
Singer Comm
M. Paul Perrm, député de Cligrian- cain rie ettuche, 1.015
court, vient ensuite à la tribune pour S, F I. O., 179.
Il s'aarissait de remplacer M F-ancois
justifier la politique du groupe parlementaire qui est le seul de nature à em- de Wendel, U. R. IX; élu sénateur. "
pêcher l'avènement d'un gouvernement
fasciste.
ILLE ET VILAINE
M. Le Trocquer refuse pour sa part, de
ramener le malaise socialiste à ce diFougères, 2 avril.
lemne : soutien ou opposition systématiInscrits
22.663. Votants : 20. 349. Sufque. « Je soutiendrai, pour ma part, frages exprimés : 19.932.
Blancs - et
Nota. — Les programmes du grand
déclare l'orateur, la motion de MM. Paul nuis : 417,
l-'aure
et
Léon
Blum.
»
Ont
obtenu
:
MM.
Joisson,
avocat ingala de la presse du 24 février
dépendant de —0».^
gauche, 3517 voix. ; HenM. Déat et M. Montagnon, députés, i.„^„,
donnent droit au tirage
leur tour, défendent le point de vue de Sffi^WÂW*^
;
de la tombola.
la majorité du groupe parlementaire
I candidat dunton des républicains
1> .P011IM. Ziromski défend la motion Paul !,Archer, fédériste ngiaiio, W
Faure-Blum. « Cette motion, dit-il, est ,en- v™°£ repubUraUte, 7 HO ; FO'ITI.
.207
Mentec,
cernmodérée dans la forme. Si elle était vo- rçWXjp &
Les billets de tombola sont en vente, fée, elle n'apporterait aucune humilia- "
••.Dfcairt indéau prix de 1 fr. 'M, il L'Express <-- lion à quelque membre que ce soit du pendant rie
Midi, 25, rue Hoquelaine
au Hall de parii. »
Ballottage,
L'Express du Midi iPapeterie Centiale), rue d'.Msace-Lorraine : au Jour,
LE VOTE
LOZERE
rat de Toulouse et è la permanence ^ :
la Presse quotidienne. M, rue de la
A l'issue du congrès extraordinaire
Mnrvéiols, 3 a-.-ril.
Pomme. Pour les pnvois par poste, de la Fédération socialiste de la Seine,
Inscrits : 12,165 ; votants :
Ont
prière de joindre un timbre de 0 fr. 50. les textes dos motions en présence ont
obtenu : MM, Dr. Frailiond, répubUobtenu respectivement :
' cain U.R.D., 7.n-?o voix, élu,
Texte Blum-Paul Faure, texte défendu
Peitaviu, socialiste S.F.I.O., 1593 voix
par M. Ziromski : 165 mandats.
Text.i Pivert ; 87 mandats (motion voi- I Brunsiein, communiste, 503 voix,
député sortunt. rsine de, ia précédente, mais moins cou I M. dé Chambrtin,
public-lin i n dépendnnt, qui fut. depuis
Nombreux autres lots
de valeur
DE TOULOUSE
On se prépare ferme, à Toulouse, en
vue de l'Exposition agricole d'été et
Concours régional agricole oui se tiendra à la fois du 25 au 30 avril. Déjà
les installations s'élèvent sur la Prai
rie des Filtres, car elles seront importantes.
On prévoit une participation imposante d'animaux de toutes races au
concours ; les inscriptions à ce jour
atteignent un chiffre
tellement élevé
que toutes les prévisions sont en déroute.
Pavillons et installations vont
déliasser les dimensions qu'on avait
préparées.
La curieuse exposition féline s'annonce très bien, en cette époque de
« dératisation » nécessaire. Elle ne durera cependant qu'un jour et se tiendra le mercredi 26 avril.
Tous rprist'ianements sont donnés
aux directions des services e.wriçoles de
cliaquo chef-lieu, au secrétariat, des
Chambres
départementales
d airriculture et au sièc-p du Concours régional la veille, mercredi 5 avril, à 20 h. 30, M Qéa
agricole
Maison, «te l' Agriculture, (I, une courte causerie explicative et ins- '''.'. .,
tructive qui sera radiodiffusée par les
texte de 1 action socialiste ; 35 man'U£ Ozenne. h Toulouse.
soins de « Toulouse-Pyrénées ».
| oftts (texte représentant la tendance
En outre, son observatoire nu siège i extrême gauche du vrti,.
social. 9, rue Ozenne a Toulouse, sera 1
Motion, dite de 1' - --i ...elle » : 1 niiinotrveit à partir de 20 heures — si l'état «M )ongane bolcbevis; i du parti),
Motion du rpilress-tnpnt seeialislo :
Jeudi 6 avril courant, un phénomène de l'atmosphère le permet — è tous;
astronomique intéressant se produira. ceux qui l'élude de 1 univers sidéral | 1 mandat (motion représentant une tendancu située également ri l extrême gnu« Régultis ». Alpha du Lion, étoile de peut intéresser.
l!n exemplaire de Son Bulletin mpn- clip du p.nti .
I
première grandeur — 1.34 — sera ocstiel.
qui
contient,
avec
des
nouvelles!
l'ne commission examinera les divers
cultée par la Lune. L'immersion comI
mencera â 20 h. 52 m. 1 s. — tpmns v.ni- et. ries éturips astronomiques, ries Inrii- : proiets.
1
sera envové! C'est seulement le 14 avril qu'Jtti»rvcsel. t 'êtoMe <i'eparet?>'n ^prrièrp le entions météomtoulttfies,
bord opséur. a l'est, l 'êmorsinn — côté gracieusement à tous ceux qui en feront , viendra ie \ote définitif du congrès fé
i
déial.
oppjftè et éclairé — se produira à 21 !)• la demande.
Un ohônomèni astronomique
i
HAUTE-LOIRE
EN ÉQYPTE ET AU LEVANT
Le Caire, 2 avril.
Les événements d'Allemagne continuent à soulever, ici, une émotion considérable,
La légation d'Allemagne a publie
plusieurs communiqués et circulaires,
qui ont été reproduits et commentés en
termes sceptiques par les journaux.
Les manifestations de protestation se
sont déroulées dans le calme et la dignité. Mais les mesures de represaiHt'3
économiques sont appliquées ici au£
firmes allemandes avec discipline et rigueur, car des renseignements multiples de source privée confirment ies,
violences dont sont victimes les juifs
allemands.
Les mesures de représailles économiques sont, appliquées également dans
l'Irak et en Syrie.
VAN DER LUBBE SERA PENDU
Une note d'allure inspirée co: fit me
que Van der Ltibbe, inculpé d'avoir
incendié le bâtiment du Reicbstasr
sera , pendu publiquement dès que ia
Tribunal d'Empire de Leipzig cura
rendu son jugement.
- Cette exécution s^ra la première en
AKeniaene depuis la. moitié du siècle
dernier.- '.
UNE MANIFESTATION
ANTIHITLÉRIENNE A LONDRES
Londres, 3 avril.
Cinquante mille personnes ont assisté, à Hyde-Park, à une manifestation
organisée en protestation'- contre les
m» sures prises par Hitlei.
L6É rnanfesfants se sont retins à
ilvde-Park. en longues processions A
la tète du détachement principal, 'trots
benim.es portaient une grande effigie
de Hitler, entourée dp liamtnes : plu.i
de mille-, poh.ieis atcôiûpaguajettt iô
défilé.
*
l
iu
es
désillusions
Professeur
Einstein
Berlin, 2 avril,
Le professeur Einstein a donné sa
démission de membre
de "i* Académie
prussienne des. Sriem es
Dans sa lettré de démission, il déclare « ne cas èswven 'éilïif dp servir la
Prusse sr.ii'S son eouvernem.a nt actuel •.
L»s autorités ont: fn't s.vsir. hier matin, dans iit -p srra;:rie banque un dé' fit
de 30.000 marks appartenant au. savant.
Les COiféreoces de iWre-DiiiP
Par'*, 2 vvril.
Revnrit lin auditoire aussi recueilli
que. immbieux, |tt H. p. Pinard de l.aboiillavç, t-Qurâutvant ses .conférences,,
a trait?. aifToin d'IVtii, des épreuves •'t
tentations de P sus
Enraient- v em -i,lî-re
les épreuves
subies OHT le. Christ, en ,vue riïnspii'" 1'
confiance et ..'parmi
s->« «preuves les
pin* douloureuses : les cntaMons,
Oupj fur loriçrj.ue <U vs .tentations *
I "orateur en Indique trois sources :
la najurp humnlno uu'jj .avait revêtu,
ht d! ndon et Dieu.
H, rarpelîe s» une te -smu-ctir «ou'frit
pendant' s- tV fiftSjrf lui Ta tt*rk Enfin' il déenar? .de, ses, J>it« l enseignements iiui les rnmr"H ipiu. tv-ux lèc«h»
capitales HOU-PIU être' retenues : pW
denee
prière.
, ,., ,
tut :
Et If I»
Brioude 3 avril.
1
î sauveur en nréêif^ç
Ont obtenu : MM. Sabaiier radical
1,5 j) vnt re r'-fP.
S'
indeueudam. 5,0.7,5 voix • Anet na.iel,
s frlrvnln'lo'tis vous |i
républicain socialistes, 1 333 ; Mnur.ee
comthé
Jésus
Çétl
blei.t
a
Th 'Otas. socialiste S. F. I.O.. 5.877 ; All'h-mse Houx. tfotmtrnnMft Mdln>.<*n- . mani
dant. 1.3W n Stanislas Boiigiev, dcfcii- j « Toiiféî
o- fvé I neuf nue Dî '11 \"
il n.-.i'.s ""n'a
.v lins a "'
se puysanne. .3 539.
,
t aune pUJi
II v a ballottiiv.e
von*, niê'i
l.e |-r mai 19??. M Fnyolle, riépiitê j.Vuy ,.„.»
sortant radical MH-ialn le. é'u ..ndpuis j„ m ;éruie, HUIl lltLU VuluIllUS 5 eu lud
sénateur, avai
rcélu par -8.84Î voix.^/
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atches
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Saila lUouneau); 16. Saqui (SUibrttt); 16.
\joia.-ine iRos»oi; n siamoise iBrètheali 18
Laridnn iDassezat); tu Aimlngiie iiratihe) ;
.»o. Doiiarita iSautour); -n. Ahnrle .LavialJe);
22 Franc-Luron (DU'forei).
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fèvre); 34. Château de Cartes iM île Saint
Mirel); 3S Dark Hillock (Carvallo): s* t"ai
san Vénère (Brlrioitx); 40. BarrHDibi Uioiz»
cbuch); 41. Orinthia iCarpentlet).
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lin); 54 Uold Kusch (F Hervé); 55. ban
iMac Gêe), 56 Kitbag (Hart); 58 Dotuiiia
tloo iKobson); 5». Pyrrha (Ravel); 60. 1g«rte (Mutlot)i si. Cora Pearl U ivalieinsch);
i-2 Notrmoutiers (Dutorez); 64
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setiud IDupuit); 68. Radollne (Bonr.eau); 69
Lavallée iLamoure); 70 Odyssée Pelât); 71
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". tEMIER PAS DUNLOP
C3 L. HAUTE-GARONNE
C'est dimanche qu'ont eu lieu ies
éliminatoires pour la Haute-Baronne
du Premier Pas Dunlop.
ette épreuve, drsputée sur 50 kilo
mètres et réservée a des jeune* gens
de moins de 18 ans. réunit trente en
gagés
Ruppe ns que le gagnant va â Pa
ris disputer la finale à Mouthlery
Voici les résultats : 1. Moiitbraix
Saint-C-tudens;. en 1 h. 38' ; 2 La
lïhnrre lAucamviliel ; 3. Noguère (G
S. C.) ;
4. Cazenave (U. S. T.) ;
5'
( a n ié (G. S. C. ) ; 6. Laffargue (Auaniville) ; 7. Castelnau (Aucamvllle)
H Fabri (G S. C.) ; 9 Rouquet (U.
S. 1.) : II) Samatan (Saint-Ga':dens)
PARIS-EVREUX
Paris, 2 avril.
Ce matin, à 7 h. 35, en bas de la
cote u,- Saint-Cyr. a été donné le déla classique course cycliste
" ii'iS'Ev IY:JX, réservée aux amateurs
et in .uipt'i. danls
L intérêt de cette épreuve, qui comporte une distance de 120 kilomètres,
réside dans le lait qu'elle met une
nouvelle fois aux prises les représentants des trois grands clubs de la
région parisienne :' le V.-C. Levallois,
le C. S. International et l'A.- B. de Boulogne-Billancourt.
Sur 131 inscrits, 117 se sont présentés sous les ordres du starter.
Classement de la course : 1. Debenne (V.-C. L.;,
les 120 kilomètres en
3 h 12' 3"; 2. Vey (C. S. L), à deux
longueurs ; 3. Goujon ; 4. Parizet ; 5.
Weiss : 6. Cloarec : 7. Rodighiero ; 8.
Mercier : 9. Jaminet, tous même temps.
LA COURSE DE COTE
DU MONT-FARON
Toulon, 2 avril.
Le départ de la course de côte du
Mont-Furon a été donné, ce matin, a
9 h. 30, à 106 coureurs dont 18 internationaux
Classement : 1 OT Vietto (Cannes), 21'
17"; 2° Luigi Barrai ; 3« Rinaldi ; 4e
Troubetzkoy ; 5» Trogi ; 6« Bodino ;
7 4 Madrago ; 8« Neri ; 9" Pipoz (Genève); 10* Beilandi, etc.
PRIX LIST M AN
10.000 francs, 900 mètres
iSO. Le-Clown (Turner). 151. Ilus !Fr-an
tais), 152. Maximo (Hervé), 153. Agni iBouil
IOD), 1&4. Le-Montagnard dtarper), 155. Lhyt'crbole (Johnstone), 15e. Goldleaf (Pelât), 157.
Starcote (Sibbritt), 158. La-Louvière (Brldgland). 159. Clara Pratt), 160. Zingarelle
Brierre), 16.1 Alcatras (Delaurie), 162. EelleRpine (Semblât). 164. Colladora IRosso). 165.
Quidnoyi (Caboussat), 166. Erberla (Dulorez).
PROSOST1CS
A BUFFALO
Paris, 2 avril.
Voici les résultats :
Coupe de, France de demi-fond. —
Première s'-rie, 30 km derrière motos
1 Maréchal, 24' 14" 2/5 ; 2. Paillard ;
3. Brossy ; 4. Vallée ; 5. Auguste
Wambst.
2 9 sérre (30 km derrière motos) ;
1 Laiequehay, 24' 1" 3/5 ; 2. Gressin ;
3 Raynaud ; 4. Arthur Sérès ; 5. Sausin.
Epreuve de consolation (25 km.) :
1. Auguste Wambst. 20' 8" 1/5 ; 2. A.
Sérès ; 3 Vallée
4. Sausin.
Finale (60 km.) : 1. Laccruehay,
49' 35" 4'5 2. Grassin ; 3. Maréchal ;
4. Brossy ; 5. Raynaud ; 6. Paillard.
Championnat de France
Les Poules de Trois
En
A TOULOUSE
L'Aviron Bayonnai» bat le R C. Toulonnais par 13 points à 10,
Une foule immense au match de
rugby R.C. Toulonnaïs-Aviron Bayonnais,- hier, aux Ponts-Jumeaux, voilà
une fortune que le > sport-roi • n'avait
pas connue depuis les grandes rencontres nationales d'avant ia scission, de
défunte mémoire.
Décidément, le rugby français est
sur ie chemin du renouveau et ce
sport, que de sinistres augures avaient
voué à une rnort certaine, connaît une
vigueur et une jeunesse nouvelles.
fie bonne heure, l'armée des spectateurs joyeuse, nerveuse s'est, élancée
à l'assaut du Stad-( Ernest-Wallon,
protégé • ontro les resquilleurs par un
service d'ordre parfaitement organisé.
Le vèaips est an beau fixe, et de
l'immense azur le soleil envoie ses
premiers sourires d'avrii. i.e crépitement des applaudissem'iits unanimes
dans le stade sonore, succédant au
silence absolu, tissent d'une émotion
guas) religieasa le début de ce fameux
choc. Quelques
cols bleus » révèlent
la présence d'un groupe imposant de
supporters méditerranéens dont la boutonnière est fleurie dp muguet symbolique, alors que. plus loin, les bérets
basques trahissent le déplacement de
nombreux suiveurs bayonnais. Pendant que les chorales prennent le ton,
la foule, composée en grande partie
de Toulousains, de Languedociens, de
Bigourdans, de Gersois, de Béarnais,
de Landais et de Girondins, suppute
les chances des deux adversaires. Les
Tonlonnais ont la. cote. L'heure approche et le flux des spectateurs déferle
toujours sur le ground.
Lé
championnat,
reconnaissons-le,
dorne aux
compétitions
sportives,
l'apport dramatique qu'il faut pour
passionner les masses...
Les Equipes
Mais voilà que l'esprit de jeu reprend
e pas sur le cérémonial habituel. Les
deux équipes entrent sur le terrain en
tirailleurs
Les bravos explosent de
tous les coins, alors que le ballon vole
de mains en mains.
Les deux - halanges se présentent
dans les formations suivantes :
rADToSoBÏùTi"!
COURSE
Excellence
DU
Aviron Bayonnais (maillot bleu
ciel et blanc) :
Arrière. — Lissart.
Trois-quarts. — Célhay, Nonel. Théodo lv. Vigneau.
Demis. — Zabaletta (o.), Cunitoert
(m.).
Avants. — Arotça, Brouzeng (cap.1,
Ladeuch ; Chirles, Lécha ; Aïtce, Ainciaxt, Dauga,
Achat de chevaux pour l'armée iBioiiliilisifis
D0L - CAPELET
Batteries DEC
rSsT-œÏNTRyl
175
225
225
250
275
285
200
425
475
y
: T E N NÏ "si
à
^tnc!ur
Rupby
Le transformation facile est marquée i
Aviron Bayonnais ; 10 ; R.C. Toulonnais 6.
Chaud est blessé. Les Basques, tou
tours en verve, attaquent à jet continu
et, a ce tram, vont une nouvelle lois
à deux doigts de l'essai. Les Maritimes
grâce à Conadot., se tirent de cette fâcheuse posture et, â leur tour menaient la ligne de buts basque oii la ha.
laille fait rage un moment. Sur mêlée
généreuse, les trois-quarts die l'Aviron
ittaquent Baillette ramasse une balle
qui traîne et, fort judicieusement. Bail
iet(é botte le drop-goal.
Aviron Bayonnais : 10 ; R.C. Toulonnais : 10
Les Bayonnais ne se tiennent pas
pour bettus. Avec cran ils foncent vers
'e but ennemi, où Celhay marnue en
coin. Chaud cafouillant la balle.
Aviron Bayonnais : 13 • B.C Toulon,
nais ; 10.
Les champions du Littoral, à leur
tour,
attaquent et
menacent.
Une
contre-offensive bayonnaise rétablit la
situation et les hostilités se déroulent
au centre. Puis, les Toulonnais dominent. Couadou, blessé, est emporté du
terrain.
Baillette ne peut réussir le
drop-goal, mais les Basques sont acculés dans leurs derniers retranchements. Borréani, se trouvant hors-jeu,
permet à 1 Aviron de se dégager à la
faveur d'un pénalty.
Un coup de sifflet prolongé. C'est la
fin, Consacrant la victoire des Bayonnais, qui quittent le ground sur un
pavois d'épaules !...
Matches amicaux
A BERCERAC
Union Sportive Bergeracoise bat Stade
Clsrmontoig par 13 points (3 essais,
2 uutsl à 8 points (2 essais, dont 1
transformé).
Annoncé
tardivement,
ce
manu
n'avait pas attiré la grande foule Les
absetits ont eu tort, car ia partie a fie
superbe de bout en bout, uttaipr-s eB
contre -attaques se succédant s.ins interruption.
Les v'siteurs se sont fait justement
applaudir par la vitesse de leur jeu,
leur adresse remarquable sur- le ballon et leur défensj sur l'homme
Les Usbistes, raieunis par ia présence de quelques seconds que l'on essayait, ont conduit une belle partie de
jeu ouvert ; mais il faut toujours regretter l'ultime maladresse ou la trop
grande nervosité qui fait avorter . in
extremis » des essais mparables.
U y a néanmoins progrès certain.
Les grandes rencontres qui vont encore se dérouler montreront une équipe bergeracoise redoutable pour les
meilleurs.
