DEPOTES - Bibliothèque municipale de Senlis
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DEPOTES - Bibliothèque municipale de Senlis
CINQ CEN'it’TMEg — Le 78* année, — A®8 CEjjTOjES lîaaTier. • • •• •;• ' Là-âti ' “ « '. ï ü . ; ; . K 1150 i 16 I c»-n?. *• isr«p,in). BaDlis et Oise* Aatree dép. Ént. b u r e a u x , r é d a c t io n On i*AMinrB aux B ureaox du J o a n u l e t dtnS to w les bureaux de poste. — L ’ibonnem ent est payabU d^’a ran ce et eouti&ue de plein d roit jusqu à réception S E N I iI S d'ark eontiaire. Ir. ^ .f S parfont da Zioe Abona l a p l i c ^ 'l W ii:o conreaiVfuV*^'» •aeau du JourUaL ' î^'inand? dani un# < ■ r la cuiane, 1, jJ • linge. iureaa du Jontmal. re PAJEl r:B. de m SÉCURI’i ^ ' o r a t e u r "d’à ■lee p r e fc e ie j^ ■nrx eonseille&t, i ■ l enn «4m , j i Paraissant le Jeudi ét fé DimancS^ • & — 11» K a o e d e P H é te M e -V ille , 1 1 " P X iX X : a d m in istr a tio n T j 5 : i . é : p s o n b nr * Z3B S IX T S B B X IO X T S : CgSO0 . la lîgB& ita is B ..., — S È N I iïS 0,2B —_ ■ i.lU clam es .... 1 F ûts toers.......................... OH N’ACCEPTS fia D'dnEBTIOH AO-SESSOnS SE 1 EBAHO O i(iO'«<la S g i a ,1 * '. ,j— | ' Les umonçes, téclames, etc., cq^icernant Paris et les iDépartcments sont re^ ef directsmsDt , aux .bureaux du -joumaL. ^ y Les mamüscrits, insérés ou non, ne sont pas rendus. oa du iS ds cbaqaa mode — Je suis M. lienry CJiéron, sous-'» êtaire , ce point, n’a pas voulm suivre le mi coup dé parapluie dans 'l’œ il le com m is^ d’Etal à la Guerre, dit l’un des perr- âges ; : La dénonciation du contrat était saire de la Sûreté générale Baiior. i nistre des finances ; il s’est contenté je viens visiter le quartier. ' ; d’autant plus facile à obtenir que le ’ Le sém inaire, qui était désert, a été vi-, de voter un droit de I fr. 50 0/0 c’est-àL’adjudant se nul à la dispositioB'^âès'îarrisité de fond en com ble. Il a fallu enfoncer: contrat n avait pas de limites et qu ü dire d’augmenter de 0 fr. 50 le droit IS e tx lc e télégraphique spéalall vanlsaveu l'unipresseuient qu’on devine et la u n e demi-douzaiiie de portes. j peut parconséqueiit prendre fin à tout appliqué aujourd’hui. C’est déjà fort visite Commença, Mais un sous-officier sa u |i1 Même à certain m om ent, par suite d’uno^ çonneux ou simplement trop curieux^ <ÿi Séance d u m a tin 2 5 J a n v ie r 19 O t moment et après décision d’une des m éprise, o u e s t entré dans la basilique oiii élevé. La Suisse ne-perçoit rien de ce -^01x1011 pas de vue M. Chéron, s’aperçu t'^ e ne la deux parties contractantes. Le onze se tenaient 150 Icm m es avec deux prêtres. chef. La Hollande a une taxe de 10 arhe du prétendu Sous-secrétaired’EW à la La séance est ouverte à 9 h . sons la . Celles-ci se sont iiiTses à pleurer, puis à ianvier dernier, les patrons ont donc présidence centimes, l’Angleterre de 50 centimes, Guerre était postiche. li préyint d ir e c ^ e n l de M. Antonin DubosL Qul m et j clianter des cantiques qnami elles out vu dénoncé cette convention et ont repris on discussion l’article 23 de la loi de finan TAllemagnede 60 centimes. Chez nous, i’adjudant, qui résolut de punir le modifica la gendarm erie occuper l’église. | Après avoir promené ie faux livaih iroa leur liberté de traitei-, chacun de gré à ces (article 42 du texte de la Chambre) qu i : ; Des iiom m es postés dans le clocher, le droit qui était de 50 céntimes avant teur. par les chambrées et les cuisines, iilè d )n d u tporte à 2 francs le droit actuel d ü n franc h ’.ayant jou é que le rôle -de vigies à l’apL’application de la loi s u r le re p o s gré, avec leurs ouvriers laqhestion de par 100 kilogram m es de sucre rafline, les 1898, a été porté, cette année là à 1 fr. sit vers les locaux de la salle do pcüce. * ’prôclie des tVoupes, n’ont pas été inquiétés. liebdoinadaire a v ait été accueillie, p a r salaire. . , Le voilà à 1 fr. 50. Il n’y aurait pas de — Entrez dans une de ces eelluies, m otsieur recettes étant destinées à payer les détaxes ! U ne c u ltu e lle schism .nlliiuo Cette décision a été communiquée de distancé. les ouvriers b o u lan g e rs, to u t d ab o rd . ____-.t raison pour s’arrêter. Or, si les autres le ministre, lui dit-il gracieusement; .voyez 1 P aris.— UeJouyjial offtcid yi an n on cé la M. T o u ro n développe u n a m en d em en t, quel souci d’une hygiène démoèrafique par ministère d’huissier à la Chambre avec un en th o u sia sm e in d escrip tib le. pays ne tendent pas à accroître ce avec elles sont-inslaliées. avec ïun grand nombre de constitution d’une association c u ltu elle , l ’il aa déposé avec Le Syndicat ou v rier fa isa n t cau se com - Syndicale des ouvriers. Le compagnon qu’il droit, plus qu’aucun autre nous devons catholique, apostolique e lfra n ia ise .T iie l.eEt, ce' disant, il poussait dedans le ^ éten d u ses collègues et qui f e u r faifobsèrv|? gendre, 22 bis, dans l’ancienne chapelle des munê avec la C onfédération g é n é ra le iW sq u et et son camarade Savoie ont I droit d’un franc. X’r nous garder de l’augmenter, puiscpie ministre et l’enfermait à double tour. L’o— — — BarnaWtes. . , t nous sommes, en réalité, le plus grand Le lendemain matin, quand on relfidia le du T ravail, a v ait p ris les m esu res n é refusé de^reçevoir lexploit de Inuis- que l’im pôt su r le sucre n ’est que de lu L’ôrgauisateur do celte association, M. mystifié, on prit son nom’êt l’on sier. Ceci n’a aucune importance : les francs 50 e n Angleterre est de 17 tr. 50 e n , I ','Villate,est cessaires p o u r im p o ser a u x p a tro n s marché de capitaux. Or, c’est frapper mystificateur un ancien prêtre, qui se fit nomA llem agne. Or, en France, il est de & frv; s’aperçut que l’on avait eu afihire au rôdapteur la stric te o h s e n a tio n de la nouvelle boulangers ne sont plus soumis a C’est déjà beaucoup. A la rigueur, M. Tou-j jmer évêque dans l’Inde par les protestants indirectement ce commerce des capi d’un journal des plus blocards et { m ed ^ iè r e- • l’ancien tarif et, par conséquent, ron accepterait u n relèvem ent de cinquanta; appelés vieux catholiques. Il vint ensuite a, taux, véritable produit que nous expor- ment cher à M. Clémenceau. i* jioiu e, proposant de se convertir, si ou lui ^%n s’était dit que si le gouveme- pêuvent régler leurs employés à la centim es. tons par des placements àl’étranger. Le . , ' assurait des appointem ents. Ou refusa sa 1.0 m in istre appuie le relèvem ent pro-, P eut prendre le tramway/*^journée et non à la semaine. ment faisait preuve de mollesse ou Sénat, à ce sujet, a adopté, après une 'conversion. Ainsi disparait la seule raison qui posé car, dit-il, avec lesj recettes a c tu e lle ^ Mererodi, le Conseil municipal dtAiciênfii par bien de tolérance coupable, on saurait rédaction nouvelle des articles propo il n e peut plu s payer les détaxes de dis-' voix contre 7, a voté une imàemnité an avait motivé l’arrêt de la Cour suprême bien forcer la main à M. Viviani pour sée par M. A. Ratier et mieux appro 18 tauce. ? nuelle de 1.500 fr. pour frais dqiramvvî^ des lui rappeler que touteioi votée et pro condamnant les patrons. La décision I .àprès dos observations de MM. P cytral. priée au l3ut que l’on se proposait. Une conseillers municipaux. ,, i mulguée doit être observée stricte prise par la Chambre Syndicale et llo u d c n o o t, l’am endem entcom battu jpaç . disposition destinée à assurer une C’est un commencement !, le gouvernem ent et_ par la com m ission patronale n’est pas sans causer, parmi , Paris’. — Le m inistre de l’instruction puNid doute que l’an nrofcliain 1rs édiles d’,4publicité plus sérieuse aux émissions ment et sans délai. ne se votent, k 1 exemple des chers dépu! bliQne a déposé sur le bureau de la CliatnPeu importe que les patrons boulan les ouvriers, une nouvelle agitation repoussé par 133 voix contre 134. de titres français ou étrangers. Somme miens tés, uneaugmenlation d’indemnité, i»;; ? Les articles 29 à 32 sont adoptés. bre ie projet qui modifie la'loi de 1882 sur gers, aux prises avec les difficultés de qui se fait jour dans les offices de toute, la Oiambre Haute fait, en exa l’article 33, (taxe sur les im p rim és); Tobligatiou scolaire. Tesercice de leur industrie, n aient placement. Les meneurs, ceux qm ne M Sur minant ces points de détail, dont beau 'i Le projet est procédé d un exposé dq, m o .I .e y ile t dem ande la disjonction objecq pas eu le temps ou même les moyens rêvent que de semer la discorde entre tant que le rétablissem ent de la taxe a,sur tifs indiquant, avec les résultggffiéja , w e coup ont une importance plus grande de réglementer, surde nouvelles b a ^ s , patrons et ouvriers, les gréviculteurs, tout pourobjectirdedébarrasser les büreaùx- n u s ^àC6 à la loi F êtrÿ,oé q n tffe te aT iire jj5tt!iL,n’y paraît au premier abord, une pour universaliser i’iu'striic|iôijTiBl'i de poste d’un très grand nom bre d’im priL e s c o n s e ils de r év îsio tf.Ife travail de leurs employés. G était le pour les appeler pur leur nom, ne se m és.O n ne veut pas m ettre le personnel au ■Voici le diSpositif'du p rojet de-loi : ^ "’ÎVehog'he très utUe. L’examen des tableaux de recensement et, possèdent plus de joie à l’idée de niveau des besoins du pays alors que le cadet des soucis de ces derniers ! « '* ît ® ^ p r e m ie r i — Êbrsfjiï’uu enfant les opéralions du conseil de révision en 1907 La loi prescrit un repos hebdoma- trouver une nouvelle occasion d exer classem ent de 5 ou 6 m illions de circulai-, m anque m om entaném ent l’écoie, les pa eommenoeront le 18 février. i ' daire à tous les travailleurs, natureUe- cer leur déplorable influence dans le res pour Paris, que l’on veut supprim er, rents ou les personnes responsables doi La clôture des tournées des conseils d,e révi nécessitaient deux em ployés par au. Il ne ven t faire connaître au directeur on a la mentles ouvriers boulangers entqndCTt monde des travailleurs. . . . sion est fixée au 18 mai 1907, au p ln s^ r d , et pas pour si peu bouleverser tout ie, directrice les m otifs de son absence. 9n connaît les épisodes du siège du col la séance de clôture définitive des opération» Dans une réunion extraordinaire la faut en bénéficier comme les autres. En pays. L’orateur défend donc le systèm e ac-; » Les directeurs et les directrices doivent lège deBeaupréau (Maine-et-Loire): 3.000 au 28 mai 1907. cela, ils n’avaient pas tort; le législa Chambre Syndicale patronale de la tu ei. 1 tenir un registre d'à[ipel qui, constate pour ■ ■♦■■■■........... teur n’a pas fait d exception pour eux, Boulangerie, après avoir examiné la ■ M. DoTaliayo appuie la dem ande de M.| chaque classe l’aiiscn e dos élèves inscrits,. personnes venant défendre un collége'enE lè v es-O ffic ler s d e ea v id erie» tretenu à leurs frais, les portes défoncées Leydet et expose qu’il ne faut pas toucliér A la lin de cliaijue mois iis adressent a situation minutieusement, comme il ils ont donc droit à un jour de repos Les épreuves écrites d’admissibilité pour les à coups de hache, et si l’une résistait, rinspecteiir priinairo un extrait de ce r»-' à la taxe parce qu'elle intéresse 30.000 ou-, par semaine. L’enthousiasme avec le convenait, a pris les décisions sm- vriers brisée et enlevée à la dynamite, les soldats sous-officiers candidats à l’Ecole tl’ap'plicalion gistro, avec l’indication du nom bre des ab de la petite im prim erie, ‘ quel, comme je viens de le dire, fis vantes : sences et des motifs iiivoipiés. . ■ chargeant à la ba'ionnetle les assiégés, qui de,cavalerie seront subies .en 190Ï, ies 20 et La séance, susp en due à midi, e s t r e ^ juillet (le 21 étant un dimanche)- Les exa 1» De maintenir la dénonciation de voyée.à , I Les seu ls motifs réputés légitim es .sont avaient envisagé cette loi, doit etre at se défendaient à coups de pavés, de bri 22 ce soir. mens oraux d’admission commeaeeront le 1 " les suivants : maladie de J’oiifant, décès ques etd e bouteilles. tribué h ce fait qu’étant payés à la se la convention du 8 avril 1003 ; octobre en suivant l’ilinéraire n‘ 2 i Luulville, d’un mem bre de la , fainiiie, em pêche Ce véritable siège ne cessa que par une Cray, Lyon, Reims, Compiègue. Melun, A ngers, ' 2” D’afflcher dans ses offices de pla maine, fis caressaient l’espqir de tou Séance de V après-m idi ments résultant d elà didiculté accidentelle capitulation en r ^ l e , le préfet ayant dé îlonlauban, Marseille, centros (Texamé’n s. Le cher intégralement leur salaire hebdo cement que les ouvriers étaient doré des communications,. Les autres motils claré, devant témoins, au supérieur, qu’il cours des sous-offloiera admis à l’Ecole com . seront a p exceptionneiloiuent invoqués navant payés à la journée, au prix de madaire comme par le passé. La séance est reprise à 2 h. mencera le avril 4868 et se ténniaéra le 28 de n’y aurait pas de poursuites, préciés en raison des circonstuiices circc Ce tarifétaitsanctionnéparlaconven- 7 francs par jour, et que ceux qui n ac Le Sénat eontiiiiie la discussion de l’ar-; « Ma parole suffit, dit le préfet. Je février 1909, fait. . , r . . , tioii du 8 avril 1903, arrêtée d un com cepteraient pas ce tarif seraient rayes !icle 33 de la loi de ünauces (taxes su r le» Raïqietous que les candidats cMjà déclarés » ,4rt. 2 . — Lorsqu un enfant s est donne ma parole qu’il ne sera pas exercé iinpriinés. ,1 mun aecordentre la Chambre syndicale des listes d’inscription ; admissibles sont dispensés des épi-cuves écrites sen t de l’école six'fois dans le m ois pe ’ poursuites. », , ■ .VI. Kymi'in, sous-secrétaire d’Etat adtpour les concours ultérieurs. Exception est daiit au m oins une dciiii-jouriiéc, sans jiiq3“ De notifier cette décision au patronale et le Syndicat des ouvriers, Jr, on Ut dans le Siècle ,■ posie.sï't télégraphes a la parole. faite |Kmr les sous-officiers candidats u ^ ciers ^ - . lificaUon légitim e, i’inspecteui' primaire, convention qui était toujours en vi Conseil das Prud’hommes de la Seine, I Les scellés ont éfé apposés, lundi, à comptables, lesquels sont tenus de .jaire Si M, Siiiiyaii an dit qu'en regard de la pértB j après avoir pris l'avis, du maire sur la sipour qu’elle serve désormais de base dhiait-mefiège- de B®aupréau; en jiré-- ebaque concours fit «unitusiiU iii.éu^h^uraa gueur. , qic riisniL'.■ra du ' relèvem ” • en t -do la ta»BrlS^ j-j/^ ,pjjnd et,T ‘fiinTrHéct-la vandité des m osepce du préfet de Mahie-et-Loirè ,e( »ans sujet de contplahililé. • , iser cette' cette'considération, qu'une^ j y fj envoie la liste dos abseiiees au juge de opposer considération, tm Les ouvriers avaient donc en pers âans les règlement 'de contestations . ' ♦ ■— ■ postale n’est pas nu im pôt; c e s t i e incidents. Gomme suite gux événements paix, en y joignant l’avis du inqii’Q et saa pective le repos hebdomadaire, mais qui pourraient survenir entre patrons p ü \ iPiiii service r e n d u ,’Le service que de samedi, des poursuites sont ordonnées . L e s marchés d e la g R érre. avis personnel, ............................... un repos payé! De là leur empresse •et ouvriers. [laix saisi, ss'il esre:i 1 l'Etat aux expéditeurs n ’est pas du » ,\rt. 3, - - 1,0 juge de paix d es Quatre circulaires de M . Chéron., ; M; Bonnet fils, m anufacturiér' \ Ces décisions n’auront peut etfe pas Loni payé. ment à exiger l’qbservaüon immédiate la- contre tiiue qu’il y a infractio,', adrc.sse aux pa j Chûict, qui a insulté le procuyettf de la , 51. Henry Chéron, sous-secréî'Mfe’' iVEt&t, ron r c n tsn ts ô ii u aux nersoniics personnes respoii-sabLis rCNpon.sal)l.!s une un le don de plaire aux ouvriers mais en de la nouvelle loi. ’•!, ila lîc r appuie la dem ande de disjonc-; République; M"?'' B o u rp t,' Cultivatrice; vient d’adrcsseï' aux directions du ministère de adm ouestalioa sons forine d Les patrons, ndus n avons pas be tout, cas on ne saurait leur contester tiOii. Il dit qu’on deniaiido beaucoup trop I MM. GharlesSuhilèau,charpentier; Ludo la guerre quatre ciri-iilaires reialivëàsnix mar frais, . ■' l - ' soin de le dire, ne voyaient pas les d’être empreintes d’équité et de bon peu aux expéditions des petits imprimés.' sans vic LelièYl’O, eoill’o ur; Joseph Lamprière, chés. » Art. 4. — S’il y a roculive dans les Il prescrit (out d’abord qu’il ne stira désor choses par la même lorgnette. Ils ont sens. Il est à remarquer, d’ailleurs, que peintre ; Joseph Saulard; màçtm, » douze mois nui suivront la première \r mais passé do marché de gré i gré -que daas fraction, le ju^e de paix fera cou.iparaitre h compter avec la conctirrence et dansnomlire d’industries, à la suite de les eas ot'i l’objet d-.i irailé à iutEpvèiiir rend!» en audience pub|i<|uo Igs perenLs ou les l’application de la nouvelle loi le per l'exigence de la cUentèle qm demande absolument nécessaire l’applicatiéii de t'un des persouiK s rospunsaiilos, pour s c n le u ire paragraphes 2 à 15 de l’article 18 dû décret (lu un pain frais quotidien; or s ils pou sonnel. payé au.iiiois, ou à la semaine, coiidaiiinoi' à m io am ende de iiu à cmq 18 novembre 1882. '' vaient, à grand peine, se procurer ce est réglé maintenant à la journée. Et francs, dont l i piod uit seca versé a ia caisse S é a n c e d u 3 5 j a n o i e r 190 7 Eu aucun eas, les services lociuit ne pour des écoles de là com.aiilVc du délin iuajtt.; Les Cuissea d'èpargae. i qu’on appelle des « extras » pow as les ouvriers qui, n’aperçevant pas des ront invt^tior le param phe l"/âhaH article, » Art. 5, — Un Qis d’uno iiouvollo réci Nous lisons, d-uis le fo w n a l officiel : (pii autorise à traiter de gré à gjréJiliSrsque Id surer tous les jours le travail de la pa le début, le revers de la médaille, ont La séance est o u v e r te à 2 ;i. 13, s i u i divé, i'infraction sera, considérée cnnimo montant du liiarcBé n’atteint pas 2o;0ü0 fraaes nification, Us ne se trouveraient pas acclamé le repos hebdomadaire, com présidence d e 51. B r is s o n , p r é s id e n t. R cifA ’é (1( 8 a p é r a l i q n s d e s ( l a i s s e s d ’é p a r g i i o une contravention ot pourra entraîner con au total. V *, o r d in a ir e s ; v e c la C a is s e d e s d é p ô ts e t o o iisiÏ Ï n r s U e reposétait appUqué w mme mencent à comprendre qu’on aurait damnation aux peines de poliÇü,CQnlori)iéOn adopte une propositiüiule .51. Canii'de Enfin ie sous-scerélatrc d’Etat j i ’approu’/era peut-être mieux fait de les laisser s en Foiiiiuel tendant à la nomination d irie m ent aux articles 4Y’i 489 ej sinvanls du g i a l i o n s , d u i i a u 2 0 j a n v i e r ; f e s p é r a ie n t les employés, dans la dure les marchés qt’l imurraiil lui être soumis vju’aÜé pôl s de ' on’s . 