COURRIER i>E L`OISE - Bibliothèque municipale de Senlis
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COURRIER i>E L`OISE - Bibliothèque municipale de Senlis
MOB U BÉPAmTKRKirr t Un an.......................................... | | fr. Six n u ^ .................................. TMU a u ^ ........................... 7 » COURRIER i>E L'OISE ' 4 » S ix m o is ........................................... t T r o i s m o is ...................................... 4M >» M^è  kuiéM M R * Héeîmm%em et iHaevtieHe eeneertuéf^t jParim et tee Dépmriem^mü^ eont reçuem mu Duremu du Journml, f , ru e ISuint^Pierre, à iSfentU, : L * llg n * . OJO c * - L ’a o â e n c * « o -d c sM u t d e 5 lignes. 1 £r. R é c la m e s : L a lig n e, 0,40 c. ^ K n fa its d iv tra , 0.50 c. M. Giolitti a osé le faire l’autre jour en pleine Chambre, que son indépendance est menacée. Elle doit ne pas se montrer arrogante en présence des difficultés ou se débat ITtalie, pour ne pas donner de prétextes à ceux qui, avec M. Barzilaï, lui conseilleront de ne pas modifier sa politique pour n’avoir pas besoin.de « de mander pardon à la France. > La France ne songe pas à amener l'Italie à lai demander pardon,-pas plus qu’elle ne désire l’attaquer. Elle sermt .heureuse seulement deluivoirabandonner Senlis, le 28 M ai 1892. une politique que rien ne justifie et qui risque dejeter dans une guerre effroyable deux peuples qu’aucun intérêt vital ne sépare. Les craintes à ce sujet sont Il est certain que la situation devient d’autant plus justifiées que les difficultés présentes sont de dangereuses conseil très grave en Italie. La Cabinet Giolitti, non satisfait, et lères pour le roi Humbert et pourraient cela se conçoit, d’avoir obtenu, jeudi bien lui souffier à l’oreille, comme jadis & dernier, 9 voix de majorité seulement, d’autres souverains, que la guerre est un surtout en pensant que ces voix sont cellés dérivatif aux maux intérieurs. Quoique l'Italie parle sans cesse de la de ses membres, vient de portersa démission au roi Humbert. Le roi l’a refusée, paix, et quoique sans doute elle la désire, et M. Giolitti est retourné devant la il n’y a pas à se le dissimuler, s’il y a 'Obambre, qui a tenu une séance des plus quelque part en Europe un danger de tumultueuses, où le mot de coup d’Ë tat a guerre, c’est bien de l’autre côté des Alpes. R. C. retenti plusieurs fois. Le nouveau Cabinet Italien ne tient à rien, c’est bien évident, et tout le monde s’attend à voir une troisième crise minis térielle s’ouvrir en moins de deux mois. Uéjà on parle dissolution et d’une con IN T Ë R IE U B sultation du pays; et dans les circons tances actuelles, il semble que cette M . le c om te de M ue i feit 1 Grenoble, en eon> consultation sera grave, puisqu’elle por g rè s de l'A sso d a tio n catholique de la Jennease tera sur l’ensemble même de la politique française, une adhésion parfaitem ent claire aux que les hommes d’E tat de la péninsule institutions républicaines. L’o ra te u r catholique e st com plètem ent sorti des form ules em brouillées é ont suivie dans ces dernières années. dessein que d’a u tre s m em bres de son pa rti avaient M. Crispi, M. di Rudini sont tombés em ployées p our f u r e leur adhésion, e t il a déclaré devant la situation impossible que crée ù ob é ir sans a rrière-pensée au x injoneliona de ritalie sa participation à la Triple- L é o n X IH . Alliance; M. Giolitti est, semble-t-il, sur N os nationaux résidant i C hanghaî, viennent le point de succomber sous les mêmes d’adresser u ne pétition à la C ham bre p o u r obtenir, difficultés. La te rre classique où l’on so it la réparation, so it m ême la dém olition du trouve si facilement une c combinazione > C onénlat de F ran ce dans ce tte ville. Ce bâtim ent, trè s mal co nstruit, a dû ê tre pour se tirer d’affaire, parait ne plus pou voir en enfanter une nouvelle pour per évacué ta n t le séjour en é ta it dso g ereu x , e t son délabrem ent, com paré i la som ptuosité des Consu mettre à. l’Italie d’entretenir plus long la ts allem and e t anglais, e st de n a tu re i nuire a n temps un état militaire hors de proportion p re stige d e la F ran c e dans l’e sp rit d es Chinois. avec ses véritables ressources. E spérons que le- G ouvernem ent com prendra Le corps électoral aura donc à choisir to u te l’im portance d e ce tte affaire. entre les deux termes de ce dilemne : ou bien un désarmement au moins partiel, U n certain nom bre d e jo u rn au x d e Paria o n t p ris l’initiative d’une souscription en faveur des ou bien la ruine et la banqueroute. Nous n’osons pas espérer que l’Italie victim es de réponvantable cyclone q u i a ravagé préférera s’en tenir au premier parti. lU e M aurice. Il faut espérer que c e tte souscription s e ra abondante, ca r il n e faut pas oublier que Les passions qui l’animent sont trop n i e M aurice s’e st longtem ps appelée l’île de aveugles, sa mégalomanie trop incor F ran ce , e t qu’elle e st e ncore habitée, en grande rigible pour qu’elle n’hésite pas beau p a rtie , p a r des créoles d’origine fran çû se, qui coup avant de réduire son armée. De plus, to u t en acceptant la domination trè s libérale de ngleterre, o n t g ardé o n profond attachem ent i la dynastie répugne absolument à cette l’A le u r ancienne m ère-patrie. solution, et il n’est pas douteux que le Gouvernement italien emploira toute la force que lui donnent une centralisation C O IiO N lE S puissante et une armée de fonctionnaires D ahom ey. pour peser sur le corps électoral et l’em L e s Dahom éens m enacent O rand-P opo. Des pêcher de l’adopter. En présence de la crise actuelle, la ren fo rts o n t é té em barqués à bord de l’aviso le B r a n d o n p ar la je té e de K otonou e t dirigés su r presse française doit sans cesse répéter G rand-P opo. aux Italiens que nous ne songeons pas un U n g ros p a rti de Dahoméens est tonjonrs établi seul moment à les menacer, ou à re devant K otonou. A ucun incident è signaler. prendre Rome pour la rendre an Pape. Il y a peu de éhance qu’elle soit crue, Il e st trè s difficile de se re ndre exactem ent mais du moins elle aura fait son possible com pte de la p o û tio n des forces dahoméennes. pour mettre dans leur to rt ceux qui T o u t ce qu’on sait, c’e st qu’elles n ’osent pas disent à la nation italienne, comme pren d re l’initiative, e t le débarquem ent de re n MM. Im A o tio n n o ires s o n t In form és qu’a u x ter m o s d o s S t a tu ts , l'A ssom bléo g é n é r a le o r d in a ir e d e la S o c ié té du c JOURNAL DE SENLIS » a u r a lieu a il s ié g a so o ia l, la M ardi 21 Juin 1 8 9 2 , A d eu x h e u r e s. Ils s o n t p r ié s d e v o u lo ir b ien y a s s is t e r ou s ’y fa ir e r a p r é sa n ta r pa r un A ction n aire m uni d’un p ou voir sig n é. En Italie. INFORMftTlONS (30) F E U IL L E T O N M Ë C H E D 'O R PAR P p iR R E SA U SS TROIBIEHB PARTIE IV BIUGARO BN CAMPAOIfB Zéphirin temblail, d’aiileiiri, fo rte aln e ; Wiâ* en le regardant plus attentivement, Q r i | ^ tfMva sur son vliage des traces de Htigde : les yeux étalent battus, rougis, les traits tirés. Puis, si Zéphirin faisait toujours coQicieBclcBsement son métier, il n’avait plus M talle. allure d'autrefois, son air gai. Brigard pensa qu’il p p u ) ^ t le faire bavarder. 7 * DitM-mol, M pnirin, voas n’ètes plus le m ^ e ... Vous avea.done qnelque obagnn T Le fieux soldat se passa la m a lisu rJ e e y e u et répondit nalvemedl t AqpvoéMtloB s a t e r M e m x Joanuux ^ s a t u tietté evee M, OMMsna U vy ééUewr, ft P aris, R V U A U X A B 4É IIIE 8 L 'abenB em sD t e s t p ajrakie tfa v a n e e .:!! n ’e s t Ja m a is in iÿ rre m p v e t e s t c e n sid é ré com m e re a c n v e lé I ai à l ’e x p ira tio n o n n e d o n n e {uu d 'a v is c o n traire I forts français n e fera q u e le s confirm er dans le u r prudence. On d it qu e Béhanzin a é té t r è s impressionné de la c onstruction de la je té e m étallique de K otonou, Il considérait la b a rre e t les requins comme sa pin s sûre défense du côté de la m er. Grâce BU beau travail de M M . Daydé e t P illé, de Creil, c e tte ligne de défense n'est plus u n obs tacle pour nous. U e s d e la S o c ié té . U n rap p o rt arrivé au sous-secrétariat des Colonies ré d u it à bien peu de chose la révolte que le N e w -Y o r k -H e r a ld annonçait il y a peu de tem ps com m e s’é ta n t produite aux lles-sons-leVent. Il s 'a g it sim plem ent d ’un conflit e n tre indigènes partisans d é la France e t indigènes hostiles, à propos d 'une em barcation a y an t arb o ré le pavillon de RaTaléa, d o n t nous tolérons e ncore l ’em ploi. 11 e st probable que les P olynésiens, trè s doux e t peu nom breux, qui habitent les Iles-sous-leV en t, n e ta rd e ro n t pas à se soum ettre com plète m e n t à la domination française. E X T É R IE U R Ita lie . M . Giolitti a lu aux C ham bres italiennes la déclaration d u nouveau cabinet; elle est fastidieuse e t a é té éqoutée froidem ent. Elle contient de vaines prom esses d’économie, to u t e n m aintenant les dépenses m ilitaires. O n se dem ande com m ent M . Giolitti saura, concilier ces deux contraires. L a déclaration affirme que l’Italie e st plus fidèle q u e jam ais i la T riple-lA liance. M . Im briani, député républicain, aviolem m ent attaq u é M . G iolitti, lui objectant la lourdeur des im pôts e t des charges m ilitaires. « Votre politique, a’est-il écrié, e s t u n e politique dynastique^ b A près u n e séance trè s confuse, l’ordre du j o u r suivant a é té v oté pa r une m ajorité de 8 voix avec 3 8 a bstentions. » L a Cham bre, se réservant de ju g e r les pro poritions do m inistère lorsqu'elles lui seront p ré sentées, passe â l ’o rdre d u jo u r , s M a ro c . On annonce q ue l ’entrevue q u e le représentant de l'A n g le terre, M. Euan Sm ith, a eue avec le Sultan le 18 d e ce m ois, se ra p p o rte à la création d ’u n vice-consulat à F es e t u n a n tre dans la ville d e M aroc, i l'établissem ent d ’u n bnreau de poste m arocain, e t i l’en trée d u M aroc dsns l’union postale, & l’extension du câble télégraphique i to u s les p o rts du M aroc, i la construction du chem in de fe r à F e s. Il semble p eu probable qu e l a cour chérifienne renonce i son im m obilité séculaire p our an toriser â la fols to u tes ces créations ; m ais en to u s cas il convient d’avoir l ’œ il su r le s agissem ents de l’A n g leterre a u M aroc. A friq u e p o rtu g a is e . De graves nouvelles arriv e n t de la colonie de M ozam bique. L es indigènes des environs de Quilimane se so n t soulevés e t o n t d é tru it toutes le s ré c o lte s; la ville m êm e a é té menacée un instant. L es com m erçants français, nom breux dans ce tte région, subiront des p ertes considérables. Ils liv re n t leurs marchandises aux p la nteurs en échange des récoltes encore su r pied. L a destruc tion des récoltes em pêchera sans doute les plan te u rs de les p a y er c ette année. A u trio h e -H o n g rie . L es S o d é té s d e gym nastique tchèques, d o n t on connaît les tendances n e tte m e n t antiallem andes e t q ui o nt fiiit si grand aecneil l’année dernière au x étudiants français, délégués i l’Exposition d e P ra g u e, avaient m anifesté l’in ten tio n d e répondre i l’invitation dos étudiants d e Nancy e t d 'a sd ste r en corps au x fê te s qui se ro n t données d ans c ette ville. M ais l e m inistre de l’in térieu r vient d e leur défendre d’a ssister en c o rps. II est probable q u ’elles to u rn e ro n t la difficnlté e n se faisant re p ré s e n te r^ a r u n groupe im portant de délégués. — Oui, Monsieur, je vous l’avoue : c’est le même pas la lettre qu'elle avaitreçoe la veille chagrin de penser que le fils de mon ancien de Julienne. Ce n’était plus h cela qu’elle maître a si mal tonmé 1 songeait, mais à Serge. Elle u contenta de E t lüi-méme tourna le dos h Brigard, pour dire, lonque ie notaire vouiut lui expliquer continner sa besogne. la maladie de sa fille : Le premier clerc renonça à lui poser de — C'est une maladie complaisante, mon nouvelles questions : cher, e t qui durera aussi longtemps que votre — Jemecontenteraidelesurveiller.pensa- fille voudra vousempêcher delaijparler sérieu sement. t-il. La jouméesepassa sans incident. Lenolaire * Pais elle se laissa aller è sa nouvelle préoc arriva assex tard h son bureau. La veille, il cupation. Oh était Sirge en ce moment T E t était rentré h Asnières pour dîner avec sa Brigard ledécouvrirait-Tl? fille; mais Julienne, voulant retarder l’expli - ^...Brigard avait attendu patiemment la fin cation qa’elle‘ devinait sur les lèvres de son de la journée, surveillant les moindres actes père, n’était, pas descendae à la salle è man de Zéphirin, et II n’avait rien surpris d ’anor ger, prétextant qu’elle avait une migraine mal. Lorsque la nuit arriva, le clerc de notairé partit le premier, pour ne p u éveiller l’atten ejmBvaatabta ' Allons! s’était dit le notaire, ce sera tion du vieux soldat. pour demain matin. . — Je serai bien fixé tout de snite, p e n u Hais, lelendemain matin, la migraine avait t-il. persisté, encore plus tenace. E t II arrivait à Si Zéphirin rentrait chez loi et y restait, Paris,trèsmallieureax,nesachantpucommeBt ses soupçons étalent mal fondés. Si Zéphirin U pourrait se présenter chez Aogélina. Heu sortait de Paris, c’est qn’il irait retrouver reusement 11 reçut une convocation de Claude et Serge ; et, alors, il suffirait de les H. LÙars et passa son après-midi au PalMs filer pour surprendre ie secret delenr cachette. de Justice. Ce (ut une dlstraétion poar lai. 11 Brigard se posta donc au coin de la m e d’Antin et attendit. Zéphlrinsortitpresqoeaussitôt; et, au lieu de remonter le rsobèorg Saintllp a rta d’eflracuen, d’escalade, de n n s de Honoré qui l’aurait mené h son logement. Il clôture... Il finit même par se persuader qu'il gagna la m e de la Beétle. avait conrn un m n d danger. E t, le soir, il Bigre 1 murmura Brigard, voilà nn che alla dîner chez Aogélina, se disant que la min qnlrèsseiiblediaBtremefit à ceint d e là maladie de. sa fille, car il transformait.la gère saint-Latare ! idfgiralne dè s a ’fille eh maladie, était une Puis,>Zèphtrtn s 'en n g ea dans la m e de la excuse suffisante pour retarder tout projet Pépinière, Cette fols, ça V est 1 fit Brigard avec im portànt: ■u AigéUM iest’nAe perMRne Irpp raison^ joie. Je nemhtrompafs pas. N M è p w 'M i p à n i n c ô m p y w d é e l Cinq minutes après, Zéphirin pénétritltdaM Elle le comprit si bien qu’elle n’adressa pas la gare Saint-Laure et s’arrêtait an guichet on reproche au notaire; elle ne lal montra d e là ligne de Versailles. D a n e m a rk . fêtes du jubilé des m onarques danois se p o n i^ v e n t avec le plus g ran d éclat. L a popula tion danoise m ontre le plus grand em pressem ent i fê tér ses sonveValns, q ui o n t partagé depuis si lo n ^ e m p s la bonne e t s u rto u t la m auvaise fortune de 1# nation. Elle n’a pas oublié que le roi a pris énergiquem ent p a rt à la résistance de son vaillant penide attaqué en 1863 p ar la P russe e t l ’A utriche éoaheées. . L ^ familles princières alliées à celle du D an^m arksont tontes représentées à Copenhague, qui ^onne e n ce m om ent l’hospitalité a u tsa r, au prince d e G alles e t an roi d e Grèce. ' On a beauconp rem arqué la grande situation faite an re p ^ se n ta n t de la F rance. On a égalem ent beaucoup adm iré les m agnifiques tapisseries des Gobelins offertes en présent p ar M. C arnet au x souverains danois. NÉCROLOGIE O d a o n o o c e la m o r t d e M . M a d ie r d e H odL iau. C e t b o m m e p o litiq u e , u n d e s d e r n ie r s r e p r é s e n ta n ts d e la g é n é r a lio D r é p u b lic a in e d e 1 8 4 8 , a c o n s ta m m e n t c o m b a ttu d a n s le s r a n g s d u p a r ti r a d ic a l. M ais so n ra d ic a lis m e é t a i t tr è s in d é p e n d a n t, e t il n 'a ja m a is h é s ité à s e s é p a r e r d e se s a m is p o litiq u e s q u a n d il c ro y a it q u ’ils fa is a ie n t fa u s s e ro u te . M a d ie r d e M o n tja u a é té u n d e s h o m m e s q u i o n t le p lu s é n e r g iq u e m e n t c o m b a ttu à c ô té d e G a m b e tte , c o n tr e le O o u T e rn e m e n l d u lO J U a ù C’e s t p o u rq u o i i l a d r o i t , a u m o n ie n t o ù il d is p a r a ît, à u n e d e r n i è r e p e n s é e d e c e u x q u i, e n p o litiq u e , s o n t lo in d e p a r ta g e r to u te s se s Id é e s. CONSEIL D ^filM STR ES M o d n s -v iv c n d i c o m m e p c ia l a v e c l ’E s p a g a c . L e Conseil a approuvé le p rojet de décret p ré paré e t présenté par M M . R ibot e t Ju le s Roche s u r les relations commerciales e n tre la F ran ce et l’Espagne. E n v e rtu de ce décret e t des mesures analogues prises p a r le gouvernem ent espagnol, les m ar chandises des deux pays v o n t jo u ir, im m édiate m ent des tarifs les p lus réduits. L è ta rif minimum français va donc ê tre appliqué au x m archandises espagnoles, tandis q ue les m arebandises françaises vont jo u ir du ta rif conven tionnel espagnol avec l’A ngleterre e t les autres pays, en v ignenr jusqu’au 30 ju in prochain. Ce ta rif conventionnel e st beaucoup m oins élevé que le t a rif m inimum espagnol. Le gonvernem ent français a déclaré toutefois que le ta rif minimum espagnol, applicable après que le t a r if conventionnel a u ra pris fin, ne saOrait être m aintenu te l qu’il e st, e t sans l’alMisaement de certainea taxes qui frap p e n t trop lourdem ent les m arohandisee françaises. E n conséquence, des délégués espagnols vont être envoyés i P a ris i b re f délai, pour é tu d ie r les moyens d e donner satisfaction aux réclam ations de notre com m erce. . E n m êm e tem ps que para îtra an / o n n i a l offi ciel le dé cre t concédant à l’B spsgne n o tre ta rif minimum, le J o u rn a l o fficiel espagnol publiera un d é cre t accordant è n o tre pays le ta rif le plus réduit. C es deux d écrets p a raîtro n t probablem ent dimanche prochain. le Conseil municipal de Paris. Le C o n se il m u n ic ip a l d e P a r i s c o n tin u e à n e d o u te r d e r i e n , p a s m é m o d e la p a tie n c e in c ro y a b le d e se s é le c te u r s , q u i p o u r ta n t d e v ra it b ie n f in ir p a r s e la s s e r. L’a u t r e jo u r , a u p u n c h q u i a s u iv i l’in a u g u r a tio n d e la B o u rs e d u T r a v a il, i l s ’e s t o ffert le p la is ir d e p r o c la m e r u n e fo ls d e p lu s so n a tta c h e m e n t a u s o c ia lis m e i n te r n a tio n a l. U n d e s e s m e m b te s a b u ù l a C o m m u n e , q u i II allait demander nn billet pour Asnières, quand II entendit des pas p r e s ^ derrière lui. Il se retourna machinalement et aperçut Bri gard qui accourait. Brigard se retourna aussi, espérant que Zéphirin n'avait pas dis tingué son visage. — Aurait-ilTaudace de me filer? se dit celui-ci. En tout cas, soyons prudent. Tu ne connaispas le vieux Zéphirin, monbonhommel — Seconde... Ville d’Avray 1 Brigard se prit à celte ruse grossière. Il attCDUit que Zéphirin eût quitté la salle des Pas-Perdus : puis 11gagna, à son tour, le gaichet et demanda triomphalement : — Prem ière... Ville d’Avray I En'se.dlrigeint-vers le train, il pensait : —,11 y a quinze jours que j’aorais dû me défier de cet animal. Janrals déjà pincé Glande ; Thérèse serait encore en prison, et mon plan relatifà Serge aurait réussi... Etaisje sot avec ma jalousie? Il t'installa, tont joyeux, dans son wagon jusqn’à la station de Ville _ , __________ J l t alors le premier sur le quai, pour guetter Zéphirin a sa sortie du compartiment, oh il l’avait vu monter. Pour cela. Il 80 dissimula derrière nn des piliers du petit pont de bois, dévisageant tons les voya geurs qui défilaient devant lui. Il ne voyait pas Zéphirin ; et cependant son w a n n était ouvert. E t le train repartit sans que Zéphirin cAt r ^ r u . Brigard, tout abasourdi, sortit de la station, s’Im afinait qu'il allait retrouver le garçon de burean sur la roule. Hais bientôt, une nou velle m it a ti o i le p rit : quelle route fàllatt-il suIvreT - • Bérhts»ièJoiéf tnrmnrai>t-il. Cela rbnmillait : joué par un lidividn qo avait tonjonrs coMidéré comme nn Imbécile O N S 'A B O N N E A S E N L IS. a u B u re a u d u J o u r n a l, 1, r u e S a in t-P ie rre . 