Mai 1923 - Site en travaux, le week

Transcription

JOURNAL FRANÇAIS
PARAISSANT LE SAMEDI.
ABONNEMENTS
Fli)lftèrc,C6tos-ilu-iVonl,Morblhan(ttnM). 8 f r . »
AuirosUêpnrteiTioiiU et Colonie! . — l O t r . »
Etviiiik'ui'(UnionPostale). . . .
— IBfr. »
ChM'jcmcnt d'udi etiiu : 0 Ir. SO avec la (terniir» band»,
Los aboDiinmonts parlent
(lo vliaquo mois et eo payent d'avanco
m
z
m
&
4 — Ra»-du
M P N I M S N I E
Château.
— 4
Zita Hanoscrits roçus o» sont pas randna
Ir» 20 siihmer.ilblcs de pltm en service,
cl la Oruiult-Urclayiic
7,
r>'<wtrc pari, lea lilats-Vnts
sont en
Iraln de cor.alniiro 3 soiis'-inarins d'un
diptucement supérieur ù 1.500 loniicmix,
it <jul seront arnu's d'un canon de 5
poucei. lUifin, G autres unités d'un ton
nnpe semblable sont en projet, bien (/ut
les crédits nécessaires n'aient pus en
core M volés par le Congrès,
Sturt «0 hor o'halon eoD li«r c ' h r t l i
H t «tartoo'li ar Qroaa enn bot B n t i
Ar zizun a zeu
A.N 11 KOI.
DEZ UOViaiOU KlllSTKN
L!
»i|io Ktiz
IVmia.l Siil Roiiilo l'Aiiii i ï j lU 10
Leur I'KIIO.I, pnj. 'iH'i,
Ltiir 1.0 (liill, p.ij.
J. STANISI.AH, l'ai;., im'iv i SI II) 12
Uo(i.v>io\ui'.
Uni- I 0 t'nll,
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htnr i KlliMi. MJ. m
Afipirhiluii .H. MIKK.M..
Si;m ta
i. Uiiciinii 11 N'akian.i.iIoI; . £0 11) U
IAOU HAUK^
i l y u lu
l.eiiT UKII"»! Vi- àl^.
leov l.ii Cidll, piij.
IICICKOU M, Kuhi^ntin lu 4 is'io n 0 ! i
l'AOl.,
M. Nr.iii:lin UoMi'Aiixi xi i \ m 11) la
Mil slO/.lllA.VMl'Allli.WlV 1 u tu
l.mr l.ii (•.iill, l'uj. ,V<
U n l'Kuoii, iiaj.
C&9UI SE PASSE
L e 1" m a l t'eut Iinnsd cellc année dans
(in etUme... dtxaitwhtnt
iniiir les ai/itiitcurs do pro/essi iri. I.e c/iOnniiio liii-iiiénie
à de très limil ! ; et c'est devant des unilitoircs plutôt cluirsciin t: (jitn « les orateurs
de la classe ourr/ire » i/til, en fiéniirnl nf.
traraillent 'iinére, ont déijUà leurs bonimentii ordinnireu,
.i l'aria, la Hortie d'un mmlinn ,M nignalie par une iv/iaullonréo.
L'n pvlhtijix
tic quatre agents eiiclis'tcs i/ui
iiiissail/nt
iiildi/uil pur un nrovpe de uianifcstants. Un
iif/ent MU /ra/iptl d'un eou/i de coKlaoïi
ihms le dos, taudis que dis liuuteiUen cl
•t'duirea projectile» entaient en tous sens.
Iles rcaforlH d« policiers ai/autéld amenés
<i'ii! ùag/rrre se poi'dnlsit au cours de talurent Oloaséa Une trcnt.iina d'ujcnla cl
autant de cieils,
— .-l lires!, l'iis/ier! il» la pille na dipéra
quire de ce qu'il est <o»« lea jourf, si te
n'fist que l'ur ordre du nmiro les lialha et
Ua chalets,,, odurauls étaient
reste»/crmes, Auiii c/iùmeurs des seroicca de la
rille Kl: joiunirent iiuchitivs docl.ers ; et, ù
l'ni'tcniil,
oucrie'rs sur un cjjcctil
de •J,'Jô'J acaifiit demaw'c et olt:iîn imo
lici'iiiission pour s'olirir
une / romenade
A lu campagne par celle juvrnee
crainicnt
firintanicre, la /iremiijru de la saison,
l'n bon /loint on.c iirulctnires ! l.ihrt
nuj! n Jeiqnants » do lu nourelh
hounjeoiSic de s'afiiler : le proiirén eoiniiie lu / ros/icrite csl dans l',jriire et le IraeaiU
*«
Dimanche, il, Chéron, mlnlslre
de
l'Agriculture,
a présidé ù liennes ri l'inanquralion officielle de la foire-expoBltlou de l'Ouest,
Lu foule était considérabic,
malgré
un temps détestable,
/lit banquet, il, Chéron rendit hommage une fols de plus aux agriculteurs
et les défendit d'être responsables de tu
cherté de lu vie,
« S'on, déclara-l-il, les vraies cansex de
Vn voiianc (/M Bouveralnsroumains la vie chère sont les ruines accumulées
dans les capitales de l'Hurope
occiden- pur lu guerre, la destruction de nos
liile est nrojetc pour le moh d'r.otU pro- inopens de production
et surtout la
chnin. Les souverains se rendront, en lourde dette que nous avons contractée.
premier lieu, (t Varsovie, ou' ils seront
« Il faut produire davantage, accroîles hôtes du président de la liépuliUiiua tre parlicnltèrcmcnt
ta production
agripolonaise, ICn poursuivant
son
l'oi/iij/r, cole. Seuil', l'agriculture
permettra de
le couple ruijal s'arnUera sHecessivruu nt
triompher
de tontes les difficultés.
Il
rt nru.vclles, l.ondres, Paris, Home et faut que le pagsan resie ù ta terre, cl
Ueli/rcde.
pour que le paysan rcsle à la terre il
Le ministre de la Guerre
hritaniquc. faut qu'il gagne sa vie 1 Voilà tout le
en réponse à une tiuestion que lui avait problème /... »
po.iée un député. M, Bcnnelt, a commuA'
niqué ù lu Chambre des Communes, le
L ' a S a i r o des carnets médicaux
montant des sommrB versées depuh
l'armistice
par lo gouvornemont b 1- de ,Marseille a donné lieu, mt conseil
a un intiinulque (i tlire de compensulton pour générci des liouches-dn-lthone,
les dommagea caii«(<s a u x biens des cident entre te préfet Thibon et te con.imbrosini.
•Miti.tans et autres cioils français pai- seiller
Ce dernier avait manifesté au préfet
es troupes nniilaise».
son inlcntion
de le que.ilionner sur ce
lin lôiil, » millions 003.002 francs
en 1020. 4 millions 200.380 francs ; en scuudatc ; le préfet e.tposu dans nue
lettre
aux
conseillers
généraux les rai1021, 050,331 franc» ; en 1022, 215,1081
sons pour lesquelles il ne
répondrait
francs.
Le min'.sire de In Guerre annonça, en pas,
lUi aéoncc, il, Ambroslnl
Insista, Le
même lemns, qu'à ta fin de l'année 11)2;!,
<<<i(i;' de l e.vpir(dion du délai de cinq préfet posa lu question préalable cl quilta
la
sullc,
uns obleuu pur le gouvcrnemeni
fran-'
.iprès son départ, il. Ainbrosini
exrais pour permettre
au.v pai/suus de
faire valoir leur.i revendicaiions,
toute posa l'uffafre ; et comme conclu::ioii,
nouvelle récluiiudiuu d'indemnité ne ïc-i déiiosa le vaut suivant qui fut adopté
à i'ui:an!,uité
;
rail pus udmisc,
« Considérant que le droit des muli»*»
lés au.v .soins médicaux et pharmaceutiJendl de la semaine dernière a élé ques doit rester intangible et hors de
célébré, ù l'abbuge de Vi'eslminsler, le toute atteinte.
mariage du duc d'York, second fits du
(( Mais, considérant que ce droit ne
roi (/'Angletorro, avec /«<//; ICIizabelh saurait dégénérer en abus préjudiciabler,
llouies Lgons,
aux véritables inlérêls des nudités et
Outre la famille ropale cl ta noblesse de la nation ;
(inglaise, les minisires,
les
dignitaire::
« Considérant à cet égard que les
cl le corns diplomaiiquc,
nolumment fautes dénoncées à l'opinion
publique
t'ambussadcur
et l'ambassadrice
de par le conseil général lui-même doivent
France, étalent présents.
êlr'e réprimées et poursuivies ,sn;iv fuiLe gouvernement
français
a offert, blesse, te conseil général demande : que
conime ciutéan de mariage, an duc cl à soient recherchées et punies toutes tes
In duchesse, nn surtout de table de Sè- responsabilités qui pourraicnl
être éluvres intitulé ; l.n Chn.sse.
biles dans la douloureuse affaire des
Vn million
de spectateurs se prescarnets médicaux, de quelque
nature
saient sur le passage du cortèga nuptial. qu'elles soient ».
Ai'choi'ieii cnii train, archorion or'
ruioii, nrelioricn o pcb kronz-licnlf,
archorion o rciloli Uro ar nioaaiuu, iioz
lia de»: ii'e c'Iioitloinor kot Dcbciiluc'li
0 roiik dulitorcd u xo, !<i)Mu;iul l)a spuiitet 0 WCIDIII IJOGI-'IIENT a dnrfcjou A
,
c'iio.Trvt'a CDU lion aiDzer lia pcgcniciit a ijiii a zi.skouo;: un dorlctuiiricii.
Arclicricii,
urclicricn
muiûc'liinui I...
. \ r s,ilvadciiii a xo doiict ziikcii IJCMouv.:inent de la populutloa en luk ICoinpoi', Kvit Bwir, ma n'o Inzlaii
Pranoo.
k t t , ai' c'Iioiisoil jcnornl en don/, voLe Moiirnnl Offlciol public
les la- ici ovil nia vt'zo savcl lujaniant ovit
blcau.v de l'état viril ;
cnr I.K;niiii.Hl nrclicr cnii cuu ncbcud
Pcr rapport ù l!i:;i, on a malheureu- kniiloniuii cil/, ar Finislcr.
sement constaté en l'.iïï;: une forte di.'\ivliri'ioii, ai'i'hcrion nuiioc'li-niiii :
minulion de lu nuplitdilé cl de la iKdiinié. Il ij a eu nu 1res h'ncr ubais.scnicii! i.i'ioiir 0 kuviiil, Jiag o keai' lia var ar
de lu mortatité.
iiiea;^.
i
Lu proportion
des déeès, après avoir
(•uiimeulé de
ù 177 pour lO.lKil) hal'Itonts de licio à lii'.M, revient à 17(1
Var ar iiicaz ivcz, Dro zo, nrchci'icii
pour \'J.UOU hahllaiils en l'JÏ-', comme
nn iVonii.'.iuli a c'Iioario awalc'li, ciiii
en ll)t:i.
Le stalisllqve
du mouvement de la iielioiiil iiiizioii a ioa, vardru pc kc'iipopulation en l-'rancc pour 11122 s'éla- loo'li varlpi'c'ii laknpoled en om lahtit de la /«c«ii suiuaule ; mariaqcH
383,2S0 ; nubsuncc^ d'enfants dévlurés kuct da laoroiî o ,slalii)u ar c'iilgoricii
oiiz nr vro,
Kli'oiilii 751).K4U ; déci^ 0SU,2U7.
.M lnki'po!oil-zo n oiiiu lal'Oiiral pont
konieiil a lincsa ma n'o gavut merk
Beau gosto d'un oolonul,
/I Met:, le lieiilennnl-coloncl
Durlhé- mnd ohoil aiuv.lio.
Ucml a rci'iit cnn IKIZ, ovit samina
Iciiii/, qui commande le !i' génie, a décidf
de prendre ('/ su uimrge tous les solmi kcnv.'nl a i-'liellc lieza ila blijout d'e;!iiiétiicmt.v ré.'iulluni de la nais.iance des' liij; lia
a zo mar en doa ar c'iiienfants des sous-offieiers cl sapeurs de
>•0/1 régimeut. I.e fnqer du ir offrira, en ^'ur aiikiiiiiiiM-'iiact da za.^liim ho voiioidre. uu.v nov.vau,\-nè.<, une superbé ni/, arank imiiil. tl'lio wolo ; ar c'iianl'nrli'd a niiii! o py li'ac'h lier f.'haniil,
laiiclle.
'l'apel in: iiel erlln, l i a piou inl ?
T r i Kifr'cr iamiank! I.cblcn, 20 vhuiii;
Une bonne piirolo do ohomlnot,
Sumedl, il/, l'oincuré a présidé ù l'a- Vionx, eo vliia:<; I.ainlicrI, 18 vloai:.
ris un banquet, d'an millier de converti,
Ha pi'iians II c'hoariunl? Uro e'Iionqui cidiurait
la fêle générale de l'On leiiii bi>za ki'iiiurot da labiinral cl
phelinol des Chemins de fer
français,
.1 l'heure des toasts, lU. Vidal, pré- loni^'li ma treilonl o c'Iiullu boxa cnn
sident du conseil d'aUminlslrallon
de lira bciinak da grabaiialn, ICpad ma
l'Orphelinut,
s'c.vpr'.mu en ces lermei:, koiisUo lio miVïlr bi a labonre, l'Ja
en s'adressanl an président du Conseil! r.'liondi) n'o vczont kot CIIK ur rc ziIl Je puis vouf assurer que le rhemi> vi'za o Irii' /.i ijii>: lio nii'.-.lr nag o valnot a le désir sincèr'e de Ivavalltcr ((;(
relèvement dit lioi/s, de donner son con- lozl var al Inm'onn, lla.i' an archcrioii
cours le plus dévoué, le plus uclif et le (I vc>;a en cm iakact var cnn Iro-i fa(i/„
plus loyal à ses chefs respectifs,
ht ar liiilrrd n (''lifiMlciino ho c'boiil cvil
même que pendant lu guerre, les che- mont larkoc'h da obcr kcmenl ail.
minots ont coniribué de tout leur cwur
et de tontes leurs forces au salut du
.\niinvcl o don/, beza laorct c 80 kipags, de nu'mn aujourd'hui vous nouvel Kcrcsi ha krabunatet talvimdcgoz cnn
compter sur leur concours le plus en- hantor-millioiin, — abcnn lio ngent
tier pour faire Irlomnhcr
notre bon
droit au.r réparations et pour nous éimr- vloa;i !
gner ù jamais les sanqlnutes manifes- - IJa viana nn Iri-iio n'o dcnz c'Iuian
talions de force et de brutalité de l'/W- Inzot na klaskct laza dcii! ro ail n xo
lenwgnc, »
ling a l'onz swasnc'h, cvcl digwciicr, c
•S
parrc/, Tlicil, doparlamanl Orn.
r;jie,.ainquliàra m ' o a v e n t u r o vient
Eno nn hostiz TnlTIor liag lus wrcg
d'arriver
a M, Hmmonuel lirousse, député des l'grénécs-Orienlales,
ancleif u oa 0 knanift pa doua/, daun drcnicniad da c'hoiilcnn hep n worcnnad.
soiis-secrétaire d'Iilat au.v Flnance.i.
,\l, lirousse s'élitU reudn ù llarcelont An h().sli/.n/. Iio zcrviehaz; ha raklal
c/i compagnie de son collèque M, llcué da c'iioudo o ti^lroaii, di/.nnr,»i, da
Muiionl, Il éltdl porleiir d'un passeport gaoul ho goa/., cvit ccluii lie frcd,
en règle,
.\n daon Inkcz lio honlia/, cr gainpr;
Mais pendent la guerre il uvult en des
démélés avec nos voisina
d'au-delà liag 0 vcza dispakol bcp a revolver,
le.t Piirénées ; cl nn arrété
d'expnislon 0 c'hiinlonnjoiit an urc'hant a oa cnn
avait éW pris contre lui en 1017 pur le ti, Kcment a ioa cnn anncliou a oc
gutwernemenl
espagnol,
iV. lirousse avait toutes raison») at diai>nc'liel /.okcii; gvvcnnok cbod avad,
— Kr zdlicr ex CUSÎ, cnio iiiian oiii! al
croire que cet arrété nixilt été rapporté
définit h temps. Il parait qn'Il n'en est Uikç|>,ot'.!d, 0 c'iionro'homonn d'an hosrien, puisque <\ peine débarqué l't llurccr tizo/. jiignnt gant-lian.
