stephane bulan
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éch9 1lo JONIK Jean m , R o u te de L iv ry ^ — -rm n o V A U X L E P E N Il " • " V - ïÿ ib d h m n r?ra NlftfP U^ fïft No 11 NOUVELLE SERIE OCTOBRE 1974 t r im e s t r ie l éch®f FLOPETROL 2 2 8 , RUE E IN S T E IN , 7 7 5 3 0 V A U X L E P E N IL i s o m m n iR E k M Concorde le Magnifique par C. JAFFEUX ...................................................... 2 Quelques images de D .M .0 ................. 4 La formation professionnelle par F. BOUYS .................................................. 6 La Roumanie par A. BAJENARU .. 8 Les vacances de nos enfants par M. DUBREUIL .............................................. 12 Le Pétrol sous la face des eaux. . . . 14 Tournoi de Volley-Ball par P. DROUX 15 A first in Far-East par P. ABORDHUGON .................................................. 16 Organigramme du Service du Per sonnel ...................................................... 19 Assignment o f Operational Personnel 20 Rions un p e u ......................................... 21 Les nouveaux arrivés ........................ 22 .............................................. 24 Nos je u x .................................................. 26 M e rc i! par N. BOUS SA C ................... 29 Le Carnet w.' \ PLAN D'EPARGNE FLOPETROL Valeur de la part au 3 1 -8-1974 : par Christiane JAFFEUX Ce bel oiseau il faut le vo ir voler pour l'aim er. Ses larges ailes fuyantes et son bec fin, le rendent particulièrem ent élégant. Jean-Pierre et moi avons eu le privilège de le visiter et, mieux encore, de l'accom pagner, lors d'un de ses fameux vols d'étude. Ainsi, par un é to u ffa n t samedi après-m idi, à l'heure où le soleil est plus chaud que l'enfer, nous nous somm es retrouvés à l'a é ro p o rt de Bahrein, parmi les quatrevin g t personnes de to u te s nationalités, dont six français, in vités par leur Ambassade respective. Nous étions là, devant le guichet de la British A irw ays, car nous allions m onter à bord de notre cousin, le Concorde 202, fabriqué en Angleterre. Dès que nous eûmes présenté nos passeports, car une escale n'était pas exclue, nous gagnâmes rapidem ent la porte d'em barquem ent. Nous ignorions encore quel était notre plan de vol et, connaissant les performances de ce supersonique, to u s les espoirs d'une escale lointaine étaient permis. Enfin, nous franchissons la passerelle. J'eus à peine un regard pour le beau m onstre, tant j'avais hâte d'en tendre vro m b rir ses puissants m oteurs. Nos places étaient attribuées, aussi avons-nous filé to u t de go aux sièges qui nous avaient été désignés. Me voilà calée dans mon fauteuil, le 1 7B et, déjà ma ceinture de sécurité me m aintient fe r mem ent prisionnière. Bien que très émue par ce qui m 'arrivait, je pensais soudain que j'avais eu to rt de ne pas rédiger mon testam ent, alors que nous étions devenus pour quelques heures des cobayes. Ce jour-là, il s'agissait d'une étude a pprofondie sur le con ditionnem ent d'air. A lors je me suis mise à prier, afin que rien de catastrophique n'arrivât et me jurai que j'accepterais le mauvais sort, mais plus tard !.. Une chose devenait in tolérable : une faim soudaine qui me tira illa it les entrailles. Dès cet instant, je ne cessais de taquiner Jean-Pierre afin qu'il se renseignât si un lunch devait être servi. 2 Pendant ce tem ps, une véritable cacophonie envahissait l'appareil. Les passagers d'un jour et de to u te s races, revêtus pour la plupart des vêtem ents propres à leur pays, s'étaient assagis et fo u illa ie n t sans réserve dans la poche avant de leur siège, afin d'en extraire les inévitables sacs à rejets, règles de sécurité et p u b licité intense sur l'avion qui les transportait. Il n ’y eut pas d'accueil o ffic ie l à ce m om ent-là. Déjà une vie intense régnait à bord : les journalistes se hâtaient de s o rtir leurs carnets de notes, les ingénieurs et les techniciens étaient afférés devant les innom brables tableaux de bord, substitués pour l'heure à la cabine réservée aux bagages. Que de fils, de com pteurs, de boutons et de petites lumières, de quoi faire rougir la NASA. Dans le couloir infin im e n t long, se fa u fila it une hôtesse, plus très jeune, affublée d'un vilain ensemble rouge et blanc, digne d'une ouvreuse de cinéma de quartier. Mais com m e elle d istribuait des orangeades et que nous avions soif, je la trouvais sym pathique quand même. A utour d'elle, je vis évoluer deux techniciens, en short I Ils relevaient avec grand sérieux les tem pératures am biantes depuis notre m ontée. Un grand maigre, en tenue décente, puisqu'il po rta it le pantalon, rem it à chacun un volum ineux dossier sur « l'A ffa ire Concorde », accom pagné d'un questionnaire long com m e la nuit, auquel nous avons du répondre, au cours des quarante-cinq m inutes passées à terre. Je finissais par penser q u 'il devait s'agir d'un vol simulé quand enfin, un speaker nous annonça le programme. Par chance, ma curiosité fu t vite assouvie car l'annonceur parlait anglais, il le fit en arabe ensuite. Donc, pour nous résumer, je com pris que nous allions dé co lle r à 16 heures ; (plus que v in g t m inutes de patience), que nous volerions à l'a ltitude vertigineuse de 20 000 mètres, que la route choisie était Karachi au Pakistan, retour en décrivant un cercle audessus de Bombay en Inde, puis M uscat en Oman, Dubai et Bahrein. Cela devenait sérieux et je me surpris à nouveau à penser à mon testam ent !... Nous avions rem is notre questionnaire, lorsque nous vîmes un stew ard portan t un plateau chargé de coupes de cham pagne. Comme nous avons apprécié cette délicate a t tention ! Si ma grand-m ère viva it encore, elle eut d it : Ce liquide me descend dans la gorge, com m e le Petit Jésus en c ulotte de velours ! Entre tem ps un événem ent im p o rta n t venait de se produire : les m oteurs com m ençaient à pousser leurs cris strid e n ts et, l'on eut l'im pression alors, d'être sur un engin spatial tant le bruit était intense. Les machines avaient a tte in t leur chaleur m axim um ; nous vîmes que nous roulions doucem ent sur la piste. L’aventure com m ençait et l'anim ation é ta it à son com ble à bord. On ne s'entendait plus ; to u t le m onde était excité. Nous n'avions pas l'im pression d 'a tteind re une vitesse extraordinaire, mais to u t de même on se sentait planer sur le sol com m e cela doit être à bord d'une fusée. Le décollage avait eu lieu, alors que je me préparais à l'in sta n t même à y assister. Là, j'ai en fin com pris que j'étais dans un supersonique, qui allait me transporter à la vitesse fulgurante de 1 350 miles par heure, c 'e s t-à -d ire Mach 2,08. Tout se passa très vite ensuite, le tem ps de co m p te r jusqu'à cinquante et nous ne voyions plus, ni la terre, ni la mer par ticu liè re m e n t bleue et calme ce jour-là. Dans mon cerveau se déroula un grand film : le passé, l'avenir et le retour possible sur terre... Jeus raison de rêver, p u iq u 'e n tre -te m p s arrivait l'inespéré : le repas tant attendu I grand-m ère hôtesse, très souriante dans sa blouse blanche, pour ne pas tacher le bel ensemble, circu la it presque avec grâce dans l'allée et