Le mot du président

Transcription

Le mot du président
Le mot du président
Le mot de Nathalie
DÉSASTRE ÉCOLODUCATIONNEL
Chers anciennes et anciens
Le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière fait
tellement partie du paysage de la Côte-du-Sud
et du Bas Saint-Laurent pour ne nommer que ces
Marc Boulanger
régions qu’on a peine à imaginer qu’il ne pourrait
Président de l’Amicale
plus être et le pire des dangers serait de le prendre
pour acquis. Sa disparition serait comparable à un
désastre écologique tel un feu de forêt qui laisserait derrière lui un territoire
de chicots noircis sans oiseaux ni mammifères, sans fleurs ni insectes.
Comme vous le constaterez à la lecture de cette
revue, le Collège aura besoin de nous tous très bientôt
et certains d’entre vous, présidents et/ou représentants
de chacune des promotions ont déjà été sollicités pour
être présents à la réunion du 18 septembre prochain.
La région se relèverait-elle de tant d’élèves perdus, de professeurs envolés, d’emplois directs et indirects consumés, d’autant de ruches, de nids, de
terriers, de racines, d’humus disparus ? À l’instar d’une forêt, un collège est
un écosystème de savoir-faire à la fois puissant et fragile : puissant parce
qu’il donne vie à un milieu, fournit sa matière première à d’autres écoles
et fabrique de nombreuses fibres du tissu social, mais fragile parce qu’un
léger manque d’oxygène pourrait l’empêcher de produire sa photosynthèse
éducationnelle et qu’un manque d’eau provoquerait le dessèchement de
ses feuilles du savoir.
Si l’on était certain qu’un feu de forêt pourrait être évité par l’injection de
quelques millions de dollars, le milieu se mobiliserait certainement pour un
tel investissement. Une forêt qui disparaît a besoin d’un minimum de trente
ans pour se régénérer. Est-ce que trente années seraient suffisantes pour
refaire un collège? Quelques étudiants valent bien quelques arbres.
Une campagne de souscription d’envergure se mettra bientôt en branle
pour donner au collège les éléments nutritifs nécessaires à sa constitution
et à sa pérennité.
Nathalie Lévesque
Directrice générale
de l’Amicale
C’est bien certain que tous les anciens serez mis à contribution afin que tous
ensemble nous unissions nos efforts pour mener à bien cette campagne de
financement pour la survie de cette institution.
Bien entendu, il y a l’histoire du Collège qu’il faut préserver et poursuivre
mais il y a aussi notre histoire personnelle qui a été teintée, influencée, voire
même modifiée par notre passage dans cette belle grande maison. À l’Amicale,
nous accueillons, chaque jour, des anciens et des anciennes qui viennent nous
rappeler leurs souvenirs et nous exprimer leur reconnaissance.
Nous vous invitons donc nombreux à La Fête du Collège, le samedi 2 octobre
prochain, pour le lancement officiel de la campagne de financement du Collège
et où seront soulignés quelques faits importants de cette belle histoire d’amour
du Collège et de ses anciens.
Nous continuons de croire que votre Amicale a un rôle important dans le
développement et l’avenir de notre Institution. Notre réseau est unique et
fort… Unissons-nous pour qu’encore longtemps le Collège vive.
Passez une belle fin d’été et on vous revient à l’automne.
Merci de croire au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, en notre Association et de la soutenir.
Notre Collège est précieux et il faut s’en occuper.
ENSEMBLE NOUS RÉUSSIRONS !
[email protected]
03
LA FORCE D'UN RÉSEAU UNIQUE
i
Cotisation 2010
Campagne de financement annuelle
Merci de nous aider à garder
contact avec vous
Retourner à
Amicale des anciens élèves
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
100, 4e Avenue
La Pocatière (Québec) G0R 1Z0
Cotisation régulière pour une année : 25 $ Changement d’adresse - Informations additionnelles
(suggérée 40 $).
Nom
Montant de votre don : _________ $
Prénom
Cotisation régulière pour trois années : 75 $ Promotion
(suggérée 120 $).
Montant de votre don : _________ $
Adresse
Ville
Cotisation étudiante pour une année : 10 $ Code postal
(suggérée 25 $).
Montant de votre don : _________ $
Courriel
Cotisation étudiante pour trois années : 30 $ Tél. résidence  (suggérée 75 $).
Tél. bureau 
Montant de votre don : _________ $
Télécopieur
Mode de paiement
Chèque (au nom de L’Amicale des anciens)
Internet ou téléphone via Accès-D (Desjardins)
Visa
Mastercard
N0 de carte
Expiration _____ / ______ Nom du détenteur ______________________
Tous les chemins mènent…
à l’Amicale!
Prenez deux minutes pour nous transmettre
vos coordonnées, c’est simple… comme
bonjour!
Un courriel à : [email protected]
Un message au :
418 856-3012, poste 229
ou 1 877 783-2663
Un courrier à :
Amicale des anciens élèves du Collège
de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
100, 4e Avenue
La Pocatière (Québec) GOR IZO
 
 
i
Métier/profession 
Compagnie
Dans une perspective de développement durable, veuillez prendre note que la version
électronique de la revue est disponible sur le site du Collège à l’adresse suivante :
www.leadercsa.com
dans l’onglet Amicale des anciens élèves et choisir L’Union Amicale.
Nous invitons également tous ceux et celles qui désirent seulement la version électronique à
nous en faire la demande. Nous pourrons vous la faire parvenir par courriel dès sa sortie. En
plus de protéger des arbres, nous pourrons économiser les frais postaux.
Sommaire
Portrait « Amicale »
3
Portrait « Nouvelles »
7
Portrait « Assemblée générale annuelle »
8
Portrait « Collège de Sainte-Anne »
9
Portrait « Fête du Collège 2010 »
18
Nom + promotion
Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
22
Adresse • Téléphone • Courriel
Portrait « Fondation Bouchard »
27
Portrait « Nous ont quittés »
29
Portrait « Bons coups »
30
Renseignements à fournir !
Votre collaboration est très appréciée.
Merci!
[email protected]
04
Portrait « Amicale »
LA SAGA DU BAZOU,
« Le journal qui ouvre toutes les portes »
Par Claude Vachon, 133e cours
Photo : Claude Vachon
Au printemps 1963, coup de tonnerre dans
un ciel bleu ! Alors que tout est au beau
fixe dans le ciel de notre chère Alma Mater,
un de mes confrères, Claude Martin, eut
un éclair de génie : créer un petit journal
hebdomadaire qui s’adresserait à tous
les élèves du Collège, malgré l’existence
du journal officiel, l’Union Amicale. Quoi
de mieux, pour un médium qui veut
tout connaître et aller partout aux nouvelles que de s’appeler « Le Bazou », en
référence à cette fameuse clé aux contours
moyenâgeux qui permettait de débarrer
toutes les portes du Collège ? Voilà qui
explique qu’on l’ait identifié comme « Le
journal qui ouvre toutes les portes ! »
J’eus le plaisir de
faire partie de son
équipe de rédaction sans me douter qu’un jour, et
pendant plus de 15
ans, je rédigerais
moi-même le journal interne d’un
organisme gouverClaude Martin,
nemental afin d’exle créateur du Bazou.
pliquer ses projets,
les faits et gestes et aussi les « bons coups » de ses
employés. Mais pour revenir à notre Bazou et en
savoir davantage, voici les propos recueillis auprès
de son créateur.
Claude Vachon - D’où t’est venue l’idée,
mon cher confrère, de créer un journal
hebdomadaire ?
Claude Martin - Autour de 1963, les « entresaisons » à la cour de récréation, surtout au printemps, devenaient franchement pénibles : pendant
une assez longue période en effet, les patinoires
devenaient inutilisables et la terre était encore trop
mouillée pour permettre la pratique de quelque
sport que ce soit. Nous en étions réduits à nous
promener à longueur de récréations côte à côte et
bien alignés, ce qui produisait dans la neige non
fondue des pistes parallèles qui ressemblaient à
des labours… On comprend que ce type d’activité n’avait rien de bien stimulant et que l’envie
de faire quelque chose d’utile nous venait assez
naturellement… C’est pendant cette période du
Le fameux en-tête !
printemps 1963 que m’est venue l’idée de créer
un petit journal hebdomadaire destiné à tous les
étudiants du Collège.
C. V. - Quelles nouvelles voulais-tu y faire
paraître?
C. M. - Ce printemps-là correspondait à la période
où se construisait la future résidence des philosophes et l’« aile neuve du Collège » où, à ce qu’on
avait su entre les branches, était prévu l’aménagement d’une bibliothèque, d’une piscine, d’un
gymnase et de nombreux autres locaux spécialisés.
Or même si nous étions sur place, aucune information ne filtrait sur les services à venir pas plus que
sur l’avancement des travaux. Quant à l’Union
Amicale, il paraissait quatre fois par année et
s’adressait prioritairement aux anciens du Collège, ce qui a toujours été sa mission première. Les
« nouvelles » qu’il contenait étaient généralement
des informations que les étudiants connaissaient
déjà depuis longtemps et qui ne nous apprenaient
rien de neuf. Les nouvelles sur la construction
et les potins sur la vie interne du Collège nous
faisaient donc cruellement défaut, ce qui ne pouvait que titiller un esprit curieux comme le mien.
C. V. - Comment t’es-tu organisé pour son
fonctionnement?
C. M. - Pour démarrer un nouveau journal, et avant
même de songer à la façon de le structurer pour
le produire hebdomadairement, il fallait d’abord
obtenir la permission de le lancer… J’étais parfaitement conscient que si je demandais directement
la permission au directeur des études, Louis Dubé,
de démarrer un journal, cette permission me serait
refusée sous le prétexte que « cela allait nuire à
mes études » : rappelons que c’était une période
où tous considéraient que le succès des études devait être la valeur dominante devant motiver toute
la vie du Collège, alors que les activités parascolaires devaient être limitées à leur plus simple expression. « O tempora, o mores ! » autres temps,
autres mœurs ! Il me fallait donc trouver le moyen
d’obtenir cette permission, en utilisant au besoin la
ruse, ce dont je ne me suis pas privé !
[email protected]
Pendant plus d’un mois en effet, j’ai demandé de
très nombreuses fois au premier maître de salle,
Rémi Migneault, la permission de m’absenter de
l’étude pour rencontrer successivement tous les
professeurs que j’ai pu afin de leur parler de mon
projet. J’ai eu auprès d’eux un grand succès d’estime et plusieurs m’ont même donné de petites
sommes d’argent pour m’aider au lancement de
ce journal !
Fort de ces appuis, je me suis ensuite rendu chez le
directeur des études pour lui demander la permission souhaitée. Comme prévu, il a commencé par
me la refuser sous le prétexte que je m’étais imaginé, mais je lui ai alors demandé ce que je devais
faire avec les sommes qui m’avaient été avancées
par plusieurs professeurs influents, incluant quelques monseigneurs comme Mgr Clément Leclerc
ou Mgr Léon Bélanger, qui m’avait même suggéré
de présenter une chronique reprenant des extraits
de l’histoire du Collège de Mgr Lebon. Prenant
alors conscience du « fait accompli » devant lequel je le plaçais, le directeur m’a alors répondu :
« Bon, bien, pars-le donc, ton fameux journal ! »
Je lui ai alors demandé la permission d’utiliser un
local où se trouvait une machine à écrire, une vieille
Underwood noire en forme de cube. Permission
accordée, venant avec la clé du local, qui en faisait
ainsi le bureau officiel du Bazou. Victoire !
À dix-sept ans, ce n’est pas encore le réalisme qui
nous étouffe ! Je ne savais pas taper à la machine,
je n’avais aucune idée de la façon de produire un
« stencil » pour l’impression du journal et chaque
parution requérait plus de deux heures pour redessiner le fameux en-tête, on n’était pas encore à l’ère
de l’informatique et du copier-coller… Heureusement que Rosaire Lévesque, qui était en charge de
l’impression des documents pour le Collège, a eu la
patience de m’aider et de m’apprendre les secrets
de l’impression-maison !
C. V. - Quel a été l’accueil auprès des
étudiants?
C. M. - Les étudiants ont tout de suite adopté Le
Bazou, parce qu’il leur présentait des informations qui les intéressaient beaucoup. Ils trouvaient
leur exemplaire du journal sur leur bureau de la
Portrait « Amicale »
salle d’étude au retour de la chapelle le jeudi soir.
Cependant, j’ai rapidement pris conscience que
le directeur avait raison de penser que la préparation de ce journal pourrait nuire à mes études :
je n’avais pas évalué globalement la lourdeur de
la tâche, mais plutôt ma capacité à apprendre
chacune des tâches requises pour sa préparation,
en plus, bien sûr, des efforts requis pour la rédaction de tous les articles… Je suis alors retourné
voir le directeur pour lui demander la permission
(accordée) de faire une tournée de toutes les classes pendant les 5 minutes à la fin de chaque cours
afin d’inciter chaque groupe à se nommer un représentant du Bazou. Cela m’a permis de constituer
rapidement une équipe (et un petit conseil d’administration), qui s’est tout de suite mise à la tâche
avec détermination. Il a fallu également organiser
un concours afin de financer le journal : nous avons
fait tirer une petite caméra, vendant des billets à
10 sous chacun, ce qui nous a financièrement tiré
d’affaires pour le reste de l’année. Comme le journal a démarré à la mi-avril, le Bazou n’a été tiré
qu’à six numéros seulement…
C. V. - Quelle a été la réaction des autorités du Collège ?
C. M. - Le souvenir qui m’en reste est très positif :
je pense bien que les autorités ont vu cette initiative avec un certain amusement, assez heureux finalement que ce projet mobilise rapidement autant
d’énergies. La seule exigence qu’ils ont posée avait
trait à la désignation d’un professeur qui jouerait le
rôle de censeur du contenu. L’abbé Maurice Côté
a gentiment accepté ce rôle en l’émaillant à l’occasion de judicieux conseils que nous avons suivis
de notre mieux…
05
L’allongement de la durée de vie :
Apocalypse ou enclave du futur dans le présent?
Par Jean-Louis Lévesque, 122e cours
Première partie : à question déficiente…réponse inadéquate.
