fi0* Àtmée, PERVENCHES
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fi0* Àtmée, PERVENCHES
Àtmée, — JV* fi0* Pvbç d e Dimanche 17 Novembre 1889, Param ant le Dimanthe et le Jeudi. P r i x d e l*A lM »nnem ent s T A b o n n em en t t (: p o u à LB d é p a r t ^ b b n t • I ü n a a .. • v * • s h Un an...................... U fr. m o U ^ ! . ! ..................................... 7 » ! 1. Tiois OU^.- G O U R H I E R 4 1* M je m A n m o n d t e » , H é c la m e s e t ln s e i* fîo M e « M U ije ra à ft4 P o r l É e f !D E L ’O I S E fe « h é p w te m ié ! ^ , « e n ! r e ^ e a a u p u r e a u 4 u ,tfa u r n a h .^ » La poUtiqae d’apaisem^B^* dont nous Boahaltionv l’avèaemont dés le lendemain des élections’ générales,' vient d’entrer délis tfire ^oie décisive. La GhàRilB'é 6es dépnt&'a yalidé sans tiébat quatre cent cinquante iélections; .on- prévoit qu’elle' n’annulera strictem ent que celles qui serment entécbées'de fraudes matérielles, ou de îaits:4d.cori\uption assez nombreux pour en viéier le résultat. 11 y aura peutêtre une dbuzaine' de boulangistes dont la singulièi^ propagande laisse beaucoup à dire, et :qui auront & ôomparaitre :de nouveau.,4qVdnt, Ip. euffrage universel. Mais iln V ^ B ^ PBBdeces.il hécatombes », dont les in tram si^ ^te de Droite prédi saient.lé rôbéuri’ Malgré les mauvais conseil* dei M. J^apaUle PpllekWr ' M, Giémenneaui et le principal rédacteur de la lequel protestait hier à la tribune qn’op validait trop liâtivement, — les députés républicains sont résolus à persévérer dans leur excellent esprit d’impartialités Le ministère actuel, dont on avait inexactement annoncé la démission, s’est rendu compte des bonnes dispositions de la nouvelle Ghambre. 11 prépare une dé claration, dont il sera donné lecture au Parlement lundi ou mardi prochain, et qui contiendra, dit-on, un programme très nettement mo4éré. Nous en citons plus loin, d’aprés les journaux les mieux in formés,* le . résumé complet. S’il est vrai, comme tout porte à le croire, que le mi nistère de M. Tirard va se prononcer ré solument pour une politique d’affaires et de réformes pratiques, en repoussant toutes les revendications touchant la ré vision et autres chimères dont le seul ré sultat serait de semer la division dans le parti républicain, nous sommes certains qu’il trouvera dans la Chambre actuelle une majorité pour le maintenir au pou voir. La Droite elle-même, ou plutôt cette partie de la Droite qui paraît vouloir re noncer à son ancienne opposition systé matique et former un groupe constitu tionnel; ne pourrait guère le combattre. Mais il trouverait un appui plus que suf fisant dans la majorité républicaine, qui aété élue, nousl’avons maintes fois répété, sur un programme de modération, de ré formes économiques et financières, et nullement pour soulever de nouveau les questions politiques stériles et irritantes. vateurs désireux de se rallier à la Répdblique, en faisant à l’un d’entre eux, à M. Piou, par exemple, une place dans le bureau. En revenant à cette tradition; la Gauche montrerait, sans rien abandonner de ses principes, qu’elle est résolue à suivre une politique conciliante, qui répond, croyons-nous, au vœu del’opinion. ^ G. L. IN F O R M IO N S I . a d é c la r a tio n m in ls té p ie lle . L e cabinet T ira rd , qui, dans une précédente ronnioDi avait réaolu de so préaenter to u t entier devant les Chambrea, à la re n tré e , à complété jeudi matin cette résolution en décidant de faire ■ne D éclaration, lundi ou m ardi, dès que le bum u définitif de la C hambre serait constitué. * C ette D éclaration a ura pour objet de, définir la ligne de conduite politique du C a b in e te t do trac er u n program m e de travail pour la Cham bre. L e gouvernem ent' sera très n et. Il invoquera la U éaM Ité d'heeéder a ux vœ ux d'apaieem ent elairem ent exprim és p ar le pays dans les dernières élections, e t de substituer à la p olitique p urem ent spéculative la politique d’afiaires e t de réform es dont le p ays réclam e la réalisation. O n ignore encore si la déclaration m inistérielle insistera su r les questions d ’ordre spéculatif que le gouvernem ent voudrait voir é ca rter ; il n’a pas é té décidé si elle les désignera nom m ém ent ou si elle se b ornera i les indiquer p ar prétérition. Q uant aux réform es financières e t autres, le gouvernem ent ne se bornera pas à en constater l’utilité. Il affirm era sa résolution de proposer p ar voie budgétaire, d ès le début de la session ordi* naire de 1890, des réform es considérables. 11 déposera n otam m ent u n p rojet d e loi tendant à la révision de l'im pôt foncier, e n p renant p o u r base la âernièro évaluation dés propriétés bâties, qui a f û t ressortir un grand uom bre de nouvelles valeurs imposables. La p lus-value qui en résultera est évaluée &4ô millions ; elle perm e ttra la sup pression de l’im pôt des portes e t fenêtres e t d’autres dégrèvemonU. L e g onvernem ent annoncera égalem ent son in tention de reprendre dans ses principales disposi tions, toujours p a r voie budgétaire, le p ro jet dé posé e n 1886 p a r M . C arnet, a lo rs m inistre dos finances, e t te n d a n t à la réform e de l’im pôt des boissons. Parm i les dispositions conservées figu re ro n t celles qui tendent à la s u p p r a u o n d e l’eze reice. L e m inistère, après avoir donné lecture de sa déclaration, acceptera toute discussion qui, plus ou moins directem ent, perm ettra au P arlem ent d ’ex prim er son sentim ent su r le program m e qui lui a u ra é té suggéré. L e gouvernem ent dem andera que la G hambre term ine c elte discussion p ar u n o rdre d(i jo u r de confiance. Sinon, il se retirera. En nommant aujourd’hui et lundi son bureau définitif, là Ghambre des députés aura une occasion de pianifester ses sen timents de conciliation. Elle réélira, cela ne fait aucun doute, M. Floquet, prési dent, et MM. Develle et Gasimir-Périer, vice-présidents. Mais elle aurâ à choisir eu outre deux autres vice-présidents, et il serait à bouhaiter qu’elle en prit un parmi les membres de la Droite. Elle reviendrait ainsi à une habitude de cour toisie parlementaire, qui a été délaissée depuis la lutte du 16 Mai. Depuis cette époque, l’attitude de la Droite n’a pas été irréprochable, loin de là. Toutefois, il serait bon d’encourager les députés conser (9 ) FE U IL L E T O N LE CHALET PERVENCHES F o r t u n é d u B O IS G O R IB Y . — Et pourqneir murmura BIscaros stupé fait. — Parce que Je ne me mô|e Jamais des aiïairci d e s a u lK S . Le Bordelais est mort Tant pis pour luli le né le connaissais pas, etje ne tiens pas à le venger. — Mais, moi, j'y tiens. Il a été mon camarade... et l’on m'a accusé... — Tu t’es Jnsiifié. Qu'est ce qu’il te faut de dus7 Si tu es sage, tu resteras tranquille, au leu de ceurir après an gueux que personne n’a vu et qui doit être loin d’ici à cette beure. Laisse-le aller te faire pendre aillenrs. — Vous ne croyez donc plus que c'est un des Parisiens qui habitent U ville d’hiver 7 — le n'ai pas dit ça. — Veut me l'avea laissé entendre... et ce R'est pas knpoatlble. Gémouc se vantait f r é c e p t i o n s d e A f. C a m o t# L e J o u rn a l o fficiel publie l’avis suivant : « L e P résident de ta R épublique e t M” * C arnet recevront M M . les S énateurs e t M M . les Députés, au palais do l ’Elysée, les sam edis 16, 23 e t 30 n o vem bre, i neuf h eures e t demie d u soir ». L e président de l a République a regn, vendredi m atin, en audience de congé, M . Diaz, m inistre de l’U ruguay &P aris. M . C arnot a reçu égalem ent le général G nsm sn Blanco, m inistre de Venezuela à P aris, qui lui a rem is le grand cordon de l’ordre de B olivar, ainsi qu e M. le vice-am iral Layrie. L e p résident d e la République a regu, e n ou tre , M. Francisco M edina, m inistre plénipotentiaire du N icaragua, accompagné de M. G aston M enier, commissaire délégué de cette République à l’E x position de 1889, qui lui o n t rem is, de la p a rt du président do la R épublique d u N icaragua, u n petit m euble en m arqueterie de bois précieux du pays, orné d’incrustations d e monnaies, a v w une dédicace.particulière au président de la République française. M . C am ot a exprim é ses rem erciem ents e t a 8 4 50 à O N S ’A ltO N N E 'q u e n t, n e s o n t p a s é lig ib le s . L a C lia m b re e s t, i e l o n l a C o n s titu tio n , ju g e d e l'é le c tio n ; m a is e lle n ’a n i le d r o i t , n i le p o u v o ir, n i la fa c u lté d ’in v h lid e r te ju g e m e n t d u m o in d re K<e b O F e a u d o l a C h a m b r e . I r i b u i a l . A u tr e m e n t, il n ’y a u r a i t p lu s d e L a Cham bre d es D éputés procédera aujourd’hui ju s tic e n i d e s é p a r a tio n d e s p o u v o irs , n i lo is samedi à l’élection de son bureau définitif. E n n i tr ib u n a u x . prévision de c ette élection, o n s’occupait h ier dans < l e s d e u x n o m s q u e la h a u te c o u r d e D e u x o n b lié s . les couloirs de la Ghambre, des candidatures aux justib(<, co n v o q u é e e n v e r tu d o l a C o n s titu L es visiteurs qui se trouvaient vendredi, dans divers' sièges de ce bureau qui comprend : o n l’après-m idi, à la nouvelle Bastille, o nt é té vive tio n , u f ra p p é s d e d é c h é a n c e , n e d e v a ie n t lidont, q u atre vice-présidents, h uit secrétaires m ent surpris en apercevant, visitant l’établisse p a s ê t r e c o m p té s d a n s le d é p o u ille m e n t d e s e t trois questeurs. m ent dans tous ses détails, M. Grévy, accompagné s c r u tin s . 11 n ’e s t p a s a d m is s ib le q u ’u n a r r o n Po u r la présidence) la confirmation de M . F lo de M"* G révy e t de M. Tyilson. d is s e m e n t é le c to ra l, c e lu i d e iM o n tm a rlre p a s q uet dans les fonctions qu’il rem plit actuellem ent A ppuyé su r une canne, l'ancien président de la p lu s q u e le m o in s n o m b r e u x o u le p lu s p e tit i titre provisoire n e fait d e d oute pour personne. République marchait avec une réelle difficulté. De même, M M . C asirair-Perier e t Develle seront d e to u s , a b o lis s e le j u g e m e n t d e la h a u te Toutefois, sa santé { ^raît ê tre excellente.. m aintenus dans leurs fonctions de vice-présidents. c o u r, p a s p lu s q u e c e lu i d u p lu s p e tit d es Q uant à M. W ilson, très v o û té ,le regard vague, Po u r les d eux autres sièges d e vice-présidents, t r ib u n a u x . £ l la C h a m b re n 'a p a s e lle -m é M e la barbe plus que grisonnante, il a énorm ém ent on parle de M . Ju les Roche e t d’un député radical c e p o u v o ir n i ce d r o i t . E lle n e p e u t p a s lou çhangé. Il écoutait d’u n a ir distrait les expücaqui serait M. P e y tra l,M . B oysaètouM . L ockroy. c h e r a u x lo is , e x c e p té p a r d ’a u tr e s lo is , e t, jiens d’un gniJe. Mais u n grand nombre de députés de la G auche A u bout d ’une heure, les trois visiteurs se sont a lo r s , e lle n e p e u t p a s le f a ire s e u le . I l n 'y a vont proposer i leurs collègues de revenir au x èe tirés; p a s d e s e n s c o m m u n à v e n ir c r ie r à la v io la traditions de la Chambre de 1876. e t de donner à tio n d e la s o u v e r a in e té d u sulTrage u n iv e r - . la m inorité de Droite un siège de vice-président. N f o u v e llc s ù l a m a in . se l. A c e c o m p te , o n tr o u v e r a b ie n u n a r r o n Si cet avis é ta it écouté, la Gauche choisirait On avait donné à la petite Lillie une grande cage H . Piou, m em bre d e la D roite, comme quatrièm e d is s e m e n t p o u r n o m m e r le c o m te d e P a r is pleine d ’oiseanx, qu’elle avait placée a u fpnd du vice-président. o u le p rin c e N a p o lé o n , o u L o u ise M ich el. . O npara!t» 'êtrea rrâtéJU ia ,-liale < eu iw ih u P Q V ^ j Ü S S w -...................................... A u ta n t d ir e q u ’u n s im p le c o llè g e é le c to ra l ^;M { ù s tu avais treize oiseanx lui d it hier sa la désignation des secrétaires : .MM. Boissye s t a u - d e s s u s d e la C o n s titu tio n , o u q u e la m è ti; e t j e n 'e n vois plus q ue douze. d'A nglas, ' P ichon, Jutnel,' Philippon, R abier e t C h a m b re d e s d é p u té s , q u i n ’e s t q u ’u n d e s — « Oui, m am an; Je t’oi socvent entendu dire Lavertujon, de la Gauche ; M M . Aihédéo D u h a re tr o is p o u v o irs d e l 'E t a l , e s t le p o u v o ir q ue le nombre treize p o rtait m alheur, a lo rs... j ’en e t de K ergorlay, de la Droite, u n iq u e .» ai fisit envoler un I Enfin, pour ' la . questure', la réélection de * MM . Guillaomott e t du commandant R oyer, qui * * rem plissaient déjà ces fonctions dans la précédente L e p etit Robert atotO ours de mauvaises notes Chambre, ne soulèvera aucune diffionité. en arithm étique. Son père le conduit dernièrem ent P a r contre, le troisième siège de questeur s era dans une bsraque de chiens savants. vivem ent disputé. On cite parmi. les candidats : — T u vois, R obert, comme ce caniche sa it bien MM. A lbert Ferry, Duclaud, Pochon, G erm ain com pter. Cola ne te fait-il pas honte? (H sute-G aronne), Bizarelli, N uol-Parfait. ' - 1- Oui, papa; mais, m aintenant, interroge-le d u c h â t e a u d e l a 'V i c t o i r o . d n peu su r la géographie, po u r voir. chargé le m lnidtre plénipotentiaire de les tra n s m ettre & M . le p réudent de la République du N icaragua. L ab lô n se de M. T hivrier, em pêche, pardlt-il, quelques-uns de ses collègues de d orm ir. ’ H . de Guillontet, député des Landes, e s t venu t la G hambre coilfé du b ére t landais. 'P our peu que cels continue, la Cham bre ne tnanquora pas de pittoresque. CHRONlQjJE LOCALE L E VOL l i ’A s s o c i a t i o n d e s d a m e s fra n ç a is e s . L ’Association des dames françaises a tenu ven dredi son assemblée générale, dans la saHe des fêtes de l’H ôtel C ontinental, q u i s’est trouvée trop petite pour la nom breuse assistance q ui s’y p re s sait. M. G eorges B erger présidait la réunion, a y a n t à ses côtés la présidente d e l'ceuvre, Mme la com tesse Foucher de Gareil, M M . le» docteurs DnchaùsBoy, Dujardin-Beaum elz e t ColUn, M M . le baron L arrey e t le com te Foucher de Gareil. Des rapports lus au cours de la séance, il r é sulte que rA ssociation, q u i com pte neuf années d ’existence seulem ent, a depuis sa fondation dis tribué ou dépensé 650,000 francs. E lle e st actuellem ent en m esure d'organiseï' des secours d ans c e n t cinquante localités. Cette année l’A ssociation a envoyé des provi sions de toutes sortes à l’arm ée du T onkin e t a secouru u n grand nom bre de soldats re venant de l’E xtrêm e-O rient. De plus, elle a distribué des sommes im portautes aux victim es de différeutes catastrophes, telles que l'oxplorion du p u its V erpilleux, le n au frage de l’^ f f a e t d u Q u atre-F rèret. L ’énuméraÜon des nom breux services q u ’a rendus l’Association e t des heureux résultats obtenus p a r elle a provoqué dans l’assistance des applaudissem ents chaleureux qui o n t redoublé lorsqu’à la fin d e la séance M . B erger a rappelé qu’un g ran d prix avait été accordé à l’ceuvre p ar le ju ry de l’Exposition universelle pour le s re marquables perfectionnem ents qu’elle a apportés au m atériel d’hospitalisation d es blessés. d’être lim ant d’une femme mariée... Le mari n bien pu... — Les maris de Paris ne sont pas si terribles. Et puis il parait qu'on a pris I argent que Gémozac avait dans ses irocbes. Un monsieur du beau mande a’aurati pas fhil ça. Mais, puisque tu veux absolnmehl que Jè te dise ce que je pense de cette hisioire-là, je pense que ce n’qstpas la-peine de cheicher midi à quatorze heures. Les résiniers sont honnêtes, mais les rôdeurs ne manquent pas dans,la forêt, et ce n'est pas la première feis qu'on y attaque les Nssatits; J'ai idée que l'assassin est un Espagnol comme il en vient souvent par ici; une feis leur coup fait, ils passent la frontière, et on n eles revoit Jamais. Lebonbommeparlaitavec tantdeconviciion que Biscaros était tenté de se ranger à son avis, et pourtant quelque chose lui disait que le meurtre du malheureux Oémozac n'avait pas eu seulement le vol pour mobile; et qu'une femme avait Joué un rôle dans cette tragédie. \ ^ Quelle femme et quel rôle? Biscaros neMe devinait pas; mais il commençait à croire que le vieux résinier n’avait peut-être pas tort de lui conseiller de renoncer à éclaircir ce mystère. Que gagnerait-il à ponrsuivre un introu vable assassin? Le Juge qui l’avait Btit élargir n’avait vraisemblablement pas l’intention de revenir sur sa décision, et, alors même que ce Juge tarderait à rendre une ordonnance de nen-lien définitive, le temps suffirait à . réhabiliter dans l’opinion, pobliqné un galant bemme Iqjustemeat soupçonné. Bernadette nevenaltellepasde lui déclarer qu'on l'attendait au cbalet des Pervenches, et qu'il y serait très-bien reçnt Bemadetle IS e n tia , A SE;NLI5. au B u re a u d u Jouri^nl, 1, n ie ,S e jB ^ P lm f » i , . j e t chez to u s lès L i b r a i ^ s d u d é ^ tt e i h e ii t .— tle a e n n e d o o ae Se n tis, le 16 N o v e m b re 1889, S ix m o is . . . . . . . . . . . T r o is m o is ........................ r u e A V IS a v e ; r a i x .wma iQ is f r t io n s , 46 tr. U n vol a v e c elT raçtion a é té c o m m is , d a n s la n u i t d e j e u d i à v e n d r e d i, a u c h â te a u d e la V ic to ire . L e s m a lf a ite u r s s ’y so n t in ir o d u ils a v e c u n e a u d a c e in o u ie , e t ils y o n t s o u s tr a it d e u x d o u z a in e s d e c o u v e r ts d ’a r g e n t e t d iv e r s p e tits o b je ts . T o u t le m o n d e c o n n a ît l e c lu U eàu d e M . d u C o u lo m b ie r ; o u s a it q u ’il e s t s itu é p r é s d e la r o u le d e S e n lis à E rm e n o n v ille , à l a V ic to ir e , q u e lq u e s m è tr e s a p r è s V ille m é trio . I l e s t c o m p lè te m e n t e n to u r é d e m u r s o u d e tre illa g e s e n fer^ e t o n n e s u p p o s a it g u è r e q u e d e s v o le u r s p u s s e n t s’y g lis s e r p e n d a n t la n u i t s a n s d o n n e r l’é v e il â s e s n o m b re u x P ancarte lue su r la p o itrin e d’un aveugle, près h a b ita n ts . do la' porto Rapp : L ’e n tr e s o l d u c h â te a u e s t o c c u p é p a r c in q A v eugle d o m e s tiq u e s , d o n t d e u x v a le ts d e c h a m b r e ; • p u r m ite d e n i'e ie ilé . le p r e m ie r é ta g e , p a r M. d u C o u lo m b ie r e t sa f a m ille . P e r s o n n e n ’a e n te n d u le m o in d re b r u i t p e n d a n t la n u i t d e j e u d i â v e n d r e d i. L e s v o le u r s o n t b r is é d ’a b o r d la p o r te c o c h è r e d u p a r c , q u i e s t s itu é e d u cô té d e s c a r r iè r e s d e M o n t-l'E v é q u e . D e là ils s e s o n t d ir ig é s , e n tr a v e r s a n t le j a r d i n , v e r s la C H A M B R E D E S D É P U T É S f a ç a d e o u e s t d u c h â te a u : i l s o n t e n le v é e n s u ite l ’u n d e s v o le ts d u s a lo n , d o n n é u n D a n s s e s d e u x d e r n iè r e s sé a n c e s , la c o u p d e d ia m a n t s u r u n c a r r e a u d e v it r e , e t C h a m b re d e s d é p u té s a v a lid é u n tr è s g ra n d ré u s s i p a r ce m o y e n à o u v r ir la f e n ê tr e . R ie n n o m b re d ’é le c tio n s : 45 0 , s u r u n to ta l d e n e le u r a é té p lu s a is é a lo r s q u e d e p é n é tr e r 576. d a n s le s a lo n , e t d e là d a n s la s a lle à m a n E lle a v a lid é n o ta m m e n t le s é le c tio n s d e s g e r e t la c u is in e . cinq d é p u té s d e l'O is e , MM. B o u d e v ille , O n n ’a r e tr o u v é l a tr a c e d e s p a s q u e d 'u n D e la u n a y , H a in s s e lin ,d e l’A igle e t G a illa rd . s e u l m a lf a ite ’i r , m a is il e s t c l a i r q u ’il a v a it D a n s sa s é a n c e d 'a u j o u r d h u i s a m e d i, la p lu s ie u rs c o m p lic e s d o n t u n , to u t a u m o in s, C h a m b re p ro c è d e à l’é le c tio n d e s o n b u r e a u c o n n a is s a it t r è s b ie n le p la n e t le s h a b itu d e s défio ilif. d e l à m a is o n . L e re z - d e - c h a u s s é e a é té m is a u p illa g e . L e s v o le u rs o n t s o u s tr a its p o u r d o u z e c e n ts fr a n c s e n v ir o n d e c o u v e r ts d ’a r g e n t, s a n s s e d o n n e r la p e in e d e s e c h a r g e r do l a v a is s e lle e n r u o lz q u ’ils o n t la is s é e s u r le c a r r e a u d e l a c u is in e . Ils n ’o n t m ô m e p as e t l e f a u x C o m t e D ilto n e u b e so in d e f r a c t u r e r le b u ffe t, p o u r s 'e m D E V A N T E A C H A M B R E p a r e r d e ce q u ’ils c h e r c h a ie n t : ils o n t d é c o u v e r t la c le f d a n s u n tir o ir , e t o p é r é le u r E n v is a g e a n t la q u e s tio n d e la v a lid a tio n v o l to u t à l e u r a ise . des é le c tio n s , M. J o h n L e m o in e , a p r è s a v o ir Ce n ’e s t q u e d a n s la m a tin é e d e v e n d r e d i re c o m m a n d é à la C h a m b re d e n e p a s a b u s e r q u e le s d o m e s tiq u e s d u c h â te a u s e s o n t des in v a lid a tio n s , s 'e x p r im e e n c e s te rm e s , a p e r ç u s d e c e v o l a c c o m p li a v e c ta n t d ’a u d a c e . d a n s le M a lin , s u r le c a s p a r tic u lie r d e I l s n 'o n t e n t e n d u , — o n t- ils d é c la r é à la M&l. B o u la n g e r e t D illo n : g e n d a r m e r ie e t à M. le J u g e d ’in s tr u c tio n , q u i s e s o n t im m é d ia te m e n t t r a n s p o r té s s u r c N o n s n e c o m p re n o