Artikel zur Lancierung der Volksinitiative, die in der Schweiz am 31

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Artikel zur Lancierung der Volksinitiative, die in der Schweiz am 31
Datum: 01.04.2014
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Initiative fordert
500 Mio für Opfer
BERN.
Gestern wurde die Wieder-
gutmachungsinitiative lanciert:
Sie verlangt, dass für die Opfer
von fürsorgerischen Zwangsmassnahmen ein Fonds mit 500
Millionen Franken für Entschädigungen geschaffen wird. Bis 1981
waren mindestens 20 000 Menschen von den Massnahmen be-
troffen. Manche wurden als
Kinder an Bauernhöfe verdingt,
andere zwangssterilisiert, für
Medikamentenversuche missbraucht oder wegen Arbeitsscheu oder lasterhaften Lebenswandels wie Kriminelle weggesperrt. Der Zugang zu Gerichten
blieb den Betroffenen in den
meisten Fällen verwehrt.
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Un demi-milliard de francs
pour réparer les injustices
lon la gravité de l'injustice subie, par une commission indépendante. Le fonds assurerait
en fin de compte une indemnisation moyenne de 25 000 fr.
pour un enfant volé, une stérilisation forcée ou un internement abusif.
Dès cet été, un fonds d'aide
immédiate géré par la Chaîne
du bonheur attribuera un pre-
BERNE. Une initiative lancée
hier réclame la création d'un
fonds d'indemnisation pour
les personnes placées de force
ou internées abusivement.
Ils seraient 20000. Enfants ou
adultes, ils avaient été placés
de force dans des orphelinats,
dans des fermes ou internés
mier coup de pouce aux personnes en détresse financière.
Mais il ne sera alimenté qu'à
d'office. Cette pratique a duré
jusqu'en 1981. Toutes ces per-
sonnes ont reçu des excuses
du Conseil fédéral et une réhabilitation totale décidée par le
Parlement. Cependant, la plu-
raison de 5 à 8 millions par des
loteries cantonales et d'autres
part des victimes, traumatisées et lésées, n'ont obtenu
Des victimes sont venues à Berne pour le lancement de l'initiative. KEY
jusqu'ici aucune indemnité, a
rappelé hier Guido Fluri. A la
tête d'une fondation consacrée
à la mémoire de ces abus, il a
déposé une initiative qui de-
mande la création par Berne
d'un fonds doté de 500 millions.
«Le fonds n'enrichira personne, mais cette réparation,
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institutions. Pour mémoire,
l'Union suisse des paysans a
refusé de participer au finan-
combinée avec l'étude du pas-
cement des mesures de répara-
sé, pourra alléger la détresse
des personnes concernées», a
déclaré Guido Fluri. Les
moyens seraient attribués se-
tion immédiate, alors même
que nombre d'enfants ont été
placés dans des fermes pour y
être exploités. -ATS
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Editorial
avec la Fondation Guido Fluri et
une poignée d'élus, une initiative
populaire fédérale. Un fonds
d'indemnisation doté
de 500 millions de francs doit
être créé en parallèle d'un travail
de mémoire fourni.
Renverser
le fardeau
de la
culpabilité
«L'argent du malheur
peut-il réparer quoi que
ce soit? La question
n'est pas indécente»
Lise
Bailat
Correspondante
parlementaire
Exploitations, abus sexuels,
stérilisations et castrations forcées,
internements administratifs, enfants
privés de dignité et d'avenir. On
estime à 20 000 au bas mot les
personnes victimes de mesures de
coercition vivant aujourd'hui en
Suisse. Il aura fallu que les langues
se délient, à force de livres, de
documentaires, d'expositions, pour
entrouvrir la porte sur un chapitre
tragique de l'histoire suisse, celui
d'un système administratif qui, sous
couvert d'assistance, a toléré et
permis l'innommable. Depuis les
excuses officielles des conseillères
fédérales Eveline Widmer-Schlumpf
en 2010, et Simonetta Sommaruga
l'an dernier, ces victimes disent
avoir «gagné du respect». Mais cela
ne leur suffit pas. Elles demandent
réparation. Face à la pingrerie
du parlement, elles lancent donc,
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L'argent du malheur peut-il
réparer quoi que ce soit? La question
n'est pas indécente. La Suisse y a
déjà répondu par le passé. Dans les
années 1990, un fonds doté de
plusieurs millions de francs avait vu
le jour pour réparer les torts subis
par les enfants de la grand-route.
Deux mille personnes ont été
dédommagées. L'affaire des fonds
juifs en déshérence a elle aussi
montré la légitimité d'indemnisations. A titre d'exemple encore,
les Etats-Unis ont déjà déboursé
2 milliards de dollars pour
10 000 victimes de mauvais
traitements commis par des religieux
catholiques. Alors, bien sûr, l'argent
n'est pas tout. Mais les initiants ont
raison de demander aujourd'hui la
création d'un fonds. D'autant plus
que l'Etat n'a pas fait que fauter,
il a aussi profité et s'est enrichi de
cette main-d'oeuvre sans aucune
protection que représentaient
les personnes placées et internées.
Une réparation financière, même
tardive, permettrait de renverser le
fardeau de la culpabilité.
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Une initiative veut que
réparation totale soit faite
Environ 20 000 victimes de «mesures de coercition à des fins d'assistance» vivent encore en
Suisse. L'initiative lancée hier demande une reconnaissance financière et historique. KEYSTONE
Le texte vise la
mariée, elle se voit privée de son
création d'un fonds
de 500 millions de
francs en faveur des
victimes, ainsi qu'un
travail de mémoire
conséquent
enfant à peine l'accouchement
terminé. Elle le retrouvera trois
mois plus tard, mais n'oubliera jamais cette année en prison, qu'elle
porte «comme des stigmates.»
A ses côtés hier à Berne, une
vingtaine de victimes de «mesures
de coercition à des fins d'assis-
tance», selon le terme officiel, ont
Lise Bailat Berne
lancé une initiative populaire fé«Il y a des blessures qui ne guéris- dérale. Cette dernière est pilotée
sent jamais. J'ai vécu la trahison de par la fondation Guido Fluri (lire
PEtat!» A 64 ans, Ursula Biondi a
ci-dessous) et soutenue par un cotoujours les larmes aux yeux lors- mité qui réunit des élus de tous
qu 'elle évoque l'année de ses bords, hormis l'UDC. Le texte vise
17 ans. Internée de force dans la deux objectifs: faire toute la luprison de Hindelbank (BE) pour mière sur un système qui a en-
être tombée enceinte sans être
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traîné, entre 1942 et 1981 en naissant les injustices et pré- rement sensible à la problématiSuisse, l'exploitation de dizaines voyant une étude scientifique sur
de milliers d'enfants placés, la sté- ce sombre passé. Mais pas quesrilisation et la castration forcées tion pour lui de parler d'indemnid'adultes, et des internements tés financières. En parallèle, une
sans décision judiciaire. Et puis table ronde organisée par la Conmettre en place un fonds doté de fédération a lancé un fonds d'ur500 millions de francs sur vingt gence doté de 7 à 8 millions de
ans pour réparer le tort fait aux francs. Mais ce pot commun «de
victimes. Au bas mot, 20 000
d'entre elles vivent encore en
Suisse. «Même si la plupart des cas
sont juridiquement prescrits,
l'Etat et la société ont la responsabilité de faire face à cette injustice.
C'est une question morale et éthique qui dépasse les clivages politi-
ques», a estimé hier le sénateur
Joachim Eder (PLR/ZG).
«Dignité d'un Etat»
que, ayant eu un grand-père placé
à l'orphelinat entre 4 et 16 ans.
«Cela lui a laissé des souvenirs si
horribles qu'il ne pouvait pas en
parler.» Pour l'écologiste, il n'y a
plus à tergiverser: «C'est la dignité
d'un Etat de savoir reconnaître les
torts qui sont les siens.»
Reste à déterminer les modalidétresse», sorte de premier pas
vers les victimes, rencontre déjà tés de financement du fonds de
des difficultés. Le Canton de Ge- réparation. Le texte de l'initiative
nève refuse d'y participer, ar- n'en dit rien. La conseillère natioguant de difficultés financières et nale Ursula Haller (PBD/BE) a son
de faits survenus «surtout dans les idée: «C'est le rôle de la Confédécantons ruraux». L'Union suisse ration, des Cantons, mais aussi
de paysans ne veut pas non plus des Eglises et de l'Union suisse des
mettre la main à la poche.
paysans, à mon avis!» Ursula
Dans ce contexte, les initiants Biondi, qui travaillait dix heures
estiment qu'une réparation finan- par jour dans la prison de Hindel-
Après les excuses officielles des cière globale est compromise. «Il y
conseillères fédérales Eveline a le risque de s'enliser dans une
Widmer-Schlumpf et Simonetta situation où tout le monde se renSommaruga aux victimes, le par- voie la balle», affirme le conseiller
lement s'est pourtant saisi du pro- aux Etats Luc Recordon (Verts/
blème. Il a adopté une loi recon- VD). Le Vaudois se dit particuliè-
bank, renchérit: «Nous voulons
savoir qui a profité de notre ar-
gent, pourquoi l'Etat ne nous
rend pas ce qui nous est dû... et
toutes ces années perdues!»
«L'argent aide à la reconnaissance»
Riche entrepreneur au passé
modeste et difficile, président
d'une Fondation homonyme qui
lutte contre la violence faite aux
enfants, Guido Fluri endosse la
paternité de l'initiative «Sur la
réparation», un premier combat
politique dont il s'explique.
Une table ronde traite de la
problématique des victimes
de mesures de coercition.
N'avez-vous pas confiance?
Si. Nous sommes en contact
permanent avec cette table
ronde. Mais nous pensons, qu'il
s'agit avant tout d'un groupe qui
donne des recommandations.
Notre initiative doit permettre
un grand débat public sur les
mesures de coercition, assurer
une vraie réparation à des
personnes qui ont souffert
pendant des années et garantir
.n
,,.....
,..e iie
i'll*
g......_de
1111
Guido Fluri,
entrepreneur
zougois,
est le père
de l'initiative
«Sur
nes concernées. Une réparation
financière est nécessaire. Prévoir
quelques milliers de francs par
victime n'est pas beaucoup pour
des personnes qui ont autant
souffert.
la réparation»
Mais cet argent peut-il
vraiment réparer quelque
le financement d'une étude
chose?
scientifique globale sur ce qui
Ces montants peuvent apporter
s'est passé. Nous n'avons
beaucoup en termes de reconaujourd'hui pas de majorité
naissance. Ces personnes ont
une méfiance compréhensible
parlementaire le permettant. Je
suis persuadé qu'en sensibilisant envers l'Etat et les institutions.
les Suisses aux souffrances que
Et à chaque fois que le parleces gens ont éprouvées, nous
ment a refusé des indemnités,
recevrons leur soutien.
elles ont vécu une fois encore
une relativisation de leurs
La souffrance ne se laisse pas
souffrances. La solidarité des
chiffrer. Pourquoi
Suisses est importante. Elle
500 millions de francs?
permettra aussi aux victimes,
Ce montant est une estimation enqui vivent toujours dans la peur
fonction du nombre de personde s'annoncer.
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Ehemalige Verdingkinder posieren mit Kinderfotos vor dem Bundeshaus: Sie sollen per Volksinitiative finanzielle Wiedergutmachung erfahren.
500 Millionen für die Opfer
VOLKSINITIATIVE Die Opfer administrativer Zwangsmassnahmen verdienen nicht nur eine Entschuldigung, sondern auch eine
Entschädigung. Eine Volksinitiative verlangt einen mit 500 Millionen Franken dotierten Wiedergutmachungsfonds.
Mit dem Geld soll den am sperrt. Der Zugang zu Gerichten worden. An einem Gedenkanlass
schwersten betroffenen Opfern blieb den Betroffenen in den
geholfen und das ihnen zugefügte meisten Fällen verwehrt.
Unrecht abgegolten werden. EiErst 1981 wurde die Praxis der
ne entsprechende Volksinitiative administrativen Zwangsversorist gestern in Bern lanciert wor- gung gestoppt. «Diesen Menden. Gegen mindestens 20 000 schen wurden jegliche Chancen
Menschen sind im 20. Jahrhun- auf Glück, auf Gleichheit und auf
dert in der Schweiz fürsorgeri- Selbstverwirklichung
genomsche Zwangsmassnahmen ange- men», sagte der Vater der Initiaordnet worden. Manche wurden tive, der Unternehmer Guido
als Kinder an Bauernhöfe ver- Fluri. Die Betroffenen brauchten
dingt, andere zwangssterilisiert, jetzt ein Zeichen der Solidarität.
für
Medikamentenversuche
bat Justizministerin Simonetta
Sommaruga im April 2013 die
Opfer fürsorgerischer Zwangs-
missbraucht oder wegen Arbeits- Erste Schritte sind gemacht
arbeitung sind darin geregelt,
massnahmen im Namen des
Bundesrats um Entschuldigung.
Gleichzeitig setzte sie einen runden Tisch ein, der eine erste Aufarbeitung in Angriff nehmen sollte. Vor wenigen Wochen hat das
Parlament ein Gesetz verabschiedet, mit dem das Unrecht
anerkannt wird. Auch der Zugang
zu Akten und die historische Auf-
scheu, lasterhaften Lebenswan- Erste Schritte sind im Lauf des eine finanzielle Wiedergutmadels oder Liederlichkeit wegge- letzten Jahres unternommen chung ist hingegen nicht vorgese-
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hen. Das Risiko, dass die ganze selbst, das sich seiner eigenen tone, von Organisationen oder
Vorlage scheitern würde, sei zu Vergangenheit ohne Druck von der Kirche ist nicht ausgeschlosgross gewesen, sagte die Zürcher aussen stellt und dadurch eigen- sen, im Initiativtext aber nicht
händig und gestärkt an seiner ausdrücklich vorgesehen.
SP-Nationalrätin
Jacqueline
Geschichte weiterschreibt».
Die Berner BDP-Nationalrätin
Fehr. «Umso wichtiger ist jetzt
Für die Opfer sei eine finanziel- Ursula Haller übte in dem Zuder Druck vom Volk.»
le Entschädigung wichtig, sagte sammenhang scharfe Kritik am
Das Initiativkomitee ist breit
der Soziologe Ueli Mäder, der Bauernverband, der sich nicht
aufgestellt: Fluri konnte neben
ebenfalls im Initiativkomitee einmal am Soforthilfefonds für
Vertretern der Betroffenenorgasitzt. Geld könne das Unrecht Opfer in finanziellen Notlagen
nisationen Mitglieder fast aller
nicht wiedergutmachen, aber die beteiligen wollte. Neben der
Bundeshausfraktionen für das Betroffenen wollten nicht bloss Entschädigung verlangt die InKomitee gewinnen. Abseits steht
mit guten Worten abgespiesen itiative eine breite wissenschaftallein die SVP, die im Nationalrat
liche Aufarbeitung der damaligen
auch gegen das Rehabilitierungs- werden. Bei 20 000 Betroffenen
Behördenpraxis.
würde
die
Wiedergutmachung
gesetz gestimmt hatte. Der Staat
durchschnittlich
25
000
Franken
und die Gesellschaft stünden in
Sammeltag am Samstag
der Verantwortung, diesem Un- betragen. Der tatsächlich ausbe- Der Initiativtext wird vorausrecht zu begegnen, sagte der Zu- zahlte Betrag soll sich nach dem
sichtlich heute im Bundesblatt
ger FDP- Ständerat Joachim erlittenen Unrecht richten. Die
publiziert. Am kommenden
Initiative
sieht
vor,
dass
das
Geld
Eder. Die Initiative sei «nicht nur
Samstag ist ein nationaler
den
Wiedergutmachungsfür
ein Engagement für die Opfer,
sda
Sammeltag geplant.
fonds
aus
der
Bundeskasse
sondern auch für unser Land
fliesst. Die Beteiligung der Kan-
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500 Millionen für die Opfer
Volksinitiative Die Opfer administrativer Zwangsmassnahmen verdienen eine
Entschädigung. Eine Volksinitiative verlan gt einen Wiedergutmachungsfonds.
Mit dem Geld
soll den am meisten Fällen verwehrt.
schwersten betroffenen Opfern Erste Schritte sind gemacht
geholfen und das ihnen zugefügte
Unrecht abgegolten werden. Eine entsprechende Volksinitiative
ist gestern in Bern lanciert worden. Gegen mindestens 20 000
Menschen sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Manche wurden
Bundesrats um Entschuldigung.
Gleichzeitig setzte sie einen runErst 1981 wurde die Praxis der ad- den Tisch ein, der eine erste Aufministrativen Zwangsversorgung arbeitung in Angriff nehmen sollgestoppt. «Diesen Menschen te. Vor wenigen Wochen hat das
wurden jegliche Chancen auf Parlament ein Gesetz verab-
Glück, auf Gleichheit und auf schiedet, mit dem das Unrecht
Selbstverwirklichung
genom- anerkannt wird. Auch der Zugang
men», sagte der Vater der Initia- zu Akten und die historische Auf-
tive, der Unternehmer Guido arbeitung sind darin geregelt,
Fluri. Die Betroffenen brauchten eine finanzielle Wiedergutmaals Kinder an Bauernhöfe ver- jetzt ein Zeichen der Solidarität. chung ist hingegen nichtvorgesedingt, andere zwangssterilisiert, Erste Schritte sind im Lauf des hen. Das Risiko, dass die ganze
für
Medikamentenversuche letzten Jahres unternommen Vorlage scheitern würde, sei zu
missbraucht oder wegen Arbeits- worden. An einem Gedenkanlass gross gewesen, sagte die Zürcher
scheu, lasterhaften Lebenswan- bat Justizministerin Simonetta SP-Nationalrätin
Jacqueline
dels oder Liederlichkeit wegge- Sommaruga im April 2013 die Fehr. «Umso wichtiger ist jetzt
sperrt. Der Zugang zu Gerichten Opfer fürsorgerischer Zwangs- der Druck vom Volk.» Das Initia-
blieb den Betroffenen in den massnahmen im Namen des tivkomitee ist breit aufgestellt:
Ehemalige Verdingkinder posieren mit Kinderfotos vor dem Bundeshaus: Sie sollen per Volksinitiative finanzielle Wiedergutmachung erfahren.
