Dernier, de Ve

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Uln,icur
Tlicodofé CROZ&, Gandarme de
' Marine, SOT épouse, et leurs enîants à
Rochefort-sur-Mei ;
iloaslcur Auguste LEMONNïER, Chef d'é,iii:pc, i l'Arsenal, son épouse, née CRO,\T. ci leurs enfants, 1 Tourlaville •
lu Familles COUESPEL et OSMOOT •
].c< Purc'.'.is et Amis ;
ii,} i-i douleur de vous faire part de la
die eruellc qu'As vannent d'éprouver en
, personne de
Madame veuve Jeaa HAMEL, née
FRIGOUT ;
Monsieur et Madame Auguste FR1GOTJT, née LEPEBVRE ;
Madame veuve Georges FRIGOUT
et sa fille ;
Monsieur et Madame
Charles
DE3REZ, née FRIGOUT, et leur
• fils ;
Madame veuve Alexandre FRIGOUT, à Flamanville, et ses enfants ;
Monsieur et Madame Pierre LEPEBVRE, à Omonville-la-Rogue,
et leurs eafants ;
Les Familles FRIGOUT, LEFEBVRE, BRIS3ET, LACOLLEY,
LEVALLOIS, LECONTE, BOURGET,
LEBRETON, MATELOT.
BOUGOURD, HOCHET, PAUXTEUR,
LECHEVALIER ;
Le personnel des Agents Techniques ;
Monsieur et Madame G. FRANCKFORT, leur fils, et le personnel
de la Maison « Au Grand Paris » ;
Les parents et amis ;
Monsieur Paul-AIoysc CROZAT,
fétèH à Chcvfoourg, dans sa 72mo année,
jîio ; îles Sacrements de l'Eglise.
Kl vous prient de bien vouio.'r assister à
; - Convoi, Serviee et Inhumation, qui aufiiul lieu le Jeudi huit Décembre, à treize
meures trente, en l'Eglise Saint-Clémcut.
3.1 se réunira à l'Hôpital Pasteur.
[Tnc Messe Huitaine sera célébrée, pour
le repos de sou âme, en l'Eglise Satot-Josrh des Miellés, le Mercredi quatorze Décc'mbro 1927, à six heures trente.
Il ne era pas euvoyi de faire-part, le
vsent avis en tenant làeu.
, , | . * * * * * * * * * * * * * * * < ; { f
.Monsieur Eugène BILLY, son épouse, née
SOREL, et leurs enfants ;
jlonsieur LANGL01S Julien. son épouse,
née SOREL ;
Mademoiselle Alice SOREL ;
jlonsieur Raymond SOREL ;
Madame Veuve NOYON, ses enfants et pclils-cnfarits ;
Monsieur Albert SOREL, son épouse, née
liEAUFILS, et leurs enfants ;
Les FanxMcs SOREL, BILLY LANGLOIS,
.NOYON, VALABLE, PENHOËT BUNEL,
11IRARD,
LECLERC SENN,
M.UtTlN
jlK.UTILS, BRÛLÉ, PÉRIER. KÉEL. RAHKC :
Parents et Amis
M. Jean-Abel-René HAMEL,
Agent Technique Principal
de la Marine,
Et vous prient de bien vouloir
assister à ses convoi, service et Inhumation, qui auront lieu le Jeudi
huit Décembre, à trois heures, en
la Basilique Sainte-Trinité, sa paroisee.
Monsieur Jules SOREL,
Retraité de la Marine,
; en: père, grand-père, frère, oncle, cousin,
parent et and, décédé à Cherbourg, le -5 déeeaibre 1927, dans sa 61"" année.
On se réunira â la maison mortuaire : rue Gambetta, 16.
El vous priait tic ilticn vouloir assister a
s - Convoi, Service et Inhumation, qui au: ut lieu le Jeudi huit Décembre, à neuf
heurts et demie, en l'Eglise Sa$nt-C!cment,
: , Paroisse.
LÂFAYETT
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r. T.-Carrée,- Cherbourg. T. 3-27).
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Ont la douleur de vous faire part de la
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la personne de
Monsieur Martin STEPHAÎV,
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Médaillé Militaire,
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Croix de Guerre et Maroc,
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DUO garantis Bans défauts. Itww
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Mait.me STEPIIAN, sa Veuve ;
Mafl.jme Veuve LEGOUPIL et ses enfants.
Les Familles GORINO, MAILLARD, MARCHALAND ;
Parents et Amis ;
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CHERBOURG
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Le présent avis lient lieu d'invitation.
lue .Messe Huitaine sera célébrée, pour
If îvpos de son âme, en l'Eglise Saint-Cléi;: ri. sa Paroisse, le Mardi treize Décembre, à huit heures.