Maiérus a bien enlevé ses hommes
et Vinas, â l'arrière, a souvent déconcerté l'adversaire par la soudaineté de
ses contre attaques
Considérations générales
A BORDEAUX
C A. Bégiais bat Stade Bordelais U C.
par 17 p. (oinq essais, dont un transfermé) à 8 points (deux essais,
dont un transformé)
Joué devant quinze mille spectateurs,
ce match emballa littéralement la foule
Partie très spectaculaire et jouée de
qui, de la première à la dernière mipart et d autre dans le meilleur esprit
nute, ne cessa de vibrer aux exploits de du
jeu.
trente jeunes gens donnant le meilleur
Territorialemènt, la suprématie fut
d'eux-mêmes
pour la victoire
d'un
des plus partagées et peut-être même
maillot.
la seconde mi-temps fut-elle plutôt en
Le jeu, à proprement parler, pratiqué faveur du Stade.
par tes
deux équipes
en présence,
Des deux côtés, on fit preuve de la
s'avéra d'une rare beauté. Attaques et même idée offensive, mais les attaques
contre-attaques
se succédèrent
sans du S. B. U. C. manquèrent de mordant
arrêt a une allure vertigineuse,
pla- vis-à-vis de celles amorcées par le
çant & tour de rOle les deux adversai- C. A. Bèglais. La faiblesse générale de
res au commandement des opérations. l'équipe stadiste en défense fit le reste,
Ces alternatives d'avance et de recul, ce qui explique la marge de trois essais
ajoutèrent à l'intérêt de la rencontre en faveur de Bègles.
oui, de ce fait, revêtit un éclat sans
Parmi ceux qui se signalèrent parpareil. Si on joint & cette particularté. ticulièrement, citons : Guichard et Plala correction et l'élégance avec lesquel- naud pour les vainqueurs et Gouatix.
les Bayonnais et Toulonnais s'affron- ainsi que Bouey, chez les vaincus.
tèrent, on aura traduit
avec fidélité
l'aspect ! de cette brillante démonstration de rugby, tout en démontrant que
A PAMIERS
le championnat
est autre chose que
Castres Olympique bat Si.:.011$
cette plaie hideuse dont certains s'éverpar 11 à 11.
tuent à crier avec exagération les dangers et la laideur.
A BIARRITZ
La partie eut deux phases distinctes :
1* Une première mi-temps
au net Boucau Stad- bat Biarritz Olympique
par 7 à 3.
avantage des Bayonnais • 2* une légère supériorité toulonnaise au deuxièA PAU
me time.
Dans l'ensemble, les Basques prirent Section Paloise et C. A. Vïlleneuvois
font match nul par 11 à 11.
le plus souvent le commandement des
opérations et, à ce titre, méritent leur
belle victoire.
Celle-ci est le
triomphe de la jeunesse, de la vitesse, du cran, de la
vaillance de la souplesse, de l'adresse
et de l'élégance. Pour ces motifs les
félicitations et les éloges ne doivent
pas être marchandée aux athlètes basqr-s. Avec sa manière, consistant à
ouvrir le jeu en toutes circonstances
A MONTPELLIER
et à profiter des moindres fautes et
8. O. Montpellier bat Antibes par 2 a 1
erreurs de l'adversaire, avec son cran
jamais amoindri, l'Aviron possède une
A CANNES
grande équipe
rappelant sur divers
points son
aînée de 1913 et, comme A. S, Cannes bat O. d'Alès par 2 buts a •
elle, peut aspirer à la conquête du titre suprême.
CHAMPIONNAT DE PA11IS
La ligne d'avants bayonnaise tonne
(Honneur)
une mêlée basse où la poussée homogène et le talonnage supérieur de l'in- Stade Français bat U. 8. Suisse par 7 * •
ternational Ainciart donnent à l'équipe de nombreuses occasions d'attaques.
A MARSEILLE
Dans les touches, les huit hommes ne
O.
de
Marseille
bat C. Français par s à 1
S'J.I laissent point Imposer et le jeu
BOULEVARD MICHELET
Marseille, 3 avril
R. C. Toulonnais (maillot rouge
PRIX DU CHALET
Hier matin, en uleine ville de Marseille
et noir) !
au boulevard Mlchelet a eu Ueu la classifp'.500 fr., 2.000 mètres)
Arrière.
— Servole.
que épreuve du kilomètre, départ arrêté,
8 50
Trois-quarts.
—
Fané,
Baillette,
1, Tuhpencire (Adams)
^G
organisé par le Moto-Club de Marseille-Pro50
Chaud. Allègre.
la veine. (Augure) ; Soudanaise et Carte- vence.
Francolin (Ciffrea)
P 13 »
Demis. — Couadou (o.), Roubaud
Près de 140 concurrents prirent part aux
lîianche - Tortue et Fortitude — Noir. Finoterie (Herbette)
PRIX DE GUICKE
icoutlers et Gratte-Ciel — Zidor et Chips — diverses épreuves dont 58 participants.
Avants. — Borréani (cap.), Manciet,
Non placés : Vimar, Elperu,
Dorn Ranrho et Kephte — Goodbess et Flambeau
Catégorie motos : Le grand vainqueur de Vails ; Giraud, Prin-Clary • Hauc, Na50 Ono traites, 2.000 tin-ires
front, Brabançonne.
journée
lut
Boetsch
en
moto
500
eme,
rédes Pyrén'es — Agni et La-Louvière.
cent triomphateur du deuxième Grand Prix mur, Bousquet.
I. Mincatrome (Lynch)
G 18 50
L'excellent référée bordelais M. Abel
V Intransigeant : Si.ave-n et Siamoise — Automobiliste de Tunisie. Au circuit de
M A AuntoHt
P 10 50
A ÎARBES
Telamon et Barrabtbl — Nol rmoutlers et Cartb.age, Boetsch accomplit le kilomètre, Martin dirige les opérations.
i. i ouimaudeur iJonnstone ,
Pichenette — Moscarol et Zidor — Folle départ arrêté, en 26 secondes 4/5 : moyen:• S Guibinnan
P H 5< :
LA PARTIE
Turbes, 2 avril.
Hrise et Kephte — Dupliex et Tambour — ne, 134 kilomètres 328
tins et Le-Clawn.
N"u placés Negundo, Foxv Àfnuinr.
Derrière lui, Monneret, en 1.000 eme, dut
Silence général. Les trente hommes
1«' PRIX DÉPARTEMENTAL
rmespnme 'M ie Kinley et Mouture;,
lutetM-Lungchamp .- Carte-Blanche et Sou- s'incliner de 1/5 de seconde, réalisant 27 se- et le public sont visiblement impresi Ton tranci ; 1 600 mètres.
en. i iiin c par Cl. Halsey
sionnés. Mais le coup d'envoi, botté
danaise - Ecurie TUlement. et Barrablbf - condes 1/10 à la moyenne de 133 km. 393.
En catégorie voitures, le meilleur temps par les Bayonnais, rompt le charme.
1 LP Bienvenu II (Sirvain). G 14 50 Kitbag et .Nolrmoutiers — Zidor et Chips —
HANDICAP
5 50 Kcurie Volterra et Sensation — Dupleix et fut réalisé par Canin sur Bugatti, en 28 se- Les rugbymen se réveillent, et le puu M. Uibeze
P
condes 1/5 de moyenne : 127 km. 660.
2 norian III (H Garnier),
blic donne de la voix... Un duel de
Ridotto - Agnl et Erberla.
îtinno francs: 2 600 mèties
5 50
Czaïko-.vkl ne put faire mieux que 30 se- coups de pied ne donne rien de bon.
a M
Ollagne
P
Le, Jockey (Vigilant) : Soudanaise 't C£Tte condes, soit a, la moyenne de 120 km. —
1 R«,.etnco 'iVaixelfiS' tt
G 43 50 3 F.sau (Aiidoubert), a M
La première mêlée donne la balle à
filanebe — Ecurie TiJlement et Lenin — GANDOLFE.
, M j Fould
P 13 »
Bayonne, qui s'approche des buts touSeWii'é
il \lunaia.
(, Bouillon), à
Non placés : Caprice VIII, Volupté H Nolrmoutlers et Gaidrnsh — Zidor et Chips
lonnais. Là, une attaque des Basques
- Robin-des-Bois et Rancho — Goodbess et
M E de Rothschild
P 21 *
échoue de peu sur Vigneau. Sur la
Ba U- teur
Prior — Agni et Erberia.
I M'Misieui Rergeret iDufomêlée qui suit, Zabaletta réussit un
instances.: 1 2 long.: 1 *orïg.; 1 lonà M J Stem
P 20 »
drop-goal magnifique. Il y a une miN u
placés
Bcnedelto,
Brarken,, gi pur et demie
nute que l'on joue.
Le Bienvenu II (Vitex et Bonne Pe
1'
K A bot Kouyrou. Lhermite. PoinAviron Bayonnais, 4 : R. C. ToulonUp Galle. Vitrine. Talon Bouge, tite . entraîne par son propriétaire.
nais, zéro
: '"t-v. Montevideo va sans crainte,
Le chef d'escadron président du coPRIX DU GOUVERNEMENT
mité d'achat de chevaux de Tarbes anII
Les Maritimes, à la remise en jeu,
r de Roulis. Batna
Pourquoi...
M uoO flancs ; 1900 mètres.
envahissent le camp bayonnais. . Celuinonce à MM. ies éleveurs qu'il a reçu
p V)Srtino
(f hP'-kmateAVhite Baj).
une
commande
importante
de
chevaux
ci,
à l'aide de coups de nied successifs,
10 50
1 Diezzar II (H. Gartner) .
n. u n iiie par j. Uutton.
est vivement dégagé Sur coup franc
6 50 de trois ans semblab'e à celle de 1932.
à M ollagne..
Payez-vous
si
cher
Ces achats, si intéressants pour l'élepour obstruction toulonnaise, Brouzenq
2 Hedwig (F. Bourdely) h
er juillet, le
ne peut réussir le but. cependant facile.
\1 p de la Vernhe
P
6 » vage, commenceront le 1
Les champions du Littoral se tirent
comité passant, comme l'année derniè3 Ariane, Il 'Su vain) â M.
vos Accumulateurs
de ce mauvais pas, mais les Basques,
re,
dans
tous
ies
centres
principaux.
Humaùrau
Toulouse, ' avril.
maîtres de la balle en mêlée, reprenToutefois, et exceptionnellement, quelNon placés • Bengaline H, La Ni
quand
nent vite la direction des opérations.
ques chevaux de trois ans primés pourp- x FILE D30IT
f pi'e. Columbus
ront être achetés à l'issue des concours,
Une belle échappée de Giraud à la
2 000 francs 1.200 mètres.
LES ETABLISSEMENTS
Distances
2 long. : 1 I-MIS.; 2 long. avec l'autorisation de M. le ministre de
touche gagne quelques mètres, ainsi
Bourdely. tombé, avec, Hedwig, s'est rS guerre. La commande de chevaux
T ~.sî OH
Couptet ) . . . .... G 17 »»
qu'un beau coup de pied de Baillette.
1 AI. 1 itournav
.... P
» 5. casse ia clavicule gauche.
Sur penaltv. Chaud ne peut réussir le
il'âse sera pou réduite, chevaux de 4 à
Dj»z»ar 11 (RoskiTdâ et D edaria). S ans et mulets.
but : les Bayonnais reviennent alors
Vîntiagt:acat«e (F.asset!
entraîne
par
son
propriétaire.
a M
l.oubet
en came totilonnais, qu'une échappée
.... P 17 ôt
Les achats coïncideront avec les conEquipement électrique automobile
1 -o. *e li Oauoriac).
de Hauc à la touche libère pour un inscours de chevaux de selle.
PRIX
DU
PRINTEMPS
a '.1. Noilnan
4,
hue
Casteliane,
4
... P 86 ».
Us auront lieu dans les localités et
tant Puis, Zabaletta place une touche
5 000 francs ; 2.000 mètres.
aux
dates
<*,
après
:
lointaine Sur celle-ci, l'attaque bayonNo,, Placés
Havane, Equarte-Bab.
7
50
26
avril,
Pernignan
:
28
avril,
Montnaise fuse vers la gauche et après atta1
Quel
Hazard
(Gaillard)....
G
TOULOUSE
l:1.. l( ' *e III,
Dolorosa
Chariot 11,
1 er mai, Tarbes : 6 mai,
que classique. Vigneau marque en coin
a M Fould
P 6 50 de-Marsan
.et.
Téléphone : 23-93
Saint-Palais ; 10 mai, Pau ; 16 mai,
un essai vigoureusement applaudi. Pas
2 Etnar
(H.
Garnier).
a
er
'S : 3.09' 1/5
Vous
offrent
leurs
8
50
3' 10" 2/5 ,
de but.
Dax : 1 juin, Auch : 3 juin, Toulouse.
M
Ollagne
P
I/o.
Aviron Bayonnais, 7 : R. C. Toulon3. Charmille III
(Costa), à
( :
nais.
0.
M
Gelée
" a été distancé.
C'est la. vingt-sixième minute du
Distances : 1/2 loni. ; 1 long. ; 2 long.
TRITON. D ar Ves et Françoise.
match.
Non placés : Moulin du Maghred,
Les Toulonnais remanient leur équiGARANTIES UN AN
Ca-bhazara. (tombé).
PRIX DE SMNT-CYPRIEN
pe : Servole passe au centre de la lisne
Quel Hazard (Hazarch et Quarantola;
d'attaque et Chaud à l'arrière. Le .jeu.
au
tarif
suivant
entraîne par G. Faucon.
4 M) francs ; 2.000 mètres.
malgré cette transformation, continue
à se dérouler en terre toulonnaise
SAUTE RUISSEAU (Orv). G 20 50
L'EPREUVE INTERNATIONALE
PRIX DE LA SOCIÉTÉ SPORTIVE
6 v* 1" 45 AH
fr. au lieu de 300
Puis, au moven de passes entre avants,
i M Deiiriès
P 10 »
4.5O0 francs ; 2.000 mètres.
Nice,
2
avril.
les
champions du Littoral atteignent
Aunla (Burandl
à M.
6 v» 1" 60 *H
fr. au lieu de 375
Le Tournoi international d'escrime,
Béla (Garnier)
G 31
«snve
P 18 • 1
les vingt-deux mètres basques. Les Touqui avait réuni une soixantaine de con.
à M Ollagne
P 13
lonnais alors, nar deux fois, menacent
"ADAR II
(Thomas), à
*, v01 " 75 AH
fr. au lieu de 380
currents, s'est teirninè par la victoire
2. Claude
(Sirvain). à M.
d'aller à l'essai.
M Jautrey
P
9
50
de
Georges
Buchaid
(Français)
devant
I.affitte
Enfin, -sur touche longue, Hauc ouvre
• 1 long 1/2 ; 3/4 de long.;
6 v41 " 84 AH
fr. au lieu de 400
c distances
Coutrot Prat (Monégasque) et Brusati
3 Ob' (Tronqua), à M. Gal1 oe long
sur ses arrières; l'attaque se développe
(Italien).
tier d'Auriac
vers l'aile droite et. Allègre, dernier
. ,No n Placés : Simons Jack, Mouttr,
6 v<"" 90 AB
fr. au lieu ds 420
Distances • tête • 2 long..; 1/2 long.
servi, marque en coin. Chaud ne peut
Non placés : La Navarraise, Florentransformer.
,
12 v»** 36 AH
fr. au lieu de 475
SAUTE RUISSEAU (Le Cid III et tin IV. Cupidon IV
Aviron Bayonnais : 7. R. C. Toulonî 'uH'te et Meuse III) entraîné par P
nais :3.
. .
Béla (Amtr Akmed et Béline), en12 v 1" 45 AH
fr. au lieu de 575
* 1 tu rey
Les Basques
ne lâchent
pas pied
traîné par O Tirlot.
pour
cela.
Cependant,
une
échappée
1
12 v»'" 75 AH
fr. au lieu de 780
" PRIX DE LA SOCIETE SPORTIVE
des forwards « rouge et noir . gagne
PRIX DE CHANTILLY
„
O' ENCOURAGEMENT
cinquante mètres, et Bousquet est des12
v<""
84
AH
tr. au lieu de 820
AU ChOUPE NATIONAL D'EDUCATION
E T DE LA SOCIETE LOCALE
7.800 francs. - 2.000 mètres
cendu sur la ligne de buts basque.
PHYSIQUE
DE
FRANCE
7 50
Mois voilà que sur une sortie de mê1. vergueil (M. Dubernat), à G
lée favorable à l'Avrion, Borréani drib6
50
Pans, 2 avril.
de Frey
P
eN A (J. Rivière)
G 17 » 2. Mme
ble
et passe à Manciet qui marque en
Ce
matin,
sous
la
présidence
de
M.
Boréal (E. Chancelier), à
X \ M Dambies.
m m
coin.
M Lannes
•• P
°" Ducos, sous-secretaire d'Etat â i'êduca- U
' 'ngambe (Cantat), au baPas de but.
Uon nationale, le G. P. National d'êau
3. La Vallière (E. Tronqua),
'"Q Gasquet.
Aviron Bayonnais : 7. R.-C. Touloncation physique de France a fait dis
à M. de ia Vernhe
nais : 6.
. M, .
puter, aux abords du stade Pershing,
nu? lto mbe et remonte).
Non placés : Dial Biste. Scintillante, sur 4 kilomètres environ, son annuelle
Le repos est proclamé Immédiatence : 2
YÉN.
longueurs.
cr
Conte
Bleu.
ment
après.
épreuve.
"». entraîné par son propriétaire,
2 long., 1 long..
Résultats : 1° Boeian (C. S. Palais de
Deuxième mi-temps
Vergueil (Vlneuil et Vergèze), entraî- ia Nouvote), les 4 kilomètres en 12' 30";
MATCHES INTERNATIONAUX
PRIX DE LA PELOUSE
2» Chadillon, 3» Bernard; 4° Chemin:
3
neur
M.
le
baron
Gasquet.
Toulon
remet en jeu à 15 h. 49 et,
j
-000 francs. — 2.500 mètres.
Chicago, 2 avril.
r>° Benoît; 6° Mortier; 7° Sauher; 8* Bu
Servole tente le drop-goal sans succès.
• «rand.
(Foumip,....
G 36 50
Aux championnats de tennis sur Les Bayonnais répliquent par une jolie
uei.
A m. Co3Ur
— —•
\*
util 1111 y t • \j
A SAIMT-GL0U0
Classement par équipes t Coupe du courts couverts (quart de finale) Myl- attaque de leurs trois-quarts stoppée
14
Groupement national (4 hommes) ; 1° ienberg, de Chicago, a battu l'Espagnol sur Celhay. Les Toulonnais répondent
(Propriétaire).
paris ; 2 avrU.
Llonzo, par 6-4 3 6, 9-7
Club Sportif du Palais de la Nouvote
par une action de leurs forwards en
3 pîL,™-, Ransou.
Ransou
P 27
Demain, courses à Satnt-Cloud. Partants 2° A. S Transport ; 3" Urbaine do la
Brooklin Massachussetts) 2 avril.
ravée à proximité de la ligne basque.
tu
(Propriétaire)
Seine ; 4" La Bellevillotse ; 5" Univer
Le championnat féminin de tennl* Celle-ci est vivement décongestionnée
Castels
P 22 50 et montes probables ;
No
sité
Technique
de
France.
des
Etats-Unis
sur
courts
couverts,
a
par
mil) belle course de Vigneau. Peu
hA a'' placés : Havane. Equarté, Mab,
PRIX DES CALCEOLAIRES
Coupe du Nombre : 1° Université été remporté par Mrs Dorange-Chase, après, Nouel effectue une trouée Irrée
H iu il 9i Doirv - Héroïne "Vil, Gris-Nez,
7.000 tr.; 800 mètres.
battant, dans la finale. Mrs Helen Ger
technique de France ('«6 arrivants)
sistible. Les Toulonnais se rebiffent,
-Gourmet Gai-Printemps.
mais les Basques déclanchent une conmai ne par 6-3. 6-2.
1. Aide (Brldgland); 2. Carte-Blanche (Le- 2° La Bellevilloise (27 arrivants) : 3
3' 55" 2/5
—
3' 7" 2/5
ote
Mrs Wightman et Miss Palfrey ont i.re attaque de toute beauté et, après un
thien); 3. Climats (Lynch); 4. Sombrero Club Sportif du Palais de la Nouvote
me" re
remporté le double dames et Miss Pal joli redressement, Arotça marque entre
na) rar> a- c «ur
,
Namou (Hervé); 5. Magic Grey (Tassel); 6^ Slave II (23 arrivants); 4° Urbaine de la Sei:
(Ar)l quin m ct
" ey et Holmes Perkins le double mixte. les poteaux.
fr
(Carrait); 7. Espagnolette 11 (Adeline); 8. (16 arrivants).
(Lynx) : Siamoise et MarcAiuèle-ll — Bonnet-de-Nult et Chaillot —
Noirtnouiers et Anderida — Chips et Zldor
— Kephte et Sansation -•• Duplelx et Ridotto — Stargote et Belle-Epine.
paris-Sport
de
: ASSOCIATION
ouvert est, pour eux, une occasion
d'appuyer les trois-quarts dans leurs
différentes entreprises. Cunibert à la
mêlée, courageux et très actif se conjugue parfaitement avec Zabaletta ouvreur décidé, plein d'à-propos et laissant deviner une classe certaine.
Le quatuor, vite, adroit, souple, attaque avec virtuosité et son action tient
plutôt du romantique que du classique.
La défense de ligne est excellente.
A l'arrière, Lissart est un gardien
dont la vigilance est à toute épreuve
En résumé, équipe richement outillée, qui peut prétendre à jouer un
rôle de tout premier plan dans la compétition nationale A coup sûr, c'est
l'outsider le plus dangereux.
