la corde au côü - Bibliothèque municipale de Senlis
Transcription
la corde au côü - Bibliothèque municipale de Senlis
‘il- il! .,V :o o ’/ iui'l'-. r i l l t i i t i ’A n i è i M i n '. r If . vîj/.fi •" /fa u i ; o ijii.'w iim 1«oc{ cî^âq îüj>- * « iim o i u» ijo iij I - , ijjii r o v n 6ENU8 : ro u R u i D W A n T u iw T i Un ■ 8ji mou. O n « a ........................ Trois mois. . . Six « ^ tji,, ' , . . . .( TnÜiiMb. . . . ,4 M-'u Rm C TB U R BN CBKF E . C O U R T IE R . I. A:noNcEs ; U ligne, W c .- ^ T ^ U B M c r u H lM ^ A. R liniH. I fr R fc u n e i'; U ligne : 40 c. - Ro ftjli d i f » ., w T T LA SÉANCE DU 23 Lofr^nd débat allondu depuis quelques jcuri •tinsUainient rÀ;lainé par l'opinion a eu lieu loSSilécembre. Le conflit survenu entre H. le prd o des sceaux et le 5? bureau, chargé de vé< rifier réleCtion de la Nièvre, au sujet do la cornm.ünicalion du dossier de l'afTiiire du comité bo napartiste dit Comité de comptabilité, s’est terminé par une victoire éclalaiile pour le 5* bureau. La lumière qu'on voulait faire sera Crite. 'Une commission parlementaire sera nom mée, arec misûon d'éclairer le pays sur les ma nœuvres des bonapartistes, et cette commisM0D, investie de pleins pouvoirs, pourra se fairS' reméttre toutes les pièces et entendre toutes les dépositions qu’elle jugera nécessaire de codnatire. Toute la France connaît la question. On' se nppelle qbe, dès que rélsetlon de H. la barou de'Bonrgoing aé té connue, l’opinion publique i'ést émue en apprenant les manœuvres dont d is avait été entourée. Une pièce étrange, appwtés à 1a tribune, dénonça l’existence d’un comité occfitle, résidant à Paris et rayonnant aar tonte'la France, présidant aux élections, distribuant de l’argent, prodiguant les pro menas, dléchani lès foncliennaires par l’appAt d q réM m ^se s ultérieures, intimidant les popeiall'oi» par le spectre de persécutions qui, noua l’espérons, n’auront pas plus leur jour que les promesses. Celte révélation du comité cen tral de l'Appel au peuple fut comme un coup de foudre. Le gouvernement mit en action la jôÜ M ; une enquêté jadiciaire fut prescrite, le premier moment, l’orateur de la faction. H» Bouher, crut devoir payer d'audace. ■ Il n!y a pas de comité, dit-il. Qu’on fasse une enqtléte, on ne trouvera rien, je Taflirme sur lltejineur. • ‘Gnq mois se sont écoulés. L'élection de U. le bfron de Bouigoing n’est pas validée. Quelle rgison denoer d ’un pareil retard 1 On attendait la^finde l’iostruction judiciaire. Soit;on a bien ftit. Mais le juge instructeur a déclaré qu’il n’y avait lieu è poursuivre, et les scrupules de l’Asaemblée, représentée par son 5* bureau, persisteot. Qu’y à-t-il donc? Pourquoi ne pas admet t e H. de Bourgoing? Il n’y a ni crimes ni délits b'ràfver. Soit-encore : ainsi l’a décidé l’autorité jùdiciaiire, et nqus respectons, comme l’Assem blée elle-mèroe, la décision qu’elle a rendue, -lifli, qncorê une fois, qu’y a-t-il? Il y a que les c^^ifùiotts dé l’autorité judiciaire n'ont pas mis fiÿ.aîii doutes, à la perplexité de l’Asèembléc. v^té^ il n’.y a pas de comité de l'Appel au peuplé qui ail commis qpelque délit .passible deipsmcs de.la loi; mais l'élection ô’eu de meure fNMmoins entaêhée dans ses origines; Il y^ 'f^ éin èm en t on comité-centml : o n n ’én «iflréli ÿlus douter mainlenant,'.’et cesoqjles a y f ^ jes pr^ltqun, les manœuvrés nie cê comité altW qt le caractère.de. réièctîoo.de la • ^ T r e .,14 Jum iëre.n’^ t pas faite, l’obscurité persiste ; les doptes ne sont pas levés; il Crut ube'èoqnltOi'cài' il est impossible de se pfonobcw ,ihantde connaître lesrebsei^nements qu’elle. (oiifoir, sur la valicblé ou la nulUUdéi’tij^ioa.de M. de liouigoing. ,.jj- ... parait è la tribune èt commènes‘sà kicture. Sdii rapport, extrêmement ■obra, se borne è exposer en qudques mots les raisons qui rèndeiit une enquête nécessaire. ^ ■ F E Ü IL L K T O N (20) LA CORDE AU CÔÜ '.Hais, quelque bmf qu’il soit,, il vise très-nettejraeni le garde .des seeani. Si la commission prend les conclusions qu'on sait, c’est, en eOèt, que le ministre lui redise des pièces qu’elle juge "*cesMirw; c’est qu’il lui a affirmé déjà une fols n avoir plus entré les mains aucun docu ment qui l’intéresBe, quand le contraire a paru prouvé^ plus tard. On voit en quels termes le débat s’engageait. Avec un cabinet moins accou tumé à se dissimuler chaque fois qu’on lui offre le combat, c'est entre le garde des sceaux et la commission que l’alTairé se serait vidés. H. raüliand parait è la tribune. Silence sur tous les bancs. . ■ « Le gouvernement, vient déclarer le mi nistre, se désintéresse du débat; il n'entend ni contredire le rapport que Vous venezd’entendre, ni y adhérer. » (Oh I ohl sur tous les bancs), « Hais, poursuit le ministre, j ’ai une récla mation personBelle à faire untendre à l’Assem blée : on a beaucoup mélé mon nom et ma per sonnalité è toute cette affaire. Je la présanterai en ré^n d an t à rintœpellation. • Haintcnint qu’il est biaq établi que le mi nistre est la personne du monde la plus étran gère à ce qui se passe, le débat reste entre la commission elles bonapartistes. Le silence de^ vient contagieux. C’est Aqui se taira le plutu H. Buffet s’apprête A mettre aux voix les con clusions du bureau. Ce n’est qu’Ace moment que les horomesde l’appel au peuple se décident ‘ à n’ttre pas battursans combat; ils envoient A la tribiine le moins prononcé d’entre eux : H. Raoul Ouval. Lesquelquesparolesdudéputé de Rouen i n’ont d’autre :importance que d’en gager la lutte et de permettre A U. Ricard de prononcer un discours d’uné importàace ca pitale. III ' Dans un discours savamment ordonné, extrê mement habile, semé de traits spirituels et cui sants Al'adresse des bonapartistes, et s’élevant souvent Al’éloquenoe la plus forte et la plus en traînante, l’honorable député des Deux-Sèvres a porté la question A la hauteur où elle devait être placée. Il a fait ressortir invinciblemeot la né cessité de l’enquête, de façon A la rendre évi dent» pour les espritalei plus oonclulants et les plus irrésolus. Il est écoutédans un silence religieux, qu’in terrompent seuls les applatidisseraents. Une fois maître de son auditoire, il s'anime, il s’échauffe, il presse l'allure de sa parole, il accablé ses ad versaires, sans se départir jaroaiv de la prudence la plus parfaite^ et sans risquer un mol contes table. L’altilut(e de .l’Assemblée est curieuse. A gauche, des bravos éclatants soutiennent l’ora teur : de l'autre côté, pas une protestation, pas un murmuré.—LA, ksodvenaÎKSM touchent : c’cst surtout sur l a b a n » de la drtnte que nous lisQps le succès de H. R ia rd . , : , H. d’Audifffet^jPasquièr.qe diisiroiilé pas sa satisfaction; il hoche 1a tété, il a des sourires approbateurs, il bat des mains. H. RicàM commence par examiner les détails de l’élection qui ii'onf anèqn trait au fameux comité. Il prouve combien ceilè élection est douteuse; combien la majorité est faible; combien les moyens employés pour gagner cette oujorité sont équivoques.. Puis il en vient A l’incident soulevé.psr la circulaire Glrerd; Alors, avec, une âoqtiMce' plus aidf^lè^ U ipontre çts comités tels que noiii les révlieot les raies, piècsa'qui sont ^devenues pnhl|ques{ Ou que H. Tailhand a b'ien voulu laiasér entrevoir Ala commission ; ces comités qui fonctionnent dans 1a même ville, qui servent la même cause, qui ,(^ o ^ e à il eât élé n ü par un ressort, le Rreffier se dresAi, se frappant le front d^un fitrieux c o ^ de poing. -*■ A hl fiohiie tiéta que je suis, s’écriât*-!), je comprends 1m. — Oui, c'est bieii cela, continua la .jeune fille, je viens vous parler de M. de Boiscoran, de mon fiancé, de mon m açü... , Elle s’à'rréta, et'ddirànt plus d'une minfiteM échiM tel elle w tè ie e t face 4 face,' allencieùX'ei. litimobHa, le ,',le u i (U lules, v e e i. lut Se d(!)À;n(Iatit ce^jb'ëUe allait lut proposer^' elle esâiJAdtido deviner ee du'elle noiivail dser. ■ tt V o ( u d e r e r d o p e 'c o t a p r e é d i e q a e !(e c jo n a if d r , c e B e .' d i' accusé du plus lâche des «rJme&l . ^ -^ O h ! otii, je. le ;«om^r«nds,' s'écria le k ln , la porte aVtant ouvértè, irs'enaçà' R m ilIle D b D isè ’iNissit la première. ' H a ls e llh ':....... ^ NîHi;>dlt-èlle; e n tre r.. .' Elle la xuivtt. et, une fois dans là èfle'refèrm à la porte, poussant A M é M ë larjgeitèôü’élle avait aM^ jm tftM R , ^ .n é f lie r ,' était, h ^ u te te r r e , iW W ïff liW # flë p Io m b . H IlO '^'tSiàm ^oK ,' eHe, éUit la timidité nM M c.H uA rien rougissait jusqu'au ^idefneùra t'sabà voix; Pourthat.oe'ii’èlatt pas la jéune fille qui étaïf lAllitdlie, eh ce àkinicnf: — AaMyéxWùus, m'ohèleur Hécbinet, ditelifijetéèoifiei^ktf^. ; - crois H i de-IW sconn inïoéeai: Tel rtÀ -pM ,' M; ItâubliM il, ni de â s (néss|eors 'dU Iribunal, ei de fa ville enlibre, n 'im iôrtet d 'esile mieil. l ’élaW ii, Vovea-volis. quand Ou a t allé prendrdH .;.de BoucOlrÉii a u sau td q i1 lt.'E h WOd l Heu qq’au tliqbfe de sa vol», quand il s eM éeiié ! s. Eh I e'eal ce' cher D avâiue I » Je me kols d it ; . Cél bomme u'êsl ^ ceupablfel . ■ ■ - - O h l... mopsIaur.balbullaKIIIIellénlse, merci,'merci... P * * M ù e r e l é r , mademoi selle. Car le_lelnpli:il’a fait-qifairermir n u . coÔvicHqn, Eso-re que Is'UB eoupàbU! a iïr a lf l’a tiltu d e d e ll.'^ . ikcoraO I_ Tel t t p À i a f m B M o ê à tt s u r la U M e'A l à 'à s s ü ’ i» . l»J>,ëk|0,r«qM M es sommes aUÆiloijer te *1® , càlme, digne, W g ® a n t jo ld e m O g il ÿ u * .q u e s llo b s : q u i lui - Vohsè>te»pafraat«% éillH L’»W nnem e«leilptnW e4’m i ^ - n 4liilj«iM i* l»tilrr«««pn«r.«<;Mirt«rt<i<min4 ’ re n o n te l4 rià re ijiilM e « .B n e 4 o im e ||^ 4 ‘« » M e » n lt^ . .............. qnife*! puisent dansla masse, et qui s’ignorent pourtant; — ces comités complétés pir'une vaste eigénfrallon de la presse, s’occupant dré élections avant les délais légaux, agissant par tous les moyens Alu fois... Voilà ce qu’on peut entrevoir. On demande und enquête pour y porter la lumière. Qui pourrait s’y refuser? L’orateur rappelle ensuite et les paroles de H. Tailhand dans la séance du 9 juin et celles deM .R ouhrr. V. Tailhand a promis d’empA(’lier le goiivernénieni dans le gouvernement, et M. Rouher a doqné sa parole d’honneur qu’Asa connais-^nce le comité bonapartiste n’existait pas. Or, il existe, l’instruction en a fourni la preuve, un comité Uoureau composé de dixneuf membres, — c’est celui contre lequel l’or donnance de non-lieu a été rendue; - r plus un comité, dit de eompiMbUité, que U. Boulier préside. — On féit ses comités par petiis-pa quets. C’est le système des trois tronçons appli qué aux manœuvres des partis. H. Ricard termine en demandant au gouvernement..de faire m m x veipectM le vple de décbéance rendo. ABordeaux. " • Il faut qu’on sache, dit-ll, que depuis le l * mars 1871, on ne peut plus crier Vive l'Em pereur sans être un factieux I • Pendant que de longs applaudissements saluent les derniers mots de H. Ricard, et que la gauche se lève, pour l'entourer et le féliciter, M. Rouher est forcéde remonter Acette tribune, où il ne parut jamais pour, son profit. Une demi-heure corame celle qu’il y s passée peut être le çhAtiineni de bien des années de coupables succès. IV Voici bien le Rouher d’autrefois. C’est bien cette parole sonore, qui fit si longtemps la parade de l’empire, au fracas des applaudissernenls domestiques de sa majorité ordinaire : c’est bien ce genre tapageur et hardi dont il yapiait nos.succès au Uexique, et dont il écra sait dans des succès préparés la raison, l’élo quence et les trop justes prévisions de ses adver saires. M. Rouher commence par dire que le gou vernement ferait mieux de surveillerlescomités radicaux que ceux de l’Appel au peuple. Puis, il entrodans la discussion-^ lAche^'abord d'expliquer .'•es dénégations forinelles du 9 juin Mais son explication soulève une to!U général. Il revient alors sur la circulaire lue par M. Gireid et déclare la pièce fausse, matérielle ment fausse, et s'attarde volontiers à le répéter. Mieux : il réclame dss poursuites contre l’au teur de la pièce. Tout le monde trouve que cerôle d’accusàtriir Va mal AM. Rouher, et jusqu'à présent sa plaidoirie a peu .de succès. En vain fait-il, selon les besoins de la cause, la glose de la loi sur les a^ociations de plus de vingt pe^ sounes'. il oé'conquiert point d’oreilles bienveil lantes. On lui répond même par dM éclats de rire.' Alors il change de tactique parlementaire; — la discussion est impossible, — il s’élève au dithyrambe : • Vous parles de la loi de déché ance? Avez-vousdonc résolu de prononcer aussi la décheance.de la nation... Vous qui m’accuset aVec la dernière acrimonie, ayez donc la pudeur du silence. •H. Buffet s’inlcrposB pour mainleoir la parole A l’oralpur. • Pour réaliser nos espérances, nous ne-voulons pas prendre dé voie aouletraina. Nous vou lons nous adresser au suffrage’uoilverael; S’il prononce contre nous, nous appuierons le gou vernement qu’il foodéra. '« De pieuves contre nous, il n’y en a pas. — lui qui est... pardon!... que c'est lui qui sa trompe. Plus ijétudie M. de Boiscoran, plus il me fait i’m el d’un hatnme qui n'a qu’un mot Adire.pqur se justifier. Mlle. Denise écoutait avec une telle inten sité d’àitcntion, qu'elle oubliait presque pOui^uoi élleiétait venue. -^'A in si,. Bt-elte, H . de Boiscoran ne vou.« seiùbh-pas trop, afiecté?,.'.) — Je mentirai», mademoiselle, si je vois d i^ is qu'il n’est pas triste. Hais pour inquiet, non, il ne l’est p as.'L e premier étonruisse-v ment passé, son sang-froid ne s’est plus démenti, et.'c'est en vain que depuis trois jo li^'N . Galpin-Dttvélioeéptiis* t o u ite qu'il a de pénétration et de 8agaaté .i .' Mais il s'arrêta court,' tel qu'un homme ivrd^ qui; soàdaln' sôàdaln' sa loeldité. loeldité, --------e. . . recouvrant ... . reconnaît que le vin lui atro n d éliélalad g ie. Mon Dieu I qn’ést-ice que 'je tdis — ,m ih .! sécna-t-il. An nom du Ciel, s’écria-t-il. Cici, màdemdIseMè, ùé dé "''‘ étuz a personne ce qde vh * m'arràcher ‘ réj’étuz vhttt‘ de m a respectueuse'svmoatbie. respectueuse'sym(Mtb(e. ' Pqur. Mlle Denise, le m oment^éclslfétalt aiyivé. ^ ;-^,SI vous me eonnaisslik mteux( neùsiettr, pronqnça-t^lle, ‘vous sanriéx (là'od 'peut compter sur ma dlscrétldn. Me vous rmieniex pas/dMvqlrj par vôtre Iwiifianèe, apporté quelqueadouclssèment h unie horriblédouieur. No vpuB repentez pas, car... Sa voix faiblissait, et 11 loi fallut on effoH pourajouter : — .Car je viens vous demander plus encore, oh! oui. bien plus!... Héchinei étélt devenu affreusement pAIe. • , ~ Plus on inol, mademoiselle, Interromt)it-il violemment, votre espoir seul est une injurè. Ignorez-vous donc ce q u '» t ma pro;T Icssion. et que par serment Je me suis e n g à ^ a éire aussi muet que les cellules où l’on cnfertnc les prlsonnlerv,;. Moi, un greffier, livrer le secret d'uiie liisiiiiclion criminelle... de Ghaodoré tremblait comme la -V et clair. -» À s m i à , m' De pièce 11# pièce qni sert de point de départ, je la nie. comité rayonnant dans les dépar tements, je je nie aussi. « Nous ùlavons jamais connu de comité cen tral d’Appej au peuple rayonnant sur toute la Frann. Je li fie qu’on trouve une pièce qui prouve qu’ij y en a un. Nous n’avons agi que légalement pt légitimement pour nous défendre. • Notre comité n’est qu’un comité de comp tabilité poijr l’administration de nos deniers. Faites voirp enquête et vous ne trouverez que cela. Vous verrez quelques hommes se réunis sant pour la défense ,de leur parti, quelques hommes dont la France n’a peut-être pas oublié les services. > A gauché : « Nous n’oublions pas ! non ! nous n’eub^ons pas ! • Gest au (milieu d un .silence glacial que H. Rouher a M agné son banc et qu’il a rejoint la petite ban^e au milieu de laquelle il si^e. Il n’y avait plus qu'A mettre aux voix les conclusions/du Svbpreau. C'est alors qu’un des lieutenants de l‘ex-vice-emperenr, H. Usentjen^ e demandé qu’on mit d’abord aux veix la validation de l’élection de- H. de Bourgoing. Hais, au bout de quelques minutes, U. Rouher a compris qu’il rirquâi! trop gros jeu. L’élection de ta Nièvre allait être infailliblement invalidée. Pour auver ce dernier enjeu, il s’est empressé de réparer 'celte fausse manœuvre en désa vouant H. Ilaenijens, qui a retiré va motion. L « conclusions du 5* bureau ont été aussitôt mises aux voix et adoptées à une immense ma jorité, à une majorité d'au moins deux cents voix. Seuls les bonapartistes, l’extrême droite et une partie de la droite ont voté contre. On a remarqué que pendant que M. Rouher. lié par la promesse qu’il avait faite à la tribune de voler l’enquête, se levait avec la majorité, les bonapartistes, comprenant fort bien que cette déclaration n’était qu’un vulgaire moyen ora toire et répondant A la pensée secrète de leur chef, ont tous volé contre l’enquête. Ainsi s'est terminée cette journée, dont les bonapartistes se souviendront. Une commission d’enquête sera nommée dans Its bureaux. La •lurojèré sera faite, et complète. Ix.bonàparli&maa doncélë bat'u mercredi, et battu avec éclat. Il ne voulait pas de l’etiquête, et l'enquête est ordonnée. Il aurait voulu faire valider l’éloction de H. de Bourgoing, et celte question reste en suspens. 