Le Chirurgien. - Bibliothèque municipale de Senlis
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Le Chirurgien. - Bibliothèque municipale de Senlis
' Maison de commerce éA i fourrages, demande «qk I b le m a rié» connaissant plication des tarifs de che« T de grande et petite vitesse ' nés références exigées, ku Bureau du Journal. 75^ La Maison JOBERT, péüsJ rue de rApport-au-Pmn, ^ foemande u n a p p r e n d présenté par ses pa« -v: ■-r . 775 On demande u n e j e u n e ; iS à 20 ans, sachant iSea cuisine, ayant déjà servi en ' ourgeoise, munie de bonnes I au Bureau du Journal, JO U R N A L Paraissant le Jeudi et le Dimanche. DE S E N L IS Paraissant le Jeudi et le Dimanche^ Rédacteur en chef : Loup BERTTRÔZ. 7a5 I On demande u n* v a l e t 1 I m b r e d’une vingtaine d’an, I Lni de bonnes références, fau Bureau du Journa l . ^ I On démande u n h o m i ^ I lier et travail d’iniérieut*), au | ,A .B O iir J S 7 S Q A C 2 3 s r a :8 Oh s’ABOicitB aux Bareamz da ^ c a n a l et dans t o u àtttmUh les bnreaoz de poste. — L'abonnement est paTaUe • 8. d'&vanee et oonônne de plein d r^ t ju g a 'à Tf ~ .. d'avis contraire. ■jy. .. ê fr. e^nque mû. oa d a 45 8 a « a .... ttS BOit.. 18 BUREAUX. REDACTION & ADMINISTRATION awIbetOfMs S E n rX IS - u , P la o e d e l’B M e l - d e - ^ e , I t - 8 B I I X 1S Lee manuecriU, insérés ou non, ne sont pas rendus. 8*o'r«•••«••••*«•• Xm i . ON n'A oom s k a i s^amanoN av-^ssou# aa 1 nnam , réclames, etc., eonoarnant .Paris eties ûtoarteaMits sont le e u e àax bnrêaaz da |onn»L [ I de la Porte de Meaux, à I 7641 ’ On demande u n c o n n u t^ | ■service et u n s o m m e lie r I ■ e rie F élix POTIN, à Senlis. Le Chirurgien. 7671 II I I ” On demande a u m é n a e e » Imme à tout faire mais connais %n service valet de chambre [bonne à tout faire faisant fsii.’e. — Six mois campagne,! ; Pa.ris. ^1 ^ au B^ircau du Journal. 7751 On deunande u n m é n a g e ! Ltraire le^ vaches, rhomiaQl (la femme pour tenir basse-1 U !tons appointements, Iocé.1 I éclairé. . au Bureau du Journal. 773I ' P r o fe sse u r [sdé, donnerait pendait l ^ l es d'août et de septembrê)di t d e lettre* f au Bureau du Journal. JJCURSALIT- DE L’OISEî ;»ecteur : P. PO.ÜQUET. à Bsawais, 12, rue Denoix-des-Verp P rêts, h y p o th é e alres* Jr- dU Foncier fait en unmé I c o n c o rre n c e de la moitié da ]| •s immeubles, des prêts I A m ortissables dans un 75 ans. krét est aoiuellemdnt de 4'30O/I I nu prêt de >5 ans, l annuité c |t l'intérêt et PamortisBement f H 0/0. •'cdit Foncier consent < lêis à court terme sans .amoit monr une durée de 5 à 9 aiujl rintérét annuel de ces pr<^ts esta 10^0. _ les nombreux et impoti que présentent les prSt»J Foncier ügurent les suivanF 'rction progressive de la deï •exigibilité du capital; 3* Faco es emprunteurs à long terme * oar anticipation et par £ - P rêta eommimaiiz» ."'-édit Foncier prête : aux ( ’attx Départements et aux ] jtt(nts publics. lu o z d'intérêt est actuellema n g s 0/0 pour tous les eo^in tementaux et communaux ; de 4 'f O 0/0 pour les a^lissements publics. essêr soit en personne, tendance à Beauvals, doitfj \ic de La Saccttrsaley f :-des-Vergnes,3oindio un tinJ LÜX JOÜRNAl EN BON £T*T ■ u' Peintres et Marchindlj 2 0 c e n t . l e k ilo s * isser au Courrier de l'O le Luxe U A ’I I ISIN E : î:1 » X ïs U E u m a n ité tra ite M. A u g a g a e u rd e c< ré ac te u r » e t de « jésu ite «. C’est bien son tour. Devenu m inistre, le bouillant député du R hône se m ontre plus raisonnable. Cela s’e st vu souvent. Tel qui a prôné toutes les e xtravagances quand il n ’avait d’au tre souci que de plaire à se s électeurs devient coi lo rsq u ’il a d ans sa m ain la queue de la poêle. Quoi qu’il en soit, M. A ugagneur tient u n tout autre langage q u ’il ne faisait e n te n d re , à la Cham bre m êm e, avant d ’être m inistre. H ier, à Lyon, devant ses anciens électeurs, il n ’a pas crain t de p arler comm e un hom m e de g o u vernem ent. Il a contesté aux em ployés e t ouvriers des services publics le droit d é g rè v e . Quand u n service pu blic e st suspendu, c’est le public tout en tier qui souffre. « Si les fonction n a ire s ont droit à de certaines g a ran Sés, on n e p e u t to lérer que l’indisci pline p én ètre dans les services p u blics. » VoUà qui e st bien pensé. « Le G ouvernem ent, s ’e st écrié le m inistre, sévira avec la dernière én er g ie contre le sabotage. N ous n ’adm et tro n s p a s d avantage la c h asse aux re n ard s ët p ro tég ero n s de toute notre énergie la liberté individuelle contre le s excès de la volonté collective. » B ravo ! On com prend que, V H u m a n ü é ne reco n n aisse pas à ce lan g a g e le com b iste qui n e co nnaissait p a s d’ennem is ^ g a u ch e e t qu’eüe recom m andait n a g u è re aux suffrages des unifiés lyon n a is. Ce qui su rto u t le suffoque, c ’est ’i e p a ssa g e relatif à l’antim ilitarism e. « On peut, au p o in t de nue philoso p h iq u e, déclarer que toutés les opi nions so n t libres, que l ’on peut tout écrire sû r r ^ tim ilita ris m e , m ais lo rs que l ’antim ilitarism e prend une autre fo rm e, lorsqu’il so rt du dom aine spé c u la tif p o u r en tre r dans la ré a lité un gouvernem ent qui ne sésdrait pas ferai t p re u v e d’une faiblesse presque crim i nelle. » Ce so n t propos m isérables, écrit X'H um anité. « Quand M. A ugagneur é ta it socialiste, c ’était le m om ent p hilosophique de son existence. Main te n a n t il e st réactionnaire, c ’e st le intim ent dé la h onteuse réalité. » L é (SMînguo im aginé p a r M. A ugagneOT -poair m ettre en harm onie ses doctrihes' d ’antam e t ses discours d’aujoûrd’h u i n é n ous p laît p a s plus q u ’k l’A j n a m t d . E t ces propos qui ont p o u r b u t de ra ssu re r les patrio tes, ne n o u s ra ssu re n t p a s du tout. K'oüS savons su rto u t la différence q u ^ i y ^ â i ë S tf ^ e s p ro p o s e t des actes, .îïb u s attendons . 'L a semaine* d ern iers, J,®® services d e s ; p o stes e t dés télégraphesV ’’®?!^® e n dohgrès, o n t décidé de se fé d é i^ f ■âÿeé''le Syndicat n ational des chem ij iô t s .,^ li é à i a G. G. T . ét ils o n t afflrim é 'n g n fse i^g p ^q j^le , d roit à la grève ■ ^ n s . k s U é m ^ publics,, m ais ils ont ' 'pprpuvéâT C com .niandé le sabotage; s ont a d h éré au program m e antimUirfariste-de- la G. G. T. e t ils ont clos le u r c o n g rès p a r le cri de « G uerre à Ik 'g a ei^e ! » Q tfa fa it M. A ugagneur ? •’B 'e â t'iïd n is trë 'd ë s 'postes e t des télé g ia p lié s . .Lés "C ongressistes so n t diréirtéimeht p lac és"S O U s‘ses ordres. ’J n ^ if ttc i to u ï p a rà B 'in d iq u e r qu’il va c o B sâ é re r.ë e tte nouvelle .provocation Echos et Nouvelles. D é s e r te u r f r a n ç a is h u é à S tr a s bourg:, — Au moment où la musique mili taire jouait sur la place Broglie, à Strasbourg, ou vit ariàver un soldat allemand qui condui sait un dragon français en uniforme, au bureau de recrutement situé dans une rue voisine. A ce moment, un Français, de passage à Stras bourg, s’adressa à lui en ces termes : « N’âvez-vous pas honte, mauvais Français, mau vais soldat, de vous montrer ainsi aux Alsa ciens ! j> .Alors, de toutes parts, éclatèrent des coups Je sifflet et des huées à l’adresse du dragon qui se pressa de gagner la Cour du recrutement, où il disparut. Le déserteur, qui venait de Lunéville, a franchi la frontière sous une banquette de train et c’est ainsi qu’il arriva à Strasbourg. P a s d e p o litiq u e d a n s l’a r m é e ! — Le nouveau commandant du 15* corps, le gé néral Mercier-Millon vient de faire punir, par le ministre, deux soldats qui, pour être affec tés à un régiment voisin de leur résidence, s’étaient adressés à des hommes politiques afin d’obtenir une recommandation. Par la voie de l’ordre, le général Mercier-Milon a porté ces faits à la connaissance des troupes sous ses ordres. M o rt d’o n s é n a t e u r . — M. Ktu'leMonsserviii, sénateur libéral de l’Aveyron, est,mort vendredi ù l’âge de 73 ans. Il était le père du député progressiste de Rodez et allait' être soumis oaus cinq mois à la réélection. Un d is c o u r s d e M, C a illfiu x . — Au banquet du concours agricole de .Mamers, M. Caillaux, président du tlonseil, a prononcé nue brève allocution. irai.sanlaUusion lapol'u que générale et aux m'^goeialions franco-alleniHUdes, il s’est exprimé en ces termes- : « A vous qui me connaissez depuis long temps, mes chers amis, j’ai ù peine besoin de dire que vous pouvez pleinement compter sur le geuvernement que je préside pour assurer idrdre à l’intérieur. « Vous savez aussi que tous nos efforts, tous mes efiorts tendront au maintien, de la paix, de la paix avec honneur s’entend, de la paix qui préserve avec un soin jaloux la dignité, les droits, les intérêts essentiels de la France ». F e u d’a r t lflc e s h o m io id e ,—A Orange, dimanche soir à 10 heures, à l’occasion de la fête, ou tirait un feu' d’artifice. Deux bombes trop ehargées ont éclaté, Mme Croze, âgée de 60 ans, Mlle Clopier, 13 ans et le jeune AUaume 16 ans, ont été tués sur le coup. ‘ ' Trois autres personnes ont été grièvement ___________ blessées. " U n e v a g u e d e ch a leu r* — La vague de chaleur qui a traversé la France atteint main tenant la Grèce. A Athènes et dans plusieurs autres localités, le thermomètre est monté à 40 degrés. • ^ M ots d e l a fin . Autour de r « enlèvement ». Dans la cour du Louvre, des camelots ven dent des cartes postales représentant la Joconrie. Et ils hurlent; Demandez le portrait de la victime !.. E ..I S ( O i s « 0 : e t ce nouveau d a n g er a u 'p o in t de vue philosophique. G’e st fo rt com m ode. L a d o ctrine du G ouvernem ent con siste en som m e à n ’a g ir que lorsqu’il e st trop tard . On disait autrefois que g o u v ern er c ’é ta it prévoir ; le Gouver nem ent actuel affirm e à tout] p ropos q u ’il va g o uverner, m ais il nei^prévoit p as, il ne veut p a s prévoir ; il attend que le m al éclate ; a lo rs il apporte le coton hydrophile e t les acides. M. A ugagneur, c ’e st bien connu, a le tem péram ent d ’un c hirurgien. O f, comme il y a des m édecins T ant-P is, il y a des c hirurgiens T rop-Tard ! L o u is LATAPIE. ^ e n lîS i le 3 0 A o û t i d i i . S p é c ia lit é ! I tte s -T o n n e a ü iÇ j I e tc ... **» Calino lit dans son journal un article inti tulé: E n raison de la f l - ^ e aphteuse, on : supprime les grandes ihan'ceuvres, ! Et il s’exclame : ‘ , . - Quel gouvernement ! On afiraiit bien dû plutôt faire le contraire... Maintenir les gran1 des manoeuvres d f snpprimèr la fièvrp aph' tcuse! ' / . Les {Diiejille Irànos.; M, H enry Fougère, député de l'Indre, q u i n'a cessé de p rotester contre Vaug m entation de vindem nité parlem en taire et qui, à la tribune de la Chambre, a vait proposé la réduction des quinze m ille Jrait.cs à l’ancien chiffre de n e u f m ille (proposition votée p a r 2iO dépu tés), adresse à ses électeurs la, lettre suivante : Les six mille francs de supplément de Vindemnité parlerrienlaire vous appartien nent : Je les adresse à MM. les maires de Varrondissement de la Châtre, après en avoir fa it la répartition entre toutes les commu nes proportionnellement au nombre de leurs habitants. Je prie MM. les maires de- verser cette somme aux bureaux de bienfaisance et dans les c(mmunes où il n ’en existe point, de la distribuer aux indigents, infirmes, vieillards, familles nombreuses et nécessitemes en de hors de toutes préoccupations politiques. Les pauvres, du moins, y gagneront quelque chose. Q uestions Militaires L e d é p a r t d e l a C la ss e . De divers côtés, surtout dans les régiments de la frontière de l’Est, le bruit a couru que la classe libérable en septembre prochain serait, en présence des événements actuels, mainte nue sous les drapeaux. Cette mesure grave n’a pas été envisagée par le gouvernement. Elle correspondrait à un appel de mobilisation, et rien dans la situation présente n’a permis au gouvernement d’exa miner une semblable éventualité. Il méritait 'bienje poireaum il Il y a quelques jours, M. Donon, pro fesseur d’agriculture du Loiret, présidait la distribution des prix des petites filles d'Ingré. Sou discours fut résolument anti clérical. — Chères petites, leur dit-il, vous êtes de futures épouses, de futures mères... mais restez laïques ! : Et il leur signala le danger qu’il y avait pour elles à fréquenter les o écoles ména gères privées »i — G’est avec ces écoles qu’on espère préparer une génération de jeunes femmes hostiles à la démocratie, dont Tinfluence sera dautant plus pernicieuse qu’elle s’exercera dans l'ombre des confession naux. Pauvres enfants I Ce discours méritait une récompense : M. Donon vient d’être nommé officier du Mérite agricole. Conseil GèhéTal de l’Oise. (Sqife). (Séance du 23 août). Sur le.rappqrt àje il.d e P o ly , on refuse là démaiide de subvention présentée par la-Maison du 'Travail d a département de la Seine, cette œuvre li’iptdressant pas le département d e l’Oise. La Maison d'Assistance. par le Travail du département de l'Oisé demande que la subvention de 2.500 fr. qui lui est accor dée soit portée à 3.000 fr. : »jLe .Gonseil'maintient le chiffre de 2.500 francs, - lie Conseil, sur le rapport de M. de P oly, vote un crédit de ,35.000 fr. pour la protection dés enfants du premier âge. ^ Assistance a n x rieillards. Pour Tassistance,aux vieillards; on insc p i au.budget une somme de 609.300 fr., dpht 141,293 fr. resteront à la charge fin dépaifem ent.'