L'équipe toulonnaise peut lever la
tête après so n exhibition d'hier Elle
n'a rien à se reprocher et fit tout ce
qui lui était possible de faire. La blessure de Chaud fut pour elle un sérieux
handicap et les tendances de ses avants
à pratiquer obstinément le hors-jeu
lui fit perdre le bénéfice d'efforts valeureux
Privés trop souvent de la balle —
surtout au premier « time » — les
champions du Littoral ne purent faire
ce qu'ils voulurent et leur rôle, de ce
fait. s« borna, la plupart du temps, à
veiller aux tentatives diverses et variées de l'adversaire.
Les avants loulonnais trouvèrent à
qui parler et. en diverses circonstances, furent même jugulés. De cet état
de choses les arrières des Maritimes
eurent à souffrir. Alimentés avec parci.
mon'e, ils ne purent que rarement tenter leur chance • ils le firent, alors,
avec un certain brio
Chaud blessé, ne fut pas d'une grande utilité pour son équipe. Le dernier
essai bayonnais lui est imputable,
mais devant son courage, on ne saurait lui adresser le moindre petit reproche.
Signalons également le parfait esprit
de l'équipe toulonnaise qui, répétonsle, ne sort nullement diminuée de son
explication avec les brillants bayonnais.
M. Abel Martin, de Bordeaux, dirigea la rencontre d'une manière magistrale et la tenue du public ne fait
qu'ajouter à la bonne réputation sportive du public toulousain.
Notons enfin, qu'il y eut douze mille
entrées payantes et que la rëcette atteignit la somme de soixante-quinze
mille francs.
UN VIN D'HONNEUR
A l'issue du match, le Comité du
Stade Toulousain conviait Bayonnais
et Toulonnais à un vin d'honneur servi dans les locaux du nouveau siège
du grand club garonnais.
D'aimables paroles furent échangées,
et les verres se choquèrent au milieu
d'une chaude atmosphère de sympathie
et de camaraderie sportives.
Ce geste symbolique dn Stade Toulousain, servant de trait d'union entre
deux adversaires de quelques instants,
nous arrache à l'affreux cauchemar de
ces dernières années, pour nou s placer
face au rêve : la paix sur le monde
d u rugby et une franche amitié entre
bons et loyaux camarades.
A notre tour, qu'on nous permette de
crier :
Gloire à l'Aviron Bayonnai s !..
Hommage au B. C. Toulonnais !..
Merci, an Stade Toulousain I...' —
GEO-PEBBET.
C'est grâce à son attaque très incisive oa
Boyer brilla particuWèrement. et aussi au
brio d'Aile et de Trées, que l'O. M. remporte cette nette victoire.
En première mi-temps, l'O. M. marque
deux buts par Alcazar et Boyer, t£fndi s que
Aile pare magistralement un penalty shooté par Mercier.
Au cours de la seconde ml-teraps les parisiens sauveront l'honneur sur shoot de
Dumas tandis que Boyer, par deux fois, et
deux fois Rabin sur penalty, aggravèrent
encore le score.
A l'O. M„ Aile, Trées, Boyer, Calls, furent
les meilleurs.
Au Club, Mercier, Laurent et Parkes s»
distinguèrent souvent.
MATCHES INTERNATIONA UX
A GENÈVE
L'Italie bat la Suisse par
3
buts à
A ROME
Italie B bat 8uisse B par
5
o
à 0
f avïron
*
i
!
COUPE DE L'AMITIÉ
Paris. 2 avril.
Ce matin, dans le bassin d'Asniè.es,
s'est disputée, entre le Rowing-Club
de Paris et la Société d'Encouragement
la Coupe de l'Amitié.
Cette compétition annuelle, qui ouvre la saison parisienne d'aviron, a été
gagnée par le Rovving, qui a totalisé
12 points contre 7 1/2 à l'Encouragement.
LT'ncouTagement emporte donc cette
Coupe, que Je Rowing détenait depuis
deux
saisons consécutives, puisque
l'usage veut que le vaincu ait la garde
de cet objet d'art.
[ SPORTS D'HIPR :
(««£»_
ENNEIGEMENT
Journée du 2 avril
LUCHON-SUPERBAGNEEES (altitude l.SOO
mètres). — Température maxima, +1 ; ininima, 0 ; épaisseur de la neige, 0 ni. 20 ;
état de l'atmosphère, beau.
FONT-ROMEO (altitude 1.800 mètres). —
Température maxima, +11 ; mintma, —2 ;
épaisseur de la neige, o m. 40 ; état de
l'atmospnère. beau
COL DE pilYMORENS (desservi par la station de Porté) (altitude 1.918 mètres). —
Température maxima, +8 ; minima, —9 ;
épaisseur de la neige, 1 m, ; état de l'atmosphère, très beau.
Du Champagne
de Grand Cru pour vos tètes
de famille.
Une caisse d'essai
douze bouteilles, tous frais compiis. votre domicile. 140 francs.
Paiement après dégustation l-L
GEBMAIN.
à
LUDES,
près
REIMS.
LUNDI
3
AVRIL
1933
ftVïS ET CQMOC/n, IGIS
T Orient ou la pittoresque o'-rne^tratt^
,iu
siieur nous offre m
°
tu luimiii
cotHPbRiteuJr
111 uier\ei|.
leux tableau d
la laiaviiue
verse le désert escortée put- des s.>i,t M?£
CONFÉRENCE MARIE CASQUET
Amicale de la Société luulouâire de Cru russes : tout cela est exprime avec i
C'est jeudi prochain t* avril qu au
dit Industriel. — cl-dess-nis IQ liMe «es nU niu» luSte et ia plus nai faite t Xoressh t
rt lieu dans la salle du cinêinu Je niCros gagnants, non i-èclames, de la tom- sous la direction du remar. niable et r
Tnaron la contêrenee
tant attendue bola dont le tirage a eu lieu ie b mars j et, animateur M
Kune. On ne dira
de Mute Marie Gasquet qui traitera le 1933 :
- iarmiu assez avec quel dévoue mem ,i
suj-t suivant « Moti enlance près de
pt
épure
les
beaux
concéits qu'il non i
2013
3.004
3.157
1.497
3.400
2.007
Mistral >
a etc- donne d applaudir ette saison
1 t-M
2 418
II B18
8.388
Nui doute qu, la filleule du grand l.ttl
M Kune a droit tttlx rêmet-oiernenti
poéta pr(.\er.ça'. ne fasse vivre devant
Les lots non retires à la date du 18 avril et à la reconnaissance des musicjwi
le» ntmbreu.x admirateurs du maître 1933. resteront acquis a la Société.
pour l'œuvre saine et utile qu'il acfom
une heure inoubliable dans l'Intimité
L'Association des comptables, VI rue du plu, avec ses collaborateurs, les ex,-p|
d< Faute,. i de « Mireille » et de • CaTaur, rappelle aux candidats
1 examen lent.* musiciens qui le Secondent ve«
le
tdli
»
et
que
par
son
éloquence
perque de par la volonté d'Hitler ils ne
de teneur de livres de ia SC.Ï. que la ..iste le plus complet désintére=senvn,t
« La Passion »
O'i.isive
du
défenseur
de
notre
littérnFaits
Divers
sont plus des hommes libres. •
C'est avec justice nue M. Gastambid»
tu'e régionale elle ne groupe de nou- d'Inscription sera deftnUlvi tuent, close >e lions dira que l'Orchestre dp la «nriétA
c Voilà le danger ! s'écrie M. Viala,
AU JARDIN-ROYAL
7 avril courant, lin conséquente, elle prie
contre la grande œuvre de paix que LE MANTEAU DE CUIR DISPARAIT veaux adeptes et de nouveaux admi- les retardataires de faire régulariser leur des Concetts est si rarfait et si" com.
L'Amicale du personnel catholique de nous avons entreprise ! »
rateurs de notre langue d'Oc.
nlPt, uu» l'on voudra t en voir beauM. Louis Pigeat, chauffeur demeuDU 3 AVRiL 1933
l'O. N. 1. A. s'est assuré le concours de
Prix aes places lo. 7. 5 et 4 fr Dé- candidature avant cette date, faute de quoi coup, comme celui h et) France
Mais l'orateur ajoute qu'il ne faut rant 17, rue uu Rempart-Saint-Etienne, classement aux abonnés
r Amicale de Saint-Etienne pour donner
des
lundis ils s'expo-ent à Être écartés et forclos
Le piOBiainme ne comportait, qu un»'
Avenir Choral des Minimes. — Eéunlon traduction rt^s mêl dies russes chan
Satni du Jour : Sainte Irène.
une représentation de La Passion, salle pas désespérer, car ce serait à désespé- a porté plainte contre inconnu pour littéraires, aux membres de l'A. G. et
rer de tout si les démocraties (?) n'ar- vol de son manteau de cuir, qui lui aux étudiants romondencs.
générale de tous -es membres de cette so. têes rmr M Kouhit/kv. ténor dès Con"
du
Jardin-Royal,
le
8
avril,
en
soirée.
Fête à souhaiter : Sainte Adèle.
cié'té uu siège, café St-Rocb, à 21 h. très "erts Colonne
Déjà l'an dernier, cette représenta rivaient pas à s'unir pour museler les a été pris dimanche matin, vers 2 heuforces de guerre.
res, à la salle des Jacobins, rue Parprécises. Programme des répétitions de la
En .n édites mots précis auxquels un
13 heures
Au Palais de Justice tion fut pour notre Amicale une preM. Pichot a parlé le dernier : « U y gaminP -s, alors qu'il était à une
mière
manifestation
de
vie.
Nous
prions
learer accent =lave aioute t un charma
, semaine.
LA
CURE
:'J
DOCTEUR
LALAURIE
Cour d'Assises allaite Jean pradier,
I Lundi, mercredi et vendredi, répétition
le public toulousain, qui nous est si a, dit-il on débutant, 11 y a encore chez fête.
• rriits, . et artiste en a démise poui i*
attentat ri la niidein.
Diurétique, dépurative, laxative. to- ! ties divers programme», présence Indispen- nubile l'élément intime t essentiel
svmpathique, de bien vouloir nous ré- les anciens combattants des provisions
m-* m heures • V.-O. de la Paurade
server toute sa bienveillance et son de généreuses pensées et nous devons y LA BICYCLETTE QUITTE LE GARACE nique. Son action doucement régula- sable.
I. „ antique des < antiques n> Olngous
trice des fonctions du Foie, des Reins,
Sermon de charité, par le li P. Paile. meilleur accueil. Le bénéfice nous per- faire appel. »
Chorale des Minimes. — Ce soir lundi, a uoff est très nettement inspiré nar un
L'orateur montre qu'on a trop perdu
M. Augustin Laguerre, facteur des de l'Estomac, de l'Intestin, en fait une
mettra d'organiser nos œuvres de soliS. J.
•m
ebrai tue traduisent :a douleiie
dans le pays le souvenir des services .'; T. T., demeurant 55, allée de Brien- cure idéale de Dépuration
Sanguine. 20 h. 30, réunion du bureau et de la Com- séculaire du neunle nilf rtfmhmj. ,mj
darité ouvrière.
mission. A 21 heures, répétition. Etude de
La Passion, de M. Donat, avec adap- rendus au pays par les poilus. Une opi- ne, a porté plainte contre inconnu Notice et renseignements à la Phar-xh
ile
au mur des IftfKentiit nns Un»
Lalaurie, 24. rue nouveaux chœurs.
tations musicales de M. Massio, a été nion publique décadente, dit-il, ne veut pour vol de sa bicyclette, d'une va- macie du Docteur
plainte étpuffée irrnn.lit. 'usqii ;«( désL'Election de la Deuxième complètement
leur dj 3C0 francs, commis samedi de Saint-Antoine-du-T. (face
au
Para- ..Association des Comptables, 71, rue du espoir, puis retonib' cniurn •• nttsip ^
modifiée, et ie spectacle plus reconnaître leurs droits. »
L'orateur, cependant, rappelle la fa- 6 heures à 10 h. 30 du matin, dans mount) .
Taur, à 20 h. 4Ô, mardi 4 avril, cours pré- s'achève en des larmes on
en sera tout à fait renouvelé. Le grand
luit un
Circonscription
paratoire aux certificats de T. d. L. et d'A. espoir l'esn-'ir Invincible ét idéal
drame qui touche et émeut si profondé- meuse parole de Clemenceau : • Ils ont le garage de l'Hôtel-des-Postes. rue
des
droits
sur
nous.
»
et
montre
qu'elle
de
la
Poste,
où
les
employés
garent,
p. vendredi 7, cours préparatoire au Diment le peuple humain se déroulera
M. A. Kouhii7k.v est un remarquable:
Comme je vous 1 avais promis, j'ai as- dans des décors somptueux et entière- reste toujours vTaie.
leurs vélos.
plôme de Comptable (S. C. F.
nternrête du ces mélodies russes, nifii
sisté hier dimanche, de neuf heures à ment neufs.
La Sûreté a été avisée.
• Cependant la Société des Nations se
hante
dans Ipttr lantnie avp.- i'are (, n t
Fédération des Anciens de la Rhénanie et
midi au Congrès socialiste qui s est réuni
Cette séance étant la première donnée montre impuissante à empêcher la
de la Ruhr. — Iâ Section, de ia Haute-Ga- le Plus convaincu et d'une ititelltcrebta
au Foyer du Peuple, pour la désignation en soirée, avant la Semaine sainte, il guerre, la Conférence du désarmement
omi réhension.
LES VOLS
ronne de ia Fédération des Anciens de la
sera bon de retenir ses places à l'avan- a littéralement perdu la tête ; elle n'est
de son candidat.
Dans la chanson de Vér.htstmthèWt
Rhénanie et de la Ruhr, dont le général
ce.
Les
prix
sont
très
abordables
pour
même pas capable de faire dire ensemM. Jacques Aspe, épicier à Aurevlllo,
Que s'est-ll passé depuis que je vous
Ltnard est le président d'honneur, conti- 'La Pure', dont il nous donne la traACTION SOCIALE DE LA FEMME
toutes
les
catégories
de
places.
La
locable
aux
Etats
européens
qu'ils
courront
a
porté
plainte
contre
inconnu
au
l'ai annoncé, je n'en sais rien (au moins
nue son développement dans des conditions duction et rt9,11s SWIHLK ii Moussoteskv
tion sera ouverte, pour tout le monde au secours de l'Etat qui serait victime 1« arrondissement pour vol de deux
L'Action Sociale de la Femme tien- parfaites.
il obtient pcafemérii le «uccè» sincère
encore), mais il ne s'est plus trouvé en tics le 2 avril 1933, chez M. Laffatrrle
d'une agression. »
colis contenant divers objets, commis dra sa prochaine réunion mardi 4 îvni . Le
«t unanime.
présldÈût mlt6 tmls les mmtaltes e t.
présence que deux candidats, le camarade j j 5i n)e Alsace, et à 'la Papeterie des Six
l,a deuxième partie était entièrement
Parlant ensuite de la question de la sur son automobile en stationnement, à 14 h. 30. à l'institut cuinonque. aujci i clvils ayant seryl en Rhénanie ou dans la
Berlia et le camarade Rogalîe
Moeurs, place Saint-Etienne. On trouvera
consacré^ *\ l'audition d'une eeuvrp d»
traité • « L'enfance en danger nwai. , Ruhp a assistel, a ,
retraite des anciens combattants et de rue des Marcnands.
prochalne reuuion notre romnatcinte Jules Mazel'ier •
Berlia, Soutenu par toule la camarilla également des cartes A l'entrée de la
<
Pas une assistance sociale auprès des i mensuell6
,
leurs droits, M. Pichot indique que ce
qul auva Ueu le m(wH 4 avrlI
du Capitole et les extrémistes, l'a emporté salle, le S avril, dès 18 h. 30.
RENARD A DEUX PATTES
tribunaux d'enfants
n'est pas en portant atteinte à ceux-ci
à 21 heures, au café Bioussa. arcades du Ca- Matines d'Amour, louée en 1927 A l o.
Toutes les personnes intéressées par
oéra
de haute lutte, puisqu'il a obtenu 275
qu'on relèvera la situation financière.
M. Pierre Galin, secrétaire à la Com- cette question, sont invitées à y assis- pitole.
une causerie pl -ine d esnrtt pj
suffrages, tandis que Rosalie n'en a eu
Il faut que la France réduise son train
C'est au cours de cette réunion que les dedans
pagnie Aéropostale, demeurant 14, che- ter.
documentation. M. Oastamhirip ni]i
de maison, que la fiscalité soit redresvœux a, émettre au 2' Congrès national qut
que 48 et Paul Faure qui n'était pas canChez nos Sténo-Dactylos
min de Lespinet, a porté plainte pour
sée. La plaie d'argent ne serait moraura lieu à Cannes et â Nice seront discu- tetir rit- livret a retracé la carrier» d'un
didat 45 , divers 4.
Vûl de deux poules, commis dans le
musicien dont Toulouse s'enoreueMlit
Dimanche, en une fête charmante, telle pour notre pays que si le citoyen
tés.
Si i'addltionne les VOfx de Rogalle et
c lurent de la nuit de samedi a difi iuste titre. M
R'astft.inl'i'd* i-ntir»)!
I Alliance
Toulousaine
des
Sténo- oubliait qu'il n'y a qu'un moyen pour
Le
président
espère
que
tous
le9
anciens
de Paul Faure cla fait un total de 93
Mazellier alors nue tout ieone pr.rorA
uactyio^ComptabJes et Assimrlês a cé- Sauver le pays, c'est que chacun se sa- manche.
de
l'A.
R.
R.
assisteront
nombreux
à
cette
Pour accéder au poulailler, le ou les
voix exactement les mêmes que Rogalle lébré son vingt-troisième anniversaire crifie à l'Intérêt général.
réunion et prouveront ainsi que la bonne on le considéiait comme un artiste
voleurs ont poussé la barrière et cirlein de promesses,
avait eu l'année dernière
u; le centenaire d'Emile Duployé, le
camaraderie qui régnait sur les bords du
« Nous autres, combattants, dlt-ii, saillé le grillage.
lorsque le grand prix rie Bomp vint
Je crois que les partisans de ce dernier génial inventeur de la sténographie sommes prêts à, prêter notre concours
Rhin et dans la Ruhr n'est pas
encore
ACADÉMIE
DES
JEUX
FLORAUX
récompenser sa cantate • la Ronssalka,
n'ont pas eu le cran suffisant pour le sou moderne.
éteinte.
au redressement parce qu'il y va de
il devint son librettiste et son anu et'
QUEL Lit CE MALHEUREUX?
A ni'di trente, un important banquet, notre intérêt. Mais ce ne sera qu'A la
Séances extraordinaires
La cotisation annuelle de 15 fr, donne de cette collaboration naquirent les rpiil
tenir, sans ouoi le résultat n'aurait pas
présidé par le président de l'Alliance condition qu'après avoir été les predroit
à
l'abonnement
du
bulletin
mensuel
éb* le même.
des
24
et
31
mars
1933
vres qui sont, présentes fi tons i P ,
L'agent Fabre, de service sur la voie
toulousaine, notre confrère et ami
de la F. A. R. R.
Que Berlia rependant ne se croit pas j, Louis lespine, réunissait, au Grand- miers d verser notre sang, nous soyons publique, a surpris devant l'Hôtel He
esprits ; Graiiella qui commente , le
Les demandes d'admission doivent être façon si délicate un épisode de jeunesPrésident : M. de Beilomayre, viceencore élu, car .1 v a loin de la coupe aux j Hôtel _ les st éno-dactylo-comptables et les derniers d qui on réclame un sa- gina un homme semblant déséquilibré,
adressées
à
M.
Boichot,
président
de
la
crifice. Et puisqu'on veut faire une épu- faisant du scandale.
modérateur.
se de Lamartine, et dont on se souvient
lèvres, les partisans de Kn«M]e nour i eurs invités.
Section de la Haute-Garonne, 12. bis, rue à Toulouse, ou cette oeuvre fut joués
ration qu'on la fasse au nom de la
Amené à la permanence de police,
Dans la séance du 24 mars, M. Abe- de la Pomme h Toulouse.
raient bien le lui ra^"é!er le 30 avril.
Nous avons remarqué notamment : justice et non pas de l'argent. »
sur la scène du Capitole
il a déclaré se nommer François JÛU lous. doyen de la Faculté de Médecine
N'ayant p?s été libre l'aptès midi,
ie ; MM. Morrteil, secrétaire général de la
Parlant plus spécialement de la reM Gastamhidp détaille ensuite toute
Trouvailles. — Réclamer à M. Bedock, 18.
Lahillonne, traite M. Pichot précise r « Nous l'avons, zène et f* e domicilié chez M. Caries, de l'Université de Toulouse, demande
n'ai nu assister à l'élection du candidat i Chambre de commerce :
l'oeuvre de Mazellier : La Villa Médictj.
à
Villatte,
par
Pin-Justaret.
près
de
rue
dse
Gestes,
une
petite
somme;
à
M.