9. 870. 645 49 d’eu(|iiête chargée de rccueu- Code pénal. près qxamou pi-éala’a lc par la voiuiuisS/Eii de. nécessité de ‘p ayer la du tendre et régler cette, question avec Coiiiiiiisslpn I L’article 4]33 du iuèm o Code est apid.valir et de ptriilicr les déclarations de toi dos R eirailsde loi d p ., . j|— 4 .403.88a 32 qes càîiiors des charges, rfeççauiséB; personnel qiü se repose et celle de leura patrons. Nous avons une fois de députés eius les « et 29 mai 1995. ble. E.xg.;ijcnl de uetratls.............. 1.533,.239 83 ) sôtts le titre de: » Commission dos c,â'aiersdesi eelui qui le remplace. Cette Pfrsp®Ç- plus la preuve que, dans les graves ï Art. 6. — Il est institue un çertiiicat charges et mareltés ». Tout mai'cbéritevra CIK d’études primaires éicm entaircs ; il e t- dé noiuimlr*^égaleiii’ont tive n’avait rien de so u rian t, _elw questions de salaire et de réglementa- j L.'s-Jtux oljinpiquosdeLQudîeaeiiîDOS , également revôh!de lasighatuvcdestliro<.leurs el cerné après ipi pxaiqeh piihlic a ■ don de ti’ aVflil,Te législateur doit agir 1 Liiamoie ueci e . .. augmentait les frais g ^ ^ ra u x d ^ s une coium ission de du contràle et du contentieux avant d’à! rc sou pourront 5Ç présenter les entants aya it .’itLe B riiicir Olviiipic commilss organise à mis à l’approbalioii. ‘ v une proportion dpnt lim p o rt^ c e avec une extrême prudence çt s entou teint-iÎM'moins l’àgo do douze ans av i IL le i'occasimi.de l’gjpustbait db I/Qndrcs.cn 1908, Dans une seconde circolaiifègte so n s-se c ré :lIvqictO brede l’année où ils subissent 1 c varie avec eeUe de la boulai^ene elle- re r de renseignements techniques dont dc's jc n x ô ’yittplqiies c-t y ont iavifé les Fédit-^ laire d'Etat rappelle aux dire(Xionvt|ue la counteii. Toutefois, des dispenses oxcoptamrâlions françaises. " ■^rae, mais eUe ètaît to u fô m très il a toujôui’s b'esojhv clnsiott et l’exéeutieii de cor(aiiiS;^!u'cliés pas nellêS'qui ti-exeéderont pas six mo s pour L'f Fédéral ion française do»: Soeiélés d’aviVous verrez qu’avant peu, çpux qm ture sés parvoied’adjndiration soqd^ventde grandes ront être accordés par Ip recteur sur i avis I ron, la Fédération ffflaçaise dès Sociétés de difficultés qui peuvent ôJrii aüé{iiu^s à deux 31. E iim iaiiu el Ilp o iisso . popi’oiid la dispS ions'la jôuraé^ 4e repos se sont montrés les plu_s partisans du motiv'é de iqnspeciéirv d’uvad uut-.;: ' boxe, rfiiioR des Sociétés françaises des sports (YAiaOAC'• ..V'ciissioii de soi) inloiqiollaiicin snr les ç-iiiEvidemment non, repos hebdoraadffiré eu reconnaîtront, ciissioii de » Ceux qui, à parlir de c it aur.'ut alhléUques, l'L-nioiii vélarijiéiîlqne de France, 1“ L’époque tiaxlive à laqjielle les cahier» ses, de la d isgfjce do .\I. do Saiiit-Aubin, l'i l'i n.oii des Sociétés de lie de France'el rp u iü # ■ des cfiarBoa sont rédigés et arrêtes, ce qu» uMe n’à jam ais eu cette dans une anp^catign stricte et brutale, sur rcxteusioii abusive lîo lu loi duinuittiC obteùu le eertiiicat, seront dispau» temps de sc o l” ' des SociéléS de gymnastique de Franc®, M unies et au bon les nombréûxlnconvénients. einpèobê T’administratiou d’e» faire jiuc étude aux gros fraiidciirs de vins et sur la seve- SÉ N A T SenlU, le 26 J a n v ie r 19C7. ÎAUTIERpitu^^ lur l«s coa£SoaT^ |man'le benne d’entJJ*» ‘ Rédacteur en clieî * IdOUp BERTROZ. nA nB O insrB M B ^TS W S E N L IS JO U R N A y Paraissant le Jeudi et le Dimanche. ^ar«X •G. Seigle^ ' r Les Ouvriers boulangers. l'obligation scolaire Questions HilMrtSL. rramesses d’un Préfet. jsme (Nii lf« r du Nord, det '( ^tres grZB^ C Paris, Exposîtioa ] I JURY * HBISt Lèure à CbantSlj, ■ü> 'è i * e s L U D IN çhevl ^» R O T le v a r d du ( )MPÏEGNE Héffion fC Æ Æ ÎT avantageta.t = 5 ^ lié, nneue oa (: gQitfrtr com^à PW?» m Quaûd aux ouvriers boulangers, sens. * • • — 11 -nrm . si la loi avait été votée avec moinfi d e précipitation, elle n’aurmt pas, comme celle de la Séparation, soulevé tant de difficultés dans son apphcation. Il eut été peut-être facüe de trouver, pour certaines industnes surtout, un moyen, tenue p e rm e tt^ t de sauvegarder à la fois les mtérêts des patrons et des ouvrière sans que ' Thymène eut à souffirir des amradei metits qui s’imposaient dans certains cas. Les législateurs ont conçn^ee pfqjet dé loi pouvaient syndicats, patronaux ou obtenir des renseignements très ntües leur perm utant de Q y»nn!ftatées. de p arte td autres B ar chose. Du 4a, à prew nnre n m ettre le p t^ o n - d a fts Ta n é e e site u e p a y er u n t r a v B q u e , ? o ï ^ ® quelconque rdO vA er » e fféctee p a s , U eoufrgres Mr Morsh 4u B u l l e t m dés Battes, « ca sont eux qui ont e^gU le reBOS ; ils l’ont aujourd Iim, ils n ont d o n c pas à se plaindre. Ce n est sans S pas ce^^qu’ils ®®P®®® m a isà q u ilafa u T e ^ » r nos DEPOTES ÉCHOS*, N IV E L L E S rit -d o n t par contre lait, preuve 4a tlagio vis à-vis des petits délinquants. L’orateur cite de iioiijjiroiixcqsde fraude. 3151. laizios et fin iniizol protestent et ie bruit coaiiniio Uindis que 'L Brousse re prend ses citations. 81 E inuianiiel Brouss-a indique certains D rodiicleiifs de vin qui reçoivent des s u cres S0 U9 Taitpeljmiqq d’ « ongraia ». Le député des Pyrôaôos-Orlentaies cite des faits dém ontrant l’excessive seven te de la Régie vis à-vis des petits conim erçaiits. L ’e x e m p le d ’e n h a u t. Que a . VieUini te tranquillise. En pœ'lant d ’en hau t, nous n’a v q n ip a s fa ire dK usioh au x lum ières ou II a éteintes dan s so n éS prit:-C 'ettdu P arlem ent que nous ’^^cam m ^U a'tion de l'indemnité parlenienU iir^ e o a il faire des vùtim es dmis les sem U éet d ^ r le m e n ta U s . Des c o n s e illa aênêraux se sûnt dits : «.du moment que les sénateurs et députés s’octroient C-OOO f r c ^ s d’augmentation, nous PÇuvoiu n o M W t^ u r u i n d ^ n i té ». Sitôt dit, fitôt [ait. L indem nM de ces cûÀ ita iersp éi^rà u x fraî 9 ’ de toycuie (en ^ ç lM ith séjour au e ^ - U é u a rapion de 42 j m r , de déJLmmagemenü p o ^ assistance ■aux séances du cOnseU dç rémswn. de là Commission départementale ( i i francs par ioùrj. d u Conseü départèmentcà de lt»w- M. B ro u sse rapproche ces faits dé sévé rité de» facilités ’acpordeos aHX d u cteu rs; il cite un "egflclant o t o r é de ia Légiqu d’hon neur au titre d offiïier de territoriale. M I.msios.- Il faut que nos payons soient rudement naïfs peur supporter COld ' M. F e r r e tle . - C’était sans dotUe iueinbr6.du com ité Mrscuvrou. un les r e t e T M n r p it ïé com m e («la sepraU -, que e n A ngleterre. ■ _ A M , E tie n n e F t^o f f in quLdem^^^^^^ tait a passer. > Art. 7. a-,: Sqi|t qbMigés lé s articles 5, ii, 4 de la loi dii-,28 mars 10, 12. 13, 14 -,-------------. , isSJ , , et. les articles fiï, Ss, S’à, 57, 58 et 8J d>; la lot d u 30 octoiitta lliSu, ainsi q ii : toutes disposi tions (îontraires à là présente loi. » , La loi de l i i m e a a l i â t Le Sénat s i^ e , én cç iRçpRqiit, deux fois par jqqr pour en finir tivec le Iffidget. Cela ne l'empèehc pas de jiienér la'discvission sans trop de hâte. C’est ainsi qu’hier, il s’est occupé (ie la loi de finances à laquelle sa commission a fait snbir, coinme nous le savons, (i’assez nfifubréuses pqo^îflÇàtions. Le aénatapvesque,con8taromentapprouvé 'ces amendements. Il a rejeté l’impôt sur les pianos, imaginé p arla coparoiasion (lu budget de la Oiambro- M. Vic tor Leydet a plaidé, en faveur dés piânosj }eur utiljié couiute instrument dénature a çonsôliderde foyer familial. La musique adoucit les mœurs. M. ,1e ministre des finances lui-même a ré- sisté, sans conviction, à ce§ TOMpsi garêrdeT8crë“a'’x1iês motifs qui font^'er- j jje sentiment, La taii# piver-essive gé miné .4 no nas appliquer les .rêgiemeiits j gouvprnpiripnt sur les capitaux assurés p^lps Goœpagpiies d’asfiûrances françaispa et étrangères c a le ù r a t a U e ( 4 2 f r ^ t ^ j ^ J ^ ^ ( l^ _ ^ ija a n ta . contré l’incendie, a été aussi rèpous» jmoisae févpersée. Le principe de la progression n’a jours date les fttût étant I Les ihterpenqlBnW inscrit ■ 4 n« Jw* pas, été admis ; et la taxe 4é ,6fr, par aura peu dé prSfetfiont qui rappar- ’sBhteilàsésao»" "" million fiofit les capitaux sont actuel une carrière lement frappés a été porté à tû fréncs. L a S é p a ra tio Q Cette taAé n’aura pas ffieffpt .sur les ^'‘^]^^m%ntribuable paieraI capitaux assurés àux.caisses départe/ A 8 a ln te.A n h o -d 'A n r a y ^ t l a poUtUpte tobte c h e r j ^ électeurs. men^es et aux Sociétés d’MSurMcea niutuelles-agrifîoles. La (Iis4fiissipB a ffii,aprè»-jffidiw_^eu^ geM;’ été plus ’riyé^aupla quèstioè -du droit du iiinljré àij comptant sur les fitreg Bwnioa, sons la protection do force» un-’ étra^.eiÀ/^ seraient énjis apr^ff ïa prim a ire (4.2 fr a m s p a r ) 0 « r P .d v Comité d é p a r t e m e n t d e V ire c fu w ^ 8 janvier derater» en-ÎBTe®^ to rt« a p a ^ B fi otfirt'vünü ïffi confita de-la. ^encore, a o u n s .a fqdisplf. ah&T Sa^rtaa huvrie»». qtdtêh^oit» de «liét, 4e a&OBcér » 4enuo4çr la *• deitaiilru* i.'.:' '.'j : ùqè Bduscalade *A Ïiâiiib«tdel'i lérafiQU (Affilye, imprimeur^ à s’est produito' arr^w: w sœur do ce itepqh luont apprêUeudée pour ?■"” Vaiwâsie’t 'tâ' m a w ^ -! „ • J . I n in . le i-t janvier dernier, ont décidé de reyeediquen, pour elles-m êm es, la fermaiioii dn comilé chargé d’assuTor- ta participation de la France aux Je»*'O lym piques de Londres, ®n suifeamment serrée, et am ène‘les'sonniim saionnairos à établir leurs oSifes sans avoir pe en calculer toules le s conséqucncesjç 2" L’ignorance des conditions du travail et léqa,' ■ • , de» partieidarités des brànches'du bonmierc^ ,Elles estim ent que sonies elle» ont qualité El ou de l’industrie auxquettes on fait ^ p cL compétence pour asspvcv- el m euef a biçn la M. Chéron jirescrit alors toute uni! série 'de représentalioii tje, l français à celte j j^esures projets ’ -------’-'s de caliiei's U1X70USV.A pour, LTVMS. que ies ---- - 'ie s iiuporlani® gigqtfeslaUon. charaes. ch&rg6S) aptes avoir été élc l’objet l’objot idô lotîtes ohdàer* Un curieux phénomène. Le froid exceptionnel qui à régné en Italie et qui a couvert de neige non seulement Rome, mais eupoï-e N?q)ies et le Vésuve, a produit, un pfiéiiouièue exiréqtemantrare. La magnifique cascade du Velino, situéè tout pri^ de Mapmore, dans l'Ombrié, sur la route de Terni à Salmona, a été complèlèmont gelée. Cette cascade est la plus, belle de l’Europe, ayant 200 mètres de haqleup. L’aspect de cet Aninrme jet d’ean congelé était vraiment extraordinaire. Aussi nombre de personnes ae spnt reuduSàde Rome a Marinore par chémtq de fér OU en antompbile pour aller contempler ce spectàcle qui né s’était pas produli clepuis un uem i-siècle.cfette cascade'fournit la force motrice à plu sieurs étabUssements industriMa.qui ont dû suspendre les travanx en attendant le dégel. ’ • ---- ''À' ,. .. Béotlon an OonsidlClônéMl. CALVADOS Dans le canton de'Blangy, M. Pierre Du- obeane-Fournet,progressiste,a été élu conseil1er général par 830 voix contre 44t voix à M. Blondel, indûstriél. r^nblicain, M. pierre Dncbesne-Fojiraet remplaeehûiipère.aénateur, décédé, . , Jtdes Gti«âde . -y; . ^ ;; - y / ' ’Voteilasîthtmett&ulA j ^ é i a M N f , «s- quisséç par le citoyen Cliista.'^tlIMs/ -• Guesde est'uD sisËêt4. aSij|4is; f ncore sa siUioueUed’areigsêe p o i t u è f ^ ^ ,r der» rièré moi dans ta (;^.dft-!V M éw ier. Te jo u r où j’attai to i denàZDdeMJii fie date il .avait. défi&Rivmnent fix^ tte a i' volution «QBiate. I D é d g r e , utre. S1L titRlpasAùut « s t i w i ^ ^ ë t e ë e a a c o i i p j'' ' É kiéH hM M ré-m yed^^^ : On en raconte Une biéP bonne fier de te :qn»»- 'fie tui, dans . p eu ^ p ç^ 'S te^ ^ Vcxtinctwffl d » ^alf^»^tonner ■*—^ A PBW'l' 'PAR; îUN% ^ ^ |j tS r p £ A in Ç«nr 4>ppeL . Affaire Caron-Moutlm, IL André FaisaiiL avocat A la Cour d’appel de FariSt'défêiHlra les intérêts, dé M. Monthon, rédacteur an Atâi6>; qui a été giBé ‘eh gtfra da .Ihitd iMr. M^.JiiUen-Caron,-Uncieu’comeiller MUn'iéipâ de Paris. IL Moutbon àtr parle partie le g o ^ iv e r- ■âmire de' Ienctjre sup valions de la part, des rciiréschtants de. Tindnstrie, du commerce el ucîetfeauiln'es syndi cales ouvrières et palronales sçient s-juinis S la commisston de révision àsscs tôt ;-our quele cahier d'es cliarges, lois bordereaux; de sa laires et toules auties annexes s’a ■y« lieui soient com|ilètcmeut et déSuItivenMg.t nirètés! six mois avant la date de la pasaioci des. mar chés. ' Par une autre circulaire, Ib.^ous-secrétaife d'Etat à la guerre a décldié qu’aucun maridié de travaux ou de fournilutes ne sera doi-éna.vant approuvé si le cahier des chaiges corres pondant ne comporte .tiùsertioA des clauses -prévues par le décret du 10 août 1899 sur iem conditions du travail. . , ï ? Enfin, dans une dernière circulaire, le soumsecrétaire d’Etat rappelle 'aux-directions te décret du 4 juin 1888, relati-fraiix coopératives ouvrières de production tù décide que, lorsque les travaux et , ftmrnîÇares'suscépU® s d’être soumissioônês par •ûno assucmtionvhuvrière seront mià ên adjudication,' le'TÛomsfcPdes lois, f devra être abaissé dans la fÉesurè’'e(biténable^' a^on la nature des professions iuténùisées. ' Les A-CÙmptes devront èti«u>ilâivrés a sZ coopératives ouvrières: dans lesAconditi ona prévues p«r le décret du 14. — le8,dM:fead.4 f e # ^ ^ i e w ttefe^ u s .ygjgqgiq ',,ses an ecSitoM*?! touï à to ,a ï5 fc 5 'œ d u J r Vote de nos Sénatenrs. ^ e s s e D é p a rte m e n ta le . Bel Exploit ministériel. ^ Progrès de l ’Oise : Le cabinet Clemenceau pourra s’applau dir dé son récent exploit et du tour de main autoritaire avec lequel il s'empara de i’^ b lisse m e n t de Beaupréau et du Séminàiré de Noyon. Au nom de quel principe supérieur du Code prétendait-on expulser les habitants •de ces collèges et s'emparer d'une maison qu'ils possédaient légitimement. Il y a eu, à Beaupréau, une résistance énergique et des bagarres sanglantes en résultèrent. La troupe qu'on avait utilisée pour une besogne de crocheteiirs, a eu sa part de blessés. C'est regrettable, mais à qui la ^ a a te . Kaut-il répéter, une fois de plus, que les soldats qu'on appelle sous les drapeaux pour la défense de nos froatières, ne sont pas faits pour accomplir une besogne aussi écœurante. Lorsque, après les troubles grévistes de Lens, les sooialistee reprochèrent à M. Cle menceau d'avoir fait envahir les centres miniers par l'armée, le président du Conseil, alors simple ministre de l'Intérieur, pro testa de ses bonnes intentions et déclara que les troupes accumulées dans le bassfn du Pas-de-Calais avaient reçu l'ordre for mel de ne pas intervenir. Là-bas, cependant, on pillait les usines, on incendiait les maisons, on violait les propriétés privées. Dans les Séminaires de Beaupréau, ou de Noyon, les pillards ne sont pas les émeutiers de la rue, c'est l'Etat lui-même, et tandis qu'à Lens la troupe restait l'arme au oied devant les incendiaires, à Beauau et à NoTOn on la met au service de spoliation oiBoielle contre les défenseurs de la propriété. ' Au fond, quand on y regarde de près, j a tactique est la même, et l'on comprend 'qu'une pareille attitude soit désormais un fincouragement pour les révolutionnaires. Pourquoi se gêheraient-ils à l'avenir? I  o nom de quel principe leur interdi- | ,jrit-o n de procéder eux-mêmes à la be' gogne. du pillage et de vol à laquelle se livre l’Et-at appuyé par la force armée. ^ Séance d u 2 2 ja n vie r. Scrutin sur l’amendement de l’amiral de Cuverville tendant à relever le erédit du chapitre 18 en faveur des aumôniers d e là marine. Le Sénat n'a pas adopté. Les sénateurs de l'Oise ont voté contre Mort du professeur Budlu. Le professeur Budin est mort, à Mar seille, ,à l’Jiôtel Terminus, succombant à unepneum onie qu’il avait contractée en allant dans cette ville faire une conférence pour la Ligue contre la mortalité infantile dont il était le président. Né à Ehahcourt-le-Seo (Oise), le 9 no vembre 18.I6, .Pierre-Constant Budin fut nommé interne des hôpitaux de Paris, le 22 décembre 1871. Il était nommé agrégé à la Faculté de Paris le 13 juillet 1880, et accoucheur des hôpitaux le S .juillet 1882. L'Académie de médécine liii ouvrit ses portes le 29 janvier 1886. En 1898, il succédait à son maître, le professeur Tarnier, comme professeur de clinique obstétricale à la Faculté. Son œuvre est considérable et embrasse toutes les parties de la science des accou chements et de la médecine des nouveauxnés. 