Des économistes et des démographes se font forts d’annoncer, de mettre en garde et de tenter de
contrer une catastrophe économique provoquée par ce qu’ils appellent : le vieillissement de la population. Quelles charges de travail et quels fardeaux économiques ne seront-t-ils pas transférés aux générations plus jeunes par l’élargissement démographique uniformément accéléré de ces vagues déferlantes et
irrépressibles de vieux et vieilles « aegrotants »! Ils sont présentés comme non économiquement productifs,
socialement conservateurs et peu ou pas du tout inventifs. Les frais de leur survivance et les frais de leur fin
de vie reposeront sur les seules petites mains de leurs arrières petits-enfants. Faut-il se laisser emprisonner
dans une telle lecture? L’inconvénient de cette position, c’est que ce ne sont pas les conclusions qui laissent
à désirer. Très logiques…oui mais…c’est en amont des prémisses qu’il faut remonter : La prémisse du
vieillissement n’est pas plus vraie qu’hier et n’est pas plus fausse non plus. Ce n’est pas la bonne prémisse.
Ce qui est nouveau et qui est spectaculaire, c’est l’allongement mirobolant de la durée de vie en si peu de
temps : vingt ans en moins de cinquante ans!
Ne faut-il pas se surprendre que de prémisses mal assorties sortent des conclusions aussi « dévergondées »
que l’expression : le vieillissement de la population, la surcharge économique, le dépendance sociale. N’y
a-t-il pas dans les proclamations apocalyptiques de ces économistes et démographes un peu de précipitation et beaucoup d’ignorance de la nature du phénomène qui, avant que d’être de « débilitisation »
progressive de la population par le vieillissement en est un d’allongement spectaculaire de la durée de la
vie humaine? Entre l’allongement de la durée de la vie humaine et le vieillissement il y a des générations à
franchir! Il me semble que la problématique la plus juste quoique la plus absente de la culture actuelle, c’est
cette donnée si nouvelle de l’allongement de la durée de vie et de ses répercussions sur l’ensemble de nos
façons de voir le jeu des tribus d’âge de la population dans l’ensemble de la courbe d’étalement de la vie
humaine et dans l’ensemble de nos représentations de la vie sociale. Il y a, dans les représentations spontanées, inconscientes et prises pour vérités indiscutables, des icebergs qui résistent à la fonte. La retraite à
soixante-cinq ans, un de ces icebergs, est-elle le signal de l’entrée dans le processus du déclin proclamé
vers la dépendance totale? Comme si ce n’était pas commencé déjà à la naissance.
C.V. - Quelle expérience en as-tu tirée ?
C. M. - L’aventure du Bazou a été pour moi une
expérience fondatrice qui m’a souvent servi de
modèle pendant ma vie professionnelle : j’y ai
appris à structurer correctement un projet pour
le rendre viable, à le bien présenter pour obtenir
l’adhésion à mes idées, à mobiliser des partenaires
prêts à y investir leurs énergies, bref, ce fut pour
moi une extraordinaire école de leadership ! Et je
vois aussi, par l’aveu de mon confrère-interviewer,
que cette expérience l’a marqué positivement lui
aussi, comme sans doute plusieurs autres de nos
confrères. C’est pourquoi je déplore qu’aujourd’hui
les maisons d’enseignement engagent souvent
un adulte à qui elles confient la responsabilité de
la rédaction d’un journal alors que les étudiants
peuvent apprendre tant de choses en le réalisant
eux-mêmes !
160e cours
Conception graphique et multimédia
145e cours
Annie Morin, présidente
164e cours
www.cameliadesign.ca
222, route 230 • La Pocatière • (Québec) • G0R 1Z0
Tél. : 418 • 856 • 5961 Téléc. : 418 • 371 • 0585
[email protected]
06
Portrait « Amicale »
VISITE CHEZ LES PETITES SŒURS DE LA SAINTE-FAMILLE
Par Paul Mathieu, 122e cours
Ulysse, roi d’Ithaque,
Dans la foulée des Vaillancourt et Malenfant,
Héros de l’Iliade et de l’Odyssée,
Martine notre héroïne bien-aimée,
Sagace personnage
Voulut elle aussi, rendre hommage
Chanté par Homère,
À celles qui forment une Petite-Famille.
Voyageait de préférence en bateau
Heureuse comme Ulysse, elle vint cependant en auto,
Format trio avec Mélénas et Agamemnon
Formant trio avec Nathalie et Lucie.
Melchiore, un roi mage,
Or, ces trois dames
Voulut rendre hommage
En cela imitant les trois Mages,
À celui qui pour nous s’était fait Tout-Petit.
Désireuses elles aussi de rendre hommage,
Lui qui, à dos de chameau, traversa les déserts
Entreprirent, comme Ulysse, un long voyage.
Se sentit un peu perdu, et dut consulter sa Bonne Étoile.
Leur périple les conduisit au Mont-Sainte-Famille.
Il formait trio avec Baltazar et Gaspar.
Là sourires épanouis et bras ouverts les accueillirent.
Fardée de son habituel sourire, Mère Denise Pomerleau, supérieure générale, depuis toujours entièrement donnée à ses Sœurs, a accueilli la délégation du Collège,
à laquelle s’étaient greffés Francine Morin et son époux, Paul Mathieu. Sœur Rachel Lemieux dont le nom et le dévouement nous sont connus depuis 2002 a reçu
Martine Dubé, actuelle directrice générale du Collège, Nathalie Lévesque, directrice générale de l’Amicale, Lucie Dionne, professeur de mathématiques en 4e et 5e
secondaire. Sœur Jeannine Vachon s’est jointe au groupe, celle-là même qui, comme secrétaire-archiviste, a enrichi par le produit de ses patientes et fructueuses
recherches le document-souvenir que le Collège, après l’avoir habillé de belle façon, a offert aux Petites Sœurs, en novembre 2003, en reconnaissance des innombrables services rendus par elles.
Après un copieux dîner en présence d’un certain nombre de religieuses, les invités suivirent Sœur Lemieux au tombeau de la fondatrice des Petites-Sœurs, la
Bienheureuse Mère Léonie, béatifiée le 11 septembre 1984, par le pape Jean-Paul II. Puis, brillante façon de faciliter la digestion, elles arpentèrent les corridors de
cet imposant couvent érigé sur cette portion de territoire autrefois appelé Collinsville, annexée à Sherbrooke depuis plus d’un demi-siècle; cette portion de territoire
est chapeautée par le Mont Sainte-Famille. Les lecteurs les plus perspicaces auront noté que celui qui signe l’article était le seul homme parmi ces filles d’Ève. Alors,
il considéra comme une grâce d’avoir pu se reposer … les jambes pendant que Sœur Rachel faisait visiter le musée qui porte le nom de leur fondatrice.
Photo : Nathalie Lévesque
Vers 14h, quelque 18 religieuses se joignirent à nous (j’avais réintégré le groupe). De belles paroles rappelèrent
leur dévouement inlassable, longtemps ignoré, ingratement qualifié comme allant de soi. Le Collège est devenu
depuis des décennies une institution d’enseignement privé, mixte, d’ordre secondaire, qui accueille, bon an mal
an, 600 élèves, presque tous des externes. Le Manifeste de François Painchaud meure un projecteur de qualité
qui allie psychologie et pédagogie entre les mains d’un personnel hommes-femmes. Madame Dubé a souligné
avec insistance que le Collège ne pratique aucune discrimination au moment de recevoir une nouvelle cohorte
d’élèves; l’élève provenant du cours primaire et qui a obtenu sa promotion en 1re secondaire, est inscrit au
Collège si c’est son désir. Au besoin, en cours d’année, des cours d’appoint sont organisés à l’intention de ceux
qui éprouvent des difficultés. La remise aux Petites Sœurs d’une sérigraphie représentant le Dôme du collège a
voulu manifester de nouveau la reconnaissance du Collège et des anciens à l’endroit de celles qui ont toujours
eu comme mission d’aider les prêtres dans l’accomplissement de leurs tâches sacerdotales.
Soeur Rachel Lemieux et Martine Dubé
[email protected]
Portrait « Nouvelles »
07
FÊTE SPÉCIALE POUR SOULIGNER LES 90 ANS DE L’ABBÉ AIMÉ TALBOT
Par Léonard Lemieux, 130e cours
Photo : Léonard Lemieux
Le mardi 27 avril dernier, Raynald et Émilienne Duquet de Sainte-Euphémie ont organisé
une fête spéciale pour souligner les 90 ans de l’abbé Aimé Talbot, 110e cours de Saint-Paul.
Plein de vivacité, le nonagénaire, doyen des prêtres du diocèse, demeure toujours actif et
participe encore au ministère à l’occasion. Cette rencontre autour d’une table bien garnie
a réuni plusieurs de ses confrères qui, pour plusieurs, ont été missionnaires avec lui au
Nicaragua. Monseigneur Moreau, évêque de Sainte-Anne, s’est fait un plaisir de se joindre
à ce banquet intime et chaleureux.
On y voit, à l’avant-plan, de gauche à droite, les abbés Marius Rioux, Aimé Talbot, monseigneur
Moreau et Émilienne Duquet; sur la deuxième rangée, dans le même ordre: Raynald Duquet,
Léonard Lemieux, les abbés Ulric Bilodeau, Jean-Rock Castonguay, Justin Picard, Rodrigue Gagnon,
Pierre Pelletier, Raymond Bergeron, Paul-A. Laferrière, diacre, et Lise Proulx.
DES NOUVELLES DE LA 130e PROMOTION
L’Association pour la recherche au
collégial (ARC) a remis, le 11 mai dernier,
son prix Reconnaissance à Fernand
Landry, président de Force productique
inc. Fernand a enseigné la physique au
Collège et au Cégep de La Pocatière.
Membre de l’Ordre Painchaud, il
présente une feuille de route exceptionnelle dans le lancement d’entreprises
technologiques. De plus, Fernand est
un sacré bon maître-sucrier. La preuve:
à la Goulée de mai dernier, Marcel
Lamonde et Martin P. Pelletier ont ajouté
à leur dessert une tartine bien trempée
de son sirop d’érable; Marcel n’a pas
engraissé d’un seul gramme, Martin a
rallongé sa marche le lendemain.
Quant à Réal Lagacé, la faculté de
médecine de Laval lui a décerné le
titre de « Professeur émérite ». Il
était professeur agrégé depuis 1981
et professeur titulaire depuis 1986.
Pathologiste, il a pratiqué principalement à l’Hôtel-Dieu de Québec tout
en épaulant des collègues ailleurs en
province. Réal est reconnu mondialement comme une autorité dans l’étude
des réactions desmoplasiques des tumeurs. Il s’est joint au 130e en BellesLettres; eût-il fait partie de notre cohorte au début
de son classique, il serait aujourd’hui prix Nobel.
Très discret, il aborde peu cet aspect professionnel, pour ses confrères de classe, Réal est un des
meilleurs conteurs d’histoires aux soupers du 130e,
un fin connaisseur des vins de l’Alsace et celui
dont les traits physiques n’ont pas changé depuis
le temps béni du pensionnat. Nous le proposons
d’emblée comme candidat à l’Ordre Painchaud
pour la cuvée de 2011.
Notre confrère Rénald Lévesque, qui connaît depuis longtemps des conditions de santé difficiles,
a eu la douleur de perdre son compagnon, l’abbé
Florent Massé. Rénald souffre de mobilité réduite
et Florent était atteint d’Alzheimer mais conservait
une excellente motricité; les deux se complétaient
très bien.
À notre brunch de fin d’année, le 6 juin, la tablée
réunissait une vingtaine de convives, confrères
et conjointes. Notre président, pour la première
fois, s’est joint au groupe ; notre poète-romancier
[email protected]
Photo : Léonard Lemieux
Par Léonard Lemieux, 130e cours
N’ont pu se joindre à la fête les couples Ulric Lévesque et
Alberte, Gilles Gagnon et Raymonde, Rénald Lévesque et
Lucille.
Jacques Garneau, vice-président, a laissé à Paul
toute la latitude que son titre lui accordait. « Reddite Caesari quae sunt..... »
L’année 1965 en a été une faste pour les engagements matrimoniaux dans le 130e. Pas moins de
neuf couples, à notre connaissance, ont convolé
en justes noces. Quarante-cinq ans de support mutuel : il fallait souligner cette discipline d’endurance et ce fut fait le 3 juillet dernier. À l’invitation de
Jocelyne Dumais et de Martin P. Pelletier, six
couples se sont retrouvés au chalet des Pelletier,
à Cabano. Un temps favorable, souper et brunch
arrosés modérément, un lac de toute beauté, voilà la base de retrouvailles bien agréables; ajoutez
la présence de Paul Bélanger avec nous et vous
obtenez un mini-conventum mémorable.
08
Portrait « Assemblée générale annuelle »
Assemblée générale
annuelle 2010
Rencontre des présidents / présidentes
de promotion…
Samedi le 18 septembre 2010
Vous êtes par la présente, convoqués
pour une grande réunion d’anciens le
18 septembre prochain. Nous profiterons
de ce moment pour tenir notre assemblée générale annuelle.
Présidents / présidentes de promotion, membres
de l’exécutif (ou porte-parole) du 105e au 180e
cours, il faut inscrire à votre agenda la date du
samedi 18 septembre. Au cours des dernières
semaines, vous avez été rejoints par écrit
(courriel ou par la poste) car nous avons une
importante mission à vous confier. La rencontre
se tiendra au Collège de Sainte-Anne le 18 septembre prochain et votre présence est vraiment
importante. Nous avons de grands et de beaux
projets pour le Collège et nous ne pourrons les
réaliser qu’avec l’appui de la grande famille solidaire que nous formons.