1. e t chez to u s les L ib ra ire s d u d é p a rte m e n t. c o u s a v a lu < l ’e x p lo s io n d e s id é e s s o c ia lis te s u n iv e r s e lle s » , e t il a t e r m in é a u c r i c V iv e la C o m m u n e ! > r e p r is e n c b œ u r p a r le s a s s is ta n ts . M . V a illa n t a v iv e m e n t c o n s e illé a u x s y n d ic a ts d e p r e n d r e u n c a r a c tè r e c o s m o p o lite . I l a d é c la r é q u e s ’i l y a v a i t d e s B o u rs e s d u T '-a v a il d a n s to u te s le s v ille s , e t si e lle s é l a i e n t f é d é r é e s , « il n ’y a u r a i t p lu s q u ’u n f a ib le c o u p d ’é p a u le à d o n n e f p o u r r e n v e r s e r là c la s s e c a p ita lis te . > I A u d é b u t, o n p e n s a i t q u e la B o u rs e d u W v a il é ta it d e s tin é e , c o m m e s o n n o m l ’i n d iq u e , à f a c iiite r a u x o u v r ie r s lu lo c a tio n d e l e u r tr a v a il. O n c r o y a i t d e m ê m e q u e le s s y n d ic a ts é t a i e n t s im p le m e n t c r é é s p o u r f a i r e les a ffa ire s d e le u r c o r p o r a tio n . M a is c ’é t a i t n e p a s c o m p te r a v e c le C o n se il m u n ic ip a l d e P a r i s , d o n t le s p e n s é e s s o n t a u t r e m e n t v a s te s . E lu p o u r s ’o c c u p e r d e s i n t é r ê t s q u i s’a g i te n t à l 'i n t é r i e u r d e s fo r tif ic a tio n s , s e s a s p i r a tio n s n ’o n t p u s e c o n te n i r d a n s c e tte e n c e in te ; e lle s o n t m ê m e f r a n c h i le s fro n tiè r e s d u p a y s , p u is q u e le C o n s e il, d a n s s o n e n s e m b le , tr o u v e l ’id é e d e P a i r i e s u r a n n é e , e t la r e n i e . L e rô le q u ’il s 'e s t d o n n é , c ’e s t la p ro p a g a tio n d e s id é e s s o c ia lis te s, e t il le fa it p a s s e r b ie n a v a n t lé s i n té r ê t s d e l a v ille q u ’il a m is s io n d ’a d m i n is tr e r . T o u t c e la e s t f o r t e n c o u r a g e a n t p o u r le s h a b i t a n t s d e s c o m m u n e s q u e le s r é c e n te s é le c tio n s o n t g r a tif ié e s d e c o n s e ils so c ia l is te s , e t s u r to u t f o r t r é jo u is s a n t p o u r la p o p u la tio n p a r i s i e n n e . D é jà , il d é p e n s a it le s fin a n c e s d e la v ille e n jo lis tr a ite m e n t s a t t r i b u é s à s c â m e m b re s , m a lg r é le s te r m e s f o r m e ls d e la lo i; e n la ïc is a tio n s i n e p t e s ; e n b o u la n g e r ie s m u n i c ip a le s e t a u tr e s f a n ta is ie s d u m ê m e g e n r e ; m a in te n a n t, il o ffre a u x P a r i s i e n s le p la is ir d ’a v o ir v u é l e v e r à l e u r s f r a is u n é d ific e q u i, d ’a p r è s u n d e s a s s is ta n ts a u p u n c h d e l’a u tr e j o u r , s e r a t la f o r te r e s s e d e la ré v o lu tio n u n iv e r s e lle » . V o ilà o ù l ’a p a t h i e e t l a d é s u n io n p e u v e n t m e n e r le s h a b it a n t s d 'u n e g r a n d e v ille . O n s e d e m a n d e c e q u e le C o n se il m u n ic ip a l d e P a r i s , q u i n e r e p r é s e n t e q u e le s id é e s d ’u n e in f im e m in o r ité , d e v r a f a ir e p o u r r é v e i l l e r le s P a r is ie n s d e l e u r t o r p e u r , e t .se v o ir e n fin r e m p la c é p a r u n e a s s e m b lé e q u i s ’o c c u p e ra u n p e u m o in s d e p o litiq u e e t u n p e u p lu s d e l a v o ir ie , d e la q u e s tio n d e s e a u x e t a u tr e s q u e s tio n s a u s s i p e u g r a n d io s e s , c e q u i e s t, e n s o m m e , le v é r ita b le r ô l e d ’u n e é d i l il é d ig n e d e ce n o m . R . G. LE PARLEMENT Séance du vendredi 27 mai. L e S é n a t v o le l’u r g e n c e e n f a v e u r d e la p r o p o s itio n d e lo i r e la tiv e à la c é lé b r a tio n d u 2 2 s e p te m b r e 1 7 9 2 , p u is il r e v i e n t à la d is c u s s io n s u r l’o r g a n is a tio n c o lo n ia le . L e p r é s id e n t a n n o n c e q u e l a c o m m is s io n a p r é s e n té p o u r l’a r t i c le p r e m i e r u n e n o u v e lle r é d a c tio n a i n s i c o n ç u e : < L e m in i s t è r e d e l a m a r i n e e s t c h a r g é d e l’a d m in is tr a ti o n g é n é r a le d e s c o lo n ie s . < L e s p a y s d e p r o t e c to r a t q u i n e so n t p o in t p la c é s d a n s le s a ttr i b u t i o n s d u d é p a r te m e n t d e s a f fa ire s é t r a n g è r e s r e l è v e r o n t d u m i a i s l é r e d e la m a r i n e . > M . Is a a c , r a p p o r t e u r , r e v e n u d ’A lg é rie , r é é d ite le s a r g u m e n t s d e M M . A llè g r e e t L e n o c l p o u r p r o u v e r q u e l e r a tta c h e m e n t d e s c o lo n ie s à l a m a r i n e n ’im p liq u a it n u l l e m e n t l ’a p p lic a tio n d ’u n r é g im e m i l i ta i r e à et qu’il traitait régulièrement de t vieille bête de soldat > ! Il entra dans une auberge et dina en maugréant; mais, à la fin de son repas, il se m it h rire : — Bah I dit-il, cela a aussi son bon côté. Il faut donc admettre que cet animal m’avait aperçu et m'a joint: Or, pourquoi m’aurait-il joué?... Voila une preuve absolue qu'il est toujours dévoué à Claude. C'est déjà fort joli d’être arrivé à ce résultat. Pour le moment, ne nous occupons de lui ; je le filerai demain... Hais que faire cette nuit ? Il se frappa le front : — Je parierais que Zéphirin est descendu à Asnières I... Si je retournais à Asnières t Je ne perdrai peut-être pas mon temps à espion ner ce qui se passe autour de la maison do patron. Une heure après. Il airivait à Asnières et gagnait immédiatement la Seine, en se disant : — C’est du côté de l’eau que je les déconvrim i... Des canotiers... Il marcha assez longtemps au hasard, rega^ dant les rares passants qui longeaient le che min de balage. Vers onze heures du soir, quoique la lune fût superbe, il n’avait rien découvert. Déjà H se disait : » G’estàrooommencer : E t 1180 disposait à r^ re n d re le chemin de la gare, quand il- se trouva en face du pont des piétons, qui est en amont du pont du diemin de fèr. Ce fist presque machinalement qu’il s’y engagea, pour regarder la Seine, qnt s étendait, avee une merveilleuse clartfi andessous de lui. Comme tous les hommes qni ont touché à la terre, 11 aimait la natnre et se laissait facilement émouvoir par la beauté d’an n o s p o s s e s s io n s d ’o u tr e - m e r . H . I s a a c s 'e s t d é c la r é f e r m e p a r t i s a n d u r é g im e c iv il, m a is il a d i t q u ’u n m i n i s t è r e m i l i t a i r e é t a i t t o u t a u s s i p r o p r e q u ’u n a u t r e à f a i r e a p p li q u e r l a lo i. C a r c 'e s t l a lo i q u ’i l s ’a g it d e f a ir e r é g n e r à l ’a v e n i r d a n s to u te s n o s p o s s e s s io n s d ’o u t r e - m e r , e t n o n p lu s le s d é c r e ts o u le s s é n a tu s - c o n s u l t e s . P a r c e s e u l f a it q u ’à u n r é g im e e x c e p tio n n e l s u c c é d e r a u n ré g im e lé g a l e t r é g u li e r , l ’a d m i n i s t r a ti o n d e s c o lo n i e s s e r a s e n s i b l e m e n t a m é lio r é e . C e la n e v e u t p a s d ir e q u ’o n n e d é c e n t r a l is e r a p a s ; lo in d e l à , o n a c c o r d e r a a u x C o n s e ils lo c a u x , s p é c ia le m e n t d a n s le s d e u x p rin c ip a le s île s d e s A n tille s , tr a n s f o r m é e s e n v é r ita b le s d é p a r te m e n ts f r a n ç a is , d e s p o u v o irs a u s s i é t e n d u s q u e le c o m p o r te le r e s p e c t d e s d r o its d e l’E t a t . P a r l à , o n r é a li s e r a l ’a s s i m i l a t io n , le v r a i b u t v e r s le q u e l o n d o it t e n d r e e t , p o u r le r e s t e , l e r a t ta c h e m e n t à l a m a r i n e , p e r m e tt r a d e m e t t r e le s s e r v ic e s d a n s le s m a i n s o ù ils s e r o n t le m ie u x . A v e c u n m i n i s t è r e sp é c ia l d e s c o lo n ie s d o n t o n r é c la m e la c r é a tio n il f a u d r a i t s ’a t t e n d r e à u n e in g é r e n c e t y r a n n i q u e e t ' i n c e s s a n te m ê m e d a n s le s a f fa ire s m i li t a i r e s . P o u r a v o i r u n m in i s t è r e d e s c o lo n ie s , il f a u d r a i t c o n s e n t ir à ce q u e l a F r a n c e a i t d e u x a r m é e s e t d e u x m a r i n e s c e q u i e s t in to lé ra b l e . L e r a p p o r t e u r n e v e u t p a s n o n p lu s d u r a t ta c h e m e n t d e s c o lo n ie s a u m i n i s t è r e d u co m m e rc e . M . L o u b e t a r é p o n d u à M . I s a a c e t a p a r lé e n f a v e u r d e l a c r é a ti o n d ’u n m i n i s t è r e s p é c ia l ; il a d i t q u e c e n 'é t a i t p a s c o n s titu e r u n t r o is iè m e m i n is tè r e m i l i t a i r e n i a m e n e r d e s l u tt e s e n t r e le n o u v e a u q u ’o n c h a î n e r a i t d e DOS p o s s e s s io n s d ’o u t r e - m e r e t l a g u e r r e e t l a m a r i n e , p a r c e q u e c e n e s o n t p a s le s t i t u l a i r e s d e c e s d e u x d é p a r t e m e n ts ,m a i s b ie n le G o u v e r n e m e n t to u t e n t i e r q u i e s t c h a r g é d 'a s s u r e r l a d é f e n s e e t l a s é c u r ité d e s c o lo n ie s . D a n s c e tte p r e m i è r e p a r tie d e s o n d is c o u r s le p r é s id e n t d u c o n s e il a é t é é c o u té a v e c a tte n t i o n ; m a is il n ’e n a p a s é té to u t à f a it d e m ê m e , lo r s q u e , p a s s a n t à u n o r d r e d ’a r g u m e n ts u n p e u d if f é r e n t, i l a i n v ité l e S é n a t à s u r s e o ir à t o u te d é c is io n , € a tt e n d u q u e l a C h a m b r e e s t s a is ie d ’u n e p ro p o s itio n r e l a ti v e à l a c r é a tio n d ’u n m i n i s t è r e d e s c o lo n ie s » . A d r o it e , e n p a r t i c u l i e r , d e v iv e s r u m e u r s s e s o n t f a i t e n t e n d r e , e t M . B u ffe t s ’e s t é c r i é : c A lo r s , to u te s le s fo is q u ’il y a u n s e r v ic e à o r g a n is e r , c 'e s t à t a C h a m b r e q u ’il f a u t la i s s e r le p r e m ie r e t le d e r n i e r m o t. > M . L o u b e t s ’e s l d é f e n d u d ’a v o ir r i e n d i t q u i f û t d e n a t u r e à é v e i l le r l a s u s c e p tib ilité c d ’u n c o rp s a u q u e l i l s e f a it h o n n e u r d ’a p p a r t e n i r » . M ais M . B u ffe t n ’e n a p a s m o in s m a i n t e n u q u ’il n ’é t a i t p a s c o n fo rm e à l a d ig n ité d u S é n a t d ’a t te n d r e l a d é c is io n d e l a C h a m b r e s u r u n e p r o p o s itio n d ’in i tia tiv e p a r l e m e n t a ir e q u i n ’e s t m ê m e p a s à l ’é t a t d e r a p p o r t , a l o r s q u ’il e s t s a is i, l u i , d e c o n c lu s io n s f e r m e s , d é p o s é e s d e p u is lo n g te m p s . D e s o n c ô té , M . T r a r i e u x a f a it o b s e r v e r q u ’il é t a i t im p o s s ib le q u e le S é n a t s 'i n c l i n â t d e v a n t le s « e x h o r ta t i o n s > d e H . le P r é s i d e n t d u C o n s e il. L e S é n a t n ’a p a s b e s o in d ’a t te n d r e le s lu m i è r e s d u d e h o r s ; i l s e t r o u v e e n p r é s e n c e d e d e u x s y s tè m e s : c e l u i d e la c o m m is s io n , c’e s t - à - d i r e le r a t t a c h e m e n t à la m a r i n e ; c e lu i d u G o n v e rn e m e n t» q u i p r o p o s e l a c o n s litu lio n d ’u n m i n is tè r e s p é c ia l. L ’u n e t l ’a u t r e , d 'a i ll e u r s , r o m p e n t a v e c le r é g im e a c tu e l d e s s o u s - s e c r é ta ir e s d ’E ta t a u to n o m e s , e t a v e c r a i s o n , p u is q u e d a n s c e r é g i m e u n h o m m e a l a d ir e c t i o n s a n s a v o i r l a r e s p o n s a b ilité . S e u le m e n t i l n e fa u t p a s s e p a y e r d e v a in e s f o r m u le s : a v e c u n m i n i s t r e s p é c ia l c o m m e a r e c u n s o u s s e c r é ta i r e d ’E t a t , l a d u a l i té d e s p o u v o ir c iv il , e t m ilita ir e s u b s is te ra a v e c s a c o n sé q u e n c e écoulée si paisible ; puis il songeait à la terrible et cruelle existence qu’il menait. Cela aug-, mentait l’amertume qu il ressentait. Et, con templant les flots qui passaient devant loi, il murmura : Quel beau linceul cela me ferait I J a ne soulfrirals plus ! Il eut alors un geste brusque, et son brai détacha une petite pierre qui tomba. Il n’en-, tendit pas le clapotement, mais nn bruit maL' Et aussitôt une voix cria en dessous : Hé 1 Là bautl vous ne pourriez pasfairn attention ? Brigard fut bouleversé par le son de cette voix. — Est-ce possible ? balbntia.t-il. Il regarda attentivement au-dessous de loi et distingua une barque, dans laquelle n i homme péchait à la ligne. L’homme était coiffé d'un large chapeau. Impossible de voUr son visage. — Je saurai bien qui tu es I dit Brigard ragepr * It il laissa tomber son cigare, qui était bien lllum é, juste au-dessus du chapeau. La voix hurla avec colère : ~ A bça,to n n en el Prenez-vous moncht* peau pour nn cendrier! Brigérd ne répondit rien. Il s’aeeronplt contre le parapet. La voix continuait aMi dessous : — On ne peut plus prendre sa M tnrtà ranqullle, maintenant t Brigard n’hésita plus. Il pronença : b r .-'» f o r e ^ : l*aff&ib1i& s d m e n td e i 'a n to r ilé , ta n d is q u ’a n s e r a l l i a n t a u x id é e s d e l a c o m m issio n o n s e r a a s s u r é d e c o n c e n tr e r le s d e u x p o u v o i r s d a n s le s m ô m e s m a in s , — s o lu tio n q u e l ’e x p é r i e n c e a d é m o n t r é ê t r e l a m e ille u r e e t q u ’i l e s t i n d i s p e n s a b le d e f a ir e p r é v a lo ir . S i le S é n a t a v a i t p a s s é a u v o te a p r è s le d is c o u r s d e H . T r a r i e u x , l e r é s u l t a t n ’e ù t p a s é té d o u te u x ; m a is M. le P r é s i d e n t d u C o n s e il, \ o y a n l l e d a n g e r , a ré c la m é le r e n v o i d e l a d is c u s s io n , c e q u i lu i a é té n a tu re lle m e n t ac c o rd é . L a p r o c h a i n e s é a n c e a u r a lie u lu n d i. Trois d’entre eux étalent assez gravement atteints pour que leur transport & l'hôpital Lariboisière ait été Jugé nécessaire. CHAM BRE D E ^ D EPUTES L a C o m m is s io n d u b u d g e t p o u r s u it l’e x a m e n d e l a r é f o r m e d e s b o is s o n s s u r le r a p p o r t d e S a lis . C e tte é tu d e n ’e s t p a s a c h e v é e ; m a is , d é s a u j o u r d 'h u i, n o u s d e v o n s s i g n a l e r u n e im p o r t a n t e d é c is io n p r is e p a r la C o m m is s io n . C e lle - c i, q u i, c o n t r a ir e m e n t à l ’a v is d u G o u v e r n e m e n t, s’o s i p r o n o n c é e p r é c é d e m m e n t p o u r le m a i n t ie n d u p r iv ilè g e d es b o u i l le u r s d e c r u , a d é c id é q u e to u s le s c u lt i v a te u r s q u i v o u d r a ie n t ê t r e b o u ille u r s d e c r u , c’e s t- à - d ir e f a ir e d e l’a lc o o l p o u r le u r c o n s o m m a tio n p e r.s o n n e lle e t n o n p o u r le v e n d r e , d e v r a ie n t e n f a ire la d é c la r a tio n à l ’a u to r ité . L a C o m m is sio n e s tim e q u e , d e la s o rte , o n p o u r r a f e r m e r !a p o r te à la f r a u d e e n v é r if l a n t .s i le s d é c la r a n ts n e v e n d e n t p a s l’alcool q u ’ils o n t p r o d u it. E n d e h o r s d e s p é n a lité s p o r t é s c o n tr e le s f r a u d e u r s , a u x q u e lle s ils r e s t e r o n t s o u m is , la C o m m issio n a d é c id é q u e le s c o n tr e v e n a n ts s e v e r r a ie n t d é p o u illé s Au Journal de l’Oise. L e / o t i r n a l d e J ’O iie n o u s r e p r o c h e d ’a v o ir , d a n s u n d e n o s d e r n i e r s n u m é r o s , in d iq u é q u 'i l y a v a it lie u d ’e x a m in e r s o ig n e u s e m e n t l a s itu a tio n c r é é e p a r l e n o u v e a u t a r i f d e s d o u a n e s a v e c c e r ta in s p a y s a m is , n o ta m m e n t a v e c l ’E s p a g n e . N o u s l’a v o n s d i t b ie n d e s fo is : le J o w n a l d e S e n tis , e n c e s m a tiè r e s , a u s s i b ie n d u r e s te q u ’e n to u te s a u tr e s , n ’e s t p o in t u n e f e u ille d o c tr in a ir e e t n ’a p o in t d e p a r ti p r is . S i n o u s p e n s io n s q u ’o n a é té tr o p lo in l’a n n é e d e r n iè r e , q u e c e q u ’o n a f a it r is q u e d e n u ir e a u x in té r ê ts n a tio n a u x , n o u s n ’h é s ite rio n s p a s à le d ir e . M ais te lle n ’e s t p a s n o tr e pen sée. N o u s n e c ro y o n s p a s q u ’o n p u is s e à l’h e u r e a c tu e lle ju g e r s é r ie u s e m e n t le s e f f e ls d e ta rifs a p p liq u é s s e u le m e n t d e p u is le 1 " f é v rie r. C e n ’e s t q u ’a p r è s u n e lo n g u e e x p é rie n c e q u ’o n p o u r r a v o ir s ’il f a u t a p p o r te r q u e lq u e s m o d ific a tio n s a u n o u v e l é ta t d e c h o s e s . M ais a u jo u r d ’h u i, a lo r s q u e le's sto c k s a c c u m u lé s a v a n t le v o te d e s ta r if s s o n t lo in d ’ê tr e é p u is é s , a lo r s q u e la p ro d u c tio n n a tio n a le n ’a p u c o m p lé te r s o n o u tilla g e a p p r o p r ié a u x n o u v e a u x b e s o in s d u m a r c h é , a lo rs q u e n o u s ig n o r o n s la s itu a tio n r é e lle d e la p ro d u c tio n e t d e la c o n s o m m a tio n i n t é r i e u r e , 11 s e ra it a b s u r d e d e p r é te n d r e p o r te r u n ju g e m e n t d ’e n s e m b le d é f in itif s u r c e tte œ u v r e d e s d u p r iv ilè g e e x is ta n t. L a C o m m is s io n d u r e n o u v e lle m e n t p a r tie l d e l a C h a m b r e , q u i, a v a n t le s vacanceS: a v a it d é c id é q u e le r e n o u v e lle m e n t a u r a i t l i e u p a r m o itié , to u s les tr o is a n s , a r e p r is s e s d é l ib é r a ti o n s e t a e x a m in é la q u e s tio n d e sav o ir, s i le r e n o u v e lle m e n t s e f e r a it d a n s c h a q u e d é p a r t e m e n t , p a r a r r o n d is s e m e n t o u p a r c i r c o n s c r ip tio n . MM. D o u m e r e t R iv e t o n t d e m a n d é q u e l e r e n o u v e lle m e n t e û t lie u p a r c irc o n s c r ip tio n . M . R e in a c h a s o u te n u l e r e n o u v e lle m e n t p a r a r r o n d i s s e m e n t , q u i a é té a d o p té p a r l a C o m m is s io n . L a C o m m issio n a d é c id é , e n o u tr e , d e m a i n t e n i r to u te s le s d is p o s itio n s e x is ta n te s n o n c o n t r a i r e s a u r e n o u v e lle m e n t p a r tie l. M . J u l l i e n a é té n o m m é r a p p o r te u r . L a c o m m is s io n d e s C aisse s d ’é p a rg n e s ’e s t r é u n i e h i e r p o u r e x a m in e r l’a m e n d e m e n t S ie g f r ie d q u i , o n le s a it, lu i a é té re n v o y é p a r la C h a m b r e . C e t a m e n d e m e n t te n d , o n s ’e n s o u v ie n t, à a u t o r is e r la C aisse d e s d é p ô ts à e m p lo y e r le s fo n d s d e s C a isses d ’é p a r g n e e n o b lig a tio n s d e s v ille s e t d e s d é p a r t e m e n t s , m ê m e n o n n é g o c ia b le s . L e p r o j e t d e la c o m m is s io n n ’a d m e tta it l ’e m p lo i Accident sur la ligne du Nord, U n g r a v e a c c id e n t s ’e s t p r o d u it h i e r m a tin à la g a r e d u N o rd . L e t r a in d e v o y a g e u rs p a r t a n t d e Beaum o n t e t a r r i v a n t à P a r i s à 8 h e u r e s 50 i h e u r t