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Fluri konnte neben Vertretern guten Worten abgespiesen werder Betroffenenorganisationen
Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für das Komitee
gewinnen. Abseits steht allein die
SVP, die im Nationalrat auch ge-
gen das Rehabilitierungsgesetz
gestimmt hatte.
Der Staat und die Gesellschaft
den. Bei 20 000 Betroffenen würde
die
Wiedergutmachung
durchschnittlich 25 000 Franken
betragen.
Der tatsächlich ausbezahlte
Betrag soll sich nach dem erlittenen Unrecht richten. Die Initiative sieht vor, dass das Geld für den
Wiedergutmachungsfonds aus
der Bundeskasse fliesst. Die Beteiligung der Kantone, von Orga-
stünden in der Verantwortung,
diesem Unrecht zu begegnen,
sagte der Zuger FDP- Ständerat
Joachim Eder. Die Initiative sei nisationen oder der Kirche ist
«nicht nur ein Engagement für nicht ausgeschlossen, im Initiadie Opfer, sondern auch für unser tivtext aber nicht ausdrücklich
Land selbst, das sich seiner eige- vorgesehen.
nen Vergangenheit ohne Druck Neben der Entschädigung vervon aussen stellt und dadurch ei- langt die Initiative eine breite
genhändig und gestärkt an seiner wissenschaftliche Aufarbeitung
Geschichte weiterschreibt».
der damaligen Behördenpraxis.
Der Initiativtext wird vorausSammeltag am Samstag
Für die Opfer sei eine finanzielle sichtlich heute im Bundesblatt
Entschädigung wichtig, sagte der publiziert. Am kommenden
Soziologe Ueli Mäder, der eben- Samstag ist ein nationaler
sda
falls im Initiativkomitee sitzt. Sammeltag geplant.
Geld könne das Unrecht nicht
wiedergutmachen, aber die Be- Link: www.bielertagblattch
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das erlittene Unrecht finanziell entschädigt werden. Gestern wurde in
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sämtliche Chancen auf Glück, auf
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M&Shalt un rdriffeelbstverwirksagte Guido
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Fluri, Unternehmer
und Vater der Initiative. Aus einem Fonds des Bundes
sollen die Betroffenen 500 Millionen
Franken erhalten. «Damit setzen wir
ein starkes Zeichen der Solidarität»,
so Fluri.
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Verdangkander sollen finanzielle Entschädigung erhalten
INITIATIVE Nur eine Entschuldigung reiche nicht,
findet Guido Fluri. Der Unternehmer verlangt
einen Wiedergutmachungsfonds von
500 Millionen Franken.
Kirche ist nicht ausgeschlossen, im
Initiativtext aber nicht ausdrücklich
vorgesehen.
Kritik am Bauernverband
Die Berner BDP-Nationalrätin Ursula
sda. Für mindestens 20 000 Personen Opfer fürsorgerischer Zwangsmassnah- Haller übt in dem Zusammenhang
sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz men im Namen des Bundesrats um Ent- scharfe Kritik am Schweizerischen
fürsorgerische Zwangsmassnahmen an- schuldigung. Gleichzeitig setzte sie einen Bauernverband, der sich nicht einmal
geordnet worden. Manche wurden als runden Tisch ein, der eine erste Auf- am Soforthilfefonds für Opfer in finanziellen Notlagen beteiligen wollte. BeKinder an Bauernhöfe verdingt, andere arbeitung in Angriff nehmen sollte.
zwangssterilisiert, für Medikamenten- Vor wenigen Wochen hat das Parlament gründung: Der Bauernverband selber
versuche missbraucht oder wegen ein Gesetz verabschiedet, mit dem das habe keine Kinder verdingt. Haller akArbeitsscheu oder lasterhaften Lebens- Unrecht anerkannt wird. Auch der Zugang zeptiert diese «verfehlte und auch herz-
wandels wie Kriminelle weggesperrt. Der zu Akten und die historische Aufarbeitung lose Geschichtsinterpretation» nicht.
Zugang zu Gerichten blieb den Betrof- sind darin geregelt, eine finanzielle Wie- Laut dem Zuger FDP-Ständerat Joachim
fenen in den meisten Fällen verwehrt. dergutmachung ist nicht vorgesehen. Das Eder sei die Initiative «nicht nur ein
Erst 1981 wurde die Praxis der ad- Risiko eines Scheiterns der Vorlage sei Engagement für die Opfer, sondern auch
ministrativen Zwangsversorgung auf- zu gross gewesen, sagte die Zürcher SPgrund einer Gesetzesänderung gestoppt. Nationalrätin Jacqueline Fehr. «Umso
«Diesen Menschen wurden jegliche wichtiger ist jetzt der Druck vom Volk.»
Chancen auf Glück und auf Selbstver- Nur SVP auf der Gegnerseite
wirklichung genommen», sagte der Das Initiativkomitee ist breit aufgeUnternehmer Guido Fluri, Vater der stellt: Fluri konnte neben Vertretern der
Wiedergutmachungsinitiative, gestern Betroffenenorganisationen Mitglieder fast
vor den Medien. Die Betroffenen brauchten jetzt dringend ein Zeichen der Soli- aller Bundeshausfraktionen für das Komitee gewinnen. Abseits steht allein die
darität. Fluri will einen 500-Millionen- SVP, die im Nationalrat auch gegen das
Franken-Fonds schaffen, mit dem den
am schwersten betroffenen Opfern ge- Rehabilitierungsgesetz gestimmt hatte.
Bei 20 000 Betroffenen würde die
holfen und das ihnen zugefügte Unrecht
Wiedergutmachung durchschnittlich
abgegolten werden soll.
25 000 Franken betragen. Der tatsächErste Schritte sind gemacht
lich ausbezahlte Betrag soll sich nach
Erste Schritte sind im Lauf des letzten dem erlittenen Unrecht richten. Die
Jahres unternommen worden. An einem Initiative sieht vor, dass das Geld für
Gedenkanlass bat Justizministerin Simo- den Wiedergutmachungsfonds aus der
netta Sommaruga im April 2013 die Bundeskasse fliesst. Die Beteiligung der
Kantone, von Organisationen oder der
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für unser Land selbst, das sich seiner
eigenen Vergangenheit ohne Druck von
aussen stellt und dadurch eigenhändig
und gestärkt an seiner Geschichte weiterschreibt». Soziologe Ueli Milder, der
ebenfalls im Initiativkomitee sitzt, sagt
zwar, dass Geld das Unrecht nicht wieder gutmachen könne. Die Betroffenen
wollten aber auch nicht bloss mit guten
Worten abgespeist werden.
Wissenschaftliche Aufarbeitung
Neben der Entschädigung verlangt die
Initiative eine breite wissenschaftliche
Aufarbeitung der damaligen Behörden-
praxis. Nicht einmal die genaue Zahl
der Betroffenen sei bekannt, sagte Mäder. Der Initiativtext wird voraussichtlich
morgen im Bundesblatt publiziert. Am
kommenden Samstag ist ein nationaler
Sammeltag geplant.
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Datum: 01.04.2014
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WiedergutmachungsInitiative lanciert
Die Opfer administrativer Zwangsmassnahmen sollen
eine Entschädigung erhalten.
Guido Fluri, Unternehmer, lanciert die Wiedergutmachungs-Initiative. (Im
Eine Volksinitiative, die gestern in
der administrativen Zwangsversorgung aufgrund einer Gesetzesändenen mit 500 Millionen Franken do- rung gestoppt. «Diesen Menschen
tierten Wiedergutmachungs-Fonds. wurden jegliche Chancen auf Glück,
Bern lanciert worden ist, verlangt ei-
Mit dem Geld soll den am auf Gleichheit und auf Selbstverschwersten betroffenen Opfern ge- wirklichung genommen», sagte der
holfen und das ihnen zugefügte Un- Vater der Initiative, der Unternehrecht abgegolten werden. Gegen
mindestens 20 000 Menschen sind
im 20. Jahrhundert in der Schweiz
fürsorgerische
Zwangsmassnahmen angeordnet worden.
Manche wurden als Kinder an
Bauernhöfe
verdingt,
andere
zwangssterilisiert, für Medikamentenversuche missbraucht oder wegen Arbeitsscheu, lasterhaften Le-
benswandels oder Liederlichkeit
wie Kriminelle weggesperrt. Der Zugang zu Gerichten blieb den Betrof-
mer Guido Fluri, gestern vor den Medien in Bern. Die Betroffenen
brauchten jetzt dringend ein Zeichen der Solidarität.
Erste Schritte sind im Lauf des
letzten Jahres unternommen worden. An einem Gedenkanlass bat
Justizministerin Simonetta Sommaruga im April 2013 die Opfer für-
sorgerischer Zwangsmassnahmen
im Namen des Bundesrats um Entschuldigung. Gleichzeitig setzte sie
einen runden Tisch ein, der eine ers-
fenen in den meisten Fällen ver- te Aufarbeitung in Angriff nehmen
wehrt. Erst 1981 wurde die Praxis
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sollte. (Sam
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Bimbi internati Iniziativa per riparare
Chiesto un fondo di 500 milioni per
le vittime di collocamenti obbligati
III I bambini che sono stati collocati a cenni. «Queste vittime ora hanno biso- tempi. «La maggior parte delle vittime
forza in un istituto e le vittime di interna- gno di un segnale di solidarietà chiaro e ormai è in là con gli anni. Non possono
menti a scopo assistenziale hanno diritto sincero da parte della politica e della soche sia fatta chiarezza sulla vicenda e a cietà», ha detto l'imprenditore Guido Fluuna riparazione finanziaria. A questo ri, presidente dell'omonima fondazione,
scopo è stata lanciata ieri «l'iniziativa per promotore dell'iniziativa e lui stesso vittila riparazione» che chiede di istituire un ma di collocamento forzato.
fondo di 500 milioni a favore delle circa «Lo scorso anno il Consiglio federale si è
20.000 vittime di «di questo capitolo scusato ufficialmente e il Parlamento ha
oscuro della storia svizzera».
riabilitato con una legge le persone interIn Svizzera, fino al 1981, decine di miglia- nate sulla base di una decisione amminiia di persone sono state internate sulla strativa. La tavola rotonda su questo tebase di una decisione amministrativa, ma ha concluso che è necessaria una risenza decisione di un tribunale. Molte parazione finanziaria per queste persone
donne sono state sottoposte a sterilizza- che hanno subito gravi traumi. Per il
zione o costrette all'aborto, migliaia di momento però non esistono le basi legabambini sono stati dati in adozione con- li necessarie ed è chiaro che non sarà
tro la volontà delle loro madri o collocati possibile trovare una maggioranza in
in istituti e costretti a lavorare senza re- Parlamento su questa questione», ha
munerazione. Molte di queste persone detto la consigliera nazionale socialista
vivono oggi in condizioni di difficoltà fi- Jaqueline Fehr.
nanziarie o psicologiche a causa degli L'Iniziativa per la riparazione vuole esseabusi, delle umiliazioni e della stigmatiz- re un chiaro segnale lanciato dalla popozazione di cui sono stati oggetto per de- lazione alla politica affinché acceleri i
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aspettare più a lungo le promesse, hanno
bisogno adesso del nostro aiuto e del
nostro sostegno», ha aggiunto Fehr.
I casi di collocamenti coatti, lavoro minorile, internamenti amministrativi sono
venuti alla luce dapprima nella Svizzera
tedesca, ma avvenivano in tutto il Paese e
hanno coinvolto non solo le autorità, ma
anche istituti e organizzazioni di ogni
genere. «Per il Ticino abbiamo raccolto
per il momento poche testimonianze»,
ha precisato Walter Zwahlen, presidente
dell'associazione Netzwerk verdingt, che
si occupa prevalentemente dei bambini
costretti a lavorare in aziende agricole.
«Sappiamo che c'erano istituti, gestiti da
preti e suore, dove i bambini subivano
maltrattamenti e abusi di vario genere. E
poi c'è il caso degli spazzacamini: bam-
bini affidati dalle famiglie povere ad
adulti e costretti a lavorare in tutta Europa», aggiunge Zwahlen.
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Bericht Seite: 13/62
Datum: 01.04.2014
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Volk soll über späte Wiedergutmachung
entscheiden
Die Opfer der Fürsorgepolitik fordern mittels Initiative
eine umfassende Aufarbeitung der Vergangenheit.
Ehemalige Verdingkinder und Opfer fürsorgerischer Massnahmen posierten gestern auf dem Bundesplatz in Bern. Foto: Keystone
Stefan Schürer
Sie wurden zur Arbeit gezwungen, ohne
Gerichtsbeschluss weggesperrt oder
unter Zwang sterilisiert. Sie erlebten Behördenwillkür, Missbrauch und eine lebenslange Stigmatisierung. Jetzt verlan-
gen die Opfer der Schweizer Fürsorgepolitik späte Gerechtigkeit. Gestern lancierten die Betroffenenverbände deshalb die Wiedergutmachungsinitiative.
Das Begehren sieht eine umfassende
Aufarbeitung der hiesigen Fürsorgepolitik sowie die Schaffung eines Fonds für
die Betroffenen vor.
Nach Schätzungen der Initianten sind
heute noch rund 20000 Personen am
Leben, die für Wiedergutmachungszah- der staatlichen Fürsorgebehörden. Teillungen infrage kommen. Es sind dies weise tolerierten sie die Praxis privater
ehemalige Verding- und Heimkinder, Akteure bloss, manchmal förderten sie
Zwangssterilisierte, Fahrende oder die diese, nicht selten verantworteten sie
sogenannt administrativ Verwahrten. die Fürsorgepolitik unmittelbar. Die VerLetztere wurde ohne Strafurteil in Ge- dingkinder etwa wurden in gewissen
fängnisse weggesperrt. Grund für die Fällen von ihren verarmten Eltern wegEinweisung war ein Lebenswandel, der
die Jugendlichen im Jargon der Behör- gegeben, ohne dass Amtsstellen involden als «arbeitsscheu» oder «liederlich» viert waren. Bei Kindern von Fahrenden, die den Eltern vom berüchtigten
erscheinen liess. So unterschiedlich die
für die Kinder der LandSchicksale der Betroffenen auch sind: «Hilfswerk
strasse»
weggenommen
wurden, war
Gemeinsam ist ihnen, dass sie durch fürsorgerische Zwangsmassnahmen ihrer die Stiftung Pro Juventute die treibende
Jugend beraubt wurden - mit vielfach le- Kraft; jede Fremdplatzierung beruhte jedoch auf einem Entscheid der Behörbenslang anhaltenden Folgen.
Die administrativ Verwahrten
Das alles geschah unter den Augen den.
schliesslich wurden von den Vormund-
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Fläche: 48'262 mm²
schaftsbehörden in staatlichen Gefäng- Hand, der Landeskirchen sowie des
nissen weggesperrt.
Bauernverbands über eine Entschädigung. Vor kurzem wurde die Schaffung
Anerkennung von Unrecht
eines Soforthilfefonds beschlossen, der
Die Initianten fordern, dass die Behörden mit kantonalen Lotteriegeldern finannun für ihre Unterlassungen und Verfeh- ziert wird. Das Geld soll ausschliesslich
lungen Verantwortung übernehmen. Der Personen zugutekommen, die sich in
Fonds in der Höhe von 500 Millionen einer finanziellen Notlage befinden.
Franken soll dabei in erster Linie mit
Hinter der WiedergutmachungsinitiaBundesgeldern finanziert werden. Bei tive steht der Unternehmer Guido Fluri.
rund 20 000 Betroffenen gehen die Ini- Der Immobilienunternehmer war als untianten von einer durchschnittlichen Wie- ehelicher Sohn einer 17-jährigen Servier-
dergutmachungszahlung von 25 000 tochter selbst ein Heimkind. Seine StifFranken aus. Über die Verteilung der Gel- tung hat allein für das laufende Jahr eine
der soll eine unabhängige Kommission Million Franken zugunsten der Initiative
entscheiden, wobei sich die Höhe im Ein- budgetiert.
Politisch geniesst das Volksbegehren
zelfall nach der Schwere des erlittenen
Unrechts richtet. Anspruchsberechtigt Rückhalt bis weit ins bürgerliche Lager.
sind jene Personen, die durch die Fürsorgepolitik unmittelbar und schwer geschädigt wurden. Die Zahlungen würden niemanden reich machen, schreiben die In-
Neben verschiedenen Politikern aus
itianten. Sie seien aber «eine Anerkennung für das erlittene Unrecht».
Die Wiedergutmachungsinitiative
wählt damit einen anderen Ansatz als
der sogenannte runde Tisch von Bundesrätin Sommaruga. An diesem verhandeln die Betroffenen seit rund einem
bara Schmid-Federer (CVP) dem Initiativkomitee an. Für den Zuger Ständerat
Eder wirft die Initiative eine moralische
Frage auf, die parteipolitische Grenzen
sprengt. Mit einer Vergangenheitsbewäl-
dem links-grünen Lager gehören unter
anderen Ständerat Joachim Eder (FDP)
sowie die Nationalrätinnen Ursula Haller (BDP), Margrit Kessler (GLP) und Bar-
tigung, die diesen Namen verdiene,
die Schweiz ohne Druck von
Jahr mit Vertretern der öffentlichen könne
aussen eine klare Antwort geben.
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Datum: 01.04.2014
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Seite: 3
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Initiative fordert Entschädigung
BERN. Die
Opfer administrativer
Zwangsmassnahmen sollen
500 Millionen Franken erhalten.
Das verlangt eine gestern
lancierte Volksinitiative.
rung gestoppt.