n s p a s q u e l a q u e s tio n le s lie u x , — p a s le m o in d r e b r u i t p e n d a n t puisse ê t r e lé g a le m e n t e t c o n s titu lio n n e lle la n u it. m e n t d is c u té e . M U . B o u la n g e r e t D illo n s o n t A u ssi v a - t - i l ê t r e f o r t d iffic ile d e r e t r o u v e r p riv é s d e le u r s d r o its c iv ils , e t, p a r c o n sé - , le s a u te u r s d u v o l. O n su p p o s e q u ’ils o n t Tin am i d’enfance de G nibollard vient d e m ou rir d'nfie congestion cérébrale. L e neveu du défunt lui raconte ses derniers m om ents. — E n sortant de tab le, d it-il, mon oncle s’est assis avec un journal dans la main, il a b a i ^ 1^ tè te , il a ôté ses lunettes e t il est m ort. — Il a ô té ses lunettes I reprend Guibollard, a h t ta n t mieux I a u m oins il né s’e st pas vn m onrir. b lo n s o d u c ito y e n T h iv p le r. L e citoyen T hivrier ne s e ra it-il qu’un s o ô a liste « pâte tendre a? ' A iin de nos confrères, qui Ini dem andait : « Combien d e tem ps garderez-vops v o tre blouæ ? » le député de MonÜuçon a répondu ; — .Chaque foiÿ que j'ira i à la C ham bre, je la m ettrai. J e l’m promis à m es électenrs ; c’e s t m on habit de cérém onie... M aintenant, term ine en rian t le dépnté de l’A llier, p o u r a lle r dans la rn e je ne m’en revêtirai pas to ujours, car. après tout» su r m on p a le to t, elle n e m ’e s t pas d’une grande utilité. Citoyen T h ivrier, vous foiblissezl n'évait aucun intéi^t à inventer cela, et si elle disait vrai, qu’importaient à Aurélien les mauvais propos? N’avait-il. pas conservé la sympathie de Camille Civrac; un magistrat sérieux qulne serait pas resté son ami s’il eût douté de son innocence? Ainsi soutenu. Bisçanps, pour marcher tête levée, n’avait pas besoin de livrer h la Justice l’assassin de Gémozac. Ses méditations furent interrompues par la voix de La Cliamade, qui reprit d’un ton presque paternel : — Crois-moi, mon fils, ne fait pas l'agent de police. Ça ne te pçrtermt pas boqheur. Tu n'as pas de vocatjon pour ce métieiylà, et tu n’arriverais à rien. Et puis, il y a une Justice là-haut, et si l’on ne découvre jamais l’assassin, ce sera la preuve que le Bordelais n’a en que ce qu’il méritait. Cette singulière idée firappa Biscaros', et 11 se demanda de plus bellè .si Gémozac n'était pas tombé sous la vengeance presque légitime d’un homme qu'il avait offensé plus gravement qu'on n'offense un mari qu’on trompe ; d’un l^re, par exemple, d’un père dont il aurait déshonoré la fille. Biscaros se demanda aussi d'où cette idée était venue au solidaire du Trucde la Truque, et si ce vieux résinier n’en savait pas plus long qu'il n'en voulait dire. Quei qu'il en fût, Biscarps ne pouvait plus espérer d'en tirer des éclaircissements, et il ne tenait pas à prolonger une entrevue inutile. Il y tenait d'autant molol quil lut tardait d'êtrâ seul pour réfléchir h tout ce q,u71 venait ffenléndre. — Merci, mon brave, dit-41; vous ne m'avis pas beaucoup renseigné, mais Je ne regrette p u d’être venu, car vous maves LE PARLEM ENT r e p r i s le c h e m in d e P a r i s , d 'o ù i l s v e n a ie n t s a n s a u c u n d o u te , p o u r y e m p o r te r le s cou v e r ts d ’a r g e n t, q u ’ils o n t (jù r é d u i r e e n l in g o ts , s e lo n l e u r h a b itu d e . T o u t c e q u 'o n a ' p u f a ir e a d o n c é té d ’o u v r ir > 'u n tf e n q u ê t e , . d 'i n t e r r o g e r to u s le s h a b ila n is d ù c lià ie a u , e t d ’e n v o y e r à P a r i s le d é ta il d e s o b je ts V olés. M ais a u c u n in d ic e n 'a p u m e tt r e la j u s t ic e s u r la t r a c e d e s m a lf a ite u r s a u m o m e n t o ù n o u s é c r iv o n s , e t il e s t à c r a i n d r e q u e , c o m m e c o la s ’e s t p a s s é à l a s u i te d e s v o ls c o m m is , il y a d e u x a n s , a u c h â te a u d q ; L a m o rla y e e t a u c h â te a u d e M o r le io n ta in e , ( le s v o le u r s n e s o ie n t p a s d é c o u v e r ts . ' , O n s e r a p p e lle , e n elTet, q u ’e n (8 8 7 e t . ( 8 8 8 , d e u x v o ls d e m ô m e n a tu r e s e s o n t p e r p é tr é s a u c h â te a u d e M o r te fo n ta in é , d a n s > d e s c o n d itio n s id e n liq u e s . L e p r e m ie r d e ç e ^ . v o ls n e fu t ja m iiis d é c o u v e r t. L a se c o n d e fo is , c o m m e le s o b je ts v o lé s é t a le n t d e s t itr e s le r e n t e , o n r é u s s it à m e ttr e la m a in s u r p n le s c o u p a b le s , g r â c e a u num (^ro d e s v a le u f s . ; d é r o b é e s , q u ’il a v a i t p r é s e n té e s c h e z . u n . d ia n g e u r . Ce m a lf a ite u r , c o n d a m n é aux, i r a - ; v a u x fo rc é s , s e r e f u s a d ’a ille u r s ,', j u s q n 'à ù ‘ d e r n i q f m o m e n t, à d o n n e r le n o m d e s e s ; ç o Q ip k ces. O u tr o u v a s u r lu i l a lis té e t l a p la n u e s c h â te a u x d e s e n v i r o n s d e d e s tin é s à r e c e v o ir l a v isite ; d e s a b a n d e , m a is il f u t Im p o ss ib le d e d é c o u v r ir le s n o m s ; de.s a u t r e s m a lf a ite u r s . S a n s e x a g é r e r (és c o n s é q u e n c e s d u v o l d u c h â te a u d e l a V ic to ire , il e sl p e r m is d é f a ir e à c e s u je t b ie n d e s ré ile x io n s . L a p r e m i è r e , . . c ’e s t q u e le s p r o p r ié ta ir e s d e c h â te a u x e t d e m a is o n s is o lé e s s o n t tr o p c o n h a n ts e t n 'e x e r c e n t p a s u n e v ig ila n c e s u ffis a n te . I l y a m ille m o y e n d e d é jo u e r les e n t r e p r i s e s d e s v o le u rs : te s s o n n e tte s d ’a l a r m e , le s s e r r u r e s d e s û r e té , 'e tc ., e tc . M ais c ’e s t là le p e tit c ô té d e la c h o s e . L e s b a n d e s d e p illa r d s s o n t to u jo u r s le s m ôm es : ce so n t d e s rô d e u rs d e b a rriè re des e n v ir o n s d e P a r i s , q u e ta p o lic e d e la S e in e n e s u r v e ille p a s a sse z ) q u ’e lle l a is s e r e m e t t r e . e n lib e r té a p r è s q u e lq u e s m o is d 'e m p r is o n n e m e n t, s a n s le u r in t e r d ir e r ig o u r e u s e m e n t le s é jo u r d e P a r i s e t d e s e n v i r o n s . I l y a u n e loi s u r le s r é c id iv is te s : il f a u t l ’a p p liq u e r s a n s r e lâ c h e e t p u r g e r la b a n lie u e p a r i s i e n n e d e s b a n d i t s d e p ro fe s s io n , q u i v ie n n e n t e x e r c e r j u s q u e d a n s n o tr e d é p a r te m e n t l e u r s a u d a c ie u s e s e n tr e p r is e s . L e ( 3 n o v e m b r e c o u r a n t, le s ie u r R o b in e l l e ( C h a r le s ) , j a r d i n i e r à V ille m é tr ie , a n n e x e d o S e n ti s , s’e s t a b s e n té d o s o n d o m i c ile d e d e u x à c in q h e u r e s d u s o ir , p o u r a l l e r f u r e t e r a v e c M. C.ucl, s o n p a t r o n . A s a r e n t r é e , il a c o n s ta té q u ’u n f u r e t e u r d ’u n a u tr e g e n r e s’é ta it i n t r o d u i t c h e z lu i e n c a s s a n t u n c a r r e a u à la fe n ô .tj^ d e s a c h a m b r e à c o u c h e r , â v a i r fo rc é s o i r a r m o ir e « t, y f u r e ta n t , e n a v a i t f a it s o r ti r u n e p e tite b o ite e n c a r to n r e n f e r m a n t q u a tr e m é d a ille s , d o n t d e u x e n v e r m e il e t d e u x e n a r g e n t , q u i lu i a v a ie n t é té d o n n é e s p a r l a S o c ié té d ’h o r tic u l tu r e , e t l’a v a i t e m p o r té e a v e c s o n c o n te n u , a in s i q u e q u a t r e c u illè r e s à c a fé e n v e lo p p é e s d a n s d u p a p i e r e t p la c é e s à c ô té d e l a d i t e b o îte s u r u n e ta b le tte d e l’a r m o ir e . L e m ô m e j o u r , l’h a b ita tio n d e s é p o u x IL azard , d e m e u r a n t a u m ô m e lie u , a a u s s i r e ç u la v is ite p r o b a b le m e n t d u m é m o i n d i v i d u , m a is l à , le f u r e te u r a d û s’e n a l l e r b r e d o u ille . L e s r e c h e r c h e s d e l a p o lic e e t d e l a g e n d a r m e r i e p o u r a r r ê t e r c e s a n s - g ô n e n ’o n t p a s e n c o r e a b o u ti. J e u d i, v e r s d e u x h e u r e s d e l'a p r è s - m i d i , u n a é r o s ta t e s t p a s s é d u c ô té o u e s t d e n o t r e v ille . S a m a r c h e p a r a is s a it d o u c e ; i l s e b a la n ç a it m o lle m e n t d a n s le s a i r s . L a p r o m e - LE BBAV COnSIONNHRE d a n ^ a n a c e lle , a^ f a it e n v ie a s s u r é m e n t à p lu s d 'u n a m a te u r . N o u s n ’a v o n s p a s a p p r is le lie u d e soa a t t e r r is s e m e n t. I l n o u s a s e m b lé q u ’il s e di-r r ig e a i t s u r S a in t- C h r is lo p h e e t P o n l - S a i ù l e M a x en ce. N o u s tr o u v o n s d a n s l a li s t e d e s p r ix d e . v e r tu d é c e r n é s c h a q u e a n n é e p a r l’A c a d é m ie f r a n ç a is e , le s n o m s d e d e u x d o m e s tiq u e s d e n o t r e ré g io n , q n i o n t r e ç u u n e ‘ r é c o m p e n s e I d e 500 f r a n c s p o u r le u r b o n n e c o n d u ite . donné des avis dont Je ferai mon profit. > en plein air ; mais elle lui avait fali envisager Maintenant, il faut que je vous quitte. f sa situation sous un autre aspect, et en — Tu rentres à Arcachon ! demanda le ] même temps «Ile avait éveillé en lui tin père La Chamade, en regardant Aurélien soupçon. L’insistance qne le bonhomme avait mise dans le blanc des yeux. à le déteurner de son projet de chercher — Pas directement. — Je comprends. Tu tiens à passer par la l'assassin lui semblait suspecte, et il était assez disposé à en conclure que le vieux ville d’hiver. — Au contraire. J'ai envie de pousser résinier le connaissait, cet assassin mysté jusqu'à l’étang de Cazau, que Je n'ai pas vu rieux, et qu'il avait des raisons particulières depuis longtemps, et de revenir par la Teste. i>oor souhaiter qu'on ne le découvrit jamais. — Tu en auras pour trois heures au ' Hais quelles raisons? Son fils, Pierre, avait prouvé un alibi, et, en dépit des doc moins. ^ Tant mieux I Mon cheval n'est pas sorti trines qu'il avait formulées si hardiment sur depuis quelques jours, etje tiens à le fatiguer. la l^itiroité du meurtre dans certains cas, on ne pouvait guère supposer que La — Tu n’as pas peur de t’égarer? Chamade eût tué, pour venger une i^ure. — Non, je connais le chemin. — Alors, bon voyage, mon garçon ! dit personnelle, un homme qu’il ne connaissait pas du loutf pour le voler, pas davantage, brusquement le vieux. Et, tournant le dos au fils de son. ancien car sa réputation d’honnêteté était prover biale dans le pays, à (elles enseignes que le armateur, il rentra dans sa butte. Biscaros n’était pas tenté de Vf suivre. 11 juge de paix qui avait fait arrêter le^fiU se remit à traîner son cheval par la figure n'avait pas cru devoir interroger le père. Biscaros en était là de ses réflexions, lors jusqu'au bas du revers opposé de la dune, que le brùlt d’un galop furieux lui fit lever la qui de ce côté était presque coupée à pic. Là, il retrouva le garde-fea qni mène à tête Il vit, au sommet de la dune, une femme i’étangde Cazau par le Natuset leCourneau, — deux agglomérations de cabanes occupées «n amazone, montée sur un grand cheval alezan qu’elle avait lancé ventre à terre sur par des résiniers, et il remonta en selle. Il avait envie de galoper pour se raûratehir cette pente abrupto, au risque de se casser le les i d t e . Il piqua des deux et 11 fit deux cou, et qui arrivait droit sur lui. La première pensée d’Auréllen fut de se kilomètres à rend de train, qneique la route fût encore très-accidentée. Mais bientôt il dut garer, car le cnemin n'était pas large, et remettre sen cheval an pas pour frimchlrune Fimprudente écuyère, qui descendait la côte autre dune à peu près auui escarpée què le à cette allure insefisée, devrait le culbuter s’il ne Inl laissait pas le passage libre ; puis 11 TmcdelaTrnqne. Il pût alors donner audience anx pensées comprit presque inssiiôt qu elle devait être que venait de lui suggérer sa oonférence emballée, comme en dit, et qu'elle allait infailliblement se tuer, s’il n’intervenait avec le père La Chamade. Elle ae l'avait p u éclairé, cette coiférence p u . Rien n'est pins difficile qne d'arrêter un cheval qui a pris le mors aux t^eptô; mais Aurélien, vigoureux et «droit, 'i^ olu t d’essayer. Il se campa bravement au milieu de la . route, et il attendit, penché sur sa selle et le bras tendu pour saisir les rênes, an moment où la dame arriverait à sa portée. Il n’attendit pas longtemps, et sa hardiesse lui réussit. L’alczan, pris à la bride par une main de fer, plia sur ses jarrets et se cabra; mais l’amazone tint bon et maîtrisa l'animal. Alors; seulement, Biscaros reconnut la marquise de Brioùze. Elle le reconnut aussi, ét au lieu de le remercier du service qu’il venait de lui rendre, elle lui dit froidement : — Ah l c’est vous, monsieurl... Pourquoi me barrez-vous le chemin? — Pardonnez - moi, madame, murmura Biscaros tout décontehancé. J'ai cru que vous étiez en danger, et Je.\. — Vous m’avez prise pour nne novice en équitation. Rassurez vous, monsieur, U y n (rois ans qne je monte Ralph II n'est pan toujours commode, mais II ne m a p u p g n é à la main. C’est moi qui la lui al rendue, parce que je ne connais pas plus grand plaisir que celui de descendre aux aUnrei vives les pentessablonneiises desdunes. Non mari prétend quMè m'y romprai les os, mais Je te laisse dire. Et attjourd'hal Je,me w ij^* de m’être livrée à mon divertissement préféré, puisqu’il m’a fourni l^occasloa de. vens ^ ^ vous m'aviez,rencontrée chimhMuitmi pas sur une reuie droite, vous m aurlet u n s doute évitée. . ■, . > — Certainement non, madame. J'avais A cœardevoaaremerderetdevouinpUqaer..^ 1 I IOOIINâ L BE 8BNLI8 G e s o n t le s n o m m é s H a r ie - T h é r è s e D led , d b m e s tiq u e h C o y e , e t S lé p lm n ie C a rr é , do N oyon. E fa t-c iv il d e S e n lis . N a iu a n « t$ . Du 9 novem bre. P a o n ( M a rie -L o u is e -J e a n n e O abrielle). 10 •— ' V iolet (Hôlàno-lilarcoUo). O fe h . D u l2 n o T em b re.M in ard (Jules-A lexandre), 15ans. M a riages. (N éant). P u b ltc a tio n s de m ariages. M . D ropsit (C asim ir-A drien), c arrier & Sontis, et M lle Legrand (U m ôrie-A m élio), blaDchUsouse & Gham ant. la rv k é d tS e iIii d i 12 Novembre 1889 B I S IO N X T IO N DBS OIU1N8 BI4 blmne, 1** qu&l. / 1 ” qnal. F ro m e n t {2* — U* S è ig le ....................... Prix Pold« Prix lia Übsenalitu d« tOOkll- l'beet. l'baei. 23 22 22 21 12 18 n no 50 n» 50 50 »» »» 79 79 77 70 70 47 40 18 17 16 15 8 8 6 15 Sans var. 75 Lt. 95 Id. 05 Id. 75 ' Id. 45 Id. 80 Id. P rix du P a ia d n - t Blanc . . . 0,30 le kilog. 1 * 'a u 16 N ovem bre.) B i s - b l a n c . 0,31 B o r a n . — On nous écrit : L e 11 n o v e m b re , v e rs h u it h e u re s d u m a lin , lo n o m m é B o u te llie r (A lb e rt), c h a r r e t i e r à B o ra n , q u itta it lo M e s n ii-S a in tD e n is p o u r r e t o u r n e r a u d i t B o ra n . Il é ta it a c c o m p a g n é 'd 'u n n o m m é F a u x ( i u l e s ) , c h a r r e tie r d e b até.'tux à S a in t- L c u - d ’E sso r r e n t . S u r la ro u le n* 4 1 8 , a u lie u d i t le < G ra n d T e r r i e r » , l e r r ilo ir e d e B o ra n , F a u x se r u a s u r s o n c o m p a g n o n d e r o u le , le t e r ra s s a à co u p s d e p ie d e t d e p o in g , e t a p r è s l’a v o ir d e n o u v e a u v io le m m e n t fra p p é , il le d é p o u illa d o d e u x p ièce s d e 2 0 fi'a n cs d o n t B o u te llie r é ta it p o s s e s s e u r : p u is , lu i m e tta n t le c o u te a u s u r la g o rg e , il lu i lit p ro m e ttr e d e n o r ie n d ir e , a p r è s n u o i II p r i t la fu ite d a n s u n b o is q u i b o rd e la r o u te . L e s 40 f r . q u e p o s s é d a it la v ic tim e d e c e tte au d a 'c ie u se a g re s s io n é ta ie n t d e s tin é s à f a ire le s fr a is d e so n d é p a r t a u r é g im e n t. A u r e ç u d e l a p la in te d e B o u te llie r, la g e n d a r m e r ie d e . \e u illy - e n - T h e lle s ’e s t m ise à la rc c iic r c h o d e F a u x , m a is s a n s p o u v o ir le d é c o u v rir. E s p é r o n s q u e c e v o le u r d e g r a n d c h e m in n e la r d e r a p as à ê tr e p r is e t à r e n d r e à ta ju s tic e le c o m p te s é v è re q u 'ii lo i d o it. C l i a m a n C . — O n n o u s é c r it : L e 12 n o v e m b r e , la g e n d a r m e rie d e S e n lis a a r r ê te à C h a în a n t,'p o u r m e n d ic ité e t vaga-< b o n d a g c , le n o m m é B o d in (F ra n ç o is - M a rie ) , m a n o u v r ie r , s a n s d o m ic ile lix e . B odin a été m is à l’a b r i d u b e so iu d a u s la m a iso n d ’a r r ê t d e S e n lis . i Oreil, e t H enriette-M albilde-JantiD e Dagtiln, Bsns profession à S autnur (MaiDO-et-Loirn). Paul-O rpliire I>esjardina, garçon bouober. e t A ona-Carotine Quemio, eana profesiioD, toua deux dotpiciliès à Creil. d e s m e u b le s à F e id e d u c o n p e re t. N ’a y a n t p a s tro u v é d ’a r g e n t, ü n d é d a ig n é to u t le re s te e t s 'e n e s t r e to u r n é b r e d o u ille . I l n 'e n a p a s m o in s c a u s é p o u r 400 f r. d e dégA ts; c e t a u d a c ie u x m a lf a ite u r n 'a j u s q u ’ic i p u ' ê t r e d é c o u v e rt, '' HAUIAOI A rth u r Damieo, em ployé de chem iu d e for, domicilié à Rieux (O ise), e t Jutia-M arlha Bern anx, blanchUaeuso, dom iciliée à C reil. K e l e n e u x . — O n n o u s é c r it : ' L e 4 4 n o v e m b re , lo n o m m é* L éc alllo n (C lo v is), â g é d e 48 a n s , n m is On A se s Jo urs o n s e p e n d a n t d a n s s o n é ta b le p e n d a n t que s a fem m e e t s a tille é t a ie n t a n l a v o ir . D ep u is' q u in z e a n s , c e m a lh e u r e u x soulT rait-ÿd’a n c a n c e r à l'e s to m a c . A m a in te s r e p iis e s d é jà , il a v a it m a n if e s té l’in te n tio n d ’e n U n ir avec la v ie . C’e s t d o n c a u x c r u e lle s so u ffra n c e s p h y s iq u e s q u ’é p r o u v a it L é c a illo n , q u ’il faut a t t r i b u e r la f a ta le d é te r m in a tio n p r is e p a r lu i d e q u i t t e r le m o n d e . F o u r n i v a l . — J e u d i d e r n i e r , vers n e u f h e u r e s e t d e m ie d u s o ir, M’. H àllo t, g a rd e -p u i-ijc 4 iR q r,4 M l* L e ^ r e o d , f a is a it « n e to u rn é e d a n s l e b o is d e M o n T p o u ria ré p re s s io n d u b r a c o n n a g e , lo i-sq u 'il a p e r ç u t d eux i n d iv id u s q u i e n tr a ie n t s o u s b o is ; il s’em b u s q u a d e r r i è r e u n a r b r e e t lo r s q u e le s deux b r a c o n n ie r s f u re n t à s a p o r té e i l s ’é la n ç a s u r e u x , m a is ils l’a v a ie n t a p e r ç u a sse z à te m p s p o u r p o u v o ir p r e n d r e l a fu ite c h a c u n d a n s u n e d ire c tio n o p p o sé e . M. ll a l l u t s e la n ç a à la p o u r s u ite d e l'u n d e s fu y a rd s e t il a lla it l ’a tte in d r e lo rs q u e le b r a c o n n ie r lit u n e b r u s q u e v o lte -fa c e e t le m it e n j o u e e n lu i d is a n t ; < R e c u le o u j e le tu e ! » S a n s s e la is s e r e ffra y e r , le g a r d e se p ré c ip ita s u r le b r a c o n n ie r q u i lit fe u s u r lui à b o u t p o r ta n t, m a is le c o u p r â l a h e u r e u s e m e n t. S a n s p e r d r e u n in s ta n t, l’a g e n t sa isit p a r le c a n o n l'a r m e d u b r a c o n n ie r e t, com m e il é ta it lu i-m è m e a rm é d 'u n r e v o lv e r, il lira u n co u p e n l’a i r afin d ’in tim id e r so n a ilv e r s u ir e q u i s e m it à c r ie r .