. : Sur Të rapport'dé M. /o fÿ . le Conseil vote un crédit de 8.200 fr., destiné à être réparti entre toutes les sociétés de secours mutuels approuvées du département. Pour les sociétés de secours mutuels scolaires, un crédit de 1.500 fr. est voté. Ces sociétés sont au nombre de 41-, dont 14 pour l’arrondissement de Beauvais, 11 pour l’arrondissement de Compiègne, 8 pour Clermont et 8 pour Senlis. Assistance aux familles nombreuses. Le Conseil a décidé d’affecter le re venu/des biens diocésains à la création d’une œuvre d’assistance pour les familles nombreuses, inscrit au budget de 1912. L a Société d’A griculture de Senlis su r la sellette. Le Conseil général, sur le rapport de M. Guesnet, accorde les subventions sui vantes : a Société d’agriculture de Beauvais, de Clermont, de Compiègne et de Senlis, chacune 700 francs. Sociétés d’horticulture de Beauvais, de Clermont, de Compiègne et de Senlis, chacune 450 francs. Comices agricoles de Formerie et de Cbaumont, chacun 200 francs. . -Syndicat de défense agricole, 700fr. Société des Agriculteurs de TOise, 2.000 francs. Au sujet de la subvention accordée à la Société d’agriculture de Senlis, le Conseil était saisi d’une protestation des plus ridi cules, du Conseil d’arrondissement de Sen lis. Cette assemblée, où l’on rencoiltre plus de sectaires que de gens intelligents, demandait que la subvention soit suppri mée, parce que la Société s’était permis de critiquer la loi des retraites ouvrières ! Devant tant de sottise, les membres du Conseil général ne pouvaient s’empêcher de hausser les épaules et c’est à l’unani mité qu’ils ont approuvé le rapport de M, Guesnet tendant au maintien de la subveution allouée â l’excellente et si utile Société d’agriculture de Senlis. Sur le rapportf'de M. Joly, on fixe à 68.350 francs les prévisions de dépenses pour l’instruction publique, en 1912. Fédéraüoii des Sociétés de T ir. La subvention allouée â la Fédération des sociétés de Tir de l’Oise est portée de 100 à 200 francs. Cette fédération, qui comptait 15 sociétés an début, en compte aujourd’hui 52. *• Nous empruntons à notre sympathiqr confrère onfrère Mermet, du Progrès de l ’Ois. ’Oise, les judicieuses réllexious suivantes, sur la session de Conseil général qui vient de terminer : Jeudi, le Conseil général de l’Oise ter minait sa session après quatre séances bien remplies. Les objets les plus divers firent l’objet des délibérations d e nos élus cantonaux; on parlaun peu de tout, même de créer une sorte d’état civil pour les malheureux lièvres, cailles ou perdreaux qui, à partir.de.demain, vont être mis â mort. . Bien entendu, il fut question, très briè vement, des retraites ouvrières. M. le Préfet se déclara satisfait du grand nombre d’adhésions, plus ou moins volontaires, recueillies dans les mairies. Pour être juste, il aurait dû rendre dommage aux municipalités, à qui l’on doit ce résultat. L’application de la loi des retraites est de venue une véritable' œuvre municipale. Nos agents commuaaux, les maires, ont fait tout leur possible pour déterminer des inscriptions qui seraient encore bien peu nombreuses si, seule, la Préfecture s’en était mêlée. On sait notamment tout ce qui a été fait à Compiègne, où la municipalité a multiplié les démarches et les efforts pour éviter l’échec absolu de la loi. Cela n’empêchera paslesfeuillesdu-Bloc de dire que le maire de Compiègne et les libéraux ont essayé d’empêcher les travail leurs de se faire inscrire. On sait, au contraire, qu’ils onttout fait pour que cette Une demande de subvention était présen loi luel venue, soit appliquée dans les tée par le Comité qui s’est constitué pour moins mauvaises conditions possible. Cela ne veut pas dire que cette loi soit ériger; à Brest, un monument à la mémoi re du IF GéraldMesny, médecin deTiofan- parfaite, commeile prétend aujourd’hui M. terie coloniale, directeur de l’Ecole impé le Président du Conseil général. .Les exemples-, que donnent les journaux riale d[e médecine de Tien-Tsien (Chine), gouverneinentàux, d’ouvriers qui touchent décédé en, .Mandehourie, victime'de la une retraite, ou de veuves qui reçoivent un peste. : . -. Le Conseil, tout en rendant hommage au secours, après un versement de quelques centimes, ces exemgles-lâ ne^ prouvent dévouement du D^ Gérald Mesny, mort au servips- de- Thamanité, ne peufrèpoffdre' Tîon^ - Ce soiir des-excéptî5ns prévues et l’on a grand tort de s’en servir pour faire favorrotismént â cette demande. dn« battage ». Avec tout autre système Service téléphonique. d’assurance ou de retraites, les. résultats M. le comte «fAcy, présente divers rap auraient été les mêmes, ils auraieùt été ports relatifs âù service téléphonique. meilleurs peut-être,’Il n’est pas difficile de Avis favorable est donné au projet de le démontrer. doublement .de .la .ligne Crépy-Paris. L’a Le Conseil général s’est occupé égale vance i faire à l’Etat serait de 42;580 fr. ment d’une autre question qui intéresse Sur le rapport de M. le comte ei’Acÿ,on beaucoup une nombreuse catégorie d’ou inscrit au budget 21.200 francs pour avan vriers. Il a adopté, à l’unanimité, un vœu ces à-TBtat- pour doublement des circuits de M. FournierSarlovèze, relatif au travail téléphonique Beauvais-Méru et Compiè- des jeunes ouvriers du bâtiment. \ gne-Orrouy-dlr^y.. . On connaît la question. Les apprenais, M. Joly, rapporteur, propose le rejet âgés de moins de 18 ans, ne peuveptiaire de la demande d’augmentation d’indem que dix heures de travail.D ansieM nient, nité en faveur du secrétaire du .Conseil les ouvriers ne peuvent se passer ®uh aiMe ; départemental de l’Instruction publique. donc, si l’apprenti ne fait que dixrheores, Le travail de ce secrétaire se borne à la l’ouvrier n’en pourra faire davantage; B r, rédaction des. proçès-yerbaux et est suffl- Tété, il est indispensable que lës^buvrters sammeni rémunéré avec une indemnité du bâtiment travaillent plus de dixiiénles, de230 francs. ; car bientôt viendront les jours d’l^ver,-les M.. le P réfet, que cette-affaire semble jours de chômage forcé. B eaucoiip;^npassionner, défend très vivement la cause trepreneurs se sont trouvés dans tobliffadu secrétaire- et insiste pour que fiindem- tion, pour pouvoir travailler plnç demix nité qni'tui est allouée soit portée de*250 heures, de renvoyer leurs apprends, ■’ àSOOfràùcs. ? Voilà des jeûnes gens sans travail, au M. Jolyi rappelle que, . naguère, le moment où ils commençaient~â gqgiier un Préfet étattdr’un avis tout différent, puis peu.-Què feront-ils, livrés â énx-mênies, qu’il ne ,voulait accorder que âlOTrancs. aux mativaisès rencontrés do la ruéiaux C’est-lè Conseil général qui fixa ^indem tentations dé la forêt. ■ nité à 250 francs. Gomme le Conseil dé ! Et -puis,.'Si Ton ne fait phis d’apprentis, partemental ne se réunit que 4 dii 3 fois oùtrouTeroos-nonsvplustard.desonvriersî par' an, cela représente une indemnité Il nous faudra recourir à la main-d’œuvre de 50 francs par procès-verbal! c’est bien étrangère, déjà bien trop nombreuse en payé. France. ' Le Conseil se range à l’avis de M. Joly Toutes ces considérations que M-.'Pouret maintient l’indemoité. au chiffre de nier Sarlovèze fit valoir deyaiiUe Conseil 250 francs. générai entraînèrent 'Tît'doption de son M .le Préfet paratt'navré et va faire des vœu tendaiU à-m9d.>fier’ la loi, en accor reproches au docteur Baudon, qu’il accuse dant une dércgatîon pendant le s longs sans doute de ne pas avoir soutenu les jours, en compensation du chômage obligé intérêts d’un frère et ami................ de Thiver. ■ ' Si, sur cette question, le Conseil géné ral vota avec s^ e sse , on peut regretter que sa Commission départementale se soit montrée moins bien inspirée sur an autre point. Les fonds votés par le Conseil général pour encouragement aux œuvres sociales et aux colonies de vacances, auraient dû être répartis avec équité, sans regarder sites œuvres utiles que Ton devait encourager étaient laïques ou non. Un enfant, qu’il appartienne à un patro nage religieux ou laïque est toujours un enfant. Cest â lui que doivent s’adresser les bienfaits, et les colonies de vacances sont aussi utiles, qu’elles soient dirigées par des laïques ou par des prêtres. Or, les colonies de vacances des patro nages catholiques de TOise n’ont reçu aucun encouragement, parce que non laïques. Le président de la Commission départementale, M. Fabre, a compris ■le mauvais effet que causerait un refus basé sur Un semblable motif. A la question que lui posa M. FournierSarlovèze,il répondit -que Ton avait refusé la subvehtibn, wi raison du-QHüBquè de rensei^em ente sur l’œuvre qui la deinaàdait. Cette explication de M. Fabre, bien que se trouvant en contradiction avec les termes de la délibération de la Commission dé partementale, est un engagement pour l’avenir. Puisque M. Fabre a déclaré que seul le manque de renseignements était cause du refus, lorsque ces renseigne ments seront fournis à la Commission, il ldi sera impossible de maintenir ce refus. Les paroles de son président seront pour elle un engagement d’honneur..... Le Cqnseil général, soucieux d’amélio rer la situation des cantonniers, dans la mesure des ressources dont il dispose, a supprimé la dernière classe. Le traitement de début sera donc désormais celui de la 3* classe. En outre, pour un certain nombre de localités, des indemnités da résidence sont prévues. Quant aux autres réclamations des cantonniers, le Conseil général n’a pu leur donner immédiatèment satisfaction. Afin de ne pas erêer dinégalités, il ne pouvait utilement statner^vant que le ministre ait, lui-mème, déterminé quelles am-'-lioraiions seraient apportées à . la situation des cantonniers des Ponts et Chaussées. Enfin, le Conseil termina ses travaux par un vote des pins sages. Il enterra délinilivifinent le coûteux projet de créattou d’Uou iaIL>-aa* sAajioea. Dette Salle, parfaitèmoal' inutilê, puisque le Conseil générai ne se réunit que quelques jours par an, aurait coùlé enyh-on 80,009 fr. Que de belles œuvres sociales on pourrait encourager avec cette somme ! Le Conseil général Ta compris. H est de notre devoir de Ten féliciter. Le vœu suivant a elé déposé sur le bureau du Conseil général : Les Conseillers généraux soussignés : ^ Attendu que la uliasse est une richesse na tionale, qu elle intéresse toutes les b & eh es des revenus publics; Que les ressources qu’elle procure au Tré sor, comme aux budgets départementaux et communaux, ont été estimés ù 46 millions par Que la c’nasse devi<:nt de jour en jour un plaisir de plus en plus démocratique ; - Vu les services indiscutables que la Société des Chasseurs de TOise rend châqué année k la chasse et aux chasseurs du département. Emettent le vœu : Que par reconnaissance pour les efl’orts considérables des membres actifs de cette Société pour endiguer le braconnage et àtitre d enimuragement, ta subvention annuité Ào oent francs soit,portée à deux cents. . . . Ont signé : ■ ■ . ' “ -' MM. Langlet, Maurey-Descbamps, Joly, Eaiilp ïiu pont. ‘le Poîy, Réndu,'PÏiîIipeêt, Daussin, Cadéau d’Acy, Magnier. be vœu a été pris en considération et sur la proposition de là troisième commis sion, le Conseil général de l’Oise s’qst plu à reconnaître, sous forme d’augmèhtatibn de subvention, les services .iûcontéS&bies rendiis pendant ces dernières annèhis'par la Socièté des Chasseurs de TOise ponr la répression, du braconnage, dont M fd e Poly est le président. ' ■ l i n o u s i n e s , L ia n -| r .) . T orp éd os. 403. FEimiiraoiinn pOOïtfflEB dè L’OISE ÎIn é b ïïi (VIE p a g n ie s s im ila ir e s , Ueu. 87, P A B S ^ ( 5 S J o le s 'C H fU I C E L ■■.y-- tnty-r. 's. — . ... p 'Etat —Fondée en ItU .. M IL L ld ê ia : " LA VIE ‘ p('s (Wes — bpitMi ! de la Compagnie IMILLIONS' ê-^B A P ÎT IÎÈ iXX-X {Suite) -MAitHidez donè’! reprit Sl;:Solliès. d*ns q u a ie s dotüonreuseB ' è o ia iS d fe ’#aRfe1* a t ‘'CilrJaépart. M. de pràl>.tM»8hi -èdir >spa meflieur i 100 francs versée _ à 70 ans... 11 S ü J i 75 ans... .43 tt» tituées aussi an profit-. er'ain nom bre-dann^ Persorine n’est venu prendre -eongAde lu i ! On Nvatt peur de se compromettre ŒjBn t* e t mtmsmur * « b e i de gare. Per- hOCS^ agent prinügl^ i8 êtCtto.i<»ïh'A.'^,-r>c. î-.i-. ' “'•v M M. gare, fri* ■niijfrNrj-ifft d èiM m iteaiix ^ e st.p l« n t vx.diett^iflÊ S'ihÛ tst t M tâ» j ’ai titf tir iiil O lejpttdwtiwi parfaitement compris, d’après ce qu’il D’exercer notre perspicacité, notre me disait, que le docteur de Rivenaont, ■flair..'. Eh bien, j’ài le regret de vous dire seul, avait eu le, .courage -de venir lui serrer la main au moment ou il mon que votre perspicacité et votre flair ont â é m is en défaut dans le cas actuel ! tait en wagon ÿ. — E h bien, mon cher monsieur répondit le chef de 'gare, étourdi par Solliès, j’a i le regret de vous dire que cé flux de paroles, et agacé par la per■vous, avez très,..mal com pris, M. de mstance de là contradiction. M.-le docMoPtaulin 1 St. personne pie s’eistfrouvé ,teur de RiVempnt avréit une raieon QÙr se trouver à la gare le jour du là quand il est parri,,iTes6d’abord parce épartde M. de Mentaùlin et de,. -Mlle qtTil est-parti <a -Timptoviste-;. ensuite, parce qu’il n’a pas vouhi»Se montrer 31iùiiet : il -vehait réclamer un paquet jusqu’au' memeàât de son d ^ a rt. ce qu’il attendait en petite-vitesse ! il me qui était tout naturel, ;è causé dp Mlle Ta dit lui-mâme. — Oh ! fit M . Solliès un peu penaud, Miqueif ! fferle shjs (F'àutaht niiéuxjju’il m’avait dem euv^dl! JN®b?ni4an? t“ op c’est différent, en cé'cas !... J’ai cru (kmaprendne.t. 'Jè-croyais. „ cabuiet jtmqu’4 T hp^e^du d é p a r^ li -1-.-Ce-qu’il faut croire, mon cher Cepèndant, iEm’i^péi^aitemeatdit monsieur, -c-’est^qué M. de Montaulin que le mactcur-^Biveagamt-seul:;* tenait à âtre v u aussi’peu que possible — Le docteur de lEuvemont passait su r le quai. MU* M ^jpetl’a fa ita p p e le r, j^jOtqf-tà,' et qu’il,’^ r |it - bien .pu trouivêr-' « n ^ iie r i déptaqe même, qu’on Il était venu p a r h p ia rd j . . , i;* par.Jha^Æ -l 4 t M .;Scdliès, -«int Taécablârdeeondoiéanees, è propos peu convancu. C’^-fc*dire qu’il'a feint de M . Rémaville.., en présence de Mlle ' ’ " d'être Vend paHtMlàtd.iMaiS’.len'râU té, M iquet! — C'est juste 1 4^0us avez parfaite il venait to u t expié s pou f e xpriijç^ 'sa sym pathie'l"M .'® aeW onfaum T,,.'.C’est ment raison !,répoqdjt .jM. Solliès d’un évident 1C’est indiMWtsMal»€arj d n w , ton bonhomme, Qjui,! la présence de Mlle M iquétnéM rniéttqitR ssliv Gom ■pur lm *ardl..‘ Paif l|!M*f4 ■r 'î; On ne .vient psp sur m ’q nai 4 une ment n'y avais-}* pas soqge ? Il changea l^ - sqj,et ■«entretien et garé par hasâêd !■' j .y) Q u^se. preud .p a s le quai d’une'gare prolongea^ sa visite jusqu’au moment p our b u t dé prom enade où f i â n e n é ^ n où l’arrivée d’un train appela le chef n ’w-vient que q uand o n j r ,« ..,« ^ r e l de gare sur la voie., 'Û’nvrez p a s réfléchi-à celaT fôefr Ah>rsilprit!c(»gé.^rentra chez-lui, nas un ----------polici^uv u n ofliflzgÿ a ^ ,,jS efr ^ U " p a T Mme Solqne vous .. . ^ tsirepfpqha. non .sans,yqlsfÿi, n * p ^ e a * i( : l u n H n id s l ^ s i É i u i f » v—r des choses I de tout sppvoCi)u4ir ^ trô is ^ u q rts te riq m t, Il s’excusa, ailéguaUt deS’ courses qu’il avait dû faire; embraSsâ dès e n ta n ts,-u n p e tit garçon d e -six ansj et deux jolies .flUettespluS jeunes que leur frère,— .-;- ; .■■ ■>,< y .rs.— P u is il chercha, éhïns lé& tiro irs'd e quelques meubles qu’on avait pas encore emportés,; dp papier à lettres, des plum es et de Teucre, A près avoir’tro û ’vé lè tout, non sans eine, il slenferma dans une des pièces éjè démeublées, .et, debout devant la cheminée dont le m anteau Tui-servit de p u p itre, il écrivit lé billet suivant : sieur, le baron, que je cram's de m ’être trbm pè eh ce qui touche Côum oni ' Je .Suis actueflèm ent su r, une autre piste que jè crois lio n n e,, et. j'espère arriver bientôt à u n résultatconclilant. Veuillez agréer. M onsieur le. baron, l’hom ïn’slge de m on respect. que la détention provisoire’ 'q ù ’èlle sübissait dans Ifi m aison de santé où on l avait internée, était aussi peu ri goureuse que possible. ' ‘ L'éx'plication convenue fut donnée à Adrienne, qui ne songea p a s à la ré voquer en doute.' Q uant à P ierre, U se livra à un-vio S o l l iè s .’’ len t’ accès ,de, désespoir, èn apprenant Avant dé mettre sa lettre sous en que sa 'mère était u n p e u souffrante, et veloppe, if; la relut, et son visage prit qu'elle devait passer q u e lq u e s'jo u rs une e ^ r ^ i o n de mécontentement. chez u n grand médecin, qu’on ne pou — ' J'en' dit,trop ! -murmura-rt-il. En vait pas 'tairé V enir ru e C àrdiaêf p V c e ce qui -touche-Cournon; ü est parfaite qu’il ne sortait jam ais ! ' ' m ent inutile quel j'avoiri ;ma -bévue ! Rodolphe euPjqùrique peine è ctm “ M onsieur le baron, TcRir lerehte.'j eitprhne Uneconviction, sm er e t àjr^ m ier 1enfant. èf,'ên.S#&ae,-'’ ^'èj.UU suis'.sûr de rienl U j-'pîfrvint, en ju ra n t que le grand ■Vèliillez avoir.Textrêkné obligeance de m’écrire im m édiatem ent, au reçu de f ï e veSi<ï5ms pas'lâ pêàu'deTciurs aÿanâ médecin r^ io n d a it de .guérir très -rite la présente, u f ^ - lettre jpar laquelle de Tàvôir inis {^r terre T C^^t'dement la-m alade, auprès de laqnelle on ponrVouq-Bte imargerez de passer à la^^aye, il y -a d ès chances^ f t ^ i û ^ bien que -rait aller passer toutes les après-m idi, p our m 'inî'oriaer d’ù n colis, expédié p a r je brûle !_ M,sÀ$ ,ê est'encore à voir ! ainsi, que la chose e ut Heu, en effet. petit* : -vhesse^ à vôtre adçessi^ au Attendon^i;;. Et voyons ! A dnenne a rriv a it avec Tenfant, ayant H d ^ h f ra aa -lettre, en refit une se- soin ide se -laisser précéder p a r 'R o .* M qntan.Couronné >. oea^,^.ana1ogue à l a prem ière, sauf le dolphe et d é p a rtir avant lui; afio-’-de ‘V ousm ereconim anderez in s ta m n t^ t de-,voir;'st '«è; coHs n ’est.'pqa- a rriv e à d èraiêr paragraphe, ' ^ ’il ne reprodur- le -laisser p lu s longtem ps en tête ,à"fiête ■ -avec Jeanne. Montver4ier« dspiiis -lu -johÉ dé v o tre M t'pM ij' .. E ® s ü la m it sous enveloppe, à L orsqu’i s étaient seuls to u s deûz, fiônayt pour. avec Mfle M iquet. Tà’di:eSsè,dè,M.i lùbajon de'Montaulin, iis 's'abàndoim aient à la douceur, .les "Côiqcqe çqiflëttù d q ^ q u e t et nom d’exnéditéÙPi-^mqùes'-) cè qu'il vous etjaUâlàjeter.lm-mêBge à.M ,p < ^ . -rêves- d'avenir yfrOchain, qa'ils flO'uvaient form w -m am tenànt ,■ ’ plaiSa» ^ ■ .i CJlAPITOE X X X I ' ' Mais to u t en rep ran àt^ confiance, J ’insiste, M onsieur le baron, pour Jeanne ne pamœnmt..pi9 i c o u d a n t à que vous uTécrivièz par. j:etour. du Lp justice française n'a-vait aucun s affranchir de c e r t a t ï ^ apréhensions courrier. . , p fr 'à detnaîlder à là; veuve de in stm c l^ é s. , -4 ' ; . C’est e x tj^ e n a e n tΠn ^ T t'‘™É, >i iT a ih an e n t .Rc^otphe Tassurait.^ip’U . J ^ m’i n q t ^ d f ^ à in ^ Èangqinède : -tenait' S im pléi^ùf.|L ^ U n 'frd u t .ôpposilioa'.de matis ü ‘BN ’C r a ih fr « « % ^ ,'m â ria g ê . , » ' ,de Elle restidt anij^bii*- , nouTtU^: Jeaniaé n é 's o n g é m t 'd â d ld â ti ^ ^ ] ^ ^ (A svttifê). j ’ai 1* N gretd e voua avouer. Mon dre le fuite, il serait sup«ffl« de dira S tiB COÜJUUIUI D E L 'O ISE U s Assises de i’Qise. Di’.puis Hippolyte-Edmond, ren tier à Ma- il P o Ilç e ^ ^ T O ^ ^ ra ^ lle ' d e S e ^ t^ Bonteux,, 1. Bâillon père. Pantin, '21 m. 6 fort (frabliôn DES C o m p a g n i e s d ’A r c d e F r a n c e Ronde Mutuelle de la Région de BOUQUET ET Grand piix de Montmorency. Le samedi 19 août, la Commission des Capitaines s’est réunie en la salle du jeu de la 2* Compagnie, sous la présidence de M*flénauB:,-.:pîfeideirt-dB-ferfiomte;“ -'-‘~ La Commission a procédé au classement des Compâ’gffiés, pour les Prix d’honneur d’ànseiûb te au cordon doré'et âu’^ p e l é t , et .ratifié l’attribution des primes de nom b re 'étd ’éloighèm en t, établie danssa rénnioiT du S aofft; " 32 tireurs se sont classés réguiîjèrement au-'tfiihhfpfiîfn'nat'dé FSBic'e ce chiffre élevé, il est décidé que l’épreuve finale comniencefa à 8 heoresiauûiiatîh. La distribution des prix se fera solennellemèol le Dimanche 3 septembre à3 h. à l’Hôtel de 'Ville. Session dtA oût ï ê i i . ' Séance du 'Vendredi 1" Septembre, à huit heures et demie dû soir. Okdue du Jour : Distribution d'énergie électrique. — Avis snr une demande de concession. Boulangerie. — Nomination dÿne commission pour étudier là composition des frais'de panification. Voirie. '4- .Cession de teriam pour alignement. Franes. dOO 1 . Petit, 1- Dammarlin»,! m. 6,/5 2 . Prime, l-'Ncadjtllé-Stic,'® m. 14....... •^0 3. Lime, Villeparisis, 3 m. 1 6 .............. 70 5. Lecomble, Villiers-sur-Marne, 4 m ... 50 6 . Vasson,-iClfeS«H3btej’4 »lnîJÊ ,u-.. . . 4b' 7. Clé, Saint-Firmin, 5 m. 4 . ................. -40 S. LSi»»«ltttflls, ïb le a x ,* .» .' 6 . . . » . . ' 4 0 9. Lescandieux, 1' Compiègne, 5 m. 10. 40 10. Lecouteux, C. Noisy, 5 m. 14........... 40 H . Masson, Foaè. AmienSiSiBi-.-lS.. 40 1 3 . .Gtessier-rl'-Béthisy-St-Martin, 6 m ... 40 13. itr 14. Ruminy, Moncby-Humiëre, 6 m. 6 . . . 40 15. Saliiigre,.SbissoDS, 6 » . 1 4 ..u » .___ 40 16. Héraade, 1 ' Tracy-le-Mont, 6 m ..l 8 . . 40 17. Bourgeois.'2 -Fontenay, 6 m. 18/5. . 40 18. DugleHx,8 t-Gér.-les-Couilly, 6'm. 19. 40 19. tonriet, Es'bly, 7 m....................'......... 40 20. Darche, Fr.'Liancburt, 7 m. 4 ..... 40 PALMARÈS 21. Màrlin, CKcby-sous-Bois. 7 m. PRE d’honneur. 22. Lecouteux, Rosny-soUs-Bois, 7 m. 10. 35 Citégorie A. Corapagnies dont l’effectif est de 23. Oranger tHs, Ulysse, 7 m. 10/5......... 35 16 tireurs et au-dessus. 24. Buland, Sevran, 7 m. 11.................... 35 25. Pièard, Le Boürget, 7 m. 11.5......... 3b Coups comptés sur 8 tireurs. 20. Vestractq, Bsbly, 7 m. 11/5............... 30 r.OlUïO.N DORÉ. 27.. Lamotbe, Montl'ermeil, 7 m. 16... 30 1. Saint-Pierre-Montmart. 28. Frémont, Crécy-en-B., 7 m. 19... 30 209 coups. 2 . 1™ Cornpiôgne............... 181 — 29. Pérard, St.Pierre-Montmartre, 8 m .. 30 3. Ulysse............................ 162 — 30. Jaillot père, C. Belleville, 8 m. 4 . Béthisy-St-Pierre . 31. Legranger, 1 -Compiègne, 8 m. 8 ___ 30 153 — 3. Crépy-Ste-AgatUe.............. 147 32. Leroy Paul, Esbiy, 8 ra. 9.......... 30 6 . l'* Montreuil-sous-Bois.. . . 145 — 33. Marne, Romain'dlle, 8 m. 10............. 30 7.-. Villemomble...................... 134 — 34. Marie, Courbevoie, 8 m. 18............... 30 Catégorie B. Compagnies dont Peffectif est de 35. Melcbior, Roye, 8 m. 18/5................. 30 30 15 chevaliers et au-dessous. I 36. Soudeillette, Condé-Ste-L., 9 m 37. Boucher père, Courbevoie, 9 m. 1 . . . 30 Coups comptés sur 5 tireurs. 38. Justice, Villers-sur-C.» 9 m. 8 ........... 36 1. Coubron............................... 117 coups. 39. Michaux, Courbevoie, 9.'m. 8/5......... 30 2. Saint-Firrain....................... 110 — 40. Kazille, Sâint-Firmin, 9 m. 17.......... 3é 3. Mello.................................. 84 — 41. Lafaille, Romainville, 9 m. 19.......... 30 4. Courbevoie........................... 74 ______42. Sévenans, 2 -Fontenay, 9 m. 1 9 /5 ... 30 43. Lefèvre, (jouilly, 10 m. Offert par CHAPELET. Lavôine, 2* Montmorency............... 50 A. 1. 1” Compiègne................ 22 coups. 44. Vigourd, Villemomble, 10 m. 4. Un 2 I Ulysse....................... 17 — revolver. Offert par Fluÿo,- 2- Mont ï l " Montreuil 17 — morency. Un concours final aura lieu entre ces 45. Frémont, Crécy-en-Brie, 10 m. 10. Un 2 Compagnies le jour de la distribution ail encrier, off. par le-» Bon Marché ». jeu de la 2' Compagnie, après les épreuves Honteux. de la Consolation et de la Jeunesse. 1 Chaque Compagnie m ettra en ligne 4 I . Sévenans, 2- Fonténay» 10 m. H . tireurs pris parmi ceux qui ont contribué ^ Forest Léon, Souilly, 10 m. 14/5. à faire le plus de coups de chapelet danî lî^risse!.'- ' " ■ Fréry Antoine, rentier à Crépy-en-Yalois. Graux Lucien-Alexis, ouvrier tabletier à Lormaisoü. Pii lebout Louis, notaire à Crépy-en-Valois. Poitevin Houorius-Pierre-François, culti■. vateur à Offroy. Boullanger Pierre-Louis, cuitivateur à Bounieres. Comont Pai.'1-Henri, bijoutisrà Formerie. Maria Oclave-Albert, rentier à Cîiaumont. Tro'üvé Ernest-Léûii.ciilü'vaîeur à Ansaco. Badin Jv'an-EiTiest-Jule.s, administrateur de la Jîanufacture-A'âlionale.i Beauvais. Foubert Èmile-Louis, cultivateur à Sérifontaine. Hardivillei- Valenlin, oordonuierà Thurysous-Clermont. Pihan Louis-Joachim, rentieràBoubiers. Hênîn Eugène, inspecteur principal en retraite, à Pierrefonds. Duvlvier Eugène, propriétaireàCinqueux. Desprez Zépbir-Désiré, agent commercial à Laigneville. Boulanger Hyaointhe-Hilaire, cultivateur à Martincourt. Jauson Paul-Laurent, cultivateur à Rhuis. ■yaré Auguste, rentier à Ghambly. Beaurain Jùles-Naroisse-Eugène, cultiva teur à Loueuse. Duchesne Carolus-Julien, propriétaire à La Houssoye. Thirion Léon-Louis, rentier à Senlis. Pulleu Eugène-Désiré-Alfred, cultivateur à La Rue-Saint-Pierre. ■Wolck Joseph-Alphonse, mécanicien à Compiègne. Lemairé Joseph, propriétaire à Montataire. le premier -i). tir (Art. 16, ! ■Vaillant Pierre-Théodore, ex-négociant à ’-------B. 1. Saint-Firm in.. Bury. 13 coups. Choquet Marie-Dieudonné, jardinier à G ra n d P rix . Formerie. Pontbieux Alfred-Joseph-Désiré, proprié Fractions de distances exprimées en taire à Berlanoourt. vingtièmes de millimètres. pasquier Paul - Georges, cultivateur à 1. Trouillé, 1- Auberyil., 3m5, 200 fr. Rouville. • 2. Darche, Fr. Liancourt, 4 m. 3, 180 fr. MM. Jurés suppléants. 3 . Ricbez Ulysse, 4 m. 4, 160 fr. Carbonnier Louis-Constant-Eustache, ren 4. AUenbocb, St-G0r.-l.-C., 5 m. 4 fai., 140 fiv 5. Deshayes, Cqüilly, 5 m. 8,125 fr. tier à Beauvais. 6. Düquenne, Villers-s.-C., 5 m. 16 f. 110 fr, L a ^ d e Antoine-Gustave, négociant à 7. Van Driesobe, 1- Montr., 5 m. 18 100 fr.r Beauvais. ' 8. Alexandre F., !• Gagny, 6 m., 100 fr. Manninia Edouard-Jules, rentier à Beau9. Comiilot, Crépy Ste-Ag., 6 m ..l, 100 fr. vais. , 10. Seutex A., St-Maur, 6 m.:8, ipo H. Hocher Charles-Olivier, député, à Beauvais, 11 . Pottin pÈre, Pantin, 6 m. 14, 100 fr. Tç, lade'i^iié. * ■ ■î; Enlèveriient des ordures. — Projet dé cahier dpScharges. . s-, Tribdnàl dé''Commerce. — Désignation de xt£ux.membres iponr. la révision ilés listes ' étectoTîtlBs; ............ Affaires diverses. Assistance aux vieillards. Assistance iffêdicater; C a rn e t m o a d a io . Lundi d e rn ie r-é la iL .o â ^ ré , en l’égljse. d’.Apremont, le niariâge'de M. Paul Cachot avec Mlle -Jeanne Bigot. Le jeune marié est le fils d'un anoiën l'idéfensénr de Belfo rt, lieutenant de- mobile, M. Charles Cachot et de Mme Cachot, les gardiens bien connus de N qtre-D am e de BonSecours, auxquélsndus adressons n o splus 8sincères 35 félicitations. A la V id a m é e . Lundi soir, au cours d’une expérience à l’aérodrome de la. Vidamée, l’aviateur O uarnier, su r biplan genre Caudron, a faite une ohüte d’environ 15 m ètres de 4_hauteur. 30 L’appareil- a été brisé, mais fort heureusem ent, M. O uarnier en a été quitte pour quelques égratignures. Les vols continuent avec succès, chaque matin et chaque soir : les élèves de l’école Morane, de l’école Vendôme s’entraînent dans la belle plaine mise à leur disposition p ar MM. Pelletier et Bellier. Dimanche, v e rs 6 h. 1 /2, Védrines a fait deux tours au-dessus de l’aérodrome, devant une foule assez ù’om breuse; le lendem ain, le sym pathique aviateur devait accom plir le cirouitSaint-Germ ain-M eauxSenlis-Haint-Germ ain, mais une chùte m alencontreuse l’im m obilisaà Billancourt. viation, qui accomplissent chaque jour de nouvelles prouesses. N é c r o lo g ie . Nous apprenons avec un vif regret la mort du jeune André-Marcel Lemaltrej décédé vendredi à l'hôpital des enfants malades, de Paris, à l’âge de 11 ans. Cè Tireurs classés en V Epreuve. pauvre enfant à succombé en quelques Ooapi. Anbras, Saint-Pierre-Mont 34 heures aux atteintes d’une cruelle maladie; flérande; l ' Tracy-le-Mont.................. 3f Ses obsèques ont eu lieu dimanche â 1 Douèfpère, C o u b ro n ..P ...,.............. 3l h. 1/2 £ la Cathédrale de Sentis. Fauvel Pascal, Béthisy-St-Pierre 3i Nous adressons à M. e t Mme Victor Berton, Saintr-Piecre-Montm 29 Lemaître, ses parents et à toute'sa famille Brunet, !• Tracy-le-Mont...................... 29 l’expression de notre sincère sympathie. W GlmpMiât te France. Û" L ’hioer sera doux ; Ministère public : M. P dguese, procureur. Conseil ïô ^ e rm e il, 21 m. 9. anOCBETTES. A . Vervel, Moncby-Humières, 4 m» 5. B . Bbnnei,4tentfermeil, 1 m. 14» • c. Justice, Vi}lers-sur-Coudun, 8 m. faible. D . ÊSnnel, i&nlferraeil, 2 m. i t f . E . Stïerri'érj'jl- Souilly, 4 m. 2. F. Ltoqezeux, l-- Souilly, 2 m. 10. G. G à^S'A qT resnes, 4 m. 10. H . Duval, Cbarny, 1 m. 15. _ *■' 'ÀînsTquè ’iw ^ ^ T ro s'* d S f* ies débats ,des affaires criminelles soumises au jnry de s’ouvriront le 1ubSS ”25 septembrè-, aVPâlais de Justiee-, sous la présidence de 5 îfe '^ é b a u l, conseiller à la'Cour d’appel tfAffliens, ayant comme assesseurs ^ M . A&inîche, président du tribunal Oîvjl de Bèauvais, et Kcquet, juge au même siège. _ ^ 'Voici la liste du jury qui siégera à cette MsSion : - *'-ÎÏM. Juréi titulaires. Boulant Louis-Marie-Auguste, cultivateur à Couloisy. Pommier Léon-Sébastien, retraité de che min de fer, à Creil. ' • .‘.iPopulaire Auguste, employé à Montataire. "LahennierLouis-Stanislas-TranquilIe,cuI- tivateur à Crapeaumesnil. ■•■"•Godard Jean-Baptis'të-Gustavé, proprié taire à Fofmériè. ■ Carette Camille-Edmond, employé géo* mètre à Noyon. Harlaux Henri-Jules-Emile, propriétaire à Gambronoe. du 25 iàSlti Boran, — Daiûi'la soirée du 27 juillet, à la fête'de Boran» Etri^nier E d ^ r d , 31 ans*, et yariet Alphonse, 29 'aDS, bntl frappé les époux ttw ibat, t ^ n c i è t s Ç’un manège d e chevaux de.ïiois ; VîH'letiiarnié d’une couteau, en a porté un ctntp à la. tète du ms Tronbat/ .qui secours de.