co m mençait la longue d is trib u tio n des plateaux. Le destin était avec moi, puisque nous fûm es, Jean-Pierre et moi, les prem iers s e rv is ; d'où l'avantage d'ê tre près des cuisines et en tê te ou en queue de rang. Je jetai un regard circulaire sur le menu proposé : viande fro id e (peut-être du bœuf, mais rien de sûr), puis from age c o to ya n t des figues baignant dans un épais sirop ; une boule de pain de mie sous cellophane accom pagnait le to u t. Le stew ard nous o ffr it sans com pter un excellent vin rouge de Saint-Em ilion, lequel ne manqua pas de me faire plaisir. Je mangeai avec joie, je bus beaucoup... Concorde nous m aitenait toujours dans une position légèrem ent inclinée en arrière, car lui, dévorait toujours l'a ltitu d e et g rim pait haut dans le ciel. Depuis longtem ps le paysage n 'o ffra it que de lourds nuages chariés dans un ciel sans couleur. Nous venions d'ê tre débarrassés de nos plateaux lorsqu'on nous annonça le survol de Karachi. Hélas, mon cœ ur se serra à l'annonce du stew ard qui nous in fo rm a it que déjà Concorde entam ait un grand cercle audessus de Bombay pour revenir sur Muscat, Dubai et Bahrein. Quelle déception amère, j'aurais tant aimé visiter Bombay. Je fus ramenée à la réalité car l'atm osphère bruyante de l'appareil n'avait cessé de nous envelopper. Les conversations ne s'en trouvaient pas altérées, mais c'é ta it to u t de même fo rt gênant. Il nous fa llu t s o rtir un autre questionnaire et chacun s'ap pliqua à fo rm e r une croix dans chaque case qui lui paraissait être la bonne. Dubai éta it au-dessous de nous lorsque brutalem ent le supersonique amorça ses prem ières décélérations. Les violentes secousses durèrent bien dix minutes, puis s 'a ffa ib lire n t jusqu'à devenir im perceptibles. 19 h 15, nous apercevions la piste de Bahrein, que nous touchions avec la grâce et la légèreté d'une plume. Notre bel oiseau avait relevé son nez pour nous o ffrir à nouveau son air digne. C ontrairem ent à l'habitude, on ne se précipita pas vers la sortie, mais avec beaucoup de patience et de com préhension, nous sortim es notre dernier interrogatoire. Je m anipulais une fo is encore mon s ty lo -b ille bleu, représentant Concorde, qui m 'avait été o ffe rt en supplém ent au dossier. Je répondis le plus sincèrem ent possible à to u te s les questions, lesquelles étaient identiques sur tous les fo r mulaires. Une grande enveloppe nous fu t remise, sur laquelle il fa llu t inscrire nos adresses. Plus tard, nous devions recevoir un beau c e rtific a t atte sta n t notre p a rticipation à ce m erveilleux vol. A yant remis to u s ces docum ents au stew ard, nous fûm es invités à q u itte r l'appareil. Nous ne nous hâtâmes pas vers les p e tits cars de navette, mais à maintes reprises, chacun se retournait pour admirer, toujours une dernière fo is ce m agnifique avion qui fa it faire un prodigieux bond en avant à l'aviation de tourism e. On ne peut pas être déçu avec Concorde. D u b a ï et ses très be au x Dahos. Ces ba te a u x n a v ig u e n t du G olfe Persique au G olfe du B engale e t tra n s p o rte n t tou te s s o rte s de denrées, des étoffes, des m a rc h a n d is e s le s p lu s bizarres en p ro ve n a n ce d 'E x trê m e -O rie n t e t d'O rient. M esd am e s Jau zeleau , M e n g u a l, H u issm a n , P olla k et W illa lm e . M e ssie u rs P o lla k e t W illa lm e . « Le Radeau de la M é d u s e » ! T out F lo p e tro l à b o rd p o u r o b s e rv e r un ba nc de dauphins. J .-J . R ichou co n va in cu p a r M a d a m e W illa im e . A . P o lla k e t M a d a m e J a ffe u x . > La fa m ille M e n g u a l en détente a ve c P ascale et S andrine. 5 par F. BOUYS U n e j/ a ç c w ^ ^ M ^ (y c o 7 £ u ^ e ) d e $ i& n 4 a S 6 M jfe n o & L c Ù w la 'ia J& Ù l A fin de lever un coin du voile sur le m ystère des tubings, séparateurs, side pockets et autre pulling et w o rk over, sans oublier les choke m anifold, un groupe com posé de dessinateurs, techniciens et secrétaires de D.D.E. et FA, est allé co u rir les champs de Châteaurenard (champs de pétrole, bien entendu). La visite com m ença à la Base FLO où M. BOISSY donna quelques explications sur les a c tiv ité s locales. Le groupe se dirigea ensuite vers la station ELF de TRIGUERES où M. BIANCA après nous avoir accueillis, dirigea la visite donnant tou tes les e xplicatio ns quant au fo n ctio n n e m e n t et aux buts de l'appareillage. C'est ainsi que la p olym érisation et le complexe de SAINT-FIRM IN n'o nt plus de secret pour les visiteurs. A près ces e ffo rts , il fa lla it bien se rem ettre et c 'e s t à DOUCHY que beaucoup p ortèrent un grand intérêt à la table qui par certains côtés rappelait ces réunions de pétroliers bruyants de l'Epopée Saharienne. L'après-m idi fû t consacrée au pulling. M. ROUCOULE s'étant jo in t à nous fû t, à l'im age de M. BIANCA, généreux en explications et nous rem ercions le personnel qui travaillait sur ce m atériel de leur m agnifique dém onstration de nettoyage de puits par cuillérage. C'est plus tard que prévu que l'autobus regagna sa Base et se libéra du groupe content d 'a vo ir connu le g oût du brut. D u ra n t le traje t, M . B IA N C A (Elf) donne des e xp lica tio n s. 6 S te e p le -ch e a se dans la s ta tio n de S a in t-F irm in . Le G roupe d e v a n t tête de cheval. Un p e tit c ro q u is discou rs, A . S c h w a c h h e im m e n ta ire s de a tte n tiv e au x c o m M . ROUCOULE. d ix it la vau t m ie u x q u 'u n g ra n d M . RO UC O U LE (Elf). « M . B oucher, i l ne fa u t p a s m o n tre r du d o ig t ». 7 NIE par A. BAJENARU A llez prendre en Roumanie un bain reposant de folklore et de tra d itio n s, éloignez-vous un m om ent de vos soucis, invitezvous dans une fam ille roumaine, là où l'on sait encore recevoir, où l'on v o it encore dans les rues, en M oldavie, les paysans se prom ener en costum e national le dimanche, et où l'on imagine aisément com bien de patience et de tem ps il a fallu à des mains expertes pour broder de telles splendeurs I Cette île latine, entourée par la Hongrie et les pays slaves com m e la Y ougoslavie, la Bulgarie et l'URSS, qui s'étend sur 237 000 km2 donc à peu près la m o itié de la France avec une population de 20 m illio n s d'habitants et qui est appelée « La Petite France » par la d ive rsité de son relief, d o it sa réputation aux représentants de son riche fo lklo re sur to u s les continents, à sa p o litiq u e étrangère de détente e t de paix dans le monde, à son e ffo rt de développem ent industriel qui l'a fa it sortir de l'anonym at, à ses e xp lo its sur le plan culturel et sportif. Mais com m ent e x p liq u e -t-o n son o rigine latine au milieu des slaves ? En 106, la fin des lu tte s entre les Daces (population autochtone) et les Romains, marque le début de l'in terpénétration des c ivilisa tio n s dace et romaine, l a population daco-rom aine a continué de vivre sur ses te rrito ire s après l'abandon de la Dacie par l'arm ée et l'a d m in istratio n romaine (271-274) sous la pression exercée par les peuples migrateurs (Sarmathes, Goths, Huns, etc.) qui déferlent sur le territo ire de la fu tu re Roumanie : ce qui reste de ces peuples