le programme en pdf - Orchestre Philharmonique Royal de Liège
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1 € LES CONCERTS DU CHEF TCHAIKOVSKI 5 DIMANCHE 5 OCTOBRE 2014 – 16H BORRELLO, Bruits de joie (création, commande de l’OPRL) w env. 10’ TCHAIKOVSKI, Symphonie n° 5 en mi mineur op. 64 (1888) w env. 45’ 1. Andante – Allegro con anima 2. Andante cantabile con alcuna licenza – Moderato con anima – Andante mosso – Allegro non troppo – Tempo I 3. Valse. Allegro moderato Moderato assai e molto maestoso – Presto Marian Taché, concertmeister Orchestre Philharmonique Royal de Liège Christian Arming, direction L a 5e Symphonie de Tchaikovski ouvre ces « concerts du chef », la nouvelle série de concerts symphoniques du dimanche après-midi. Tchaikovski a mis énormément de lui-même dans sa 5e Symphonie (1888), une confession en musique où s’entremêlent sa part d’ombre et de lumière. Dégustez le menu (musical) de Christian Arming qui propose en plat de résistance une pièce maîtresse du répertoire et, selon l’humeur du jour, sa « surprise du chef ». Chaque séance s’ouvrira en effet par la création d’une œuvre courte (10’) d’un jeune compositeur issu de l’un des Conservatoires francophones de Belgique. Aujourd’hui, c’est l’Argentin Diego Borrello, élève de Daniel Capelletti au Conservatoire de Bruxelles, qui ouvre le feu avec Bruits de joie ! DIMANCHE 5 OCTOBRE 2014 TCHAIKOVSKI 5 [PROGRAMME 04] 4. Finale. Andante maestoso – Allegro vivace – Molto vivace – BORRELLO BRUITS DE JOIE (CRÉATION, COMMANDE DE L’OPRL) NÉ EN ARGENTINE en 1977, Diego Borrello partage sa vie entre la direction et la composition. Il obtient ses diplômes de piano (M. Massone) et de direction (A. Russo) au Conservatoire National de Buenos Aires en 2006 et étudie parallèlement la composition auprès de J. Viera. Il entame une carrière de pianiste concertiste (Teatro Colón, Radio Nacional Argentina, Museo Fernandez Blanco…) et de professeur au Conservatoire National de Buenos Aires mais décide de poursuivre son parcours musical en Europe. Il se perfectionne alors auprès de Nicolas Brochot (Evry), Jorge Rotter (Mozarteum de Salzbourg), Martin Brauss (Musikhochschule de Hanovre), Colin Metters à Berlin et Philippe Gérard pour la direction d’orchestre. Désireux de poursuivre ses activités de compositeur, il suit les précieux conseils de Jean-Luc Hervé et de Bernard Cavanna en France, de Johannes Schollhorn à Cologne et de Daniel Capelletti (Conservatoire de Bruxelles). Il est lauréat de plusieurs concours de composition : Manuel Valcarcel de Santander, Jeunes Compositeurs du Conservatoire de Boulogne, Juan Carlos Paz (Argentine). Il dirige et crée ses pièces en collaboration avec divers ensembles (TM+, The New Baroque Times Voices, MaNaMa, Ictus…). COMME CHEF, il dirige avec passion un large répertoire dans une recherche d’authenticité et d’expressivité libérée des dogmes stylistiques. Il est récemment invité à donner une masterclass autour de La Bohème au Conservatoire Supérieur de Paris (classe d’Erika Guiomar). En 2013, il est en résidence au Visby International Centre for Composers (Suède). Il est invité au Festival de musique baroque de Gmunden (Autriche) puis du Berliner Symphonietta (Allemagne). Installé à Bruxelles depuis 2012, il fonde et dirige l’Ensemble Zelig, dédié à la musique contemporaine, et le