œ s parents. Chacun dèsJnculpés est condamné par dévenâit au faut,'ëu trois mois de prison. Chantilly. — Le 15 juillet. Desseaux Pierre, 44 ans, et Dupuis 'Victor, 40 ans, ont dérobé une certaine quantité, de pommes de terre, dans un champ, sUrift'tbti't#<iîà’ia Cbaulééea Gouvieux, et ont vendu le produit de leur vol à Boucher Adolphe, ouvrier maréchal à Chan tilly, pour 2 fri 50. YTPBiaainiZTg'IHrpuis rétafitent chacmt deux ; mois de prison. , Le même jour, .15 juillet. Desseaux Pierre et Dupms ■'Vïthfr (ràt Ipebhé "dans .le gtbnd éasal-de Çbaatijfiy. Ss ont de nouveau1 étépincés .. par le garde Choulet, le 18 juillet, ib-étaièut, cette fois, en compagnie de Boulanger LouisHenri, 29 ans. Àvdië'TïaiHïBloctroiB lt Dupuis e t Desseaux, chacun deux mois d’emprisonnement, à' Bou langer, un. mois senlemenL — Polclevîn Chariës-Atphonse, 37 ans, a formé opposition à lieuf jugements par défaut, du l2 juin. 1911, le condamnant pour bracon nage dans les bois de Flnstitut, territoire de Chantilly, en neuf peines.de quatre mois d’em. prisonnement et lOO fr. d’amende. Toutes les condamnations sont maintenues. — Hahieux Charles, 29 ans, devait égale ment comparaître à Taudience du 12 juin, pour chasse à l’aide de cdllets dans les bois du do maine de Chantilly; Comme il se trouvait à cette date détenu à Amiens, les affaires le ■concernant furent renvoyées à l’audience d’au jourd’hui. Mahieux comparaît, il reconnaît les •deux délits qui lui sont reprochés. Il s’entend inOiger deux peines de chacune quatre mois de prison et 100 fr. d’amende. Lévignen, — Le 10 juillet dernier, le culti vateur Fontaine, de Lévignen, fut victime du voi d’une poule et d’un canard. Ce n’est que le 23 juillet que le garde champêtre Lucet dé couvrit que les auteurs du larcin étaient Coipin Albert, 30 ans. Aveline Louis, 27 ans et Caux Emile, 28 ans. Ces derniers, interrogés, reconnurent le fait. Iis sont condamnés l’un et l’autre, par dé faut, en un mois d’èmprisonnement. Montataire. — Le Tribunal maintient, par itératif défaut» la peine de deux mois de pri son 50 francs d’amende, prononcée par défaut le 12 avril 1911, pour chasse sans permis et en temps prohibé, centre Denant Jules, 30 ans, manouvrier au Pont-Thérain, et celle de six mois de prison prononcée le 22 mai 1911, contre David Théophile, 56 ans, ouvrier d’u sine, à Montataire, pour coups et blessures. — A la sortie du bal Lévêque, daiis la soirée du 30 juillet, vers onze heures, au cours d’une discussion, Vécker Jean, sujet allemand, a frappé Steyaert Edouard, 24 ans, d’un coup de couteau au bras gauche. P al défaut Vécker attrape deux mois d’em prisonnement. Coiirteiàl. — üytterhaegen Gustave 25 ans, le gars de batterie, qui le 9 août frappa d’un coup dp couteau son compagnon de travail Cpquelin Louis, lequel fut sérieusement blessé au flanc gauche, s’entend condamner en trois mois de prison. P lailly. — Le 6 juin, le garde champêtre Mazurier, de Vémars, étant venn pour affaire de service à PlaiUy, y rencontra Mercier Eu gène, 38 ans. Ce dernier, sans provocation, .lança au garde Maznrier.ua coup de pied qui .lÿttpignita la cuisse gauche. . Il oublie de comparaître et est condanmé par défaut en un mois de prison. Senlis. — Dans la nuit du 20 au 21 août, Theize Ernest, 26 ans, fut trouvé couché sous le manège de chevaux de bois Porcq, installé installé a l’occasion de la fête de la place Saint-Martin. Invité par le tenancier à s’en aller, Theize refUsa et menaça de son couteau deîaln'ës'ët ^ ê l ê s hirondèU œ ^t e n c o rS à la Saint-Michel. Xorsque le feuillàSè ste lo *^ché aux brancl«!8’^i(. . fcde champignoiKTàn lorsqu’il en îjovembre ou décemhi trouver des d| dans les^ de.c^lc du chêne est su tOùms que le cha^^u soiç, est un i n d ic é pSk changement de tenais ‘r bc^e confoifie’: « Le Jeune Major ». t e t t e i É lie t î î e i l . Comm untgué. — Le Maire de Creil i n t o ^ , i a s eoafribuaiies que les rôles supplénientaires contriDution surdos voitures, etc., du 2" trimestre 1911,Tsoot Ig rfiM o n . pour, être mis en recouvrem®it. ’ G favâm êssure. — Denout Alfred, un creillois qui travaille actuellement à 'Villers-St*Paul,,é|^t yenji passer la journée dimâncbë 3TCc 'Sa sb3'ur, ''qûi habite 15 rue du Hput-des-Tufs, aveo n n sieur.Dou'i“ ®‘.,ïi;dîli»5.vWrsqiie le spir, i l déclina 1 invitàti® ,S dinèr de oe dernier, -pour passerla-'sofrée'âvec les éponr'fiobert. Do^uchet fu t probablement froissé de ce refus, car, v e r s î i heures, il cherçha uuerelle aux époux Robert et â ’Béflout et, ayant rejomt celui-ci m e Gambètfa, à la hauteur de la rute du Grand-'EMTé, H lui porta un violent coup de bâton à la tête qui le renversa. Ayant voulu se relever, Denout dut constater qu’il s’était, dans sa chute, brisé la jambe droite. Ce sont les agents de patrouille qui rélèvèrënt le malheureux blessé, qui a dû être' tÀnsporté à Ihôpital.' Voleur i e bicyclette. — M. le Commis saire depuBoB'â faît'Ctmduii'fi à^^iW s'frn accrocheur des Forgés de-Mojitatairê, Olm er Gustave, âgé * • 28 bnsi;'q(ii;‘B9ssant dimanclie après-midi d ^ a n t Îô tîfifé Fraacoüü, & la Répufaüqne, m i t accroçhe.ia.jçâçyclfttte d’-fta consommaiejir M. FayM , p einto |l:MostMvégBe, fuyait à.toufe i^ u re rao-GainSâto. A jant été vu, nji^heurëusem 'M it èïrq rattrmié et le propriétaire lésé rieüfrâ eiî pdssè'SSn de sa madbine. Un conir'ébgjjtdpr. — (Jne de ces » mères nuits, vers une héàrèV deux 1 ployés de tegare élài^tîntT O ués' par aUées èt vennte d%J 'a æ 'f fd tf stispéot portant'Sur ie dôs un^aè SSez^esiÉiF. ' Interrogé le, quidam* jfrétesiiht'attendre un tram se dirigeant surC o^iègaé/B rais Nqgènt, uainspéioteur a y ^ t voula Je 1»- 1. joindre' ü s’empressa’da prendre îa'fiiite, Rft n fih arrflciran t to tn-h^ûf/zie. A^i s^c quî >...«• c à n ^ 2. se débarrassant t^ fp is dii 3. n ^ t 30 kilos d è ‘poudre ê tran ^ro j 4. bien entendu été saisie. On suppose OUe 5. ce colis est arrivé par un tra â i'w n a iit de 6. Belgique et passant en gare quelques iae7. Caillot, Verneuil................................. tants avant que Jes manœuvres’^sp ectes 8. Cotas,Bagqelet.. . . . ........................... de 1intrus eitdqssns «enjtétéremafqttéœ. 9. Thibault, Villemomble........................ Au 9° hussards. Celui-ci un grand jeune homme Mond 10. Boutet, 2 -Champigny........................ En raison de la fièvre aphteuse qui règne 11. S alingre,SoiSsons........................... (l’une trentaine :d’annôe3 é m habufe en dans la Marne, le 2‘ hussards qui devait i j , 'SéyéaansÉgèffe'B-. Fontenay........... ôUvrîer. Son' sigùÿéifiekt.'.exfiqfà été re partir te 28 aoùt 'pburdè'éamp 'de Châlons) 12. Mabé, Jaux, 6 m. 18, 100 fr. 13; Èeronx pèré, Coubroit. ;. ..... levé et une enquête ëât Quverle. 14. Evrard' Refféi'SôUil^.. » , . . . . . . . . . . . . 13. Alphonse, C. Belleville, 7 m. 12,100 fr. prendra parti au camp dejMailiy, aux ma Chambre de Commerce C m é m g - '^ & e . À'.'i’ocdèsion de 15. Brijdoin, l ' Montrèml.......................... 14. Piquet, St-Maur, 7 m. 15, 100 fr. nœuvres des l'«, 3" et Indivisions de cava de Beauvais et de FOise, 15. Clé, St-Firmin, 7 m. 16, 90 fr. 16. Acquère, Crépy-Ste-Agate . lerie, et de la 39" division d’infhriterie, t i o n s T g a f e â i Ç i ^ f^ e )^ 4 7. Moûgin père, St-Pierre-M. ........ 16 . Rameau p., 1 Nogent, 8 m. 4 f., 80 fr. sous la direction du général Marion; A V IS ,18. Vallée, !'• Compiègne. ........... ..... 17. Boudard p., 2- Champ., 8 m. 9 f., 75 fr. 3 septembre (lùatin&e et stnrée). ' ‘ 11 fera étape, le 2 septembre, à Lizy-sur- -lïe "’PréaadoHt-d e Ift Cbambro de Coin-* 19. Mohez, Ulysse».;............................... 18 . Germon, V llliers-s.^., 8 m. 13, 70TT.- U rôùéRAMMÉ . Ourcq. merce de Beauvais et de l'Oise croit devoir 19. Lecuru, 2- Noisy-le-G., 8 m. 18, 65 fr. 20. Paùfihier, Saint-Firmin . . . t . .. Première PaPtié, Le 3, â Viels-MàisOns. informer MM. les Industriels et Gommer-^ 20. Bâillon père. Pantin, 9 m. 2, 60 fr. 21. Marié, ' Coiirbevoie ........... . Rotterdam, voyage. — L’Ecrivain piiilic. Le 4, à Bayes-Saint-Prix. 21. Luc V., Bétbisy-St-P., 9 m. 6 f., 65 fr. 22. Laroehe, StiPierié^Montm.,............. çants do département, intéressés à le sa porta un coup________ 22. Macaine, Fam. Guise, 9 m. 7 fai. 50 fr. 23. Legranger, i-Compiègne ........ Le 5, à Herbisse et Villiers-Herbisse. voir, qu’une Adjudication aura lieu à Pa-: 23. Rayer Léon, Courtry, 9 m. 7 fai., 50 fr. 24. Petit Alexandre,'2' Montmorency___ Du 6 au 8, iP exécutera ses tirs de àTépaulé droite. L inculpé prétend qu’il n’a ris, le 20 septembre, au Sous-Secrétariat' fait usage de, sôn arihe que parcequ’il se 24. Quentin, 1Nogent, 9 m. 8, 50 fr.. .2 5 .'VeméÉ, !• C o m p ièg n e.;'.;,............ combat. des Postes (103, rue de Grenelle), pour trouvait menacé. Quoi qii’inQrme il a déjà subi scène comique jouée par Prince. Lamotbe, Moutlermeil, 9 m. ÏÏHfifiV^O'fp. '*26. Justice, Villers-sûr-Condun.. . . . . . ; . Du 9 au 16 inclus, il prendra part aux de nombreuses condamnations,'il. s’entend inl'attribution de l’entreprise de lafournittira • 25. ' Beuxièiâie Pttrtiei ■ 26. Leroux fils, Coubron, 9 m. 14 f., 45 fr. • 27. GalieyiU lysse..;................................ évolutions de cavalerie et à des manœuvres .fliger six mois de prison. d’efl'ets d’babillement et d e coiffure, de tis ATni4 (înoN s ‘ ■■'■* 27. Natte, ;Bagnolet, 10 m. 2, 45 fr. 28. Forest Claéde, Souilly....-.»............. combinées avec l’infanterie et l’artiHerie. su s, d’objets divers et d’accessoires d’uni Miss Polairelle et ses chiens. —.iLifiit and ......... 28 . Leroux fils, Villepar., 10 m .3 f., 45fr. ■ 29. Fàuque, Villemomble; Le 17, repos. - ■ 'i forme au Personnel de l’Administration 29. Lavallée, 1- Gouvieux, 10 m. 13, 45 fr. 30. Desauille, 1*; Chantilly.. . i ........... Sherry, acrohates-fqi^hpstes mondains, Le 48, marches de retour. 30. Leroux fils, Coubron,.10 m. 14 fai., 45 fr. 31. Bonflel, Montfermeil ..................... des Postes et des Télégraphes. , ,s*; rTtfliflèf^partie. 31. Luc p ., Bétb.-St-P., 10 m. 15, 40 fr. * 32. Cabaret, StJpiérre-Slohtm.,. ; . . . . . . . . . 25 Arrivée probable â Senlis le 21 ou le 22 d W l t ^ m O R S - M Le cahier des charges et les diverses Pathé-îpuçaaL ..t?iUes ,tes;^tuàiaés .de la ? 32. Sellier, F. Liancourt, H "m. 3,40 fr. septembre. ;■ , notices explicatives qui y sont annexées de la Semaine, j - Le Tnmarjieurfifflm d’ail, Championnat de Consolation. 33. Dépeuille, C. Bellev., 11 m .f l, 40 fr. drame»' —’Cfs 'piaikiis' deHsivlé de château, (elles ne sauraient être résumées en unCoup*. **•* ■' 34. Desjartiin, Jaux.'ll m. 14,40'frï comique. — (îrcuaBtcB; —ftiiBBgse, Péat-on .prévoir Ig temp/s ? .Téllk est la 1. Benoit, 2‘ Noisy-lé-Grand............... .. simple communiqué) sont à la disposition * 24 M. le lieutenant d’infanterie Neyronfde 35 BnhvaJet, Villeparisis, 12-m. f., 40 fr. 2 . carbon, Saléncy. ......................... 2^ Saint-Julien, deJ’Eool.e de Guerre, fait un quesfibii qu’bn nous pose souvent': aussi, interprété par des artistqs'ide ^.-GoiBédiedes W éressés au Secrétariat de la Cham 36. Roussel lits, Rosny-s;»B., 12 m. 4, 40 fr. Française : M. Ravel, P a illa ^ ^ ltA te a n d re 3. Delavenne, Vincennes............... ..... 24 eroyops-nous intéresser, nos lecteurs en bre de Commerce (13, rue de Buzenval), .37. Bâtisse, Rosny-s.-B., 12 m»4, 40 fr. '— 24 stage au 2" hussards. 4. •Dugieux, St-Gêrmain-les-C . extrayant.da TiJaitAd’A ^onom is et Agri- le- RiVaJ; Mlle ■Pétréir; où ces documents peuvent être consultés 38. Biéton, Vincepnes, 12,m. Srfai., 40 fr. hypnôtSè, séëhè’èomKitié’iliterprëtéê par 5. Foimont,-!' Montréuit.-i. 24 oulture du professefir Borger, conseiller ’Mâx 39. Petit, Vincennes, 12 m. 9 ,40.fr. tous les jours non fériés. Liuder. — Bonstfir-Betraitc. • 6. firisét, iBlysse.. '.. '»tt.,. i . 40. fruvivier, 1 - Compiègne, 12 m. l î , 40 fr. Seront attachés au régiment pendant les d’Etat (1832), les pronostics généraux SuiLe Président, Sénateur de l’Oise, 7. LBroy,.Esbly» .* ...» .................. Les Vols. — Deux hardies tenta*"' 41. Sàvdürfet, St-P.-M., 12 m. 12, 35 fr. ‘vânts, 'eotm us'd^a dè- beâiiboup' de éultiEmile DUPONT. Luc Virgile, Béthisy-St-Pierre.. 24 manœuvres'du camp de"'SmiIly : de vols onti été "constaâées samr-'-; •r*''®.® ta . PSutmier, Sf-Firmin,' 12 'm. 16, 35 fr. vateurs : V ). Moulaihe, d a y e . . . . . . : » ........... M. le commaifdant d é Gbndrecourt, 24 manche dans le * même»— 43. Liverflet G., 2 - Chennev., 12 m. 18, 35 fr. Quervel, St-Pierre-Montmorency........ 24 attaché militaire £• Hume.; • ■V-On diÀt s'attendre à. la pluie : *• - ' d’abord chez, 44. Guiilier, 2'- Montmor., 12 m. 181 /2 ,35 fr. 10. La situation p ic o le . 11. Van Driesche, 1- Montreuil .......... 23 .Quand ' le soleil se couche au milieu d’un rant rue .Rozea M. le capitaine decavalerie Yanbcivitch, H Sirê, œm eu45. Laudard, C. Belleville, 13 fort, 35 fr. 12. T rézebl'C om pièghe........................ 23 de l’armée serbe ; horizon grisâtre ou se lève dans un horizon n ro fité .^ '" ;-®û.*il’fe ^ rieh ff^ rn * .-O n a Les récoltes. — A p t o les sarrasins, 46. Jllazaie, St-Firmin, 13 m.,fort, 35 fr» 13. MàziHé; Saint-Firmin ............. .. 23 rouge. toutes les céréales sent en meules ou en 47 . Salingre, Boissons, 13 m. 3 f., 35 fr. M. le lieutenant de cavalerie Kottzeff, -'7^9 .sop «b5ei»8dip»m?: Iai*(M*B5er 14. Leblanc, 2 - Nogent.............................. 23 Quand les nuages sont épars et flocbneux. -m qnt^s, bdas -cbaineq »et jjHSéjeqts granges et il e st à croire qu’elles n’y .48. Caboche, .St-Firmin, 13 m. 4 f., 35 fr. 15. Fauvel Joseph, Béthiey-St-Pierre,. . . 23 de l’armée bulgme. Quand les nuages sont nombreux le soir au 49.,Payeh, l- Chantilly, 13 in. 5,'35 fr. séjourneront pas longtemps, car la cul liijqux d’tme, valeur d» eOifr. C’est 16. Fissenx; St-Pierre-Mootmorency___ 23 Nord Est ou appfflâissent versle iniltSu du jour samedi soir une celuiëà météHé-— '50. Fanot, Le Maine, 13 m. 8, 35 fr. ture qui a du temps avant les travaux de 17. Duvlvier, 1-Compiègné».; . . . . . ........ 23 au Sud Ouest.. '“ SU Buisson, Bdndy, 13 m. 11 fai.,'30 fr. L e s P r é v q i ÿ a n t s d e l ’A v e n i r . la prochaine campagne, grâce à l’avance 18. Couveur, M e llo ................................ 23 52. Lamotbe, Montferin.j 13 m; 16 f .’30 fr. La recette mensuelle des Prévoyants de ’ coutume 19. Caron, St-Pierre-Montm .......... des moissons, niene vigoureusement ses 53, Gharton Sis, Romainv., 13 m. 19 f., 30 fr. 20. B r u l é L o u i s / S a i n t - E i r m i n . . . .23 l’Avenir (S8S« section, Senlis), aura'lieu cloches battages. Ce qui câractérise la récolte dé 5fc ilaéüel, l-.Compiègnet 14 m. Ifai», 30'fr. dimanche fr-'ieptsinbre, <fe*‘^9 i . ’-il/2 à b lé,^ e st,' outre ta belle"qualité du grmn. S5t- Broudez, Esbiy, 14 m. 6, 30 fr. I Finale à»8h, 1/2, d a n s Ifr jeu de l a ^ 11 heures, chez i*M.' Hazet; réstaur’a tèur, bruit. 564 Dache'ux, Avilly, 14 m. 8, 30 fr. ooristataque k'ptJtte e ta H 'f ^ f ü i ^ 'a à s i Compagnie, ru e du Jeu deJ’A rc; ' ■' Quand les hirondelles frôlent le sol. 57. Hoâiert, Villevaudé, 14 m. 16,30 fr. qu’une* cemmedëreb nnè armàir«;dîalfile 11 y au ra iO récom penses au lieu de 6 rue Vieille-de-Paris. ■ 58.: Ricbez Ulysse, 15 m. f., 30 fr. (ted.lesoiseauxdebasse-eour se roulent annoncées au mandat.. . ' conteuu -avmt été jeté au traretB-rrioila donne .uaBté et. quantité; Je seigle dan%la poussière. i’n n bon rendement ; les avoi- ■* 5éî ; j E s ^ l t , 2 -Nogent', 15 m. 2,'30 fr. pièije, ;;ü*r cpistata atoçs ta .# ^ a y ijip a Une dhtpate à. VtUevert.' Lorsque le ttèfle, replie ses feuilles. 60: M w feP .,'2- Gagny, 15 m. 5,30 fri CAanipionnat dè la jeunesse. anjpâ laissent à désirer,,mais dune montre on.or-avôc sa Ghaiim'/^yin Lorsque lé brouillard a une odeur fétide ou 61., Barbier, Viatmés, 15 m. 6; 30 fr. M m ebnaücjShj’flééMarié-Xân'e'Robin, « e n * (fiü ïêr ont doitné satisfaction. Mainbracelet gourmette, dè olHsrënrs '.netits Vpnntofils, l'rC ia y e ... 21coups que ie s e lse mouille.dp lui-m.ênie. 63. Lanoê,Neuilly-en-'rhelle, 15 m. 9, 30 fr. âgée de 39 ans, 'm éht^êib '£ Villevéri se ' 2. Lemaire fils, .La(0bgpBll6-enrS.. 19 ' t o m t mw bonne plnîe serait nécessaire Quânq les çlnens ihangènt de l’herbe et qu’on 63. Clàuy, Rémy, 15 m. 15,3 0 fr. trouvait sur, le, pas. de sa porte lorsque entend leur vçntre gronder. 