11 termina, en collaboration avec Tar nier, le Traité classique (ïaccolichem ents, que celui-ci avait commencé avec Chantreuil, et le term ina seul. Les plus importants de ses travaux qui portent sur des points trop spéciaux pour être analy sés ici, sont réunis dans un volume (Tra vaux dCobstétrite) paru 1886. Il publia plus récemment un Traité p ra tiq u e des accouchements, en collaboration avec son élève, le docteur Damelin, et enfin un ou vrage considérable, le Nourrisson, dans lequel sont eonsignées ses admirables et patientes recherches sur l'alimentation d» nouveau-né. Il fut avec M. Strauss, le fon dateur de la L igue contre la m ortalité infantile. 11 laisse le souvenir d'un travailleur in fatigable, patient et minutieux, d'un professeur hors ligne, à l'esprit clair et précis possédant au plus haut degré l'art de la persuasion, d un maître profondé ment dévoué à ses élèves, comme il fut luiméme pour Tarnier un disciple pieux et affectionné. La droiture de son caractère, la sûreté de sa science, sa bonté' pour ses malades et sa tendresse pour les tout pe tits ont fait de lui un des praticiens les plus réputés et les plus recherchés de notre époque. C'est une perte irréparable pour la science française, un deuil cruel pour ses élèves et pour tous ceux qui, l'ayant approché, Pont admiré et l'ont aimé. La clôture de lâ'cliaiæè.^ Pham iaele ouverte Rappelons que la clôture géhéralèlde la chasse est fixée à dimanche pr'dSîàin 27 janvier, pour le département de l’Oise. ^ D ^ ^ 2 7 - ^ , 'M. Longuet, conseiller d’a r ro n & é - Fièvre a ^ f e n s e ., i ' A V I S iM P O R T A .k T ' ' ü n fichu de laineiâoire. Nous croyons devoir rappeiér âux,culti’ ■yateurs qu’en raison nouibfènx â k de ^ flèyre aphteuse signalés dahs -les t w Vouanvez beau jeter les hauts cris et rem Etat -A plir d Huprécations cinq colonnes de votre munes voisuies, il impoije de p r e ^ e du 18 an.2iL^under î journal, vous ne réussirez pas à égarer l'ooitoutes les mesures susceptibles d a n ^ tè r Naissances. pi0B,.et vous ne m’empêcherez p as' d'apDeler la propagation. les choses Dire la vérité, (ce (Néant). 1 ' ^par leur . . nom. . — — “ _S. W tn'est a v9« I s. A cet effet, les propriétaires ou conducT»1c /lolcvmVlKMt . ni calomnier, ni injurier; c'est garder son teurs d’animaux devront être qiortéuçs ’ . J),éi.és. fe“te)‘it.S ''v o M rép o fito p eu rrto w ffi f rtific a f 'ayant' inôins W tro ^ 'jo ü re ' 4 8 . MUe -IfiolÿlfGéÉfiiab icnisinière rue du Faubourg-Saint-Martin ’ -, j'tisé dé mon droit. J'ai dit qu’un petit CToimé constatant que ces animaux ne seulement de membres de' l’Associatiori ■Répuatteints d'âucune maladie contagieuse 21. Mme Rocher (Marie-Victorine), mercière, 60 ans, rue de la lla iif ^ ^ ilicaine du canton de Bélz, assisfairAîIa'ma-“| “ ’oût pu. se tr.ouver nn contact 24. M- Martin ® e re e 4 h é o p h ile )^ J.h i^ ^ Ç^égy et destinée à m'en- | àvéc des'ahîm aü x attein ts'ou SùS'p'ecfs'dê lever Ja-présidence.du Comité.; 11- n'y avait, en fièvre aphteuse. ans, rue du’Tâù'Bà'urg-Sàint-Mare!?’^ effet, que 45 membres présents, sur 185 que j ' Mariages. Ce oertificat sera délivré par un vétéri compte .1 Association. Ei encore, pour aVoir ces <Né«nt). naire et visé par le Maire de la commune 1 •lé'? votants, vous avez dû faire appel aux suf d où proviennent les animaux. ! P u b l i c a t i ^ d e Mariages. ' i frages de quelques assistants venant de Crénv ment du canton de Betz, a adressé la léttfe suivante au Secrétaire du bureau de m Fédération radicale de la 1" circonsCrîDtion de l'arrondissement de Senlis : Syndicat de proteetion mutuelle des Industriels de l’Oise. Conformément aux articles 18 et 19 des statuts, l’assemblée générale dû Syndicat aura lieu la samedi 2 févrièr, à -2 heures; au siège social, 43, rue des Halles, à Beau vais. OBOBE DU JOUB : 1* Lecture du procès-verbal de la dernière assemblée ; 2 " Reddlfion c l approbation des comptés ; 3° Etablissement du budget pour 1907 ; 4" Compte rendu de l'année 1908 ; 5° Coramunicationrelativeauxaffaires eiicours; 6° Nomination de trois membres du buiéau,ën remplacement de MM. J. Coramuneau. Maxime Clair, Leïebvre-Albarët, niembres'; sortants rééligibles. I qui, avez-vous dit, n'éta’ient pas inscriU au canton-<le Belz. Vous prétendez de votre côtéD'après le Journal officiel, le stock que presque tous les membres de l’Association commercial des vins dans notre dépai te- étaient présents. Je,crois avoir amplement eombiei votre erreur était manifeste. ment, à la fin du mois de décembre (diffé prouvé Si, aux élections dernières, je n’ai pas voulu rence entra les entrées et les sorties ins prendre Une part active à la campagiie électocrites aux comptes des marchands en gros) rate, — et j e n ’ai p a s hésité à vous l ’écrire est de 113,566 hectolitres. sans aétours, — c est que je ne pouvais tolérer cer aines fautes graves que voue savez. Le public-les Ignore, mais je les connais etj'ea ai A la Gendarmerie la preuve. Républicain discipliné, j'ai cru de M. Biaise Dumas, est nommé gendarme voir^ maîtriser mon indignation, je me suis voue à une douloureuse réserve. En quoi vou à pied à Grandvilliers. M. Georges Dupérat, est nommé g e n -I lez-vous avoir l'obligeance de me le dire, en darme à pied à Senlis. • "I quoi ai-je trahi le Parti, comme vous m'en M. Berthomier Francisque, est nommé accusez avec tant de légèreté ? S’il vous faut à , beautés cantonaux des hommes gendarme à cheval à Compiégne. de paille pour s incliner bénévolement toujours M. Henri J. B. Séry, est nommé gen et quand même, je m'honore de ne pas être de darme à pieds à Pierrefonds. ceux-là, et je suis fier de m'attirer vos sarM. Henri Guilbault, est nommé gen resmes. Les républicains en feront justice I i Depuis les élections, il a été commis .de nou darme à pied à Mouy. MM. Doll«t Jean-Ferdinand et Brochet veaux actes que je no puis approuver. Et ce sont les auteurs mêmes de ces actes qui, Gabriel, sont nommés gendarmes à piéd à croyant ^ * p«vov» /l’om-irt/»..* --------- , , La Neuville-Roy. ont l’imp Les nouveaux promus ont prêté serment coôible I ____ devant le tribunal de première instance de nos amis les républicains*du canton'ïo'bcIz* Beauvais. lors du renouvellement de mon mandat, quel fut mon écœurement et quelle a été ma con duite -. nettem ent républicàine et scrupuleu La situation, agricole. sem ent droite. Et je puis vous affirmer que, D'une façon générale aussi bien en Eu malgré toutes les ruses (jue vous pourrez mettre rope que dans le monde entier, la situa- en œuvre, vous ne sortirez pas de l'impasse tion es récoltes est satisfaisante p o u r' ou je vous collerai. Je n'ai pas été le premier ipoque. à trouver vos procédés inacceptables. \éu ré En France, Fré l'état des récoltes en terre publicain du canton, sur la probité duquel vous Les vins dans l’Oise fctyire. ■ ^ “®J (Néâhl). A propos d’uae disparition. Dans notre dernier n uméro, nous avons annoncé, d'après nos confrères de Soissons, que M. Paul Aguet avait disparu de cette ville et que son frère, M. Aguet, notre honorable concitoyen, offrait Une printe 00 cent francs à la personne qui trouvera le corps du disparu. Cette informatiqn est exacte, elle a d'ailleurs paru dans les journaux de l'Oise les mieux in formés, notamment le Journal de Cler m ont, le M oniteur et la R épublique, pour n en citer que quelques-uns. M. -Aguet, .de Senlis, nous -prie, à ce sujet, de publier la lettre suivante qu'il nous a adressée ; Marobétie'Senlls j du Mardi 88,Janvler l 9 Q7 NATÜRB PRIX CÉKëà LES lOOkilog. . DBS . DES HACSas' ( r* qualité.. 22 50 Froment <:2« — .. 21 50 ( 3, _ Seigle............................. Avoine I p 16 50 ••• 2150 Farine, l ”-qualité 52 Pain, le kilo j l ' i a a ' - j Senlis, le 24 janvier 1907. Monsieur le Rédacteur, J'ai été surpris de trouver publiée dans le numéro du C ourrier de l’Oise du jeudi 24 jan vier, une note que j'avais fait paraître la se maine dernière dans les journaux de 5oissons, concernant la disparition de M. Paul Aguet. Je ne vois pas quel intérêt peut avoir cette infornaation dans un journal de Senlis, et suis étonné que vous n'ayez pas cru devoir me consulter avant la publication de cet article. 1 .. 'j®®® vouloir bien insérer cette lettre d p s votre prochain numéro, et de receRoa®:®oi' le Rédacteur, mes sincères salutations. Blé, poids net de l’hectol. : 1" q. 76; 2- q: 7(.' 3«q 70. Seigle, poids net de l’heclol. : 70. Avoine, poids net de l’hect. : 1“ q. 48 3-q . . . . FAITS LOCAUX A n g e p - S a l n t - V l n c e n t . — Smcnit - - ü n malheureux cultivateur d'Aiieer' Adolphe Gaston Aveline, 44 ans, mahést H . A guet. père de trois enfants, s'est donné la mort Ainsi que tous mes confrères, j'ai cru m ^ d i dermer. Depuis plus de trois mois ne donne lieu à aucune plainte sérieuse j | prendre exemple, a ‘naguère, :être agréable à M.‘ Aguet en lui de troublés cérébraw la; H „ tous les grains ont bien hiverné et i f n 'y '| sa démission de.vice- I >PübIicité du C o u m er. La note offrant . ggg excentricités sa fem. dont il a président de 1’ -« Association a pas eu de gel et dégel, qui fatiguent Vous ‘■- R Ïpûbliciinr»,i I i^domandé Tinsertion aux journaux de Soisallez peut-être -....... ifants de aussi l'accuser, lui a u l u d ’ê tr e l t insertion aux uo oois-., a --C ' -dormir y - avait-il toujours les plantes. La neige a encore passé à la Fromajge et Assiette au beurre. .---------^Pufili®- Tout ,uu. ua- II' , , „ coucher dans iiiie uiie chambr» réaction ?aînrrnli*.'»Mril car vous .ém'ètlez dés bré-‘i|.° ? ® a la /VT»r<tf journa®°“9ÎI®r fi^ns été un excellent protecteur quoique sa tentioas vraiment rnîm pnf singuiières. V f-.' i ■ iicfo » I RPnflT*PP. i l r _.. : Vous, avez-lai liste a le droit de la reproduire. Il est de J ®®P®‘’^®; Ofi mardi dernier au matin, sa Du même journal : durée a été très courte. manie de réduire le rarlijrépublicain .à deuxi règle de donner la plus grande publicité I l^“ “ ®*®trouva étendu sans vie sur Is Une rum eur circule, un bruit court, On prépare partout les semailles de ou trois tyranneaux qui voudraient-nousjmener possible et celà dans l'intérêt de la famille I R ^'iuet, suspendu par le cou à un desbarque nous ne tarderons pas à voir se printemps. On doit souhaiter que daqs le à la baguette, et dont il faudrait approuver tôiis elle-mème à la disparition d'un de ses i “^’une cordelette, . confirmer, à moins que, pour des raisons Nord, les emblavements de betteraves ne les gestes même les plus blâmables. Et lorsque, membres. Si toutefois M. Aguet avait eu I . ?' u conclu à une mortoeca. ■diverses, ou une pudeur, par trop tardive, soient pas trop importants. La culture y a choqué par un acte inadmissible, un citoyen I intention dé limiter la publicité He sa |? ^ ^ ° ® ® P ? î “ «s troubles cérébraux, (h Palmes Académiques. honnête et clairvoyant se lève, indigné, pour tout intérêt. nn ne les démente. à l'arrondissement de Sois- | “ isle smcide a causé un certain émoi dans L'O fficiel de Jeudi publie la promotion Quand It stock des sucres ne sera plus vous dire ; « Je blâme ceci », vous fui fermez communication En tous les cas, — et ce, avec les plus nous enprévenir préveniretet t® puys où Aveline était bien connu. la bouche et vous traitez ce républicain lovai sons, c'était à lui à------------expresses réserves, nous tenons à indi des palmes académ iques.. aussi considérable, les prix auront mors non pas à nous A le deviner. réactionnaire. Mais, ^ JVous y relevons pour le département de chance de s'am éliorer; ce n'est pas encore E 11” — ^"Fê t e d e S a i n t - S é b a s t ie b .— quer ce dont il s'agit. nalte-là lll yoici qui va montrer le cas qu'il l* n’est d'ailleurs pas absolument dé Les membres de la Compagnie d'Arc la ce qui se p rodiit pour la saison prochaine. On afilrroe qu'un député de l'Oise, dont Wf® .îi® '9®® burlesques déclamations. montré d une façon certaine que le disparu Officiers de l'instruction p u b liq u e On cote en effet, à Paris, les sucres !sur Vous faites intervenir dans cette affaire, dans n ait pas quitté l’arrondissement de Sois- Rétmissance. Barormaise, viennent ds la carrière parlementaire ne fut jamais ni la nouvelle campagne, meilleur mayché un but.qu il est facile de deviner, un de "vos sons. Je sais que, pour mon compte per célébrer le dimanche 20 janvier leur brillante, ni au dessus d'une terne médio MM. crité, serait sur le point de troquer son Bouffet, pharmacien, délégué cantonal, que sur les 4 de mai, tandis que l'agricul anciens amis que vous 'traitez de renégat d u sonnel, loin de me plaindre de la publicité fête familiale. p a r ti rép u b lica in ; vous-le renvoyez aux réac Réunie en la salle du Jeu d'Arc, la Com. m an d at législatif contre une situation plus président de la Société d'instruction ture est assurée par la protection du droit tionnaires, et cependant cet honorable conci- donnée à*la disparition d'un, des miens, p ^ n ie se remlit én corps, drapeau en tête, reluisante et plus lucrative dans l'admi de 7 francs, de voir.le-côur: du iblé..éléTé. toyen est dénoncé en haut lieu comme socicu- j aurais au contraire communiqué à tous populaire, à Verberie. nistration des finances. D'ailleurs, toutes les céréales lui don-pent lu te ! ! l Oh ! les bous, les vrais, les purs répu les journaux régionaux le signalement du à 1 église paroissiale où elle assista à la Bouteillier, architecte à Chantilly. grand Messe. Ee législateur prendrait ses invalides Boutarel, à Chantilly. m aintenant d'excellents rapports, vdejKiis blicains que vous êtes I Voilà un. des menus disparu. Après la cérémonie religieuse, les; arda'na une trésorerie générale et s'il s'est Joly, avocat, délégué cantonal, ancien k,culture intensive et le bon marché-.des exemples des procédés du Bureau de la Fédé cherese rendirent chez M. Thiéfine oiï' un trouvé, d'une façon tout à fait inopinée, ration. Et ceci est pourtant bien peu compara président du Cercle laïque, à Beauvais. éiigrais. Association philotechnique. vin d honneur avait été préparé. tivement à ce qu’on verra par la suite. une vocation pour les emplois de finances, Lecomte, ancien sous-préfet de Saplis, Le soir à 6:Iieures,; un banquetdu Ren .Dans une récente circulaire, M. le'M i Modificationsdu jserv ice,pcistal. c’e â qu’il appréhende le verdict, un peu (Signé) : F. L o n g u e t ,' sous-préfet de Dieppe. „j, .''r nistre de la Guerre recommande de faire dez-vous.des Chevaliers^ souyfii prési dur, des électeurs qui ne lui pardonneront, Letalle, conseiller général, m atréde i CrèM. le sous-secrétaired’R tàt a 'd ^id é qu'à I Conseiller d’arrondissement. dence'dû dévoué, conseiller .