Brussels Classical Orchestra, consacré au grand répertoire classique. Il est également le chef de chœur de l’ensemble vocal professionnel The New Baroque Times Voices et 2 TCHAIKOVSKI SYMPHONIE N° 5 (1888) de la compagnie d’opérette Les Bavards d’Europe. En 2014, il crée avec succès son premier opéra de chambre Le Songe, d’après la pièce de théâtre d’August Strindberg au Centre culturel de Forest. Prochainement, il est invité en Finlande pour créer une pièce « plurisensorielle » autour du Kalevala. Il collaborera aussi avec Jean-Marie Rens en tant que chef et compositeur autour d’un concert-conférence sur le Pierrot Lunaire de Schönberg et la Seconde École de Vienne. « J’ai pensé ma pièce Bruits de joie comme une musique de gestes, en ce sens qu’elle naît avant tout d’une impulsion. C’est de son essence spontanée qu’elle doit tirer sa virtuosité instrumentale. Le début de la pièce est vraiment ressenti comme une improvisation. C’est une pièce kaléidoscopique qui se laisse séduire par diverses influences. Écrire une pièce symphonique sans renoncer à la texture de la musique de chambre, ni au timbre solistique : tel est l’esprit de Bruits de joie. » (D. Borrello) 6 SYMPHONIES. Élève du Conservatoire de Saint-Pétersbourg puis professeur au Conservatoire de Moscou, Piotr Ilitch Tchaikovski (1840-1893) est l’auteur de six symphonies qui jalonnent sa vie créatrice. Si les trois premières sont encore d’une veine nationale, les trois dernières, composées entre 1878 et 1893, sont de véritables explorations de l’univers intérieur du compositeur. Commencée au mois de juin 1888, la 5e Symphonie fut créée à Saint-Pétersbourg le 5 novembre de la même année, sous la direction de Tchaikovski. L’accueil du public fut assez favorable contrairement à celui de la presse. Une autre exécution eut lieu à Hambourg en mars 1889, devant un auditoire enthousiaste auquel s’était joint Brahms, alors en séjour dans sa ville natale. L’idée de composer cette symphonie était née en mars 1888 alors que Tchaikovski résidait à Tiflis auprès de son frère Anatole. En plein travail, le compositeur avait fait part à Madame von Meck de certaines difficultés à écrire : « Il me semble que je n’ai plus la facilité d’autrefois, ni une disponibilité permanente du matériau musical ». Pour cette symphonie, Tchaikovski n’avait fait qu’ébaucher quelques lignes directrices et non un programme détaillé. Comme pour la Quatrième et la Sixième, l’élément principal est le fatum, cette force du Destin qui selon Tchaikovski empêche toujours la réalisation des aspirations les plus ardentes. Il est symbolisé par un thème récurrent dans l’œuvre entière sous différentes formes. La Cinquième est la seule œuvre intégralement cyclique (où les thèmes circulent dans toute la symphonie). L’orchestre est tout à fait classique (bois par deux) à la seule exception d’une troisième flûte piccolo et d’un tuba. L’absence de grosse caisse et de cymbales (contrairement aux deux symphonies qui l’encadrent) donne à cette œuvre un ton symphonique homogène, évitant certains excès. Enfin, le schéma traditionnel en quatre mouvements est strictement respecté. FATIDIQUE. L’Adagio du premier mouvement débute précisément par le thème lugubre du fatum énoncé aux clarinettes sur un fond de cordes graves : « soumission totale devant le destin ou, ce qui est pareil, devant