3 . Vapsùtle fils, 2- Noisy-le'JGr 15 » M i ^ e s récoltes dW ère^Sàlson et pour 64. Baillard, 1" Gagny, 16 m. 5, 30 fr. Ploreiitine'VVittémetZjfeihine Lapierrê vint 4. Fratiér Alph., NahlouilletI _____ 14 » une paire de draps 'miisi ^ ■ Quand les pinsons se rapprochent des habi 65. Riel Albert, Mello, 16 m. 6, 30 fr. . les'leH N Î^s ; iâ v i ^ e elle-même peut la 66» Depeuille, C. Belleville, 16 m.' 8, 30 fr. L a finale se ra tirée entre ces quatre lüi'jeter dés pierfës et lui larlcer'de’î'èau tations ou que les ânes se vautrent dans la de S francs. Il estiiïm le { supporter, Morvu qn’elle ne soit pas de chaude à la tête. Mme Driancourt. la re- poussière. est causé àœiiviron 250 frautïs. 67. Duvlvier, 1" Compagnie, 16 m. 9, 30 fr. jeunes ,.u n e s ttireurs, ir e u r s ,a ---------a ar je u .^ e la ^ ' Compagnie, bôngtie dnree. , , UaisquaJea nuages s’amonoèlentet prenneot 0 8i ifiriaeHJflysse, 46,Btsi3jï30-ft»-. ■» -• ■. > -aprê'g’cé llé ’de'la' -Bne.enqiiâtajest£fflHia«&a$dèaâià|k5BS ' Lést^trcÜ és. — C’fet une baisse assez 69. Mabillon A., l - Souilly, 16 m 14, 30 fr. la femme Lapierre furieuse brisa un car la terme de montagnes entassées les unes sur relevés permettent d’espérer qu’on décou : . ^ n n e n t ensuite. .•SMÛible qui est à enregistrer pour les 70. GemSon, Villers-s.-rM., 16 m. .l4i.39fr. reau. '-..'S- • ': .• tes autres. vrira le coupable. ,. .............. ’ - • ■ I 71 . Picard ainé, 2- Gagny, 17 m. fai„30, fr. ' Mês, par suite des offres nombreuses de 5..jtingryja.,i-T racy-le-M ont... . 13 couds 8" Il fera beau temps : Mme Driancourt a porté plainte contre 72) Bnland, Sevran, 17 m. 1, 30 fri 6. ^ a i u E u g . fils, Béthisy-St-F». ,13 blés nbuŸeaui. Ait marché libré de Paris la délinquante; * Lorsque les étoiles sont nombreuses et bril t3. M ^ aü lt, 2‘ Nogent, 17 m. 2,30 fr. . A p re m o n t. flfsJla it’^ le (fisponîblé de 24 fr. 50 à , e ô s dfiitSiJe.upés ;tir6Ute;,sont i n v i t ^ lent avec éclaL , T 74'; J ^ t p ; , C. Bdlevi, 17 m.'a^forf, 30 fr. SS.fr. les ipp Bios rendus; LeS avoines, égalem ent, bien que ne coneourant pc s Lorsque le soleil ae eouohe dans un horizon Société deitir S-A±.GL « l'Union A pre; TH. Btoaôeile. Fa-Gaisa. 17m. 4 fsuv30 fr. C o d p s jd e , p p l ^ g . ..rougeâtre et doré, S i ôtaient in o n tte ff .des éours aSseï éleLpopr le G b ^ p ta n n a t de. la Jeunesse ; il montoise.':— Classeijàépt dBi*eoncqtirs £ 76; Rssemri*St-Plerce-Mv,17 nr.-4, 30 fr, ^ baissent sens® eznenl.B ar contTff'les au ra des récompenses;. . ..-.Mme.;ÇarhéF,âlûans,)ménagèrè, et sk ;. LOraqB.e la liitie est rouge £ son lever (signe [; la carabiné au RT.aiwï i g y . . ; 77. Lecotjàlbert, Eshly,.l7 m .ilû;.30fr. • "de grande châleur). < I débutent obérés :'on cote les sortes mère, née.eprhet,;-âgéft,dei54 ans.,iégaJe' Distamie J2> m. P osition débont; san s 78. Rame%u D., 1" Nogent, 17 m. 11, 30 frj -,a . ; • Vétérans. -Qoan’d îes ëhauyés squrï&yoienl le sqiit. en appui. (Prix e n espèces). imeqt m én a g ée . demie,usant à-ViHeverl asserie de 2 0 â'20 fr. 75 les 100 kilos 79. Foumret, 1" Compiègne, 18 m. fort, 30 f i A u h ra s..,-.. ■.., 34 coups; ' kisants briDent .frnf été injuriéps;:par ffilrôftiCom et, ,g è pFus liîu d fr I et rorge de môutùre de 19 fr. 80 là : 80, AnseUftp*. '?iUspari|is, 13 m. 1, 30 fr. ' !'• Division. — MaTîmnm 90 points. Lerotlxpére...■ .. ...,. 27 •» 't; 1.a-mémej-0nyessiMm%lGo)5iet pm"*teire. ’ iLorsqueies-araignées marchent en écartant M.Blanchet,à<AKfS»n4.i-f*.i,... 78 point» Prix' fermis per la fiépartition. M o u jg in p ^ — ....'.“-ae Cornet «om pai^tra devant le tribuntfl bien las pattessi. ; , tigré la crise fourragère dont nogs ? i. 2» Division. —Jjlaçâmnm 150 points. 81; Ddnét Lv, Cëübroh, 18 m. B/00. fr.- ' ■|j£ ' ffnqte' dii Ghqinpioonaf ' ïa a c i 1 simple pplipe,; ■ la sécKerfesé, les prix .sont sîm,JiÇS9 di,fr,S9 ^e,dn ipata* esfb abondante op 1. Beaufils Abel» VineuiL............. 142 noints 82'. 'Lamarïe, VOriieuil', 18 m» I l faL, 30 fr. «ompterav ' p o u r les mèih.es po S e n t ferm es sê r’lèB fourrages. ÎHeJebmujllard^abmsgeve^ , i 83; Mariai Courbeveie, 18 m .ll foit, 30 fr. ; 'V éfw lins'jio'nr le u r seco n d é'é ,, Lqmque les teefiés Je la lunesont tiës visi84. M8Hin,*Bét,»-StTM.f. A., 18 m-. 12.’30'fri pour l’addition. A a f iH n é b f K U ^ s 'I - le s vins. - EneoW « m a tn e et les DiOSt 4. Bertrand A., Apremont........... 1 3 6 — ,[JC*'l ........ 85. Depeuille, C.;8élleïille,. 18 nir iSi 30 ‘f r .' vendanges com niencérom dâflS <5erta!jes “tdrSqtf il,souffle nk vMl flrsds lè màtiii. Avertis p r in i^ de l a f ^ a d e , .86. Fanot, 1.* -Cfaenoerière, jo m, 8,.3Q fr.. " 'tfgioO adn midiÿ et on peut dird îU tw O S Lordqiiè'le ëterë'êâffircit 'd rcô té èlibosé h 6. Bonnet, àÂpremont __ gï, Lefèvre vu^ji/C püdiÿ, i9.m .ju3(ifr.. ; > ■■ urepjaeffdaCrei quemmenl. oéSstft’oh'vièntHé Vëntt . ■ " ■* ro’tpn mois les vendanges seront g én érai^ ^ .-tO im é r iS ’ ?0®nt,,19 m,...3,.30» . î lesuKngea rm découvrent l’azur comme L 8 ilû-Bwon.de. O £15 Jriloatètrea (ifi Æ ë de -uiB r Je littoral méditerraiiéen. La. réooltè f 8. V.-Y tiBBapahéiite. j-j.3 ^ |m T ej^ tm artre,2 4 ,p h e v a)i8 t» ,: , ! ;en''obsarifati<mfrf'drfiSsêrént'Oootràvfflitibi ,'tffera-t-eUe moyenne? Les* apparences aq{âM -F ’iimüi Métoig, ehau& up ao seapc yo; . ' i A» ÿ r à n # Jjf A25 ktloméfras.ü.Ji : à pat* SrMfeTà'iiüjiimt: ÿtelles des vignobles permettent de lé Sf. SofrsoSs,-jl?«iJO. âo fri^ ; r ■■■'-■‘•■•ir'entré là'l-.ét la'î'" wfi ne Nogent^surf ..de M. Rateau, âP qrjs, doot;i.’mitpifiabili Lowque le-ji&il ëët rpngeétre à son-levet. m ed»sW vim sîM 4,«sq oroire. En tout eas les quantités de .vins g 92. Lammba,' B e n ff^ riL -lO'm.'li, 30 fr. * ae'fmacnné 17 chevanéSï.' " ‘ à une allure: de ;3S'fcuomêliFeBi tetttpte.lteHuMeé'DioIflfeBt vifë et se ras- che prochain-de,|,^,hqm’6# r 3" Rayon de 25 é '40 ' klIètniSrer f2u fr.) ; Clé -fllmt offrir à la consommation sèroBt plus fortes ■ 93 . V6y8Siep.'.:Semy;i9 m 13,'30fr» llheure. ■ . ; . , . a ^ e n tA ïa iè ë te iL » •. -u- , m»nres ei 94 v Lepa^A .j, l " Nogent, 19 m 15,-.3afr.' j que l’an dernier et les prix seront beau!- ■ C^r't^att(44lJbevaK eP6:.<'«"-S'-. ' f ' — c./J^whiee fimiijeatix *«»Bleat phia q a o jé J heures ek d am ÿ et.d s.4 h iM D 95. Corniljpt, ÇrépyiSte-A», 20 » . fai.> Mffrj 4";’Bxyon*ao dalà deâftkilemètres'(25 francs) L - cpup moins élevés» Ajoutons que la rér -du âok p o u r'^tg ei Objets perdtiis. 96» EdighoflSer, g- Fontenay, 20 m ,,l, 30 ft. ’ oÿlte algérienne donne les- plds : seulement. i,p,aratt: très large; ~ ■ ■ Remy,»20 ip. 1 fort» 3ftfr»:, Une face àtnaiff'écaiflè.' ■ I ■ an are n ces. Ç é tu a g fp g , Bagnqle^ 20 m».2 fâi.,»30 ff, î ’ ' ’ ^ d i G î f f l ïM " i Un chien poil me Totni, collier fdSqiié liés affaires en.gros, en ce moment, sont £OTbron,.âm.T!;'3Ô fri ; Jardin èKvaipfJ *;-.:ÔajiV* Liirsque 16 veut» souffle;du Nord» ou d e, IJIst * t|<ô8 calmes. Le commerce reste dans t’exi- 100 . BMfrâÿ,Viaés*%r-W.,''2frœ.-6,'30fr; ; J ' Prime : Comps^ip .d^sbly/,20. frâiu^. } « Màrchoix A"''*7 ®'î’'7*-‘i llame|ÿ:delaJnBe»,: peiëotmes '-«OniKtissaot' 2’ Pnme ; Compagnie de Dampmart» 15 fr. ’ péctative, il n’aebéte que prudemment) 101. Baillard, l." ,?-« 9 J . 30 fr. t ÎS araignée»;,fil,epL bien tes/babitiidbs dè Me ' '» Objet trbavé. 102 . Seirfifrptoe,t»ic5iS7i0im .'ll,30 fr. ; 3 ' Prime : 1* Chantilly, iO francs, p sr petites qnantités. £ Cramoky, ont pénéttô ' f ■3 f 103. Charpentier f., Montfer, 20 m. 16, 30 frf Un cplli^r. ë tise so B tw ! 104»». Bteavd. # o » tfe i^ ife ®0 « i .J î i 30»fr. ( i • ffé#énVsuri4iaroè, 1 mé&iuë .yenneil. tantes. D eux_______ '►j'tPI I-., . :è .0 : 10S..DuBn. C. Noisy-lerS.,.20 m,,18.!30ip,. ' j t Auberviiliers, I médaille vermeil; ' ‘J ' ' .;'là)r»qn’ity a eu dans-l'aânée, 'beaucoup dk le fruit se développe, b i|p . Il phratt qiq’il j 106-.. Leeomible, 11111,-3.-11., 21 m. f m „ ^ ff, U sison <91. Tia«qpeti'|».iEévMer; hoaolea,* de glahds, fie >pruttelle» et peu. de p ifnequqntjtâ!dfr*(ffloffltj, « tr a plus de p o m m e s''^ e -l'oh stfpposait |i SBrpbcier mileavirohl ' ' { M b s B '« t'é té -. Y :i- . ! saeeessevér.' V éU ^ âM s. T à d ts^ ite a t d’abord. A Boaen Dn pote lûfrâiSon cneluies. baa.en ’irtBir'Wësiiwfei'-r^ Fëtès octobre (50 à 6 » fr;'te s iïBOO ISoS et'BoOetadta.'daiqaiM aJiaiw’i p ^ ^ I cher à son auteur. îd e W iffffr. ■■ M .si:vT i l • -.il.' t.' tu ; rowHWifpawwaiwasaaBMMi 'ewjjjCTag^iiP ~... .;• }ji. è... US COOIUUER OB L ’O I S l ---------- f «'VBUWBU les sont encore là t e s t e longtemps r e s, quand a y a •t lorsqu’il tonne fes dans les noix I saison m alsain , V U 'h eu re» àtu près certain de I conforme : ./cune Major ». ^Sreil. flaire de Creil que les rôles Hbution su r les btre 1911, sont pur être mis en lo u t Alfred, un püement à Viliser la journée Iqui habite 13, p un sieur DouI soir, il déclina j dernier, pour J époux Robert. I I froissé de ce lu chercha queà Benout et, |üam betfa, à la nd-Ferré, il lui bâton à la tète lulu se relever, js'était, dans sa |ite . Ce sont les relevèrent le Idii être triansIM . le Commislire à Sehlis un de Mohtataire, I ans', qfri,-pâsrdèvant tô cSfé lublique, avait Iconsom mateur pvèque, et s’enubetta. Ayant | t être rattrapé l’a en possession ) de ces derlu re, deux emrri^u és par lés ^ v id u suspect Isez pesant, endit attendre bmpiègne,niais é à un moment X se dirigea sur nt voulu lé repndre la fiiite, 1 sac qui côntef r a n ^ r e , q p ra suppose que ain venant de ! quelques insIv res snspectBS l té rem arqué^. Ihopime olond l ^ t habillé en lé x a c ta été rele rte . l'occ^ion de |e s rw résénthaimanclie Ecrivain public, bor, comique. — Inabe.dsjÇasnn iecin de sefvîfe, pe. îo ' Lnln and hmondains, z tualités de la leur,"Km d’art, l'u è de château, ,, Stmtfart Gpoiédie^iatefprêtée par Bes tenta*-' {sanv-'', -oQt et diqûshier,’ c’.ést Sésîrê, w m èn‘•■■gMTiif.fOn a I n i 'f t e b e r .. ^ .^ te w n ts IdeeOifi:. Gpst Bt, 'djpis j ^ e ë îu î ® d i ^ i aÜre.'dÔEEtIle Itraivers'-fleila [la di)«q(iMl>n o h^i}e,4 ^ n |s i e n n ., n ^ t s Im o B é ^ ^ g e t ' troB godfcèi^squi b Û H likâb es[qu’on décour.i: XlniottAprelic o n c i ^ &. debout? sans >peints. 78 points 1pmnts. *’ US points 138 — - 0,1 fà l C f a a a ty iy . Chasse à coures. — L e prince Murât viéhVde'tràitèï’àvéc rin ^U u t dé Prafnfce, propriétaire des chasses de Chantilly, pour prendre en cette forêt la succession ëifdùc de Chartres. t ’équipage du prince Murât s’est déjà installé S Chantilly, et sa meute, de cent vingt chiens, occupe depuis quelques jours letSienil des grandes écuries du château, vacant depuis la vente de la meute du duc de Chartres. Le prince Murât avait déjà chassé le sanglier en forêt de Chantilly, le cerf à Ermenonville, aussi bien qu’à’Compiègne, Carhelle, la Tour de Lay et l’Isle-Adam. Chantilly reverra, grâce à son équipage, les grandes journées de chasse à courre qu’y donnait autrefois le duc de Chartres. G o u v ie u x . Vol avec éjfraciiôn. — Ces jours der niers, à l’usine Saint frères, dirigée par M. Kohler, à Goiivi'eux, eut lieu un votde poissons avec effraction. Le voleur s’est emparé d’une quinzaine de livres de pois sons. On connaît l’auteur de ce vol, mais M. Kohler fait œuvre de générosité en ne poursuivant pas cette affaire. • la trace des coupables. E spérons qu’une leçon sévère leu r fera passer le goût de Jouer avec le feu. _ ' VSJeunes maraudeurs. — Mercredi soir, M. le Commissaire de Police, a surpris, avenue de la Gare, quatre' jêühes gaihi'ûs qui s’étaient introduits dans un enclos pour dévaliser un pêcher. A la vue du m agistrat les polissons priren t la fuite, mais une enquête aussitôt ouverte a fait découvrir les coupables, ce sont les jeunes René L..., Louis L ..., Auguste B ...e t Ro bert AU.., gui seront poursuivis, car ce sont des récidivistes n’ayant pas tenu des observations qui leur o n t déjà été faites. Etal civil de Montataire du 18 au 2 i août Naissances. — 20 : Descroix Louis-Henri. 20 : Douché Gustave-Jean. 2t ; Potentier Paulette-Rouée. Décès. — 18 ; Herbin Irma, 34 ans, femme Abraham. 20 : Lam( 10 mois. 23 ; Lacroix 2 mois 1/2. Mariages. — Dhoker Ernest, comptable, et BoonneLucie-Elisabeth,joumalière,'aomicHiês à Montataire. 19 : Janssens Marin-René-Gübert, bolteleur, domicilié à Creil, et Ceunen Marcelle, sans profession, demeurant à Montataire. M o n ta ta ire . IVo g e n t- s u r- O ls e . La fête. — Le beau temps avait attiré à Montataire une très nombreuse assistance pour le dernier jour de la fête, qui a été ainsi très animée jusqu’au bout. La soirée a été particulièrement très réussie, le feu d’artifice ayant été très brillant et le ballet qui a suivi ayant été merveilleusement exé cuté, aussi les jeunes acteurs improvisés et le dévoué moniteur Carré, qui l’a pré paré et dirigé, méritent-ils tous les com pliments. Un bal plein d’entrain a joyeusementterminé la fête de 19H. Tirage des Bons de Souscription de la Fête Comm unale. — Liste des numé ros gagnants : Une enquête est ouverte au sujet d’un vol commis le 21 courant .au préjudice de Mme Caron, née M orcretté,-blanchisseuse. Une somme de 9 fr. et .des effets apparte nant à son m ari et estim ds 21 fr., lui ont été soustraits. Des inidices, sérieux per m ettent d’espérer que le coupable ne tar dera pas à être découvéH. il |g Eg, 449 194 87 142/ 442 7469 1-23 62 494*y 46 44491 90 7263 ’Ï2 404 >242. ’S 445! 151 7442 lOÎ 84 224/ 6 /7467 69 4 3 7 7523 138 423 |245 ôl 63 2355 445 4 7 3 e 78 7533 É13 47 2389 146 m 88 7632 31 447 2540 141 4 7 7 3 64 7693 148 4 2577 129* 4Î83 84 7788 ,S3 97 2635 94‘ 487-i 92 7848 36 434 2655 443 4936 27 7884 107 439 2742 40 4967 408 8064 ■72 42 ^ 0 445 2746 444 4S69 •52 8107 964 35 2784 403 4992 130 8351 80 8374 414 2844 402 974 3084 60 16 983 56 2824 440 5050 144 8437 109 995 2 2854 58 5400 49 8449 ».8o 4022 22 “2942 400 3289 428 8604 Î73 1075 418 3047 446 3547 440 8635 30 4446 435 3404 179 5614 71 8650 82 7 3285 4 5 4 5654 45 8805 830 4462 4475 54 3540 40 5830 8 8830 57 4482 424 3542 t 9 5884 134 8862 ree 4203 84 3646 98 6492 3 7 9082 •90 4331 29 3735 74 6238 ! 0 5 9185 142 4340 83 3789 53 6283 28 9286 1 4360 3 3886 59 6304 43 9294 34 4375 422 3932 44' 8332 26 9373 89 4406 44 3933 67 6592 126 9409 |3 8 4429 68 4037 433 6649 18 9438 93 9446 4,439. rU 4424 -14 6742 9464 132f 4456 147 4144 39 6767 4635 47 4154 4 4 9 . 6780 l l i 9646 7 ? 46Sf S’ï 4498 150' 6920 9654 ! i i 4745 49 4256 12&* ÏSSl 9843 148 4767 23 4288 f ® 70BÉÎ, 9862 1.20 4805 94 « î î m ” 7lW 1 9873 |28 »7^ 4878 137S -83 Accirféwls. — BBbnt Yvdn,’63 ans, manœtivre a d t Pérgesf’dèhteni-ant 3, place delaMairie',''det'fpiïfbS ];e côt^ gauche sur un piquet à la f ô r ^ de.' I!aciérid et s’est fracturé plusieurs côtésf Lé ddcteur Roustan, qm lia-exam iuéï'a- estipé qu’il en avmt ptùir six,semaines avant de pouvoir repreutire so a t s w A , ; ' — ’r8bsarti?