é , à l ’e n t r é e d e la g a r e d u N o rd , d e u x m a c h in e s q u i s e r e n d a ie n t a u d é p ô t d e la C h a p e lle . C es m a c h in e s a ll a ie n t t r è s le n te m e n t d ’a u t r e p a r i, le t r a in e n t r a n t e n g a r e a v a it n a t u r e ll e m e n t r a le n t i s o n a llu r e . N é a n m o in s u n e c o llisio n s e p ro d u is it l e s v o y a g e u r s d u t r a in e n s u b ir e n t les c o n s é q u e n c e s a s s e z g ra v e s . O n .i g n o r e , j u s q u ’ici, à «pii in c o m b e n t les r e s p o n s a b il i t é s d e c e t a c c id e n t. L e m é c a n ic ie n d u tr a in ta m p o n n e u r a -t-i T ra n c h i le s ig n a l d ’a r r é l q u ’a d û f a ir e l’ai g u i ll e u r d e la p a s .'e re lle d e s s ig n a u x ? d e r n i e r a - t - i l n é g lig é d e m e ttr e le d is q u e l ’a r r é t ? L e s d é g â ts m a té r ie ls s o n t in s ig n ifia n ts , f o u r g o n d u t r a i n t e m p o n n e u r a e u u n e tr a v e r s e b r is é é e t la lo c o m o iiv e d u m ê m e tr a in u n e p la q u e d é fo n c é e ; il n ’y a e u a u c u n d é r a i l l e m e n t ; m a is o n c o m p te u n e v in g ta in e d e b le s s é s . p o u r m a d e m o is e lle J u lie n n e F o u rra o n t. L e b r a v e g a rç o n r e g r e tt a a u s s itô t d ’a v o ir c r ié ; 11 fil r e c u le r d o u c e m e n t so n c a n o t e t r e s ta q u e lq u e s m in u te s s o u s le p o n t P u i s c o m m e i l n 'e n te n d a it p lu s a u c u n b r u i t , il s e h a s a r d a e t q u itta l’a r c h e q u i l’a b r iia it. M ais, p a r m e s u r e d e p r é c a u lio n , il lo n g e a le p o n t, de façon à r e s s o r tir p a r u n e a u tr e a r c h e . — Z é fih irin a ra is o n , s e d is a it-il, on n ’e s t j a m a is tr o p p r u d e n t. 11 su ffira it d ’un m a u v a is h a s a r d .. . H s’é lo ig n a u n p e u e t r e g a r d a . I l n e v it p e r s o n n e . A v e c q u e lle r a p id ité il a u r a it filé e t g a g n é S u r e s n e , s 'il a v a it su q u e B r ig a rd , la is s a n t h p e in e d é p a s s e r s a tê te a u ra s d u p a r a p e t , n e p e r d a it p a s u n d e se s ra o u v e ^ j a -, A p r è s s 'ê t r e u n p eu p ro m e n é , Llaiidt) fin it p a r a b o r d e r . Q u a n d il s a u ta à te r r e , B rig a rd , r a m p a n t p o u r a in s i d ir e c o n tr e la b e rg e , n ’é t a i t q u 'a u n e lé g è re d is ta n c e d e lu i. L e m is é r a m e n e p u t r e te n ir u n c ri d e jo ie . U n h o m m e v e n a it à la r e n c o n tre d e C laude. Il n e d is tin g u a p a s so n v isa g e : m a is H d e v in a b ie n q u e c e n e p o u v a it ê tr e q u e S e r g e . D’a ille u r s , l e u r c o n v e rs a tio n te re n s e ig n a to u t d e s u ite . A s tu fa it u n e b o n n e p ê c h e ? d e m a n d a le n o u v e a u v e n u . _ M a g n ifiq u e , m on c h e r ; u n e v in g ta in e de g o u g c o n s , d e s a b le tte s , et u n e p e tite c a r p e . — P o u r u n h o m m e re c h e rc h é p a r to u te la p o lic e , c 'e s t g e n ti l . M ès c o m p lim c u ts I — M on b r a v e S e r g e , le po lice ne re tro u v e p i s le s p is te s s u r l'e n n : ça n e la isse p a s d e tr a c e s . T u v o is q u e n e u s n e se rio n s n u lle p a rt a u s s i t r a n q u ille s , a u s s i e n s û r e té q u e d a n s ce a y s , e t q u e n o u s p o u v o n s y a tte n d r e le jo u r e n o tr e p r o c è s . „ ^ j.. . v S e r g e c h a n g e a d e to n ; il r é p o n d it tr è s Ifa v e m e o t : i S I- E 4 a 1 « e iv il m u n ic ip a l d e « le f ! $ e n l i l l N aissance». 2 2. G oH ier (M arie-JulIa-AlphonsiDo), & la Vic toire. 24. Langloi» (Lucie-V icloire), rua VieiHo-deP .iria, &. 27. Clioiuio (M aTguerilo-Joaôphine-Clém ence), rue V ieilie'de-Faria, 42. Décès. 22. D am bly.(R ichB rd-A loxandre),3m oit22jour*, ruo de ta T onnellerie, 7. 23. M. C hduquet (A lfred), commie épicier,84ana 4 mois, ruo du Faubourg-Sainc-M artin, 1. 25. M . F ontaine (L ouia-A iexandre-JulM ). 75 ans 11 uiois, rue du Faubourg S aint-M arliu, 1. 26. M. Ouillot (N o ol-P rudent), sans profession, 71 a. 9 m ., rue du F aubourg Saint-M arliu, 1. Q a r fo n s . S e n tis * L e C o n se il m u n ic ip a l d e la v ille d e S e n lis s ’e s t r é u n i le 2 3 m a i c o u r a n t, à h u i t h e u r e s d u s o ir, à l’I lô te l-d e - V ille , d a n s la s a lle o rd in a ir e d e se s s é a n c e s , s o u s la p r é s id e n c e d e M . C a g n v , m a ire . S o n t p r é s e n ts : MM. H e r b e t, B o u c h e r, t;u ltr u , L e v a s s e u r , D é m e lin , C ag n y , L e p e tit, H e r v a u x , B o ig e , D e la p o rte , S o m m a ire , l 'a u lh ie r , D e s m a re s l, B o is s a y , C h o q u e t F u u lr a t, G e n s s e , M ouy e t B e a u fo rl. S o n t a b s e n ts : MM. V in c e n t, P a y e n , C o ssin , C o m p iè g n e . M. le M aire p r é s e n te a u C o n se il le s c o m p tes (le g e s tio n d u r e c e v e u r m u n ic ip a l p o u r l'e x e rc ic e 1891. S o n t n o m m é s p o u r le s e x a m in e r : MM B o ig e, B o u c h e r, C u ltr u , D e la p o r te , L e p e tit e t M ouy. . . Le (Conseil co n fie à la m ê m e c o m m issio n le so in d ’e x a m in e r le s c o m p te s d ’a d m in is tr a tion d u M a ire (p r é s e n té s so u s la p ré s id e n c e d e M. D e s m a re s t), le b u d g e t s u p p lé m e n ta ir e d e 1892 e t le b u d g e t p r im it if d e 1893. P u is il p ro c è d e à l'é le c tio n d e p lu s ie u r s c o m m issio n s. S o n t n o m m é s : 1“ P o u r l’e x a m e n d e s c o m p te s e t b u d g e ts (le l’ilô p iia l G é n é ra l d e S e n lis , d u B u re a u d e b ie n fa is a n c e e t d e la F a b r iq u e d e l’E g lise : M.M. B o is s a y , D e s m a r e s l, S o m m a ir e e t V in c e n t. . . 2“ P o u r f a ire p a r tie d e la c o m m issio n s c o la ire ; MM. B o u c h e r , B o u r b o n n e u x , C o ssin , H e rv a u x , O d e n t, P a y e n e t S a v a ry . 3 * P o u r f a ire p a r tie d o la c o m m issio n d e r e c e n s e m e n t d e s c h e v a u x : MM. D e sm a re st e t L e p e tit. — N o u s n 'a tte n d r o n s p e u t- ê tr e p a s ju s q u e -là . ~ T u a s d o n c a p p r is q u e lq u e c h o se de n o u v e a u ? fit C la u d e , é to n n é . — N on M ais, c e s o ir, q u a n d tu m ’a s eu q u itté , j’a i lo n g u e m e n t ré flé c h i, j ’ai to u t e x a m i n é . . Il y a r é e lle m e n t, d a n s c e lle a ffa ire , d e b ie n c u rie u s e s c o ïn c id e n c e s ... C e p e n d a n t ce la e s t s i te r r ib le d ’a c c u s e r s a n s p r e u v e s , e t j ’a i ta n t so u ffe rt p e n d a n t m o n e m p ris o n n e m e n t, q u e j ’h é s ite a v a n t d e so u p ç o n n e r s é rie u s e m e n t... C la u d e r iiitc r r o m p it b r u s q u e m e n t : — C’e s t le s o u p ç o n q u i a v a it d é jà tr a v e rs é la tê te e t q u i te r e v ie n t ? — O ui ! c o m m e u n e id é e fixe ! — M oi a u s s i, j'y ai so n g é to u t ce s o ir ; m a is il y a d e te lle s p re u v e s c o n tre c e q u e tu c r o is ... E h ! f itS e r g e a v e c c rrtp o ric m e n t,s a v o n s n o u s to u te la v é r ité ? N ’y a - t - i l p a s q u e lq u e d é ta il q u e n o u s ig n o r o n s e n c o re e t q u i p o u r r a it n o u s é c la ire r to u t à c o u p ... ? J ’a i b eso in d e re p a r le r e n c o re d e c e la a v e c T h é rè s e e t a v e c J u lie n n e ... — N o u s a llo n s le s v o ir, M . F o u rm o n l e s t re s té à F a ri-i.D è s q u ’ils c r a r e n tr é e t e n d o rm i, J a c q u e t v ie n d ra n o u s p ré v e n ir ... J ’ai c a u sé q u e lq u e s 'in s ta n ts a v e c lu i, to u t à l’h e u r e ... C la u d e a c h e v a it à p e in e c e s m o ts , q u 'u n p a s r e te n tit s u r la ro u te . — T ie n s , le v o ic i, d it- il. — N o n . C’est Z ip h ir in . B rig a rd é c o u ta it, to u jo u rs , c o u c h é à p la t v e n tre , n e p e r d a n t p a s u n e p a ro le ... I 2* — 22 5(1 19 .5C 3. .................. 16 n» 15 •» A .o m e. 1 * 7 ’ ” “'' 14 ■» Poulain (E m illenne). D uvernsy (M srcelle-A ugustlne). L e p rêtre (HenrieUe-Louise-Oraziolla). K erstom ont (G eorgette-A ngustino), Bel (M arie-A lexandrine-G eorgette). D upont (Jeanue-A ndrée). B égot (Jeanne-L éocsdie). DÉC&S 12. D elcourt ( J e a n n e -A d o lp b io e -Z o o ), femtna Pons, âgée de 3 0 ans 1 m ois. 13. C hâtelain ^ Ju lie n ) ,â g é d e M a n s 3 m o is 4 jo u r t. 14. F a y srd (P alm yre), âgée de 3 ans 2 mois 12 jours. 14. A ubrjot (AGxlB-Zôphir), figé de 1 sn 2 16. E dm ont (L u cienne-B erthe-A ngèle), figée de 23 jours. 17. Blot (B lsnche-A lexandrine), figée d e 12 jours. 21. G oubet (A lphonso-H onoré-François), âgé de 77 ans. 24. B allot (Charles-Em ilien), figé de 1 mois ] 6 jours. 24. Cbougny (P ie rre ), âgé de 37 ans 8 jours. Vold* PflX prix da da OWmatwBs OOUI. l'beot. l'hcei. 3.') S a m v a r. Id . »» 75 Id . Id . IH! Id . 6<; •Id. 90 Id . P rix du Paiu (to I B lanc. . . 0,36 le k.r Sans vi 16 au 31 M ai.lB is-blan: 0,31 — ( id. F btîuo : tes 157 k ü o g .. 55 fr. — H ausse, 1 fr. Arroadissement d9 Sentis. C h a o tilK y . Les C o u rse s d u 2 6 m a i. G râ c e à ta c o ïn c id e n c e d e l’A sc e n sio n , c e tte d e u x iè m e jo u r n é e d u m e e tin g d e C h a n tilly a v a it a ttir é b e a u c o u p p in s d e m o n d e q u e l a jo u r n é e c o r r e s p o n d a n te d e l’a n d e r n ie r . . . . T o u jo u rs m ô m e c h a le u r a c c a b la n te e t m ô m e s la m e n ta tio n s d e s p r o p r ié ta ir e s e t e n tr a în e u r s , n a v r é s d e l ’é ta t a c tu e l d e s r o u te s d ’e n tr a în e m e n t e t d e s p iste s. H o m m e s e t c h e v a u x r é c la m e n t u n p e u d ’e a u . S u r les six é p r e u v e s d e c e j o u r , n o u s a v o n s e u d e u x m a tc h s , to ta le m e n t d é p o u rv u s (l’im p r é v u , B é r e n g e r n ’a y a n t p a s à s ’é te n d r e p o u r b a ttr e L e C a p r ic o r n e , d a n s le T r ie n n a l; T r a ia n a y a n t p e r d u e n r o u le , p e u a p r è s le d é p a r t, s o n in d ig n e c o n c u r r e n t d u p r ix d e V io e u il. S a h e l a r e m p o r té u n e n o u v e lle v ic to ire d a n s le p r ix d e la P e lo u s e , q u i a r é u n i , à l ’a r r iv é e , le s tr o is m e ille u r s c h e v a u x d u lo t. L es a u tr e s c o u r s e s , d ’in té r ê t b ie n se c o n d a y e , o n t é té re m p o r té e s p a r L a C o u le u v r e , D a n ie l e t N o c ta m b u le . L e p rix d u Jo c k e y -C lu b a d o n n é lie u à d ’im p o rta n ts p a r i s ; tr è s offert a u d é b u t d e la jo u r n é e à 3 /1 , C h ê n e - R o y a l a re c o n q u is , e n c lô tu r e , sa p la c e d e p r e m ie r f a v o r i e t o n n e l e tr o u v a it p lu s q u ’à 2 /1 . F r a - A n g e lic o e s t to u jo u rs à 1 0 0/30 ; A m a d is, à 4/1 ; B u ce n ta u r e , tr è s p ris , à 3/1 ; M ad c a p , à 12/1 ; le s a u tr e s d e 2 3 à 100 c o n tr e u n . L a p o lic e fa it d e p u is u n e q u in z a in e j o u r s u n e g u e r r e a c h a r n é e a u x b o n n e te u r s q u i e n c o m b r e n t le s c h e m in s c o n d u is a n t aux d itlé r e n ts liip p u d ro m e s . U n jo u r n a l d u s o ir , le J o u r , p u b lie d e p u is q u e lq u e s s e m a in e s d e s a r tic le s r é v é la n t le s tru c s e m p lo y é s p a r le s b o n n e te u r s p o u r m e ttr e le 'p u b lic e n g a r d e c o n tr e c e s e sc ro c s. U n v e n d e u r d u J o u r a é lé h i e r a s s a illi p a r u n e b a n d e d e b o n n e te u r s s u r la r o u te d e G o u v ie u x . L ’u n d 'e u x lu i d e m a n d a a n PUBLICATIONS DX MABIAOBS 15. E n tre le sieur G aillard (A ngnste), garçon t>oalanger, dem eurant à S aint-M andé depuii m oins d e 0 m ois, e t précédem m ent fi Creil, e t la dem oiselle N oël (M arie-E léonore), couturière, dem eurant fi Creil. 22. E n tre le sieur Didier (H e nri-A nge), mouleur, domicilié fi C reil, e t dem oiselle Devynck (M arie-A lpbonsiue), sans profession,dom i cilié fi M ontataire. 22.. E n tre le sieur Borel (L u cle n -A lb e rt), faïen cier, domicilié fi Creil, e t demoUelle Lengrand ^Sophie), tisseuse, domiciliée fi SaintQ uentin (A isne). 22. E n tre le sieur P u ire t (M arie-Joseph), pâtis sie r, domicilié fi Creil, e t demoiselle P iron (M arguerite), couturière,dom iciliée fi N arcy (N ièvre). 22. E n tre le sieur Sucbéry (A lfred-FrançolsM arie-Joseph), cha rp en tie r, domicilié fi C reil, e t dem oiselle N odinot (BlancheJea n n e-M arie), couturière, domiciliée fi Paris. 22. E n tre le sienr Bouche (Ju les-Jo se p h ), sellier, domicilié fi Chiry-O uracam ps (Oise), «fi demoiselle L efrane (L aure-E m m a-L ncieB erth e), sans profession, dom iciliée fi C reil. — Eh non, ma chère, c‘esl moi l Dépêchezvous de vous lever l si vous siviez les g « ^ nouvelles que je vous apporte 1 Victoire I Victoire I • ^ ' Elle se leva à la bâte et entr'on4nt sa chan^ bre. Quand elle vit Brigard, tout rayoniiaiil dans le jour clair du matin, elle fut stupé faite. Il le devina et d it: Ah, ah l cela vous bouleverse de me voir ainsi ? Pour un peu, vous ne me reconnaîtriez p as?... Dam ! tne chère, il suffit d'une minute de bonheur pour transformer un homme ! — Une.minute d eb oobeur? ' Eh, oui, nous les tenons I Et, remarquant une inquiétude qui assom brissait soudain le visage d’Angélina, il lal cria, changeant brusquement de ton : •— Ah çà, ma belle amie, ne serions-nous plus dans les mêmes dispesitione que l’autre nuit? Elle domina son émotion et répondit en souriant : — Mais si, mon ami, mais si ! Seutemeot, je suis à peine éveillée... — Oh ! vous êtes charmante ainsi. li la contempla avec amour, dans son dé shabillé coquet qui détaillait sa belle p o itrill, ses hanches larges. Parbleu» l’espoir de pos S o c ié té d e s e c o u r s * l a F r a t e r n e l l e » . D im a n c h e , 8 9 d e l a S o c ié té d e n e lle . 10 V e r s e m e n t 10 A d m is s io n m a i, a u r a l ie n l a 5 * ^ u n i o n s e c o u r s m u tu e ls l a F r a f e r d e s c o tis a ti o n s ; d e n o u v e a u x m em b res. V IL L E D E P O N T -S A IN T K -M A X E N C E F ête P e tr o n a ie < D im a n c h e d e r n i e r , u n a c te d e s a u v e ta g e a é té a c c o m p li p a r u n s o ld a t d e l a t e r r i t o r i a l e a c c o m p lis s a n t a c t u e lle m e n t u n e p é r io d e d ’in s tr u c tio n a u 3* g é n ie , à A r r a s . t C e m il i t a i r e ; n o m m é R o d o lp h e L a m a r r e , é t a i t a i l é a v e c q u e lq u e s c a m a r a d e s p a s s e r la j o u r n é e à B o u lo g n e . C o m m e il s e r o m e n a it, v e r s n e u f h e u r e s d u m a t i n , le i n g d e la je té e , s u r le c h e m in d e h a la g e , u n J e u n e A n g la is , f a is a n t p a r t i e d ’u n g r o u p e d ’é lè v e s d u c o llè g e t e n u p a r M . C o lle t, to m b a a c c id e n te lle m e n t à l a m e r . A c e t e n d r o it , i l n ’y a v a i t p a s d ’e s c a lie r . « L a m a r r e , v o y a n t le d a n g e r q u e c o u r a i t c e j e u n e h o m m e d e 1 6 a n s , d e m a n d a à l’u n d e se s c a m a r a d e s s a c e in t u r e d e f la n e lle e t la t e n d it à l’A n g la is , q u i p a r v i n t , n o n p e in e , à l a s a is ir . c P e n d a n t q u ’o n l e m a i n te n a i t d a n s c e lle p o s itio n , L a m a r r e c o u r u t c h e r c h e r u n e b o u é e à l’a u t r e e x tr é m ité d e la J e té e , l ’a t t a c h a a u g a r d e - f o u s a u t a à la m e r e t f u t a s se z h e u re u x p o u r s a is ir c e p a u v re J e u n e h o m m e , q u i é t a it à b o u t d e fo rc e s e t d o n t le s b o u ts d e d o ig ts é t a i e n t c o m p lè te m e n t u s é s à fo rc e d e s e c r a m p o n n e r . L e c o u r a g e u x s a u v e te u r f u t a lo r s c h a u d e m e n t fé lic ité p a r l e p r in c ip a l d u c o llè g e , le p r o f e s s e u r e t le s c a m a r a d e s d u j e u n e é tu d i a n t . c L a m a r r e n e v o u l u t a c c e p te r a u c u n e e s p è c e d e ré c o m p e n s e . T o u te fo is , i l r e v i n t à A r r a s a v e c u n c e r tif lc a l v is é p a r le m a ir e B o u lo g n e e t r e l a t a n t s o n a c te d e c o u ra g e . K HARIAOKS 14. L e sieur Chaboz (M srie-Joseph-A im é), poiatle r, domicilié fi Creil, e t la demoiselle Deviack (A ugèle), ssus profeuioD , domiciliée fi Creil. 14. L e sieur W atrip o n (Louis-G ilbert), employé au chem iu de for, domicùlié fi Laignevilte (Oise), e t la demoiselle D roupie (AusTsA ugustiue), maDouvriôre,dom1ciUéefi Creil. 21. Le sieur M oraucy (E rnest-A rm aud), employé au x lignes télégraphiques, domicilié fi Creil, e t dem oiselle T hibaudat (Eugénie), conturière, dom iciliée fi Creil. C r é p y - e n - 'V a l o i s . Le lu n d i 6 j u i n p r o c h a in a u r a lie u , a u T h é â tr e (le C ré p y , u n e g r a n d e M a tin é e C o n c e rt, o r g a n is é e p a r le C o m ité c a n to n a l d e la S o c ié té d e S e c o u rs a u x B le ssé s m i li t a iie s , a u p ro f it d e s a c a is s e d ’a s s is ta n c e . L e C o m ité n ’a r i e n n é g lig é p o u r d o n n e r à ce sp e c ta c le to u t l’a t t r a i t d é s ir a b le , e t il s ’e s t a s s u r é le c o n c o u rs d ’a r tis te s d is tin g u é s d e s p rin c ip a u x T h é â tr e s e t C o n c e rts d e P a r is , D u v jy * D a n s la n u i t d u 16 a u 1 7 m a i d e r n i e r , o n a a r ra c tn i e n v ir o n 150 to u ffes d e p o is d a n s le ja r d in d e M. R o b e r t (V ic to r) , e m p lo y é d e c h e m in d e f e r à l a b ifu rc a tio n d u F o u d - d e V aux. L ’a u te u r d e c e t a c te m é c h a n t e t s tu p id e e s t in c o n n u . rien... Voiis ne me racontez rien... — Hé, un peu de patience, ma chère! J'ai commencé par vous annoncer le résultat: nous les tenons ' J'ai ri tout le chemin, h cette douce pensée... Mais riez donc, ma chèrel Elle se mit à rire, maîtrisant l'envie qui lui venait d’insulter cet être grossier. — Oui, rions, dit-elle. Je ris de confiance.., j'espère, qu’après cela, vous m'apprendrez... — Ma chère, on les pincera tous, d'un seul coup de filet!... Là. ne vous Impatientez plus : je vais vous donner des détails. Seule ment, ne m’offrirez vous pas un biscuit, avec un petit verrede ce cognac, que vous réser vez au patron?... Je vous jure queje l'ai bien m éri-le, celté nuit r Sans rien répondre, elle alla chercher une assieite do biscuits et le carafon de c(3^Dac. Elle servit même Brigard, qui riait toujours, en répétant : — Ah 1 Quelle nuit 1 Quelle nuit ! 11 commença enfin son irécit. 