la prédestination inéluctable de la providence » (Tchaikovski). Cette entrée en matière est suivie d’un Allegro ternaire dans lequel un second thème, à peine plus confiant, donne lieu à une amplification aboutissant à des éclats cuivrés. Les cordes reprennent ensuite des motifs plaintifs. Un nouveau thème en mode majeur apporte une lueur d’espoir, une embellie inattendue sur un ton pastoral souple et lyrique. Au terme du développement et de la réexposition, la coda reprend le premier motif de l’Allegro et le rythme fatidique de l’introduction sur un fond de contrebasson appuyé. 3 RUDESSE. L’Andante cantabile con alcuna licenza (« avec quelque liberté ») débute mystérieusement par de sombres et larges accords confiés aux cordes. Dans le lointain, émerge une mélodie de cor au caractère noble et recueilli à laquelle répond bientôt un thème plus lyrique et serein du hautbois, relayé par le cor, la clarinette, le basson, puis les violoncelles chantant chaleureusement dans le médium. Un sinueux crescendo de l’orchestre conduit par deux fois à l’apparition terrifiante et inattendue du thème du fatum martelé aux cuivres avec un côté implacable et une rudesse qui préfigurent les accents les plus véhéments de Chostakovitch. La fin ramène l’atmosphère de « consolation » du début. VALSE. L’Allegro moderato est une valse élégante bannissant toute ostentation. Le thème énoncé par les violons est successivement repris par le hautbois, la clarinette, le basson, les bois, puis les flûtes — l’instrumentation exclut les cuivres. La partie centrale fait office de scherzo dans lequel les cordes se lancent dans des traits en notes détachées à l’allure sémillante. Le thème principal y est repris à son tour par-dessus les traits ornementaux. L’inévitable thème du fatum apparaît tout à la fin à la clarinette mais dans un mode majeur amoindrissant son côté lugubre. TOCCATA. Le finale débute Andante maestoso par le thème cyclique énoncé aux cordes en mode majeur. La reprise aux bois n’est pas sans évoquer l’univers des marches militaires cher à Berlioz. Une transition agitée puis suspendue conduit à un vigoureux Allegro vivace parcouru de batteries grondant dans les basses et conférant à l’ensemble l’apparence d’une grandiose toccata orchestrale. Après une courte accalmie, le thème cyclique revient pompeusement avec de nets accents militaires. Ce côté triomphal marqueraitil l’épanouissement de la ferveur religieuse et le recul des obsessions fatalistes de Tchaikovski ? En dépit d’une riche invention et d’une expression intense, ce dernier mouvement pèche un peu par redondance. Interrogé à ce sujet, Tchaikovski lui-même admit une certaine disproportion de la forme. LES CONCERTS DU CHEF PROCHAINS RENDEZ-VOUS DIMANCHE 18 JANV. 15 – 16H BRAHMS 4 BRAHMS, Symphonie n° 4 DIMANCHE 22 FÉV. 15 – 16H WAGNER WAGNER, Le vaisseau fantôme, extraits | Lohengrin, extraits | La Walkyrie, extraits Evgeny Nikitin, baryton-basse DIMANCHE 10 MAI 15 – 16H LA PATHÉTIQUE TCHAIKOVSKI, Symphonie n° 6 « pathétique » Orchestre Philharmonique Royal de Liège Christian Arming, direction 4 ÉRIC MAIRLOT CHRISTIAN ARMING DIRECTION NÉ EN 1971 À VIENNE, Christian Arming a grandi à Hambourg. Disciple de Leopold Hager, il collabore étroitement, de 1992 à 1998, avec Seiji Ozawa et travaille régulièrement avec l’Orchestre Symphonique de