20000 Betroffene
nehmen sollte. Vor wenigen Wochen
hat das Parlament ein Gesetz verab-
«Diesen Menschen wurden jegliche schiedet, mit dem das Unrecht an-
Chancen auf Glück, auf Gleichheit und
auf Selbstverwirklichung genommen»,
sagte der Vater der Initiative, der
Nicht nur eine Entschuldigung, son- Unternehmer Guido Fluri, gestern vor
dern auch eine Entschädigung: Eine den Medien in Bern. Bei 20000 BetrofVolksinitiative, die gestern in Bern lan- fenen würde die Wiedergutmachung
ciert worden ist, verlangt einen mit 500 durchschnittlich 25000 Franken betra-
Millionen Franken dotierten Wieder- gen. Der tatsächlich ausbezahlte Begutmachungsfonds für die Opfer admi- trag soll sich nach dem erlittenen Unnistrativer Zwangsmassnahmen.
recht richten. Die Initiative sieht vor,
Mit dem Geld soll den am schwers- dass das Geld für den Wiedergutten betroffenen Opfern geholfen und machungsfonds aus der Bundeskasse
das ihnen zugefügte Unrecht abgegol- fliesst. Die Beteiligung der Kantone,
ten werden. Gegen mindestens 20000 von Organisationen oder der Kirche ist
Menschen sind im 20. Jahrhundert in nicht ausgeschlossen.
der Schweiz fürsorgerische Zwangs- Erste Schritte der Aufarbeitung sind
massnahmen angeordnet worden. Man- im Lauf des letzten Jahres unternomche wurden als Kinder an Bauernhöfe men worden. An einem Gedenkanlass
verdingt, andere zwangssterilisiert, für bat Justizministerin Simonetta SomMedikamentenversuche missbraucht maruga die Opfer im Namen des Bunoder weggesperrt. Erst 1981 wurde die desrats um Entschuldigung. GleichzeiPraxis der administrativen Zwangsver- tig setzte sie einen Runden Tisch ein,
sorgung aufgrund einer Gesetzesände- der eine erste Aufarbeitung in Angriff
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erkannt wird. Eine finanzielle Wieder-
gutmachung ist darin hingegen nicht
vorgesehen. Das Risiko, dass die Vorlage scheitern würde, sei zu gross gewesen, sagte die SP-Nationalrätin Jacqueline Fehr. «Umso wichtiger ist jetzt der
Druck vom Volk.»
SVP steht abseits
Das Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertretern
der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für
das Komitee gewinnen. Abseits steht
allein die SVP. Der Staat und die Gesellschaft stünden in der Verantwortung, sagte FDP-Ständerat Joachim
Eder. Die Initiative sei «nicht nur ein
Engagement für die Opfer, sondern
auch für unser Land, das sich seiner
eigenen Vergangenheit ohne Druck von
aussen stellt und eigenhändig an seiner
Geschichte weiterschreibt». (sda)
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Verdingkinder wollen
Wiedergutmachung
machungs-Fonds. Mit dem Geld soll
den am schwersten betroffenen Opfern geholfen und das ihnen zugefügte
Unrecht abgegolten werden.
Die Opfer administrativer
Gegen mindestens 20 000 Men-
Zwangsmassnahmen verdienen nicht
nur eine Entschuldigung, sondern
auch eine Entschädigung. Eine Volksinitiative, die gestern in Bern lanciert
schen sind im 20. Jahrhundert in der
Schweiz fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Manche
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oder wegen Arbeitsscheu oder lasterhaften Lebenswandels wie Kriminelle
weggesperrt. Der Zugang zu Gerichten blieb den Betroffenen in den meisten Fällen verwehrt. Erst 1981 wurde
die Praxis der administrativen
Zwangsversorgung aufgrund einer Gesetzesänderung gestoppt. (sda)
wurden als Kinder an Bauernhöfe ver- Initiative lanciert: Opfer fürsorgerischer
worden ist, verlangt einen mit 500 Mil- dingt, andere zwangssterilisiert, für Massnahmen zeigen in Bern Fotos
lionen Franken dotierten Wiedergut- Medikamentenversuche missbraucht aus ihrer Kindheit.
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Seite: 7
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Un demi-milliard en réparation
Un comité exige la création d'un fonds de réparation en faveur
des victimes. Il s'agit de garantir un geste concret pendant qu'il est encore temps.
ENFANTS PLACÉS
Réunis autour de l'homme d'affaires Guido Fluri et photos d'enfants à l'appui, des victimes de placements forcés étaient réunies
hier à Berne pour le lancement d'une initiative «pour la réparation». KEYSTONE
«C'est une question
de dignité
et de décence»
LUC RECORDON
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Bericht Seite: 18/62
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ARIANE GIGON, BERNE
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ronde pour aller plus vite vers
Ils étaient une cinquantaine, hier Aucune concurrence
une réparation»! Le conseiller
matin sur la place Fédérale. VicL'initiative n'entend pas se aux Etats calcule: 500 millions times de placements forcés, de substituer aux travaux de la ta- «soit un sixième du prix d'achat
stérilisations contraintes ou en- ble ronde (voir ci-dessous) ni des Gripen» - pour 20 000 viccore d'adoptions non choisies, les concurrencer. Car cette der- times encore vivantes (selon un
ayant souvent subi des abus psy- nière prévoit aussi de recom- chiffre que le sociologue Ueli
chologiques ou physiques, ces mander la création, dans la loi, Mâder estime trop bas, mais acpersonnes pourraient prochaine- d'un fonds «de solidarité». Mais
cepté, faute d'études),
ment recevoir un capital ou une «l'initiative populaire est le
cela représente environ
rente à titre de réparation. C'est meilleur moyen d'aboutir à une
25 000 francs en moyence que demande l'initiative po- revendication contraignante»,
ne par personne. «Ce
pulaire lancée à Berne par un co- explique la conseillère nation'est pas de l'aumône,
mité où tous les partis, sauf nale Jacqueline Fehr (ps/ZEI),
contrairement à ce que
l'UDC, sont représentés.
membre de la table ronde et du
croient parfois les vic-
Réunis autour de l'homme comité d'initiative. «Au parlealémanique Guido ment, actuellement, il n'y a pas
Fluri, qui s'engage depuis plu- de majorité pour une réparation
sieurs années dans le travail de financière.»
mémoire sur les mesures «de
Car tous rappellent à quel
d'affaires
times,
qui
comparent
cela aux milliards accordés à
PUBS. Cet argent est attribué sur
la base de notre sens des respon-
sabilités. C'est une question de
coercition à des fins d'assistance» point «rien n'a été fait jusqu'ici»,
dignité et de décence.»
et dans l'aide aux victimes, ces comme le dit Dominique Strebel,
D'autres pays ont déjà ac-
politiciens, épaulés par des his- journaliste, membre du comité cordé des réparations, rappelle
toriens et des sociologues, ont d'initiative et auteur d'un livre le comité d'initiative: l'Irlande a
présenté leur initiative «pour la sur les placements administradébloqué 1,2 milliard d'euros,
réparation».
tifs. «Des débats ont eu lieu à l'Allemagne 320 millions d'euLe texte demande à «réparer plusieurs reprises, dès la fin des
ros. Pour ce quinquagénaire
l'injustice faite» à toutes les per- années 1930, explique-t-il. Rien
placé dans différents homes ensonnes arrachées à leur famille n'a abouti», excepté les excuses tre l'âge de 3 ans et celui de
ou enfermées sans décision de et la nouvelle loi sur la réhabilita- 14 ans, et présent hier à Berne,
justice au seul motif de leur style tion. «Il faut donc absolument
«l'initiative est nécessaire car la
de vie. Pour ce faire, une étude une pression de l'opinion putable ronde risque de créer un
scientifique doit être réalisée et blique», ajoute-t-il.
déséquilibre, en donnant l'im-
la Confédération doit créer un
pression d'avantager certaines
fonds de 500 millions de francs «Pas de l'aumône»
victimes. Or il ne faut pas créer
pour aider les personnes ayant
Pour Luc Recordon (verts/ de nouvelles injustices», dit-n.1
«été touchées durement et VD) «tant mieux si l'initiative
directement».
peut concurrencer la table
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Un fonds d'aide immédiate
Le Fonds d'aide immédiate décidé par la table ronde
pour les victimes de mesures de coercition à des fins
d'assistance sera officiellement institué en avril. «Les
requêtes pourront être déposées auprès d'un comité
ad hoc dès juin», indique Luzius Mader, délégué aux
victimes. «Les premières prestations, dont le montant
pourrait s'échelonner entre 4000 et 12000 francs,
pourraient être versées dès septembre.»
Le montant du fonds - entre 7 et 8 millions de francs
dépendra de la participation des cantons et des organisations privées. «Le montant de départ est assuré et
il est sûr que nous pourrons démarrer», précise Luzius
Mader, selon qui l'initiative n'aura par ailleurs aucun
«effet perturbateur sur le travail de la table ronde. Le
débat est important», estime-t-il. Le délégué espère
aussi que les refus de participer au fonds tels ceux du
canton de Genève ou de l'Union suisse des paysans
ne sont pas définitifs.
Les cantons sont libres de décider de passer par les
fonds de loterie dont les subsides sont soumis à l'approbation de commissions de répartition, en Suisse
romande ou non. Ainsi, le Jura ne recourt pas à
la loterie. AG
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SVIZZERA
Oltre alle scuse
i risarcimenti
Lanciata ieri a Berna l'iniziativa
per la riparazione alle vittime
degli internamenti coatti in Svizzera.
La testimonianza di Sergio Devecchi,
unico ticinese ancora in vita.
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Bericht Seite: 21/62
Datum: 01.04.2014
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Un demi-milliard en réparation
Un comité exige la création d'un fonds de réparation en faveur
des victimes. Il s'agit de garantir un geste concret pendant qu'il est encore temps.
ENFANTS PLACÉS
Réunis autour de l'homme d'affaires Guido Fluri et photos d'enfants à l'appui, des victimes de placements forcés étaient réunies
hier à Berne pour le lancement d'une initiative «pour la réparation». KEYSTONE
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Bericht Seite: 22/62
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substituer aux travaux de la
ARIANE GIGON, BERNE
Ils étaient une cinquantaine, hier table ronde (voir ci-dessous) ni
matin sur la place Fédérale. Vic- les concurrencer. Car cette der-
times de placements forcés, de nière prévoit aussi de recomstérilisations contraintes ou en- mander la création, dans la loi,
core d'adoptions non choisies, d'un fonds «de solidarité». Mais
ayant souvent subi des abus psy- «l'initiative populaire est le
chologiques ou physiques, ces meilleur moyen d'aboutir à une
personnes pourraient prochaine- revendication contraignante»,
ment recevoir un capital ou une explique la conseillère nationale
rente à titre de réparation. C'est ce Jacqueline
Fehr
(ps/ZH),
que demande l'initiative populai- membre de la table ronde et du
re lancée à Berne par un comité comité d'initiative. «Au parleoù tous les partis, sauf l'UDC, ment, actuellement, il n'y a pas
sont représentés.
de majorité pour une réparation
Réunis autour de l'homme financière.»
d'affaires alémanique Guido
Car tous rappellent à quel
Fluri, qui s'engage depuis plu- point «rien n'a été fait jusqu'ici»,
sieurs années dans le travail de comme le dit Dominique Stremémoire sur les mesures «de bel, journaliste, membre du cocoercition à des fins d'assistan- mité d'initiative et auteur d'un
ce» et dans l'aide aux victimes, livre sur les placements adminisces politiciens, épaulés par des tratifs. «Des débats ont eu lieu à
historiens et des sociologues,
ont présenté leur initiative «pour
la réparation».
Le texte demande à «réparer
l'injustice faite» à toutes les per-
sonnes arrachées à leur famille
ou enfermées sans décision de
«C'est une question
de dignité
et de décence»
justice au seul motif de leur style
LUC RECORDON
de vie. Pour ce faire, une étude
scientifique doit être réalisée et
la Confédération doit créer un
fonds de 500 millions de francs
pour aider les personnes ayant
plusieurs reprises, dès la fin des
années 1930, explique-t-il. Rien
n'a abouti», excepté les excuses
directement».
une pression de l'opinion pu-
et la nouvelle loi sur la réhabilita-
«été touchées durement et tion. «Il faut donc absolument
blique», ajoute-t-il.
Aucune concurrence
L'initiative n'entend pas se «Pas de l'aumône»
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Pour Luc Recordon (verts/
VD) «tant mieux si l'initiative
peut concurrencer la table ronde pour aller plus vite vers une
réparation»! Le conseiller aux
Etats calcule: 500 millions - «soit
un sixième du prix d'achat des
Gripen» - pour 20000 victimes
encore vivantes (selon un
chiffre que le sociologue Ueli
Mâder estime trop bas, mais accepté, faute d'études),
cela représente environ
25 000 francs en moyen-
ne par personne. «Ce
n'est pas de l'aumône,
contrairement à ce que
croient parfois les victimes, qui comparent
cela aux milliards accordés à
l'UBS. Cet argent est attribué sur
la base de notre sens des responsabilités. C'est une question
de dignité et de décence.»
D'autres pays ont déjà accordé des réparations, rappelle
le comité d'initiative: l'Irlande a
débloqué 1,2 milliard d'euros,
l'Allemagne 320 millions d'eu-
ros. Pour ce quinquagénaire
placé dans différents homes
entre l'âge de 3 ans et celui de
14 ans, et présent hier à Berne,
«l'initiative est nécessaire car la
table ronde risque de créer un
déséquilibre, en donnant l'impression d'avantager certaines
victimes. Or il ne faut pas créer
de nouvelles injustices», dit-il. I
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Bericht Seite: 23/62
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Un fonds d'aide immédiate
Le Fonds d'aide immédiate décidé par la table ronde
pour les victimes de mesures de coercition à des fins
d'assistance sera officiellement institué en avril. (<Les
requêtes pourront être déposées auprès d'un comité
ad hoc dès juin», indique Luzius Mader, délégué aux victimes.«Les premières prestations, dont le montant
pourrait s'échelonner entre 4000 et 12000 francs,
pourraient être versées dès septembre.»
Le montant du fonds entre 7 et 8 millions de francs
dépendra de la participation des cantons et des organisations privées. (<Le montant de départ est assuré et
il est sûr que nous pourrons démarrer», précise Luzius
Mader, selon qui l'initiative n'aura par ailleurs aucun
«effet perturbateur sur le travail de la table ronde. Le
débat est important», estime-t-il. Le délégué espère
aussi que les refus de participer au fonds tels ceux du
canton de Genève ou de l'Union suisse des paysans
ne sont pas définitifs.
Les cantons sont libres de décider de passer par les
fonds de loterie dont les subsides sont soumis à l'approbation de commissions de répartition, en Suisse
romande ou non. Ainsi, le Jura ne recourt pas à
la loterie. AG
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Bericht Seite: 25/62
Datum: 01.04.2014
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Bericht Seite: 26/62
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Les enfants
placés réclament
leur dû
> Initiative Un fonds de 500 millions
devrait être créé pour les victimes placées
de force jusque dans les années 80
> Le débat qui s'annonce sera douloureux
Sur la place Fédérale, d'anciens enfants placés portent des photos de victimes comme eux de mesures de coercition, BERNE 31 MARS 20M
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Bericht Seite: 27/62
Datum: 01.04.2014
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Magalie Goumaz BERNE
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fondation qui porte son nom. Il a fonds à près de 2,5 milliards.
Ils étaient une cinquantaine, constitué un comité composé de Membre de la Table ronde, la
lundi, sur la place Fédérale à différents partis et organisations conseillère nationale Ursula
Berne, à se faire photographier te- de concernés.
L'initiative
de- Schneider Schüttel (PS/FR) parle
nant entre leurs mains le portrait mande la création d'un fonds de
en noir et blanc d'un enfant qui réparation doté de 500 millions.
pourrait être eux. Eux, il y a long- Un chiffre qui ne doit rien au hatemps. Lorsque les autorités pou- sard. Les initiants estiment qu'envaient, sans passer par la justice, viron 20 000 personnes en Suisse
décider de mesures de coercition ont été gravement lésées. Elles
à des fins d'assistance. C'est-à-dire pourraient toucher en moyenne
qu'elles pouvaient, jusque dans 25 000 francs, mais le montant seles années 80, placer enfants, mar- rait déterminé par une commisginaux ou filles de «mauvaise vie» sion indépendante en fonction de
dans des institutions, prisons, orphelinats, exploitations agricoles. «Maintenant, assez de
Pour les victimes de tels place- bla-bla, on ne peut pas
ments dits administratifs, les exen rester là»
cuses et la reconnaissance du tort
subi ne suffisent pas. Elles lancent la gravité de l'injustice subie.
une initiative qui demande égale- Guido Fluri rappelle que la tradiment une réparation financière. tion humanitaire suisse rayonne
«Depuis que j'ai témoigné pu- dans le monde entier. «Il est temps
bliquement, j'ai reçu 220 messa- de le montrer envers ses citoyens»,
ges électroniques. Alors mainte- estime-t-il.
Mise en place par la conseillère
nant, assez de bla-bla. On ne peut
fédérale
Simonetta Sommaruga,
pas en rester là», lance Clément
une
Table
ronde pour les victimes
Wielly, qui prête son visage à la
campagne pour la récolte des si- de mesures de coercition à des fins
gnatures. Marianne Steiner est d'assistance prévoit elle aussi
passée d'une famille d'accueil à un d'instituer un fonds de solidarité.
internat d'où elle a fugué à plu- Ses travaux ne sont pas terminés
sieurs reprises, avant de se retrou- et la base légale doit être élaborée
de deux démarches complémentaires. «Le but est qu'a la fin du
processus, il y ait un fonds convenablement doté. Si la loi est refu-
sée par le parlement, il restera
l'initiative sur laquelle les citoyens
pourront se prononcer. Si la loi est
acceptée et qu'elle nous convient,
l'initiative peut toujours être retirée», explique-t-elle.
Au parlement, les élus ont soi-
gneusement évité d'aborder l'as-
pect financier dans la loi sur la
réhabilitation des personnes placées par décision administrative,
acceptée récemment Par crainte
d'un rejet. Conseiller aux Etats,
Joachim Eder (PLIZ/ZG) pense que
le vent va tourner et parle d'une
question «éthique et morale». Et
pour lui, la manière de répartir ce
fonds ne doit pas être un frein.
«On trouve toujours un moyen
lorsqu'il s'agit de formation,
d'agriculture ou d'asile», estimet-il. Pour Luc Re cordon (Verts/VD),
il y va de «la dignité d'un Etat de
reconnaître ses torts». Il reconnaît
que l'avarice traditionnelle du
ver à la prison de Hindelbank. d'ici à la fin de l'année. Mais il est parlement pourrait l'emporter.
«J'attends maintenant d'être plutôt question de verser un mon- «Mais je suis optimiste il faudra
payée pour le travail que j'ai effec- tant identique pour toutes les vic- insister sur la force symbolique de
tué pendant toutes ces années et times. Des organisations les repré-
dédommagée pour le mal qu'on sentant au sein de cette Table
ronde ont avancé la somme de
m'a fait», déclare-t-elle.