11 s'étendit longuement sur la bonne farce que lui avait jouée Zépbirin — J’aurais dû penser à cela tout de suite, et me délier de cet animal-lh; mais vous aviez raison, la jalousie m’affolait... Je ne serai plus jaloux, je vous le ju^e! Que voulez-vous, cette idée riaicnie, qûe vous aimez votre cousin, était entrée dans mon cerveau; et je ne pou vais plus la chasser ! oH ! c'est fini, bien fini ! Je vois que vous êtes aussi joyeuse que moi, à la pensée que nous allons les faire reprendre tous, <oui/ — Cei tesl déclara l’aventurière, aveo un geste violent. E t Serge, le premier 1 Mais comment l U n C u ltiv a te u r de V e m eu H . I M e u i lly - e n - T lie lie * b ie n q u e liju e s a n n é e s d e so u ffra n c e I ... — P u is , d ' it-elle, vous ne m'expliquez A n g é lin a d o rm a it e n c o re , d 'u n so m m eil a g ité , lo rs q u ’on fra p p a d e u x p e tits c o u p s à la p o r te d e s a c h a m b re . Ë d e d e m a n d a , é to n n é e , ce v o u s, M a rtin e ? U n e v o ix jo y e u se lu i r é p o n d it : Ce s u j e t , é t a n t d ’a c t u a li t é , a beaut^oup in té r e s s é l’a u d itd T re , c a r a u j o u r d 'h u i , il n ’y a p a s & s e le d is s im u le r , p o u r ê t r e b o n c u l t i v a te u r , il n e s u ffit p a s d a v o ir la p r a t iq u e , ilf a u l é g a le m e n t c o n n a t i r e u n p e u d e t h é o r ie , e t c 'e s t p a r d e s c o n f é r e n c e s ré p é té e s q u e le s a g r i c u ll e u r s p o u r r o n t s e p e r f e c tio n n e r e t * in s tr u i r e . M . A le x a n d r e a p r o m is d e r e v e n i r à P o n t S a in te - M a x e n c e f ln s e p t e m b r e o u c o in m e n c e m e n t d ’o c to b r e , f a i r e u n e c o n f é r e n c e s u r le s S e m a tilM d 'A u t o m n e . N ous lu i sa v o n s g ré d e l a c o n fé re n c e d e d im a n c h e , e t s e r o n s t r è s h e u r e u x d e l ’e n te n d r e e t d e l ’a p p l a u d ir e n c o r e u n e fois. ) L es D im a n c h e 5 , L u n d i 6 , M a r d i 7 e t M e r c re d i 8 J u i n J 8 9 2 . L e C o tM T te r d u P a s - d e - C a la is r a p p o r t e | l ’a c te d e s a u v e t a g e s u iv a n t : séder un jour cette délicieuse femme, valait o u l ’on v i e n t a l ' a i d e d e l a p o l ic e & là cnltorei il a indiqué qnelUs sont les différenles espèces d’engi^ais les moins coû teux, comment et A quelle époque il faut les employer. D e s p r ix s e r o n t d é œ r o é s a u x v a in q u e u r s . A q u a t r e h e u r e s . T ir a g e d e l a T o m b o la , n o m b r e u x e t j o l i s lo ts & g a g n e r , c o n s is ta n t e n : R e m o n to ir e n o r . P e n d u l e a v e c c a n d é la b r e s , O r f è v r e r ie , F a u t e u il , S e r v ic e à ca fé , e t c ., e tc . P e n d a n t l e s d e u x J o u r s d e l a F ô te , g r a n d B a l (le n u i t , s o u s u n e T e n t e p a r q u e té e e t b r illa m m e n t Illu m in é e . D e s s a lv e s d ’a r t i l l e r i e a n n o n c e r o n t l a fê te e t l ’o u v e r t u r e d e s j e u x . F illes. 19. 14. 15. 20. 20. 25. ^ . H aro h é de S e n ü a du 2 4 M ai 1 8 9 2 . S e ig le Le L u n d i 6 J u in , A deux heures, la Queue du Diable, jeu pour les Garçons. A trois heures, l’Oiseau Captif, Jeu pour les Demoiselles. 14. Davos (Ctiarles-FninçolB). 14. Levasseur (M srcel-A agnsto). 15. DeÛBQdrefLucioD'M aurico). 10. O aité (A udré-E roest). 17. OUd (M arcei-Roger). 22. Jscom m e (E lle-A lphonse). C lém ent (F élix-E douard). P u b lica tio n s de m ariages. 18 17 15 12 Il 6 5 Programme : L e D im a n c h e 5 J u i n , A u n e h e u r e p r é c is e , R é c e p tio n d e s C o m p a g n ie s d e S a p e u r s - P o m p ie r s d e M o n ta ta ir e , C ra m o isy , S a i n t- V a a s t - I e s - H e l lo , e t d e la S o c ié té m u s ic a le d e C ir e s - le s - H e llo . — V in d ’h o n n e u r s o u s la t e n t e . D é filé . A tr o is h e u r e s , E x e r c ic e s e t M a n œ u v re s p a r le s d iv e r s e s C o m p a g n ie s . I n t e r m è d e s p a r l a m u s iq u e . A q u a tr e h e u r e s e t d e m ie , g r a n d B a n q u e t s o u s l a te n te . NAISSANOKS M . C lüux (Louia-Jules A uguste), peintre e n bâti m ents, dem eurant à Crépy-en-V alois, e t M ademoiselle L ecierc (Louise-Victorine), dom estique, dem eurant i Sentis. 78 74 70 64 T2 44 42 L e s D im a n c h e S e t L u n d i 6 J u i n J 8 9 3 . E ta t-C iv il d e C r e il d u J 3 a u 2 6 m a i. M ariages. 28. M. B onavanture (H ippolyte-H enry), entre preneur do peintures, dem eurant à Sentis, e t Mademoisetlo B arré (Elodie-RoaeAloxandrino), saus profession, dem eu ra n t à SenliB. Blé vieux, 1'* quoi. ?3 5 0 l'* quai. /•A n.) M a y a e l. f ê t e p a t r o n a l e d e l a PENTECOTE D im a n c h e d e r n i e r , 8 2 m a i, v e r s s e p th e u r e s d u m a tin , la fe m m e D o sse a u x , m é n a g è re , d e m e u r a n t r u e H a u t- d e s - T u f s , à C re il, e s t a llé e d a n s s o n t u f p o u r a r r a n g e r 1 8 0 b o u q u e ts d e m u g u e t, a fin d a l l e r le s v e n d r e a u x q o u rse s d e C h a n tilly . E lle tr o u v a l a p o r te o u v e r te e t le c a d e n a s d is p a r u ; d a n s l’i n t é r i e u r , u n m a lf a ite u r in c o n n u a v a it c o u p é to u t le m ilie u d e se s b o u q u e ts , c e q u i c a u s e à l a f le u ris te u n p r é ju d ic e d e 2 & f r . D u 88 a u 88 M ai 1898. C B S O E n Q ^ L O C tL S C o n s e il Journal; pendant que le vendeur en retirait un de sa liasse, les autres lui tombèrent dessus et l’assommèrent à demi ; après quoi Ils s'enfuirent. Dimanche dernier, deux autres vendeurs du môme journal ont été également très malmenés. De nombreuses arrestations ont été opé rées. ' C p c U. Le S e c r é ta ir e d u C o n s e il m u n ic ip a l, P a u l D ELAPORTE. p o u v o irs p u b lic s . N ous p e r s is to n s à c r o ir e q u e c e lle œ u v re e s t s a lu ta ir e e t q u e si, m o m e n ta n é m e n t, e lle a m è n e u n ra le n tis s e m e n t d e s é c h a n g e s , e lle p ro d u ir a , e n fin d e c o m p te , u n a c c ro is s e m e n t d e la p r o d u c tio n f r a n ç a is e , e t sa u v e g a r d e r a u n e p a r tie c o n s id é r a b le d e n o tr e a g r ic u ltu r e e t d e n o tr e in d u s tr ie , m e n a c é e s p a r la c o n c u r r e n c e é tr a n g è r e . M ais, e s t- c e à d ir e q u e n o u s n e d e v o n s p a s e x a m in e r s’il n e c o n v ie n t p a s d e n égo c ie r a v e c c e r ta in s p a y s , v ie u x c lie n ts e t a m is d é v o u é s d e l a F r a n c e , c o m m e l’E sp a g n e , q u i d e m a n d e n t q u e n o u s l e u r fa s s io n s q u e l q u e s c o n c e s s io n s , à la c o n d itio n , b ie n e n te n d u , d e n o u s e n f a ir e d 'é q u iv a le n te s ? Ce s e r a it là u n fa n a tis m e q u e n o u s n 'a v o n s p a s , e t q u e l’iiU é rô t n a tio n a l n e n o u s p e r m e t p a s d ’a v o ir. S a n s n o u s a p ito y e r le m o in s d u m o n d e s u r l’E s p a g n e , c o m m e n o tr e c o n fr è re n o u s ac c u se d e le f a ir e , n o u s tro u v o n s q u ’il y a lie u d ’e x a m in e r s é r ie u s e m e n t e t d ’e s s a y e r d ’a m é lio r e r la s itu a tio n f a ite à n o tr e com m e rc e d ’e x p o r ta tio n d a n s c e p a y s. N ous n ’a v o n s p a s d i t a u tr e c h o se , e t n o u s n ’a v o n s p u , p a r c o n s é q u e n t, la is s e r p a s s e r le b o u t d e l ’o r e ille , n i la is s e r p e r c e r u n lib r e - é c h a n g is m e q u i n ’e s t p a s n o tr e fa it, quoi»iu’e n d is e le J o u r n a l d e l’O ise. C e lu ic i n e s a u r a it d ’a ille u r s , s ’il v e u t e n v is a g e r s é r ie u s e m e n t le s c h o s e s , a d o p te r u n sy stè m e p lu s a b s o lu , n i s o u te n ir u n e a u t r e d o c trin e q u e la n ô tr e . I L C. q u ’e n o b lig a tio n s d é p a r te m e n ta le s o u c om m u n a l e s , n é g o c ia b le s . M . C h r i s t o p h l e a , d a n s u n d is c o u rs re m p lid e fa its e t d e c h ittr e s , m o n tr é q n e l ’a d o p tio n d e l ’a m e n d e m e n t S ie g frie d s e r a it la r u in e d u C r é d it f o n c ie r. L e m i n i s t r e d e s fin a n c e s a p a r lé d a n s le m ê m e sen s. L ’a m e n d e m e n t S ie g frie d a é té r e je té e t le te x te p r i m it i f d e la c o m m issio n m a in te n u . fi 4» P o u r r é v a lD a lio n d e s r é c o lte s a n p o in t dO 'V uede.s d ro its d ’o c tro i : MM. C o m p iè g n e , D e s m a re s l, H e r v a u x , L e v a s s e u r . 50 P o u r l e c h o ix d e s liv r e s d e p r ix : MM. D e la p o rle , D é m e l i n .P a u t h i e r e t P a y e n . 6 » P o u r la liq u id a tio n d e la r e t r a i t e d e M. S a m so n : M U . B o u c h e r, C u ltr u , D e la p o rte e t D é m e ljn . 70 E t p o u r e x a m in e r l a p ro p o s itio n d e su p p r e s s io n d e ’ l’o c tr o i : MM. B o u c h e r, C h o q u e t, C u ltru , D é m e lin , L e p e lil, S o m m a ire . L e C o n se il d é lé g u é e n s u ite ; 1* P o u r f a ir e p a r tie d e l a c o m m issio n a d m in is lr u tiv e d e l’H ô p ita l g é n é r a l d e S e n l i s : MM. D o u rb o n n e u x e t F a is a n t. S» E t p o u r f a ire p a r tie d u B u r e a u d e b ie n f a is a n c e : MM. B u r e a u e t H e r b e t. L a s é a n c e e s t le v é e à d ix h e u r e s u n q u a r t. F o i r e a o n a e l l e d e S a l n te - C l a l r e S u r lé C h a m p - d e - ifa r s , le M e r c r e d i 8 j u i n . C e tte F o ir e , f r a n c h e d e to n s d r o i ts d e p la c e , e s t d e s t i n é e & l a V e n te d e s D e n r é e s , M a r c h a n d is e s e t B e s tia u x . — D e s p a r c s s e r o n tc o n v e n a b le m e n td is p o s é s p o u r r e c e v o ir le s M o u lo n s . — L e s M a r c h a n d s t r o u v e r o n t e m p la c e m e n t c o m m o d e e t p r o te c tio n . L es P la c é s s e r o n t d é s ig n é e ^ à l ’a v a n c e p a r l ’A g e n t d e P o lic e .— L e s J e u x d e h a s a r d s o n t s é v è r e m e n t i n te r d it s . P e n d a n t to u s le s j o u r s d e l a F ê t e : D iv e r tis s e m e n ts d iv e r s . L e s d e u x C o m p a g n ie s d ’A rc o f f r e n t- d e s P r i x G é n é r a u x , 40 P r i x d ’u n e v a l e u r d e 8 .3 0 0 fr a n c s . L a S o c ié té d 'A r b a lè te r e n d é g a le m e n t d e s P r i x e t o r g a n i s e r a u n T i r à l a C a r a b in e d e 6 m iilim è tr e s . ' D es P ro g ra m m e s s p é c ia n x s e ro n la d re s s é s , p a r le s C o m p a g n ie s d ’A rc e t d ’A r b a lè te , a u x r. é tra n g è re s . L e t e r r i t o r i a l d o n t il e s t q u e s tio n , le c o u r a g e u x s a u v e t e u r d o n t p a r l e n t a u j o u r d ’h u i to u s le s j o u r n a u x , e s t M . L a m a r r e , s e r g e n t m a jd r d e la C o m p a g n ie d e s s a p e u r s - p o m p ie r s d e N e u illy - e n - T h e lle . N o u s s o m m e s h e u r e u x d e s ig n a l e r s a b e lle c o n d u ite . N o g e n U l e s - ’V i e r g e s . L e 1 5 m a i d e r n i e r , A r m a n d in e M illa rd , c u is in iè r e , p a s s a l 'a p r è s - m id i e n p r o m e n a d e a v e c la n o m m é e C la ra B a u d a r d , d o m e s tiq u e c h e z M . N ic o la s , m e u n ie r . A r m a n d in e c o u c h a m ô m e le s o i r v e n u d a n s l a c h a m b r e d e sa c o m p a g n e . L e l e n d e m a in , e ll e s ’a p e r ç u t d e la d i s p a r itio n d e s a m o n tr e e n n i c k e l, d ’u n e v a l e u r d e 3 5 f r . E lle c r u t à u n e p l a i s a n t e r ie ; m a is n e v o y a n t r e p a r a î t r e n i la m o n tr e , n i la v o le u s e s u p p o s é e , e lle s e d é c id a à p o r t e r p la in te . L ’i n c u l p é e ,r e c h e r c h é e , n e ta r d a p a s à ê t r e r e tr o u v é e d a n s C r e il. E lle é t a i t e n . p o sse ssio n d e la m o n tr e , q u i f u t r e s t it u é e à la p r o p r ié t a i r e . C la r a B a u d a r d e s t u n e f e m m e d e m œ u r s lé g è r e s , h a b i t a n t C r e il d e p u is q u e lq u e s m o is s e u le m e n t. P o n t-S a ÎD t^ Ilfa x e D c c * C o n fé r e n c e a g r ic o le s u r les E n g r a is c h im iq u e s . L a C o n fé re n c e q u e n o u s a v io n s a n n o n c é e , a e u lie u d im a n c h e d e r n i e r , à d e u x h e u r e s e t d e m ie , d a n s la s a lle d u T h é â tr e . D eu x c e n t s p e r s o n n e s e n v i r o n a s s is ta ie n t à c e tte r é u n i o n , d a n s la q u e l l e n o u s a v o n s re m a r q u é p lu s ie u r s M a ire s d e s lo c a lité s v o i s in e s , d e n o m b r e u x c u l tiv a te u r s d e P o n t, V e r n e u il, F l e u r i n e s , P o n t p o i n t, S a r r o n , V il le n e u v e , R o b e r v a l, le s A g e u x , B e a u r e p a ir e , e t c ., p r e s q u e to u s le s I n s ti t u t e u r s d u c a n to n e t q u e lq u e s - u n s d u c a n to n d e L ia n c c n r t. M. B e r d in , m a i r e d e P o n t , c o n s e ille r g é n é r a l, q u i p r é s i d a it , a s o u h a ité la b ie n v e n u e a u C o n f é r e n c ie r ; p u is , il a r e m e r c ié H . le P r é f e t d o l’O ise d o lu i a v o i r d o n n é la p r é s i d e n c e d e c e tte r é u n i o n , e t to u te s le s p e r s o n n e s p r é s e n te s . M a ire s , A d jo in ts , A g ric u l t e u r s e t I n s t it u t e u r s , d ’a v o i r r é p o n d u e n a u s s i g r a n d n o m b r e à l 'a p p e l q u i l e u r a v a i t é té fa it. A s o n to u r , H . A le x a n d r e , l e j e u n e p r o fe s s e u r d ’a g r ic u l t u r e d e n o t r e d é p a r te m e n t, a p ria l a p a r o le , e t , p e n d a n t u n e h e u r e , a d é v e lo p p é , d ’u n e fa ç o n s a v a n te , le s s e r v ic e s q u e p e u v e n t r e n d r e le s e n g r a is c h im iq u e s Elle avait prononcé cette phrase avec an tel accent de vérité que Brigard n’hésita plus à lui dévoiler tous les secrets qu’il avait découveris pendant la nuit : — Une nuit que je ne n'oublierai pas, ma chère! Cela m'a creusé... H but un second verre de cognac; et Angélina le remplit encore; en lui échauffant la tète, elle le ferait éucore mieux parler, pensa t-elle. Maintenant, il racontait i’incident du — Comprenez-vous cela? Un aussi simple hasard me livrant Claude Garancierl Quelle audace 1 Pêcher sa petite, friture comme un bon boprgeois, quand on. a a répondre d'un assassinat! 11 est vrai que Serge Horain et Claude Garancier OQt l'espoir de prouver leur innocence. Angélina tressaillit Brigard conlinnalt: — E h oui, ma chère, ils ottt certains soup çons... sur certaine personne... — Sur qui? fltpelte en tremblant. — Ils ne Font pas nommée. ‘ — Brigard» ne meniez pas! o < • — Ma parole! Lorsque les.deux amie se sont rencontrés sur le chemin de halage, et que moi Je les écooUis» h plat ventre contre U berge, J'al bien entendu toutes leurs paro les. Ils soupçonnent uae.femrae; mais iis u'oscralent pas l'aecuser, car il y a des preuves absolues que cette femme n'était pas à Paris, an moment où le crime a été commis... Et il ajouta d'on ton canaille: — Un alibi, quoi I Angéliaa respira; et même, voyant rira Brigard, elle fit comme lai. — Donc, reprit il, mes denx gailtardsen étalent là de leur, converpaiion, et Serge disait t « J'al besoUi de reparler de ceUi «veo Le D im a n c h e 5 J u i n , G r a n d e F ê te d e s A r c h e r s . A n e u f h e u r e s d u m a l i n . — R é c e p tio n d e s C o m p a g n ie s d ’A rc d e F le u r in e s e t d e L i a n c o u r t p a r l a 1'* e t l a 2* C o m p a g n ie d ’A rc d e P o n t , a v e c le c o n c o u r s d e l a S o c ié té M u si c a le , d e la S o c ié té d e G y m n a s tiq u e la P a t r i o t e , e t d s la C o m p a g n ie d e S a p e u r s P o m p ie r s . A d ix h e u r e s . — V in d ’h o n n e u r , o f f e r t & l ’H ô le l- d e - V ilie , p a r l a M u n ic ip a lité , à to u te s le s S o c ié té s . A o n z e h e u r e s . — B a n q u e t s o u s la T e n te d e M . N a n th ie r . A u n e h e u r e d u s o i r . — P a r ti e s d e J a r d i n e n t r e le s C o m p a g n ie s d e F l e u r i n e s e t d e L ia n c o u r t, e t le s d e u x C o m p a g n ie s d ’A rc d e P o n t. ' P e n d a n t c e s P a r t i e s d e J a r d i n , l a S o c ié té m u s ic a le d o n n e r a , à p a r t i r d e d e u x h e u r e s , u n C o n c e r t s u r la P l a c e d ’A rm e s , e t la P a t r i o t e e x é c u te r a d i v e r s E x e rc ic e s . A d e u x h e u r e s e t d e m ie , s u r l a P la c e d ’A rm e s . — L e J e u d e C ise a u x , p o u r le s P e t i te s F ille s . A tr o i s h e u r e s e t d e m i e . — L ’O is e a u c a p tif , p o u r le s G a rç o n s . A q u a t r e h e u r e s . ~ T i r d ’O is e a n x à l a P e r c h e , a u C h a m p - d e - M a r s . P r ix o ffe rts p a r la V ille d e P o n t a u x C o m p a g n ie s d ’A rc e t a u x C h e v a lie r s f a i s a n t p a r t i e d ’u n e C om p a g n ie . L e L u n d i d e l a P e n te c ô te , A d e u x h e u r e s d e l 'a p r è s - m id i. — T i r & l ’A n g u ille , s u r l’O is e , a v e c C o u rs e a u x C a n a r d s . P e n d a n t c e s J e u x , la M u s iq u e j o u e r a l e s p lu s b e a u x M o rc e a u x d e s o n R é p e r to ir e . A tr o is h e u r e s e t d e m ie , s o u s l a T e n te . — B al (i’Ë n f a n ts , s o u s la d i r e c tio n d e M . N a n t h i e r , a v e c u n o r c h e s tr e d e c h o ix . (L e s E n f a n t s p o u r r o n t ê t r e tr a v e s t is ) . Le M a r d i 7 J u i n , A d e n x h e u r e s . — G r a n d e T o m b o la c o m p o s é e d e 7 5 L o ts, d o n t le p r e m ie r s e r a u n e M a g n ifiq u e P e n d u l e e t le d e r n i e r u n O b je t d ’a r t. C o n c e r t, a v e c le c o n c o u r s d o l a M u s iq u e e t d e la S o c ié té ly r i q u e . E t le M e r c re d i, j o u r d e la F o ir e , A d e u x h e u re s . — G ra n d e P a r tie d e B o u le s . P e n d a n t to u s le s J o u r s d e la F ê t e , J e u x d iv e r s , P a n o ra m a s » C h e v a u x d e b o is. B a la n ç o ir e s , C ir q u e s , J e u x d e T o u p ie e i d e B illa r d , T i r , e t c . — I l lu m in a t i o n d e la v ille . B a l d e N u it, s o u s u n e T e n te \ d é c o r é e e t b r i l l a m m e n t illu m in é e . N o t a . — D e s P r i x se ro n t'a ffe c té s a u x d ifl^ é r e n ts J e u x . — Les J e u x se ro n t a n n o n c é s p a r d e s S a lv e s d ’a r t i l le r i e . Thérèse e t avec Julienne, • lorsque Zéphirin est arrivé. — Zéphirin 1 — Oui, ma chère ! Zépbirin qui va et vient tranquillement, qui porte, à Serge et à Claude, leur nourriture, leurs journaux. Décidément, si nous ne venons pas eh aide à la police, Ja mais on ne les arrêterait. Donc, Zéphirin arrivait le prem ier; quand il a vu les deux jeunesgens, ilacriétroisfois, et, presque aus sitôt mademoiselle Thérèse Garancier est apparue e t s’est jetée dans les bras de Seige Horain .. Un spectacle attendrissant 1 Angélina eu besoin de toute son énergie pour ne pas laisser voir sa colère jalouse, serge croyait donc bien cerulnement à l’inno cence de Thérèse ?... (A suivre). v iiy envoi gratis et ,«ILi franco P e t i t L i v r e contenant pids ^ de 50 recettes e t prix courant des'tnatières pour faire soi-même & 8 sous le litre et sans frais d’ustensiles, cidre de pomihèe sèches, Vins de raisins secs, bière, cognac, eau-de-vie marc, absinthe, rhum, kfrsch, .sirop de groseilles, oigeet, grenadine, liqueurs chartreuse, raspail, anisette, mmithe, cassis, e i' q u a n t i té s d'autres s o r te s d e Nqueuri e t iirbpe. 