Boston à Tanglewood et avec le New Japan Philharmonic à Tokyo. EN 1995, À 24 ANS, Christian Arming est le plus jeune chef nommé à la tête de l’Orchestre Philharmonique Janácek d’Ostrava (1995-2002). De 2001 à 2004, il est aussi le Directeur musical de l’Orchestre Symphonique de Lucerne, puis de 2003 à 2013, il occupe les fonctions de directeur musical du New Japan Philharmonic (Tokyo), où il succède à Seiji Ozawa. En 2011, il prend ses fonctions de Directeur musical de l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège. Christian Arming a dirigé plus d’une cinquantaine d’orchestres dans le monde (Berlin, Vienne, Francfort, Leipzig, Stuttgart, Strasbourg, Munich, Rome, Genève, Boston, Cincinnati, Houston…) dans des répertoires classique, romantique mais aussi contemporain. Il est également très demandé à l’opéra, notamment au Festival de Salzbourg et à Cincinnati (Le Tour d’écrou de Britten), Trieste (Le Chevalier à la rose de R. Strauss), Lucerne (La Bohème), Vérone (Salomé, Elektra), Strasbourg (Le Prince Igor), Francfort (Le Vaisseau Fantôme, Don Giovanni, Jenufa), Tokyo (Leonore, Jeanne d’Arc, Lohengrin, La Chauve-Souris), Nancy (Le Nain), Hambourg (Le Prince Igor)… DANS SA VILLE NATALE, Christian Arming avoue sa chance d’avoir pu entendre des orchestres à la sonorité typiquement viennoise, mondialement réputés dans le grand répertoire germanique (R. Strauss, Bruckner, Mahler…), mais aussi découvrir les apports de Nikolaus Harnoncourt dans l’interprétation de la musique plus ancienne. À Liège, il met l’accent sur le répertoire d’Europe centrale, profite de la tradition que cultive l’OPRL dans le domaine de la musique contemporaine, transmet sa connaissance de la musique slave (tchèque en particulier), et enrichit le répertoire français cher à l’Orchestre. DURANT LA SAISON 2014-2015, placée sous le signe Guerre(s) & Paix, il dirige une nouvelle série intitulée Les concerts du chef (Tchaikovski 5, Brahms 4, Wagner, La Pathétique), le Gala Piano (Mozart, Poulenc, Schumann, Mendelssohn), le Concert de Nouvel An (Haydn, Mozart, R. Strauss), un concert pour le Centenaire de la Première Guerre mondiale (Debussy, Ravel, Nielsen), le Festival « Guerre(s) & Paix » (Janácek, Holst, Elgar, Beethoven 9), et les concerts de gala des 1er, 2e et 3e lauréats du Concours Reine Élisabeth 2015 (violon). IL A ENREGISTRÉ des œuvres de Brahms, Beethoven, Mahler, Janacek et Schmidt (notamment avec le New Japan Philharmonic), chez Fontec et Arte Nova/BMG, et Escaich avec l’Orchestre National de Lyon (Universal Accord). Son premier enregistrement avec l’OPRL, consacré à César Franck (Symphonie et deux inédits, Ce qu’on entend sur la montagne et le Ballet de l’hiver et du printemps extrait de Hulda, Fuga Libera) a suscité de très belles critiques. D’autres disques, parus en 2013 (Saint-Saëns, intégrale des œuvres concertantes pour violon et violoncelle) et 2014 (Gouvy), ont été très bien accueillis. 