Ordre du jour de l’assemblée générale annuelle 2010 :
1. Ouverture de l’assemblée
2. Élection d’un(e) président(e) et d’un(e)
secrétaire d’assemblée
3. Lecture et adoption de l’ordre du jour
4. Lecture et approbation du procès-verbal
de l’assemblée générale de 2009
5. Rapport annuel d’activités
6. Plan d’action 2010-2011
7. Lecture et adoption des états financiers de
l’exercice 2009-2010
8. Modifications aux règlements généraux
9. Ratification des décisions du conseil d’administration
10. Élections au conseil d’administration
11. Commentaires et vœux de l’assemblée
12. Levée de l’assemblée
SIÈGES AU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’AMICALE
Numéro du siège
Administrateur
2009-2010
Mandat
Siège comblé
ou à combler
Administrateur
2010-2011
Mise en
nomination
Siège # 1 (jusqu’au 135e cours)
M. Réjean Bureau
Reste 1 an
Comblé
M. Réjean Bureau
---
Siège # 2 (136e à 145e cours)
M. Marc Boulanger
Reste 2 ans
Comblé
M. Marc Boulanger
---
Siège # 3 (146e à 155e cours)
M. Claude Vachon
Reste 1 an
Comblé
M. Claude Vachon
---
Siège # 4 (156e à 165e cours)
M. Jean
Grandmaison
À combler
Disponible pour un
autre mandat
---
Siège # 5 (166e cours à ce jour)
M. Cajetan Gauthier
Reste 1 an
Comblé
M. Cajetan Gauthier
---
Siège # 6 (jusqu’au 135e cours)
M. Gaétan Gourde
Reste 1 an
Comblé
M. Gaétan Gourde
---
Siège # 7 (136e à 145e cours)
Mme Linda Pelletier
Reste 1 an
Comblé
Mme Linda Pelletier
---
Ensemble, solidairement, nous représenterons
notre grande famille qui compte 6 000 anciens et
anciennes.
Siège # 8 (146e à 155e cours)
M. Daniel Dumais
Reste 2 ans
Comblé
M. Daniel Dumais
---
Siège # 9 (155e à 164e cours)
M. Jean-Louis
Levesque
Reste 1 an
Comblé
M. Jean-Louis Levesque
---
Horaire de la journée :
Siège # 10 (166e cours à ce jour)
M. Gérard Massé
Reste 2 ans
Comblé
M. Gérard Massé
Siège # 11
M. Marius Bérubé
Reste 2 ans
Comblé
M. Marius Bérubé
---
Siège # 12
Mme Marie Dallaire
À combler
Disponible pour un
autre mandat
---
13 h 15 : Rencontre des groupes
Siège # 13
M. Marcel Lamonde
Reste 1 an
Comblé
M. Marcel Lamonde
---
15 h :
Siège # 14
M. Jean-Eudes
Martin
Reste 2 ans
Comblé
M. Jean-Eudes Martin
---
Siège # 15
M. Marcel Mignault
À combler
Disponible pour un
autre mandat
---
9 h :
Assemblée générale annuelle
10 h 45 : Rencontre avec la firme Épisode
12 h : Dîner à la grande cafétéria
à prix populaire
Fin de la journée
Pour informations supplémentaires :
Amicale des anciens élèves
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
100, 4e Avenue
La Pocatière (Québec)
G0R 1Z0
Téléphone : 1 877 783-2663, poste 229
418 856-3012, poste 229
Par courriel : [email protected]
[email protected]
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
09
LA DISTRIBUTION SOLENNELLE DES PRIX ... EN LIEN AVEC L’AMICALE
Le 3 juin dernier avait lieu la distribution solennelle des prix de fin d’année à la Chapelle du Collège. Voici les différentes bourses
offertes lors de cette soirée.
BOURSE « LUCIEN DUBÉ / GÉRALDINE ANCTIL »
Photo : Guy Bilodeau
Une bourse au montant de 500 $ offerte depuis cinq ans est partagée également en deux volets : les arts
plastiques et la musique. L’attribution est faite à quatre élèves de 4e secondaire qui se sont distingués par leurs
aptitudes pour les arts, leur originalité, leur sens des responsabilités et leur engagement social.
Les récipiendaires d’une bourse de 125 $ sont :
En arts plastiques : Marie-Pier East-Lavoie et Audrey Dionne
En musique :
Paul Mercier et Josiane Paturel
Ces bourses sont remises par madame Marcelle Dubé-Bourgeois et par monsieur Bernard Dubé, enfants du
couple Dubé-Anctil.
BOURSE DE L’AMICALE DES ANCIENS
Photo : Guy Bilodeau
Un prix en sciences offert par l’Amicale des anciens élèves est décerné à un élève de 2e secondaire. Cet élève a
manifesté un intérêt marqué pour cette discipline tout au long de l’année scolaire.
Un superbe microscope est remis à : Vincent Sirois – Prix remis par Linda Pelletier, trésorière du conseil
d’administration de l’Amicale.
BOURSE DE LA FONDATION J. ARMAND BOMBARDIER
Photo : Guy Bilodeau
Cette bourse a été instaurée suite à un partenariat conclu entre la Fondation J. Armand Bombardier et
l’Amicale des anciens élèves pour souligner l’esprit entrepreneurial de Joseph-Armand Bombardier. Une bourse
d’études de 200 $ est remise à un élève qui s’est particulièrement démarqué tant par son ingéniosité que par
son entrepreneurship dans ses travaux scolaires et parascolaires.
Cette bourse est remise à : Jérôme Tardif, de 5e secondaire - Bourse remise par Linda Pelletier, trésorière du
conseil d’administration de l’Amicale.
BOURSE «DIAMANT» DU 125e COURS
Photo : Guy Bilodeau
Instaurée en 2006 avec la collaboration de l’Amicale des anciens élèves, la bourse «Diamant» de la
125e promotion permet à deux jeunes finissants de recevoir une bourse de 250 $ chacun.
Par cette bourse, la 125e promotion désire souligner le parcours bien garni de deux jeunes de 5e secondaire et
ainsi les encourager dans la poursuite de leurs rêves. Les récipiendaires seront dotés d’une belle personnalité et
auront su faire preuve de persévérance, de détermination et de leadership. L’engagement, le respect, la rigueur,
la fierté et le travail d’équipe seront des valeurs de leur quotidien.
Les confrères du 125e s’inspirent des trois motifs suivants : engagement, générosité et confiance envers les
jeunes tout en vous rappelant leur devise : « DUX » : sois un chef.
Ont mérité ces bourses : Caroline Garon et Maxime Ouellet - Bourses remises par l’abbé Adrien Dubé, représentant de la 125e promotion.
[email protected]
10
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
FONDATION VICTORIN-GERMAIN
En 1974, la Fondation Victorin Germain a décidé d’élargir ses objectifs, de venir en aide aux collèges
privés et d’octroyer des prix d’excellence aux élèves qui démontrent des qualités exceptionnelles de
chef de file.
Actuellement, ils offrent ces prix à 10 collèges privés. Le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
reçoit donc la somme de 1 600$ par année à être distribuée de la façon suivante :
2 prix de 150 $ en 1re secondaire
Photo : Guy Bilodeau
2 prix de 150 $ en 2e secondaire
2 prix de 150 $ en 3e secondaire
1 prix de 200 $ en 4e secondaire
1 prix de 500 $ en 5e secondaire
Il est à noter que les récipiendaires ne doivent pas nécessairement être des premiers de classes; ils doivent plutôt démontrer des dispositions de chef de file, exercer
une bonne influence dans leur milieu sur le plan moral, intellectuel et religieux et posséder un bon équilibre psychologique.
Les récipiendaires sont : Eloïse Lambert, Audrey Labrecque, Anne Corminboeuf, Frédéric Dion, Roxane Landry, Cindy Lambert, Simon Gamache Fortin, Léola Muntu-Caron.
FÉLICITATIONS À TOUS ET À TOUTES
POUR LES SUCCÈS OBTENUS ET HOMMAGE
AUX ÉDUCATEURS ET ÉDUCATRICES !
Exécutif de la 181e promotion
Photo : Nathalie Lévesque
L’éxécutif a été élu le vendredi 4 juin 2010 à la chapelle du Collège de Sainte-Anne-dela-Pocatière.
Présidente : Léola Muntu Caron
Secrétaire :
Stéfany Pelletier
Vice-présidente : Myriana Côté Laberge
Trésorière :
Roxane Bois
Ils ont choisi de se réunir dans 7 ans… C’est donc un rendez-vous en 2017 !
735, Taché
Saint-Pascal G0L 3Y0
91, boulevard Cartier
Rivière-du-Loup G5R 4X4
Téléphone : 418 492-3632
Sans frais : 1 888 297-3632
Télécopieur : 418 492-9604
Téléphone : 418 860-3632
Sans frais : 1 877 860-3632
Télécopieur : 418 862-0622
[email protected]
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
11
NOUVEAU CHEF EXÉCUTIF
Le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière a récemment accueilli dans ses
rangs M. Patrice Dubé à titre de chef exécutif. Il succède ainsi à M. Claude
Provencher qui a souhaité relever un nouveau défi professionnel après
19 années de services au sein de l’institution.
Photo : Guy Bilodeau
M. Dubé possède plus de 30 années d’expérience dans le domaine de la restauration. Détenteur
d’une formation universitaire en enseignement dans le domaine de l’alimentation, il a formé des
cuisiniers pendant plus de 14 ans. Il a été aussi chef cuisinier pour plusieurs restaurants, pâtissier,
responsable de services alimentaires, gestionnaire d’établissement (restauration et hôtellerie),
etc. Il accède donc à ce poste avec une très vaste expérience.
Au total, 35 personnes avaient manifesté leur intérêt pour ce poste de chef exécutif au Collège
de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. La direction de l’institution s’est entourée d’une entreprise spécialisée en management – la Firme Tout de Go ! - pour la sélection du nouveau chef exécutif.
M. Dubé a entrepris ce nouveau défi professionnel entouré d’une solide équipe d’employés du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière qui ont préparé
les 21 000 repas qu’ont exigé la présence des 200 stagiaires adultes du Campus St-Jean de l’Université d’Alberta en séjour d’immersion française à
La Pocatière durant 5 semaines consécutives soit du 27 juin au 31 juillet dernier.
UN DÉPART À LA RETRAITE
Bonne retraite à Louise Chamberland, 142e cours, qui a passé avec nous les quatre dernières années de sa
carrière à titre d’enseignante de français et d’anglais.
Nous lui souhaitons une bonne et belle retraite !
André Bernier
Directeur général
Martin Royer
155e cours
Benoit Royer
148e cours
191, BOULEVARD BÉGIN, ST-PACÔME
418 852-2710
145e cours
Siège social*
7, rue Caron
Saint-Pacôme (Québec) G0L 3X0
Centre de services Rivière-Ouelle*
Centre de services Saint-Gabriel-Lalemant
(418) 852-2812 poste 227
1 866 855-2812 poste 227
* Guichet automatique
[email protected]
12
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
Allocution de Cédrick Desjardins - Président d’honneur de la distribution sollennelle des prix 2010
Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière
portes dans un futur rapproché. Je n’aurais jamais
pensé que je gagnerais ma vie en jouant au hockey,
j’avais d’ailleurs entrepris des études supérieures
pour devenir ingénieur.
Directeurs, professeurs, parents et élèves,
c’est un grand honneur pour moi, d’être
ici ce soir.
Déjà 10 ans de passés depuis mon premier séjour sur les bancs si confortables
de la chapelle.
Lorsque j’ai reçu l’appel de M. Dufour,
j’étais surpris mais à la fois honoré de
présider une soirée aussi solennelle et
prestigieuse qu’est la remise des prix du
Collège.
Mes plus grands et mes plus beaux souvenirs
de cette soirée, à laquelle j’ai participé quelques
années auparavant, sont définitivement mes
mentions de constance dans les matières
telles que enseignement religieux, ECC et anglais
qui m’étaient enseignées par votre directeur des
études. J’étais l’excellence de la constance mais
malheureusement, je crois que ce n’était pas
assez pour être finaliste pour la médaille du Gouverneur.
Tout le monde, est ici ce soir, à la poursuite de
son rêve ou de son avenir. Vous devez savoir que
les études sont primordiales et s’avèrent être la
meilleure base dans la vie. Il faut également que
vous trouviez un cheminement scolaire qui vous
valorise et qui vous intéresse et que vous alliez
jusqu’au bout pour recevoir votre diplôme. Vous
devez également vous impliquer dans des activités
scolaires de différentes envergures, que ce soit au
niveau scolaire ou dans la vie de tous les jours, cela
permettant de vous épanouir et de vous ouvrir des
S’il y a une chose que je dois au Collège, c’est la
chance d’avoir eu une base solide. J’ai pu m’exprimer et me développer en tant que personne. Je
sentais que nous étions encouragés à s’impliquer
dans une foule d’activités tout en favorisant notre
réussite scolaire. Le Collège m’a permis d’obtenir
les outils nécessaires pour être prêt à effectuer
des études supérieures. La famille du Collège m’a
transmis de belles valeurs, de bonnes habitudes de
travail et m’a surtout fait vivre des expériences uniques et enrichissantes.
Je n’ai jamais été un élève surdoué, mais partout
où j’allais je travaillais plus fort que tout le monde
pour obtenir ce que je voulais. Je me nourrissais de
nouveaux défis. Plus gros le défi était, plus je mettais les efforts pour atteindre mon but. Les gens
autour de moi pourront vous le confirmer, je suis un
mauvais perdant, j’ai beaucoup de difficulté à accepter la défaite ou l’échec. On jouait seulement au
hockey cosom, les élèves contre les animateurs au
plateau, et je jouais cette partie comme si c’était
la dernière de la coupe Stanley. Je ne voulais pas
que Pierre et Serge gagnent, sinon je ne leur parlais
plus de la semaine.
jamais assez pour cette opportunité. Pour moi,
c’était important de terminer ce que j’avais commencé et je considérais mon diplôme du Collège
comme une très grande fierté de réussite.
À travers mon cheminement, j’ai connu des gens
extraordinaires qui ont guidé mes choix de vie. Les
manières de voir la vie influencent souvent le degré
de réussite face à un défi. La pensée positive et la
façon de se relever après un échec, font toute la
différence dans la poursuite de la réussite et du
bonheur. Les gens aiment s’entourer de personnes
qui sont positives et j’étais comme ça à l’école, je
travaillais pour avoir de bonnes notes. Mes parents m’ont inculqué de bonnes valeurs et l’un des
meilleurs choix qu’ils ont fait, c’est d’avoir investi
et donné 5 belles années à ma sœur et moi au
Collège. C’est d’ailleurs ma sœur qui va devenir
ingénieure avant moi.