Içne, il lut prié de (ulre demi-tour. De» , EtrclanI, al lakcii nll a glasko liain-?
policier»
espagnulH
ruccompugnèrcnl
mu an Juisliz. Hcn-man u gava/, an tu
Jusqu'à la
frontière.
d'en cm «lia cr nioaz dro un adronv.
Hngoii, ul Inkcpot a rcdaz var ho lerfc'h,
M l , i o < M ' ^ t r l n i i d a s ' â r a n a c i puis hag a vrcvaz d'ozhau lio vorzcd gant
p'uii tonn revolver. ^ •
|
ianb«ii n a y a l e i .
,
M, Am'erih ministre brllanniqtte
de
Troiiz nu tonn a''zlgasaz ap amcn
Maittne, in indiqué mtx Cominuuei' que
•If nomibu <lei loui-m^rln»
aue conif lolon da wclout pelca a drnmeiio,'
,^!t)pnt).nous!o avad a|'lhkopo|ed a oa
fteiami
te» floUe'» dt»ttranaet'.pulsy
en 'otn dunnot. Hag an arohérioni n'd
H
roM » :««• iiihrtf»
;
•i
«iiviiiitto»
Im maftSAtii
X<jifi«At m
Labpnr d'an archorion, var ar mca?
cvcl 0 kcar, — cvel c Marsclll,
Eno, dinierc'hcr trcmencl, cun anli'i
a dcnau d'en cm lakaal dirak stal uiiii
lioriilachcr, Daun aoiroii a zi.skeiinaz
anoiilii. L'nan iniozho, gaiil cnr mail!
ko.il, a vrn/.iniciz skla.senn ar stal, hay
a /.aminay, cnr plad goloct a vradi^îon
a bi'ix liraz. Arcbcrien lia poliserini
ail ex puz c .M.iràoill, Evi'ikcnt poir ai'
braoigoLi a oa o vont da bignal a iievcz cnn anio pa zircdaz cun don o tromcn d'en cm Iakaat var lie lient, Enn
taol Iroad enn ho zivosker c tapaz disant al lacr. llogcn, hcn-ma, o skei an
Uuil-zi', a lakeaz da rikla var ar rn lie
oll Vi'aoigon, dastumrt raklal ganl tud
an biirolaclior, diredct ivez.
Al lacr avad a gavaz an In d'en cm
isila k n i l ; bleiiier an auto bebkcn —
cnr polr iaoïiank 20 vioa/, — a oc lapel, o klask teac'hont ivez goudc bc-'-ia
dilczot an anIo.
Labour d'an arehcricn da glask ho
gcnsciirt !
— Ma labour da bolisericn Levallois-l'errot da glask an tri lake/, a rcaz
gwa.snc'Ii, digwcncr.
Da di ar mallonler a oa cet an l i i ma, Gonzont a rcent c llco beza arc'baiil eno, ha gorlozot o doa marc
pediM' hciir gonde kreizdeiz, evit ma
vel'o bra.soc'h ar bcrn.
Enr boni brao a oa o gwirioncz :
32.000 Inr. llogen, ar rcccvinir n'en eai
gave ket hc-nnan. 11c .sckrelniirieii a
zlroda/, d'hc sikoiir; hag o wolmil c
kollcnl ho foan, an tri lakcii en oui
vcnjaz o tiskarga pevar deiin rovulver var ar reocvoiir. lia knil ae'liann
gant cnn anlo o doa lacret, cnn aiilo
liag a oc kavct da c'iiondo c C.onrbcvoic, dilezet gant-ho.
Da bo Icac'h c/, int cet? Ar poliserion a glask, an archericn ivez.
SeUi, goiido truiou kamni mcdisincd
hag apotikcrien on/, Marscill, laolimi
fall greet gant rederion an licntoliun
laeroun a vioher, ha mimtrerieii p;i
vez rcd, ruk, evit-ho enr ialc'liad
dalv hirroc'h cgcd bne/, an den.
« . \ r ialc'h pe ar vue/, ! »
Tnd dcsket penrliesa, hag ijii
d'ezlio.
,
Tnd savct digahcsir, sperejon libi'.
cvcl nia fcllc d'an doktorcd-zc hag
gren kcincnt hirio, hop kaont ar l'ni'ncz da anaonl lia l'azi.
. \ h l stank co an aotronned hag -c
ra an iiciiz da gredi CÎ! co awnle'b.
evit beza den honcsl, choniii hep lacrcz na laza. Var ar meaz zokcn c klc-,
ver pabored o hivaront: .Mont da govnz'/ Da govez pctra? N'ain bciix
bi.skoaz na lacret na lazet.
•
Panofc inoni va Icnnericn o liga.-fon da zoiij cz cnz dek gonrc'homcnn a Zono, seiz ail cla onspcnn ai
daoù n zifonn lacroz pc nber gaon
onz an no.sa h a g - a n liini a zifonn
laza, — 0 tigasfcn da zonj c'hoaz CK
cnz ))evar beu'hcd kapilal cnn In ull
d'an avl ha d'ar golcr.
Qwelloc'h a vozo murlezc lavarout n'oun kct sur u'o dofo ket nn
« dud lionost-zo » iia laorcl na luzet.
M a n'o grodont kot or vuoz da
sont 0 krodont da vlana en deuz an
den louiponn. egod,he goi'A o. krodon^
awalc'h cvit koll, evit lacrcz brnd
vad cun den, sllabeza hc spered
dalla pc monga hc goustians. Daoust
hag bon « tnd honest » n'o deuz bi
koaz lavarct na skrivct ger cbed enz
ar seurt-ze, roet skoiier fall?... A r
c'hazetonnon hng al Icoriou niezn:' a
gaver da obcr teil • peb leao'l
respont. ^^
^
Brt.'.-.rdurcz cvil i r spered, poc
zonn cvit ar galonn: ma n'co ket
awalc'h evit laercz ieo'hcd ar c'honta ha laza an cil, nio a c'Iioulcnn pcIra a raiikfet kaont oii^pcnn.
A r c'heiilcliou fallakr-ze a ra labour seiil-lounnsoe'b ma 'z eo bel
lezet a-hcnl-all ar i-pcrcd hag ar galonn hep an lonr-tan a ziskuiiez an
hent, ar feiz, — h a ma 'z int bel lezot
ivez hep ar stur bo sikour da joum
cnn hcnl, doiijans Donc.
Skoiieriou divalo c pcb leac'h: penaos 0 c'belllj bcrzcl .spcrejou ha
kalmmon choiimel cnn doare-ze dinerz ha dizarmet
Plijadnr a glc.skcr; mes' ar plijadurcziou a guiist. Ncuze,^ûn iiep ha
n'en denz kct arc'hant nc-nnan a
gemcro cl leac'h ma kavo, enz rcd
0 laza !
'
I l a g ar rc-zo liag a zo kaoz, cvil
cul lodenn viaz, enz an dizurz, eiiz
an torrcjoii, ar re-ze a gpmer .si)mil
hag a c'houleiin : arclicricii, muioc'bmni !
.Mo ,a lavaro c'hoaz :
Kaer a ve/.o kaont arohcricn, r.'e
c'hellint na beza o peb leac'h, lui
gwelont pcb Ira.
Owcll eo doiijan.-j Donc, bon hcul
0 pcb Icao'h, e peb moment.
Gwclloc'h lia gwelloc'h-niarc'had,
N'co k e l awaie'b bepred cvit delc'her an oll enn hcnt cenn. Da vian.i
an den a feiz en devczo keuz, bag a
glasko beza fiiroc'b goudc lie gainniojou kninm.
N'eo ket hevel ovil ar -pcrcjnn libr,
ro libr; biskoa;; prizoun na galooii
n'o denz lakaet den cnz ar .scnrt-ze
da voza gwclloc'h, ar c'honirol co.
Drc-z-ban hc-inian an den a zo
dougct-kcnan d'an drong. l i a pclihini ac'hanoiTip a zani, a gouipren, a
wcl 0 kavfc an tn da obcr hag c rafe
e gwirionez muioc'h a droion l'ail panefu ma leu niouez ho gouslians da
lavarout d'ezlian :
Arnbnd ;-co! . \ n archer; n'cma k ' I
azo a dra znr; Donc avad a wclc, ha
da respont es pezo.
Pa 'z onip kcn bresk, kcn doiiget
d'an drong, pcnaoz n'c dcu kct an oll
dud a skiani, goiianiouricn ar vro cr
c'henta penn, da gomprcn cz eo cnn
dcver hor c'brenvaal, roi d'omp remejou hag urmon da c'iiallout hcrzcl?
Hogen, hcrvez tcstcni kanl ha kaiil
mnntrer, ar gwella remod eo ar gclennadnrcz kri.=;tcn.
Savct libr, ho hent o doa kollet. Kr
prizoun o dcvoc an eurvad da gaoul
our belcg' d'iio c'helenn. l i a d'bo hcin
diveza, araok mont d'ar giîlotlin, c lava rcnt :
N'o vemp ket bet ama mar or bi.jc
kavct enn hor iaouankiz kclenn,adorez cnn aomoiiicr.
Kculcl : dalc'homp d hor .feiz, ha
greomp cnz hor gwella cvit hc had.i
doun c kalonn hor bugale.
COBENTÎN.
KELEIER
Biigalc dinalur
N'eus den linp a m lenno lia ne c'houfo k o t pugul lij/.ireg co a r
gou'iiou;;.
U o u d u beza dosvul e nciz eul laboiis ail
n ' e u c m Jal niui g a n t he vi, lia ne i i
f o r z pu c t i g l o r o jie no r a i o k u l ; k a o u i
a r a d ' c z l i i l i e d e u s g r c a l lio. U o l l devc..
a lahon.s p a lie d o n s k a v o l , e u r v a l e z
v a l ( l a g e m e r o u l s o u r s i eii.s a r v i lKi;ii
eus a n eviiig a zinoilo anezaii.
l l o g o n , d a o u s l l i a g a n lioll a
o.up e l i a a il-.-eniini e n n e i / . g o u i i c m a v o z
d i n o t l o l a r g o u k o u g v i l i a n '1
l ) | w i i r iiiai'iî'li n m z o n t
lillmut ciibcul relz
a l a v n r o r . H a ne c'iiellfol kct l a v a r o u l
ivez: « D i w a r liilious l e z i r c g b a digar,
dibaot cvnig karantazus ha
li'ugan.'z n s ',' » K u s a r g o u k o u g , d a v i h a n a , ic'Iieller l a v a i o n l koinenUse.
Peiiip blon/, a zo ebaouc m > m a a i
aotron JJurdel o sliulla doaro beva n
Koukoiigeil. lia tro en dcu.s bel da \v;'
loul euii dra i.ski.s. Kiin ilcll-cnn en ucvoa savct, lo.stiU d'al lec'li m'en ilfivo:i
kavct ciinan enn nciz eosUk-baili,
Hur vi eo.stig hag ,our vi koukoug n'o i
ken on noiz,
K u n nobeul dciziou goudc m a
vi
d i n o d e l a n d a o u labonsilc, iin aoli'uii
Hurdet a wclas ar goukoug vilian
n
l e u l e r a n eo.slig e r m e a z eus an iioi/.
Ar barcz-eostik a oa w a r an noiz d'an
ampoent,
ha
ne
glaskas
)\cl m i r o i U
ou/, n r i n u n l r c r
da obcr e daol; n '
glaska.s k c t m o n t , k c n nolionl, da g o r e ' I i a l n n c o . s t i k b i b a n c v i l lien, l a k a a l
en noiz a - n c v e z .
A n aotrou Burdet, o woloul koineiilse, a z a v a s a l l a b o u s i g h a g b e l lakca>!
on n c i z , P e i n p g w e c l i dioc'Iilu'. c r c a s
k e m e n l - s o , h a p c m p gwtfcli ail dioc'Iil u a r g o u k o u g v i b a n a r e n c v e z a s lio
zaol fal!.
M a 110 v i j o , o ' I i o a z , n e i n c t
ar
goukougor oc'b ober hevclep taollou I
.Diwar
ncirti
Il F r l C l e o p a l r , m a v l j o ' b c t b c r r o e ' b ,
e n d i j o n i i r o l ou/, a r b e d d a v c z a n r pc.;
ni'lier g w e l o m p lilrlol » Evelsc a lavar
o u r s k r i v o g n e r c v i t r e i cla n n a o u l o
o'hcll eun darvoud bras o'Iioarvezout
d i w a r c u n n o b o u d l k a <)ra.
!
Eur vaz hag eur c'hai n'oant kcn, an
cil 0 redck warloro'h cgilè, ouii no.svezj
dro our ganipr sioùl bag n oa I r l den
kousket ennl'. Nemet en our rcdok warlorc'h ar raz, ar o'haz a reae da dueU
lenn ar gas digorl, hag ISA tri don;
kousket or gamnr, ne zIhUnJont mui,
mougot ma viiont gant àr ad». ...
, |
E n eunviiftir, Qttr<rajlikroget an
m po à r . o ' h o W
'
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•^B da'uf«à'8' lei
LUNIST.^
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(U lisnc) Ofr.76
KOclaiiic, en 4* page
•
—
1 50
Ocrnicre coloniie tic la 3* puge .
—
S
•
Minimum par insertion : 8 fr.
Avec adresse au Journal: Hfr.eH sus purtiinserlions
Pour )a pubnciM ittra-rceinnalc,
«•adremcr 4 l'Asmce llavas, «2, me «le llicbelieu, Pari».
^^
r a z a voo r o s t e t ; a n tan, a v a l , a en eni
skignas drc an li a-bez ba ne deujol
k e l a - b o n n d'bon lac'lia.
J3 L o u n d r e z e o e n c m g a v p l . k e m e n l se, H a g , e n c u r w e l o u t a n d a o u g c l o u
w a r a r g a z o l o i i n , c u n a o t r o u a /.u b o l
savel c'iioanl ganlan da anaoul an niv c r o u - i a n li u - v o i i d o u e c ' I i e l l e r I c u l c r
ar
lu-,!!'
zo
war
an
anovaled,
le faiie aussi rigoureusement, auss
mathémaiiquement qu'il me sera porsi
bic ; sans déformer en rien la pensée
car c'est là un prccédé que je considère
comme tout à fait méprisalîle. Si, par
hasnrd, je dénature quoi que ce soit, ce
sera tout à fait involontairement.
o,,i '
.. us kel 0 c'Iiavel boll.
Voici donc ce résume ; la division en
Uauu eu ucus k.ivel, aval, bag a dal- paragraphes est de moi seul ; je la fais
voz koinz anozo : warleno, c .'\lanchestor, eur gwiuil-kornid oire diou orja- pour la commodité de la discussion qu'
lon a i'oa.-< ila cun Irainway nionl di- suivra.
war 0 boni; oun dousonn dud a voc laI . — De nombreux vœux ont été forc'iiot. K Balinoral, enn bed gwenan, mulés par les Conseils généraux en faveur
boiiol war uiian eus al lunodiinnou a
zo war an lioiil-liouarn araok digouo- du retour au scrutin d'arrondissement
zoul cr gar, a viras ons bloincr an pour les élections législatives.
train da welout cz oa .sarrcl an bout. Ar
I I . — Les conseillers généraux détien
bleincr, pa gave d'czan c oa digor, a nent la pensée populaire. Ils sont les
Iczas e Orain da valo... bag cuii darentrailles mêmes de la naticn.
voud manii ns a c'Iioai vozas.
— lir z i z u n tlremoncl ivez, eur plac'li
I I I . — La Chambre, dont la majorité
iaouank
eus
Picrrelay,
c
kiclionn
est favorable, comme le gouvernement,
Bourges, a gavas ar niaro diwar
eun
à la représentation proportionnelle intéiielraïk. lîur vanUcniiad plac'bed cdoiil
grale, va se trouver du coup bien embar0
tansal;
bag
unan
anczo,
diwar
rassée. La R . P . est atteinte dans ses
' l i O i i r i , a r o a . i cia c u n a i l c u n t a o l i k d i w a r bo f r i g a n t p o n n a r
c'iiroc'lienn
oeuvres vives.
l o u u i ' n a oa g a n l i w a r lie d i o u s k o a z . N e
l ' y . — Quelles sont les causes de cette
voc
groal
nomcl
our
grilinadcnn
c
attitude des conseils généraux? I I y ena
boc'b ar plao'li; abonii t n pc bcvar devez ac'liuudevoz, aval, ar
grilinadcnn
plusieurs. L'une d'elles, une des petites,
a doua.s d a v i l i i n a : a r p l a c ' l i , a i n j j o o — mais c'est la seule que l'honorable
z o u n o l be gsvad, n o z a l e a s k c t d a v e r journaliste développe un peu longuement
vel.
et d'une fajon très divertiss.nitc d'ailn<a d i w n r n c t r a c ' I i o n z
leurs, — est que l'électeur n'a plus o son i
e o'iiollor K w o l o u l ne d - a k e t a r bed
député pour lui faire ses commissions et
evcl m a tleie m o n t .
lui rendre les bons services d'autrefois.