50 pour 100 économie, pius bouquets pour tous les vins. Produits cour les maladies des vins et poop la clarifirellon de tons liquides. Ecrire B r ia t t e et C*, négociant &Prémont'(Aisne). Joindre u n timbre pour envoi franco. d e 1a r t i c l e s e s L e s com pti san s a u c u n e 14 v o la n ts . L e s o p p o sa L ’o n n o u s ] le s q u e s tio n s p o in t l e c o m i m uoe. . T a n t m ie u ; v é n i e n t ; n o ti s io n , il n e pe occupe, à l a ( d ’u n e f a ç o n l des s e n t i m e n n ’a u r a it q u ’à m u n ic ip a l si m e ille u r e r é v e illa n te s afi l ’a r r o n d i s s e n j o m Q u é b e c , q u e l e c b lffre d e s im p o r ta tio n s d e s m a r c h a n d is e s fr a n ç a is e s r e s te s ta tio n n a ir e a u C a n a d a , e t q u e le s im p o r ta tio n s a lle m a n d e s , b e lg e s e t s u is s e s s 'v d é v e lo p p e n t c h a q u e a n n é e d a n s u n e g r a n d e p r o g re s s io n . L e s c o n tr e f a ç o n s é t r a n g è r e s p r e n n e n t a in s i s u r c e m a r c h é la p la c e d e n o tr e c o m m e rc e e t d e n o tr e in d u s tr ie . C e tte a to n ie d e l a fo rc e e x p a n s iv e d e la F r a n c e , d a n s u n p a y s q u i s e ra tta c h e A e lle p a r d e s lie n s s é c u la ir e s , e t d o n t u n e g r a n d e p a r t i e d e la p o p u la tio n p a r l e n o tr e la n g u e , e s t r é e lle m e n t d e s p lu s fA cheuse. N o tr e C o n su l g é n é r a l a t t r i b u e A n o tr e V e rb e rle . m o lle s s e A r e c h e r c h e r l a c lie n tè le e t A l'a b O n n o u s p r i e d 'i n s é r e r l a l e t t r e s u i v a n te : s e n c e d e c o m m is v o y a g e u rs , u n e d e s ca u se s d e n o tr e i n f é r io r ité . v U o n sie u r l e R é d a c t e u r d u J o u m a f d e S e n li* L e C a n a d a , q u i a c o n s tr u it d ’H a lifa x A L e h a s a rd fa it to m b e r so u s m es y e u x u n V a n c o u v e r l a p lu s g r a n d e v o ie fe r r é e d u n u m é r o d u j o u r n a l l ’E c h o d e l ’O U e, d u m o n d e , a u n c o u r a n t d ’im m ig r a tio n q u i 43 m a i, j o u r n a l A p e u p r è s in c o n n u & V e rs 'a c c e n tu e d e j o u r o n j o u r ; s o n m o u v e m e n t b e r ie , r e n d a n t c o m p te d e s é le c tio n s d e V e r c o m m e rc ia l a tte in t u n m illia r d e t a u g m e n te b e r ie p o u r l e d e u x iè m e t o u r d e s c r u t i n . c h a q u e a n n é e a u f u r e t A m e s u r e q u e se s P o u r q u o i n ’a - t - o n p a s c o m m e n c é p a r le im m e n s e s s o litu d e s s e m e tte n t e n v a le u r . p r e m ie r 7 E s t- c e p a r c e q u e 9 r é p u b lic a in s Ce n 'e s t d o n c p a s s e u le m e n t l e p ré s e n t é ta ie n t p a s s é s à u n e f o r t e m a jo r ité s u r q u ’i l c o n v ie n t d e s a u v e g a r d e r , m a is I a v e n ir 4 0 é lu s 7 P r o b a b l e m e n t . q u 'il f a u t a s s u r e r , s i la F r a n c e n e v e u t pai L 'o n a n n o a c e p o m p e u s e m e n t l ’a r r i v é e d e s e v o ir é lim in e r d 'u n m a r c h é d o n t l'im p o r H . d e M a in d r e v ille e n t è t e d e s 6 d e r n ie r s ta n c e f u tu r e a fr a p p é to u s le s é c o n o m is te s e é lu s , c o m m e c o n s e r v a te u r m o d é r é ; .il y a to u s le s v o y a g e u rs . d o n c d e s c o n s e r v a te u r s im m o d é r é s . E n s u ite P a r s u ite d e s s o u v e n ir s q u e n o u s av o n s v ie n t , d 'a p r è s l 'a r ti c l e , M . P a y e n . P o u r q u o i la is s é s d a n s c e p a y s , p a r le s a ffin ité s m u lti le d é n o m m e r a i n s i ? E s t- c e p a r c e q u 'i l n 'e s t p le s q iii r é s u lte n t d e l a c o m m u n a u té d ’o r i p a s c lé r ic a l q u 'o n l’a p p e lle P a y e n , p u is q u e g in e , d e la n g u e , d e r e lig io n , n o u s y so m m es s o n n o m e s t P a y e u r , a n c i e n i n s t i tu t e u r 7 L 'o n p la c é s c e p e n d a n t d a n s d e s c o n d itio n s favo a jo u te : le j e u n e o fD c ie r d e 3 0 a n s , d é m is ra b le s p o u r y tr o u v e r d e s d é b o u c h é s s é r ie u x . ^ o n n a i r e , A q u i o n r e p r o c h a i t s o n je u n e N é a n m o in s n o tr e in ffu e n c e y d é c r o ît a lo rs Age, s a u r a , n o u s l ’e s p é r o n s , lo r s q u e le s c ir q tie c e lle s d e l ’A lle m a g n e , d u la B e lg iq u e e t c o n s ta n c e s l 'e x ig e r o n t , p r e n d r e l a d é fe n s e d e l a S u is s e s 'y d é v e lo p p e n t. d u f o r t c o m m e d u f a ib le . L e ^ i f f r e to ta l d e s im p o r ta tio n s a n n u e lle s E n l i s a n t c e tte ti r a d e , l’o n s e p r e n d A a u C an ad a est d e 5 0 0 m illio n s ; la F ra n c e y r é v e r . Q u ’e s t- c e q u e c e la v e u t b ie n d i r e : la ffg u re s e u le m e n t p o u r m il l i o n s , u n q u a d é fe n s e d u f o r t c o m m e d u f a ib le ? C 'e s t d o n c ra n tiè m e / q u ’il y a u r a b a t a i ll e ? e t d a n s c e c a s u n b o n P a r m i le s m a r c h a n d is e s é tr a n g è r e s q u 'o n c h e v a lie r d o i t s e t o u r n e r d u c é té d u p lu s y c o n so m m e c h a q u e a n n é e , o n p e u t c ite r , a u fa ib le s e u le m e n t. M oi q n i n e v o is p a s d ’a u s s i n o m b re d e c e lle s o ù la s u p r é m a tie f ra n ç a is e lo in , j e n e v o is q u e le s i n t é r ê t s d e la co m e s t in c o n te s ta b le : m u n e A d é fe n d re , e t d a n s ce cas u n bon L e s la in a g e s , 5 6 m illio n s ; le s so ie rie s , c o n s e ille r d o it s u i v r e l ’in s p ir a t io n d e sa 45 m illio n s ; le s g a n ts , 4 m illio n s ; le s p ro c o n s c ie n c e . d u its p h a r m a c e u tiq u e s , 6 m illio n s ; les L ’o n a j o u t e q u e l a m u n ic ip a lité s e r e tr o u m o d e s, 6 m illio n s ; l a b ijo u te r ie , 2 m illio n s ; v e r a l a m ê m e , s a u f 5 o u 6 o p p o s a n ts ; o p p o la b r o d e r ie , 4 m illio n ; le s a r tic le s d e f a n s a n ts A q u i , A q u o i ? C e lu i q u i p a r a i t s i b ie n ta is ie e t d e to ile tte , 44 m illio n s , e tc . r e n s e ig n é d e v r a i t n o u s le d ir e . M. le G o u v e r n e u r d o S a in t- P ie r r e e t M iE s t-c e o p p o s a n ts a u m a i r e r é p u b lic a in , A q u e io n a p e n s é q u e n o tr e c o lo n ie , s i ra p p r o l a R é p u b liq u e ? c h é e d u C a n a d a , a v e c le q u e l e lle a d e s E s t-c e p lu t ô t o p p o s a n ts A la b o n n e m a r c h e c o m m u n ic a tio n s f ié q u e n le s e t fa c ile s, n o u s d e s a ffa ire s d e l a c o m m u n e ? D a n s c e d e r n ie r o ff r ir a it le s m o y e n s d 'y d é v e lo p p e r n o s c a s , c e s e r a i t l ’a n c ie n s y s tè m e q u i a s i m a l affa ire s e n y i n s titu a n t u n g r a n d e n tr e p ô t r é u s s i à ses d e u x a u t e u r s . d e s m a r c h a n d is e s fra n ç a is e s . I l n e m e p a r a î t p a s i n u t i l e d e r e p r o d u ir e C h a q u e a n n é e , d e n o m b r e u x n a v ir e s le s d e u x p r e m ie r s v o te s d u n o u v e a u C o n se il, p a r le n t s u r te s t d e F r a n c e p o u r a l l e r c h e r q u i p r o u v e r o n t s i le s p r é v is io n s d e l'a u t e u r c h e r la m o ru e A S a i n t - P i e r r e ; ils ja u g e n t d e 1 a r t ic le s e s o n t r é a lis é e s . p lu s d e 2 7 .0 0 0 to n n e a u x e t ils s e r a ie n t h e u R ifu n to n d u C o n s e il m u n i c i p a l de V e rb erie . re u x d e p r e n d r e d u f r e t à m o in s d e 3 0 f r . le to n n e a u . D e S a i n t - P i e r r e a u x p o r ts d u litto N o m in a tio n d u m a i r e , 4 5 m a i. r a l c a n a d ie n , le f r e t s e r a it d e 40 f r , a u p lu s , M . C o rb o n , r é p u b l i c a in , m a ir e d e p u is s o it u n to ta l d e 4 0 f r . la to n n e , ta n d is q u 'il 8 a n s , a é té r é é l u p a r 42 v o i x s u r t S v o la n ts , a tte in t 5 0 f r . a u m o in s p a r le t r a je t d ire c t, e t t i n ’a p a s p r i s p a r t a u v o t e ; d o n c 3 o p p o e t il f a u t a jo u te r q u e le m a té rie l n a v a l f r a n s a n ts A s a n o m in a tio n . ç a is c o n s a c r é A c e tte n a v ig a tio n d ir e c te e s t it^ u m o n d u C o n s e il m u n i c i p a l d u S 3 m a i. d ’u n e g r a n d e fa ib le s s e n u m é r iq u e . 11 e s t A p e n s e r q u e le s fr a is d e m a n ip u la tio n e t L e s c o m p te s d u M a ire o n t é té a p p r o u v é s d 'e n tr e p ô t A S a i n t - P i e r r e n e d é p a s s e r a ie n t s a n s a u c u n e r é c la m a tio n p a r 43 v o ix s u r p a s 5 f r . d e la to n n e . 44 v o ta n ts . M ais il e s t u n p o in t p lu s in té r e s s a n t e n L e s o p p o s a n ts s e r é d u i s e n t A u n . c o r e .X ’e s t q u 'o n p e q t d e m a n d e r a u x co lo n s L ’o n n o u s p r o m e t d e r e v e n i r p lu s ta rd s u r fr d n ç a is d e S a i n t - P i e i r é d u f o rm e r u n n o y a u le s q u e s tio n s q u i i n t é r e s s e n t a u p lu s h a u t d ^ v o y a g e s e t d e r e p r é s e n ta n ts a u c o u p o in t l e c o m m e rc e e t le s a ffa ire s d e la co m i 4 e s ^ ù t s e t d e s h a b itu d e s c a n a d ie n n e s , m une. p a r l a n t l’a n g la is , e t e n ra p p o r ts fr é q u e n ts . T a n t m ie n x ; n o u s n 'y v o y o n s p a s d ’in c o n a v e c la c ô te . L e u rs f r a is d e vo y ag e s e r a ie n t v é n ie n t ; n o t r e c o m m u n e p r e n a n t d e l ’e x te n fa ib le s , é ta n t d o n n é le v o is in a g e d e S a i n t s io n , il n e p e u t n o u s d é p l a ir e q u e l ’o n s 'e n P i e r r e e t d 'H a lifa x , tê te d e lig n e d u g ra n d o c c u p e , A l a c o n d itio n c e p e n d a n t q u e c e s o it c h e m in d e f e r d u D o m in io n . L e s p rin c ip a le s d 'u n e f a ç o n lo y a le , e t s a n s ê tr e g u id é p a r m a is o n s d e S a i n t - P i e r r e c o n s e n te n t A r e des s e n t i m e n t s i n a v o u a b le s ; to u t le m o n d e p r é s e n te r le s in d u s tr ie s fr a n ç a is e s p o u r le n ’a u r a it q u ’A y g a g n e r . L e v o le d u C o n seil p la c e m e n t d e le u r s p r o d u its a u C a n a d a , s o it m u n ic ip a l s u r le s c o m p te s d u m a ir e e s t la q u e le s m a r c h a n d is e s a r r i v e n t d ii'e c te m e n t, m e ille u r e r ^ o n s e a u x in s i n u a ti o n s m a l o u q u ’e lle s p a s s e n t p a r l'e n tr e p ô t d e u o tr e v e illa n te s a flic h é e s c o n t r e lu i d a n s to u t c o lo n ie . l ’a iT o o d ls s e m e o t. L a C h a m b r e d e C o m m e rc e d e S a in t- P ie r r e Un abonné. s 'e s t m o n tr é e tr è s f a v o ra b le A c e tte co m b i n a is o n , e t e lle a p a tr o n n é 4 9 h o n o ra b le s V e p n e u il. c o m m e rç a n ts d e c e tte c o lo n ie c o m m e s u s T o h b o la d e 4 8 9 3 . c e p tib le s d e r e p r é s e n te r d e s m a is o n s m é tro L i s t e d e s n u m é r o s g a g n a n ts . p o lita in e s a u C a n a d a e t d a n s to u t le D o m i n io n . 45 — 2 3 — 4 5 — 7 8 — 8 4 — 9 8 — 444 — E n p o r ta n t le p r o je t, re c o m m a n d é p a r 428 — 4 3 3 — 4 4 6 - 4 8 0 — 2 4 2 — 2 3 0 — 290 — 320 — 333 — 342 — 384 — 395 — . le S o u s - S e c r é ta ir e d 'E la t d e s C o lo n ie s, A 400 — 4 3 2 — 4 6 5 — 4 8 3 — 493 — 4 96 — la c o n n a is s a n c e d e s in d u s tr ie ls e t c o m m e rm e r ç a n ls d e l’O ise , la C h a m b re d e Com 497 — 5 3 2 — 5 6 3 — 5 7 4 - 5 8 3 — 6 25 — m e rc e d e B e a u v a is s e ti e n t A l e u r d is p o s i 632 — 6 5 2 — 6 5 4 - 6 5 9 - 0 6 6 — 6 80 — 694 — 7 3 0 — 7 3 8 — 7 5 4 — 7 6 3 — 7 9 5 — tio n p o u r a d r e s s e r A ce u x q u i e n fe ro n t la 828 — 861 — 8 8 5 — 9 0 0 — 9 4 3 — 9 1 5 — d e m a n d e a u P r é s id e n t la lis te d e s n é g o c ia n ts p a tr o n n é s p a r la C h a m b re d e S a i n t - P i e r r e , 9 2 3 - 9 8 5 — 4 0 3 2 — 4 0 5 5 - 4 0 5 9 — 4078 e t a u x q u e ls ils p o u r r a ie n t s 'a d r e s s e r p o u r — 4 0 8 9 — 4 4 0 2 - 4 4 3 9 — 44 43 — 4 4 8 4 — le s r e p r é s e n te r , d o l’a u t r e c ô té d e l’A tla n 4230 — 4 2 7 3 — 4 2 8 6 - 4291 — 4 3 5 4 — 4355 tiq u e . U n e x e m p la ir e d u ra p p o r t d e M . le — 4 4 4 4 — 4 4 2 6 — 4427 — 4434 — 4 473 — G o u v e r n e u r d e S a i n t - P i e r r e e t M iq u elo n 4 4 7 5 — 4 4 8 4 — 4 4 8 7 — 4 490 — 4 5 0 6 — 4 54 2 p o u r r a it m ê m e le u r ê t r e c o m m u n iq u é , s’ils — 4622 — 4553 — 4555 — 4583 - 4584 d é s ir a ie n t c e tte c o m m u n ic a tio n . 4592 — 4 6 0 5 — 4 6 4 6 — 4 6 5 0 - 4743 - 4728 — 4734 — 4 7 3 2 — 4794 — 4 8 2 7 4 8 30 — 4 833 — 4 8 3 6 — 4 8 42 — 4 8 7 8 — 4 8 9 7 — 4 927 — 4 9 3 7 — 4 9 3 9 — 4 9 6 0 — 4 9 7 2 — 4 979 — 4982. S a in t-V a a s M e s -M e llo * U n o D v rio r c a r r i e r , d a 00 m d e B re to n , a v a it (OQchô 4 0 f r . d e p a v e !e 8 t c o n r a o t, e t a v a it n o u é c e t a r g e n t <fana s o n m o u c h o ir. A p rè s a v o i r f a i t q u e lq u e s c o n s o m m a tio n s e t a c q u is itio n s , i l m i r e s t a i t d e 3 0 & 3 4 fr. R e n tr é c h e x lu i , i l c a c h a s o n m o u c h o ir so u s la to itu r e d ’u n p e t i t b & lim o n t s itu é d a n s u n e c o u r c o m m u n e . A y a n t e u b e s o in le le n d e m a in d e r e c o u r i r à s a c a c h e tte , il n e t r o u v a p lu s le p r é c ie u a m o u c h o ir , t e v o le u r e s t in c o n n u . C O U P S D E C IS E A U X R e la tio n s c o m m e rc ia le s e n tre la F r a n c e e t le C a n a d a . ,M . le S o u s - S e c r é ta i r e d 'E l a t d e s C o lo n ies v ie n t d e c o m m u n iq u e r à la C h a m b re d e C o m m e rc e d e D e a u v a is u n e x c e lle n t r a p p o r t d e M. le G o u v e r n e u r d e s li e s S a i n t - P i e r r e e t M iq u e lo n , s u r le s r e l a t io n s c o m m e rc ia le s e n tr e la F r a n c e e t la C a n a d a . I l e n r é s u lt e , a in s i d ’a i l le u r s q u e d e s r a p p o rts o ffic ie ls d u C o n s u l g é n é r a l d e F r a n c e A d a m n é ; r e n d e z - m o i l e s e r v ic e d e p r e n d r e ici m o n lie u e t p la c e ; s i j e s o rs , g r â c e A v o u s , j e v o u s d o n n e r a i 50 fra n c s . L e m a r c h é f u t a g ré é p a r le v a g a b o n d q n i p r itfd e s n o te s c o m p lè te s s u r l 'é t a t c iv il d e so n c o - d é le n u , le s m iis q u i lu i é ta ie n t r e p r o c h é s , p o u r p o u v o ir r é p o n d r e a v e c a s s u r a n c e d e v a n t le m a g is ta t in s tr u c te u r . T ro is jo u r s a p r è s , B e o te l b é n é f lc ia it d 'u n n o n -lie u , m a is u n m a n d a t d e d é p ô t é ta it d é c e r n é c o n tr e W in th e n . L e s o ir, A l’a p p e l d e s lib é ré s , W in th e n r é p o n d it a u n o m d e B e u te l e t s 'e n a lla , tr a n q u ille , s o u s l'œ il v ig ila n t d e s g a rd ie n s q u i le la is s è r e n t p a s s e r. L ’a u tr e , p r is p o u r le ta ille u r , f u t e n v o y é A H azas. B ie n tô t c e p e n d a n t, la s u p e r c h e r ie fu t d é c o u v e r te , e t B e u te l, se u l d é te n u , f a t d é f é r é d e v a n t l a p o lic e c o r r e c tio n n e lle , so u s p r é v e n tio n d e c o m p lic ité d 'é v a s io n . L e s j u g e s d e v a n t l e s q u e ls il c o m p a r a is s a it n e l ’o n t c o n d a m n é q u'A q u in z e jo u r s d e p r is o n . A fo n s fp u c u s e h is to iv e . L e < B o a r d o f T r a d e > d e L o n d r e s v ie n t d e p u b lie r la s ta tis tiq u e , p o u r 4 894, d u n o m b r e d e p e r s o n n e s tu é e s e t b le s s é e s s u r le r é s e a u d e s c h e m in s d e f e r a n g la is . I l y a e u 4 .2 4 7 tu é s e t 4 4 .5 0 0 b le ssé s. C h iffre tr è s c o n s id é ra b le . M ais il e s t r a s s u r a n t , n é a n m o in s , p o u r le s v o y a g e u rs. D e c e s 4 .2 4 7 m o r ts , 47 s e u le m e n t, s o it 5 v o y a g e u r s e t 42 e m p lo y é s d e c h e m in d e f e r , o n t é té v ic tim e s d ’a c c id e n ts d o c h e m in d e fe r p r o p r e m e n t d its . 5 3 7 d e s m o r ts é ta ie n t d e s e m p lo y é s d e c h e m in d e fe r, t u é s e n a c c o u p la n t d e s w a g o n s, e n r e m is a n t d e s tr a i n s e t e n s e liv r a n t A d 'a n tr e s b e so g n e s p é r ille u s e s ; il y a e u 87 s u ic id e s d e v o y a g e u r s q u i s e s o n t j e té s s u r la v o ie p o u r s e tu e r v o lo n ta ir e m e n t ; e t 3 06 p e r s o n n e s s e s o n t f a it t u e r p a r im p rn d e n c e f r a n c h is s a n t d e s v o ie s, a u x p a ssa g e s A n iv e a u , o u e n d e s c e n d a n t d e v o itu r e a v a n t l’a r r ê t c o m p le t d e s tr a in s . I l r é s u lte d e c e s c h iffre s q u e l e m é tie r d e s m a lh e u r e u x e m p lo y é s s u r le s v o ie s d e s r a i l w a y s n 'a p a s c e ssé d ’ê t r e d é p lo r a b le m e n t d a n g e r e u x , m a is q u e le c h e m in d e f e r e s t, io u r le s v o y a g e u rs , le m o y e n le p lu s s û r d e o co m o tio n q u i e x is te . t P o m m e s d e t e r r e n o u v e lle s * R ie n n ’e s t p l u s fa c ile q u e d e f a ire d e s p r im e u r s , d e s p o m m e s d e te r r e n o u v e lle s. V oici ta r e c e tte . V o u s c h o isisse z p a rm i le s v ie ille s p o m m e s d é t e r r e d e l'a n d e r n ie r le s p lu s p e tite s : v o u s le s m e tte z s u r u n lin g e s a u p o u d r é d e s e l g r is , e t, A l'a id e d 'u n a u tr e lin g e te n u A la m a in , v o u s le s ro u le z lA d e s s u s . A u b o u t d ’u n in s ta n t, l a p e a u e s t t r è s d é lic a te m e n t ra c lé e e t il n e v o u s re s te p lu s q u ’A te s p a s s e r d a n s l'e a u p o u r a v o ir d e s p o m m e s d e te r r e n o u v e lle s ... e n a p p a re n c e . l'hectolitre. lei lOOkil. l’hectolitre. k i " q. 2* q. 1” q. 2*q. l**q. 2*q. 5- 24 60 23 60 (.1 65 11 72 13 39 22 12 18 40 19 K4 19 18 18 39 33 38 17 . . 14 50 îT 38 37 ii !! 35 32 37 12 76 18 60 42 14 .. 12 70 il !. 34 . Nanteoll . P ool-8t-H n „ BeaavaU........ G le r M D t. . . . & « 9 i 4 g a e .. . M evy................ I jr t p i ................ N e y e i'* » .* * . Marque deCorbell. 60 4 Marque de ch o ix .. 67 Pretnières mtrquec 66 Bonnes marques. . 64 Marques ordinaires 63 69 69 57 65 54 .33 36 56 34 33 26 41 23 60 ‘0 23 .. 22 67 17 48 (6 63 .. 23 65 21 03 U 23 60 24 . 23 . . 21 . 23 73 i i ' : : 10 60 M 48 15 70 11 16 30 12 12 16 15 17 60 12 16 . . 12 60 14 90 43 .. 43 80 12 .. 13 . 12 46 14 28 50 43 42 12 . 18 62 62 63 64 76 4 39 03 39 75 37 37 36 33 34 57 67 30 03 ^ •M M U 25 26 75 .. 89 85 35 C o u r a n t....., . . Prochain.......... . Juillet-Août. . . . 4 dernier.......... . 14 14 14 16 100 hO. 25414 26 14 75 15 75 . . 34 40 34 26 .33 34 35 26 80 3.% 86 . . 84 .. ,, Disponible Gourant Prochain JnUlet-AoAt.... 4 dentier 66 63 55 66 67 21 18 16 16 100 kfl. ..4 2 ! . . 18 75 . . 25 16 25 25 .. 50 AM O O M .. 60 .. .. COLXA 80 B o u r s e d e P a r i s d | i 2 S M a i. 9 8 »» 0/0 a m o r t i s s a b l e 0/0 n o u v e a u ......... 98 20 — S p. — 3 p. S ’a d r e s s e r A M. D r iv iè r e , A g e n t-G é n é ra l d e s C o m p a g n ie s Le P h é n i x ( I n c e n d i e e l V ie ), e t d o L a P r é s e r v a tr ic e (A c c id e n ts ) , A S e n lis . P R O T O G R A P I I I E IV O U V F L X E 6 , Hue S a in t-P ie rr e , 6 . M. E. DE R O ZY C K I f a it s a v o ir q u 'i l n ’a >as d e s u c c u rs a le p o u r la p o s e , à S e n l i s ; il n y ite le s p e r s o n n e s q u i d é s ir e n t u n t r a v a i l so ig n é e t d u r a b le A s ’a d r e s s e r d i r e c te m e n t T o u jo u rs a u c o u r a n t d e s p r o c é d é s n o u v e a u x , d e b e a u c o u p s u p é r i e u r s a u x a n c ie n s , c l e m p lo y a n t le s m e ille u r s p r o d u its , M . E . d e R ozycki l iv r e A s e s C lie n ts d 'a u s s i j o lie s ih o to g ra p liie s q u e c e lle s q u ’il a e n v o y é e s A 'E x p o sitio n i n te r n a tio n a le ( p a l a i s d n C h a m p de U a r s t, e t q u i o n t é té a d m is e s A lig u r e r d a n s la s a lle p r in c ip a le . Plus tie VèteiHcnts en caoutchouc IM P E R M E A B IL IS A T IO N N O U V E L L E p r é s e r v a n t d e la p lu ie e t n ’a r r ê t a n t p a s la tr a n s p i r a t i o n , a p p lic a b le A to u s tis s u s e n p iè c e o u v ô te m e n ts fa its , p ro c é d é s p é c ia l e t s a n s a n a lo g u e , N u a n c e s in v a r ié e s . P r é s e r v a ti f des M ites e l de l'J l u m i d i t é . PRIX INSIGNIFIANT R é e x p é d itio n d a n s le s tr o is j o u r s . O -U R IS T E L i I m p e r m ë a b ilis a tc u r b r e v e té , P A ltlS , 3 , H ue C la u z e l, P A IU S N . B . — P o u r le s p e r s o n n e s d é s i r a n t o p é re i e lle s-m ê m e s , o n e n v o ie c o n tr e m a n d a t d e d i x fr a n c s la m é th o d e e t le p r o d u i t p o u r im p e rm é a b ilis e r s o i- m ê m e , s a n s d iffic u lté , ilu s ie u rs v ê te m e n ts o u 5 0 m è tr e s d e tis s u a u ù r e t à m e s u r e d e s b e s o in s . O n n o p e u t p a s e x p é d ie r m o in s d e c e p r o d u it. SOCIÉTÉ DE TODLODSË A s s u r a n c e M u tu e lle E te n d u e 40 jm o 2 » c o n t r e l a G r é lc , _ _ A to u te 49 48 47 42 ..4 75 76 75 .. 