120 000 francs, qui tiendrait
Leur démarche est portée par compte du manque à gagner de
Guido Fluri, entrepreneur zou- toute une vie, ce qui porterait le
gois, mécène et président de la
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cette indemnisation à l'aune des
souffrances endurées. Et sur le fait
que les 500 millions demandés
par l'initiative ne représentent
que un douzième du fonds ferroviaire.»
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Ausschnitt Seite: 2/3
Bericht Seite: 28/62
Datum: 01.04.2014
Le Temps
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Themen-Nr.: 037.021
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Seite: 9
Fläche: 59'751 mm²
> Commentaire Injustice et frustration
A combien se chiffrent les
souffrances d'un enfant placé
abusivement? Et combien sontils à avoir droit à une
indemnisation? La Suisse
n'échappera pas à un
douloureux exercice de
comptabilité. Elle va devoir
regarder son passé, ouvrir ses
registres et régler la note
tendue par ces anciens garçons
de ferme, enfants arrachés à
leurs parents ou jeunes
internés sans jugement dans
des établissements fermés.
Mais les victimes de mesures
de coercition à des fins
d'assistance assisteront,
probablement impuissantes, à
un grand marchandage
politique sur le montant de la
réparation et les critères
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d'attribution. Car après les
témoignages, viendra le temps
des questions et des doutes sur
les preuves, les responsabilités,
les degrés de maltraitance. Tous
les enfants placés n'ont pas été
abusés, certains l'ont été plus
que d'autres. Il y a ceux qui
témoignent, réclament leur dû,
et ceux qui veulent oublier et ne
frapperont jamais à la porte de
la Chaîne du bonheur. Ily a ceux
qui vivent, ceux qui ont déjà
disparu. Ceux qui entreront
dans le cadre et ceux qui en
seront exclus alors qu'ils ont
subi les mêmes abus. Le doute
ne justifie pas que la Suisse se
défile. Mais au terme de
l'exercice, la frustration des
victimes pourrait être à la
hauteur de leurs attentes. M. Go.
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Bericht Seite: 29/62
Datum: 01.04.2014
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Seite: 15
Fläche: 23'688 mm²
Un texte réclame davantage que des excuses.
Indemniser les victimes des
mesures «à fins d'assistance»
Ils étaient une cinquantaine,
hier matin sur la place Fédérale. Victimes de placements
forcés, de stérilisations con-
traintes ou encore d'adoptions non choisies, ayant souvent
subi
des
abus
psychologiques ou physiques,
ces personnes pourraient prochainement recevoir un capital ou une rente à titre de répa-
ration. C'est ce que demande
l'initiative populaire lancée à
Berne par un comité où tous
les partis, sauf l'UDC, sont représentés.
Réunis autour de l'homme
d'affaires alémanique Guido
Des victimes se sont rendues hier à Berne. KEYSTONE
ayant «été touchées durement
liste, membre du Comité d'initia-
et directement».
five, auteur d'un livre sur les placements administratifs. «Des débats
Pas de concurrence
avec la Table ronde
L'initiative n'entend pas se
Fluri, qui s'engage depuis plusieurs années dans le travail de
mémoire sur les mesures «de
substituer aux travaux de la Table
coercition à des fins d'assis-
d'aide) ni les concurrencer. Car
tance» et dans l'aide aux victi-
cette dernière prévoit aussi de
recommander la création, dans
la loi, d'un fonds «de solidarité». Mais «l'initiative populaire
mes, ces politiciens, épaulés
par des historiens et des socio-
logues, ont présenté leur initiative «sur la réparation».
Le texte demande à «réparer
l'injustice faite» à toutes les
personnes arrachées à leur famille ou enfermées sans décision de justice au seul motif
de leur style de vie. Pour ce
faire, une étude scientifique
doit être réalisée et la Confédération doit créer un fonds
ronde (qui a institué un fonds
est le meilleur moyen d'aboutir à
une
revendication
contraignante», explique la conseillère
nationale socialiste zurichoise
Jacqueline Fehr, membre de la
Table ronde et du comité d'initiative. «Au Parlement, actuellement, il n'y a pas de majorité pour
une réparation financière.»
Car tous rappellent à quel point,
de 500 millions de francs
«rien n'a été fait jusqu'ici», comme
pour aider les personnes
le dit Dominique Strebel, journa-
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ont eu lieu à plusieurs reprises, dès la
fin des années 1930»,
«Rien n'a abouti», excepté les excuses et la nouvelle loi sur la réhabilitation. «Il faut donc absolument
une pression de /ôpinion publique»,
ajoute-t-il.
D'autres pays ont déjà accordé
des réparations, rappelle le comité d'initiative: l'Irlande a débloqué 1,2 milliard d'euros, l'Alle-
magne 320 millions d'euros.
Pour ce quinquagénaire placé
dans différents homes entre
l'âge de 3 ans et celui de 14 ans,
et présent hier à Berne, «l'initia-
tive est nécessaire car la Table
ronde risque de créer un déséquilibre, en donnant l'impression
d'avantager certaines victimes. Or
il ne faut pas créer de nouvelles injustices», dit-il. ARIANE GIGON
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Bericht Seite: 30/62
Datum: 01.04.2014
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Auflage: 75'518
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Seite: 5
Fläche: 24'458 mm²
Verdingkinder sollen finanzielle Entschädigung erhalten
INITIATIVE Nur eine Entschuldigung reiche nicht
findet Guido Fluri. Der Unternehmer verlangt
einen Wiedergutmachungsfonds von
500 Millionen Franken.
sda. Für mindestens 20 000 Personen
sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz
fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Manche wurden als
Kinder an Bauernhöfe verdingt, andere
zwangssterilisiert, für Medikamenten-
Kirche ist nicht ausgeschlossen, im
Initiativtext aber nicht ausdrücklich
vorgesehen.
Kritik am Bauernverband
Die Berner BDP-Nationalrätin Ursula
Haller übt in dem Zusammenhang
Opfer fürsorgerischer Zwangsmassnah- scharfe Kritik am Schweizerischen
men im Namen des Bundesrats um Ent- Bauernverband, der sich nicht einmal
schuldigung. Gleichzeitig setzte sie einen am Soforthilfefonds für Opfer in finanrunden Tisch ein, der eine erste Auf- ziellen Notlagen beteiligen wollte. Bearbeitung in Angriff nehmen sollte.
gründung: Der Bauernverband selber
Vor wenigen Wochen hat das Parlament habe keine Kinder verdingt. Haller akversuche missbraucht oder wegen ein Gesetz verabschiedet, mit dem das zeptiert diese «verfehlte und auch herzArbeitsscheu oder lasterhaften Lebens- Unrecht anerkannt wird. Auch der Zugang lose Geschichtsinterpretation» nicht.
wandels wie Kriminelle weggesperrt. Der zu Akten und die historische Aufarbeitung
Zugang zu Gerichten blieb den Betrof- sind darin geregelt, eine finanzielle Wie- Laut dem Zuger FDP-Ständerat Joachim
fenen in den meisten Fällen verwehrt. dergutmachung ist nicht vorgesehen. Das Eder sei die Initiative «nicht nur ein
Erst 1981 wurde die Praxis der ad- Risiko eines Scheiterns der Vorlage sei Engagement für die Opfer, sondern auch
ministrativen Zwangsversorgung auf- zu gross gewesen, sagte die Zürcher SP- für unser Land selbst, das sich seiner
grund einer Gesetzesänderung gestoppt. Nationalrätin Jacqueline Fehr. «Umso eigenen Vergangenheit ohne Druck von
«Diesen Menschen wurden jegliche wichtiger ist jetzt der Druck vom Volk.» aussen stellt und dadurch eigenhändig
und gestärkt an seiner Geschichte weiChancen auf Glück und auf Selbstver- Nur SVP auf der Gegnerseite
wirklichung genommen», sagte der Das Initiativkomitee ist breit aufge- terschreibt». Soziologe Ueli Mäder, der
ebenfalls im Initiativkomitee sitzt, sagt
Unternehmer Guido Fluri, Vater der
stellt:
Fluri
konnte
neben
Vertretern
der
zwar, dass Geld das Unrecht nicht wieWiedergutmachungsinitiative, gestern
vor den Medien. Die Betroffenen brauch- Betroffenenorganisationen Mitglieder fast der gutmachen könne. Die Betroffenen
ten jetzt dringend ein Zeichen der Soli- aller Bundeshausfraktionen für das Ko- wollten aber auch nicht bloss mit guten
darität. Fluri will einen 500-Millionen- mitee gewinnen. Abseits steht allein die Worten abgespeist werden.
Franken-Fonds schaffen, mit dem den SVP, die im Nationalrat auch gegen das Wissenschaftliche Aufarbeitung
am schwersten betroffenen Opfern ge- Rehabilitierungsgesetz gestimmt hatte.
Neben der Entschädigung verlangt die
holfen und das ihnen zugefügte Unrecht Bei 20 000 Betroffenen würde die Initiative eine breite wissenschaftliche
Wiedergutmachung durchschnittlich Aufarbeitung der damaligen Behördenabgegolten werden soll.
25 000 Franken betragen. Der tatsäch- praxis. Nicht einmal die genaue Zahl
Erste Schritte sind gemacht
lich ausbezahlte Betrag soll sich nach
Erste Schritte sind im Lauf des letzten dem erlittenen Unrecht richten. Die der Betroffenen sei bekannt, sagte Mäder. Der Initiativtext wird voraussichtlich
Jahres unternommen worden. An einem Initiative sieht vor, dass das Geld für
morgen
im Bundesblatt publiziert. Am
Gedenkanlass bat Justizministerin Simo- den Wiedergutmachungsfonds aus der
kommenden
Samstag ist ein nationaler
netta Sommaruga im April 2013 die Bundeskasse fliesst. Die Beteiligung der
Sammeltag geplant.
Kantone, von Organisationen oder der
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Fläche: 45'356 mm²
500 Millionen Franken für Opfer von Zwangsmassnahmen
Volksinitiative für finanzielle Wiedergutmachung und historische Aufarbeitung lanciert
Kinder von Fahrenden sind nur eine von mehreren einst diskriminierten Bevölkerungsgruppen.
wandels; Frauen, unter Zwang sterilisiert oder zur Abtreibung gezwungen;
Kinder, gegen den Willen ihrer Mütter
Eine Initiative soll die Grundlage für die finanzielle Entschä- zur Adoption freigegeben oder in
und Waisenhäusern
digung der Opfer fürsorgerischer Kinderheimen
placiert und dort oft noch misshandelt:
Jan Flückiger, Bern
Im April des vergangenen Jahres bat
Justizministerin Simonetta Sommaruga
die Betroffenen im Namen des Bundesrates um Entschuldigung. Gleichzeitig
setzte sie einen runden Tisch ein, der
eine erste Aufarbeitung in Angriff nehWas klingt wie ein Schauermärchen aus men sollte. In der Frühlingssession hat
dem Mittelalter, war in der Schweiz das Parlament zudem ein Gesetz verabgang und gäbe und zwar noch bis in schiedet, mit dem das begangene Undie 1980er Jahre. Tausende von Men- recht anerkannt und die Grundlage für
schen waren Opfer sogenannt fürsorge- eine historische Aufarbeitung geschafVerdingkinder, auf dem Marktplatz wie rischer Zwangsmassnahmen.
fen wird. Eine finanzielle WiedergutSklaven versteigert; Menschen, ohne
machung ist hingegen nicht vorgesehen.
Gerichtsverfahren weggesperrt wegen
Bis heute ist lediglich eine Soforthilfe
«Zeichen der Solidarität»
Arbeitsscheu oder liederlichen Lebensfür Opfer in Notsituationen geplant.
Zwangsmassnahmen schaffen.
Im überparteilichen Initiativkomitee sind bis auf die SVP
alle grossen Parteien vertreten.
Dafür sind 5 bis 8 Millionen Franken
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Bericht Seite: 32/62
Datum: 01.04.2014
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vorgesehen, die vor allem aus dem Lot- dem Volk sei die Gefahr gross, dass es
teriefonds kommen sollen.
nie so weit komme.
Hier setzt die Wiedergutmachungs-
initiative an, welche am Montag von Ungefähr 20 000 Betroffene
einem überparteilichen Komitee lanciert wurde. Neben der historischen Ständerat Joachim Eder (Zug, fdp.)
Aufarbeitung fordert diese einen Fonds geht es um die Aufarbeitung eines
von 500 Millionen Franken, der den am «dunklen Kapitels» der Schweizer Geschwersten betroffenen Opfern zugu- schichte. Ob man sich diesen Fonds leistekommen soll. «Es braucht jetzt ein ten wolle, sei letztlich eine moralischehrliches, offenes Zeichen der Solidari- ethische Frage, welche die Parteigren-
tät», sagte Guido Fluri, Unternehmer zen sprenge. Die Initianten schätzen,
und Vater der Initiative vor den Me- dass ungefähr 20 000 schwer Betroffene
dien. Diesen Menschen seien jegliche heute noch in der Schweiz leben. Die
Chancen auf Glück, auf Gleichheit und Höhe der finanziellen Wiedergutmaauf Selbstverwirklichung genommen chung soll am erlittenen Unrecht beworden. Es gehe nun darum, ihnen «ein messen werden. Das Geld für den Fonds
Stück Würde und Gerechtigkeit zurück- würde vor allem aus der Bundeskasse
zugeben».
fliessen. Eine Beteiligung der Kantone,
Im Initiativkomitee befinden sich
neben Vertretern der Betroffenen-Organisationen Politiker aus allen Parteien, die im Bundeshaus vertreten sind
mit Ausnahme der SVP Diese hatte
bereits im Nationalrat mehrheitlich gegen das Gesetz zur Rehabilitierung der
administrativ Versorgten gestimmt.
von Organisationen oder der Kirche
wäre aber ebenfalls möglich.
Nationalrätin Ursula Haller (bdp.,
Bern) übte in diesem Zusammenhang
Kritik am Schweizerischen Bauernver-
band, der sich nicht am SoforthilfeFonds für Opfer in finanziellen Notlagen beteiligen wollte mit der Be-
Nationalrätin Jacqueline Fehr (sp., gründung, der Verband habe keine KinZürich) betonte, die Initiative sei nötig, der verdingt. Dies sei eine «verfehlte
weil es für die Entschädigungszahlun- und herzlose» Geschichtsinterpretation.
Am Samstag ist ein nationaler Samgen eine gesetzliche Grundlage brauche, was zurzeit im Parlament noch meltag für die Initiative geplant.
keine Mehrheit habe. Ohne Druck aus
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Bericht Seite: 33/62
Datum: 01.04.2014
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Seite: 4
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Volksinitiative
für administrativ
Versorgte
Die Opfer administrativer
Zwangsmassnahmen verdienen
nicht nur eine Entschuldigung,
BERN.
sondern auch eine Entschädigung. Eine Volksinitiative, die am
Montag in Bern lanciert worden
ist, verlangt einen mit 500 Millio-
nen Franken dotierten Wiedergutmachungsfonds.
Mit dem Geld soll den am
schwersten betroffenen Opfern
geholfen und das ihnen zugefügte Unrecht abgegolten werden. Gegen mindestens 20000
Menschen sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Manche wurden
als Kinder an Bauernhöfe verdingt, andere zwangssterilisiert,
für
Medikamentenversuche
missbraucht oder wegen Arbeitsscheu, lasterhaften Lebenswandels oder Liederlichkeit wie
Kriminelle weggesperrt.
«Keine Chance auf Glück»
«Diesen Menschen wurden
jegliche Chancen auf Glück, auf
Gleichheit und auf Selbstverwirklichung genommen», sagte
der Vater der Initiative, der Unternehmer Guido Fluri, am Montag vor den Medien in Bern. Das
Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertretern der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für das Komitee
gewinnen. Abseits steht nur die
SVR die auch gegen das Rehabili-
tierungsgesetz gestimmt hatte.
Neben der Entschädigung verlangt die Initiative die wissenschaftliche Aufarbeitung der damaligen Behördenpraxis. Nicht
einmal die genaue Zahl der Betroffenen sei bekannt, sagten die
Initianten in Bern. (sda)
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Bericht Seite: 34/62
Datum: 01.04.2014
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Volk soll über späte
Wiedergutmachung
entscheiden
Die Opfer der Fürsorgepolitik fordern mittels Initiative
eine umfassende Aufarbeitung der Vergangenheit.
Von Stefan Schürer
Bern
Sie wurden zur Arbeit gezwungen, ohne
Gerichtsbeschluss weggesperrt oder
unter Zwang sterilisiert. Sie erlebten Behördenwillkür, Missbrauch und eine lebenslange Stigmatisierung. Jetzt verlan-
gen die Opfer der Schweizer Fürsorgepolitik späte Gerechtigkeit. Gestern lancierten die Betroffenenverbände deshalb die Wiedergutmachungsinitiative.
viert waren. Bei den Fahrenden, die den
Eltern vom berüchtigten «Hilfswerk für
die Kinder der Landstrasse» weggenommen wurden, war die Stiftung Pro Juventute die treibende Kraft; jede Fremdplatzierung beruhte jedoch auf einem Entscheid der Behörden. Die administrativ
Verwahrten schliesslich wurden von den
Vormundschaftsbehörden in staatlichen
Gefängnissen weggesperrt.
Das Begehren sieht eine umfassende Anerkennung von Unrecht
Aufarbeitung der hiesigen Fürsorgepolitik sowie die Schaffung eines Fonds für
die Betroffenen vor.