est à peu près assimilé par les daco-rom ains. Au VIe et VIIe siècle, ce sont les slaves qui pénètrent et s'y fixe n t pour être absorbés par la population indigène. Entre le VIIe et le IXe siècle, on assiste à l'achèvem ent du processus de fo rm a tio n du peuple et de la langue roumaine. Depuis quand, la roumanie, considérée com m e un pays agricole, a -t-e lle com m encé son développem ent industriel ? Le 23 août 1944, le renversem ent de la d ictature fa sciste et la libération du pays, de l'o ccu p a tio n étrangère, ont marqué le début de la révolution populaire marquant une nouvelle étape dans le développem ent du pays. Ses richesses en m atières prem ières : le pétrole, 2e pays d'Europe ; gaz naturel, 4e pays du m onde ; charbons, gisem ents de fer, magnèse bauxite. Une autre richesse : l'o r (parmi les prem ières d'Europe) ont joué un rôle prim ordial dans son essor industriel. De la m e r N o ire , fro n tiè re n a tu re lle aux au tre s fro n tiè re s ... Quand on pense Roumanie, on pense M A M A IA , perle de la M er Noire I avec ses plages de sable fin et blanc. Mais il ne s u ffit pas d 'y venir en conquérant, l'appareil pho to en bandoulière, la peau à l'air, prête à bronzer I. Il faut fû re te r dans les ruelles de Constanza, ville portuaire encore im prégnée d 'in flu e n ce orientale où l'on découvre une mosquée à l'in té rie u r de laquelle, un énorm e tapis exécuté en dix sept ans, mesurant quarante m ètres de longueur et pesant environ huit cents kilos, s 'o ffre à nos yeux héberlués ! 8 P aysa ns ro u m a in s à la s o rtie du M o n a stè re Voronet. On peut accéder au haut du m inaret (qui est le po in t le plus haut de la ville) par un escalier en colim açon d'environ deux cent cinquante marches, pour adm irer un som ptueux panorama. Il ne fa u t pas m anquer de v is ite r le port, bordé de ruines rom aines et de mosaïques encore très belles. Oh ! j'oubliais ! le plateau de la Dobrogea avec ses vignobles à perte de vue, fa it le vin M u rfa tla r (M eilleur que le vin de Gallician) qui a reçu des médailles d 'o r dans les concours internationaux. Delta du Danube Situé à 120 km de Constanza, le delta du Danube s'étend sur une longueur de 80 km, avec une superficie de 270 000 hectares de roseaux, marécages, saules pleureurs et quantité d'oiseaux que l'o n peut découvrir, à c o n d itio n de se laisser g u id er par un pêcheur qui vous emmènera dans sa p e tite em barcation, loin du monde, et vous o ffrira un spectacle fascinant, vous invitera à manger une « Ciorba de peste » (prononcer tch io rb a de pechté) — soupe de poissons, dans un décor rustique, mais amical. Mais n 'oublions pas qu'il faut y séjourner plusieurs jours si nous som m es de ceux qui aim ons à com prendre la nature et le peuple. M o ld a vie Les monuments d'arch ite ctu re médiévale, les plus beaux, se trouvent dans le Nord de la M oldavie, notam m ent les monastères, bâtis aux XV e et X VIe siècles, et d o n t les murs extérieurs sont entièrem ent recouverts de fresques. Ces m onastères sont tous situés dans le décor au charme si reposant des c o n tre fo rts subcarpatiques. Ils co n stitu e n t un m erveilleux et vivant tém oignage de l'habileté artistique des maîtres artisans m oldaves, tant en ar chitecture qu'en peinture murale. Le mode de préparation et d 'a p p lic a tio n 'd e s délicates couleurs de ces fresques extérieures, qui, en dé p it des siècles et du clim a t assez rude, ont gardé jusqu'à nos jours, leur fraîcheur et leur beauté, est resté un secret des artistes qui les réalisèrent. La peinture des Maîtres Moldaves de ce tte époque est considérée com m e ap partenant à la dernière période brillante de l'a rt byzantin, celle qui a gardé en Europe, l'héritage de l'a n tiq u ité . Retenons Suçevita, Vatra M oldovita, Voronet... Voronet : remarquable m onastère ! Un erm ite avait encouragé le Prince dans un m om ent de grand péril, pendant les guerres menées contre les Turcs. A près avoir gagné la bataille et chassé les envahisseurs, Etienne le Grand a élevé cet édifice situé au pied des montagnes. Les peintures de ce tte église o n t des co lo ris vifs, nuancés, lyriques, inspirés par la nature environnante. Ces peintures extérieures valent à Voronet une grande renom mée. Dans ce tte région les coutum es et le folklore restent encore intacts. Je m 'y suis trouvée, par hasard, un dimanche. A ma grande joie, j'y ai rencontré des fem m es en tenues paysannes (corsages aux broderies de to u te s couleurs, les manches bouffantes ou très larges, ornés de broderies de fil de soie, métal, paillettes, perles colorées, et des hom m es vêtus de pantalons blancs et « bunda » — veste sans manches en peau de mouton retournée, bordée d'une p e tite fourrure de m outon noir, frisée — , coiffés d'un bonnet en m outon noir). J'aime aussi le m assif m éridional, couvert de fo rê ts , dont la présente du Cerf des Carpates, qui d étient le record m ondial de beauté (cerbul carpatin). Cette région co n tie n t encore des chamois, lynx, ours. J'aime ces m ontagnes avec leurs pics, leur paysage ta n tô t ac cueillant ta n tô t très sauvage. Quelques villes : Sinaîa, station M o n a s tè re de Curtea de A rg e s. g - E t B u c a re s t? P aysan m o ld a v e en co stu m e national. clim atique (l'on y tra ite les maladies du systèm e ner veux). On ne peut pas y passer sans vis ite r le Château de PELES, ancien, palais de la Dynastie des Hohenzoller, instauré en Roumanie, en 1867. La co n stru ctio n de ce château est inspirée du style néo renaissance allemande, qui prédom ine aussi dans la décoration intérieure, bien q u 'il y ait des pièces aménagées en divers styles : néo-renaissance italienne et anglaise, baroque allemand, Louis XIV néo -ro coco français, hispano-m auresque, turc... Une autre très jolie ville : BRASOV qui a conservé de nom breux m onum ents de l'époque médiévale. Je ne dois pas o u b lie r la ville de Curtea de Arges, centre de la céram ique fo lklo riq u e , située dans la Valachie, où l'église épiscopale est le m onum ent du X V Ie siècle le plus intéressant de ce tte région. M er veille du monde le lle est enrichie de to u rs originales, et de colonnes en spirale, décorées extérieurem ent de feuille s en pierre, stylisées, fleurs de lys, torsades. A l'intérieur, l'é d ific e est soutenu par douze co lo n nes. Une légende laisserait supposer qu'un artisan, pour parfaire la c o n stru ctio n de l'église, y aurait em muré vivante, sa propre épouse. (A vous faire fris s o n ner, Mesdam es !). 