49 48 .. .. .. .. ., LUI leOUL IMkfl. 2 5 4 ., . . 45 . . 4 . . . . 23 . . 4 5 ................... 25 65 60 45 ............... • 766 6 . . 45 60 46 . . ................ 47 . . 47 60 \ la F ra n c e , la p lu s a n c ie n n e e l l a p lu s p u is s a n te , d is p o s a n t d ’u n f o n d s d e r é s e r v e im p o r ta n t. M . B o u r g o i u , A g e n t g é n é r a l à C ré p y . eTraoUB B*m l tU p la u » lempUcânl le M e u 8UU dooleur ni ebOto du poil. — Ouérison rtplda e l lOrfl des B sM eH e s, W » n tu r e a , k l o u t s , U olcU es. V esalcon s Eugorge' ia ieo> sd egl«nit)es. S u fos, Ep s m n s , «u. La c o n so m m a tio n d e s b o n s m é d ic a m e n ts a u g m e n te to u jo u rs , a lo rs q u ’u n o fo u le d 'a u tre s d is p a r a is s e n t; c ’e s t c e q u i a r r iv e p o u r le S i r o p d e R a i f o r t lo n d d e G r i h a u l t e t C ‘*, q u i a é té a d o p té p a r la C o m m issio n olffcielle d u C odex c o m m e s iro p a n lis c o r b u tiq u e ; p o u r le s j e u n e s e n f a n ts p riv é s d 'a p p é tit, p â le s , d é lic a ts, ly m p a tiiiq u c s , s u je ts a u x é ru p tio n s d e la tê te , d e la p e a u e t d u v isa g e , A l 'i n fla m m a tio n d>'s g la n d e s d u c o u , c ’e s t u n m é d ic a m e n t h é ro ïq u e . E to ffe f a n ta is ie , d e p u i s 3 0 0 fr. E n v e lo u rs f r a p p é ............................ 4 0 0 fr. 35 fr. 45 f r . E n tre p ris e d ’E b é n lste rie . R é p a ra tio n d e M eubles a n c ie n s e t m o d ern es. SOCIÉTÉ d’Assnranoes Motiielles V ln e c H e tic S E IIV F -R T -M A R IV E C ap ita u x A ssurés................. 941 m liHong, F o n d s d» R é s e r v e 3 .0 9 1 .0 0 0 fr. Tïhù iiltrieun de p lu de 4 0 0/q à c e u dei xBlree Ceupafiiet A p e p ç n du T a r if p a p 1 , 0 0 0 fr a n c s A com parer avec ceux de vos polices d'assurauce Q a t, F o u d re et D ro its de tim b re com pris. B âtim ents t Im m en b les.. . . . . . . . 0 '1 5 comm unaux. (M o b ilie r.......................Q 30 M ab d n s bourgeoises | Im m eablea.................. 0 20 isolées. t M obilier.......................0 40 Maisons ^ Im m eu b les.................. 0 25 d ’habitatio n . ( M o b ilie r.......................0 45 Im m eubles.................. 0 35 M obilier e t M archan dises ......................... 0 65 (Im m e u b le s.................. 0 5 0 P e tite C ulture . . . . < M obilier, M atériel e t ( B estiaux...................0 7 0 (Im m e u b le s .................. 0 80 G rande C ulture . . . l M obilier, M atériel et ( B e stiau x ................ .. 0 8 0 R écoltes e n b â tim e n ts 0 90 Î R éco lte, en m eule. 1 ■>"“ '! *____ « I m ois J «> 2 47 L e s p olices s o n t d é liv ré e s g ra tu ite m e n t. F ix ité p r a tiq u e des cotisations. Sinistres toujours payés in té g r a le m e n t el c o m p ta n t. S ’a dresser ou écrire p o u r tous R e n se ig n e m e n ts a u x A g e n ts g é n é r a u x de la Société : MM, B0UR601N, alli’e du Jo n -d e -P a u m e , à Crépv. GAZIER, quai d 'A m o n t, 54, à G reil. Q f l U T P A T n i l C ren d u e sa n s m édecine, O n n I I . H I U U O san s pu rg e e t sans frais, p a r la d élicieu se fa rin e d e s a u te du BARRY DB L o n d r e s , u a tv iiË S C itS E G u é rissao t les conslipalioD s liab ilu ellcs les plus g a r a n t i a u x la v a g e s e t à l'u s a g e , sa n s o d e u r n i r a i d e u r . A C O T IS A T IO N S F IX E S q jn m n liE ïr MEUBLE DE SALON ANGLAIS Composé de é Canapé, 2 Fauteuils, 2 Chaises. OATS DS LA FONDATION : 1 8 1 0 La Régionale du Nord C o m p a g n ie d 'A s s ù r a n c e s c o n tr e L a G r ê le , Fondée e n 1869. 9 8 40 — 4 4 /2 p . 0 / 0 ....................................... 405 05 GRâND CHOIX DE FlUTEUILS INCIENS B e rg è re s, P anteoU s, C haises L o u is XV, XVL DR D e r n ie r c o u r s a u c o m p ta n t. R e n te 3 p . O /o ............................................ Le dernier mol du progrôsl LA N I C A R D I N E d o n n e a u x c u iv r e s le b r i l l a n t d u s o le il, e s t d ’u n e m p lo i fa c ile e l p r o m p t ; e lle e s t in d i s le n sa b le A to u te p e r s o n n e s o u c ie u s e d e sa a t i g u e e t d e s o n te m p s ; p o lit e t e n t r e t ie n t to u s le s m é ta u x , a in s i q u e le n ic k e l. { E n v e n te c h e z to u s le s é p ic ie r s , q u in c a il l ie r s , m a rc h a n d s d e c o u le u r s . Œ U FSAC O U V EEi U sPom es d e belles e t grossesT oiatnos r a u r n n e e t d élicate, poD te alw ndanto, ven'iu es aux balles d e n r l s so a s la dâDomlnatlon de r o v l e t a v m d e s e n d a a , 4 rta d o n s a in e , 7 'ie a 2 5 r r a n c o . V M ts r o v B s l a a 1 8 ria d o n a a lD e ,8 6 rie stS R 0 B r* . tm baU aoet com pris. — a. tontes dem andes de rebelles, dyspepsies, g asiriies, gastralgies, phlhisics.d y su ü (crics,g laires, fliiius, a ig re u rs,a c id ité s, p itu ite s, plilegines, n a u sé e s, re n v o is, vom isseineuls iniênie en gro ssesse), d ia rrh é e s , coliques, toux, asllitnc, c a tarrh e, iiillueuxa, grip p e, o p p res sio n , langueurs, cougcsiiuii, névrose, faiblesse, é p m sciiicu l, a n é m ie , c h lo ro se , rh u m a tism e , goutte, tous dtiso n ires de la p o itrin e , g o i^e, haleine e t voix; a in si q u e dus b ro iicb es, v essie, foie, re in s, in te stin s, m uqueuse c l saug. P o u r les convalescents, c’c s l la n o u rrllu re p a r excellen ce, l’alinu-nl ind isp en sab le p o u r ré p a re r les forces. E x tra it de lOU.UUÜ c u re s a u th e n tiq u e s: . • D epuis ^8^4, je nie su is to u jo u rs gu érie de m es dyspepsies p ar la b o n n e R cv alcscîère du B arry e l m e tro u v e trè s b ie n , quo iq u e j'a i 73 a n s p assés, l u fév rier d e rn ie r j e n e pouvais p 'iis rie n digérer, je m e su is m ise en c o re à la K evalesciure, c l e n m a rs je m angeais d e to u t com m e lo u i le m o n d e, e l n c n ne m e faisait m al. M lle GAOCüELiif, 16, ru e B e ru a rd -P a lis-y , chez les R e lig ie u se sA iig u siiu e s,T o u rs,2 Ju illc lt6 9 l. • W ilry -lcs-R eim s fM arne), le 21 O c to b re 189D. J e fais p ersonnellem ent usage d e la R ev alesciôrc, e t la prescris à m es m alad es, p a n ic u liè re m e u t d ans les aflections du tu b e dig estif, e t d an s to u s le s cas où il y a in té rê t à so u te n ir e t 4 ra n im e r les furccs d es m alades; j ’c u a i to u jo u rs ob ten u le s m eilleurs ré su lta ts, t ) ' RAVAUD. L e Ü’ E liiislie é c rit : V o tre R evalescière vaut so n p e sa n t d 'ur. E lle e s t le m eilleur a liro en i pour élevcV ies enfants, é u u i bien p ré férab le au lait e t a l'h u ile d e foie d e m orue. C e tte , 2 ja n v ier IK90. V o tre R ev alescière m ’# ep ipéché de m o u rir d ep u is d ix -h u it m o is; c'est la seu le chose q ue le puisse d ig érer. — t i . G a f FiHO, C uré-doyen d e C elte (H érau lt). Q u a tre fois p lu s n o u rrissa n te q u e U v iande sa n s jam ais échauffer, elle économ ise encore 50 fois son p rix en m éd ecin es e t ré p a re le s c o n s titu tio n s les plus épu isées p a r l’âg e, le travail ou les excès q u elconques. E u b o ite s : 1/4 k ll.. 2 f r . 5 0 ; 1/2 k il., 4 f r . 5 0 ; t k il., 7 f r. 7 5 ; 2 k . 1 / 2 , 1 6 fr. 50; 6 k ., 4 0 f.; soit en v iro n 25 c. té re p a s. 46 a n s de su c c è s; KHI.oou c u re s a n n u elles. A ussi • la R e v a l e s c i è r e C h o c o u x t è b ■ . E lle re n d ap p é tit, b o n n e d ig estio n e t so m m eil ra fraî ch issa n t aux p erso n n es les p lu s ag itées. E n b o ttes de 2 fr . 50, 4 fr . 5 0 e t 7 fr. 75. E nvoi franco c o n tre m andat- p o ste . — E n v e n te p a rto u t chez les b o n s p h arm acien s e t é p iciers. D u B a r r t c l C” (lim iled ), 8 , ru e C asiiglionc, à P a ris. D épôt à S eu ils, ch ez M. D üfo u rm en tel, é p icier, su ccesseu r d e M e rc ie r; M. 'T aupin, ép ic ie r; M. L cclcrcq, é p ic ie r; M. U ouffciier, ép icier, place de la lla lle . Le G é ra nt : L a b a m d e. 'C T i S Î Î 'i i S i Ï Ï i ï i P Ï Ï M ï ï i V Ï S " ' S e n lis . — 37 75433 . . 37 76 38 . . 38 !! 38 26 3 7 .............. . 1 6 ................ A AA OmnbM s s a T lA n B l I 26 Mai. Borar MOUTON 1/4 derrière. 1 10 42 . . 1^ qualité.. 1 764186 1 /4devant.. 60 4 10 2* qualité... 130 166 A lo y s i...... 140 S .. 8 * ^ a lité ... .7 0 126 — déhsnchd 160 3 20 G l^ U 1 60 2 20 VMAII Cam spsrés. 1 40 3 80 Extra 1 9 0 4 2 .. Agnesostète 1 20 1 70 l**qnslit<... 166 186 ponc 2*quaUtd... 146 1 6 0 l'«qu alité... 1301140 S 'q n slitd ... 126 140 2* q u alité... 114 126 4*qnaliié... 1 . . 1 20 S *q u tlité... .9 0 110 Psn,c«issoi. 120 240 Pertrineiss). 1 20 160 ■Bm AVX 4B u r è c is 1 il 1432 Vaches.. 468 Taureaux 184 VeaiK... 16(>9 Montoni. 11801 PerMgr. 6239 Im p rim e rie Er r is t P a t in . B«in* 1* Ptrli i l 27 l a i 1892. Courant .................. . Prochain .......... 4d e mai ................. Juillet-août........................... Roux 88 d ep és................... Hél. de raffiner............ fJUIVS 75 4 53 . . 75 53 . . 50 63 75 25 54 50 m tià looka ConranL.......... . 24 ..4 2 4 Prochain.......... . 24 . . 94 Juillet-A oût... . 94 50 t4 4 dernier.......... . «4 76 25 IT O D IB 17 19 1 5 11 47 44 17 .. 13 . . 44 . 18 .. 16 . 11 .. 48 . . 12 60 L e s p o u le s n é e s p e n d a n t le s tr o is p re m ie r s m o is d o l’a n n é e fo n t le s b o n n e s p o n d e u s e s d 'h iv e r . A u tre fo is, c e s c o u v é e s précoce.-i é ta ie n tp r e s q iie im p o ssib le s, m a is m a in le n a tit r ie n n ’e s t p lu s fa c ile , g r â c e a u x in c u b a te u r s e t a u x é le v e u s e s v itré e s d ite s s o u te r r a in e s . Voici d o n c u n m o y en p o u r a v o ir de.s œ u fs to u t l'h iv e r , ç 'e s t A d ir é A l'é p o q u e o ù ils o n t la p lu s g r a n d e v a le u r : € C h a q u e a n n é e , A la m i- ja n v ie r , f a ir e u n e c o u v é e , c e q u i e s t fa c ile a v e c u n in c u b a te u r; a u b q u t d e tr o is m o is e t d e m i, r e t i r e r d e la b a n d e d o j e u n e s v o la ille s to u te s le s p lu s b e lle s p o u le tte s e t le s m e ttr e so ig n e u s e m e n t d a n s u n p a r q u e t s é p a r é ; — ce s e r o n t le s p o n d e u s e s d 'h iv e r . L e s a u tr e s , ré u n ie s a u x c o q s , s o n t e n g r a is sé e s e t v e n d u e s a u m a r c h é d a n s la p re m iè i e q u in z a in e d e m a i, a u m o m e n t o ù le s p o u le ts j e u n e s e t te n d r e s s o n t tr è s r a r e s e t s e p a ie n t u n p rix é le v é . V e rs le 4.5 n o v e m b r e , c h a n g e r la n o u r r i tu r e d e s a u tr e s p o u le s. P o u r les e x c ite r à la p o n te , f a ire b o u illir d e l’o r g e e t la le u r d o n n e r c h a u d e e t d e m i- c u ite ; y jo in d r e d e l’a v o in e e t d e s c r ib lu r e s d e b lé , e t, p o u r les éc h a u ffe r d a v a n ta g e , u n p e u d e c h o n e v is. E lle s o n t to u jo u rs A le u r d is p o s itio n d e l'e a u tr è s p ro p r e e t d u p o u s s ie r d e c lia rb o n d e te r r e , a v e c le q u e l e lle s s e p o u d r e n t e t d o n t e lle s m a n g e n t q u e lq u e p e u , c e q u i les fo rtifie beaucoup. Paul DUFOUR 3 * » G r a n d e - R u e , à C h a n t i l l y (O ise)* (E tendue au x d ép artem en ts lim itro p h es). 6y R u e S a ï u t - P i c r r e » G M o y e n d 'o b t e n i r d e s œ u f s p e n d a n t l ’h i v e r . AM EU BLEM ENTS DE T O U S S T Y L E S F A U T E U IL S V O L T A IR E depBB. E n v e lo u rs f r a p p é ......................... L es p e rs o n n e s o b è s e s s e s o n t s o u v e n t d e m a n d é e s q u e lle é ta it l a c a u s e r é e l l e d e c e tte in firm ité ; e lle e s t t o u t e n t iè r e d a n s la le n t e u r h a b itu e lle d e l a d ig e s tio n e t s u r to u t lo rs q u e la n o u r r i t u r e e s t tr o p a b o n d a n t e e t tro p s u c c u le n te . A p rè s le r e p a s , la t ê te d e s g ro s m a n g e u r s s ’a lo u r d i t, la s o m n o le n c e a r riv e , u n s e n tim e n t d e p e s a n t e u r le s e n v a h i t ; c 'e s t a lo rs q u 'il fa u t a v o i r r e c o u r s a u x P e r le s d e p e p sin e p u r e de C h u p o te a u t; o n v o it la digeM ion s e r é g u la r i s e r , e t le s a n g , a u lie u d e s ’é p a is s ir , r e p r e n d r e s o n c o u rs n o r m a l . P o u r n e t t o y e r le s p e ig n e s . N e lavez ja m a is le s p e ig n e s si vo u s p o u v e z é v i t e r d e le f a ir e , c a r l’e a u fen d le s d e n ts d u d it p e ig n e , e t r e n d d u r e l'é c a ille d e to r tu e o u la c o rn e . O n tr o u v e A t r è s b o n m arc ffé d e p e tite s b ro sse s p o u r n e tto y e r le s p e ig n e s. O n n e ilo y e b ie n le p e ig n e a v e c c e tte p e tite b ro sse e t e n s u ite o n l'e s s u ie a v e c u n lin g e o u u n e s s u ie -m a in s . ■ ir o a s ; INkO. .............. G ourant.......... Prochain.......... Juillet-Août.... 4 dernier.......... 34 Mandlle.......... Héra BB o o n o a o K A v z o ïr ISO ku. IM UL V A a m t SODMM HAHQIJSt LmM . Chaaaoot........ C tèvecau r.... Sonteon*.. A. , , S ■trekéi à% Parii U 26 l a i 1892. b l As I l 90 14 30 20 14 . . F a ite s d is s o u d r e d a n s u n b o l d ’e a u c h a u d e u n m o rc e a u d e c a r b o n a te d e so u d e d e la g r o s s e u r d 'u n e n o ix p o u r u n d e m î- lilr e d 'e a u . T re m p e z le s so ie s d a n s l’e a u e n a y a n t so in q u e le s d o s e t le s m a n c h e s d e s b ro sse s n e lo u c h e n t p a s l'e a u . R é p é te z l’o p é ra tio n ju s qu'A ce -q u e le s so ie s s e m b le n t p ro p re s , r in c e z a lo r s la b ro sse , d a n s u n p e u d 'e a u fro id e , se c o u e z b ie n e t e ssu y e z le s m a n c h e s e t le s d o s Avec u n e s s u ie - m a in s , m a is n 'e s su y e z p a s le s so ie s e t m e tte z la b ro s s e A s é c h e r a u s o le il o u p r è s d u fe u , m a is p a s tro p p rè s . CfM /nuM COMitrs « a d a t tf* afnttt. Recettes utiles. C h a rle s B e u te l, s a n s so u n i m a ille , s ’e n f u t, le 2 6 m a r s d e r n i e r , a u p o s te d e p o lic e d e so n q u a r tie r , p r i a n t le b rig a d ie r d e le m e ttr e e n é ta t d a r r e s ta tio n p o u r v a g a tm n " ig e . O n l'e m p r is o n n a s u r l’h e u r e ; le s o ir , o n l’e n v o y a a u d é p ô t. LA, n o tr e h o m m e fit l a c o n n a is s a n c e d 'u n ta ille u r , n o m m é W in th e n , a c c u sé d e v o l. H é la s I d i t W in th e n , j e s u is b ie n m a lh e u r e u x , j 'a i u n e fe m m e , u n e n f a n t, A la m a is o n , q u i s e r a ie n t d a n s l a m is è r e si j 'é t a i s c o n 16 L es s o u lie r s d o iv e n t ê t r e e s s u y é s a v e c u n e é p o n g e oor'llb ch iffo n d o u x tre m p é d e la it, a p rè s q u ’o n a b ro s s é le s c h a u s s u r e s p o u r e n le v e r to u te la b o u e . E m p lo y e z e n s u ite la m ix tu r e s u iv a n te : M êlez A p ro p o rtio n s é g a le s d e l'h u ile , d u v in a ig re e t q e l a m é la s s e a v e c 3 0 g ra m m e s d e n o ir d e fu m é e . Q u a n d to u s c e s in g r é d ie n ts s o n t c o m p lè te m e n t in c o r p o ré s , f ro tte z le s b o tte s a v e c le m é la n g e e t m e tte z -le s A s é c h e r d a n s u n e n d r o it fra is , f n - S t H E l U , n s .n a !,B o iii< ,P a rl. U n m o y e n d e s 'é v a d e r d u D é p ô t. P o u r c in q u a n te fra n c s . S a in te -C o lo m b e -d ’O r p l e r r e ( H a n t e 8- A lp e s ), le 5 a o û t 48 9 4 . — L a b o ite d e P i l u l e s S u is s e s q u e v o u s m 'a v e z e n v o y é e m 'a c o m p lè te m e n t u é r i d ’u n e e sp è c e d e c h o lé r in e q u e j ’a v a is e p u is la m - i j u il l q t; a u b o u t d e tr o i s o u q u a tr e jo u r s , t o u t e s t r e v e n u A s o n é t a t n o r m a l. A la m é m o é p o q u e , m a fe m m e so u f f r a it d 'u n e c o n s tip a tio n o p in iâ tr e q u i r é s i s ta i t A to u s le s m o y e n s c o n n u s ; a p r è s a v o i r p r is p e n d a n t tr o is j o u r s d e s u ite q u a tr e P i l u le s S u is s e s p a r j o u r , le v e n t r e s’e s t d é g a g é e t a u b o u t d e n u i t j o u r s la m a la d e é ta it e n p le in e c o n v a le s c e n c e . J e v o u s a u to r is e A d o n n e r A c e tte d o u b le c u r e fo u le l a p u b lic ité q u ’i l v o u s p la ira . (S ig . lé g .) . B o s c , i n s titu te u r . P o u p n c tlo y e p l e s s o u lie p s d e c h e v re a u o u d e c u ir v e ru l. P o u r la v e r le s b ro ss e s . D im a n c h e s o ir , v e rs d ix h e u r e s , ta n d is q u e le s p a s s a n ts s illo n n a ie n t e n to u s s e n s 1 a v e n u e d e C lic h y , A la q u e lle u n e b e lle s o ir é e d ’é té d o n n a it u n e g r a n d e a n im a tio n , u n e fe m m e , te n a n t d a n s s e s b r a s u n je u n e e n f a n t d o n t le s y e u x é ta ie n t re c o u v e rts d ’u n b a n d e a u , te n d a it la m a in e t im p lo ra it Iq p itié d u p u b lic . L 'e n f a n t p le u r a it e t g é m is s a it. S e s t r a its é ta ie n t v is ib le m e n t c o n tra c té s p a r u n e d o u le u r tr è s viv e. Q u e iq u e s p e r s o n n e s s ’a r r ê t è r e n t e t q u e s tio n n è r e n t la fe m m e . E lle é ta it tr è s m a lh e u r e u s e . S o n e n f a n t, m a la d e , n e p o u v a it r e c e v o ir le s s o in s q u i lu i é ta ie q t n é c e ssa ire s. L ’a r g e n t m a n q u a it. A p ito y é es p a r c e ré c it e t p a r la v u e d e c e p e t i t ê tr e c h é tif , m a lin g r e , d o n t le s c r is r e d o u b la ie n t, c e s p e r s o n n e s a l la ie n t r e m e ttr e u n e p e tite so m m e A la m è r e , lo rs q u ’u n j e u n e d o c te u r. M l L o u is S . .. , d e m e u r a n t b o u le v a rd d e C o u rc e lle s, in te r v in t. M a lg ré la ré s is ta n c e d e la m è r e , il s o u le v a le b a n d e a u q u i l'e c o u v ra it le s y e u x d e l'e n f a n t e t a lo r s o n s ’a p e r ç u t q u e l’œ il d r o it a v a it é té e n fe r m é , a n q u e lq u e s o r te , d a n s u n e c o q u ille d e n o ix so u s la q u e lle u n e a r a ig n é e a v a it é té lo g ée . L a p a u p iè r e , tu m è llé e p a r le s p iq û r e s d e la b é te , f o r m a it u n e p la ie . L o rsq u e le s p a s s a n ts , d o n t le n o m b r e a v a it g ro s s i, s e f u r e n t a in s i r e n d u c o m p te d e s c a u se s d e l a so u ffra n c e d e l’e n fa n t, la m e v o u lu t s 'é lo ig n e r . M ais sa isie p a r p lu s ie u r s p e r s o n n e s q u i d u r e n t la p r o té g e r c o n tr e l a f u r e u r d e q u e lq u e s - u n s , e lle fu t m a in te n u e ju sq u 'A l'a r r iv é e d e d e u x g a r d ie n s d e la p a ix q u i la c o n d u is ir e n t a u po ste , d 'o ù e lle f u t e n v o y é e a u D ép ô t. C ette fem m e s e n o m m e L o u ise 0 . . . ; e lle e s t â g é e d e q u a ra n te an s. v A B im AnHBviUen.. . GrandvIUien. . 23 95 NeaUlM............ 24 15 <4 03 19 45 Ife rü . G o m a y .......... 20 .. St-Jaitren-Ch.. 23 *. MmrMN. Bretetül............ 21 49 Foraerie.......... 