Nach Schätzungen der Initianten sind
Die Initianten fordern, dass die Behör-
Einweisung war ein Lebenswandel, der
die Jugendlichen im Jargon der Behörden als «arbeitsscheu» oder «liederlich»
erscheinen liess. So unterschiedlich die
Schicksale der Betroffenen auch sind:
Gemeinsam ist ihnen, dass sie durch fürsorgerische Zwangsmassnahmen ihrer
Jugend beraubt wurden - mit vielfach lebenslang anhaltenden Folgen.
im Einzelfall nach der Schwere des erlit-
den nun für ihre Unterlassungen und
Verfehlungen Verantwortung übernehmen. Der Fonds in der Höhe von 500 Mil-
heute noch rund 20 000 Personen am lionen Franken soll dabei in erster Linie
Leben, die für Wiedergutmachungszah- mit Bundesgeldern finanziert werden.
lungen infrage kommen. Es sind dies Bei rund 20 000 Betroffenen gehen die
ehemalige Verding- und Heimkinder, Initianten von einer durchschnittlichen
Zwangssterilisierte, Fahrende oder die Wiedergutmachungszahlung von 25 000
sogenannt administrativ Verwahrten. Franken aus. Über die Verteilung der
Letztere wurde ohne Strafurteil in Ge- Gelder soll eine unabhängige Kommisfängnisse weggesperrt. Grund für die sion entscheiden, wobei sich die Höhe
Das alles geschah unter den Augen der
tenen Unrechts richtet. Anspruchsberechtigt sind jene Personen, die durch
die Fürsorgepolitik unmittelbar und
schwer geschädigt wurden. Die Zahlungen würden niemanden reich machen,
schreiben die Initianten. Sie seien aber
«eine Anerkennung für das erlittene Unrecht».
Die
Wiedergutmachungsinitiative
staatlichen Fürsorgebehörden. Teil- wählt damit einen anderen Ansatz als
weise tolerierten sie die Praxis privater der sogenannte runde Tisch von BunAkteure bloss, manchmal förderten sie desrätin Sommaruga. An diesem verdiese, nicht selten verantworteten sie handeln die Betroffenen seit rund einem
die Fürsorgepolitik unmittelbar. Die Ver- Jahr mit Vertretern der öffentlichen
dingkinder etwa wurden in gewissen Hand, der Landeskirchen sowie des
Fällen von ihren verarmten Eltern weg- Bauernverbands über eine Entschädigegeben, ohne dass Amtsstellen invol- gung. Vor kurzem wurde die Schaffung
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Datum: 01.04.2014
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eines Soforthilfefonds beschlossen, der Neben verschiedenen Politikern aus
mit kantonalen Lotteriegeldern finan- dem links-grünen Lager gehören unter
ziert wird. Das Geld soll ausschliesslich anderen Ständerat Joachim Eder (FDP)
Personen zugutekommen, die sich in sowie die Nationalrätinnen Ursula Haller (BDP), Margrit Kessler (GLP) und Bareiner finanziellen Notlage befinden.
Hinter der Wiedergutmachungsinitia- bara Schmid-Federer (CVP) dem Initiative steht der Unternehmer Guido Fluri. tivkomitee an. Für den Zuger Ständerat
Der Immobilienunternehmer war als un- Eder wirft die Initiative eine moralische
ehelicher Sohn einer 17-jährigen Servier- Frage auf, die parteipolitische Grenzen
tochter selbst ein Heimkind. Seine Stif- sprengt. Mit einer Vergangenheitsbewältung hat allein für das laufende Jahr eine tigung, die diesen Namen verdiene,
Million Franken zugunsten der Initiative könne die Schweiz ohne Druck von
budgetiert.
aussen eine klare Antwort geben.
Politisch geniesst das Volksbegehren
Rückhalt bis weit ins bürgerliche Lager.
Ehemalige Verdingkinder und Opfer fürsorgerischer Massnahmen posierten gestern auf dem Bundesplatz in Bern. Foto: Keystone
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Bericht Seite: 36/62
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Volksinitiative
für administrativ
Versorgte
Die Opfer administrativer
Zwangsmassnahmen verdienen
nicht nur eine Entschuldigung,
BERN.
sondern auch eine Entschädigung. Eine Volksinitiative, die am
Montag in Bern lanciert worden
ist, verlangt einen mit 500 Millio-
nen Franken dotierten Wiedergutmachungsfonds.
Mit dem Geld soll den am
schwersten betroffenen Opfern
geholfen und das ihnen zugefügte Unrecht abgegolten werden. Gegen mindestens 20000
Menschen sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Manche wurden
als Kinder an Bauernhöfe verdingt, andere zwangssterilisiert,
für
Medikamentenversuche
missbraucht oder wegen Arbeitsscheu, lasterhaften Lebenswandels oder Liederlichkeit wie
Kriminelle weggesperrt.
«Keine Chance auf Glück»
«Diesen Menschen wurden
jegliche Chancen auf Glück, auf
Gleichheit und auf Selbstverwirklichung genommen», sagte
der Vater der Initiative, der Unternehmer Guido Fluri, am Montag vor den Medien in Bern. Das
Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertretern der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für das Komitee
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SVP, die auch gegen das Rehabili-
tierungsgesetz gestimmt hatte.
Neben der Entschädigung verlangt die Initiative die wissenschaftliche Aufarbeitung der damaligen Behördenpraxis. Nicht
einmal die genaue Zahl der Betroffenen sei bekannt, sagten die
Initianten in Bern. (sda)
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Bericht Seite: 37/62
Datum: 01.04.2014
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Seite: 5
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Réparation totale exigée
our les enfants ulacés
Le texte vise la
création d'un fonds
de 500 millions de
francs en faveur des
victimes, ainsi qu'un
travail de mémoire
conséquent
Suisse, l'exploitation de dizaines cantons ruraux». L'Union suisse
de milliers d'enfants placés, la sté- des paysans ne veut pas non plus
rilisation et la castration forcées mettre la main à la poche.
d'adultes, et des internements
Dans ce contexte, les initiants
sans décision judiciaire. Et puis estiment qu'une réparation finanmettre en place un fonds doté de cière globale est compromise. «Il y
500 millions de francs sur vingt a le risque de s'enliser dans une
ans pour réparer le tort fait aux situation où tout le monde se renvictimes. Au bas mot, 20 000 d'en- voie la balle», affirme le conseiller
tre elles vivent encore en Suisse.
«Même si la plupart des cas sont
Lise Bailat Berne
«Il y a des blessures qui ne guéris- juridiquement prescrits, l'Etat et
sent jamais. J'ai vécu la trahison la société ont la responsabilité de
aux Etats Luc Recordon (Verts/
VD). Le Vaudois se dit particuliè-
rement sensible à la problémati-
ayant eu un grand-père placé
de l'Etat!» A 64 ans, Ursula faire face à cette injustice. C'est que,
à l'orphelinat entre 4 et 16 ans.
Biondi a toujours les larmes aux une question morale et éthique «Cela lui a laissé des souvenirs si
yeux lorsqu'elle évoque l'année qui dépasse les clivages politi- horribles qu'il ne pouvait pas en
de ses 17 ans. Internée de force ques», a estimé hier le sénateur parler.» Pour l'écologiste, il n'y a
dans la prison de Hindelbank Joachim Eder (PLR/ZG).
plus à tergiverser: «C'est la dignité
(BE), pour être tombée enceinte
Après les excuses officielles d'un Etat de savoir reconnaître les
sans être mariée, elle se voit pri- des conseillères fédérales Eveline
torts qui sont les siens.»
vée de son enfant à peine l'accou- Widmer-Schlumpf et Simonetta
Reste à déterminer les modachement terminé. Elle le retrou- Sommaruga aux victimes, le Par- lités de financement du fonds de
vera trois mois plus tard mais lement s'est pourtant saisi du réparation. Le texte de l'initian'oubliera jamais cette année en
problème. Il a adopté une loi reprison, qu'elle porte «comme des connaissant les injustices et préstigmates».
voyant une étude scientifique sur
A ses côtés hier à Berne, une ce sombre passé. Mais pas quesvingtaine de victimes de «mesures tion pour lui de parler d'indemnide coercition à des fins d'assis- tés financières. En parallèle, une
tance», selon le terme officiel, ont table ronde organisée par la
lancé une initiative populaire fé- Confédération a lancé un fonds
dérale. Cette dernière est pilotée d'urgence doté de 7 à 8 millions
par la Fondation Guido Fluri (lire de francs. Mais ce pot commun
ci-dessous) et soutenue par un co- «de détresse», sorte de premier
mité qui réunit des élus de tous pas vers les victimes, rencontre
bords hormis l'UDC. Le texte vise déjà des difficultés. Le Canton de
deux objectifs: faire toute la lu- Genève refuse d'y participer, armière sur un système qui a en- guant de difficultés financières et
traîné, entre 1942 et 1981 en de faits survenus «surtout dans les
Medienbeobachtung
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tive n'en dit rien. La conseillère
nationale Ursula Haller (PBD/
BE) a son idée: «C'est le rôle de la
Confédération, des cantons,
mais aussi des Eglises et de
l'Union suisse des paysans à
mon avis!» Ursula Biondi, qui
travaillait dix heures par jour
dans la prison de Hindelbank,
renchérit: «Nous voulons savoir
qui a profité de notre argent,
pourquoi l'Etat ne nous rend pas
ce qui nous est dû... et toutes ces
années perdues!»
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Bericht Seite: 38/62
Datum: 01.04.2014
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Seite: 5
Fläche: 51'350 mm²
Environ 20 000 victimes de «mesures de coercition à des fins d'assistance» vivent encore en Suisse.
L'initiative lancée hier demande une reconnaissance financière et historique. KEYSTONE
«L'argent aide à la reconnaissance»
Riche entrepreneur au passé
modeste et difficile, président
d'une fondation homonyme qui
lutte contre la violence faite aux
enfants, Guido Fluri endosse la
paternité de l'initiative «Sur la
réparation», un premier combat
politique dont il s'explique.
Une table ronde traite de la
problématique des victimes
de mesures de coercition.
N'avez-vous pas confiance?
Si. Nous sommes en contact
permanent avec cette table
ronde. Mais nous pensons qu'il
s'agit avant tout d'un groupe qui
donne des recommandations.
Notre initiative doit permettre
un grand débat public sur les
mesures de coercition, assurer
une vraie réparation à des
personnes qui ont souffert
Guido Fluri
Entrepreneur
zougois et père
de l'initiative
pendant des années et garantir
le financement d'une étude
scientifique globale sur ce qui
s'est passé. Nous n'avons
aujourd'hui pas de majorité
parlementaire le permettant. Je
suis persuadé qu'en sensibilisant
les Suisses aux souffrances que
ces gens ont vécues, nous
recevrons leur soutien.
La souffrance ne se laisse pas
chiffrer. Pourquoi 500 millions
de francs?
Ce montant est une estimation
en fonction du nombre de
personnes concernées. Une
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réparation financière est
nécessaire. Prévoir quelques
milliers de francs par victime
n'est pas beaucoup pour des
personnes qui ont autant
souffert.
Mais cet argent peut-il vraiment
réparer quelque chose?
Ces montants peuvent
apporter beaucoup en termes
de reconnaissance. Ces
personnes ont une méfiance
compréhensible envers l'Etat et
les institutions. Et à chaque fois
que le Parlement a refusé des
indemnités, elles ont vécu une
fois encore une relativisation de
leurs souffrances. La solidarité
des Suisses est importante. Elle
permettra aussi aux victimes,
qui vivent toujours dans la peur,
de s'annoncer. L.BT
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Bericht Seite: 39/62
Datum: 01.04.2014
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Seite: 17
Fläche: 18'791 mm²
Initiative fordert Entschädigung
BERN. Die
Opfer administrativer
Zwangsmassnahmen sollen
500 Millionen Franken erhalten.
Das verlangt eine gestern
lancierte Volksinitiative.
rung gestoppt.
20000 Betroffene
nehmen sollte. Vor wenigen Wochen
hat das Parlament ein Gesetz verab-
«Diesen Menschen wurden jegliche schiedet, mit dem das Unrecht an-
Chancen auf Glück, auf Gleichheit und
auf Selbstverwirklichung genommen»,
sagte der Vater der Initiative, der
Nicht nur eine Entschuldigung, son- Unternehmer Guido Fluri, gestern vor
dern auch eine Entschädigung: Eine den Medien in Bern. Bei 20000 BetrofVolksinitiative, die gestern in Bern lan- fenen würde die Wiedergutmachung
ciert worden ist, verlangt einen mit 500 durchschnittlich 25000 Franken betra-
Millionen Franken dotierten Wieder- gen. Der tatsächlich ausbezahlte Begutmachungsfonds für die Opfer admi- trag soll sich nach dem erlittenen Unnistrativer Zwangsmassnahmen.
recht richten. Die Initiative sieht vor,
Mit dem Geld soll den am schwers- dass das Geld für den Wiedergutten betroffenen Opfern geholfen und machungsfonds aus der Bundeskasse
das ihnen zugefügte Unrecht abgegol- fliesst. Die Beteiligung der Kantone,
ten werden. Gegen mindestens 20000 von Organisationen oder der Kirche ist
Menschen sind im 20. Jahrhundert in nicht ausgeschlossen.
der Schweiz fürsorgerische Zwangs- Erste Schritte der Aufarbeitung sind
massnahmen angeordnet worden. Man- im Lauf des letzten Jahres unternomche wurden als Kinder an Bauernhöfe men worden. An einem Gedenkanlass
verdingt, andere zwangssterilisiert, für bat Justizministerin Simonetta SomMedikamentenversuche missbraucht maruga die Opfer im Namen des Bunoder weggesperrt. Erst 1981 wurde die desrats um Entschuldigung. GleichzeiPraxis der administrativen Zwangsver- tig setzte sie einen Runden Tisch ein,
sorgung aufgrund einer Gesetzesände- der eine erste Aufarbeitung in Angriff
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erkannt wird. Eine finanzielle Wieder-
gutmachung ist darin hingegen nicht
vorgesehen. Das Risiko, dass die Vorlage scheitern würde, sei zu gross gewesen, sagte die SP-Nationalrätin Jacqueline Fehr. «Umso wichtiger ist jetzt der
Druck vom Volk.»
SVP steht abseits
Das Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertretern
der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für
das Komitee gewinnen. Abseits steht
allein die SVP. Der Staat und die Gesellschaft stünden in der Verantwortung, sagte FDP-Ständerat Joachim
Eder. Die Initiative sei «nicht nur ein
Engagement für die Opfer, sondern
auch für unser Land, das sich seiner
eigenen Vergangenheit ohne Druck von
aussen stellt und eigenhändig an seiner
Geschichte weiterschreibt». (sda)
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Datum: 01.04.2014
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Fläche: 18'783 mm²
Initiative fordert Entschädigung
Die Opfer administrativer
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500 Millionen Franken erhalten.
Das verlangt eine gestern
lancierte Volksinitiative.
BERN.
rung gestoppt.
20000 Betroffene
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auf Selbstverwirklichung genommen»,
sagte der Vater der Initiative, der
Nicht nur eine Entschuldigung, son- Unternehmer Guido Fluri, gestern vor
dern auch eine Entschädigung: Eine den Medien in Bern. Bei 20000 BetrofVolksinitiative, die gestern in Bern lan- fenen würde die Wiedergutmachung
ciert worden ist, verlangt einen mit 500 durchschnittlich 25000 Franken betra-
Millionen Franken dotierten Wieder- gen. Der tatsächlich ausbezahlte Begutmachungsfonds für die Opfer admi- trag soll sich nach dem erlittenen Unnistrativer Zwangsmassnahmen.
recht richten. Die Initiative sieht vor,
Mit dem Geld soll den am schwers- dass das Geld für den Wiedergutten betroffenen Opfern geholfen und machungsfonds aus der Bundeskasse
das ihnen zugefügte Unrecht abgegol- fliesst. Die Beteiligung der Kantone,
ten werden. Gegen mindestens 20000 von Organisationen oder der Kirche ist
Menschen sind im 20. Jahrhundert in nicht ausgeschlossen.
der Schweiz fürsorgerische Zwangs- Erste Schritte der Aufarbeitung sind
massnahmen angeordnet worden. Man- im Lauf des letzten Jahres unternomche wurden als Kinder an Bauernhöfe men worden. An einem Gedenkanlass
verdingt, andere zwangssterilisiert, für bat Justizministerin Simonetta SomMedikamentenversuche missbraucht maruga die Opfer im Namen des Bunoder weggesperrt. Erst 1981 wurde die desrats um Entschuldigung. GleichzeiPraxis der administrativen Zwangsver- tig setzte sie einen Runden Tisch ein,
sorgung aufgrund einer Gesetzesände- der eine erste Aufarbeitung in Angriff
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erkannt wird. Eine finanzielle Wieder-
gutmachung ist darin hingegen nicht
vorgesehen. Das Risiko, dass die Vorlage scheitern würde, sei zu gross gewesen, sagte die SP-Nationalrätin Jacqueline Fehr. «Umso wichtiger ist jetzt der
Druck vom Volk.»
SVP steht abseits
Das Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertretern
der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für
das Komitee gewinnen. Abseits steht
allein die SVP. Der Staat und die Gesellschaft stünden in der Verantwortung, sagte FDP-Ständerat Joachim
Eder. Die Initiative sei «nicht nur ein
Engagement für die Opfer, sondern
auch für unser Land, das sich seiner
eigenen Vergangenheit ohne Druck von
aussen stellt und eigenhändig an seiner
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31.03.2014 18:00:32 SDA 0042bsf
Suisse / Berne (ats)
Politique, Initative populaire, Police et justice, Système judicaire, 11099400, 11099000
Lundi 31 mars 2014
ENFANTS PLACÉS: Les enfants placés de force, les personnes ayant subi un internement abusif ou
stérilisées contre leur volonté méritent une réparation financière. Une initiative populaire demandant la
création d'un fonds de 500 millions de francs a été lancée. Quelque 20'000 victimes pourraient en profiter.
PRÉVOYANCE VIEILLESSE: L'ambitieux projet de réforme conjointe de l'AVS et du 2e pilier se heurte à des
oppositions multiples et croisées de gauche et de droite, au terme de la consultation. Tant sur la forme que
sur les questions de fond touchant au financement, à l'âge de la retraite, celui des femmes en particulier, ou à
la hauteur des rentes, les positions paraissent inconciliables.
AVIONS DE COMBAT: Le Gripen coûterait bien plus cher que ce que le Département fédéral de la défense
veut faire croire à la population. Forte de cet avis, l'alliance "Non aux milliards pour des avions de combat" est
entrée en campagne contre l'achat de ces appareils, dont le coût d'achat est estimé à 3,1 milliards de francs.