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Une messe huitaine sera célébrée, pour le repos de soa âme,
en la Basilique Sainte-Trinité, le
Jeudi quinze Décembre, à huit heures.
n:i se recuara la Maison Mortuaire, rue
Seimccey. n" •13.
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leur époux, gradre, beau-frère, oncle, neveu, cousin, parent et ami,
décédé en so'n domicile le 6 Décembre 1927, à l'âge de 51 ans,
muni des Sacrements de l'Eglise ;
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décédé dans sa 39"" année.
Et vous prient de Jxen vouloir assister aux
Convoi, Service et Inhumation, qui auront
lieu le Jeudi huit Décembre, à quatorze
heures.
On se îéunira à l'Hôpital Maritime.
Il ne ' sera pas envoyé de fairc-ipart, le
présent avis en tenant ISeu.
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M
J
M
J
> < |
,
Madame André CIPRIANI, née LEPART, sa
veuv« ;
Monsieur René CIPRIANI. son fils ;
Monsieur Aadré CIPRIANI, à Montebourg,
son père ;
Monsieur Charles FONTAINE et Madame,
née CIPRIANI, et leur fils, à Argenteuil ;
Monsieur François AMBROIS e|t Madame,
née CIPRIANI, et leurs enfants, à Montebourg ;
Monsieur et Madame Louis CIPRIANI et
leurs eafants, à Cliehy ;
Monsieur Marcel CIPRIANI, à Montebourg ;"
Monsieur Marcel CLAIRAUX et Madî-ne,
née CIPRIANI. à Neuillé-Pont-Pierre ;
Monsieur et Madame Léon LEPART et leur
fils, à Cherbourg ;
Monsieur et Madame Emile DUHAUT et
leurs enfants, à Cherbourg ;
Ses frères, sœurs, beaux-frères, bc'.tessœurs, neveux et Dièces ;
Monsieur et Madame Jules EMILARD, à
Marseille ;
:.s
Mademoiselle Louise EMILARD, à Gap ;
Monsieur Jean CIPRIANI, à Morris (Algérie) ;
Madame veuve TUCOLINI, née CIPRIANI,
et ses enfants, à Bûne (Algérie) ;
Monsieur et' Madame Joseph CIPRIANI et
leurs enfants, à Morris (Algérie) ;
Monsieur et Madame Pierre RENOUF et
leurs enfants, h Cherbourg ;
Madame veuve LAMACHE et ses enfants, a
Fermanville ;
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Monsieur Louis LEFÈVRE, à Tourlaville ;.'/
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heures.
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LE SAVOYARD DEVANT LES JUGES
Joseph Palco. ce maçon originaire
de la Savoie, qui s'est fait
arrêter
sous l'inculpation d'escroquerie et de
vol, a comparu mercredi malin devant
le tribunal des flagrants délits, qui a
confirmé le mandat de dépôt décerné
pa.r M. le juge d'instruction contre
cet aventurier vagabond.
^
i
—
L'AIDE DU GENDARME
Des gendarmes de la brigade départementale de- Cherbourg, passant
rue du Bois, aperçurent au Pomit de
Sennecey un manoeuvre du voisinage
qui titubait fortement et à deux r e prises, faillit, tomber dans le T r o t t e becq. P o u r ' prévenir tout accident,
ils conduisirent le poivrot à son domicile, après lui avoir dressé contravention.
—
1 m
i
de Fer de l'Etat.
Une Messe Huitaine sera dite en la Basilique Sainte-TriWté, le Mardi treize Décembre, à neuf heures.
T T T ^ T T ' r T »
^
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Jeudi 8 Décembre,
SPECTACLE REGRETTABLE
Un petit garçon de 13 ans et une
jeune femme portant aux bras son
bébé âgé de deux ans, qui, mardi
après-midi, sollicitaient l'aumône des
passagers d'un train transatlantique,
ont été arrêtés et conduits a bureau
de police de la soelinn Est. h la disposition de M. A'ubry.
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LE CRIME DU COIFFEUR
Berlin Michel-Nieolas-Augustc, 38 ans,
coiffeur à Lessay. Miâstèrc publie : M.
Corne, substitut. Défenseur, M" Contray.
Etabli coiffeur à Lessay depuis 1919,
Bertin y vivait en compagnie de sa bellemère, M™" veuve Bertin, qui, depuis 1922,
prenait en pensico de jeunes enfants pour
la plupart pupilles de l'Assistance PsiKique.
Berlin en profita pour se livrer sur ces enfants à de multiples attentats.
Sa première victime fut lo jeme Itoptin
Julien, qui devint pensionnaire de la veuve
Bertin en 1922 ; quelques mois après son
entrée dacs la maison, Bcriin se livra sur
l'enfant a des actes contre nature qui se renouvelèrent plusieurs fois par mois jusqu'au mois de janvier 1927. .Le jeune Calipil Albert ecitra également chez la veuve
Bertin dans le courant de l'année 1922 ; il
avait à ce moment 10 ans. En 1923, le coiffeur abusa de l'enfant à de nombreuses reprises.