Gwolil ar moio'liod.
guerre civile ; ou bien la «subordina»
tion de la politique de l'agneau à celle
du loup. y>
Nous sommes d'accord.
B . - Mais la questicn de la R . P .
n'a rien à voir avec ce problème. La
question de la R. P . est d'un: tout autre
nature : quel est le mc.de de scrutin qui
permet au plus grand nombre d'électeurs,
D A N S T O U T E LA FRANCE,d'avoir
leur opinion représentée au parlement?
L'iionorable rédacteur en chef dc j a
Dépêche a très exactement répondu à
cette question, cûinme je le ferai moimême : le scrutin proportionnaliste,
c'est le scrutin large et vraiment démocratique ; mais il est vrai que I : scrutin
d'arrondissement avait un bien grand
avantage: « Autrcfcis, écrit A'I. Couduricr, quand l'électeur avait bcscin d'un
service (j , il s'adressait à 
Je n'aurais certai-icment pas aussi bien
d i t ; je n'aurais pas f / i t , sous une forme
d'une ironie aussi cinglant:, le proccf
du scrutin d'arcondisscmcnl !
BEFFA.
(1) CC.ît ino! qui souli.'iio.
( j w e o l i a l l a r rc a n o z o a b l i j e g a n t o
k a o u l eur b r a o i k o n d r o d'o
gouzouk
pe en o brcnldciin ne g a v e n t b r a o i k ail
obol deroaloc'li
ogol our groaz.
Koinent-.'-o, a d r a z u r , n'oo kot a u a l c ' l i
ovil obor sonlozod ons lioll hor n i a m n i o n k o z ; cvit m o u r a liiiii anozo a r
groaz a z o u g o n l w a r o c'iu'rc'lioiin no
Ualvozo noiiiol da v r a o i k : a r
braoiksc, a v a l , a i o a k r i s i o n .
G w c l i l liirio. P c i r a a zoug ar incrc ' I i e d p a ' z e o n l d ' a r p a n l o o u , p a "z
oonl da bonriiien
c kear,
pa
douonl
il'an i!iz z o k o n ? P o p I r a a i l dislionvol
diouz cur groaz.
G'Iiui a lavaro:
" K n r b r a o i k n'oo
ncniol cur braoikl » Nann, a dra zur,
iicinot ar b:'aoik a z o u ^ o l gweoliall a
ziskouozc he falvczc g à n l lior
mamiiiou koz ober n o l r a ehol neinol b e r v c z a r .«iiercd k r i ' i t o n . H i r i o a r .«porcdsc a z o a i i k o n n a c ' b a e l
muioc'li-nuii,
bag
ar sperod paian
a
c'Iionnil tac l i o n n e u s a n oil d c r v o z d'ogilc bolok
war
ar
incazion.
Kvol
a
lavaro our
s k r i v a g n o r : " A n dud a don nuiioo'liinui da voza bcnvcl ouz a n anovaled ;
ar re-nian
a zobr ar Irouoz
a
gwcz
diouz
ar
w c z o n n bop sevel
o
l'cnn
w a r z u a n onv e v i t t o u l o r e u r zcll ou,;
ar wozonn m a konoz ar fnuioz diouli,
lia t r i i g a r c k a a t D o u e cvit boza k r o u o l
ar wezonn-zo. »
La Mm Eitéràre
V . — Pour ce motif et pour beaucoup d'autres, on mène actuellement
une campagne « contre le large et vraiment démocratique scrutin proportionnaliste. »
V I . — La moralité de l'aventure,
c'est que la loi du nombre, c'cst-à-dire
de la force, doit prédominer ; que les
minorités seront toujours sacrifices, qu'el
les i( auront ce qu'on appelle le bout de
la table D ; que la loi humaine exige en
fin que la politique de l'agneau soit su
bordonnéc à celle du loup.
Conférence de Lausanne
Le.'! Turcs s'en vont on guerre. Ils
mobilisent sur la frontière s.vricniio, o:i
coiniaiiiide Djav.id-l'aclia. èx-cbcf de
rarinùo dc.s DiirdaïK-lk-s (simple « inouvonicnt de Iroupos » prcltndenl-ils).
Vculonl-ils allac|!ivr les trop faibles
cdectifs français du Pays sous tnandiilï
La ri'iionso du bcrôr a la bergère ne
s'est pas l'ail altoiulio. .Mardi, le général Weygund, baul-conniiiss.iiro, a dit
un mot à Kuicl-Pacba, dOK-guc Inrc à
Lausanne, et jeudi il s'osl embarque
Ce résume établi, et je crois vraiment l)our .\loxandrctte, qui c.st à portée des
canons turcs. Sa « suite » se compose
pouvoir affirmer, en toute conscience, d'un of/icier.. ."\lais deux divisions de
qu'il est o'ojcctif, je discute. •
renfort sont dé.s\!,'néos pour la .Syrie.
D'abord <êux questions de détail. .•\f(irnions-ie : k- mot dit à Lausanne
Le paragraphe I exprime un fait : les avec une sourianle douceur et un regard extrèniemcnt froid, cl la nouvelle
vœux seraient nombreux en faveur du que la l-'rancc n'onlond plus qu'on la
scrutin d'arrondissement. Ce fait est for- borne, auront décidé les an,<ioricns à
mellement contesté par le Journal des nictire une sourdine à leurs grands air*;.
Cependant l'accord (^hestcr. <iui déDébats : « Quelques conseils généraux,
d'ailleurs peu nombreux, ont cru devoir pouille la I-'rance de droits aciiiiis, et
qu'lsnict déclarait siisccptiblo d'anjcnémettre des voeux sur la réforme électo- (Icmcnl. a clé .sigré le 20 avril. I,cs dérale..,
Les
manifestations
en
ce
seno
légués des .Sociétés concc.ssionuaircs de
E u n dcbrc îolI
sont fort éparscs. » (Numéro du i S avril.) cajjitaux étrangers sont appelés à ,\nE n .Viiicrik
eo c o ' b o a r v o z a l o a n
gora, pour s'entendre sur les indcnniit r a o u s o u i ' / n s a . E n o eo e olioin a n diid
Qui a raison ? N i M . Couduricr, ni tos évcnluellcs à leur verser.
da zansal bolok m a kouo/.onl
niarole rédacteur des Débats, ne donnent de
Ces procédés sont assez conformes i
niik, ovit a r b l i i a d u r bopkon da c'Iiouchiflres. il m'est impossible de juger, de l'atlitudc niatainorcsquo et à la fois
zont p i o u on dczo padot a n b i r r a da
sournoise
prise par les bciiialisles à
droi on dro.
me faire une opinion personnelle. Je
ICno ivez o m a n a n
don liag a
foll
constate simplement que tout le monde Lausanne.
L'accord franco-turc d'Angora leur
d'ozan boza a r b r a s a dobror v i o u a zo
ne partage pjs, sur cette question de fait, avait assuré un ré.qir.ie r.rivilcgié dans
o r b o d . K u r p o n n a d a z o a b a o u o n i a '/.
l'avis
de
l'honorable
rédacteur
en
chef
de
la
région Antioclic-.\U-x;nidrctle. J's
oo k r o g e l d a o s a e g o f . A b o n n v r c M i i a n
la Dépêche. En tout cas, c'est à vérifier veulent le faire insérer dans le traite de
00 douot a - b o i m d i j a d a l o u n k a 3 1 vi
Lausanne : aarantic internationale pour
bonidez d'o z i j u i i i .
avec soin.
eux. .Mais s ils en abusent, la garantie
De
plus,
je
conteste
formellement
que
Pcheiiz di|)ît
se retourne contre nous, inii devrons,
jjour
nous couvrir, passer p;'.r toute une
« les conseillers généraux détiennent la
l a , pobouz d i p i l m a n'oo k o t on c m
g a v e l a n d o n - z e e S a n U S l e l ' a n or z i pensée populaire, i> sur une question né.gociiition européenne.
Aux ciranKcrs qui ont subi des do '.>
/.un d r o i n o n o l !
comme celle dont il s'agit. Je reviendrai niagcs de guerre, les 'J lu-os n'accorK u r c'iiarr dro dan a oa o (istroi
peut-être là dessus, pour expliquer mes daient, en compensation, (P.ÎO IOS ."> milons a r g a r , g a n l d a o u z o k k a s o d a d v i o u
raisons, un jour où je serai de loisir. Au- lions de livres turques saisis par les
oiinaii. .N'oun d a r o ponaoz a roas bloijourd'hui, je me contente d'indiquer que Allies à la lîoicb.sbanî:, plus la vaVur
ncr a r c ' b a r r ; m o n l a roas da vilicuia
des deux cuirassés en construction on
da steki ouz cur vogcr; b a g ar c'Iiarr
je n'admets l'idée exprimée au paragra- août lUM, saisis par i'Ar.îclerrc et
a voo tuinpot, .N'am eus kot ozoïn d a
phe I I , comme le l'ait relaté au paragra- dont lord Curzon avait promis de roslavarot d'eoc'b n voo g r o a l oun
aluphe 1, que pour les besoins de h discus.'i:n. tltuor le prix. Mais M. Boaar Law ne
nion g a o r w a r b i l l i g a n lient! Seiz m i l
ratilie pas la concession de son minislur a dalvezo ar viou torrot.
Ces deux points éclaircis, venons à tr". cl les Turcs se récupèrent d'autant
l'essentiel.
sur les sinislrés.
Km' pcsk
les Alliés no veulent invilri- I.i fius11 me paraît impossible de ne pas reH a daoust d'ozan boza p a k o l cr m i z
sic
à .«igner le Tr.iité que si elle » rcpie
marquer une rupture, extrêmement nette,
I r e m o n e t , n c k o t o u r pe.sk-obrci eo.
la
Convention dos Oélroils. Le dél.-gtié
K u r bokoil a roor eus a r nosk. N'oo
de pensée entre îe» cinq premiers para- boicbeviU Vorowski proteste p.ir -ïcus
lifit c a s g o u z o u t po o a d o n i l o v o a . K a graphes d'une part, et le dernier de l'au- fois : et îsnict rcc-anio avec lui.
soc'b, a v a l , eo bol g o u z o u t e v o n t :
tre.
Pans les dilTcrends crtro Turcs <t
p e v a r d r o a t a d b i r r d o r o n d o v o a , lia^c
onsponn eun troatad-liantor a dro
;
Les quatre premiers paragraphes veu- clrangcrs, les .Mliés vculi-it iju'un Tribunal
mixte arbitral dcdilc. Mal.uré les
30 Inr n boueze; ba pevar lur viou a
lent dire : les conseils généraux, inter- instances du général l'ctlo. Us Turcs
zo bot k a v o l e n c z i a b a r z .
prètes de la pensée du peuple, so;it refusent.
K u n t a m m i k r e a b r o i l oo b o l p a U o l .
Los Turcs ont aboli les Capitulations,
hostiles à la représentation proportionelle;
Al'on d i j o bot a m z e r d ' e n o m
zizobor
eus 0 viou e vije bol koinonl-so m u i o c ' b
cela pour différents motifs: dont le seul et ils veulent que les Alliés reconnaissent
leur acte. Les Allies leur répondenl:
a b o s k o d b i b a n or s t o r a b e n u e u n n o qui soit exprimé est une amusante satire « Votre acte nnilaléral no peut rombeul ac'liann.
du scrutin d'arrondissement, donc un ar- pre nn coalr."il bilatéral ; nous ne regument pour la représentation proportionnelle. connaissons rien ».
lilul I c 8 ( r d i l c z c t I k r c i z a r moiLa voie ferrée do Lulc-Iiourfias >
Al
lostr
« J I o . ? s a m t ! d i ' ' s » , ou.s
ar
Paragraphe V : le scrutin proportion.\ndrinople (lurque) passe par la Thraee
P o r t u g a l , a zo b o l p c n s e o l c t r a o n a n
naliste, contre lequel on mène campagne, grecque. L'.Vnglelerre propose d'en reA l ' r i k . A l l o s i r « P o r l - V i o t o r •>, g a l v o t
c'est le scrutin large et vraiment démo- mettre la direction ù la S. l>. N. Grecs
d'o /.ikour, a z i r e d a s g a n t tiz w a r
al
et Turcs hésitent.
cratique.
loc'li; n o m o l a b e n n m a U g o u o z a s
no
Pour les ciniefièrcs britanniques oc
j o m e m u i den w a r ar » MossamcdOs
E t alors, nous pensons tous que
Gallipoli,
l'accord est fait, [uir des conIiilezol e oa bet b e n - n i a n g a n l an 237
l'honorable journaliste va tirer la conclu- cessions réciproques.
(Ion a o a w a r n a n .
sion suivante des prémices qu'il a posées,
A l'Italie Ismet réclame l'ile de C.is'l'oir b a g a d e u s a n dud-.sc o d e u s
[et que je n'accepte, encore une fois, que tollori/.o, à la Pounninio l'ilo d'Adnkalé
gi'llcl lizout botck Port—-Mcxandro. A n
sous les réserves ci-dessus, et pour entrer (à 800 km. de Conslantiuoplo). Rome et
iiomorant ne ouezcr ket c'boaz
pctra
Hukarcst lr.iitent ces propos de fuinisinl deuel da voza.
dans la pensée de M . Couduricr] : <i La Icries.
_ ^
moralité de cette aventure est que l'éduQue sorlira-t-il de ces do'jals ? Que
cation démocratique du peuple n'est pas vaudra la paix éventuelle 1
sudlsamment faite, et qu'il faut l'amener,
Espagne
par une campagne énergique que nous
allons commencer, à mieux comprendre
Le Cabinet Garcia Prieto (conccntr.ique le scrutin proportionnaliste c'est le tion des gauches) a déiiarqué son miscrutin large et vraiment démocratique ! » nistre des finances, M. i'cdregal, répu< LA R U S O N
DU PLUS
FOR?
bicain rallié C?) au royalisme. C'est une
Mais... pitatras I
victoire catholique. Cet agité voulait
M&mrE5TATI0K5 STMFTOMAÎIgPES >
A u lieu de cela, nous trouvons cette substituer à la « tolérance » religieuse
conclusion plutôt désabusée : les agneaux la « liberté dos cultes ». La tolérance
L'honorable" M . Louis Couduricr, ont toujours été mangés par les Icups ; inscrite dans la Constitution, .assure_ ù
la religion catholique, religion natiorédacteur en chef de la Dépêche de Brest, les minorités croquées par les majorités,.. nale, la paix et la suprématie légitime.
a public, dans le journal du dimanche
C'est déplorable, mais c'est comme — aux autres cultes, pratiqués pai- une
infime majorité, la paix convcnable.
2Ç) avril, sous le titre que l'on vient de
cela...
D'où grasse agilation. Les ëvêquc»
lire: la raison du plut fert, manifestations
Rien à faire l ,
adressèrent au Président da Conséil
symplowaliquei, un article que, malgré
une lettre colicctive, aussi mesurée q u * toute ma bonne volonté, je n'ai pas
nergiquc. Le cardinal Sodcvila, de SaL'erreur de l'honorable rédacteur en ragossc, accusa publiqucmcut le projet
réussi à bien comprendre.