11 niait qu'un comité existAI, et c'est la preuve déjà certaine de l’exittencede ce. comité qiiia poué-é l'Assemblééà ordonner dés investigations plus approfondies sursa conduite, ses opérations, ses ramifications, tes moyens de propagande, son action occulta et persistante. E. C. Pour voter mercredi l’enquéte parlementaire, l’AiMroblée s’est divisée enr deux (Viciions bien distinctes : l’une disposée A pactiser avec l'ero • piya. plutôt que d’aller Ala RépubPque ; l’autre, moins oublieuse du décret de déchéance et des a u e s q u i l'ont justifié. Infiu, ün m olifdérefrs se présentent ù mu • ' • if .V-i';-.'!' ,t< -IRq i,-. „ « 6 rinon(eo tournée), ST’inai tS74. 1 ■ Mon cher barou, ,, ■ Je vienade rccevdr votre letlrojije iMbgt roercie des wniiffienis <pmooMls'fqiFdtoj roexorime. mais j ’ai lu eu même te n p d u n i» . œ i^Iairede remerdmeata aux élec(aati>4e' Nièvre, et elle m’a fait 'éprouvœ' - uiie'>aonribei qu'il m’est impassible de vousdissimulfr/j • Ihns votre profe<8ioB dé fioit icebimèidabs JàurnaiihU Ntéarei voéé 'Av«> affirmé la reconnai^oce ooïKanlaMAttrdai H. le maréchal, imainde-son gouveràetAeat : c est a celle déclaration qqe vous avez dû, d’une part. la neutralité de •l’adéainbfifation; 'd lu tra part bMncoup de voix cooservitrices' qdî'zoht' a l l ^ A vous, non pas-Mree qvt bèhaMrtiéfd, mais quotqut. Aujourd'hui élu, é m iÿ ^ ^ re s une lettre ou il n’est plus questiqp ni d» H , ,1a On a ^ u c o u p remarqué que les l^itiibistes raamhaL ni de Mn gouvernèmi^i,' B'HiTeruemeni, eiiOU-V de I extrême droite et de la droite modérès^ont déclarez la doctrine de i’App^ au peuple ii tplaupeop voté contre l'emiuête, avec lès bonaiiarlisles. Inomphanle dans votre personne: 7 e '‘voua On s expliquait diriicilenfnt cette attitude et affirme que vous êtes en contradioÜeh'JlagtaBte I on se demandait quel intérêt les légiiimistes avec 1ujpinion de ce pays, et, en ce qui^a# oMi'i pouvaient avoir A 80uslrair»< lès bonaparlietes A cerne; j ajoute que loin de proposeriiau''<gOttpi lenquêle. Peut-être ont-ils craint, en votant vememeot de m U r neutre A votre éaR lj ijaloi i «Muêtei de faire acte de défiance A l '^ r d de aurais dit de vous combattre ei< j’avMe -.|iè«% H. Tailhand, qui appartient Ala droite modérés^ des déclarations si éloignées de vos préoé& tes fin li*uiii>niin remarqué n.... . On aa beaucoup que uM. d’Audlffretpublications. , .1 ■> Pasquier a applaudi A plusieurs reprises H. ■ Quoi qu’il en soit, vous êtes nommé AluneRicard, et qu'il a volé avec empre-(.<ement et majorité assez faible, du reste,' et due A ceSi fait voter tous ses voisins pour l’enquête. publication^ Je m’en réjouissais hieoom oei d une victoire conservatrice ; mais du oniMOti ou vous considérez votre succès comme succès exclusif, jedm s reconaaitre -que jem a Le bruit s’était répandu — bruit d’ailleurs SUIS trompé en demandant au gouvernemeMde bien invraisemblable— que M. de Bourgoing,. ne pas vous combattre, et désireux que-la faute sur l’invita'ion de scs amis, allait donner sa soit pour moi seul, jo viens d’adnMner A H de démission. maréchal ma démksion de p réfe t-d ^ N&niU• Le groupe bonapar«i.ste. aurait ainsi cherché Je ne veux pas qu’il y ait, ni aujourd'hui ni Arendre I enquête mutile Hais la qüestion,dis- plus tard, le moiqdre doute surimon UttittidiL cutee dans tous les groupes, n'était douteuse • du reste, aux sentiments penopnels pour personne. Tous déclaraient que. même en que je Vous aardq et^ dont je voUS prie d’aftrew cas de démission, l’enquête devrait être pour I expression distinguée. . "o suivie. ■ SIUERAC DE FORCES. • Le jugement rendu par le tribunal de Berlin dans l’affaire d'Aroim est vivement critiqué par la presse officiense de Berlin. Elle met en quelque sorte le ministère pnblic en demeure de faire réfoimer cet arrêt. Bien qu’on ait assuié le contraire, il résulte d’une dépêcha de Berlin, en date d'hier, que le Murvoi en appel, de la part du parquet, aura lieu, non pas A canse de la peine minime qui a .élé appliquée au comte d'Arnim, mai» afin d'obtenir le redressement considérants du jugement. M. de Bourgeiog a donc trompé k.ïyljragp' universel en se déclarant septennaliste quand >il était bonapartiste. Il s’est introduit frandakusement dans l’Assemblée. L’Assemblée ne peut faire autrement àaé de casser son élection. m PAIX SEPTEmilSTE L’Assembl^, après avoir adopté jeudi les projets da lois relatifs A un emprunt de vingt millions par la ville de Harseslle et A un em* prunt de 22(1 millions par la ville de Paris, a décidé de ae proroger jusqu’au 5 janvier 1878. esprit «n détresse t . ^ majorité s'est composée des troisgroppw de la gauche, d’une soixantaine dp membre ,du ^ n tre droit et de quelques purs de l’extiw e droite, honnêtes gens qui placent l’honneur de leur parti et de leur pays aii-de»su8 des intrigue* du créricalisme, lequel forme en réalité le lien ^ r e t de l’ancienne majorité constituée par H. de Broglie. A ce point de vue, le vote ne laissée pas que dêlre sigiiiûcatir. Le centre droit, habitué A être I élément dominant de la majorité, n’a plus été qu’unappoinl. En réalité, la moitié de ses inembresa fait un pas vers la gapche et a aidé mnsi, pour la première fois depuis la ehute.de H. Thiers, A la constitution d'une nouvelle majorité anticléricale et antibonapartiste. Un arrêté du gouverneur de Paris sosMnd le* Pays pour quinze jours. L’arrêté'Vapptié'i* sur ce que le journal Je P«w,- d a ^ t o ^ jf a mero du 32 décembre cburant, a déVéM^léh^ trags sur dm membres de rAssenibléenAtid^H^ Le Parlement italien vient d’adopter, par H 7 e t2»aur ce q u e - dans lomême Ért)rk>>il%‘ » VOIX projet de loi relatif à la dota dénaturé le caractère de la inëfion 'MhflM tion de (fjribaldi. Get hommagi national rendu par 1Assembles nationale AH. lo m aréchâl-# au grand honnête homme qui a eu tout dans Hac-Uahon,'présldi%t>de la RépbWiqnè.';»: les mam.9 et qui est paiivm; compenserait lar-' Nous n'avons pas besoi» de védétet*^^ oné' gement A Garibaldi, s'il avait besoin de com nous (wnsoos de ces-interventions! décrétai dé' pensation, les ^ s 8t« injures que lui jettent d'ici «ege dans des questions qui ne devrahsiit -éUn’ ceux qui ne lui' pardoi-nent pas d’être venu au usticiables qua des (rihonani; Ndds'tfVo^u secours de la France envahie. article incriminé, et nous n'avonS paè ItMVA P.-E. Duiiin». au d sortit du ton -d# la polémiquo- habiTtMlle du Paysj Hais; en admettant qu'H dépasÉitMs' h r o i^ permises et que |e Pays ait c o n t m ^ Ala loi, il y a des juges chargée de p a é ü r ^ çoniravraUons,L pourquoi n'a-t-on pas titd ^ -' le Aiirs devant eux? ™ iT • nous ne voyons pas Wffé-s intérêt le gouvemement avait A oeltesuspMMSfi. Parmi les documents misA jour par l’erquêti' If se tremblerait s’il 'croyait avoir fehm f'W bonapartiste, se trouve une lettre du préfet de bouche des journaux qui, cominel’ftiiéq.il'ôhii la Nièvre, M. de Forges, adressée A II. de accor de • faiblesse • ét iui ontdiiquA lh'Im t Bourgoing, trois jours après son élecliou. >88 « la hardiesse de poursuivre les jouim ék' KinaiiartisttiB. • ^ ■ Cette lettre est caractéristique. H. de Bour 'l’Dnieii going s’éuil présenté au préfet de la Nièvre comme septennalisle et c’est en celte qualité m ieni, elle le disait en propres termea, • dw bommes jadis investi» des phi* haut« «h4rê«> que le préfet l avait soutenu. Dans celle lettre, relâche A la reconstruction H. de Forges reprocha A H. de Boui^ing de d on « 1^ ou plus d'un septennaliste (ht l’avoir trompé, puisque, aursilôt l’éln fion ftUe, aiitreTois leur colique et leur suWrdonné. > U sajpssait dex-minlMres et de députés oui le septennaliste de la véille avAit déclaré, dans agil^Mnt dans l ombee, '«tM i» de joumalistea une circulaire, ses sehlin^nta bonapartistes. qui écny^nl en public. Voici cette fettre Intéress-intè : ' ............. Hais il est dit que ce sera toujours la pi»sa ECHOS — Hademolselle!... — Vous laisseriez condamner un Innocent lorsqu’il vous serait possible de dissiper, d'un mot, l'épouvantable erreur doni il est victime. Vous vous diriez : • C’est malheureux, mais j ’a lju réd e me fiiire... > et vous le verriez, d’une conscience tranquille, monter à i'échafaudl... Nuo, ce n’est pas possible, ce n'est pas vrai! — Je vous l’ai dit, mademoiselle, je crois H. de Boiscoran innocent... — Et vous refusez de m'aider Afaire écU'er son innocence!... 0 mou Dieu! Quelle idée les hommes se font-ils dune du devoir!... Comment vous émouvoir, comment vous conValnere? Faut-il vous rappeler ce que doivi nt être les tortures dé cet noimétcs homme, ac. .cusé.d'un ignoble assassinat!... Dois'je vous' dire; nos mortelles angoisses, à nous, ses amis, ses parents, les lannes de sa mère, ma douleur àm oi, sa fiancée !... Nous le savons innocent, et cependant nous ne pouvons faire éclater aon innoncence, faute d’un ami qui ait,pitiéde nous]... De sa vie, le greffier n’avait vu de tel* accents. Remué jusqu'au plus piofond de J’i o e : — Que voulez-vous donc de moi ? demandat-il, frémissant. — Oh! bien peu de chose, monsieur, bien peu... Que vous fassiez tenir dix lignes A .\l. de Boiscoran, rien que dix lignes, et que vous nous rapportiez sa réponse... L'audace «le la proposition parut frapper le greffier d'épouvantc. — Jamais! pronoiiça-t-il. — Véus resterez Impitoyahic ! Ce serait foliaire à I honneur... — Et laisser cpnüamncr un innocent, que serait-ce uoncT .|L’aagoU;tedeMéchinci était visible^ Eloudl, bouleversé, il ue savait que résoudre ni quo P A IO M ; ! — El SI j étais découvert, balbuiia*t-il. Çe quand on trahit son devoir, si c’est Door<dtt« serait perdre ma place, ruiner mes sœurs êargent, on est le dernier des misérahles. briser mon avenir... 00 n a eu d'autre mobile qu’une conviction D’une main fiévreuse, Mlle Denise retirait sincère e t l’mtérêt de la v é r iil oii pMtj£2 S de ses poches et jetait en tas sur la fable les pour un fou, on n’en reste pas m o in s ^ E e titres que Im av.iii donnés son grand-père... de I estime des gens d’honneur... Rcp i ê * , *— Il y a là cei t vingt mille francs, com içette foriume, mademoiselle, qui a fittiM ® mença t-elle... instant vaciller la consciedCé ^ f f 'h ù ^ ê r e — De l’argent! s’écria-t-i, vous m'offrez homme... Je ferai ce que vous dt^lrec. diâlff' ^ de I argent!... pour rien... * • — Cil ! ue vous offensez pas, reprit la ' Si graiid-pè c Ghandoré s’impatiéfitèA!^^ jeune fille, d'un accent à émouvoir les pierres. faire les cents pas sur la place du MwÿKA. Voudrais-je vous olîcnsér, vous, a qui je Neuf, les m ü k Héchinei, dans ietiê ateUerà i demande plus que la vie. Il est de ces services trouvaient le temps bien plus long eiio«e;>iioj qui ne sé payent pas. Mais si iesicnnetnis de 1 - - Qu e.si ce, se demandaientHAteaiPun» h! H. de Boiscoran viennent à savoir que vous ;! autre, qu est-c que Mile dejCtemdoiéMdto nous avez aidés, c'est contre .voiis que se ,bien avoir à dire à notre frère? > tournera leur rage... , Au bout de dix m in u té tieur’coMoiiléii. Machinalement, le greffier dénouait sa .ireitéo par Icsreiqectures-lesfiittitiiieàaéeilja cravate... La lutte, au dedans de lui, devait devint un tel supplice que n’y tenm TpIiius être terrible... Uétouffhit. elles se •décidant A aller frapper à la kfinà— Cent vingt mille francs! fit-ll d'une da greffier, . voix rauque. , * laissez-rooi en repos, leur à ^ à - q ^ 'lrn ié d étrea in si Interrompu. .' _ «1.“ P®* Jeune fille. Oui, vous avez raisun, c’est trop peu I : Mais réfléchissant, il courabonvriri el a U t mais j'en ai autant, j'en ai le double à votrci doucement: huijiij! disposition... — Rentrez chez vous, dit-il à ces hnMiœ l Blême, les yeux hagards, Mécbinct s’était filk8,,et 8i.vQu8 .tenezà m 'éparoM cJm nioa rapproché, et d’un geste convulsif il maniait p v e s d â sag i^ en is. i ie .p a ^ f p S s o k a S ^ ^ rcntretien que U l l e d e C b M d o r é e r ^ à ^ ; cette masse de titres en répétant : '" i ^ — Six mille livres d e re n trs!... Six mille en ce moment. Dressées h obéir, les deux sœurs se feiL,'» livres de rentes!... — Non, le double, dit Mlle Denise, cl en rerent, m us non si vivement ae>U »:i même temps notre reconnaissance, notre n c u ^ n t eo le temps d’apeiicevoir les 'Qtrea amitié dévouée, toute l’influence des familles que Mlle Denise avait jetés sur la te b le J S ' réunies de Ghandoré et de BoIscOran, c'est A- iqui étaient des obligations de P a n a q S i ^ ) n P f^M m ent, tes dirc la fortune, la considération, une situation Mlles Héchinet connaissaient c a sib b lln » * enviée... lions pour en avoir «voir Dœuédë possédé huitilanicSS Hais déj , grâce à une toute-puissante avant. lac atdeleurm aison. projection de voloiilé, le-greffier avait repris Leur désir de savoir se oœb*!ldiÉb , possession de lui-mêni'c. donc.... snC/aussIlét dutie.ivague te rre u iv ^ i ‘ — Assez, madunolscllc dit-ll, as.scz ! .. . ‘qp’elles j'e l t e s fu re . 