Certains me disent que je suis chanceux puisque je
joue au hockey pour gagner ma vie. Je leur réponds
que oui je suis chanceux, mais que j’ai été encore
plus chanceux d’avoir une famille qui m’a montré
le bon chemin, des amis qui m’ont supporté tout
au long de mon cheminement et des professeurs
qui ont su bien m’encadrer. J’ai appris qu’il faut travailler fort pour obtenir ce que l’on veut, mais que
tout est possible. Mes rêves les plus fous se sont
réalisés parce que j’ai persévéré pour y arriver. On
m’a souvent dit que je ne réussirais pas au hockey,
mais j’ai cru en moi et j’ai tout donné pour être où
je suis maintenant.
Je sais que pour la plupart des élèves ici ce soir,
c’est le dernier pas vers les examens de fin d’année
et pour plusieurs, ils vont faire toute la différence
dans leur avenir. Pour ma part, j’ai dû quitter le
collège au début du secondaire 5 puisque j’avais la
chance de jouer au hockey dans une école de sports
études, mais le Collège m’a permis de revenir en
milieu d’année afin de compléter mon secondaire
et d’obtenir mon diplôme. Je ne les remercierai
[email protected]
[email protected]
Je souhaite donc bon succès à tous les élèves et
je vous souhaite une bonne continuité dans tous
vos projets futurs! Et surtout n’oubliez pas que la
persévérance mène tôt au tard à la réussite!
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
13
Chers anciens et amis du CSA, pour réaliser de grands projets
qui lui permettront d’envisager un avenir à la hauteur de ses
ambitions, le Collège entreprend, cette année, une vaste campagne majeure de financement visant à recueillir 3 millions de
dollars sur une période 5 ans. Sous le thème « Une Chance
qu’on S’A », le Collège compte sur la participation de tous
pour atteindre son objectif financier. La solidarité de la grande
famille du CSA est donc plus que jamais nécessaire à la réussite
de cette campagne majeure 2010-2014.
Les projets priorisés dans le cadre de la campagne s’articulent autour de 3 volets précis.
Volet 1 : la persévérance scolaire
Afin de souligner la mission que s’est donnée le Collège il y a plus de 180 ans, soit offrir une formation de qualité accessible à tous
peu importe les revenus des parents ou les résultats académiques, un montant de 500 000 $ sera dédié pour maintenir l’accès
à des cours de récupération, à des cours d’appoint et à des services en orthopédagogie à près de 40 % des élèves du Collège. Notre institution
souhaite également conserver toutes les mesures d’encadrement parascolaire déjà en place pour les élèves en difficultés d’adaptation.
[email protected]
[email protected]
14
Portrait « Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
Volet 2 : l’appui aux élèves
Photo : Denis Caron
Photo : Guy Bilodeau
Le deuxième volet des projets reliés à la campagne permettra au Collège de se munir d’outils pédagogiques à la fine pointe de la technologie
à travers la création d’un pluriportail, l’accès Internet sans fil dans toutes les classes, l’achat d’écrans tactiles, de logiciels, d’ordinateurs et de
projecteurs. Ce volet permettra en outre de bonifier les collections de la bibliothèque et d’améliorer les infrastructures intérieures et extérieures de notre établissement, dans le but de soutenir les activités parascolaires.
Volet 3 : la préservation du joyau architectural
Enfin, le troisième grand volet des projets appuyés par la campagne aidera le Collège à offrir un milieu de vie adéquat, sécuritaire et respectueux des élèves. Plus concrètement, il s’agit de procéder à d’importantes améliorations des infrastructures permanentes, notamment la
rénovation des vestiaires des garçons et la réparation du bâtiment extérieur, en plus de mettre en place des mesures d’optimisation d’efficacité énergétique. Au total, ce sont 2 millions de dollars qui seront investis en faveur de la préservation de notre institution, véritable joyau
architectural et fierté régionale.
[email protected]
Portrait « Collège Sainte-de-Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
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Tous ces projets permettront au Collège de poursuivre sa tradition d’excellence tout en regardant vers l’avenir. Grâce à ces changements et améliorations majeurs, le Collège attirera davantage d’élèves et continuera de dispenser une éducation de qualité favorisant leur réussite, leur épanouissement personnel et leur passage vers des études postsecondaires.
Des entreprises engagées dans leur communauté :
La première étape menant au succès de la campagne majeure consiste à former un cabinet de
campagne corporatif qui regroupe des leaders du milieu des affaires de la région. C’est une étape clé que
le Collège a amorcée il y a quelques mois.
À la coprésidence du cabinet de campagne corporatif, nous retrouvons Jean Bélanger, président et
chef de l’exploitation de Premier Tech et Guy Pelletier, président et chef de la direction du Groupe GP.
Le Collège est particulièrement heureux et fier que ces hommes d’affaires influents, tous deux anciens
élèves du Collège (153e cours), aient accepté la coprésidence de cette campagne.
Jean Bélanger, président et chef de
l’exploitation de Premier Tech
Pour les épauler dans toutes leurs démarches, nos deux coprésidents pourront compter sur la collaboration des membres du cabinet, parmi lesquels : Jacques Arsenault (Uniprix Jacques Arsenault et
ass.), Richard Bossinotte (Corporation du Collège), Laurent Briand (Kamco Construction Inc.), Louis
Caron (Bombardier Transport Canada Inc.), Martine Dubé (Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière),
Me Daniel Dumais (Heenan Blaikie Aubut), Sylvain Gaudreau (Caisse Desjardins de l’Anse de La
Pocatière), Marcel Lamonde (Corporation du Collège), Jean-Yves Lavoie (Groupe Dynaco), Me Michel
Maltais (Corporation du Collège), Me Clément Massé (Rioux, Bossé, Massé, Moreau (SENC) Avocats),
Martin P. Pelletier (Cascades inc.), Aubert Roy (Corporation du Collège), M. Sylvain Lévesque (Roland
et Frères), Me Marc Boulanger (Boulanger, Dolan, Denault) et Martin Frenette (dir. services administratifs au Collège). Au sein du cabinet de campagne on dénombre de surcroît trois gouverneurs, représentant l’Association des parents du Collège, l’Amicale des anciens élèves du Collège et la Fondation
Bouchard.
Guy Pelletier, président et chef de la
direction du Groupe GP
Un grand artiste bien de chez nous pour appuyer la campagne
majeure :
Fidèle à sa région et sensible à nos projets, André Gagnon, pianiste et compositeur de renommée
internationale, a accepté d’être le porte-parole de la campagne. Originaire de Saint-Pacôme, Monsieur
Gagnon témoigne de l’importance qu’a eue le Collège dans le développement de sa passion pour la
musique. Il est heureux de constater qu’encore aujourd’hui, les élèves qui fréquentent notre institution ont accès à différentes activités qui leur permettent de développer leur passion et de s’ouvrir au
monde. Une vidéo dans laquelle André Gagnon évoque son implication au sein de la campagne sera
sous peu disponible sur la page Facebook du CSA.
André Gagnon, pianiste et compositeur
Autres cabinets de campagne
Le personnel d’hier et d’aujourd’hui du CSA, les parents, les élèves, la Fondation Bouchard et l’Association des anciens et anciennes élèves sont déjà très engagés dans notre campagne.
[email protected]
[email protected]
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Portrait « Collège Sainte-de-Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
Et la grande famille du CSA…
En tant qu’anciens élèves, vous êtes les premiers ambassadeurs du Collège. Où que vous soyez
dans le monde, peu importe la profession ou le métier que vous exercez, chacun de vous représente un maillon important dans la grande chaîne de solidarité du CSA. Dans l’optique de réunir
les anciens du Collège et de se remémorer les bons moments passés ensemble, l’Amicale a
créé sa page Facebook, nommée Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière - Anciens. À
l’intérieur de cette page, que nous vous invitons à rejoindre, l’Amicale a inséré des liens vers
tous les groupes d’anciens, du 140e cours à aujourd’hui. L’Amicale s’engage à mettre à jour
les informations concernant ses activités, les conventums à venir et les nouvelles concernant le
déroulement de la campagne majeure.
Le samedi 18 septembre prochain, une centaine d’anciens et d’anciennes élèves représentant une
soixantaine de promotions seront invités à une rencontre d’information sous l’habile direction
d’un cabinet exécutif de campagne, formé pour l’occasion de huit personnes. Ils seront les dignes
représentants de notre grande famille de 6 500 anciens et seront les premiers artisans du cabinet
des anciens à tisser la grande toile de solidarité que nous formerons.
Par ailleurs, pour informer les anciens du déroulement de la campagne et leur permettre de
prendre part à son succès, le Collège effectuera un envoi postal spécial à l’automne 2010. Les
anciennes et anciens élèves qui contribueront à la campagne personnellement et/ou par le
biais de leur entreprise pourront bénéficier d’une reconnaissance particulière, tant fiscale que
publique.
M. Martin Chouinard
134e cours
[email protected]
Portrait « Collège Sainte-de-Sainte-Anne-de-la-Pocatière »
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Le 2 octobre prochain, la Fête du Collège marquera un moment fort pour la campagne. Lors des festivités
entourant ce rendez-vous annuel, la campagne et les bénévoles qui s’y impliquent seront mis de l’avant, et
nous présenterons plus en détail les formes de visibilité associées aux dons. Nous espérons que vous serez
nombreux à venir assister à ces réjouissances célébrant notre institution. Depuis de nombreuses années, nous
avons la chance de compter sur votre appui, très précieux à nos yeux. Ce lien privilégié entre les anciens et
le Collège nous permet de croire que vous serez sensibles aux projets de la campagne, à l’avenir de notre
emblème régional et à l’éducation de nos jeunes.
Pour que la belle et grande
famille que nous sommes perdure…
On compte sur vous!
[email protected]
La Fête du Collège 2010
Le samedi 2 octobre prochain
L’Amicale des anciens élèves vous convie, LE SAMEDI 2 OCTOBRE 2010, à la grande Fête
annuelle du Collège ! Et au lancement officiel de la campagne de financement.
Bienvenue à toutes et à tous, élèves d’hier et d’aujourd’hui ainsi que membres du personnel.
Votre Alma Mater a le cœur en fête et a besoin de vous !
PROGRAMME DES FESTIVITÉS
9 h 00 à 10 h 00 Accueil dans le hall d’entrée du Collège
10 h 15
Nos récipiendaires sont invités au Grand Salon
(en face de la Chapelle)
10 h 30
Cérémonie de la reconnaissance :
Personnalité « Amicale 2010 » :
- M. Jean-Thomas Bernard, 134e cours
Prix René-Raymond 2010 :
- M. Simon-Pierre Mignault, 169e cours
Prix Adrien-Vaillancourt :
- M.Yves Raymond
11 h 00
Lancement officiel de la Campagne de financement
12 h 00
Repas servi aux tables à la grande cafétéria
Nous invitons les conventums qui célèbrent des anniversaires cette année à se joindre à
cette grande Fête; c’est simple, il suffit de communiquer avec votre Amicale à amicale@
leadercsa.com afin de déterminer les modalités d’inscription.
65 ans pour la 113e promotion - le 2 octobre 2010
60 ans pour la 118e promotion - le 1er octobre 2010
55 ans pour la 123e promotion
50 ans pour la 128e promotion - le 2 octobre 2010
45 ans pour la 133e promotion - le 2 octobre 2010
41 ans pour la 138e promotion - le 2 octobre 2010
35 ans pour la 146e promotion - le 25 septembre 2010
30 ans pour la 151e promotion
25 ans pour la 156e promotion
20 ans pour la 161e promotion - le 16 octobre 2010
16 ans pour la 165e promotion - le 4 septembre 2010)
7 ans pour la 174e promotion - le 7 août 2010
5 ans pour la 176e promotion
Félicitations à nos personnalités 2010 !
Le samedi 2 octobre 2010, lors d’une cérémonie officielle à
la Chapelle du Collège, nous soulignerons l’implication exceptionnelle de nos lauréats! Leur contribution exemplaire à
l’avancement de la société a de quoi nous rendre fiers!
Afin de faciliter l’organisation de cette Fête, nous vous
demandons de vous inscrire le plus tôt possible en postant le coupon d’inscription et votre paiement à :
Amicale des anciens élèves
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
100, 4e Avenue
La Pocatière (Québec) G0R 1Z0
Il est aussi possible de s’inscrire par téléphone ou par
courriel :
PERSONNALITÉ « AMICALE 2010 »
M. Jean-Thomas Bernard, 134e cours
Téléphone : 1 877 783-2663, poste 229
418 856-3012, poste 229
Par courriel : [email protected]
Invitation à la Fête du Collège de
Sainte-Anne-de-la-Pocatière
Coût par personne : 35 $ (taxes et service inclus) –
service aux tables
Je désire réserver le repas pour __________ personnes
PRIX RENÉ-RAYMOND POUR
LES 18-35 ANS
Simon-Pierre Mignault, 169e cours
Nom et prénom :
________________________________________
Promotion _____________
Adresse : _________________________________
________________________________________
________________________________________
________________________________________
Ville : ____________________________________
PRIX ADRIEN-VAILLANCOURT
M. Yves Raymond
(Code postal)
Tél. : ____________________________________
Courriel : _________________________________
J’inclus le montant de 35 $ à cette réservation.
Note : Le montant de 35 $ qui vous est demandé
pour le repas nous aide également à défrayer
le coût des souvenirs que nous remettons à nos
personnalités et plusieurs autres dépenses relatives à la réalisation de cette grande Fête.
Les gens qui désirent assister au lancement de
la campagne, à la célébration et à la cérémonie
de la reconnaissance sont les bienvenus; il n’y a
aucun frais à débourser.
20
Portrait « Fête du Collège 2010 »
Suite à l’appel que nous avons lancé à nos artistes dans la revue du mois de mai, déjà deux artistes ont contacté l’Amicale pour faire
don d’une de leurs œuvres. UN MERCI TRÈS SINCÈRE POUR VOTRE GRANDE GÉNÉROSITÉ
Nous nous faisons un plaisir de vous les présenter et surtout de vous mettre en haleine jusqu’à la Fête du Collège puisque ces deux
œuvres seront exposées ce jour là et que vous aurez la chance de les gagner……
Un grand merci à madame Marianne Faguy du 171e cours et à madame Hélène Desjardins, enseignante à la retraite.