Cet article, qui n'a d'ailleurs rien d'un chef de la Dépêche est, pour moi, évi- Pcdrcgal de ruiner le Concordat'. Ce
fut Pcdrcgal qui succomba, et spn ai;article de polémique, qui est écrit sur un dente ; il me parait avoir fait une confu- ticle sectaire avec lui.
r
•
sion
entre
:
ton calme et modéré, — je dirai même :
A . — Les rapports de la majorité et
sur un ton légèrement déiabusé, — se
Irlande
compose de phrases dont chacune, prise de la minorité dans un pays & gouverM. de Valer.i, réfugié dins le» mrfifr
séparément, exprime des idées fort nement démocratique.
tagncs de 'riperar.v, a ordonné i set
B , — La représentation, au parle- partisans de cesser les hostilités le 30
claires. Ces idées, on peut les trouver
^
justes ou les trouver busses, ceci est une ment, des électeurs qui composent la avril. Mais il exige on plébiscite qui
ciderait du régime politique : Républiautre affaire: ; mais on les saisit parfai- majorité et la minorité.
que ou Dominion. Le président CosCes deux questions lont, à mon avis,
tement. Puis, lorsque l'on veut établir le
rave refuse de négocier : il sait Vâhra
fil logique de ces idées, leur enchaîne- absolument distinctes., .
bout. Ses lieutenants sont pris ou t v t f ,
A . — Supposons que, hus tes ilecteur»
ment, qui doit conduire à la csnclution,
sauf Miss Mac'JSwiney cl" la comtesse
impossible I O n ne trouve plus rien... ayant pu, par un prociJé ûelcenjue, faire Markiewicz. Ses bailleurs de fonds d'Aconnaître leur opinion sur une question mérique, d'Atislralie, du Spd-AfHqu»; »e
ou dtt moins, moi je n'ai rien trouvé.
J e ne puis pas reproduire ici l'article vitale pour le pays, il se forme une ma- montrent ' de moins eh moins cMkon'
«iostcs. Ses soldats, sans'chefs et ssM
en question ; je n'aurais pas assez de jorité et untfflinorité,etque cette majO'- soldes, se rendént od ^
déMra^
et cette minorité demeurent i r i ^ c » A l o n
place. M a i » je.vals essayer d'en réiuraef.
Oa M; «e Valcrà se H ^ .
Jc«',dlfiUr«ntc8 idées. Ct„i>ngag« m i hites sur l.eur* poait'iens.^ Omette > o l i ^ ; n | sans ceadlUons, ou i i s ' i H i i ^ i î ^
Atffl a »
»• ^ H ^ M b j i y r - ^
j>«rj»J« cl'honneur ûe je yii^t .t|fher ê • trôiit p ô i i i b l M , f t deux
Mon Carnet
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«unJrlbuliblfs pur .«« ômiquef «nhnclèrv ; )>oui< Jn FniniM^ I l «vdll eu des
jiipciili'H a u u p«»r offlicnuK. M. -Tryg.
HKf, iincicn. ,pr«(oMMr', Uc droll. [ u t
);eriii!iiu)Vtiilc, lAnla tf i 6volt)f Ot ne-'
MM'iiKiis iiuus uotivont coiiiplciy .sur lui,
Siiiis i'iic mllltnrlHtc, I l veut une Suède
loric I I blvit nriuie.
11 défend lu S.
]). N. |i(-u ulttK^'C lA-bim pnrco aue trop
:« fnnwiii iiv-»•• Il niR» ceiiire « i l l'ex"
1I'(MU'-;.MIICIIC socliiUMe el H Rtuiehe
(!',illo|iholie, bien que eelle-cl ait cun
trlbué 11 rcitverser M. Hi'iiMtinit.
Plewe I.K U H E F r .
DE
(
D*ux «rrltilt importMt*. r.^ Kniito-CommlHitli'ii a Inlordlt l'entrée de IH Hliénuiilo
t tiuii allemand son muH) do Inlusoit-paMitci. l-ft Biiniirnl Dcgoutle mot l'eniliargn
•ni' louH loH Hiocki de eoke et guii»-pru(tulU de lu ttuiir, infme sur eeuK qno loii
Inilnxliiviii liocliOD ont veadun tleUveiuont
h
n<:utii;4 (hullandtll, «ulMtoR. luMoln).
IiOD dlrui'.toui'M r4''alellrtint« «eront puitlH
d'iini'.'iidi;» (10 nillllonii minimum) el de
iirlmin '!> niia maximum), l<oi «uleurs do
•«lioluKi N «"ni pansIbloH de» mOnion polno!i, l'amondo pouvant l'élever t IQO mlllIonH.
Arp«it«tloni, Deux eenti pollolorn vemiii
de Horllii; eulTrOi. A Ckitrupp, luit «i^ltat'-ura Il'iai'inanii, amiral Wurmliunli, etc. A
Manon,
inoni[irc9 de l'uiaoelntluii •lunK''
IionUoliiii'-Ordon, nxlrtmemonl eliouvluo,
A Kranr.fort, te pri^Hldent don avocata du
l'aloiltiat. D' SehuMrj * Waldiiiolir, toulo
IH lirl»;nilb de geodurmerle; li Kalaeraliiuloi'n,
lo buiiri^moîtm qui Ultiite noua dlfTanier i
à Km* lu U' Bolôli, puni de l.U mnla de
nrluHii pour sabotage de l'Ofllco doM ImiriMlki.-iH. Kt kurtout le baron Krupp vun
•
- iv$pon
-in.. it Mi, iiiaiïiiat• dei
Uiliie» Krul)p^
Hahlo d'.), trouilles du Vendrodl-H-iin' où
'
ii'iH liniiiiiii>:i durent tirer dnnH lo lax.
ii'iiir Ovilor d'iHre iiitta»»eri>a par les
iHivrliT») iiineutils eontee eu», Avi-e M.
Kviipii, uol» dlreoteur* do non u.«ines, \in
f indo do pouvi,ir.9, et lo clief don pomK'I'M, LO vunucll de guerre tea Jugo lo
mal,
AitenUts, MalKi<! U peine de mort (!illot.'e oontro IOH ualiatouri, le pnnt do h vole
militaire do Herhtdle «A nilnO el a.HautO,
IxniiljQii Konl poaitei aur la vole à liailingcii, il Blankonatcln,
Bonn, A l.lhlnr
firi'a i;o|iigno. (I Merkllude, Une iilKullle est
. ralOo il Mayenco, un rail oaujie, diu IravorHOH piiftOi'ii Hiir 1rs vulei. Ole, IiOh outorl!'.'« diM i;(iinnuini!a volalnea, et le.« comIniini'M l'Oit punies oomme II oonvlonl,
Iti'ov Nriilliiolln<i, fc Kaaon et & Kray, ont
«•suM't 'l'-M onups de feu, aaiia dDiiimiiRo,
Mali il Sl.M'krode, deuK eavaller» IIOIHOS
vnl Olo l'un tud, l'autre griCiroinonl lilossi!,
l.i!-i ryi'ii''(ri's du 1 " m»I Ont l'Ii'cuW aans
Jnohli-'nls notables.
•ilalM. 1','o'it tuu. oura k la cjclonce nnrmaloj qui
quu lo ouko e le oliarlmn hdiiI enloplus du l)i,nz(i|, du ooKn do br.il, Ole,,
«n l'i'il 'Ji.OOO lonnea par Jnur ouvlron.
N'IIIK pouvons attendre que le Itiîoli aolt
k Kenbux, buns sous preaaer.
P. L, 0 .
S
r
po
en
!alOn
PdleriBage d i N é n i f i àLourdei
f>n
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lli:
1.0 3S* piMorinaKO dloefaaln S N -0, de
I.«urdi(i aura llmi, aoua la prishlonc» do
MiHiscIfriniP l'EvOquo, du ÎO au aO'Juln prjTlnln.
l,i,.s qi'iili'o tr,"vli;s du pfloi'miflft pi«lrnnt
f;'.'<poi'li\niii,';it d',' Urrst, I, inJi'rui'au et
Lnilmpci'. I,i'!i frlv dea blllela ne ^«ont pas
Hifur'! <:iiiiiiiiuni(|iK's, uialH II» «oro.it uonslbli'iiicnt loij iiiOinu.-! que l'an doinlor,
I.T llflo di.'u Inxi-rlniUin» est ouvjrt? nu
B?i'ri'!iiriil do l'EviVlio.
l.i's pMi'i'liis s'iiit prli'a do ad f iiro Insoriro
pu' riiiti-rinOdlali'u doa paMroi de leur parol.'so.
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prannant «oln d'abonnar ïe«
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pana au O O U R R I M D U r i N
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k laur «ntpô it la oaaarna.
Mais noiui avona oonatat^ qua la
plupart, d'uno part, ii6gllflant la ré>
uunlon du prix qua noua avons oITarte,
d'autpa pnet, omattant da ranouvalac
l'abonncrrifint au bout da l'année, prl«
vant ainsi leurs mllltalraa du Journal
au momnnt oii II laur aaralt paut«ttra
la plus utile.
kuasi ui'oycins«noua davair modlflar
Au
nos oonditlona, at mattra la pirloda
d'abonncmant d'aooopd i^vao la nou«
«alla dur<u ncrmala du sarvioa obllga«
tdira.
A partir de malntonant, pour
franea uno fola vars4a« tout soldat e t
m a r i n breton du PInlattra pourra ro'»
M v o i r r«(iull6ramant la O O t m i l i m D U
. f i N i r Tr K
n R _t pandant un an at daml, o i
•uMI aolt appâté par la Mrvioa: franoa,
Colohias ou Btrangar.
1 0 frarioa, tous clianaamants d'a>
..tfréûa oompria,
prix vi^lqua, o'aat*
ft-dlra qu'il aara axlo* da eaux qui au*
iTMt lalaaé paaaar • ou • mêla da laur
tompa do sarvloa avant do a'abmnaii
lauaal bicti qua do ooua qui auront la
.-«rdowitlon do a'Inaorlro d«a laup I n *
r «OJjMNktlon
, 1 M | d« eotto olaaa* (1*
ou 1 ' ) aux*
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(KfiM
2 9
(OU NOTflK ENVOYÉ SPÉCIAL)
Rome, 20 nvril.
nhatUquà SaM-Vletff,
8 h. 1/2 inatta
KeHre nu Courrier du Finistère, d'nU'
prèa de In Canfe.Mlon, pioaquo iMce nu
piller où roaplendiru brentiM In ftrnnde
mosnlItiHc de SU< Mnrfltierlle-Marle, tnu(lla que peu à peu lu fotile »o ri^pund
(lann ritnnietiae vni.s.Henu, ot quo j'nttends, Hveo quelle allt^xro IlertA I lu lecture du diVrret qui fera de la « petlle
Sœur ThiM'6se » uiie Bienheureuse, une
patronne de plu.i pour lu Knince et l'I:
ll.Ho.,, vraiment l;ii.sHe/,-inol vou.s en
Ire toute lun joie. Que n'uvei-vous pu
notre cher Clievuller de Snint Sylvestre, nceoinpiif^ner tel les nilllirrs de
Krnnfals, le groupe de l'Inlsti^rlens (prôtrea et Iniques», el le l'édacteur qui, héla.s 1 Inlssu ù fnlre son travail, dans ce
lnrf(o cnbluet de la rue du CliAteau, oi'i
vous filles décore pour « services exceplIonneU rendus i\ In cnuse de Dieu ».
C'eût bleu été votix' tour do venir !
mais I,,.
L*a':«nle
a
OrAce ft une religieuse, fort bien en
coun, qui fut longteuips brestolse et qui
iilnie le Courrier,
nous nvons obtenu
des places de choix, d'où nous verrons
les rites traditionnels, avec le miniinuin
do fntigue.
A gnuche du Itûne, du côté de l'Epltrc, voici la tribune de In fnniiile du
Snlnt-Ptre; t"i droite. In tribune diplomatique (sauf rc.spccl, j'y nimerais un
luxe moins discret); M. Joniinrt, tout
frais émoulu <tu Puiiiis-Maxurin oi'i 11
s'est couvert d'académiques Inurler.s,
s'Installe ,saiis embarras, en vrai tombeur de' Constantin ; prés de lui, on
mo. noiiune PamboKsadx-ur d'Espagne (le
mardi de l'Aques, Pie XI nvait accordé
une nudience remarquée aux « Luises »
espagnols, qui sont des Congrégnnlstes
de In Vierge, présentés pnr un délégué
d'Alphoi»c X l t O ; nuls tes ministres du
Chili, de Pologne, rambnssadcur de Belgique, etc. race ù la famliie du Pape,
In famille de sœur Thérèse. A ce propos, hier soir, Je me 8u(,s fuit relever
nisec durement pur un évéque françols,
« Monsoignour, disals-Jo, Il est regrettable que les soeurs de la Bienheureuse
n'aient pu venir
ces fûtes. Le frère
de S. Gabriel de l'Addolorotn fut plus
heureux, en 1020 I » — « Eh I Monsieur, Il est médecin, elles sont Carmélites t u — t Ln clôture n été ouverte
on Belgique cl en Autriche, lors de certaines ilecllons. Pourquoi pns n
occasion uuique ? M Ici un de ces relards foudroyants I — « Parce que
lonsleur, les élections importent au salut des ûmes ; el la présence des Carmélites A une (été, pns du tout ». Je
me suis tu ; mais avouez que c'est dur,
la clôture monastique I Dans les tribunes du transept, beaucoup de Normands
(nalurellemenUl donl MM. Engernnd et
Cautru, députés du Cnivados (chef-lieu
Cnen, sous-préfectures Bayeux, LIsieux,
Ole.). Tout au fond, dans In Gloire du
Bernln qui surmonte la Chaire do Salnl
Plorre, le « li'anspnrent x volié rei>ré
,ienlo Sœur Thérèse montnnt au ciel
lundis qu'une pluie de roses tombe, &
travers in Due, sur la tarre bien soinbro : nous ne la verrons qu'npris In
lecture du décret. Iê temps incertain
ne laliise illtrer qu'une lumière nvnre
sous lo Dôme ; nous ne souffrirons pat
trop do In ohnieur, mais le* lampes élec^trlquci ne seront pas du supcrllu.
La
Procession
8 heure» 1/2. — La foule semble avoir
fini d'entrer. Le murnutre innombrable,
fait do prières, de remarques écluingéoi & voix ba.sse, do pas hourtant les
marbres du pavement, de feuilles des
Uvrei sous les dolgis. etc., cet écho eccléslal de nos recueillements s'apaise et
sa renforce tour à tour. Je prie ou Je
songe i, un peu l'un et l'autre. Dans les
quatre pilastres énormes (71 mètres de
tour), les statues de Sainte Hélène, do
Sainte Véronique, do Saint Longln, de
Snlnl André, cl au-dessus d'elles les mosaïques des quatre Evangélisles, semblent regarder la scène tant do (ois vue.
Au Paradis, comment ces nncètres doivent-Ils fêter aujourd'hui la toute petite
qui n'a pas llvi comme eux les grands
combats, et qui pourtant
ourlant i éui
égalé leur
grand Amour ? l'ie X, enterré sous In
statue de Saint André, doit redire, l'Imagine, sa parole de louange : « Eilo
a fleuri comme un lis Immnculé el répandu une suave odeur ; elle n i)orté
des fruits do salut », Pie X, dont les
sept évéques venus de France demondent In Canonisation, ti la .suite des
vlngt-hull cnrdinnux de lu ( \ r l o romaine...
10 Aeiires. — Le cortège cardlnnllco
pris place H la banquette, du côté de
b,VHnglle
•
•
" •
Ico (le même qui postula p
pour sainte
Mnrguerlte-Murie
et
sainte
Jeanne
d'Arc), encore solide sous lu neige do
ses 70 ans; des Kminentlssimes di Belmonte, qui fut délégué pontifical ù Orléans, RnnuHi, des comtes de Blanchi,
Laurent! A qui rien n'échappe des affaires vutlcanes, — robe blanche de
l'ascétique dominicain ErUhwlrtii, avec
qui le cardinal Mercier collabore, - robes noires & bordures rt>uges du bénédictin anglais Gasquet, d'origine froncalse, «t des jésultesi Billot, lo fameux
théologien, et Ehrle, ex-nrétet de la BiblloHièque vaticnne, & l'air bien saint
et bien vieux. Les membres de lu Congrégation des Rites s'assolent derrière
eux.
En proce.sslon, le clergé et le Chapitre de la Basilique précèdent Mgr Lemonnlei-, évéque de Buyeux, dont les
traits accusés, la bouche ferme, le front
liuut, font un Ivpe remarquable de prélat i c'est lui qui fit les toutes premières démarches, eu 1010, en vue de la
Béatification et qui a mené toute l'affaire, si J'ose dire, avec une activité
qui trouve aujourd'hui su récompense;
par un Insigne privilège, 11 e.st invité ù
célébrer la Me.sse, In première messu
de Beaia Thereia a Pnero-Jeiiu, Ses ministres il l'autel seront NN, SS. Ugollni
et Cerotli, celui-ci frère du nonce de
Paris, Le cardinal Merry dél Val, très
droit, figure bien fermée, austère, ferme
lu marche en sa qualité d'nrchlprétre
de lu Basilique. .Tous vont s'asseoir
dans tes Atalies du côté de l'Epltre, le
cardinal Merry dei Val sur un trône
ilus élevé. Des deux côtés du Chœur,
es officiers, les prélats, les évéques ;
tout ce violet, ce noir, font un contraste,
harmonieux et frappant, ovec les costumes des CltcvhllVrs des Ordres ! do
Multo nu blunc mautenu barré du large
cordon noir, du Sulut-Sépidcre, do l'Or»
dro Con.stantlulen, de Snlnl Grégoire, do
Snlnt Sylvestre tout chamarré d'or, frao
<loré, ceinture dorée, i^nnlolon A bandes
dorées (ah I M. Lo Nours, que vous sériés beau ù Saint-Pierre I).