1 t c n i r é c * El d'uneyolx j^ liié * hieu que trembla'nlê J ^ T il^ k T O T d e n m o ila ta iw f e iis ,! ' T ençore ; ' ........... - Oui, a s UtTM rëpondil M m . .h ,07 I ni wm m mmm Les horomM de la cU mo 1871, en p e n o n e n t pelé AIm j^ d a r o o m m o H préaida la o n m ü tiveroent établie, car, si la France Mt M ti^ite é ta t^ o lv U d e S e n lU l. de iOD gouveraMont. elle ne tnffq’^ r t a it » ^ i« drapMdx, p!gMlero|A tous aajps ocep.q p . IV ,AV S 6 o £ c ^ | u . ~ * it^oard'hui ment incuue raiaen d’eo changer en 1919. V* Wen. ' H aléiu » ^ dai^ ce cas, 1m cspér|||n«^dM “ En ce qui c o n c é ^ Im M vim ib to d aH t & «a-iMUMl. „ J , Biro » n > n r «ce b taM t a Mitl C CmI partis monarchlÿiM ne sont pas e v s ..onaaitqi m . . i, mai 1855 da«nt ‘e 'd e-s1874, h U w U d a ta p H M t. l’Iinunl (Nui»-L(MiH), , « i n IIm U . t|< , trant la-C ^rpIflglA f, A a|B-déetaié axpraa* ajonrbéee Asept ans, elles le sont ii nt, t'oonné Qu’il serait , . toute retendue du M frito^AJinrvéM èM nml, aMent'livoir’iH U H i MKfalMn.miniatèra de de 90 ans 8 mob. sans doute Ajamais. Aussi ne bût-i] pas s’étonner de voilftMr^u- de façon que lM 0 |rira lim d » Ürafe au Mrt l’i a t é r i n r , t W . b Landry (Loub-Viclor), conlre-mallre, 8 ta n s P a r B dhokd TURQUBT» flWnliiAfl.* jl«nA'.tLiA ngarni— meis mmla de .la d îd t. wfciiilwT fflTirmli niseenl a'A s effectuer dant 'lM |»emi{èrâ 10 mob. ^ blicains réclamer, comme ils l’ont fail^noÉr la «\iila*anft oirord s i L’a u n i 'année I87D, et qoe iM 'c o m ila de réviriM ro iM ie n c îS i^ # ^4lion-qnM f propoellion ( ^ im ir Périer, l’eiéculiôn <ie la loi (Som ) . PNÔ/iMtieMde martêge. du w DoveimNre, tandis que sm autaurs, tafdl^ tie n t plus le Uinliif.qae JM annéM •précédentM c M l M t é a è é N U ^ H. GaMis(Gharlm). tonnelier ACreil, et ma vement éclairés, semblent résolus Ase tenlr'dans pour exam iner les nom breux jeuQM gens qui loi, ne laisM place Aaucun doute. sont appelés au service. Si l'un N repoito en ef demoiselle Hérault (Harie-Bugénie), sans proune complète abstention. S VIU fèMion ASenlis. Dans tous les cas nous.soromes en prééènCe fet aux U biM ux officiels de la population, en n’estime pas A moins de 328,000 las eo h n ts du Une queetion qui intéreese lé public engénéral H. Charpentier (Augusle-Arthur), tailleur de On a bMUCOup épilogué sur le septennat per* de ce dilrmme : SAm m Al 34 dtfcMiir*. Si la loi du 20 novembre n’est pal com sexe in&i€ulin.qui, 'oés én Fiance en 1854, exis H Im cultivateurf « t particuliM vient d’étre lierre A Senlis, et abdemoiaslle l ^ y (Mariesonnel ou impersonnel. tent encore aujourd’hui, et l'on pense que, sur débattne Ala barra du tribonal civil de Provins. plétée, elle n’Mt pas viable ; ' ' Aiuise), dommlique A Senlis. Q a d q o « p n j« U de Ut d^ielérAt local» ou Li véritebre question n’est pas lA. Un fermier dM environs, descendu dMnièreSi elle est complétée, si la trartsmission dM ce nom bre, 170,000 environ seront déclarés Mctaut ourerture de crédita, aont volés au mi* L’Assemblée tiendra-t-elle, oui eu non, l'eo' iiient dans la commune de Baunoat (^ineMO do bruit. gagemeôt qu'elle a pris, par la loi du 20 no pouvoirs Mt assurée, la République est Ibodée. ' prqprH Aservir sous les drapeaux. Quant iU vjeunM soldats de la première e t de et-Hame), avait logé son cheval dans 1éi-urie Là deosième délibAration du projet de loi re> vembre , -de voler des lois constitutionnelles, la deuxième'portion do la classe de 1878; qui de l'hôtel Salnt-Georges, L’animal y fut griève S IX laUren OMiDljjMt de Vétat de aiege établi A kl- sans lesquelles le pouvoir fondé par elle ne peut V iU b ê m is , Lo 12 dlçemlNre. pn |iig«qo n t été sflèctM A Varmée do l'tite . tonfermément hlessé et mourut qualaue tempe aprèedM die a âclalé. yers rix hëurH etdemle d u b o ir;'' , fsr, ait 8 f t ^ v e i u ajournée. ulilemeqVlilMlionncr ! Après ces considérations sur le situtioa^géné; ~ ^ a é u w i oa.coDSMDce guAra qu’avec la Sj •Ûiiiina.tjM t p u , la loi du 20 novembre raie, jetons un coupd'ŒÎl sur -U silualioh par*, ment Aila dismiHion ministérielle a n 6 octobre suitM de cette Usaeure. Le. ferroièr\nteata alors dans un bAfiment appartenant A Mme’vsnvy' - ^ demÎM, ils sont appelésA l’activité, ainsi que contre la nuttreMA d'hôtel et son garqdn d’écu d iirw a itfîm i brojel de loi autorisant la ville M trouvé sous le coup des conditions suspenBatroy. Ce bAtiment renfermait 32 mouloiu^ lementaire. nous l’avons dit. rie une demande de 800 flr. de doinroages- qui tous ont été sauvés; plusOOO bottMdofpurd e m iü ettte b contracter -ob M ophint de 20 «ves et des réserves par le Message du 17 no L’Assemblée se trouve en présence : Leur départ s'effectuera de la manière sui inlérèta. . vembre. |e, ainsi que tro irc o ta M de bofs; qdi'oht été' 'Cm derniers eoutinreot, par I organe de leur « 1* Du projet de MM. de la Rochefeucadd, vante ; ' Ce projet soulève u m vive discussion. Sou* Au surplus la loi est indivisible. On ne sau Les jeunes gens qui font partie de la première défeoNur,'que tous Im clieots de la maisoq de Tarteron , Carron et de Staplande ainsi tenu par H. Clipier» il e^t trée loitement com- rait l'exécuter partiellemeat. portion du contingent devront se meltreeu route avait été avertis, par une inscHptibh peinte en L’article 2. qui dispose qu’une commission conçu : battp par U , Reuvier. groesM lettim sur Im murs dorecarie,^que l’on H. de Cbabaud'Latour, ministre de l’inté* de 30 membres sera chargée d'élaborer les lois • Arl. 1” . Le gouvernement de la France du 4 au 6 janvier 1878. Ceux qui sont compris dans la dtuxlèni oe répondait pas dM accidrats qui rouiraient tieor» appuie 1m conclusions de la commission. constitutionnelles, est le corollaire inséparable est la monarchie ; le trône appartient au ' chef tion du contingent devront effectuer leur départ arriver aux cnevaux,.s'ituation qui devait étra U fait AuMver» en particnlier» qu’il ne s’a de l’article i*", qui proroge les pouvoirs prési de la maison de France. acceptée de Guillory, le plaignant, comme de le 15 du même mois. git pas de dépensm nouvelles» mais seulement dentiels. L’un ne se conçoit pas sans l'autre. Et • An. 2. Le maréchal de Mac-Mthon prénd tous les autrM cultivateurs. Enfin, ils ajoutèrent jen s de la classe de 1872 auxquels oe régulariser la ûluation fiModère de la ville, si l’Assemblée nationale se refusait à remplir ses le titre do lieutenant-général du royaume. La fonderie d> canons de TarbM est l’ebjootif en reportmit les payemmts qu'dle a déjà A fbire engagemenb A compléter la loi dont elle a < Art. 3. Les institutions politiques de la il a été'accordo précédemment dM sursis d’appel que'pdur une rémuhératioh de 30 ceutimes, on d'un grand nombre d'M pions étrangers. Ds éinne pouvait les rendre rèsponsablm d’accidents et qui n’ont pas obtenu le renouvellemeet, re à dMécii^nces plus lointaines. les bases, Ata rendre viable, comment pourrait* France seront réglées par l’accoid <fu rot et de ploient, vainement d’ailleurs, toutM iM 'rail^' qui, suivant eux, étaient inévitablm et trèscevront leurs feuilles deroutM pour iMdiflérents elle espérer que l’Assamblée qui lui succédera la nation. • Le projet Mt adopté. sourcM de leur art pour surprendre Im procédés > corps de l'arm ée de terre en même tem psque la fréquents. L’ordre du jour appelle la discuadon du pro* ait plus de respect qu’elle-méme pour la diici* 2* Du projet de la commission des Trente irem ère ou la seconde portion de la classe de Le tribunal de Provins .3 rejeté ce système, dont il Mt fait usage dans l'usine. jel de loi autorisant u ville de Paris A emprun* sion qu’elle a prise? Une surveillance rigoureuse est exercés dans rapporté par M. de Ventavon et ainsi conçu : 1873, suivant que leur num éro de tirage les ap et a condamné le garçon d'éçurie et l'aubergiste Au-dessus même de ces considérations de ter 33|> millions. « Arl. 1*'. Le maréchal de Hac-Hahon, .pré pelle A faire partie de la première ou de la Apayer Im dommagM-intcrèts réclamés par le l’établissement, et Im officierii, sous Im ordres If ^'Pims monte Ala tribune : droit, il en est une qui s'impose Atous les de MM. de Reffey e ide Pothier, ont élé invités deuxième portion de leur clasM. fermier. sident de la République, continue A exercer prits. La mise en route dM uns comme des autrM Cette sentence, confirmant d’ailleurs une A n'avoir que dra domestiquM pris parmi- 1m « Avant d’épuiser l’ordre du jour, dit>il, il Sans organisation , sans transmission d u avec ce titre le pouvoir exécutif dont il est in aura lieu, d’ailleurs, au chef-lieu de chaeune de jurispiudence qui a été déjA consacrée par un soldats, et A ne laisser chex eux ui plans, ni des m e p in lt bon d’indiquer à quelle date l'Assem* pouvoirs réÿiés, le septennat n'est plus qu’un vesti par la loi du 20 novembre 1873. nos cent qu arao t^u atre subdivisions régio ugeroent précédemment rendu en pareille sins, ni d'avis capablM de fournir la mmndre t Art. 2. Il n’est responsable que dans le blée reprendra ses séances; louvernemeni viager, reposant uniquement sur dicoostance, établit d'une fbçon péreropioire la indication aux Mpions A l’affût d e . tonlM 1m . •' le prépose la prorogation au 5 janvier. » cas de haute trahison. —- Les miaistres sôüt nales. a tète d’un homme, et Iragile comme lui. Nous ajouterons cependant que le ministre de responsabilité dM maîtres d’hôtel et des garçons occasions. solidairement ivsponsablM devant les Chambres Si le chef de l'État vient h disparaître, tout Quelques rumeurs se manifestent lorsqu’on de la politique générale du gouvernement et in- la guerre a décidé que les jeunes soldats de la d'écurie. voit Ht Jules FAvre se disposer A répondre A disparaît avec lui, et le pays est plongé dans dividut’llem''nt de leurs actes iiersonrels. deuxième portion du contingent de 1872 qui, l’anarchie, dans le néant. 1.8 foudre a fait u u te r la poudrièro de Scntari cettemotion. • Art. 3. Le pouvoir législatif s'exerce par pendant la dernière guerre contre l’Allemagne, En admettant que le septennat poursuive sa (Albani); une partie de l'enceinte et bMneonp'. « Je M m’oppose pas» en principe, fait H. carrière et atteigne le 20 novembre 1K80, Acelle deux Assemblées : la Chambre des députés et le ou pendant la campagne de 1871 en Algérie, au de maisons se sont écrouléM. Sénat. — La Chambre des députés Mt nommée ront servi pendant six mois, soit dans l’armée J oIm F an e, Aun congé de quelquM jours; je époque c'est encore lé néant et l'anarchie. On évalue A plus de 200 le nombre dm morts ftppellirai néanmoins a mes collègues qu’en Le défaut d’organisation et d'institution, c’est par le suffrage universel, dans les conditions dé active, soit dans l'armée auxiliaire, seront oomet dM blessés. f W e t d è i p n ne s’est 1* 25 dé* la,porteouverte A toutes les aventures; c’est la te r m in é par la loi électorale. — Le Sénat se truction qui leur est imposée; mau ib devront, compose de membrM élus ou nommés dan^ leè dàtinée d’une grande nation remise au hasard, oambre bt W i^ janvier. C a is M » d ’é f à iT g iB e aux évenlualités d'une malad.e grave ou d'une proportions et aux conditions qui seronfVé- pour obtenir celte dispense; justifier de la posi Le général de Kpnsouty, W i, Bayîae et Bnia* . « Jlaie l i a ’esc pas J'im porUiit. tion dans laquelle ib se trouvent, par la produc g l é par une loi spéciale. . L’AfAOnDlSSBMBNT DC SEKÙS. avaittit résolu de passer l’hiver sur le 'Pie du . ■ L’Aswmblés se souvient des .circonstances mort subite. u Art. 4. Le maréchal président de la Répu tion dm pièces authentiques faisant connaître 5ifitah'eii envers tes déposants â u 9 i ‘Déùmbre Midi, pour y fiiro dM observations météoroloet des préoccupations au milieu desquellM elle Le bon sens public s’en est parfaitement leurs états officiels de service. blique est invi-sti du droit de dissoudre la giquM. Ils avaient compté sans 1m tcrHblos ou- ' a^nt pmogéa au mois d'août dernier. Ou était rendu compte; et H. le maréchal-président 1874. : L'honorable général de Ciseey a également ragans de c«o jours passés. Le 11, leur maMon ’ fi est fait jusiement l’interprèle. lorsque, dans Chambre des députés. Il sera procédé, en ce cas, MUS l’influence de la rapeciueuie» mais ferme Le solde dû aux déposants le invitaüon contqnue dans ravaat*dernier mes* . . . Messages du 9 juillet et du 3 décembre, il a A l’éleclion d’une nouvelle Chambre dans le dé- décidé que Im jaimm soldats de la deuxième 30 septembre 1874, était de . .-1,574,533 64 de bois menaça ds iécrouler; il y avait 23 de portion de la classe de 1872, qui sont ocluelfegrés au dessous de xéro. Lm trois soÙtaiite du* : déclaré que l'opinion publique et les intérêts Ijî de six mois. sage du ptésidoit de la République. Ajoutant : > Art. 5. A l’expiration du terme fixé par la menf dans les dépôb de nos différents corps, s ^ rent descendre de leur observatoire, au milien « l a commission constitutionnelle, qui s’est matériels de la France exigeaient une prompte 1* Le mentant de 998 verseloi du 20 novembre, comme en cas de vacaiiee ront envoyés en disponibilité de l’armée active de lerriblM dangers. A chaque pas,. ils pou anisation des pouvoirs publics. souvenue, a bâté sm travaux, et un projet est ménb effectués depuis cette épovaient trouver la mort. Enfin, a p w if* ' I ^ ^ A cé propos, qu’il me soit permis d’adres* I y a donc au moins un minimum de consti présidentielle, la coomü des ministrM convo(|ue le 31 décembre. Nous ajouterons même que, lue et s’élevant A 164,916 -19, immédiatement les deux AsserobléM qui, reu pour permettre A ces jeunm gens de se trouver d’efforts désespérés, Amoitié m orli dè do ' •er uab-Mmpie 'Question A H . le ministre de tution à faire. [ont : au sein de leurs famillmle premier jour de l'an nies en congrès, statuent sur les résolutions A faim et de (atigue, 1m trois ékvaalt AttdgaiMil Il est uécesnire : 1* d’organiser les pouvoirs Tintérleur... * rendre. — Pendant la durée dM pouvoirs cen- née prochaine, le ministre a donné 4 m ordrM ^ 7 Tcrsementi en - • ) l'hôtri de filripp, ‘ Aectifs et délibérants ; és au maréchal de Hac-Hahon, la révision dès pour qu’ils puissent quitter leurs corps le 30 Hv'BaibdâeleveC Mpèces . . 103,553 * •( 101,948 19 2* De régler leurs rapports avec le pouvoir lois co n stitu tio n n ellM ne peut être faite que 's u r décembre au matin. 11 tiansf.-recett** 1,26519 « Je ferû observer à l’onteur, a dit le p r^ exécutif elTesattribulionsde ce dernier pouvoir; sa propositioa. 10 arrér. de rônt. '98»*) 3* De réglementer la transmission des pou H. Garaveu; Agé de 47 ans,' père dé huit eiH rident!^ que Fil avait une qnntton a adresser au 2* Les intérêts q u io n t été {latée L'accueil fait par l’opinion publique et par fbnls, pOMM senr d’tine fortune évaluée A nâo ministre, il sût dû le prévenir et obtenir son voirs. Par décret du Président de la République, en sur les comptM soldés depuis la centtine de mille franci, a tué mercredi dernier, Ce dernier point est évidemment At clef de l'Assemblée même A ces deux projets ne leur asosnüment. date du 21 décembre 1874, M. Bernard, subs même époque.................... . • 1,017 à Nice, d|un'Goup de foril une domestiqne, nom présage pas un grand succès. • Quant Adiscuter on non certains projets de fa situation. 