Soà
l'Académie
de
faire
partie
du
Comité
I
chef
de
cabinet
du
préfet
;
Dussol,
nous voulons la garder ; nous voulons
Su Conseil général, mais i'apprctvU «ne
de Patronage du XIV e Congrès Inter- ria, chemin de Négrcneys, une roue de se- Le Paler, etc. etc ..
au maire : Mme Vidal, vicé- surtout le respect de notre statut, de la Muret.
M. H von a rétvi 10o voix contre 87 .1 I; adjoint
Avec beaucoup de justesse et d'élo*
Devant ses propos Incohérents, le national d'Hydrologie, de Climatologie cours-, à M. Castet, 24, rue Ste Ursule, un
présidente ; Mlle Dutroy, secrétaire parole donnée ! Si on ne respectait pas
M Donne?, ef divrrs 4.
j -'éuéiale, et Mme Marty, membre du cette parole, alors tout serait à crain- docteur Pérès, qui l'a examiné, l'a et de Géologie médicales, qui se tien- parapruie; à M Meyer, usine à gaz, une quence, l'orateur a loué ia prufe'té arti*
fait admettre à l'Hospice de la Crave. dra à Toulouse, du 4 au 8 octobre pro- petite somme; à M. Palau, 8, rue Pierre- t:que de l'auteur des Matines d Amour
Hvnn .
! l'oublions ras, n'est pas ! conseil
de
l'Alliance
Toulousaine
dre 1 »
Son identité va être vérifiée aux uns
Jany. une petite somme ; à M. .Talahert. qui, en face d'un modernisme outrande la sent MM. Dulaaer, conseiller prud'homme ;
'« nersr:
gratta », aut
M. Pichot montre enfin que les an- de prévenir ia famille de ce malheu- chains. L'Académie sera représente à Balma, un portemonnate; h M, nuffis, 1 cier et souvent trop agressif, a su res| Badin,
représentant du Tribunal de ci2ns combattants auront désormais un
par MM. Declareuil, l'amiral d'AdhéC?i-'ltol-Tc!"
rue Lafayette un mandat-poste; aux épa- ter fidèle aux traditions bien française»
mar et le comte Bêgouën.
'eux jours toinmerce : Robert Heim, président de droit de regard dans la révision des reux.
C;""ara"'"*. nous
la. section montalbanaise, et Girbaut, marchés de, guerre. Toutes les condiM. Puntous rend compte du livre de ves, une bague et une clé de sûreté : à d'équilibre, de mesure et de goût.
fen perspective.
Cela ne veut pas dire qu'il néglige les
UNE DISPARITION
vice- président . Dulon, conseiller pru- tions que nous avons demandées étant
M. Armand Pravlel : « M. du Barri et l'administration des trams, une écharpe.
Le Petit Curieux.
un sac à provisions et trois paires de gants. procédés d'écriture moderne dont il use
d'homme : liocachet, de l'Association remplies, sauf que le gouvernement n'a
M. Philippe Marestan, employé à sa famille »
â
propos, sans jamais tomber dans
ues Comptables, etc..
M. de Beilomayre rend compte du
encore demandé aucun sacrifice aux l'O. N. LA., demeurant, 60, chemin Fonl'excès.
-\près un banquet particulièrement retraités civils et militaires, l'Union taine-Lestang, a signalé au 7» arron- livre de M. Gassin : « Les Phlogitides »
Servi par une instrumentation savouinondant et soigné, assaisonné de la fédérale êst prête à accepter une ré- dissement la disparition de sa nléce, (avec préface de M. le doyen Abelous).
DE TOULOUSE A MARSEILLE. UN reuse et colorée, son inspiration méloUne hm n euse initiative
plus aimable gaieté, diverses santés duction unique, une fois faite et tem- Mlle Alice-Germaine Bêgnrer, 17 ans,
M. le comte du Bourg de Luzençon, seul chausseur
bottier des élégant? dique poétise le sujet et entraîne °s
ont été portées.
ouvrière d'usine, disparue de son do- secrétaire perpétuel, donne ensuite lec- « RA1I LY », 3R, rue Alsace Toulouse, auditeurs séduits vers les pays du rêve.
poraire. ->
pour les chômeurs
M. Louis Lespine, après avoir excusé
ture de son «apport sur le grand prix
L'orateur se prononce contre tout pro- micile depuis le 30 mars écoulé.
Carcassonne. Bé/iers et Nimes.
Ce qui précède nous dispenserait ne
tes personnalités absentes : MM. Caus-! jet de loterie nationale et pour le main- M. Paul Delmas, demeurant rue de poésie Fabien Artigue et le concours
détailler l'œuvre exécutée hier, et dont
'Au cours de sa dernière réuni
sou professeur de comptabilité â Pa tien des pensi ;ns des veuves de guerre Cafarelll, a porté plainte contre in de poésie et de prose 'rcncii c es.
le succès fut très marqué.
le Conseil d administration de «
tis : Victor Lespine, Corbin et Touzet,
Dans lu s a- e do "'
i la corconnu au 1« arrondissement pour vol
remariées.
Dans les Matines d'Amour qui se comGoutte de Lait » a eu a connaître
i t remercié les notabilités qui
sont
respondance
l
i.ire de la Société
11
termrne
son
discours
en
montrant
de
son
pardessus,
commis
le
31
mars,
posent de trois images, M. Mazellier à
rapport financier présenté par le tréso- j venues représenter a la fête des sténoque certainement la paix ne Se fera pas vers 23 heures, au café Sion, où le Archéologique -, ,i Midi de ta France,
trouvé
un sujet qui lui permit de foirA
rier général, sur l'exercice IflK.
I dactylos les corps constitués toulou- d'un coup de baguette : que la sécurité
plaignant l'avait accroché à un porta invitant l'A' udetnie a. sa séance publivaloir son beau talent de compositeur,
Après l'exposé de la situation fiuan- sains.
que du 2 avril ;
est
en
fonction
des
besoins
de
protecmanteau.
sous des formes diverses et opposées.
fcière de i'uuue. M. Hyon a présenté
M Monteil, secrétaire général de la
« Les Héroïdes », d'Ovide, traducque le désarmeLa Première image, nous transr ort*
un voeu tendant a («ire abaisser de Chambre de commerce, a dit de pi- tion de chaque pays
tion, par M. Emile Hipert, maître es
ment
ne
peut
se
faire
que
dans
l'égaCAPTURE
D'UNE
VOLEUSE
dans une ville de Provence, la dairift
è fr. 55 à 3 francs, le prix du lait sté- iuantes anecdotes et célébré l'éconoJeux Floraux :
lité
et
dans
la
sécurité
et
que
lorsque
d'un
chevalier, belle et vertueuse et uti
rilisé et sucré vendu aiix famille? d'ou- mie, vertu franc-aise bien d'actualité
« De quelques Poètes 'au Hoggar et
THEATRE DU CAPITOLE
Le sous- brigadier Barris, de ia SûHitler proclame que la sécurité doit
ohanoine plein de dévotion,
devienyriers. En outre, jl a demandé nu Con- bar ces temps de crise économique.
reté,
a
conduit
au
service
la
nommée
de
la
Poésie
des
Touareg
»,
d'après
le
être trouvée dans l'égalité des forces,
nent les jouets des diables qui, jaloux
seil d'administration de créer un servi
M. Dulon, au nom au Conseil des on doit lui crier : « Halte-là ! »
Marguerite
Amêdêe,
demeurant
au R. Pèro de Foucault, par M. le norme
le leur piété leur inspirent un amour
Huitième et dernière audition
Ce <le distribution du lait à ptix ré- Prud'hommes ; M. ie docteur Badin,
Il est près de midi quand a pris fin Champ-du-Loup ; après interrogatoire, Bégouën (extrait des Mémoires de l'Acaiduit aux uuvriers chargés de famille représentant le Tribunal de commerce;
de la Société de 8 Concerts
elle a été inculpée de vol au préjudice démie des Sciences, Inscriptions et Beicette
importante
réunion
qui
a
été
suiIls fuient ensemble et le sacristain
«t en chômage. Sons contrôle de ces M. Dussol, pour la municipalité : M.
lês-Lettres de Toulouse).
de Mme Roux, sa voisine.
du Conservatoire
emporta le trésor du couvent ;
©eux conditions, le prix du lait, égale- Lahillonne, pour l'administration pré- vie d'un banquet amical, — L, de F.
M. Bozès de Brousse donne lecture
Indignation du Prieur et des moine»,
ment stérilisé et sucré qui leur sera fectorale :
M. Robert Heim, au nom
de l'Eloge de Clémence Isaure de M.
AUTO CONTRE TRAM
Le huitième et dernier concert de ia désespoir du mari..., tous se précipitent
vend i peur leurs enfants, ne sera que dj ia section montalbanaise, et notre
l'abbé Cubaynes, maître ès Jeux.
Société du Conservatoire était consa- en grand désarroi à la recherche des
confrère Joseph Beit, au nom de In
«de un friinf.
Samedi, vers 15 h. 15. une collision
M. le doyen Abelous communique à cré, en première partie, à des œuvres deux coupables, tandis que les diables
Hatm ne pouvons que féliciter l'au- presse, ont tour à tour fait applaudit
s'est produite, rue Alsace, entre l'auto- l'Académie son « Allocution » aux bé- russes et à une sélection des Noces de jettent à la face de la Vierge d'affreux
Un
Banquet
teur de t es propositions, et tous ceux des discoitrs agréables.
mobile conduite par son propriétaire, néficiaires d'un jeton de vermeil pour Figaro.
blasphèmes.
qui partageant son point de vue après
Et après le banquet, les sténo-dacau Réveil Bouliste
M. Emile Cochet, voyageur de com- leur jubilé académique.
M. Kune a dirigé la célèbre ouverture
Cette scène abonde en trouvailles
l'émouvii'ii appel qu'il leur avait adtes tylo-comptables se sont rendus à la
merce, demeurant à Paris, et un tram
M. Antonin Perbosc, maître ès Jeux, dans un mouvement alerte d'une re- orchestrales, les récits des diables sont
(sé. «P. «ont associé* à lui pour adoucir salie du Musée commercial, ou. une
dé la ligne 2, conduit par le machiniste lit sa i Réponse » à cette allocution.
marquable précision. L'orchestre, sous soulignés de traits rapides, légers et la
DE LA PATTE-D'OIE
nombre usé* Infoituties qu'ils manifestation artistique continua cette
Laffont,
les
sa baguette, l'a enlevée avec légèreté et monologue du Prieur est, au contraire,
ulaaer,
charmante fête.
m;
Dégâts matériels seulement.
, lent -nt
d'exquises nuances M. Eugène Sizes, largement soutenu. La fuite des deux;
dispos!Le Réveil Bouliste de la Patte-d'Ole
professeur ai Conservatoire de Paris, amants est une chevauchée remarqua*
nous conviait,
hier, à l'inauguration
LE CONCP-'RT
DEUX AUTOS SE RENCONTRENT
ti n
apporté sa sure musicalité, sa par- blettient traitée et d'une solide, et puis*
du
magnifique
boulodrome,
si
généreule
plus
brel
LIQUEUR
IZARR
soie
faite méthode et sa voix timbrée à santé orchestration.
Dimanche, vers 13 h. 60 une colliA 15 heures, le concert débuta par sement offert par M. Fautec, un mécètiéit
Le Deuxième Miracle est ceftainernenl
l'exécution du Récital et Cavatine. Le
sion s'est produite, place de la Patteune mur Ire et une gavotte brillam- ne toulousain.
public a applaudi et rappelé l'excellent le point, culminant de l'œuvre. La mument orchestrées ; puis, M. Louis LCSA 10 injures, pariant diu café Larrx> d'Oie. entre l'automobile conduite par
sique
dit les enchantements de la l'oiêf
chanteur.
pine. en une allocution fort applaudie, que, une cinquantaine de membres de son propriétaire, M Jean Bergès, deMme Marthe Ingrand. de l'Opéra- qui assaillent les cœurs enfiévrés de
rappela la vie et l'œuvre d'Emile et la société, précédés de la clique du Ré- meurant, 62 rue dé Tournefeùille, et
Comique, a donné ensuite, une Classi- Magdalaine et du sacristain. C'est iS
de Gustave Duployé, dont la sténogra- veil Toulousain, dirigée par M. Riviè- celle conduite par M. Marius BourrloAs uraness
que exécution de l'air de la Comtesse. Vierge qui s'émeut en pensant au péril
hès, demeurant, boulevard Omer-Sarphie fête le centenaire.
re, gagnaient le terrain.
Son art du chant et le timbre délicieux de ses enfants... Délicieux tableaux oïl
feuille s trunest iels délivrés
L'orchestre symphonique « Ea ChanTon
De nombreuses personnalités, parmi raut, à Carcassonne.
933
sont
péier tiiuie=tre
de sa voix de soprano firent merveille Mazellier a mis toute sa sensibilité int>
terelle »,
sous l'habile direction de lesquelles on remarquait . M. Ribaute,
pour
BASKET-BALL
Dégâts matériels.
rirtrs 1933
M Melet, reprit ensuite l'exécution du président de la Fédération Bouliste dés
dans Cette interprétation ont lui valut sicale, tout le charme de sa pure mé— Le même jour, vers 10 h. 45, une
rim -s
Demi-finales. — Promotion
asBiirés
nés
iinnueili's
des
concert
agrémenté
par
des
partitions
tin
chaleureux succès et de nombreux lodie, toute son inspiration de poète de
Les
Pyrénées, MM. Clergue et Maurel, pre- autre collision s'était produite, place
Lors de sa réunion du 29 mars 1933, la rappels.
la musique expressive et P"re.
•-. rier et mari , portant en doperas, où nous eûmes l'occasion I sidents d'honneur
en ia
de la Fédération, Boguet, entre l'auto de M Emmanuel
îlable d'applaudir Mlle Bru. chanteuse lé
commission des calendriers a arrêté ainsi
La Vierge chante une prière, qu'envev la mention
Dans les steppes de l'Asie Centrale,
«retu
MM. Faubec, président d'honneur du Lestât, et la motocyclette conduite par
qu'il
suit
les
rencontres
comptant
pour
les
93,2 au 31 mal 1933 » sont L'ère, et Mme Patv. soprano dramati- Réveil, Bacqué, président, Galy, Dret, son propriétaire, M. Pierre Géraud, debelle et lumineuse page de Rorodine, loppe un chœur invisible d'une exqm*e
du te
demi-tinales
qui
auront
lieu
le
9
avril
1933.
fraîcheur.
Cette scène fut rendue avec
que
•
MM
Carrai,
baryton,
et
Berin
de
leur
péjinenj a l
ou résonnent les sons mélancoliques de
arrivi
Gélard, Larroque Sicre, Noiguès. mem- meurant, 27, rue Perchepinte.
AU Blacks Toulousains (1) contre vainnadoy, ténor, tous deux lauréats du bres du bureau, Dominique Rieu
date.
i
iité à cet
riodi; de
A la suite du choc, M. Géraud a été
et
queur du match U. S. Montauban-B. O.
assurés quand Conservatoire de musique de Toulouse. Pech représentant la municipalité, Du- contusionné à la jambe gauche.
aura (ou l
Les eni
Huesi, doivent
M, Bouas, 1 er prix de l'Institution bois, président de la société colomboIls ie s détiennent eux
Il a pu. néanmoins, réintégrer son Aspiran, à Lavaur.
Section A Toulousaine (1) contre F, O.
ans le
les dix premiers Nationale des Jeunes Aveugles de Pa- phile l'Express de la Patte-d'Oie,
donc déposer dans
de domicile par ses propres moyens.
ris exécuta brillamment, au piano, nombreux représentants
Piscénois (1) à Castres.
SS, ces
ces feuillets trimesjours d'avril K«3,
des sociétés
triels et carres nuuelles, au service dé- le » Nocturne » .en fa dièze. de Cho- boulistes de la ville.
(partémenlni de Nssuranees sociales. 3. pin ; une valse de Déodat de Sévérac,
M. Ribaute coupa le ruiban, qui interGROS RABAIS sur MEUBLES neufs.
lue du Poids-d -l'Huile à Toulouse, ou et « Jardin sous la Pluie ». de De- disait l'entrée du terrain, et on prit
Société d'Eduoatiun Physique de la Hte
bnssv
11
fut
chaleureusement ap- tout à loisir admirer la magnifique ins- Vente dir. Marre, 34, rue Sainte-Ursule.
dans un bnr*:ti de poste,
Garonne. — Les cours ont Heu le jeudi, à
Il est rari|ie!é que les < orresnondances plaudi.
tallation du nouveau boulodrome. Ves20
h. 45 au magnifique gymnase, rue MalLe
comique
troupier
Domingou tiaires, lavabos, n'ont pas été oubliés,
re'-nes par le ? rrvitPé départemental des
bec et le dimanche à 9 h. 30 au Stade CaAssurances soc , t lpa. sont admises n cir- égaya tout l'auditoire par son réper- plusieurs terrains ont été prévus. On a
larelli, boulevard Lascrosses (entraînèrent
culer en Panel is, . par la poste. * con- triie varié.
même établi un stade de basket-ball,
complet, théorie sur le tir, etc..) sous *a
Le soir, au Grand Hôtel, un bal des
dition d être expédiées à déonuvr-t sous
qui
attirera
beaucoup
de
jeunes.
direction de moniteurs civils et spécialisés
plus
brillants termina joyeusement
bande ou sous enveloppe ouverte.
M. Faubec. écoute modestement les
Le Conseil d'administration de ce groucette fêta. — F. A.
remerciements et les félicitations
qui
pement appelle l'attenton des futurs élèlui viennent de tous côtés.
ves sur la modique cotisation demandée,
LE DALA1TOUS
DEMAIN MARDI
L'inauguration consistait en une séqui est accessible à toutes les bourses, •S
A la Cà ière
rie
de
matclies,
qur
mettaient
aux
priMercredi
dernier,
en
la
salle
du
SénéRideau 20 h. 30.
Chez les \nci*nsComba'tants ses des quadrettes des meilleurs clubs, chal, la section des Pyrénées centrales c est-à-dire que les jeunes gens peuvent se " Bureau ?0 h.
LS PALAIS DU CINÉMA
faire inscrire dès maintenant chez le préMlle Y. BROTHIER et M. ARXOULT
DE L'UNION FEDERALE
jusqu'à midi, on pointa des boules, on du Club Alpin Français donnait une sident, rue des Lois, 32 bis tous *es Jours
JOURNEE DU DIMANCHE 2 AVRIL
de l'Opéra-Comique dans
réussit des carreaux. Puis eut lieu un séance de propagande.
de 12 h. & n heures ou par le secrétaire
Hier matin a été tenu, au théâtre du lâcher de pigeons, présidé par M. Duet
Le docteur de Coste, notre sympathi- général le jeudi au Gymnase, rue Malbec. ; LE PRÉ AUX CLËRCS
JSoits souun s heureux de constater que Capitole, un meeting de l'Union fédérale DOIS, président de l'Express.
que
et
dévoué
président,
faisant
part
à
H MM. BONNAUD, RTJBIO, ALBONY.
«eiiH journée, dotée d un temps Idéal, a été des Associations d'anciens combattants,
Jean
MURAT
d>«
Un banquet était ensuite, servi dans l'assemblée de la mort de M. Charles
B Mines Rhéna DIX, ALtSSEBEL
complètement réussie â tou s les points de organisé 8 la fois à titre de propagande
les dépendances de la maison de M. Fabre, professeur à la Faculté des
m
Le ballet d' « Hamlet 1:..
Vu*.
et pour fêter la croix de la Légion Faubec. Soixante-dix convives environ, Sciences et ancien président de notre
cluutot prend un mauvais départ dans d'honneur du secrétaire général de la
Cher d'orchestre
M CLUYTEN8
le Prix File Oro't. tandis qu'fechec, Anna j Féd 1-ration départementale, M. Marcel après être passés devant l'objectif du section du C. A. F., adressait à la
« LA FÊTE DU PRINTEMPS »
maître photographe Bedel,
de Cas&e- famille du défunt ses plus vives condoynicatse et Coq a <>r forment le peloton de ' Masson.
I»
Chef d'orchestre : M . COM BAUX
iaidit, prenaient place autour des ta- léciocss
tête ; en face, ïrHoii améliore sa position,
Fne foule d anciens poilus remplis- bles abondamment garnies.
%Mi«MwewMiiHinaiiHii
11
iniiiimi !
Il présentait ensuite le conférencier et
et puis prend le commandement, qu'il con- sait presque entièrement la vaste enEt c'est au son de danses modernes, faisait l'éloge du vieil esprit de respect
serve Jusqu'au poteau, malgré les efforts ceinte quand le bureau, composé de
ou de morceaux classrques. que le ré- des refuges, bonne et joyeuse camarade CO(| d'or, a ArmagnaeûUa et de t'ont- MM. Marcel Masson, Pichot, Delrieu,
puté vatel Labadie servit un excellent derie que nous ont légué nos anciens.
te B arrives dans cet ordre. Le» coium ssài- Viala prit place sur la scène aux acmenu, «r iosé des meilleurs Vins.