COMPTES FRIBOURGEOIS: Le déclin des finances fribourgeoises se confirme. Le résultat de 2013 est
proche de l'équilibre, mais le canton enregistre son premier déficit depuis douze ans, à hauteur de 900'000
francs. Les charges atteignent 3,234 milliards et les revenus 3,233 milliards. Un bénéfice de 500'000 francs
était prévu au budget. En 2012, le canton avait pu dégager 10,6 millions.
COMPTES VALAISANS: Les comptes 2013 de l'Etat du Valais sont dans le rouge. Le canton n'a plus connu
pareille situation depuis 2003. Il devra corriger le tir pour le budget 2015 au plus tard, dispositions
constitutionnelles obligent. Avec des recettes de 3,13 milliards de francs et des dépenses de 3,19 milliards, le
compte de fonctionnement boucle sur une insuffisance de 53,5 millions de francs.
PARC SUISSE D'INNOVATION: Les cantons du Jura, de Bâle-Ville et de Bâle-Campagne ont déposé une
candidature commune pour accueillir un site dans le réseau du parc national d'innovation. Cette antenne
pourrait voir le jour à Allschwil (BL). L'accent sera mis sur les sciences de la vie. Le projet peut compter sur le
soutien de partenaires de la sphère économique et scientifique de la région du Nord-Ouest de la Suisse.
SALAIRES: La nouvelle convention collective de travail (CCT) neuchâteloise entre en vigueur le 1er avril.
Après Genève, elle est la deuxième CCT cantonale conclue en Suisse dans le secteur du commerce de
détail. Cette convention protège dorénavant le personnel de vente contre le dumping salarial.
TRANSPORT PUBLIC: L'Office fédéral des transports (OFT) fixe le salaire minimum de départ pour les
chauffeurs de bus qui n'ont pas encore d'expérience professionnelle à 58'300 francs par année. Cette mesure
s'adresse aux compagnies de bus des transports publics, qui fournissent des prestations sur mandat de la
Confédération, des cantons ou des communes.
RÉGIMES SOCIAUX - VAUD: En deux ans et demi, les PC Familles et la rente-pont ont permis à quelque
1400 ménages vaudois de sortir de l'aide sociale ou d'éviter d'y tomber. Selon Pierre-Yves Maillard, ces deux
nouveaux régimes sociaux expliquent en partie le recul amorcé en 2013 du nombre de personnes à l'aide
sociale.
SENIORS: Le canton de Fribourg veut mettre en oeuvre une politique globale pour les personnes âgées,
privilégiant leur autonomie et leur intégration mais aussi leurs compétences. Un catalogue de 25 mesures sur
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cinq ans est en consultation jusqu'à mi-juillet.
EDUCATION: Après la ligne d'appels 147 pour les enfants, Pro Juventute propose un service d’assistance
gratuit pour les parents. Ces derniers peuvent profiter de conseils avisés de professionnels par téléphone ou
via Internet 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.
VOLS DE VOITURES: Depuis 2013, la police vaudoise a recensé 27 vols de véhicules haut de gamme chez
des garagistes. Les voleurs, qui viennent de France, sont attirés par le manque de sécurisation des garages
en Suisse romande. Ils en profitent parfois pour commettre d'autres délits comme du trafic de drogue ou des
braquages.
FUITE DE DONNÉES: Plus de 1500 documents, dont des candidatures pour des chaires à l'Université de
Bâle, étaient accessibles en ligne entre fin février et mi-mars. Plusieurs centaines de personnes sont
concernées. Même si ces données ont été effacées mi-mars, il est possible que Google les ait copiées. C'est
une erreur de manipulation au sein de la haute école qui est à l'origine de la fuite.
ANIMAUX: Le chien d'un promeneur a trouvé un boa constricteur mort dans une forêt vendredi près de
Bettingen (BS). L'animal a certainement été abandonné vivant dans la nature, a indiqué l'office vétérinaire de
Bâle-Ville. La cause de la mort n'est pas encore connue.
TOURISME: Huit Chinois ont passé la saison d'hiver en Suisse, où ils ont suivi une formation professionnelle
de moniteurs de ski. Une de leurs activités consistait à jouer "les ambassadeurs de l'Helvétie hivernale", en
accompagnant leurs compatriotes sur les pistes de l'une des huit stations où ils séjournaient.
MUSIQUE: Les nominés au premier Grand Prix suisse de musique sont connus. La Suisse romande est
représentée par Dragos Tara (Lausanne), Franz Treichler ainsi que Mama Rosin (Genève). Le ou la lauréate
sera désigné le 19 septembre. Le prix est doté de 100'000 francs. Quinze musiciens de toute la Suisse issus
de divers domaines musicaux sont en lice, a annoncé l'Office fédéral de la culture.
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31.03.2014 17:47:32 SDA 0011raf
Suisse / Berne (ats)
Politique
Bulletin d'informations de 18h00
* Les Gripen vont engloutir 10 milliards, selon les opposants
* Retrait progressif des troupes russes à la frontière ukrainienne
* Bénéfice net de 67,9 millions de francs pour Romande Energie
* Une base jumpeuse perd la vie dans le canton de Berne
AVIONS DE COMBAT: Le Gripen coûterait bien plus cher que ce que le Département fédéral de la défense
(DDPS) veut faire croire à la population. Forte de cet avis, l'alliance "Non aux milliards pour des avions de
combat" est entrée en campagne contre l'achat de ces appareils, dont le coût d'achat est estimé à 3,1
milliards de francs.
"Ces avions de combat vont en fait engloutir 10 milliards au cours de leur durée de vie", a affirmé le conseiller
national Daniel Vischer (Verts/ZH) devant la presse. "Face aux caisses vides de la Confédération, des
cantons et des communes, la Suisse ne peut pas prendre un tel risque financier".
SUISSE: Les enfants placés de force et les personnes ayant subi un internement abusif méritent une
réparation financière du tort subi. Une initiative populaire demandant la création d'un fonds de 500 millions de
francs va être lancée. Quelque 20'000 victimes du régime en place jusqu'en 1981 pourraient en profiter.
Le Conseil fédéral a présenté ses excuses aux intéressés pour les souffrances endurées, tandis que le
Parlement a réhabilité moralement les personnes placées par décision administrative. Cependant, la plupart
des victimes, fortement traumatisées et gravement lésées, n'ont obtenu jusqu'ici aucune réparation financière,
a déclaré lundi devant la presse à Berne Guido Fluri, dont la fondation chapeaute l'initiative dite sur la
réparation.
COMPTES CANTONAUX: Le déclin des finances fribourgeoises se confirme. Le résultat de 2013 est proche
de l'équilibre, mais le canton enregistre son premier déficit depuis douze ans, à hauteur de 900'000 francs.
Les charges atteignent 3,234 milliards et les revenus 3,233 milliards. Un bénéfice de 500'000 francs était
prévu au budget. En 2012, le canton avait pu dégager 10,6 millions. Pour la Direction des finances, ces
chiffres confirment la nécessité du programme de mesures structurelles et d'économies adopté l'an dernier.
FINANCES CANTONALES: Les comptes 2013 de l'Etat du Valais sont dans le rouge. Le canton n'a plus
connu pareille situation depuis 2003. Il devra corriger le tir pour le budget 2015 au plus tard, dispositions
constitutionnelles obligent.
"C'est le début d'une période difficile avec un compte 2013 rouge vif", a déclaré lundi lors de la présentation
des résultats le chef du département cantonal des finances Maurice Tornay. Le compte de fonctionnement et
celui des investissements sont tous deux déficitaires. La marge d'autofinancement ne couvre que 59% des
investissements.
TRANSPORT PUBLIC: L'Office fédéral des transports (OFT) fixe le salaire minimal de départ pour les
chauffeurs de bus qui n'ont pas encore d'expérience professionnelle à 58'300 francs par année. Cette mesure
s'adresse aux compagnies de bus des transports publics, qui fournissent des prestations sur mandat de la
Confédération, des cantons ou des communes.
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Ces entreprises sont tenues de respecter ce salaire minimal et de le confirmer par écrit à l'OFT, faute de quoi
elles n'obtiendront pas de concession pour le transport de voyageurs, a indiqué l'OFT dans un communiqué
lundi. La directive entre en vigueur mardi 1er avril.
UKRAINE: La Russie "retire progressivement" ses troupes massées à la frontière de l'Ukraine, a indiqué lundi
un porte-parole du ministère ukrainien de la Défense. Ce dernier craignait une invasion de l'Est du pays après
la perte de la Crimée.
"Les forces russes se retirent progressivement de la frontière", a indiqué le porte-parole Olexiï
Dmytrachkivski. "C'est peut-être lié au besoin d'assurer une relève. L'autre hypothèse, c'est que ce serait lié
aux négociations entre la Russie et les Etats-Unis" dimanche soir à Paris.
ELECTRICITÉ: Romande Energie a renoué avec les chiffres noirs l'an dernier. Le groupe vaudois a enregistré
un bénéfice net de 67,9 millions de francs, contre une perte de 278,2 millions un an auparavant.
Le chiffre d'affaires est resté pratiquement stable à 577,8 millions de francs (-0,3%), a indiqué lundi dans un
communiqué le premier fournisseur d'électricité en Suisse romande. Au niveau opérationnel, le résultat avant
intérêts et impôts (EBIT) a augmenté de 1,7% à 68,9 millions.
BALANCE DES PAIEMENTS: La Suisse a dégagé l'an passé un excédent courant de sa balance des
paiements en hausse à 78 milliards de francs, contre 57 milliards en 2012. L'évolution reflète une nouvelle
fois principalement des recettes accrues au titre des revenus des capitaux.
Le solde positif dans ce domaine a grimpé de 23 milliards de francs pour se hisser à 53 milliards de francs,
indique lundi la Banque nationale suisse (BNS). Ce bond s'explique lui-même par des revenus accrus au titre
des investissements directs helvétiques à l'étranger, lesquels avaient pour mémoire affiché un retour à la
normale en 2012, après un niveau exceptionnellement faible une année auparavant.
PHARMA: Johnson & Johnson (J&J) va vendre sa branche de diagnostics au fonds Carlyle pour quatre
milliards de dollars (3,5 milliards de francs). Le groupe pharmaceutique américain est très présent en Suisse
où il emploie près de 6400 personnes, dont plus d'un millier dans le canton de Neuchâtel.
La transaction devrait être bouclée vers le milieu de l'année, a indiqué J&J lundi. Baptisée Ortho Clinical
Diagnostics (OCD), cette division est spécialisée dans les tests permettant notamment de détecter le groupe
sanguin ou des virus comme le VIH ou l'hépatite C. L'offre du fonds d'investissement courait jusqu'à ce lundi.
MUSIQUE: Les nominés au premier Grand Prix suisse de musique sont connus. La Suisse romande est
représentée par Dragos Tara (Lausanne), Franz Treichler ainsi que Mama Rosin (Genève). Le ou la lauréate
sera désigné le 19 septembre lors du Festival Label Suisse à Lausanne. Le prix est doté de 100'000 francs.
Quinze musiciens de toute la Suisse issus de divers domaines musicaux sont en lice, a annoncé lundi l'Office
fédéral de la culture (OFC).
SPORTS EXTRÊMES: Une base jumpeuse a perdu la vie dimanche après s'être élancée du Mürrenfluh à
Lauterbrunnen (BE). La victime, une Suissesse de 35 ans, était décédée à l'arrivée des secours.
Selon les premiers éléments de l'enquête, la femme s'est élancée peu avant 16h00 de la base de départ
"Nose". Pour une raison inconnue, elle a heurté la paroi rocheuse alors que son parachute était ouvert et s'est
finalement écrasée au pied de la falaise, a indiqué lundi la police cantonale bernoise.
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Bericht Seite: 46/62
Datum: 31.03.2014
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31.03.2014 09:53:36 SDA 0030bsi
Svizzera / BERNA (ats)
Politica
Collocamenti coatti: lanciata iniziativa per la riparazione
I bambini che sono stati collocati a forza in un istituto e e le vittime di internamenti a scopo assistenziale
hanno diritto a che sia fatta chiarezza sulla vicenda e a una riparazione finanziaria. A questo scopo è stata
lanciata oggi "l'iniziativa per la riparazione" che chiede di istituire un fondo di 500 milioni a favore delle circa
20'000 vittime di "di questo capitolo oscuro della storia svizzera".
In Svizzera, fino al 1981, decine di migliaia di persone sono state internate sulla base di una decisione
amministrativa, senza delibera del tribunale. Molte donne sono state sottoposte a sterilizzazione o costrette
all'aborto e migliaia di bambini sono stati dati in adozione contro la volontà delle loro madri oppure collocati in
orfanotrofi o istituti.Il Consiglio federale si è scusato e il Parlamento ha riabilitato con una legge le persone
internate sulla base di una decisione amministrativa, ma la stragrande maggioranza delle vittime non ha
ricevuto riparazione finanziaria.La tavola rotonda avviata lo scorso anno su questo tema ha concluso che è
necessaria una riparazione finanziaria per queste persone che hanno subito gravi traumi. Per il momento però
non esistono le basi legali necessarie per erogare tali prestazioni.
L'Iniziativa per la riparazione vuole essere un chiaro segnale lanciato dalla popolazione alla politica affinché
acceleri i tempi. "La maggior parte delle vittime ormai è in là con gli anni. Non possono aspettare più a lungo
le promesse, hanno bisogno adesso del nostro aiuto e del nostro sostegno", ha spiegato la consigliera
nazionale socialista Jaqueline Fehr.Le vittime di misure coercitive a scopo assistenziale ancora in vita sono
circa 20’000. Molte vivono in condizioni di difficoltà finanziarie o psicologiche a causa degli abusi, delle
umiliazioni e della stigmatizzazione talvolta durata per decenni. Per venire in aiuto a queste persone i
promotori chiedono l'istituzione di un fondo di 500 milioni di franchi. Una commissione indipendente
esaminerà i singoli casi per evitare che i fondi vengano distribuiti a pioggia.
"L'Iniziativa per la riparazione restituisce così un po' di giustizia e di dignità: ai superstiti, ma anche, in fin dei
conti, a quei bambini che hanno subito collocamenti coatti e alle vittime delle misure coercitive a scopo
assistenziale che non sono più tra noi", ha spiegato Guido Fluri, presidente della fondazione omonima.
Per raccogliere il prima possibile le 100'000 firme necessarie sabato prossimo in tutta la Svizzera si svolgerà
una grande giornata d'azione a questo scopo. Il comitato d'iniziativa è sostenuto da rappresentanti di tutti i
partiti tranne l'UDC.
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NR.14, 31. MÄRZ 2014
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VOR DER ERFINDERMESSE 112
Schweizer
Tüftlerso
kreativ!
M. SCHMIDT-SALOMON 124
Der Welt geht
es besser, als
man denkt
BOHNE, BLUESCHT & BERGER 1 76
So bunt
treibens
unsere Leser
Sch icksäl getrotzt
Vom Heimkind zum Multimillionär: Trotz einer schwierigen
Kindheit hat Guido Fluri eine steile Karriere hingelegt. Nun setzt
sich der Solothurner für die Rechte der Verdingkinder ein. 1 18iii
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Bericht Seite: 48/62
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Der Getriebene
Guido Fluri wurde als Kleinkind herumgeschoben und war im Heim. Heute ist er dank Immobiliengeschäften
Millionär. Jetzt lanciert der 47-Jährige eine Volksinitiative. Sie fordert Entschädigungen für Verdingkinder.
Lebensgeschichte von Guido
1966 kam Guido Fluri als Sohn einer machung.ch
Fluri (47) mit all ihren Schicksals - 17-jährigen Serviertochter auf die Welt.
Djeschlägen würde genug Stoff für
einen Roman liefern. Der Manager erlebte eine schwierige Kindheit. Seinen
Vater lernte er nie kennen, seine Mutter
erkrankte an Schizophrenie. Noch heute
leidet sie daran. Sie besucht ihr einziges
Kind fast jeden Morgen in dessen Büro.
Nicht nur für seine Mutter, auch sonst
«Ich litt darunter, dass ich als Kind
keinen Vater und eine psychisch kranke
Mutter hatte», sagt er. Auch die Zeit im
Kinderheim Mümliswil SO Anfang 1970
war alles andere als glücklich. Er erinnert
sich verschwommen, wie er manchmal
zur Strafe nackt im Keller übernachten
musste. «Trotzdem bin ich kein
nimmt sich der Selfmademan immer Zeit typisches Heimkind», betont der Un-
für seine Mitmenschen. Das sei ihm
wichtig. Und das, obwohl Fluri täglich
zwischen 16 und 17 Stunden arbeitet.
Der Solothurner tritt am Hauptsitz
der Guido - Fluri- Stiftung in Cham ZG
perfekt gekleidet auf. Nichts erinnert
daran, dass er als Jugendlicher die
Spenglerlehre wegen ungenügender
Leistungen abbrechen musste und als
Tankwart in Oensingen SO arbeitete.
Text: Reto E. Wild
Bild: Jorma Müller
Mit 20 Jahren stieg Fluri ins
Immobiliengeschäft ein
Angefangen hat Guido Fluris Aufstieg im
Alter von 20 Jahren. Von seinem Lohn als
Tankwart hatte er immer etwas auf die
Seite gelegt und 6000 Franken gespart.
Er rang einer Bank einen Kredit von
54 000 Franken ab und kaufte ein
Grundstück in Matzendorf SO. Darauf
begann er, mit zusätzlichem Fremdkapi-
tal zu bauen. Kurz bevor er einziehen
wollte, erhielt er einunerwartetes Ange-
bot: Fluri konnte Land und Haus mit
einem Gewinn von 250 000 Franken ver-
kaufen. «Wenn Sie mit 20 ein Grundstück kaufen, brauchen Sie das richtige
Bauchgefühl und Glück», sagt er. Dieses
Glück hatte ihm in seiner Kindheit
gefehlt.
Initiative
Misshandelt und
missbraucht, ohne
Richterspruch weggesperrt: In der
Schweiz leben Tausende Opfer von
fürsorgerischen
Zwangsmassnahmen. Guido Fluri ist
Hauptinitiant der
Initiative, die eine
Wiedergutmachung
für Verdingkinder und
Opfer fürsorgerischer
Zwangsmassnahmen
will, eine wissen-
schaftliche Aufarbeitung, einen Fonds
von 500 Millionen
Franken sowie eine
unabhängige Kommission, die jeden Fall
prüft. Im Initiativkomitee sitzen National- und Ständeräte
von FDP, BDP, CVP,
GLP, EVP, SP und
Grünen.