-général dii des conférences aux militaires. peut-être pas, son intervention active et vecœur-le-Grand, délégué caîitonal. . partir du Dimanche'.27.7janvrer.!’ihclusiyc- I _. â n t 1le a CAw.rt a A Senlis, M. le Colonel dû 2' hussards a canton de Nanteuil-le-Haudduin, M. le décisive pour l'augmentation des traite- Pascal, conseiller de .Préfiscture à Beau m ment, service o/i-nn sera effectué''les D im aa- I Comte de Kersaint, réunissait les cheva pensé que pour seconder les officiers dans jifsnts parlementaires. vais. ' ches et jo u rs fériés, A.a.m les conditions cette tâche, il pourrait faire appel à la liers et de nombreux amis,, qui's'étaienl d ’ambition d'un jeune’pôliticien de canVermont, avocat à Beauvais, administra suivantes ; empressés de venir leur apporter un té bonne volonté de la population civile, I o n , Sf'Pcat qui rôve de changer ses par 1” SERVICE POSTAL. teur des Hospices, délégué cantonal. Nos lecteurs se rappellent sans doute le M. le Capitaine instructeur s’est adressé - moignage de sympathie. lotes de i?arreau en bruyantes interpel Les guichets postaux de tous les étajilisO fficiers d Académ ie vol de cent mille francs commis, il y a un à notre Association philoteehnique, et un - Au champagne, M. le Go;mte de Kersaint lations, n’fiUFftit rien à perdre de cette sements- de poste, seront fermés à dix an environ, dans un train', entre Sàintprend la parole, et sé déclare charmé ! s MM. -programme a été préparé et adopté. gpjnbinaison, .qui faciliterait, tout au heures en été et à onze heures en hiver litorm eur qu'on aa bien bien yvoulu lui faire. Quentin et Barbery, au préjudice de MM. La première conférenee de cette nature I -Artru, conducteur des ponts et chaussées au lieu de midi. sa candidature. Lalquette et C'% fabricàiits de sucre à a été faite par M. le docteur Millermann ®®*®“'’^,‘l®.wai et sincères à Neuilly-én-Thelle. Voilé quelles sont les rum eurs qui 1 Tvnv»U .Jr. l ’i V V . , i fi^rand n iflifiir nnnT> Ini «Mû Aucune modification n'est apportée aux culent, elles qpus viennent dés sources Bloquet, conseiller d'arrondissement, ad services du départ et de la distribution des Barbery. Patte, un employé de la gare d.i qui a narlé' de llhygiène en général et des 1 Sra^d^Plaisir POur lui que de présider le Saint-Quentin, soupçonné de ce vol, avait maladies de saison, comme les a n g in e s... joint au maire de Méru. Af n- n- ■ . . -pompt^nied'Aro, tes plus sérieuses j juais tous ces beaux “ ’ ■ les angines. H correspondances. été arrêté; il bénéficia d'une ordonnance a su dire des choses précises sous uns M. Dion Pierre, capitaine,.................. fève son verf^ projets risquent, à la dernière heure, de Bourdillat, conseiller d'arrondissément. a la santé de M. le Comté de Kerstëni,. de non-heu, mais fût révoqué par la Com forme très' siinple et très claire. SERVICE TÉLÉGRAPHIQUE ET T É L É PH O N njüE adjoint au maire de Morienval. n e pas s’exécuter et un démenti formel, Une trentaine de jeunes hussards ont | qu'il remercie d'avoir bien voulu aoceplèr Les bureaux à service-complèt resteront pagnie du Nord à laquelle il intenta un niie l'on viendrait à nous donner, serait la Bruneau, délégué cantonal à Ermenon ville. ouverts, au service' télégraphique et au procès. Après deux audiences, le trihiiiial assisté à la conférence, et ont paru s'inté- la présidence de cette fête de famille, àU erouve'la meilleure que la simple annonce civil de Saint-Quentin a rendu, mercredi Æesser réellement à ce que leur disait ie Santé de tous les convives et aux succès Se eotte surprenante nomination l’empêcha Docteur Chevallier, délégué contonal à service téléphonique, dans les conditions futurs d&.ltf'jeûne Oompaguid. ,• dernier, un jugement concernant'cette • docteur. Rully. existantes, jusjqù'à neuf heures'du s o ir ., (Je se réaliser, Chansons et chansopnettes viennent en D'autres conférences auront lieu toutes Debeaupuis, conseiller municipal à CrépyLes burea^x^à service de demi-nuitj affaire et dont voici les conclusions : suite clore gaiement cette charmante réii« Le Tribunal dit qu'il n'échèt-d'oidon- les semaines. en-Valois. prendront cléfore à neuf : heures. du soitr'. Au dessert. nion,':qui laissera dans -l’esprit des assis Debrye, rédacteur, à la Préfecture de Les bureaux.à service, permanent, )rès- ner 1 enquête sollicitée de Patte; ' tants un souvenir agréable, du meilleur De la Oa$et(e Libérale : l'Oise. Déclare abusif et préjudiciel’'le brusteront ouverfe'-de'ijour etHe nuit,:£dàns les Ponts et Chaussées. augure; pour les fêtes à venir. que.rpnvoi pour fautes etidégligences- non Degournay, instituteur honoraire, à Saint- conditions adfaelles. Ce sont les députés de l'Oise, M. Charles Borreau, commis stagiaire Un a m i de TArc. Just-des-Marais. Les bureaux ijmuhicipâux ou à service justifiées qui a été prononcé par décision des ponts et chaussées ffSenlis, est nommé Baudon, Delpierre et Bouffandeau, Delozanne, maire d'Acy-en-Multien, délé limité, seront complètement fermés à dix du comité de la Compagnie du Nord à la commis des ponts-et chaussées de 4“ classe Sur ce nom jetons un bandeau, B é t h l s y S a l n t - H a r t i n . — Toxiou date du 25 février 1906. gué cantonal., heures en été, à onze heures en hiver; Cbopinet à 1 àme bourgeoise. à partir du 16 janvier dernier. Il restèra , DE LA Fanfare /Lt'sje des lo ts ).'— Nous Condamne cette Compagnie à payer rDenavarre, instituteur en retraite à FerCe sont les députés de l'Oise. Le Directeur, à I attaché en cette qualité, dans le départe- donnons'ci-dessous une nouvelfe liste des Patte douze mille francs à titre de rières. Manel . le oom- I ment de l'Oise, au service ordinaire. 'I lots offerts à là tombola de là Fanfare: ' mages-intérêts avec intérêt de droit ; *Ce sont les d o u té s de l'Oise, Dovigny, maire de Troussencourt. Une superbe ménagère, couverts LbuIi Xï Donne acte aux parties tle ce que cette C ÿiveux touffus, brillant' chapeau, Dufour, suppléant du juge de paix métal aijgenté. rentanaRt: 6 cqvrftrts, 6 cnii; A la Gendarmerie# Délpierre et Bouffandeau, Compagnie offre de remettre à Patte son Attichy. 1ères à refé, une louche, «ne ijuffîèré à ragoût, livret de Caisse d'épargne et de lui payer Beau'f pgrleurs à deux sous la toise. Fleury, secrétaire de mairie, à Liancourt _ M. Georges Dupérat est nommé gèn- renfermés dans un écrin, oIRsrta par M. de Sfc Ce sonfléS députés de l'Oise. Fontaine, maire de Blacourt. Bien à plaindre, ce pauvre Castellant ! ses'appointements courus du 1"' au 18 no^ darme à pied à Seplis. Tous nos souhaits roux, président de la Panfer*, Docteur Gautrelet, médecin-inspecteur des Depuis que M. Jules Lemaître taille des vembre 1903 et de ce que Patte abandonne de bienvenue. Unen^niûquo-pendule-réveil, bois sculpté, Ce (Kjpt les députés de l’Oise, ♦ hauteur 9»38, garantie 3 ans, offferfeDapJlTda écoles, à Baron. croupières à Jean-Jacqùes, son' ffeiivent ses prétentions relatives à l'obtention Pour un enfant joli cadeau, Seroux, présideitde la Fantaré. ■' d’une rente pour tenir lieu de pension de Jairy, chef de division à la Préfecture de disciple des Charmettes.,ne déçôlérè pigs ! IVécrologle. Baudon, Dilpierre et Bouffandeau, Une poule offerte par M. Hazard Désiré, l’Oise. Les radicaux de là'Fédération de îGçè’py retraite. coDseiiier munioip^l. Jeudi dernier, à dix heures un quart, ont Ca rit sa m a sse et ça dégoise. -Condamne la Compagnie du chemin de Leconte, ancien juge au tribunal de Com n'ont qu’à bien.se tenir I Le lieùteDaqf de Une deseeâtfr de lit c l un dessus de lit offerts Ce sont les députés de l'Oise. M. Chopineteh'est pas d’humeur à re.olvoir fer du Nord en tous les dépens de l'ins eu lieu à la Cathédrale les obsèques de par Fpuqspire, conseiller municipal. merce de Compiégne. M™ Bocher, décédée, comme nous l'avons Lejeune, juge de paix, à Ribécourt. des observations ; il s’est aperçuïqùe la tance. » 2 'mres Apéritif du Valois, 2 bouteilles de Ce sont les députés de l’Oise, annoncé, dans sa 61" année. discipline était relâchée et jlà p H s 'la fçrme Docteur Leméré, délégué cantonal, à Brechaii^gBe,'2Iitres apéritif GaUoiRomain, 214 Qui ne siègent pas pour la peau, La messe a été dite parM . l'abbé Hédiiin résolution-d'évincer de la'Fédération ceux três lSiueurs, offerts par M. DuboisfDenogent, teuil, Baudon, Delpierre et Bouffandeau, et l'absoute donnée par M. l'Archiprêtre, conseiller, municipal. Mélenne, ancien conseiller municipal à qui’le gêuent. M; Longuet, dont on lira la (îbers électeurs, payez l'ardoise. au milieu d'une nombreuse assistance 6 cuillères â.ea'fé dans leur écrin, offertes lettre;ci?,après n’attend pas qu'on lui. dise Compiégne. Ce sont lés députés de l ’Oise. parmi laquelle nous avons reconnu : par M."Gressi'ér-Hazard, coaseillér mtmicipsl. de' s’eh aller, il est tellement dégoûté des Mefcier, conseiller d’arrondissement, MM. Driard, adjoint; Gensse, Fautrat, G. - Un poulet offert par M.. Branet Anatole, tripotages dont il a été témoin et des be Envoi': m iûre de Berneuil. de Parseyal, Lepetit, conseillers munici conseiller municifial. sognes qu’on voulait lui faire remplir que, Meyer, adjoint au m aire d'Estrées-Saint. Une ipaire . de vases .« Tubés », un panier Ôb I Populo puisque fu payes, V raim ent M. D upont est d u n e sensi paux ; Turquet, conseiller d’àrrondisse- • vendangeur et lin .superbe' pauier à laver, of ma foi, il fausse compagnie à M. Castellant Denis. idon, Delpierre et Bouffandeau, bilité extrêm e 1 II poursuit notre excel- \ ment ; Delaunay, de Coulombiers, de ferts par M. -Lesueur Eugène,' ûonseiller muni*» et à ses subordonnés. Miesch, percepteur à Beauvais. Pontalba, Roland, Petit, Ferté, et un «mande ta part du gateau. . : .f Quand à M. Gaussé, qui devait être un len t confrère M. È outeille, du Journal grand nombre de commerçants senlisiens. cipal. Renard, président de la délégation canto Fais les cracher on bien-les Uàma^ifique couvert avecrenddeservielte de Clermont, et lu i réclam e 5.Q00 fr. gêneur pour les radicaux; M. Cbopinet nale, à Ferrières. ■ Quand lie seront le nez dans l'eau, Nous renouvelons nos Condoléances les argenté, dans leur écrin, . offerts par Ternant, maire de Cauvigny, délégué can s’en débarasse en lui procurant un évan- de dom m ages et intérêts p o u r avoir cen plus sincères à M. Bocher et à sa famille., en-métal Baudon, Delpierre et Bouffandeau, GaJté Léon, conseiller municipal. cement qui lui pernaettra du disparaître de su ré le vote oit le sénateur de B eauvais, tonal. Tu crieras de ta voix narquoise. 2 fr'.'ien espèces, ùo anonyme. ’ ' ■■ '♦ ..— . contrairem ent à ses collègues Cuqinot la circulation à Crépy, où il était redouté Tremblay, bibliothécaire à Clermont. Un litre de kirsch et un sirop, offerU C’est nous les députés de l’Oise. et N o ë i,s’e s ta d ju g é s J)00 francs d a u g Les Accldenls^da Travail. Vassal, commissaire de surveillance admi des pontifes dé la Fédération Radicale. 'PàrM.Duo-'Caron, débitant.1. L ard. nentation parlem entaire. C’est ainsi qu'on épure la Fédération, nistrative à Crépy-en-Valois. 2 bouteilles de champagne offertes parti. Le 9 janvier, M. Vermoht (Louis), gar P our son excellence M. D upont, la çon boucher, à Senlis, au service de : GaroDirRegaaRlt, débitant. Villette, instituteur honormre à Nointel. . 1—.» J . -tresse n'est q u ’u n m o tl .-2 statuettes, un anonyme. Voirin, ancien jugé de paix à Songeons, M. Chéreau, s’est fait une piqûre sur 'un Votes de nos dépotés. critiquer ses décora os du médius droit. ' jiige de paix à Ghâteau-Thierry. . , *‘Un joli réveil ofert par M.'Riquicr; Injoiitier à Biéthisy-Saint-Pierre. •. ' Séance d u 2 1 ja rw ier 1907. tions, ses votes, l’irritable sénateur lente — Le 12 janvier, M. TaBàry. (Albert), 2 déjeunera ua pot à eau, une paire biù: et ; de la m useler en recourant aux- tribu "i, .'S erutiil'iur la prise en considération de 2 çhaleS offerts par Mlle de la Douye, de B éans, ouvrier charpentierj^àü seryiça'de Lés Blocards dans l’Oisè, se frottent les Importante.nouvelle. n a u x . Ça ne se passait p a s autrem ent ’T a ità id e m e h i de If. Bohnevay à l’article MM. Perney et C*®, s’est o é è à ^ f é une Au mpm.((nt de^mèttre sous presse, nous sous l ’E m pire ! 3' pàhiers fa! àisie offerts M. D e n i e r , vanoier jffllradaœ t à ce que les_ fonctions d'admi- mains; leurs humbles, obscurs' mais dé contusion du genou gauche par ûiie p ^ e M. D upont semble ignorer que. les de-bois. "h Ndÿon. pid^éitènr soient -gratuites, ou dit moins voués auxiliaires reçoivent le rj^ a n rècevons,-sans pouvoir le contrôler, tinè ■viOléirLe gouverftemsBtidevait b ie n l^ lâ note d'un de nos amis de Crépy. Le b ruit jo u r n a u x sont fa its p o u r relever\ ap9;keltes de conserves offertes par M. MO' 'm «oient pas rétrlnnéeB .sur les biens de aux Bruneau, Debeaupuis, Bourdillat et court que M. Castellant aurait l’intéhlidn rouvér ou critiquer tous les actes des • — Le 15 janvier, M. Landry'(Louis)) féaux, à Oépy. K liéo é. . : 38 ans, m anoüvrierau service de M .lêroy, I; 3 litres Jus Je cerises offerts par Mt'Bàrgeroo Vassali vassaux de uotvoidéputé-piovisoire omm és politiques. Les électeurs dntde de se m esurer avec M. Jules Lemàître.-pourL a Cffiambre des députés n'a pas adopté! (15.000 francs) M. Cbopinet. débitant.- ■ ■ relever ce qu'il considère comme injupieux drqU d ’être -mis a u courant de ce que. erainetiér, s’est fait un ëcrasemenî des I Prudent, A voté p e u r : M. Gaillard. Une'épaule d e veau rsuiée-oilérte-parHiiie deux médius e t ànuulâlres. i / ’! à la mémoire de son vénéré m aître.,» ;Je fo n tp o iir eu x'leiirs jn à ifç ^ h ts f '(Dtoi:voté .contre : MM. Baudon, Bouflanveuve Grogné, hpuchèrei C’ è s t , no-h sëulém èht ' t é droit de la ' — Le 17 janvier, M,DesSsaux((}60^ S ) , suis le temple vivant et ambulant |?):?dè - é n a it Butin, Cbopinet et Delpierre. 2 pofé à-ea'q offéris'pâr M. COitn; igrainetien Union- des S o ^ é t ^ de Secoiirs Jean-Jaoques, aurait-il dit à l'émànéM aca presse de s’occuper de M .D ïipont,jcc^im e 20 -ans, garçqn bôuchêr au service "de M Gfen fïît „na al ' I Dhe^poule Offèrte par M.-’H a ^ l'A is e ae, Mutuels de l’Oise appp(tovéès M. tirenger, s est fait une .plate du pouçe -r cultivatenr. : ' démicien, et je n'éûtends paç, qu'ôb flénà- ■sérmteur., maie, desi.aussi.sou(dèsoirl ' —^ r iT o r d œ du jo u r dq^làm e au • Un ■magnifique videqytehe , h^pdure des ju g é s e fi F rapcf gui gauche par instriiipent tranchant. ? ■' L 'asse m h lée .g ^ ^ a le. de l'Union des tùre l'histoire pour ternir la-inémoirq d'un ['par M. Tétanent, déjtdsé pâd M.'Vaillmit, à Sociétésdfe kec'ours 'mutuels de l'Oise ap- hwnme illuske entré tous ! ».'M. M a n d , rem ettront les choses du point,'énk f a i tuel.: V», — Lé Iff jàniriéf';M.'PréyQst ((Sleoi^s); ' ulafferineture de la Bourse du , prouvées ànra lieu à CrèS, hôtel. du-Che- miriistré de l'Instruction publigtiei, serait sant comprendre a u riche sénateui blo- 32. anp, -puyrier seljipr' au. 'serviqe de Un joli réveil, juS, santàsBftn'fet ’un litre rotn de lier, nfaisoR Beüveleti-le''diinainch9 tout prêt à autdriser cette'C onférence' cdrdqiiM fait, ù n a k u s exé^eslide m p ie r M. Buat, s'ést Tait lihe piqûre de l’index qüeur,,o|lçjptoW'M. Bâ|«ètmnt,'OTtri®fenew. . Une pople^MTerte, .paé H. ïiseint tfigloire, • .« t» a n in r e cl«;députés n'a pas adopté, . '10févrieri9<)7, à u n é heure et démie de contradictoire, qui aûrait lieu à' la! Sor- tim bré. La m oindre a u g m e n t a t i f de gauche. •. ■ , .' . , e u l t i v à t é t i f . r - i .<> 4 . .tOntr-TOté con^vMM.iBaudon, Bouffant rüprèsm idi. salaire procurerait p lu s- de sStis factio n bénne. . . , Un beaurétihtfféensoie.offértlSlflliiielIaiy étotn'.jBntiB,^(^Det et Bejpierré. MM. lésPEésidènfsiM’MliL lés, Délégués On dit M. Jules Lemaltre trés afféété-de <aux ouvriers, d u m avufgAtm rier -dc--Toujoi»8 lés Vagafaod^. l^,.Ç[(Ut«tÜrt!-- . ; - . . " ; "élf; ' V -M^Gaillard; des'Sociétés de secours jijij^ la 'a Q llé e s à cette invitattion; il:se ra it même dans Ses Beauvais.I, JJne eaipfettffÀfferte "par Ifae^fenx Fi#» On apFpqédé l’aiT ^tation pour l'Union sofit-iwtamnient pnés d« sé réu-.' petits souliers,Le « Tout-rRaris »,niondain dre'iA qtjp! aeseu^lét^'gffiiéi'ale, d an sla etj littéraire se prQmét d'assisfér 'à''cdtte oilhos L ’aèoàdance des.m atières nous dédlaÈar... quelle u sera, procédé à llélection; d'un conférence, iihiqqe-èn s o n geiiré ,puisa '4 Am' a s ! _ _ _ a. . «raem eat. iShffiit #ar^- W préffident én remplébehrehl daM . Bé-dih, gü’èlleinettrà aux-prîsès un h I f ahs,-'oriètnaaè*du Nordl Ce'aérRièr d« 8 adopté. fondateurdareB m iH , i,' . ttveç.nBéaeshélébriiés'duJodf^' ! -i’-- -I yyrMiH n iliM e& à D ^ p ■ ' • ' L iiF f|l^ d a lF O T ç é e q i|i# ' ;. ^ i n L ’Affaire P atte. I Pauvre Castellant 1 iïf o u Âclama qatsuig ■« D'*" éwitp * f itite u ^esq ? luire d’t Creil Sfévried à ey a p rt M àvui T tteursi eole de J -formerf .eUftiva, thiif Big M. Dupont et la Liberté de la Presse. lifiré-a« f S ' f v a .-: S i ■/.".j *h&ÎJ tero n d is L is OU hni.icille de champagne offerte par M. t'u 'S o n , débitant. CtWjJ^ jl, espaces offerts par M. Blottière, p e r te . f M . Ne' f(0P^'^®n"esi:tce3 offerts par M. Ferry, ex- iiu esp èces offerts p a r Mme B onnard- ®*^tot de l’ajiiers peints offert par M. Bon- peintre. pu l'U-rde liqueur offert par M. Souply, déL'Q pje’iEaone de blanchisseuse offerte par M. Virt^'16. vânDiôr. S e id ta . F i9(n~ ^ “j-j5 Ilianiic en osier offerte par M. Delaye5'ffpoi de'miel offert par M. Collas Edmond, t e ; *».. p o u le offerte par M. Picarl Prudent, cul- fc T a '’H S S< =»^ “pje'poule offerte par M. Ilazard Paul, culti- FiÆÆS*'?» niaiine d'une costenaaoe de 50 litres , „ar .M. Hrunet Audré, vannier. 