Marianne Faguy
Il me fait plaisir d’offrir une toile à l’occasion de la Fête du Collège cet automne, une petite contribution à
cette institution qui me tient à cœur et qui m’a elle même soutenue à l’aide de bourses durant mes études
secondaires. Il y a dix ans déjà, je graduais du Collège emportant avec moi beaucoup de bons souvenirs et un
excellent bagage académique. À l’heure des grandes décisions où la plupart choisissaient leur futur métier, j’ai
plutôt pris le chemin de l’aventure pour participer au programme Katimavik. J’ai ensuite étudié à l’Université
Queen’s puis à l’Université de Moncton avant de finalement compléter un baccalauréat en arts visuels à l’Université d’Ottawa. Je suis maintenant peintre et photographe. Cependant, comme tout bon artiste j’ai aussi
envisagé une deuxième carrière, question de survie... Si vous êtes de passage à Ottawa, vous me croiserez
peut-être à l’Infocentre de la capitale où j’ai la chance depuis trois ans de superviser une équipe dynamique
de guides-interprètes.
Au cœur de ma carrière en art, ma fascination pour la nature humaine est à la base de mon inspiration. Les liens tissés avec les gens qui nous entourent, mais aussi
avec notre milieu nous marquent peu à peu, façonnant ainsi notre vie et notre personnalité. À l’inverse, nous avons également la possibilité de modifier plusieurs
aspects de notre environnement. Curieusement ceci n’est pas toujours avantageux. Par exemple, une de mes sources d’inspiration est la nature, tant à la mode de
nos jours et icône de ce vaste pays depuis toujours, elle semble toutefois faire mauvais ménage avec notre mode de vie moderne. Ces paradoxes entre nos idéaux
et notre quotidien sont bien intrigants. Mes œuvres sont imprégnées de ces réflexions sur notre société, notre environnement et leur impact mutuel.
D’ailleurs, l’atmosphère quelque peu ambiguë de mes œuvres laisse place à la discussion face à ces idées contradictoires. Certaines images sont humoristiques,
d’autres plus dramatiques ou mélancoliques. Plusieurs partagent une qualité narrative typique aux illustrations, pour ces dernières, j’ai créé des caractères anonymes
qui présentent avec une touche d’humour et de sensibilité ces paradoxes entre nos idéaux et nos véritables interactions avec la nature et les autres êtres humains.
D’autres œuvres explorent des sujets similaires tout en mettant à l’avant plan l’espace et les couleurs. On y découvre de vastes étendues à la limite de l’abstraction
où certains éléments figuratifs suggèrent des formes tels des édifices, des arbres, des routes et des silhouettes. La toile qui sera mise aux enchères à la Fête du
Collège cet automne en est un bon exemple. On y retrouve deux silhouettes: un adulte posant la main sur l’épaule d’un enfant. Ils semblent contempler une étendue
désertique aux couleurs chaudes et attrayantes allant du jaune au rouge. Toutefois, l’atmosphère, le lieu, l’identité des caractères et la signification de l’œuvre
demeurent ambigües, laissant place à discussion et permettant de développer votre propre relation avec cette image. Vous pouvez voir d’autres œuvres sur le site
internet de la galerie Arbor: www.arborgallery.org et sur ce site: www.artseo.ca.
Hélène Desjardins
Démarche artistique
Originaire de Kamouraska, le fleuve m’a toujours fascinée: c’est pour lui rendre hommage que j’ai commencé à peindre.
Quelques toiles à l’huile dans les années 90 et, surtout, la découverte de l’aquarelle en 2002 m’ont permis de développer graduellement une seconde carrière. En effet, après trente ans d’enseignement des mathématiques au secondaire, dont vingt au Collège
de Sainte-Anne-de-le-Pocatière, je manie maintenant le pinceau plutôt que la craie blanche.
La douceur et la transparence de l’aquarelle n’ont de cesse de me séduire et je suis encore et toujours émerveillée par le pouvoir
de l’eau et les possibilités de création qu’elle permet. Les paysages d’ici sont uniques et chaque jour différents. En faire une œuvre
qui me parle et parlera aux autres, reste toujours une aventure. Ce que je recherche avant tout : transmettre l’ambiance qui se
dégage au moment où une scène me fait vibrer.
Différents stages avec des maîtres aquarellistes tels Diane Boilard, Nancy Lajeunesse, Jacques Hébert, Odette Feller, Roland Palmaerts, Gilles Matte, ont nourri ma
curiosité et m’ont permis d’aller plus loin vers la découverte de mon propre style.
Une formation en dessin à l’École Mission Renaissance de Montréal m’a fait découvrir différentes techniques de dessin et le monde magique des ombres et lumières.
D’où une nouvelle passion, celle du dessin au fusain. Représenter le corps humain, et le portrait en particulier, me fascine. Autant la fluidité et la transparence de
l’aquarelle me plaisent, autant je m’amuse de la rigueur et la précision nécessaires pour réaliser un portrait au fusain.
Suite [email protected]
[email protected]
Portrait « Fête du Collège 2010 »
21
M’impliquer dans la promotion des arts visuels est très important pour moi. Membre de quelques associations d’artistes, je suis secrétaire relationniste pour le
groupe Reg’Art de la région de Kamouraska. Cette année, j’ai mis de l’avant un comité d’exposition à La Pocatière. Nous voulons donner une vitrine aux artistes
d’ici et d’ailleurs et permettre aux gens de la région d’avoir accès à une plus grande variété de techniques en arts visuels.
On peut retrouver mes œuvres toute l’année à la Maison du Bedeau de Saint-Pascal, et pendant la saison estivale, à la galerie Reg’Art de Kamouraska, à la galerie
du Manoir Fraser de Rivière-du-Loup et à la galerie de l’Auberge du Faubourg à St-Jean-Port-Joli.
Je participe aussi au Symposium du Kamouraska en juillet, au Festival Bonjour la Visite de St-Pascal en août, ainsi qu’au symposium Reg’Art en Couleurs à Kamouraska en septembre.
« Les Carnets de Kamouraska », un recueil d’aquarelles publié en 2006 et illustrant les multiples visages de mon village natal, sont toujours disponibles dans
les librairies de la région.
Encore beaucoup de projets s’en viennent, comme un stage d’aquarelle en France en septembre et une exposition à Istambul, Turquie, en novembre…Quelle
aventure cette retraite !
Hélène Desjardins
135 Boucher
La Pocatière
418 856-2589
[email protected]
www.helenedesjardins.artacademie.com
Description de l’œuvre
Ce portrait d’une jeune paysanne russe met l’accent sur la dualité force et
fragilité, secret et révélation, qui nuancent le vécu féminin.
Moyen d'expression artistique à part entière, le dessin au fusain permet
de créer des effets impressionnants. Il facilite à la fois la précision sous la
lumière et le fondu dans l’ombre.
Quel mystère se profile derrière ce regard rêveur?
Hélène Desjardins, « Jeune paysanne russe », fusain d’après Rupin, 22 x 17 pouces
[email protected]
22
Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
Le Retour aux Sources
Un film de l’Amicale des Anciens du CSA
Golf - 6e édition, par Cajetan Gauthier
Production : Jean Grandmaison
Scénario : Nathalie Lévesque
Mise en scène : Anatole Robichaud et
les Gens de l’Île d’Orléans
Réalisation : Votre Amicale
Caméra : Cajetan Gauthier
Participants : Les Anciens du CSA et leurs conjoints
L’action de la 6e édition se passe dans
deux endroits pittoresques de la région
de Québec. Deux endroits différents
par leur vocation, mais qui sont tout de
même pour nous tous des « Sources de
Souvenirs ».
De plus, revenir en ce lieu est un « Retour aux
Sources », car l’Albatros fut le site de notre première édition.
Pour les affamés et pour assurer un plein d’énergie
pour la journée, un bon déjeuner est disponible.
Première scène :
En ce 11 juin 2010, par un splendide matin doux et
ensoleillé, les participants se retrouvent entre amis
au club de golf l’Albatros, propriété de notre ami
Anatole Robichaud, 120e cours, pour fraterniser et
participer à la production de notre 6e édition de la
journée des Retrouvailles.
On déjeune avant de partir...
Vue du magnifique terrain de golf
Deuxième scène :
Troisième scène :
9h30 : Tout le monde à bord de l’autobus!
À notre arrivée, quelle joie de rencontrer notre
comité de réception composé de Linda Pelletier,
Marie Dallaire et Louise Lacoursière. Leur enthousiasme et leurs sourires contagieux nous réchauffent le cœur et sont sûrement le présage d’une
merveilleuse journée.
M. Anatole Robichaud et M. Cajetan Gauthier
Participants de la Tournée Délices et découvertes
Anatole, en tant que président d’honneur de l’édition 2010, est vraiment fier de nous accueillir sur
son verdoyant parcours. Parcours situé sur une petite colline nous offrant une vue splendide sur la
ville de Québec et nous permettant d’admirer en
première loge le spectacle aérien en raison de sa
proximité de l’aéroport. En effet, notre ami Anatole
a tout prévu pour assurer le succès de cet évènement.
C’est un départ vers l’île d’Orléans pour celles et
ceux qui ont un intérêt plus marqué pour les sites historiques que pour les tertres de départ et
les verts.
Louise Lacoursière, Linda Pelletier et Marie Dallaire
Ils sont plus de 23 participants qui partent en
direction de l’Île des Souvenirs, accompagnés
de notre sympathique et dynamique secrétaire,
Marcel Migneault.
Marc Boulanger
Saint-Jean-Port-Joli
(418) 598-3331
La Pocatière
(418) 856-2547
Montmagny
(418) 248-1303
Saint-Pamphile
(418) 356-5555
[email protected]
[email protected]
136e cours
Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
Nous voici en route pour cette terre d’accueil et
de mémoire. Riche d’histoire et de patrimoine, l’île
d’Orléans est le plus important arrondissement
historique du Québec. Plus de 300 familles souches ont colonisé sa terre fertile à l’époque de la
Nouvelle-France. De plus, cette île bien vivante regorge de plus de 80 artistes et artisans.
Au cours de cette journée «Délices et Découvertes», notre guide, M. André Fortier, nous fait
connaître les secrets de son Île magnifique et riche
en histoire. Nous débutons notre périple autour de
l’île en passant par la municipalité de St-Pierre et
en visitant l’Espace Félix Leclerc, où l’on vous raconte la vie et l’œuvre du célèbre poète. Comme
apéro, nous arrêtons à la Cidrerie Verger Bilodeau
où la charmante propriétaire nous instruit sur la
fabrication du cidre et se fait un plaisir de nous
faire déguster ses excellents produits.
Après un succulent dîner au Relais des Pins, qui offre
des repas aux couleurs familiales et traditionnelles,
nous repartons vers la municipalité de Ste-Famille et
la visite de la Maison de nos Aïeux. Les expositions
de cette maison sur la famille et les cœurs des villages nous entraînent dans l’histoire de l`île, depuis
l’occupation amérindienne jusqu’à la Révolution
tranquille, en passant par la colonisation.
Par la suite, nous jetons un regard curieux et intéressé sur les municipalités de St-François, qui par
sa culture abondante de légumes (oignons, pommes de terre, poireaux) était le garde-manger de
la Garnison, de St-Jean, de St-Laurent, reconnue
autrefois pour la constructions navale (chaloupes),
et, comme conclusion, la municipalité de StePétronille. Nous terminons cette intéressante et
instructive ballade autour de l’île par une visite de
la Chocolaterie de l’Île d’Orléans où nous avons le
privilège de savourer un délicieux dessert.
Quelle merveilleuse façon de terminer cette formidable randonnée autour de l’île des «Souvenirs»!
Y revenir, c’est chaque fois un «Retour aux Sources» et un nouvel endroit ou un nouveau secret
à découvrir.
Nous remercions sincèrement notre guide érudit, André, notre chauffeur ainsi que notre gentil
accompagnateur, Marcel!
23
un fait est certain, la température est vraiment plus
agréable que lors de notre première visite! Au cours
de ces cinq heures de lutte, soyez assurés que tous
les compétiteurs ont vraiment eu du plaisir. Entre
les coups réussis ou ratés, il y a beaucoup de place
pour les histoires (…de golfeurs…) et les plaisanteries. Bien sûr, le vrai but de cette compétition,
c’est la camaraderie et la fraternisation.
Les vainqueurs de cette chaleureuse et sympathique journée sportive sont Jacques Ouellet, Marcel
Carbonneau, Michel Coulombe et Marcel Faucher
Nos champions Michel Coulombe, Marcel Carbonneau,
Jacques Ouellet et Marcel Faucher
Quatrième scène :
avec un très bon résultat de : 66
11h30 : À vos voitures, c’est un départ pour les
102 amateurs de Golf!
Toutes nos félicitations à cette valeureuse équipe!
Les voilà tous, au volant de leurs bolides et les bâtons dans le sac, prêts à se livrer une compétition
amicale. Ils relèveront des défis qui leur rappelleront les bons et les mauvais souvenirs vécus en
2005 sous une température torride!!!
Cinquième scène :
Pour les uns, les performances s’améliorent; pour
d’autres, les difficultés qui se présentent sur le parcours sont encore plus importantes qu’il y a cinq
ans… Certainement un manque de pratique! Mais,
Bravo pour l’excellent travail de nos organisateurs!
Pour tous les anciens et conjoints réunis au «Club
House», visiteurs historiens et golfeurs amateurs,
place au cocktail et au souper champêtre! C’est
l’heure des rencontres, des histoires et des souvenirs. Chacun y va de ses aventures et de ses faits
et gestes de la journée. Que de bonheur de revoir
les consoeurs et confrères et de mettre à jour les
derniers potins!
Le repos bien mérité...
300, rue Commerciale
Cabano (Québec) G0L 1E0
Tél : (418) 854-2803
Télécopieur : (418) 854-3942
[email protected]
Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
24
Par la suite, les 157 participants passent à table
pour refaire leurs forces et déguster un délicieux
souper composé de brochettes, salade et dessert.
Le tout arrosé d’un bon vin!
Anciennes et Anciens ont pour leur Alma
Mater. Elle nous en remercie et nous encourage à
demeurer fidèles à ce rendez-vous annuel.
Septième scène :
Prix de présence :
M. Paul Cloutier, 135e cours, né à Montmagny,
a généreusement accepté de nous donner cette
magnifique toile. Cette gravure originale a été
conçue et réalisée pour le 135e en 1987 et
actualiser pour l’Amicale par l’artiste.