3* E t 1m intérêts capitalisés mée Marie Augier, on ne H it encore ponv qnello On peut, A la rigueur, soutenir qu’il n’est pas La proposition de M. de la Rochefoucauld et titut du Procureur de la République près le loi, il y a lA une question d ’ordre du jour, qui siège de VannM, est nommé substitut au Pro Im 7,917 comptM courants cause. viioÂa en son temps, lorsque l’Assemblée aura nécessaire de créer une seconde cham bre, et que desesamisM l évidemment incompatible avic cureur de la République, près le tribunal de exbtant an .20 décembre, jour Poursuivi dans h inaison,Ganveu.y 'soptlng, les lois actueÜM suffisent A l’actioo du pouvoir la lettre et l'esprit de la loi du 20 novembre, et statué snr la durée des vacances. > 54,598 51 un liige et tira Ajduaiéiirs rtprisH sof 1m gaidlf l’on peut s’étonner de ce que le ministère n'ait première instance de Beaûvab, en remplacement de la clôture de l’exêlrcice 1874 • • Précisément, reprend M. Jules Favre; il exécutif. deM. Ternisien de Boisville, qui Mt nommé Mais si l’on veut réellement que le septennal pas cru devoir lui opposer la quMtion préalable. et Im gendarmM, boarousement mns atteindra me semble que, combattant le terme proposé . 1,735,064 24 personne. Ensemble. Quant au projet oe la commis.«ion des Trente, Procureurde la République ADoullens(Semrae). par E . Péris, je puis bien apporter quelques dure sept ans, si l'on veut faire renaître la con Sur quoi il y a lieu de déduire Geux^ déchirèrent lenrs carabinés dans ta fiance dans l’avenir, indispwsable A la propéoutre qu’il ne règle pas suffisamment la trans raisoiis A l’appui de mon opinion... • 94,304 51 montant de 277 remdirection dMfenêtrM, pour l’effrayer, et flairenl rité commerciale et industrirlle, aetsi bien qu'A mission des pouvoirs, il contient un article I aB G r a i n e d e S e lX c rn v e * bour8emeab,donll09poursolde, enfin par s’emparer do loi. Il a étA gsrotté e|. Cependant l’oratenr, se rendant aux observa l’apaisement des esprits, il est indiapeuMble de inacceptable, celui relatif au droit de disMluo p ^ depuis le 30 septembre écroue A la prwon do Nice, ce qi qu’e.'t tions de tf. Buffet, se borne A insister sur la prévoir, .irevoir, ‘ .prévoit ‘ ‘ dans * le moindre con* tion. Voici un jugement qui intéresse les cultiva - . . . . . . ] --------- . J . «•------- J ---------jplJçg ÇQJJ. 1874, savoir : On ne saurait, en effet, accorder A un chef convenance qu’il y aurait A se proroger pour le trat, le cas ae^mort de l’une dM et 1m fabricanb ae sucre. mode de d'Etat électif et tem[ oraire le droit de dissoudre teurs 5 8 remb.csMpècM 79,773.89l. tractantes, et de régler par avance moins de tempo possible. Le tribunal de commerce d’Abbeville vient 2 17 achats de rentés. 14,240 90} 94,304 51 l’Assemblée dont il n’est que le délégué, ou A A p n d ie , on se demande s’il ne serait pas A transmission des pouvoirs. nénniACBMuvr n^iiii iuiiiîi' Hais, d'un autre côté, il est de toute évidence l’élu d ’une assemblée morte, des pouvoirs su de prendre une décision dans l'affaire suivante ; 2 (ransferts-paiem! 289' 72) propos, an sujet de l’ordre du jour, de remettre Jamais de la vie on n’avait vu un déméoMO* ; Un cultivateur dM environs qui devait, aux sur iê tapis les lois censtitutionnelles. On que le septennat ne peut être organisé que sous périeurs Aceux mêmes d’une assemblée souve termes de son engagement avec la compagnie ment, ou plutôt emménagement pareil A œ i l . Partant, il rrotait dû aux déporaine nouvellement issue du suffrage unive^l. sucrière d'AbbevilTe, ensemencer avec la graine s’attend A une reprise de l’incident A la fin de la forme républicaine. u i a ’Mt opéré hier, 21, avenoa de PriOdlands La République est, c'est un fait constaté par Le projet Ventavon retiré ou rejeté, il nt fournie par cette compagnie, ayant, semé une sanb A la date du 20 décembre b séance, attente qui emptebe bon nombre de ans l’appartem ent de cette |Mavro Blancbo ' 1874............................... . . . 1,640,759 73 les lois des 17 février et 12 août 1871, par la reste plus rien de l’oeuvre de la commission dM autre graine, s'mI vu refuser 1m bettrravM de dfootés de partir par le train de cinq heures. d’Antigny. loi du 20 novembre, par le projet même Trente. Certifié exact par le Caissier central En attradant, on discute les vacances. H. sa dernière récolte. Il a fait asaigner la compagnie ; A la porte étaient arrêtés : d’abord n i. noo^. sousHani, Quant au projet de grand conMil présenté en livraison ; mab après expertise^ le tribunal Pagès-Duport propose, pour la rentrés, la date rapporté par M. de Ventavon. bfs invraisemblable do grandM voiturm (d«no6. On ne peut môme pas songer sérieusement A ar M. de Bro^lie, il ne noua Mmble pas que A Senlb, le 26 décembre 1874. du l i , que repousse l’Aeseroblée, puis la data de menblM, puis deux émnibiis.' -l’a déboute de sa demande en décidant que la changer le titre du chef de l’État ; il .serait im on s’en soit jamais séricusemtnt occupé. Max. DxuiiAaaK. du 7, égalem«it repoussée. Du premier est aorii un p ^ O n a g e babillô, compagnie avait le droit de refuser de prendre L’AasemUée décide qu’elle reprendra ses possible «i’eti trouver un autre. Un État dont le La sui^e eu procAoin «um«ro). en Turc, et coiffé d’un turban b lu c I' ait ivraison de ses betteravM. gouvernement est électif et temporaire est né travaun b 5 janvier. austère, yeux pMçants. ’ cessairement une République. Tieiit ensuite le projet de loi autorisant la U m aléU d’iMtvMBltoM géMéraU Puis une femme hermétiquement v^Mo t . L’observation de la loi du 20 novembre est ville de Paris Acontracter un emprunt de 220 M X’aïUIOMBUSKIlBNT OB SBMUS. Une seconde femme non moine voiléot - . * < JiB p lft|irn d ieM e« isdB aiM iiutaw tlve. donc incompatible avec toute autre forme de miUieos. Une troisième, une quatrième, u.no doiitièiQi Demain dimancha 27, A I b. 1/2 très pré femme, toujours do ^ u s en plus ^ é è o ^ . M. Durfort de Gvrac propose une réduction, gouvernement. Le maire est de droit mtmWe et président de On a parlé du litre de lieutenant-général du non plue de 2D, mais d’un minimum de 12 toutes les commissions nommées dans le sein cise, dans la sallede l’atacieD Bviché, deuxienae habilléM en OdalisquM : millions, 1m 12 millions du cimetière de Héry* royaume. réunion d’hiver de la SociM. du conseil municipal. Puis un autre Turc, un.gardien do ce Sérieusement, s'il se trouvait dans le pays et Continuation dm cours du dimanche, r - évidemment, et lont cdA est entré obus lAdoiio rar-Oisc. Certains conseils municipaux ont l'habitude SciencM, histoire, géographie, littérature. H. de Chabaud*Latour, prêtant A Paris le dans l'Assemblée une majorité pour proclamer E ia « la is s e d e 1 9 9 4 . cot^hère. Vous voyes d ’id la figuredm bâbitoobi de nommer dans leur sein dM commissions la monarchie, serait-il admissible que H. le ' âèm e aide qu'A Marseille, appuie Im codcIu' On Mt jH'ié d t se m unir de ses le tlr M d'invi du quartier. On avait annoncé que Im soldats de la classe d'étude ctiargéM de préparer la solution dM tation ou deSM cartM de sociétaire. comte de Gbambord, reconnu roi de France, Bons portant sur le cliiffre de IbO miltiens. Reosdgnemenis pris, c’étoit le fàmeax b|M B Par 441 voix contre 197, l’ameodement Dur- attendit pendant six ans à Fresdhorl avant de 1870 allaient Aire renvoyés dans leurs foyers. questions qui leur sont souroisM. de Neuilly qui changMit de pénatM. On sè qoiBien que l’existence de cm commissions n’ait Ce renvoi aurait été motivé par les nécmités revenir prendre possession du trône ^ fort Mt repoussé. vient que ce harem, composé d’une douthniM ‘ S’il se trouvait dans le pays et dans l'assem budgélairM «t par le besoin de réaliser des éço- été forraeltement prévue par aucun texte et Le projet de loi est voté sans modifications. de sulianM, appartient Aun 'Turc do dütihotiop^ ' A V IS L’inrideot attendu ne se produit pas; on blée une majorité pour restaurer l’Empire, le nomlM. Plusieurs membrM de l’Assemblée na qu'elÎM n’aient par conséquent pas de caractère le général Banalad, qui en b it venir'deè 'DOlA^‘ légat, ellM sont admisM dans b pratique, et tionale s'en était émus; mais celte nouvelle Réouverture de l’ancienne maison Donoo, vellM tons Im ans de Constantinople. IvMeMDs bruit M. Buffet fixer l’ordre du jour fils de Napoléon lit attendraii-il A ChUIehurst l'échéance du 20 novembre 1880 ? Poser ces n’avait aucun fondement. Au rapport qui a eu leur utilité ne peut, en aucun cas, être con- épicerie et graineterie, rue Belloh, 9 , A la Udu 5 jaivier, et l’Assemblée se sépare. Le Turc au turban blanc n’était autre que le lieu suivant l'usage, dans tous Im r^im ent^ il tMiée. corae, A Senlis, par H . Oelaruelle,. successeur, général lui-même. questions équivaut A les résoudre. ’ ,. Mais, de cette pratique, M t née la qUMtion LeMptennat ne peut donc être organisé que a é té, en efTet, donné lecture d'une note éma qui s’efforcera par ses soins, la qualité et le bon X. T. Z. Disons, entfo parenibèees, qa’mi 4vdue.Ja sous la ferme républicaine ; mais il est bien née du ministère de la guerre, laquelle déclare' de savoir qu’elle est la situation du maire vu- marché de sm produits, de méntqr la confiance fortnne de cet amateur du bMu sexe Acùnoanto évident aussi que, si cette o ^ n isatio a Mt que Im soldats de la classe de 1870 seront tous ',i-vb dm commissions ainti nommém par Im dont on voudra bien l’honorer. ■ • «ermiiante millimu. sérieuse, si die assure A la loi du 20 novembre maintenus, jusqu’Anouvel ordre, sous IM dra< conseils municipaux. A-t-il mmplemanl le droit de prendre part A leurs travAux, ou est-il apune vittiité suffisante, ta République est défini- peaux. to tm . Dm (MpnUi a t f n inl M nbta o o m n in ' S O L Ü tlO N CONSTITUTIONNELLE tm tt'iu d ^ (I'D*i tan» GONfilËS DE CONSTITUTION GAZETTE DE LA CHAiBRE INF0RM4TI0IIS S S P NOUVELLES DEPARTEMENTALES 1. cet effet dé rt-hdre au greffier une bonne par tie de son sang-froid. — J’epèrc bien qu’il ne m’arrivera .— Enorme. Qu’est-ce que cela signifie, sainte Vierge ! pas malheur, d it-il, cependant, mademoi* i«lle, je n- dois pas vous cacher que le ser CtA quôi faut-il nous attendre !... vice que je vais essayer de vous rendre pré - - E t notre frère qui nous recommande le sente beaucuup plus de difficultés qu'on ne secret!... cruirait... — Il étaR^plus blanc que sa chemise, et af— Mon Dieu!... murmura mademoiselle froosententtroubléi Denise. — Mlle de Ghandoré pleurait comme une — H . Daveline, poursuivit le greffier, n'a lUdelelife. peut-être pas one intelligence très supérieure, C’étnU vrai. Tant qu’elle avait douté du mais il sait son métier, et il est de plus très résidtaii, Mlle Denise avait été soutenue par fin et excessivement défiant Hier encore, il cette idée que le salut de Jacques dépendait me disait qu’il prévoyait que la famille de d i son eoirage A elle, sa fiancée, et de sa M. de Boiscoran tenterait Vimpossible pour le soustraire A l’action de la justice. De lA, présenee d’ew rit. CttitàiDe 00 succès, elle n’avait plus su chez lui, des transes incessantes, un redou m altriaer spqjtootion, e t, brisée par reffort. blement de défiance et un luxe de précautions OUf one chaise en fondant dont on n’a pas l’idée. S'il l’osait, il établirait «Ue t ’était son lit en travers la porte deM. Jacques. . — Cet homme me hait, monsieur Hécbirefermé ta jrorte, le greffier la conAyant refermé moment, ét, ]plas inaltre de soi qo'H net... sM én . . .---------— Non,„mademoisclle, non ; mais il est rtW M étéjosqo’a lo h : ' ambitieux, il'croit que u carrière dépend du *— Mademoiselle; commença-t-il... .Malt, an* ton d o ta voix, elle se dressa, et résultat do-oette instruction, et 11tremble que lai prit les mains qlTeUé g a ra i un instant dans son prévenu ne s'envole ou qu'on ne lui prenne... tm sè in n e s. -i.-Q om nent vous rem ercier, 'iio asieu r, Fort perplexe évidemment, Méchinet se s’é e rü ft-d le , comment vous prouver jamais grattait foreille. — Comment vais je m’y prendre, contil’étondae de ma reconnaissance I SI n dée é u it veoùe.au greffier de se dé- nuait-t-il, pour remettre un billet A M. de diN , elle s« fût eoveléé, tant irrésistiblement Boiscoran f S’il était averti, ce n serait rien. Mais il ne l'est pas. Mai* il est lout aussi déU ;iii4 m iitie charme. . - • Me parlons pas de cela, dll-il, avec la flantoue M. Daveline. Il craint toujours qu’on braaqnsnedes genA qui essayent de dlssimn- ne lui tende qu loue piège, et il se tient sur ses gardes. Si je lui fais un signe, me com ^ i ! f | e t t ^ l ^ ï ê r a i plus, monsieur, fit don- prendra t-il? Et si je fais un signe, M Dave MMMel la jeaue fille, mais Je veux cepen- line, qui a l’œil d'un pie, ne le surprenüra-t* éâatv o aa dire'que nul de nous n’oubliera ja- il p as?... a ^t« U d ette que.nous coatractons aujour — N'ét' S-vous doncjamais seul avec M. de dÜML L’immease service qae vott* a|toz noaa Boiscoran, monsieur?... — Jamais une seconde, mademoiselle ftddML.o!ai4 prn aans daiager. m’a v e rio a s ^ qd’Il adviepae, r a ^ a a - v o n a que; ■G’ost avec le juge d’instruction que j ’entre — * i VfilM tbetea n o tu lesp iâad é- d nw la'pnson ot avec liii que j’en sors. Vous mt direz qo’en so rU it, co m m p je passe le » nW e- G’eot-A-dire pour .une somme considé- ment le billet... Mais, quand nous sortons, le geôlier, qui a de bons yeux, est lA J’aurais, de plus, a redobter l'excès de prudence de M de Boiscoran. Voyant un billet lui arriver de cette façon, il serajtbien capable d è ‘te remettre, sans l’ouvrir, AM. Gatpin-Daveline. Il s'arrêta, et, après un moment, de ré flexion : — Le plus sûr, reprit-il, serait peut-élrede mettre dans la confioence le geôlier Blangin, ou un détenu qui e.st chargé ae servir e t aespionnerM . de Boiscoran... — Frumence Cheminot ! fit vivement ma demoiselle Denise. La plus extrême surprise se peignit sur les traits de Méchinet ~ Vous savez son nom ! dit-il. — Je le sais, parce que Blangin m’a parlé de ce prisonnier, et que son nom m’a frappé le jour oîi Mme de Boiscoran et mol, ignorant ce que c'est que le secret, sommes allées A la prison demander A voir Jacques... Le greffier eut un geste de dépit. — Maintenant, fit-il, je m’cxpliqueflès ter reurs de H. Daveline. Ilau ib eu ventdevotrev démarche et se sera imaginé ôue vous voulier lui enlever son prisonnier.. ^ . Il marmotta entre ses dents quelqueè nrota^ encore que Mlle Denise n’enienait pas; puis' se décidant : — N'importe! prononça-t-il, j'agirai selon les circonstance*. Ecrivez votre lettre, raade* moisclle, voici de l’encre et du papier... Pour toute réponse, la jeune fille s'assit A lu table de Méchinet; mais au moment de piendre la plume : — M. de Boiscoran a-t-il des livres dans sa prison? demanda t-elle. — Oui, mademoiselle. Sur sa demande, H. Daveline est allé de sa personne lui c e rc h e r, chez M. Daubigcon, quelques volumes de voyages et plusieurs romans de Cooper... Une exdamation joyeuse de Mlle Denise l’interrompit. ~ 0 Jacques 1 s’écriH-oUe^ atçrçi d'avotr fi9 » p ( d ia n B 9 ll Et sans remarquer le profond étonnement de Méchinet, elle écrivit : < Nous sommes sûrs de votre innocence, • Jacques, et cependant nous sommes a n •• désespoir. Votre mère est ici, avec un • avocat de Paris, H* Folgat, lout dévoué A • nous intérêts. Que devons nous faire? « Donnez-nous vos instructions. Vouspouvez ■ répondre sans crainte, puisque vous avez • ROTRB livre. — obnisb. • doré en arpentant la place dit Marché-Neuf et en cfinsnltanl sa montre pour la vingtième (ois. Longtemps la crainte de déplaire .A sa etito-Dlle et lapéur d’être gronde le retinrent l’endroit où elle lui avait commandé d’at tendre ; mais A la fin, sérieusement tour menté : Ah! ma foi, tant pis!... se dU-lL je.me Î r i^ e ... Et traversant la chaussée qui sépare la — Lisez, monsieur, dit-elle an greffier, place des maischs, il Feagagea dans le long corridor de l’immeuble des sœurs MéchMiel. dès qu’elle eut terminé. DéjA il mettait le pied sur la prenlière Hais lui, au lieu d'user de la permission, plia le billet qu’elle lui tendait et le glissa m ardie de l’escalier lorsqu'il vit le haut s'éelalràr. Il entendit p r ^ n e anasiiôt la dans une enveloppe qu’il cacheta. — 0 ! vous êtes bon, mnrmura bi jeune voix de sa petite fille et reconnut son pas léger... fille, touchée de cette délicatesse. — E nfin!.. pensa-t-iL — Non, rétm oditil, je chercheslm pleaenl E t, leste comme l’écolier qui entend,venir A taire le plus honnêtement possible une açtlon... malhonnête. Demain, nudemoiselle, venir le maître, tremblant d’étre pris en flagrant délit d'inquiétude, il r e ^ g a a la j ’espère Avoir qne réponse. place. - ^ 'J e viendrai la chercher... Mlle Denise y fut presque en même tèmps, Héebiqel tressaillit. . — ÇAMqz-Vous en bien, mademoiselle, et lui sautant au con : — Mon pApa, ditoliemo M s an t.m tn er ses interrompit-ljl Les gens de Banveterre. sont assez fins pour comprendre que la toilette ne lèvres ftir, les joues rudes du vieillira, je te doit guère vous préoccuper en ce moment, et rapporte tes (mes. S i une chose devait étonner M. de Cbanvos visites ici sembleraient suspectes. Reraetle^T0U8-en A moi du soin de vous faire doré, c’était qu'il se tronvAt en ce monde un être assez dur, assez oruel, assez barbare tenir la réponse de M. de Boiscoran. Pendant que Mlle Denise écrivait, le greffier pour résister aux prières et aux larmes de avait lait un paquet des titres qu’etie avait Mlle Denise — partout A des larmes et A des >pi1èrcs aiqmyées de cent vingt mille francs. apportés. Il le lui remit en disant : Prenez, mademoiselle, s'il me fallait de \\I# Néanmoins :. a le t'fv u s bien dit, chère fillette, fit-il l’argent pour Blangin on pour Frumenoo- i cheminot, je vous le ferais savoir... El main- [M o m e n t, JMA tu M réussirais pas... tenant... partez. Il est inutile f if ^ v o ir mes ^ E t ta TW^fmnpais, bon pq>a, et (u te é o s ii. sœurs. Je me chaire de leur et^liquer votre trompes e n o ^ |'id 'T Teossi. ' puilqiHl B(Vjpp(wrt« visite. VIII q w j 'il trouvi’iiii koniittt m i 'lM iiii» d , c « i ^ garera U q u d l . t e m i n l ', ! a l a i , u r ile a (titiH |< a,iJal«k,l» * depali A U A a ê t n t t | i , cMoi ^ ri évidemment la fortune que je loi ofliraii^ Aussi, il fallait voir l’éclat de ses yeux et In tremblement de ses mains penmint qn’ll regardait ces titres et qu’il les n in la it. EM^ bien ! il les a refusés, bon papa, II les Rfusm Il ne veut pas de récompense pour l’immensf service qu il va nous rendre... De la tête, H. de Ghandoré approuvait : , — Tu as raison, fillette, dit-il, ice 'grMÎNr» est un brave bemme, et qui vient d’aeqqériy des droits éternels A notre reconnaissance... — Il convient d’ajouter, reprit Mlle De* nise, que j’ai été extraordinairement bravA Jamais je ne me serais crae capalile de tani d’audace. Que n’étais-tu caché dans un pettf coin, bon papa, pour me voir et pour m'ei U ndret Tu n’aurais pas reconnu ta petlU fille. J’ai bien pleure un peu, m ils a p ^ qnandj'al obtenu ce que je voulais... — Obi chère, cbèrâ enfantl mnna vieillard ému. C’est que, voia-ln, q n 'a A danger . e r de JaOqaes'et JaOi^es'et  A la globe _____ dâm _____ e trer ‘ ‘ digne de ■ ldi, qoi est si et smT t-f a |^ . ‘r t père qn’ll Mra content dom J frKolv, . — O to e ^ m f ■- . l’était ^ r iKrwSiiîîifSSi'&i . . . F é c H -Mais c^estsobs Iqffalwés o e la plicn Marcbé*Neuf qué calsaiM t lé grantffbm z SA peUte-fill^ et d ^ f ^ r à ' avaient tirouvé le moyM taipsi quatre fais près d’eux, 1 « ormllm oUvertês, fidèl^ A cette dlscfWOA qui est un des hgrémeols de $anyi ne Unia , u k .'«n «iMTCvolr, — On non. kcnnte, ,k H n iir à 4 - i. pére, virai, je te dirai u ju ira roule. Kl en elTet, ionien eheminnni, elle 1,1 n . i c o au ii Joeon e iu mejndree ddikile Invue,-et le vlèui genUjtoiiuH « a i ravoir en vdrildce q a lT u M riille p |« ; d e n p riu n e e d'eoM I k elle M « 4 g ^ im n n i ^ ^ L» UibttDil ocmcUgnDcl de Dooai a été aaUi tout léeeçaq ^t d'une CHrituM afhira. D a u iTroÙM de la commune de F«U (Nord), Fontain» et WnUoMri babUnée b livrer en commun à dee libatiena cojéeiuee, avaient b it depuii plue d'un an la eiogulito cenvMtion euivanie : Au jour du dècte du premier raeu* ' r u t , le eurvivant irait vener sur le cerceuil du d m n t nn dernier vecre de liqueur. Boulanger étant vmu b décéder le premier, Fontaine ee mit en mesure de remplir la promeiee bite b lod abiv promeeaè que ce dernier lui avait rappdéê la veille même de aa mort. 11 ae préaeota au cimetière aveo cinq ver/es de ge* lièvre, en ein-il un b chaque porteur* prit vemenl le cinquième, qn but la moitié et versa leauipluaeurle .cerevûl. Gela ne dpra qu’un iaalant, et l’exercice du culte n'en fut n u ll^ e n t troublé. Cependant Fontaine e .été. déféré b la justice MU rioculpation du d ^ it de violation de aépultû re , ......................... .. • V ’trO»T*qt datti là cause, aicun é l ^ y ^ M a ^ l , ont acquïtlé^ontéin^ mr iMGBmton DB Là conmni • On vient d'afiicber .les tableaux des peines )noncéee par les .conseils de guerre,si^eant b ris durant le troisième trimésVi^ de 1874. Parmi lés iuuigés qui ûgurent sur ces listes, nou8| rema^uona un nOipmé.BaplisttLaudot, ancien ingénieur civil, condamné b cinq ans de travaux forcés. L'bistoire de cet homme est vécitaUement curieuse : doué d'une grande énergie et de beau* coup d’intelligence, il était, avant la guerre, panrionné'de la ville de Paris, et avait fait bbür une rosiaonnelte qui porte le n* 29 de la rue Bertrand. Au moment où-les arméisellemandes maiühuent sur Ibris, il avril été chargé p r le général KénibuSiSécrétaire du comité d’artillerie, de fabriquer des canons, et, plus lard, ce même gémkal Im confia dès canons et des aBùts afin de les mettre an lieu sûr et de les dérober ainsi aux rcchei^esde l’ennemi. Vint la Commune. Laudot ne parla pas des canons qu’il avait cachés ru e Oberkamp, 74. Ils furent découverts, et l’ex*agent du général Mériibas fut ariüté pour ce lait. Son fils, âgé de V}BgP<clnq ans, se.eacbait pour né pas servir les i n s u ^ . En p r i n c e du danger que courait son père, il VoululeSsajèr de le sauver, al-fut a r ^ comme réfractaire. Cependant Laudot père* fut remis en liberté aprèq..|miq jours •dc -détei))ioq A v<^n tour, il easa^' de 'rauver soù^fils. C À t aloib qu'un ravirçtaeqt complet s’opère dans les idées et dans là disposition d'esprit de ces deux hommes, qui se vouent eané réserve au' triomphe de 1insurrection. le fils combat (es armes b la niain et' le '^ r e est chaigé spéolalemenl dé la fabrication des. obue de huit:' Il | met un xèle incroyable 'et d.evieitt un peréonndge très*înflucnt.' â fait .arrêter plusieurs, personnes, et MBéblo vroulmfracheter par son.ardeur révolu K tionnaire ses béiitatioM prenièrai. Après la Vonfce et lab éiriSlIlulH sdentiflquM. Ceet chute de la Oommune» Il disparaît pendant que d’ânord le Tsiir âu Monde, (9 vol. In»4*. 25 son fila est fuaillé, et on ne le retrouve que francs), livre qui Mnvient par excellence b l’hu-. trois ans plus tant, devant le 4*'consrilde m tur vagabonde et inquiète de notre généra tion.. G ^qoatoraièm e année, qui contient lao guerre. Tille est l'odvfsée de cet homme,'-qui doit expéditions .les pluf récrites, est pleine de vaêtre encore aù'Oépét-de la Hoquette. psltle< .riété «t 4 'iP tM - Gé j||eet p u seulement sur maison qu’il avait fbit bbtir rue Bertrand est lerre que (M;uyantf peu8sent Jeun investiga tions, ils vont sonder les profoodeuis de l’Oceen habitée par son père. et intirreger les cspues célestes. Dans lu Abtmts de la yeer. (un vol. in-8* avec 94 gra Kacobo, la deroiw roi des lies Fiji, vient de vures, IQ francs). Je docteur Wyville Thomson fkire un présent b la reine Victoria, en témoi* déèrit les vallées et les montagnes sous-marines, guage en ses hommages respectueux. Ce présent, qu’il a mesurées avee une exactitude presque qui consiste en une supwbe massue de bois de mathématique, et doat il nous détaille la faune fw garnie d’ornements d’argent et de sculptures et-là flore. H. AmMéeQuillemjo, le savant, au vanées, servait de temps immémorial aux rois teur du Ciel, d a Pkénomines de la physique et de Fiji pour assommer ceux de leurs sujets des AppUtationt de la physique, publie un beau, qu’ils condamnaient A iaort. volume sur Içs eométei (un vol. in-8* avec 80 Kacobo, après avoir ' cédé son royaume b gravures, 10 francs). Il y étudie en astronome l’Angleterre,, n’a pas cru devoir garder cette Tes lois, .les manifeslations de ces astrM errants, arme formidable, insigne de sa puissance. et les décrit en écrivain ingénieux et spirituel. .Enfin poyr tout ce qui a trait b la vulgarisation de la scimce, nous avons les beaux ouvrages de H,. Loub Figuier restés classiques en ce genre. KiEfll L I V a i M iT B T t tB I i n i B S Il nous suffira de citer la Terre «vani le tUluge, Les beaux livres ont décidément remplacé Im. les Mammifères, l’Homme primitif, les Races coûteusM futilités du temps jadis. Ils n ont pas humaines et lesSeMnfe illustres, ^ u r rappeler seulement sur les bonbonset les jouets l’avan ces ouvragM aussi amusants qu’inalructiis et tagé d'une incontMlabte utilité, ils o n t surtout qui sont dans toutes les bibliothèques. le privilège d'une Inépuisable variété» Nous n'en Et la jeunesse, dira-t-on, n’a-t-elle pas sa voulons d’autre preuve que la. quantité d’ou- part dans cette fête de l’intelligence dont elle vragee intéressants que la maison I|achette pu est en, quelque sorte Théroine? Soyex sans in blie cstte année. quiétude, c est elle qui est la mieux partagée, Voici .d'abord l’/mfe des Rajah$ de H . Rous- et n’aurait-elle que le Journal de la Jeunesse selet (un vol. in4*, 50 franes), voyage dans (deux vol; in-8', 20 francs), il ne lui serait (las ITnde centrale, pays presque inconnu des Euro permb de se .plaindre. Tout le monde connaît péens et pourtant plein de merveilles que trois ce recueil né d’hier et déjb dans toutes les cents magnifiques gravures font revivre b nos mains, qui, par le luxe de sa typographie et la yeux. Ce volume fait partie de la belle collec beauté de ses gravures, peut lutter avec toutes tion dans laquelle ont déjb paru te/opon d’Aimé 1rs publications illustrées. Du texte, il n’est pas Humbert. le Voyage dan$lAHiérigue du Sud besoin d'en parler, et l'on sait combien il est de Paul Marcoy, le Voyage à exploratiou en varié et intéressant. Non-seulement le Journal indo-Chinedo Francis Garuier, vEfpagne de de lajeuneue fait une lai^e part b l’actualité Charles Dayilliers, et Rome de Francis Wey, littéraire, historique et scientifique, mais il a dont une troisième édition est publiée en ce ses romanciers attitrés, absolument comme ses moment. confrères du grand format. C'est lui qui a pu L’Riffotre de France mconfée d mes petite- blié La terre de servitude (un vol. in-8* avec enfante par U. Guixot (4 vol. in-8% 18 francs 15 gravures, 5 francs), récit dramatique des chacun), qui compte déjà quatre vdiumes et rives africaines, par Henri jStanley, auteur de dont le cinquième et .(leiiaier biratlra l’année Comment j'ai retrouvé Uvingstone. O’estdans prochaine, mérite de figurer b coté de ces beaux ses colonnes qu’ont paru iVous autres (un vol. ouvrages, soit par l’intérét du texte, soit par la in-S*. avec 182 gravures, 9 fïancs), par M. J. beaoie des illustratiops. Ce récit, fait par le Girardin, ouvrage qui n’est pas inférieur aux grand historien aux derniers jours de sa glo Braves gens, tout récemment couronné par rieuse carrière, a pris place au rang de scs l'Académie Iranraiae, l a Fille des Carilis (un oeuvres les plus<remarquables.. Un «uvrage his vol. in-8*. avec 96 gravures, 6 francs), intéràstorique d’un autrâ'genre c’« t VUistôire defeoe- sant récit de Hme uilomb. Cra trou ouvrages tumet en France aipuii let tempe les plus re- font partie d ’une nouvelle collection in-8*, à ' eulés jusgu'à nos jours, par H. Quichcrat (un l'usage de la jeunesse, qui a obtenu le plus vif vol. in-8* avec 481 gravures, 20 fraies). C'est succM. Enfin il ne faut m oublier la perle du roun curieux spoclacle de voir défiler tous ces' rueil, la Fille aux pieas nus (un vol. in-4* avec Mtsonnages ainsi accoutrés, depuis le Gallo- 75 gravures, .25 francs), délicieuse pastora(p Romain, ou la France de la cour de Charled’Auerbach, traduite par Gourdnull, et qui mé magne, jusqu’au chevalier do XVIll* siècle et ritait .bien les honneurs d’une édition de luxe. à rincroyable du Directoire. . Que dire que Ton rie sache déjb de cette Bi Hais il n’y a pas que de l'histoire i- voici les bliothèque d p merveilles, encyclopédie illuitrée du dix-oeuvième siècle, qui sa* trouve dans tontas las roair», sinon quelle vieul.de f^enrichir du quatre nouveaux volumes : le Fsr, par GarniM: /mFoisi'Jm. parTissandier: les merveilles du dévouement, parHiclielHasson; Finsftuef .««(enué. des Animaux, par Ernest Henault. Et la Bibliothèque rose illustrée (2 vol. in^l8 illustrés, 2 fr. & c.), qui ne la connaît, ui n’u iu.cM psgM cbarmaolcs écrites par tant ’éerivains de talent, qui se sont mis b la portée des jeunrs. intelligences. Combien les habitui'’s de cette colleetion vent être heureux en lisant : En eosmé et Bigarette, par HUe Zénalde Fleuriot: uutoiredemesamis, parAmédéeAcbard; ■les D w Enfants de Saint-Domingue, par Hlle JulieGoiiraud; Roèrufoimeffe. par Eugène Hui ler; les poches de mon Oncle, par Urne de Stoli, et fa Petite Fille aux GrandMères, par Mme.de Witt, née GûÎMt. Quant aux tout petits iecteù|S, b ceux chex qui les idées n’arrivent escore que sous forme de sensations, voici pour eux le magasin des Petits Enfants, albums in-4*, 2 tnncs (m-8*, 1 franc) ovm sw couleura brillant«u;4Mi personnages fiintastiques qui vont leur arrachèr des cris de joie, et stimuler le sentiment de la curiorité dans ces jeunes ima ginations. ' En terminant, rapprions cette oeuvre magis trale qui fil une si grande sensation Tannée der nière, Les soiste ÈvangUes (2 vol. in-l*, 500 francs), avec Ira 128 compositions de M. Bida^ qui »/nt autaal de pages de maîtres, et les riches ôrnemeots de If. Rossigneux. Ce n’est Ius de la librririe, c’est de Tart; c'est plutôt ans une galerie de tableaux que dans une bi bliothèque qu^il faut placer cet ouvrage resté sans précédeolicomme sans ^ i , et que la cri tique à unanimement proclamé le chef-d'œuvre typographique du dix-neuvième siècle. leur venir « aide. L^ahiicA, U mélimb, Hi avaient sons la main toutu une floru stMM- K t n o n t a boii i c l M i t 'A < chique et cordiale. dM bM nlieft M l u r i » , (N4^11 lu flrrat la Bénédictine. V a U a p u tH l, • . ■III tf.K t Va direeleur-j|éfiénl actuel de là-célèbre dis C n i g C d I r a v «nU K U qM eeM d» ' tillerie fécampoise, ^ A. Lagraod, dent un des rents étpit, en 1668, procureur flugl é à j’fh*. yè, à recueilli, avec une patisi.ce digne d’uo' . P f le u n csdrw en boM sealplé, te enAteal* homme qui louche de si près aux béoédiclins, Hibé de la Roche-ifias» «|-«àiii I m J Z l ê tout CA que les moines d’avant la Révolution demiM pneur de Tantiqub abbsM, a m v tm ilâ avaient laissé, dans le pays, de trésora, de curio yiux étonnés devant la machioe b vépsnr é n sités, de précieux documents. marche jour .