'f,rnanier blanc oll'ert par M Brunet Mel- ~tages. v a n n ie r. 1 ,'ro m o s pnlls ofi'ertes par les Classes Labo- apéritif Kina-Bivette offerts par la .Ion .'iaui'lii. de Bordeaux. ■ne -upcrbe jumelle otîerle par M. Couesnon .pVi-'duslrimients de musique). 1kiloi. de beurre offert par .M. Harlaux-De- j p e rl007. niaïnüique service à liqueurs offert par ï fit''i'ois, propriétaire. Lôiôli réveil, un anonyme. i|ie montre en nickel, un anonyme, t a lapie “•'o'’! P^‘' 7hieux Henri, l'se superbe lainpe-eolonne offerte par M. i.'jiiiD. propriétaire. Pae cbaudière-lessiveuse offerte par M. BAlStg Erv't ferb lan tier. I ■ ‘[ne'lioiibôune de vin blanc Clairette (vin de offerte par M. le comte Doria, à Or- "j'houledles de champagne offertes par M. q- 76; 2* ’O. •q. 48 ;f q .4 4 . ’fn°réved offert par M. Dijon, horloger à Ver' **[j’cabaret à liqueurs offert par .M. Gibier, ^'cnc'deiceiile de lit offerte par M. Crété- ' *^aiitrc do liqueur offert par M. Bergeron :a u x pt» — S ciass Iteur d’Alger,' ans, m ahé et lo n n é ia mort trois mois Jie sc é fé b ra n x lic ite s sa fem1 aussi avait-il lune chambra |a u m atin, sa vie sur le j- - un des barIcordelette. me m ort occaférébraux. Ce bin émoi dans [co n n u . J I-S É B A S T IE S .— pie d’Arc L a Viennent de Ivier leur 2“ * fArc, l a Comppeau en téte, assista à la piise,Jes;arliiéSnedif un ré . q u e t^ iîenDu§,.'ra prési■^hérai du foàih, M. le ' ; les chevaloai s’étaient prter un téideiCersaint charmé!, s pu lui faire. niSr c'est on présider le [agnie d’Aro, ï ' e son veree |e Kersaint,, bIu aooepter' |famille, ÿla aa.\ succès Iviennemt esrmânte réudes assis ta meilleur \r A r c . [, — Touoia _ ; T- Nous Il ie'liste de^ Fanfare : ^ îif ln ie x v , p C irU , 6 cnil^ re * f» g o û t, ‘M.deSe. Itois saalpté,- ' iepafM.de , aid Jlésiré, tdelit offerts pipai. euteilles de Roikain, 2 li- ^jbrosses en soie offertes par M. Cahen, mamîactnricr. ■ j plantes de serre offertes par M . Lapehin, ^o°verre d'eau offert par M. de Seroux, préiiiient de la fanfare. —. rn service de table de 74 pièces offert par I 1 Blondea», vice-président de la Fanfare, fne boite de conserves (pois) et 2 paires de Inlelle» offsrtes par M. Thieux-Duchauffour. l'n beau tapis de table offert par M. Crlnon Bisée, industriel. , . „ J 'fne bouteille de champagne offerte par M. ■ I lirlet, m aré c h al. . ^ . 1 j litres de liqueurs et 6 litres vin de Samttearses, offerts par M. Vignes. Un panier fantaisie offert parM. Bergeron I llplionse, vannier. Une boite 12 cuillères à café offerte par M. Ûdot-Morel, débitant. Unpanier fantaisie, renfermant 2 bouteilles iemuscat, ofl'ert par .M. Thieux Jules, reprél-it»laat de la maison de vins Coste-Foleher, do I jiiaipellier. ] Unliire de Saint-Raphaël offert par M. Beauj iequin Raymond, débitant à la Baraque, OrI ™'tache-pots en porcelaine, un cabaret 5 liJ mars, une paire de vases décorés et 3 lots de la ) grammes d« café chacun, offerts par M. ] UBUtur Joseph, débitant. B é t h î s y - S a i a t- P le r r e . — A ccide.nt I -Le 19 de ce mois, M. CaiUeux ïa m o n d , arrassier, âgé .de ,32 ans,,SHrveiIlant chez il. .Vilioli pour le ■;compte ede M. Rappe lant entrepreneur déBéthisy-Saint-Pierre, I jeu une fracture du côté gauche. M. le docteur Deloaard a prescrit unI itpos de quinze jours. - Coxsna aux cqîît*ibda8les. — On I JO'JSécrit: Les contribuables mécontents peuvent bire leur réclamation de la façon qui leur 1S mïquée sur les feuilles "d^avetdisseleat; de plus après nous être renseignés I Itouvais. Sous leur conseillons d’ajouter - ài -leur I jiclamation, après avoir indiqué le motif sirlequel ils se basent pour fa fonnule; ce {juisuit: <D'ailleurs le rôle p o u r l’année 1907, I sontrairement à la loi n’a pas été établi w un conseil de cinq répartiteurs puisla séance, il n ’assistait'qiie;'"deux réf Jeteurs en dehors d u .n aire; il. est pos[ sile que le procés-verbarae cette stence [jortscinq signéitures, mais deux n’émalieiitpas de répartitem^s e t ne sont pas ^àlabtek II estoonc illégal et ne pent proI t e d’effet.. ». , . - — A ssociation fraternelle des E m p lo yé s et Ouvriers des chemins de fe r Français. — Ainsi que nous l'avions an noncé, c’est le dimanche 3 Février à midi et demi qu’aura lieu dans la salle des fêtes de l’Hôtel du chemin de Fer le banquet annuel de la seclion de Creil auquel assis tent chaque année nombre de hauts fonc tionnaires et d'administrateurs de la C'“. Il sera présidé par M. Rossignol, ingénie’a r en chef de l'Entretien. Pendant le banquet l'harmonie creilloise se fera en tendre et exécutera plusieurs morceaux. Le soir un grand bal réunira dans la mê me salle les invitfe de l'Association. —' L.VLYRE A m i c a l e . — Le concert an nuel de la Lyre Amicale avec audition d'artiste de Paris aura lieu samedi 9 février prochain à 8 h. 1/2 du soir salle de l’Hôtel du chemin de Fer. Une sauterie aura lieu à l'issue du concert. — I v r e s s e . — Charles Gosset, de Laigneville, âgé de 28 ans, sera poursuivi pour avoir été trouvé jeudi dernier, en état d’ivresse, dans la salle des pas-perdus de la gare de Creil. — Baert Charles-Louis, sujet belge, âgé de 32 ans, qui mercredi dernier, au marché tse trouvait dans un état d'ivresse si mani feste, qu'il pouvait i peine se tenir debout a été conduit au violon où il a pu tout tranquillement cuver son vin i 1 aise et gratifié d'une contravention à sa sortie. — V a g .a e o x d .a c e . — Les gendarmes ont procédé le 23 courant à l’arrestation du belge Yan Derpoorte Achille. 22 ans, qui était en état de vagabondage, et sera poursuivi en outre pour défaut de déclara tion d'étranger. C r é p ÿ - e i i - Y 'a lo is . — Salle du théâtre Municipal, dimanche à 8 h. 3/4 précises, 3* Grand Concert Artistique, avec le concours de : MM. H. Barrié, tp, de l'Opéra ; H. Forterre, du Conservatoire, compositeur ; Audiger, basse chantante du Conservatoire de Paris ; Mlles Dereins, de rOpéra-Comique ; Beyra, de la Gaité ; Darez, des Capucines; Mme Méau, des Concerts Colonne. PROGRAMME Prem ière P artie. t. C avatine d u P age des H ug u en o ts:................... Meyerbeer. 2. L a Jolie F ille d e P e r lh . . Bizet. 3. D ans la N ote (monologue). J. Normand. 4. Romance (violon)............... Beethoven. 5. A ir d ’A l c e s te ..................... Gluk. 6. Rêve d ’E n f a n t ................... J. Rameau. 7. M éphistofel (Air de Faust). Boîte. 8. D uo d u R oi d ’Y s ............... Lato. D euxièm e P artie. 1. 2. 3. 4. L e Crabe A m o u r e u x P hilém on de R e a u c is A ir de S a la m m b ô ............. L ’A b s e n c e ........................... 5 . M u siq u e a u b o rd d e la m e s. 6. A n d a n /e (v io lo n ).....----7. V iens m on bien a i m é ----8. Duo d u / " acte de F aust. Ch. Debucy. Gounod. Rayer. Fontenailles. Dorchain. Forterre. Chamiiiade. Gounod. Troisième P artie. GROS CH.AGRIN SajTiètte en t Acte de G. Courteline. Caroliné . Mlle B e y r a . I Gabrielle. Mtle D a r e z . DÉPART BE M. G a u s s é . — M. Gaussé, contrôleur de 1" classe des contributions indiractes à Cripy est nommé contrôleur de ! '• .classe en Seine-et-Oise. — C e r c l e A r t îS t io u e . Le bal orga nisé par le GôSiité du Cercle Artistique, aura lieu levsamiédi 2 février prochain, dans la salle 'de l’Hôtel des Trois Pigeons, à dix heures précises. Les cartes d’invitation seront distri buées à domicile, en temps voulu. MM. les sociétaires, désireux d’avoir des voitures à leur disposition, devront se faire inscrire à l’avance, chez M. Coppeaux, qui les transportera à l'aller seulement, moyenh a n b l fr. 30 par course. Un seül cours de danse, réservé aux sociétaires, sera donné le Dimanche 27 cou rant, de cinq à sept heures, chez M. Marot. Le Comité rappelle aux membres du du Cercle, que le 3* concert Artistique, sous la direction de M. Barrié, aura lieu au théâtre, le Dimanche 27 courant, à~ huit heures trois quaits, et qu'il'est consenti en leur faveur, une réduction de 0 fr. 30 aux places des galeries, et de.p fr. 23 i celles •lu parterre. — C a r n e t m o n d a in . ,— On annonce le prochain mariage de deux enfants de Cfépy : M. Martial Blavet, flls. de l’hono rable M. Blavet, ancien conseiller muni cipal de Crépy, et.Mademoiselle Hélène Crell.—Syndicai agricolx.—Dimanche Graniér, fille du négociant en vins, bien I jfémer prochain, â deux heures e.t demie ' connu. • , I . Nos meilleurs vœux, de bonheur aux jePaprès-midi, salle de l’Hôtel de Flandre, l «itaVûif lieu une grande réunion du culti- futurs époux et nos vifs compliments à itars sur convocation du Syndicat ^ r i- - leurs familles. la vallée de l’Oise qui vient de se — L a S a i n t - S é b a s t ie n . — Rappelons I lormersur l’iniüative de M. A rthur Bigue^, que c’est ce soir, samedi,-que la 1” Comoltivateur, et M. Auguste Bréché. M. A r■ - ’e d’Arc de Crépy, fête la Saintllmr Biguet a été élu présiae'nf du bureau - _ , - , p a r un banquet, qui sera servi LiM i *__- __ r .X—2a _ ——— Ia a a a ia éures, à l’Hôtel du Nord. --.J86fBâiBK.à: dix heures d u matin, sera iirîe'TTntre'jeiines et vieux, latraditionnelle .i^ rtie de J ^ d in . de .taiedi 26 janvier, .à h a it heures e t d ^ e , I -—r Au au BdiiEAU bbueau DE de P rooste sT a; — A a partir pai w uç - ‘ cher, unF ooirféM (» : ^ ^ a d i c r ;_& «am duB M che, le rîJrivRn "! B & se irD eno^t, TrtiM<EèâU .(.cfo-poste da Crépy, qui étaient fermés a dimanches et jours fériés seront fermés définitivement à i l heures en été et à 10 heures en hiver. . Le service télégraphique et téléphonique se fera comme par le passé, c'est-â-dire jusqu’àm idi. . Il ne sera apporté aucune mqdilication au service du départ et de la distribution des correspondances jusqu'à nouvel ordre. — La P r o m o t io n v io l e t t e . — — S .^ vt- S é b a s t i e n .^ — Dimanche dernier, la 2' Compagnie d’Aro de Fieurines célébrait la Saint-Sébastien. Après avoir assisté à la messe le matin, elle profitait du t*mps superbe pour tirer l’après-midi une pai’tie fort iutéressinte •et chaudemest disputée. Le soir, un banquet de 40 couverts servi à l’Hôtel Saint-Sébastien, réunissait avec les chevaliers, les amis delà Com pagnie. Au début du repas, M. Toursière, lieutenant, donne lecture d'abord, d'une lettre de M. Duchauff’au (Alphonse), capitaine, qui s'excuse d* ne pouvoir, par suite d'un deuil récent, prendre par à la fête, et ensuite d’une autre lettre de M. Deoroze, conseiller général, qui assiste i Pont au banquet de la Compagnie à laquelle il appartient La pius franche gaieté ne cesse de ■régner pendant le repas servi à souhait sous la direction de Mme Delamarre. Comme de coutume, le dessert est agréa blement entrecoupé par des chansons et monologues variés auxquels met fin un bal fort animé qui se prolonge jusqu’au matin. La Chapelle-en-Serval. — .A c c i d e .n t de vo ’i - t u r e . — Un lieutenant du 2” hussards, M. j; d'Auvergne allait en cabriolet à Orryla-Ville. A 130 mètres de la gare d'Orry-la-Yille, il rencontra trois voitures de roulage ve nant en sens inverse. La première, seule, était éclairée au mi lieu de la route, tandis que les deux autres, roulaient à gauche. M. d'Auvergne n’aperçut ia disposition réëfle du convoi qu’en arrivant à la hau teur de la deuxième voiturt, .qu’il évita avec difficulté. Il heurta la troisième voiture. Le lieute nant fut projeté à 20 mètres sur la route et le cheval, se relevant brusquement, re tournait vers Coye. Les charretiers, au lieu de l’arrêter lui portèrent des coups. Une légère dispute s’ensuivit à la Gare d’Orry. Le lieutenant porte quelques contusions sans gravité, le cheval n’a rien eu et le dommage de la voiture est estimé à 60 fr. Marolles. E ta t civil de Vannée 1908. 3 mariages. 42 naissances. :: 13 décès. J Excédent des décès : I. M o n ta tà ire . — C oncert E ta t civil de l’année 1906. 16 mariages. 18 n a issa n ce s. 23 décès. Excédent des décès ; 7. Néry. — de la Ci — Nous sommes heureux d’an noncer à nos lecteurs que l’Estudiantina L a Cigale, de Montataire, dont les pro grès croissants ont déjà été constatés par tous lors de son premier concert, dqitdonner le second de la saison samedi soir, 2 février prochain. Une indiscrétion nous a permis de savoir que l’on avait travaillé beaucoup tous ces temps-ci au sein .de cette charmante société et qu’un, vrai régal attend les amateurs de bonne m u sique. P o l ic e d u M a r c h é . — Afin de mettre en garde les commerçants qui pouiraient contrevenir par ignorance à l’arrêté sur la police des marchés, interdisant de ven dre en ville les jours où lia lien et notam m ent le dimanche, jour où celui-ci se tient régulièrem ent, rappelons-leur que plu sieurs contraventions ont été relevées dimanche dernier pour ce délit. g ale. j; — A c cid e nt m t r a v a h ,. -A.MercredlîieW mer, vers 9 heures du matin, un accident est arrivé dans les ateliers de M. Biottot, industriel à Verberie; Mme Bourdet, estampeuse, au moment où elle plaçait une pièce de métal dans la m atnee de l’outil, n’ayant pu retenir assez vrite le balancier, a eu l’index de la main gauche presque écrasé. Incapacité de travail d’une huitaine de jours. — En faisant sa tournée habituelle dàns le bois du y Mont-Cormont », M. Leviel, garde particulier, a tué un magnifique aigle. Cet oiseau, race dans nos parages, mesure exactement 2 mètres 13 d’envCTgure. C a p 't ü r e d ’ u n a ig l e . Oi*py-la-'ViIle. — Ormoy-'Villers. P R O B B IT HYSIÉRIQUE ijsiUspeasable SsslWIe E l e c t io n s m u n ic i - p.ALES. — Dimanche de.rnier, 20 janvier, à eu lieu une élection .en vue de nommer deux conseillers municipaux, en rempla cement de MM. Enchéry-Denis, décédé, et Lavernot Albert, adjoint, démissionnaire. Cette élection n’a donné aucun résultat. Le nombre des votants était de-173, la ma jorité absolue était donc de 87. Ont obtenu : MM. Savouret Oscar, 86 voix; Marchand Désiré, 60; Meunier Al fred, 39 ; Mercier Albert, 51 ;. Rivet Fernand, 31. Aucun n’ayant atteint la majorité exigi ble, un scrutin de ballotage aura lieu di manche prochain. ÂLÜ80L âfM EHTN I K08S c o is c a s s s PAsionoo efiANOSPRIX ICI S S'-L O U IS4S04 LIÎGE 1S0S MILAM 190S — A c c id e n t d e t r a — Le 13 courant, M. Louis Prévost, employé chez M. Ganneval, s’est donné un effort en faisant tourner le volant d’une machine. Il en est résulté une rupture musculaire de la région inguinale gauche. Soins du docteur Cailleux, incapacité de travail : 10 jours. v a il . ©PPOuy. — A c c id e n t d e t r a v a il . — Le 17 courant, M. Alfred Basselier, forge ron à l’usine Clair, à Crépy, 4 reçu une lourde barre de fer sur la jambe gauche. Soins du docteur Résibois, incapacité de travail ; 10 jours. Rocquemont. — F e r m e t u r e t a r d iv e L a M é « 8 “ C U V E R IE ” â e P ,a i E s t l a S e u le n n iv e rs e lle m é n t a d o p t é p o u r l e s o u l a g e m e n t - 'e t l a G u é ris o n d e la ^ m ie e t le s d é p la c e m e n ts d e ^ i^ rg a n e s Noos avons i« plaisir daumoncpp à to w ceux qui soat atteints de cette terrib le ÎDÜi'ini’ë qu’il n ’crwtc qu’un SEU L irjütem ent, vér'îabJemeat scien’ifique. et vraiment sérieux àssm ^ut un soubgem ent im médiat e t une guérison rapH e : c’t s t l a méthode CL&YERIB de Paris. Tous «eux de s o i lecteurs qui sont atteints de H e r n i e s , Effiorto. H e o e e n te s . H y d r e e e l e e , 'V a r ie o e è le s . M iU ad le o 4 n r e n t r e , e tc ., feront sagement, avant de s procuritrun appareil quelcnnqûe, de profiter du passage de M. t/L'AV EklË, qui vî«itera les malades et fera lui > même l'application de son incomparable méthode qui est maintenant sans rivale au mond% à : DE DÉBIT. — Le 13 courant, le garde cham pêtre de Rocquemont a dressé procèsverbal : 1° 4 M. Joseph Batori, marchand de vins, aiiflit lieu, pour fermeture tardive de son établissement, et 2“ à MM. Louis Beaudequin, cultivateur, Virgile Barberye. Jeudi 7 Février, Hôtel dn Grand* Albert Cuvillier et Hilaire Pignon, toiis SEUiLIS, C erf. trois ouvriers de ferme, également à Roc £ t à C L E R U O ^ 'T , Samedi 9 F évrier, H ô te l quemont, qui consommaient dans ledit éta S a ln t - A n d r c . blissement après l’heure réglementaire. € < ^ U P IE G !V E , Dimanche 10 F év rier,. H ô te l dé F ran ee. — C o n t r a v e n t io n . — Mercredi dernier,/. Ç R E I I m, LuB[di 11 Fêvrisr, H ô te l d o C h e m in M. Thieux, aubergiste à Rocquemont; a de F er. été l’objet d’une contravention, pour avoir Tous uos lecteurs en écrivant à M. CLAYBRTE, négligé d'inscrire des voyageurs,, sur le 234, K anhpurg Saint-M artin à Pari*, recevront grituitem ent son m agistral T r a i t é d e l a registre destiné à cet effet. B le r u le . — D écla — Une déclaration de réunion pour l’exercice du culte catholique a été faite à La Chapelle-en-Serval. r a t io n . Laniorlaye. Moi’lcnval. Parmi les nouveaux officiers d’Académie dont 1rs noms viennent de paraître à VOffictel, nous relevons les noms de : M. Debeaupuis, conseiller municipal de Crépy, membre de l'Associatiçn républi caine" du canton de Crépy, anticlérical de marque, électeur influent de M. Chopmet. M. Vassal, secrétaire de la rédaction à l'Echo du Valois, conseiller municipal, membre de l'Association républicaine du canton de Crépy, etc. Ils reçoivent ainsi la récompense de leur zèle et de leur dévouement à la cause sec taire. ■ . .A quant la nomination de M. Juzaine, gérant de l'EcAo ? — A c c id e n t d u T r a v a i l . Le 11 cou rant, Henri Barbier, menuisier à l'usine Clair, s'est donné un coup de tourne-vis qui a occasionné une plaie septique du pouce de la main gauche. Soins du D 'P ortemer. Incapacité de travail : 3 à 6 jours. — I v r e s s e . — Le IC courant, le nommé Laboue (Ernest), charretier à Auger, a été rencontré en état d'ivresse sur la voie publique, par le garde champêtre Bonnard, qui lui a dressé procès-verbal. — P h a r m a c i e o u v e r t e . — Demain Dimanche, M. Masseau, rue Nationale., Fleupines. — A r r ê té P r é fe c to r a l. — Conformé ment à l’arrêté préfectoral, M. le Maire de Montataire invite ses administrés à pro céder à l’élagage du gui. ■ Saint-Sauveur. — A ba n d o n d e v o i t u r e . — Le 16 courant, M. Eugène Denis, lioucher à Saint-Sauveur, se trouvant sur. le territoire de la commune de Néry,'s’est vu dresser procès-verbal par les gendar mes de la brigade dé Verberie, pour aban don de voiture sur la place publique. Vaucionncs. — L e c u l t e . — Une déclaralion pour l’exercice public du culte a été faite par deux citoyens de Vauciennes. 