Abonoemensl mililaires
18 MOIS : 10 FRANCS
DU
FINISTÈRE
m m THERISE DÉ L'MFiHT m m
ioD lie la Hùlir
T.'n f i i l iiiomollmir. l.'MIcmasnf, 'l"nf
|f
iMllIliiDi (Jiiiis lu llillir, « fait (ti'i |>i'opui.l
li.in- II,..' Il") n>ix Allli'n. 1,1'H vcilcl (Ml siilM
t llh '.', Il llnH l|ir>-ll>'H HOnI ilSIÎM lIitH la
li'.iUi II's iiilnhli'ito dru l-:iaU <lii U.'ii'li.
1" (ilhii jimii' U-H l'OiwriillimH, il.> :i(l mil
llaiils ili (iiiiKn-or, >• (>(im|irH liiutci li'»
liiinlii'IoiiH
lialiirn; «0 mllltai'clt. finii'nlH |iiir Mil uni|ii'Uiil liilcrimliiiiiii, il.mi 13
iioiii' l'Iiilniiloi fi niiU'Oi( n\llll;ii-ls d,in«
Il niiK, <1 II) I'OMII) (lim* S niift. CMiiiiii'> KKr.tiill>'. li'N liiii'iMti qui HCi'Oiil iMiuiiifnlOH
, Kuuniii Kiijio liulusiilcl ou fcriMviiili'i'...>
Kii (MX rlii (lirilculli<K. Mil Irlhiiinl arhlli'iil
ftaïui'i'iiil, nuit lo C<iiiilli« do l'(<iii|ii'unl, nolt
line Ci'iH iiJiiiiiu'u imc lu ConmiMnlim do»
rc'pnnilliinM. — H.ippcloiiM nue r,\lliTii:ipnr
u ii-i'iTiiii (lovoir lax mllllu'di*, danl (<0
linmi.'illikiiiciit
l'.iyiibloH, ot
il.ini
an nin) Hnit nctiiollnnoiit uno wili'iir do
tnllli'ii'ih soulonirnt). IiK rrunco nviill
clioll A
mlUlurd* liiiintfdliiloin"iil. lOt lo
Ilcirli (ITI'U ;iO mllIlnrdH cnlio l i'i.» Ion
Atlii's, dont If» Bouicmciil ec'ttv umiOc II
C'i'Kt 9'i mi)(|unr,
ï " SI lnH Alliù!) 110 tonl non prMs (i ni'
• pooli'o Mir oi'llo b«HO, rMlcni.irtui' fc'fiffro
, A s'rn l' iiiultio ti la ddolKlun Unul:- d'iinn
foiiinilisiun m'i cllo norall rcpri.V>ii'nli.'p;
U" I." (!ou\crr''inont «lloniuiid oui p r f l
. A farliili.r Ii.n llvi\d»ons (lo cliiiriinn 5ur
iino liiisn d'ai'ciirds IndimlrlrU priviS p.im"
• tinp'liilicMii dulOo tuix Atlli'»', ft Ji» Kriincu
f t l'i lit KoIi(Ii|i!0 en pai'tlrullor;
4" iii'ininii Kai'O'itlo i>oitr IOh h.iiiqnps or
fî.inissnl • l'iMiiprunt Inlornalloiml ii'ico».
»«:ila-. lo llclcli uni p r i t t liypuUnJquor Ira
itlioinlns d« fci' do l'Iilat!
O' ITomi^'iso d'n*iint'»nc(i qiiVn un
-lomps spi iillli», le liudunt «or» iJnudIlirJ
fl" ,<0. Iirll.!. Oftro d'un Piiolo df HliO na
nie. il condition niio
qno U l'iMnce ho roffn»o
ft tculi' Id.!.! d'unnexiun, et évacue USa
l'aocoiil >iln;ni!,
1,11 l'riiiiito, on le mit «imei. n'a
ion^r il l'iiiinoxloii do ta Itlu^nnnU'. MaU lo
Î U-li'h pnitiiiul (Jiio IR pupuUUnii rliOnano
Hii p.iiii'i'a nioliiiinr U<g|[bnenionl irnii aiitonunili'. par volu do ^tiwlHollo, nvani quo
rucriii'..111)11 do la ROhr «Il prii fin. (ic qui
, TFuI illri: quo lo Itoleli veut i> fulro le plObliirlli:
u son gri>. Merel mille fol.^l
,lii«i|'i'(i l'ouverture de» pourparlers, la
r(tKl»iiinru pa:»lvu eonllnuern dann In tuilir;
Po plHK, i;iiinmn on pr^votl le rofus fraiii;al<i d's ronilltlon^ offerteH, r.'e.il dan'» la
îi'('iii<liin du l'Anirloterro et do l'AmOriquo
•iir noua quo l'ou se eoalle.
COURRIER
ler les évêqucs français, NN. SS. RI'
vlère, archevêque d'AIx, lurge figure
iKMiHuiite ';.\CfaHpqn, évêque de Nicl\
vieillard dont on sait l'énergie el dont
le masque aimable ne manque pas d'un
peu de inalioc ; Martv, de Montauban
nux traits lins et volontaires à lu Ion
eue chevelure de neige ; Giulstv, de
Vcrduri, àui regarde droit devant lui ,
Termler, île Turentnise, nu-fitonit dOJOii^
vert, iiorte-lunettes comme le Puj)e
Chauvin, «l'Evreux, membre de la Com^
mission biblique, tigure d'ascète et de
savant, pleine de l)onté. Et le .seul, sons
doute, qui connaisse Brest et Lesneven
et nos .tnnctuuircs léonurds el cornouaii.
luis, M|{i' de la Porte, évéque de Bérysa
dont lu haute taille s'incline un peu
.sous le poids des ans, mais qui conserve
une vigueur intellectuelle aussi remarquable que son endurance physique. Son
accueil, je le sais, e.st d'une condescendance toute paternelle, el .son crédit en
cour de Rome ne défaille point : l'en
vové du Courrier s'en est aperçu 1
Le cortège arrive devant la Confcs
sion. EhtCe les deux tlabelll byzantins
sur lu Sedia que Pie X redoutait au.ssi
fort que Léon X i l l l'uvait aimée. Pie XI
apparaît en mozette rouge 'cl calotte
blanelu', pâle sous les rafales d'occlu
mationH, II bénit en pa.ssant la foule vi
iiranto. Je m'incline, el vite je regarde,
Ses portraits ne le trahissent pas. I.e
masque plein, la corpulence de 1 homme
lie bureau, le regard pénétrant, avec
cet air indéllnissuiilo de plonger dans
l'au-delà de l'esiiacc et du temps, qu'
me frappa surtout chez Pic X, tandis
que Léon X I I I parai.ssait embrasser
l'heure présonle duns su plénitude et la
saisir pour la diriger vers réternlté, —
un peu triste, on dirait, comme Benoit XV aux dernières année.s, Pic XI
me donne l'impression d'être le MuitrOi
plutôt que le Père ou le Roi. Si. j'en
crois mon voisin, homme renseigné el
(|ui ne manque pas de critique, S. S. au
rait mis elle-même la dernière main au
texte des règlements des « Diocésai
lies )i, el elle aurait fait savoir ù qui de
droit : « C'est ù prendre ou à laisser.
Nous sommes à la limite extrême des
conce.ssions. Ce texte ne sera i)as chan
gé », C'est fort possible, c'est bien dans
la ligne de ce Pape dont les preuves
de science, de courage, de maîtrise de
soi, de volonté, ne .sont plus à compter..
Vingt-cinq cnrdinnux, les porporati
suivent le Souverain-Pontife : ceux qui
habitent Rome. Les E. E. Vico, Merry
dei Val, les autres venus ce matin ;
puis les E. E. Bisleti, Sparetti, Valfre
di Bonzo; Pompili, cardinal-vicaire, ctc
princes de l'Eglise qui viennent ImplO'
rer la petite Carmélite. Ah I petite
Sœur, vous voici bien détrompée, sans
doute, vous qui disiez si bravement :
« Que les créatures ne .soient rien pour
moi, et mol rien pour elles I » Que voulez-vous t non.'; le chantions tout-à
l'heure : « et exallavit humiles » et
vous-même l'avez avoué : « J'aime mieux
reconnaître que le Seigneur n fait en
moi de grandes choses ». C'est donc
bien (raccord avec vous que l'Eglise
vous honore aujourd'hui.
f
La
cirémonio
.La T , R, P. Rodrigo do Saint-Françol.s-de-Paule, postulareur général de la
vouse, s'avance ftvoe Mgr verde, seeré'
taira de la Sacrée Con^égatlon des rltoi. U demande an cardinal Vlco, pré'<
fet do S. C. R,, la BuUe do béalUcatton
qu'il remet k Mgr Verde. Celui-ci i a
porle^nn cardinal Merry dcl Vol, pout*
obtenir l'autorlsotloti de la promulider,
AuMltAl J ^ r da Orailo, oiinnoliie do
iint<P|erro at. aôhlvUte^ lit.
hautd
Ix, da la pàlUa «hnire du cineur, U
lUfloala-quI proelatna
proelatna onlln
onlln la
Lattra pontimala-qul
la
BlHiHtSwi*
nMst.SÎ
l'Bnfant
' m a • r é i w i e p u . I un
un d e . n v
i
mit, en doux articles qui OM
n é s Icî, 'en
.don'Hé. m i t
kWlll « M ' I k - ^ l N H r w ;
. '-'i-iO'l
••t. ?
avril
1 9 2 ^
mé de lu Vie de l'angélique enfant. .Te
dis bien « remarqués' i d » car vous
n'ignores pas qu'u Home vivent des
amis du Courrier, et qui savent goûter,
voire écrire cou anvire notre langue
nncestrale .: dcinundez au Sénilniilrt
français, A la Procure des Oblats de
Marie, au pulazzu Sun-Caliisto des Picpuclens, oto„ sans parler des religieuses de toute eurnclle.
Aussitôt lu Bulle liroiiuilguée, la Gloire
se dévoile, les reliques sont découvertes, les lampadaires éleclridues s'allument ; c'est une splendeur soudnlne de
Paradis.,. Les coeurs .se serrent, les
veux se mouillent, et dans le silence
(|ul vénère, s'élève la voix, faible ici,
mais a.ssurée, de S. (i, Mgr Lemonnier:
« ï'e Deum ! «Avec ferveur nous chantons l'Hymne de triomphe, comme jadis avec un ndmlrabie entrain les Carinéliles de Llsiinix l'avaient chanté, le
10 janvier 1881), pour la véturc de ia
novice de seize ans : mais alors l'évé;iue de Bayeux, Mgr Hugonin, nvait violé
la liturgie qui réserve aux professions
D Te Deum. Quelle rcvanc;lic liturgique
aujourd'hui I
(Ne me féllcilcz i)ns de connaître ce
détail : je le prends tout uniment dans
les brochures qu'on nous distribue de lu
part du Cannel),
— A in même heure, dans In chapelle
neuve du Carmel de Lisieux, le même
ehnnt s'élevait, et les su'urs de la Bienheureuse, vlbruntc.s de l'émotion qu'on
devine, entendaient tout un peuple acolamer leur cadette, leur pelite Fleur !.„
La Messa
10 heures 1/2, — Après avoir encensé
la relique, Mgr Lemonnier coininence
la Me.ssf de lu Bienheureuse. C'est Pie X I
lui-même qui u revu les textes avant
l'impression ; on .sait avec qu'elle éloquence il a loué, le 10 mars, la petite
voie de l'enfance spirituelle chère ù lu
B, Thérèse ; on .suit qu'elle dévotion ce
savant n voué ù la pauvre Carmélite ;
c'est dire la perfection des pièces chol•sies pour lu célébrer.
Le Veni de Llhmio, si doux, d'une
tendresse toute nuptiale, c'est l'iiitro'it.
Ln fin des prophéties d'Isa'ie fournil
l'Epltre : un fleuve de paix, un torrent
de flioire débordante, une consolation
si pleine qu'elle .se transforme en joie
qui surabonde, des visions de paradis,
et le pouvoir de Dieu appesanti sur ses
ennemis, telles sont ie.s fortes images
que nous méditons un instant. N'est-ce
pas admirable ce commentaire, pur l'Esprlt-Snint, dans un texte aussi ancien
que Rome même, des deux paroles de
.Sœur Thérèse : « Je veux passer mon
ciel à faire du bien sur la terre... Après
ma mort je ferai tomber une pluie de
roses » î Profonde sagesse de l'Eglise,
qui lire de son bon trésor des choses
anciennes et toujours nouvelles 1
L'Evnngile n'est pas celui des Vler(tes, des lampes allumées et du festin de
rEpoux, mais bien celui des petits enfants cl des humbles, ù qui seuls est
promise l'entrée du royaume : c'est
comme l'nmorce du développement, c'est
l'hvmne de l'abandon total, de la simplicité, de l'union sans déclin, qui va
tressaillir cl nous ravir jusqu'à In dernière oraison, jusqu'à l'adieu de la victime volontaire, héroïquement Adèle
dans les petites choses, et couronnée
sur terre couime au ciel.
Comme au ciel I... Pouvoir cl lumière
Indicibles, de l'Homme blanc qui ne
craint pas d'afllrmer et bientôt d'imnoser au monde ce mystère de l'au-delà,le sort éternel d'une ume, ce secret que
Dieu, jalousement, se réserve et que, pnr
la vole du miracle, 11 communique ù son
Vicaire, quand I I veut.
Après-midi
Le Salut du T.-S. Sacrement
Le Pape descend de la Sedia et s'a
«enouille nu fauteuil, au faldistorlo
comme on dit ici. Un prélat expose le
T. S. Sneremcnt, tandis que le chœur
chante l'O Salutaris, cette strophe que
Louis X I I I ordonnait d'offrir en suppii
cation pendant les « guerres hostiles >
oui remplirent son règne, et qui en est
devenue comme française. L'hymne
Jesu corona virpinum,
suave et "subs
tantielle, célèbre ù la fols l'Epoux des
Vierges et lu vierge Thérèse. Le Tanlum
suit, le Pape encense, et Mgr Lemonnier
donne avec l'ostensoir lu Bénédiction,
Quand je relève lu tête je vois des
robes brunes s'approcher du Pape. C'est
le T. R. P. Rodrigo et d'aufres Pères
Carmes qui viennent à l'Offrande. Ils
ire.sentent ù Pie XI, selon le rite, le rciquaire en métal doré, en forme de
haute nionstrance de style xvii* siècle,
u! contient une phnla'oge d'un doigt
e lu Bienheureuse : en outre, une image
sur soie de Sœur Thérèse, l'Histoire de
sa vie ortisteir.ent reliée, el la grande
gerbe de lleurs arlillcielles, due au talent précieux des Carmélites de SainteBrigitte.
Le Pape remonte sur la Sedia plus pûle
et Intensément recueilli. La garde palatine referme ses rangs el l'encadre. Le
cortège s'ébranle et traverse lentement,
lentement, la foule radieuse, qui acclume, qui ngite des mouchoirs. Les
trompettes d'argent reprennent la Marche triomphale de Sllverl. Les cloches
lancent leurs notes religieuses, graves
ou claires, harmonieusement. Et pendant
que la blanche vision s'amincit, s'estompe et peu à peu s'cfface et disparaît
dans un remous humain indescriptible,
les lumières continuent la Gloire de la
petite Sœur, encore un temps...
f
a
La Trnnstévèro et le Borgho sont
noirs de monde ; à pied, en curosse,
en auto, en calèche, tout Rome s'em-'
presse vers Saint-Pierre. Je me crois
pre.sque revenu aux fêtes de mal 1920:
sainte Marguerlte-Murle humblement effacée devant S. Gabriel de l'Addolorula,
suinte Jeanne d'Arc entraînant tous
comme par lu furln fruncese. Le temps
s'est écfnirci. Le soleil sulue enlln la
Bienheureuse,
5 heures, — La basilique n'olTre guère
de pluces vides. Je regagne, avec un
ami, la pince conunode que nous deC'est fini
vons à notre ainmble bl«nfaitrlce. Le
30 avril, malin. — En 1020, j'av;,!;: lOÛ!coup d'œll est fcéaique.