10 Je n'en ai pas encore dit un seul m ot ! BUCAREST, c 'e s t : de grandes avenues aux larges perspectives, com m e la très belle « soseaua A v ia tilo r» (avenue des aviateurs), qui nous conduit à l'arc de Triom phe, érigé à la m ém oire des soldats tom bés pendant la prem ière guerre m ondiale et qui ressem ble un peu, mais en plus p e tit au nôtre. De vastes zones de verdure et de fleurs, de nombreux parcs, fleuris, agrém entés de lacs naturels ou a rtificie ls, com m e celui de Cism igiu qui est un coin de paradis ? Les Roumains s ’y prom ènent après leur travail, et se rassem blent dans un e n d ro it où sont des tables en pierre, ornées d ’une plaque en céramique, spécialem ent conçue pour jouer aux échecs. C'est une véritable partie de plaisir que de les regarder. L'on y rencontre des groupes parlant sport, avec fer veur. Le plus grand parc de BUCAREST, HERASTRAU, s'étend sur cent sept hectares. Bucarest, c'est aussi ses quelques tro is cents églises, ses nombreux musées, qui renferm ent de grandes richesses. Les to u riste s ne manquent pas de v is ite r le musée du village où ont été groupées plus de deux cents maisons paysannes provenant de to u te s les provin ces roumaines, du X VIIIe et X IX e siècle, chacune d ’elles est m eublée et décorée dans le style de la région. Le cirque reste par ailleurs une des grandes distrac tio n s des Roumains. Bucarest a enregistré ces dernières années des tran s form ations im pressionnantes. On y construit de nouveaux quartiers dotés de to u te s les annexes com merciales, sociales et culturelles. Il me faut q u itte r to u te s ces ville s pour vous parler de la culture en Roumanie. Le sp o rt : l ’éducation physique prend une place im portante dans l'éducation des Roumains. L'architecture : est basée sur des liens étroits avec l'a rch ite ctu re populaire. Caractéristique selon les régions et les matériaux em ployés. Peinture : Un des noms les plus célèbres de la pein ture roumaine N. Grigorescu. Théâtre : Une dram aturgie nouvelle est née, ces M o n a stè re . dernières années issue des problèm es de l'époque. Musique : la musique roumaine et ses valeurs plongent de profondes racines dans la m e et le cœ ur d'un peuple doué d'une sensibilité et d'un raf finem ent artistique. C'est la musique qui, jaillie du cœur, tend à ém ouvoir le cœur. Tous les co m positeurs qui, comm e Georges ENESCO, ont lié leur nom au destin de cette m usique, furent, et sont les interprètes du génie populaire. La musique fu t et est servie avec art en Roumanie et à l'étranger par des chefs d 'orchestre com m e D im itri DINICO, et par des chanteurs com m e Hariclea DARCLEE, Nicolae HERLEA, Octave EMIGARESCU, qui triom phèrent sur les scènes de l'Opéra à Milan, Paris, New-York, etc. Danse : très variée selon les régions, captivante tant par la beauté des costum es que par la grande d ive r sité des figures. A rt populaire et folklore : principalem ent : costum es nationaux, tapis, broderies, céram ique noire, objets sculptés en bois, occupent une place im portante dans la culture du peuple roumain. Les tra d itio n s restent ancrées. A Noël et au Jour de l'An, les enfants et adolescents, viennent de porte en porte, chanter des couplets, et souhaiter la « M ulti Ani » (Bonne année). C'est le jour du jeu de capra : Un groupe d'enfants tiennent une « chèvre » confectionnée en bois, et fo n t claquer son bec, et circulent dans le village, accom pagnés de musiciens. A Pâques, les œufs sont décorés de dessins et de peintures. Le Dimanche qui suit le 20 juillet, a lieu dans les monts Apuseni, la foire aux fille s du M ont Gaina. Cette fête est annoncée à l'aide de buccins. Les m on tagnards fo n t quelques kilom ètres à pied pour arriver au haut de ce m ont et se rassembler. Certains vien nent de très loin. Danses folkloriques, chants et p ittoresque sont de rigueur. Bien des idylles s'y nouent aussi... Ce qui m'amènera, au prochain numéro, à vous parler des coutum es assez particulières d'un mariage roumain. 11 * ’< 4 , ’- m A S ïli par M artine DUBREUIL Cette année, quarante « colons et co lo n ette s » FLOPETROL ont eu la chance de pa rticip e r aux séjours de vacances organisés par le C om ité d'Entreprise ELF RE. Deux centres leur étaient proposés : — l'un à la m e r: CAPBRETON (Landes); — l'autre à la m ontagne : S A IN T-JE A N -D E -S IX T (Savoie). Au cours d'un voyage à CAPBRETON, j'ai pu vis ite r le centre de colonie, et déco uvrir les a ctiv ité s de loisirs proposés aux enfants. Toutes les co n d itio n s sem blaient être réunies pour passer d 'exce lle ntes vacances: — des locaux agréables et bien aménagés, — un parc im m ense sous les pins avec aire de jeux : g o lf m iniature, etc., — une piscine d'eau de m er (bassin de 25 m de long) favorisant ainsi la pratique de la natation to u t au long de la journée. Etait réservée aux plus grands, l'a c tiv ité VOILE. Très développée à CAPBRETON, plus particulièrem ent sur le lac d'H ossegor. La colonie disposait de Zelfs, de Caravelles, d 'O ptim istes, de Zodiacs ;les cours étaient donnés par un m oniteur diplôm é. Des activité s manuelles et culturelles ont été réalisées avec grand succès, com m e par exemple, les pièces de théâtre jouées sur les lieux mêmes de la colonie. A S AIN T-JE A N -D E -S IX T, les a ctivité s proposées aux colons furent du même ordre, variées, éducatives et distrayantes. La vannerie, le tissage, les perles ont été réservés aux plus petits. L'ate lie r photo rem porta un énorm e succès chez les 12 plus grands ; les ballades dans la m ontagne, les randonnées à b icycle tte ont eu égalem ent beaucoup d'adeptes. Ainsi, SAINT-JEAN et CAPBRETON, par leur animation et leur situation géographique, ont favorisé l'évasion et la détente m éritées après une année scolaire. Nous rem ercions les organisateurs de leur aide efficace et to u s les parents qui nous o n t confié leurs enfants pendant ces séjours. Sabine i SEVRE và/; ii ;-,w» c m i ic v i- m W illia m SOLLIEZ sabe e PR GENT 11 VI.-C. T A M IA T TO Franck GARRABOS Eric BOISSY Dominique GARRABOS Stéphane BOIS C o u s in e de M C. T A M IA T TO O livier PRIGENT Eric GEORGE Bernadette GASPARINI Florence SUBERCAZE Chantai GAMBIEZ Christine VAUTIER Pascal VAUTIER Jérôme GASPARINI Jean-Yves ESPOSITO 13 DU PETROLE § d ) 0D § Hfl É E E Œ ËB M f f l Si l'on rapproche les conclusions du dernier rapport du Gouvernem ent britannique sur les réserves d 'h yd ro ca r bures de la zone britannique de la mer du Nord et le récent rapport des autorités de Bruxelles sur la « nouvelle stratégie », on s'a p e rço it que d 'ic i une dizaine d'années la mer du Nord sera suscep tib le de fo u rn ir en pétrole et en gaz l'équivalent de quelque 400 m illions de tonnes de pétrole : 400 m illions de tonnes de pétrole, nous le rappelions dans un récent Bulletin, c'e st ce que p ro d u it aujourd'hui l'A rabie Saoudite. Quand ce rythm e de p ro d u ctio n sera a tte in t en mer du Nord, l'Europe des Neuf tirera de ce tte zone un bon quart des ressources énergétiques globales dont elle aura alors besoin. « Jette ton pain sur la face des eaux, tu le retrouveras un jo u r », nous affirm e le Roi Salomon au Livre des Proverbes. Il y a aujourd'hui beaucoup de dollars à in ve stir sur la face des eaux de la mer du Nord, du go lfe de Guinée et autres zones o ff - s h o r e : à term e, il y aura beaucoup à recueillir. Beaucoup à investir : un kilom ètre de p ip e -lin e posé sur le fo n d de la m er du Nord coûte à peu près autant qu'un kilom ètre d'auto rou te, so it une bonne dizaine de m illio n s de nos francs. A vec le coû t d'une seule journée de forage, en mer — environ 350 000 fra n c s — il serait possible de s'acheter une assez jolie propriété de campagne. Sur la terre ferm e, en A rabie Saoudite, l'équipem ent d'un gisem ent de pétrole coûte dix dollars par to n n e