'V^erberie. — CESSATION D’UNE ENTREPRISE A VENDRE e n c c > n 4 îa .n c e & à l ’a n a i n l s l e 16 bons et forts CHEVAUX — Le D E X R .A IX public est prévenu qu’il sera procédé le 10 mars, à deux heures du soir, en la Mairie entiers, hongres et juments de 3 4 10 ans, de Verbèrie, par devant'le maire de cette ayant tous fait un service très dur 4 Paris. commune, à l’adjudic'àtion publique, su r' soumissions cachetées des travaux d’aS ’adresser au P iqueur de la Société des randSssement de l’école des garçons et B réparation de l’écple des filles. Le mon lransports,..0, impasse Compoint, tant du devis dressé par M. Valentin,. ar Paris ( t j s arrondissement).. chitecte à Senlis, s’élève à la somme de Èüsai F acultatif. 37.730 francs. Les personnes intéressées pourront prendre connaissance des devis du projet et du cahier des charges au se crétariat de la mairie, de Verberie, tous les jours de 9 heures du matin à 4 heures du soir. Les soumissions seront reçues au même endroit et jusqu’au jour de l’adju dication, on pourra même les déposer sur le bureau à l’ouverture de la séance, elles m em pm eeé « tfs ftîa s t seront établies sur papier timbré à 0fr60. Un certificat de capacité établi sur timbre de même dimension sera annexé à la sou gratuitement dé mission, ce certificat sera délivré par un II» ÜAIIciiinP ai'olütecte agréé ou par un ingénieur des lin nOHMeUr . faire connaître à tous ceux qui sont atteints d’une maladie de ponts et chaussées. Les soumissionnaires devront présenter bonne et solvable cau la peau, dartres, eczémas, boutons, mangeaisons, bronchites chroniques, tion. maladies de la poitrine, de l’estomac et — T r o u v a il l e . — Dans les premiers delà vessie, derhumatismes, un moyen jours de janvier, M. Cadot Alphonse, chau infaillib'e de se guérir promptement dronnier, à Verberie, a trouvé une couver ’ains' qx’il l’a été radicalement luMnême ture de cheval, dite d’écurie; Cet honnête aprè.» avoir souffert et essayé en vain artisan a.fait sa déclaration à la mairie, tous les remèdes préconisés. Cette offre, et tient la dite couverture, à la disposition dont on appréciera lè but homtmitaire, de la personne qui l’a perdue. Toutes nos est la conséquence d’un vœu. félicitations à M. Cadot, pour son acte de Ecrire, par lettre ou carte postale, à probité, M. 'Vincent; 8, place Victor Hugo, 4 Grenoble, qui répondra n a tis et franco — AoaDENT d e v o it u r e . — M. F . . . , pro priétaire, à Longueil-Sainte-Marie, reve-, §ar courrier et enverra u s. indications emandée's. nait, samedi dernier, d’un enterrem ent à Raray, il était en voiture avec un ami ; en descendant la côte de Verberie, à une m m i ^ m P o u r cause excès de nossBré m ^rnsÊm allure un peu vive, la voiture chavira brus A V E N D R E 4 l ’a m ia b ie a v e c l e o r a e o l l l e n . quement et les deux voyageurs furent pro jetés sur la routé, où ils se relevèrent avec . Mem^érie et RonUge. Veadne avoe Essai d’assez fortes contusions. au ifrê de rAequéreur. — S'adtasser lût» les jours. WX£os 1». 63 BÜB OaJLEaS«:nrBmS8*y'PA&Z:>A d j u d ic a t io n . f W foïis mm « e. T M i ie s rÉ s — lü Plus il y a longtemps qu'aune affecikui des reins est négligée, plus éU è'ésfIoi§& et difiicile,4 guérir, car lès reins ne vent jamais aller mieux d’eu's-mi^ Prenez donc le parti'cfe là sa g e ssè 'et^ mencez â vous traiter avec lès Klules Fostef pour les Reins dès qu’un des signes qui suivent vous prévient qùè vos reins (vulgairement rognons) sont attaqués, par exemple, ■quand vous vous sentez mffl à ■ l’aise ou que vous éprouvez une doulêur sourde daus-lè dos, des étourdissemmiii^ ? des battements étranges du cœur.idfc ^ 'î lourdeur'ides paupières et de la raideur, dans les iarticulations, quand vous êtes nerveux, abattu bu surexcité, quand vos urines sont troubles et forment un dépôt abondant, quand elles vous cuisent 4 l’émission ou que leur volume est anormal. Ces désordres et bien d'autres encore sont causés par les reins, qui manquent à leur fonction de débarrasser le sang dés matières Se rebut et de l’acide uriqùe. Les Pilules Foster pour les reins guérissent c es. désordres, parce qu’elles rendent la forcé ' aux reins, les tonifient et les mettent i ' même de remplir parfaitement leur fonêtion, c’est-à-dire de filtrer le sang propré meut. Ces pilules devraient êtres p m es régiilièreinent par tousceux qui prenapét. des boissons fortes; le vin,1 a bière et les spiritueux ont une action irritante sur les membranes délicates des reiiis, les Pilules Foster pôur les Reins empêchent et calmeal cette irritation, car-elles excitent l’aclidn des reins et préviennent contre de graves affections. Les Pilules Foster pour lesReibs devraient être prises par tous ceux qui entrent en convidescence à la suite uto refroidissements, rhumes, iufluenza, fati gues, fièvres et autres affections, car'les reins doivent être aidés dans tous ces cas, afin de les tenir à la hauteur de leur tâidie de filtrer le sang, pour combattre les condi tions d’affaiblissement général de l ’o i ^ nisme. ''î f Quand les reins ne filtrent pas le sang de ses impuretés, tout le corps en soufire et la constitution la plus forte y sue'comfife. Les Pilules Foster pour lés Reins peuvent être prises en toute confiance dans tûÉ (^ les formes d’affections de reins et dè 'Ia vessie et leurs' Tiianifestations, telles qdê rhumatismes, abattement général, ihsdftnies, gonflements hydropiques, augmeiltatiou ou insuffisance d’urine, lumbago, siâatique etdésordres nerveux. Elles guérissesût de la pierre, de la gravelle, des tro u v es urinaires et vous pootègent contre ïe dia bète et le mal de Bright ouNéphrite A ftumineuse. On peut se procurer les « Pilules FOstèr pour les Reins » chez tous les pharmacïena ou à la Pharmacie Lesage, place HehnJAf, à Senlis, â raison de trois francs ciniÿahte la botte ou de dix-neuf francs les six boites ou franco en adressant le montant à : Spé cialités Foster, H. Binac, PhàrihâcîèM, 23, rue Saint - Ferdinand, Paris. Dans l’intérêt de votre santé exigez la véritable boite avec la signature : James Fosterrèt refusez toute imitation ou substitution. 8 A V A N T D iP â R I f flN iB L 'E I U L LeR. P. Henri, Anoloh P rie u r, a lai-^sé.lon ^ fo m i^ ffiiérif radicalcœÿnl MALABIES DE'PWTWA, AEQUCi four UESCQULEURS. OUBÎTE. AL5UMIMUME. CRAVatE, GWTtLToo^ les Maladies <ie ki PEAU. RKOEATISME aiCU QU CKfiONIMej NÉVRAUlESi MAUDIESOUCOEUR,VABICES, PLAIUXULCERE^UAH* fiUEuXi kEmorroibes, maux O’estmac. etc. à, 9on ç a m ia M.PELIETAII, (Sartitt), qai enver» framiteaMa^tou^ demande acconra^ee.- i* Om20 -es tinbrea d'aorcâ; un merveitleai' litre de 150 ç'agèa'-cBRtmlitifla ma» fiiirewie goèrir iiiTailliblemeaU . fflÂRCHÊS DE L& H t9îô!i 2 3 'ja n tie r .. Blé 21 50 à 2 ' 75. M étd l 'S . . à- \ î r g . . 16 . . à 18 ' MOrjîe 1 6 .. à l 7 . A T«j^e’ » ' q ^ 2 i>'s . 2 *2 ? anx 1 0 0 kilo*. P ain le kilo l “ q té . . 0», 2* . . c» B snrre le kilo 3 20 . à 3 40. 2 h if i le* q n a r ^ o n . 3 4 0 h 3 W. *1 • F ^ n a e r ie * 23 jp'iivîer. -- ‘ On cot l'hectolitre : B! 6 de 17 . , ; 1 6 . ;. H éteil S e ig le Orge 13 Avoine ''^ até'ià sO . ÿ - 8 70. ■'?esco BisaiUe ÏN>nîâe:4e (erre 1 0 .. Blé 1- qté 21 79, 2* 21 15. 3* 20 26. J lé td l ] . . . . S e i^ e . . .. Orge l^^jBS. Avoine !*• qté 2 2* i9 le tout anx 100 ktio*. P ain le kHo I*« qté . . c . . . , 5 B eurre le kUo l'* qté 2 60. 2* 2 90. Œ ufs le cent 13 . . k 14 . . . B e stù w x , — 8 Taohes amouiUantes de 3 '0 à 480 fr. Taoe. 3 vaches grasses de .130 }l l'5 0 le kilo. 12 vaches herbagéres de . 80 k 1 l O l e k i h ^ 6^ veaux g i« s d e 1 70.k 2 20 le k ilo ; de 20 à 4i)'£r. l ’un. 184 porcs, gra» d e L - . T k l ^ l e kilo. 516 conrenrs de 25 à 56 fr. Ton. KMK)’de~ B it de 14-à 25 B?. Ton. : R a y e (Somme), 22 janvier. • Blé blanc, 21 50 k "21 7^ ; roux, 21 i . a J i 85. Seûrle 15 50 k 16 . . . Orge 1 7 . . k 17 ^ '- à ^ ^ û n e noire .19 . . à 1950, aux 100 kiios. : Savb£dx-Blakchi^.[ Le Imprimedo AdimoistratiTeetCon. ^ i l , p l ^ e â e rHôtef-de^YiUe, à ■in, o ffertes mamcipal. ’^Anâtole, un paoiar [ à l é i e r , ofüS ef m m û' •A X* s J a x x K iN iC v a v _«roné 4 Senlis. (Oisej, : r»X * üLftJtjJs » piotmrè 4§«diui (Ardenn^), ; ÔSMS ^ p a r M. iMüoDtier A&T. 2. une fa ça d e de 4 0 m ètres, et p rend entrée p a r une grille et Etudes de M* SAINTE-BEUVE, àvoué à Senlis, ym e p o rte CQchère. B cç» 4 a d ü c l à l r e f l u - A s s c a a l* . "E N ;k e : •OR lao iT A T io w D’UNE . ^ ^ d e ’Bé-i avoué aRifiiféj . ^ E â p iiS m e . < e :• M o n * K lèuia-O K T iét Brioofct, propriétaini; drausuraiit à 8 ^ T « , . : 'A tils a n i te " io m »|t èn » Mût* *Jademoiselle M argnentc-M ane. « Bàxa?Be;-»é*A -Fontainebleau, « lerqainxe is a r f viBdl h u it cent a màaire-vtDgt-treixe, nommé h *é « 0 tta fonction p aran rte de lo p ■ Boeitiond*intérê<»exîstantentFO uTiBBi uiMiiar» v eu v r a BàaaiUa» s a m ère et tnttiéfr • nAcjjÿUe-i^ légale ; » ÀtOttô constl- riStaB^er -^ 1 â B. [;*Hiiidissement (Arden*»), encore en p résence ou lu i d O a e ^ app^de: ^ a eu retTMt». (0 ^ ^ lOtArilea eom m iM .da Q pineuit . e i .nominÿ •tdfWiP ^ E d a com prend : M aison de M aitr^, consistant- en : rez-de-chaussée- et prem ier étage en nature d 'appartem ents, com posés.de quatozÿe piécea,/escaU er de m aître i t -escalier de «service; vastes greniers, grandea caves. Bfttnnents .divers form ant dépen* dances, en nature de bureaux,^ réinise, é csrie, sellerie,_grands magasins avôc cayes et g ren i^ii. C itern a'co n te n an t environ q u a tre ‘v ^ g ts m ètres,cubes ; -puits avec pompe. Ck)uesy g ran d e t-b e a u ÿardin d ’a g ré ment*' 4. • > L ’ensemble., *d*une • sn p ericie id 'e n vîeon 4.000 mètres carrés, tie n t/^ Wa^ « é ^ n v e H enres k l’ouest, k M^ns eur F o u asrier k l’est, aboutit p s f le jasdûAk veuve B ernard, aux représentants C ornet et autres. :iH e :à iirix ;J iO et de M* PILLEBOUT, notaire à Crépy-cn-Valois. TENTE SUR LICITATION D’UNE PROPRIÉTÉ à BOUliXAÏVT, dépendance de Crépy-en-Yalois ' (Oise)', iSN _ ; avec fà et^i dê. rfUjAion, L ’adjudication aiù « lien le Blmanéhe 24 FeTTier 1907^ à deu x heures de relevée, en l’É tude et par le m inistère de - M« H L LE B O O T, n q t^ i« & Çrépy-eh-Valois, ffQiffirii*- k cet Afték jj^u rg o erite-tfa ^e if E n exécution d’un jugem ent contradic F u it et r à i g é p a r l’avoué pooreuivant toirem ent rendu p a r le Tribunal civil de soussigné. Senlis, le quatre décembre m il neuf SfiBliaj-le vingt-Oinq. janvier m il neuf cent six, cn reÿ stré et signifié ; eh -cent lUt ieg i. ■ ■ - ■-a r Tt-serà au x requête, ^ u r s u ite |e t .dili N-mi^ botai^u • - Signé tR A lN T B -B E p V S . g e n t de.: : \ ' t vtDM . S a i n i s t r p o u r l a r e n s è tfn im tn ti ; ' Premièrëmènt. — Madame Louise-. ntiK Lecôq,’ épouse de Monsieur Félix _ -S<âiU» enmloyé. au e h e n ^ à4 lequel en è àem e u r* a Chêlles e t dudit ’jÛ tY ,' avoué l i Senlji,,’fIS o a i w Raomlt, agii»airt ta n t en son Ml»*'i t i Ja vente ; f nom péTSCHmel ri besoin que pour as.*"” B0ÉSIGN ATIOH ...... . “faire te r ét aù lo n ser Ik dame son épdnse; *Deuxxèmeiment. —. Monsieur EugèneA n u àn d Lecoq, jardinier,, dem eurant k ta S S i A U ae « tu è e à P R IX îÂea^UbB 82 Çrtfiy-^-Valo^ "'feoîsièm em ent. ^ M onsieur Jules ^ iQhgqiiy a r ^^ demeu ran t k PariSj ru9 iwdüiancRSertlâSEÎ, haSGo 8J Quairièmement. — M onsieur Gustave Lecoq, jardinier, dem eurant à EvryPe'it-Bourg (Seine-et-Oise) ; Cinquièmement. — Madame LouiseMarie-fiugénie Potier, éqouse de Mon sieur E tieane-Paul Oger, maçon, arec It'qael «lie d m e v r e k G lirh j (Seinft), rue Poyer, 7 bis, .e t d u d it Monsieur Oger a ^ ss a n t ta n t «n son nom pèrsonnel si .besoin que pour assister et autoriser la dame son épouse ; Sixiém nntnt. — Madame M ariaYirginie Potl«r, épouse de M onsitur Edmond-Loai« B uat, m arbrior,. avec 1 qa>l elle demeure k N o jo n et dudit Monâeur...Buat, ag lâsu k t^ t^ t^ en ^so a nom personnel, si bêsoin, que pour x^isister et autoriser ' la dame son épouse ; ffleine); rao du Fout,* 2 ; Ayant m * Sainte-Beuve. p o u r avoué constitué; r E n présence d e : !• Sfonsieur .Gusÿave-Hpaoré Baud e q ^ , serrurier, dem eurant k Crépy- .ù-^Falbis; : ' - « A s s a u t au nom e t en sa « qualité de tu teu r a d hoe dU « nûpeur Ernest Antoine Potier. • « né k Crêpy-intYk'b*s,le trente a avril m il huit cent quatéeringt« onze, nommé k cette fonction « p ar suite de rapposiriôn d’ina té rê ts e iM tn t entre ledU m iqetf « a e t M onsieor Eugène • Elrnest' a PoUer, son t â t e û ^ t i f j ^ ■ JE* Monsieur Chrisûo-Àntoioe.Rrichèt, cendumeur ' d ’omnibu*, dëm eùràR^'W Senlis, r u e d e . Ville ?crt. 16, veuf de dam* Bcrihe-Augestin^ Aeeqq a ■ : « A^ssantjpiû'Bonihh* e- autre bâtiment élevé d 'un : rez - de chaussée comprenant deux pièces et 'd’un ’gre' îe r ”Ooûyert sirdoises^ 3« A gauidie' de la cour et fa'sant re t£ ^ ^ d ’equeiT€L an prem ier corps de bâtâménii'Uik'^b&uinéet couvert en a r doises smrvant d é bûchers avec grenier (Séi^-én-Yalôis ; dessus ; — a Agissant â u nom et en sa a qiudité . de subrogé-tuteur ad . >4?{AJdroUe.£dft’'jR.-cour et s'éténdam • € hê9 d u m ineur Potier sus- autour d u denrièmè bktTment dont est pxrlét num éro .2 , u n jard in en çontre« nommé ; • . liAut; s^KRré d q la c o u r p ar u n m ur 4* Mon'fiie^trAL'xandz^Guérin, paveur, auqéél « t -adossé* une lapinièrew Dans dem eurant A Crépy-en-Yalois; ce m ur, le io n g d e s bâlimems du deux a Âgitisant au nom et en sa ième lot,:C8 ta M p p r t ^ d o im it accès' k a quatité de sùbrogé-tuteûr àd une ckvé^extrilâit so às le ja rd in cia k M ^d es mineiires R am et sus- dessus et p u i s s a n t s'éten d re. un^peu « nommées; » sous le. ja rd in d u d e u r i^ Ç lot 5* G r u is r ir iu r r a te é n j a ^ n derrière P rocédé le dimanche, vingt quatre le prem ier çorps d«r hktifrtente, désign.é '" - • “r ’inü neuf-; e -ù tr k. deux .1 dé relevée, èn -T ô to o e.^ ^par le. num éro 2, et en bordure de’ta due aux ' ‘ \ m inistère de M* Pilleboüt, notaire, k Aaés ■; Crépÿ-en-yriois. commis k cet. ^ è t , à 'L ’eosémble tien t pordevant et- .k > .. 1_____ laf v en te.su r llciu tio n , au plus ofirant l’ouest la m e du et le deuxième et d ^ ie r-è n è h é ris s e v r deu imméùfifes'fTdt é i 'a p i^ 'p s r iie ir ié r e e e k l'e n Monci-aptès dérignés, en deux lots avec B ^ a r a p è r e ,d 'u n c-Ué ve:s le faculté dé réunion, su r les mises' k prlx; scà-dTIn rue au i^A n es -,et d ^ u tfe côté vers m id i M onsieur .L etrillard ; . fixées p ar ledit jugement; Ay»nt M* Morand pour- avoué istitué; ■Et'ancore en présence ou eux dûment appelas de : ' 3* M onsieur Fernand-Edm opd Décps^ anctep greffier de paix, d-m eurant k Ci O Ê S iG N A T iO N BT M IS E S A P R I X PRÈMIÈR LOT U s e r n r a r i e M alèm e et dépen dances. situées k Bouillant, dépendance de Cvôpy-eo-Yalois, ea la .rne prmcîpale, ris^k-vis le lavoir, c o n s i s t é en-: i^ C o o r en en trai^ uyec. entrée de ■Mrta ..cochère lerniéè d|u&e grille et porte hAtarde ; . 