# nuit. • A la distillerie de la. DénédicUne est annexé U liqueur béoédietioe est ictnallsniirt ■iü)^ un véritable musée, une des plus belles collec des plus répandues. Les quantités cotesntei.fil tions particulières qu'il nous ait été donné de s’en fàbriquvnt annuelteaiéat s’euM tent ItiÜB voir. le monde entier. La France, lltalie, TAIkM» IropoMible de décrire toutes ces merveilles, mie, l'Autriche, b Ruse'ie, Isa BUte4laii, l«i il faudrait un volume él non pas un simple ar Indes et même le Japon en rnnsnM silt nM ticle de journal. grande qbantité. Il y a dos bibliothèques renaissance, des Bref, de tous cm travaux mlnnUanx qn’M t stalles gothiques, des bahuia de ta même épo- accomplis Im moines, de toutes ces leeheidiep ue, un Ghnslen ivoire attribué b Gharabon, patientes qu’ils ont i'ailM b travers h sctelMn es cyboires bjuntins, des émaux incompara et b InvMs l’histoire, de leurs vsüIm m m An, bles, des encensoirs et uns crosse abejlàl*, des de leurs labeurs sans jssùe, qon rcàte-Uran* * reliquaires, des chasubles étincelantedql^lW ^' jourd’huif Une liqueur. Si Ton pnitesMSM tlaé fines, des calices en orsplendidement obvngés, Bénédictina, c’est gr&ce b la déliasnsf Béaédte*. des médaillons, des cachets, des sceaux ayant appartenu au couvent, d’admirables panneaux en chêne sculpté, des siégea b trèfles, des fhuleuils b pieds tors, des cuirs de CoMoue, des L ite r a lid le H a c l a e l ic « i C # . cuivrw, des étains, des parchemins, d’exquises boulevard St-6ermain, 79, Parié. miniatures enrichissant des manuscrits de la Le D le b iM a m a lre -Ae \m ÉAuHniM meilleure époque, un amoncellement de ri f r a D f i ü s e , par E. L tm é , de chesses et de raretés commu Daluc, malgré son française, ouvrage entièrenient tcnniiri,'- es( imagination exubérante, n’avait jamais osé en publié'en h'snusoM à 1 rêver pour son Cousin Pons. L’ouvrage Mmplet formera 110 Uvraiaont. n Ajoutez b cela une bibliothèque qui renferme paraît un fascicule lesamedi decbaqnessmain^ depuis les traités d’alchimie datant de l’inven arpuis le 15 février 1873. tion de l’imprimerie, jusqu’au famAux Recweif Le 97* fascicule, SOI b SOU, est en vents. des historiens des Gaules, par Dom Bouquet. Puis une collection de manuscrits dont TlnstDe tout temps, les préparations belMwiqBM BÉNéoicrms bt DéNÉoicTiuB. — On ne peut tilul de France a plusieurs fois demandé la ont jouit d’une vogue mAritée pour gnérir lêé passer b Fécamp sans visiter Tune de ses- communication. Des manuscrits renfermant toux, rhumes, cabrrhes, broncbilM, imtatiens des trésors de science et d’érudition, tout pleins grandes curiMités, son Louvre ou plutôt son de notes, de renvois, de commentaires; des de poitrine. Le SIROP et la PATE DE SEVE musée de Cluny. DE PIN de LAGASSE, qui contiennent lés. Je veux parirrdu fameux ■ Husée de la Bé abrégés chronolc^iques depuis le commence principes balsamiqura et m ineuxdti.jpn mari?: ment du monde jusqu’au Déluge, des travaux nédictine. • time, sont aujourà’hui les produits Us plus de médecine, des documents historiques et cet Vous connaisses la Bénédictinet recherchés centre ces affections et sont de C'est une délicieuse liqueur, fabriquée pour art étonnant de vérifier les dates donnant le ver beaucoup supérieures aux Htes et Sirops de. tige b ceux qui essayent d'y comprendre quelque la première fois en 1510. sous Tadminislration chuse. Tolu, de Goudron, etc. — Dépôt dans tes prisd’Antoine II, abbé de Fécamp, par les moines Les richesses du Husée s’étendent' jusqu’aux cipalee pharmacies et drogueries. bénédictins de Tabbaye. Le Propriitaire-Gérant : Ernest TàVin. Habitant au milieu des marais et sur le bord salles de travail. L’opération de la mise en boude la mer, dans un climat froid et humide, accabl^ par des éludes incessantes, privés de distraeliôns et d'exercices corporels, il rat tout naturel qne les bénédictins aient songé b com poser une liqueur exquise et agréable au goût, nonne, à Teslomac, très-digestive et anii-apoplectique, dont l'absorption soit un préservatif contre les épidémies et ramène la vie et la vi gueur dans les corps défaillants par Tège ou usés par les travaux intellectuels. Les falaises aux pieds desquelles s’élevait le monastère leur procuraient des plantes aroma Grand assortiment de Livres d’étrennes. — Registres de toim formats. tiques qui paraissaient créées tout exprès pour I Agendas. — Calendriers. — Fournitures de bureaux. — Almanachs. K 3 a S Imprimerie et Librairie B. FITBI, à Senlk , IM P R E S S IO N D E C A R T E S D E V IS IT E m em m i|^MM#P«ç>9 J a d i e ^ i r e s * ^ Etude -de E m il e O o l l e t » avoué iParis,ruedesD 9ux-Ecus, 15. (sBccesseur de H. Girauld). :V e M te s a r l i e i i a t i o n ’ mnmx HUBUBa BT MINBUM, Aux plus offrants et derniers enchéris seurs, > En Taudiènce. dM criées du tribunal de premièraiaatânce de la Seiné, séant' .au Palais de Justice, b Parts, b deux heures de relevée, EifB ^ M c itiT e . Duflocq , nommé à celte fonction aux termes de la délibération suséooncée et datée ; Il sera procédé, le samedi vingUtrois janvier 1875, à deux heures de relevée, ail Palais de Justice, b Paria, b la venté sur licitation, au plus offrant et dernier enchérisseur, en quatre Iota,' des immeubles dont la désignation suit : D É 8 I0 IV A T 1 0 IV T r o is i è m e L o t. F erm e de P la illy, et pièces de terre et prés en dépendant. La feruM de Plailly, située ^ U com mune de ce nom, canton et arronditsement de Senlis (Oise), comprend mai p ç . LA . son beurgeoise, bâtiments-pour l’ex ploitation de la ferme et jaraiu, le tout conletaant. trois hectares six arm quaSias b PLAlLLŸ, caritôn et arrondisse- ‘rante-treis centiares. ' . ment de Senlis (Oise), ' Elle est portée au cadastre aoui les Cd'At«rt^nt « n m ro n ,3 hectares numéros 282,383,286 b 293 dé te sec ' ' ■ 6 dres 43 centtafee, . . tion A. s t u« . Le troisième lot comprend en outre ; i M l i e c t i M ^ 8 0 i i r a V 9 e« Cent trente-neufhectares quatra-vingb ares soixante-douxe centiares de terre et S b ra r Int«ivin(jl.HOR^FONTAINE prés dont la désignation suit; I . — T e m t r die P l u i l i r . ■PLAlLl.Y, 'canton et. arrondisàsmmt d t Sepliâ (p M , MOUBST-LE-NEUF, 1. — Deux hecures cantéii dé Damihartin, arrondissement, cinquaoteelun ares trente de Veaux (Bein»el-Harne), de SAINT- centiares, lieu dit le Vil ViVîZ, canton de Lùarches, arron lage, seelion A du cadastre dissement de pQB.toisé (Seino-et-Oise), numéros 308 et 309, ci 3 51 30 2 .— TrentoquatrearM ' 4 * L O T , d ’u n , 1 » . L O T , ç t c . , ^ e tc ., F éro ie d e P ta illy de T erres e t P rés P etit Bois liso dit le Houlin Brilé, sis b EVE, cantM dé Nant«uil-Ie-Haudouin, aifondissemMil de Sentis (Oise).. L’adio^catioji s o n Uen le S s a t m l i w ï e g é - l r e l e J M a v I e r I8IT&, A deux heures, ir * cinq centiares de terre, lieu d it le PruneU,section A, numéro 2, ci * 3. — Dn hectare Mixante-dix-buitafM trente- 34 05 cinq centiares de terré, lieu d it le Pon^-SaintLouis, section B, buméri) l.d 1 78 35 4. — Six hèctareaqus,rante-aept arm vingt et On teit savoir b tous ceint >qu’il un centiarm de terre, abM itiepdra .* mèBM lieu dit, section B, exécution d'un, jugement numéro 14, ci 6 47 21 conindictoireinent rendu entre les 5. — Vingbdeia .§Mi • • pafriébydériômmées-psr-U soixante-'sept cènüarM chambre du tribunal civil de la Seine, . de terre, lieu dit te IteutleèdouM décembre 1874, enregistré de Gaillon, seclioo B, nu etrignlfié) « méro 28, ci » 22 67 E l auA r é p è te , poursuite e t. dili6. — Deux hactarM geaoe de : . q. seiie arra de terre, même 1* H idam é Aogéliqiie-Opportuner lieu dit, section B, numé Hamlqie-Alexaodrlne Deherain, sans ro 26, ci2 16 • profession, demeurant à Paris, bou7. — Quatre hcctarra fevart Halesberbes, numéro- 9 , trente-deux arra quatre* veuve de H . Isidore-Etieniie Duflocq; vingt-quinie centiarH de t**-!!. Louià4sidore Ouflocq* pror terre, lieu dit le Fond de priéuire, demeurant à Paris, rue du Névai, section B,fluméro RocMr/Btaniérq'80v 3 9 e l4 1 ,d 4 81 95 S*4 L ' Charles-Etienne Duflocq, 8 .—Un hectare Mixanpropriiailre, demeurant A Paria, rue te-quatorM arM dnq ceodu Rocher, numéro 50; tUree de terre, lieu dit le Ayant M ur avoué H* Françols- Food de Néval, aectioa B, E n lie Collet, demeurant b Paris, m e nunéro 51, d I 74 des b e u ï-E w s, numéro 1]5 ; 9. — Trente-quatre En présence de : ares cinquante cenuarH, H. Plerre-Paul Deherain, chimiste,même lieu dit, aectioa B, deideàrfhl I Paria, rite de Madrid, numéro 60, d • ; 34 8Q 40. — Quatre-viogl' i i au nom e j jcopm e iijiteur siX! arin aoixante4ix cenM joüneùrs. Peôl-^Bmaadre Ubrasdetene, liati dit te » { îtew ériiiqr^iM «f‘Ihifloc<L Fôiitàineraux-Gorbraux, ipeüafrde tu te u r ir a ls o p 4a- eaetion D, iHfaiib 80; cL. e ' (98 70 ppum J oI M ^ ^ ^ ' AxUtaiil éflitre 14. — TrefAe^aitarM .iniBeors e t madame veuve soixante OMlterae, mémo 'DARocq, jéurasèré et l ù t ^ natürelie lieu dit, ààetioB B, lé* et iëia te i nbminé b cetté fonction par roéro 85, d » 88 90 dom eraim à .d q . conseil de .famille 42. — Un heelarfe aeideM iu mineurs,, tenue sous la iiré- u n te ares qnafànte>dBq sldeheè flé M. te jugé dé w ix d« centiarea dt-'lerre, lieu hûnième arrondissenient de Paria, le dit te Pelite4ole, «ection le selxe juin 1874, e n reglsléée;^ B,auteérô l 0 5 ,d . i 60 48 Ayattt pour avoué H* Edme-Henri 18. — Seize arM qiiaLeyesgiie, demeurant ÿ Paris, rne des rante-dnq centiarm de Bêna-Bnfania, numéro t l t terre, lieu dit la FaméE l encore on présenee, od lui Traversin, section B, nu méro 123, ci* t 49 45 ïouffllD, p ro 14. Sept arM 'foiprilinlre, d'emeuraut b Paris, rne de xailte centiares ,* m ia e Beriln, n a m è o ^ . lieu dit, sectiouB, numéro A ^ n t au subrogé 1 2 7 ,d . . 07 00 intànl' ad Ans', f im n l ronotloo de Ajreporteè 28 10 88 inbregé-tntetM ’ «(Bauf* Report 15. T- Trente-sept ares cinq centiares , même lieu dit, section B, nu méro 131, ci. 16. — Dix-neuf aras trente centiares^ même lieu dit section B, numéro 135, d . 17. — Deux hectarm dix-neul ares trente-cinq centiarm, Hqu dit Arnoupré ou Renoupré ; section B, numéro 137, ci. 18. — Quarante-cinq ares cinq centiares, même lieu dit, uclioa B,- bur méro 139, ci. 19. — Un hectare trente arescinquante cen tiares, même lieu dit, section C, numéro 4, ci. 20. — Dix-sept ares quinze cenliarra de terre, heu dit te Fontaine-Bridet, section C, numéro 12, ci. 21. — Trente-huit ares de terne, lieu dit Arnoupré du Rena^ré, section G, numéro 17, ci. 22. — Trentc-cinqares trente centiares, même lieu dit, section C, numé ro 19,. ci. 23. -Trente-neufaies soixante-dix centiares de terre et pré, lieu dit la Fontaine-Bridet, section C* numéros 22 et 23, ci. 24. — Quinze sros cinq centiares, même lieu dit, section G, numéro 44,: ci. 25. — Un hectare dnquante-Mx ares soixaiitecinq-centiares de terre et pré, lieu dK l’Erable, aeo tion C, humétdaSS et 55; 23 10 88 s 37 05 • 19 30 . 2 19 • 45 4 30 • 17 35 05 50 15 • 38 » 35 ■ 39 » 45 30 70 05 .' 1 56. 65 6. — Deux heclarM soixante et. qn |m ..q u a -. trei-vioigt;-cinq centiàres de terre et pré*' même lieu dit, section C, numé ro 65 et 66, d . 2 61 27* — Quatre-vingtneuf. ares quàbe-vingtcinq centiarM de terre,même lieu dit, section C, numéro 81, d . • 89 28. — ^ixaiite et im ares quatre*viDgt,-ciaq centiares de terra, inême lieu dit, lection.C, numé ro 1 1 f ,d ;. > 91 29. —r Un h e d a n querante-aiX <.arM quatrevingt-cinq ceotlarM de terra, m êM liêudit, sec tion C, numéro 119 bli et 120, d . I 46 30. Un hectire quinxb. arM dnqwfnte Centura» de terre* lien dit TAv»aoe,Nrà GroeChêoe, •ècUon t^oam éro 422, d : 4 15 81. 'Quimà aresquaianteicenliarM, même lieu dit, M iç liè n C, iuméro l2 4 ,'c n • 15 82. Trèate-aix ans de terra, Mênte^ia» dit, sectien Cr-^numéro 131, . d. « s e ' 33. — Vingbdnq arM cinquaal4M|oatra c«ntiarM de teri^'^Mo dit te Fontaine deuBrmitea, sec tion D; numéro B bis, ci. . • 34. —• Quirante-neof ares quarante centteiM de terre, lieu dit, te Trou de NisMu, section D, nu méro ^4» 01• 85. -7-. Quarante-six arM tiMte hiatiarM de ■ ■. M 40 30 46 10 37 35 05 > 65 60 60 • un centiarM de terre* lieu dit la sente de Vémars, " section E, numéro 129, 85 85 85 83 09 40 » 25 54 49 49 m Report 38 56 terre, même lieu dit, sec tion D. numéro 32, ci. » 46 36. — Quatre hectares quarante-neuf ares qua rante centiares de terre, lieu dit la Fontaine Do due, section D, numéro 67. d . 4 49 - 37. — Trois hectarestreize ares dix centiares, . lieu dit le Pré Daudon et : . Maison Rouge, sections >. E, N, numéros 7, 8, 73, 75, ci. . 3 13 38. — Huit ares trente- i>w sept centiares de~ lerte, ........... lieu dit te Fontaine Blali- • ' che, section E, numéro 66, ci. '» 8 39. — Cinquante-neuf ■ arm trenle^inq centiares, même lieu dit, section E, numéro 66, ci. 59 40. •— Cinquante ares cinq centiares de terre, lieu dit les Vieilles-PlâtrièrM , section E, numé* m 83, ci ■ 50 41. — Dix ares de terre, même lieu dit, section E, numéro 94, d t 10 42. ~ ^ p t ares soi xante-cinq centiares de terre, lieu dit la Sente de TAugel, section Ë, nu méro 1(>3, ci. • 7 43. Six ares soixan te centiares de terre, mê me lieu dit. section E, numéro 166, ci. > 6 44. > - Un hectare soi xante centiares de terre, lieu dit le Vivier, section E. numéro 111, ci. i • 45. — Trente-huit arM de terre, lieu dit TAuget,, iMctioD E, numéro' 122,-* > ci. • » 38 46. — Deux hectares quinze arra quatre-vingt- ' li 2 15 47. -— Cinquanlé-deux ares soixante centiares de t»rre, même lieu dit, se> tion E, numéro 142, ci. »j|[52 48. — Trente-lrais ares vingt cenliarM de terre, lieu dit Preste, sec tion F, numéro 28, ci. a 33 49. — Deux hectarM quatre ares cinquante centiarM de te rr e , lieu dit Preste, section F, nu méro 34, ci. 2 4 50. — Trente-huit ares trente centiares de terra, lieu dit te Vivier, section F, Buroéro67, Â. a», 88 51. — Un hectare soi* j<, xante-dix-neuf a n s wixante-quiuze centiarM de i te rre , lieu dit te Noue, section F, numéros 68 et 69. d . . i 79 52.-*-Quatre-vîngl-dix arM quafaotecentiares de*, terra, lièu dit te Noue, section F, numéro 77, d . 90 53. — Trente-huit ares soixante-dix centiares de terre, lieu dit te Noue, section F, nureére 78, ci. 54. — Trente-qnatre arcs swxante-dix ceiliarm de terra, lieu dit le Taillis Jean-Bossu. sec tion H, numéro 17, ri. 34 55. ** Trente ares soi xante-cinq centiarMde terre, même lieu dit* sec tion H, Quroéro 19, ri, 80 56. ~ Soixante-douM srM aoiunle ceotiarM de terra, lieu dit te GroixA report* M M 81 60 20 50 SOg 75 40 70 65 18 Repart 58 64 Rûlet, section H, numé ro 35, ci. > 72 57. — Trente • cinq ares soixante - quinze centiares de terre, mémo lieu dit, section H, numé ro 38, ci. > 35 -• Gnquante-sept ares soixante-quinu cen tiares de terre, même lieu dit, section U, numéro 41, ci. ■ 57 59. — Deux hectares trente-six ares seize cen tiares de terre, même lieu dit, section U,numéro 48 ci. 2 36 60. — Dix-neuf ares trente centiares de terre, lieu dit la Fosse-au-Roi, section J, numéro 8, ci.