Ernest Joseph fut placé chez la veuve
Bertin le 4 novembre 1924, il était âgé d'un
peu motos de 11 ans ; comme les doux anIres, il fut victime des mûmes actes révoltants do la part de Bertin, et ce jusqu'en,
juillet 1926, date a laquelle l'enfant quitta
la pension.Un quatrième enfant, le jeur.c Philippe
Joseph, entré en 1925 chez la veuve Berlin, alors qu'il était figé de 7 ans, fut également victime de la lubricité de ce triste individu.
Eu juillet 1925, un dimanche soir, Bertin. alors accompagné des jeunes Roptai,
Calipel et Ernest, revenait de la fête de
Vesly ; il dirigea les enfants sur un chemin
D'autre part, Bertin s'est livré à dfs attises sa boutique de coiffeur, soit à l'écolo
Belléc, à Créances, où il exerçait sa profession une fois par mois, notamment sur
les jeunes Casine, Jlargot ei Bruiard.
Ces scènes ne prircot lin que par l'arrestation de Bertin, lo 3 mars.
Bertin a reconnu tous les faits qui lui
sont imputés ù l'égard de Calipul, Hoplin,
Philippe. Casic*, Margot cl Bruiard ; il a
avoué, d'autre part, les actes commis sur lo
jeuno Ernest.
Les renseignements fournis sur l'accusé
ne lui sont pas, en général, défavorables.
Un de ses anciens patrons, cependant, déclare qu'il était de peu de moralité. Blessé
â deux reprises au cours de la guerre, Bertin a suibi lYciudéation de l'œil gauche et
a été réformé avec pension. Il a été cilé 1
l'ordre de l'armée'.
Soumis au cours de l'information a un
examen mental, i! a été déclaré pleinement
responsable de ses actes.
Fait à retenir : lorsqu'il y :t quelques années, une affaire do mœurs éclata dans la
cominiX'O de Lessay, Berlin filait des plus
sévères pour juger la condn le du coupable,
i;u'îl qualifiait d'indigne, et il avait raison,
mais, pendant ce temps-là, il commettait
lui-même des scies contre nature sur de
malheureux enfants qu'il aurait dû. par son
ige et sa situation, être le premier à respecter et à défendre.
Le huis clos est prononcé.
Le Verdict
Berlin est coiktamné ;'i 5 ans de réclusion.
En vertu des pouvoirs qui lui seul conférés, le président, après h prononcé de *-i
condamnation, le déclare indigne da porter
la médaille militaire et la croix de guerre.
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' u n camion, stationnant devant la
Et les amis ;
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personnes qui leur ont témoigné des mar- cérée. Contravention a été
dressée
ques de sympathie â l'occasion du décès de contre la .propriétaire du -cbien. Mm*
Benvern, domiciliée TUS au Roule,
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pour n'avoir pas attaché l'animal a s sez court sous le véhicule.
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Employé à la Compagnie des Chemins
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Madame Venvc Joseph BOCHER, née LE
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NAISSANCE
GUEN, ura, épouse;
Mademoiselle
Marie BOCHER, sa fille •
Yves Loeillet, rue Dom-Pedr.o, 64.
Mademoiselle
Simonne BOCHER sa fille' •
MCÊS
'
Jules Sorel, 60 ans. retraité de la Monsieur Henri BOCHER, son fils •
Monsieur Jean-François LE GUEN son
Marine, rue de Sennecey, 4 3 . .
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nièce ;
'
.
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Paul Crozat. 71 aAs, charretier, rue Monsieur et Madame BOCHER, marchands
de coquillages, et leurs enfants, ses on.du Val-de-Saire, 46.
de, tante et cousins ;
Les familles BOCHER, LE GUEN VE***.!«**************
RON. COLLETTE ;
Monsieur. Ernest ENAUT, son Epouse, née
Parents et Amis ;
LEPAREUX ;
-Remercient bien sincèrement toutes les
[• Monsieur Alfred ENAUT, son Epouse, née
1
* personnes qui leir ont témoigné des ma r LEPAREUX, et leurs Enfants ;
•Monsieur GASTÉ, son Epouse,' née ENAUT, qris de sympathie i: l'occasion du décès de
et leur Enfant ;
Monsieur J o s e p h BOCHER,
Jlonsieur Emile ENAUT, son Epouse née
Une Messe huitaine sera célébrée, pour
LEJUEZ, et leurs Enfants ;
'
repos de son âme, en la Basilique SainteMonsieur LAUNEY, son Epouse, née ENAUT, : le
Trinité, le Vendredi neuf Décembre, à huit
i et. leurs Enfants ;.