2® A u fond de cette cour, faispnt face Misé, à prix : S.SOfr francs. ■ . DEUXIÈME LOT p o u r la réparation de la toiture de dernier bâtim en t L ’ensemble tient': p ar devt le N ord le prem ier lo t ( d i n ^ p réséet f a t i^ e h e ) e t la ime-dù] p a rd e m è re Monsieur Lri côté Orient le-pmnii'X’iiôtj;,. occident M onsieur Letril mitoyens entre ; '. Mise à prix : 4ix£^jjcs. Mitoyvnne'és eB trp'JeSjiik^ lots Bogûts. — T- u r d’^ h e ile , Cave. L — Les m nrs i entre le pez lè serotfd l 0 !s ■ae<opS sHSoat ]mîtojiÉŸ .• food'en comble ; . "rf Le -pcv^HàéMiîra d t t j ||n i è i u i |p l devra., supprim er 1rs égonts 'd e ' I M bâômebtVqui d 'fo n e n t's a r la cour Sremirir Lot e t conserv r ches lu i o u J e t •T dans la r e e æ a a a m ç d iig o à ts ; n i . Le prop nétair *do deoxièam ^ ara. le droit de to u r d ’é c l ^ e su r m cour du prem ier lot pour la réparellott d é sou M rimriit ; • •' - lï IV . ^ Le propriétaire d u d e v r ita h prem ier lo t eu' t a a t q à e cette cave -fgH » siteée au même s’ôtendre.tOM son terrain^ v Cour en entrant; ' F a it et rédigé ^ r s v D u é W r n ie û É A gmiche, b%tiffl^nt.élevé d’on rek-de-' ctmaeaAe^empcenaat deux ÿièeies avec g reuH r dessue.convert.enkGdoU s;-.i . 8^ é . : - .^ S âIN » B K ü V a . é é r i m t e ^ ' J a r ^ k l ta su|*e ^ p v h^At^rOni pénètre dairi I^fren^r. f a i r à a r '-'foiir iw r e w ^ w e i e * , '9 » séiÿ râ, p a r . ô n in u r <du âë^gn4^.ùum éi^ 4 au‘ |prem^er 1* A *P!'!«IAINTB-BBÜVB, s v 9 i» .A ' ■lot..l!ik<^eJ 'e é ’d et^ » < i âe n lia. C l e p ejM I I M m b idnstttani en : lÎOT, COI , a qualité dé tu teu r n â tste l et lé-, a g^ldeLéonie-A uguttssBRainet, a néeTe w p t aofld./ioil.hait ce n r « qntrev1ngtM{Baione e ‘ Yvonnea Remet, née le sep* ’-mii « huit cent onatrevingt-quinse, " c it% deux Ü H À U ttbtkDTdSjs pièces d'habitation e tn n è grange. a ' « M ?! mSTMiif fito .'t,c o u v e rt pMJîe eu tn ile s j t o t i p o rct. • _ . 3* é t-p » T iieeu scd ai» sa Ila » le îo ljH ig i.1 avec; m en44e 0 * prem ier corrà 3e to-imenSs, ùtistirYSbÉvwriià tailM ; ..f e t sép ari d e loi |iii *rin nu ifiT r'i~ t'T iiT -''n iillrih |iM « ig eil lie [liiil iVfcjiilli iTUJ ijT p i e m d o a u B t M cie H x -(re iû e t8 ,'U n ' 8( w .l .^ g r t$ n M w M qesieut L o to tte-d . :■ .Gitjr.; c et, "TN- L E C O U R R IE R D E L ’O IS E A n n o n c e s J u d ic ia ire s . L'adjudica ioa au ra lieu AUTe 7. É tu d e de É tad e de M - H . B A L .É Z E A I J X 1 notmFO à Chantilly (Oise). ïio u is E 1 S C A V ¥ ) flv u é à S enlis, 7, ru e d e V illevert. G o ate n tlétix e t R eo o m rem eB ta [É tude de H * A r a a a v d f R O E A lS D i : huissier à Creil. CsssioB d e F o n d a d e C om m erce. A tnda da H * X d a o a d RICHABD, Aotaiia à Poat-Seinta-llaxaepe. Étodo de M* L jE N ^ M a té r ie l n V o itu r t d it* <c C oehon- ^ S a t a o a aveo Jard in et 9 P t t e a a M M e b ll le r .- . I iilè r e » , V o ltu r* p p w ■ét T a r t e > t B aU y sis «wnmmA et cation vo’oatairi|,j a e n d rt A I V de commerce, A^Rmiw>. . BEUÆ DAm Anagemantt, T orabêP dau, B»*“ terro ir de Robervàl, d « M. L 0 B G E 0 I8 , Etudes de !»• G . L O IB , avoué eu le, S a e s v ide* a t a u t r a t O b jatt, mtehle. — S ’adresser à M* lU eh a r^ M. Jules M aiU T ,'h éü ^ 1 notaire. à Senlis, A s s is ta n te J a d ic la ire . A V K A D R E auxenchères, à K ogeotOn fait aaroir à tous ceUx qu il appart ' e t n J n m . f 'M o 'I.i'l A C B É PY -EN -V A L O IS sur-Üisc, rue Faidherbe, 24, au doœicuc 2 rue de lu République, l après-'^idi, jæ* tlcudra ’• , (Oise). de M. LEORkND'RotziKn, le Ditnanefic noir, hvistm«! ' D écisio n d u o J u ille t 490 6 . ’Stile M* T IS S E R A » !!’, notaire Qu'en exfculion J 'a ” , É tude de M* BALÉZEÀUX, notmre 3 F évrier 79Q7, à une. heure, ^ a r le m r \x deuxième chambre du Trihuna s i s e à C U A X T IL L Y , à Chantilly. à Chambly. ministère do M* R oland. — Conditioiw S i de la Seine, le deux mai s uni neuf 4 ___ . . ACv < 3 3 £ ^ L E > n a i ] ^ ordinaires. — P our la désignation, voir m e S a in t-L a u re n t, numéro 15, cent six, enregistré et sivni.ic , Kpicerie, burette, rouennerie,_ mer- les affiches. A vendre p ar adjudication publique com prenant : E t aux requête, poursuites et d llv e n t e corie, chaussures, dans gros viUag.a ; et volontaire, à Lam orU ye, en la salle A u rez-de-chaussée : vestibnlc, salon, excellentes conditions. D 'un ju g e m e n t r e n d u p a r défaut do la Mairie, p ar le ministère de M* f a r tu i le d e liq u id a tio n ju d ic ia ir e , “ S - M a r i e - F a n n v ^ l ^ ^ J salle À manger, cuisine; au premier: Charcuterie dans ville industrielle. BalézeauT, notaire, le Dimanche 3 F é p a r le T rib u n sl eivij d e S enlis, le étage ; quatre chambres à coucher, une 3 pores par semaine, le tout vendu à la vrier 1907, 4 - ^ u x h*ures de relevée, Us d asuâdee D'UN C a-Ï< Z : ^ ï n ” r u u " (Nord), boule vin g t-tro is octobre m il n e u f ce n t six, autre pelito cham bre; grenier et cham-j Iboutique. n a e b e l le I H i e o a B e a r g ^ l s e . âse Hxt* »e dépaasa MU «{] m re g istré ; bre mansardée. vard des Ecoles, numé o i l , One unonon is n a t à Lamoriaye, rue de la Cannerie, n* 10. . plusieurs boulangeries importantes, G ourdins bquclle buanderie, bûcher, feb e ^ l Ir.iQ. « Agissant au nom et <‘omme E n tre Si. A rm an d Dequenx e . o u sans échange de blé. Tolr--i•«^«■i3nfils tutrice naturelle t'.t v rier d ’u sin e, d em eur-int à Mont-a. écurie, remisa et grenier au-dessus. 2 maisons.de plomberie, ringuerie et J„an - Robert Carré, son fib ta ire, place d e la M airie, daai d 'É p i c e r i e Cave eoiis toute la'm aison; Etude de M* DESABIE, notaire A (hreü , chaudronnerie, à céder dans des condi mineur ■ ; , clos de murs, beaux arbres, « A dm is à l’assistan ce jiidi G az e t ea«. tions avantagetises. e t IJ c b it d e R c is s o n s , é« .1 fe«a«. uonr ii''-ov!é co:)^ti;.'>é « claire su iv an t décision ilu Cafés très fréquentés dans villes de tir aux pigeons, A vendre à l’amiable, d e a z B a i ’b * de M ia tti ! Pu; licm-îursi't u 1 ans i> à 8.(^D habitants. « B ureau de Senlis d u cinq SOB8. situées A C:*eU., Tune ru e du ■ems^lÊàt la eoiaaAkCfc, Loyer annuel : 4.300 francs. itl'iü, nniîtéro 43; d e 8 h e c t a r e s 7 4 c e n t . Faubourg de Paris, a* 40, et Tautrc Excollent hOtol, très fréquenté. P ris « ju ille t m il n eu f ce n t six ; » ;S, r u e de é;C'.'ce de : ru e du Temple, n* 13. — S ’adresser — 'i HoBSBie « jaune (QUI et P our tous renseignements, s’adresser modéré. A L A M O R L a YE D em andeur com parant', concluanl ..-iMn- M i.ric-Alin-* Gnmevt M* Desabie. notaire i Creil. tout travail, disposant d Débit de tabac, burette, mercerie, bil M* BALKZEAUX, notaire. 25 sur la route nationale. plaidant p a r M« Louis E scavy, son ' VI il r'''» la joûrr.ée, dcniande occoi lard, à c^der à la cam pajne Bonne iiiP. • ui:ê c o n s titu é ; D’u n e p a rt ; . S 'adr. au Bureau du jJ ■', Vivun'v'petite affaire. D inU inC iiC i l ' r i - r r r o i ■>■ ■ ■ ï’a'.lr-'fsep pour r#n*eiguement.s .. 'e u r (à e o ru r s C a r r é ; Et M“* M arie-C onstance S év ille . Étude de AS* 19. B A L É Z E A U X , Excellent petit fonds de menuiserie et M. MAURŸ, géométre-oxpert à Cban- Étude de M* RO BERT, notaire à Baron à u m iiÉUTC d: W (~ Ch deœaade, - o u i „ P r i i c t a n t f u s ’ n n o n i p r r - épouse d e M. Dequenxe , sus-nom m é, notaire à Chantilly. chaiTounige. à céder dans des condi tillj. 59 pe.'S.'nne âg-o, u se ‘ s o n n e l q u e c r m m ., tu t r i c e n a et. l'É tude et par ' “. “ ‘“.“ ' i ’i,;';",,, A vendre à r»miahl<y, Sbslê-.ft' certain û g '. tions trë t a'^antageuses. ivec leqiu'i elle d em eu re d e d ro it ' . t i ir e 'l e e t l é e a l e d e M a r ie M a d e î t - TISSERA N T, notaire a Cliam rite i Baron faTibcB^g- Ho BAcb^t*. Deux cx -e’leots hôtel?, entreprise de I n ta taire, puis la dite d^^me rési C i. S’ad r, au Bureau du „ Ir iu e - O a b - i I l e C a r r é ot S u z a n n e -drr.toer A M* ROBERT, uetaire 4 lîiiit à T a ris, Ih'S, rn e O r ‘en r ^ t p o u r e n tr e r en jo u is s a n c e d e suite^ maçonnerie, A i.éder à des condition? „ M a rg i e r i t ! C a r r é , s e s d iii A. V E N D R E Baron. « F - M.G-AUTmR,Birtis^J exceptionnelles. E n vertu d une ordounauci rcudu „ e n f a n ts iiiiu e ' r s , is s u s d e son ^clu«llfcuieiU san s dom icile n i ré s itUly/ .demand* on v Bon petit fonds d ’armurier-mécanicien p „ Monsieur le J u g-C otn raissair-, e A C H A I^T ILL Y « w n i'in a v e c M o n s ie u r G c o ic rf leu^e 0 ü ü u s ou F ra ce ; |>rés«mter pour les condiiié^** » céder à. des conditions excosircm ent à la requête de : <1 C a r r é » : . BON m t a i t ËTUO x D éfenderesse défaillan te; avaotageuscs: puur cause de inaladis. 1 0 M o n s ie u r R o b e r t- G e o r g c s C a i r On demandt? dzas «g situé sur la Chaussée de Ba’agny. 1* M-*.G. Loir, avoué, dem eurant : D’a u tre p a r t ; d .m o u r a n t ii P a r i s , n u m é r o l 3 . r u e d ■ lb u n u c n a g rc , U mari j^rdinS Cv-rassA ^iioS x p o u r u n g r o o d S en lis, i m e de ia République, A vendra A l’amiable, 3_ M u I^ _____ osk _ ”» DmaiB pour k calslat ,ua I S’arJrc.«ser pour voir k M. A lfre d , m o m b ro f o n d s d e e o œ Il ap p e rt : AS'Ssant au nom et commr B ê tié ; ^ ■ a 4't7 I THO.MA?, do Bal.igny. 41 «ituée? A Lévigncn (Oise). G k. de Beta, 'cotrctieu du linge. 3* Monsieur lulos-E rncst Carnn de oxe^ee e - to u * se>!irc*. Iquidateu r judiciaire du sioui Que le T rib u n al a pro u o n cé le d i 29 k. de S adUs, 4 k. de I- g re de Créj^ d e Tfouveautés, C onfection S’a ‘r . au Bureau du „ Georges Carpeniier, demeur«D m e u r i n t à Paris, n u m é r o 13, r u e d e la vorce en tre les é 'o u x D eq u en x e2 k. de la gare de BoisBy-Lévignen. • p o u r H om m es e t J e u n e s 6 e n ^ , R à Chamblv ; » SÉvn.LE. h la n^quéte et a u profit do S’adresser à M* J . R<«bert, notaire m r J a r d i n i e r , cé’.ihataip,'J Ayant l'our l'o u é consütué M” K e r r «u couraot des rh»T*m 2* E t düdlt sieiu- C arpentier; .•T*m F X P lO 'T V i l O ^ L l I U È R F Baron. M. D eq u en x e, avec toutes ses consé- B o n n eterie, C h ap e lle rie, C haussures A ik c s 3 : ^ î j : : > ï : s i a a Launav, dem eurant k P an s, rue de . ■mploi à-. Seuils s^-.us..', v-ourri. t.uurri,' D Ofl‘ DOfll I l sera;. 1-î D v n a n c h e d i x F é v r ie r luences légales. e t A rtic le s p : u r G arçons d ’É cu rie Banque, numéro 1 ; ■ ■ Ecrire : GEORGES î.t . «xiriï, f-hevaux Il * Belloa, n* 7. ’ ^ La p ré e n t in sertio n est faite r n 4" M a d .m o v s l i e G a b rie l e - V a l 'n l i n t I voitui-es i-rxi. IV et 1X4 .«-...t « Û fliX ÉT U D X to»’t 1.x le m«téri-l. ^Cliontêle P r i x m o d é ré . C a r r é , c é U h n a i r e m a j e u r e , e ÿ * P '':;" jo uform ité de l’articl ^ 247 d u Code bien s ilu é en v ille . notaire, h la vente et a-djudicatio prenoiu tous les jours 3*ü litres garanti» -AT", On demande poir i fe s s i.m . H m e i r i n t c - . - i c r c n t ^ P s r i . , civil et d ’ijHH o n lo n u a n ce re n d u e p ar publique, au plus oUraut et derme: A vendre à Tsmiabie, a a e X a fv o a , J é n n e h o m m e «;« 1.3 i l4 , j K 40 et 50 C'nt. 1* litre. On gagne ’ous P our tous renseignements, s’adresser r a e F o n d a r y , n in é r o S, l ’ U’>-nl M. le P résid en t d u T rib u n al civil de siso k McDtlognon. et diverses Pièces belle écriture — Payêdé'suii A M'. BALEZF-AUX, notaire 1 S’adrftBsor à M.O ctavb CAGNARD, I Vs an« I 4.0«M > f r . nei de tous ^rais. chérisseur : , rua d - s F f è r c s H u b e r t , ^ m é r o S enlis, le v in g t-d e u x ja n v ie r, p résen t à Morienval(Oise). —Téléphone 9. 8101 Pa ill-in de maître. 10 pièces. Ins-alla* de Terre, ^ré et B ^is, sises terroirs de S'adresser : Léo.n BÜAT , D on F o n d * d e C o n iin o r c c d fc p l L » ïa llo b -P e rre t; / ,> .- d .„ - i I * lion spl nu '’iX‘e4. u avec »Z.V xn, 12 he tare» de B.iron et Montlogoon. — S'adresser ’ Senlis. m ois, en reg i.'irée, p o u r faire co u rir ’ O é b it d e B o is s o n * , .x A v a n t p o u r a v o u é c o n s titu é M H im l, On tr.ait«ra avec 25 000 fr. — M* Robert, ootair,* à Baron. • Études de M' E . A’E U V IL L E , les délais d ’bpposi ion o u d ’appel. p loité ■à Chamblr, rue B e rlin o t, d e m e n r-n t a P a r .s , r u e V i J9 T - M. DUB.^RLE fil. J I, T 'p résen tan t 17, rue Saintem Am 25. coTUpreuaDt . la cl»enei huissier à Crépy-en-Valois i c . i a o » 't a - 7 j i b : P o u r e x tra it fait e t réd ig é p a r Saînte- M&zence. demande i f Apollinc, l* a r lf t. 60 l ’ncliniandage e t les droits y atia'hes v ie n n e , n u m é r o 1 0 ; (Oise), • a v r i e r s p e liitr e s en r 5- Mademoiselle Thérèse Carré, de l’av o u é soussigné. 1Étude àe M' R O U X , • t lir droit au bai'. Très près i. m eurant à Toulouse commhsaTC-pristoi de l-'arroadis ornent A S e n lis , le v ingt tro is ja n v ie r et de M* J u l e s P O T E R L O T , et actuellement à ’* 1, jilse à prix ; 500 fr. ci-d“vant huissier à Reims. j Une Récente Découverte. de Senlis. V icV i-A nge, num éro 2 chei Madame m il n e u f ce n t sept. ComiEpation pour anoliérir : l.M » fr, &T6C J a r d in e t D épendances, Justine N ée; . :0 Signé : L. ESCAVY. B 0^m ' M a U r U l et M a rc h a n d U e s é G L a IG N E S (Oise) ; Avant pour avoué constitué M De i Y ? ,S i p r e n d r e e n eus, à d ire d e x p e r t. champs, Semeurant h P an s, ru e de 2* l'U ûiversi’.é, numéro 17 ; . A rt . P oor tontes Us fcM<ée^, Les personnes affectées de Toux, de i t cahier d es charges et conditions Et encore en présence ou eux dûment «stte inentios : ' à vendre- aux enchères publiques, Bronirhitc chronique de Maladies d’EsEtude d e M ' L o u i s E S C A " V Y n œ q û é lle s il sera appelés de : par autorité de justice, tomac et d’intestin, de Neurasthénie, le Dimanche 27 Janéier, à 4 heure, 9 k '« d r 9 S 8 9 r « u -Si avec raceordem ents à la gare av o u é à S enljs, i ; ^ ê o o s d i Chambly, en 1 Etude do M 1- M onsieur A lbert Rey, artiste m u d'Insoinnie, de P«rte d’.Appétit, trouve de Verberie, 7, ru e d e V liev ert. î S i T M Î ; notaire, où chacun peut en sicien. dem eurant A V illc-d Avray, avC' l e D i m a n c h e S F é v r i e r 1 9 0 7 ,1 «ont* d e m a n ^ ô« H asrin M à S E A L I S , ru e de Mêaux, n* il ro n t par son emploi un soulagement sise à SAINTINES. t e e M^x>mpagn4a 4‘a a t i î n p n n d ie connM ssance. & deux heures dm soir, immédiat «t llllIlKJUiitL OL une llUC guérison assurée Ce pour cause de départ de M. W a&aik, nue de Balzac, n « e 99m réfonèss . « A u nom et comme subrogé Ferm ent est un aliment vivant, actif, D IV O R C E an d e n procureur à Senlis. A C R É P Y -E \-V A L O I S rentsmtMA «M lt«nèr« ] S’adr. i Mme NicoUe, à Glsugscs, régénérateur et dépuratif agréable *■ F » t e t rédigé h S enhs, ce vingt-quatre « tuteur du m ineur Jean-Rob^rl (O ise)y « Carré, nommé auxdites foncpar Orrouy (Oise). . 705 p r ndre. ja n v ie r mU n eu f cent sept. D 'un ju g e m e n t re n d u p a r le T ri« tlouR par délibération du conseil 3 frnnes. Signe ; LOIR* P r i x d u F la c o x Il F*ra procédé k la V K X T E par] « de famille du tit mineur, tenue b u u ai civil de S e n tis, le d ix -s e ç t adjudication publique, !D ’ XT IsT Franco Gare. E t onres^Mtr^* « sous la présidence de M onsirur o ctobre mil n e u f c e n t six . en reg istré C o m m e Se BétMsi-Salit-Martii (Oise), épôt ^ ü é r a l : X . l i O S E , pharDépôt . le Juge iJo Paix du 16* arrondit! i * Œ “ ï ’ P O N T E Q Ü O T I D I E H N E i« P O II _ S-odrcaKi- p o u r les renseignements ; E n tre M. Ch rie s-E rn e st D oligé , :i\in ûi lV cu fo liA teau (Vosges). raaciüii . sem rnt de P a r is . le dix-neuf M«m* p a r l*a pJa* GBAIVBS FBOIfil ' exploité par M. H ÉD üIN (Chahlks), !• A M - I . O I H , avoué à Senlis, . déoeabra mil neuf cent six ; • pape 1er, d em e u ra n t à G enneviiiiers dem eurant à La Ferlé-Milou. N ot *. — Un Flacon d'essai est offert D'une e f f t e a e i t é i n t a n t e H a h l e , cette dicoi?n| nourtnivant la vente ; î ‘ M l'abbé François-Fortuné-M au- (S ein e ); gratuitement i la" demande, joindre due à l’aviculteur T h . LSDUCQ, ni* rA.