Les parois de marbre ont été recou- fert de voir le peu d'empressement des
vertes d'immenses tentures rouges bro- Itomains, même les plus nunlinés, ù oédées d'or. Aux balcons situés à droite Icbrcr notre Marguerite-Marie, déposiet tt gouche de la Confession pendont taire pourtant de lu révélutioli du Sacrédeux grands étendards représentant les Cœur... (il est vrai, à part La Minerve,
miracles do lu Bienheureuse approuvés lu TrInIté-des-Monts et Salnt-Joachim,
par lu Congrégation des Rites. D'abord, la dévotion au Sacré-Cœur ne m'a pas
Sœur Louise de Suint-Germain, des Fil- paru immcn.se dans la Ville Eternelle;
les de la Croix, guérlo instuntunément mais j'ai i)a.isé si peu de jours !) En red'un très grave ulcère de l'estomac, à vanche, j avais joiJÎ, et ma joie se mêlait de surprise, de constater la « popuforme hémorragique ; puis, l'abbé Char
les Anne, guéri de lo tuberculose aiguë, larité » de .leanne d'Arc dans toutes les
avec crachements de .sang, en période classes de la société. J'aurais cru la Pucavltnire. Enfln, au fond do, l'abside. celle plus .strictement française, et la
nu centre de la Gloire de Bernln, qui Visitandine au contraire plus mondiale.
surmonte la chaire de Saint-Pierre, ap- Cette fois,' j'admire l'unanime vénéraaralt le tableau sur lequel est flguree tion pour la Carmélite partout connue.
Ce n'est pas l'exultcnte allégresse des
Apothéose de Sœur Thérèse. Des mil- fêles de Jeunne d'Arc, c'est une pléniliers et des milliers de lampes électri- tude de joie recueillie. C'est comme une
ques Inondent de lumière le plafond présence divine plus proche de nous,
tout doré de la basilique et les saiiils et un sentiment de vie supérieure qui nous
saintes qui se dressent majestueusement envahit... .Te vous le dis bien m.il. Condans leurs niches, pour assister ù un cluez seulement a une aspiration génouveau triomphe de l'Eglise,
nérale vers la vie simple, confiante, paiM. Jonnnrt est revenu ; les nmliassn- sible, et donc sacrifiée, vers la « petite
deurs sont revenus ; et les princes et voie » que Pie X I déclare po.ssible et
les prlnce.sses (en vérité toute dame est facile à tous ; lu Bienheureuse Thérèse
prlnces.se et tout porte-soutune est Mon- nous l'a ouverte et son office nous le
signor ou Exccllenzu, dans cette Rome, redit : « Nisi efficiamiui
sicul
parvuli...
auguste depuis presque trois millé- si vous ne devenez pas pareils à de
naires, cl emprourpréc du sang des pelits entants, vous n'entrerez pas dans
nreux chrétiens depuis les jardins de le royaume des deux. »
Néron jusqu'au seuil do la Porta Pin...)
Sœur Thérèse nous y aidera. Elle poret les députés normands avec leur échar- tera
lu joie aux ûmes"lassées, le baume
1)6, el les offlclers de tout pays, avec aux cœurs saignants, la force nux humleurs décorotion.s, les unes sobres, les bles, le courage aux persécutés, le .seautres qui, pour mon goût de vieux
cours aux ouvriers apostoliques. Et
celte, exagèrent,,.
elle nvait voulu être missionDe la foule le Credo s'élève, grave et comme'
naire, comme elle était .sœur d'ûme de
lent. Ce n'est pas Lourdes ; ce n'est pas deux ini.s.sionnaires, je me rnppelie denotre Montmartre de février dernier,
ou Notre-Dume-de-Paris, dont les voû- vant su Gloire le rôle de la France, nates renvoyaient nos voix en nuppes har- tion apôtre, et je prie... Enfin, parce que
Courrier dans sa modeste sphere
monieuses. C'est beau cependant. Et ce notre
veut passer, comme Thérèse son ciel,
chant catholique, autour de la Confes- toute son existence ù faire du bien el à
sion de Saint-Pierre, au pied du pauvre répandre la vérité, mu prière suprême
fauteuil de bols d'où'U'ônselgne lo
dotfme nouveau aux pauvres gens de lo aux pieds de l'apôtre Pierre et dans les
parfums de la fête d'hier, c'est
Suburre et du Transtévèrc, ce chant li- ultimes
pour le Courrier et la famille du Courbérateur de l'Ame érigée vers les espé- rier que je la répands de toute mon Ame,
rances éternelles; ce Credo unanime est à genoux sur le marbre, près du tomprenant. Que peut bien en pen.scr M.
Jonnart, ennemi des religieux et des re- beau de Pie X, le Pape douloureux qui
prédit à la Fille ulnéc de l'Eglise des
ligieuses qui voudrnient enseigner nux 0
triomphes el lu paix...
netlts enfants de Fronce lo Credo do
H. ROUE
leurs pères, ol courtiaan d'un jour do
cette petite religieuse donl lo nom « mobilise I) un peuple, parce qu'elle a bien
pratiqué son Credo ?
P
Lt Papo pris la Blenhaureuss
Le Magnifical, un moment d'uttente...
Cinq heures et demie. Un remous. Toutes les tètes ao détourjienl do l'aulel el
de la Gloire. Un commandement bref
retentit ou fond do la basilique ; les
gardes présentent les armes : le papo va
cntref dans Sntnt-Pierre. Un triasoq
passe II travers la foule.
• Les trompettes d'orgent relentlsscritj
.sonnant la Marche triomphale do Sllverl.
On voit n'avancer las Suisses en magnifiques coBlumet du xvi' siècle. Immé.dlalomoixt après, le papo apparaît sur la
SetHa,, entouré paroles gardes nobles,
les pmoes.assIstai^Ts nu keull pontllloal et las membres de la cour pontlfl»
icale, .tous ravttua de laurà admirables
fOktutiW'H.anciens..A la- suftc, viennent
los^Kiata, «véqués, arehbyèques, vAlut
dê^ôla^..
M
' ' y a f l i m V a foudrtei da de «as signa*
jt
. ..
FETE
BRETOKHE
lastiivIioB M.-D. d u K n i s k e r
Depuis bien longtemps déjh la cause du
liroton ne connaissait plus qu'un petit
nombre de fldèteé amia el semblait dSollnor de plus en plus. Mais une Iieureuse
riSactlun, niie II y a quelques anndos, prend
aujourd'hui ua ImprcBslimnant développemont. Le collège de Salnt-Pol ne devait
pas y domeurer IndltTércnl et le « Krelsker », bulletin des anotena élèvea do l'Institution, annonçait, Il y a quatre mois, l'ouverturo do coura de breton au eoltège.
Mais dea cours, cela ressomblo fort aux
classes el nous avons eu mieux. Samedi
14 avril, héndanl l'étude du soir, lea eelllsants de rlnstUUllon N.-D. du Krelaker se
valent rire en, bre+«a,-«an» craindre le
' « Mvml)i>lc. •
,, Monsiiur le Supérieur, plnaloîrs profe»'
sours moiitnint une fols de plus I Ihti^riH
qu'ils |iar(«al au bruloo, , avalent l>ien
voulu assister à notre fiMi:. Car cix fut une
f i l o comme II n'en peut y avoir qu'on brc
ton.
La sranco oommoncà par lo ohant d'un
• o B n I i q i i o J ï - V l e i ^ 1, Pcger kaer eo
' Mamm
nt 10 irùf . la montre » dos porgonna(jos (11- la eomédlo. Ils avalent vrolmoiit
Doano mine sur l'avanl-r.eène, ce médecin
aux hliiooIcH d'or, ce Kolas, ce Jonnc paysan au foulard niultleoldre et suri oui ce
« TadiK li07. • naïf (i aoulialt dans son cosliiino il» pay.san do Saliit-Pol, onoadrant
I.oiil.K Ik-i'i'o .> qui nous (.lianla d'une
voU bien douoe, " Bozlt far
Au pi'oRramme no»is lisons « Krwunljf ar stiolaor
une lianaoui'nn au rvllnne li'-gor qui vante
la douceur dos vaoanoos-ot o(i .Icaii Tanguy
ont un
blon mi'iilO. Puis " Saouius,
Porn», sklorii»
: rion qu'à cnlondro ce
III10 on »o sont frissonner, et l'on devine
ilenli'-ci' oos grands mots lallns une vieille
lilHtoIre do sorolors: Vvos Messager, avec
Sun talent de contour déjà bien cunnu. nul
ou cspnsor, comme pas un, les diverses
pi'rlptflle.s. I,c succès de la •• rlmadell »
nionlra combien elle fut goOli'e do lous.
MaU arrivons au clou do la file, la représentai Ion de u Kolas niedisln ».
Il Pez o'Iioarl farsus •• avait-on annoncé.
Kst-co donc si comique que cola ce déplolenienl de misères humaines? Nos
cii'UI'.i cliai'llable.s n'auralenl-lls pas dû
élre ému« de compassion pour ce» inallieiiieux qui venaient demander h la
seloneo de soulager leurs maux'.' i;ii non!
paiiM'e
Tad koz! » le i. poan gov " de
voiro peill-llls cl voire désonpoir nous ont
fait bien rire, olloz; cl il oOt fallu que
vous eussiez blon des oa de lapin dans le
gosier pour retenir notre pillé, d Jeiinc
liomiue trop gourmand I Quand Ji vous,
disciple d'illppocrate, si dédaigneux de
voire langue, vous mérilioz les inoqnerles
de Kolas et les coups de b.'ilon de nos bretons. Von» mérlllez aussi, vous el les aiitrcii auteurs, les applandi.><sonienls si
nombreux quo vous avez recucllll.s tout le
long de la pièce. Nous élion.s venus pour
rire" et soyez-en Kûr.s nous avons ri noire
content. Tous, vous fnies parfaits de naturel, do aimpllcllé, do celle aisance, sans
apprêts qui, dil-on. est le trlomplie de
l'art. Il convient de dire cependant que
surloul notre ami Perron se surpassa
d ins lo rillo de Kolas, le liéros de la cumédle. Il sul faire valoir avec un vrai laleni,
une finesse el une vivacilé d'action remarquables, Jusqu'aux moindres détails de
son rôle qu'il incarnall à la perfection.
Pondant l'eniracle. Le Rue el l,e S.inn
donnèrent •• An daou Varz » le duo bien
connu, et Person entouré de pelils enfant
clianta d'une voix volonlairenicnl grave
mais douce « Doue deslicl d'ar vugale. »
Après le second acte de Kolas inodisin
le programme s'épuisail. On clianla on
clia-ur et debout le • Bro goz va Zadou
— les prières du soir, et chacun regagna
son étude.
Celte pollte séance, soua son app.irom
d'insouciante gallé. a son Importance. Klle
est une récompense et un encouragement
pour les eollégiens déjl si nombreux qui
ont su reconnaître l'ulilllé des cours de
breton: elle est aussi la marque bien manifeste du renouveau do notre vieille lan
guo; elle doit Cire le poini do départ d'un
mouvement plus vaste, plus vigoureux encore ver» l'élude et la propagation du
breton.
Diwar c'boari, koleiin » dll-on.
Que les esprits sérieux rénéclilsseni. Us
ont vu 00 que l'on peut faire en breton, i
suffit de le vouloir; Us comnreiidroiil touU
l'importance qu'il faut altaciier !i cetto
belle langue; ils auront i co-ur de la mieux
connallrf. pour l'aimer davantage et la
faire aimer autour d'eux, aidant ainsi à
son magnillque essor.
Et nous pourrons chanter alors avec le
Barde:
Mard'eobel trec'liol Brolz ep brczelliou bra
Ile voz a zo bepred kon beo ha biskoaz
Ile c halun blrvldlk a lanmi e'hoaz 'a lie c'iirciz
Iilliunet oui breman va Breiz!
Eiir mignon d'ar « f u i » .
MrteVnMtiMx, d'tme Ugne ft haute 'k«HMk
destin^ à compléler-ct 4 améliorer l'ail
mentatloB eti énergie élcclrlque de- te. dite
ligne; réaliser» une écontuulc spliréeiablc
de courant et rendra inutile la station de
secours do Ponl-Ilohel.
La liquidation de ia m.ijeure partie de la
station de secours sera assurée par la
Compagnie des cliomins do fer dcparle• mentaux, en vue de fournir foppolol néce.ssah* pour les travaux d'étal)Us»emont
de la ligne k haute tension.
I.c Conseil géiii'ial délègue ses pouvoirs
.1 la commission di'partcmentale qui accep^ r a les offres les plus avontagcuses au fur
el ù mesure qu'elles so produiront.
Ohemlnt
do
Ter d'Intérêt
iooat.
—
A
A m dtpaiteiM
de Brest
Extuen pour le eoncour» d'»dmi»»iM d» i M I
L'exan.en pour lo concours d'admission eu
IWJ an cours déparlemenlal d'aocouoheuiont aura lieu, le veadrcdl 13 Juillet i»ï)
4 l'éeole iJUbllqiie des garçons de la ru»
.Moiige, à llpesl, h 10 lieiires.
Toiile demande de candidalure devra êtr,)
adressée h M. le Sous-Préfet de Brest, avant
le 1" Juin, et être appuyée dos pièces suivantes :
1" l ue demande d'inscription sur timbre:
2" l'acte de naissance sur timbre ; 3* Si ! i
candiitat'e est mineure, non mariée, cite devra produire i'autorisalioii do son père, mtru
ou lutcur ; 4* Si elle est mariée et non séparée de corps, l'autorisation de son mari
el son actn do mariage ; 5- En cas do sépa.
ration de c.irps, l'extrait du Jugement pass'':
en force de chose Jugée ; C» En cas de dissolution de mariage, l'aele de déeès du mari
ou l'iicle contenant le divorce ; 7* l'n cer
lilleal de vaccine : R" l'n cortiflcat de bonne
vie el mo'tirs : 9" l'n extrait du casier judiciaire ; 10* l'n engagenioiit sur timbre d,'
s'établir pi-ndaiil clnii uns dans une localil 'du déparlomeni du rinislère dépourvue d'sagi'-fi'mmo, sous peine de reml>our.ser au
déiwrlenient les frais d'éludos ; 11» L'n cor.
tllfcat niéiliciit indiquant nolammont que
candidiile n'i'sl
atteiiilo d'aucune lare
organique ni mal.idie conlagioiisc.
Les candidates pourvue» du brevet de
capacité élémentaire sont dispensées de subir l'examen i)our le concours d'admissim
aux bourses. Elles deviiint, néanmoins, produire Ji's pi"ces énumérées ci-dessus, e»
mémo temps que leur brevet de capacité.
propos du projet de résolution du 22 seplemure relalif à la mise A voie )iunn:ilf
des lignes Douarnenez-Audierne, l'ontr.Nbbé-Saint-Ouénolé. el Plouiwat-SaintPiil, la compagnie P. 0. maintieni son i-efus d" participer aux dépenses ! prévoir
pour la ligne Doua^;onez-.Ûllicrn
Kn ce qui concerne les lignes départe
mentales aubouli.^sanl à un r''se,iu de l'Etat, M. le ministre des Travaux publies enIri'voll, l'amélioration des transinMts dans
l'ilablisseiMent, par la compagni'j des cliomins de fer déparlomentaux, d'IioiMires
oITranl une correspondance iimnéiilnle aux
gare» de Jnnctlon avec le train de marée
allant h Paris.
M. le ministre ajoute que l'affaire Inléro.ssanl le déiiartenirnl, il appartient au
conseil fénérai de décider s'il entend
dnnner suite ot de suiip'jrter toute la
cliarge des travaux.
•M. i'ingéni 'Ur oi'.linairo Crépin, dans un
rapporl très d.'taill'-, conclut:
1' Au rejet de i;i remise ;i vol normale
des lignes envisagées en r.iison des l'hargi's linancièrcs (iiie comporte c llo modilication;
2"
l'adoption de lanks Iransportours
sur les dites lignes en comnieni,anl par
Concariioau ot par Dou.irnenoz-AudiiTne.