C'était à l'intelligent voyageur, au
re» agissant d'office, dl«lanrent Coq rt'or. cents de La ïoulousaine jouée par la
THEATRE DU CAPITOLE
Quant vint llieure des toasts,
M. courageux alpiniste et charmant confépour avoir coui^ ses adversaires l l'entrée Philharmonique.
Aujourd hui, reiache
Bacqué prenant la parole le piomier, rencier qu'est M. Bobach de faire conde, ia rtgn» d arrlté»
Après mie allocution de M. Carrère,
Mardi, à 20 h. 30, avec le concours de
Le Prix d Anglo-Arahes esr facilement Ba- organisateur de la manifestation, qui adressa des remerciements à toutes les naître au public toulousain un des plus
Mlle Yvonne Brothier et M. Arnoult. de l'Opersonnalités venues le matin à-l'imau- beaux massifs de la chaîne pyrénéenne
gne par lé.u-A, qui mène de bout en bout, présenta les orateurs et, notamment, |
Péra-Comique Le vre aux Glercs, avec Mme
gtuation du terrain, à M. Dussol, con- et de plaider la cause de la montagne.
irraleré les effort* iiu iiheval du baron Cas- M. Marcel Masson dont il loua ie déRhéna Dix, AJissehel. MM Bonnaud, Rublo.
seiller municipal, M. Avezac, avocat,
11 y a pleinement réussi. De raviscru et. qui ne. nutis iiiir-aît pas i>orter- tre-s bien vouement. M Delrieu prit le premier la
Alhony.
Le ballet d tlamlet. La fête du
qui s« trouvent maintenant autour de sants clichés représentant les jolies valson boni Saïrf, qui B * pa« tx\tii. trouve le parole pour retracer l'action de l'Union
PHnttmps.
lui. Un bei objet d'art est offert à M. lées de la région du Balaïtous, gaves
LE DLUS CHIC CINÉMA 0E T OULOL'-<£
nîoven de se Hf-biM iWSSer de «mi loikey.
fédérale depuis la guerre. Selon lui. Faubec, taudis qu'une gerbe de fleurs limpides bordés d'arbres vigoureux,
.leudi. à 20 h. 30. LaHtne avec M, Arnoult
Saute Ruisseau t-L'iiouvelle dfln* ie Prix St- file a loué un rôle primordial pour la
de l'Opéra-Comique. Le ballet Mas'raiarte
est remise à Mme Faubec. Et c'est ce ponts en dos d'âne avec, en fond de
Cypnen ses «tftotres hebrloinndali-es; Vorta/- défense des droits des anciens combatmoment, que M. Bacqué ohoisit f pour tableau, de splendides montagnes, vues
Samedi à W b. 30. r.ej VorV» de Hqnro.
venu trop tard, aurait, pu être plus dan- tants. Li vote de la retraite dont elle a
boire à la prospérité de la société et hivernales du Marcadau, impressionavec le concours rte Mme Rltter Clampi, de
gereux; Moutsl paraissait un moment de " i préparé l'élaboration. Et l'orateur inue tous ses membres actifs ou bienfai- nantes crêtes des environs de la brèche
l'Ooéra et rte l'Opéra Comique,
voir fournir la gagnante mais s effrondai 1 vite les auditeurs à se serrer de plus teurs.
Dimanche * 14 h. Prlnresse Czatitas.
Latour se succédaient sur l'écran.
a l'arrivée.
eu plus autour des dirigeants de ce
A 9n h. 30. r.e Pré aux Clercs,
M.
lUbaute,
en
termes
humoristiques,
Nous
pûmes
voir
l'abbé
Pragnères,
Le Prix (le la Pelouse e.»t pour (Jrand groupement.
retraça l'histoire du sport boules, et curé de Pierrefflte, disant la messe au
Lundi a 20 h. SI, Clôture rte la. saison,
Cirnr une facile victoire-, parti en tête, suiAprès lui, M. Viala qui en tant que rappela l essor pris par ce jeu à Tou- sommet du Balaïtous (3.140 mètres) et
Maname. Butle.rttq, avec. Mme Tapâles Isahg
vi mais non Inquiète pur Ex-Valo. le cheval délégué de l'Union fédérale a pris une
en moins de 15 ans.
Location ouverte pou r lundi et mardi.
au sommet du Mont Perdu, à l'occasion
il" »l. ne-nech n'a inftine i>ns a s'employer. part active au « rassemblement • in- i louse
M. Bleu réciama le nom de Mi. Fan
Courte très Intéressante dans l'Kxiiren, ou ternationul des A. C. qui a eu lieu ri bec. sur le terrain nouvellement créé. du quatre-vingtième anniversaire du
docteur
Dupin.
de nombreux partants. .1 MU beaucoup Iné- Genève, le 19 mars dernier, donne des Et. M Dussol promit le concours le
MUSIC-HALLS ET CINÉMAS
Dans un récit net, vif et synthétique,
dits et de modèles fort différents, ont loiir- détails sur cette manifestation ou, dit-il, plus abso'lu de la municipalité.
dont il accompagnait la projection de
nl une hnnne vitesse: d^s le début. Mes- les anciens combattants de tous les
M Faubec dit son espoir de voir le ses merveilleux clichés, M. Bobach nous
NOUVEAUTES, — Ce soir à 20 h. 45,
(tum et II'"'/"". s'CItinveii' en téte. les au- pavs, angoissés par la situation ac- Réveil entretenir de cordiales relations
Gâta des Veaettes.
ties chevaux groupé», a l'entrée de la li- tuelle, dégoiités des querelles byzanti- avec tous les clubs boulistes. Il précisa conta ses premières tentatives infructueuses
et
sa
réussite
finale
au
Balaïdroite lèrlcba énieree ec. traîne dans une nes de la Conférence du désarmement, aue toute préoccupation
de profit ou tous.
LES VARIÉTÉS. - A 15 heures et a
jolie Eirrivee, A noter la courte de Ovin ont voulu clamer leur volonté de paix
tout intérêt politique avaient été écar2i heures
I.' Homme a VHtspan,,
Enfin, le docteur de Coste se fit l'inie. venu très fort (tans la II
Certes, il y a eu diversité de ton et, tés par lui. et que dans Ja réalisation terprète de tous en demandant au connesle.
ime d'arrivée et qui aurait fait probable d'accent dans les discours qui ont été de ses ptojets, 11 n'avait eu en vue que
PARAMOUNT.
spectacle perma
férencier de revenir parmi nous et en
ment bien nffrru si son Jockey n'avait pas prononcés A Genève, le 19 mars, mais le bien de ses concitoyens. Un double
neut a partir de 14 heures, soirée \ n peu
lui adressant ses plus vives félicitations.
l'accord s'est fait rependant sur 'e ban salua ces paroles.
perdu son Mrler.
res : Le < hasseur de (Uei Maitma.
- A. DEBUOUCH,
23 BOULEVARD CAMMOT
Ne réuni.-.- u. i que tioi« partant: le stee respect des traités, 1 égalité des droits,
Après lui. parlèrent encore MM. Maupte-cliase «'est uas'é entre \ml du Peuple la nécessité de résoudre les conflits Par rel. Lacroux et Fabas- ce dernier au
TOULOUSE
TtÉL.
Q55
TRIANON, — A 15 heures et a 21 heu
FACULTÉ DES LETTRES
la nouvelle acquisition de M de beynes et l'arbitrage obligatoire, la rédurtinn si- nom de la presse toulousaine, assura
res : Topie. histoire marseillaise.
• A H h. 15 »
G ALLIA-PAL ACE.
Moilnm A Tir. Uni rlu Peuple renie le Ira n multanée des armements et ln suppres- le Réveil de notre sollicitude
à son
15 h. 30 et à 21 heuies Les vignes du s"
Cours publics
,uai« saute fort mal accrochant buts les sion des fabrications de guerre.
ROVAL-PATHE. — A 15 h. et à 21 h., qneur, avec Victor Doucher.
égard.
obstacles
nnnrttr parvient r»' codant. »
M. Viala a mis en srnrde les ancien*
La Marche au Soleil
document sur les
Après le banquet, le* chansons. Elles
M fl Jorre. professeur au Lycée de
'...1 lu hftchVl n» "-coond tour le train combattant:: contre les tentatives faites durèrent fort tard dans l'après-mldl.
camps nudistes en Allemagne
En soirée à 20 a, a.
Toulouse,
charge
de
conférences
â
la
OLYMPIA. <1
s : acréntuf et l'l«ne Mj^WW P»t*« "'" pour les diviser.
( frnrs loêui.
La soirée fut consacrée a un bal, au- Fa'-ult". fera, mercredi '. avril, a I LINOLEUM itALATCM, TOILES siilernlè
CAUMOMT-PALACE, - A 3 h et 9 h.,
feice entre rpr
» De l'autre Côté de la frontière, a-t-U quel prirent part les habitants rie la 17 h .lit, dans le grand miipliitliéatre de ; RÉES, l.e-, mei: lent es qualitéâ les plus
i un
Dm
cosMoanAPH. — Ce soir. à a ai
haie ('( , neii''.'u
dit, il y a des hommes qui sont bridés, patte-ri'Oie, et qui fut très goûté de la Faculté, un cours public de gêogra- bas prix Prime p. tout achat. Ci. S , t'Bfttant, de ma sœui, avec Bach, ét Attrac
onserv
tion».
phie
des
Pyrénées
sur
le
sujet
suivant
:
19,
r.
des
Puits-Clos,
pl.
St-Pantaléon.
Le Bossu: Jeunesse, finn suédois.
pçv svnn'av.
qui n'ont pu se rendre à Genève parce tous — G. P.
jusqu'au pote.
« L'aménagement hydroélectrique des i
lae s pyrénéens • (Projectit ns I
TOULOUSE
U
JOURNÉE
Comités et^Groupes
DANS NOS SOCIÉTÉS SAVANTE*
Courrier Artistique
Sports etPréparation Militaire
Spectacles d'Âujourdbui
Cours et Conférences
THEIT 'E DU CAPITOLE
Marie BELL
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GMJKOM? MU
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«
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3&é00
i4"6r 44300'
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NICOLE&DENOÉ
L" C
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Dernière Minute
Autour de la Loi
* ^ mode
printanière
de Finances
L
Toutes les pailles :
Celtagal, Bakou, Panama,
écossais, néorah, etc.
Toutes les teintes :
l
Beige, grège, gris, argent,
capucine, rubis, etc.
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Paris 3 avril.
Fous la présidence de M, Sénèze
(Puv-de-Dôme), s'est réuni, hier, au
Conservatoire national des Arts et Metiers, le conseil national de la Fédération générale des fonctionnaires.
M Charles Laurent, secrétaire général, a retracé par le détail l'action menée par ie bureau fédéral et les organismes directeurs de ia Fédération
avant et après le vote
douzième '.ia
mars
Il a spécialement insisté sur les circonstances du vote do ce texte législatif Lin certain nombre de délégués
n'ont point caché leur déception de
l'attitude de plusieurs députés des par.
tis de gauche, notamment du parti
soc.'aliste S.F I.O.
Pans une résolution qu'ils ont votée,
les fonctionnaires ont déclaré n'accep'
ter aucune réduction de salaires
du
Les Problèmes
[ondiaux
L'OPINION DE M' HERRIOT
Lyûn, 3 avril..
Présidant l'Union des mutilés et anciens
combattants
du
Rhône,
M.
Edouard Herriot a gémi
suivant son
habitude sur les piètres résultats, de
rue d'Alsace-Lorralne
sa politiq-ue.
« La France, a-t-il dit, en pensant
probablement à lui-même, a largement
lait son devoir.
« Quand on songie à tout ce qu'elle
a
accordé pour la paix, tant par l'évaGOURONNES MORTUAIRES <i. Costes,
cuation du Rhin, qu'au' titre des répa26 rue de Remusai. Choix a domicile rations, et cela au nom de la justioe internationale, on doit reconnaître
que
TELEPHONE
3-13
nous avons eu l'esprit exrêmement large. Nous n'avons pas trouvé les mêmes
dispositions chez les autres.
K Chez nous on discute avec vivacité
et parfois avec passion, on n'y rencontre pas certaines violences dont quelques peuples nous donnent en. ce moAVIS DE DÉCÈS
ment l'attristant spectacle.
« Je ne suis ni optimiste ni pessimisMadame Guillaume SÉRAC | Mon- te, pourtant j'ai eu deux plans tués
sieur et Madame NOYER, née SÊHAC, sous mol.
et leur tiis Jean ; Monsieur et Madame
Et M. Herriot lait le récit de ces
ROLLAND, née SÉIL\C, et leur fille deux morts.
Parlant du projet de M. Mussolini,
Lucile • les familles RODOLAUSSE,
PEYRANNE,
BATAILLE,
DED1EU, l'ancien président du Conseil déclare
RIEUMAILHOL, ROLLAND, parents et I en matière Je politique extérieure.
« Je suis aussi républicain et démoalliés, ont la douleur de vous faire part
de la perte cruelle qu'ils viennent crate qu'en politique intérieure. Il n'y
a pas pour mol de petites nations. 11
d'éprouver en la personne de
n'y a que df-, nations avec des droits
Monsieur Guillaume SERAC
égaux et c'est à l'égard de la plus
faible
qu'on
doit avoir le plus de
Caissier à la Compagnie Française
scrupules. La procédé
qui
prétend
faire régPr le sort des petites puisleur époux, pè*re, beau-père, grand-père, sances par les grandes, c'est à mon
beau-frère et cousirr pieusement décédé avis, de l'impérialisme. Le droit des
à l'âge de 67 ans, et vous prient de vou- peuples à disposer
d'eux-mêmes j il
loir bien assister à ses obsèque, qui au- est conforme aux principes de 1789. Si
ront lieu le mardi 4 avril 1933, à 10 heu- un peuple veit lui-même des changeres, sur la paroisse Saint-Aubin.
ments, c'est différent. Je l'écouterai.
On se réunira à la maison mortuaire, Si l'on veut refaire la carte de l'Eu7, rue Caraman.
rope Je réponds : mais yous l'avez
H ne sera pas fait d'autre invitation. déjà refaite en 1919.
« Je ne suis ni optimiste ni pessimiste,
conclut le président Herriot, je suis paPompes Funèbres Municipales
rue Pargamlnlèree, Toulouse. Tél. 11-46 tient. Je crois que le problème de l'organisation du droit public est du même'
ordre que celui de l'organisation du
droit privé. On est arrivé à ce dernier
résultat par des tribunaux et des sanctions. Ce fut un long travaiL J'entends
critiquer la S. D. N. sur ses lacunes,
mais nous n'avons que trois solutions •
D'abord l'isolement absolu, c'est le thè.
Monsieur et Madame Paul LANDET, ine du nationalisme intégral ; en second
née BASQUE, et leurs enfants Antoi- lieu, il y a les groupements de puissannette, Alexandre, Francis et Régine ; ces, ce fut la politique européenne du
Madame veuve Marie ANTIC ; Madame seizième au dix-neuvième siècle ; elle
Madame veuve Marie ANTIC et ses nous a jeté dans les guerres les plus
enfants ; Monsieur et Madame Antonin terribles de l'histoire. Enfin, il y a la
ANTIC ; Monsieur Jean SOULIGNAC ; politique de la S. D. N. et de la diploMonsieur et Madame Philippe SOULI- matie autant que possible publique. Ce
GNAC, et leur fils ; Monsieur et Ma- système a ses inconvénients, mais je le
dame Paul RAMOND, et leurs enfants ; tiens encore pour le meilleur, et vous
les familles LANDET, ANTIC, PREI- avez raison de le défendre. »
GNAC et SEMPE, très touchés des
marques de sympathie qu'ils ont reçues à l'occasion du décès de
SOUSCRIVEZ SANS FRAIS â la
Z
«SOCIETE GENERALE:
*
36 ru e d e Metz, et 60,
bne rare perfection par tous les Interprètes et nos élèves du Conservatoire
Chantèrent ie chœur céleste avec une
exoetleme justesse et une parfaite cohésion.
La Troisième Image nous ramène au
Souvent où Magdalaine et Théophilmreviennent repentants et confus, sans
ivoir été au bout de leur faute.
La View au Lys enchaîne les dia
ble*.. Magdalaine éPve au ciel une
fjnère de repentir tandis que Théophi
lus revit son âme de carilloneur. La
pièce se termrna en un maanitlyue
tlleluia ou M. Mazellier a mis avec
talent tout ce que peut offrir de ressour
tes un orchestre, l'orgue et les chœurs
Final puissant et beau qui soulève 1 enthousiasme et sont a l'auteur et à -es
Interprètes, de longues et unanimes
ovations.
...
Je réunirai dans un éloge cpllectii
tes précieux collaborateurs dont M. Maîellier avait su s'entourer.
Mme Marthe Ingrand, dont le joli
lalent de chanteuse et le timbre déllsieux de la voix, apporte un charme de
Mus aux mélodies de Mazellier. a dou
plement le droit d'être heureuse du
wccês de Matines d'Amour, car la char
Suante cautatrice à épousé notre coin
Datriote. dont elle fut souvent 1 interprète, notamment dans le Pater, cc-vi rut
ibué aux défuntes Variétés.
M Eug. Sizes est trop connu pour
ru'i'l soit nécessaire de détailler son
interprétation musicale. II fut parfait
te luête déclamation, de voix et daufc'ité.
M. Koublzky, difâ applaudi dans les
toétodies russes donna toute sa valeur
Lusicale au rôle de Théophilus et fit
fciprécier la sûreté de son organe, qu'il
trmduit avec une bonne méthode.
honore et étendue, la voix de Mme
lèris lui permet de soutenir auec talent
e personnage de Magdalaine.
«'M .louanneau, I/ïullier.
Coste et
panelphe apportent un concours très
ipnréeié à cette audition.
M Mazellier dirigea son œuvre et
l'orchestre en donna une magistrale
fc: édition.
L auteur fut Ovationné et rappelé et
IfMisies chœurs et orchestre méritent
fes plus sincères félicitations pour le
loin qu'ils apportèrent à la présentaSon de l'œuvre de notre éminent comfcitriote.
MM. Guimot, Tournit. Lacan et Roulteau, ne doivent pas être oubliés dans
te coyêrt d'éloges, pour le soin qu'ils
portèrent
à la préparation des
tiœurs.
S
p, BOUSHA'JD-BOULO.
Reniements et Avis de Neuvaine
Madame Veuve Antoinette BASQUE
Née ANTIC
UAnnée Sainte
LE MESSAGE DU PAPE
prient toutes les personnes qui se sont
associées à leur deuil de vouloir bien
AU PATRIARCHE DE JÉRUSALEM
trouver ici l'expression de leurs sinJérusalem, 3 avril.
cères remerciements.
Un avion spécial, apportant le mesIls les prient de leur faire l'honneur
avec M. Georges Thiil
sage
du
Pape
au
Patriarche
de Jérusa
d'assister à la messe de neuvaine qui
lem, à l'occasion de r ouverture da
sera
célébrée
le
mardi
4
avril
1933,
à
L'abondance des matières nous oblige
l'Année Sainte est arrivé hier aprèsremettre à demain le compte rendu 9 h. 30, à la chapelle des Capucines midi, à l'aérodrome de Ranileh
e la représentation de Lohengrin ai-'ec (Côte-Pavée).
Le chevalier Ferrata, porteur dru mes.
On se réunira à la chapelle.
: ténor Georges Thill.
sage pontifical, a été reçu par le PaIl ne sera pas fait d'autre invitation.
triarche et les représentants de l'Egli'
Côte-Pavée, 9 ter.
se catholique de Palestine.
THEATRE DES NOUVEAUTES
Une lettre des chevaliers de l'Ordre
Pompes Funèbres Municipales
du Saint-Sepulcre, écrite en français,
« Le Gala des Vedette* *
M, rus Pargamlniêres, — Tél. 11-40
latin et italien, avait également été
adressée au Patriarche.
Vraiment U aura été rarement donné de
Cité du Vatican, 3 avril
juniYolr applaudir un programme aussi coL'affluence des fidèles aux portes
pieux, aussi formloahle. Ea effet c'est un
saintes
des
quatre
Basiliques romaines
vrai gala de vedettes, c'est une vraie pluie
a été considérable, en ce crémier Jiour
Ifl'étoiies. Ce irogramme extraordinaire pourdje l'Année Saints.
Wit être Intitulé également le gala de 3fl
On évalue à plus de cinq cent mille
phanson car c'est surtout de chanteurs qu'il
le nombre de s fidèles, tant Romains
composé.
Madame James REGRAFFE, née de que pèlerins, venus
des autres régions
Pour la première fol s & Toulouse nous au- FAGES de CHAULNES ; le s familles
rons le plaisir d'entendre deux grandes ve- RAT\BOUL, SOLOMIAC, LËZAT, de de l'Italie ou de l'étranger qui ont
Bettes du diegue . Berthe Sylva et Grandtni. FAGES de CHAULNES et de MIRIBEL franchi, hier, le seuil des Basiliques
Berthe Sylva, quel nom évocateur. Il est ont l'honneur de faire part à leurs de Saint-Pierre, de Saint-Paul, de Sain.