àüîù'20‘'ahs, du môme'èta^^ *> 4ss6B êD jtjte6iqpnU j,^ mm. c 8 i e r ,j ^ y , en.poiSsaBt sÙB, voiture c a rb o n , piquW '.la cuisse droiiè avec des rognures d e ^ ô le, chargées sur un d î^ j^ O T ^ d f0 ÏS |m ré ^ ifS |ta era une incapaoüS'dé f ç i v a ir a è 'jo u r s . Dramatigues tentSHiM 'dé suicide-' —A la suiîg w ghagjûnaifttimies,, un.ouvrier de rusm é ’TOrm; haDitmif Shivecny, le j ^ e Guichm-d, ^■ d e -aft a n ir à tenté de m m re à ses jours en se uortauf -deux coups de ralbir à la gorge, ilii’antinnsnitr jeté, ïniemf*’tei)rfte^d^èrehtes, dans. lé màis-escaUeht il S’enips(. re ® à et est feutrèohez lui. ' jfïdgré les blessures qu’il s’est faites, le dOcteni' qui le soigne estime (^ 'iie n sera quitte avec quelques jours de repos. • Précoce voleur. — -D epnisw rnertain temps, les jm-tfins et les basses-cours re44 18 2lf 431 0 ' 576 648 ■622 774 808 839 â32 S a in t-L e u -d ’£ s s e r e n t . B ixe entre d eux carriers. — Deux ou vriers carriers se sont pris de querelle samedi dernier dans les carrières de SaintLeu, pour une futilité. L’un d’eux, Pécret, dem eurant à SaintLeu, frappa son cam arade Emile A rnould, 26 ans, dem eurant à M ontataire, et lui fit d’assez graves blessures. ■ Le docteur Gestes, appelé à lui donner des soins, conclut que les blessures avaient dû être faites avec un instriim ent conton dant, e t estim a l’incapacité dè travail à une quinzaine de jours. FAITS LOCAUX Baribeipy. Blessé p a r une ruade. — Un ouvrier de vingt ans, M. Béry, au service de M. Au guste Thibault, entrepreneur de travaux publics, a été grièvement blessé par une ruade de cheval. Son état est des plus alarmants. B é th i s y - S a i n t- P i e r r e . Fête. — Dimanche prochain aura lieu la fête patronale de Saint-Piacre. Une fem m e tire sur so n rh a n . — M'me Richard, femme d’Ain préposé à la maiiufaoture d’allumettes, prétend avoir à se plaindre de l’infidélité de son mari ; elle est même devenue malade et très surex citée. Dans la nuit de mardi à mercredi, dans un moment d’affolement, elle a, profitant du sommeil de son époux, tiré sur celui-ci trois coups de revolver ; deux balles ont été reçues par M. Richard, dont l’état n’est pas très grave, mais qui cepend ant a dû être conduit à l’hôpital. V A m ic a le Béthisienne. — Des jeunes ;ens viennent de form er une société sous 6 nom-de rA m ic a le Béthisiéraiè, Jeu nesse Bèpublicaine: Le bureau est ainsi composé: / Président d ’honneur : M. le docteur Chopfnet, m aire de Grépy -, P résident : M. Fay (Gaston) p V ice-P résident: M.d'feveu (A ndré); ' Secrétaire : M. Fay (Paul) ; Vice^Secrétaire ; M. Frilly (Lucien) ; Trésorier : M. Joye (Sébastien) ; Vice-Trésorier : Manchcoup (Alex.) ; Vérificateurs : MM. Choron (Jules) et Bluion (Robert) ; Commissaires : MM. Luc (André et &rflbJ,(Mareeaul. Les,enfants des écoles à la m er. — Il avait été annoncé que des enfants des écoles seraient conduits la m er. Le voyage n’aura sans doute- pas lieu, la Compagnie du Nèrd ne paraissant pas devoir organisé, conime les années pré cédentes, des trains pohr le- Tréport et Boulogne. O bjet trouvé. — Il a été trouvé et dépesé érisETnairie un bracelet d’enfant. B ra sse u se . Pèlerinage. — -DiTOmche.10 septembre 1911, à l’occasion de-:la ;:Nàtivité de la Tiérge, p è l e r i n ^ à Notre-Dame Regina Pdcis, cérêmô'iüe à la gré^p de Lourdes. ■ PBOGRAMME : matin, à l’église : 7 h. 1/2, messe de C ôtouhioii ; '1 0 h e u res, sgrand’mssse, htmructioH, cantique. Après-midi, à l’é glise : 2 h. 1/2, vèptésh àlaîgrotte (’agi%s' du Qôfiïmissaire de vêpres, •procession,' ‘Se.rihoni- cantiqiies’; ' quêté, découvrit le coupable. avait du retour à i'’égtîse; sàtut Splenhel du Sàihtà se reprocher .d’aultes méfaits :§aefffl0epf- ■ I i- i . 'Avis : Les pèîarhls ’j q i d^iréraient e t sg seryml ,grqtûi -jeo-qeo qndre leur’reptis: kii. re ^ u .ra h t' dê M . sorbie, sent priés d’àyfjrtit par lettre. «noîftA <4a m a  t v n n ' ' - C jo a rfe à ll. ^Sè's -e^nqiliew-àent reét ne tardenoat-pas-à être " couverts. •sîir-o'j : -“ ■Bè jèBtfes'^fhbils' s^'sont amnsés ces jours derniers, au risque de l'iM liilo ()iiw<iii iMtîiillî|iîlï liiullili lu fitii dans une partie de bois de M. DunbarScfaiit^. tine enquête a été ouverte par H . lé Commissaire de police qui est sur / La Safnt-P îacre. — Les jardiniers de Saint-Léonard, Çourteuil et &ïnt-Nicolas célébreront l a , fête de Saint-Fiacre, leur patron, leïtinjdi 4 septefflhre'prncbainÿ Pendant la m.esse, qûi Sera- d itèA dix ïietires et demie, des artistes de talent interprêtero-nt les cenvrés de nos grands maîtres, av ec accompagnetpeiit de violons et-violonceüe. ’ / O o n y -e n -ïb e lle . Election de la ABuniowtiHté. — Dans sa’àédncè du 17 aoifi,'lè'SoSseïf municipal a procédé à l/élection duTïiaire et de l’ad .joint. •è'-'ir.r'rrm 'f ; M. Blanchard (Louis) a été élu maire par 9 voix, et' M. Éomaft CVictor) adjoint par 9 voix. ■"c ------- - C ré p y -e n -'V a lo is. Fêtes de .jour et dp nuit Jes 10,11 et 12 septembre 1911 ...... ’’ ' Le dim anche 10 : A trois heures, au kiosque. Concert jDubljç par la société miisiçale «Lè’S Ehiafffif'dti'’t ‘âlo'is » é'f 'pSr lafanfare de trompettes. «Le Ralliement ». — À 4 heures, sur le (ihemin Vert, ou verture des jeux : courses à trois jambes pour les garçons, eom ec ’ïu itœ a fs, lutte a la corde, etc, A la nuit, brillantes illuminations par M. Giraud, entrepreneur dè'fétes, d e'P aris.— ^AÔh,l/2, ouverture du gràlid bal de nuit, sous la tente de M. Aché.” .......................... Le lundi H ; à 2 heures, continuation des jeux sur le grand Chemin Vert. — A 4 heures, bal d’eofants, dans.la tente, sous la direction des dames commissaires. A la unit, illuminations générales. — A 8 h. 3/4, place de laRéptïbti'que, brillant feu d’artifice,, — A lO nèureh, grand b a l’ de iîu,it sous la tente. Le m ardi i S : continuation de îa fête, jeux forains, bal public. Les' marchands trouveront protection et emplacements ponveqables. Concert au kiosque. — Société musi cale « Les Enfabts du Valois ». — Sametli dernier, très joli côneért, religieusement écoulé. Au programme : ï» Carmen, entraînant pas redoublé. 2° I l dort, berceuse; morceau malheu reusement un peu court. Z” Les Vêpres Siciliennes, (sélection) très frappant par le sentiment donné à l'exécution.’ p 4“ L a Hongroise, fantaisie-mazurka, miBique très gracieuse,-Sé 'lSonnez trom pettes, polka militaire enlevée avec brio, et enfin C hant fran çais, trè s goûté du nombreiis; public,et bissé pàr tous les assjstanfs.- - . Kuus remercions dâttc'Société des distràcüons qu’elle •Boifg’^ é ü r é e t nous ne pensons pas ’êtéb' dégi»’. a*%tft'n'dàhï èn- ) core mieux ipéllé/âu jla f^ e fpe ■; '■ Le procès-verbal de la.tjerij^re. séance est adopté, après remarque"imté, par M. lqpré^Bti.-<Bie-:MvffS?req< y ie e -p s te ip t n’a pas été qualifié de son titre^asg l endmération des membres présentsJi’ommission estainsi-répfsée,M ..Leizeaii,professeur fait réxfidsé dés irhvân^de J;» ® ia|e du jn.qk (Tapût, Il consejJle 4° l’écussonr rw lè r -à ’d t i l l l S à ^ 'é W t î f a T e les d é t a x e l ’onépation;,2° le..bouturai des rûhtéfSÎflrfnbûrddhhjhfîë lions et enseignant le mode à pouroette'io®»afeB.M.‘îLefeeâîi difcau's: gué les bOditltîes feesrabiuiq-imuvëotdsft faiée'arfw ram sTA tm w fH ™ ^^ lesifléà® à effectuer en cette saison j^rappeUg que c’est l’époqiïé ‘)d® j i l W ^ r l 3 ] c i « r a S |r t du raisin et è'ne&e 4 ftfifé la cueinetie''aés fruits ,jd ^ f ..S e æ r ^ '’^ ^ d j A d ’|i S s ^ s . hardy, àfln d’éviter la a& &uiîs,,8 ou 1() jours avant M. Lejây ,-fâieile 8 n s^ e,,a ii nom de la section, M. PMit président, de sen.élèvâtion au grade d’o irici^rtam érite^ritm te, Les applaudissements' des ’m ëmbraé' preseiîïè ?tfài(}9eÈt''^eydûS'Sbat'flattés'ae'4a distinëlfSRtacBordée àleuF président,-' '• M, Petit aeinânde à la séotion de-mettre à rétqdë |afgttës!tiOn‘desjardiris ouvriers. En raîsbb -de' ià fête' de Créhy té sêciété décide de--se réunir'te 47 septembreet dispense M. Loizeau d’assister à la séance. Après le tirage de la tombola la réunion est terminée. " A pports en séance. Par M. tomate géante en pot, aubergines à fanitles panàcbeæ (mêntîôn hon«ràble)i P arM . Roffy, corbeille de fruits, pêches; pommés et figues,'(méirtion honorable); Nos Archers. — Lundi’21 courant, a pris fin le Prix GénérafrendS par iK'Gînm pagnie d’Arc, dite Compagnie- de Dunkerque. Vdicî.Cîk^èbt’lâ- liste des'prix e t les noms des'adroits tirenfs-qui les* ont ramportés: >■ -■ : * • ■■■ l"prix.; iOO , |2 6 400 fr. Jauyel,Bétlii|yTS(-P... Fauvel, J ’êo' - térem ’, "" 40 — tCTBearjBélbi^y-S'-M. 3® 4' 4Ô — Èrêsslèr, ' ' id. ■«6 » KhWt, l®»- Crépy.. . . 40 — Brûlé, SaintPirmin.. 7® — 10 ^m ffras, Estrées-S'-D. g._ AO--"taba|!çirv»«iéWe-M. a* 40® — 40 — Dénan', Vâncîeh’nesri' 44” — S.-A., Crépy 42® — 30 — JumeUft, Vivières.... 4â* — 2 6 — ffeîW g, -Grépy 4 Ϋ — io Foûrnéf, ViUèralBret. I3® — Hénon, à VàSmoise,, 3® 6® .er-A’ iSiBÉ6tid8ïÈ^îe»iiàSSàà -i/iTJ. ÆÇ- ■ l e m f M a s A 'a a i K par une assurance. ” '■'--'“"'"■‘•‘lO riP O ïiy. " On se souvient enébre des récentes découvertes faites au» eiïvirens (FOrbony, non leip des rnêBesdë Champlieiif etTon se rapjellé qàaéil'iîeé-ï^ leries-'q ïd -les S b c u M S lts ^ f ' Or’r m m ’àtissi,'j’aî raillé. Mais passant ,nn jot»'«on loin des fiiuilles, j&’snis;-'pâr :^n8tiÉé et croyant trluver prise à denpi}yeaux quolibets, entré dans Smti e h a j^ w islé ^ rra in e , fouvée à cebeêidriRL «que je regrette 1 coDcjîqyis e ita tiq n sà ù k d eu x faro y ies. | t m.iirekcBHXide bonheur aux fu tu rs épbùx. -•>*- » S»,- rr., maT’dttè'j le.do.ute, à.se rendre duailes liens;- -i" '‘Céffébrsef’à'’61ibse facile, car oh peut viâtBf’dé’Tîféür6s du matin à 7 heures,4a Soir.' ..... <UlTtOr, ::,èlfVç:tTr Un incrédule qui croit. P l e s s i s - B ë l l e v iU è . Incendie. — tJû’ëT|)ropriété appartenant à M; Dûfour, dé Rouvres èt située sur la su r là' B^ii’é ’ dé"chenffn de. fer de Paris 4 Bôïssoh's, s’ést' tnjù'tme 'détruite par les 'flâràbïé'é. ” .*.................. B la m y . La foudre. —*!Marai dernier, la fondre atùé deuxéhevaux d ais les champs, eiitfe Sajnt-Witz et Plaillyj ’près là ’Toutë‘'4é fcdz'ârcTies à Sentis. ■ ’ ISéQaL eü Cubes a||s S.O .L P ro d u its exclusB éihêhî français H ja ra y . Nous apprenons al^ec plaisir les fian ’d ë ‘ ’ çailles- dé Mlle Jeanné Moreau-,- avee-M. Paul Pêcheux, couvreur à Villers-Saint- M o n t a t a i r e » 3 i dOiït. Ti^fB5fi?|'.*ToU!«S’i i|s félicitations ' aux P d â t - S t e i J M a p s e â c é , f®® sep tem b re. familles et vœux 4® bonheur aux*:'fut-arS -® o » n |» H g tae. Bfâéjn/éfeiré. . Ipdiixi ”’ ® *■. ’ “ ■’^ n y à i s , 4 septetnbré'. 7 '% (ajie)C T aes. 1, 5 septembre. Ecole com m unaief'— ~SL. (irenier, de" ------------------ ^cO vgepiem bre. 1 septembre. yauehelle9iÆaf*nommé insfflUtëtfi‘'*î’yàB=‘ B e a n v a l d , t S .m t ^ m b r e . '"ÀM. ï^ g o is remplissait depuis plus de 9” 38"'aiis"ies fonction^ d’instituteup'de JS | p 9-, A .ClüBIL î ' 40^ É tablissém ^'paT IN ; . Maison VIôŒB, lOpO l/e rs ^ y . — -^'-qwBetAg'toWwe.® ’ Suicide dXuniwriaiénaire. — Surprise 46® — ^enépart, Clairoix... 44'”4 de ne-pas revoir sonmère sorti depiHS le Maison C A I ^ ^ G Ô Ü F guçc®. 5 ,4él)|ut.- SMrtreuse mtUin,Mme®Toeu se mit à sa-'recberçbe, ifaiimn .BpKNAI^ÊbkjAÎi.SSÉ. 47® — eae»,®3Eatri5ëê4S*-D.. - gboubtÿampagne. avec l ’aide d’une voisibe, Mme .Hîéï, ét clU Arrestation. —' La gendarmerie de*: curé.de la paroisse, M. l’àbbé Bàlédéht, Crépy a-précédé samedi, plaee'de la gare,, gùîpassait'jiistëmént levant la maison. Au à l’arrestationdti manouvrier Emile Marthe DÔut de quelques instants, ils retrouvaient 24 ans, de Seuils, qui a une condamnation le malhetireux’ vieilldrd pendu’-danS - ttnbûcher. M’h lgré lèk Soins -qœ-' luî furent de 2 jours de prison à purger. prodigués nu ne put lè ramener â la vie. Vol. — Le docteur Çaillenx, de Crépy, Alexandre Roussel, dëSff ams, Sôiifirâît ut .’r À ^.ii'.B g fe avait laisséëdîi nifté defdnf la garé; un depuis—quelque teiâps d’une -maladie inconnu en'préfifa fiôirr'dérober dans.. D i s e iE T E D X éfesfêmac;' ’ ? l’auto un éhronbm'ètre et son support. V e rb e rie . On estimé 'ënviron- ÿSff francs le préju dice causé par lé vol’. Conseil m unicipaf. — Le ponseil mu Avtà-vlHis ’dés’peiffèdes ? Voé’ctfétéBx- tUBbeût-:ils? Accidents du travail. — M. Ponsard nicipal de Verberie s’est réuni 4 là niairie Désiré, monteur au dépôt de Crépy, était leM uoût, à huit heures du soir. -Présenth c occupé à remonter-les coulisseaux dti pis MM; deMaindtevîlle, m aire ;- Pingeot, adton de la maehine,2.290, lorsque la pince' joïnt- ;"Làihb'otte, Pâchon, Gorbon/ Bisiâi, dont il se servait ayant échappé, lui contu Aroèlaine, Bousson, Lépine; David,'- ReCe px^tSt' par exeet» bourS e t Grénet. Absents exctisés ; MM. leace rend ans Cite* sionna le côté gauche. Repos : 8 jours. ;!cens g d a leur conMahoh et'F erret. f lenr et lenr beauté — Mf Rayméhd'Maurice, ajusteur chez 4” Rechargement de la rue Saint-Niconatnrelle& ^ r ê te la MM. Menot, '‘oonstructeurs à Crépy, a eù las. Renvoyé à la commission des travaux. ' dés Cue’véttx, et fait disparaître les le pouce de la main gauche pincé dans le . pour enquête. I PeUlculfiSu Réspitats tiroir <ruhe’;màfchh'‘e'à'TUpeur. Repos : Inespé^âs'.RsigèirsTir ■'2® Demande de concession au cimetière leé flactmar tes mots ___ 20jàurs.' ' ’ ' ' -po«ir4Wl8-<4eB vieilliidgi Le- Chèsail-acJplQXAX,,.yrothgnB. C Sc 2 lès G côfibin»yI^16inesK ,’d)fhtéonsetéèm>^Iâbrà eepte et excepttcmneUèhiéçt-fiïeîlaé'concès-État civil du 19 au 28 août 1311. ' ' Enool'Éràuiôé ‘{tu-prospeesa» sui- Pamaptia , • Namances. -t- '21. Cabaret Maurice, avenue eion-à 300francs. Ë ü tt ’e p ÿ fc î ’sS,- Bae dI&glâea, .P a r i s 3 ” Demaçde Crinon, a b a t t r e des arbres A n chem in de fe r du Nord. ■— A la t suite’ de' mutation opérée dans-le person-r nel, M, 'Amhroise„,puvrieç ,ap dépdt, an-r cien tnécànicién, est l'nqmmë surveillant ' au charbon au dépôt dé La Plai'ne. M. Bachelier, mécanicien au dépôt de Crépy, fiasse au dépôt de Boulogne. M. GraSi chauffeur également au dépôt de Crépy, est nômiïié maître chauffeilr au; mêmedçpôt, _ ■■•' ’• Passage de troupes swpprîJné. — En^ raison dé la suppression des grandes ma nœuvres, le 2“ régim ent-de hussards qui déjà devait passer-le 18 eourant; ne’can tonnera pas en notre ville le 28 septembre. Téléphones. — MM. les abonnés du Téléphone seront certainement très heu reux d’apprendre qiié lé Conseil général a voté les crédits nécessaires à la création de deux nouvelles lignes téléphoniques : Crépy-en-Valois-Parîs (2® ligné) ;’ ’C répyen-'Valols-Orrouy-Comp’iègne (2® ligne). Depuis longtemps lés lignés uniques n’arrivaient plus à satisfaire le public et c’est pour remédier à l’attente parfois très longue que le Conseil général a dé cidé de faire les avances nécessaires pour doubler ces lignes. La Colombe du Valois. — Le 6 août dernier avait lieu sur Châteaudun le 2® Concours jeunes pigeons, bague 1941 P asteur.; 22;. -Bombàrd Jeattne-Mareelle-, à (472 k. 600). Voici quels -ont été les vain Bouillant. queurs; .