* « A m o i, A r th u r! U n e lu tte s ’e n g a g e a a lo r s e n t r e le s deu x h o m m e s , m a is le b r a c o n n ie r , q u e le g a rd e p r é te n d a v o ir r e c o n n u p o u r u n n o m m é X ..., d e B u lle s, p a r v in t à s e d é g a g e r e t à p r e n d r e la f u ite à ti a v e rs le b o is o u il s ’e s t s a n s d o u te ca c h é , c a r , m a lg ré d e n o u v e lle s r e c h e rc h e s , le g a r d e n ’a p u lo r e tr o u v e r . ' L a g e n d a r m e r ie a o u v e r t u n e e n q u ê te . C l i a o t i l l y . — M. le d u c d e C lia rtre s , d e p a ssa g e à P a r is , s e r e n d a n t a v a n t- h ie r à la g a i e d e l’E st, a p e rd u d a n s le ti'a je l d e s C h a m p s -E ly s é e s à lu |;ue d e .M ulhouse, u n e v a lis e e n c u ir j a u n e c o n te n a n t d e s b ijo u x , B a c o u e l . — D im a n c h e , v e r s m in u it, d e s v a le u r s e t n u e le ttr e d e c ré d it, le to u t H. D u b o c k (G e o r g e s ), Agé d e 41 u n s , m a f o rm a n t u n e so m m e c o n s id é ra b le . n o o v r i e r à C h e p o ix , r e v e n a it, e n c o m p a g n ie ( l'u n j e u n e h o m m e n o m m é U o g e r, d e r e c o n C o u i ' t e u i l . — O n n o u s é c r it : d u i r e u n a m i à la g a r e d e B re le u il- e m b r a n L e 10 n o v e m b re , v e rs h u it h e u r e s d u s o ir, c h e m e n l, l o r s q u ’o n tr a v e r s a n t la c o m m u n e u n e rix e a é c la té à C o u rlc u il a u c afé B é to u rn é , d e B a c o u e l, ils v i r e n t v e n ir é le tir r e n c o n lr e e n tr e le s n o m m é s W itte m e z (L o u is),A V itte u n a u t r e v o y a g e u r a t t a r d é ; à ce m o m e n t, m e z ( A r th u r ) , e t D u p rie z (L oui.s), d e m e u R o g e r c a u s a it a s s e z h a u t, é c a u se d e la s u r r a n t to u s tro is a u d it C o u i'le u il. Le m o tif d e d i t é d o n t e s t a t t e i n t D u b o c k , e t il g e stic u la it la q u e r e lle a é té , p a r a it- il, la p o litiip ie . L e s q u e lq u e p e u e n p a r i a n t , cc q u i, à ce q u ’il tr o is s u s - n o m m é s o n t é c h a n g é le u is id é e s à p a r a i t , e ffra y a p a s s a b le m e n t le v o y a g e u r co u p s d e p o in g . L’a u b e r g is te a y a n t a p p e lé le d o n t n o u s v e n o n s d e p a r le r , s a n s d o u te trè s g a r d e - c îia in p é tie p o u r r é ta b lir l ’o r d r e d a n s p e u h a r d i d e s a n a tu r e . C e lu i-c i tir a a u s s itô t so n é ta b lis s e n io n t, e t l'a g e n t d e la loi s ’é ta n t u n r e v o lv e r d e s a p o c h e , e t, c o m m e il p a s l . n C l i a | i e l l e * c n > S c p v a l . — Au p r é s e n té , les p e r tu r b a te u r s o n t r é p o n d u à s a i t a u p r è s d e s d e u x c a u s e u r s , q u i n e s'o c c u c la s s e m e n t d e lin d o p r e m iè r e a n n é e (1889), ses in jo n c tio n s p a r le m o t d e C a in b ro n n e e t p a i e n t p a s d e l u i , il fil fe u s u r e u x p a r d e u x à l’E co le s u p é r ie u r e d e g u e r r e , M. K a u sc h c r, l'o n t tr a ité d e v o le u r d ’a v o in e e t d e b e tte fo is . M . D u b o c k s e s e n tit a u s s itô t a tte in t d e c a p ita in e a u 67* d ’in f a n te r ie , à S o isso n s, a r a v e s . Le g a r d e c h a m p ê tr e , s e tro u v a n t im d e u x p r o je c tile s : l 'u n a u so m m e t d e la té le , o b te n u la m e n tio n b ie n . p u is s a n t, e s t a llé c h e r c h e r M . F o u q u e t, m a ire . l 'a u t r e h i ’a r a n t - b r a s d ro it. M. K a u s c h e r e s t le lils d e M. R a u s c h e r, C e lu i-c i a r r iv é a é té tr a ité d ’â n e , d ’iü j^ é c ile M a lg ré se s b le s s u r e s , M. D u b o c k sè m it in s titu te u r à L a L h a p e lle - e n - S e r v a l. Son e t d 'in c a p a b le . A p rè s c e s h a u ts fa its, le s tro is a v ec. R o g e r à la p o u r s u ite d e le u r a g r e s s e u r, p lu s je u n e f r è r e , q u i a e m b r a s s é é g a le m e n t batailleiir.s d o n t n o u s v e n o n s d e p a r le r a v a ie n t q u i a v a i t p r is la fu ite , e t ils a lla ie n t b ie n tô t la c a r r iè r e m ilita ir e , e s t a c tu e lle m e n t sousb ie n m é i'ilé d e s g e n d a r m e s . A ussi o n t- ils e u l 'a t te i n d r e , l o r s q u e c e lu i-c i s e re to u rn a lie u te n a n t d ’in fa n te rie . le u r v is ite le le n « iem ain . A p rè s e n q u ê te , p ro b ru s q u e m e n t e t le u r tir a en c o re d eu x n o u T o u te s n o s f é lic ita tio n s a u p è r e e t a u x fils. c é s - v e r b a i a é té d re s s é . v e a u x c o u p s d e fe u , m a is h e u r e u s e m e n t sa n s le s a t te in d r e . I . , a X e i i v i l l e ' e n f i l e z , — N o u s so m C r e il. — O n n o u s é c r it : L e p r e m i e r m o u v e m e n t d e stu p é fa c tio n m e s h e u r e u x d e s ig n a le r u n a c te d e p ro b ité l.e 9 n o v e m b r e , à sep t h e u re s d u m a lin , p a s s é , le s v ic tim e s d e c e tte in q u a lK ia b lc ac com pli p a r le je u n e L o u is V a illa n t, â g é «Je u n e rix e e.st s u r v e n u e à C re il e n tr e la v e u v e a g r e s s io n se r e m i r e n t b ra v e m e n t à lu p o u r 8 a n s , d o n t le p è re e s t g a r d e f o r e s tie r «le C h a rd o n e t la fem m e S a r tia t, d e m e u ra n t s u i t e d e l’in c o n n u e t le re jo ig n ire n t p ré s de l’E ta t à L a X e u v illc - e n lie z , a c te q u i fait to u te s d e u x c ité S a in t-.M éd a id . A p ié s u n l a s ta tio n d e B r c te iiil- e m b r a n c h e m e n t. h o n n e u r à s a fa m ille . C et e n f a n ta y a n l tro u v é é c h a n g e d e co u p s d e .p ie d , les d e u x c o m b a t L ’h o m m e n e lit a u c u n e r é s is ta n c e ; a u c o n d im a n c h e .soir, s u r la v o ie p u b liq u e , uii ta n ts se s o n t p ris e s r é c ip r o q u e m e n t p a r le tr a i r e , il l e u r d e m a n d a p a rd o n e n le u r r e m o u c h o ir e t u n p o rte -m o n n a ie c o n te n a n t c h ig n o n , «le s o rte «pie l'in te r v e n tio n d 'u n e m e t t a n t s o n r e v o lv e r e t le u r olTi i l u n e s o m m e u n e c e rta in e .« o im n e e n p lu sie u i s p iè c e s d ’a r v o is in e a é té n é c e s s a ire p o u r s é p a r e r le s d ’a r g e n t q u e , n a t u r e lle m e n t, ils n 'a c c e p g e n t, s 'e s t em pjv.ssé d e r e m e ttr e le t o u l à ses d e u x lu tte u s e s . tè r e n t p a s. ^ p a r e n ts , p u is à la m a ir ie , p o u r éti'o r e n d u à .Sur la p la in te d e la fem m e S a r tia t, q u i M M . D u b o c k e t R o g e r c o n d u is ir e n t le u r a u r a i t d û g a r d e r d e C o n ra fd le sile n c e p r u - la p r o p r iid a ir e q u i a é té v ite c o n n u e . p r i s o n n i e r à la g a r e , o ù il fu t r e c o n n u p o u r d e n t, la g e m la i-m e ric d e C re il a p ro c é d é à u n s i e u r A r m a n d - J u lie n L a b a c h e , é g é de M o u t a f a i r c . — O n n o u s é c r it : u n e e n q u ê te e t d re s s é p ro c è s - v e rb a l c o n tre 2 9 a n s , n é à B o n v ille rs , e m p lo y é d e c h e m in Dan.3 la n u it «lu 10 a u 11 n o v e m b re , un to u te s le s d e u x p o b r co u p s e t v io len c es ré c i d e f e r a u B o u r g e t (.S ein e ). 6 n s ’ex p liq u a a m a te u r d e g ib e lo tte a s o u s tr a it q u a tr e la p ro q u es. a lo r s d e p a r t e t d 'a u t r e , e t voici c o m m e n t p in s a u p ri'q u d ic e d u s ie u r R a o u l D e sja rd in s, L a b a c lie a e x p liq u é s a m é p r is e , c a r il ne — L e m ê m e j o u r , ch e z le s ie u r C a u c h in ■o u v r ie r d 'u s in e à M o n ta ta ir è . L o v o le u r s ’a g it q u e d ’u n e m é p r is e q u i, h e u re u s e m e n t, ( J u l e s ) , n iu rc h a n d d e v in s , le n o m m é n ’a y a n t p a s la issé sa c a r t e n ’a p u ê t r e d é n ’a p a s e u le s c o n s é q u e n c e s fâ c h e u s e s q u 'e lle t.a ie sn e y ( l'r é d i'i ic ), fa ïe n c ie r , fu rie u x «Je ce c o u v e rt. — l ’e r te ; 8 fra n c s . a m l i i l p u a v o ir ; (|u e se s cam aiM des lui v o u la ie n t f a ir e p a y e r — L e M n o v e m b re , le s ie u r G e sse a u n ie I l é ta it v e n u , l a v e ille , v o ir s e s p a r e n ts à u n e c o n so m in a iio n <|u'il p r é te n d a it a v o ir g a ( J u le s ) , o u v r ie r d ’u s in e à M o n ta ta irè , s ’est B o n v ille r s , e t é t a i t a llé , d e là , r e n d r e v isite g n é e a u b illa r d , s’e n e s t p r is a u x c a rr e a u x p la in t, a la g e n ila r in c r ie d e c e tte v ille , à u n e J e u n e tille q u ’il c o u rtis e à A n sau v ild e la jio rle v itr é e d e l'é ta b lis s e m e n t e t d 'u n d ’a v o ir é té b r u ta le m e n t fra p p é la n u it p ré 1 e rs . O r , les j e u n e s g e n s d e c e tte c o m m u n e , co u p (Je p ie d e n a c a ssé u n d ’u n e v a le u r d e c é d e n te p a r u n n o m m é .M érigoi (L o u is ), é g a j a l o u x d e s e s s u c c è s , a v a ie n t ré s o lu d e lut 3 fr a n c s . le m e n t o u v r ie r d ’u 4 n e a u m é m o lie u . Le f a ir e u n m a u v a is p a r t i , e t il a v a it c ru bon -\e p a s p a y e r so n é c o t e t c a s s e r d e s c a r p la ig n a n t a é t é 'a s s e z m a ltr a ité p o u r ê tr e d e s ’a r m e r d ’u n r e v o lv e r d e p e tit c a lib re , r e a u x p ai' d e s s u s le m a rc h é , c e la n ’a pas fa it o b lig é d e g a r d e r le lit d a n s la j o u r n é e . q u ’u n a m i lu i a v a i t p r ê té , p o u r s e d é fe n d re le .c o m p te d u d é b ita n t, c a r il a p o rté p la in te L 'e n « |u é te a é ta b li q u e la d é c la r a tio n d e a u b e s o in . A p rè s a v o ir p u d é jo u e r les p ro a la g e iu la r m e iie , q u i a d r e s s é p ro c è s -v e rb a l G e.sseauine ô ta it e x a c te , b ie n q u e M érigot j e t s d ’UQ g r o u p e d e j e u n e s g e n s cjui é la te n l c o n tr e L u icsn ey p o u r b r is d e c lô tu r e . p ré te m le a v o ir é té p io v o«(ué p a r u n p r e m ie r a llé s l ’a t t e n d r e à la s o r tie d 'A iisa iiv ille rs, il co u p d e p ie d d u p la ig n a n t, c e q u i n ’a pas — Le 12 n o v e m b re , lo s ie u r B ra d fo rd é t a i t a r r i v é s a n s e n c o m b re à B a co u el ; m a is (J a m e s ), e m p lo y é d o b u r e a u à C re il, s ’e s t • é té c o n s ta té . là , a p e r c e v a n t d e u x h o m m e s a r r ê té s d a n s la l 'r o c è s - v e r b a l a é té d r e s s é c o n tr e M é rig o t, p la in t u la g e n d a r m e r ie d e c e tte v ille d e ce r u e , il les a v a it p r i s p o u r d e u x j e u n e s g e n s q u i p a s s e p o u r ê t r e m é c lia n t e t b r u ta l. «pie le m ê m e jo u r s a fem m e lu i a p o rté «leux d ’A n s a u v ille r s v e n u s là p o u r l ’a tte n d r e . On co u p s d e c o u te a u piii'ce rp i'ii lu i re p r o c h a it s a i t t e r e s te . I \ ' a n l < > u n > l o l l a i i ( l o u i n * — B ro c é sd 'a v o ir tro p b u . .Ma foi, il y a ta n t d e fe m m es f.e^s b le s s u r e s r e ç u e s p a r M . D u b o ck so n t v c rlja i p o u r c h a s s e s a n s p e r m is a é t é d é c l a r é i]iii se p la ig n a it d 'a v o ir é té h a tltie s p a r d e s h e u w u s e in e n t s a n s g r a v ité , le s b u lle s n 'a y a n t le 10 n o v e m b re a u n o m m é A rn a u d ( J e a n L iaris u.vaniM rop b u , «pi’il n 'e s t pas m a u v a is f a it q u e J a h o u r e i’ le.s c h u i i s ; <dles o n t é té J o s e p ii), d i t A u g u ste, c r e s s o n n ie r à N a n te u il, «le v o ir le s r«jles c h a n g e r «pielipiefuis. Jl n e p a n s é e s , s u r la p r i é i e d e l.a b a c lie , p u r q u i a é té s u r p r is p o r te u r d ’u n fusil e t c h a s ta n t p as «lue les to r ts so ie n t to iijo u is ilu m ê m e M . R o u illa r d , m é d e c in à A n .s au v ille rs, <{ui c ô té. s a n t d a n s le s m a r a is d o N a n te u il. I.e nom«iié v e n a i t d e d e s c e n d r e <le tr a in à la g a r e de à rn a in l [iréterul n ’a v o ir j a m a is tir é q u e s u r B r e le u i l - e m h r a n c l ie m e iit. — E l a l - c i c i l d u S a u / J n o c e m ir e do.s r a ts «[ui d é g r a d e n t so n c r e s s o n . L e fu sil L a g e n d a r m e r i e d e B re te u il n ’e n a pas /6 A 9 : a é té s a is i. m o in s é té s a is ie d ’u n e p la in te e t u n e e n q u ê te .VAI.S8A.SCE3 e s t o iiv é r te . — O n n o u s é c r it : Oeirçoilx. D an s la n u it «lu 10 a u 11 n o v e m b re , u n 13. HcrrmaDa (.\uguflte-Félix). n « a u v a i M . — l’a r m i les n o m in a tio n s m a lfa ite u r a p é n é tr é , à l ’a id e d ’e s c a la d e e t d e c h e v a l i e r s d u M é rite ag ric o le ip ie c o iile d 'c IF fac iio n , a u d o m ic ile d e M™* v e u v e 9. .N’evmi A b''riû'Forn.’inil(!\ n a i t l e y o u r n a / o / '/ t c i X , il v a q u e lq u e s jo u rs* Loui t i i r , r e n tiè r e A .N a n te u il, d e m e u ra n t 13. H ortrand (,.\I.-irgueritiî-Angèle). n o u s tr o u v o n s c e lle d e M. (ia u h e t ( J e a n m o m e n ta n é m e n t c h e z so n (ils, à G évre.< -leDÉCÈS B a p tis te ) , a g r ic u lte u r , d ire c le iir «le la ferm e ( d ia p itr e ( S e in e - o i- ü is e ) . L e m a lf a ite u r e x p é r im e n ta le d e l'E c o le v é té r in a ir e «lo 9. .Sayoyo (M ario-Ciisabolli), veuvo Uuchon, .s’e s t sei vi d 'u n e b ê c h e la is s é e d a n .--la c o u r L y o n i à V ille u r b a n n e ( lO 'ô n e ) ; — 9Ü m é p o u r f o rc e r le s v o le ts d e la f e n ê tr e p a r la I I . riü p u x fMario-Jci'’ôpliino), 17 an.3. d a ille s d 'o r , 1 7 2 m é d a ille s d 'a r g e n t, 111 in«!(|uell«j il s ’c si in tr o d u it «lans l’in té r ie u r d e 11. houmii) (Kti(îiiD«î). 75 an^, marié, (la ille s d o b r o n z e , i p r ix d 'h o n n e u r e t 22 pi ix l'h a h ila tio n . A u m o y e n d 'u n e l a n t e i n e e t 13. iiaudüux (Caih«}rine), veuve t'ajiillon,59ana. d ’e n s e m b le d a n s d i llé r e n ts c o n c o u r s ; 29 a n s d ’u n c o u p e i'c t tr o u v é s : d a n s la c u is in e , il a d e s e r v ic e s . PCnUCATION-" DE MARIAOES p a r c o u r u to u s le s a p p a r te m e n ts , fr a c tu r a n t M . C a u b e l e s t u n e n f a n t d e B e a u v a is. Louia-U aym ond-Josoph Dovicnno, mé<;aDicioa to u te s le s p o r te s d e c o m m u n ic a tio n e t ce lle s F a rin e : les 157 k ilo g ., 53 fr. — Baisse, 1 fr. J e n 'a i q u e f a ir e d e v o s e x p lic a tio n s, e t v o u s n e m e d e v e z p a s d e re m e rc lm e n ts ; m a is j ’a i d e s r e p r o c h e s à vo u s a d r e s s e r, et p u is q u e j e v o u s l ie n s , j e v o u s g a rd e . V ous a v e z j n g é à p r o p o s d e n e p a s vo u s m o n tre r a u c h a le t d e p u is c e lte s o tte afftiire. . Vous a lle z M ’y r e c o n d u ir e . C e se r a v o tr e p u n itio n . A u r é lie n n e p o u v a it p a s r e f u s e r , qii()«|u'il l u i e n c o û tâ t d ’a c c o m p a g n e r la d a m e (pii p a r l a it s i lé g è r e m e n t d e la m o r t d e G ém ozac. L ’o c c a s io n é t a it p r é c ie u s e p o u r s e ro n .se ig n e r s u r l’a c e u c ii q u i l’a ite n r is it à la v illa des F e r v e itc h e s , e t il n ’a v a it g a r d e d e la m a n q u e r , c a r il n e te n a it p a s d u to u t à r e v o ir , c e jo u rlà , l'é ta n g d e C a z a u . 11 s’e m p r e s s a d o n c d e to u r n e r b r id e , e t la m a r q u is e n e le fit p a s la n g u ir. E lle s c p la ç a à s a d r o ite , e t e lle lu ! d it d e b u t e n b la'nc : — J e s a is to u t c e q u e voiis a v e z su iiffert. l ’a i é té in fo rm é c h a q u e s o ir d e c c q u i sc p a s s a it h A rc a c h o n d e p u is q u e c e lte b r u te d e c o m m is s a ire v d n s y a e m m e n é , et j ’ai é té b ie n h e u r e u s e d ’a p p r e n d r e q u e l'e r r e u r a é té r e c o n n u e . J e n 'é ta is p a s in q u iè te ; m a is ce n ’e s t p a s p o u r rie n q u ’o n r e p ré s e n te la Ju stic e a v e c u n b a n d e a u s u r le s y e u x . Q u a n d elle TOUS t i e n t, o n n’e s t j a m a is sA r d e s o r tir de t e s g riffe s. J e la b é n is , m a in te n a n t q u e vous ê t e s l ib r e . A i-je b e so in d ’a jo u te r q u e j ’ai é té i n t e r r o g é e e t q u e j 'a i f a it d e m on m ieu x p o u r .TOUS d ^ e n d r e c o n i r e u n e a cc u sa tio n rid ic u le ? — J e T o o s e n s u is p ro fo n d é m e n t re c u n a ia is s a n t, m a d a m e , m u rm u ra B isca ro s, q ui Tie d i s a i t p a s c e q u ’il p e n s a it, c a r il lui en .v o u lait d ’a v o ir c h e r c h é à d é to u r n e r le s so u p 4;o ns s u r l e p r o m is d e D e rn a d e tie . — ju g e n ’a p a s s u l i r e r p a rti d e s in d i«cations q u e J e lu i a i d o n n é e s , r e p r it a u d a c ie u s e m e n t la m a r q u is e . I l s 'c s t la is s é p re n d r e AUX m e o M iig e i d e l ’a m a n t d a c e tto c r é a tu r e d o n t m a b e llc -fillc s’e s t coiffée, je ne sa is v on» in v ite r a p a r é c r it, c a r j e vo u s p ré v ie n s p o u rq u o i. J e p e r s is te à c r o ir e q u e le ré s in ie r q u e v o u s r is q u e z fo rt d e n e p a s le r e n c o n tr e r a s u r la c o n s c irn c e la m o rt di; c e G ém ozac. a u c h a le t a v a n t n o tr e d é p a r t. Il e s t a llé , c e A b is lo fat q u ’un a tu é n e va lait p a s q u 'o n m u tin , à B o rd e a u x , p r e n d r e c o n g é d e q u e l le r e g r e tte . Il c lie rc lia it â c o n ip n .n te ttre q u e s îiniis, e t il n o r e n tr e r a q u e d e m a iu s o ir. to u te s b'.s fe m m es, e t l’o n s a u ra p c u t- è u e M e voilà v e u v e p o u r v in g t- q u a tr e h e u r e s ... p lu s fa rd pi'>uri|iiui il é ta it v en u l ô d e r , la n u it, e t j e n e m ’e n p la in s pas. a u to u r d u ( lial«'i «jiie n o u s b a b iiu n s. - - B iais v o u s n ’ê te s p a s se u le , o b je c ta B isc n ro s s«; ileinaiHJa si m ad iu n e d e B rlouzc lim id i'm e n l B isin ro s. .MadeiBOisclle do n e p ri'ie n d a it p a s in sin in -r «|ue le m alli(‘ur«*ux B rio u z c n’a jia s q u itté la v illa d o s P e r v e n c h e s . S o b ie sk i y é ta it v enu ijoiir N icole, e t il re ç u t — Q u 'en s a v e z - v o u s ? In te rro m p it la c o m m e u n c o u p a u c œ u r. m a rq u is e . E s t c e q u e v o u s l’a v e z v u e ? Il n'(!ia it p a s a u b o u t d e sc s é to n n e m e n ts . — N o n , m a d a m e ; c ’e s t s a fe m m e d e L a m a rq u is e a jo u ta ; c h a m b re q u i m e l’a d it. — J e p .'trd ü n n e r.tis v o lo a lic rs à ccltii q u i, — G o m m en t ! c«;ite fille s’e s i p e rm is d 'a lle r d’un c o u p d e p is to le t, a c o u p é c o u rt a u x v o u s r e la n c e r ù A rc a ith o n î p r o p o s e t a u x a c te s d e c c d rô le . E n le — J e l'a i n m t ^ n t r é e c o tr a v e r s a n t la s u p p r im a n t, if n o u s a v e n g é e s to u te s. fo rê t. B is e a r o s tr e s s a illit q u a n d il e n te n d it la — E l e lle a e u l'im p u d e n c e d e vo u s g r a n d e d a m e alTIciier tes m ê m e s o p in io n s q u e a d r e s s e r la p a r o le ! A llo n s, d é c id é m e n t, n o u s le v ieu x La C h a m a d e , et s'il s’a b s tin t d e les n e p o u v o n s p a s g a r d e r â n o tr e se rv ic e u n e r é f u te r v e rte m e n t, c’(.si q u ’il e s p é r a it q u ’elle drôl«r8se q u i pâ-^se la m o itié d e so n te m p s à a lla it les m o tiv e r e n c ita n t d e s faits. c o u r ir le s c h e m in s . J 'o b tie u J r a i d e m o n m a ri A iats uu lie u d e s’é te n d r e s u r c e su je t, e lle q u ’il la re n v o ie . N ico le a p p r e n d r a à se r e p r it d’un a i r d é g a g é ; p a s s e r d 'e lle ... e t c e s e r a fo r t lio u re u x . Du F a r to n s d 'a u tr e c h o s e . N os r e la tio n s o n t re s te , c e lle C p d ich o iin a v o u s a b ie n re n s e ig n é . co m m e n c é d a n s d e s c ir c o n s ’nn ce s q u e n i Ala bclle-lllle^ e s t r e s té e a u c h a le t, m a is c’e s t vo tis n i m oi n e p o u v o n s O 'jblier. J e c o m p te c o m m e si j ’é ia is s e u le , c a r n o u s n e n o u s q u ’e lle s n ’c n r e s te r o n t p a s là . J 'a iie n tla is voyons p a s q u a n d so n p è r e e s t a b s e n t. E lle v o ire v is ite e t j e n e l'ai p a s re ç u e , m ais v o u s a so n a p p a r te m e n t, e t c lic n e m e t ja m a is les m e la fe re z « n F é r ig u r d . J e p a r s a p rè s p ie d s d a n s le m ie n ... q u i e s t a u m ê m e é ta g e , d e m a iii, c l v o u s s e r e z le trè s -b ic n -v c n u au m a is à l’a u tr e b o u t d e la v illa ... E t n o u s n e c h â te a u d e A len sig n ac , 011 j e v a is p a s s e r tro is iious^ c r o is o n s m ê m e p a s d a n s le s e s c a lie rs , se m a in e s. c a r j ’e n a l u n q u i n e s e r t q u 'à m o i e t q ui C’e s t c o n v e n u , n ’c s t- c e pu s? d o n n e d ir e c te m e n t d a n s la fo rê t p a r u n e — J ’a u r a i l'I io n n e u r d e v o ir d e m a in à la p o rte d o n t j ’a i la clef. villa Bl. le m a r q u is d e B rio u z c , r é p o n d it C e tte in d ic a tio n p ré c ise a v a it s i b ie n l'a ir é v a’liv r m e n i A u ré lie n . ^ d ’u n e l n v ite ,q u c B ise aro s r o u g it p o u r m a d a m e — Al) t v o u s te n e z à ê tr e In v ité p a r m on d e B rio u z c , q u i n e ro u g is s a it ja m a is . Il n e m a r i? 11 v o u s io v itc r a , n 'e o d o u te z p a s , e t il te n a it n u lle m e n t à e n p r o f ite r , e t, p o u r . I V e u i l l y ^ e n ^ T l i e l l e . ’— N o u s liso n s d a n s la /le v u e u n i v e n tf lle d e s in v e n tio M n o u v e lle s , n* d u 5 n o v e m b r e c o u r a n t : A llu m o ir s é le e lrit]iu e s,./B y sià m o S e r r l n , , C e q u i c a r a c té r is e c § s.n p p i^ re ils, o’ost q u e le s p ile s d e s tin é e s A la 'p r o ilu c lio u d e l'éle c ^ triçK ô s o n t d e s b lo c s d e b o is p r é p a r é s d e faç o n A c o n te n ir l e s - é ^ m e o t s / e t c e s b lo cs é t a n t b e r m ô liq à e m p n t fe rm é s Aoiit facile^ m é h l li^ n s p o r ia b le s ô M o u jo iir s p r ê ts à fo n c tio n n e r . L e s c o n ta c ts s o n t p ro d u its a u to m a tiq u e m e n t n u m o y e n d e re s s o rts e t si, p a r c o n s é q u e n t, o n s ’a p e r ç o it q u e la j) ile fa ib lit, il n ’y a q u ’à r e t i r e r le b lo c d e l’a p p a r e il où o n lo fa it- fo n c tio n n e r e t à le r e m p la c e r p a r u n b lo c n e u f . L ’a llu m o ir e s t im m é d ia te m e n t p r ê tà X o q c jio n n e r d e n o u v e a u . U n b lo c d e d e u x é lé m e n ts p e u t d o n n e r 8.Q 00 a llu iq a g e s , e t c o m œ ê 'le p rix d e l ’é lé m e n t e s t'd è 2 fra n c s , o n '.v o it q iio I o n p e u t a v o ir d e l a lu m iè r e à b o n m a r c h é .. " • ^ ' 3 lig u r e s d a n s le te x te r e p r é s e n te n t les tr o is m o d è le s d if fé re n ts d ’a llu m o ir s , d e p u is l’é llu m o lr s im p le a v e c la la m p e à e sse n c e ju s q u ’à l a la m p e à in c a n d e s c e n c e e t la p e n d u le p o u r d o n n e r l 'h e u r e . , D es e x p é rie n c e s s o n t f a ite s e n c e m o m e n t a v e c d e p e tite s p ile s S e r r in a u m in is tè r e d e l a g u e r r e ; o n le s m e t d a n s le s g