Vraiment populaire parmi les amateurs de amis et connaissances que le service teiMarie-Majeure et d 9 Saint-Jean-deJtfionos, ca r bien rare est celui qui n'a pas de neuvaine. différé jusqu'à ce jour, Latran, où le rite solennel de l'ouverture de la porte sainte avait élé céBn disque de Berthe Sylva.
pour le repos de l'âme de
lébré la veille.
Orandlm sait vous conquérir, dés son
La journée du Souverain Pontife a
jsritrée. par sa belle présentation ' et par sa
Monsieur James RECRAFFÉ
été également bien remplie. Pie XI, que
Bélle voix, qui vous enchante.
Chéry Kobler est une fantaisiste extraor- sera célébré le mardi 4 avril 1933, la longue et exténuante cérémonie de
dinaire que Jee Toulousains connaissent déjà dans la Basilique de Notre-Dame-de-la- samedi ne semble nullement avoi* fatigué, a reçu en effet plusieurs miljusque sur la mêm e scène des Nouveautés Daurade, à 9 heures du matin.
liers de pèlerins. Hier soir, notamment
«le joua, il y a trois ans, le rôle de Nail a d'abord reçu dans la cour de Saintl
nette dans ,, No-No-Nanette »,
| Damase. près de 3.000 fidèles venus
Darceiys, de l'Empire de paris, est un
pour la plupart des provinces italienWntaisiste de classe qui sait choisir son
nes. Puis il a reçu dans la salle ducale
wpertoire où il sait emballer son publllc.
le pèlerinage milanais que guidait le
Mai» ce n'est pas tout, voilà encore une
Amor>
cardinal, archevêque Schuster^
Odette
Je talentueux comique Chaîne ae s chansons Interprétée par 'Amer
w une composition nouvelle avec trans«ormation et... matériel.
— """"TUT^n^siisisisiisisuMsismim
Mais ce n'est encore pas tout, le programme comprenant Un délicieux ténon<) Rossl a la V(>1
fil°,Ti
* captivante, puis
uenevièvp irvln, une transfuge de la danse,
H AUTE-G ABONNE
„, '. qm av <* sa gentille voi x sait faire
plaisir. Deux attractions complètent, ce proGrenade-sur-Garonne.
*ra mm e copieux ; Dora WiUenberg and
LE TOUR DE FLANDRES
ner
Marché du 1er avril.
« V. , l rtans SRS exercires phénoménaux
Bruxelles, 2 avril.
Cours pratiqués :
«.de
Moustiers, deux acrobates casVoici le classement du Tour de FlanBoeufs de boucherie, 1er choix, 2 50 à 3;
2' choix, 2.50; vaches de boucherie, 2 fr. ; dres :
atteiage, 4 et 5 ans la paire, 6.000 à 7.009:
1 Schepers, 6' 51" : 2. Tommies à
bouviiious de 2 à a ans • 31)00 à 4.000 !*.; une roue ; 3. Romain GhySSel à demiporcelets, l'unité. 200 à 300 fr.
longueur ; 4. Deloos, même temps • 5.
Poulets, gros, la paire
30 a '0; poulets Lambert : 6. Luyet ; 7. Decroix ; 8 Le.
35 â 40; pintades, 40; dindes, 70 à 80 ; din- maire ;
Sylvère Maes ; 10. Rebry.
dons. 90 a 100; Oisons, 25 ; lapins domestiques, 10 à 12 l'unité œufs, 3.50 la douzaine.
Blé, 10 ; avoine, 42; mais, 58; orge, 40 ;
haricots, 110; pommes de terre, 35 Je tout
l'hectolitre.
Artichauts, 1 fr. l'unité; asperges, Wctoê;
carottes, 2 fr. ; salsifis, 250; poireaux. 1 fr.
rauis, I fr.; le tout la botte; au, s à 8 le
TENTATIVE YAO
paquet; choux pommés. 1 â t 50 l unlté ;
choux-fleurs, i fr. l'unité; salade chicorée,
Paris. 2 avril.
A l'aiitcdrome de Montlhéry, la
I tr. l'unltt; salade laitue, 0.75; bananes.
chou
x
,1
« Petite Rosalie » a battu à ce 'lotir
0 80; oranges. 0.60-, citrons, oso
trois records internationaux ; 40.000
planter, IncOtês.
km;- en 42'J h. 7' 20 ' 87/100 (moyenne,
Viandes et salaisons, : Bjûf, ire cat.
^SIME OÉPOT : U, m. S» RocS-d.,.Mlnim...
14; 2» rat. : Il ; 3- cat.
8, veaux, ire rn 93 l«n, ','l.T, ; «5.000 milles en 431 >
-°- 39, ru» *>!,.,«». - fOlHOUSE _olégotie : IS; 2" rat. 14: 3« cat : 10 : mou- 30' 41" 30/100 (moyenne, 93 km. 2/
ton ire lîai
18; *• cat. : 10s 3' cat. i 10; en lri leurs, 40.281 km 209 (nioyeii
LOS km. 244).
'
saucisse fraîche : 18 ie tout ie kilo.
« LohengHn »
Î
AVIS DE NEUVAINE
Foires et Marchés
| CYCLISME
l
rADTOMbÏÏUSMEl
JEU DE DAMES
FINS DE PARTIES INSTRUCTIVES
I. Par Bolzé (France). — Blancs :
13. 14, 39 ; Noirs : 15—38. Gain par
13-0 (28-32), 9—4 (32-27), 14-10 (3742), 4—31, gain dans toutes les variantes.
II. Par Fabre (France) : Blancs : 16,
£8, 37 • Noirs : 6, 13, 15. Gain par 37—32
(13—19), 32 -28 (10-24), 28-23 (15-20).
25x14 (24x30), 14—9 (30-34), 9—4 (34—
39), 4-27 (6-11); A. 16x7 (39—44). 2749 (44—50). 7-1 (50-28). 49-44 (28x50),
1—6 gagne.
« A • (39-44), 27-22.
III. G.-L. Gortmans (Hollande). —
Blancs : 6, 28, 44, 45 ; Noirs : 29, 30,
35, 43. Gain par 44-39 (43x34), 6-1
(29 33)
A, 1-Uo B (33-22), 40—44 (22—27),
44-49' (30-34). 49-21 (34-39), 21—27
(39-44), 27—22 (44—50), 22-6.
c A », (35-40), 28—23, 1—23.
« B >, 40-45 (30—34); les Noirs annulent.
IV Docteur A. Molimard — Blancs :
23, 27, 37 : Noirs : 16, 20, 26. Gain
23—19 (20—25), 19-14 (25—30), 14—10
(30—34), 10-4 (26-31); A-B, 37x26 (1621); C. 27x16 (34 x 39), 4—22 (39—43),
22—31.
« A •, (3439), 37—31 (26x37), 27—21
<16x27). 4x34.
« B », (16-21), 27x16 (34-39), 4—22
(39—43), 22—31.
c C », (34—39). 26—21 (ad libitum),
T7-22.
V. René Poiroux (Suisse). — Blancs :
10 (dame), 19 et 29 (pions); Noirs : 36
(pion). Gain par 40-49 (36—41). 49—16
<41x47).
A, 16-2; . A », (41-46), 29-23 (ad
libitum), 16—32.
VI. Van Glinstra (Hollande). —
Blancs : 24—30; Noirs : 13—18.
(A) , 24—20 (18-23), 20—15 (23—28),
15-10 (28—33), 30—35 (33-39), 10-4 ;
(13—19), 4—10 (19—24), 10-15, etc..
(B) , 24-20 (3-19). 20-15 (18—23),
15—10 (23-29), 10—14 (29—33) T 90—25
(33—33), 4-10 (19-24), 10-15. Les
Blancs doivent Jouer 30-25 au moment
opportun, sinon les Noirs annulent
24 -20 (18-23), 20-15 (23-29), 30—25?
(29-34), 16-10 (34-40) remise.
(C) , 24-20 (18—22) T 20-15 (22-27),
15-10 (27—32), 10-4 (13-19), 4—10 (1924), 0x 37 (24 x 35), 37-23.
VII. Feu J. Bourquin (Suisse). —
Blancs : 16 (dame), 22 (dame) : Noirs :
86 (dame), 30 (pion). Gain par 22—13
(35—49) A. Les Noirs perdent ; « A »
(30—34), 16-2.
VIII. ' Artuphel (France). — Blancs :
7 (dame), 45 et 50 (pions); Noirs : 24, 32
(pions). Gain par 7—23 (32-38), 23—37
(38—43)
A-B. 37—48 (43-49), 48-30 (24x35),
50-44 (49-40). 45x34.
« A ». (24-30), 50 —44 (38-43); (C).
44—39 (43x34), 37-28 ou 48
« B », (24—29), 50-44 (29 -33), 37-48.
M C », 30—34 ou 35), 37-48.
IX. Barteling (France). — Blancs :
85 (dame), 24 (pion): Noirs • 15, 32
(pions). Gain par 25—43 (32—37), 43—25
(37-41) f, 25—14.
X. Antaleidas (Haïti). — Blancs : 5
Sdame), 16 (dame), 22 (dame); Noirs :
18 (dame), 25 (pion).
Gain par 16-38 '25-30); A, 22—39
188x34), 38-24 (30x19), 5x45: « A »,
48-26). 22—9 (25-30) forcé, 9—3 (26«) forcé, 3—26 gagne.
damiste de faire abstraction de préjugés individuels ou même de compro- ré les assauts répétés ne Venir, e it
mis collectifs et de venir défendre loya- disposé à la laisser échapper
lement à Toulouse, les 16 et 17 avril, les
Voici le classement de s dix 'premiers i
couleurs de la Fédération damiste du , . 1 Molmerut ; ,2. causse
r t>é«m a' :
Sud-Ouest, hier naissante, aujourd'hui
rayonnante d'une activité oui la place |7 H Cauhéu ; s. (J. c.rotz • «) jardai. '•
Jar.-iat, ,
au premier raiiu des Fédérations fran- 10 CombOUI.
çaises.
(Coininunrqué par le Damier Poulou
u"
Si certains sacrifices moraux sont sain).
nécessaires, le demanderais aux intéressés qui hésitent encore de ne tenir
Marseille - On nous annonce rie
compte que de l'appel qut leur est fait, Marseille, la réuovatW du > Damier
leur geste aura, de plus; une reconnais- d'Isoard » siège social : Uar-Taba.-s
sance encore plus crrande.
9, rue d'Isoaid.
v
*'
Le Jury sera composé de deux memA cette occasion, une beJi e réunion a
bres titulaires par Fédération et de eu lieu a, laquelle assistaient MM ài.lr.
deux membres suppléants avec voix dano président de la F D.s E.;' Girard
consultative.
vice-président ; Reibauri
sécrétai r Les parties commenceront à 9 heures Collet, président du Damier de la Plai'
et de 14 heures à 19 h. 30.
ne : Mlles \ifcy Louise, Antoinette \ aL'équipe marseillaise arrivera à Tou1VimeS
Wv\î
^«W. lierguérj et
louse samedi 15 avril, a 16 heures.
Le Comité organisateur s'est assuré
v.oliet, avec sa maîtrise i.ahitneua
les éminents services de MM. Joseph âgtia deux pavlre.s rinnUMnées Mme
Bayès et Roselli, le grand spécialiste M rla se distingua une 'ois rl ^lns eu
des organisations irréprochables : c'est louant à. l'avsugie et furent e 'rès apv
d'ailleurs à, l'actif trésorier du Damier plaudis
Phocéen que Ton doit l'organisation
Au « D.unier Baille » Collet laioait.
du tournoi de l'Exposition de 1922 et du une simultanée d? dix sept -.arties nve C
tournoi du Damier Phocéen de lois *t ie résultat d.- \A e'ijrnées et 4 ne Mué» .
qut réunit MM Springer Bonnaid, Ta G:orcelli :'a imité a.ec onze "années'
bre, Bélard et Ricou.
une nulle et ciliu, eerd"cs
*
Nous apprenons avec tristesse p- rri< rt
L'AUDE
de M Gaston lieudin, résident «'u
Provençal problémiste -'mérite
J'ai dit, lundi dernier, que l'intoxica- Dernier
d'un ouvrage dn Jeu de liation damiste (pour employer un terme etnesauteur
qui lait encore utorité
que Je tiens de mon ami Gtot?, chamNous
présent
«ris à- sa frrrulle P t au
pion de Toulouse), semblait gagner tout Damier PruVetWai
nos respectueuses
le département de l 'Aude, je n'exagé- condoléances.
avons eu Carcassonne. Coursan Salles
Castelnaudaru, qui s'apprête a entier I Arcachon
_
prochain
dans l'arène et Limoux, qui semble i 9 avril aura lieu a uDimanche
siège, de P A., café
bouger un peu sous l'activité de M. I d" Commerce uîà i r iicunfi e arnica le
Victor Richou. Mais l'effort que vient eJ>t'e te Dan.ièr
délais et 11 Damier
de
faire une
le . SAet.on
Damier ^,„Narbonnais,
. en I A-frachouiiais.
I,'éei,.pe'
l.;.i(lelais
HR . corn
1
créant,
T,Ï;...~
À
—
»,,..
...
....
créant
une section
damiste
à Saint- I prendra
MM Cartier Triffnn uipde
Laurent-de-la-Cabrerisse avec M Paul viil , Pigot et Thitrée ; MM. 'ionnes
Verdale comme chef de nie, et a'vinas- et Darrignu sont «gaiement pressent. s.
san, avec MM. Martin et Aldebert comAn rlass. .nent mobile : M Be v ('2 e )
me leaders, et qui comtie déjà 14 mem- prend
la place dj Mariu '9e ) • Roriiibres, mérite une mention toute spéciale gtics (13"', prend la place de Rcv (9M,
et Je suis heureux de présenter en mè
'.e tirage au s rt des lots o'ferts a a*
me temps que mes félicitations la re-| s olutlcnnîstes du i robléme n* 60 *>OK
connaissance de la F. D. S -O. a. M L'Enfant e favorisé d'utie'ea.sse d'huîJean Maux, l'actif et dévoué secrétaire tres MM Loi sel à Aiimale «eine-Infégénéral du Damier Narbonnais. Nous rieure) et, Farenc â Mèze Hérault) '.'n
croyons savoir que l'organisation du nprnnement de six mois au Phare
championnat de l'Aude actuellement, en d'Arcachnn
au Havre (Sèinêcours et que nous devons à MM Maux Lnfêrieure) etM d Valin
un abonnement r'é ir. is
et Rabonl, n'est pas étrangère à ce mois à. la Revue
Française du Jeu do
renouveau d'activité départementale, Dames. M. Pignon, à Amiens .Somme).
qui place l'Aude au premier ransr des
départements damistes du Sud-Ouest et
A NOS l ECTEtJRS
qui l'élèvera bientôt au premier rang
des départements français.
Prière d'envoyer problèmes, solutions
'.••juimunicatoins et abonnements a M, ,
Emile Cros. 4 ru* Clauzel, à Ton V m se.
NOUVELLES
\l 'Onnement a la chronique .tanner P\
Toulouse, — Après le championnat Echecs », de i » r xpress du Midi » ;
de Toulouse l'activité au Ramier Tou- un an u>? nu-iêros), 15 francs ; étranlousain reste toujours aussi vivante.
ger, 28 francs.
C'est maintenant le tableau mobile
La Pev .ie Fracç.al e n T °n d--5 ".'im ^g,
qui est à l'ordre du jour, une heureuse est en vente à 'a librairie Richard. 20,
modification ayant été apportée à la rue l.afayette, à Toulouse ; 2 ' ro la
façon dont se disputent les défis « en numéro.
une seule partie au lieu de trois aupa-
PROBLÈME H" 119
|8> T. "Bayes, en jouant contre Cau~ist,
président du Damier Toulousain
ïlanct : 19
Koirt .- 13
Chronique n* 518.
3 avril 1933,
Prool. n' 1.472. — Easfer.
'(l w pr. Brit. Ch. Fed, 1931-32)
BLANCS : 10
g 4 - g 5 18 F é 6 — tf 4
D d 1-— f 1 19
Bien maladroit
C x g. 4 +, etc..
NOIRS : 9
serait
19.
h x gf
19 F g 4 — é 2
D f 1 — c 2 tO D d 7 - i 5
R f 2 — g 1 21 C!6-ûï
Se résignant non seulement à la perte)
du pion é 4, mais encore à, l'échange
des D., ce qui équivaut à la capitulation.,
U fallait essayer 21... F f 3 ; 22. f *
f 3, é x f, et les Noirs ont encore <
ques flèches empoisonnées à leur disposition.
D
C
C
C
T
T
les Blancs Jouent et gagnent le pion
PROBLÈME N° 120
par Camus, du Damier Amiênoii
ru
a
t
c
o
e
»
go
—
2xé
2 x
4 —
3 —
1 2 x
4+
é 4
g 3
é 2
h 2
é 2
22 D f 5 x é 4
23 R é S - é 7
24 T a 8 x h s
25 d 3 x é 2
26 H é î - f 7
27
Ainsi, le formidable centre des Non,
a complètement disparu;
MAT EN DEUX COUPS
Probt. n' 1.473.
g
d
é
g
h
h
Etlemian.
(4« pr. G. C. déc. T920)
T a 1 — d 1
F ê 3 — f 4
R g l — f 1
T d 1 — d 5
F f 4 — u A
b 2 — -b 41
27 T h 8 - é 8
28 C d 7 - é h
29 T é 3 - é«
30 B t 7 - K «
rt R g. 6 — , 5
32 T é fi - é 7
33 Aba nddnnerit.
Blancs (8) : R a 6, D b 6, T é 4, F b 8
et h 7, C c 3 et « 8, P g 3.
(D'après commentaires
Noirs (9) : R f 5, T g 5 et g 6, F f 8, wer, m l'Echiquier.)
C c 4 et h 5, P d 7, g 4 et g 7.
Mat en deux coups
de Tartako»
ÉCHIQUIER TOULOUSAIN
Réunions dimanches et jours lêriés,
à 14 heures, au siège social, cafA dix
Grand-Hôtel, rue de Metz, et tous ies
soirs à 20 h. 30. an en'* Continental,
Blancs (7) : B h 4, T é 6 et é 8, F a 1 32, boulevard de Strasbourg
et a 2, C é 1, P é 2.
Peux tournois sont en course : TourNoirs (8) : R f 4, T d 7, F é 3 et h 1, noi A pour le championnat de Toulouse
C g 8, P f 5, g 3 et h 6.
e.t Tournoi B.
Adresser les solutions des problèmes
Mat en trois coups
parus d"- le moi- p.ècédmt, en une
seule fois, avant '* 1S dn mni= courant.:
PARTIE N° 43S
Adr*sse- la correspondance A )' « Ex»
(Jouée dans le match Spieimann-StolU, oress d" M.dl ». < t indiquant sue
i'adrfcsse : i L .brique des Echecs •.
à Stockholm, 1932)
Probl. n" 1.474. — Zimmermann.
(Neue Zûrch. Zeit., 1932)
Les Blancs Jouent et gagnent
Problème primé par le Damier Arcauhonnais. Deux caisses d'huitres, un
abonnement de six mois au Pftare
d'Arcachon, un abonnement de trois
mois à la Revue Française du Jeu de
Dames seront tirés au sort parmi les
sclutionnistes de ce problème ; de
même, ces derniers bénéficieront d'une
réduction de 2 francs pour s'abonner
È, 1 Express du Midi pendant le mois
d'avril.
Solution du n' 114 (Scouppe) : 34—29
Blancs : Stolts.
é
f
C g
c
2 —
2 1 2 —
é
f
1
c
4
4
3
3
Noirs
X.,
Spielmann.
1 é 7 - é 5
F f 8 — c
d 7 - d 6
(2ôx23), 37-31 (26x 39), 35-30 (24 x 35),
87—22 (18x29), 44x4 (si 23x32), A,
1x49 (35x44), 49x 2 ga*me ; « A » (si
Si, Immédiatement, 4. f * é, d x é ,
Kx44), 4x16 (23x32), 16x 2 gagne.
5. c 3, alors, outre 5... f 5 ; 5... F g 4 ;
Solution du n" 113 (Alquier) : 34—29 5... C f 6, les meilleurs chances prati(23x34), 28- -23 (19x39), 38x33 (39x28), ques semblent être données par 5...
Kx 3 (21x41), 42 -37 (41x32), 43—38 C c 6.
(32 x 43), 48x10 gagne.
4 f 7 — t 5
Ont trouvé la solution exacte du
a' 111 (Prades) : René Déjean, à VilleLe plus solide est ici, malgré quelneuve-du-Paréage • Cossue, à Montaitques déboires pratiques, 4... C f 6,
dran ; Bonnin et Gay, à Arcachon
Kœnig, à Sérempuy : Marqui, à Montd 6
é 5
fort-du-Gers.
f 4 x é 5
d 4
d 2 - d 4
é 5
Du n' 112 au n' 114 les noms des
F f 1 — c 41
Bolutionnistes paraîtront dans le Phare
d' ircachon et le Journal d'Amiens.