de p ro d u ctio n annuelle : en m er du Nord, il faut co m p te r sept à huit fo is plus. Par grande profondeur, on parle de 150 à 200 dollars. S'il y a beaucoup à in ve stir - le développem ent d'un gisem ent de gaz m oyen com m e celui de Frigg coûtera 5 m illiards de fra n c s — il y a beaucoup à recueillir, à con d itio n bien sûr que les taxes des pays producteurs tiennent com pte de l'am pleur des investissem ents préalables. En to u t état de cause, la conjoncture est aujourd'hui très favorable aux travaux marins. Au plan p o litiq u e , la d ive rsifica tio n géographique est à l'évid e n ce une nécessité. On sait m oins que l'inventaire le plus o b je c tif qu'on puisse faire des p o ssibilités de p ro d u ctio n s pétrolières des tre n te prochaines années oblige à chercher en mer dès aujourd'hui, com pte tenu des délais q u'im pose la nature, l'essentiel du pétrole des années 1 990 -2 0 0 0 ; pour rem placer les réserves qui com m enceront alors à décliner partout en Orient, sauf en A rabie Saoudite et, pe u t-ê tre , dans quelques pays favorisés (Emirats, Irak), il faudra aller en to u te prem ière ligne p rospec te r les quelque 70 m illion s de kilom ètres carrés de surfaces sédim entaires que recouvrent les océans. Elles co n stitu e n t sur notre planète la surface vierge la plus im portante, por teuse des m eilleures espérances pétrolières des trente prochaines années, et se présentent géologiquem ent sous un jour beaucoup plus favorable qu'on ne le pensait encore il y a m oins de dix ans. La plus grande partie de ces surfaces se tro u ve n t à des profondeurs supérieures ou très supérieures à celles de la mer du Nord, entre 300 et 3 000 mètres de fo n d , inac cessibles aux plongeurs. T o u t un m atériel d o it être imaginé, 14 construit, expérim enté, atteindre un degré de fiabilité quasi absolu, avec l'obsession perm anente de p ro te ctio n du milieu marin ; il met en oeuvre les techniques les plus élaborées de la co n stru ctio n marine, de l'électronique, du calcul scien tifiq u e , de l'a u to m a tisa tio n : on l'a maintes fo is rappelé, le problèm e du travail par grandes profondeurs en milieu hostile à la présence de l'hom m e n'est pas sans ressem blance avec celui q u 'o n t dû résoudre les explorateurs de l'espace. Bénéficiant de l'im p u lsio n donnée par les travaux de ses sociétés nationales, la France est assez bien placée dans la course aux profondeurs marines. Quand l'actuel délégué général à l'Energie exerçait, voici douze ans, des respon sabilités pétrolières directes, il avait su amener les deux principaux groupes français et l'in s titu t Français du Pétrole à c o n stitu e r des équipes spécialisées et à travailler ensemble, au sein d'un Com ité p é tro lie r d'é tu d e s marines subventionné pour une large part grâce à une d o ta tio n spéciale prélevée sur le Fonds de Soutien aux H ydrocarbures. Il en est résulté les succès que l'on sait en mer du Nord et en Adriatique, dans le golfe de Gabès, dans le golfe de Guinée, dans le g olfe arabo-persique. Des matériels originaux de classe in ternationale ont été conçus puis fabriqués, souvent à plusieurs exem plaires : p la te s-fo rm e s sem i-subm ersibles du type Pentagone, grands ouvrages en béton (réservoir DORIS pour Ekofisk), p la te s-fo rm e s articulées du typ e ELFOCEAN, engins de forages à p o sitionnem ent dynam ique (Pélican, Pétrel, Dyposemi). T out un ensemble d'entreprises de con struction, d'équipem ents marins, de forage, de plongée sous-m arine, de pose d 'in sta lla tio n s fix e s et de pipe-lines se sont créées et ont prospéré en fo n c tio n des besoins et à la suite des pro sp e ctio n s des groupes français, dont le rôle d'entraînem ent restera indispensable à leur développem ent. C’est ainsi que le forage par 1 000 m ètres d'eau doit être essayé dans deux ans, et que d 'ic i six ans, le matériel capable d 'e x p lo ite r des gisem ents à cette profondeur devrait être opérationnel. Sans doute ira -t-o n plus loin encore. Déjà, près de 20 % du pétrole que nous consom m ons vient de la mer. Comment im aginer que, sous la double pression de la p o litique et de la nécessité de renouveler les réserves, les entreprises ne s'em ploient pas à fo re r toujours plus profondém ent, année après année, le long des talus continentaux de nos océans ? Que ce soit en produisant eux-m êm es leur énergie ou en vendant leurs services, il faudra bien que les pays con som m ateurs équilibrent leurs com ptes extérieurs. Grâce à leurs réalisations passées, appuyées par l'e ffo rt d'ex ploration et de développem ent des groupes pétroliers français, les industries d'ingénierie et d'équipem ents marins de notre pays ont devant elles un bel avenir, si elles savent saisir une conjoncture m ondiale aussi favorable. II semble bien que jusqu'à présent elles ne soient pas en retard pour le faire. Extrait du bulletin mensuel d 'in fo rm a tio n s «ELF» Le grand jour est arrivé ! Après m oult consultations, formées. les équipes sont « il faut les vo ir ces vaillants, ces fu rie u x qui form ent les co h o rte s volleyiennes, de tous âges, de to u s gabarits... » Tous des champions représentant qui ? la DET, EM, FA, DOP ou DDE. L'affrontem ent sera dur. Qui l'e m p o rte ra ? T o u s sont déterminés ; l'enjeu est d 'im p o rta n c e : la coupe inter-service de V o lle y -b a ll réco m pensera les meilleurs et sera pendant un an le gage de la haute valeur s p o rtive des te n an ts de |a coupe. Les rencontres se déroulent selon les règles de la F.F.V.B. sous la haute c o m p é te n ce de l'a rb itre impartial s'il en est, P. DROUX qui, s iffle t à la bouche et crayon à la main, pénalise avec la plus extrême rigueur des fa u tes q u 'il ne peut décemment laisser passer. Les champions suivants d é fen d e n t les couleurs des équipes : Les équipes en p le in e action.. P. G. B. J.M. GOMEZ BAYON DOREMUS REVEL J.P. G. C. F. J.P. A. RIBEYRE WALTER M ARTY GAMBIEZ PAPOT GUIMARD Ch. C. P. M. J. MONIN ROBERT POLLAK PEARCE SALIOU DET A. Y. J. M. F. J.M . R. SACCHET G ALLAND BLASCOT ALLAIS GOBINOT BONNARD DEJEAN FA R. P. M. A. H. R. R. P. M ASSIANI CAYUELA M AUG UIN FRAIN GEFFARD TYBIN SOBEL DROUX les remplaçants, irrem plaçables fu re n t TIC -TAC alias R. D E JE A N e t J. CHAMALET, nos deux vedettes aux actions déterm inantes... Le tournoi se term inera c o u ra n t octobre. N u l doute que ces rencontres seront passionnantes. N ous vous tiendrons in fo rm é s du ré su lta t de ce tournoi, dans votre prochain ECHO FLO. L 'a rg u m e n t fra p p a n t de l'a rb itre 15 Flopetrol D id ik Teknisi2 Indonesia trol belum dapat menerima banyak siswa karena harusj 12 Orang teknisi muda In menyesuaikan kebutuhan j donesia lulusan Akademi Tek (permintaan) dan kemampu-1 nik aaat ini mendapat pendi an penerimaan, Diharapkan dikan intensif mengenai cara dalam waktu dekat Ini sudah cara penambangan minyak akan dihasilkan beber&pa tebumi di lepas pantai dan danaga ahli perminyakan Indoratan, demikian'pula mengenesia yang mendapat pendi nai penggunaan peralatandikan di dalam negeri. (J ) nya. |jakarta, Kompas. Pendidikan yang untuk per tama kalinya di Indonesia itu dikoor dinir Flopetr