25 64 25 ! P o u p n e tt o y e p l e s b p on zes< D e l'e a u d e sa v o n o u d e l a liq u e u r d 'a m m o n ia q u e tr è s d ilu é e e n lè v e r a la p o u s s iè re d e s fin es r a in u r e s d e s o r n e m e n ts o u d e s s ta tu e s d e b ro n z e . L e s s ta tu e s d e b ro n z e ex p o sé e s A l 'a i r , A la f u m é e e t A la p o u s s iè r e p e u v e n t ê t r e n e tto y é e s a v e c u n e s o lu tio n c o n c e n tré e d e c a r b o n a te d 'a m m o n ia q u e . T e r r ib le a c c id e n t. U n te r r ib le a c c id e n t e s t a r r iv é a u c am p d e C hA lons. S ix s o ld a ts d u 29* d ’a r tille r ie é ta ie n t c h a r g é s d e tr a n s p o r te r u n e ca isse d e p o u d r e d e l’a r s e n a l a u p o ly g o n e . I ls é ta ie n t a s s is tr a n q u ille m e n t s u r le .c a is s o n e n fu m a n t d e s c ig a r e tte s , q u a n t tout-A -coup le c a isso n fit e x p lo s io n e t le s p r o je ta to u s le s s ix A u n e h a u te u r d e d ix A d o u z e m è tr e s . Q u a n t'o n a c c o u ru t A l e u r s e c o u rs , le u r s v ê te m e n ts a v a ie n t p r i s fe u e t o n e u t b e a u c o tip d e p e in e A é te in d r e le s fla m m e s. L e u r c o rp s e s t c o u v e rt d e b r û lu r e s . L ’é ta t d e d e u x d 'e n t r e e u x e s t sa tis f a ic a n t. O n a p e r d u l ’e s p o ir d e s a n v e r le s a u tr e s . L e c o n d u c te u r d e l a p r o lo n g e e t le s d e u x c h e v a u x n 'o n t e u a u c u n m a l. Tableau synoptique des Marehés du Département. nem. L O C A L IT É S VÊ 991U 8 u £ Prix !*• 2* 3‘ 9*4 qté qté extrêmes. 92 86 91 76 82 73 I 13 1 07 98 91 92 85 «7 664 99 61 464 95 60 65 4 87 81 624122 77 604106 80 744 94 FORM n’iTATS. — SGTIORS. 3 0 /0 |o u .l« j.. 3 0/0 s m o n .. 4 1/2 0/0 1S83. Bdnsliq. 74-73 Det.tun.3I0/0 Paris, 1855-60 1865... 1871... -quarts m 6 ... 1876... 1886... -quarts y . Marsrille.. V. d'Amiens.. O b .y .d e ljo n Bsnq. de I r . . B. d’escompte. B .d e P sris.... C*fone.deFr. Compt.d'ese.. Créd. Algérien Crédit foncier. Crédit indust. Crédit lyonn.. CrMlt mobll. Dép. Comptes Soc. générale. Banque paris. Rentefonc.jp. Soe.lm .deFr. Bsnq. d'Algér* BOneèGuelm. 98 . . 98 36 105 10 .......... 612 550 537 75 419 . . 411 . . 108 .. 632 . . 531 . . 4tl4 . . 104 . . 404 .. 116 . . . t o. . i .. 4'425 . . 195 . . 680 . . SOI , . 495 . . 690 . . 1200 . . 550 . . 789 , . 170 . . 290 . . 466 . . 390 . . 1 3 5 .. 433 *. 945 . . 677 60 Est algérien.. Est.................. L y o n ........... Midi................ Nord.............. O r lé a n s ...... Orl.-Cbàlons. O uest............ Sud de la F r.. Ouest algér... DocksdeMan. Magasins gén. Allnm. chun.. GasComp.par. — act. jouis. Hess, marit.. Omn.de Paris. Voit. 4 Paris. Can. Corinthe Gan. Panama. Suei Actions. — Délégat. — Parudef — Bons tr. — Soc. d v. Tél.Par.4N-Y G. fén.d Eaux Gax central... Etablls.Daval. Petit Jonrnal. Lits militaires Le Printemps. Comp. Ricner T o u r E ild ... r o n e n t T A T iT A A N e its . 672 900 1475 1300 IH22 1612 670 1055 506 689 487 672 50 .. .. .. .. 80 .. .. .. .. 60 .. 1445 lu s 679 1045 725 !! .. ., . .. il::. . 2790 808 (146 138 1980 100 1476 1200 2120 1118 950 637 1660 107 50 .. 75 .. .. .. .. .. .. ,. .. .. 80 Autrich.40/0. Ëgypt.Daira.. — Detteun. — Dette pr. — Ob.dom. Italien^ 0|^ 96 490 488 461 75 633 75 :91 06 Russe 4Ô/067.‘ — 41/20/0. — 4 0/080. — 6 0/0 83. — 4 0/089. — 4 0/0 90. Dette ter. 40/0 B . Ottomane. G . fonc. d'Ant. — Egyp. — Bong. C.mob.Espag. Andaions. . . . Aair.-Hongr.. S.-Aut.-Lomb. Ménd.«ritaiie. “Nord “Espagne. Portugats.... S aragosse.... Tél. du N .... Can. Panama. - 30/0 84 tp - 40/084 tp — nottv.lOOOf S « e n 6 0 /0 .... *94 90 0BLI0AT.DITU8BM 500f.40/0. — lO-»* 600f.30/0. — 10«" 500r.4*/*63 eemm.SO/0 s — 6 -« f ( e .4 ( ) |/0 76. a f.SO /0 77. * C . 30 /0 79. f. 3 0/0 79. e. 3 0/0 80. f. 3 0/0 83. f. 3 0/0 85. Bons 100 f. Banq. hvpeth. E s t i o /O : .... ~ 3 0/0........ — 3 0 / 0 n ... Lyon 6 0 / 0 ... — 30 /0 66. Méditer. 60/0. — 3 0/0. Fnslon a n e ... 94 76 106 65 96 20 96 76 20 56 E87. . 1130 . . 476 . . 641 96 333 60 645 ..... 210 . . 042 60 192 50 80 218 50 H id i3 0 /0 .... — — nenr. *22 76 N o r d S O A ... 16 95 O riéenséo/0. 17 50 -3 Q /0 n . 21 60 G nnd-Cetfnl 620 . 8 ^ . . . 473 . . S ü sS siO & w 93 60 — B.4eeeup 626 106 622 125 516 610 107 622 399 487 •“ 484 .. 69 .. 25 ,, .. 50 .. .. . . 436 , 480 . . 49 2S 620 . , 665 . . 469 60 4SI _____ 50 1270 . . 4S6 60 640 .* 458 . . 46t 50 466 . . 461 .*< 466 10 463 . . 467 - 76 469 60 Ü fb i 617 I I il ff 'f [ t, n o ta ire tu d e d e I . ^ «tomtnira «AHOAM» U tI* k i i . iH O t I t t n U in ., E-----------canton d e Betx, arrondissM nent de IM lS oatlon a é té f rite i M. le P ro Ab t . 6 . ConunoBe d e M o geat-leB -T lerfes. ^ ~ Senlis (Oise), c u r e u r d e le R épubliqne, p rè s le Etude d e M* LOHBOIS. notaire A te c fa c u lté d e r ^ n i o n lo fa le o u T " , . . M . f r É Z I E R , m arc h a n d d e T e a le « n x B n o liè re « W b tm a l civil d e p re m ière In ita n c e h P fécy-snr-O ise. partieU e. 'b a i i M a â f l n i n K l r i t l V I l l d h e v a u x , & P a r is , a l’h o n n e u r d e ] p « r i t d t e d e c e n a t l o n d e o a l t u e , Ktod« d e H*A o c u i e SAIMTErBEOTB* d e S enlis: A U U l l U I C I i r i i n ç p ré v e n ir m m . les CulU vatenrs q u ’U s e t h u b v vn v a ir is De l ’expédition d ’u n acte d re ssé a u uToëé à SenïU . S uivant c o n tra t re ç u p a r M* LoraL’adjudication a u ra U ea le ni tro u v e ra a n P lessis-BellevU le, a n x l A T O U R Y - ^ V ^ jO I S ^ Greffe d u T ribunal civil d e S enlis, bols, n o taire à P récy -su r-O ise, le dix D i m a n c h e f SB J a l n COMMODO ET INCOMMODO O u atre H ontes, chez M. au^ • VENTE SUR LICITA-TION le n e u f Mai m il h u it c e n t q u atro - Mai m il h u it c e n t q uatre-vingt-douze, d u n e h e u re d e relevée. — I b e r À t e , av ec 8 0 ' C h e v a u x I l e D im a n ch e W J fo t, o ttrte h e u re , v ingt-douzo, en re g istré , co n statan t M. L ouls-D ésiré cmniBB, m archand XNTBe U&JBUBS ET MMBimS E n l a M airie d e BouiU ancy, L e Maire d e là c om m une d e N o g e n t - l h o u x p e s , e n t i e r a e t e l M - | F a r le m in istè re d e M* M ézitan , le n épét fait a u d it Greffe, le d it lo u r, é p ld e r, e t M adame Léonie-Zéllo Dud ’oeb n o ta ire à B elz, do la copie d û m e n t coU ationnM e t p u is, son épouse, dem eu ran t ensem P a r le m inistère d e M* DniABi), n o taire les-V lerges pràvient se s adm inistrési | v a u x d e c a k b H o l e t , les 2 2 ,2 3 , à Senlis, q u e p en d an t la quinzaine à d a te r d e 1 2 4 ,2 5 e t 26 J u in pro ch ain . enregistrée, d 'u n p ro cè s-v erb a ld re ssé ble à S a in t-L c u -u ’E sseront, o n t vendu com m is à ce t offeL P riè re i& MM. les C u ltivateurs ltivatènrs iiD qui p a r H ' M orlreux, n o taire à Crépy-en- à H. A lbert-C élestin L esubub , ja rd i .--. lo u.r,. ^- a q i i e _h a b iu n ^ ^ é c h an g er d e « S ise à CBAMOISY. Valois, le vingt-trois février m il huil n ie r, e t M adam e Clotilde-lléloïso De - S 'a d re sse r p o u r les re n seiijn e m e n ts ; irendre connaissance, a la M airie, a u I jjjji 2 CH EV A U X ce n t quatre -v in g t-d o u ze , enreg istré , SBiNB, son é p o u se, d e m e u ra n t en BT DB 1* A M ” SAINTE-BEUVE e t LE- a u x P la n s d 'A lig n e m e n t des E u es d e I f»‘r e a m e•n e r a u Plessis-B rileville. 1 2 ,0 0 0 b o t t e i d e P a llie e t F o u rra g e . contenant à la re q u ête d e H . A don is- sem ble à P reste s (S eiue-et-O ise), le VIEUX, avoués i Senlis ; la d ite C om m u n e , q u i v ien t d ’y ê tre Em ile C uisy, m a rch a n d d e v in s, de fonds d e com m erce d’épicerie, rouen2’ A M* DRIARD, n o ta ire à Senl Æ iTiBor. d é p < ^ : e t q u ’à 1 ex p iratio n de e e | NOUVEAU M ÊM E 6 T U PB Sises tç rro lî de CRAMOISY, m e u ran t à A ntiily, e t a y an t dem ouré nerio e t bonneterie, exploité p a r eux c h arges. ïAidonàaooijr.,|WJî oantoD d e Ç reil, précédem m ent à V auciennes, ad ju d i dan s u n e m aison sise à Saint-L eu, dépositaire d u ca h ie r S ain t-P au l, Çom m issairo désigné p a r arro n d isse m e n l do S eolis (Oise). cation a u p rofit d e M. C hapelle, acqué Quai d e l'O ise, prè s d u p ont, a u x con a rrê té préfectoral d u 6 m a l c o u ra n t,! (S ystèm e BoiSBBRAtiLT, re u r s u s-n o m m é, d e s im m eubles « - ditions e t p rix stipulés a u d it contrat. E tude d e M* A. SAIHTB-BBDVE, S s S s s a s r a s Æ s r * d e P le i> s * e B à R A U p , re ev ra à ladite M airie, le u rs décla' ' « A m iâ ir P * a n d R ia so N ap rè s désignés : L ’adludicallon a u ra lieu L’en trée e n jou issan c e a été fixée licencié e n d ro it, se c o n u n u n e d e VARINFROY, ra tio n s s u r ru ü lité publique de le D Im a n o h e SB tia in a u v in gt-cinq Mai m il h u it cent q u a ‘A v o u é à SFJ4LIS (Oise), T e rro ir d e T auctennea. p ro jet, les lundi 13, m a rd i 14 e t] B r e w f é e n f V a n c e e f d lE ir a n f lie r . S u p e rfic ie 4 heet. 78 a . 78 e ., 18»S, , , Suctf do M'* V awtroys e t fiiûMT. 1. — Uue Maison, sise & Vaucion- tre -v in g t-d o u ze . m erc red i 15 ju in , d e m idi à q u a tre | A d re sse r les com m andes, d u n e h e u re de relecée, Election d e dom icile e n la d em eure par Adjudication E scom pte d e T raites e t B illets. — n é s , en la G rande R ue d u V illage, Ià M. C n a u v in -W iix a d u b , à Villers- AVendire E n l a M airie d e C ra m o la r, V E N T E S U R L l C I T k T l O N h e n re s d e relevée. E n 1a M airie d e T azin lro y i A vances d e Fonds s u r s i R u a t u r e ^ — co m prenant : tro is pièces d’hab ita respective d es pprtiss. A N ogent-les-V iergos, le 29 Mal J C olleréls, P a r le m inislère do M'D ksabie , D’im tion, cuisine, cave, gre n ie r c o uvert A a n i i-oni-rinnnfn«r nm ip iM IP aPr aio r lem iu m iste in istè re re 0 6dM' e M* xEziEUB, M é z iè si, i p r ê t s s u r successions, H ypolhèquM 1892. n o taire & Creil, ou ardoises, co u r, da n s laquelle b&M a r c h é de 2 0 h . 0 5 a . 3 T c . d é p a r t e m o S t s d o r A i s n e e t d e r o i s e l ^ ^ l ^ i n a n ^ g j u l f i d dewB h e u re s . | e t a u tres Le M aire, com m is à c e t effet. timCDt è usag e d e g r a n g e , b û ch er Etude d e M* Gboboes LEVIEUX. DB ______ ' EltracU oD e te x p lo ittllo D ta c U » ,.DEHAGNEZ. e t toit à p o rc s; trois au tres petits licencié o n d ro it, avoué à Senlis, -------------------------------------------------------------- , p ro jlm iu s d u C an al d e l’O ureq e l d e d e o r « . - O p é r . U o « n û exécullon d ’un ju g e m en t re n d u logem ents; te rra in on la rris de rriè re; ru e S a in t-llilaire, n ’ 10, E lu d e d e M- DBIARD, n o taire i S enlis, la ligne terrée e n c o n s tru c u e n d e P a-1 p ju ie , l a F ran ce e | s u r re q u ê te p a r le T ritu n a l « v il de l’ensem ble, d ’u n e coutenauce su p e r Suce' d e M" A lluabd e t C ualuin . E tu d e d e M* PLIVARD, notaire E N 47 P IÈC ES su c c e sse u r d e M* Bbnoist . i « s à Reim s. fB-franoar. Senlis, le v ingt-sept A vril m il huit ficielle do vingt a res itu a ran te cen à C lorm ont (Oise). Sises te rro irs do CREPV-EN-VALOIS ce n t q u a tre-vingt-douze, o n reglstrô; tiares, tie u t d ’u n côté n o rd les h é ri A ffaires civiles e l c om m erciales. et d o D UVï, CE> X 3 9 - I S U R S A I S I E IM M O B I L I E R E M Ê M E É T U D E S’a d re sse r à M. le D irecteur d u Con tie rs Dalleux, d ’a u tre côté les h é ri A A O J U G E ïn E t a u x requfile, po u rsu ite e t dili canton d e Crépy-en-V alols, A L’AMIABLB te n tie u x d u M arais, .31, r u e R am tie rs T hibaut, d’u n bout e s t à la rue, A l’audiençe d e s criée s d u tribunal gen ce d e : arro n d isse m e n t de Senlis (Oise), E n ladite E tude, A d ju d ic a tio m V o lo n ta ir e d ’au tre bout les terres d e la plaine. w vil d e p re m iè re instance d e Seuils, b u le a u , 31, P aris. r M adame M arguerite S c h m it. A te c fa c u lté d e r é u n io n to ta le Section B, n u m éros 113 e t 114. Le J e u d i 23 J u i n 4892. d 2 h eures. a u P alais d e Ju stice , ru e de TRn l a m a iso n d ’E c o le d e V U lersépouse do M. Philippe J a a s , em ployé o u parliellem 2. — Dix ares quatre-vingt-dixS a in t-G e n e st, Républiqne, lO X -X J T IO D J d e b u re a u , et ce d e rn ie r ta n t en son sept centiares d e ja rd in , en la G rande m e R ougem aille, n* 14. F a r le m in istè re d e H* M éziébb, L’adjudication au ra lie u le n o m iiersonuel q u e p o u r assister et R ue d u Village, te n an t d’u n côté MM. D’ U N E M A I S O N D im a n c h e d ix -n e u f J n i n APPBLÉB n o ta ire à Betz. S’a d re sse r à M* DRIARD. a u to rise r la d am e son épouse, dem eu de Saint-M aiirice, L cm oine, Effelle, Sise I LAMOBLAÏE, canlon do Creil, C h A t e a o d e C o a t a n c e , 1 8 9 2 , l e L u n d i de la P entecôte, à 2 h eu re s r a n t ensem ble à P a ris, r u e ^ F a u - la pièce suivante, et d ’a u tre <^té " arro n d isse m e n t de Senlis, . « * î £ " '! r a i p w Æ c w w « « ( ! i» * j ÿ . d d e u x h e u re s d e relevée. Sise àNBDILlY-SOUS-CLBBXONT (OlSe), b o u ra Saiot-Douiâ, nu m éro 208 bjfi ; ru e , d ’u n b o u t no rd à M. F oum ier, HÛM8 ÉTonn su r la ro u te d e P a ris à A m iens, u* 40. E n l a M airie d e C répj-en-V alol8, 2" M. Dominique Schm il, cocher, 'a u tre b out Bégé de Coyolles. A 3 e t 4 kilom ètres d e chacune d e m e u ra n t à P a n s, ru e d u Faubourg Section B, n u m éros 67 e t 72. L’adjudication a u ra lieu ie M a r d i P a r le m inistère do M* Diuabd , notaire des g a res de L iaucourt-R antigny A V e n d r e o u ^ h C é d e r Saint-D énis, n um éro 2 08 bw ; à Senlis, 3. — Treize are s c in q u a n te -d eu x 1 J u Id 1 8 9 2 » A l ’AXIABLB e t C lerm ont. 3* M adame Louise S chm it, épouse centiares d e p ré p la n té , lieu d it le coîniimis à c et effet. heu re de m id i, rioaes. surtout a u à - « r d e g e e m d e M. Léon L eroy, m an o u v rier, e t cç Village ou la Touffe M ijon, tenant, Cette P ro p riété com p re n d : ■ ■ le iie a uoe^ a e U o n ^ _ a é « M v e ^ » a J S'a d re sse r p o u r tesren se ig n e m en ls : d e rn ie r ta n t on sou nom personnel d’un côté n o rd Effelle, d ’a u tre coté y a d resser p o u r les renseignem ents gran d ja M aison d e m aaître, îtn " r d jM s jg g ^ g ^ N u s , r u e d es CordeUdT», 8 ,1 E lu d e d e M* FéU x COOTN, h u issie r | g l S w M éf* q u e p o u r a ssister e t au to riser son Bégé de Covolles, d’u n bout o rien t le 1* A M* LEVIEUX, avoué à Senlis, 1- A M - SAINTE-BEUVE et .l’ag rém en t, potager itager e t fru itier, belle aybo à Pont-S aiote-M axence. ép o u se, avec laquelle il dem eure a m êm e, d’a iu re bout la piècé précé pou rsu iv an t la v ente ; LEVIEÜX, avoués à S en lis; se rre e n fe r vitrée), iréo, v a ste s c o m m i s , 1 ^ I , . , , ^ 1 .. S aint-D énis (S e in e ), C ours Benoit, dente. 2 ’ A u Greffe d u T ribunal civil J a P u l f i m n Notice 2 ' A M* DRIARD, n o ta ire à & n lis, étangs, ea u x vives, contenance 11 S’a d re s s e r à n u m é ro 9 ; . „ . Senlis, où le ra h ie r des c h a ire s Section B, n um éro 267 bia. hec ta re 71 a res 35 centiares. dépositaire d u cah ier d e s '■ 4* M adame Phllom one Sctimii 4 . — T ren te -tro is are s quatreépo u se de M. L ouis-A lbert Piocel, vingt-onze centiares de p ré planté, 3- E t à M’ CORNUAU, notaire 22 ÔOO f r . l E tu d e d e ■■ P E n r , n e le ire à S euils. KI p j p j o i t ^ ^ j ^ j s a ü o n d ’exploitalton o u v rie r c a rrie r, e t c e d e rn ie r ta n t en lieu d it la Vieille A rche o u la Touffe a a ,w v v U I M" P h il ip p e MARTIN . Hue à Prix L uzarches (Seine-et-O ise). so n nom p ersonnel q u e p o u r assiste r Mijon, te n a n t d.4’un 'i,n côté o.ilii Baisset-Ble: n n ie c p t.R lp « avoué à S enlis. m e A vendre par Adjudication A u dom icile d o H . BOURSIER, J o n i s s a n c e d e s a ite * e t a u to rise r son épouse, avec laquelle son, d ’a u tre côté Victor Foim nier, d ’i d e la R é publique, c u ltiv a te u r à B rasseu se, il d e m eu re à C raraoisy; E tude d e M* G eorges LEVIEÜX n ' 20 ; bout est les m ara is co m m u n au x , et On tr a ite r a it a v a n t l’A djodlchtion. Le D im a n ch e 29 M ai, à 2 h e u re s. 5* Madame Marie K aulen, vcuvo de d ’a u tre bout la ru e . licencié e n d ro it, avoué à Senlis, B E R A , h u issie r à O n 'd e m a n d e r u e S a in t-llila ire , n’ 10, P a r lo m in istè re d e H ’ C o n in . M. P ie rre Schm it, ladite dam e sans N euilly-en-Thelle. A u te rro ir de SENLIS, a n e c h a s s e d e 3 0 0 à A O iO Section B, n u m éros 8 2 et 83. i d e M' BALLÉDENT, com m is-1 Le M a rd i 7 J u i n , d d e u x h eu res, profession, d e m e u ran t à A nzin(Nord)i S uc' d e M" A lluabd e t Chalmin . E t ce, m oyennant le p rix principal, h e c ta i^ * saire-p riscu r à Senlis. r u e de la V errerie, nu m éro 3 0 . x a 'C i ^ C B d e h u if m ille d eu x cent c in q u a n te A SENLIS, s ’a d re sse r à M* MORTREUX, n o taire E tu d e ( M' JOLT, b u issio r-p rise n r '^ 7 ' C B ' C D C B « A gissant a u nom et c om m e fra n c s, o u tre les charges ; P a r suite d e la ta illile d u sie u r DÉsiné E n l’E tu d e e t p a r le m in istère à C hantilly,_ j j crép y -en -V alo is (Oise). a tutrice n atu relle e t légale d e SUR SAISIE IMMOBILIÈRE LAURET, e n tre p re n e u r d e battage d e M 'PBTiT, n o ta ire . S uccesseu r d e M' B émbt . Avec déclaration à M onsieur le P ro a ses enfants m in eu rs, M arieE n n n s e u l L o t, à N euilly-en-Tliello, e l à la requête c u re u r de la République : M é n a g e san s en fan t d e « Philom ène Schm it e t Eugene AUX BSCHÊnKS BT AU COMPTANT de M' Ma d t in , sy n d ic d e ladite 1* Que ladite notification lu i est En l’audience d es criées d u T ribunal I m a n d e p l a c e d a n s u n e ferm e ou >S, n o ta ire | civil de p rem iè re instance de « S chm it; u . , fa.illite, A près le décès do M adame L b u è t u b , I faite, e n conform ité d e l’article 2194 I m aison b o uigeoise, le m a ri, ------- . à P o nt-Sainte-M axence. A y an t po u r avoué constitue, Senlis, séan t a u P alais de Justice d u Code civil, p o u r q u ’il ait à p ren A NEÜILLT-EN-THELLE I ja rd in ie r o u v a le t d e c h am b re. la E n son dom icile à VILLEVERT, Sainte-Beuve, d e m e u ra n t à S enlis, ru e d e ladite ville, r u e d e la R épu dre , s’il le juge convomable, dan s h A V endrepar Adjudication 1 p o u r c a u s k d e oicès I fem m e p o u r l’in té rie u r, b o n n e c u is iE n la d em eure d u sie u r L aurbt , m e d u H aut, n . 