£ubtic(MiBn de mariage. — Entre Agnéray 4. M. Sànce Léon- constatant à 7 h. 45’ 38” 2. M. Maürel. . . . . — 7 h. 47’ 49” 3 . M. G é ra rd ,..., — 8 h. 3’ 27” 4 . ta. MSurel — 8 h. 3’ 53" M. l ^ u r e l ...,. ^ 8 1,. 3’ 537 Le Concours du dimanche suivant (Derby- 4944, sur Blois, 246 k. 900) â donné iesrésultats suisants-. ïAtasse propÈB^à chaqtie pigebri :■Lés 3pfemîers. prix à * . Geoffroy,, ses trois.'pigebnS ayant c ^ e r f 224 m. ,8 à la minute. 4'i M. Nicolas, parcours à la minute 792 m. 9 . 791 m. 6 3. Jÿ.!luéhen. . îudeaux ' — 746 tn. 8' 6. 7. “ •uéfaen. lorel«.. ; — ° ^ . 746 m. 2 722 m. 3î .712.m.^ 10. Le ^m anche 20 août « La Colombe du ValoisJ> a donnè-son dernier-’eoneours 1911r'(<35’ fc'-”990', Tsar »ehartres)- e t e lle s’est mesurée dimanche dernier en un Con-oours sur Blois avec quelques sociétés de la;»SéÛéralion,iOolombophile - de l’Oise ». Noi^ donnerons le s -résultats en - un prooliîfiB'’BBméro.<, -i, .' .-'-î ; ÿéràiU ém éhf. — ’Samedi dernier le train se dïfigéant siir Crépy devant partir de ï*afis ï 7 ‘Beurés 'në quittait Ja gare du iNord ipestive d’une aiguille ayant occasionné le léTtBilëment de A'-wSgons -de 3® classe.; Port heureusement aucun des voyageurs ne fotlblësSé et cet ..acôldeht n ’eût d autre •r,é.dihat que de f to e peqt'ef .,les voyageurs , :qûi devaient préndre. cë-convoi ainsi due le s parents e t'a m a ,qBit.>pou.raiBnL les attendre-en gare deLrépy. t’ÿ ’^^jaétë'Æ horticuétÿré,' — SouS là pré'SMende de M. P'eütrpf^idéûl de.la ’soeiété : d’horticulture du canton de Crépy, s’est réunie à l’école d.qs garçons le dimanche 43aQùt. ■Présents : MM. Petit Lejay-Desbœufs, Düciio, membres du bürébu Mme Rofl'y ; MM.ÎLoizeau, & n,''L'evhésèur, Triqtiet, Lelong,’'O erân^tealfàÉ :“B â lle f (e m5ussaint.- deT av eau e des Moulins; •Lë-'eonsèiFàuloDépôt chez M. GAUTIERrplace de la rise M. 'Crinon, s’i l Accepte d n ’;i’*®®der Halle. Henri employé de chemin de fer à Crêpy et Mlle d’un an l’ab attage dès arbres e t m oyen Marie-Azenia Gaffet, ouvrière en tule à Calais. nant 460 francs p’tmr l’aim ée 4 9 4 2 . '• Entre Sancereau Georges, chauBeur d’auto 4” Service des eadk. Le Maire donne mobile .à,Xli£h)[,elÿlllq^4 ngèle;-Millet, chap’e - connaissance d u râp p èrt de M. l’IngénieUr ^ v ls ’’®re àCrlpy,',',’' : . . ’ ”. .J , Ehffè Exertièr Jules, cocher-livreur à,(3ichy chargé du service l e s eaU x;-le-dossier et Mlle Launé Clémence, chapelière?â'Cr^y.' é ta n t votam ineux, il uamunde au Conseil La gêne respiratoire, l’oppression l’esTranscription d’acte de décès. — Coltart de reporter* sa dém smh 4 la ffh -OT%i(H6' souffleméïit, la toux opiniâtre qui persis Zoé, 74 ans, (décédée à Clermont le 24 août): . de septem bre.-JA ut êo'ntribùâble”po'u'fra tent après une bronchite Ou-une pleurésie prendre' conuaissàncê *tin''46S ^rs’'4®la diéparàïssebt rapidement en employant la N an te a lt> i)é .iia u d o iiin . 'm airie. ’ -■ 1 . ’- =- poudre Louis Legras, ce remède incompa^ Legs P radier. Les bénéficiaires q u La distribüiîqn des p rix. — Le Conseil rtSile qui a obtenu la plus haute récommünicipkîÀjiant’ tiècifléj 'dans sà.sessioii legs P radier en 4944 m n t: è(me R'eghault, iBhSe à l’Expbéition DniverseUede ISOO. dè’mai'dérirmrjqeremplàce’mënjdéi'eicîitr- née Javigrfy Charlotte, èt 'M me D'elyal, je soulagement 'est instantané, les com ■*’ ■ ■' **'' * -'' ■'’t sion anhUêlje htdiitùeljé par des livrets, née Hàvy-Marie. plications sont évitées et la guérison défi -.■ £6® Fosséf'du-chamg Dolent. Vu la péti les l i s francs alloués à-réeole des'^arÇôfis ■ nitive survient ràjiféèment. Bi4e®bbtt6''est ont été partagés, soit à cause, de " ife - t o - tion* des hatn ten ts e t d es propriétairesirL éîrèédié'e cèûtre'manffât'de'2 fit-J0«lressé vail,'soit à eaasb de*leûr'-iiBsidurtr,*eTOë’ v é f a m t^'cê-’fdsBé, eih*'ee qui concerne la à'fio'üîS'Lègras, Bd Magenta, 439, à Paris. cijmmune de Verberié, la commission des lés 35 élèyps suivants': -’- * ■ • i®' classe, 4'®division. — Abraham Maurice, ch’êmiriS'ét^ô'Ssés* **■ réuuiratôBWSsam®£e O éhris if ‘ib’ èn ï'p d û f eitèàPlHer We bien fomdé'-’de-l»’ Bêdo ■Robert, 'Oatim'’«éfile;' ®Wboat Rogèf, Flacon René;-Frqgtentin André, Li'éhàtBiAl- ffeiBàMél Ired, Poulain Rfiné, Pugnant René. ' : ' *' X'ff*’’I^ |s t4 û o e m éÿçale gratuite. 6 addiElèye_s.du oèrtiflçat. — prûlé Lucien,'Fiisé-’ Iier'8'Sfcet,PoffeIGeoréOT,'*VàiUant Fernand. 2®dlvSWni'm.ïfâtt^û'taii'fB^.'CerbBticiMi, ’ Dnpo'ntEdiàona,'’’Bém'in’ GN^Stcr, Jae6b"6a»^, ton, Legrand Pierréj'MalBt Làèi'én, Pilàrdeaa EugèifB,'fiamart ‘Lneien ; VeHaVictoriu»-, i: >: 2®classe; Armand Marins', Lavasier René; Rousseau Fernand, Belatme Georges,'Carrier OJaU.. /ffAiVnrwAA Bapriffieriê AdministratiTeèMloinmercials 9 -1 1 . pla&'.dd lÿ ô te î ^ 'y i ll e , 8 e n !^ .- — t .k—fj—m l l ’faiîï âjoiàerqiTpïus 4 “ Duger Julien (livret deso fr.,-prix d’arithmé tique, fondation Lejeune, admis au certiBcat d’études). .......... Demané -Emile (livret de 40 frf,'offért'p'àlr M. Lantéin). M L’û)6titat.eiip tiçnt à remercier, au nom des élèves,; M,,.:ia Maire de Manteuil et le Conseil municipaU M.-Lantein nt-en gatr ticuliér M. Rammlr, potif*le»;volames superbèé' ^ '1 1 à“''offérf«'aU!*l*’8iélèves ayant obtenu lëUr’éertifiêà’F (Té’tiiflés .primaires. cir poiiTé#*t^ M eallty=«iinT B ëlle. ALeeàiB«TVBiHBre Incendiei -r^fîBn incendie qui parait avoir prjs naissance à des befbes sèwifesr du tâlüÿ’du'(^ëiffih -aU;^pièssjèr, a détruit /v ’ ■ r 'il- '..-'tri îIV. -... -Gharles-Julien Dufrène, M®Robert, notaire à Baron, le vingtA Mpnsienr le Procuretcr de la .SoisçtBercinii francs saixante-anq A a a M i e é s J itia ie ia d r e s .^ berger àC r^y*; ■ six août-miliféurûmn^uze. Madame 'Bépiüiliqne près le 'TribuDal civil de <cenltinérjde prix principal. ^ 1. Elvire-Honorine LDSURIER, négéSenlis; . V. ’—’îulîëii^Dufrène, à Crépy; sidexploitstts-visétcootenait déco Étade ie H >'L*ibs e S C A |fY , canteetaBSduptbneuvdeusçouheriè,” ration à.lÜ H l^ n r le Proeorenéde ■yi. — Commirnauté Gervais-Frant De Fexpédition d’un actie fait au laBépabliqoe que la notUcation- Iqé aybùS à Seiriis, ôis-JbSè'iiB {Uffli è t Madame a a - démeurant àBoresf, veuvè’de-MonGreffé’ dit Tribaiial civil ce Seiilis, le ree dé Vilfevert. si’ear Augnadê-PTOspèr^îRAVON/- a tSse'Dflfdhrtiûy^S'VaiïiBoise ; ' était faiip.ejt itoitfarmité de l’arUéle IffitAièioÛt mil.-neuf, w ot onze, 2194 du (Jode ciml pour qu’il eût* à lai'.'- -"(hiaMBdnSnté (Tentre Pier cédé à Monsieur''Slogu8di.*Ed(Nitrd;' ÎKMata'nt au dit Greffé ■■ ’ " ipqMptkqM,.(ÇhyiÀ- re Alexan*te'Petit et Madame Adé RAYON, débitant de vins et ouvrier dé iiézpédition 3e' maçon, demeurant à. Borest, le laïde Gado),.^ÇoopVTay. là- é é]^.. eol^ontiée, -enregistré : ài â ’ é i i t r ê p r e n e a r de^ è K ' # .-(ÿ b x .p m et Vni. -ii-'câihmphàiité d’entre Louis» fond» Ssolia, le trente août |mil neuf ceint m a ç o im e rlë ' exploité à Borett,; ,ëB,faice daBs.èe ,plai 7acharie p o n o n et Madame Adélaïde- rtte'^'.F*ur, août onze; •* moyennant unvprix et i,éem4aàéruénie|y&' ;Àgi®*^l^f,’h'Bd|gny.' sotts des conditions exprimées audit passé devant M® Diet,' iàs 'dë tdutes’Sîpbr' — --------- - T fc ta tla Ÿèqaête i(oiaira à'Ciépy-en-’VaJbis, le douze ■ ■':■' '■ a ^ ü g 'L ÿ fé ’tteJto ;^l'i^é,hi'ûs^cèi^'du chef desquels contrat. * i-L<|ii|a*etoHrt, jâih’raiil^ neuf cent onze, contenant mens B e u rr a it é)re''pris inscription pour ipriStairés 'connustffjië L’e'ntrée en jouissance a été .ffifée cause d’hypothèques légales n’étant ■’emÿiaüleiAnae-D&itéc ^Sff?8inns'*dè*IïcqTOfenr; ladite par effet rétroactif àu vingt'àoufmil. ittiire msdeure, rentièrê,® la toS| notiflcaMil.seilsi(;plwée conformé neuf cent-onze. it % Paris, actuellémeiit. I. — CohuBunauté d’entre Gustaÿe ment à ravis-du Conseil d’Etat du nie (^.Ghanraé-B^sées, n° 7t,' Domicile est élu pour les opposi;. Pqnillj^ ejUdada^ âmilh!». ■è»-qtfjffite, de trente-f tions à Baron, éu l'Etude de H® Rbf itdn'nevlwO’iii;,^, JtanOy Fow. insertion ®- r . .•'i ’” aieâi ;^ntiarea tlV i,».,-,, beti,:0 0 tai«.,--f! : .-■>-?«-> e t ,tteîité«vnq ’aréss , ,(LgW&.!s?ÇAtY® Là présente inSëttion sera reièu" •gib i ^ i é î d ^ è s boni-agej vêléé dàiri lé éçéséut journal, fetiille ■ „ „ e t ^ , fiea dit, " ■* léGeife-tniea daVan- juditaürement séparée déW ns” de Étude de M® R O B E R T , notaire du di'X'Sèptéinoré mil neU'I'cént'onze, et de cette date partira le délai de G hyrlea^Lonis Hérieourt. à V aumoitqnam d’an.çdt é t MatSame — b-Bersii-fOise). ■ . tas''j5ûrê'~îE5paTrKi^T^^^^^^ ise: »Qf oppositiqa»ek t^ su tM iM triiaiité d’entre LouisPBEMiÈBE nraiRnoH idÜIF'ffectlim B, auméro Ainiable Chapelle etaïadamélsmérieJ. ROBERT. 784 lyennant outre tes «barges 1Adélaïde Lefort, époux, h VauAux termes d’un eonlnt reçu pur Mat «MM q is ceMt :iB«»ei tS vff B"9 ff”9 ^.4 6“4 7“3 *:7*d! ffS . ’s " # des récoltes en tas et sur pied situées sur réTSWdtOHt’dg'CWtr'cemmane e t apporte- '12fr. i ' aSG; ». *' - i - - k ’J ü jjg w r iîf P (FOKDÉ EN 1863) 'm erce, ..dans ..les dix jo u rs'd e la 1présente publication. , 'DAPOIGNÏ et NAÜDIN. * '’ ' . OffîcB .Jjénéral. de rÉjiiceriB lœnziEME 1NSERT10 .N • -*”4 4. Çe^sfôiik dié’ F o n d s . B : .,A»ï ..B. Etude lie *1' G ll.l.E T ,’rotaire à Vraoénnes'(Seinc). D E D X i^ INSBR'nON - .4ux termes d ’ii» contrat rccit par M®Gillet, notaire à Tmcennes (Seine)^ le '.vingt-cinq juillet, Uiii.'i.i'iD tu ■ onze, Monsieur.-AdonîS-^FnUHNffiR, entrepreneur de ssnurerie, et Ma dame Rosalie 'BASS, '-soù épouse, demeurant à- Etmenonvaia»'' ont donné et:conatitsé®en dot à Monsieur Maurice-Angnstin FOÜRNIER, leur fi1at-le f o n d s , d e .. e o p a m e n e Par actes soûs Séings privés en date du seize août mit neuf cent bnzéj'Mmséftar issOJftB4a«é*<’i80üRiP ai^s, rniè*I*e<’iïte4loi'8, 4‘iiris, BHT;PLATAOT-OiH «Mé A> Monsieur, et Mailume LEGRANB-èfflUNlBfi, de M’et»teiBpr e n eair,..dé;>rtoriBée'Grépy»>eii»ValfHS.v»-JieT:.4'<oads.-.dé, r t e 'Oiqilotté .Â,ErménbdvHlê,'pour DEÇX'lî^. f b o a e h e rJe -.e h a re a te E ie qu’Ss .«d'avoir la. jôûissaace du joûr du explOitèlttè-Angèri-SaiBt-Vin'oent, ràè matiagé qui aèté qéiébré à la Mairie ■' '. --‘A’ , Suivant.acte s. jt., pJ .es date dp R ^ e t , jmoyepoant un prix et dé de V Incenne^loj^jluU et'1941.. q'mnzé -àçûl mil nmit Catonzé, IBoek élimifiend épééi&éé-dqxcBts la c té e - Les,opp9siminè dmdjint être faites sieur IbtèFcÀRItÉâ' VmSif â Hôà- La présente, insertion renouvellé au plus ..tahi'dtmb les.dixjours de sieur Paul YGOUF, dëmeuihnï'SB, celle paÀié’îdV iïft présent journal, la présenta insebdon et s e r ^ t reçues numécordir'aBtaQûl'itélif .e b ^ s t |è au siège du fonds dé. oohwèrce, h ■ - »•- • d’é u i e e r i e auquel est attachée la partir d’aujourd’hui que courront lès Ermenonville. 'géraien d'un défait-de.-48b»<v-eis-A. délais li’pppositino-préyus,par J ’afr. Ct^eJnserfion est fajta en renonv«lêDient de ôelTë'p irne'da'ùs le loi du 47 mars 4909. Senlis, 49, rue Rougemaille et rue Bellon, ét cédé son droit au balL ' ®' n-'td^'MI. ?€t0B<IE0I5, lO - -SaocêssenTs « .. ^ . do'A, k. l| ,iAJ niT t. Les oppositions seront reçues chez ! agent d’affaires, 4, rue des Fossés;>à Monsieur YGOUF, au fonds de eom- Grépy-emyalois. 743 n* Fonr 2* îbsuüoBmGILLET. u s G U U H K m t D fi S ’adresser pour tous renseigne Étude de M” BEAUCHAM PS, notaire à Pont-Sainte-Maxence Stades de SI» G e o r g e s SIORA^'O ments (Dise). licencié en dçoit, avoué à Senlis, 10, rue Saint-Hilaire, 1» A M» L o u is ESC A V Y , avoué successeur de )4»'LCTieua, poursuivant à Senlis, 7, rue de Vilet de Kl» BSIAUCBASIPS, notaire tevert; à ronl-Sainte-Maitence. 2» A M» L oir, avoué à Senlis, rue le D im a n c h e 3 S e p te m b r e 1911, à d e u x h e u r e s de la Bêpublique ; 3» Et à U* B a n d o n , notaire au V E N T E B É N É F IC IA IR E en l’Étude e t par le m inistère de ffi* BEAUCHAMPS Plessis-Beiievillej rédacteur et dépo DE sitaire du cahier des charges. I — L a N u e -P r o p r ié té A Vendre par Adjüdication DE U N E M AISON sise à P o n t-S a in te -illa x e iic e » Avenue de Senlls, n®* 34 et 36, Vlliltfl (( M Chaumière )) Etude de M» BALÉZEAUX, notaire à Chantilly. A à le Dim anche 10 Septembre 1911 à une heure de relevée, Circonstances e t D épendances; A BLAINCOURT-LES-PRÉCY en la salle de la Mairie, P r é , T e r r e , B o is & F r ic h e et par le ministère de M* Baiézeaux, notaire à Chantilly, sises terroir de P o n tp o in t, C H A N T I L L Y , p ro p r ié té Étude de H» DESABIE, notaire à Greil. Étude de M» DHERBE, huissier â Pont-Sainte-Haxenee.1 A louer M aison b o o r g e o is e , â Senlis, rue de Nanteuil, numéro 2. A vendre ou à louer, b e lle P r o — S’adresser à M'Petit, notaire. p r ié t é B o u r g e o is e avec, g ^ d Jardin, située, a CreU, rué d u ^ ré r Saint-Médard, n» 22, à proximHd de MÊME ETUDE l'Oise. — S'adresser à M'Desabie, notaire. A céder. E x p lo ita tio n A g r i c o le d e 5 5 h e c t a r e s , près Sen- Etndt (la H* Jouis KOBEKY, aotaiia lis. — S’adresser a M* Petit, notaire. a Baïoa (CMm ). V A vendre à l’amiable, u n e Mai s o n avec Jardin, sise à Baint-An. toine. — S’adresser à M» Robert, notaire. A louer, 8 M a iso n s n e u v e s , KIMB tT D D I sises au Poteau, commune de Cha înant, et pouvant convenir à toute destination. —. S’adresser à M» DeA ttir a il d e C u ltu re, Chevaux, launay, notaire. Voitures, Tombereaux, Machine à Battre à Moteur, Moissonneuses et Inctruments Aratoires, à vendre par MÊME ÉTUDE adjudication volontaire, par suite de cessation de culture, eh la ferme de A louer pour entrer en jouissance 1 M. Petit, agricuiteur à Siily-le-Long, de suite, 1» u n e g r a n d e M a iso n le Dimanche ' 17 Septembre 1911, à B o u r g e o is e avec Jardin, 2° u n une heure de relevée très précise. L a v o ir sur la Nonette, le tout sis par ie ministère de M» Robert, notaire à Senlis, rue de Saint-Etienne, n» 2 ., â Baron. — S’adresser à M» Deiaunay, notaire. I Le Dimanche 24 Septembre 1911, [k deux heures de reievée. Adjudi cation volontaire, k Siily-la-L’tog, I en ia salie de ia Mairie, par ie ministaSisB 11ère dudit M» Robert, d’u n C o rp s A louer, u n e g r a n d e M a i s o n ! ^ ®ffb’"te-Long, en • ' la Grande Rue. n e u v e , -8 pièces, avec cour, remise, ' écurie et dé dépendances, au Poteau, MÊME ÉTUDE commune de Cbamant (1 kilomètre de la Gare de Senlis. — S’adresser a M* Deiaunay, notaire. A vendre àl’unlsblo, divereee PUeet de Terre, F r i et Bois, fisef tsrroin de Bwon et Moulognon. — S’tdnnar 1 U* Kobert, aotùre à Baioa. MÊME ÉTUDE lieu d it le B ois S a in t-D en is L a d it e MÊME ÉTUDE Etude de M» DEUUNAT, notaire à Senhs. T rè s belle P ropriété V E N D R E par adjudication U lS fi e n tre p a re e t ja rd in . 9 Pièces de Jardin DElUIi^ET OiïREs r-jn-. A vendre à l’amiable, en bloc ou jr* On deihande des on vrleia en détail, u n e M aison, à usage t e r r a s s ie r s e t m in e u r s c£r commercial, bien située à Verberie, SOLARI, .