ib e r n e s d e s c a v a lie r s . O r m o ) ^ ' - V i I l e P s . — O n n o u s é c r it : L e B .jçtovcm bre, p e n d a n t u n e a b s e n c e d o la fe m m e D a ro u x ,. m é n a g è re à O rm o y -V ilie r s i u n m a lf a ite u r s'é.st i n tr o d u it d a n s so n h a b ita tio n . e n ca ss.a n t u n c a r r e a u à u n e f e n ê tr e , e t y a s o u s tr a it d a n s u n e a rm o ir e n o n f e rm é e , u n p o r le - m o n n à ie c o n te n a n t 5 0 fra n c s . U n r ô d e u r d e s e n v ir o n s , q u i a é té v u d a n s le p a y s à p lu s ie u r s re p r is e s , e t n o ta m m e n t le j o u r d u v o l, e s t f o rte m e n t s o u p ç o n n é d ’ê t r e l’a u t e u r d e c e m é fa it. P o n t « S a i n ( e - M a x c n c e . — C o n c e rt d e la S o c ié lé m u s ic a le . — O n n o u s é c r it. S a m e d i d e r n i e r a e u lie u , d a n s la s a lle L e g e n d re , u n c o n c e r t o lfe rt a u x m e m b re s h o n o r a ir e s p a r la S o c ié té m u s ic a le d e F o n t, d ir ig é e p a r M . D e h u n o tte . L a n o m b re u s e a s s is ta n c e , q u i a v a it r é p o n d u à l'a p p e l d e s m u s ic ie n s , a p u c o n .sta le r, a v e c u n c e r ta in p la is ir^ q u e c e tte S o c ié té a v a it f a it d e s p r o g r è s r é é l 4 o t- q ù ’é lle 'p o u v a it l’a n n é e p r o c lia in e a lle r a f f r o n te r l a lu t t e d a n s les c o n c o u rs d e m u s iq u e . Il y a d o b o n s é lé m e n ts ; n o u s a v o n s rem a n iu é u n f lû tis te a m a te u r , q u i s 'e s t d is tin g u é d ’u n e façon p a r t ic u liè r e ; la p a r tie dos b a s s e s a é té é g a le m e n t b ie n e x é c u té e . S o m m e to u te , ta S o c ié té m u s ic a le ponto is e , b ie n d ir ig é e , e s t a p p e lé e a u su ccès. L e p u b lic a a p p la u d i é g a le m e n t la S o c ié té p lijih a r m o r.iq u e , c o m p o sé e e n p a r tie d e s m e m b r e s d e la S o c ié té m u s ic a le e t d e q u e l q u e s j e u n e s g e n s , v io lo n is te s e t llu lis le s a m a te u r s ; ce m é la n g e d ’in s tr u m e n ts de c u iv r e e t d e llù te s , h a u tb o is e t v io lo n s, p r o d u it u n e x c e lle n t effet d a n s n o t r e s a lle u n p e u r c s tr e iiito p o u r u n e fa n fa re .N os c o m p lim e n ts à MM. ü e c o u r b e e t D u c re iix , jo u a n t, q u o iq u e je u n e s e n c o re , d u v io lo n c o m m e d e v ie u x p r a tic ie n s ; il s e r a it in ju s te a u ssi d ’o u b lie r M. D u c h e sn c q u i s ’e s t m o n tr é tr è s fo rt s u r la llù te . Le su c c è s d o la s o ir é e , c o m m e in s tr u m e n lis te , a é té re m p o rté s a n s c o n te s te p a r M. L a v a c q iie r ie , a r tis te d u C o n s e rv a to ire , q u i s ’e st r é v é lé c o m m e u n m u s ic ie n «le p r e m iè r e fo rc e , P C in cip alem en t s u r le h a u tb o is . L e m o rc e a u d e v io lo n q u 'il n o u s a fa it e n te n d r e é ta it fo rt d ifllc ile e t é m a illé d e d if lic u lté s ; il s 'e n e s t tir e à so n h o n n e u r . P o u r d é c lû lT re r A lla rd , q u i a v a it u n fa ib le p o u r le s n o te s a ig ü e s , il fa u t v é r ita b le m e n t ê t r e d o la fo rc e d e S lv o ri o u d ’A ilu rd liii-in ê m e . P o u r te r m in e r c e p e tit c o ra p lo -r e n d u , d i. s o n s q u e l a n o te g a ie a é té r e m p lie d ’u n e faç o n to u t à fa t c o m iq u e p a r M. N o u v io n , d e M ê ru , «pii a v a it b ie n v o u lu , à la so llic ita tio n d ’u n a m i, p r ê t e r à la .Société m u sic a le so n g r a c ie u x e t b ie n v e illa n t c o n c o u rs. . im p o s s ib le , e n e ffet, d ’ê tr e jilu s d rô le p lu s d é s o p ila n t ; il a fa it r ir e fouh-s le s p e r s o n n e s p ré s e n te s , e t a r e c u e illi le s b r j u o s du p u b lic , e t d e s té m o ig n a g e s d e s y m p a th ie b ie n m é r ité s . Le c o iic ci'l s ’e s t te r m in é p a r u n e scè n e b u i les«pie : L a FiHe des C h a r c u tie r s . R e in lo tis à to u s, m u s ic ie n s e t a m a te u r s , c e lte j u s tic e : c ’e s t «|uo la s o iié e d e sa m e d i a é té le u s s ie . U n m e m b r e h o n o r a ir e . — C o n c e rt de la S o c ié té lijr U /u e . — Lo p ro v e rb e « A b o n d a n c e d e b ie n n e n u it p a s » s o u v e n t v r a i; la p re u v e n o u s e n a été d é m o n tr é e d im a n c h e d e r n i e r , c a r , m a lg ré le c o n c e r t d o ta v e ille e t q u i a u r a i t p u n u ir e a u c o n c e rt d u le n d e m a in , la S ocm té ly rh p ie a o b te n u u n d e c e s su c c è s q u i d é p a s s e to u te s le s e sp é r a n c e s . D ès h u it heiire.s p ré c is e s , la s a lle d u th é â tr e é ta it litté r a le m e n t b o n d é e ; il y a v a it m ôm e tro p d e m o n d e . : A n a ly se r c e tte so ii é e a r tis tiq u ô 's e r a it dif f ic ile ; il fa u t s im p le m e n t n o u s c o n te n te r d ’a d r e s s e r a u d ir e c te u r , M. Ü e s la u rie r s , les é lo g e s le s p lu s s in c è re s e t les p lu s m é r ité s . 'f o u t . .. T o u t .a é té r e n d u d ’u n e m a n iè r e i rr é p ro c h a b le . L e d r a m e in titu lé ; Les I n f o r tu n e s d 'u n I n d u s t r i e l , a f a it v e r s e r p lu s d’une l a r m e ; i l ÿ a eu d e s s c è n e s v ib r a n te s — V o lc î le c o m p te d e p a s s io n , e t le p u b lic n s o u lig n é p a r se s r e n d u d o 1 é t a t d u C o n c o u rs d e t i r q u i a l i e u a p p la u d is s e m e n ts le s p a s s a g e s le s p lu s s a ila u s ta n d d e l a S o c ié té d o t i r d e T ra c v - lo ta q ts d e c e d r a m e à g r a n d effet. MM. D osM onl : la û H e rS j f le r n a , M o rel," M n rc h o is , F lo ip ie t, ’F u s H C r)U . ib 'd rn iire s . I l ir h u x ' e t G a n té s , r e m p lis s a ie n t les p r in c ip a u x r ô le s à l a s a tis fa c tio n g é n é r a le . MM. Le p tib lic n fa it A lo u s c e s j e u n e s a r tis te s , C o m m e lin , d e T r a c y - le - M .. 4 7 16 a p p u i 16 to u s fils d ’oüŸ Fiers p o u r la p l u p a r t e t c o n sa B e rn a rd (A ), „ v i d - u 'f ü ‘i <6 16 — 45 c r a n t l e u r s s o ir é e s a l ’é lu d e d e l ’à r t m u s ic a l L ê c u y e r, id . . . 16 4 6 — 44 e t ly r iq u e , u n e v é r lla b lo o v a tio n . L o so if, d e L ia n c o iir t 4Ç 4 5 13 N p tr e r ô le _ n e p e u t , ê t r e d è d é c e r n e r à D e sm o iic e a u x , d o T r a c y ,- . ; 4 6 ‘4‘4 ' — 42 c h a c u n les é lo g e s q u ’il m é r i t e ; si n o u s c o m B u r k u e r t, |«j. . . . 16 4 2 — 40 m e tto n s u n o u b li, p e r s o n n e n e p e u t n o u s e n C oèhüU , . id . 4 8 4 2 ' — 42 v o u lo ir , c a r il s e r a i t im p o s s ib le d e f a ire u n e B o è ly (J e n n ), id . . . . 44 13 — 41 p a r t p lu s b e lle a u x u n s ( |u ’n 'ix a n tr e s , to u t D e ç a u X j d e C p m p i ù g i j e * .. j ., ; 4 4 - 4 8 r — 40 l è m o n d e a y a n t r e m p li c o n s c ie n c ie u s e m e n t M é ro u , d ô T r a c y - le - M o r a .. 12 44 s o n rô le . B r u n e t( F .) , Id . . . 43 12 N o u s fé lic ito n s MM. D e s la u r ie r s e t R o b LôjçUI^Md. », id » .. 13 12 q u in d e l ’h o m n ta g e q u ’ils o n t c o ra p è sé b n L ézo las, d e C o m p ié g n e .. . . 43 42 l'h o n n e u r d e M . C a r n e t, p r é s i d e n t d o la C o u rto is ( J u le s ) , d e T r a c y . 42 42 R é p u b l iq u e ; c e tte o d e p a tr io tiq u e a é té f o r t D u p le s s ie r , d e C iiiso-la-M .-. 4 4 - 4 0 b ie n c h a n t é e p a r M. F lo q u e t; e lle e s t d ig n e M a z ie r, d e T r a c y - le - M o n l. 4 5 9 ' e n to u s p o in ts d u c ito y e n i n t è g r e a u q u e l e lle ' ‘V lf e tlle ,- ''' ^ id . . 10 13 é t a i t a d r e s s é e c l «jui p r é s id e si d ig n e m e n t e t 's i n o b le m e n t a u x d e s tin é e s d o la F ra ric è e t ^ d u s e l^ ( A u n ^ ^ § o ^ 'P ^ if t5 . ! 42 î î — 8 d e la ^ R é p u b liq u e ...’ L è s c r is d o : V iv e C â r n o t! V i v e l a - R é p u b 1 ii|u e ! o n t d ù p r o u v e r q u e le p u b lic p a r ta Los tijois p lu s b e lle s b a l le s s o n t : g e a it le s s e n tiip o n ts s i b ie n e x p r im é s p a r cq c h a n t p a tr io tiq u e . M.M. W a r n e t, d è S t- C r ^ p 'lil- a ù x - B o ls .. 2 “ / '“ C e tte c h a r m a n te s o ir é e s’Iîst t e r m in é e p a r u n e o p é re tte -b o u ffe , g e n r e H e r v é : L a J / d r q u is e .d e S o l a n g e s , ^ p o s s i b l e d e d é c r ir e l ’e n th o u s ia s m e p ro ^ d u i t p a r c e tte p iè c e f é e riq u e , d o n t le s a u te u r s MM. s o n t MM. D e s la u r ie r s e t R o b q u in . B o u Ia h g o r,d e T K lc y -le -V a l'. ’ 21* 2 2 a p tiu i 20 .L e p u b lic s e t e n a it le s c ô te s ... d e r i r e , e t L é c u y 6 r(IL ),d e T ra c 4 * le -M . 2 0 24'* 20 lo r s q u e la fê te c h a m p ê tr e d u s o ir , o ffe rte p a r B e r n a r d ( A .) , 1(1..:. 2 4 .2 0 ; — , 1 9 la m a r q u is e , s’e s t m o n tr é e d a n s to u t s o n W a r in , d e C u ise -la T M o lte .. 2 0 .20 — 49 p le in , aV ec i l lu m in a tio n s , fe u x d e b e n g a le , L e fè v re ( L .) ; ’d e T r a ç v . . . . 2 0 ,49' — 49 j é t d 'e a u e t p iè c e s ( r a r t i n c e , l a fo u le s’e s t B r n n e t (E d .)', Id . 2 1 '1 8 '— 46 m is e à a p p l a u d i r a v e c e n th o u s ia s m e , e t les R u e lle , d ’A u tr è c h e s ; . . . . . 4 9 19 ' — 49 a c te u r s o n t é té ra p p e lé s s u r la s c è n e à p lu L osolf, d e L i a n c p u r t . , . , . , . - 2 0 4 8 ^___ 48 s ie u r s r e p r is e s . ‘ • F o lle t ( F . ) , d e T r a c y - l e - J Î . 4 9 4 9 -r- 48 B ra v o , J e u n e s g e n s d e P o n t, c o n tin u e z e t M éro u ( F . ) , id . ' . 4 9 48 — 48 p ro g r e s s e z ; le p u b lic n e c e s s e r a ja m a is d e p h o illy ( C .); Id . . 2 0 46 — 43 v o u s e n c o u ia g e r d o sc s s y m p a th ie s . C h e v a llie r , d e , B e a p l i e u . . . , 4 9 4 6 — 18 N o u s c ro y o n s u t i l e é g a le m e n t d e f a ir e u n e S e g le r , d e C u ls e -Ia -M o lte ... 17 4 6 ^ 15 r e c o m m a n d a tio n q u i s e r a p r is e , n o u s l ’e s p é C la v ie r, d e C a m b r o n b e . . . 19 44 ~ 44 r o n s , e n b o n n e p a r t : n o u s d e m a n d e ro n s C a r r é (J.), d e T ra c y -le -M ; ' 1 7 45 ^ 15 p o u r l ’a v e n i r q u e n o s d e u x S o c ié té s m u s i T o n n e U e r,. id . . A Sm — 44 c a le e t ly r iq u e s ’a r r a n g e n t d e fa ç o n à n e p as ï te is . L'a c lô tu r e d u c o n c o u r s a u r a li e u n o u s d o n n e r u n c o n c e r t u n j o u r e t u n a u tr e le lu n d i 18 n o v e m b r e in c lu s .' • ; le le n d e m a in . E n c e la , n o u s s o m m e s s ù r d 'ê t r e l ’i n te r E x c e p tio n n e lle m e n t, le s t a n d s e r a o u v e r t le sd im a n « ? h e 17 e t l u n d i . 1 8 , p p y e m b r e , d e p r è te d e s h a b i t a n ts d e n o tr e v ille , e t n o u s h u it h e u r e s d u m atin .A <jnzé ijc u r é s e t d e m ie n o u s p la ç o n s , e n d e h o r s d e to u t e s p r it d e o l- d e u n e h e u r e à (ia à lr e 'h è u ite è 'd ii s o ir . c o te rie ,, a u p o i n t d e v u e s e u l d e l ’i n té r ê t d e lo u s . , R, 0. L es a m a t e u r s r e ia r d a h i i r e s s o n t p r ié s d e s e h â t e r a ü n d ié v ite r l ’e n c o m b r e m e n t à la d e rn iè re h e u re . — P r e c o ija n ts d e l ’A v e n i r . — U n e c o n fé r e n c e a u r a li«‘u d e m a in d im a n c h e , à tro is . h e u r e s d e l’a p r è s - m id i, â l ’IIô tu l-d e -V ille d e l ’o n t, d a n s lu b u t d e f o n d e r u n e S e c tio n d e s P r é v o y a n ts d e l 'A v e n i r (3ociél< ) c iv ile d e re tra ite s ). C ette r é u n io n , o r g a n is é e p a r le s m e m b re s d u b u r e a u «le la S e c tio n d e C r e il, s e r a p r é s id é e p a r M. B e r d in , m a ir e d e F o n l-.S a in le M a x en ce, c o n s e ille r g é n é r a l d o l’O ise. A d e u x h e u r e s e l - d e m i e , s u r la p la c e d ’A r m e s ,la S o c ié té d e g y m n a .s tiq u o l '. i v e m r de C r e il, d ir ig é e p a r M. C a z ie r, d o n n e r a u n e s é a n c e e te x é c u l» ir a p lu s ie u r s e x e rc ic e s . L a c o n f é r e n c e n ’a u r a lie u q u ’a p r è s la s é a n c e d e g y m n a s tiq u e . L es d a m e s é ta n t a d m is e s à f a ir e p a r tie d e la S o c ié té d e s P r é v o y a n ts d e l 'A v e n i r , s o n t in s ta m m e n t p r ié e s d ’a s s is te r à la r é u n io n . V e i > b e r i e . — O n nous é crIU L e 40 n o v e m b r e , Vei-s d ix h e n r e s e t d e m ie d u s o ir , u n e r i x e a é c la té à V e r b e r le e n t r e p lu s ie u r s j e u n e s g e n s d e la lo c a lité , à la s u ite d ’n n p e t i t in c id e n t d o b a l. I l y a e i i p a s m a l d e c o u p s d e jjo in g e t d e c o iip s d e p ie d d e d o n n é s . Lo p lu s m a ltra ité » p o m m é F « u l B o u c h o n n e l, â g é d é 24 u n s , é ta ilm é c o n n a is -: s u b ie ; s a lig u r e n ^ é ta il q u ’un'é p la ie . M ais B o iic h o n n e t e s t p h ilo s o p h e , e t v o ici c e q u ’il a a jo u té a lu s u ite de, la d é c la r a tio n q u ’il a f a ite à la' g e n d a r m e r ie : t O d o iq u e b ie n b a t tu , j e n e p o r te p l a in te c o n tr é p ô rs ijn n e , c a r a v a n t . d e , v e n d r e m d p e a u » 'i l fa u t q u e j e n r e b o u c h e le s tro u s . » T o u s le s p a r t ic i p iin ts à la r ix e n ’o n t p a s o u l ’h u m e u r a u s s i fa c ile q u e « o u c h o rm e L A la s u ite d ’u n e lo n g u e e t d ifllc ile en q u ête» la g e n d a r m e r ie a d r e s s é p r o ç é s - v e r b a l. — O n n o u s é c rit ; L e 11 n o v e m b r e , v e r s s e p t h e u r e s e t d e m ie d u soii-, le n o m m é i.e je u n e ( N ic o la s ), o u v r i e r m e n u i s i e r c h e z M. B a r b io i, à F o iil.S ain te-.M ax en ce, r e n t r a i l x h e z so n p a tr o n e n é ta t d ’iv re s s e , e t so u s p r é te x te d 'a v o ir s o n c o m p te , s e m i t à f a ir e «lu (upsigo. M. Biu b io t l ’a y a n t m is d e h o r.s. il so m it â fiappoi- à c o u p s (le p ie d c o n tr e là p o r te v i tr é e d u m a g a s in , d o n t il c a ssa u n c a r r e a u e t le m a r b r e d u b a s. Ce fa it c o n s t i t u a n t u n b r i s d e c lô tu r e , e t L e je u n e n ’a y a n t p a s d e d o m ic ile e n F r a n c e , é t a n t s u je t b e lg e , il a é té a r r ê t é p a r la g e n d a i m e r i e e t c o n d u it à la m a is o n d ’a r r ê t d o S e u ils , o ù il n ’y a n i m a r b r e n i c a r r e a u x à c a s s e r a u x p o r te s . ,T ~ 7 n o v e m b r e , le s g e n d a r m e s d e \ e r b e r i e o n t tr o u v é m o r t - i v r e , d a n â la r u e p r in c ip a le (lu p a y s , le n o m m é L a b b é (L o u îs J u lc s ) , fu m is te à N e u illy -S t-F « o n t (A isn e ). F o u r é v ite r q u e lu p e r s o n n e d e L ab b e z iiq s u b it q u e lq u e d é g r a d a tio n , le s g e ïid a rm o s l e n t m is à l ’a b r i a u v io lo n m ltn ic ip a l. E n Itii r e n d a n t la lib e r té , ils l’o n t g r a tlllé d ’u n p r o c è s - v e r b a l d e c o n tr a v e iitlo a à la loi d u 2 3 j a n v i e r 4 873. E lq u ip a ^ e S e r v a n t. C h a sse d u m a r d i 1 2 iio v e m b r'e I S 8 9 . R e n d e z - v o u s A N e u illy -M a rin c s à o n z e b o iiro s . , • A tta q u é à o n z e h e u r e s t r o is q u a r ts , a u b o ls d e (.Imi'.s, u n q u a r t e n ie r q u e le c h e f d ’é q u i p a g e f a it s a u t e r à t r a i t d e lim ie r . F r e u d s o n jm r tt, se fa it b a t t r e d a n s le s b o is d e C h a rs p e m la n t u n e d e m i- h e u r e , ti e n t le s a b o is , f a it lin h a lla li c o u r a n t q u i d u r e d e u x Ijo u re s e t «lom ie, s a n s p o u v o ir d é b ù c h e r , é tq n l s e r r é (le tro p p r è s p a r le s c h io n s , b a t l 'e a u d a n s u n s o iiilla r d , d ’o ù il r e s s o r t e t ti e n t d ir e c te m e n t le f e rm e , b le s se p lu s ie u r s c h ie n s e t e s t p o rtii b a s a u b o is d e C h a rs,' à tr ô is h e u r e s , s e r v i p a r le c h e f d ’éiju ip u g e . C u ré e c h a u d e s u r la p la c e d e N e u illy L e s h o n n e u r s d u p ie d à M . M a u ric e B e r n h a r d t. — L o 12 n o v e m b r e , lo n o m m é A n n e b iiis (A im é ), m a r i n i e r à B e r la lin o n t ( A is n e ), d e p a s s a g e à r o n i - S a i n t e - M a x e n c e , fa tig u é d e r tîu le r s u r le liq u id e , a p r is t e r r e , m a is il n ’a v a i t p a s si h u r r e i i r d u liq u id e q u 'o n p o u r r a i t le c r o i i e , c a r il e n a t a n t in g u r g ité , q u 'à d o u x h e u r e s d u .soir, u n g o n d a i m o lo r a m a s s a it m o r t - iv r e s u r lo ti'o llo ir d o la r u e d u F a u b o u r g d u N o rd , e t le d é p o s a it a u v io lo n . A p rè s q u e lip ie s h e u r e s «lu re p o s , A n n e b u is a y a n t r e p r is le p ie d m a r in , a re jo in t.s o n b a te a u e n e m p o r ta n t u n p ro c è sv e rb a l d e c o n tr a v e n tio n à la lo i s u r l'iv r e s s e . l * i> c e y - s i ii* " O îs c . — O n n o u s é c rit : D a n s la n u it d u 10 a u 11 n o v e m b r e , c in q l a p in s o n t é té v o lé s à M'"* v e u v e D c la n o y , m a n o u v r iè r o à l ’ré c y . F o u r c o m m e ttr e ce vol, le m a lf a ite u r a fa it s a u t e r le c ra m p o n fixé a la jio rle d u c la jiio r e t «pii r é c o v a il la b r a n c h e d u c a d e n a s . C e d is c ip le d o M e rc u re a d ù ê t r e d é r a n g é d a n s .son o p é r a tio n , c a r s u r v in g t la p in s q u e p o s s é d a it lu v ic tim e , il n e n a p r is q u e lo q u a r t . A m o in s c e p e n d a n t q u ’e n v o la n t, il n 'a i t v o u lu f a ir e a c te d ’h o q n é tc h o m m e e n n o p r e n a n t p a s to u t. F e r l e , 10 f r a n c s . A u te u r in c o n n u , , é v ite r d ’y r é p o n d r e , il n e tr o u v a rie n d e A u ré lle t! d o u ta it d é jà d e c e lle q u ’il a im a it. ' m ie u x q u e d e d ire : “ H e u r e u s e m e n t, n o u s p a r io n s , r e p r i t la — J ’ig n o ra is q u e m a d e m o ise lle d e B rio u z e m a r q u ts c ; n o u s q u itto n s c e . p a y s q u e ' j e v iv n ii'à p a r t. m a u d ir a is , si n o u s n ’y a v io n s p a s fait <kio-i — O h ! r é p liq u a e n s o u r ia n t la m a rq u ise , n a is s a n c e a v e c v o u s , m o n sle o i’, q u i c o m p te re z n o u s n o iis a sse y o n s à la m ê m e ta b le e t n o u s i n a ip te n a n i p a rm i n o s am i$,, :' n o u s fa iso n s b on v is a g e ; m a is e lle m e B is e a ro s r e ç u i s a n s b r o n c h e r c e c o m p lim e n t d é te s te , e t j ’a v o u e q u ’e lle n e m 'e s t p a s sy m a b rp le - p ü u r p o io t, e t la ^d a m o c o n tin u a : • p a th iq u e . C’e st d a n s l’o r d r e . B e lle s lllle s e t P lu ^ lic u r e iis e e n c o r e , N ic o le se b e lle s 'm c r e s iic p e u v e n t g u è r e s’a c c o rd e r. J e m a r ie r a c e t h iv e r . < v o b s j u r e p o u r ta n t q u e j e n e v e u x q u e du r - C e t h iv e r I r é p é t a A u ré lie n q u i to m b a it b ie n a N ico le, c l q u e c e n 'e s t p a s m a f a u te si d e s o n h a u t. n o u s n e vivons p a s e n b o n n e in te llig e n c e . — O u i, ci’e s i à p e u p r è s d é c id é . C e m a ria g e E lle a u n c a ra c tè re ir è 8 - d im c ile ,c i, q u i pis ^coD viciit à M . d o B rio u z e , e t j e l'a p p ro u v e e s t, e lle n e s c p la ft q u iâ v e c d e s g e n s a u d e to u t m o n c œ u r . Il y m a n q u e lv c o p sc n te x d e sso u s d ’elle . C 'est a in si q u ’e lle s’e s t m e n t fo rm e l d e N ic o le . E lle e s t, ,cô m m e • a tta c h é e a ciîiie R e rn a d e lte . u n e d é v tîrg o n d é e i p i i te s j c s j e u n e s fille s, p e u p r e s s é e d e s ’e n - , b y p o c iite q u i fin ira p a r la c o m p ro m e t|re . c h a lo e r , e t le s m a u v a l# - c o n s e ils q u e lui C ’e s t m ê m e déjà fait,' j e le è ra in s , c a r d a n s la d iin iie c*;tto B e r n a d e tte la r e t ie n n e n t .. . M ats c o lo n ie é ira tig è r e o u c o m m e n te b ra u c tn ip la e lle no fera^ p a s la fo lle d e r e f u s e r u n g a la n t m o rt d e c e B o rd e la is r id ic u le ...'O n s e d e h o m m e q u i e,sl t r è s - é p r i s d e l l e , e t ir è s - lié m a n d e c e q u ’il v e n a it fa ir e , la n u it, p r è s d u a v ec son p è re . ô lia le t ^ u e n o u s h a b ito n s , U n c o u p d e m a s s u o q u ’il aut*ait r e ç u s u r S u r u n g e ste sig n ific a tif d 'A u ré lie n , la la t(!te n a u r a it p a s m ie u x ,a s s o m m é le p a u v re m a rq u is e , s’a p e r c e v a n t q u ’e lle a lla it tro p A u ré lic n q u e n e le fit c e t te c o n fid e n c e lo in , 86 h â ta d ’a jo u te r : in a tte n d u e . — J e n e p r é te n d s p a s q u e N ic o le l’y a it — V o u s le v e r r e z 'b i e n t ô t , s i, c o m m e n o u s a ttir é , m a is il c o u rt d e s b r u its là c jic u x , e t si I e s p é r o n s , v o u s n o u s f a ite s l’h o n n « u r d e M. d e B rio u z e n e m e tta it p a s o r d r e a u x v e n ir à H e n s lg n a c . M on m a ri v o u s le p r é Im ilru d e iirc s d e s a fille, Ü tcu s a it c e u u ’il s e n t e r a , e t , J e s u is c e r ta in e q u ’il v o u s p la ira e n ré s u lte r a it. ^ b e a u c o u p , c a r il e s t d u m e ille u r m o n d e . C’é ta it u n a c te d 'a c c u s a tlô n e n rè g le q u e la — S c m o q u e - t - e l l o d e m o i? p e n s a it b e lle D o lo rè s fo rm u la it c è n ir e la pn itv re B is e a ro s a b a s o u r d i. NItîliIe q u i n’é ta it p u s là p o u r s e d é fe n d re — C’e s t le v ic o m te F e r n a r id d e S a in iA u ré lie n n e v o u la it p a s c r o ir e à c e s in s in u a O&vin. tio n s p e rfid e s , e t p o u r ia n l e lle s le tro u b la ie n t B is e a ro s tr e s s a illit. Il é t a it s ô r d ’a v o ir j o s q u a o fo n d d e l'Ame. e n te n d u r é c e m m e n t p r o n o n c e r c e n o m -ià , « C a lo m n ie z I il e n r e s t e to u jo u rs q u e lq u e m a is il n e s e r a p p e la it p lu s d a n s q u e lle s ch o se *, 0 é c r it B e a u m a rc h a is d a n s l e f ;a r ô ie r c ir c o n s la n c e s . de S é ttlle . t o u t à c o u p la m é m o ir e lu i r è v l a t . L a i s s e r - c o u r r e p a r ’J u l e s J o b .’ E f a ie n l p r é s e n t s ; MM. S e r v a n t D e l r h e f r a v e r n i e r . M o re a u , G . L e f e b v r e ,d é fa F o r t e ’ ,M. l l e r n l a r d l , p o l.iiie a u ,- ll e m y , V a v a s s e u r, L e ,lu e , b a r o n d o V au x , I t e r g i n a n n . M e.sdeb r l r e ' i . , c to . ’ , C es- — i r e s t e n c o r e je u n e , p u is q u ’il n ’a q u e tr e n t e - c i n q a n s , c o n tin u a la m a r q u is e ; il e s t f o r t b ie n d e s a p o r s o n n a , il e s t r ic h e , il e s t vtftonitu. T o u s n u s 'a m is l e c o n n a is s e n t e t 1 a p o r é c ic n t. N ic o le n e s a u r a it tr o u v e r q ) iè Q x . m e s o u v ie n s W i m e n a n i , s e d is a it B lsç p ro s. Ce S a in t-O s v in e s t so n a m a n t, e t e lle v c ijt lu i f a ire é p o u s e r a s b e lle - f ille ! C’e s t in fâ m e ! ^ -'n d lg n e r, m a is ü ls c ü r o s n a b c q c o v a it p a s e h ( » r e le ’c è lc u l q u e cqC hait M t f b n p u d c ÿ is d èfclaritioh.!! , ' ' L è s c a u s e u r s d e la t e r r a s s e a v a ie n t p a r lé d u v ic o m te d o S a in t-O s v in c o m m e d ’u n h o m m e t a r e q u i s’é ta it im p o s é à m a d a m e d e B n o u z e , q u i la d o m in a it, q u i l’e x p lo ita it p u u l t ê t i e ......................................._ . • , ,» Q u ’e lle ^ h e fltS fssèz d e c e lio lia is o n « ia n g e -' r c u s e , q u ’e lle fù1 lu ss e d e s u b i r le s e x ig e n c e s d e CCI in tr ig a n t d u g ra n d T m m d F , c e n ’é ta it p a s tr è s - s u r p r e n a n t : m a is q u ’e lle e û t l’id é e d e 1(1 m a r ie r à N ic o le , c ’é ta it u n c o m b le . E l e lle a ffirm a it q u e le m a r q u is a p p r o u v a it c e t o d ie u x a rra fig é m e rif! K fle nSfait m ê m e p r é t e n d r e q u e N ic o le n’y r é p u g n a it p a s ! D e q u é lle p à i e , o u p lu tô t d o q u e lle fa n g e é ta le n t d o n c p é t r i s to u s Ces n o b le s p e r sonnages? t* - (A su iv re .) I CIIRONIOIIK mRTEMENTALF M . C lie v ftllio r, c o n s e ijlo r g é n é r a l <lo l ’O ise , T i e n t , d e r e c e v o ir l a c r o ix d e la L é g io n d O lo n n e iir e n r é c o m p e n s e d e ? é m in e n ts s e r T i c e s q u 'i l a r e n d u s & l 'e x p o s itio n d 'K c o n o m ie so c ia le , d o n t i l é t a i t l e s e c r é ta ir e . N ous iu l a d r e s s o n s n o s p l u s s in c è r e s f é lic ita tio n s p o u r u n e d is tin c tio n q u ’il a si b ie n m é r ité e . • li’e x p o s itio ii d ’E c d n o m le so c ia le , q u i é ta it p i'é s id c e p a r M . L é o n S a y , a o b te n u pn. trè s v it's iic c é s a u p r è s d e to u s c e u x q u | s 'in té r e s s e n t à l ’a m é lio r a tio n d u s o r t d e s c i u s é s la b o r ie u s e s . : .D a n s u n r é c e n t b a n q u e t, M . L é o n S a y a a n n o n c é l a c r é a tio n d ’u n m u s é e d ’B c o n o m ie s o c ia le , d o n t M . C b e v a llie r c o m m e n c e e n ce m o m e n t l 'in s t a l l a t io n . G râ c e à l'o b lig e a n c e d e (UAL A lp lia n d e t .B e r g e r o t â la sb llib itu d o dq lé p r é s i d e n t d u C o n s e jl, c o m m is s a ire g é n é r a l d q l ’E x p o s itio n , u n a s ile V ien t d 'é t r e d o n n é d a n s le p a la is d e s . A rts lib é r a u x a u x d o c u m e n ts p r o v e n a n t d o l'e x p o s itio n d 'E c o n o m iè s o c ia le e t d o n t l ’a b a n d o n a é té g é n é r e u s e m e n t fu it p a r Iç s e x p o s a n ts . L e J o u r t ia l o ffic ie l d u 14 n o v e m b re c o n t i e n t la n o m in a tio n d a n s l a L ég io n d 'h o n n e u r d ffM ; le d o c te u r G é r a r d : ' l^,d t> ^ le u r G é r a r d ( E r n e s » , m e m b re l e i l'g é n é r a i d e l 'O is e , m a ir e d e B e a u d u (Üonseîi < A n c ie n c o n s e ille r .d ’a r r o n d is s e m e n t, c o n se ille i^ g é n é r a l d e p u is 1 8 8 1 , m e m b re do la C o m m iss io n m u n ic ip a le d o B c a ù v d is e n 1870,'. élu, a u C o n sé il m u n ic ip a l o u 1 874, m a ir e - d e p iiis 1 8 8 4 , T ic e -p rési< io n l d u C o n se il d 'h y g iè n e ,a b ip e n c b ir u r g ie n m il ila ir e ; 2 8 n n s de ' ■ A s s o o i s i i î 'o n d é p n r t f r n i r n l n l c . d e s H o c ié lé .> « - d4^ G ^ i u i i a s l û i u o e t d e T U > d e l ’O i s e . . A V IS L 'A s s o c ia tio n d e la S e in e d o n n a n t la g r a n d e f é le a n n u e l l e d o g > m nasti<]ue à r i l i p p o d r o m e , le 2 4 n o v e m b r e c o iu a n t , a lin d o p e r m e ttr e a u x s o c ié té s d o l'O is o d 'a s s js ie r à c e tte im p o r t a n l e m im ife sla tio n g y m n iq u e , l ’A sse m b lé e G é n é r a ie d e l’A ss o c ia /io n D djiartc n ie iU a le d e l ’O ise a a va lie u le D IM A N C H E 1 « 'D É C E M B R E 1 8 8 9 . L e P r i h id e n l , C h e c a lie r d e la L é > iio n -d 'H o n n e u r, E m ile It^ T i s s u t . L e S e c r é ta ir e , E r n e s t II a b o u iij . b . d o n t l’in d iv id u p r o f ita . I l d e s c e n d it ra p id e m e n t le s m a rc h e s d e l ’e n tr e s o l, s o u io v a la b a r r e d e s û r e té q u i m a in tie n t les d eu x b u t ta n ts d o la g r a n d e p o r te , s e p ré c ip ita d a n s la r u e o t d is p a r u t e u u n c lin d 'œ il. T o i e s t d u m o in s le r é c it d u c o n c ie rg e , r é c it d o n t il e s t p e r m is Uo m e ttr e o n d o u te l'b x a c litiid o . ^ GoufTé. q ’a y a n t p a s r i ia b ilu d e d e p a s s e r la n u it h o r s ife chex. J u i, d é s le tendem a in , so n a b s e n c e f u t tr è s r e m a rq u é e . O n la c o m m e n ta d 'a u t a n t p lu s q u ’e lle c o ïn c id a it .av ec la v is ite d e l’in c o n n u . C e lu i-ci d o v a it a v o ir lé s cle fs p u is q u ’il a v a it p é n é tr é d a n s l’é tu d e s a n s la is s e r n u c u n o ilra co d'elT raction,11 lie s e m b la it p a s a v o ir le v ol p o u r o b je c tif, c(|é o n r e tr o u v a 1q b illo ts d o 1 ,0 0 0 f r . d a n s u n . s o u s - m a in q u i p a r a is s a it a v o ir é té fo u illé . J O U B N A L 'D E S E N U S s u s p e c t, n e p u t o u n e v o u lu t d o n n e r a u c u n : d é ta il p lu s p ré c is s u r c e t in d iv id u . I l f o u rn il c o p o n ila n t u n s ig n a le m e n t a n a lo g u e à c e lu i d o I h o m m e q u i s 'é ta it p r é s e n té , lo 2 6 n u s o ir , à 1 é tu d e d o M. GoulTé. T o u te s les re c lie rc h e s fa ite s d a n s le b u t d o r e tr o u v e r le s ie u r tto s o a u o u K o u sso au n 'o n t p as a b o u ti. d e s tac h e s d e s a n g é ta ie n t tr è s v is ib le s d a n s 10 fond e t s u r le s c ô té s' In té r ie u r s . C olle m ai e, s o liile m e n t o t lu x u e u s e m e n t c o n s iru iie , p a r a is s a it d o fa b ric a tio n é tra n g è r e , r,*)®, d u fo n d e t u n d e s c ô té s a v a le n t é té brisé s. p ré c is e s . I l fa u t r e m a r q u e r q u ’e lle s a v a ie n t s u r to u t é té p ris e s a u s é r ie u x , p a r c e q u 'o n s o c c u p a it a u d é b u t d o M . D a u d ie r , d is p a r u le 6 j u ille t. Comptoir ITatlonal d'Escompte tle Paris S o c ié té a n o n y m e a u c a p ita l d e 40 m ilito n s . DOÜBLEBE^n M P in i Ic i, u n e c o n .sta ta tio n im p o r ta n te s 'im p o s e ; fi» ' jo u e d a n s l ’afT airo le r ô le le p lu s s in g u lie r , a lix i^ lu i a u s s i, le H 9d tu m e d a te , d u -tr a n s p o r t d e la m a lle . M ais il f a u t r e m a r q u e r q u e , a u m o . T e lle ô ta it la s iliia lio n , lo r s q u e le 43 a o û t, A u p r ix d e 5 3 0 f r a n c s ' m e n t o a i l a fa it s a d é p o s itio n , la d é c o u v e r te à 1,800 o u 2 ,0 0 0 in é tr e s d e la g a r e d e M illery a u c a d a v r e é ta it s e u le c o n n u e o t q u e la v e r P a y a b le s f r a n c s e n s o u s c r iv a n t ; • . ( e n t r e L yon o t G iv o ra ), u n c a n to n n ie r, p o n d u ô j u i l l e l é ta it p u b lié e p a r lô u s le s ’ fe 1 « ffé v rlB r.1 8 9 0 ., ■ nom m éC ofT y, d é c o u v rit u n s a c d e to ile g ro sjo u r n a u x d e Lyo'n. L e c o c h e r , — a m e n é d a n s L e s 3 5 0 f r a n c s re .sla n ts p o u r r o n t 'é t f é a n -* si(»re re n f e r m a n t le c a d a v re d ’u n h o m m e u n b u t q u o n n e d is tin g u o p a s e n c o r e , à f a ire c o m p lé le m e iit n u , r e p lié s u r lu i-m é m e , e t ' p e lé s p a r d é c is io n d u C o n se il d ’a d m in is tr a tio n ? u n ré c it m e n s o n g e r , — a c h o is i, p o u r lu i à cô te d e cd sa c , u n a u t r e p lu s p o lit, e n tu ile e n u n e o u p lu s ie u r s fo is, c o n fo rm é ju e n t à{ d o n n e r p lu s d e v ra ise m b la m ^ e , la d a t e q u i l’a r ti c l e 15 d e s S ta tu ts . ' ** c iré e , c o n te n a n t la té te h o r r ib le m e n t m u c o ïn c id a it a v e c c e lle q u i é ta it a c c e p té e p a r tilé e . Un d ro it d e p ré fé re n c e e s tré s e rv é a u x ' les m a g is tra ts e n q u ê te u r s . T o u te fo is; il fim t p r o p r ié ta ir e s d e s 8 0 ,0 0 0 a c tio n s a c tu e llo - ' L a r o u ie c h e m in e à m l- c o te a u . A d ro ite • Lo 6 j u ille t, à la g a r e d e P e r r a c h e . il re m a rq u c r-ic i q u e le r é c it d e L iiforge c o n te s (.lage u n e c o ltin e b o is é e ; à g a u c h e , s ’o n v re m o n t o .x is ta n le s , c h a c u n p o u r u n e q u a n t it é • sta lio n n a it d a n s la so iré e , lo r s q u ’u n h o m m e n a it c e r ta in e s p a r tie s v é rid i( |u e s 'q u i n 'é t a i e n t u n e so rte do p ré c ip ic e . C 'e st u n ta lu s à p e n te é g a le o u i n f é r i e u r e a u n o m b r e d ’a c tio n s d o n t L e le n d e m a in m a tin , 2 7 j u ille t, u n a g e n t je u n e r e tin t s a v o ilu r e , e t lui* d é s ig n a u n p a s e n c o re c o n n u e s à l'h e u r e o ù II p a r la i t H Il e s t titu l a i r e . . . . . • ♦ e x trê m e m e n t ra id e , s u r le q u e l p o u sse sa n s d e la S û r e té , a v e r ti q u ’u n in c o n n u a v a it p e u plu s lo in , u n e m a lle à c h a r g e r . A cô té se m b le q u ’o n d o iv e e n c o n c lu r e q u ’il a b ie n c u ltu r e u n e é p a is s e v é g é ta tio n ; d e s a rb u ste s Ces s o u s c r ip tio n s s e r o n t ir r é d u c tib le s . 1 p é n é tr é lu v e ille d a n s I é tu d e , v în t p ro c é d e r sè le n a ïo iit d e u x a u tre s liid iv li|iis , I.o c o c h e r jo u é u n rô le d a n s le t r a n s p o r t d u c a d a v r e . s a u v a g e s, d e s ro n c e s , d e s b»'<mssaiIlos q ui _ L es a c tio n s r e s t a n t d is p o n ib le s a p r è s l ’exer-i à ({es c o n s ta ta tio n s . I l n 'a tta c h a p a s g ra n d e n j^ H t v o u lu l e s .a i d e r : C’e s t in u tile , d it J o u rq u o i e s t- il a llô s p o n ta n é m e n t le d é c la fo rm e n t u n ré.seaii im p é n é tra b le à l’œ il e t c ic e d e co d r o i t d e p r é f ô r è n c e s e r o n t r é p a r im p o id a p r c à l'a b s c n c c d o M. GoufTé, la q u e lle < 1 u n (1 e u x , n o u s l ’a tta c h e ro n s n o u s r e r , m e n ta n t d 'a b o r d p a r tie lle m e n t e t so r é d a n s le q u e l il s e r a it fo rt ((iflicile d e s’o iiv rir iK is jir o p o r tio n n o lle m o n t p jitr e to u s l e s s o u s - b p o u v a it n 'é l r e q u e m o m e'illan éo . . « m oines. » tr a c ta n t en.sulto ? A -t-il c r a in t (le v o ir d é c o u -' c r i p t e u p im lis tip c te m e n t, q u i e n a u r o n t ' u n c h e m in ; a u b a .sd e ce ta lu s , c ’e s t- à ^ d ir e à L e m ô m e j o u r , M. L a n d r y , b e a û - f r é r e d e v i r la v r a ie p isto e t a - t - i l , p.ar u n c d lc u l 1*''^ h issé e n o n s a n s p e in e u n e tr e n ta in e d e m è tre s a u -d e s s o u s d e la m it ta d e p ia ïu lo , m i v u e d e c e tte é v e n tu a lité . ! AL* GoulTé, a v e r ti, s e p ré s e n ta à l'é tu d e . Ic i. s u r la g a le rie , o ù e lle f u t c o n s o lid é e av e c m a la d ro it, v o u lu m e ttr e s u r u n e f a u s s e ' ro u le , c o u rt la lig n c f e r r é e d o L yon à S a in lil e s t n é c e s s a ire d e d o n n e r o u o lq u o s d é ta ils d e s cu |(|c 8 d o n t ce s in d iv id u s s ’é ta ie n t m u se lT o rç a n t e n s u ite d e so s a u v e r on fa is a n t ElieniiQ , C L O T U R E D E LA S O U S C R IP T IO N ' h io g ra p h iq u o .s s u r ' Mi L a n d ry . C 'e st u n a n n is. La v o itu re é ta it à q u a tr e p la c e s ; n é iin la b ê te ? L’a v e n i r 'n o u s a p p r e n d r a p r o b a b le SAHKDI 2 3 NOVKMBHK P o u r p r é s e r v e r le v o y a g e u r d 'u h o c h u te c ie n e n li- e p ro n e n r d o s e r r u r e r ie , â g é d'on-» m e n t la v é r ité s u r c es d iv e r s p o in ts . A l ’h e u r e m o in s, u n d e s tr o is 'p e r s o n n a g e s -s’in s ta lla d a n g e re u s e , o n a o le v é , lo lo n g d o la ro u te , y iro n s o U a n le a n s , fq r t à l’a ise . C e rta in s O n s o u s c r it d è s à p r é s e n t a ç tu o lle , o u le s re n s e ig n e m e n ts q u i s o n t a u p rè s d u c o c h e r, ta n iiis q u e le s d e u x a u tre s u n p e tit m u r d e p ie r r e f o rm a n t p a ra p e t, à in d ic e s , o n in c id e n t to u t r é c e n t, n o ta m m e n t, A u C o m p to ir N a ti o n a l d ’E s c o m p te d e P a r is p a rv e n u s d e L yon n o s o n t pa.s e x a c ts o u le p re n a ie n t p la ce à l'in té r ie u r . C ette p a r tic u hm itfliir d 'a p p u i. p ç r m e tte n t d ’a f lirm c r q u 'a v e c d é s m a n iè re s e t m m les p r i n c i p a l e s A g e n c e s ' ■ la r ité é to n n a le c o c h e r, CAJher Lafoi-ge .s a v a itu v a n l la jii.stlee q u ’un ColTy, lo 1 3 a o û t, a ttir é p a r la m a u v a ise a u to r ita ir e s M . L a n d ry a g it p a rfo is sous d e l.g o n , M a r s e ille , N a n te s e t L o n d re s. c a d a v re a v a it é té t r a n s p o r té à M ille rv d am ; ■. * ‘I® G rig n y », a v a it d it c e lu i d u o ijo u r, sq ,fra y a u u c h e m in ju s ip i’a u c a d a v re . l’e n ip ir é d o s e n tim e n ts assez p u é rils . u n e m a lle . ' s itg e . L aforge fuiie lta sc s c h e v a u x e t l'o n X o s a n t pas o u v r ir le sa c , il a lla c h e r c h e r le D o n c , le 2 7 ju ilio t, M. I.a n d r y p é n é tra p a r tit nu tro t. V ers m in u it, o n a tte ig n it U n a u tr e p o in t re s s o rt d e s d o n n é e s d e g a rd o -c lia in p é tre , e t fit a v e r tir les m a g istra ts; d a n s le c a b in e t d e M. GoulTé, c h e r c h a d a n s e n q u ê te : S i 1 a g e n t (rafrairo .s E y r a u d e s t V e rn aiso n -lo -V n isin o ù le c o o h e r d e m a n d a m a is c o m n iu n t p é n é tr é r a ic n t- ils ju s q u e - là ? sc s p a p ie rs p o u r v o ir si q u e lq u e d o c u m e n t à s(î.s c o m p ag n o n s « N ous a r r ê to n s ici ? » __ tjin te n r d o I a s s a s s in a i d o M . GoufTé, il a v a it L e n d r o it e.st a b m iu m c n t in a c c e ssib le p o u r n e p o u r r a it n a s e x p liq u e r l'a h se n c o d e l'hiii.s« 1 a s e n c o re ■>, r é p o n d ir e n t le s a u tr e s . a ^ s ir é m e iil a u m o in s u n c o m p lic e , c a r so n to u t a u tr e q u u n p a y sa n a u p ied m o n ta g n a rd . S ier e t, p a r la m ém o o cc asio n . Il d é tr u is it un « Un q u a r t d ’h e u r e aprè.s, to n s troi.s, fai sig n a le m e n t n e c o rre .'p o iu l e n a u c u n e faço n D aq s u n e in le n tie n e x c e llo iite , ColTy e t le c e r ta in n o m b r e d o I c lirc s . Il e x iste u n d o u te s a n t a r r é io r la v o itu re , e n d e s c e n d ir e n t la a celu i d e l’h o m m e q u i s’e.st i n tr o d u it d a n s g a i'd o -c h a m p é ti o s ’a r m è r e n t d o tr id e n ts d e Sun. le p o in t d o s a v o ir si c e s le lti e s o n t été m a l e a id é s do L aforge (jui lie p u t s ’e m p ê c h e r 1 é tu d e . Ce d e r n i e r é ta it d 'u n e ta ille é le v é e ja r d in a g e e t lir e n t d é g r in g o le r l o s a c ju s iiu ’a u d é lr u ito s a v a u t o u a p r è s le p a ssa g e (je l'a g e n t d e d ire c o m b ie n e lle é la il lo u r d e . ta n d is q u ’E y ra u d e s t p lu tô t p e tit. ’ b a s d u intiis, AFeavlslMa (je la S û r e té . « Los iKii.-; in d iv id u s re c o m m a n d è re n t a u L es in c o n n u e s d u p ro b lè m e ju d i c i a i i o q u e Les m a g istra ts, v e n u s à M ille ry d o u z e « te o n tlB a Q u e lle s é ta ie n t ce.s le ttr e s ? S im p le m e n t la n o u s vunoiKS d e p o s e r s o n t d 'a i l le u r s n o m co c h e r d e les a tte n d r e e t lu i d e m a n d è re iU h e u r e s a p rè s lu d é c o u v e r te , tro u v è r e n t le coi re.siiondiince a m o u r e u s e d e l'h u is s ie r ? ou b re u se s. Q uel e s t le m o b ile d u c r im e ? B ie n d o b a isse r e s la m p e s d e se s la n lo rn e s . v isa g e d u ip o ii é c ra s é , a b s o lu ip e n l niéconb ie n .\l. L a n d ry , d a n s le b u t d e sa u v e g a r d e r t e th ê fts toutes n iiid u iiio q u e co so it lo vol. ('o m m e n l e t où Laforge s c x é r iila e t a tlo iid it o n so m m e illa n t n u issu b le . 11 y a v a it c e rte s d e q u o i, c a r la r i i o n n e u r d e la f a m ille , n 'a u r a il- tl p a s d(V a -t-il é té c o m m is ? B a r c o m b ie n d e p e r te ret()n r d e s e s v o y ag e u rs. J’e n d n n tc e tem ps h t 64 b n m d e sc e n te à trav e r.s ce ré s e a u d o b ro u ssa ille s Ir u it é g iilc n jo n l d o s |)iôccs é ta b lis s a n t q u e s o n n e s ? Il n e s e m b le p a s q u ’a |) r è s d e s r e u n e c h a ir e tte ipii a lla it d e G rig n y à Lj'oii n o s ’ô ta it p a s a c c o m p lie s a n s p e in e . b b u le jo u rsk u itC M. GoiUTé p ra tiq u a it lo p rê t u s u r a ir e , p a rfo is p a ssa [iriis d e la v o itu re q u 'e lle fa illit n e nas ta r d s m issi lo g r e tta b le s , c e s d ivei-s iio in ts D 'a p rè s le s c o n s ta ta tio n s m é d ic a le s, la p a r ro u tre m i.s(j d e fc n n n e s ? .. SIKStTEINDRE s o ie n t fac ile s à é lu c id e r . v o ir a u m ilie u d o s té n è b re s . L e c iia r r e tie r m o r t d e v a it re m o n te r à tr o is o u q u a tre M. L a n d ry s e r e n d it e n s u ite c h e z M"* D ... Dépente t 9 0 i _______ in te r p e lla m ém o v lo le m m e p l L afo rg e, lu i se m a in e s . Le cô té d r o it d u c r â n e a v a it é té q u ’il s a v a it (Mro en r e la tio n s d ’affa ire s avec r e p ro c h a n t d ’a v o ir é te in t se s la n te rm o s . .Seul d é p o s ila iie d e l’iir r o n d is s e m e n t : é c ra s é p a r u n co u p v io le n t e t fo rm a it u n e M. GoufTé. Cell(5-ci n ’a v a it p a s v u l’Itu issic r « E n fin , a p r è s u n e h e u r e d ’a tte n te les S u r l e s c o n s e i l s « lu « l o c t e i i p ! M. Exiii.k B R E X X E , q u in c a i l l ie r à SE .N L IS , b o u illie ép a isse d ’o.'