ol S A , perusahaan Perancis yang berge r ak di bidang ten&ga-tenaga teknis industri-industr i mi nyak, akan memakan -waktu 3 bulan di Jakarta. Bagi mereka yang lulus dengan baik berkemungkinan akan dikirim melanjutkan pendidikan di pusat perusahaan tab diParis, a first in far east par P. ABORD-HUGON Flopetrol is still expanding and growing. This year, for the f.irst time, a training session took place in DEO and I was fortunate enough to be the training instructor in charge of this session. When told I was to go to Jakarta, I must admit I had to consult an atlas as I had never travelled to the Far East and certainly hadn't realised Jakarta is in the Southern Hemisphere. On May 6th, I left France on a DC 10, imagine my surprise at meeting an acquaintance — Harry W right and his family. During the long flight to Singapore, Harry teasingly reminded me what a serious and strict instructor I was when he was a young trainee in Melun a few years ago. We were agreably surprised to be welcomed at the airport by Reg Hay, my new Division Manager for the next three months. District Manager Flopetrol S.A, Bernard Colson, menyatakan bahwa sudah seharusnya Indonesia sebagai negara penghasil minyak memlliki tenaga-tenaga ahli sendiri yang dapat mengolah sumber devisa itu sendiri. Dan dengan tampilnya Flopetrol S.A. Ini maka pendidikan ahli-ahli itu tidak perlu dilaksanakan diluar negeri lagi, cukup di In donesia sendiri sebagaimana yang pernah dilakukannya di negara-negara lainnya didunia. Untuk taraf pertama Flops On the 28 th flo o r o f the N u s a n ta ra , th e m eal p re s id e d o v e r b y B. CO LSO N ( if yo u lo o k c a re fu lly, you can see the tip o f his nose). Singapore... a beautiful and extremely clean city, this was my first encounter with Asia. During a short stay in this city I. worked in the division office and met several known Flopetrol ex patriates, and got acquainted with three young trainees who were to train in Jakarta. On May 10th I flew from Singapore to Jakarta and crossed the equator for the first time. After going through the usual controls, I carried my suitcases, hampered by heavy clothing worn upon take-off from France, I sweated profusely and anxiously looked around hoping to see a known Flopetrol employee. While walking to the outer gate I saw an at tractive young Indonesian lady smiling at somebody, I looked back, per suaded this charming smile was not for me and was very surprised to hear, « Good morning Mr. Abord ». The charming Mrs. Simon had detected my small Flopetrol crest on my briefcase while her husband who was standing nearby continued to look at the ladies I This was my first meeting with an Indonesian citizen and during my three month stay in this country I always met agreeable and smiling people. I must add that Michel Simon was to be one of my trainees. Soon I was to see- some known faces — Bled, Wendlinger, Idelot, not to mention my new boss and friend Ber nard Colson. I soon discovered that m y tru n k co n taining all m y books and courses had so m e h o w been m isd ire cte d between Paris and Singapore, and I had to go back to Singapore to p ick it up w h e n it was fin a lly lo ca te d. On May 18th I fle w back fro m Singapore, to Jakarta w ith Yam, W ong, Omar, all three w ere to be part o f m y group o f 12 trainees. For one o f th e b o ys th is flig h t was a firs t experience. In th e Jakarta a irpo rt, like an experienced traveller, I g u id e d m y frie n d s th ro u g h the various co n tro ls and w e w ere m et b y M r. C olson w h o helped us w ith the cu sto m o ffic e r — M r. C olson's ability to speak Indonesian flu e n tly soon g o t us over that d iffic u lty . May 20th was th e firs t day o f th is m em orable firs t training session, you can see th e ir faces on th e at tached p h o to and I hope y o u 'll agree th a t th e y d o n 't seem to have su ffe re d to o m uch under m y strifct supervision. To add in te re st w e to o k a 2 -d a y fie ld trip to Jetibarang, 1 50 km east o f Jakarta, here the boys visited a drilling rig and learned th e tru e m eaning o f a « Christmas tree » in th e oil jargon. A Pertamina engineer gave us valuable in fo rm a tio n a b o u t th is ,fie ld where special p ro b le m s are en co un te re d, w ill you be surprised if I te ll you th a t th e oil le ft on th e ground rapidly cools o ff, s o lid ifie s and can be picked up by hand (a pour p o in t o f 40 °C). W e saw a Forex d rillin g rig, visited the S ch lu m b e rg e r base and th e D o w e ll base w here we w ere g ive n visual, u seful and in teresting in fo rm a tio n b o th in English and Indonesian. W e to o k another sh o rt fie ld trip to Merak, 120 km west o f Jakarta, w here w e saw som e F lo p e tro l b u r ners and enjoyed b e a u tifu l scenery. A t th e end o f the session, a small g ro u p o f fo u r trainees w e n t w ith me to Balikpapan (Mr. V aissade's kingdom ) to see the p roduction barge. A h e lic o p te r fle w us fro m Balik papan airport to th e fix e d p la tfo rm o f a w e ll and a boat to o k us to the te s t barge ; a very rough sea m ade the trip delicate if n o t frig h te n in g fo r som e, b u t m ore interesting and s p o rty fo r all o f us. M r. M o u lis to ld us about the equipm ent, th e p ro d u ctio n , w h ile the rollin g waves kept the barge s w in g in g back and fo rth . On the return flig h t fro m Balikpapan w e boarded th e Viscount, taxied aways, then sto p p e d , w e w ere asked to step dow n and in vite d to push th e plane w h ich had accidentally co llid e d w ith th e a irp o rt b u ild in g . W h ile a small po rtio n o f an overhanging ro o f w as being hacked away and a g ro u p o f passengers gave a hand pushing the plane back on to th e a irstrip , I h u rriedly snapped a fe w in te re stin g p h o to s o f o u r m ishap. The pace o f a c tiv ity in Indonesia is such th a t som e trainees had to w o rk and co u ld n o t a tte n d the fa re w e ll supper fo llo w e d by dancing in a n ig h t-c lu b . Mr. Colson o ffe re d us a w o n d e rfu l v ie w o f Jakarta at night as our restaurant and n ig h t-c lu b w ere on the 28th flo o r o f the Nusantara, th e highest b u ild in g in Jakarta. As you can see, o u r n e w Indonesian o p e ra to rs are as versatile as the e xpatriate operators, lo o k at Bob Fox singing in the n ig h t-c lu b ... Take a lo o k at the appetizing dishes, th e happy fa ce s and I d ra w yo u r a t tention to Paul P io llet's s lig h tly slanted eyes (he has been in DEO fo r fiv e years). I haven't, b u t can sk illfu lly manage chopsticks and g re a tly enjoyed Indonesian food. W e made th e headlines in Indonesian and English Jakarta new papers. A sam ple is p ro vid e d fo r those o f you w h o w ill d o u b tle s s ly agree I Bob F ox c a rry in g o u t h is duties. Is th is an In d o n e sia n c iti zen ? N o t a t all, th is is P. P IO L L E T ... d a z z le d ! T ra in in g is to u g h a ll tim e I not the ^ P ho to S o u v e n ir The c/ass-room A fte r saying g o o d b y e to all m y trainees and frie n d s I decid e d to go back to France b y c o m p le tin g th e circle around the earth. I fle w to