5 ORCHESTRE PHILHARMONIQUE ROYAL DE LIÈGE L’ORCHESTRE PHILHARMONIQUE ROYAL DE LIÈGE est la seule formation symphonique de la Belgique francophone. Soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles (avec le concours de la Loterie Nationale), la Ville de Liège, la Province de Liège, l’Orchestre se produit à Liège, dans le cadre prestigieux de la Salle Philharmonique, dans tout le Royaume (à Anvers, Bruxelles, Charleroi, Hasselt, Namur, Saint-Hubert, Sankt-Vith, Verviers, Virton etc.) et dans les grandes salles d’Europe (Amsterdam, Espagne, France...). Depuis près de 15 ans, l’OPRL a pris le parti d’offrir le meilleur de la musique au plus grand nombre, avec des formules originales comme les Concerts du chef, Music Factory, ou les Samedis en famille. L’ambition de l’orchestre est de porter la musique toujours plus près et toujours plus loin : plus près des publics défavorisés ou isolés, plus loin grâce à tous les moyens de diffusion d’aujourd’hui (internet, télévision, radio, CD, DVD…). GUERRE(S) ET PAIX. Après des chefs comme Fernand Quinet, Paul Strauss, Pierre Bartholomée ou Louis Langrée qui ont forgé l’identité de l’Orchestre, au carrefour des influences germanique et latine, Christian Arming, directeur musical depuis septembre 2011, pousse les feux de l’excellence et élargit les horizons de l’OPRL. À l’occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale, la saison 2014-2015 a pour thème « Guerre(s) & Paix », thème évoqué par Magnard (Hymne à la justice), Debussy (Berceuse héroïque), 6 Ravel (Concerto pour la main gauche), Nielsen (Symphonie n° 4 « L’inextinguible »), Chostakovitch (Symphonie n° 7 « Leningrad ») Khatchaturian (Symphonie n° 3 avec orgue), Jongen (Sérénades), Beethoven (Symphonie n° 9), Holst (Les Planètes), Respighi (Sinfonia drammatica), etc. FESTIVALS, TOURNÉE. Poursuivant une tradition désormais bien établie, l’OPRL propose plusieurs temps forts. En mars 2015, le Festival « Guerre(s) & Paix… Alle Menschen werden Brüder » invoque l’idéal de paix et de fraternité développé par Holst (Les Planètes), Janácek (Sinfonietta), Elgar (Concerto pour violoncelle) et bien sûr Beethoven dans sa 9e Symphonie. Du même Beethoven, François Salque et Éric Le Sage donnent l’intégrale des Sonates pour violoncelle et piano. Enfin, en mai 2015, l’OPRL et Christian Arming s’envolent pour une tournée en Espagne. GÉNÉRATION OPRL. L’OPRL poursuit sa politique de soutien aux jeunes artistes, qu’ils soient belges Alain De Rudder, Tristan Driessens, Eliz Erkalp, Lorenzo Gatto, Alexander Gurning*, Robbe Kieckens, Anneleen Leenaerts, Simon Leleux, Lionel Meunier, Jan Smets, Bernd Van Echelpoel, Jan Vermeire, Steven Verhaert, Bl!ndman Sax, Quatuor Ardente, Vox luminis) ou étrangers (Iveta Apkalna*, Lidy Blijdorp*, Elina Buksha, Melanie Diener, Isabelle Georges, Lillit Grigorian*, Alexandre Kantorow*, Harriet Langley, Cédric Meckler, Peter Mikulas*, Bruno Procopio*, Beatrice Rana*, Frederik Steenbrink, Dagmar Peckova*, Jorge Luis Prats, Cédric Tiberghien, Olivier Vernet, Chœur Philharmonique Tchèque de Brno*, Quatuor Debussy). De nombreux artistes reconnus internationalement témoignent également de leur fidélité à l’orchestre : Nicholas Angelich, Philippe Cassard, Patrick Davin, Nelson Freire, Anne Gastinel, Nelson Goerner, Pablo Gonzalez, Jean-Pierre Haeck, Jean-Jacques Kantorow, Fayçal Karoui, Florence et Isabelle Lafitte, Éric Le Sage, Benedetto Lupo, John Neschling, Evgeny Nikitin*, Tedi Papavrami, George Pehlivanian, Menahem Pressler*, François Salque, Jordi Savall. (* Pour la première fois avec l’OPRL). À ÉCOUTER TCHAIKOVSKI, SYMPHONIE N° 5 •Orchestre philharmonique de Berlin, dir. H. von Karajan (DGG) •Orchestre philharmonique de Leningrad, dir. E. Mravinsky (DGG) •Orchestre philharmonique d’Oslo, dir. M. Jansons (CHANDOS) GALA PIANO JEUDI 16 OCTOBRE 2014 – 19H MOZART, Concerto pour 2 pianos | POULENC, Concerto pour 2 pianos SCHUMANN, Introduction et Allegro appassionato op. 92 MOZART, Concerto pour piano n° 20 (2e et 3e mouvements) MENDELSSOHN, Fantaisie « Sonate écossaise » Avec la participation généreuse de Nelson Goerner, Benedetto Lupo, Alexander Gurning, Philippe Cassard, piano Orchestre Philharmonique Royal de Liège | Christian Arming, direction w L e grand piano Steinway de l’Orchestre acquis en 1992 grâce aux Amis de l’Orchestre montre des signes de fatigue. Pour le remplacer, les Amis de l’Orchestre lancent l’opération « 100 000 euros pour un piano » qui s’ouvre par ce grand concert de gala. AVEC LE SOUTIEN DES AMIS DE L’ORCHESTRE 7 SALLE PHILHARMONIQUE PROCHAINS CONCERTS MERCREDI 8 OCTOBRE 2014 – 12H30 MUSIQUE À MIDI CAPRICE VIENNOIS [GRATUIT] KREISLER, Liebesfreud KREISLER, Caprice viennois SCHUBERT, Rondo brillant en si mineur DINICU, Hora staccato WAXMAN, Fantaisie sur « Carmen » George Tudoraché, violon | Claudia Bara, piano AVEC LE SOUTIEN DES AMIS DE L’ORCHESTRE VENDREDI 10 OCTOBRE 2014 – 20H SYMPHONIE FANTASTIQUE MAGNARD, Hymne à la justice MARTINŮ, Concerto pour violoncelle n° 1 BERLIOZ, Symphonie fantastique Anne Gastinel, violoncelle OPRL | Christian Arming, direction SAMEDI 11 OCTOBRE 2014 – 16H LES SAMEDIS EN FAMILLE LA SYMPHONIE FANTASTIQUE BERLIOZ, Symphonie fantastique OPRL | Christian Arming, direction AVEC LE SOUTIEN D’ JEUDI 16 OCTOBRE 2014 – 19H GALA PIANO MOZART, Concerto pour 2 pianos POULENC, Concerto pour 2 pianos SCHUMANN, Introduction et Allegro appassionato op. 92 MOZART, Concerto pour piano n° 20 (2e et 3e mouvements) MENDELSSOHN, Fantaisie « Sonate écossaise » Avec la participation généreuse de Nelson Goerner, Benedetto Lupo, Alexander Gurning, Philippe Cassard, piano OPRL | Christian Arming, direction AVEC LE SOUTIEN DES AMIS DE L’ORCHESTRE VENDREDI 17 OCTOBRE 2014 – 20H VOO RIRE FESTIVAL THE INCREDIBLE DRUM SHOW Fills Monkey DANS LE CADRE DU VOO RIRE DE LIÈGE / WWW.VOORIRE.BE 8 JEUDI 23 OCTOBRE 2014 – 20H À TRAVERS SONS BACH & SAX BACH, œuvres pour orgue transcrites pour cinq saxophones et électronique Bl!ndman Sax : Koen Maas, Roeland Vanhoorne, Piet Rebel, Raf Minten, Eric Sleichim, saxophones MERCREDI 29 OCTOBRE 2014 – 18H30 MUSIC FACTORY BONJOUR L’ANGOISSE ! HERRMANN, Psychose, suite Œuvres de MOZART, BERLIOZ, CHOSTAKOVITCH, WILLIAMS... OPRL | Fayçal Karoui, direction et présentation AVEC LE SOUTIEN D’ MERCREDI 5 NOVEMBRE 2014 – 18H30 RENCONTRE AVEC… [GRATUIT] Jean-Jacques KANTOROW, chef d’orchestre VENDREDI 7 NOVEMBRE 2014 – 20H CARMEN SAINT-SAËNS, Africa | Havanaise | La muse et le poète | Caprice andalou BIZET, Carmen, suites Gary Hoffman, violoncelle | Alexandre Kantorow, piano Elina Buksha, violon | Maria Milstein, violon OPRL | Jean-Jacques Kantorow, direction EN COLLABORATION AVEC LA CHAPELLE MUSICALE REINE ÉLISABETH SAMEDI 8 NOVEMBRE 2014 – 16H LES SAMEDIS EN FAMILLE CARMEN BIZET, Carmen, suites n° 1 et n° 2 OPRL | Jean-Jacques Kantorow, direction AVEC LE SOUTIEN D’ MERCREDI 12 NOVEMBRE 2014 – 18H30 MUSIC FACTORY HOCUS POCUS DUKAS, L’apprenti sorcier Œuvres de MOZART, TCHAIKOVSKI, RAVEL, SIBELIUS, STRAVINSKY... OPRL | Fayçal Karoui, direction et présentation AVEC LE SOUTIEN D’