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Bericht Seite: 49/62
Datum: 31.03.2014
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ternehmer und bezeichnet seinen Aufenthalt im Kinderheim einfach als «unschöne Zeit». Heute ist das Kinderheim
in Mümliswil dank Fluri die erste nationale Gedenkstätte für Heim- und Verdingkinder.
Die «unschöne Zeit» hat Guido Fluri
geprägt und nicht zuletzt wegen dieser
Erfahrung setzt sich der 47-Jährige mit
aller Kraft für die Rechte der ehemaligen
Verdingkinder ein. Er lanciert eine
Volksinitiative für die Opfer fürsorge rischer Zwangsmassnahmen Der Multimillionär unterstützt und finanziert die
Initiative mit seiner Stiftung, obwohl er
selber nie ein Verdingkind war. Sein
grosser Traum ist, dass alle Parteien ge-
schlossen hinter diesem Thema stehen
und sich mit den Schwerstbetroffenen
solidarisieren. 500 Millionen Franken
soll die Schweiz den 20 000 Opfern zah-
len. «Wir klagen nicht an. Wir wollen
nur eine gesellschaftliche Aufarbeitung
und Transparenz bewirken», sagt der
Initiant, der externes Mitglied der
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strebte er mit ganzer Kraft danach, als
Erwachsener ein eigenes Dach über dem
Kopf zu haben und Sicherheiten zu
schaffen. «Ich bin dadurch widerstands fähig geworden und ein sehr ehrgeiziger
Mensch - emotional-analytisch und als
doppelter Krebs sentimental veranlagt.»
Dieser Ehrgeiz hat Guido Fluri weit gebracht. Inzwischen hat er mit seiner GF
Group Holding Geschäfte in Millionenhöhe abgewickelt. Mitte Januar 2014
kaufte Fluri das Modegeschäft Pasito Fricker, bewahrte das Unternehmen so
vor dem Ruin und sicherte die
Arbeitsplätze von 350 Angestellten.
Auf seinem rasanten Weg nach oben
lernte er auch seine Frau Barbara (39)
kennen - an einer Ausstellung zum Thema Wohnungseinrichtungen in Zürich.
«Ich sah sie am Empfang, und sie berührte mich vom ersten Moment an.» Er
schickte ihr einen Blumenstrauss mit
roten Baccara-Rosen. Ihr Herz eroberte
er bei einem Diner in einem noblen Zürcher Restaurant. Heute sind die beiden
verheiratet und leben mit ihren drei Kindern Samuel (12), Emily (10) und Luisa
Guido Fluri als Sechsjähriger bei seinen Grosseltern in Matzendorf: Hier erlebte er glückliche
Tage.
Parlamentarischen Gruppe Fürsorgerische Zwangsmassnahmen ist. Die Opfer
mussten ein Leben lang hören, dass sie (6) in Hünenberg ZG.
nichts wert sind. Er habe 70-jährige
Männer getroffen, die weinten, als sie Leben mit einer
von Erlebtem wie sexuellen Übergriffen Zeitbombe im Kopf
erzählten.
2005 diagnostizierten die Ärzte bei
Einige glückliche Jahre bei
den Grosseltern
Guido Fluri einen gutartigen Hirntumor.
Sein Jugendfreund starb an einem
bösartigen Tumor. Der erfolgreiche
Nach seinem Aufenthalt im Heim lebte Geschäftsmann reagierte 2010 auf diese
Guido Fluri bei seinen Grosseltern in beiden Schicksalsschläge mit der GrünMatzendorf SO und verbrachte dort ein dung der Guido -Fluri- Stiftung, die sich
paar glückliche Jahre. Dann starb sein Hirntumoren, der Gewalt gegen Kinder
Grossvater an Krebs. Später brannte das und der Schizophrenie annimmt - just
grosselterliche Haus nieder, und kurz jenen Themen, die sein Leben bisher gedarauf verunglückte sein Onkel bei prägt haben. Guido Fluri weiss: Er lebt
einem Autounfall tödlich. «Er war mit einer Zeitbombe im Kopf. Der Hirnmeine einzige echte Identifikationsfigur. tumor wächst langsam. «Er kann TenDie Leiche meines Onkels wurde im nisball-gross werden, und irgendwann
Haus aufgebahrt und danach auf einem beeinträchtigt er das Kleinhirn. Dann
offenen Sargwagen von einem Ross- wird es für mich lebensgefährlich.» Er
gespann durchs Dorf gezogen.»
sagt das, als ob er die neusten Geschäfts Die Bilder lösten beim Jugendlichen zahlen seiner Holding kommentieren
existenzielle Ängste aus. Von nun an würde - offen und unverblümt. «Wenn
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Sie die Krankheit verstehen, urteilen Sie
anders über sie.» Der Solothurner ver-
mutet, dass sein Tumor derzeit nicht
weiterwächst.
Guido Fluri ist ein Getriebener, der
gleichzeitig ein guter Geschäftsmann,
ein guter Mensch und natürlich ein guter
Vater sein möchte. «Ich versuche, meine
Kinder nach christlichen Werten zu erziehen und sie nicht der Reizüberflutung
der Gesellschaft auszusetzen.»
Miss-Schweiz-Wahlen für
karitative Anliegen nutzen
Ein weiteres «Kind» des Solothurner
Unternehmers ist die Miss - SchweizWahl. Er hat sie im Sommer 2012 gerettet,
nachdem «das Schweizer Fernsehen den
Stecker gezogen hatte». Der Event soll
eine Plattform für Fluris soziale und
karitative Anliegen werden. Zurzeit ist er
dabei, die Organisation neu auszurichten.
Ein Meilenstein auf diesem weg ist die
Partnerschaft mit dem Herzchirurgen
Thierry Carrel. Am 11. Oktober findet die
Miss-Schweiz-Wahl erstmals auf dem
Berner Bundesplatz statt. Sie soll zur
Wohltätigkeitsveranstaltung werden; mit
dem eingenommenen Geld will Fluri die
Operationen von Kindern mit Herzklap-
penfehlern finanzieren. «Dann ist eine
Miss-Schweiz-Wahl sinnvoll. »
Sind diese vielen unterschiedlichen
Engagements manchmal nicht zu viel für
Guido Fluri? «Ich bin mit einer hohen
Energie ausgestattet und telefoniere
jeden Tag mit Hirntumorpatienten und
anderen Menschen mit einem schweren
Schicksal.» Das treibe ihn voran.
«Meine Frau merkt, dass ich all diese
Themen brauche, um Strukturen zu
bilden und dadurch Stabilität zu bekommen. »
Guido Fluri will,
dass sich die
Schweiz mit den
Verdingkindern
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solidarisiert.
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Datum: 31.03.2014
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31.03.2014 09:55:51 SDA 0049bsd
Schweiz / Bern (sda)
Politik, Bürgerinitiative, Justiz, Kriminalität
Wiedergutmachungs-Initiative lanciert - Fonds über 500 Millionen
Opfer administrativer Zwangsmassnahmen werden per Gesetz rehabilitiert. Einem überparteilichen Komitee
genügt dies nicht: Am Montag hat die Gruppe eine Initiative lanciert mit dem Ziel, einen EntschädigungsFonds über 500 Millionen Franken einzurichten.
Rund 20'000 Menschen sind im letzten Jahrhundert in der Schweiz Opfer fürsorgerischer
Zwangsmassnahmen geworden. Manche wurden als Kinder an Bauernhöfe verdingt, andere wegen
"arbeitsscheu", "lasterhaften Lebenswandels" oder "Liederlichkeit" ohne Gerichtsurteil in psychiatrischen
Anstalten und Gefängnissen weggesperrt.
Vor wenigen Wochen erst hat das Parlament ein Gesetz verabschiedet, mit dem dieses Unrecht anerkannt
wird. Auch der Zugang zu Akten und die historische Aufarbeitung sind darin geregelt, eine finanzielle
Wiedergutmachung ist hingegen nicht vorgesehen. Immerhin wird noch in diesem Sommer ein
Soforthilfefonds für Betroffene in finanziellen Notlagen die Arbeit aufnehmen, der mit 7 bis 8 Millionen Franken
dotiert sein soll.
Die Initiative verlangt nun einen Wiedergutmachungsfonds, "der keines der Opfer reich macht, deren Not aber
lindern kann", wie es in einer Mitteilung der Initianten vom Montag heisst. Der Fonds über 500 Millionen
Franken soll ausschliesslich für schwer betroffene Opfer errichtet werden. Neben der Anerkennung des
erlittenen Leids und Unrechts soll die Initiative für eine wissenschaftliche Aufarbeitung dieses dunklen Kapitels
Schweizer Geschichte sorgen.
Im Initiativkomitee sind Betroffenen-Organisationen sowie alle Bundeshausfraktionen mit Ausnahme der SVP
vertreten. Diese hat sich auch im Nationalrat mehrheitlich gegen die gesetzliche Rehabilitierung der Opfer
fürsorgerischer Zwangsmassnahmen ausgesprochen.
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31.03.2014 18:20:45 SDA 0185bsd
Schweiz / Bern (sda)
Politik
Tagesüberblick - Montag, 31. März 2014
POLITIK
WIEDERGUTMACHUNGS-INITIATIVE: Die Opfer administrativer Zwangsmassnahmen verdienen nicht nur
eine Entschuldigung, sondern auch eine Entschädigung. Eine Volksinitiative, die am Montag in Bern lanciert
worden ist, verlangt deshalb einen mit 500 Millionen Franken dotierten Wiedergutmachungs-Fonds. Das
Initiativkomitee ist breit aufgestellt: Der Unternehmer Guido Fluri als Vater der Initiative konnte neben
Vertretern der Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für das Komitee
gewinnen. Abseits steht allein die SVP. Gegen mindestens 20'000 Menschen sind im 20. Jahrhundert in der
Schweiz fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden. Bei 20'000 Betroffenen würden die
Wiedergutmachung durchschnittlich 25'000 Franken betragen.
BERNER WAHLEN: Ausgerechnet in ihren Berner Stammlanden ist der Höhenflug der BDP jäh gestoppt
worden. Die Partei stürzte am Wochenende von 25 auf 14 Parlamentssitze ab. Laut dem Berner Politologen
Adrian Vatter ist die BDP über die eigene Profillosigkeit und über taktische Fehler gestolpert. "Der BDP ist es
nicht gelungen, sich mit einem eigenständigen Profil in Szene zu setzen." Sie politisiere zu nahe bei SVP und
FDP und wirke wie die alte SVP "etwas behäbig und gemütlich", sagte Vatter im Gespräch mit der
Nachrichtenagentur sda. Auch dass die BDP keine Listenverbindungen eingegangen war, sieht er als Grund
für die Niederlage. Die nächste Nagelprobe in ihren Stammlanden steht der BDP bei den kantonalen Wahlen
vom 18. Mai in Graubünden bevor.
KAMPFJETS: Angesichts leerer Kassen bei Bund, Kantonen und Gemeinden kommt für das Bündnis "Nein zu
den Kampfjet-Milliarden" der Kauf von 22 Gripen-Kampfflugzeugen nicht in Frage. Für die Gegner ist der
Gripen aber nicht nur ein finanzielles, sondern auch ein politisches Abenteuer. In den Augen von Nationalrätin
Evi Allemann (SP/BE) ist das Geschäft mit Risiken verbunden: Eines davon ist die Abhängigkeit von
Schweden als Herstellerland und von den USA als wichtigstem Zulieferer. In den Augen der Gegner und
Gegnerinnen ist der Gripen auch nicht nötig, um die Sicherheit der Schweiz zu gewährleisten. Über den
Fonds für die Finanzierung der Kampfflugzeuge wird am 18. Mai abgestimmt.
ALTERSVORSORGE: Die Pläne des Bundesrats zur Reform von AHV und Beruflicher Vorsorge haben in der
Vernehmlassung einen schweren Stand. Zwar sind Links und Rechts in Details manchmal nah beieinander.
Doch in den Hauptfragen wie Finanzierung, Rentenalter, Frauenrentenalter oder Rentenhöhe liegen Welten
zwischen den Positionen. Gewerkschaften, SP, Grüne, Grünliberale und CVP möchten wie der Bundesrat
eine Gesamtvorlage. Auch die Kantone wollen das Grossprojekt rasch durchpauken, weil die
Ergänzungsleistungen zur AHV ihre Kassen zunehmend belasten. Dagegen treten Wirtschaftsverbände sowie
FDP und BDP für eine Reform in Portionen ein. Die SVP und der Gewerbeverband würden das Paket am
liebsten mit dem Stempel "unzustellbar" versehen.
SONDERABFÄLLE: Beim Salzbergwerk im deutschen Heilbronn, wo die Schweiz giftige Rückstände der
Rauchgasreinigung einlagert, ist die Langzeitsicherheit gegeben, wenn einige Massnahmen getroffen werden.
Dies teilte das Bundesamt für Umwelt (BAFU) auf Grund eines unabhängigen Gutachtens mit. Jährlich lässt
die Schweiz rund 20'000 Tonnen Sondermüll zur Entsorgung in die Untertage-Deponie Heilbronn bringen. Das
meiste ist Filterasche aus Kehrichtverbrennungsanlagen. Vor einem Jahr stürzte im Bergwerk eine Decke ein.
Daraufhin ordneten die Bergwerksbetreiber eine Überprüfung und Erneuerung des
Langzeitsicherheitsnachweises aus dem Jahr 1997 an.
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ATOMABFÄLLE: Die Nidwaldner Regierung hat ihre Haltung gegen ein Atommülllager im Wellenberg mit
einer zweiten Studie bekräftigt. Ein deutscher Geophysiker kommt in einem Gutachten im Auftrag des
Kantons zum Schluss, dass sich das zerklüftete Gebiet kaum für ein Endlager eignet. Wegen fehlender
Untersuchungen und Daten blieben Zusammenhänge in der Tektonik am Wellenberg bei Wolfenschiessen
ungeklärt, schreibt der deutsche Geophysiker und Erdbebenexperte Gerhard Jentzsch. Er kommt damit zum
selben Urteil wie 2010 schon Jon Mosar, Geologe der Universität Freiburg. Auch er hatte im Auftrag der
Nidwaldner Regierung ein Gutachten erstellt.
BERUFSBILDUNG: Der Bundesrat hat zusammen mit Bildungs- und Wirtschaftspartnern skizziert, welche
politischen Schwerpunkte er in der Berufsbildung setzen will. Entschieden wurde jedoch nichts. Ziel bleibt,
jedem einen Arbeitsplatz und eine Perspektive zu bieten und die Berufsbildung als gleichwertiges Pendant zur
allgemeinen Bildung weiter zu stärken. Vor diesem Hintergrund verabschiedeten die Teilnehmenden des
Treffens vier künftige Handlungsschwerpunkte: die höhere Berufsbildung, die Berufsmaturität, der
Berufsabschluss für Erwachsene sowie die Laufbahnberatung.
INNOVATIONSPARK: Vier Kantone kandidieren für zwei Standorte des geplanten nationalen
Innovationsparks. Die beiden Basel und der Kanton Jura möchten einen Standort, der sich auf Life Sciences
und unterstützende Technologien fokussieren und in Allschwil BL bei Basel eingerichtet werden soll. Zu den
Partnern zählen die Universität Basel sowie Actelion, Roche und Novartis. Eine Bewerbung hat auch der
Kanton Aargau vorgestellt: Er steigt mit dem Projekt "PARK innovAARE" in Villigen AG ins Rennen um einen
Standort des Netzwerks Innovationspark Schweiz. Die Nähe zum Paul Scherrer Institut (PSI) mit seinen
weltweit einzigartigen Grossforschungsanlagen mache das Untere Aaretal zu einem idealen Standort,
argumentiert er.
PANNE: Über 1500 Dokumente mit Bewerbungen für Professuren an der Universität Basel waren zwischen
Ende Februar und Mitte März im öffentlichen Datennetz zugänglich. Betroffen sind mehrere hundert
Personen. Das Leck ist inzwischen geschlossen. Die persönlichen Dokumente gelangten wegen einer
Fehlmanipulation, die an der Hochschule passiert ist, ins öffentliche Netz. Einsichtbar waren laut einem
Bericht der NZZ Bewerbungen, Lebensläufe, Publikationslisten, Zeugnisse, Diplome, Empfehlungsschreiben
und beantwortete Fragebogen. Ein Sprecher der Universität sagte, Untersuchungen über den Vorfall seien im
Gang.
LÖHNE: Busbetriebe des öffentlichen Verkehrs müssen die Arbeitsbedingungen der Branche einhalten. Das
Bundesamt für Verkehr (BAV) hat als Mindeststandard einen Einstiegslohn für Busfahrerinnen und Busfahrer
ohne Berufserfahrung von 58'300 Franken pro Jahr festgelegt. Das Bundesamt stützt sich bei der am 1. April
in Kraft tretenden Richtlinie auf eine Studie, mit der 2012 die Arbeitsbedingungen bei Busunternehmen mit
Angeboten im regionalen Personenverkehr oder im Ortsverkehr erhoben worden waren. Der minimale
Einstiegslohn gilt für eine Vollzeitanstellung bei einer jährlichen Sollarbeitszeit von 2100 Stunden. Laut BAV
erfüllen heute bereits 90 Prozent der Busunternehmen die Bedingungen.
STÄNDERATSWAHL: Im Kanton Glarus ist die vierte Kandidatur für die Nachfolge des aus
Gesundheitsgründen zurückgetretenen SVP-Ständerats This Jenny bekannt geworden. Hansjürg Rhyner,
Sohn des früheren FDP-Ständerats Kaspar Rhyner, will auf die politische Bühne nach Bern. Der 53-jährige
Rechtsanwalt wurde vom Komitee "Hansjürg Rhyner in den Ständerat" portiert. Rhyner ist Mitglied der FDP
und hofft, dass ihn die Glarner Freisinnigen im Wahlkampf ebenfalls unterstützen werden, wie er auf Anfrage
sagte. Zuvor hatten bereits die SVP, die CVP und die Grünliberalen Kandidaturen angekündigt.