^ • 19 61. — Un hectare huit arM dix centiares de ter re, même lieu dit, sec tion J, numéro 15, ci. 1 8 62. — Douze ares soi xante-dix-huit centiarra de terre, lieu dit le Fonddes-Thenières, section J, numéro 52, ci. » 12' 63. — Soixante-quatre ares trente-cinq centiarm de terre, au même lieu dit, section J, numéro 57, ci. • 64 64. — Treize ares quatre-viiigt-trois cenliarra de terre, lieu dit le Fond-duHargeny, section J, numé ro 68, ci. *,13 65. — Cinquante-etUD ares cinquante centia res de terre, lieu dit la Lengueraie, section J, nu méro l(n , ci. • 51 66. — Quatre-vingttrois ares quatre-vingt-dix centiares de terre, même lieu dit, section J, numé ro 107, ci. » 83 67. — Douze ares quatre-vingt-cinq centiarra de terre, même lieu dit, section J, numéro 112, ci. > 12 68. — Trante-huitarra soixante centiares, même lieu dit, recUon J, numé ro 115, ci. . 88 69. — UnTiectare douze 18 60 75 75 16 30 10 78 35 83 50 90 85 60 ares soixante-quinze cenliarM,lieudillMGarreaux, section J, numéro 122, ci. 70. — Quarante-deux arra vingt centiares, lieu dit le Greisil, section J, numéro 140, ci. 71. — Quarante-cinq arcs quinze centiares, te nant le Val Rabourg, zeotion K, numéro 19,ci. — Tingt-ciuq arra quatre-vingts cenliarM de terra, lieu dit Gsnetray, section K, numéro 31, Cl. 73. — Soixante-quinze ares dix cenliarM de t m e , même lieu dit, section K, nuroéra 63, ci 74. — Cinquante-sept ares soixante-quinze centiarra de terre, même lieu dit, aection K, numéro 57, ci. 75. — Cinquante-six arraseptcentiarradeterra, mèrt.e lieu dit, section K, Dum^o 62, ci. 76. — Trente ares quatre-vingt-quinze cen tiares de terre, même lieu dit, eeclIoD K* numéro 71, ci. 77. — Vingt-cinq ares quatre-vingt cenliarra de terre, lieu dit Mahelle, section K, numéro 94, ci. 7 t. — Trvnte-hutlaira ^ reporter 1 12 75 > 42 20 * 15 45 > 25 80 s 75 10 • 57 75 » 56 07 * 30 95 » 25 80 _ _ _ _ 71 58 t? Report 71 53 soixante-dix centiares de terre, même lieu dit, s e o tion K,numéro110, ci. • 38 79.-—Trente-deux ares □ualre-vingl-dix centiares de terre, même lieu dit, section K, numéro 118, ci. • 32 80. — Vingt-six ares soixante-cinq centiares de terre, lieu dit les VieuxMoulins, sixtion K, numé ro 161, ci. I 26 81. — Dix-sept ares quatro-vlngl-dix centiares de terre, lieu dit le (Cou vai, section L, numéro 17 82. — Vingt-neuf ares de terre, même lieu dit, sectionL, numéro 63, ci. > 29 83. — Dix-neuf ares trente cenliarra de terre, lieu dit le Pré-Villard, section H, numéro 1, ci. ■ 19 84. — Cinq hectares quatre-vingt-quinze ares quatra-vingt-dix centiares de terre, même lieu dit, section H, numéro 8, ci. 5 95 85. Vingt-six ares cinquante-cinq centiares de terre, lieu dit l’OrmeSalmon, section H, nu méro 30, ci. » 26 86. — Quinze ares soi xante centiares de terre, lieu dit Sente-de-la Jonchère, section N, num^ r o l6 ,c i. • 15 87. — Douze ares cin quante-huit centiares de terre, lieii dit la Légère, section N, numéro 102, ci. » 12 Report 112 huit ares soixante centia res de terre, lieu dit IM Uselles, section E, numé ro 106, ci. • 99. — Quarante-et-un ares vingt^cinq rantiam de terre, même lieu dit, section E, numéro 109, c i. • 100. — Soixante arra trente centiares d t terre, même lieu dit, section E, numéro 122, cî. • 101.— Quatre-vingtdix arra vingt centiarra de terre, même lieu dit,section E, numéro126, ci. • 90 102. — Cinquante-cinq arra trente centiarra de terre, lieu dit Ira Usuel • les, sration E, numéro 132. ci. • 103. — Quatre-vingtdix-huit ares cinquante30 neuf centiares de terra, même lieu dit, section B, numéro 134, ci. • , 104. — 'Trente et un aras soiunte-quinze cen 90 tiares de terre, même lien dit, section E, nu méro 139, ci. » 105. — Soixante et onze ares quinze cenliaras 55 (le terre, même lieu dit, section E, numéro 141, • 106. — Cinquantedeux ares seize centiarra 60 de teite, même lieu dit, section E, numéro 152, ci. 107. Quaranteuatre arra vingt centiarra 58 e terre, même lieudit, II. — T era^lr rie IleràefeM* section E, numéro 175, • Z a ia e . 107.-— Hail.beclarra 88. — Douze hectares quatre arra trente-deux vingt-et-un arra vingtcentiarrade terre, lieu dit quatre centiares de terre, la Hare-aux-Hoines, sec lieudit tes Uselles, section tion E, numéro 137 et G, numéro 139, ci. 12 21 24 181. ci. 8 ). — Cinquante-cinq 109. Un hectan ares trente-quatre centia treize ares vingt-cinq cen res de terre, lieu dit 1e tiares de terre, lieu dit le Petit-Pommeret, section Fcssé-de-Blossière, section D, numéro 32, ci. * 55 34 E, numéro 185, ci. 1 90. — Trois hectares 110. — Quaran(e<4ix soixante-trois ares cin arcs da terre, même lieu quante-huit cenliarra de dit, section E, numéro terre, même lieu dit, sec 189, ci. » tion D, numéro 38 bis, l i t . — Trois hectarM 3 63 58 soixante-trois arra rai91. — Cinquante ares xante-dix centiarra, mê dix centiarra de terre, me lieu dit, section E, même lieu dit, section D, numéro 196, ci. 3 numéro 45, ci, • 50 10 112, — ^ixantooeize 92. — Six hectares arra quarante centiarra de quatre-vingt deux ares de terre, même lieu dit, sec terre, lieu dit le Grandtion E, numéro 197, ci. • Pommeret, section D , III. numéro 65, ci. 6 82 » 93. — Un hectare vingt-huit ares trente113. — ViMt-deuz trois centiarra de terre, arra trente centurM de lieu dit le Fossé^e-Dlosterra, lieu dit te Lampe, siëre, section E, numéro section A, n u m ^ 19 bis, >, Cl. 1 28 83 ci* . • 94. — Six hactarM un 114.~Vingl-bait arra art trenlt-tix centiarrade trente-trois ceotiaras de terre, lieu dit le Pontterre, même Heu dit, sec Saint-Louis, section E, tion A; numéro 22, d . • numéro 72, ci. 6 01 115. — Vingt-huit 9,V. — Neuf ares trente ares quatre-vingt-dixcenliarra d t terre, même huit centiarra de terre, lieu dit, section E, nu même lieu dit. section A, méro 74, ci. • 09 numéro 24, a . • 96. -> Quatorw arra 116. — Quatre-vingts quinze centiarra de terre, ares quarante-neuf cen même lieu dit, section E, tiarra de (erre, lieu dit numéro 76, ci. » 14 los Prée^iiéroiaet, aection 97. —- Un hectare A, numéro I , ri • trente sept ares soixante117. — Cinquante arra six centiarra, lieu dit te soixante-six centiares d» Hare-Baignoire,seclionE, terre, même lieu dit, secnuméro 101, ci. 1 37 tien A, numéro 21, ri » 98. — ^iiaateHlix118. — Srixantetn» A report* 112 8 i 31. 81 78 60 41 25 ' 60 30 90 20 ‘ 55 30 98 59 31 75 71 15 52 16 Î A 44 20 0* s a 13 25 46 • 63 7Q 76 40 22 80 28 88 28 M 80 49 60 I # > 1 .1 . « n n fir JO U K U tlB B im U S. J i l iMMciMin# 4fin» (iniplfauée d toiito ' « « fre d e e n n a tiM i. Btudé d t rii* B rillé ilm É l, comral»* 1 MirO'ifiéaMir.A-SfmUs itaiiK i:c............. ' i»H ii;..' GUnUOT, n M i , et ÀGUKtOB, notaireéP u i^ . W 'I i m f à e U .e e A N M ^ U ta .m t JeaU iIM n t éê HoBlniélitnl, > # « .11, w m k o 86, V-. o ■ 8f 88 Etude de M *A ein »ie V M StM yw , avoué à senlis (Oia), rue Neuv«Hie4*ari8, n*. 17, succeaeu r de M*Pndur. Ve«4e M ir L iie lla tio n urrtR MAiiuu n Minsuas, Par to minUtère de H* Hobbl, notaire i Sentie, commis d eel effet, >1184 . «n Tnnt»*(nN« *Pf|B«att‘UOÛ p tirre , ÜM d illa b«Mtioo B, numé* roS84,ei ir i Iil,' i'I I' • 88 58 J m r - Trtata-deuz M M M m , lieu du le SlÜVhfiMM, MCtion B, ^fM Q.dOS, ci . • 32 ..I S B ^ -r B e iie M M V llm ilU re e de terre, nlm U ftUtdit, MclioQ B, M n ir o 407, ci • 78 128. X-SeixaDte«dixhuit aree doquante ceatiarea dé terre, lieu dit le< Gué-d’Orieot, eecUon B, |jiUQjto^465.«t461, ci • 78 * r? tün hectare deux artif, quarante ceo* iiaifs'de l é ^ même lieu ^ ^ H d iu i i.B , numéioe 1 02 126. — Oucnnla^^inq ares, q tu ^ rjn g t-q u a lre oentiam de terre, lieu ditlee H aïaàiude SaiotWili{<aeeUoD B. ouméro m ^à . 45 116. — Quarante^ix àréi de terre, lieu dii la Fbaee aux Boucs, sectioo B , numéro 500. ci » 46 127.— CiaqaaDte*deux •res treiite*cioq centiares déterre, lieu dit lé Buiseenrffloeoort, section G, ouméro 185, ci ■ 52 128. — DiX'Oeui ares tingt-dnq centiares de te r e , lien dit l’a in e * j;eectienG nG,nu* n é ro 2 4 9 . ci 19 Total : 139 80 En ajoutant à cette coatenance celle de la ferme et des bltimentien dépeodiôt,8oil 3 00 On bouVe un totalde 142 87 Iji^^DteoanceréeuUe le b it conlradicntre H. Du* flocq et ses voisins: mais d’après les titres, le troiaièMet<ftiBStitidiqué d’une ooateoance de 142 90 DEUX MAISOXS six Fièees^i Terre et Pré 50 40 84 • 35 35 72 63 «i«me> l « , « 0 « f r . T rèi-^elle chasse réservée > d a n s le bail. Q u a t r i è m e L o t. Un petit bois, sis à Eve, canton de Nanteail'le-Haudouio, arrondissement de 801^^(0110), lieu dit le Moulin Brûlé, contenant environ vinsl ares quatrèv i i ^ centiares, section G, numéro 450. U b r e Me leeetlem. M lS li» A P R IX Outre l a chargn, d a n s a et condi* Uoôi conlennes au cahier d « c h a r ^ , l a enchèra seront reçu a sur l a m isa è prix 6xéa par le jugement du douM décembre 1874, savoir: J S “a * J n ; ’. J r 3 0 0 , 0 0 0 1 . Qnatrième lot, cinq SAM cents Iran ce, c i.................... MM, Fait et rédigé à P aris, par lavoué poum uinnt soussigné, le dix huit dé* conbie 1874. Signé : COLLET. Enregjslré à Paris, le dix*huit décembre 1874, folio 78, recto, rase 1. Reçu un <franè quatre*Tiogt*hult centim a, décim a compris, Signé : BoonaLOirs. 'S ’adresser pour 1m remeignementt IjUAMîEiqi.1 COLLET, avoué poursnivant, dépositaire d’une copie de l'en* chère, rue u a Deui-Ecus, numéro 15; 2* A M* FOVART. notaire à Paris, boulevart Haussmann, numéro 94; S^.A Puiu.v, à H. SAINT&BEUYE. fomier. Pour insertion, Signé: COLLET. ' • * Alt. 2. Brmeut C I a a im I a , avoué i ’Senlis (Oise), TM Saint>Hilaire, numéro 10, Sucoaeeur de H*Henri Dofat. & o4ade Smvant exploit du ministère de RogiM, bnisaier h Pont>Saioto*Maxeoce, en date du v io s^ ix décembre 1874, môdame Marie Doaé, boutonnière, épouM de M. Gustave ÀauLLon, ancien m euienrdem euraot è Yerneuil, auiou^ di’huigarae-mouUn, demeurant à Honto M o , commune d'Orrv<U-Ville, ladite dame, demeurant de droit avec son m ari, et domiciliée de b it h Yerneuil, eocOla cMneore, mais émancipée par son mariate. A n n n é contre ledit rieur ArciUen, ■on mari, a demande en séparation de U sM L h. • E t que IP Ernest Cbalmin, avoué 4 8idfll; -M W colt8tUué pèr ladite daine' à T e A t d’eccnpeè pour elle sur ladite Pour iuaertioa, . Signé : E. Ciaùnu. tu lS i B e r U i f o t . .to i, avoué fc Paris,xue.VivivoDO, n* 10, féctM irip' Au Palai•HM driic^ A P e riS j_ .. : t ê M ercredi ir $ iu J fin o i« r is I 5 , lituéa commaiio.de GODYÏlBÜX, près ChinlillTlOiN], S u r la rivièice .de la N onetto, Anee ame force h y d ra u liq u e de 60 cneoatttp eruriroio, . [« îîj’ Etude de M* A a § ; ta i a ic ^ a a t P « 7 « , avoué à Senlis, rue NeuvM e-ftris, numéro 17, successeur H* Frémy. V E IV X E I 5ursaùte immobilière, En l’audience d a criéa du Tribunal civil de première instance de Senlis, au PaWs de Justice, 1’ D 'une iVlaison 2* Et deux Pièces de Terre 43 15 llé e ia i » â e em S épiiratiom al« B iem s. II. Sis aux taroirs de PLAILLY (Oise) et de SAINT-WITZ (Seinoct-Oise), B a a e a f l .» ts Oui pourront être réunis uarfieHement ou en totalité. L’adjudication aura lieu l e D l o i a a e h e Mix J a n v i e r IC02B, à une heure de relevée. En la salle de la Mairie de Plailly. •S’adresser pour avoir de» renseignement» : 1* A M« VA.NTROYS, avoué pour suivant la vente. 2* A M* DEUPOHTE, avoué présent è la vente ; 1 3* A M* HOREL. notaire è Senlis, dépositaire du cahier des chaires. E t D ép en d a n c e s. Anvémm Âéi m s »bail «néliem.. D * u n J a « r< llii • 50 Vemle «lim Ea«liArc« ' M ^ i P f iz ~ : 1 8 0 ,0 0 0 f r . «Ktmwr k it-'im n iiO T .i.^ n Le tout situé terroir de BONNEUIL, J B n A s*ol» L . o t a , Qui pourront être réunis L’A^'ndication aura lieu le N a i J i a i x H s e a f J a n v i e r 1 M9&, hMiredemidi. ^adresser pour les renseignements : !• A M *VANTYOYS,'avoué poursui vant la vente; 2* A N* RIBOUS, notaire à Crépy; 3* Au Grelle du Tribunal civil de Senlis, eù le cahier d a charga a t déposé. ' BcpreesémOHl m e o r i ^ n l, A S e n lisl sa lle des Ventes, L e D im an ch e 27 D écem bre 1874, à u n e h e u re de relevée, Pur te mïiiûlére de M* BAitéoEnr, coNimisMjre>pmsMr d 5eN/û, D ’uu Bon Mobilier Consistant notamment en : Ustensila da ménage, va'isselle, por celaine, cuisinière en fonla, calorinra aussi en fonte, poêla en faïence, che minée prussienne, grilla à charbon. Pendulm, glaça, tablaux, gravura. Le Dictionnaire de Littré en quatre voluma reliés. Tapifi de table, ruolz, m ontra en or • t en argent ^vour Itom ma et pour dimM. Iiou'cira d ’oreiMes. Meubla en tous genra en acajou, couchetla avec sommiers élastiqua, secrétaire Louis XVI. commoda, commode*toiletle, bureau de dame, belle table è cinq rallonga et.«uperbe buffetétartre en chêne, belle tablo-guéridon sculptée, armoires. Ün excellent piano d roit. Canapé-lil, divans, fauteuils, chaisa cannées, rembourréa et paihéa. Matelas sommiers élastiques, lit de p lu m a , oreillers, traversins, rideaux, couvertures en laine et en coton. Une grande quantité de vête menls è usage u’Iiomme, proque neufs, {laletols, valons, pantalons, ch u sr jres. Lits en fer, grands et petits, caissa, malli-s, paniers et beaucoup d'autra objets dont ie détail serait trop long. B u r e a u d e s D o m a in e s d e S e n lis (Oise). : Sur Publications judiciaira. Par suite de conversion de saisie immobilière, fil l’audience d a criéa du tribunal civil de première instance J e Senlis, au Palais de Justice de ladite ville, rue Meuve-de-Paris. et par*devant Mon sieur FaÉuf. juge suppléant audit tri bunal, commisMireè ceteflet, D'UNE v e w t e SiM è VILLER33AINTFRAMB0URG. canton et arrondissement de Senlis. en la grande rue qui conduit àl’Eglise, EN UN SEUL LOT. L'Adjudication aura lieu le d« M x e J a m v i c p 1 9 5 , heure de midi, S adresser pour Us renseignement» : 1* A H* PELBOIS, avoué à Senlis, rue Rougemaille, n* 14, poursuivant la vente ; 2* A H* VANTROYS, avoué audit Senlis, rue Neuve-de-Paris, présent è la vente; 3* A M' BOUCHEZ, notaire audit Senlis; 4* Et au grefle du tribunal civil de reroière insUnce de Senlis, où le cahier a charga a t déposé. S Etude de M *EifiLB D ëM clia, avoué à Senlis, rue de Villevert, n* 7, successeur de M** DoGovg et Tbeurv. Aux enchèra publiqua, En rétude etpar le minutère de M* B r r t i , nolatre d Acy-en-Mullien, canton de Betz. arrondissement de Senlis^ D’UNE Maison et Ja rd in A ACY-EN-MULTIEN, E n a n lo t. L'adjudicationaura lieu l e D I a a a a c h * M is J a o v l c p 1 8 9 5 » è une heure de relevé. S’adresser pour te» renseignements : A M* DÉMELIN, avoué poursnivanl. ■( à Hv DRETTÉ, notaire, déposilaira du qihier d a charga. d*Efl*ets Militaires H O R S D E S E R V IC E . Le M a rd i v in g t-n e u f Décembre 1874, à d e u x heures précises , è Senlis, dans la cour du quartier d a Carroa, rue Vieille-de-Paris, Il sera procédé par le Receveur d n Doinaina à Senlis. en la présence de M. le Sous-Intendant militaire, à la vente aux enchèra et au comptant d'elTels bon* de service, provenant du 6~* régi ment de cuirassiers en garnison en ladite ville, et notamment de : 42 vesta, 33 pnnlalons, 173caloUa,309gram m a de galons en argent, 16 paira de betta, 95 visièra de képis. 42 chemisa et ca< leçons, 52 bros,^es. boita, sa a, cravatta, ceinturons, mouchoire, corda, gamella, ouvertura de cheval, 1054 étrilla, 1025 brossa de cheval, etc., etc. 5 peur 100 en tus pour frais. Le Receveur de Diimaina, BOUU a NGER. D’un Jard in P la n té d'arhres_ fru itie rs, entouré , de m u rs, SU à GAEI<T-EN*VAU)IS. lieu dit Gload’Arragoo. D ’u n e conteDahce d ’en v iro n 8 ares. L’adjudication aura lieu le ■BarsU I M«aaM J a u B v te r 8 8 9 5 , heure de midi. ^adresser pour le» renseignement» : I- A IT DKUPORTE, nouA rtiiir•uivant' la vente, demeurant à wnlis, rue Neuvp-detPsris, numéro 32; 2* A N* GALLGT, huiairr è Crépy ; El M Grelfe du Tribunal de Senlia, eù le a h ia r d a ahargHi oïdépoeé. 