? e t d e d é b r is d e c e rv e lle . d e p u is tr o is jo u r s . L e 2 8 'j u ille t a n m a tin , tro is in d iv id u s r e v in r e n t. L a m a lle é ta it d i^ io riita ire d u P o ê le t u b u l a i r e v e n t i l a t e u r Lo co u é lu il c o u tu r é , c o u p é , ta illa d é Los V illè p la n e , p a r G u illa u m e s (A lp e s-.M a riti.M. L a n d ry e t .M*'« D ... s e re tr o u v é ï’o n t d a n s v id e e t ils lu p la c è r e n t s a n s e lT o r t- s u r la Itessu n . y e u x g ris , é ta ie n t g r a n d s o u v e r ts ; le s lè v re s, m es), lo 28 m a i 1889. D e p u is q u e liin e temp.s l'é tu d e . S a c h a n t (|u e M. GoulTé a v a it e n sa g a le r ie d ii fia c re o ù i|s r e m o n tè r e n t. .Sur m a d ig e stio n n e s e f a is a it p lu s , j'é p r o u v a is trè s é p q isses, é ta ie n t su rm o n té e s d ’u n e p e tite po ssession dc.s lo ltre s d 'e lle , M”® D ... les r é le u r d e m a n d e , le c o c h e r les re c o n d u is it à m o u sta c h e b ru n e . u n m a la ise e t u iiü ir r iia iio n d u s a n g c o n tre cin m a à M . L a n d r y , ( |u i, a p rè s a v o ir p r a |lq u é L yon. jiiR(|u a u c o u rs C h a rle m a g o e , n o n loin D o (le rla in e s d é p o sitio n s d o té m o in s, il les(iuéls j ’a v a is d('-jà e m p lo y é iou< U s d é p u d e n o iiv p llo s f o u ille s, le s lu i r e n d it. d e la g a re . r a i i f s .sans ré s u lta t ; s u r le s c o n s e ils d e m o n s e m b la it r(\su lte r (iiie l ’o d e u r d u c a d a v re on Ce n ’e s t q u e le 2Q j u ille t q u e la police « L aforge d it q u e , a p rè s l’a v o ir p a y é , ses d tc o n ip o silio ii a v a it é té s e n tie d e p u is les (foctcw r j e p r i s v os l 'ilu lc s S u is s e s o l a u s s itô t c o m m e n ç a u iie e n (|u é to séi-ieuse. L e s p rc \ HUR UU PO.nT-NBOF c lie n ts so n t p a r tis a v e c le u r m a lle d a n s la ire m m rs jo u r s d e ju ille t. L e p a r q u e t d e m e s m a la ise s d is p a r u r e n t e t la d ig e stio n se n iié rè s c o n s ta tu lio u s f u r e n t re n d u e .s asse'z M A I S O N S A N S S P C C P H g A r ,g S d ire c lio n do S a in l- G o n is - L a v a l, o ù la m a lle h t p a rfa ite m e n t. .y o n re m a i(p ia a u s s itô t lu c o ïn c id e n c e iiiie d illic ile s p a r le s fo u ille s e t les d a d r u c lio n s a c lé re tro u v é e b ris é e e n q u a r a n te o u c in E X P O S IT IO N U N IV E R S E L L E D E 1 8 8 9 \ (•Sig. Ic g .) .Nie i ,. p r o p r ié ta ir e . p r é s e n ta it ce fa it a v e c la d is p a ritio n d ’u n d e p a p ie is (luo M. L a n d ry a v a it j u g é b on do q u a n te m o rc e a u x . » k _ ^ Jjg P A lk k e lV p * A R < a e N T - \ .sœ ur D a u d ie r, d e L y o n , Do là le te m p s q u ’on A. M. Ile r lz o g , p h a r m a c ie n , 2 8 , r u e d e G ra m p r a tiq u e r . D’a ille u r s à co m o m e n t, o n ne Dinaiidez U nouveau Cataloguo dei Vélemenit nour Homméi m o n t, P a r is . i n i t à é tu d ie r s é r ie u s e m e n t la v e rs io n dos N ous av o n s p a r lé d o ré c it p rim itif , p a rc e c ro y a it p a s e n c o re à u ij c rim e . B ien d e s gen s Jeunes Cens et EnïlsnU. qui V i e n t Oa A t r a l S î T jo u r n a u x ipii a v a ie n t iin m é d ia to in o n l e x q u e , d<‘piiis lo rs , f.aforgo a b e a u c o u p v a rié . e x p liq u a ie n t ra b s e iic o .d e M. G oulïé p a r des 1 8 8 9 i r i V E I t 1 8 9 0 p r im é f'o p in io n (pie to c a d a v re d e M illery Quelques Prix du Catalogue s Longtemp.-î il a d é s ig n é , c o m m e é ta n t les tio is ra is o n s l i é s n a tu r e lle s ; le.s p lu s p e ssim iste s lo iiv a it ê tr e c e lu i d e l’h u is s ie r GoulTé. a u te u r s d u c rim e d e .M illery, le s s ie u rs B evol, PA RDESSUS CO M PLET p a r la ie n t d e s é q u e s tr a tio n . Drapcrio Modo iiau to N ouveauté C e p e n d a n t on n îlr o u v a it, (lés le 16 a o û t, le B o n v an a in e t fd in ta in , a lo r s d é te n u s co m m e O n é ta b lit q u e l’In c o n n u q u i a v a it p é n é tré s ie u r D a u d ie r, e t le p a rq u e t fo rc é d e sq iv ro a u te u rs ( r iin c r im e c om m is a u G ra n d -C a m p C o n t r e l e s D o u l e u r s (2 fi-; le lla c o n ). d a n s l 'é t u d o d e M. GoulTé n o s ’é tîiil liv r é à u n e a u tr e p iste , n ia m iu it ù lA o n d e u x au eiits D ep u is, il a r e c o n n u q u e c e la é ta it faux. a u c u n e elT raction, M ais c e r ta in s in ilic e s p e r d e la S û re té . L a fo rg e n ’a d ’a ille u r s p a s p e rs is té d a n s se s m e tta ie n t (le s u p p o s e r q u ’il a v a it d û p ia lia sse rtio n s. pa n t a l o n s' L e b rig a d ie r .S oudais s 'é ta it fa it acco m p a PARDESSUS q u e r d e s rfich o r(:h es (iiii n e p a ra i.sse n t pas BcUo fantalslo g n e r d e .M. J .a n d ry . C e lu i-c i, m is e n p rô a v o ir e u le v ol p o u r b u t. E p e ife t, a u c u n 8(jnco d u c a d a v re d o M illery . d é c la ra q u e co o u v e r tu re d e c r é d it a u c o m m e rc e e t à :3 v a le u r n ’a v a it é té d é to u r n é . M” “ D ... h 'e ta il p a s le c a d a v r e d o M. GoulTé. Les l’in d u slrii» , c a p ita u x to u jo u r s d is p o n ib le s . Lo p a n p ie t d e L yon c o n tin u a it d ’e r r e r (h m iara d ’a b o rd (ju’e l h ia v a itd é lr u it le s le ttr e s tr a its n é ta n t p lu s g u è r e re c o n n a is s a b le s , il q u a n t a l’id o n tilé d u c a d a v r e d e M illery . A i i n c t - p a i i l y e t C'®» 6 3 , r u e d o la q u i lu i a v a ie n t é té r e m is e s p a r Al. L a n d ry . sig n a la u n e dilT éreiice d a n s la c o u le u r d e s A p rè s D a n tie r, il a v a it é té q u e s tio n d ’un G o u tle -d ’O r, P a r i s , jir o p r ié la ir e s d e V E i o i l e M ais o n o n s a is it u n c e rta in n o m b re à son JEUNES CENS Tout Vêtement E N F A N T S C o m a le t c h e v e u x . Lo p a r q u e t p r it a c te d e c e tte s ie u r P aillo n . D e p u is le voyag(>de M. L a n d ry , fin a n c iè r e , c o rre .sp o n d a n c o c o n f id e n tie lle d o m ic ile . >uronvcnjni p: d é c la ra tio n e t c e ssa d e p o u rs iiiv ro r e n q u ô le in d is p e n s a b le a u x c a p ita lis te s . ' OU C o a t a n t e o n n e s'o c c u p a it p lu s (le GoufTé. O n p a r la it d a n s co s e n s . C e p e n d a n t, c o m m e no u s m a in te n a n t d 'u n c e rta in N ic o la s d e Pim enolT. I en rsi retourné d n «iiltD l’a v o n s d it, la li'?g(ueté d e .\I. L a n d ry a u r a it O n su iv a it d 'a ille u r s le s p is te s le s p lu s i n D u r a n t u n te m p s a sse z lo n g , o n d e m e u r a vrai.se in b lald es. m é rité m o in s d e c ré a n c e . O n c o n te à c e p r o s a n s p iste sf-rie u sc . Le 1.{ a o û t, M. D opffer, X . Erpidilron S r a n c o d e D o r t pos n n o a n e c d o te s ig n illc a tiv e . E n re v e n a n t C om m ent a é té em p lo y é à L yon le tem ps ÿ rfani Joule U France i p m ir de 8 B fr a n o B . ju g e d 'in s tr u c tio n , s u r l ’a v is d ’u n o le ttr e DEMANDEZ ufANDAZ LE I.E r.ATAI«ll« r.ATAIM)(n AD tm tlMDlTT O m K DE K U tA d o la c o n f ro n ta tio n , M. L a n d ry p a s s a it e n q ui s é p a re le 13 a o û t, d a te d e s d é c la ra tio n s a n o n y m e , lit m e ttr e à la d is p o s itio n d u p a r fît» du CardlttèULemofne, 65, Perlé d u c o c h e r L afo rg e , a n 8 n o v e m b re , d a te d u v o ilu re s u r le p o n t d e la G u illo tiô ro , q u i t e i i l P O W T - N E U F , P A R IS C (|u e t u n s ie u r l l a u t e r i ^ e . C e lu i-c i c o n ta le tr a v e r s e lo B h ô iio ; to u t à c o u p , il in te r p e lla d é p a rt (le M. G o ro n , v o ilà c e q u e n o u s ig n o ré c it s u iv a n t /V T lÏB a ro n s. Il s e m b le q u ’il y a e u biim d u te m p s le s p e r s o n n e s q u i l’a c c o m p a g n a ie n t. « — L o ‘2 6 j u i l l e t , s o ir d e la d is p a ritio n , p e rd 'i c l q u e , d è s la d é c o u v e rte .du c a d a v re — Q u e lle lu n g u e u r p e n s e z -v o u s q u e p u isse d e p u l» i « X«r N o v e m b r » t a 7 S à s e p t h e u r e s , j ’é ta is a s s is à la to i'r a s s e d u d e M illery , l’é tu d e d e l'atTaire a u r a i t d û é tm a v o ir.c o p o n t ? (e u r d o m a n d a - t- il. ’ ItU-N, d a n • •• ! vligl et ee dtm mn. ,ca fé d o la P o r le - M o n tm a r tr e , a v e c u u h om m o m e n é e p lu s ra p id ü in e iit. So.s c o m p a g n o n s, o n le c o n ç o it, p e n s a ie n t IIU-lt,deeEiMteleqD4Rteetee(HtHK(u. d ’alT aires q u e j e c o n n a is ( h îp u is d ix a n s , e t j e ' llU-it.den ceit eleqeaDla «eai «liruretu. P e n d a n t^ la s a is o n d 'h i v e r , M . E . d e Quoi q u ’il e n s o it, le p a r q u e t d e L yon, à to u t a u tr e c h o s e . U n p e u é to n n é s , Ils r é lu i d is a is q u e j ’a v a is b e s o in d ’a r g e n t p o u r le llIVII.deiixoaet eliqeaate «egt flim nfit. K o z y c L î , p e i n t r e p h o to g r a p h e , 6 , r u e S t c ro y an t to u jo u rs te n ir le s c o u p a b le s , c o n s e r p o n d ir e n t c e p e n d a n t : IIIMt, d a n osât aolxaila d a n (Um itfu. la n c e m e n t d e v é lo c ip è d e s. l ’ie r r e , s ’o c c u p e p r in c ip a le m e n t d ’a g r a n d i s v a it te s p iè c e s à c o n v ic tio n . P o u r ta n t, il a v a it — M ais n o u s n e s a v o n s tr o p , co p o n t d o it ilM-tl, d a u eeat a a lu a te trola <Uta m a . « J e v a is e n a v o ir b ie n t(it, m e ré p o n d it sem eiil.s d ’a p iè s p h o to g r a p h ie s m o d e r n e s o u a v o ir ... ta n t d e m è tr e s , fait r e c o n s titu e r la m a lle à l'a id e d e s m o r m o u v o is in , j e p o u r r a i v o u s e n d o n n e r . a n c ie n n e s , d a g u e r r é o ty p e s , e tc . ; il re c o m ceaux, p a r u n o u v r ie r la y e tie r. t;o m m e e lle — V ous v o u s tro m p e z , il a b e au c o u p T e n e z , re n d e z -m o i d o n c u n s e rv ic e . A llo n s m a n d e p a r tic u liè r e m e n t s o n p ro c é d é a u p a s te l p lu s . p a ra issa it d e fa b ric a tio n é lr a n g è r o , o n e u t 2D €»€»€1€»O C 11M K »0 ju s q u ’a u c a fé V ô ro n , j e v o u s d é s ig n e ra i u n p o u r les p o r tr a its g r a n d e u r n a t u r e l l e e t le onlîn l'id é e d e l’e n v o y e r à l*aris p o u r r e c h e r E t c o m m e M . L a n d ry te n a it à p r o u v e r d e s b a ille u r s d o fo n d s c l vo u s lu i re m e ttre z p ro c è d e e n p la tin e p o u r les b u s te s g r a n d e u r ch e r q u e lle e n p o u v a it ê tr e l’o r ig in e . C 'est q u ’il a v a it ra is o n , il fit a r r ê t e r le fiacre, c e lte Ic lli'o d e r e n d e z - v o u s ; j e n e v e u x pas in i-iia tiiro e t a u - d e s s o u s ; c es d e u x p r o c é d é s alo rs q u ’e n l’e x a m in a n t a tte n tiv e m e n t, l’in s d e s c e n d it e t se m it g r a v e m e n t à a r p e n te r le q u ’o n m e v oio. » J 'a c c t'p ta l e t n o u s fim o s tes trè s a rtis tiq u e s , s o n t in a lté r a b le s . 4 0 A u rs ü B a v c o jÿ B p e cte u r p rin c ip a l J a u n ie d é c o u v r it u n e é ti' p o n t d e la G u lllo tiè r o . L’o p é r a tio n te rm in é e , c e n t p a s d o y a n t le c a fé V é ro n . A s e p t lio u re s Seu l Topti[ue S u r d e m a n d e , M . E . d e I l o z y c k i se r e n d il r e v in t à se s c o m p a g n o n s : (picite. in d iq u a n t la p ro v e n a n c e d o P a r is . Ce v in g t m in u te s , m o n a m i m e d é s ig n a u n m o n (I d o m ic ile o u d o n n e to u s les r e n s e ig n e m e n ts fut là le p o in t c a p ita l q u i p e r m it d e r e lie r — V ous a v e z p a rfa ite m e n t r a is o n ! le u r s ie u r d 'u n c e r ta in â g e , q u e j 'a i s u , d e p u is , d é sir a b le s p a r c o r r e s p o n d a n c e . deux e n q u ê te s m e n é e s ju s q n e - là s é p a ré m e n t d it-il. Moi q u i a v a is u n si b o n co u p d ’œ il ê tr e M. GoufTé, l’h u is s ie r. J ’id lai à lu i e t lui PnOTOPEINTUUE. — PIIOTOMINIATURE. A p a r tir d e l ’a r r iv é e d e M. G o ro n à L yon a u tre fo is ! I l f a u d r a q u e j e le re c tilie . re m is la l e t t r é ; i l la lu t r a p id e m e n t e t m e rapide PIIOTONATl RE. l’e'K iuéte m a j-c h ait v iv e m e n t e t le c h e f d e la A c e tte é p o q u e , o n c o m m e n ç a it à s ig n a le r d it e n s o u r ia n t : «- C’e s l b*'=— i e n , =....... j o v a— i s y a" l l e ‘r l » ,6 ’o iir s e t le ç o n s p a r t i c u l i è r e s S û re té 'd é m o n tr a it e n p e u d e te m p s l’id e n tité la c o ïn c id e n c e e n t r e la d is p a r itio n d ’u n s ie u r S' a lia i a lo r s r e jo in d r e m o n a m i, q u i s’é ta it , M o le t t e s . _ p o u r l ’e n s e ig n e m e n t de Ces p ro c é d é s. do l’h u is s ie r GoufTé a v e c le c a d a v re d e E y ra u d , a g e n t d ’alT aires v é r e u x , q u i a v a it c a c h é (J c r rié r e u n e c o lo n n e v e s p a s ie n n e , e t imenta des Jamtws. Suros Millery. é té e u r a p p o rU a v e c l’h u is s ie r GoulTé, c e lu i-c i m e q u itta a u s s itô t e p m e d is a n t : PhlaftËNBAQ Il a é té é ta b li q u e l a m a lle d e S a in t- G e n is le q u e l m ô m e a u r a i t e u d e s re la tio n s av ec « M erci, e t à b ie n tô t » , p u is il e s t p a r ti d a n s T o i i j o t i x 's e l l e s s c u i e s t Laval a v a it é té e x p é d ié e d e P a r is le 2 7 j u ille t, G a b rio llé B o m p a rd , m a îtr e s s e (l'E y ra u d . O n la d ir e c tio n d e la p o r te - S a in t- M a r tin . C’e s t len d e m a in d e la d is p a r itio n d e CoutTé. Le c ro y a it s a v o ir q u ’E y r a u d , d is p a r u , lui a u ssi, S n in te - l'ie n c e (.M an ch e), le 13 m a r s 1 8 8 9 . to u t c e q u o j e s a is d e l’alT aire. » cad av re d e M illery p ré s e n te a la j a m b e e t à la — .Ma fem m e soiiITIait d e p u is p lu s d e d e u x d e p u is le 27 j u ille t, s e s e r a it e m b a rq u é p o u r L e j u g e d e m a n d a a u s s itô t à I la u te r iv e q u e l m â ch o ire d e s s ig n e s c a ra c té r is tiq u e s q ui c o n le B ré s il. a n s d o m a u x d e této e t d ’e s to m a c , c o n tr e é ta it c e t a m i d e d ijj a n s q u i a v a it é c r it la trib u e n t e n c o r e à a tte s te r so n id e n tité . E n fin , le sq u e ls e lle a v a it e m p lo y é i n u tile m e n t to u s le llj'o (le re n d e z - v o u s e t d o n t l ’a l l u r e é ta it si l’e rr e u r d e iM. L a n d ry s ’e x p liq u e p a r c e s im p le les r e m è d e s ; m a is d e p u is q u ’e lle a p r i s v o s FOXDÉK EN 1 8 1 9 . s u sp e c te . Lo 2 8 a o û t, u n e c le f fu t tro u v é e à M ille ry , fait q u e le s c h e v e u x d e la v ic tim e é ta ie n t b o n n e s P ilu le s S u is s e s à 1 f r. 5 0 la b o ite , à l'o n d r o it o ù le c a d a v r e a v a it é té (lécoum aculés d e s a n g , c e q u i e n c h a n g e a it la c o iie lle e s t c o m p lè te m e n t r é ta b lie . A ssu ra n c e s c o n tr e l ’In c e n d ie e t s u r l a V ie. « — J e n o sa is q u ’à p e u p ré s s o n n o m , v e r t. O n p e n s a a lo r s à r a tta c h e r à l’alTaire leiir. N etto y é s, ils o n t é té re c o n n u s sem ( S ig . lè g .) j . Uardow n, r é p o n d it- il, c ’e s t H e n ri llo s e a u o u R o u sse a u ; u n in c id e n t a u q u e l, d 'a b o r d , o n n 'a v a it a tta blables à c e u x d e M. GoufTé. A u g m e n ta tio n d u U e v e n ti p a r les R e n te s A . M. Ile r lz o g , ph"*, 4 8 , r u e d e G r a m ra o n f, j e c ro is q u ’il d e m e u r e à .V ille - d 'A v r a y o u c h é a u c u n e im p o r ta n c e : l o 1 3 a o û t, le b r i P a r is . Il r e s ta it u n e o b je c tio n : c e r ta in s té m o in s V ia g è re s. a u x e n v ir o n s ; j e n o sa is p a s a u ju s te c o q u 'il g a d ie r d o g e n d a r m e r ie d e .S a in t-G en is-L av al av aie n t p ré te n d u s a v o ir s e n ti d é s le c o m m e n fu it. » S ’a d re s s e r p o u r r e n s e ig n e m e n ts : a v a it lr.ouvé, d a n s u n b u is s o n d is ta n t do ce m e n t d e j u i l l e t l ’o d e u r d u c a d a v r e d e AlilLe G érant : D a ille t. A M. D r iv iè b e , a g e n t g é n é r a l d e l a C'«, Ila u te r iv e , q u i a d ’a ille u r s u n p a s s é trè s M ille ry d o 12 k ilo m è tr e s u n e m a lle d éfo n c é e : lery. M ais le u r s a O irm a tio n s n o s o n t p a s tr è s 2 4 , r u e d e l a R é p u b liq u e , à S o n lis . S e n lis . — I m p r im e r ie E r n e s t P a ï e n . O n e ssa y a la c l e f d e M ille r y ; e lle s ’a d a p ta it p a r fa ite m e n t à la s e r r u r e d o l a m a lle . L e n q u ê te , d o c e c ô té , s e c o m p lé ta it. L e 2 6 a o û t, v eillq d e la d éco u y jsrte d o la c le f u e co iiv e rto q u ’il ig n o r a it, u n s ie u r . L aforge. M c h o r on d is p o n ib ilité , p r é v e n a it le c h e f do d e L y o n q u ’il a v a it c o n d u it à M ille ry , le ô j u i l l e l , tr o i s i n d i v l d i i s e ï u n e m a lle .assez lo u rd e O n l’a v a it; d is a it- il, f n ila tte n - , d r e s u r la r o u te , e t là , o n a v a it d é c h a rg é la m a lle q u i a v a it é té e m p o rté e lib rs d o s a vue. VOICI d u ro sle s o n r é c it p r i m i t i f : . ÉBISSIOJI DE 80,000 ACTIOSS KOtiïËllES I P O N T -M E U T S La^ d is p a i i t i o n d o 'l 'h u l s s l e r GoulTé p n ss io n n e i d e p u is q u a t r e m o is , l’o p in io n p u b li q u e .. A u m o m e n t o ù c e lte a lïa ir o d r à m a i iq u c v a e n tr e i; d a n s u n e n o u v e lle p h a s e , p a r s u ita d e l à d é c o u v e r te d u c a d a v r e d o M ille r y M t e s t i n i c r e s s é n l d e r a p p e l e r 'l a s u ite d e s fa its.- C’e s t la s e n te f a ç o n d e s e r e n d r e c o m p te d u m y s tè r e (pii p ia n o e n c o r e s u r la d is p a r i ti o n , o u p lu té t, i c a r c 'e s t u n e c h o se d é m o u tr é o à l’h e u r e a c tu e lle , s u r l’a s s a s s i n a t d e G o u ffé. L e 26 j u i l l e t d e r n ie r à s ix h e u r e s e t d e m ie , M . G o ü iïé , h u is s ie r ; 1 48, r u e .M o n tm artre , s e r e n d a i t s u i v a n t s o n h a b itu d e a u ca fé V ë ro n , o ù l’a llo n d a it u n d e se s a m is , RI-. D ... Il r e s ta u u Ciifâ e n c o in p a g n io d o tr o is p o rs o n n c s j u s q u 'à s e p t h e u r e s u p q u a r t. E n s e le v a n t p o u r p a r t i r , il d it à l’u n e d 'e lle s . — M es IHIes v o i i t d l i i e r e n v ille ; j ’ai a v e r ti la b o n n e q u e j e d î n e r a i d e h o r s é g u lc m e n t. A u d i r e d é c e r ta in s té m o in s , M . GouIFé a é té a p e r ç u u n m o m e n t a p r è s , m a ic h a n d s u r lo b o u le v a r d , d a n s la d ir e c tio n d e la r u e U o u g e m o n t. D e p u is lo r s , o n n e l ’a ja m a is rev u . L e m ô m e s o i r v e r s h u it h e u r e s , u n h o m m e , q u i, v u d o d o s , r e s s e m b la it à s’y m é p r e n d re à M.,, GoufTé e t q u i é t a i t v é lu d e la m ém o fa ç o n , p a s s a it ( jo y a iit la lo g e d u n» 148 d o la r u e M o n tm a r tr e , la ip ie lle e s t s itu é e à l’e n tre s o l e t p é n é t r a i t d a u s l ’é tu d e d e 1 h u i s s ie r ,' a u p r e m ie r é ta g e , o ù i l d e m e u r a it d u r a n t u n e h e u r e e n v ir o n . Q u a n d il r e d e s c e n d it, lo c o n c ie rg e , c ro y a n t a v o ir alT aire à M . GoulTé e n p e r s o n n e , s e lo v a p o u r lu i r e m e t tr e le c o u r i'ie r . I l d e m e u r a s tu p é f a it e n v o y a n t q u ’il s e tr o u v a it o n p r è s e n c e n o n d e s o n lo c a ta ire , m a is d 'u n j e u n e h o m m e t r a p u e t v ig o u r e u x , n é s b r u n , p o 'rla n t u n e fo r te m o u s ta c h e b r u n e , e t p a r a is s a nilt â g é d o tie u ie ^ c in q a n s. Le c o n c ie i'g b d e m a n d a à l’in c o n n u c e q u 'i 1 f a is a it à c e lle h e u r e d a n s la m a is o n e t c om m e n t il a v a it p u p é n é t r e r d a n s l ’é tu d e q u i v la il f e rm é e . — J e s u is u n d e s e m p lo y é s d o M . GoufTé, r é p o n d it l 'i n d iv i d u . — C e n ’e s t p a s v r a i ! r ip o s ta lo c o n c ie rg e . — GoufTé, d o n t j e s u is l’a m i, m ’a c h a r g é d o c ite r c h c r q u e lq u e c h o s e d a n s l ’é lu d e . - - Co n 'e s t p a s p o s s ib le ! ... A c es m o ts , l ’in c o n n u , d e v e n u s o u d a in m e n a ç a n t, d i t a u c o n c ie rg e : — A h ! o n v o ilà a s s e z l tir e z - m o i le c o rd o n o lf lc h e z - m o i la p a ix ! L o c o n c ie r g e e u t u n m o m e n t d ’h é s ita tio n (1 0 ) F E U IL L E T O N TR IST A N LE ROUX A le x a n d t> o D U M A S 01». P e n d a n t c e te m p s , O liv ier, a v a it le v é le s lio m m é s d o n t-il a v a it b e s o in p o u r f o rm e r s a tro u p e , e t il s’é t a i t f a it d a n s le c b â te a u u n g ra n d r e m u c m é D t'd 'a r m u r e s ,.d e chcV aux e t d 'é p é c s . L e s jo q r s s e p a s s a ie n t à p r é p a r e r les a rm e s , e t le s n u its , r é u n is d a n s u n e s a lle q u i le u r a v g it é té a b a n d o n n é e , le s g e n s d ’a rm e s E ou p aien l e t b u v a ie n t ju s q u 'a u m a tin en ^ m p a g n lo d e le u r s h o m m e s , c a r c h a c u n d e u x a .v a ie n tc in q h o m m e s so u s s e s o r d re s , d eux a r c h e r s , u n p a g e ,u a v a ic t e t u n c o u tlilc r, to u s g e n s d is p o s e s a s e b a t t r e , m a is d isp o sé s a u ssi à b ie n b o ire . L e j o u r d u d é p a r t a r r iv a . O liv ie r p a s s a e n re v u e s a tr o u p e d a n s la c o u r d u é h ftlo au . . ^ L e s g e n s d 'a r m e s h c h e v a l fa is a ie n t face a u je u n e c o m te , e t d e r r iè r e e u x v e n a ie n t le s h()rom e8 d a n s l'o r d r e q u e nôuft âvoris d i t 'to u t g 1 h e u r e , c h a c u n d e c e s h o m m e s à c h e v a l i, BAUME VICTOR!! l’féts à tous sur signal, en \T ii.; 9% 5 18 Institution ChOTaltier Pardemanm .Jp»la^i-iusla.