ROTE ZAHLEN: Der Kanton Wallis schreibt für 2013 rote Zahlen: Ausgaben von insgesamt 3,19 Milliarden
Franken standen Einnahmen von 3,13 Milliarden Franken gegenüber. Die 2005 eingeführte Schuldenbremse
konnte zum ersten Mal nicht eingehalten werden. In der laufenden Rechnung schreibt der Kanton ein Defizit
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von 53,5 Millionen Franken. Dazu kommen 82,6 Millionen Franken ungedeckte Nettoinvestitionen. Eine
Rechnung in Rot präsentierte auch der Kanton Freiburg. Er schliesst das Jahr 2013 mit Totalausgaben von
rund 3,2 Mrd. Franken und einem Defizit von 900'000 Franken ab. Für Finanzdirektor Georges Godel zeigen
die Zahlen, dass die 2012 angekündigte Verschlechterung der Kantonsfinanzen eine Tatsache ist.
SCHLIESSUNG: Der Umbau und die Sanierung des Zürcher Kongresshauses und der direkt angebauten
Tonhalle dauern länger als ursprünglich angenommen. Beide Häuser müssen deshalb für zweieinhalb bis drei
Jahre geschlossen werden. Die Stadt sucht Ersatzräumlichkeiten. Als die Zürcher Stadtregierung die
Totalsanierung im Juni 2013 vorstellte, rechnete er mit einer Bauzeit von Sommer 2016 bis Ende 2017. Nun
haben vertiefte Analysen einer Totalsanierung der beiden denkmalgeschützten Häuser diese Rechnung
durcheinander gebracht: Bauarbeiten ab Mitte 2017, Wiedereröffnung spätestens Mitte 2020, wie Urs Spinner
vom Hochbaudepartement auf Anfrage sagte. Die Tonhalle war 1895 eröffnet worden, das Kongresshaus
1939.
STERBEHILFE: Die Sterbehilfeorganisation Exit Deutschschweiz hat im vergangenen Jahr 459 Menschen in
den Tod begleitet. Das waren 100 mehr als 2012. Das Durchschnittsalter lag bei 77 Jahren. Insgesamt habe
Exit 2013 über 2000 Anfragen von Sterbewilligen erhalten, heisst es im Jahresbericht. In 723 Fällen seien
Abklärungen für eine Begleitung beim Freitod getroffen worden. Das sind 18 Prozent mehr als im Vorjahr.
Gründe für den Anstieg sind laut Exit der starke Mitgliederzuwachs, der steigende Bekanntheitsgrad der
Organisation, das starke Bevölkerungswachstum und die deutliche Alterung der Gesellschaft.
CHINESISCHE SKILEHRER: Die Marketingorganisation Schweiz Tourismus ist zufrieden mit ihrem Projekt
"Chinesische Skilehrer für den Schweizer Winter". Es habe habe eine grosse und positive internationale
Beachtung gefunden. Schweiz Tourismus will zusammen mit Swiss Snowsport den Markt China weiter
intensiv bearbeiten. Eine Chinesin und sieben Chinesen mit Skilehrererfahrung haben in diesem Winter in
acht Schweizer Wintersportorten eine professionelle Ausbildung nach Schweizer Skilehrer-Standards
absolviert. Am Montag reisten sie in ihre Heimat zurück, wie Schweiz Tourismus mitteilte.
VERMISCHTES
VERURTEILT: Ein Obergefreiter ist vom Militärgericht 7 in Chur zu einer bedingten Freiheitsstrafe verurteilt
worden. Zudem wird der Mann aus der Armee ausgeschlossen. Er soll 2012 in der Infanterie-Rekrutenschule
11 bei Gossau SG 12 Handgranaten gestohlen haben. Militärjustiz-Sprecher Tobias Kühne bestätigte am
Montag entsprechende Medienberichte. Demnach wurde der Obergefreite zu 15 Monaten bedingt und zu
einer bedingten Geldstrafe von 10 Tagessätzen à 30 Franken verurteilt. Zudem muss er Verfahrenskosten von
33'000 Franken übernehmen. Der Beschuldigte sagte vor Gericht, mit dem Verschwinden von einem Dutzend
Explosiv-Übungshandgranaten nichts zu tun zu haben. Von den Granaten fehlt bis heute jede Spur. Das Urteil
ist noch nicht rechtskräftig.
MISSBRAUCHSPROZESS: Der Fall des wegen Missbrauchs zu einer Freiheitsstrafe von 13 Jahren und einer
stationären Massnahme verurteilten Sozialtherapeuten wird wahrscheinlich vor Obergericht nochmals
aufgerollt. Die Staatsanwaltschaft hat eine Berufung angemeldet. Sie hatte für eine Verwahrung plädiert. Der
Sprecher der Generalstaatsanwaltschaft bestätigte eine Meldung von Radio 32. Mit der sogenannten
Berufungsanmeldung lässt sich die Anklage alle Optionen offen, um nach der Prüfung der schriftlichen
Urteilsbegründung eine definitive Berufung einzureichen. Die Verteidigung akzeptierte das Urteil.
TOTE SCHLANGE: Ein Hund eines Spaziergängers hat im Wald auf der St. Chrischona oberhalb von
Bettingen BS eine tote Boa constrictor aufgestöbert. Die Schlagen sei vermutlich lebend ausgesetzt worden,
teilte das Basler Veterinäramt am Montag mit. Die Boa, ein Weibchen, sei gut genährt gewesen. Die
Todesursache werde untersucht, heisst es weiter. Schliesslich macht das Amt darauf aufmerksam, dass das
Aussetzen von Tieren laut Gesetz den Tatbestand der Tierquälerei erfüllt. Deshalb werde der Täter gesucht.
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31.03.2014 12:47:16 SDA 0049bsd
Schweiz / Bern (sda)
Politik, Justiz, Kriminalität, 11099400, Bürgerinitiative, 11099000
Wiedergutmachungs-Initiative lanciert - 500 Millionen für die Opfer
Initiant Guido Fluri: "Jegliche Chancen auf Glück genommen"
Die Opfer administrativer Zwangsmassnahmen verdienen nicht nur eine Entschuldigung, sondern auch eine
Entschädigung. Eine Volksinitiative, die am Montag in Bern lanciert worden ist, verlangt einen mit 500
Millionen Franken dotierten Wiedergutmachungs-Fonds.
Mit dem Geld soll den am schwersten betroffenen Opfern geholfen und das ihnen zugefügte Unrecht
abgegolten werden. Gegen mindestens 20'000 Menschen sind im 20. Jahrhundert in der Schweiz
fürsorgerische Zwangsmassnahmen angeordnet worden.
Manche wurden als Kinder an Bauernhöfe verdingt, andere zwangssterilisiert, für Medikamentenversuche
missbraucht oder wegen Arbeitsscheu, lasterhaften Lebenswandels oder Liederlichkeit wie Kriminelle
weggesperrt. Der Zugang zu Gerichten blieb den Betroffenen in den meisten Fällen verwehrt.
Erst 1981 wurde die Praxis der administrativen Zwangsversorgung aufgrund einer Gesetzesänderung
gestoppt. "Diesen Menschen wurden jegliche Chancen auf Glück, auf Gleichheit und auf Selbstverwirklichung
genommen", sagte der Vater der Initiative, der Unternehmer Guido Fluri, am Montag vor den Medien in Bern.
Die Betroffenen brauchten jetzt dringend ein Zeichen der Solidarität.
Erste Schritte sind gemacht
Erste Schritte sind im Lauf des letzten Jahres unternommen worden. An einem Gedenkanlass bat
Justizministerin Simonetta Sommaruga im April 2013 die Opfer fürsorgerischer Zwangsmassnahmen im
Namen des Bundesrats um Entschuldigung. Gleichzeitig setzte sie einen runden Tisch ein, der eine erste
Aufarbeitung in Angriff nehmen sollte.
Vor wenigen Wochen hat das Parlament ein Gesetz verabschiedet, mit dem das Unrecht anerkannt wird.
Auch der Zugang zu Akten und die historische Aufarbeitung sind darin geregelt, eine finanzielle
Wiedergutmachung ist hingegen nicht vorgesehen. Das Risiko, dass die ganze Vorlage scheitern würde, sei
zu gross gewesen, sagte die Zürcher SP-Nationalrätin Jacqueline Fehr. "Umso wichtiger ist jetzt der Druck
vom Volk."
Das Initiativkomitee immerhin ist breit aufgestellt: Fluri konnte neben Vertreterinnen und Vertretern der
Betroffenenorganisationen Mitglieder fast aller Bundeshausfraktionen für das Komitee gewinnen. Abseits steht
allein die SVP, die im Nationalrat auch gegen das Rehabilitierungsgesetz gestimmt hatte.
Der Staat und die Gesellschaft stünden in der Verantwortung, diesem Unrecht zu begegnen, sagte der Zuger
FDP-Ständerat Joachim Eder. Die Initiative sei "nicht nur ein Engagement für die Opfer, sondern auch für
unser Land selbst, das sich seiner eigenen Vergangenheit ohne Druck von aussen stellt und dadurch
eigenhändig und gestärkt an seiner Geschichte weiter schreibt", sagte er.
Opfer nicht mit guten Worten abspeisen
Für die Opfer sei eine finanzielle Entschädigung wichtig, sagte der Soziologe Ueli Mäder, der ebenfalls im
Initiativkomitee sitzt. Geld könne das Unrecht nicht wieder gut machen, aber die Betroffenen wollten auch
nicht bloss mit guten Worten abgespiesen werden.
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Bei 20'000 Betroffenen würden die Wiedergutmachung durchschnittlich 25'000 Franken betragen. Der
tatsächlich ausbezahlte Betrag soll sich nach dem erlittenen Unrecht richten. Die Initiative sieht vor, dass das
Geld für den Wiedergutmachungs-Fonds aus der Bundeskasse fliesst. Die Beteiligung der Kantone, von
Organisationen oder der Kirche ist nicht ausgeschlossen, im Initiativtext aber nicht ausdrücklich vorgesehen.
Die Berner BDP-Nationalrätin Ursula Haller übte in dem Zusammenhang scharfe Kritik am Schweizerischen
Bauernverband, der sich nicht einmal am Soforthilfe-Fonds für Opfer in finanziellen Notlagen beteiligen wollte.
Begründung: Der Bauernverband selber habe keine Kinder verdingt. Haller akzeptiert diese "verfehlte und
letztlich auch herzlose Geschichtsinterpretation" nicht.
Sie zitierte aus Gotthelfs "Bauernspiegel" eine Szene, in welcher Verdingkinder auf dem Marktplatz wie
Sklaven versteigert werden. "Tausende dieser Verdingkinder leben heute noch - sie haben das alles erlebt."
Haller erinnerte auch an alle weggesperrten oder zwangssterilisierten Frauen. Viele Opfer seien heute betagt.
"Sie brauchen unsere Hilfe und Unterstützung."
Wissenschaftliche Aufarbeitung
Neben der Entschädigung verlangt die Initiative eine breite wissenschaftliche Aufarbeitung der damaligen
Behördenpraxis. Nicht einmal die genaue Zahl der Betroffenen sei bekannt, sagte Mäder.
Untersucht werden müsse auch, wie die Betroffenen mit ihrer Vergangenheit umgingen oder wie ein Land wie
die Schweiz dazu kommen konnte, auf diese Art und Weise mit seinen Bürgerinnen und Bürgern umzugehen.
Der Initiativtext wird voraussichtlich am Dienstag im Bundesblatt publiziert. Am kommenden Samstag ist ein
nationaler Sammeltag geplant.
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«Hier hat einer Verantwortung übernommen»
Matzendorf Endlich feiert der Coop-Neubau
Aufrichte und mit ihm eine ganze Gemeinde
VON JULIAN PERRENOUD (TEXT UND FOTO)
Guido Fluri im Gespräch mit einem Fernsehjournalisten, neben ihm Gemeindepräsident Marcel Allemann.
Die Genugtuung ist ihm sichtlich an- Matzendörfer liege ihm die Region
zusehen. Strahlend geniesst er das Thal am Herzen, dies hatte er in den
Bad in der Menge, grüsst hier einen letzten Monaten mehrfach betont.
Bekannten, schüttelt da einem Freund Den Worten sind nun Taten gefolgt die Hand. Guido Fluri, umringt von endlich, dürfte manch einer erleichKameramännern und Fotografen, hat tert gedacht haben.
Eigentlich hätte der Neubau schon
das geschafft, was viele hier im Dorf
vor
einem Jahr stehen sollen. Ein abnicht mehr für möglich gehalten hagelehnter
Gestaltungsplan, Landabben: Er hat den einzigen Dorfladen erhalten, nein, er hat den Detailhändler tausch, interne Neuerungen bei Coop
Coop sogar dazu gebracht, langfristig und Fragen zur angrenzenden Zivilam Standort festzuhalten, auszubau- schutzanlage verzögerten das Projekt
en und sogar zwei bis drei neue Leute spürbar. Die bestehende Coop-Ver-
Baugelände des ehemaligen Landgasthofs Sonne. Davor sammeln sich
bei prächtigem Frühlingswetter
mehr und mehr Menschen, begutachten die Holzkonstruktion, die immer noch ein Stahlgerüst kleidet. Im
Innern gleicht der Neubau eher noch
einer hölzernen Lagerhalle, die aufgestellten Festtische und Bänke füllen sich, das ganze Dorf scheint anwesend zu sein. Schnabuliert Salate,
Würste, gönnt sich einen Kuchen. Alles offeriert von der GF Group Hol-
anzustellen. Als Unternehmer und kaufsfiliale liegt gleich neben dem
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ding AG, deren Fluri Real Estate AG solchen Laden.» Denn dieser sei nicht
das ganze Bauprojekt erst möglich bloss eine Versorgungsstätte, songemacht hat. Auf acht Millionen dem vielmehr ein BegegnungszenFranken soll sich die Investitionssumme belaufen.
Mit Herzblut für mehr Lebensqualität
«Eigentlich wünsche
ich jedem Dorf einen
solchen Laden.»
Fluri selber sagt, es gehöre nicht
nur Geld zum guten Gelingen, sondern auch die professionelle FachEsther Gassler, Regierungsrätin
kraft. «Alle Unternehmen aus unserer Region haben qualitativ wirklich
gute Arbeit geleistet», lobt er. Beim trum. Gleichzeitig würdigt sie UnterCoop-Neubau, wie auch bei der Reno- nehmer Fluri, der als Thal-Kind seine
vation des traditionsreichen Land- Heimat nicht vergessen habe.
gasthofs Sternen, der fortan der Gemeinde für den symbolischen Betrag Ja zum Standort unterstützen
Dass die Voten der Referenten
von einem Franken vermietet wird.
Kein Wunder, freut sich ob solch nicht bloss Worthülsen sind, bewei-
«kulturellem Engagement», wie es ge- sen sie vor ihren Reden. Angeregt dis-
nannt wird, einer am meisten: der kutiert Gassler mit der regionalen
neue Gemeindepräsident Marcel Al- Verkaufsleiterin von Coop, Yvonne
lemann. «Es zeigt uns, dass hier wirk- Müller. Näher sei sowieso immer beslich jemand Verantwortung über- ser, und da müsse man ja auch nicht
nimmt und Herzblut investiert hat.» das Auto für die Einkäufe nehmen.
Vom Neubau profitiere die ganze Ge- Müller ihrerseits entgegnet, dass sie
meinde, die nun zu dessen Wert- sich gewaltig über den Neubau geerhaltung Sorge tragen müsse. «Denn freut habe und hoffe, damit ein Zeiwas wir jetzt haben, ist die beste Lö- chen zu setzen. Auf dem Podium tönt
das bei ihr dann so: «Hier, wo wir
Selbst der Kanton Solothurn hat jetzt sind, können Sie in ein paar Wosich für dieses Richt- und Dorffest chen einkaufen gehen.» Die versamsung für unser Matzendorf.»
von höchster Amtsebene aus ins Thal
begeben. Regierungsrätin Esther
Gassler betont, wie gerne sie jeweils
in diese Gegend komme Einer Insel
der Ruhe und Erholung. Sie lobt die
Investoren, deren Projekt ein klares
Bekenntnis zu Matzendorf und dem
Naturpark sei. «Eigentlich», sagt Gassler, «wünsche ich jedem Dorf einen
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melte Festgemeinde applaudiert.
Nun liegt es an ihr, zu beweisen, dass
das Ja zum Standort Matzendorf der
richtige Entscheid war.
ausserdetv zum Thema
Weitere Eindrücke vom Fest sind online.
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Datum: 31.03.2014
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Thal Guido Fluri und sein
Matzendörfer Proiekt
Der Unternehmer lud zur Aufrichtefeier und
daraus wurde ein kleines Volksfest.
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SRF 1 31.03.14 11:05:57
Verdingkinder: Volksinitiative lanciert
Inland
31.03.14 11:03
Verdingkinder: Volksinitiative lanciert
Ein überparteiliches Komitee hat eine
Volksinitiative lanciert, die mehr Unterstützungsmassnahmen für ehemalige
Verdingkinder und Opfer fürsorgerischer
Zwangsmassnahmen verlangt.
Konkret fordert die "Wiedergutmachungsinitiative" die Errichtung eines Fonds
im Umfang von 500 Mio. Fr. Das Geld
soll 20'000 schwer betroffenen Opfern
zu Gute kommen. Weiter Daneben sollen
die fürsorgerischen Zwangsmassnahmen
wissenschaftlich aufgearbeitet werden.
Die Initiative unter der Leitung der
Guido Fluri Stiftung wird von einem Komitee mit Vertretern der FDP, BDP, CVP,
EVP, GLP, Grünen und SP getragen.
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108 SRF zwei 31.03.14 11:33:41
Verdingkinder: Volksinitiative lanciert
Inland
31.03.14 11:03
Verdingkinder: Volksinitiative lanciert
Ein überparteiliches Komitee hat eine
Volksinitiative lanciert, die mehr Unterstützungsmassnahmen für ehemalige
Verdingkinder und Opfer fürsorgerischer
Zwangsmassnahmen verlangt.
Konkret fordert die "Wiedergutmachungsinitiative" die Errichtung eines Fonds
im Umfang von 500 Mio. Fr. Das Geld
soll 20'000 schwer betroffenen Opfern
zu Gute kommen. Weiter Daneben sollen
die fürsorgerischen Zwangsmassnahmen
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