-ied«ea à h *• À T I S S E H A M T . notm ie C om prenant notam m ent k^* de laS**du ig rkiltnii 4i FniM. IsTri frueo eeetti anèt D em an d eu r c o m p aran t en p e r 0 fr. üî'' pour port. ricc Bardinal, curé h h ChamBly, dépositaire dm cahier des y dem eurant, rue M artinval, num ro 4, V E I V D M t E Stilos.8<fiO; Sk.,4^S.; IkeY 'SO tlO t. 1 4 '50;»L ,kn| 1” U n lu an cg fc d e c h e v a u x d e so n n e, assisté de M* Louis E scavy, Essavcz, vous ne regretterez que de Contre rembovseoM&t à partir d* 9 kUo* (tatüqwrnp^B PAR adjudication charges, 40 « Au nom et comme subrogé- sou avoué co n stitu é ; b o ï » «'om pose d e d o u z e c h e v a u x s a u ne l avoii| connu plutôt. « tuteur dos m ineurs Mane-Mat e u s, h u i t c h e v a u x c a b r é s , d e u x c h a r s , I , Tïin^nnf hfi 4 0 F/>rrÎpr 4007 ' P o u r insertion î chez H . U E P É iA T R E , d ro g p aerle - à D’u n e p a r t ; deuxVa=^aux, quatre banquettes, p l a û |t e üim ailU ie 10 t t i r i e i I J U/ , . d -P io e - G abrielle C arré et Signé : LOIR. et chez M “ * B la r e o t, 3, Grande Ru* de Soissons, à V lllera-C ett^tM i . Suzanno-Marguerite Carré noraI à 2 heures 112 d u soir, E t M” E ste ü e -L u c ie L a n g l o is , cher fixe et ptaacbei'm obile. Une attestation au hasar<l : « Je suis satisfait des résultats « mé auxdites foncti-na »[»vant ép o u se sép arée d e co rp s et d e b iens Eclairage à acétylène avec lampe J e n la M a irie d e B éth isy S t M art’n , iîm âc d* » • P IT H !', notnif* k S tn î's avec votre P o vd re Orientale. Signé : A ndré Roboüam, vét^m ûtil « délibération do conseil de de M Do ligé , d em an d eu r, lad ite cuivre, système Bocli. . A rt . 4. en-Valois (Oise) ». „ fa-nitln desdites mineures tenue 2* O r{pue Gasparini à cartons per Le cellier des charges est déposé à A 99ÊUre i ra a ia b U , HeSswB S m e» „ sous la pré-ideoce de Monsieur dam e d em e u ra n t à N eu iiiy -en -T h elle; foras et son moteur. . Étuties de M* G . L O IR , avoué ' la Mairie. KM à Coy*e w * &«s C o n o in D éf-n d eresse c o m p aran t en p e r . le Juge de P aix du 8 ' arronà Senlis, 3* U n e v o U a r e dite « Caravane L e M aire, 1*T8, »* 27. — 8’%dlx«ail«r i M* Pétft, « dlssameitt de P a n -, le onze sonne, a sistée d e M* S ainte B euve, do 5 mètres de longueur, marqué ThHle, [64 DÉSEROUX. e t de M* D E S A B IE , notaire notztiv* k aUnUt. « mai m il neuf cent quatre, enre- son av o u é co n stitu é ; ccnslruct'îur à Ep^rnay, de fabrication à Creil. a p s tr é • ; ■ . . D 'au tre p a r t ; récente, et tous ses accessoires. r i sera, le h T e r tte ii v in g t fé vrier 4* D p c h a r i o t de 7 mètres de lo&' Il a p p e rt : Étnde de M* P S T IT , notaire k SeniU. m il n e u f o n t. s ip t, a d ix heures et gueur. dem ie d u m a ttn , en 1 étudo et p ar la Que le T rib u n al a adm is la conver 5* U n fonrg^on de mémo longueur. , minisièro de M* P s’éxeauj, no'aire. h sion eu div o rce de la sép aratio n de A vendre ou à louer menbléq, fllpl* p a r suite de fuilUtee, 6* J e u d e lia la u ç o tr e * c o m p le t ‘ chan tilly (Ois V procédé é | a vente * « 9 à YinevU., prés L a L A Z A R I N E e s t u n p r o d u it I plus offrant^r'. e" hçieisfeur „„ . . dorni-r .............,le> l'ps', n“ r i a v e m e n r 'd u oomp""n:m“ 5 ChanilHy, avec vaste parc bien planté, I>’UN E N P L E J N E E X E L O I T A ' f l O N s é rie u x , u n rem èd e scienti que I £:,r.êubtos àon, 1. désignation su,. , | ^ .1 j en 1» rue des Sœurs on de Saint-Len.*— reco m m an d é a p rè s g u é riso n s RT LA S’adresser à Bd* Petit, notaire. I , D é s ig n a t io n co n c lu an te s p a r les m éd ecin s C U Î L .T U F iK e t le s lig u es an tialco o liq u e s, i Comm une de Gouvleuhs (Oise), j,g ^poux d o lig e -L a n g i.o is . facilité de p o u r g u é r ir ra d ic a le m e n t d e 3 0 h e c ta r e s d e T e rre » L’efficacité de III « In c P i è c e de tBeU, sise t-r tir ! pgji, ( rédigé DSP l’aVOUé soussi- réunion des n” 1. 2 3, 4 et 5. e t s û re m e n t l’iv ro g n e rie la LA ZA RIN E A vendre ou • ^ouer m a i s o n booi*B O tJ Ï Ï.A N G E R tE e t l’aleooU sm s so u s BONNES CONDITIONS lg o > u l* a v e c communs et jard in , à , , e s t g a rantit. 55 AU CO H PTA M T --7.,-,,^.. d'sorés Ifs' A Stmlis, le v in g t-six ja n v ie r m il to u te s ses -formes. — SenliK, route de Creil, n* 4. — S’adne* , . . . . àJ ,. rG - R R EE II XL , ! î . r ' n ï "^d'unc cc B '.iian r. l}'sprês If . C o n su lter à ce sujet li .tb r e ld e q u .ra u ..-.ix ar.-a douza « » - HPtif c n t sept. U L A Z A R IN E S ’adresser à M. E ugknk LEM IRE, à. ser à M* PETIT, t.ota.ipe, b ro c h u re q u i estenvi^ée • î £ ? , m « \ T d u ra té « i et d'un bout • ru e de la R épublique, n» 80. M ontoiéliant, par Survilbers. 1082 est inolfensive e t . 81 Signé : L ouis ESCAVy. Études de M“ IVAQUET, notaire , g r a tu it e m e n t sf demaade nord à M onsieur Georges O ionm eton, peut se donner, à SainlvJustveii.Cihaussès “ autre o M à Monsieur Barthélém y 11. DESSEIONE, jlunui. MÊME ÉTUDE à l’insu du i t “ n " , d 'a u t,. bo u t 4 la sente des L’adjadioation a u ra lien (Oise), à C o s a o (N ièvre), q ui envoie buveur d a n s, nvce g r a n d . jllala® A Louer, irra; ^ ... co n tré m a n d a t ou niib l e S E I £ E F É V R I E R 1 9 0 7 , F arin et de M“ D A U V IL L IE R , Études de M* SAINTE-BEUVE, rue de la Corne2- B b c P i è c e d e B I». g-BOe tout liquide, b o u rs e m e n t de 1 0 ‘,iM à d ix heures d u m a tin , notaire à La Neuville-Roy. avoué à Senlis, ’adresser à M- Petit, même terroir, li.u d it Derrière-Mout, ; îî-O T f," n " '5 . - - S’es eu b o ite p o u r u n e cure. d'une contenance d . sept ares d is c e re u l’Étude f t p a r le m inistère de ‘ I notaire. et de SI*-PETIT, notaire aliment. M - D E s I b J E . notaire tiarps cadasiré* SPdion A, numéro A S E N L IS L a L A Z A R IN E K à Senlis. 573 b'ts, tenant d'un au levant à à CreiL tr o u v e d a n s tentes la place Henri IV, n® 13. Madame veuve ValWe, ‘ ’ MÊME ÉTUDE p a r suite de cessation de culture, b o n n e s pharm acies di d’autre côté à M ons-.ur Borde, d «n S ’a d re sse r chez M . FO U Q U É-M O U Bn vertu d'une ordonnance de lû.-'®- bout 4 M onsieur A rnaud de Let.un F ra n c e e t de l^Strania f'55 A PH O N L l ROY A louer, g r a n d e l i a i s o n , 4 R.nliv, R ET, m e de l’Apport-au^Pain ' sieur le Juge-Comm issaire f ù 'a " - (jjjrétien, d'un autre,b o u t au ohem n de, au x e n c h è re s p u b liq u es, I e tc h e z le s dépositaha rue de M ^ulin-Salat-Rieci, n “ VS, avec près L a Neuviile-Roy (UgG'o de S’-Just • quête de M- G. L oir, avoué à Senlis, S, D ereii''«’ Mont, é-i:ris<, rcnilBC. paro - t jard in . ' - r I d -d e s s o n s q u i deantsl à E#-lrées Saint-Denis), n e de la République, S'a-iresser à M- Petit, uolairc. l a b ro c h u re e t tous ht MISES « A gissant au nom et comme A C É liF s R par le mjni=t*re dcsHits nottires, « syndic à l’union dus créancier.» ûgnem a . ; . l o o ff. «t de la faillite du *ieor A ndré- Prem ier l o t . . . I/Ç pim anclie 3 l é v r ie r 1907, F > ^ T j : E F t, ï e : u tilta Étude de M* DELAUNAT, u o u in 8 0 fr. , « Ferdinand Bouchez-Tav au x , Deuxième lot. . d ’Ë n t r e p r e n e u r à, I t h o vrestrés préX iiesd u rfla iiu , ip o s s M n n l iino DObiié et an cien n e à S u ilii. êt'en son vivant bonlanger a et lendem ain lu n d i, à la m ême h e u r e ,. piig^tèle et te n u e n o m b r lises années D i ’- p ù t s ; (i R e a u T a i s , Pb'- R EC O U SIT ; à C r e i l , Pll';l « Cr -U, 8-0, rno de la Képud e M e n u is e rie , e t C h a rp e n te , h ‘- LEQUEUX-iROCHIN par ie cédant. — SImalion excepA louer . • s o n sise 4 . à C o m p i è e n e , P Pn* L E Q U E U i-iK ^ H W : aà IMt t oOuuyy,J. j M tT 'il lau er ki l’am iable «1la*sOB « bliqae ; » F a it et rédigé 4 Paris, le sept janvier en la Ferm e occu; ée lionnclle. — Occasion. mil neuf cent s pt, par M; D urnenu, Seu^s, rue dU F au h cu ,« -S ain t.M ar.ln „ Ph? p ^ r M, A m é j ^'é DÉM AZURE, s i t u é A S E S fL IS y ‘ n sera, le Somed» seize F é v r ie r m ü DI« ru*- XlAXrUJll , <l v n » r u - L.\JAk\a,,a %ebrv|xj S’ad res^ e f i })..B,OZIAy, pgrlB dj '-■ n e u f o t n t t e p h , i d i x h e u r a dz. m o m i, avoué poursuivant soufSigDe. o ù il é la it ex p lo ilé ® ‘ jp h ‘« PETIT, eldaastORtes etdano W û B les bonnes Pharmacies de U la régi* Signé : E» DÜRNKRIN. D 'ü fii P a ris, a tirép y -eu -V alo is. 51 " t o K H i eu l’Etude d . M* J 's a b ie , p a r la Société F an jat e t C’ “ , ‘ i ï t o e à C reiL àla rente et adjudication, E n reg i.trê 4 Meanit, le sept ja n v b r IM P O R T A IT « q T p ld » offrant e t d êm ier encbétuseur, mil neuf c«nl sept, folio 10 , uftux ÉTun^ .! Méfiez-vous des contpefuçMi» oap la Law POMPRi^NANT : tu a : ’ m ' reçu 1 franc & centimes, décimes VENTE & l o c a t io n lover 4 9 bcetare. le seul R E M È D E Ï» 'F IC A C E c o n tre l’Iï 1 » L a G l i é n t é i e , i ’A c h a l a n d a g e e t ■' I 4 e C em m ereç d e B .» - compris. g 9 3 arcs 3 T eeullarcs «le U m l s , ^^ l i S g e r i c , exidoité Çrell, rue d - U exploite »a .^rou, le D r o it a u x B a u x ; eu 4 pièces, >is au b-rmir. de Seolis, ^ , num éro 80. ensemble a K ^ n h liq n e ^ a d re sse r p o u r rén srig n tm en t/ à ; 2° G r a n d A t e l i e r , bien amésu r U* bor.I do D n.utp de Ce qjp’(j5jn«, Æ ï l - r i ’^diarandag. v a tta o lé s le C om prenant notam m ent : |P p r p t i é ^ é s . T F fp e iiis , e h liiyu d itlc s Marais du ÊKÊ^M :v :« » lériel servant 4 son cxpioimtion et te 1> M- « ï o n t e r l n . avoué 4 Paris, 2 0 Chevaux, î û MÉÜcUwRay, »o7ai"e. ’ d fc lt au bail des liens où u esploUe numéro 43, r u . de Lille ; 3» I m p o r l a n t M a t é i ' M en 6 14 Vpelie-, 5 V eaus, l b | I - l .a t .f o n d * , fait pour une durée de vingt2* M- L a u a is y . avoué 4 P . ri-’, ru de bon état et Marebandisea. d u années, 4 partir du prem ier janvier Taureau, I la B*oqu^, num éro l ; Stôd* i* M* F X R T â , KctsiBii g é r a i t cent quatre-vingt sdze, moyen160 B nbi» et l'M petits A gneaux,’ L’adjudicatio • a-^ra livn le 3* M* E n iÛ e B e r t l a o t , avou< k — B snt u n 'o y e r annuel de 1.800 francs. i Bsalls 140 .ig u t aux gris. ^ | P a rit, rue Vivienn#, aunjéio 10 ; ^ a* l i J e u d i 7 F é v rie r 1 0 0 7 , TQnibeyeftùxj * C hàritis, Carrioles et g u p c g u à y i g j e V ! } ! ( O le k ' ) A p r ix s 5 .0 0 0 fp . . 4 - M* ». ^ à deux heures du soit', GaWioUt. enchérir : 9 0 0 fr . ru* de rUnive»s«té, a m i t o 17 ; A vvfidrs 4 l':vmi;,bli’. n n — tS nlnnn P rès la Gare. *5t Faucheuse et Moissonneuse. en l'Étude «t par le m inistère de tT É U R DKE 'I 5* M« n*taip« a ph^u •Je , i „ n n « r l n v et u n . Une Machine à Battre avec son Ma u - PETIT , , M»rchandtB<’s k prendre cn*«« tiUy» dépo^ita■re Hel’en hère; P ; è . e e . T .e i-.-. simés e NantcitU-IeAFEZ-TSirS O M .C H ET lio u k d k 8 g 0 fs , kcU re d e x p e ru . nège, llau d o u ia . — S'adr- sser 4 M* Ferté, E t tu r V'é lieux. AVEZ-TODS S S TOd>— , B rab a ^ ls, J ip g u se s , Reqleaux et notaire 4 Senlis. Btttrée en j<mi«»anfte !• U ndemain VOS CHETBIIZ SOHT-llS 1 p o u r liKortioD, P o u r les renseignements et pour, CrpskUl; T â l j a c s - V i î i S 'R s s t a i i r g . ^ de radjttdîonjioo. ^ T O K B E H T J U I -, yg S igaé ; DlfRNEî^lNf yisiter, s a ir r s s r r : Spmoirs diyers et autpez )[ûsirapïen.tç ^ rppreijfl e df»h§ süH Srpréfeclure de S I ecr, ;..j h I k S ÉTUSt agricoles,. A. M- S A W T S vB E Ü V B , avoué S m ^ lo re i I . ROTAX, 'W lMBaJa l’Oise rtiu sin jin a ircs <ti du'iuihi'eü le c a b ie i- des Forge complète ftyee Mh h ’ -U'^s è e u x Gherwzz eMa. I»SeMia ; A lover de suite, b e l le ^ a l w i n im niblécs ( VfTite Jiiiiiuclle du lnl».nc : AitT* ' B U nteD e. d e l à I. a n n u e lle s ri Pe c tr et ft. j tf'.ter. A M* PETIT, notaire à SonLs. _ scuni One ta w v e a z m z m nm peinza* IM P dU onlêa n M t la 23.000 fr.). l’rix à d ô b aiire avec faci i l o a r g e o l s e , simé ru e .Sa'ot-Pierre, •;* ’ r t t déposé à t r e i S ^ û IB tu d e de M a- t.:, ui.ir , et porte cochère ru e aux d e . Chevaux mêdMllS. B tm ltx U In w p êMUS... ta i. V a i t . •tO' U jW B ^ ^ D e r o e , n o t» fc , dû chacun peut en lités si garantie.^. Fiageards. — Eau, gaz, culorilèrii, ja r ; Se. fisaiv* Greove ^ e z les Exiger sur les flacons tel mote isjil Eisa... * C onsulter les affiches p o u r le d d a il e' conneisMn<^* S 'a d re s se r à M. ROZIAÜ, P o rte de din. écni-è et reptis.*. meufs en flacons et demi-flaeoim. | l'ordre de la vente, et s'adresser }0g8 É tade d a M ' H , iow" visiter à la F rw e, ‘fpowr* P a ris, à C rcp y -en -V alo is. V H T fiE P O T : S 8 . m x n iee d ' È n g l u o n . A sslstan o q J o d lo ia ire , F»H «t réU gé à Senlis, ce vingtnotaire 4 Chantilly, oin E&ToiiniDCOlurdoninde dnPrcipwtBf «ontlBmdétaiilM «uiÉr* ianvier m»l n*uf cent sept» É-.cde .ir K ’ F é l i x U O U A T ; notaire Déoision du Bureau ^ Senlis k S»*nlis, plac ’ Je la Ha i p n* 42, S ig n é : LOIR. C r é d i l p o n r le s p e r s o n n e s c o n n ite s suce’ de M* F é tiz o r . D épôt à^ S E N U S du 3 JuiÛet 1906, S t enregistré. Les p rsonues non conu le» des N oiair-s A L ’AMIABLB 4 places, devro t se m unir de léféronces. 74 A vendre p ar adjudica ion volQutîqro,' S a i r u * e r p o u r le* renseignem tni* j S u c c e ss e u r An M . TV C fK B Ii,. p o u r entrer en jouisgapçe de suite^ ’ H u ls a n , >iso 4 Vi) ,r--S ain t-F iam  91* E iO lR * avoué k S snlis.; bo nv, G:a.M o-Ru-, 2 H n ia o n , sie -. 4 B E I X E . A H * I I E M B I E , notaire i Creil 4 places^intéi-icures, 2 sur le sièges, rceurm cs rue «lu P uits-des-F ri’ges, D'un •’u g em .n t rendu par le -Tribunal dépositaire du cahier des charges ; et' u n JIn rd iB . .i- audit Fleurines, civil de S en lis, le cinq décembre m il S u r les lieux, pour visiter.. . 4 V E J V D R E . < en 'a inè-cc r ic, 1” tdaïonche 24 Fé EAU & «A E n e u f cent six, énw gistré ; vrier 19li7, 4 Vill.-rs-Fainl-Éramb ™pg, P o a r insertion : S’aHrosscr à M. A. G A L L E , Jnstd'Ua^tons sanitaires.. A n protti de M onsieur Julea-Eugène>11 la ralle de la Maipie 4 di q l heures Signé : LOIR. ' C h ai« an aaq s& .'e* ptel}. . 87 ré i 3 ey,'pout H maison sise tu d it V u, è n io io o CpiMET, m anoavrtsr, demeurant de construction récente, 1-rs et 4 F leqrin-s, . u la sa le de la à Cbam^nt, ,Au*-. 5. .Mairie, 4 q u itre heures ip é ii^ a , p ü u r - M* Samte-Benvo s is e à c h a n t i l l y , -Îîx r '-: ' les aulrPS imm nW-s, p a t le mvnistèro A Ç É p E R ETUDES DE . p o u r *vDué I rue André (Parc Auiaent), de M- Lo at, notaire. Futrepvenenr à R E ’r z , E t p ar défaut « entre M»d»me H w e . M * D i î R N E R I N , av o u é à P a ris B E A t î G A F É ' C om prenant : Flaiimbbmo'T, épooM -i* M aison p ri- çip ale 4 SUIy l6 -L ong . f u e d e l i l l e , 11* 4 3 , CoiMBT. sas-nommA lequel elle dans jolie villè, bien silué, faisant (oise)' Sou*.eol 0 mpoeé d» : chv» 4 char Etude de M- Q U E N T m a, notaire '■ " ^ é t J e M ' B A t É Z E A U X , n o ta ir e de, d roit à h-n, bû hâi-, grsm ie b n an d -n c avec 4 Chambly ,Oise). Fondée en 1868. 65 groscbilTrc d’affaires à 05 O/Ode b 'né résW aVtde fiiî*43n tu o dn Chemm-de- •avoir cave â vin«.lices. Clientèle riche et Udèle. , à C h a n ü 'I l y ( O i s e ) . WJHBàBSH F e r. i , . Au rez-if-chtussée : vestibolo, «a’<n S'adresses à M. BOélAli, Porto di A 'ew tdre o u à louer une n r « p r 'é t * Défend#*réïae^ défm lUnté f?i>te d avoir ;-l»e k ira n g -r. biirca”, «uiFDe et A. V E NT D T=t K Paris, à Ci’épj’-en-Viali is. 4! •ppelée le M o u lin n n s f, située 4 C h a ^ ■ V E N T E . S U R L I C I T A T I O N conslitré acoU;é,L blv (Oi-e). sur la route n atio n al, «e«jffice. -11 a p p e rt:, Paris 4 .Cahii*. — S’a d resser i M - Q u ^ -Aü p rm S er étages; trp k çham 'rfts i Q u . 1 . ^« > r* e » été prononcé d en tre à coucher, deux l abineU de tojl ttp, A C é d e r d e S u ^ l f . -tier, notaire. & V r9 |f e b ç v a u x ) -knx patul' riet,-W .-C . à 'V é ra t dé n e u f, eompi-d, s , r ' i . ^ » S ï = î S " * i . ï • An deuxième éti gd : deux .chambre 3 ' avec transmission et engrenagî Étude de V ’ E S A U C H i^ P a , n o t ^ t «S r . . .-ÿcavMtnifb k . O i a n ^ i O i e e ) , k f^Ti, ffhfltplfrp de bonne» g renier et ' 4 P o n l-S M lh -> l WS®é- ' ■ ' ET '» » ' ' • ' - ; faisant trois JHQTCS > c i - , \ -x: e t «n T ^ tu i n n a J C ^ n r a n c e , d . w . c . sortir, * W M d tM j y.Tmbuoul cm l A |m ii r .4 W « l i U » » « * ? • » * • C a z e l f S H ^ —' C o n r ®i J a r J l ü . P r * « R . la . !dtne,biiri:i>»««qae d e P a i * ^ 'd«'Séiürs; fit Shifè 4* i“ ' dans ■ ville im portante de l ’Oise. en bon état. ;■»— ■— .-—t:.— -— ---------'• è tp c l n i,^ « * ! ^ « tp id B t # vier mil m cnticent lepL miMgiBirre;, 42 S'adress r à U. b uC H A U F FO U E . S'ai’rosMr au B ureau du Journal. eredmàMiF '4 If•. l^-^i.*u»i>*i "o ta lr. O h m : Av m i P o n r ton» reafeigftenicîitii, .«'«dress-r a «S*! ■’ - '' ■ p b m iÉ t^U : ôydtéar eéi .uidH M*. nqUir»/ enltire*S?r 4 75 - eanlon dé‘(î"eii'(Oiia). Din* A kt . 3 Le M ercredi 20 F é v rier 1907, à d i x h e u r e s e t d e m i e d u m a tin . [CABINET D’AFFiIRES Extrait de ilogeicent de Diforce. A VENDRE TRIS m i PARC rONDS de COMMERCE [petit lot iricrACiAs "fflD S ieW r :* î \M M n 1E B \M U Maison" B orrg«oise [Le Ferment Se Oroseilles Montipn. M O B IX s IE lt U sine H y d rau liq u e MATÉRIEL DE M l FORAINS [il0 P E U P L IE R S i :S . f'î. 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