Et, selon les dires de Paul : «Voici donc cette image,
que j’avais conçue à l’origine pour un conventum de ma promotion, dans l’esprit de ces lieux
(le Collège). J’ai titré la gravure comme ceci :
Un gros merci à nos hôtes et au traiteur pour ce
délectable repas!
Sixième scène :
Maintenant, au micro se présente notre amicale
hôte, Anatole Robichaud. Nous avons droit aux
chaleureuses paroles de ce propriétaire qui, en
tant que président d’honneur de ces Retrouvailles
2010, est très fier du succès de cette merveilleuse
journée.
Une si mémorable journée ne serait pas complète
sans quelques petits discours et la remise des
trophées.
« De la lumière pour l’esprit,
Un escalier de Liberté vers la montagne,
Au loin la côte St-Onésime,
Et cet arbre qui porte ses fruits,
C’est toi, c’est moi, c’est nous tous.»
La gagnante de ce magnifique souvenir est
madame Sylvie Boulet du 155e cours.
Une présentation nous est offerte par le Dr André
Gilbert. Que de plaisir et que de souvenirs d’entendre un si fidèle Ancien! Il nous ramène sûrement
aux Sources Collégiales.
Après quelques mots d’introduction de notre efficace scénariste et radieuse maître de cérémonie,
Nathalie Lévesque, notre jeune et dynamique président de l’Amicale, Marc Boulanger, vient remercier tous les participants et tous les organisateurs.
Il est suivi de la dévouée et charmante directrice
générale du Collège, Martine Dubé. Elle souligne
l’importance de telles journées de rencontre pour
la survie de notre institution et pour le maintien
de ce sentiment d’appartenance que tous les
Cher Paul, au nom de tous les Anciennes et Anciens
et en mon nom, nous te remercions de tout cœur
pour ta participation tangible à nos Retrouvailles
2010 et ta grande générosité!
Huitième scène :
Remise du Trophée de la Participation :
Quelle surprise! Rupture de la tradition! Après cinq
victoires consécutives du 134e cours, c’est le 136e
cours qui remporte la palme avec 24 participants.
Tout un travail et tout un effort de notre président,
Marc!
Bravo! Grâce à votre superbe participation, la source (le trophée) suit son cours, mais prend une autre
direction. Voici les sourires radieux des nouveaux
vainqueurs de mon Trophée de la Participation.
160e cours
Sylvain Lévesque
144e cours
[email protected]
Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
Bravo! Grâce à votre superbe participation, la source (le trophée) suit son cours, mais prend une autre
direction. Voici les sourires radieux des nouveaux
vainqueurs de mon Trophée de la Participation.
TOURNOI DE GOLF – ÉDITION 2010
AMICALE DES ANCIENS ÉLÈVES
COLLÈGE DE SAINTE-ANNE-DE-LA-POCATIÈRE
Merci !
NOS COMMANDITAIRES
Neuvième scène :
Le départ et les « Au Revoir» amicaux :
Se serrant la main et se souhaitant une excellente
saison estivale, tous se quittent heureux d’avoir
participé à un tel spectacle. Pour les uns, ce sera
une future rencontre aux Retrouvailles 2011 ; pour
les autres, ce sera la joie de se revoir à notre Assemblée générale annuelle le 18 septembre 2010
et à la journée des Anciens le 2 octobre 2010.
Valeurs Mobilières Desjardins * M. Serge Parent
Kamco Construction La Pocatière * M. Laurent Briand
Financière Banque Nationale * M. Patrice Landry
Heenan, Blaikie, Aubut * M. Daniel Dumais, 147e cours
Corporation des pilotes du Bas Saint-Laurent *
M. Jean Lapointe, 135e cours
NOS COLLABORATEURS
Dixième scène :
Nos remerciements les plus sincères aux organisateurs, commanditaires et à tous les participants
qui, sans eux, une si magnifique réalisation n’aurait
pas sa raison d’être!
Roland et Frères * M. Sylvain Lévesque, 144e cours
Club de golf Albatros * M. Anatole Robichaud, 120e cours
En espérant vous revoir nombreux le 10 juin 2011
à Montmagny!
NOS CADEAUX
Votre photographe, votre reporter de scénario et ami,
Cajetan Gauthier, 131e cours
M. Paul Cloutier * 135e cours
Ameublement Tanguay
[email protected]
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Portrait « Golf et Délices/Découvertes »
Quel tournoi, le 11 juin dernier! - Des rencontres, un spectacle, des performances et du plaisir.
Par Gérald D’Amboise, 121e cours
Nous sommes arrivés tôt au terrain de l’Albatros,
ce matin-là. Le départ pour Délices et Découvertes, à l’Île d’Orléans, se ferait à 9 h 30.
Ceux et celles qui désiraient participer à ce tour
guidé étaient tous et toutes là, pour l’heure indiquée. Nos épouses du 121e, Lucille et Monique, se
joignirent au groupe et montèrent dans un beau
bus nolisé. Et la température était excellente, pour
l’excursion et pour le golf.
Fidèle à la tradition, le quatuor du 121e était encore prêt, cette année. L’équipe compte sur cinq
membres réguliers; la rotation d’absence, le jour
du tournoi, se fait tout naturellement en fonction
des bobos occasionnels de chacun. André Gilbert,
Noël Madore, le frère des deux autres, Conrad
Paré et moi-même, Gérald d’Amboise, formions
le quatuor 2010. Luc Bernier pourra se servir de
ses genoux neufs l’an prochain. Nous sommes
toujours bien identifiables par nos chapeaux arborant un 121e exclusif. Quelques joueurs avaient
retardé leur petit-déjeuner, pouvant ainsi prendre
oeufs, bacon, cretons et café au comptoir du club.
Et au fur et à mesure que les participants(es) se
pointaient nous reconnaissions des visages. Avec
plaisir, les gars du 121e souhaitaient le bonjour,
en particulier, à des aînés, Jean-Marie et Gaston
Cloutier, toujours présents. Notre confrère, le notaire Maurice Jr, hélas déjà parti, était de cette
grande famille des hauteurs de Montmagny. Pour
nous, les rappels étaient spontanés. Cajetan
Gauthier sut capter l’occasion avec son appareil
photo.
Tout le monde aux voitures et aux tertres de
départ; pour notre quatuor, c’est au numéro deux.
À 11 h 30, claironne l’invitation aux premiers
élans. La nature, la vue sur la ville, la température,
les verts, tout était beau. Après quelques trous,
un autre spectacle s’ajoutait, celui-là aérien. Audessus de nous, dans le ciel immédiat, les supersoniques en montées, en plongées, solo ou à 2
ou 4, et en vrilles, si près, étonnaient, saisissaient.
Quelles habiletés. Quel synchronisme. Eh oui, golfeur, la tête sur la balle. Mais il fallait aussi voir
l’impressionnant spectacle. Malgré le bruit et les
coups manqués, nul ne se plaindrait à la fin de la
journée. Au contraire, on s’en réjouissait.
De bons coups, avec des yées, et de moins bons,
avec des aah. Et des saluts à l’équipe d’une autre
classe. La visite de Martine et Nathalie et la photographie officielle. Et une balle lancée vers nous,
non dangereuse, mais intentionnelle et dérangeante. Partout le terrain était à nous, au tournoi. Nous
participions sans trop de souci de la performance,
évidemment. Mais après 9 trous, notre score était
raisonnable. Et après d’autres, encore meilleur.
Après avoir joué le 18e du terrain, nous étions à
trois sous la normale. Alors, tout fiers, André et moi,
en voiturette vers nos automobiles pour y déposer les sacs. Mais Noël et Conrad y avaient pensé.
Nous avions encore le numéro un à jouer pour vraiment compléter le tournoi. Ces derniers de nous
rejoindre très rapidement pour nous le rappeler.
Et nous de dire, allons-y réussir un autre oiselet,
pourquoi pas! Nous rembarquons les sacs et par
là, au départ du numéro un. Pour un oiselet, oui,
pour un autre birdie, en langage plus populaire. Ce
qui fut fait. Les amateurs de golf sauront comprendre notre émotion ainsi que notre désir d’en faire
part. Après de bons placements, au premier et au
deuxième coup de l’équipe, Noël réussit une entrée
formidable sur le vert avec une balle qu’il installa à
une seule verge du fanion. Un quatre, pour l’oiselet, était à peu près assuré. Chacun voulut mettre
la balle, lui-même, dans la coupe. Deux y réussirent, ce qui suffisait amplement à la réalisation de
l’exploit annoncé. Hourra donc! Nous concluions le
tournoi avec quatre coups de moins que la normale
du terrain, soit avec un score de 68. Luc, sois rassuré, tous les coups furent honnêtement enregistrés
sur la carte de pointage. À la remise du trophée, en
soirée, on apprit que les gagnants avaient joué 66.
Des gagnants notablement plus jeunes que nous.
Félicitations méritées, nous en convenons. Nous
aurions cependant aimé entendre souligner notre
performance, notre deuxième place! La persévérance de l’équipe au plus grand nombre de coups
ne l’a-t-elle pas été. Nous continuerons d’avancer
en âge, c’est certain; mais les probabilités d’améliorer davantage notre score sont très minces. Ce
numéro de L’Union Amicale témoignera toujours
des résultats surprenants de notre quatuor 2010.
Anatole Robichaud, propriétaire du terrain et président d’honneur de la journée, invita notre groupe à
sa table pour le souper. Ainsi installés tout à l’avant,
pouvions-nous recevoir et offrir les poignées de
mains à tous ceux et celles qui se rendaient au micro ou faisaient la file vers les services du repas.
Je me devais de saluer Colette Forest-Gervais. Elle
aussi descendante, par sa grand-mère maternelle,
de la lignée acadienne d’Amboise de la Baie-desChaleurs. Je fus heureux de revoir un de mes anciens étudiants en administration de l’Université
Laval, Pierre Delagrave, toujours avec le Groupe
Cossette Communication. Et le conseiller d’entreprise, Réjean Dancause, n’allait pas passer outre;
[email protected]
nous nous connaissons depuis fort longtemps.
Et un autre et un autre de la fraternité du CSA.
À la même table que nous se trouvaient Nathalie
Lévesque, l’organisatrice de la journée, et son
équipe dont Martine Dubé, directrice actuelle du
Collège. Deux jeunes femmes admirables par leur
dévouement, leur amour du Collège et la chaleur
de leurs rapports. Elles symbolisent, en quelque
sorte, l’âme de notre Alma Mater. Le cher Adrien,
l’ami de tous et de toutes, serait toujours fier
d’elles. Anatole nous donna un bref et sincère
aperçu de sa vie d’homme d’affaires avec ses difficultés et ses succès, nous relatant l’aventure de
l’Albatros où il semble mettre encore la même
énergie de toujours. Il était fier, avec raison, de nous
avoir très bien reçus, ce 11 juin. Et nous l’avons
applaudi. Notre confrère, André Gilbert, voulut féliciter Anatole pour la qualité de son accueil, le bon
déroulement du jeu, la belle température ainsi que
le spectacle supplémentaire dans le ciel. On veut
bien lui en accorder tout le mérite. André flatta
évidemment l’orgueil de tous en exhibant l’article d’un magazine, repéré par hasard, qui faisait
l’éloge du Collège de Sainte-Anne pour sa grande
ouverture aux étudiants(es) ainsi que pour son excellent classement au cours des récentes années.
C’était, tout à fait, opportun de le mentionner.
Les participants et participantes aux Délices et
Découvertes étaient revenus à temps pour l’apéritif et le souper. Un guide, résidant de l’Île, leur
avait fait connaître l’Espace Félix- Leclerc. Les
livres Adagio et Pieds nus dans l’aube, qui nous
avaient fait aimer Félix, à ses débuts, s’y trouvaient,
au deuxième étage. Plusieurs ont ensuite découvert,
à St-Pierre, la Cidrerie Verger Bilodeau qui est
détentrice d’une coupe d’or pour sa mistelle de
pomme et son cidre de glace. Et les merveilleuses
glaces au café-resto de la Chocolaterie de l’Île
d’Orléans sont un délice estival incontournable,
paraît-il. Une petite dégustation, ici et là, invitait
assurément à un retour rapproché. Nos compagnes
ne nous avaient pas oubliés. En plus des souvenirs
de visites à raconter, elles rapportaient quelques
petits pots de confitures et de la gelée de pommes
de l’Île que, pour ma part, j’ai déjà pu savourer.
Au moment de quitter, des avions parcouraient encore le ciel. À leurs manoeuvres, leurs équipages
ajoutaient alors des feux d’artifice. Nous ne pourrons pas oublier. Ce n’est qu’un au revoir… je le
souhaite.
Portrait « Fondation Bouchard »
27
MOT DE LA PRÉSIDENTE
40 ANS D’IMPLICATION ET D’ENGAGEMENT
En 1970, informés des besoins financiers grandissants du Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière et surtout,
soucieux de perpétuer l’excellence de l’enseignement prodigué par le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
depuis 1827, un groupe de citoyens de La Pocatière demandait au Gouvernement du Québec d’autoriser à
cette fin la création d’une Fondation.
Le 17 septembre 1970, Mme Gisèle Soucy Ouellet, MM. Maurice Arsenault, Marcel Bélanger, Robert Hudon, Jean Foster, Raymond Plourde et M. Georges-Henri
Robitaille signaient les lettres patentes, donnant lieu à la création de la Fondation Bouchard.
Depuis, des dizaines d’administrateurs, de membres, de souscripteurs de diverses provenances, ont traduit leur foi en l’éducation par diverses contributions permettant ainsi d’octroyer plus de cinq millions de dollars et surtout, d’appuyer le magnifique travail d’enseignement, de service et de direction du Collège de Sainte-Anne
de La Pocatière.
Cette initiative est toujours aussi importante, voire essentielle pour assurer la pérennité, puisqu’autant de générosité financière et de gestion bénévole s’avèrent
encore insuffisantes devant les défis de la Corporation du Collège. Les coûts d’opération grimpent sans cesse et surtout, ce majestueux bâtiment nécessitera, à court
et moyen terme, des travaux majeurs de rénovation.
Comme partenaire responsable, la Fondation Bouchard apportera une contribution spéciale, mais avec la préoccupation de se garder les moyens de poursuivre le
soutien annuel, maintenant indispensable pour les besoins courants. Ce faisant, nous perpétuerons le défi lancé il y a quarante ans.