0*1 On adjugera même sur uneMulerpocb^ Saarêsssf audit If* R ooufx, nstêsrs. Pour entrer eh joutaance de suite, U ri 'M b ù lin à B lé S itu éa sur l a toritoires do VillerriStFràihbouig, Braswuse et Ognon, D’uue contenance de 2 hect. 70 arqs 98 e. A v e n d r e p « r «eUadienf Inn Le Dimanches Janvia 1874, k une heure En la Maison d'école de.Yillers, Pat ta ministèra dêU* Bodcbb, notaare i Sentis. S’adresser aud(t M *Boocnn, notaire. A CEDER Etude de Ml* M a r e l , notaire k Sentis, succoseur de M * Fowtawx. UNE Etude d’H uissicr D ans u n chef-lieu de canton de rO ise. S’adreœ r k M* G11ALM1N, avoué k Senib. A CRDRR Pour cause de santé, A C R E IL (Oise), avenue de la G are, L’ H O T E L A V endre |»ikrn^udie«tien Une Maison avRC O r a n d J a r d i n e tX e rra ln Sis k Chamani, - . Le Dimanche 27 Décembre k 1 heure. En la Maison d’école de Chamant, P ar le ministère de H* MoasL, notoire d Senlù. S’adresser audit H* Morbl, nbtaire. ET LE A vendre par as^ndleafion Café du Commerce Deux Maisons lIOTEp : vingt numéros. CAFÉ : deux billards. Le tout nouvelicmeul ratauré. Douze atinées dé bail. Facilités p o u r le paiem ent. S’adrrsserdirectement au propriétaire de l’établissement. A A endre ou m IjOuer Sisek SENLIS, rue du Temple, n* 4, E n p a r fa it é ta t, V A S T E S J A R D IN S en plein rap p o rt, B a s s e -C o u r e t D é p e n d a n c e s . Jbùtssance de su ite S’adresser, pour visiter à Madame BRUIET; Et pour tous renseignements, A M* MOBEL, notaire è Senlis. A ppartem ent AVEC D ép e n d a n c e s e t P e tit J a rd in , A ijo iie r p ré s c n le m e n l Chez Madame veuve Lkon Cü RBIE, nie Yieille-de-Paris, n* 5. A D JV 0ÎC  T IO I1I En Fétude et par le ministère de H* Duoukt, notaire à Creil, Le Dimanche3Janvierl875,k uneheiire D’une Maison Située à Creil, rue du Faubourg de Nogent. S’adresser audit M* Dugdet, notaire. 1.6 Dimanche 17 Janvier, kdeux heura, A Bargny, en la Maison d’école. Par le mïnûlére de H* Baerre,notoire d Acy-en-MuUien (Oise), D’une Maison Elude de M* H ë a a e l, huissier-priaur k Chantilly. E n p a lissandre, a cajou e t n oyer, A C l i a n t l l l v , Grande Rue, h* 59, en la maison qu occupait H. P onn, L a Samedi 26 et Dimanche 27 Décem bre 1874, k une heure très précise, l ‘ar le ministère dudit M* IIbmkt. BEAU ET EXCELLENT S'adraser pour tous renseUnemenIs et trait'T, soit è Ver. à madame veuve UsBAiK VAILLANT, soit audit M'DIGOT, notaire. Pouvant 8 atteler à 1 ou 2 chevaux. S'adresser, place Sainl-Frambourg, n* 3, Senlis. A vendre p ar adjudication A CÉDER S u r les Iteux, Le Dimanche 10 Janvier 1874. è midi, U ORMES 1 Pour entrer en jouissance de suite, si l’amateur le désire. Un Etablissem ent F r a n c s e t t o r t il la r d s , D o n t 4 très-gros, M° DE VINS-TRAITEDR 9 ro e M a rro n n ie r ET 2 ROYERS A v e c B IL L A R D Situé à MONTATAIRE. S'adresser au bureau du journal. C a Arbra sont situés à Barbery et appartiennent à la commune; ils seront vendus en 7 lots, savoir : Au Thierry : 1" LOT. — 10 ormes et tortillards, numérotés I à 10. 2* LOT. — 10 o rm a et tortillards, numérotés i l à 20. 3* LOT. — 10 o rm a et tortillards, numérotés 21 à 30. 4* L9T. — 10 o rm a et tortillards, numérotés 31 à 40. A la Croix Thierry, 5* LOT. — 4 très-gros orm a. Pris la ferme de Montmartrei 6* LOT. — 1 gros marronnier.] Dans le jardin dé la Maison commune, 7» LOT. — 2 noyers. S’adresser pour visiter l a A rbra k vendre, au Garde Charopétrede Barbery. Etude de M* Ca. D e a m a r e a t » notaire à Coropitgne. A VENDRE Par adjudication volontaire. En l'étude et par le ministère de M*DaHARUsT. nota're à Compiigne, Le JEUDI 7 JANVIER IK75, k deux h eu ra de l’aprà-midi, de T erre Sis terroir de Brégy, OiRsery, Douy et Fosse-Hartin (arrendissement de Senlis). O s immeubla sont détentéspar ma dame veuve Gervais, cultivatriM k B ré^. suivant bail authentique expirant i« r U réixille de.1891. et moyennant un fermage annuel de 4,300 francs. On traitera avant l’adjudication, s’il a t ftil d a oITra sulfl!<anta. S’adresser b H* Cb. DESMAREST, notaire à Compiègne, ru ed aH in im w , 10. Occasion Bon Tin vienx dn Périgord pouvant se mettre parfaitement en bouteilla et se coqserver, faisant du tits bon vin de table, k 110 fran ala pièce, rendu k domicile. — Ce^ vins sont achetés dans l a v enta judicîaira de Paris 30 pour 100 au-dessous du cours. S ’adresser à M. G A L L E T , m a r ch a n d de vins en gros à Senits. A Vendre à Tam iable P o u v a n t être divisée en d eu x Logem ent», Siiek Senlis, place Notre-Dame, n* 4; S’adresser pour tous renseignements et pour traiter, audit M* BENOfôT. 4 IleelareeHH A res 4 8 C* n* É«M d * < a H iia * lM -B leR e lte R , IpRrla. H. VIVIEN C O IF F E U R -P A R F U M E U R 8, rue de Creil, k CllANTILLY. PosÜoha. Objets d’arts en cheveux. - Goilfura de bal et de m arias. P A M T O ir n U B «MF* Là Gonail municipal de Barbery d o x n a n d e u n M é d e c in . B aux avantaga. S’adresser k MM- BOUCHER (Vital) et BOUCHER (Gamillb). _ O Ê ^ R o p ré to o n ta n tto . — Une Maison de Vins el Spiritueux dt Bordeaux désire un bon représentant, pour la clientèle bouraeoise. Rélérenca.' Ecrire *aux iiiiliala L . P . rue Laseppe, Ü , Borüaux. l ^ c - « N c n i i» ( O U r) •ÈLIX V E R N O L R c p id s c n lé p a r A. YUELOT 100,000jom HTurnes o 'tH io R rilla n fe E xp osition et m ise en vente Bai, nommé REGAPTURE. par Moscovitb et Amifxio.v, kgé de 3 ans. Le Dimanche 27 Décembre, k midi. Sur la place publique du Marché de Chantilly, près d a G randa E c u ra , Par le ministère dudit M* IIbm r.. Vente Mobilière Par suite d’acceptation bénéficiaire de la succession de M. Lbclebrb fils, décédé manufacturier à Coye (OIso), Par le ministère de M. E. I^UCHEZ, grelTier de la justice de paix du canton dr Creil, En la Falle de danse de H: Gassk, mar chand de vin à C k a y a * Les Dimanche 27, Lundi 28 D^embre 1874, et Dimauche3 Janvier 1875, k midi. JEUX DE PATIENCE. 1,95, 2,95, 3,90 Géographie et Histoire . . 9.75 Atlas, 3 grandes c a rta . . 11,50 8 C iirla ..........................2 1 ,•> FORTERESSES en boite.H contenant sol dats et canons, 5,90, 9,50, 12,90 el 18.75 BOITES DE PHYSIQUE amusante monté a , double fond, 10..^0,'18,75 28 e l3 5 ,.. BOITES de Tapisserie et Mercerie avec métier palissandre, 2,95, 3,90, 5,98 jusqu’à 35,* ■ MÉNAGES ET THES de pnupéa, métal anglais, forme valise, 4,90, 8.90 cl 12,90 TROUSSEAUX-TOILETTES de nnupéa avec pou|)ée, 2,95, 3.90, 5.90 • , jiisqu’à 65,»» BÉDÉS AU MAILLOT fermant l a yeux, enrubanés, article Irè-^roquel, 1,75 POUPEES ALSACIENNES costume na tional. 2.95, 3,90. 4,90 el 6,90 POUPEEIS riches, toilette de vilK tête biscuit mouvementée, 13,50, 16,50,21 el 2 9 .x MOUTONS, CHIENS et ANES, 1.95. 2 95,3,75, 4,50, 6,50 jusqu’à 45 A V endre n v x en eh éiM 65 et 67 r. Fg-St-Hartin PARIS ; PANOPLIES jockey avec b otta, 12,75, chasse, 15,w , écossais, 18,S6, fantassin,. 6,50 et 9,90, marin, 9,90 et 13,50, trempette hum rd, 13.75, chasseur k cheval, 14,75, oHIcier infanterie, 15,50, artilleur avec p i ^ , 25,v>.. CHASSEPOTS k capsule vrai mécê-‘ nisroe, 1,9.N, 2.95 et 6,50. — Lançant flèche ou balle, 7,50, 11,50,12.50 et 18,50 CAMIONS ET PORTEURS D’EAU, un cheval, 2,95. 3.50, 5,50 et 7,75 TOUPIES HOLLANDAISES et billaidr. chinois, 6,50, 7,-50,10,50,14,50 ' jusqu’k 45,**' PANIERS VANNERIE fine contenaut ariicla de toiletta pour poupéà, 8,90,11,90 e tl5 ;s« PARURES en hermine pour poupéa, Iq manchon et le col doublés de aoie, dans deux cartons, 2,95 BOITES DE PEINTURE avec aquarrila sur chevalets, 1,95, 2,95, 4,90 et 0.50 GUIGNOL Théâtre el Tir PoHcbinelle, 5,90 et Tir Maison de Campagne, 7,75 Choix, im m ease de loufl le s a rfieles d’éfren n es Porté-Honnaia, Sacs, Boita à Gants, Nécessaira, Pa|ieleria, Petits HeuMa^;Foulards, Cravata, Fourrura, Servica, Ganterie, Lingerie, P arura, Ghkltf, Soiria, etc., etc. 65 el 67, rue du Faubonrg-Salnl-Hartin, p iD |(i 54 et 50, rue du Chktau-d’Eau, ’ V A n l9 k £nuo( franco au-dessus de 25 fr. — Demander te catalogue spécial , Ail TAPIS ROIIGE pàBioABB B ùcoiiraR SB A rôuT B S L IS n v o s m o H S . lE N C R E N OUVELLEi g H A T B I E I J P liE S S Y « .S a p é p ie a v e A to M « c a la B C M V « m 1 QB B r a b le Xfoir ne s'altérant jamais. D enU e V le le i Aeopier donnant XCoideii fi» -même après un an â'-ecriturc. ge trouve ckes teus Us papetiers, E lu d a de M** G a l l e t * huissier k Crépy, Et P e l n i t r e , huissier k Betz. M atériel d e C u ltu re et lobilier de bison AU TAPIS ROUGE T o n s fies a rticles rie cette m ise en vente so n t vendus flOO p. 1 0 0 m oins clier que d a n s le s spécialités» nU IU SE S EH M riT S Deuxième année. - ^ Administration d e H .’èt 'M** BohIknl, 1 ^ ; 'tlie'd^‘ll^vôiK Paris. — Envoi des RenseignemenU et du R^ertoirc, le T R A I T - l F r roOlre 9.fk*auacs de timbres. Le M oniteur de la Banque èt de la Bourse^ JO IIM kL FllM C IE R (P uaaéo) P A M IIS M T TOUS LES D IM IC HES L I8 T S O FFIC IE L L E D E T O Ü S L E S TIRAélBls! . -> ; . 'Renseignements complets sur Emprunts d’Etat, Actions, Ojiligations, e tc ,. 4 fr. P A R AM pour Paris et les dèparteinents, * ' En mandat ou timbres-poste, 7, rue Lafayette, Paris. ABONNEMENTS D’ESSAI, POUR 3 MOIS: 1 FRANG • «;;;•• i 6 0 ijm H f lK ir r .N tMEITFlISFnBiktf* JeuTOel Wtorairv fwTOistaiU to teku b M a e è se w iairii p a r t t e r o iia i f r . Ct f uvr — pua ^ us d t oVp i l i e r t i a eeleeêiee. MMVwea Iwra texte, A quÿelle, ffrint r e H ef T p l g ie i f iillie fnitengW ^ ■«•B liB êiU»», C ^ l w t , V U etf'lhM M u à fié je e e w f, «te.; ,;,i a DtHoiiaLus i | I le 'ohotz de s é s .a rtie i^ e t de ses m œ e a a x d a.toneltue. .AesM D unaM H i . il I B fr . 1^ a i . ' ' ^ Oa pai^*l»aker«toi r ^ w m ’èdtUeitoiaatHa é k M I f r i k i é t r .i 'O é i à i .k f ' u ia b A vene^re par adladi(éMlltoa f ........... A P.lailly, en la Maison d’école. Le Dimanche 27 Décembre, k 2 heura. Parle ministir» de M* Bsuoisr, notiûr» d&iWû. S'adresser audit ID Bbrout, notaire. M A I S O N VDU UNE T e rre s labourables Grande et Belle Haison Sur le territoire de Barberie, Située k Senlis, riN de B aurals, u* 21, V ead re ota à A V rM d ra p a r a ^ J a d ie r ilio a a l’amiabi^ . R’adrésser è Meedama CHARTIER et BILLET,' rue Saint-PlerTe, h* 7, k Benlis. ■ i.:, , , j. Demandes et Offires. ABONNRMeNTS : En neuf pièca sisa au 'erroirs de Plailly et Mortefoiitaine, 1 5 h e e l« r e s 5 0 a res 5 0 è. iuotier V ente a u x R n ehêres D’un Gheval de Course de T erre Etude de M* M • a e h e s , notaire a Senlis, suce* de 1 **ScRixiEiiet DnoOT. DE Pour cause de d ^ r t . M. GALLET a l’honneur auai de A VILLENEUVELBS-AUGER, comprévenir qu’il a l Représentant pour l a mune d'Auger-Suint-ViDctnt (slatioo v lkxia a u D e a i q j o l u i a . — ^ de chemin de fer), en la ferme qui était éxploUée par M. Eucher P o o u r, L a personnes qui désireraient monter leur cave«0 bon vin de 1874, M. G au.it Les D im anches 3 e t iO J a n v ie r 1874 s’engage k l a faire livrer directement à m idi trè s p récis, et jo u rs du pays k leur domicile. su iv an ts, s’il y a lieu, Par les ministèra desdîta H** Gallst et Delaitub. Nota. — Le Mobilier de maison et Etude de M* notaire les Chevaux seront vendus le 10 Janvier. i Sentis (Oise). Maison Uoui'{fcoise — -k Un an, O fr. — Six mois. S fr. 5 8 . JNrrotaNr*pp^. A . Armand. PARIS B ien a chalandé. Exploité à CHANTILLY, Grande Rue. S'adresser au Bureau du Journal. ( oiipé Clarenee • I d * t o M éaR U R riite. xji n v s o o M n s T i w « o o s Donnant l a cours et reuse^nements sur to u ta l a valeurs, spécialement l a actions houillèrra ei méUllurgiqua. Publiant tous l a liraga. A D J U D IC A T IO N Un Bon Fonds d’Bpicerie A Vendi*e ou à E eb a u eer XiA r o a T U N B J o v ir i laaaoiar bebdonadaire, . HONITEMR DES CHARBONNAGES 5 4 e l5 6 r. Chkteau-d’Eau e t s e s J A ee«‘8 s o l i * c s 5 T a b le s e n m a rb re b la n c , 24 C h a i s e s c a n n é e s . S’adresser à M. VANTRINPONT, k Crépy. A V endre ou à Ijouer D e u x fois p a r sem aine A partir du Jeudi 24 pécembre. Pour beurrichu ou demi-bourriche oommander d’avance. Etude de H* B r e t t o , nolaiie k Acy. D’un Bon Mobilier OU s'exploite ledit F onds, Sise à VER(Oise), sur la place publique, liriTM o d’Holtres Fraîchi» Etude de H* D n g ’n e k , notairek Creil. Un B illard E t la Maison Ud Srcond'ljlero. ÈnciliiE et ' c o ie s t iil e i . Grand Magasin de Cheminées on tous genra. Marbres français et étrdiuei:s draun 11 fr. et au-dessus. M arbra de Commoda, T a blade Nuit, ’foiletta, T abla k (afé; Caixelage en marbre et liais de Senlis, Pierres d'évier,Marcha et Perrons. Constructions de Ghapella pour Cimetièra, Monuments funèbra en tous genta, en pierre et en marbre. L e to u t à d e s p r ix m o d é ré s. V ente a u x Rnchèreai A CÉDER M * M l o r e ^ tKdaire k Beidii, ' B C IR R IR H Y D R A U L IQ U E de B A I V T - V ir o U A S ' Avec Gringe,.Etable, Toit k pora, Cour " e t ($ ra n d f J a r d i n A Bargny. S’adresser audit M* Bam B. notaire. A TTEN D RE BONTURPS-iEMAIRB ' I Mac. data Halla, IS , k 8ENU3. U n J a rd in , u n V e rg e r Contenant 1 hectare 49 a r a 14 c., e i u n e P lè c e d e V e r r e Sisk Plaillv, En la salle d’école diidil lieu, Lo Dimanclii-10 Janvier, k une heure. Par le ministère de M* H o rb l, notaire à Senlis. S’adresser audit M* Morel, notaire. A ¥ E i\iD R E Fonds de Commerce A 1 3 'P iè c è s d e T e r r é MU PAR L'EAU, P o u v a n t être converti en Usine in d u strielle, ■BA U m enta» R t a n K , 'l'e r i- e eA R r d Sia en la VALIDE DE NERY, canton de Crépy. S^odrasMr pour tou» rensetgnetnent», Audit H- GRISON, «t ii H. HÉRAULT meunier k Bélhisy-Saint-Pierre. BON d ’E p i c e r i e e t d e D é b it d e V in s , Elude da M * l * « a l D e ia |M r 4 « , licencié' en droit, avoué h Senlis, rue Neuve-de*Paris, 22, Succeasenr de H* Godik, Sur saisie immobilUre, En raudÎHflM.deiUé^iéa du tribunal civil de premièhi inXtabce de Senlis, A 'Vepdre o u à Eiaaer visUér èètfe Hiisdn le Merenidl Misèà P rix :'40,000fr. Etude de M* notaire au Pless'is-Belleville (Oise). 4 1 heeUireB 016 ares OI e. ■VËSÏB On Belle niAist n veutte: Etude de H* YicToa*Loin8 P c I W I a , docteur en droit, avoué à Senlis, rue Rougemaille, n* 14. Etude de M* O r i r i ô n , notaire à Béthisy-Sairit^ièite (Cise). ' Le Dimanche 17 Janvier 1875, k une heure de relevéaj En l’étude cl pér lé • ministère 4e B m i i H r i i S m H i ,! * Sm i >£Fo t b o«su : en fi J m m ila ..q M v if A » nMMIIO. CORS , M P N A T I D N A t, ; Ti4nlurp.splci.ln ds sorarin k ntur. —‘ Vltcnuml, .1 kmiobleinlnls, -1 i p g e de Ibuta-ivHiècade vêtements, tels que velours, soieria, popeliha, lamaxei'l de toute nature, AMC. sahs découdre ni dribimer. i f t a m n r M l e N i Faubourg Saint-Varlinj 43, pr«t|ue au coin du vriroM'BfrdVÀ’’ RuM u.tem pIe, 101 .. r a y Boulevard du Trihpje, 10. Rue.dq< Vo»gfs, 6. : . , . ’i « M !,H moiiice. H M uk I m jr g a liÀul»Tai-d BeamnoraValai A B A ftiS . 32 m i tiès eM Ufti -- tfU litt.iid S ttJ iÉ iii;;),;, A VAPIOM, *38^mia-’kSeAthNV ’iuiim •• i