H o n g -K o n g (w hat an in trig u in g and b e a u tifu l city). I sp e n t th e n ig h t in H ongKong, tim e e n ough to buy a ta ilo r-m a d e suit I W ith s to p -o v e rs at T okyo , San Francisco, I fin a lly landed in V a n co u ve r and fle w east o ve r the spectacular Canadian Rockies, the w e a th e r w as clear and I had a w o n d e rfu l v ie w o f s n o w capped m ou n ta in s and num erous em erald lakes. I landed in Paris w here m y w ife and ch ild ren w ere w a itin g fo r me, m y 2 1 /2 years old d a u gh te r M yriam was ch a rm in g ly shy and hesitan tly recognized her Daddy, o u r fo u r o ld e r ch ild ren had a lo t o f ca tch in g up to do, relating su m m e r cam p ex periences, s u c c e s s fu lly passed exams — I had m y o w n e xperiences to ta lk a b o ut and share and fo r at least th re e days everyone spoke at once at a te rrific pace. Dear frie n d s fro m DEO, I do hope to go back again to y o u r d ivisio n . W e n o w have a g ro u p o f brand new o p e ra to rs in DEO, I'm sure all o f you jo in me in b id d in g them w e lc o m e to our very in ternational co m p a n y — FLOPETROL. A stu d io u s train ee ORGANIGRAMME DU SERVICE DU PERSONNEL Vous connaissez le S e rv ic e du P e r s o n n e l, b ien sûr. M ais c o n n aiss e z-vo u s les « t ê t e s » : d e c e u x qui s 'o ccupent de vous e t ce q u 'ils f o n t e x a c t e m e n t ? D EPARTM ENT HEAD N. BOUSSAC P e u t-ê tr e h é s ite r e z -v o u s m o in s à v o u s a d r e s s e r à eux si vous les c o n n a is s e z un p e u plus. Sachez en to u s cas q u 'ils s o n t à v o t r e d is p o s itio n (et moi la p r e m i è r e ) p o u r vo us v e n ir en a id e , si besoin est. SECRETARIES E. C UC H EVAL F. FELIX N. B O U S S A C PAYROLL J. BRULE H U M A N R ELATIO N S M. DUBREUIL DISPATCHER F. ESPOSITO SOC IAL A N D IN SU R AN . E. LIM O U SIN TRIPS A N D V IS A S M. VAU TIER M - ïB M ’ J P ^ 1WÊk - . “■ L W STATISTIC S J.L. DEBELLUT WMÊÊSm mm PAYROLL DEPT J.C. B O U D REAU LT J .J. FOURCOT MESSENGER R. TAPIE assignments of operational personnel as from august 31st, 1974 DIVISION AL G ER IA BARTHES M ichel NAV AR R O Jean COSTES Jean-P ierre CHASTEL M axim e GOUBERT Bernard KUHN Christian LEFEVRE A ndré V IC IA N A Emile CAMICEL Georges CHARUEL Raym ond GARNIER M ichel J A U N A Y M ichel J A U N A Y A ndré KIRCHHOFF Guy LANCOIS Daniel W O Z N IA K Germain D I V I S I O N LIBYA DEFRANCE Yves ARN OU LT Pierre BLA AS A lexandre COLLOMBEL Raym ond DUBENT A lb e rt L A S C AU X Christian PRIGENT Jean QUILICHINI Jean ROUSSEAU Paul REYNES René CHAFFARD José DAVIES P. M a ld w y n FON TO VA Raym ond RUIZ José ROMER Yves VENTURIN O svaldo W IL L IA M S Fred D I V I S I O N N IG E R IA BERNABEU Isidore EXBR AYAT Jacques BENNARDIS M ichel GOLDSCHILD Pierre BROGLI Daniel BRU M AS M arius CAROL Pierre CANLER Pierre CASTEL M ichel DE SANFELICIANO Alain LACOSTE Jean LE COADOU Jean-P ierre LOPEZ Jacques MARGALEF Christian PLUCHON C hristian TUCCELLA M ariano BOIG M aurice BEVERCOMBE John BOTTREAU Max CASTEL Jean-C laude DAN EY Pierre DONIAS Jacques DE COUESPEL Jean EVANO Joseph FERRIE H ugh FOUGERAIS Daniel HORNBY Keith K A R A K U LA Guy LEROUX A u g u ste LAZZA R O TTO Alain 20 MERCIER Gilles M A N K James ROSIER Pierre DIVISION AR G EN TIN A DELOUVRIER Jacques FERRIGNO Janvier BOUQUET Claude CONTINI Jean-C laude KELLER Alain RA Y N A U D Claude AUGUSTE Marcel FROMONT Pierre D IV IS IO N N O R T H EUROPE TUECH Max DELAHOUSSAYE W arren FLOCKTON Keiran M A S S A Claude BROUCARET Francis BRAMLEY G e o ffre y BESTEL Guy BREITLING A rm in CABANIS Henri DABURON Claude HOSKIN Ian LANNURIEN Jean LAPLEIGNE Jean MELTON Bryant NOUBLANCHE Claude REISS David SMITH John SELF John Charles TOUPOTTE Roland V ID A L Marc BARBEDETTE Alain BONNIER D om inique BOISSARD Peter CLARKE M ichael DARBY Kevin FULLARD David FEIJAO Luis Filipe GOODW IN Paul GARNIER Yann HAM ILTO N Gavin LONG Robert NICHOLAS Richard POSKITT Léonard SHAND John VA N DER PEET Laurent W O RTHINGTO N W illia m W HITEHEAD Stephen Z W A R T Klaas D IV IS IO N W E S T AF R IC A LAGUERRE Roger BRIGNOLLE Jacques CHAPLAIN Guy BIZE René BEN Sim on CROS Jean CANO Francois CHIBOIS Jean DRAPPIER Henri FAGET Pierre GOUSSARD Christian GUITTARD Lucien GOUT Christian HELDERLE Paul K R A K O W IA K Gustave LE DUC Serge LORGIS M ichel TORCATIS Guy ZARDI Elio AVRILLO N Alain BUISSON M arcel BURLOT A ndré COUDERC Léonce CONFLANT Bernard FIORE Guy GA'UME François LAM OUR M arc LONGATTE Daniel LHOMM E Jean-C laude LEGRAND Lucien M A T U S Z A C Jean MOSSET A ndré PIC Je a n -Y ves RIBES Max TOURTELOT Jean D IV IS IO N M ID D LE EAST POLLAK A lexandre JAFFEUX Jean-P ierre JOHNSTON Douglas ADER Eloi BADIN Léopold BOUSSAT P hilibert CORDINGLEY Gérald DUSUAU DE LA CROIX J. DEREYMEZ Léon DUCHADEAU A ndré DELUMEAU Gérard FALQUE G ilbert GENESTE Jacques GREGOIRE R obert GOUBAULT John HUMBLET M aurice H UISM AN Cornelis KOPIETZ Peter LECLERC Marc LARCHEVEQUE Daniel LACATTE François LARTIGUE Jacques LIVERPOOL Frank MOURGUES Paul M O N TO YA A n to in e M ENGUAL Yves MILLON FREMILLON F. PRASLICKA Jean PRONGUE Jean ROSEMPLATT Jean RICHOU Jacques ROL M ichel SOUFFRIN Roger T A M IA T T O CLAUDE W ILLAIM E Roger BOITEUX Eric BRUNET Jean-P ierre CASTEX Robert COLOMBIER Jacques CORNETS DE GROOT Hugo EVENAT Alain FERDINAND Daniel FLAMMIER Christian GAUDIN Guy GAUCHERAND Bernard HUBNER Pierre HUART Claude HENDERSON Peter HESS Dick HIGDON Ronald JEANNE Philippe JAUZELEAU Christian KERNEIS Jean-N oël KENNADY Paul LAK Sies LEMAITRE M ichel OTT W e rne r PELISSIER Max PRIGENT Yvon PARIS Jean-C laude PINAUD M ichel PELLEGRIN Raoul RUIZ Gabriel ROBERT Claude ROMBOUT Casper SINDALL Richard SHEW CHUK Mike TRENTINI Adrien TRINCKLIN Gérard TALBO TT Robert E. VOLLE Gérard YOUNGS Hubert D IV IS IO N FAR EAST H A Y Richard OLLIER Jean-Pierre COLSON Bernard D E V E Z E A U X Yves VAISSADE Louis ABO RD-H UG ON Pierre A T T A L René BLONDEAU Jean-Claude BONDAZ Charles BLED Jean BERGE Jean-C laude BEECROFT Peter FAGET Joël IDELOT Daniel JOHNSON Claire PIOLLET Paul WENDLINGER Francis A N TC ZAK Edward BRADY G ordon BORCHERT Guenter CAILLY Alain CLARKE Edward CHESNEL Rémi DENIS Jean-Jacques DEVOUCOUX Gérard DYDE A n to n y ESCOLAN M ichel HEPP Jean-Charles H A Y James KEEMINK Jacob LEGUAY M ichel LACHENAIT Jean-Pierre LUNET A ndré LANCEY Jean LYONS Barry M UMFORD David M OULIS C lém ent MAYER Reinhard MENNETEAU M ichel OPTEN Jan ROUND Bernard W RIG HT Harry D I V I S I O N FRANCE JURKIEW ICZ Stanislas BOISSY Pierre GOBINOT Freddy BONNARD Jean-M arc CAPOANI Jean-M arie CARIOU Serge CRIBELLIER Marceau FILLION Alain G UAY Daniel G AUTARD Guy GARRABOS Claude GUIEZE Paul LEPICARD M ichel MARCELOT Claude MINEREAU Yves PORTE Daniel RAIGNEAU Bernard VOGELSBERGER Gaston VO LA N T M arcel CALLEW AERT André FRANCE FOREIGN G ALLAN D Yves DEJEAN René ARIF Jean-Pierre BLASCOT Joseph BONHOM M E Serge BOISSON Gérard DAURIS Alain GASPARINI Raymond H URAULT René JONIK Jean SMITH Philip ALO Y Yves FLAO René GOEHRY Charles JOYEUX Gerard PRADES Alain PITANCE A ndré V IC IA N A Jean VIGE Daniel H O U S T O N OFFICE BOUSIGUES André VITET Jacques UNALLOCATED P E RSO NNE L BENNEHARD