La pointe
« A M. Grégoire, à Marsan ». — Sur
17—21, les noir s perdent fatalement le
7 f 5 x é 4
pion quelques coups après en mainteTrès compliqué est aussi le combat
nant la position d el'aile gauche des
blancs. La riposte 7—11 sur 29—23 n'est après 7... C c 6.
certes pas obligatoire, mais tout autre
C f 3 — é 5 8Cg8
-f6
coup amène le même résultat, sur
8—12 coup de dame à 2, 9—13 coup de
Si 8... D h 4 +; 9 g 3, D h 3, alors
dame à 2. sur 14—20 coup de dame à 4
et tout autre coup perd le pion. Je vous 10 D d 2 maintient les différentes me
naces
des Blancs et leur assure t'avan
rélicite de m'avoir signalé le seul point
faible de ce problème et vous excuse- tage positionnel. C'est pourquoi Spiel
mann préfère une variante abracada
rez l'auteur de ce péché mignon.
brante, où les Noirs sacrifient une T
pour arriver à l'offensive.
FEDERATION DAMISTE
DU SUD-OUEST
C é 5 — f 7
D (18- é 7
d 4 — d 31
C f 7 x h »
La grande rencontre inter-fédérale
organisée par la F. D. S.-O. promet
Une innovation intéressante. Jus
d'obtenir un éclatant succès et oé.ià qu'ici, on continuait par 10... C c 6, mail
nous sommes assurés du concours d'un on a reconnu nue les Blancs obtiennen
certain nombre de loueurs dont la ré- alors, par 11. F er 5, C S 5 12. F x f «
x f 13. D h 5 +, R d
putation n'est pas surfaite et qui don14;
neront, par leur présence, ira attrait
un très bon jeu.
beaucoup oins considérable à cette man festation damisfique : de plus, des déF c 1 - tt 5 lt
c 5 - f ?
R é t x f > 12
marches officielles, amicales et conjué 7 - c '
e lées nous permettent d'espérer que la
F g 5 - è 3 13
c 5 x c 4
sportivité de MM. Darrisran, Triffon.
h 2 — h 3 14
c 8 — t b
nonnet et Cartier du Damier BordeC h 1 — d 2 15 De 4 — d 5
a ? — tr A
lais, ne sera pas Insensible H l'appel
vue d'empêcher 16... D f 5 +
svtrnathimte ou! leur est tait d'Arcachon, de Marseille et, de Tmi'nnsp.
16 r n s . - c 6 .
Nous demandons b tontes les bonnes
C 3 — C 4 17 D d 5 — U 7
volontés éprises d'un idéal vraiment
»»jàwsa*»tSaH>^
Tout» pertonna «ouoleus» de •»
tanta nadaitpaa heai ter à prendra
BEPBMÏIF-LWAPIE
R A V ri A L. Corda* (Tarn)
Il rajeunit iorganisnie, régénère
le sang, il "uérlt avec certitude
Prv
NIUBIESÈ&PEM
Crouties laMcuser. Démangeai!
Oarlres, Exréma»
Uloore». BCutan;.
Sirop, ponimade .i. r-oa » îrenea.
- t >- Tautet pharmacie»
Soîàs" un contrôla
constant
préparée de façon
slriciemant midicale,
conditionnée automaliruement dans u: a
hygiène absolue»,
l'Ar.pirine BAYER 65»
un produit pure! pai 'ail
çj'en n'a jamais éâ,é.
im
Imiîme 1 le \ppt in'**
Le Gérant : G. LAGAUUB.
LUNDI 3 AVRIL n**!
I essaye et manque le drop, c 'est la mltoiuug.
Deuxième mi-temps
Au tour de Graule d envoyer pour le
Lu.L. courrèges réuistt la touche »t
i.lrlffard, en force, marque en coin; 11
départ des trois quarts verts. Argence, i '-" a peine deux nom te» que ion
possesseur de la bulle, feinte, botte par
tous, «iraule manque ia iraiati.riuatlun
dessus I arrière, mais ce dernier s'est diiticiie
L O.U. : 3 points.
replié judicieusement et arrête de volée.
Pelle touche
de Baquey. De cette
Leg Lyonnais s'installent à nouveau
; ruche bien .louée. Vassal s échappe
scir les buts libouruais. L'arrière Courpasse a Nadal, .equet .ance Kraisse teês se sort difficilement d'affaires
;ur se fait bloquer et frappe au cen- dangereuses. Le L.O.U.. tant par ses
,re. Ce bead mouvement est raté par avants que par ses lignes arrières,
un en avant.
s'assure le meilleur Les départs fusent
Sur truquagj de Vassal, les locaux de chaque mêlée et Priai et Patrie
bénéficient d'un coup franc et Cando- pomsulveut loin des percées qui se
ras réussit mie belle touche. Excellen- heurtent û la défende serrée de leurs
j combinaison de Vassal Blain qui re- adversaires.
I es Libournais, cependant, se ressaiportent le .'eu dans ie camp thurinors.
Un long coup de pied de cirbaud me- sissent et une contre-attaque de Mazas
arrive
sur les vingt-deux Lyonnais.
nace à nouveau ies buts des canaris.
Le L.O.U se dégage par la poussée
Sur déplacement d'Argence. Brturret
ip'rvl va a l'essai et marque ; Cando- de ses avants. De nombreuses incorrections rie leu donnent l'occasion à 1-1ras manque le but.
beurne de taper de nombreux coups
Thuir, 3 ; Carcassonne. 0.
francs. Mais Lyon ouvre à chaque ocSur renvoi uu vert rate la réception casion et Durand est plaqué • in ex<e la tuê'.ée qui suit Carea.s.sotine tremis •.
amorce mie belle offensive qui échoue.
Les coups de pieds précis de Battlc
Un dribbiing
de Séguié est relevé et de Graule trouvent toujours d'excel, ar
Rannevières
qui
trouve une lentes touches et les mêlées sont î.ettebonne touche. Barrière part en drib- mënt favorables aux Lyonnais.
nling, mais Anbaud aplatit et VasSur faute Llbournalse. des 40 mèsal déga ge son camp aux 50.
tres, Graule augmente la marque d'un
Avant la fin de la première mi-temps, luit de pénalité superbement botté et
|oll départ de lîlain, qui botte à sui- yen après les avants Lyonnais partent
vre .trials la talie n'est pas reprise.
en passes courtes et Dugouclier applatit. Lvon : 0.
La fin va arriver et un but aecoTdé
Deuxième mi-temps
à Libourne face aux poteaux, botté par
Vassal frappe et Fanevières aplatit Tourtelot. n'est pas réussi.
I.es sursauts de l'équipe Libournaise
dans ses buts. Remise en Jeu et aussi
rot Vassal s'échappe, trompe toute la sont vîtes endigués et Lyon fait une
défense et est écroulé près de la itgne fin de partie tout à son avantage.
blanche thurlnoise.
uirbaut dégage,
Appréciations
pas pour longtemps, car les visiteurs
bénéficiant du vent, envahissent à nouLa meilleure équipe a gagné. En preveau le terrain des verts et blancs.
mière mi-temps nous avons assisté à
Nadai se fait remarquer. Le Jeu se quelques sursauts d'énergie de l'équipe
maintient aux 50. Nouvelle échappée de de Libourne et pendant presque tout le
Vaisalle, Un coup franc dégage les lo- temps le i eu s'est maintenu dans
le
caux. Belle échappée de Blain qui botte eamn lvonnais, irais Libourne n'a pas
à suivre, mais Panebiêres retourne en su prefiter de« rares avantanges oui
touche. Abat est trop personnel.
lui ont été fournis et malgré le vent
Départ
des trois-quarts Thurinois, qui lui était favorable. II n'a pu réussir
Devrè manque la balle. Les visiteurs le plus p°tit essai.
donnent l'impression de jouer au ra_
A la deuxième mi-temps, Lyon
a
ienti et maigre les observations da Sé- presque complètement
dominé dans
bèdio les Carcassonnais ne réagissent tous les compartiments
dp jeu et a
nullement. Ce voyant les locaux en pro- marqué deux essais auquel il a ajouté
fitent et fiirbaud botte en touche d'où un troisième de pénalisation.
Ségnier se sauve et est plaqué. Nadal
L'arbitrage de V. T.apisse. de Monet Blain se distinguent. Clotis est tou- taubari' fut de toute impartialité.
—
ché.
\UDOUY.
l a fin arrive sur un beau dégagement de Panevières.
Dernières Nouvelles Sportives
J
Fin
des Poules de Keut
En
Honneur
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-,, e put est réussi. p.U.C.
K.«.'
fJJ
la
défense
et
POULE B
A COGNAC
u. bat Association
U.. C
•Sort". TÏrwVee par 15 points à 6
S?
Paxtte jouée par un temps splendide
devant un public restreint
sont tout do suite en aç«t, n et semblent. C'a bord dominer, mais
î? 'une attaque des leurs un avant natifs intercepte et s échappe.
U\%e mni série de passes courtes en**T »vants donne la balle à la cavaletrl nantais^T l'ailier, dernier servi, va
^l'essai par débordement. Le but est
fpais
l
Tue autre offensive de Nantes est ar
lètée pour hors jeu, puis le jeu s équilibre nendant un quart d'heure, sur une
touche à. l'a va ' tare de Nantes, les trois
,,uarts nantais sont alertés de nouveau,
i-illol troue superbement et sert Faucon qui marque le second essai transforme et très applaudi. Quelques belles
touches permettent a Tarbes de tranne»du terrain, mais toutes les attaques sont
bloquées par la défense de Nantes.
Enfin aux quarante mètres nantais
l'arrière tarbais reçoit la balle et, du
pied gauche, boite un beau drop goal et
c'est la mbtemps.
\ la reprise, Tarbes trouve unet w
Che aux trente mètres adverses et deutx
TarbàH font une bell* percée qui cond ut l'un d'eux à l'essai. Puis, Nantes
domine de nouveau et manque de peu
in but sur coup franc. Deux échappées
de Tarbes sont stoppées, le porteur du
ballon étant mai suivi.
rouche aux 10 mètres tarbais : les
tmis quarts nantais attaquant, l'ailier
filé près de la touche et sert son centre qui va marquer entre les poteaux.
Le but est réussi
D»s deux côtés, les attaques de cavaPrie se multiplient, mais les défemea
arrêtent tout. Nantes rat? de peu un
dvnp puis un essai qui semblait tout
fait. C'est la fin.
Partie fort intéressante h suivre et
t>i»h arbitrée par M. Dupont, de Péri
giians.
Malgré leur ardeur et bien que servi
tnniensement par leur mêlée, les trois
ouarts 'arbais ne purent jamais attaquer efficacement.
\ Nantes, au contraire, la cavalerie fit
preuve de vitesse et de décision.
Le 'en plus classique fourni par l'ensemble dn team, fut nettement supérieur à celui d'en face.
Appréciations
la victoire de Thuir est méritée.
Plus que leurs adversaires, les « vert
et blfthc » luttèrent avec courage, avec
ar "eur. avec cran
II leur fallait la
victoire coûte que conte. Ils l'obtinrent.
Tous le? hommes sont à féliciter,
avec, cependant, une mention spéciale
pour Girbau Panevières et Borreil.
Ûuant a Carcassonne, l'équipe nous
donna l'impression très nette de ne
pr.dulre aucun effort ou, plutôt, de ne
nag vouloir terminer .onvenablement
des
attaques magnifiquement çonyînencVs
Les carcassonnais disputèrent leur match en dliettaptl du rugby
I.PS tn^lleurg furent Vassal Blain,
?''jfUiô et Peytavi — INTÉRIM.
Fou'es de Trois
IMiULK
B
A NAF.BGNNE
Championnats Régionaux
Feuilleton du 3 avril lU33.
/>! «\
« «HT
I)
C-KAKO
l OM
fa
d'Anne
m$m
Traduction
de
D'AVESTuRES
AUSTIN
Pierre
CHAPITRE XVI
~- Témoignage qui fut absolument sin**r« et veridique.
- Et maintenant, cet unique témoin ocu'aire est étendu sur une table de la morgue
a
Hanàptun. Assassinée «mine de huit heu.
rLJ
s apiès l'arrivée a Hamiiton rie Seyn 'our Crosby, venu dans cette ville pouï
^"•iistr „ ne autre r j cne héritière. Vous ne
.j'eiiïiez u.ut de même pas, monsieur Crus°,ue la police d'Harnlltoh serait assez
*e pour ne pas établir de corrélatiou
eri
're ce* deux faits V
. ~ Je' n'ai pas assassiné Doris Mntlew
s, affirma
le jeune homme d'une
voix
la
liegïon
A AGEN
Sportlng Union Agenaig bat Stade TOUu.usai .i pur 1J points (2 essais 1 drop)
à 7 points (1 drop, i but)
Il fait une chaude journée printaniere favorable au déplacement des
grandes foules. Malgré diverses concurrences eue assistance dos plus nombreuses est venue assister à la lutte
courtoise que vont se livrer deux clubs
glorieux au passé lourd de gloire et
qui, après une longue bouderie, reprennent enfin le cours de leurs relations.
la Stade Toulousain se présente amputé de Bès et Branca.
M. Lahitte, l'excellent référée de la
COte d'Argent, dirige le match.
LA PARTIE
D'entrée, les deux équipes se livrent
et l'on croit qu'elles vont faire une
belle démonstration. Après une suite
d'attaques infructueuses, les locaux
marqueront après une belle percée au
centre, mais baissent bientôt pavillon
devant l'emprise adverse. Les stadistes
ne pouvant conclure par une attaque
classique, s'offrent le luxe de prendre
l'avantage au score, après de beaux
exploits de ses buteurg.
Le deuxième Unies verra les visiteurs
maintenir un grand moment leur avance et vivre sur la marque acquise.
Les efforts des locaux vont enfin être
récompensés par un heureux â propos
ou joueur qui exploita la maladresse
de son vis-à-vis et marqua en coin.
La partie qui avait pris jusque là une
allure languissante, revêt maintenant
une autre allure. Les deux adversaires
sont émoustiilés. Agen attaque à outrance. C'est sur la remise en jeu que
fut botté de drop de la victoire. Il ne
reste plus que quelques minutes è. jouer
et malgré quelques réactions rouges
aucun changement n'interviendra au
score.
Appréciations
A CASTELSAFIRASIN
C, A. Casteisarrasinois bat
Avenir Valencien par 6 points à 0
Un
Peu
Partout
A SAINTES
U, A, Intergadzarts d'Angers bat
Stade Saiqtais par trois essais, un drop
contre un essai
HIPPISME
A
i
I
EELPERRON
tueurs de femmes. Alors nous avons chargé Dundee, qui n'était pas non p. us satisfait du verdict du jury, de jeter- un coup
d'oeil sur le veuf de Phyllis Crosby qui allait se remarier avec une grosse dot...
Une exclamation
interrompit
Strawn,
taudis que d'un ilr furieux,
Crosby se
tournait \ei s Dundee
— Doit- ]• comprendre, monsieur Dundee, qua c'est votre intervention auprès de
mon futur beau-père qui
l'a amené
a
sopposer à mon mariage 1
Non. monsieur Cioshy ! Je n'ai jamais pnr.é A M Iterkeley que devant tout
le monde Et jusqu'à ce matin, je n'avais
atieURfl raison de discuter avec lut de son
— Noua avons dressé l'oreille quand futur «endre. Je suis venu ici, d'une part,
1
par simple curiosité, d'autre part parce
'"Ja avons su \ e „,„,, du fiancé de Clor,r a
id
Berkeley, poursuivit Strfiwii de ce que je suii' persuadé que toute la lumière
n'n pus été faite sur la mort de votre fem. ' n lovlai qu'il Miviit si bien
prendre.
,°ve? vous ( ros|,v. iHmiHori lient
a se | me. Je tenais II vous voir, A vous étudier
"Rendre contre les chasseurs de dot et les | et à me faire une opinion personnelle.
Bordeaux, 2 avril.
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Las capistes attaquent a. leur tour. Cauest
est dangereux. Le Red Star reprend l'offensive et Mayer est à l'ouvrage. Le C. A. P.
s'organise, mais ses attaques manquent
d'homogénite.
L'alnire se ralentit et la partie n'est intéressante qu 'a de rares Intervalles et la
mi-temps survient sans amener de changement à la marque
La deuxième mi-temps est tout d'abord à,
l'avantage des Capistes qui sont bien près
d'égaliser sur un centre de Cauet repris
par Rosé, mais Thepot sauve ses buts.
Une seconde attaque du C. A. P. est vicGéranium-H (Amoy et Radieuse) est torieusement terminée par Cauet qui égalise.
entraîné par son propriétaire.
C. A. P. : 2; Red Star : 1.
Sur centre d' Aston repris par Boué, Meyer
PRIX JEANNE-D'ARC
plonge opportunément et arrête.
(10.000 fr,, 2.200 mètres)
Aussitôt après, le Red-Star égalise par
un shoot de Bertrand.
1. Songeur (Ch. Roudel) .... G 25 50
O. A. P. : 2; Red Stad : 2.
à Mme Mouillefarine.... P
8 »
Jusqu'à la fin, le Red Star Joue devant
2. Macadan (Propriétaire)..
les buts du c. A. P. mais il ne peut arrtà M. le baron de Nexon.. P
7 50 ver a marquer et ta fin est silfïée sur un !
3. Chàteau-Camponac (M. de
score nul : 2 à 2.
La Fcrêt), à Eschenauer P 10 »
4. Alidor, à M. Brangier
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f. O.
Polie Pretty, Syndic, Rose, Cocktail,
par 3 points à 0
Luna, Mlle de Barbazan, Fair Agnes,
Okéanos.
PRIX LAVATER
10 ono francs, 2.400 mètres
1. Céranium-ll (Boudeau) ,â G 12
M. Fribault
.. p
650
2. Galanga (O. Brehin) à M.
Roudel
P
7 ».
3. Ginai (A. Expert), à M.
R. Expert
P 9 ».
Non pla-és : Fantôme-II, Fontarabie
Feu-Follet-II,
Flor-Fina,
Gargantua,
Gavarni-IV.
Songeur (Alcantara II et Salamanca)
entraîné par y. Hontans.
PRIX JUVINY
(6.000 fr., 2.800 toètriS)
M
H
B
M
treize hommes sont encore ensemble
conduits par Macabies. Il est 14 h 40.
Sur le chemin du retour, au passage
à niveau Compilla crève. Sageloly démarre. Quelques essais infructueux de
lâchage se produisent, mais les fuyards
sont vite rattrapés.
Après un embouteillage, six hommes
s'échappent, Ricard est en tête, aveo
derrière lui : Macabres, Biosca, Richard, Nouelle et Fuster.
Derrière eux, Gaillard. Brau, Maillols,
Chauvet et Campilla
poussent comme
des sourds et rattrapent le premier lot
Sur tentative de Moneil, le premie»
peloton se reforme et prend 500 mètres
d'avance sur celui qui le suit;
On arrive ainsi au Mas-Sabole, la fa>
tigue se fait sentir mais le train lesta
toujours de 27 kilomètres à l'heure.
A la hautur du chemin de Pollestres,
l le coureur Brau rejoint ; tout à coup
Macabiès S'échappe, s'en va seul
M
passe le premier la ligne blanche.
Classement : 1. Macabiès, en 1 h. 3<
(moyenne 30 k. 600) : 2. Richard
em
I h. 30' 20" ; 3. Brau : 4. Biosca ; 5»
Moneil ; 6. Fuster - 7. Bioard ; 8. Chau»
vet ; 9. Gaillard ; 10. Guisset • 11 Diazi
Xancha ; 13. Sarda : 14. MailloTs • 15
Sicard : 16. Pirello ; 17. Fons. — CJW
PEILLE.
BORDEAUX-SAINTES
123 kms
CYCLISME
i
Caillot André, de Cozes. en 3 li. S i
Sainte-Marie Emile (Bordeaux), à 1
1. Franklin (Masson)
G 9 »
A PERPIGNAN
longueurs ; 3. Intecgaray (Arcachonh
à M. Hurnarau
P
7 »
en 3 h. 28 ; 4, Jaret (Perigueux) ; sj
Aujourd'hui s'est disputée entre Per2. Espoir X (L. Hugues)....
Maye (Bordeaux) ; 6e Lamuzat (Boche,
à M. Ferrét
P
9 50 pignan et Le Boulou sur une distance fort) ; 7e Mitagot (Arcachon) ; 8e Viro<
de 45 kilomètres, la première course de
3. Félicien (Chéron)
(Bordeaux) ; 9e Manche (Toulouse) '
à M. Manzoni
P 11 » la saison.
10e Dimetraux (Bordeaux), etc. 17e Rai
Le
Premier
Pas
Dunlop
réservé
aux
4. Hypnal, à M. Roudel
fir, 1er du Vélo-Club Saintais«
jeunes gens de pius de 15 ans et de
Non placés : Elégant V, Epervier, moins de 18 a obtenu un magnifique
Dastifax, Far-West, Edmée Harris, Fil- succès autant par son organisation en
le d'Albert.
tout point impeccable que par l'effort
Franklin (Quasimodo II et Sablaise) fourni par les jeunes coureurs.
entraîné par H, Masson.