Le eunseil général estime qu'il v a lieu
de poursuivre la transformaH'in dos lignes
A'oire (o'fe une Mires ('tant r/serate excluon voie normale en Insistant pour leur in- siifiiieiit
ù iio,t Ifclenrs, il n'eut riipondii qu»
cor|ioralion dans les programmes des fiarla voie
du yiiintul, et sailemeiit auz corgrandes lignes du P. 0 et de l'Llal.
respnniltnln 'lui joijiieiit
1 I r . pour eftaou»
Servie»» public* automobllo*. —
Los qucilio)) posée.
conseils municipaux de i.ocunolé, (.lucrrien
827. — Si votre femme a ofrootué tes
cl Tréinéven ont deinatidé la créai ion d'un
ciriquièmes au moins des verseinonls
service automobile entre Quiiiiuerlc et l.c trois
auxquels elle était tenue, ses enfants d'j
l'aouH.
moins de .seize ans jieuvenl obtenir une
L'iliiiéralro comprend 23 km. 100, donl allocation donl i'imporUince varie suivant
8 kilomètres dans le Morbilian, et le ser- leur nombre. Adressez-vous 4 la mairie,
vice comporterait un voyage par Joii- duns avec h carte amiuelle cl la carte d'idciieliani;i' sens et, deux vov.igos quotidiens lilé de h défunt".
iiindanl in saison d'été au tarif de 0 fr. 20
Petit patron. — Vous ne prêteriez pas
le kilomètre.
4 ce taux; vous ne trouverez pas non plus
La suhvenllon i accorder serait de 8.000 4 ce taux, 4 moins que, étant cultivateur,
ou fi.ono francs, suivant quo i"s véliieiile» vous n'ayez à emprunter pour acquérir ou
seraient montés sur pneumatiques ou ban- aménager uno pelite proprii'té rurale. Audages; la quote-part du l'InTstére serait, quel cas vous pourriez essayer on vous
suivant le cas, de 5.200 francs ou de adressant 4 la Caisse régionale de crédit
3.SI00 francs.
mutuel agricole, Quimper, .subvontiounée
La ligne automobile projetée devant des- par l'Etat.
servir une région d'environ 12.000 habiCoaquer. — .l'ai di'j4 écrit 4 votre flls
tants dépourvue de moyens rapides de qu'il
est dans les conilitions voulues pour
communicallons cl on relations tréqiienles être libéré
au bout d'un an de service,
avec Quimperlé, le conseil général:
comme flt» ainé, bien qu'il ait des sœur"
Décide le principe de raffcclatian d'un" plus 4gées.
subvention au service publie projeté cl
Leetcur ataldu. — Il so peut que votre
donne iiiimdat .1 la commission départemoniale pour fixer la somme et approuver militaire ait bénéllcié d'une mesure de
la convention à Intervenir entre le Uépar- bienveillance; mais ce serait InsufOsant
pour obtenir l'alloeatlon demandée. La questenient et le concessionnaire.
tion est celle-ci: le frère était-il soutien
— Un contrôle va être él.ibli pour l'arri- indl«pen»abl» 7 L'enquête a répondu non.
véo des autobus en gare de Qi/im/iT. Tant que vous ne ferez pas admettre que la
l'ne pénalité sera infligée pour tout retard mobilisation du frère a privé la famille
dépassant 20 minutes sur l'iioralre ap- d'une assistance ou de ressources qui lui
prouvé.
sont indispensables, rien k espérer. Et ce
— Pour un scnico entre Iluelgoat-vllle milllaire n'est pas dans le cas de passer
et Iluelgoat-gare. le Conseil propose une avec un an de service: pas flls aîné d'une
suiivention départementale de 2.000 fr.
famille de cinq enfants, pas même de 1*
— Lo senice hebdoni'idairi' Piounéour- classe 22.
.Ménez sur Landivisiau-Morlaix et HuelBreli. — t'n partage entre majeur.?
goat. qui ne rend pas, sera supprimé, et
remplacé le Jeudi, par une second voyage peut f'Iro fait par acte sous signatures privées; mais une donation doit être passée
sur Morlaix.
— t'ii service public étant instamment devant notaire.
Vieil abonni. — Du moment qu'il y a un
ré.'lamé onire .\udlerne ol Plogoff, le conseil général alloue une subvention de conirat, il fait la loi des parties; le nou5.500 francs i compter du 1 " avril 1923. veau propriétaire de A est engagé par la ït
signature de l'ancien.
Travaux maritime». — Le ConBoil so
d.'elare disposé à contribuer aux dépenses
de construclion d'un brise-lame !i Kéritv et
à Salnt-Guénolé (littoral de feniiiarr/,).
Les frais seront considérables. A ce sujet M. Louppe observe qu'un effort en faveur des port» de pèche est i prévoir pour
la session prochaine, cl que la nécessité
s'impose d'établir un programme des travaux 4 exécuter suivant un ordre de priorité par l'urgcnce ol l'importance.
Un altondani, le conseil accorde 7.000 fr.
p'iiir b'B travaux de déroclages dans les
Résumé des principales
poris de Korlly, Saint-Pierre et Sainl-Uucquestions traitées. nolé (Ponmarch).
— Lo Conseil accorde en oulro : 127.555 fr.
Pasaagea à nlvtau. — C jmme suite ft pour rainéiloration du porl de c'oiic.Ti'iica».
—
25.000 fr. pour le porl de noscofl, —
i'3 délibérations antérieures M. l'ing.inleur
29.000 fr. pour un chemin d'accès au porl.
Il ciicf du contrôle a établi im lirogi'aiiini
les passage
d» Drigneau {Mo-hniJ. — 30.000 fr. pour
uur lo dégagement des
consolidation du sillon de Sainte-.Vnno (en
niveau des cliemln» de fer dép.irtemei
Kl il s'engage à conaux, on le limlUinl aux chemins de grand'; sîiitl-Poi-dr-Là.n.
tribuer. pour un quart, à la dépense de
omniunication.
BREST
1.0 conseil générât adopte le rirogramm.-». construclion d'un mole sur la .. Pierre
au Hnuiivel. 11 ajoute 10.000 fr.
qui sera exécuté en deux Iranclies, et qui Glissante
Un enfant ég;aré
_
eutralnei'a une dépense lolale de 150.000 fr, .aux 15.000 dé|J votés pour la construcLos époux Lo Bol, d'iiuelgoat, éUlent vel'remtiM-if Iranclie, 'lâ passages. HO.OOO fr.; tion d'une cale à Moulin-.'i-Mcr, on I.o- ni'.s
snmeiti 4 Brest pour rendre visite 4 de»
deuxième Iranelie, .'ta passages. 70.000 f r „ gnniia-Dacvh':.
parents. Dans le courant de l'après-midi
soit une moyenne do '.'.000 fr. par passage.
Aoricultur».
—
La subvention do .Mme Le Bot. accompagnée do son tlls. CharHappelons quo dan» sa session précé- 13.000 francs recevoir de l'Ktat par l'Of- les, 4pé de 3 ans et demi, était allée faire
dente le oonaell avait déj'i volé un crédit fice agricole départemenlal pour b's .•tsio- des emplettes dans quelqui» magasins.
de aO.OOO fr. pour la sigiialisaLion d"5 pas- c'i.ih'oiiK ai/i'i 'o/.'.sesl réjiai'lie comme suit : Etant enlréi' ciiez un marchand de tissus
sages à niveau et la pose de conlro-rails.
Société d'agricuitui'c de Hrest, 2.950 fr,; de la rue Jean-.lauri''S, elle ne tarda pas 4
Morlaix. 2.950 francs; de nuimii"!', s'aiiercevoir d,' la disparition de son enfant.
Volsa de oommunleatlon. — I.e conseil, de
2.950 francs; de yuimperié. 1,200 traues; t;'est en V.iin que l'on cln'rclia l'enfant dan»
I», vole un crédit supplémentaire de do
CllAtcaulIn,
950 frjii.'s: .Vssocialioii am'i- li'S environs immédiats ; ot la mère, toute
Vi.fi25 fr, pour remellre en élut les cliede Carhaiv. 2.000 fran.'s.
désolée, dut, se résliiner 4 conter sa mémiiis de grande communication aux abords cole
—
l'n
concours
de la c.ice p/'e-ooi'i'e s ivenlure au commissaire de police. Celuide .âlnt-Pol-de-l,éon: cliemin n" 10, devant avoir lieu dans
le
dépar!"i;ient
en
ci
lit aussitôt olTi'clU''r des recherches, mais
H.:.!.') fr.; cliemln n- 05, 0.050 fr.: che- 1923, le conseil général accorde une suoc'est seulement dans la soirée que le gamin n* •;5, 14.000 fr.; — 2°, décide le pro- ventlon
do
5.000
francs.
min
fui retrouvé par une de ses tantes ; Il
longement dos alignemenla du chemin n" 13
— Le conseil général a consacré une sub- errait 4 l'aventure, s'amnsant 4 regarder le»
dans la traversée du bourg de Oouesno'j; v.^nllon
de
1.800
francs
pour
le
fondioi,.
— 3°, donne son approbation .1 la fixation neinent de cours post-scolaires «^r/cofe.* Viirlnes des magasins, inconscient du tenip»
les nllgnenients du chemin n' 3'.' entre io pour Jeunos gens ol Jeunes niles, qiil n'ont et inconscient dé tout duiger.
lourg lie Kerreuiileun et b . Croix des été organisés Jusqu'ici cfni'ac.;niunt qu','
A u Conseil de Guerre Maritime
l.irdlens; — W, vote 10.000 pour l'é- dans six écoles du déparlemont.
Les matelots sans sp.Vi.ilité .Malgorn Yves
lirglssement du chemin n- 10 ,au pas.sage
En
vue
d'obtenir
de
meilleu.'S
résultats,
e!
Ki
rmarrec Jean, du 'i' DépOt des Eqnipa(lu ruishcau de Toul-ar-Bleiz, eu Quimperlé; il conviendrait d'ouvrir un l oneoiirs d,'
i', vole 15.000 fr. pour l'élargissement du premier degré dans les cantons, el du sc- g,'9 (le la flotte 4 Hr.sl, sont prévenus : le
piumier, d'aliandon do poste, do bris d'arliemin n» 33 dans la traver.sé,e du Helccqdegré dans farrondissement. cnlre me» et d'enets (réquipemont ; le deuxième,
Kerhuon; — G", vote 2.000 fr. pour recti- cii.'id
élèves de eiiaque CMIIIOU
d'abandon de poste simplement.
lleatlon du chemin n" 45 ù l'entrée du lesA meilleurs
d'os.sai, ces concours seraient lil'-lanl de garde au poste militaire de I.anbourg de Plouven, et 4.000 fr. pour l'é- mitéstitre
aux arrondissements de CHiimner cl ninon, le 4 mars i9-M, ces doux matelot»
largissement du même cliOmin à I» Croix de Quimperlé.
L'oftlco
agricole
deparlele Kerbirion; —
accorde 6.700 fr. pour menlale a atTeclé 2.000 francs à col ob- onl abandomié le posle de garde de 19 h. 45
à 21 h. 30 pour aller boire dans les dfljils
roclincation d'un lournanl brusque du clie- jet;
lo conseil général ajoule 1000 Ir. do do Lanninon. IJe plus. Malgorn abandonna sa
riiln n" 02 au Pontigou. en Penhars; — son cOté.
faction vers mlnuil étant on ét.at d'ivresse
S', accorde 2.000 fr. pour reclKlcatlon du
(A suivre).
cl simulant .avoir été l'objet d'une ogressloo,
chemin n' 2 ii Hrénanvcc, el 5.800 fr. pour
aprî» avoir brisé son fusil, faussé .son épéereetitlcatlon du chemin n» 44 a aux abords
bai'innelte cl lacéré son porle-épéo.
le Poulaniul; — 9°, vole 2.000 fr. pour
.Malgorn a été condamne 4 5 mois de pripartlcipalion à l'élargissement du chemin
.soii, rappri'iiti marin Kervarrcc 4 30 jours
- 11 dans la traversée de Plounéour-Méde cachoL
nez; — 10°. accorde 0.300 fr. pour canlEn vue de ne pis imposer aux sursitaioaux pavés sur le chemin n" f7 dans la
Vol d'effets
Iravorsee de Landeleau; — 11" décide res des classes l'.'iO el 1921 provenant, des
de 3- classe, Fagot François,
Il
anolons engagés pour la durée do la duL"2-matelot
lue la largeur des cliomins 55 et 55 a'
Dép^)|
des
Eijuipagcs de la Flotte »
1 presqu'île de Crozon) sera portée ù guerre dos obligations d'activité d'une du- H:i'st. est prévenu de vente d'effets entrant
12 mètres, et vote 32.000 fr. pour les tra- rée supérleiire ii celles prévues pour les dans la composition du sac. Le 11 févrioi
sursitaires des mêmes classes pronuis ofvaux d'amélioration les plus urgents.
lloiers ou sous-oflleiers, par appiicalion d.-s l'.'î3 il vendit 4 un lirocanleur de Paris mais
— Les communes cl-après désignée.? sont arllclos 32 à 37 de la loi du 1" avril l'Ji:! ili'iiieuré ineoniiu. line certaine quantité d'efaulorlsé,;s îl prélover sur leurs nreslnliotia sur le recruloni"nl de rarnice, le minisli-e leis entrant dans lu composition de son sac,
icinales les sommes ci-après destinées à de la Guerre a décidé que les intéressés n' Ianihient : un paletot de drap, doux panenlrclien des eiieinlns ruraux: Bolsorhel, seront renvoyés d/ms leurs fovers après talons en draii, quatre pantalons en toile,
50 fr.: Gulpavas, 1.020 fr.; Ouissény, dix-hull mois de service et immédialoiiienl une cbeniise. un gilet de laine, un grand
.020 fr.; Henvic, 800 fr.; I.anrlvoaré, adeclés dans la di.sponibilIté pour passT, sac en toile, deux bonnets, deux paires de
10 fr.; Salnt-Uivy, 480 fr.; Saint-Renan, le moment vomi, dans la première rOserve brodeiiuiiis, elc...
I.e nialeloi Kagot a été condamné à 6
I.110 fr.; Tréglonou, 558 fr.; Plouégat- avec leur, classe d'.1ge.
Movsan, 500 fr.; Guorlosquin, 000 fr.
Ces dispositions s'appliquent ég.ilemenl mois de prison avec sursis.
— La diminution du prix de l'essence et la aux
Des transatlantiques k Brest
anciens engagés volontaire» pour la duconsommallon très réuuito des motocyclet- rée de
guerre (classe» 19;>0 et 1921,1, qui
Ce ne seront pas hélas! de» navire»
tes légèrjs acluellemont mises çn vente ont été la
admis
à
contracter
rengagement
spépermelti'ht la réduction du tarif approuvé cial prévu par la circulaire minlstcrielle français, ce seront des anglais, ceux de la
Itoyal .Mail Sleam Packet; compagnie qui
par le conseil général dans sa séance du
a décidé que, 4 partir du 14 juillet pro7 soplombre 1920, pour tes ajenis voyers -n 8.9® du 9 Juillet 1920.
chain, ses paquebots allant do LIvorpool
Kn conséquence, le conseil général:
on Amérique du Sud, feront escale & Brest,
1° Fixe, ?i partir du 1 " Hilllet 1923,
doux fols par mois.
.
u taux de 0 fr. 20 par kilométré l'indemnité à allouer aux agents voyors utilisant
les motocvcletles pour le service;
(Loi du SO "lai-j
tmj
Bourg-Blanc
2" Dédite que Vlndomnlté annuelle de
Article unique. — Los minlina ot maxlma
Accident mortel
;00 francs s'ajoutera ft la précédente lors- des coefnclents applicables 4 la valeur ioLe 27 avril, vers 5 heures du soir, M.
|uo le trajet paroouni dans l'année sera oallve des terres exploitées, pour la déterIb'rvé
Lo
Most,
cliaulTeur au service de M.