Finalement, le 19 septembre 2010, lors de notre brunch automnal, nous rendrons hommage aux fondateurs ainsi qu’à tous les membres du conseil d’administration
de la Fondation Bouchard qui se sont impliqués au cours des derniers 40 ans. Venez faire votre virée!
La Virée… un rendez-vous à ne pas manquer !
Les membres du conseil d’administration de la Fondation Bouchard sont heureux de vous inviter à la 2e édition du brunch bénéfice
La Virée qui aura lieu le 19 septembre 2010 au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et qui soulignera le 40e anniversaire de la
Fondation.
Dans une atmosphère conviviale, parents et enfants pourront déguster un déjeuner brunch aux saveurs régionales, tout en participant aux activités offertes pour
petits et grands.
Horaire de la journée : Repas servi entre 10 h et 13 h
Hommage aux fondateurs à 12 h
Animation en continu pour les enfants entre 10 h et 13 h
Service de garde pour les tout-petits
Marché public entre 10 h et 13 h
Nous vous invitons à communiquer avec Louise Lacoursière, directrice de la Fondation au 418 856-5752 ou encore au [email protected] pour
information et inscription.
[email protected]
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Portrait « Fondation Bouchard »
La Goulée 2010 – Une soirée sous le signe de l’émotion
Le samedi 1er mai dernier, la Fondation Bouchard tenait sa 34e édition de la Goulée de l’amitié et de la reconnaissance, sous la présidence
d’honneur de M. François Grégoire, fondateur – président – directeur général de Forces Avenir.
En marge de ce rendez-vous gourmand, d’autres
personnalités ont reçu une distinction soulignant
leur travail, leur dévouement et leur implication
dans la communauté.
Cette conjugaison s’est également faite en musique puisque madame Claire Pelletier nous a fait le
bonheur d’interpréter deux magnifiques chansons
pour le plus grand plaisir des gens présents.
Ont été décorés de l’Ordre Painchaud en compagnie de notre président d’honneur, Madame
Claire Pelletier, chanteuse, originaire du Kamouraska, Monsieur André Plourde, ancien président
de la Fondation Bouchard et député fédéral du
Parti progressiste-conservateur du Canada de la
circonscription de Kamouraska – Rivière-du-Loup
entre 1984 et 1993 et Monsieur Odilon Hudon,
curé des trois paroisses du diocèse de Rivière-duLoup.
Cet événement annuel permet aussi, et surtout, à la
Fondation de renouveler son soutien au Collège
de Sainte-Anne-de-la-Pocatière.
Tradition printanière, le premier samedi de mai
conjugue gastronomie et philanthropie. Encore une
fois, ce rendez-vous gourmand a été le théâtre de
retrouvailles et de rencontres mémorables pour les
convives présentes à ces agapes.
Elle a également souligné l’implication des dizaines d’administrateurs, de membres, de souscripteurs qui ont permis d’appuyer le magnifique
travail d’enseignement, de service et de direction
du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière.
Me Nancy Lajoie, présidente de la Fondation a
souligné l’engagement et la vision des membres
fondateurs de la Fondation qui ont signé les lettres
patentes donnant naissance à la Fondation Bouchard le 17 septembre 1970.
[email protected]
Encore une fois cette année, un encan silencieux a
permis à la Fondation Bouchard d’amasser près de
1 000 $. Un sincère merci aux artistes qui ont mis
leur talent au service de la Fondation, soient : Mesdames Hélène Desjardins, Myriam Toussaint
et Pilar Macias.
Il est important de noter que la Fondation a pu
compter sur quelques commanditaires « alimentaires » tels que SELECT WINES, La Fromagerie Le
Détour de Notre-Dame-du-Lac, Les Gâteries de la
Mie de Saint-Jean-Port-Joli, Roland et Frères de
Saint-Pacôme, Distribution B. DeRoy de Saint-Pascal et D. Bertrand et Fils de Québec, ainsi que sur le
CLD du Kamouraska et sur la compagnie KAMCO
CONSTRUCTION INC. qui a accepté de supporter
notre banquet bénéfice à titre de Commanditaire –
Prestige. Un sincère merci pour votre implication !
Portrait « Nous ont quittés »
29
ANDRÉ DIONNE,
UN CONFRÈRE, UN AMI.
Par Gilles Émond, 135e cours
Tout a commencé en septembre 1959. Nous faisions alors notre toute première entrée au Collège
de Sainte-Anne. André était du village voisin et
il était lui aussi l’aîné de la famille. Ses parents
avaient une ferme alors que pour ma part, je devais
me contenter de vivre à la ferme pendant les deux
mois d’été chez mon grand-père. Mais nous trouvions là des points en commun qui alimentaient
nos premières conversations.
Comme son père Gérard faisait le commerce d’animaux, voilà que les affaires nous rapprochaient
via quelques transactions antécédentes. Et je
découvrais que c’est son oncle Fernand qui nous
alimentait en fruits de toutes sortes en passant par
les rangs et villages de la région au cours de l’été.
Qui plus est, André avait même un oncle Robert qui
était marié à la cousine de mon père. Alors là, il y
avait de quoi constituer une nouvelle amitié sur des
bases plus solides. Pourtant, j’en savais encore bien
peu sur ce nouveau copain!!!
Mais le pensionnat allait faire son œuvre. Les travaux scolaires, les repas, les offices religieux, les
récréations, les activités parascolaires, la pratique
des sports, les sorties à «Fatima» et ensuite à «la
petite rivière», nous devions vivre ensemble tous
ces contenus d’une journée type au pensionnat.
Pendant huit ans d’un tel régime, les occasions de
découvertes de nouvelles affinités ne manquaient
donc pas et c’est ainsi que s’est tissée peu à peu
cette amitié qui nous unissait. Volontairement
je tairai les complicités à caractère plus répréhensible!!!
Au Collège de Sainte-Anne, les talents de hockeyeur
d’André furent vite reconnus. Peut-être son coup
de patins manquait-il un peu d’élégance, mais qu’à
cela ne tienne, sa capacité de défenseur à ralentir sinon à anéantir l’adversaire dans la bande en
faisait un joueur convoité de tous les capitaines
d’un jour.
La balle-au-mur a aussi compté parmi les sports où
il s’est illustré. Les murs portent peut-être encore
les traces de quelques coups de palette qui témoignent de la vigueur avec laquelle André tentait de
maîtriser les coups de ses adversaires.
Et que dire de ses talents de coureur de fond?
Quand venait le temps de former les équipes pour
«la promenade» qui avait lieu le jeudi après-midi
au printemps et à l’automne, il fallait s’assurer de la
présence du meilleur coureur disponible. Pourquoi?
La règle voulait qu’un représentant par équipe soit
désigné pour aller «courir le feu». Cette expression
consacrée faisait référence au fait qu’un habile
coureur avait pour mission d’arriver sur les lieux
avant les coureurs des équipes adverses afin d’obtenir le plus beau site où son équipe allait ensuite
passer l’après-midi. Et comme la principale activité constituait à faire cuire les crêpes, il importait
d’avoir un site où l’âtre était le mieux aménagé.
Heureux étions-nous de pouvoir compter André au
sein de notre équipe. C’était un spectacle de le voir
dévaler la pente derrière le Collège et emprunter
la route 132 en semant ses Collègues comme un
marathonien de premier plan.
Ces quelques anecdotes sont surtout révélatrices
des grandes qualités que j’ai appris à reconnaître
au fil des ans chez André : son ardeur au travail, sa
force devant l’adversité et son immense bonté.
Au Collège et tout au long de sa vie par la suite,
André s’est avéré ce qu’on appelle un «bourreau
de travail». Devenu jeune enseignant, il consacrait
ses mois de vacances d’été aux travaux de la ferme
paternelle. Les journées étaient longues, mais André y était heureux. Tellement qu’un bon jour, il a
choisi de mettre un terme à sa carrière pour mettre
en pratique les notions de gestion qu’il enseignait
en prenant la relève de son père sur la ferme familiale. Encore là, il s’y est consacré corps et âme et
en a fait une PME à l’image de ses ambitions et de
ses capacités.
À l’aube de la soixantaine, il choisissait de se retirer progressivement et de confier la suite des choses à son fils Patrick. Ainsi, se disait-il, il pourrait
continuer à s’adonner à sa passion aidant son fils
mais en se réservant à l’occasion quelques semaines de vacances pour se consacrer au golf ou pour
voyager. Or, voilà que ses plans seront rapidement
contrecarrés par la maladie. Il devra à nouveau démontrer sa force et sa ténacité. Une nouvelle course de fond s’amorce, mais contrairement à toutes
les précédentes, l’adversaire est inconnu. Heureusement, André a la «couenne dure» et en plus, il
peut compter sur une partenaire de course qui ne
lâche jamais. En compagnie de sa femme Céline, il
mènera un combat de tous les instants.
Ensemble, ils gagneront une première manche et
André reprendra du mieux. Affaibli, il retournera
même aux champs à quelques reprises. Il rendra
aussi visite au cours des derniers mois à quelques
confrères du 135e cours qu’il tiendra à revoir même
après plus de 40 ans de séparation dans certains
cas. Ces amitiés nouées à l’adolescence avaient
une grande importance à ses yeux. Et il gardait un
souvenir très respectueux de son Alma Mater.
Aujourd’hui, nous devons bien reconnaître que
toutes ces sorties récentes constituaient le dernier
tour de piste terrestre de ce marathonien dont les
[email protected]
forces nous apparaissaient sans limites. André est
parti, mais ce n’est pas pour rien. Comme il l’a fait
maintes fois dans sa jeunesse, il est allé nous réserver une place de choix dans son nouveau domaine.
Et cette fois, il donne rendez-vous non seulement
à sa «gang» du 135e cours, mais aussi à toute la
famille qu’il laisse ici-bas. Je l’imagine, déjà à l’œuvre afin d’être fin prêt à nous accueillir.
André, sois patient. Nous te rejoindrons sans doute,
mais nous ne tenons pas à arriver aussi vite que toi.
Je suis sûr qu’une fois de plus, tu nous comprendras. Merci pour tout, André, et veille sur nous.
111e cours Joseph Boucher
Juin 2010
111e cours
Juillet 2010
Roger Paquin
112e cours Gérard Martineau
Juillet 2010
113e cours
Avril 2010
Jacques Beaudoin
114e cours Donat Poirier
Juin 2010
116e cours
Février 2010
Julien Giasson
123e cours Rodrigue Caron
Juin 2010
124e cours
Florent Massé
Mai 2010
135e cours André Dionne
Juin 2010
Dons in Memoriam
Faire un don à l’Amicale ou au Fonds d’études
Charles-François-Painchaud, c’est manifester son attachement au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
et manifester son intérêt à la cause de l’éducation,
garante de l’avenir.
L’Amicale des anciens élèves offre aux familles éprouvées
la force, le courage et la foi afin de traverser cette épreuve,
qu’est la perte d’un être cher, avec le plus de sérénité
possible. (Pour faire publier un avis de décès, veuillez
contacter l’Amicale des anciens élèves). Merci.
30
Portrait « Bons coups »
Lancement du 10e volume du Dr Réginald Grand’Maison, « Le camp de Dachau »
Par Richard Bernier, ex-directeur général du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
En effet, pendant un peu plus de 90 minutes,
les participants ont pu entendre le Dr Réginald
Grand’Maison présenter le camp de Dachau à travers une revue de l’histoire nazie de l’Allemagne
d’Hitler.
Photo : Jacques Grand’Maison
Sobre mais très recherchée, la présentation se
voulait très instructive car l’histoire du camp était
révélée à travers une belle chronologie de la naissance de la pensée hitlérienne d’une race pure à
l’élimination de six millions de Juifs.
En ce dimanche 27 juin, plus de 50 personnes réunies autour de l’auteur, dans le
Grand Salon du Collège de Sainte-Anne,
ont fait un retour sur un passé lourd et
plutôt triste de la deuxième guerre mondiale et de ces « camps de la mort » Nazis.
Tantôt curieuses, tantôt émotives, les interventions
des participants étaient teintées du drame que
l’auteur venait de leur faire vivre. Cette oeuvre est
le fruit d’une vie de lecture et fait suite à la visite
sur place de M. Grand’Maison, en ce 25 avril 1989.
Il faut, en effet, prendre ce volume comme une
synthèse importante de nombreux écrits qui restent aujourd’hui les seuls outils rappelant ce drame
barbare dont les victimes sont de moins en moins
nombreuses et encore vivantes, 65 ans plus tard.
Merci à notre auteur pour ce voyage dans le temps
et surtout pour la qualité de cet écrit que nous
aurions tous avantage à lire si nous voulons bien
saisir «cet avertissement de l’Histoire».
Au terme de cet ouvrage que le Dr Grand’Maison
a voulu le plus réaliste possible, ce dernier a tenu
à terminer avec la citation d’un Québécois célèbre,
témoin de ces événements, en tant que correspondant de guerre de l’armée américaine de Patton,
l’honorable René Lévesque. Ce dernier, en effet,
n’hésitait pas à déclarer que ces visions de cauchemar nous prouvent que dans n’importe laquelle
société, si on ne se méfie pas, il existera toujours
un potentiel de dérapage extrémiste qui peut facilement conduire à la barbarie.
Le drame de Dachau est disponible à la Libraire
L’Option, chez Métro-Lebel ainsi qu’aux bureaux
de la Société historique de la Côte-du-Sud.
Certains de nos vétérans, heureusement, ont eu au
fil des ans la tâche de nous raconter ces moments
afin de nous rappeler l’authenticité de ces pénibles
souvenirs.
Malheureusement, combien de personnes semblent avoir oublié que ces atrocités ont bel et bien
été vécues au cours de la guerre 1939-1945. Elles
se sont déroulées loin de chez nous, c’est vrai, mais
elles viennent de se répéter en Afghanistan, au
Darfour et au Rwanda.
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À votre service depuis 1961
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Portrait « Bons coups »
MENTION D’HONNEUR POUR
MARIE DALLAIRE, 143e COURS
C’est avec grand plaisir que je vous informe
que Marie Dallaire, 143e
cours, enseignante et
responsable du programme de Techniques
de comptabilité et de
gestion du Cégep de La Pocatière, a été
honorée lors du congrès de l’Association
québécoise de pédagogie collégiale qui a
eu lieu en juin dernier à Sherbrooke.