â Hagftnta arsm gle des roules de Compiègne M7 et Gilocourt, avec grand jardin, et 3 M a is o n s. d e R a p p o rt, contîOn demande un appreeui guÈs a la propriété cfdessùs, — monitie bonnes références, présenté S’adresser à M» Dberbe, huissier. par ses parents. . S’adr. au Bureau du Journal. MÊME ÉTUDE _ On demandé pour travailler dans la fabrication des bois d’aéro Terroir de Verneuii. — 6 h e c planes, u n b o n o u v r ie r m enui t a r e s d e b e lle R é c o lt e e n s ie r . b e t te r a v e s ,à vendre aux enchères S’adresser à M. BARBIER, carroa. 44, publiques, ie Dimanche 3 Septembre sier, Oiantilly. 1911, à sept heures et demie lïu On formera quelques ap matin, par le ministère de M* Dberbe, huissier. — Réunion pour le départ, p r e n tis m é c a n ic ie n s présentés sur la place de Verneuil, à 7 h. 1/2 ar parents, à l’Aérodrome de la ’idamée, entre 4 et 6 heures. 44, précises. DÉSIG NATIO N A p p r e n ti é f j e i e r est Sous-sol comprenant calorifère, trois caves et caveau pour vins fins. demandé:de suite chez M. HUTII» à MÊME ÉTUDE Rez-de-chaussée, comprenant vestibule, cuisine, office, grande salle à Crépy-en-Valois. , 555 manger, petite salie à manger, salon, salle de billard, water-closets. d'une contenance totaie de.l hectare; A vendre à l’amiahle. M aison S Premier étage, comprenant salie de bains avec appareil à douches, 441 M. MOREL, carrossier à usage de commerce, bien située au 3 0 ares 4 0 centiares. Senlis, demande de suite o n bon trois chambres à coucher et deux cabinets de toilette, water-closets. à u sa g e d e com m erce centre petite viiie de i’Oise bien o u v r ie r c h a r r o n . —Place stable. Deuxième élage, comprenant quatre chambres et un grand cabinet de L a T o u te -P r o p r ié lé d e m'* b o u ch er, fréquentée, une heure de Paris. — I l, toilette. 665 S’adresser audit M* Dberbe. .sise a BLAINCOURT, DE Grenier au-dessus. On demande u n g a rço n ET Communs comprenant écurie avec deux boxes, remise pour trois voi e h a r e o t ie r et u n a p p r e n ti, MÊME ÉTUDE tures, sellerie, buanderie, garage pour automobile avec fosse. Slàdr. au Bureau du journal. 383 Bâtiment à usage d’orangerie, chenil. sise à l»on t-S ain te-M axen ce, B o n C a fé , B u v e tte , R e s ta u Au-dessus, deux chambres de domestiques et grenier à fourrages. On demande d e u x hom rue Cliaries-Lescot, n» 6 , sises aux terroirs r a n t, avec salle de bal, bien situé m e s à tout faire sachant conduire. Cour avec parc et jardin d’agrément. j.. B la in c o n r t et P récy-su r-O lse. au centre joli bourg, très belle inf S’adr. au Bureau du Journal. 7oi EN ONZE LOTS Le tout d’une contenance d’environ 3.000 mètres superficiels. lation, à céder de suite. — S’adr. à M » Dberbe. Requête de veuve ROBQUIN. L’adjudication aura lieu ie DIMAN 8 8 “ Ou demande u n m é n a g e « T o u is B E iix o e iix iix ié c L ia .te . CHE 3 SEPTEMBRE 1 9 1 1 , dans une ferme des environs de savoir : pour les deux maisons, à Pour tous renseignements, s’a Senlis, l’homme pour jardin, chevaux MÊME ÉTUDE trois heures de relevée, en dresser à .M* B a ié z e a u x , notaire et voitures, la femme pour cuisine Pour tous renseignements, s’adresser à .M» BEAUCHAMPS, notaire l’Étude de M» BEAUCHAMPS, no à Chantilly. 775 à Pont-Sainte-Maxence, dépositaire du cahier des charges, et pour traiter; A céder, après situation, bon et basse-cour. — Bonnes références exigées. taire à Pont-Saime-Maxence ; et F ond s d e Cozfifeur, avec belle et à 51M. BRU NSCHW iG f r è r e s , 139, boulevard Magenta, Paris. A vendre à l’amiable, 1 h e c t a r e pour tous tes autres immeubles, à de M» RICHARD, notaire S adr. au Bureau du Journal. 718 nombreuse clientèle,_ dans, ville 759 4 t a r e s d e B o ls , terroir de Baron A L O tJ B R quatre heures de relevée, en la â Pont-Sainte-Maxence. agréable de l’Oise. Maison ancienne S’adresser à M* Deiaunay, notaire. Mairie de Pontpoint, par le minis On demande u n -je u n e et sérieuse. — S'adr. à M* Dberbe. tère du dit M» BEAUCHAMPS, no h o m m e à toutes mains, sachant POUR CAUSE DE SA N T É B 7 a r e s 4 5 e e n t la r e s d e taire, commis à cet eftet. très bien soigner un cheval. " T e r r e , plantés de pommiers, terri MÊME ÉTUDE S’adr. auBureau du Jourijal. 733 A v e x b r e toire de Pont-Sainte-Maxence, Ueu MÊME ÉTUDE S ’adresser pour les renseigne dit le Mesnil Châtelain, én deux ■ IB “ Maison de conffnerce de B O Ïff A louer par adjudication, le Mardi pièces séparées par un chemin.établl ments : s i s e A P r é c y -su r -O ls e grains et fourrages, demande un A g e n c e de Location :j B o n T a b a c , B u v e tte , Epb5 Septembre 1911, à deux heures de par la Société des Produits Céra(rive gauche de l’Oise), A M» G e o r g e s MORAND e o m p tà b le m arié,^connaissant reièvée, à Sentis, eh d’Etude et par miimes, i vendre à l’amiable. — c e r ie , bien situé, endroit fréquenté, bien avoué à Seuils, poursuivant la vente 1-applieation des tS ifs de che G . B E A n C O liR T t la ministère de M» Deiaunay, notaire, S'adr. â M* Richard, notaire à Pont à céder dans de bonnes conditions. min de 1er de grande et petite vitesse. Et à M’ B e a u c h a m p s, notaire 1 2 0 H ectares de Terre' , P r i x 'm o d é r é . O h e c ta r e s 3 8 a r e s 51 cen Maison ancienne. — S’adresser à Très bonnes reférences exigées. 0 , r u e d é G o o y ien x , à Pont-Sainte-Maxence, rédacteur et M» Dberbe. et Pré S’adresser à M»“ veuve LEMAIRE tia r e à d e fflarais. e t C resso n z Siadr, au Bnrean du Jouraal. 752 MÊME ÉTUDE dépositaire du cahier des chargés. Vente et Achat blanchisseuse, rue des Cordetiers. n iè r e . Sis terroirs dè Senlis et de dans un rayon de 1.200 m. à 200 n Cbamant, appelés les « Marais du ne rSenlis. La Maison JOBERT, pâtis de la gare, HÉME ÉTÙDB Poteau ». M aison avec Jardin et 8 P iè c e s serie; 12', ruèidé l’Apport-au-Pain, à et en bordure de la rivière d’Oise. F * F l O I » R I l é X É : d e-T e r r e , sis territoire de Pont Senjis, -demande u n a p p ren ti Études de M» G e o r g e s MORAND, Terrains à* Bâtir ■ point..d vendre par adjudication, par A vendre à l’amiable, par suite de p âtisn fer. présenté par ses pa licencié en droit, i MM. L E V A S S E D R , F L A - Étude de H' GAZEÏÙ,'hétaïre à Senlis adjudication, par suite de décès, en décès. J o l i e P r o p r ié té avec beUé renté. =. : Entrée en jouissance : 775 avoué à Seuils, iO, rue Saint-Hilaire, Novembre 1911 pour les jachères. rue aux Flageards S p é c ia lit é d e L o c a tio n >M ANT,JO DART, COMPIÈGNE it pi Maison Bourgeoise et Dépendances j successeur de M» Levieux, (successeur de M* FxbtI). On demande u n e jeu n e "e t YON r é s e r v e n t l a c h a s s e pour mond Richard, notaire- à: Pont, le — S a(Jresser à M» Dberbe, huissier. Novembre 1912 pour lé surplus. et de H» M ézière, notaire a Betz. flilfe de 18 à 20 ans, sachant- bien Dimanche 3 Septembre 1911, à deux C h âteau x, V illa s , M aisons, ’ le u r s r é ë o l t e s s u r l e s t e r r e s A vendre à l’amiabie, par suite de faire la cuisine, ayant déjà servi en S'adresser à ; I qu’U s c u lt iv e n t s u r l e te r r o ir départ de Paria,JU aison.deR ap- heures de relevée. ' A p partem en ts,\ MÊME ÉTUDE maison bourgeoise, inunie de bonnes Meublés et non meublés, ! d e V U lev er t e t s u r A u m o n t, p o rt, à Paris, passage Pénel, n* 12 V e n ig s u r S ie iia iio q M» G aloy, notaire à Précy ; références. MÊME ÉTUDE • 766 (18* arrondissement). — S’adresser S’adr. au Bureau du Journal. 755 H, A n d r é , géomètre à Senlis. 295 Saison d’Été et Chasses à Courre. i A vendre à i’amiable, dans viUe DE * à M* Gazeau, notaire. P e tit e M aison b o u r g e o is e , industriâllô de l’Oise^ g^w oids Oâpsnoe de P ropriétés. i On demande u n v a let e t 3 fa g a sln s, propres IRscattes de j Loyers. sise à Pont-Sainte-Maxence (Oise), HÉMC ÉTID» à 1 industrie ou au commerce, avec d e c h a m b r e d’une vingtaine d’anrue Charles-Lescot, à vendre par pour cause de-maladie, néés; muni de bonnes références. contigûes adjudication volontaire, eh l’Etude écuries, remises et grand terrain. — 'V ente e t A c h a t S’adr. au Bureau du Journal. 762 A vendre à l’amiabie, u n e Mai et par le ministère de M» Edmond S adresser à M® Dlierbe, huissier. BONNE O bjectif Suter, DE S IS E S A A N T IL L Y s o n à usage de commerce, sise è Richilard, ■ notaire à Pont-Sainte-Ma D é t e c t iv e a 8 0 p la q u e s , F on dst d e tC o m m e r e e On demande u n h om m e Sentis, rue du Châtel, n» 16. -r xence, ie Dimanche 3 Septembre au centre du pays, ; THÉS BON ÉTAT en tous genres. (charretier et travail d'intérieur) au S’adresser à M* Gazéau. notaire. ÉTÜDS 1911, à deux heures de reievée. sur le bord de la ,route conduisant Mouliu de la Porte de Meaux à a y a n t c o û té 8 0 0 tr . à Crouy-sur-Ourcq, a v e c C h tu u b res, Senlis. 754 P rêts Hypothéoaires. A V B N O F IS : MÉilS -tTUPI B e lle jlIalsDn Bnnrgeotae» MÊME ÉTUDE dans bourg fréquenté par touristes — Achat de Nues-Tropriétis et Usufniit. On demande u n co m m is avec COUR, g ra n d TERRAIN aux bords de l’Oise et de la forêt de m o it ié p r ix . de construction moderne, avec écu RKNTIS VIAGÈRES A vendre à l’amiable, u n e Mai rie et remise et grand jardin,* bien pour le service et u n so m m elier S’adr. au Bureau du Journal. Compiègne. Conviendrait à ménage, JARDIN ■•Lizca STM Jardin at S à l’Epicerie Félix POTIN, à Semi-. s o n , située à La Chapelle-ensituée dans genliile i résidence de le mari ayant profession au dehorsi A SSU R A N C E S ào Tare-o oc Be;’n, àc eommtmc cl Serval, route naticinaie de'Paris, -a tsrzoir 767 da Eatwrotl, d vendre i l’a- i Oise, à vendre à Tamiabie. —i S’adr, C irconstances e t U é p e n d a n c a , S E P R E SSE R Accidents. - Incendie. ■ Vie. S’adresser à M* Gàzeau, notaire. 'uüàbla. — S’adraaaav à M* Kishard, à M* Bherbe, huissier. PLUSIEURS ANNÉES On demande u n m énage» S’adr. au Bureau du Journal. Utâtla760 e n u n s e u l L o t, mari tomme à tout faire mais connais DES sant bien service valet de chamb*-î, MÊME Énn)E L’adjudication attta lieu ie DIMAN ÉTUDE femme bonne à tout faire faisaat A V E IV D R E A louer M aison à usage de bien cuisine. — Six mois (mmpagne, CHE 3 SEPTEMBRE 1 0 1 1 commerce, â Senlis, rue du Châtel, M aison b o u r g e o is e avec grand six mois Paris. Plusieure B ou oL orL es- C h er-1 à aeux heures ae'releoee, en-la A vendre à l’amiable, près Pontn» 16. — S’adresser à M» Gazeau, jardin, qituée aux Ageux, sur la 1903, 190-i, 1905, 1906, e u t e r ie s à la campagne, avec; Sainte - Maxence , M aison avec- S’adr. au Bureau du Jouraal. 771 mairie d’Antiiiy, par ie ministère notaire à SenliS. route nationale de Paris à Lille, à conditiens avantageuses. ^ 1907, 1908, 1909. grange, écurie, étabie, re de M» Mézière, notaire à Betz, à capucine, 8 places, bon état, vendre par adjudication volontaire jardin, On demande u n m é n a g e etc. — Prix modéré. — S’adr. A u b e r g e très fréquentée, avec J S’adr. au Bureau du Journal. léger, à un ou deux chevaux. en l’Etude et parle ministère de M' mise, commis à cet effet. sachant traire les vaches, l’homme à M » Dberbe, huissier. MÊME ÉTUDE bal, dans pays industriel. Affaire à ; -Edmond Riehard, notaire k . Pontvacher, la femme pour tenir basseP r ix m o d é r é . céder pour raison de santé, laissant ' Sainte-Maxence, ie Dimanche 3 Sep appointements, logé, S ’adresser pour les renseigne de beaux bénéfices. On traiterait/ A louer ou à vendre. M aison tembre 1911, â deux heures de re -S’adresser à M» MAÜSIN, notaire avec 5.500 fr. chauffé, éclairé. ments : Elan* do H* P8T1Ï, aouuxa ». J ém’da b o u r g e o is e , avec jardin, écurie et levée. . à 'Verberie. 777 MÊME ÉTUDE S’adr. au Bureau du Journal. 773 remise, sise à Senlis, rue dUMoulinPlusieurs B o u la n g e r ie s dans A M» G e o r g e s MORAND; avoué ville et campagne. ^ M a iso n B o u r g e o is e , à Nan- dü-Gue-de-Pont, n» 6 . — S’adressqr à Senlis, poursuivant la vente; Etude de M» THIERSON, notaire ^ 8 “ On demande u n e jeu n e A vendre à l’amiabie, dans joli à M* Gazeau, notaire. A I s o u e f d e s u i t e H ô tel fréquenté, très bien placé, i O e J ? «airie. â Nanteuil-le-Hiudouin. A M» B a u d et, avoué à Sentis, bourg de l’Oise, genliiie M aison flUo de 16 ans environ, sachant On se retire après fortune acquise ? vendre à 1 amiable. — S adresser B o u r g e o is e , avec écurie, remise laver, pour être bonne à tout faire. présent à la vente. ÎMÉVB tirVDB dans le commerce à cédpr. j ■Ii*'l*etit, notaire. S’adr. au Bureau du Journal. 781 A louer ou i vendre k l’amiable, et serre, jardin potager et d’agré Et à M» M ézière, notaire à Betz, u n e B ^ an de M aison, située a ment, petit, bois, joli cours ?eau rédacteur et dépositaire du cahier E b é n is te , matelassier, tapissier,, i ^ m ». ■nimii A vendre â l’amiable, u n e PrcHsur 160 hectares de Terres au centre de bon chef-iieu de can Nanteuil-ié-Haudouin, à usagé de poissonneux, ie tout clos de murs.—' M. MOQüET, agriculteur i des charges. p r ié té , située è Aumont, rue de GraïueteHe, et propre à tout autre S’adresser à M» Dberbe, huissier. Montlévêque, demande n n ch a r et Bois, MÉHE ÉTUDE ton, céderait à conditions avanta l’Eglise, et u n B o ls , situé commune Commerce. r e t ie r m a r ié , 734 geuses. Chiffre d’affaires justifié. à TRÜM ILLY, d’Aumont, lieu dit le Bois du Roi. A vendre par adjudication volon- S’adresser â M» Gézeau, notaire. On traiterait pour somme imporP o r te u r d e p a in maÉtudes de M» G e o r g e s MORAND canton de Crépy-en-Yalois. Etude de M» FERRT, notaire rjDK tante, reprise d’un B u r e a u *d e in ire ,'T errain a b â tir , entièrer ié est demandé de suite. licencié en droit, avoué à Sentis, • â BéthisyTSaint-Pierre., . Les fermiers n’ont aucun droit T a b a cs avec buvette, sans épicerie, jhiéttt hdiséj située à Vineuil-SaintS’adresser à M. BATELLIER, i 10, rue Saint-Hilaire, de chasse. T .— IFi rm i n, route de Cbantilly â.Æenlis, Chantilly. 755 jcoçesseur de M» L evieux, A céder par suite de décès, dans MÊME ÉTUDE Dans ton ^ a g e , B o u la n g e r i^ .i auDerficio de 2.237- -.mètres A vendre k l’amiable, u n e M ai S’adresser pour traiter à Madame E p icer ie , ville de i’Oise, tr è s b o n -Fonds fit de M» BE.ILVCHAMPS, notaire GIBERT, à Borest. 732 et Bureau de àPont-SaîttîA-Waxence. A vendre,' M aison à usage de s o n B o u r g e o is e , sise â Moriehval, d e B o u c h e r ie , bielle emplace (aires annuelles : 45 à 50.000 fr. [ de la Mairie. - S!adr. à M». Petit, commerce. J a r d in & B â tim en ts, sur ia route de Morienval à Piérre- ment, bonne clientèle. Facilités de fonds. — S’adresser à M* Ferry, no paiement. — S’adres. à M» Dberbe. sis à La Chapelle-eurServal. S’adr. è taire. Élude de M» DHERBE, huissier Prix de cession : 15.000 fr. I notaire. V E N T E B É N É F IC IA IR E M» Gazeau, notaire â. Senlis. 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