„_ t 3207‘“ “ Baccalauréats ju n iiE iim u i (.'ompagnie française du rtiéuix le s v a le ts te n a ie n t e n m a in c h a c u n deiix c h e v a u x , à s a v o ir , u n c h e v a l d o b a ta iile e t un ch ev a l d e b a g a g e , p o r ta n t le s te n te s e t les p ro v is io n s d e to u te s s o rte s . O n c o m p re n d c e q u e d e v a it c o û te r u n e tro u p e p a re ille , u n ie e t e n tr e te n u e a u x frais d u n o b le q u i la m e n a it a u se c o u rs d u ro i. D ’a u tr e s s e ig n e u r s m o in s ric h e s q u ’O liv ie r, e t a c c o m p a g n é s se u ie m c n t d e cin q o u d ix h o m m e s c h a c u n , é ta ie n t v e n u s se jo in d re h lui è t g ro s s ir s a b a n d e , s e m e tta n t e u x -m ê m e s so u s le s o r d r e s d u je u n e h o m m e , q u i se tro u v a a in s i à la tê te d e c e n t c in q u a n te hom m e s e n v iro n , c e q u i é ta it fo rt r e sp e c ia b lo . H a is c e q u i c a u s a it r é io o ité m c n t g é n é ra l, e’é la it le s c o m p a g n o n s q u e T r is ta n a v a it ChoU is e tq iii fa is a ie n t ta p a g e d a n s le s c o u rs, c 'é ta it T h o r o t B r in d a , q u e J e h r m a îtr e a v a it fa it')ta rd e r d e 1er c o ra m o de.s ch e v au x e t q u i, ç o m m e s ’ils e u s s e n t d e v ià é q u ’it a lla it y a v o lr c o u p s à d o n n e r e t à r e c e v o ir ,s e l iv r a ie â th Une jo ie q u i fa is a it h o n n e u r à le u rs d isp o sitio n s g u e iT iè rcs. Q u a n th T rie la n , m o n té s u r B a a l, c o u v e rt d 'u n e c o tte d e m a ille s lé g è re , il se te n a it à q u e lq u e p a s d 'O liv ie r, u n e h a c h e d ’u n c ô té d e la s e lle , u n e g r a n d e é p é o d e l'a u t r e é t p o rta n t l’é te n d a rd d e s o ie o û é to it b o rd iî l ’é c u sso n d e K a rn a c . ^ L e s g e n s q u i r e s ta ie n t a u c h â te a u p 6 u r le g a r d e r, c o n te m p la ie n t a v e c a d m ira tio n la b e lle té n u e d o c e s h o m m e s d t l'é lé g a n c e de le u r ch e f, q u i, c o u v e rt d ’u no c o tte ^ m aille so u p le c o m m e u n Qlet d e s o le , b r illa n te co m m e l 'a r g c o t, m a n ia n t av e c s o n a d re sse a c c o u tu m é e le ch e v a l b la n b q u e n o u s lui co n n a isso n s, r é p é ta ilie s d e rn iè re s in s tru c tio n s a s a p e tite a rm é e . L a .c o m te s s e c l A lix é ta le n t a u p rè s d e lu i, ap p u y é e s l'o n e is u r T a u lre , fiè re s e t tr is te s à la fo is, e t fa is a n t in té rie u r e m e n t lé p ro je t de s e c o m m u n iq u e r le u r d o u le u r n a tu re lle , u a n d le b r u it d e s c h e v a u x s e s e r a it effacé a n s la c a m p a g n e . L e c h a p e la in , d u h a u t d’u n p e r ro n , lu t q u e lq u e s v e rse ts d e l’E v a n g ile o t b é n it to u t le m o n d e , b é n é d ic tio n d e v a n t la q u e lle c h a c u n b a is s a re s p e c tu e u s e m e n t la téte. E n fin , A lix j e ta u n e é c h a r p e b ro d é e p a r e lle à O liv ie r, c e lu i-c i, l'e m b ra s s a un e d e r n iè r e f o is a iiis i q u e .sa m è re . L e s c r is d o : V ivo la c o m te sse d e K a rn a c ! r e te n tir e n t « t le s c h e v au x se m ir e n t o n m o u v e m e n t. L e s paysaiis. é ta ie n t ra s s e m b lé s p o u r v o ir d é û le r le c o r tè g e , e t le s a lu è re n t d e le u r c ris , d e le u r s s o u h a its e t d e le u rs a p p la u d is s e m e n ts . A lix m o n ta c h e z e lle e t r e s ta s u r so n b a lc o n , a g ita n t so n m o u é h o ir ju s q u ’à ce q u 'O liv ïc r e û t d is p a ru . Q u a n t à lu com tcs.^e, e lle s 'a g e u o u iila d a n s sb n o ra to ire q u ’e lle n 'a v a it p a s q u itté d e p u is s a d e rn iè r e e n tr e v u e a v e c T r is ta n , e t elle s'é c ria a v e c d e s la rm e s. — M o n D ie u l M on D ie u ! ayez p itié d e m o i. — C on so lez -v o u s, m a flile, lu i d it le c h a p e la in e n e n tr a n t ; D ie u e s t m isé ric o rd ie u x à q u i s e s é iv i e n t d e lu i e t n 'a fa it q u e d u b ien . — M on p è r e , s ’é c ria la c o m te sse e n se je ta n t d a n s le s b r a s d u s a in t h o m m e , je n 'a i p a s osé e m b ra s s e r T r is ta n a v q n t q u 'il p a r tit, e t il e s t p a r ti s a n s so to u r n e r v e rs m o i. I l y a v a it u n m a lh e u r d a n s l’a v e n i r ; le p re sse n te z -v o u s, m o n p è re , v o u s q u i ê te s , le co n fid e n t d u p a ssé . ............................. E n c e m o m e n t, O liv ie r, q u i é u i t e n v iro n à d e u x c e n ts p a s d u c h â te a u , d is a it à son com pagnoh: 3 — T r is ta n , tu e s p a r ti s a n s d ir e a d ie u à I l m a rc h a d o n c d a n s c e tte d ir e c lio n e n m a m ère ; c ’e s t m a l, e lle q u i t ’a im e à c e p o in t d is a n t à O liv ie r ; qu e j'c n p o u rr a is ê tr e ja lo u x . < — C e d o it ê tr e ce q u e n o u s v o y o n s ià - b a s , m o n se ig n e u r, e t s i v o u s le p e r m e tte z , j 'i r a i m ’e n a s s u r e r m oi-m ôm e, XI -r-. V a , lu i d i t O liv ie r. T r is ta n m it B â a l a u g a lo p , e t q u e lq u e s in s LB TOEDEAU DU SARRAZIN t a q l s a p r è s i l é ta it d e v a n t l a io m b e , q u i n 'é ia it a u tr e ch o se q u ’u n e im m e n s e p ie r r e e n fo rm e H uit j o u r s a p rè s icâ é v é n e m e n ts q u e no u s d c p y ra m iile e t s u r la q u e lle la m o u s s e a v a it venons d e r a c o n te r , il é ta it s e p t h e u re s du p o u ssé . Q u ’il fit j o u r o u n u it , to u t p a y sa n s o ir e n v iro n , c 'e s t- à - d ir e q u ’il f a is a it n u it, q u i p a ssa it d e v a n t c e t t e j j i e r r c s e s i g n a i t a v c c uand u n e t r o u p e d 'h o m m e s à c h e v a l e n tr a r e s p e c t e t p re s q u e a v e c te r r e u r , c a r le s lé ans la p la in e d e P o itie r s , p la in e d a n s to u te g e n d e s n ’a v a ie n t p a s m a n q u é d e s e J o in d re à l'acccptfoo d u m o t, c a r o u n 'y v o y ait ni c e s o u v e n ir, c o m m e les fle u rs so m ê le n t a u x a rb re s n i b u is s o n s , m a is d e s p ie r r e s se u le ru in e s. m ent, c o m m e si le te r r a in q u e le s v o y ag e u rs — T u s o u lè v e ra s c e lte p ie r ib , a d it le foulaient n 'e û t é té .b o n à rie n . s e ig n e u r d e R e tz ,'p é n s a T r is ta n . M ais il e s t Cette tro u p e é ta it c e lle q u e c o n d u is a it Im p o ssib le q u 'u n h o m m e s o u lè v e s e u l u n e O livier. ^ > p ie rr e p are ille. P e n d a n t q u 'il é ta it e n c o n ic m p la tio n d e T rista n é ta it to u jo u rs à c ô té d e lu i, e t 4 o n v a n t le to m b e a u . T h o r e t B r in d a , c o m m e d o s cœ ur b a tta it v io le m m e n t, c a r il v o y a it a p p ro c h ie n s d e c h a s s e , f la ira ie n t le s e n d r o its o ù il c h e r le m o m e n t o ù l’a v e n ir a lla it s e rilv é ie r à lt(i. se s o u d a it à la te r r e , e t c o m m e s 'i l s e u s s e n t se n ti q u e lq u e ch o s e d 'é tr a û g c , i l s s ’a r i'ê ic r e n l — M o n se ig n e u r, d it- il à O liv ie r, n e vo u s to u t à co u p e t,p o u s s è r e n t d e s c r is lu g u b r e s se m lile -t-il p a s q u e n o u s d e v r io n s c a m p e r e t prolongé.) e n le v a n t la tê te . cette n u it d a n s la p la in e , e t q u e v o u s d ev riez B aal o u v rit le s n a s e a u x , l e n d it le co u d a n s faire u n p è le rin a g e a u to m b e a u d o v o tre la d ire c tio n d e la to m b e , d r e s s a le s o re ille s , aïeul. e t, a s p ir a n t l'a i r , il s e m i t à h e n n ir c o m m e C 'e s t b ie n c e q u e je c o m p te fa ire , T r is les c h ie n s h u rla ie n t. ta n ; e t q u a n d n o u s s e ro n s a u p r è s d u to m — C 'e s t là , s e d i t T r is ta n , e t lu i a u s s i il beau, n o u s n o u s a r rê te ro n s . p r ê ta l’o r e ille , e t il a s p ir a l'a i r , e t il fix a s e s T rista n so n d a le s té n è b re s d e so n re g a r d re g a rd s s u r le m a u s o lé e ; m a is i l n e v it rie n n e r ra n t, e t il Iq i s e m b la v o ir s e d e s s in e r s u r e t il n 'e n te n d it r ie n q u e le v e n t. le ciel o b s c u r e t c o m m e ta c h é d 'e n c r e , u n e A lo rs il s e re lQ u rn a v e r s O liv ie r , q u i n 'é t a i t ligne q u o d e lo in o n p o u v a it p r e a d r é {fouf ~U p lu s q u 'à u n é p o r té e d e fiè c h c d u to m b e a u , ligne d ’u n n u a g e , m a is q u e s e s p r e s s e n tim e n ts e tillu id it: • lui d é n o n c è re n t c o m m e d e v a n t ê t r e l a p ie rr e M o n se ig n e u r, v o u s p o u V e E r t m s r r é t e r d u to m b e a u fa m e u x . ic i. 3 O liv ie r d o n n a d o n c l 'o r d r e q u ’o n s ’a r r ê t â t e t q u e l’o n d is p o s â t le s te n te s p o u r p a s s e r la n u it d a n s la p la in e . C h a c u n s a u ta h b a s d e s o n c h e v a l. L e s c h e v a u x lu r e n t co n fiés a u x v a le ts , e t l 'o n s e m it à 1 œ u v re ; O h a llu m a d e s to r c h e s c U ’o n fit d e s feu x d e b r u y è r e ; p u is on c o u r u t a u x c h e v a u x d e b a g a g e e t o u on r a p p o r ta tfcs c llà ifa f8 fô ‘' î l ’ d e s p iq u e ts d e fe r, afin d ’o rg a n is e r la c u is in e e t d e p r é p a r e r le re p a s. C 'é ta it u n s p e c ta c le ; c u rie u x q u e d e v o ir, c o u ra n t à t à l u e u r d e s to r c h e s, Ces; a r c h e r s tr a p u s p lia n t s e n s lo p o id s d e fo u r a rm u re e t re v e n a n t c o if T é ^ 'Q ir g r a D d c h a u d ro n d c c u iv ro , p e n d a n t q u é le s c h a r p e n tie r s p l |n ta i e n t e n t e r r e le s p o u tr e s d e s tin é e s à s u p p o r te r le s te n te s , e t q u e d 'a u tre s ^ p lu s p a re s se u x , m a n g e a ie n t a u t o u r d n feu e t 'M c h a u flà ic n t, a d m ilie u d e s h ennissem 'eU tà dé!s ' c h e v a u x e t d e s c r is de.s v a le ts . O liv ie r c l T r is ta h s e d i r i g è r e n t v e r s lo to m b e a u , e t le co m io d e K a rn a C , q u a n d il y f u t a r r iv é , se s l^ n a p ie u s e m e n t. — M o n s e ig n e u r, lu i d i t a lo r s T r i s t a n , n e v o u s s e m b le - t- il p a s q u e c e s e r a it u n e c h o s e d ig n e d u n o m q u e v o u s p o rte x d e fa ire VfIr ce to m b e a u ? — E t p o u rq u o i v io le r le re p o s d e s m 6rU « T r is ta n . , — P o u r l e u r d e m a n d è r la fo rc e q u 'i k : a v a ie n t, n io n sc ig n e u r. — Q ue v e u x-tu d ire ? ‘ , êi |(f' X )U B H \t PB SENT.1S Tableau synoptique des Marchés du Département. leelOOUI. l* * q . ' 0 AVOINES H if LO C A U T E S l% e € fèn ire. I I â 1- q . l ■ u o k é i i t F a rii l i |3 Iw 100 kil. n e e lo U tr e . i l f i 1" q. 1 -q . s â p s r v A m m a m i o o M s o a a tA T io » UOkU. 100 kU. H aronedeC orbeU . 55 4 . . 35 0 3 4 . . . . H araoe de c h o l i . . 55 57 55 03 38 30 Prem ières n urques 54 55 34 39 35 03 B onnes marQues. • 53 53 33 l i 33 75 U arq vw ordinaires 51 52 32 48 8 3 11 V A Bm S 3 LmH. S S S K ; ; ; iô i i i é !! iô *. i i 40 *9 M î i 2 ’> 18 .38 M saUlw ............... a 15 14 65 19 45 IK 411 17 50 I l 77 18 6.3 *8 50 ‘ b !! K 76 . .34 38 M arit. • • . . 17 . . . . . . 15 . . 10 . . 13 . . fO . . 19 . . 11 50 20 . . . . .» 16 . . 17 . . G s s n s y ............. 9 .. .. .34 34- M 51 51 Si C oanat . P r o d u in . Janvier*Févcier . i de Û m ............. 4 prem ier*........... 75 à . . 60 75 5ü ■ iJ i IM kU . 21 05 15 75 19 16 13 50 9 5il 10 . . 11 5(1 18 . . 16 . . î è B a - . . : : ; ; : ; 21 25 1» 75 10 . Î5 . . 15 bü C taM M O t............ 24 71 G sM eem ar.......... 21 U 20 . . " lï S r ü li .* ’ *’ ■ a ise lU e.............. H é ra ..................... 21 t( M a sU sU .............. 22 2b f w i i - B t - l l a x .. . 12 . , 9 12 75 9 . I l 5(1 18 17 10 . . 11 50 10 . . IH 77 20 . . 16 7fi 15 3(1 18 41 16 . . Ib 7 36 9 . B 6(1 9 16 9 .. 32 30 36 33 34 . , t. 15 9(1 18 7b 21 21 21 M 17 6ii 16 77 -■êxmsU. Beanvnie.............. C lerm o n t............ C q m fliin e .......... M en y.................... C tQ y .................... M eyon.................. 9 9 ,. i l . . 19 7t 16 12 21 51 19 5( i l H 20 21 I.H 25 n % tu .. |l7 32 16 5( l o 5(1 26 . . Il7 lo 16 . . t1 25 17 4.1 18 . , 7 .. 6 87 10 il 18 .. 17 . 9 25 (2 .. 16 18 18 20 9 3t) 11 22 17 9 bO 117 .31' ,. ’J b 73 .. 18 '6 ,3( 16 8 ft? . . . . 8 61 7 65 9 3.1 9 ,, 16 71 7 9K 7 2' 33 16 bü 9 . . 1 6 50 31 . . A i m o m c e s J u d ic i m i r e m A bt . 4. AUTICLB 1**. GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS (Oise). 34 35 .35 .34 34 .34 34 33 30 C o n n to t............... P ro c b e io .............. Jaav ' F é v ........... 4 d e M ars............. 4 prem iers........... Goarant . P ro c b aÎD . J a e v .- F é v ...... 4 de U er s . 4 prem iers.......... tW klL S i . . à i i iS ' 14 . . i l 4 S a «5 S i SO 14 i 5 14 6 23 58 23 75 14 7S .. . 23 . . 23 25 15 25 15 £ S i 5Ü 2 i 75 1 5 ................ A T O m lOOUL iii*M .àood* 18 5 0 à . . . . 36 . . 4 3 6 7 18 50 . . . . ' ) 25 36 18 75 18 50 18 7S 1R . 18 75 19 . . 37 50 COLZA 100 kil. D isponible . Gourant . P roeb ain . 4 premiers.......... 4 de Mars . 77 70 77 78 76 15 lo n m k re T B T » A liA O m iÉ S IN M T lA W B B fe 15 NoTembre. • o io r ■ MOOTOii w u iv n 1 /4 d errière. . 8 0 4 1 60 1" q u a lité .. 1 7 0 4 1 80 l / è d e r a n t .. . 66 '1 lu 2 * q n a llté ... 1 3 6 1 6 6 A loyaii . 9 0 1 8 0 8* q u a lité ... 1 0 6 1 30 1 50 2 30 -d é h a n c h é 1 . . 2 1 0 G i ^ C a i i ^ p a r à . 1 VO 8 . . YBAD E x tr a 1 8 6 4 1 96 A gn eaustète lilO 1 6 0 POXC 1 ~ q u a lité ... 1 61 t 80 2* q u a lité ... 1 46 1 6 0 P * q tu d ité ... 1 2 4 4 1 3 0 3* q u a lité ... 1 3 6 1 40 2 * q u a lité ... I tO 1 2 6 4* q u a lité.. . 1 10 1 rU 3 * q u a lité ... . 9 0 1 0 6 P an , eu iiso t. 1 20 2 26 P oitrinesaal. 1 1 0 1 5 0 a s iT Z A tn c Paris (La Villette?, 14 N ovembre. ESPÈCES 55 55 55 54 54 754 75 50 75 50 .. .. 55 55 54 . . . i . •S a i l Ss 1 1997 583 169 V e a n i... 1495 Pores fr. 9787 4662 1~ qté 2* qté 95 376 88 2.31 392 82 1 02 98 22 I 12 92 55 S’ Prix qté extrême*. 78 71 74 9(1 95 83 E tu d e d e M*A uguste SAINTE-BEDVE, 3’ S S 7 g r a m e s d e e h è n c s ca h ie r des c harges au Secrétariat de licencié e n d ro it, avoué à S euils a b a t t u s » a u Bois d e la Muette, la Mairie, tous le s jo u rs de d eu x à q u a tre heures. (Oise), m émo te rro ir : ru e d e la R épublique, n* 17, Fait à la Mairie de Creil, le 9 No 3* E t s t è r e s d e b o is S ucc' de H " Vantrovs et F bémt . U lq u ld a tlo ii J a d ic la ir e . b l a n o f e n d u , p ropre à la boulan vem bre 1889; gerie, déposés d a n s la c o u r d e l ’HéLe M aire, P résident de la pilal. C om m ission a d m in is tr a tiv e , V O B C a _________ O iTtrtaie dei Véritoations v a s SUR SAISIE IMNOBIUERE BRUN. P a r su ite d e faillite, l e m êm e jo u r , a u m im e lie u , L es créanciers d u sie u r P aul T iud ’u n e à d e u x heures de relevée, e n l ’E tude e t p a r le m inistère RODX, m archand quincaillier ch au A . V M S lV O n tE d e H ' P n i T , n o ta ir e . à Senlis, Il se ra procédé à l’adjudication, au dronnier, dem eurant à V erberie, dé p o u r c ause d e santé, D’ü l t rabais e t su r soum issions cachetées, claré e n é ta t d e liquidation judiciaire, AVEC UN TRÈS de la fourniture des articles c i-après, sont invités : 1* a déposer a u Greffe Jardia A Dépeadancts nécessaires à l’Hôpital ^ n é r a l de d u T ribunal de Senlis le u rs litres de Sise à la Mare d'O villers, Senlis, pendant l'année IW O. créance accom pagnés d’un bordereau V i’ WT ' s u r tim bre indicatif des som m es r é com m une de Dieudouiie, canton do C iifé d o C a u d e t, D’ÉPICERIE, MERCERIE. S avoir : N euilly-en-T iiclie, arrondissem ent clam ées; 2* e t à se re n d re le M a rd i I ET DU C h a rb o n iB & B o ia 1’ P a i n b l a n c » d e l " qualité de Seuils (Oise). v in g t- s ix Novembre iS 8 9 . à n e u f D rtit a l Bail d«i l i a u où il heu S’a d resser a u b u re au d u Jo u rn a l. 2’ V i a n d e d e b o u c h e r i e : re s et d em ie di» m â tin , a u Greffe L’adjudication a u ra lieu le M a r d i 3* F p i c e r i e ; a’eipleita du d it Tribuual, à i’cffet d ’étre pro «3 D é c e m b r e 1 8 S D , cédé à la véritlcatioo et ii l'affirm ation 4* V i n i* o u g ;e ; A S E NLIS, U S , place d u Chalet heu re d e m id i. de le u r créance, sous la p résidence de En l'audience des criéés d u T ribunal Les cahiers des charges, clauses et M. le Juge-Com m issaire. E t B U V E T T E civil d e p rem iè re instauce de S enlis conditions sont déposes a l'Hôpital, P o u r inseriion : L’adiudication a u ra lieu le M a r d i (Oise), a u Palais de Justice, ru e d e B ureau de M. l'E conom e, o u on A Céder de Snite Le Grenier d u T rib u n a l, Im Ib D é c e m b r e lè è S O , la R épublique. pourra e n p rendre connaissance tous A CREIL L éon BOUCHER. d tr o is heures de relevée. S 'adresser p o u r les renseignem ents : les jo u rs, de n e u f heures d u m a tin A f f a i p e s : 1 5 , 0 0 0 f p a n c ï s . V A M’ SAINTE-BEUVE, avouc à q u a tre heures de T a p r is - m id i, CONDITIONS A VANTAGEUSES E n v e rtu d 'u n e ordonnance ren d u e A rt. 5. excepté les Dimanches. poursuivant la ve u te ; p a r M. le Jugp-C om m issaire ; 2’ A M* BÉRA, hu issier à NeuiliyS 'a dresser à M* FOULON, huissier GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS l e M aire de la ville de Senlis, E t a u x req u ê te, poursuite e t diiien-Thellc; ( oisb ) Officier d u M irite.A gricoU , à Senlis. R k c e d e : M 'P a iil Delaporte, avoué 3* A U’ BRASSEUR, huissier à P résid en t de la C om m ission e m e u n n t à Senlis, ru e d e la R épu B eauvais; A d m in istra tiv e , BEDDITIOI DE COIFTE bliq u e, n um éro 2 2 ; 4’ E t au Greffe d u T ribunal civil CAGNY « A g issa n ta u n o m e lc o m m e PBÉSEN TE«EN T L es créanciers adm is au passif de de Senlis, o ù le cahier des charges « sy n d ic provisoire de la failest déposé. ( H - C IR O U e tD E lila faillite d u sie u r R aoul B a l a g sy , « lite d e H . C asim ir Potel, V A l i » n o taires à « cafetier, dem e u ran t à Sen- cordonnier et m arcliaud de chauS' Etude de M* A uguste SAINTE-BEUVE, Etudes de { (Gare d’Orry-la-V Ille). ( Viliers-Cotteréts. su res, d em eurant à V erberie, seul in ■ lis; • Vente et achat des M archandises iiceucié en d roit, I l se ra , te S a m e d i tr o is Décembre vités à se trouver en pcrsoim e ou p a r avoué à Seuils, ru e do la République, d a n s le r a y o n . fondé de pouvoir, a u Greffe d u Tri i Vendre par Adjidioation fntJ h u it ce n t q u a tre -v in g t-n e u f, n ’ 17. B E L L E C L IE N T È L E En M asse o n e n D étail, tr o is h e u res de relevée, en i’etude et b u n a l, sis au Palais de Justice, à Succ’ d e M" V a s t r o i s e t F r é m i . P o u r tous renseignem ents, s’ad re s p a r le m inistère de H' Petit, notaire à Senlis, le M ardi v in g t- s ix Novembre A VILLERS-COTTERÊTS, s e r à H. Br û l é . Senlis, procédé à la vente e t ad ju d i 1889, d n e xif heures et dem ie d u En i'E lude de H ' Cir o u , catio n C l i q u e , a u plus offrant et m a tin , è l’etTet d 'cuteudre le compte PRR SUIT! D'RCGEPTtTIOH BfRÉFlCIllIRt Le D im anche S i N ovem bre 1889, A V E IV U U E d e rn ie r en c hérisseur, e t à l’extinction déffnitif q ui leur se ra re n d u pa r DR M ' Lionel, syndic d e l’union, eu e x é (l a n » heure, d e s feux. T re n te -tro is p iè c e s cution de ra rlic le 537 d u Code de UN DE ^ ‘ D É i^ IG J V A T lO N Conlmeree, et la Qxation d u dividende D’u n F o o d s d e C o m m e r c e , le u r revenant. De 3 e t 4 ans, d e ca fé -re stau ra n t, exploité à Senlis, P o u r insertion : de 8 hcct. 3 3 arcs centiares. N a tu re Su isse , blancs et ve rts. Situées te rro ir de LÉVIGNEN, p rè s la g a re d u chem in d e fe r d u Nord, Le Greffier d u T ribunal, canton de B e tz, arrondissem ent de Terroirs de VEZ, ÉMÉVILLE, sous le n om d e Café d u Chalet, com P re m iù i* e q u a lité . Léon B o u c h e r . BONNEUIL et ilARAMONX S en lis, p ren an t la clientèle et l’achalandage S’a d re sse r à M. SALLOT, cultivateur attachés, ensem ble le d ro it au bail Loué ju sq u ’au 11 N ovem bre 189i, ' à Senccourt, com m une de Baiileval En tr e n te - tr o is L o ts , es lieu x o ù s ’exploite ledit établisseà M. B o u l o n , cultivateur à Saint-ArQ ui p o u r r o n t être r é u n is p a rfieU e(Oise). m en ti p o u r le tem ps q u i en re ste à Etode d e M* LIONET, avoué à Senlis, u o u lt; ferm ages ne ts d'im pôts 6Q0 fr. m e n t o u en to ta lité. 30, ru e d e la République. c o u rir.' Suc’ d e M " Q u ê t e r , P l -aro et A u d e r t . L’adjudication au ra lieu le UN V llX E D E G H A M B E V M IS E S A P R IX D im a n c h e h u it D é c e m b i^ (Oise). O utre les charges, cla u se s e t con "C F L a 1 8 8 9 , ditions énoncées dans le cah ier des d « n e h e tire de relevée. p a r ADJUDICATION VOLONTAIRE T erroirs d e VAUCIENNES e t VEZ ch arg es, dressé p a r M* P etit, notaire E n Vune des salles de la M airie AUX BNCUÈRBS p u b l i o u b s D 'une contenance de t hectare 9 8 . à Senlis, le fonds dont il s’agit sera de la c o m in itn e d e Lèvignen, Sis à C l l A M B L Y » m is en v ente s u r la m ise à p rix de D ’ U l V E P a r le m inistère de .M' C h e v a l ie r , ares 4 8 centiares, loué à M. P a r M A IS O IV dan s le Grand Marais, MBNTiBn, cultivateur à Vez; ferm ages n o taire à A cy-eii-M uItien, Sise à ACY-EN-MULTIEN, nets d 'im pôts 160 fr. A ven d re par A djudication com m is a cet effet. G rande R ue ou n ie des P ourceaux. E n « n seu l Lot, fV o ir les affiches). S'adresser jio u r les renseignem ents NOTA : L ’acq u éreu r s era te n u de L’adjudication a u ra lieu le V A M’ SAINTE-DEUVÊ, avoué à EN LA MAIRIE DE CHAMBLY p r e n d r e e n su s d u p r i x d 'a d ju d ic a S 4: N o v e m b re 18849, Senlis, poursuivant la vente ; Le Dim anche 24 N ovem bre 1889, tio n , le m atériel, le m o b ilier in d u s à d ix heures d u m a tin . (jonunaneiie lilIers-Saint-Genest (Oise) 2’ E t à M* CHEVALIER, notaire à à d eux h e u re s d e relevée, tr ie l et les m a rc h a n d é e s se r r a n t d En l’Etude et p a r le niiiiistère de A cy-en-M ultien, o ù le cah ier des P a r le m inistère d e M' C a r il l o n , l ’e x p lo ita tio n d u fonds, d ’a p ré s t'esM’ CiiEVALiEii, notaire à Acy, A N C JD IC A T IO X charges est déposé. ftm a tio n q u i e n s e r a fa ite a T am ianotaire à Chainbly. com m is à cet effet. E tode d e V P au l OEIAFOSTE, licencié e n droit, avoué à S e n ib , n u d e la R épublique, n* 22. 