27 hommes s'étaient engagés. 26 pri«...avec le chocolat. *\
rent le départ qui fut donné à 14 heuPRIX D'AUTEUIL
res par le sympathique et dévoué Emi
que ne fais-je pas/..*
le Py. président de l'Union Vélocipédi(16.000 fr., 4.000 mètres)
R/Z AU CHOCOLAT
que Perpignanaise, face au terrain des
Porte-Bonheur (Dibos).... G 25 » Quins, sur la route d'Espagne
Mêlez à un bon rit an hit iuâ
à M. Planté
P
9 50
Dès 13 heures, les dossards avaient
chocolat à l'espagnole. bien|
2. Bougon (Berlan)
été distribués au siège de l'U. V„ P.,
crémeux, parfumé de caneUai
à M. Mouillefarine
p
7 50
au Café de la Poste.
;v et battu. Serves bien sucré.
3. La Moskovite (Contreras)
Les
jeunes
élèves
de
la
Miséricorde
à
M. Cassaët
J assistaient au départ. Au haut de la
4. Lutine, à M. du Cheyron
côte du Serrât d'En Vaquer, le peU>
Porte-Bonheur (Le Prodige et Becky- ton était encore compact et roulait à
très vive allure.
cilla) entraîné par D, Kalley.
Sicart et Muxella sont lâchés, ce der
nier rejoint peu après.
Diaz fait une chute. Le Mas Sobole
KKTE AUX ENCHÈRES
est atteint à 14 h. 16. C'est Delmas qui
APRES DÉCÈS
est en tête et mène le peloton à 35 kms
à l'heure.
En vertu de 3 ordonnances de M. W
Puis le train se ralentit et le peloton
Président du Tribunal, le mardi 4 avril
s'allonge.
CHAMPIONNAT DE FRANCE
Tour à tour nous remontons Diaz, 1933 à 10 heures, et à 14 heures, à
Ferrer, Fons, Chauvet, Brau et Sarda ; Toulouse, Hôtel des Ventes rue des.
PROFESSIONNEL
3-Journées, 4.
puis Gaillard et Maillols.
aracsssBsaeRaBMaHMaaa»?
ASSOCIATION
A NIMES
S. C. de Nimes bat Hyères F. C.
par 3 buts à 0
Partie jouée devant un nombreux
public par beau soleil.
Malgré sa pression durant toute la
première mi-temps, l'équipe locale ne
parvient pas à ouvrir la marque, vierge au repos.
Dès la reprise, les locaux envahissent le camp hyérois, Wilson d'un
heau shoot ouvre la marque.
Le feu devient languissant.
Dans le dernier quart d'heure, la
pression nimoise s'accentue. Chalvidan et Cheyné ajoutent chacun un
but à la marque.
Nimes a fourni une bonne partie,
tous ses équipiers ont joué avec grand
cœur.
Hyères possède une bonne défense.
Arbitrage régulier de M. Blanc, de
Lyon. — MARTIN.
A PARIS
Red Star «\ C. A. P. font match nul
par 2 but* i 1
Lo Red Star attaque dès la mise en jeu
et Aston manque le but de peu. La défense
capiste, surprise par ce but rapide, est en
danger et à la deuxième minute, Bertrand
obtient le premier but.
Red Star : 1; C. A. P. • 0.
« En octobre 1927, vous avez épousé miss
Phyllis Benham, fille d'un industriel enrichi. Vous l'aviez connue chez Mme Rensselaer Lambert, qui s 'était prise d'affection pour la jeune fille et s'était chargée
Le « merci » de Crosby fut sincère et de la lancer dans le monde.
« Après une lune de miel au Canada,
sans ironie, mais le capitaine Strawn ne
le laissa, pas longtemps sous cette im- vous êtes parti pour Londres avec Wicfeett et, Doris et vous vous êtes installes
pression.
— Il n'y a pas que les bandits et les vau- dans un riche appartement au Queen's
riens qui tuent, déclara-t-il.
Oui,
mon- Hall, tin palace tout neuf. En apparence,
vous formiez un ménage parfaitement
sieur, nous avons été si intéressés par votre visite à une des plus riches familles heureux...
— Pas en apparence, corrigea Crosby,
d'HamtltOn, que nous avons recherché le
compte rendu de votre procès dans le jour- en fait. Dans tous les sens du mot, ma
nal locnl. Maintenant, dites-nous donc ce femme et moi étions parfaitement heureux.
qui s'est exactement passé la nuit du
— Ah ! oui ! si parfaitement heureux
('• m'ai 19?f? dans l'appartement que vous
que, d'après vous, votre femme se suicida
occupiez dans un hôtel de Londres.
encore toute jeune mariée. Il est vrai que,
— Je refuse ; le sujet est trop pénible (
d'après moi, et j'ai le témoignage de Doris
pour moi et les journaux ont donné tous
Matthews, votre femme était si heureuse
ies détails.
que vous l'avez assassinée.
-— Allons, accepta tranquillement Strawn
— Vous mentez 1 cria Crosby. Doris est
en attirant à lui les coupures du journal,
c'est moi qui vais être obligé de raconter morte, elle ne peut pas dire que vous êtes
un menteur, mais moi je vous le dis pour
l'histoire.
nous deux.
— Je vous en prie, implora Crosby, pâ— Ah ! oui t Eh bien, alors lisez cela 1
le comme ia mort et les moustaches tremEt Strawn tendit à Crosby la lettre inablantes, cette vieille histoire n'a rien à
chevée de Doris.
voir avec le meurtre de Doris.
— Ah ! vraiment ! Et cependant, voici
une manchette curieuse : Le témoignage
de la femme de chambre innocente le
viau. Alors, Crosby, allons- y. Vous
me
reprendrez si je me trompe.
LE BOUILLON
B0R3EAUX-TALENCE
— Et vous avez conclu que j'étais un assassin '? demanda froidement Crosby.
— Non, monsieur Crosby, j'ai conclu que
vous étiez un gentleman, répondit Dundee d'un ton calme.
a*
i
Dana
Incontestablement nous vîmes en face
de nous deux grandes équipes dont les
moyens auraint dû leur permettre de
rendre cette partie plus spectaculaire.
Intéressante, elle ne le fut qu'un instant ; captivante à l'approche de la fin
mais
combien monotones furent de lonLe Tournoi des Sept
gues minutes durant lesquelles les deux
adversaires paraissaient se soucier de
A PARIS
ne pas aggraver la marque.
Stade Français bat Tarbes
Les Toulousains ont laissé chez nous
par 16 points à 6
une excellente impression et il sera inDès la début, les avants parisiens téressant de suivre les péripéties du
bousculent leurs adversaires directs. match-retour qui se jouera évidemment
Au bout d'une minute de jeu, une sor- dans leur fief.
Arbitrage convenable de M. Lahitte.
tie de meiee ouverte donne le Dation
Jean POUZELGUES.
aux lignes arrières du ïitade, qui attaquent par passes. La balle aboutit â
Piquiral, qui a suivi le mouvement; et
A AUCH
qui marque l'essai.
Stade, S ; Tar bes, 0.
Les avants bleu et rouge affirment F, C. Auscltafn bat Stade Quillannais
par 2a points (6 essais 4 buts) à 16
leur supériorité. Pourtant les avants
Pointa (4 essais, 2 buts).
rarbalâ se reprennent , Us remontent
peu à peu le terrain jusqu'aux tZ mèBelle
journée,
bonne
affluence,
ires parisiens et donnent plusieurs occasions a leur ligne arrière. Un coup équipes au. complet. D'entrée, sous l'es
de piéd a suivre met en grande ligne ordres de M. Cassagm., les deux teams
Délai'range, qui suit. Un coup franc pratiquent le jeu ouvert sous sa plus
incessantes
est accorde au Stade. Le but est man- belle forme : à savoir,
qué, mais Bousse qui a suivi, marque attaques et contre-attaques de toutes
les lignes dans de
magnifiques con1 essai.
ceptions de jeu.
Stade. 6 ; Tarbes, 0.
Un sursaut des avants tarbais les
Le public vibre à juste raison et
conduit jusqu'aux Zi mètres du Stade. plus particulièrement aux exploits des
Leurs trois-quarts se transmettent le lignes arrières quillannaises et ausçiballon sans rien tenter et ies bleu et taines.
rouge =e dégagent par une percée de
Uuillan marque d'abord, puis Auch
leurs trois-quarts. Mais Tarbes revient
riposte par une superbe trouée de Rotoujours en dribbiing ,ce qui le met en mulus aîné, continuée par Lapeyrère
bonne posture pour deux coups francs et que Soumeilhan
concrétise, mais
qur lui sont accordés, dont ie second les rapides trois-quarts adverses bien
se traduit par 'un but de Mehay.
alimentés par leur
mêlée généreuse
Stade, 6 ; Tarbes, 3.
marquent encore cependant.
Le Stade remonte en dribblings, mais
Le F. C. A. attaque encore ; Viau
Tarbes se dégage aussitôt. A .'a miperce ; Dattas et Romulus aîné vont
temps : Stade 6 ; Tarbes, 3.
Les trois-quarts tarbais tentent d'at- à l'essai. De nouveau, les trois-quarts
taquer, mais leur centre manque de locaux partent et Lapeyrère déborde
perçant. Line échappée des avants re- pour marquer entre les poteaux. Gorge
conduit le jeu au centre, où les trots- fait le but,
quarts tarbais attaquent. Ils usent
C'est la mi-temps : Auch, 11 points;
alors du coup de pied à suivre et. s'ins- Quillan, 8 points.
tallent ainsi aux i-2 mètres parisiens.
Dès la reprise,
Auch accentue sa
Une action assez confuse des avants
bleu et rouge, tantôt en dribbiing, tan- pression et pourtant l'équipe adverse
est
valeureuse
et
rapide
mais ses contôt en passes, recondurt le jeu au mi
enrayées par une
lieu. Une interception donne la baile tre-attaques sont.
ii Housse, qut remonte presque tout le excellente défense.
terrain et passe à Blond, qui marque.
Dans les départs auscitains. r:jumL'essai est transformé par Germineau. dilhan se distingue et ses camarades
Stade, 11 : Tarbes. 3.
ne le lui cèdent en rien.
Un dribbiing des bleu et rouge re
Voici que Gouzenne
contre-attaque,
monte aux ti tarbais. Le Stadoceste
'1 arbais riposte par une échappée de sert Dattas et Romulus jeune va mar
ç-cr, Gorcre fait le but.
ses trois-quarts près de la ligne pariQuillan fléchit. Auch redouble d'efsienne. Us ne peuvent parvenu à perforts ; Lrurei.t se dépense sert Molé
cer. Toujours la même absence de déqui marque encore, Lapeyrère fait le
cision. Au etntre, nouveau coup franc,
but.
qui' permet à Mehay de marquer un
but des 40 mètres.
La fin approche et Ribère la caracStade 11 ; Tarbes, (i.
térise par un superbe exploit, sur feinte
de passe il traverse toute l'équipe
Tout aussitôt un dribbiing, suivi
d'une série de passes, aboutit â un es- auscitaine et fait marquer à ses troissai de Blond, transformé par Germi- quarts un essai que le public acclame
Le but est réussi que suit bientôt un
neau. La fin est gtfttéé finalement :
Stade Français bat Tarbes, par Pi nouvel essai des rapides trois-quarts
quillannais. Mais le F. C. a riposté supoints h 6.
Se signalèrent • â Tarbes : MéhaisT, perbement pa.' un essai de Lapeyrère.
Les deux équipes ont fait une parpossesseur d'un excellent coup de botte, qui réussit les points de son équi- tie merveilleuse d'adresse, de rapidité
pe. Môgier. Bey. Lahary, Peyre, Casta- et de clarté, ce fut un vrai régal.
Tous le; joueurs sont, à féliciter. Cegne ; au Stade : Mainvielle, Hicrue,
nous
citerons à l'ordre du
Kavnaud, Germineau, Brame, Housse, pendant
iours les Auscitains Viau et SoumeilPiquir?»!; Ftau.ce.
pyoeiient arrdtrage de M. Conderoux. lan avec l'arbitre excellent qu'est M.
Cassa gne. — DELATOUCHE.
— FOITÏCADE.
Lyon Olympique Universitaire bat
tin.cn Athlétique Libournaise
par st points (2 essais, 1 essai de pénalisation) a 0
Dès 2 heures, le public envahit le
terrain Cassayet. Le soleil préside à la
rencontre.
Lvon se présente en maillot ropge et
Libourne en bleu manne.
Voici la composition des équipes ':
L. O. U -• Arrière, Marty ; troisauarts. Durand. Graule, Tanoglio, taire ; demis, tiattle (o.), Brial (m.) ;
avants. Claudel, La f font, Salzet, Barrer. Grlffard, Panel, Pal, Dugoucher.
V. A- L. — Arrière Courrèges ; trotscuarts. Paimon. Ouiller, Moyzes, Mazas- demis, Tourtelot lo.), Delort (ni.);
avants. Koutaut, Laf targue, Pasquet,
cràsset, Masson, Biard.
mu
Tourtelot met en jeu pour Libourne.
La balle échoue en touciie. Peu après,
A THUIR
sur mauvaise mêlée, Libourne obtient
l'Union Sportive Thurincïse ÏBtt
mi coup franc des 40 mètres ; Mazat
l 'Association Sportive Carca830iina .se
essaie la but et le manque. Une deuxièpar 3 points à 0
me tentative de but même échoue, enPar une belle journée de printemps, core Une poussée des avants Libourtente, de soleil et de lumière, sous un nais porte le jeu en camp lyonnais ;
ml uniformément bleu a eu lieu au Martv sauve et renvoie en touche.
D 'une sortie de mêlée aux 50 mètres,
fctade Jacques-Violet â Ttvuir, le match
la cavalerie lyonnaise part et Graule
'J buir-Carcassonne qui avait, été rentaoe eu touche Le jeu est très serre et
voyé par suite de mauvais temps.
Devant un public très nombreux, les de part et d'autre rien n'est laissa au
deux quinze, l'un en maiiiot canari nasurd. Dut lier trouve une touche aux
(Carcassonne), l'autre en vert et blanc ï2 mètres rouges. Les départs lyonnais
IThiiir), se présentèrent à 14 h. 30 sont vite stoppés par la défense libourdans cette formation sous la direction naise et Delort arrête de volée un dégagement de Baille. Lu coup franc est
Ce M. Larrieti.
Carcassonne. — Arrière : Baquey ; accord* al.ihourue. sur irrégularité de
trois-quarts : Nadal. Pratssé, Anbaud. Gt'itfnrJ et Mazas essaye en vain lé
but. Les avants ivonnuis réussissent a
Pavnaud : demis :
Blain,
Vassal :
avants : Segulé, Parés. Carveseo. Hae- venir incursioriner eti camp bleu, pas
ner, l.acouna, Peytavi, Diniur. Ca Stel- pour longtemps, car une coiitie-.ittaque
de Libourne remet tout en place. Sur
la r. Manquent Fan et Doruecq.
l'htrir. — Arrière . Panevières : trois- mêlée, rapidement jouée, Biia! s'échapQ mcis : Clotis,
Argerue. Lan dora s. pe et passe a Ba l'île, tirante, dernier
( ivre ; demis . Abat, i.irbaud : avants i nossesscur de l'ustensile, est écroule
Cosre, Bordes. Rnretl, Borrello,
Bar- sur la ligne les i-.'. Ma/.as trouve une
louche &ur les ruts lyonnais. Les avants
rière, Bonnet, Deprade, falur.
thuir donné le coup d envoi. Vassal rouées se dégagent avec peine, mais
retourne en touche. Les locaux drib- tourtelot trouve encore la touche près
des buti lyonnais.
ïtmnt et éclioiient en touche.
Plusieurs mêlées s» succèdent et.
Beau départ, des verts qui ratent l'es
lu ne pe .. tiur coup de pied a suivre. il semble que les Lil.ocruais doivent
P-a iuey est obligé d aplatir dans SM murquer. Battle réussit a dégager ses
F.iits, Le (eu se maintient sur les buts buts Les Lyonnais ont eu chaud
Libourne revient è la charge et les
visiteurs qui se
dégagent
de cette
freinte à- la suite d'un coup franc. \ hostilités sont de nouveau, à Ta suite
r niveau, sur coup de pied à suivre, d'un long dégagement de' Courrèges,
farcassoi ne touche dans ses buts et sur les buts lyonnais
Une belle ouverture de Salzet d'une
E.V AÈMA (ÏNÀ C-BWOP,P,E
*Vv fois consécuti veinent de la même
touche et Jaroplio sprintp et tape en
i.e-on.
touche.
Les
buts
«
rtmie
et
noir
,
sont,
r *ès remise en
A MIRANDE
ftm aux ??. les locaux flé.'auês et |» s Liboùruais sont sur
P" oivent, tentHi i le drop et, le ratent, leurs vmat-ii'ux.
U. S. Mirantlaise bat U. S, Plaisance
Enfin, Candoras trouve une bonne toupar 9 points 0
D'une mêlée. Claude) s'échappe »''
' " s. Th r relève un beau dribblit* de pa-se à Graule
Belle partie. Bon arbitrage de M.
: m-iis la défense li
luriiaise ne laisse tien passer et S1re I Cator,
o
Maîches Amicaux
— Eh bien ! monsieur Crosby, qu'avezvou* à dire, maintenant ? reprit, Strawn,
tand's que Crosby d'une main tremblante
lui rendait, la. lettre.
— Tout ce crue ie DCUX dire est stue je
En tête un lot de dix coureurs, corn
orenant : Campilla, Ricard, Richard,
Biosca, Bages. Nouelle, Macabies, Sage,
loly, Fuster, qui roulaient de conserve
à 37 km. à l'heure, et arrivent ensemble à l'Olivier.
Au passage du Boulou le peloton est
imposant. Delmas rejoint.
Le Boulou est traversé à 14 h. 34.
Au Chêne-Liège, à l'endroit où l'on
doit tourner et revenir sur ses pas,
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donnerais tous les doigts
de ma main
pour que DorijS, soit vivante et puisse me
dire ce qu'elle savait, afin que je puisse
venger ma femme. Malheureusement, je
n'ai aucune idée de ce qu'elle veut dire.
La voix de Crosby vibrait de sincérité,
mais cela n'empêcha pas Strawn de relire,
en détachant chaque mot et avec une gravité impressionnante, le passage
de la
lettre où Doris souhaitait vivre assez longtemps pour assister à la punition de celui
qui avait causé la mort de sa maîtresse,
et le capitaine conclut :
— Alors, vous ne comprenez pas ce que
veulent dire ces derniers mots : La justice
est impuissante dans ces cas-là, mais il y
a d'autres moyens t
— Je ne sais pas.
— Alors, e'est moi qui vais vous le dire,
Crosby. Depuis plus de quinze jours avant
sa mort, votre femme était bizarre, et ceci
est prouvé par vos aveux au procès et par
le témoignage de Mme Lambert. Elle pleura t sans arrêt, elle refusait de voir ses
amis, sauf Mme Lambert, et même, elle
avait écrit à son père à New- York qu'elle
avait fait une erreur fatale en se mariant.
Dan? cette lettre, elle lui demandait de lui
envoyer par câble vingt-cinq mille dollars et de l'autoriser à rentrer à la maison. Son père refusa de lui envoyer de
l'argent, mais lui ordonna de rentrer immédiatement. C'est bien cela, n'est-ce pas
Crosby ?
— Oui, tout cela a été relevé au procès,
admit Crosby d'uns voix blanche.. C'était
FRANCS
ENTRES
la première fois que j'entendais parler d«
cette lettre. Jamais je n'avais pensé que
ma femme ait pu avoir l'intention de me
quitter et je n'ai pas la moindre idée de ce
qui lui a fait écrire cette lettre. Je vous le
répète : j'aimais ma femme de toute mon
âme et elle m'aimait tout autant. Pendanl
les quinze jours dont vous parlez, elle m'a
dit souvent combien elle m'aimait, mais
sans m'avouer la cause de ses crises de
larmes.
— Voui, ricana Strawn, et vous n'avez
pas deviné ? Mais elle, elle avait compris
que vous l'aviez épousée uniquement pour
son argent et peut-être que vous entreteniez une autre femme avec l'argent de son
père.
— Strawn, assez ou je vous...
— Quoi ? Qu'est-ce que vous ferez ? Mettons que ce ne soit qu'une hypothèse, mais
comment auriez-vous pu autrement briser
la vie de votre femme, comme dit Doris ?
— Il ne s'agit pas de moi.
— Alors, de qui ? demanda Strawn non
sans logique.
— Je ne sais pa,s, avoua Crosby, mais
Dieu ! si je le savais I
— Bon. Enfin, continuons toujours notre histoire.
Le moment psychologique
survint dans la nuit du (î mai, après dîner. Votre femme ne mangea rien, éclata
en sanglots à tahle et s'enfuit dans sa
chambre. Vous avez essayé d'aller la consoler, mais elle ne vous a pas laissé entrer.
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