13, d e la R épublique, n um éro 17; blique, délai d e d eu x m ois de ce jour, au I nièro . Le D im anche 42 / u t n Le D im anche 29 M ai 4892. a 4 h e u r e . | DE Pétüdo Cl p a r le m in islè re * O m n lllly , m . d . n 16, E n présence o u lu i d û m e n t appelé profil d e q u id o d ro iç s u r les im m eu d u n e h e u re de relevée. j ’a d rc sse r p o u r to u s re n se ig n e d e M’ B r a u c h a m p s , n o ta ire à P o n t - | En bles v endus, telles inscriptions d’hy de : P a r l e m inistère d e H *'B éaA ,huissier V oir le s affiches p o u r l e d é ta il. S a iu te-H ax en ce, I èl ’ DAMIRON, I m onts a u B u reau d u J o u rn a l. M. L ouis-Albert P iocel. ou v rie r c a r pothèque légale q u ’il a v isera, sinon à N euilly. AVEC L e D im a n ch e 42 J u i n , à d e u x h e u re s Les V end red i 40 e t S a m e d i 44 J u in , e t faute de le faire d an s ce d élai et rie r , d em eu ra n t à Cram oisy, M , G U Y O T , ferblanticrC irconstaiices e t D épendances, d u n e h e u re d e relevée. ^ a d r e s s e r p o u r les rense ig n e m e n ts « A gissant a u nom e t com m e icelui p assé,quelesditsim m eublespa9l i , ci:» \S t 3-El i ü UNE GRANDE I z in g u eu r à Béthisy-Saiul-M artin F o r m a n t u n e s e u l e P r o p r ié té , a su b ro g é-tu te u r des d eu x m i- sera ie u te td e m e u re ra ie u ta u x m a in sd e P a r le m in istè re d u d it M' J olt . Le 4 " N ovem bre 4892, 1* A M' MARTIN, avoué à Senlis; (Oise), d e m a n d e d e su ite a n Sises à SAINT-CLÉMENT, « n e u rs S chm it, sus-nom m és;) l’acqu ére u r francs et q uittes de toutes 2* A M* BÉRA, hu issie r à NeuillyB E IiE E O a v p i e p bien a u c o u ra n t d e la dettes e t ch arges de cette n atu re non com m une de M o b ib n v a l (Oise), Il se ra procédé, le D im anche tin y l- in scrites; I p artie. . Lieu d it le Clos M a rin o u Us Q uatre en-T hcllc; A usage de T annerie e t Gorroierie stœ J u i n m il h u i t c e n t q u a tr e - n n g t 2* Que les anciens propriétaires [tues. p o u ta n ts e r v ir à to u ta u lr e e o m m e r c e Agents d’Assnrances d o u z e , d u n e h e u re de relevee. en la desdits im m eubles sont, o utre les v en E n p a r f a i t é t a t d e e u ltu r e , Etude d e M* E m ile DEMELIN, M . B l d O C » àO rm oy-Y illors o u in d u s tr ie , L’adjudication a u ra lie u le M a r d i M airie d e Cram oisy, p a r lo m inistère L a Com pagnie d ’A ssu ra n c e s con tre \ !îtm M d e a n m licencié e n d ro it, avoué à Senlis, Siso à DROIZELLES, d e u rs : lA J u in 1 8 9 2 , A PONT-SAlNTE-MAXENCE l’incendie l a JféJropofc d e m a n d e I d e M* Desabie, n o ta ire siis-nom m e, a m e d e V illevert, n* 7, p rè s N anteuil-le-H audouin. G ervals-Christophe-O oésim e Cuisy d tiitd i. s u r les b o rd s d e la riv iè re d ’Oise. la v en te a u x en chères publiques, au x d e s s o n s - a g e n t s d a n s les a rro n S u c' d e M" D b lg o v b e t T h bm b t . S’adre sse r à M. LAIR, 126, bo u le p lu s offrants e t dern iers enc h éris et O pportune-E lcouore R ossclet, sa S ’a d resser p o u r les ren seig n em e n ts : dissem en ts d e S enlis, C lerm ont et _ M . l i E G R A N D , c h a r v a r d M alesherbes, P a ris. ^ V A M* LEVIEUX. avoué à Senlis, ’’^ 5 : s s 3 ’'C P ’5 : a s e u rs des im m eubles dont la désigua- fem m e ; Com piègne. E tude de M* RICHARD, n o ta ire c u tie r à S eulis, d e m a n d e a n a p Po u r l’article 2 : F o rtes r em ises. P a r su ite d e s a is ie im m o b iliè re, p o u rsuivant la vente; tion su it : à P o n t-S ainte-M ax en ce. p p e n ti. E poux Voisin-Flobert ; 2* A M’ POULAIN, hu issie r à Crépy; - d ’une 'ad re sse r à M. E . ALLARD, à | A L . O U 1 5 Ï 1 P o u r l’article 3 : 3* Et a u Greffe d u T ribunal civil D E S IG N A T IO N C hcvrhgny, p rè s Laon (A isnet U n e d a m e de 4 2 a n s, m u Nicolas L eclère e t Virgim c-A gatbe de S enlis, o ù le c a h ie r d e s charges ünb P r e m i e r L ot. n ie d e b ons certificats, a y a n t d éjà C aron, sa femme ; e st déposé. ____ lise à YERNEUIL, r u e d u C arro ir, trav aillé d a n s la c u ltu re e t sach an t Charles-E ugèiie Carou et C aroline Une M aison, située à Cram oisy, C lRC O N STA flC ESel DÉPENDANCES ET te n ir les livres, d e m a n d e a n e M istoufiet, sa femme ; . YINEUIL-SAINT-FIRMIN (Oise), Sise à ACY-EN-MULTIEN, E tude de M’ G eorges LEVIEUX, A m édée-E ustaclieC aroneiP alm yrel a c e d e c o n c i e p g e dans une 14 Pièces de Terre, Pré et Bols en la gra n d e R ue, p rè s l’Eglise. licencié en d ro it, avoué à Seulis, rm e o u u n e occupation quelconque, A u re z-d e-ch au ssée, cuisine, salle H au t, consistant au rez-de-cbaussce Laurence M orineaux, sa fem m e ; Sises a u te rrito ire de YERNEUIL, ru e Saini-U ilaire, n* 10, A rtU L d eU es (et p lu ti M-plM le t et les L’adjudication a u ra lieu le M a r d i à m an g er, u n salon. Paul-A rm and Caron et A lphousm e e n u n e cave, u n e é la b le , u n fournil, a u b u re a u d u Jo u m a L ■elllesr «ircIiéieiBplOTèdp'Itii ____________ ,. . VlmCdlUSuce» d e M” A l lü a r d e t Ch a l m in . » 1 M A I 1892» P rem ie r étage, q u a tre ch a m b re s a A Vendrepar Adjudication u n e pièce d’habitation, un e g range; Vilcoq, sa fem m e; Sêtsurs^Ctusurs itH oaSêteurs^Etsseurs oa de la rSflnii rtfln n di h e u re d e m id i. KM.ceoirad’éleTaie le riasimportiai. coucher, d e u x ch am bres d e dom es A rt. 1 e t 4 e t p artie d e 1 a rt. 2 a u p re m ie r é ta g e e n d eu x pièces, u n E n l a M airie d e Y ern en il, m* G n e p e r s o n n e d e 40 a n s, /*~ P8IX «ni Concoart. H n O U S M L ouis-Isidore-H onoré Rosselet et V EN TE SUR LICITATION En l’audience d e s criées d u Tribuiial tiques. p e tit c abinet, g re n ie r ensuite ; I sa c h a n t faire to u t ce q u i co n cern e le n ix n i m n . u a iE u s rm , vuP a r le m in istè re d u d it H* R ic h a r d , civil d e p rem ière in stance d e Senlis, E c u rie e t rem ise. Cave e t g ren ier. 2’ D’un p e u t b â tim ent couvert en R osalie-Paiiline V erdière, sa fem m e; ■ m , itt.4«ti.. m énage, d ë s i p e s e p l a c e r ch ez AU PLUS OFFANT ET DERNIER séant a u P a lais do Ju stic e, r u e d e A ndré-G uillaiim e Cheval e t A nastuiles, à usage de bo u tiq u e ; d 'u n petit ENCHBBtSSEUR S ’a d re sse r d M. DIDAUX. à V în eu tl. L e D im a n ch e 42 J u i n , d 2 h eures. “ N'ACHETEZ PA S ” I u n M onsieur seul. la R épublique. to it à porcs, poulailler e t a u tre s d é tasie-Pélagie Villefroy, sa fem m e; u n e avoir pris conaiisunM do aoaveaa S’ad re sse r a u B u reau d u J o u rn a l. Les époux Leclère e t consorts Ca CatalotaeblBriré, envoyé rraneo. p en d a n c e s; c o u r e t ja rd in , p uits m i f adresser p o u r les ren seig n em e n ts Etu d e d e M* J o ie s VÉNUAT, notaire ron, sus-n o m m é s ; to y en avec M. Seillière. A r m s r n u B ŒUFS 1”A PRIX COUVER a u Plessis-Bellevillo (Oise). V A H ' DEMELIN, avoué à Senlis, A x 'e c C o u r , txmr U n M é n a g é e d é s i r e Augustiiio-A im ée Lefèvre, veuve Le tout tenant d’u n côté M. Seilliere TRÈS BON itf CenWHPt Urlnk PAHlt HO p o u rsuivant la v e n te ; I p l a c e d a n s u n e m arso n b o u rseo lse, J a rd in e t D ép endances, e t Félicité D ebeauvais, d’a u tre côté de M. Jean-V ictor Oblel; DeNOUS itM U IA l, la donxaine. 2* A M* LÉPINE, h u issie r à le m ari valet d e ch a m b re , s a fem m e M adam e veuve G odart, p ar d e v a n t la H ippolvte Lefèvre; NOLES Al FAVUHU8 Sise à BÉTI!ISY-S t -MARTIN, P M u a a u n i o i concierge. M ario-tliércse Lefèvre, fem m e de 3 ' A M* M ÉZIkRE, n o taire à Belz r u e d ’E n lia n t, d ’a u tre b o u t P rès la place d u C arrouy, De C harpente e t d e C h arronn ag e. Spétialiie de ees3 nees. S itu ées te rro ir d e VER, F rançois Ja n e t de Saint-Julien ; 4 ' A H ' BUTEL, n o ta ire à Chàteauvelle route. Le m a ri à 27 a n s, la fem m e 38 et r* |o rt(oit«epr«.la tlalrt u m t twplacéa e t DE S’a d resser à M. YALADON, à Nan- A Vendre par Adjudication François-A loxis C harpentier ; Tbierry (Aisne). I u n enfan t de 3 a n s . D e u x iè m e L ot. PETITS POU88IN8 1 6 P I Ë C E I S 3* E t qu e ne connaissant pas tous te u il-le-lla u d o u in . De posles de S m A I et FA TU eU Il 5’ A u Greffe d u T ribunal civil d e Le D im a n ch e 42 J u i n , d 2 h eures, S’a d re sse r a u B u reau d u Jo u rn a l. Deux ares q u a ran te-c in q centiares ceux d u chef desquels il pourrait DB l e tr. la d o u iia e , 2 S fr. le^ S5. prem ière instance d e S enlis, o ù d e te rre , te rro ir d e Cram oisy, lieu dit ôiro p ris des inscriptions p o u r raison Imco tnitM (tn a, Bm m irrivéi faniU a A VER, e n la Maison d ’Ecole, cahier d e s c h a ig e s e st déposé. A . V E I V O r t - E le t i s u j n t ( n « o r l'A fltiltE n Ixiwles Beauvettcs, te n an t d 'u n côté M. d’hypothèque lé g a le . le req u é ran t um r O n d é a i p e p r e n d r e a n trielli.fact.aitllcat «et. tH8 ta tiNk.-f*. P a r le m in isièro de H* J. V é n u a t , lle u r te u r , d 'au tre côté plusieurs, d un ferait publier ladite notification dans IF o n d s d e B o n l a n g e r l e d a n s 1 » 2 0 0 fra n c s Situées te rro ir de n o taire. M’ E m ile D É M E L IN b o u t veuve Guillem , d a u tre bout la un Journ.il d ’annonces ju d ic ia ire s, ilprcu»(»r a B O V U A M tUInt-U-Olm) I lo d é p artem en t d e l’Oise. BÉTIilSY-SAINTMARTlN. lim n la la tocUU d« AcricalUanM Inaca. avoué à Sentis ; sente. conform ém ent à la loi. S’ad re sse r a u B u reau d u J o u rn a l. B i ^ i i f s t t » ! ra,w a/<M iMTiM. L’adjudication a u ra lie u le E tudo d e M* G. LOMBOIS, notaire T ro is iè m e L ot. P o u r e x tra it ; D im a n c h e 1 9 J u in 1 8 9 2 » 8 ans, papiers d ’o rigine, ta ille l‘ 58, à P récy -su r-O ise. (Signé) G. LEVIEUX. Treize ores quara u lc -d eu x ce n tia res d d e u x heures. ’aitclie, se m onte, b eaucoup de fonds; d e te rre , m êm e lieu, tenant de tous E t d e M' RICHARD, n o toutes garanties. A fait d e u x saisons 1 4 H e e t . 1 9 A r e s 8 5 CL Eu la M airie d e B étbisy-S t-M artin. côtés p lusieurs, e t p a r hache re n tra n te ta ire à Pont-S ainle m ontée pa r un e d a m e . H abituée au x DB A rt. 3 . S 'a d resser p o u r U s renseignem ents: à M. lle u rte u r. M axence. chem in do fer et tram w ays. Etudes de M" DÉMELIN et LEVIEUX, Q u a triè m e L ot. 1’ A M’ LEVIEUX, avoué à Senlis, S’a dresser chez H. LEFEBYRE, au " E x tr a . S iip é r * le x ir* e . avoués à Senlis. V Q B Sis te rro irs d e PRÉCY-SUR-OISE poursuivant la vente ; Q uatre are s d ix centiares de terre, Hontcel-Pontpoint (Oise). e t VILLERS-SOUS-SAINT-LEU, FAR IU I1I D'ACCEPTATIOI lÈliFtClAIRI 2 ’ A M* HOCQUARD, not.airc â m êm e te rro ir, lieu d it les M artelets, e u r ^ g m R éthisy-S aint-P ierre, dépositaire d u 1* DB te n a n t d ’un côté M. Sniiiliard, d ’autre A vendre par Adjudication A F I I - . A T T E & G “ côté Madame F a n clie ro n .d ’un bout la J o u r n a l de S enlis, feuille du 22 ca h ie r d es charges. L e D m a n c h e 4 2 J u in .d d û u x h eures, c a rriè re Ju stin e, d ’autre bout Des- Mai 1892, n ’ 41, 4 ' page, 1” colonne, 3* Et à M. DÈREST, p ro p riétaire à (j8 ^ c c x e s e s a En l’é tu d e e t p a r le m in istè re de Béthisy-Saint-M artin. p re z . Sises à MONTLAYILLE. 18’ ligue: , , . M' L o m b o is , n o taire à P récyL ire : L'article 1" h M. Louis TisG E N R E D U C -P L A C E com m une de V ern e u il-su r-O ise ; sur-O ise. Se trouve à Senlis, otiex : M IS E S A P R IX se ra n t; a u lieu d e l’a r ti c le 1” à Made E tude de M G eorges LEVIEUX, 2 “ BT DB O C C A S IO N HH. MM. Indép endam m ent des charges, c lau m o is e lle A iig é lin e -J o s é p h in e H erbain. licencié en d ro it, avoué à Senlis, l’adresser à M. SIHAR, propriétaire ide do M' HOCQUARD, notaire CHOQUET-BRASSIER , ép icerie e n LAURENT, m e d u C hàtel. r u e S a in t-llila ire , n ’ 10, se s et conditions de l’adjudication, les (Signé) E m ile DEMELIN. à N anteuil-le-Haudouin. à Béthisy-S ain t-Picrro. LECLERCQ, r u e Y ieilie-de-Paris. im m eubles sus-désigtiés sero n t m is S uc’ do M“ A l lc a r d e t Cu a l u in . g ro s, ro u le do N antouil. G b o r g e s LEVIEUX. LABOURABLE a u x enchères su r les m ises à prix NIVART, ru e V ieille-de-P aris. BOUFFETIER, place d o la H alle. Sises te rro ir de VERNEUlL-s.-OISE. su iv an tes, fixées p a r lo ju g em en t susPATTb, r u e d e la Poterne. DES 8 E, place H en ri IV. Art. 4 . L’adjudication a u ra lieu le AUX e n c h è r b s p u b liq u e s énoncé, savoir • DUFOURMBNTEL, r u e dc l’A p p o rt- TONNELIER, m e d e V illeveri. D i m a n c h e d o u z e J u i n GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS P a r s u ite d ’a c c e p ta tio n bénéficiaire, P o u r le prem ier lot, H** v euve PLANSON, p o rte S ain tau -P a in . 1892» ( o ise ) 1 .5 0 0 fr. s u r celle d o .................... SUR BAISSB DE MISES A PRIX Y incont. ENCAUSSE, place L avaran d e. d d e u x heu res d e relevée. P o u r le deuxièm e En l’Etude e t p a r le m inistère M'* v euve TAUPIN, r u e Bollon. S isoà MORIENYAL, m o d e l’A breuvoir En la M airie de V em enil-SDr-O Ue. POIRÉE, ru e Rougem aille. Déclaration do Faillite. A C é d e r d e s u ite lo t, s u r celle d e » de M* B b a u c h a h p s , notaire à PontBT P a r le m inistère de H ' R ic h a b d , P our le troisièm elot, M*' v euve FOUET, G rande R ue. Sainte-M axencc, f44 Cham bre^/, D’un ju g e m e n t re n d u p a r défaut, 6 B e c t. 0 8 A res 3 8 C en t. notaire â Pont-Sainte-M axence, s u r celle d e .................... ^ H H . LE ROMAIN, G rande Rue. com m is h ce t effet, X C h a n tilly » c h e z DB nar le T ribunal do com m erce de Sen BONNE CLIENTÈLE .com m is à c et effet. P o u r le quatrièm e RUBÉ-BOCQUET, place d u M arché. DB lis, le d ix -se p t Mai 1892, e n re g istré ; lo t, s u r celle d e ............ S ’a d r e s s e r p o u r le s r e n s e i g n e m e n t s : S’adresser à M adame v euve MM. TUIERRY-PÛULAIN, ép . e n g ros. D IX C P I È C E S A été ex trait ce q ui su it : V A M' DEMELIN, avoué à Seolis, POUCilARD, place do l’Hôpital, Total des m ises à M E n Y O P a p c e lic a » DB BEAUYAL-ROBERT. L eT ribunal déclare le s ie u r A lexanChantilly. poursuivant la v ente ; p r i x .................................. * Sises te rro irs de GILOCOURT BENOIST. A P o n t-S s ln to -M e x e n o e » c h e z tlrc-ProspcrALÉPÈK. pè re, m archand 2* A M* RICHARD, n o taire à Ponte t MORIENYAL, Fait et rédigé p a r l’avoué p o u rsu i (lü bois à Belle-Eglise, en é ta t d efailDUCROCQ. Sainte-M axence, H " dEépositaire m ilb D É HdEuUcahier Ni S ituées a u x te rro irs de v a n t soussigné, des charges. A V endrepar Adjudication Veuve TESSON e t Fils. \ G b o rg b s L E V IE U X , E tudes de F ixe p ro ^ so irc m e n t h ce jo u r la P o nt - S a in t e -M a x b n c b , P o n t p o in t , ' avoués à Senlis. Senlis, le 28 Moi 1892. E n l a M airie d e M orienval, e t S a in t - V a a s t - d k - L oncm on t , A Céder de S u ite date de la cessation des p aiem ents; Le D im a n ch e 42 J u in , à d e u x heures. Le Paquet de 250 grammes se vend partout 0,30 cent. Signé : A . SAINTF.-BEUVE. a rrondissem ent do Senlis, O rdonne l’apposition des scellés POUR CAUSB DB DÉCÈS P a r le m in isièro d u d it M“ H o c q u a b d . iiartoul où besoin se ra ; E x ig e r le P a q u e t B i e n A f ^ e n t e t le nom A R I j A T T E m Avec fac n lté d e ré o n io n to ta le on PAR SCITB DBSURBNCIIÈBBS DD SIXIÛMB E t e n registré. S’adresser è Madame veuve VIN Nom m e M. P a rm e n ticr juge-com p a rtie lle . CENT, à N anleuil-le-IIaudouin. I f adresser p o u r les renseignem ents 1* d ' dnb m issaire et M* M artin, avoué à Senhs, de M ' l i e n i c q a e . no L ’adjudication a u ra lieu 1* A M* SAINTE-BEUVE, avoué à syndic provisoire. h N anteuii-le-H auaouin. le D im a n c h e 2 9 J u i n B eillis, poursuivant la v en te; P o u r insertion : A . V E ilV O ItE i 1892» ET SES DÉPENDANCES LeG reiner d u T rib u n a l. A Vendre par Actjudication • V A M* DESABIE, notaire à Creil, , d d e u x h e u re s de relecéei Chez M. TASSIN. p ire , L é o n BOUCHER, Sise è NANTEUIL-LE-HAUDOUIN, d é p o sitaire d u ca h ie r des charges. route do Com pldgoe, 15, f adresser p o u r les renseignem ents on la ru e a u x P o u arre s, n* 2 5 5 b i s ; P o u r insertion : V A M'LEVIEUX. avoué à Senlis, 2 ‘ BT DB Signé : A. SAINTE-BEUVE, Art . 5 . E n 2 0 Flèeea, p o u rsuivant la v ente ; T e rro irs d e PEROY, BOISSY• ■ Do différentes C oaleivs, 2- A M' BRAUCIIAMPS, n o taire GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS o t L É s m 0 FRÇSNOY CILEVIGNEN ^ (OiM) Pont-Sninto-M axcnco, dépositaire du BT AUTRES AfiT. 2. T e rro ir d e NANTEUlL, ■ É a f a i Ë MlA-nUn ' DU O H E W B U X i Le D im a n ch e 42 J u i n , d u n e heu re, o a h ie r d es charges. lieu d it en ta P laine d u B o is d u Y<4> E tudo d e M“ O eorgea LEVIEUX, S Y N D IC A T E a U m a iso n d ’Eooie d e PeroyA vet-voBt dM C l t m a z g ria ? licencié en d r o it, avoué a Senlis, L’adjudication a u ra lieu le I h l a r d l les-O om brieB, A vM -voiu dM PaUlcMlMY m e S aint-U ilaire, n* 10, ' E tudo d e M’ A. SAINTE-BEUVE, Y M ChaveoB ~ ........................... se p t J a ln 18 9 2 » P a r le m in istè re d e M' L b bic o d b . fM sont41a MÎMm N toBd>aal4lsl ,E A V M S N T tÈ H B Les cré anciers p ré su m é s d u sieur licencié e n d r o it, avoué à Senlis, . Suce’ de M" A l Lu a r d e t C h a l m in . h e u re d e m id i. • m t •rr. ® Au C hâteau d e OUoeow t. A lé pé b , père, sus-nom m é, so n t inviru e de la R épublique, n ' 17, > KiaptOTM ! • ItOTAl. W m M O R . « n i i w En l’audience d e s criées o ù T ribunal té s à s e p re s e n lc rle M ard i r J J m n f M * . Successeur d e M" V an t r o ts e t F r é m i . , «ox GoBveax o ris la eonlaor « t la _ . l^ u a rg e E .é g » l e E tu d e d e M* QdRiLliON, notâjTe tm civil d e p rem iè re instance d e Seuils, ~-nn«UeB d« l a t e e a e e a a l l e r r a t a la ebet* J d n e u f heu re s et dem ie d u m arif». au à C bam b ly (Oise), au P alais do Ju stic e, r u e 4 e l i a PaDlmilea. 11 cat la BEOL R èo6nM etew I Suivant e xploit d e Dennel, hu issie r Greffe d u T rib u n a l, sis au Palais de V EN TE SU R L iaT A T IG N --------------1 T a n U to a R m n « tM M n ta . — 1 R épublique. à C répy-cn-Valois, d u vingt-cinq Mai Jnsllco, à Senlis, ru e d e la Républi.w. .te d o is l«fM M M s*. 8 e treava é b u lea OotffMra-PaHtt- ■ d ' ùm 5 A n s . G p tn R o a e n . f a d resser p o u r les r e n se ig n e m m ts _ ____ A nteoBa e t dettt-flaéoBa. . . . . A 1 p d lh u ltc eo tq u a irc -v in g t'd ü u z e, cnre- mto p o u r y d o nner leu r avis ta n t su r la com position do l’éta l dos créanciers r A H ” DÉMELIN e t LEVIKUX. Boa p our le G harroi e t l a G o n n e . Sise h RoNQUBitoLLBsfSeine-et-Olse), |£HTREPOT : S iS .'S iu e d o l ' é o lilû u ie i.. PA R IS ! plu p rè s l’Eglise, avoués è S e n lis; ® E tà * la re q u ê te do M. Julos-Philo- que s u r la nom ination d ’u n I l i i v d b a n e e s u r d ie a B d # dn P re sp e e ta i eontenâttl ddtàils â a ltM ta tie e i, 1 De l a oo n te n an c è d e sieurs sy n d ics définitifs de la faiflilc, ’ 3* A r LENICQUE. o o u ir e à N ang ^ n e C hapelle, boulanger, dem eurant d M.kU<métres de la g a re de A T B )« b R IB ' e n exécution de l’article 462 d u Code -eo h e o ta re a 2 4 s a tê 69 o e n tlarea, teuil-lo-llaudouin; C ham bly, L e a u ri^ a é lu dom icile, en l’étude de com m erce. 3 ' E t a u Greffe d u T ribim aj cItU de E n 5 t P lè i^ e n , A Vetbdt^ 0 U à Msouer P o u r insertion : à e H ' L evieu». a voué à S enlis, m e , Senlis. ÀCREIL, M . R E 9 T A T f N T . C ollfelif-P»rtnm «M , 15, . r t n a . i t I . O t n . Sjse-s terro irs d e BOUILLANCY, RÉEZA L’AMIABLB Le Greffier d u T rib u n a l. S a ln l-H ilaire , n u m é ro 1 0 , q ui est FOSSE-HARTIN, VILLm S-SA IN Ta C R ip r - E N - r iL O I S , » 1 . e i I R N l R R , l , m e (te U B ooobetle. ' S’ad resser a n B ureau d u Jo tim a l. U o N BOUCHER. eonsUiué e t o t» u p era p o u r e u x su r I CENEST e t BR 0 ÜY4 liL p résente notification e l les sm ie s ; . A m u ^ m ic m ' J o d ld te irtM * A m o u i l" . ______ I I m Attirail de Culture 3 Pièces de Terre D b trib o te n r d’H ngrsis BELLE CARRIÈRE Caidtau à flacar. t e r r e I I V E A lU S O T S T I Maison de Campagne 3'- 63“ 70' , de Terre 1B JL 1 8 0 B -___ ..i_„ Matériel de C u t l u1 r e t e H ^ ^ l i l S 1d e m a n d e s _ e t U ''84“ 5 1 'de Terre et Pré] o ffres VENTE MOBILIÈRE BEAU MOBILIER Trois Maisons conlignes P R O P R IE T E Ferme de 180 Ilect. M AISON MAISON BOURGEOISE :iv E A is o T s r g D’ UNE MAI SON Bols, de r Chauffage T E R R E S Terre, Pré, Bois &Friches ! 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