Jean-Pierre FEVRE Jean-Pierre MAURICE Yves MARCHE Guy ô & d u ca d A e H o nn i s o it qu i m a / y pense c fc irt& { 'e tfA e /tw e Le cadre, dans l'e n tre p rise, rien à faire, si ce n 'e s t : n'a p ra tiq u e m e n t — de d é c id e r ce q u 'il fa u t fa ire , — de d é s ig n e r q u e lq u 'u n p o u r le fa ire , — d 'é c o u te r les ra is o n s p o u r le s q u e lle s la chose ne d o it pas ê tre fa ite , ou d o it ê tre fa ite plus ta rd, ou a u tre m e n t, ou p a r q u e lq u 'u n d'autre, — de m a in te n ir sa d é c is io n , — de suivre la q u e s tio n p o u r s 'a s s u re r q u e la chose a été fa ite , — de d é c o u v rir q u 'e lle ne l'a pas été, — d 'é c o u te r les e x c u s e s de ce lu i q u i a u ra it dû la faire, Une grave erreur d'étiquetage... — de su ivre de n o u v e a u la q u e s tio n p o u r s'assurer que c e tte fo is la c h o s e a é té bien faite, — de s 'a p e rc e v o ir travers, q u 'e lle a é té fa ite de — de d é te rm in e r e x a c te m e n t c o m m e n t e lle aurait dû ê tre fa ite , de c o n c lu re q ue, m a in te n a n t q u 'e lle a é té fa ite , c 'e s t to u jo u rs m ieux que rien e t q u 'il v a u t m ie u x la is s e r les choses en l'é ta t, — de se d e m a n d e r si o n ne p o u rra it pas se débarrasser de ce ty p e q u i fa it to u jo u rs to u t de tra vers, — de se dire q u 'il d o it a v o ir une fe m m e et de n o m b re u x e n fa n ts , q u 'a u fo n d so n s u c cesseur s e ra it p ro b a b le m e n t a u ssi m a u v a is que lui et p e u t-ê tre p ire , e t q u 'e n to u s cas, il fa u d ra it le p a ye r p lu s ch e r, — de s 'a s s e o ir tr is te m e n t e t de se d ire qu'o n au ra it pu fa ire la c h o s e s o i-m ê m e en v in g t m in u te s a lo rs q u 'o n a p e rd u d e u x jo u rs à co m p re n d re p o u rq u o i il a fa llu tr o is sem aines à q u e lq u 'u n d 'a u tre p o u r le fa ire de tra ve rs. Le photographe photographié 21 B. BUCHANAN c a n a d ie n P. BO/SSARD a n g la is E. ANDERSEN J.C. CEZEUR n o r v é g ie n f ra n ç a is T. CZERW INSKI J.P. GELINET c a n a d ie n fra n ç a is M. COLVIN é c o s s a is G. GIBBONS c a n a d ie n J.J. JUIGNET f ra n ç a is A. JEGEN f ra n ç a is L. JOHNSON c a n a d ie n G. LABEYE fra n ç a is R. McCONNACHIE B. NILSSEN J.P. RICH A U D écossais n o rv é g ie n fra n ç a is H. SPENCE c a n a d ie n D. WADDELL a n g la is T. W ILKINS canadien m M $>* ' w lff H* VP tvb in f i ° " an /Vnnie « s T bukvvald daCa Vl9T4 A0.6-ly ,-riP R C l a ^ e p M M E fS a u , moo 9.9' FranÇ°ise botin pABU se c te:ta>fe 91914 A6 iW lW X .• T *' J ! # M ' - ' . lVlonique HELlG° b\e co r»A91 S a Z3.9 ■ P .A 9 ^ JoM o0£ ï « r lo NG.1^ ,nQé MÉ A.9 f i- .* ' 23 le carnet NA ISSA NC ES P a tr i c ia T A N G U Y , née N a d i n e L O P E Z , née le O l i v i e r B L O N D E A U , né S t é p h a n e F R E C H E , né J o h n R O U N D , né le 6 J e a n -P ie rre H U B N E R , te m b re 1974 le 10 ju in 1974 4 ju ille t 1974 le 11 ju ille t 1974 le 9 a o û t 1974 s e p te m b re 1974 né le 30 s e p A TOUS NOS FÉLICITATIONS FRECHE très fie r de son fils... MARIAGES J e a n - N o ë l K E R N E IS avec M lle F lorence M IN E T , le 27 ju ille t 1974 C la u d e M A R C E L O T avec M lle P a tricia LONGHI, le 14 s e p te m b re 1974 A la in CREPEAU avec M lle J o s e tte LA Z O T T E S , le 7 s e p te m b re 1974 A la in C R IB E L L IE R avec M lle C la ud in e GIRO IX, le 28 s e p te m b re 1974 C h r is ti a n J O U A N Y avec M lle D anielle M A U R E R , le 17 a o û t 1974 H ila ire G E F F A R D avec J o c e ly n e MOLLE, le 28 s e p te m b re 1974 J e a n - F r a n ç o i s BLED avec D onna, le 20 s e p te m b re 1974 David HELDERLE. — N o u s a im e rio n s lu i demander s i cette po se e st con fortable... Jour... La jo ie de vivre à B a h ra in d 'A le x a n d re J a ffe u x e t de sa M a m a n . J.C. M ALOUBIER C. J O U A N Y 25 « W (ES Three yachts leave L o s A n g e le s fo r H o n o lu lu in th e T ra n s -P a c ific Y acht Race, w h ic h takes 10 d a y s . In a b ris k w in d , T ic o n d e ro g a w o u ld g o tw ic e as fa s t as S iriu s o r O rie n t. In a s to rm , S iriu s w o u ld g o h a lf a g a in as fa s t as T ic o n d e ro g a o r O rie n t. In lig h t a irs , O rie n t w o u ld o u tru n T ic o n d e ro g a and S iriu s tw o to one. D u rin g th e race, th e re w ere th re e d a ys o f b ris k w in d s , th re e d a ys o f s to rm and fo u r d a ys o f lig h t a irs . The d is ta n c e t raveled by th e fa s te s t y a c h t each day w a s th e sam e, re g a rd le s s o f w e a th e r. W h ic h y a c h t w o n th e race? R o unsevelle W . Schaum New Y o rk, N. Y. Professor S. P. Lunker, a r c h a e o lo g is t, d isc o v e re d th e se s t range f ig u res on th e w a ll o f a P yrenees cave. “ D ra w in g s by E arly M a n ,” c o n c lu d e d h is a s s is ta n t. “ N o t a t a ll, ” sa id th e p e r c e p t iv e p r o f , w h o q u ic k ly proceede d to d ra w the n e xt fig u re , at rig h t, in the s e q u e n ce . Can you? H o rst T ruestedt P ine Is la n d , M in n . Match th e to o ls and in s tru m e n ts lis te d in th e le fth a n d o c c u p a tio n s c o lu m n w ith lis te d on the rig h t: 1. p e s tle a. c h e m is t 2. c a n t h o o k b. lo g g e r 3. g im le t c. m u s ic ia n 4. b u re tte d. fa rm e r 5. c a p s ta n e. a p o th e c a ry 6. fla g e o le t f. c a rp e n te r 7. q u o in g. p rin te r h. engraver 8. lis te r 9. b u rin i. s a ilo r A lan A. Brow n San F ra n c is c o , C a iif. ÿ a c q u iA & it p lu d a n m d . a ysi~ }fjS b u > (Ü M fe A tp tu O $ w r)d q m J tc m rmau) n&M \a«iÂAû q u £ Puvuisyü M > e ^ t ft& M ) v x M t c y A x ^ « a v u fWviJt e<?t j^e&tc^A*. 'Jacxj uei C 5 c u ^ - £k& y? (w tc u Ç fe j. . ' I clcA ®>i® % U r aa ta lie A iftc v n . ')a/7>£A fê u x £ ^ 'td M & i ^ c v n jfijp w . & u À d m a tfa n , F ê te * . yÇo 4> ff> a££& L ifia M jo h n fc is A .ù 4m a£& u £ R c w p a d ? C W L jfiz c n . ? tueàe/f M on appel à l'aide a été entendu ! M erci à ceux qui ont répondu aussi promptement. Mais surtout ne vous arrêtez pas là : continuez à nous en voyer beaucoup de photos et des articles (pas trop longs) et des dessins humoristiques (comme vous pouvez le remarquer dans ce numéro, nous n ’en n'avons plus). Devant le nombre des articles reçus, nous n'avons pu tous les publier. Ne vous impatientez pas : vous les verrez dans nos prochains numéros. Je remercie encore ceux qui ont été touchés par notre « cri d ’angoisse » et je compte sur vous tous pour que nous n'ayons pas à le renouveler. You heard m y call for help ! Thank you to those who replied so quickly. But, don't stop right now. Carry on sending us a lot o f photos, articles (short ones are better) and cartoons. (You w ill notice we have none o f them for the present issue). We received such a lot o f articles, that it has not been possible to issue all o f them. Don't lose patience : you w ill see them in the next issues. Once more, / say thank you to those who have been touched by our « S.O.S. » and / hope that, thanks to you, we w on't have to do it again. N. BOUSSAC
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