, -.\r,\ X, i '- i
j heures.
'Monsieur SôgVrJAVburtY, s"on Epouse, née
* * * * * * * * * * * * * * * * * *
' ENAUT ; ? \ • -f " ' .
Madame Veuve PÏLAU, au Havre ;
Mademoiselle Eugénie LEPAREUX ;
Monsieur Emile LEPAREUX, son Epouse, née
BRICHET ;
Monsieur et Madame LABBÈ et leurs Enfants •
Sortie il y a quelques jours d'une
Mrasleu.' ^t Madame Jules ENAUT, et leur maison de nuit, de rex-Rarnison de
St-Lô, Armandine Eon, une Bretonne,
Enfant ;
âgée de 38 ans, vint à Cherbourg pour
Monsieur Edouard PORTAIN ;
y continuer son triste commerce. Ne
Madame Veuve FORTAIN ;
.'trouvant
d'asile, elle erra dans
Monsieur Louis FORTAIN, son Epouse née nos rues, point
se livrant au racolage, couBELOTTE, et leurs Enfants ;
chant dans des wagons. Elle renconMonsieur Placide LEPAREUX, son Epouse et t r a un j o u r un gajant mathur.in qui
leurs Enfants ; '
lui donna rendez-vous dans un re'slauMonsieur Eugène LEPAREUX, Retraité de la r a n t des Flamands.
Marine, son Epouse, et leurs Enfants ;
Armandine fut fidèle à sa p r o m e s Monsieur René LEPAREUX.;
se. Et comme son compagnon de rencontre
tardait à venir, elle se fit s e r Les Familles ENAUT, GASTÉ, LAUNEY,
DAVOUREY, PILON, LEPAREUX, LABBÉ, vir une menue collation, vin, pain,
Bâté, fromage, café.
FORTAIN, LEROY, Parents et Amis ;
Quant au col bl£U. il fit défaut.
Remercient bien sincèrement toutes les Quand la débitante vint présenter
personnes qui leur ont témoigné des mar- l'addition à la visiteuse, celle-ci!
ques de sympathie à l'occasion du décès de avoua son insolvabilité. On lui réclamait 5 fr. 50. Elle possédait en tout
et pour tout 22 sous.
M» 6 Louise-Augustine E N A U T .
Les gendarmes de Tourlaville avîUne Messe huitaine sera célébrée pour le sés, vinrent appréhender la v a g a repos de son- Ame, en la Basilique Sainte- bonde quï trouva un- gîte à l'hôtel des
Trinité, le treize Décembre 1327, i huK heu-, .haricots.
! '
•
«a i —
..
res.
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de la perte cruelle qu'ils viennent
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chez M. Laronche, ?> ColomLv, pi. Valosues.
On demande employé sérieux, parlant et
rè.rivant anglais, (pratiquant, ù possible, la
machine à écrire). Références exigées. —
S'adresser ..au Bureau des Courtiers Maritimes.
Personne sérieuse, 30 à 40 ans, pour
emploi de confiance connaissant la coniâ^
tabJMté. — Etablissements 11. GHAS. yi,
rue du Commerce.
On demande .jeune garçon ùc 13 ;'t 15 ans
pour courses et nettoyages (couché, nourri). •.— 30. rue du Commerce. Cherbourg.
On demande bonne à tout l'aire, au COIK
rant maison bourgeoise. —• S'adresser: 2t\
rue Amcien-Quai.
On demande, pour château flans rlief-.
lieu de canton, une bonne à Unit faire. Rondes références exigées. — S'adresser au
bureau du journal. 731.
Coiffeur. Un demacido bon ouvrier maison Camard, 20. rue des Tribunaux Cherbourg.
,'
Ou demande une bonne pour maison bourgeoise. — S'adresser au bureau du journal, 790.
- Coupeuse, connaissant flou et tailleur est
demandée do siule Maison J. Lebaillv, Vire
(Calvados). Ne pas écrire sacs références
sérieuses.
• On demande bonne DOtir maison uourgeoise. — SVdrcsser an bureau du journal. 775.
On dem nde jeune bonne catholique, débutante ou non. désirant s'initier aux diffërenis travaux de ménage et vivre comme coi
famille. - S'adresser au bureau du journal. 783.
On demande un bon ouvrier cordoraiicrj
sachant faire toute réparation de chaussures. — S'adresser : 00. rue au Blé.
DEMANDES D'EMPLOI
Dame seule prendrait pensionnâmes (JCUM
nos filles de préférence), l'rfc; très modéré.
S'adresser bureau du journal, 787.
Jeune lior.mc. lélibatalre, partait tréà
bien le français, l'anglais, l'aJlemai.d, l'italien, lo grec, l'araibe. le turc, cherche emïKloi comme interprète ou autre. — S'adrc*«
ser bureau 9J1 journal. 792.