Voici, en quelques mots, le portrait de Marie tel
qu’il a été présenté sur la fiche de la mention
d’honneur 2010.
Enseignante passionnée, Marie Dallaire place la
réussite de ses élèves au coeur de sa pratique enseignante. Spécialisée en droit et en commerce international, elle a le souci de se perfectionner sans
cesse et est toujours à l’affût de nouvelles stratégies
d’enseignement. Marie est un atout majeur dans la
vie pédagogique et étudiante de son programme
et du Cégep de La Pocatière. Son implication dans
l’entreprise-école de son programme d’études et
dans l’organisation de voyages pédagogiques à
l’étranger est remarquable. Elle est appréciée de
tous ses élèves et collègues tant pour ses qualités
professionnelles que personnelles.
Nos plus sincères félicitations Marie !
Bernard Pelchat, 135e cours autoédite une première publication intitulée - Des nouvelles de ma soeur.
Après plusieurs années dans le domaine du spectacle, Bernard
Pelchat autoédite une première publication intitulée Des nouvelles
de ma soeur.
Ce touchant récit écrit en s’inspirant de l’arrivée dans sa famille d’une
petite soeur lourdement handicapée tant physiquement qu’intellectuellement au début des années 50, alors qu’il avait sept ans - est
bâti à partir de souvenirs personnels abondamment revisités pour leur
donner une dimension romanesque. Des nouvelles de ma soeur relate
une existence marquée de nombreuses péripéties éprouvantes qui ont
imposé à Sylvie un destin peu commun. Elle n’aura laissé aucune trace
apparente de son passage sur terre. Elle n’aura été qu’une minuscule
goutte d’eau dans l’ensemble de l’univers. Elle ne sera cependant pas
passée inaperçue pour ses proches qui l’ont suivie tout au long de ses
50 années de vie. Une femme anonyme, sans histoire, mais qui en a
quand même eu une. Des nouvelles de ma soeur de Bernard Pelchat,
une émouvante première oeuvre autoéditée, autodistribuée et autopromotionnée, disponible dans certaines librairies de la région de Québec sous format papier et en version
imprimée et pdf à partir du site www.bernardpelchat.com.
BERNARD PELCHAT
Avant ses études en théâtre, Bernard Pelchat est l’un des cofondateurs du Festival d’été de Québec (1968).
Diplômé du Conservatoire d’art dramatique de Québec, section scénographie, en 1970, il s’implique immédiatement dans la vie théâtrale québécoise comme directeur de production au Théâtre du Trident pour les
deux premières saisons de la compagnie. Par la suite et jusqu’en 2001, il passe au service du Grand Théâtre
de Québec. À divers titres au cours de ces années – tant en production qu’en communication – il participe à
la création et à la présentation d’une multitude de concerts et de spectacles de théâtre, d’opéra, de danse,
de comédies musicales et de variétés. Boursier du Conseil des arts du Canada à deux reprises, en 1974 et
en 1976, il va parfaire ses connaissances en Europe, surtout en France où il effectue différents stages dans
plusieurs théâtres parisiens de même qu’au Festival d’Avignon. Son activité déborde largement le cadre du
Grand Théâtre. Il collabore ainsi avec presque toutes les entreprises culturelles de la région de Québec, un
grand nombre du Canada et d’un peu partout dans le monde. En 1992, il conçoit et réalise un spectacle
multidisciplinaire intitulé La Diagonale du coeur, présenté par Pluramuse, dans le cadre du volet off du
premier Carrefour international de théâtre de Québec. En février 2010, il autoédite un récit intitulé Des
nouvelles de ma soeur et travaille à un projet de roman numérique qu’il mettra en ligne dans les prochains mois. Pendant plusieurs années, Bernard Pelchat s’est adonné à la création en arts visuels, ce qui l’a
amené à livrer le fruit de son travail dans des expositions individuelles et collectives. Faites principalement à
partir de collages ou assemblages, rehaussés de différentes techniques, ses pièces rappelaient souvent cette
dimension scénique qui s’impose au métier qu’il exerce depuis plus de quarante ans.
Sarto Lord
Jacques Arsenault
Danny Laliberté
Marie-France Mercier
Jonathan Perreault
31
143e cours
136e cours
611, 1re Rue, La Pocatière  G0R 1Z0
Téléphone : (418) 856-3094
Télécopieur : (418) 856-5265
225, avenue Industriellle, Route 132
La Pocatière (Québec) G0R 1Z0
Téléphone: (418) 856-5454
Télécopieur: (418) 856-2901
[email protected]
Clinique médicale La Pocatière
1200, 6e Avenue • Téléphone : (418) 856-1009
[email protected]
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Portrait « Bons coups »
DES NOUVELLES DE JEAN-FRANÇOIS ST-ONGE, 173e COURS
C’est toujours un plaisir de recevoir des nouvelles de nos anciens et de vous partager leurs exploits. Jean-François St-Onge est un
ancien étudiant du collège (173e cours). Il est actuellement en train d’effectuer des études en architecture. Je souhaite par le présent
message, vous informer des ses excellents résultats obtenus depuis son entrée dans le domaine. Voici un résumé de ses réalisations :
2007
Bourse Lemay Michaud
Meilleure moyenne cumulative du Baccalauréat en architecture de l’Université Laval
2007
Bourse Ernest-Annau en Architecture_Royal Canadian Academy of Arts
Candidat sélectionné pour représenter l’Université Laval auprès de l’académie pour l’obtention
d’une bourse d’études informelle à l’étranger
2007
Concours annuel de design étudiants L’OBJET au musée de la civilisation à Québec
Premier prix du jury - Réalisation individuelle
2007
Charrette canadienne de design étudiants_C.A.S.A. Ignition
Premier prix du jury
Réalisation en équipe
2007
Concours de conception intégrée de bâtiment écologique
Écologez_ETS
Deuxième prix du jury - Réalisation en équipe interdisciplinaire
De plus, il a eu l’opportunité de terminer sa 3e année de Baccalauréat dans l’une des plus prestigieuses écoles au monde, soit l’École Polytechnique Fédérale de
Lausanne en Suisse (EPFL). Depuis, il a œuvré dans l’une des plus intéressantes agences d’architecture de Montréal (l’atelier In situ – récipiendaire de nombreux
prix d’excellence d’architecture et la médaille du gouverneur général pour la conception du pavillon d’accueil des Jardins de Métis). Après cette année de stage, il
effectue depuis l’an dernier ses études de 2e cycle (maîtrise professionnelle en architecture). Depuis son arrivée à l’Université de Montréal, il cumule également les
distinctions :
2010
Concours interfacultaire de l’Université de Montréal
Deuxième prix du jury
2010
Bourse commémorative Richard Birtz
Qualité du projet collectif + excellence du dossier académique
2010
Bourse CANAM Canada
Intérêt pour la préfabrication en usine et le développement durable + excellence du dossier académique
2010
Bourse Voyage + technique du fonds Jodoin
Lamarre Pratte & associés, architectes
Bourse de découverte et de connaissance - Exposition universelle de Shanghai 2010
Cette dernière bourse l’a mené en Chine, soit pendant 5 semaines à l’été 2010, afin d’aller étudier l’architecture proposée pour l’exposition universelle de Shanghai 2010 ainsi que le site olympique de Beijing
2008. Pour l’occasion il tient un blogue (www.sino-architecture.blogspot.com) qui met en perspective ses
recherches. Il invite, par le fait même, ses anciens collègues du CSA à y inscrire leurs commentaires et à suivre
ses recherches.
Par ailleurs, il a été sélectionné avec deux collègues parmi l’ensemble des différentes facultés d’aménagement de l’UdeM (doctorants inclus) pour effectuer un atelier de recherche + création au Havre en
France d’une semaine. Un projet qui est dirigé par la Chaire UNESCO en paysage et environnement de
l’Université de Montréal.
Félicitations Jean-François et bonne continuité !
140e cours
Installation
résidentielle et commerciale
Bernard Pelletier, Propriétaire
992, de la Seigneurie, Saint-Roch-des-Aulnaies (Québec) G0R 4E0
Tél. : (418) 354.2345 • Fax : (418) 354.2802
[email protected]
Portrait « Bons coups »
LE PRIX JANOFF POUR
LANGIS MICHAUD, 151e COURS
Le Dr Langis Michaud du
151e cours, professeur à
l’École d’optométrie de
l’Université de Montréal,
a reçu le prix Janoff, lors
du congrès annuel de
l’Association of Contact
Lens Educator, tenu à Birmingham en
Alabama.
Ce prix reconnaît la contribution d’un éducateur en
lentilles cornéennes, rattaché à l’une des 21 écoles
d’optométrie en Amérique du Nord, en termes de
qualité et de nombres de publications dans une
année.
33
RÉAL LAGACÉ, 130e COURS, HONORÉ
Par Paul Bélanger
Réal Lagacé est reconnu et honoré comme professeur émérité par l’Université Laval.
Le document joint est extrait du bulletin de la Faculté de médecine de l’Université Laval. En plus, il est beau
ce Réal.
Serait-il le Halak du 130e cours ? !!! BRAVO!!!
Le 130e a son blog sur le net. Vous pouvez déjà en voir l’ébauche http://130-csa.blogvie.com/
À bientôt !
Le Dr Michaud a été honoré en raison de la publication de chapitres de livres dans des bouquins édités
en France ou aux États-Unis. Ces articles font l’objet
d’une accréditation du Council on Optometric Education (COPE), donc d’un arbitrage externe.
Félicitations !
[email protected]
34
Portrait « Bons coups »
Félicitations à Me Nancy Lajoie!
Le 8 mai dernier, Me Nancy Lajoie (160e cours et présidente de la Fondation Bouchard) a été nommée bâtonnière de la section Bas-St-Laurent/ Gaspésie / Îles de la Madeleine, pour un mandat de deux ans. Cette section du Barreau du Québec compte 240 avocats et comprend 4 palais de
justice et 7 points de service.
Les rôles de Nancy comme bâtonnière peuvent se résumer ainsi :
• Représenter les avocats de sa section auprès du Barreau du Québec;
• Assermenter les nouveaux avocats de sa région;
• Assurer le lien entre les différents intervenants judiciaires comme les juges et les avocats;
• Prendre part aux décisions prises par le Barreau du Québec en exerçant son droit de vote.
Ses dossiers prioritaires actuellement sont l’agrandissement du Palais de justice de Rimouski et la reconnaissance de la déductabilité des honoraires d’avocat afin d’améliorer l’accessibilité à la justice pour les citoyens du Québec. Nancy a pratiqué le droit à Pasbébiac de 1996 à 2000. Elle a travaillé au CLD du
Kamouraska de 2000 à 2002. Depuis ce temps, elle exerce sa pratique au sein du cabinet Rioux, Bossé, Massé, Moreau (SENC) à Rivière-du-Loup.
Nous lui souhaitons la meilleure des chances dans ses nouvelles fonctions!
Marie Dallaire (143e cours)
PRESTIGIEUSES BOURSE D’ÉTUDES POUR LAMBERT V. LORRAIN DU 179e COURS
C’est avec fierté que le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière a appris que Lambert V. Lorrain du 179e cours, élève
en Sciences humaines au Cégep de La Pocatière, faisait partie des étudiantes et étudiants sélectionnés cette année
pour recevoir la Bourse de l’université canadienne - Écoles de langue française d’une valeur potentielle de 20 000 $
(5 000 $ par année).
L’Université d’Ottawa lui remet cette bourse qui a pour but de valoriser les étudiantes et étudiants qui poursuivent des études en français. Il reçoit cette bourse en
raison de ses excellents résultats scolaires (moyenne d’au moins 84 %) et de sa contribution à la francophonie par ses activités scolaires et communautaires.
Le Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et le Cégep de La Pocatière lui souhaitent bonne chance dans la poursuite de ses études universitaires.
Félicitations !
L’Union Amicale est le magazine de l’Amicale des anciens élèves du
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière.
 
Avril/mai   Août/septembre Décembre/janvier
Rédactrice en chef - Nathalie Lévesque
 
Collaborateurs - Cajetan Gauthier, Claude Vachon, Gérald
D’Amboise, Jean-Louis Lévesque, Marie Dallaire, Paul Mathieu,
Léonard Lemieux, Paul Bélanger.
Sincère MERCI à Martine Dubé et à Louise Lacoursière pour
votre grande collaboration et votre support pour la relecture.
Publicité - Jocelyn Caron
L’Amicale des anciens élèves
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
Expédition - TAQ
Tirage - 4500 copies
Conception de la couverture et montage
Camélia design - www.cameliadesign.ca
Impression - Impression Rive-Sud – Cap Saint-Ignace
Prochaine parution - Décembre 2010
Date de tombée - 25 novembre 2010
[email protected]
100, 4e Avenue, La Pocatière (Québec)  G0R 1Z0
Téléphone : 418 856-3012, poste 229
Télécopieur : 418 856-5611
Sans frais : 1 877 783-2663
Courriel : [email protected]
www.leadercsa.com
Ce magazine est publié grâce au support financier de ses
commanditaires et de l’Amicale des anciens élèves du
Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière. La direction de l’Union Amicale
laisse aux auteurs l’entière responsabilité du contenu de leurs textes.
Jean Belley - Luc Senéchal
153e cours
MESSAGE DU DÉPUTÉ-MINISTRE
DE KAMOURASKA-TÉMISCOUATA
C’est avec plaisir que je souhaite une bonne rentrée scolaire 2010-2011 à tous les
élèves du Collège de Sainte-Anne-de-La-Pocatière. Que cette nouvelle année
d’étude soit remplie de belles réussites.
Je me joins à tous les enseignantes, enseignants et autres membres du personnel pour vous
encourager à poursuivre vos rêves en persévérant à chaque jour afin d’atteindre vos objectifs
les plus chers mais surtout tout en ayant du plaisir!
N’oublions pas que c’est aujourd’hui que nous formons nos plus beaux souvenirs de demain…
Bonne rentrée 2010-2011 à tous!
[email protected]
M. Jean Lapointe, directeur général
135e cours
L’Union amicale, publication
de l’Association des anciens élèves
du Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière
Responsable : Nathalie Lévesque
Dépôt légal : deuxième trimestre 2010
Si non réclamé, retourner au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière, 100 4e Avenue, La Pocatière (Québec) Canada G0R 1Z0

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