5 4 i l .. -‘ 04 92 54a 8C 64 b& 57 7( 86 84 6 2 â tlf 74 i 1 2( 80 4 96 S MOULIN de MONTGRESIN Marché de T erre B O IS 4 A 5,000 PLANTS DE F E W Ï Marche de T erre Breack à Vendre Du Echanger contre nn Dnc. A I c o u e r » à V erberie (O ise), desservi p a r d eu x g a res (Nord), jolie MAISON BOURGEOISE. A u rez-d ec b a u s s ^ : vestibule, cuisine, d eu x salles à m a n g e r, salon; sept pièces au rem ier, cliam bre de bo n n e; ja rd in e 700 m è tre s, écurie e t rem ise; gaz e t e a u ; pêch e e t chasse. ‘P rès la forêt de Com piègne; p rix 800 fr. Jouissance do su ite. — S’y a d resser à H . V ir io n (Ou p eu t v isite r ju sq u ’à midi). S ijOOO fr. DE S ’tuiresser p o u r les renseignem ents E tude de M’ P a u l DELAPORTE, V A M’ UONET, avoué à Senlis, licencié en d r o i t , Avoué à Senlis ru e de la République, u ’ 22. Fait et rédigé p a r l’avoué po u rsu i poursuivant la veute; 2’ A M * CADOT, avoué à Senlis, v ant, soussigné. p résent à la vente; Senlis, le 15 N ovem bre 1889. 3* A M* CHEVALIER, notaire SUn LICITATION S igné : P aul DELAPORTE. Acy-cn-M uitien, p o u r pre n d re cornP a r le m inistère de M’ C o l l a s , E t e n registré. notaire à Mello, municxation d u cah ier des charges ; 4 ' E t à M’ LEPINE, h n issie ra Betz. com m is à cet effet, ^ a d r e s w r p o u r les renseignem ents : DB r 1* A H ’ P aul DELAPORTE, avoué Etude de M' LIONET, avoué à Senlis, è Senlis, poursuivant la vente ru e de la République, n’ 20, 2‘ A M* PETIT, notaire à Senlis, Succ' de M "Q u é t e r , l’L A n n et A u b b h t . Sise à M c l l o , , place d e la Mairie, d ép o sitaire d u cahier des charges. Arec Ctrcofw fances et Dépendances, 2* P o u r insertion : S u r b a isse d e m ise ftp rix Signé : P a u l DELAPORTE E T UN JARDIN OB Clos d e m u rs, Sis audit M e l l o , place de la Mairie, A rt. 3. I en la Grande Rue, Sises GREFFE DU TRIBUNAL DE SENUS E X D EU X L O T S s u r les territoires des communc.s do ( o isb ) Dont la réunion sera facultative. VARINFROY et NEUFCIIELLES L’adjudicalion a u ra lieu En se p t Lots. En i’Eludo d e M' C o l l a s , notaire à DtÇUBlTIOll DE FiaU TE L'adjudication a u ra Heu le Mello, D im a n c h e Z é i N o v e m b re com m is .i cet effet, 1 8 8 9 , D 'un ju g e m e n t rendu s u r d épét de l e S d l X o x ’c m b r e 1 8 8 9 dcHx heure» d u soir. b ilan p a r le T ribunal d e prem ière d u n e h eu re de relevée. En la salle de la mni.<on d'Ecolo instance d e Senlis, ayant attributions S a d re sse r p o u r les renseignem ents de V a iu .v f r o ï , c om m erciales, le douze N ovem bre V A M* DELAPORTE, avoué à Sen P a r le m inistère d e M* C i i e v a l ie r , 1889, lis, poursuivant la ve n te ; n o taire à Aoi'-en-Mu1lieD, A été ex trait ce qui s u it : 2- A M* SAINTE-BEUVE, avoué com m is à cet effet. Senlis, co -licitant; Le T ribunal déclare le sieur 3* Et à M* COLLAS, notaire h Mello, A lexandre-C asim ir P o t b l , cafetier, S 'adresser p o u r les renseignem ents: r à M’ LIONET, avoué à SciiJis, dépositaire d u ca h ie r des charges. d em e u ra n t è Senlis, en é ta t d e faillite ; F ixe provisoirem ent è ce jo u r la 20, m e de la République, poursuivant la vente; d a te de la cessation des paiem euls ; 2* A M' CADOT. avoué à Senlis, O rdonne l’apposition des scelles Æ V 1Ë2 rsr D TA E 14, ru e Rougom aillc; p a rto iiio ù besoin se ra ; d a n s d e bonnes e o n d ilio n t 3* A .M' CHEVALIER, notairo à N om me H . P arin en ticr juge-com B O X FO X D S m issaire, et M* Delaporte, avoué à A cy-en-M ultien. DE Senlis, syndic provisoire. E tude d e ■ ' N arcisse LIONET, Po u r itisertion ; avoué Senlis, Le Greffier d u Tlrihitnaf, BIEN ACtIALANDi! m e d e la R épublique, num éro 3 0, L e o .v b o u c h e r . PAR SU ITE DE DÉPART >cc' d e M" Q u é t b r , P l a r d et A udbrt . S is à C R E IU . . „ ..ii. A r t . 3 . S 'a dresser a M. VERRIER, ch a rcu SUR SAISIE IMMOBIUÈRB tier, 21, ru e de la République, à Crcil. GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS Ü IV E I f A i s o n ïi ikj Sept Pièces de Terre Coiffeur-Parfumeur d ' un ( o isb ) s n m c iT Les ffréanriera p résu m és d n sie u r P otbl, r BQS-nonmé, déclaré en état d e faillite p a r Jugem ent d u T ribunal d e prem ière instance de S enlis (Oise), faisant'fonctions do Tribunal de Com m erce, d u douze Novcihbre 1889 ; Sont'inViléB à s e p résenter le if e r c re d t SMqf-Mpt Nocambre 1889, à n e u //ie u r e « e fd e m ie d u m a tm , au GreOe d u Tribunal, sis au Paldls de J u stic e ,’è.S enlis, ru e de la R épubiiiue, pQiir y donner le u r avis ta n t s u r a com position do l’é ta t des cré an e ie r s q u e s u r la nom ination d ’un ou lu sie u rs syndics définitifs do la fau te, e n exécution do l’article 402 du Cocie d eC om m erce. P o u r insertion : t e Greffier d u T rib u n a l, U O N BOUCHER. Î K T d j w no o s, CORPS DE FERME E T Ù tP E E D iE C E S ET DB 2 0 P ièces de Terre P o u r e n tr e r en jo u issa n ce a u p r e m ie r JVocem&rc p ro c h a in f USB MAISON AVEC JARDIN Sis communc.s do E c u r ie & K e m is e , MORIÈNVAL, BÜNNEUIL-en-VALOIS Située ru e des Cordeliers, n* 7. e t FRESNOY-LA-RIVIÉRB, E n 2 1 I^ o ts . S’adresser k M. THiéQUOT, négo L’adjudication a n ra lieu le M a r d i ciant & Senlis. tr o is D é c e m b i^ 2 .t^ 9 » h tü r e d e m id i, 1 l’audieuco d es criées d u Tribunal Htpital géatral de Senlii. civil de p rem ière instance do Senlis, séa n t au Palais d e Justice, ru e de Le Sa m ed i sept Décembre m il h u it la R épublique. cent q u a tre -c in g t-n e u f, à u n e heu re S a d re sH rp o u rto u sre n se ig n e m e n ts: et dem ie de relevée, en la salle d is I* A H* LIONET, avoué k Senlis, séances do la Commission A dm inis tra tiv e de i’HApital général do Senlis. poursuivant la vente; 3* A M'GALLET, hu issie r à C répy- il sera (irocédé à I a djudication a u x enchères de : en-Valois; 3’ E l an Greffe d u T ribunal civil 1* 4 0 g ; p n m r s d e e h è n e s d e prem ière instance d e Senlis,où le a b a t t n s . a u Rois do la J u s tic e , M bl ier des charges « s t déposé. , te rro ir de S en lis; SéuU i, p o u r lé ^ U sa tlo n de U lig n a tiu e de 1 ’ r a v a . ' u . x De ReatanratiOD de Clocker \ e t Sacristie. S ’adresser p o u r les renseignem en ts : A M’ CARILLON, notaire. PULPES 17 Pièces de Terre! Bois Sises te rro irs d e V iilers-s.-St-L eu, Précy-sur-O ise e t S t-L eu-d'E sserent. UNR A Tendre par Adjudication L e D im anche 30 Novendire 1889, à d e u x h eu res. E n l'E tude e t p a r le m inistère de H’ B a k o il l ir r , n otaire. S ituées t e rro ir d u PLESSISBELLEVILLE. V e n te a u x E n ch ères Jum ent de Courses A vec grand Jardin, P u p sa n g ;» Sise à SENLIS, ru e do la Fontaine P a r Z u t et âgée de 4 ans, d es A rènes, n* 4, A CHANTILLY, Le D im a n ch e 3 Décembre, 1 heure, p rè s e t e n face d es T ribunes, A SENLIS Le S a m e d i 23 N ovem bre, à 2 h eu re s e n l’E tu d e et p a r le m inistère de p récises de relecée. M* P e t i t . P a r le in in istère d u d it M’ U é h b t . M Ê M E ÉT U D E Graids otBS de Normandie. V » -W PAR ADJUDICATION Uroit de Chasse à Tir Ju sq u ’a u 28 F é v rie r 1894, Dans 4 0 8 h e c t a r e s d e B o i s , C om prenant le 3* lot d e la forêt d ’Erm enonville. A bbaye do V arvanncs (S e in c -In f). 2 . H o rs Concowr». BEAU S itué à FRESNOY-EN-THELLE, e n la r u e de Gournay o u d u Bout Sec, ET 64 a. 67 c. de T erre E n d i x Pièces, A ux te rro irs de F rbsnov - bn -T h e l l e e t d u M e s x il -S t -Ü e n i s , A Vendre par Adj udication En la s a lle d'Ecole de Eïesnoy, P a r le m inistère do M* C ii e n a in , notairo, Le D im anche 24 Novembre 1889, à d e u x h eures d e relecée. E. La Coupe de Taillis ÂGÉ DE S I X AN S D o m a in e d e ^«■w anéeftM é» ------------- 2S fr. par semaine S E N L IS . DEMANDES ET OFFRES îiNSDEPROPRIËTHRE « 9 * O n d e m a n d e » à E nno* nonville, a n c o c h e r d e 1 8 à 2 0 a n s » m n n t do bonnes réfé rences. S 'ad resser chez M. LEFÉVREJUSTICE, à Erm enonville, GARANTIS PURS E t d e p ro v e n a n c e d ire c te , D E U X M É D A IL L E S D ’O B A P a r is é i & T u n is e n 1 8 8 «Ril DES VINS DE U RfCOLTE i t i l Vin ro u g e.................. 120 fra n c s. Yin b la n c .................. 130 » ' Le to u t p a r b ordelaise de 225 titres environ, r e n d u e , logée à' .Senlis, a u dom icile do l’acheteur, et p arto u t ailleurs/V anco à la gare d u destiualairo. Les frais d ’octroi, (Hiand il y e n a , re ste n t à la onarge do l’ach eteur. « ü r A n c i e n m i l i t a i r e » m arié, d e m a n i l e p l a c e , - g ard e chasse o u régisseur. E crire a u x m itia lc s A. D. C répy-en-V alois. B onnes Références. E tu d e d e M* GALLETT, h u issier-p riseu r à C répy (Oise). «9^ O n d e m a n d e a n c le r c c a p a b le . B o n s A pp o in tem en ts. E sc o m p te jiu J lo m p ta n t, 2 1 / 2 V. F A B R IQ U E S P E C IA L E DE BANDAGES SANS RESSORT (S y s tè m e s n o u v e a u x b r e v e té s ) . REAL & TELLIER» Bandagistes-Herniaires R u e R o b e r tc ^ e -U u z a r c b c s , S I » A A M IE N S . FondSiicBouclier-CliarcDtier C h e v a l H on gre -- I7 0 'z ;£ THOUZB E tudo d e M 'CARILLON, notaire à Chainbly. Très Joli Poney FONCIBR.^ m - k m ontera I — i S 3 l i ü î r : ^ O o m M e ,.;; 3 g - E c rire a u D irect’. à tous e t parto u t, hom m es o u dam es (travail de b u re a u chez soi).’ E crire a u D irecteur d u jo u rn a l le B o n I n te r m é d ia ire , 64, r u e L abat, P a r is . i 5 , r u e B e llo n . — E tude do H 'F r a n ç o is CIIENAIN. notaire à Cham bly, ru e de P a ris, 61. P o n rq a o l le Cidre Mousseux A S E N T IS E u l’E tu d e de H’ P e t i t , notaire, Le M a rd i 2 6 Novembre, à 2 h eures, TERRE & BOIS BONI CGrisHfer,E V 4 L . a Deux Pièces de T erre d ’ un r M A I S O N Le Maire do la com m une de Villcrs- m . Saint-Gcnest prévient le public q u ’il A la S ucrerie do NËRY, 1 h e c t. 6 1 a . K 8 c e n t. nrocédera, assisté de d e u x Conseil p a r B é t h i s t - S a in t - P ie r r r . DE le rs m unicipaux, d u P ercepteur e t en présence de M. G o d e t , architecte, le fE x p é d itio n s p a r c hem in de fe r). v in g t-q u a tre Novembre m il h u it B n S O P iè c e s » . cent q u a lr e - r in g l- n e u f, d d e u x c ï i i Ih i u l » i_m l ü h eures de relevée, en la salle de la Sises s u r les te rro irs do R o n q u e r o l l e s UN BON Mairie, à l'adjudication a u rabais, s u r e t B e l l e -E g l is e , soum issions cachetées, en un scui A Vendre par Adjndioation lot, des T ravaux de R estauration de A CHAMBLY, DANS L E S ENVIRONS l'Eglise, dont le devis s'élève è : E n i'E tudo e t p a r lo m inistère S 'ad resser a u B ureau d u Jo u rn a l. 1 3 , 3 0 9 f r . '9 'S e . d e M' C o l l a s , n otaire. Les soum issions seront déposées Le D im anche 1" Décembre 1889, séance te n a n te ; chaque soum ission A . V E N D R - ta à u n e h e u re de relevée. énoncera u n rabais de ta n t pour cent UN s u r le m ontant du devis. E tudo do U* LOMBOfS, notaire Elle sera conform e e u m odèle et à P ré c y -s u r-Oise. et écrite s u r papier tim bré. S’adresser à M. BOURBONNEUX, L esfrais relatifs à cette adjudication à Senlis. i Tendre par idjadicatioi seront .’i la charge de l'adjudicataire SUR LES LIEUX ET PAR LOTS c l payés a u com ptant. A V E ÎIS J O X ^ E On p ourra pren d re connaissance Le D im anche 24 Êfbvembre 1889, Un très bon d u devis e t d u ca h ie r d es charges, à n e u f h eures d u m a tin . P a r lo m inistère do M’ L o u d o is , au Secrétariat do la iM airie, tous les jo u rs, do huit h eures d u m atin à n o taire. D is C A n i t i o i , E r r q u a tre lieiiros d u so ir (les Dim anches BAI CLAIR exceptés), nu B ureau de H . G o d e t , C IN Q A N S 19, ru e ues Cascades, à Chantilly. à faire s u r Sera te n d u a re c g a ra n tie . V iilers-Saint-C enest, 1 " Novem bre S’a d resser chez .M. POTEAU, bo u la n 6 h e c t . 8 3 a r e s 9 0 c e n t . » S itués s u r io territo ire de B l a in c o u b t 1889. g er à N antcuil-lo-H audouin. lieu d it la Brosse. Le M aire, A p p arten an t à M. D b d a t , do Crouy. COURTIER. VILLE D E C REIL P I E tu d e do H* BAROILLIER, notaire a u Plessis-Bellevilte. E tu d e d e * ir raT iT , notaire à Senlis. E tude d e M* Hê h e t , h u issie r-p rise u r à 'C b an tiily (Oiso). A Tendre par Adjudication P E U P L IE R S CORPS DK FERME ble, o u bieti à d ire d ’e xperts, le j o u r de l'entrée e n jo uissance. 1889. LAQ UER /iO J U D IC A T lO IV ! E n la Mairie d e Villers-sous-St-Leu, P a r lo m in istè re d é H * D uauBT,notaire R u e de Beauvais, à C reil, A u tre MAISON, ru e d u H autbergler, Le D im anche 24 N ovem bre, d 2 h eures avec J a r d i n .. DR ^ a d r e s s e r r u e de l a TreàUe, 7. B0« lliNDS D’ËI'ICbRIË TERRE & 15 S eT e^ k re A BON FONDS C. P u li t i Maison avec Jardin 3 V E A .IS 1 0 7 > ff Foods de Gajii-ReslaaraBl te r o u a s p'É T A T iT K aN aïu. - o p u o a t . p i t h s b s . • ACTIONS. 800 f. 4 0/0. 517 50 93 50 87 70 Ban q .d’AIgér. 1425 . . I A o tr ic b .4 0 /0 . S 0 /0 io u .l* 'o . — IQm * 1 (4 73 9 ! 10 B 6 n e 4 G n e la . 642 50 A E g y pu D a lra .. 416 . . 3 0/0 a m o r t.. 5 00f.S 0/O . 698 . . — D e tie u n .. 461 25 4 1 /2 0 /0 1 8 8 3 . 105 30 E st a lg érien .. 643 5o — 117 50 Km .................... 805 . . — D ette o r. 518 75 Ob. du Trésor. 5 0 0 t4 » /.6 3 812 . . Bons liq. 74-75 534 . . L j o n .................. 1837 50 — O b.dom . 529 50 l U l i e n S O À .. - 0 4 . . I.8Q/0 481 . . D e t.tn n .3 i0 /0 484 . . M idi................... 1 )98 75 6 ^ lOOBS — V . E m . 306 . , P aris, 1855 ^ 0 531 80 N o r d 1775 . . t .i a / O l S . 5 1 8 . . R u ss e 5 0 /0 6 2 . 103 70 1 8 6 5 ... 527 . . O r lé a n s ..^ .... 1360 .j,. r. 3 0 /0 77. 373 . , 1 8 6 9 ... 412 50 O r i.- C l^ o n s . 555 . . — 4 0 /0 67. 93 10 e. 3 0 /0 7 9 . 458 25 1 8 7 1 ... 403 . . O u e s t.............. 941 25 — 4 1 /8 0 /0 . 160 40 1. 3 0 /0 79. 457 50 101 75 O uest a lt é r ... 550 . . — 4 0 /0 80. 92 30 e. 3 0 /0 8 0 . 453 . . — 6 0 ^ 8 3 . 117 . . 522 50 D o ^ d e H a r s . 472 50 r . 3 0 ^ 8 3. 388 . . 1876 . . 522 . . Magasins gén. 520 . . — 4 0 /0 89. 04 40 f. 3 ( i ^ 8 5 . 452 . . 1 8 8 6 ... 388 . . Alluffl. eh u n .. 692 50 D e itc tu r .4 0 /0 17 50^ B onstO O f. 75 . . --quarts qui GaxCemp.par. 1420 . . B . OtUHiane. 541 25 B onsdeliqiluld. C . fon e. d’A u t. 935 . . Banq. hTpoth. 498 50. — act. jou is. 1150 . . 631 . . V . M arseille.. 3»2 . . M ess, m a r it.. 660 . . Udnrp. 475 . . E s t S Q ^ V . d’A m ien s.. 109 80 O m n .d e P a i^ . 1255 . . Hong. 580 . . — 3 0 / 0 . . . . . 4 ( 3 .* O b .V .d eL ro n 96 50 Voit. 4 P aris. 765 . . C .m ob .E spag. 218 75 — 3 0 / ü n . . . 405 . . AndalouB. . . . 407 50 L T e n 5 0 / 0 , . . 1255 Banq. de F r .. 4255 Can. ('orinthe 96 25 A uir.-H o n g r.. 522 50 — 3 0 /0 5 5 . 413 50 B . d’escompte. 531 25 Can. Panama. 53 75 B. de P a r is .... 840 . . Snex A ctions. 9327 50 S.-Aut.-Lom b. 267 75 Méditer. 5 0/0. 626 . . 3 0 /0 . 416 . . C *fonc. deF r. 355 . . M énd .d'lialie. 680 . . — D élég a t. 898 75 G ompt.d’e s c .. 672 50 — P a r u d e f 871 25 Nord Espagne. 412 50 F usion a n c ... 418 75 — nouT.« 412 25 Gréd.Algérien 562 50 — B ons tr. 139 . . P o r t u g a is .... 620 . . H i d l 3 0 / 0 . . . . 4 )9 . . C rédit foncier. I3U7 SU — S oc. cIt . 1505 S a r a g o s s e .... 305 — nouv. 414 . . C rédit ind uit. 575 . . T él.P a r.4 N -Y 138 75 T él. du N . . . . 400 . . — C rédit lyon n.. 690 Can. Panam a. 40 . . Nord 3 0 / 0 . . . 427 . . C . gén.d ^ u x 13uO . . Crédit m o b il. 475 G as central-. . l i ’KO . . — 3 0 /0 8 4 tp 33 75 O rléans 9 0 /0 . 421 . . — 3 0 /0 n. 4 (7 . . — 4 0 /0 8 4 t p 33 50 D ép. Comptes 597 50 B ols e t MT. b . 122 50. S o c . g é n é n ie . 458 75 E ta b lis .W a t; 2092 50» — nouT. 10004 45 50 Grand-Ceutral 418 . • S u e i ô O / 0 . .. . 596 50 O ù e s tS O /0 ... 4 1 8 . . Banque paris. 390 . L its m ilitaires 5u0 . . — 3 0 / 0 . . . 430 . . OuestSO/Onon 4 l4 . , R ente fonc. p. 235 50 Tour E if f e l... 420 . . —f i. d e coup. 8' O m n ib u s.,. . . 5 i4 .u S o c . Im .d e Fr. 472 50 T é lé p h o n e s... 435 . . FO N M D’iTATS. 32 2 5 4 3 2 . . 32 50 S i 25 3 4 .................. 33 50 33 85 28 75 28 50 81 . . 80 75 4 d e H a rs .................... 4 premiers .............. R oux 88 degrés................. R oux acqnittés 88 d^irés LIM 100 U l. . . 4 7 7 25 25 77 r . 50 77 25 75 78 25 75 78 50 B n rii I ttt. G o u r a n t ...... ....................... Ces B andages sont su p érieu rs à tous ceu x c o n n u s j u s q ii à ce jo u r p o u r le m aintien rad ical e t co n stan t dos Hernies e t Descentes c u n o souffrance e t sa n s hucuno gêne. De nom b reu ses gu ériso n s o n t été co nstatées p ar les m M ecins. H . REAL Sü re n d ra avec u n asso rtim en t do ces R an dag es,C o in tu res élastiq u es, V entrières et H y pogastriqucs, Bas élastiques p o u r varices, P cssaires, Injecteu rs, S n s p cn so irs u rin a u x , etc. A COMPIÈGNE, Hôtel d e Flan d re (p rè s la rivière), lo Sam edi 30 Novem bre A CREIL, Hôtel d u C om m erce (chez M. D bdrav ) , le D im anche29 D écem bre. A BEAUVAIS, H ôtel d u Cygne (place do l’Hôtel-de-Ville), lo p re m ie r sa m e d i d e chaque m ois. Bandages, C e in tu re s, B as e t A p p a re ils sp é c ia u x p o u r fem m es, su p p o rté s sa n s a u c u n e so u ffra n ce et (fa ra n tis c o n tre H ernies, Varices, M aladies o u abaissem en ts et Descentes d e la Jfa lrtc e , H ernie a u N o m b ril et g u é r is o n ra p id e des P laies. Ulcères v a r iq u e u x a u x Jam bes. Evitez l e s contrefaçons e t conserves c e tte adresse. I jCs c o n s a l t a t l o n s s o n t g r a t u i t e s » M e l l o [(O is e ). EXERCICE 1 8 8 9 -9 0 V ^ l S A- V E I V I > R . E 2 V e n te p a r A d ju d ic a tio n S’a d resser ÿ M " v euve Droubt , Le public e st p révenu q u ’il sera boulangère, à La CliapcIlo-en-Sorval. P a r lo. m inistère de M* C o l l a s , notaire à Mello, procédé, le S a m ed i v in g t-tr o is n o Le D im anche 1" Décembre 1889, vembre p ro c h a in , d d e u x heures dé d u n e .h e u re de relevés. relevée, à l’adjudication a u x enchères A. r M S K B B K ! En la Mairie d e MeUo (OIm ), nubliipies des A rbres do l'A venue d e DE la G are, s u r la m ise à p rix do 160 f r. Réunion place des Marais. o u p la n ta p d s » On ponrr<T prcndro connaissance D onf .* 386 C hines, 107 B o u lea u x, Dans le Marais com m unal de du cahier dus cnarges nu S e crétariat 49 S a p in s , 1 C h â ta ig n ier, 3 m e ri du la Mairie, tous les jo u rs de d e u x à S a i n t - V a a s t - l e s - M e l l o . sie r» , 20 FVéneSj 72 P e u p lie rs, quatre h e ures. S’adresser à M. lo Maire d e Saiut1 Trem ble et 1 G rtsard, ' • Fait à la Mairie do Creil, le 9 No Vaast-lcs-Mello. ET LA vem bre 1889. Le M aire, LE BRUN. Le to u t s itu é s u r lo Domoino de Mello. 2 ,0 0 0 Jenaes Peupliers A Céder de auiie 640 Arbres sur Pied Coupe des Taillis UN V IL L E D E CHEIL B ireas da Bigafaiiance. A V IS 0 public est prévenu qu'il sera ‘édé, lo .Samedi v in g t-tr o is N o, ,0 1 de relecle, on la salle d e I» Mairie, à i'aïU udication.auxcnclières publiques, d u fa illi.sd u Dois C alleux, com pris les arb res do H aute F utoio, s u r la m ise à p rix de 350 fr. Oo p o u rra p re n d re connaissance d u B unflB trtf b Sm i Us Foods de ‘ . . j |. B O É L te R B Itf c Q K M É tlA T M U It DM » O H IV M U X Avês-voni dM Cheveux g iit ? ' Avet-vons de* PeUlcnle*^ To* Cheveaziont-il* faible* ratcmbent^lUl \ S i O V i, E m p ir e z la ROTAL WXMMOR, q u i n a S ■ u Ohovmx g ris la oonleor « t bM nU natorellM da u leoneMe. D «itM « U clmta -------------------------------r ------- e le* P(iui«ul«o. u e st le SEUL R é a è n ê n te a r dea Obeveox a>èitatU*, Réeuttate IneaperOe. V ente t o e l o m araJeeutte. — , B ilaer eur les flaeone le* mot* WMiir. Be trouve chez le* OotAura-PerfuI tneoro en flecoos et deml-flaeoni. Etude do M* BEAUCHAIIPS. notairo à Pont-Sainte-M axonco. EHTHEPOT : a a . T l iip d e T É o l U a n l e r . P A R IS Situé i RUSST-BÉKONT. S'adresser à GACONGNE, qui rexpioitc. 150 Lots de Taillis C oiffeur-Parfum eur, IV O R E L , 27, P lace do la Halle, 27. A C R E IL .R I, R E 8 T A Y I V T .C o l f f o u r - P o r f i i in e u r ,1 5 , avenue do la G are, A CREPy-£N -V A LO IS, M . G R E N I E R » 1, ru o de la Bouchorio. I V Q ir V d r e s s e u r DB CHIENS IIE1UAU& à La Chapollo-cil-Sorval. A Veidic par Adjidioation Sis à V B R B B R I B » d a n s la Plaine des Gats, L ie u d tf les R em ises d 'U erneuse, SUR LES LIEUX A V E N D R K C hiens d 'a rrêt, Chions pour lo Che P a r lo m in istè re do M’ BEAucnAiips, n o taire à Pont-Ste-M axenco, v re u il et le Lapin. F urot e t G ibier do reproduction. Le D im a n ch e 1” Décembre 1889, à m id i. Envol Irànoo rar demande du Proepectne contenant dttaibJlaUestattona, D é p M à 8 E lV M 9 , IS T H M E aG à TARRHE IM ibiirlueilA R IT T » E I P I G |] l .l l M U m lH «ieM ».£»lw w ta«<»s(w e weàaeeeniâirotie • Imprimerie Administrative et Commerciale E r n e s t P A Y E N 9 et U , PUôe de r^jel^-de-yU^ k SedUt.