?gal ou supérieur i 1,500 kilomètres.
mination du bénéfice devant servir de base
Chemins de fer départementaux. — 4 l'impOt sur les bénéilees de l'explotlallon Ploiié, camionneur 4 Brest, arrivait 4 proxiI'".n vue d'améliorer les conditions de char- agricole établi au titre de l'année 1923, sont mité du Bourg-Blanc avec un camion-automobile chargé de inareliandisos qui devaient
gement des wagons transporlnnt des aci- llxés aux chiffres ci-après :
des et engrais marins do la grève doA'oin'c
Terres : cocfllclent minimum, 0.50 ; coof- être livrées dans la région. On no sait pour
quelle cause ni comment Le Most tomba
sur les gares de la région de Iândivlsiau noient maximum, 1.50.
el de SIzun, Il y a Heu de procéiler l'i la
Prés et prairies naturels, herbages ot p4- soudain de son siège sur la route. Le comlU'olongallon de la chaussée d'accès et du luragos : coenieleiit niiniimnn, 0,75
coef- mis-livreur Caradec, qui se trouvait dans le
eanilnn, n'eut que le temps de bloquer les
chargement el de prévoir son raccordement llclefii maximum, 3.
iri'ins. puis il se précipita au secours de
vers le nord avec la grève.
N'ergers ol ciiltiiivs fruitières d'arbres cl son
Ilélas I Le Mest gisait inaLo conseil général vote 15.000 francs arbustes : cocfllclent miniinuin, i ; coefl!- nimécamarade.
sur la route, la colonne vertébrale
pour réaliser ce projet.
cient maximum. 4.
brisée.
— Le conseil général :
Vignes : cooftlcient ndnlinum, 0,75 ; coefLa gi ndarmcrio de Plabenneo a ouvert un»
1" neclitle la décision prise par la com- flcicnt maximum, 4.
mission départementale dans sa séance du
Bols industriels, aiiinalos, saussaies, oso- enquête.
17 Jonvicr 1923. au sujet de l'acquisition ralea : ccefflclenl minimum, 1 ; coofllclent
Dirinon
de trois nouvelles auto-niolricc^
à es- maximum,
Tragique accident de voiture
sence, dont la mise on sorvioe déduira noTerrains 4 bStir, landes, pJlls, bruvèros.
Inbloment tes frais d'exploitation:
marais, terres vaine» cl vague» : coefficient
Dans la soirée du 2G avril, M. Tremolln,
2" Décide que la dépense do 102.000 fr. minimum, 1 ; coofllclent maximum, 1,'25.
maire de Dirinon, vit arriver en face de sa
. nsécutlve i cette acquisition sera préleLacs, étangs, ni|0'es, abreuvoirs, fontai- dcni.'urc «n cheval 4 moitié détiarnaclié.
vée sur lo solde do 450.000 francs figu- nes, Ole : coofOeient minimum, 1 ; coofll- Pressentant un accident 11 courut dans la
rant au chapitre 28 des dépenses du bud- clent maximum, 1,25.
direction d'où venait l'animal, et II ne tarda
ge t do 1023, du cautionnement de
Jardins autres quo les Jardins d'.agrémont lias, on offol, 4 trouver, sur la route, un»
80
BOo.OOO francs fi verser au département ol lorrains affeclés 4 la cullni'e mar.atehère, voiture renversée dans lo fossé. Un
par la Clompagnic des chemins do fer dé- lloralo et d'ornomontalion. pépinières : coef- poteau télégraphique, arraché, glaalt au
partcniontaux.
llcient minimum, 2 ; coofllolcnt maximum 4. travers de la route, et non loin, un homme
— Un crédit do 7.350 fr.anos est alloué
Terrains d'agrément, parcs. Jardins, piè- était étendu, ralde mort. La victime de cet
pour rétabllssomonl de passages cimentés ces d'eau : coefllclont minimum, 1 ; coefll- accident oat M. Jcan-Doula Pédel, demeurant
sur les quais découverts de la ijare com- clcnt maximum, 1,25.
4 Guégulne, on Dirinon. Agé de 24 an».
mune de Saint-Pot et la modilleallon do
Pédol était marié depuis deux mois seulela rampe d'accès duôiiol. côté Morlalx.
ment.
• —En
application
de
cotte
loi,
les
cœfprUmti
— Une autre somme de 30.000 francs est
L'accident n'a eu aucun témoin.
été /ixfi comme suit pour la région do
votée pour l'établissement d'uno troisième ont
l'Ouetl,
donl
fait
partie
le
Finitlire
:
vole 4 la gare do Plotigoulm.
— A partir du 1" Juillet 192,'», le demiTerre», 1 fr. 25 ; — pré» et prairies naluMutu*ll»-Oh»Mllnt
tarif sera accordé, aur les chemins de fer
îlles, herbages et pJtiiraftos, 2 fr. 50 ; —
départementaux hu* mulilii
et riforméi verger» el cultures fruitières, d'arbre» cl
Nous croyon» intéresser les oombrSus
de 40 0/0.
lecteur»
du
» Courrier • CB pubUaM le»
d'arbustes. 3 fr. ; — jardina autres que les
Le conseil adresse ses remorcloments Jardins d'agrément, terrain» affectés i la renseignement» el-aprè» exltalU du compta
à t* Compagnie qui, aans rien demander culture maratehèro, florale ou d'ornement, rendu de i» gestion du Bureau pour l'auau département, accorde le transport gra- péptnKres, * fr. ; — bol» industriel», «ul- nâ« i t a .
tuit k la personne accompagnant le mutité nalea. «sussalM, oteryle», î fr. ; - lerrtlns
Nombre de membres ptrlletpaato: ! 4 8 :
d« lOd 0/0 incapable de se conduire seul.,
noBbre de t h e n u x a s m r Â ; « 0 1 ; ««leur
TNUKwty* «UMlrlqttM d* Bi««t au Oen<
dea chevaux »»»ur<«: i . O i l . f W ftMet%
[Mt.
Lt oonstruoMon, t l'aide du otil*
BOITE AUX LETTRES
b
Au Conseil Généra
Les sursitairesjes G l H 20 et 21
Bénéfices de l'exploitation agricole
Guipavas
tOfttptgSM vei ctwfluni w
iw
^
COUBRiÉR Dtl PINISTÊRE
•0,114 trt éftl.iMtlMllMtii dM iimmliroN lio.fiM«lr«.. « o n t r . r o r â u » (•-«aktfe, m
rr.;
imÂtu .tn i blllntii «to
0. N.. i(7(i fr. —
ITituiU
ri<. »U.
B'agissult de sulplde ou de crime, L'eaPloudalittîoaw
11'
Plomodiern
qufte
s'»'
.
^ Otant peursulvk' depuis, les moUfotr»'
Obaéduas
glstrats ont Jugé lion de niettre en Otnt
, I<a foire do mal ne pouvant avoir lieu
Le m.-irdl, 1 " mal, A 10 heures, ont eu d'arrestallon la femme el la tille du délo lundi do ta l'onlocôlo, Jour filrltf, »o lieu les otisOqueH de M. ,1. Le Iioaré, no funt. Utles ont Ole trinsfOrOcs toutes deux
l'cilo» (>nioiivi)c«; !» clicvaux d'iino vn- tlundra exeeptlonncllcmenl lo lundi prioi!- taire,
dOeOdi! fe 28 avril dans sa 00» annOe. A la maison d airOt de Uuimpcr. On croit
Iniir
<l" iM.IOn fr.; iiumMiit ili>> doiit 14 mal.
lin grand nombre do parents et d'iimis donc A un erliiic plul«l qu'à un sulcldo.
iihtnniiiii. H fi "1 o'o, s;i.;iïr. rr. : a (Ii>L'onquOto continue.
avalent
tenu A suivre le corttgc funi-bre
4tnlr«: \.il«iii' liun •UHiuiilltivt, S.liiO Tr.; Inl*loii{{oiivclin
A t«l point que l'OgHso se trouva trop po
' «luuliii '- p:iyi>Ba miV iilHlMlr<«». ïl.r.ijri fr.;
(iiiil'vinec
tite
pour
contenir
l'«ssl»tunpe.
Cela
monêifeetatlM
d'un
votaur
ilr.Vit (l ' Ni'i i'lliin, 'l lmpmmlim PI dViilmliil!'Usine oambriolé»
tro asspn la sympatlilP dont >talt pntoui tf
iMll.ni, is^ IV, «n, — Tulil lU'i.
U
;
,Tonn Te llorKnt!, Journalier, 50 ans, pf- M. Lo lloarO. Noialrp depnU 1808. M. Le
lies Inconnus se sont Inlrodiilts pendant
Sl.Ki'i!! 11'. (10.
mUrnlt dlmanelie dernier dans une grango DoarO avait l'IO malPn pendant plusieurs
la nuit dans les bureaux de l'usine Kloni.
Jiiiiiiii.it iui ai ii.'i'cnihi'o insî; r.rii rr,:a. di'pendant de l,i ferme de M. OtfliJbart et y annOes et conseiller d'arrondissement.
Ils s'attaquèrent d'abord au coffre-fort,
dôriilialt
un
pant,Uan
apparteiiiint
\
uu
dol,Hli' ili'M Hd.'IOliili'c» qui util i^proiivi'
Nous prions lu famille d'agrOer no» plus mais ne purent rOiissIr A l'ouvrir. Ils fouilj,,„
iivi.,, inilli'iilldn (lu iiiodlanl ik-a niiiiitliiue de la ferme. ArrOtiJ lundi par les slnoùtes condoIOanees.
lèrent «lors tous les tiroirs, et durent s'en
Rendnrmes, Le lioigno a 010 conduit &
liiiliMiiiiii' Il l'iix Piiyt'cK ;
aller, n'emporlant qu'une somme inslgnlRoHcnnvol
1.
Tnnii.f.in, «ao fi'.;.*, Konn.irrcc, lireat et OcruuO au Uiiuguen.
nanto.
l.nnni», l.:<ou fr. : il. I.Hiirpiit, IMnimMcn,
Outrages
Goncsnnc'h
Hja fr.; 4. 'rrn)ii(>(>, iiiiii'ii».o, :>•!:> fi-.:
Plotiinogucr
Pour
nulragcs
au
maire
dans
l'exercice
l''MliUv.'n, fiHfi fr.! 0. KIM'.|O;III,
Un noyé
Ooupe da goémon
de ses fonellons, COlIne-Marle Raliuaud,
XiTlil.'iiimiij, H8!i ti'.i 1. IloyiT, Kor|,>«ii'>n,
Lo 25 avril dernier, dans le courant de
l.mri fr : H, Lu Hiiii*. Kornlwiti, KIO fi'.;
La coupe do «nOnion do rive sur le lit- veuvo Sabatlpr, 3'7 ans, propvlOl.iIre A Ros», Mor\un, Koruiiluz. »»ri fr.; lU. I.i'ity. toral de l'IoumoKiier KC termliuira le 10 canvel, u 010 pondainnOe A r>l) francs d'a- l'aprAs-mldl, on a retlrO de l'Odct, au lieu
Jiicqilci Kcriilîi, •-'«ri fr.: I I . l'crrol. Ki>- Juillet in23. Le KoOiimn pourra Otre urni- mpndp par le tribunal correctionnel de CliA- dit Porzmclllou, le cad.ivrc d'Alain Vergos,
commerçant rue iiialnl-l'rançois, ù Ouim• Tl«(IU«l'H, HH:I FR.: LÏ. CRI'IIN, SnUit-lluilmi, vliil i\ la mnlo ou ruupO avee fauollles ou teauliu
per. Vergos était tomliO A l'eau acii''.'i'U'i'681 fr.; in. Ki'iildiiciirr. Ki-rtl.il W'H, pouleaux, La coupe n'est aiilorLiOo que du
Trfgarvan
loment.
d.»8r. fr.; 14. i:.rlln, UiMiir.'iinH, rilO fr. ; lever au emielier du soleil. <I est formelleAprèa boira
1)11 isuM', Korivlll, JSri fr.; 10. l'aM", Ko- nipnt Interdit de rimaHser If goOmon Opave
l i e (le S o i n
rlvln, l.iHS fi'.! n . Oiil.tliiin". liDuri;, pendant le cours de la nuit.
Le 12 fOvrler dernier, Jour.dps gras, Les communications avec le contlnriit
îmn fr.! 18. iii'H, Kwiimicn, H>»:i fr. :
MM. Jean-Marie Arwl, François nU'Iiarrt, sept Jpunps gens de DInOaiilt s'Otalent mis
4». Mllln, KimvII.m". MO fr.; XO. (;.iim, Pt Yves Kervran sont noinnu's garde-goO- dans la lOte d'aller s'amuser A TrOgarvan.
M. .Inan .Indé, député ot conseiller généKorvlv.ir 'II, HSli fl'.; 21: !.(> (l;ill. l\«Til;(l;il'!«, mnnnlpra PI chargOs de la survelll.inoc de AprOa avoir pas mal dansO et bu plus en- ral du ooiiton do l'out-Crolx, vient do rececore de bolOps, les Jeunes gens s'en reve- voir la leltre suivante de M. le sous-secrél.!i;iri n . ; '.iS. Muniiu, Korvoni.
fr.; toute la ciMe.
,
naient ver.s leur domicile (|uanil, en che- luiro d'i'^tal de la uiariiio marchande :
J3. 1,0 Kl,UN, KPlIvuul, I.IIO fr.; 31. liiamin, ils renconlri'rent OuOnolO Capitaine.
«uon, IIuhI'h; Ô fr.; St», l,c Moy, SI-NIço••lountfoiir-Trcz
Celul-el revenait de son Ir.ivall. Sans avoir
fuM, rifCi fl'.! 211. i-.ronn. KorcHlIo. lUIlt) fr.;
J'ai l'/ionucui- ilo voua iixforiiu'r quo je suis
Vol
d'un
veau
OtO
nilllempnt provoqm's les Jpiini's pcns (/iiposp comme coiis le (lemamlez, à appor| 7 . l'iMiimni. Cosfuu'rou, 810 fl'.; '«'!». Kt'l'niJiH, Hoiiv, i;)r> fr.
.
, ,
Dans la ault du 24 au
avril, «n mal- se mirent A brulallser Capitaine. Trois d'en- ter A fappliaitinn du d^xrel du 'JO janrier
Nout r.iipfinni iiiii> K'S oxpori»
la faïkiiir s'esf Intnidull dans la ferme do M. tre eux ont 010 reconnus coupables par lo Vj'iH iiisliluniil le JJCDIUS de conduire, tous
TJORL.IPI
MM, IVLILW, UoiirK! UNNI-I.', Bllian-l'oudee, A KerlireMlaouen, cl y a di<- tribunal correcllonnel de- Cliileaulln Une les mèuageiiieiilK nécessaires, a/iii que ne
Ki'ivn n. .lacoliil, I.iiniimi: (Inlln.
Ii'in, rutiO un venu. Le fermier Ovalup k 'i25 fr. amende do 25 franc a OtO InlllgOe A clia- soient uns eniriwées les coiiiiiiimic.iliotis
cun d'eux.
Korv:)»: i;nllii, Kody; Uouditul. K'T.IIUIV; 10 priijudlee qui lui est ainsi causi».
entre rfli! de !<ein el le conlinenl.
lyaillcurs,
La gendarmerie de Lesiievcn » i'!» saiCdKn. li' niirppn» ; Korvoniilr, Koniuli.tnl ;
la délivrance du permis do conduire n'es!
IViifo, Koililvln; .Monol, (InVirhluiruny ; sie du fuit.
imposée, on principe, qu'aux patrons de
A V I S
. ''
'li^'i'* reconnu, par Ins bateaux armés au hornu'ie, qui s mt affectés
l'iMTol, K'iji'iiii; l.i> T»nii«. Kcrvi'liMiuml ;
Ploii'/.nné
nombreuses personnes qui à un seroice réiiulier ite lr,insporls ou qui
Ilulli'Hi'ii'l. Kprmeiir-Sl-Yvi'ît; l.o lUu'H,
y
ont
fait
leurs
achats,
quo la bijouterie effectuent de simples promettades en mer
ruuarc'liiul; Sullou, Kcrai'o'liali't.
Oarrler «nsevell «ou» un éboulamsnt
l'cnnarun, 8. quai Gariiot. Ohiituiiullii, est la
Tri ne parait pas cire le ras des patrons
Poir*
Un malin de
semaine dprnli're, quel- plus
Importante de toute la rOgton, ot, à au.ujiiels i-oiis faites .illusion el je donne au
que» ouvriers nu service de M. pAton, quftlltu
éialo. In moins ohOre.
"I.o S* Irtiill do mnl poïncidnni nvon In entrepreneur
dlrcctcurde l'inscri/dion maritime de Quim(i
8nlnt-Plerre,
tr.ivalllnlent
A
Avant de falri- vos nrbats en liorloRprlr, per, les instrucl'Ons nécessaires pour que,
fOlo (!•• rAsiiciidloii. I!I foire <lc' fliilpiivns l'e.xploltatloii de la earrlCre de Conl-CasblJniitorh\ «i-rfevi-erl»', couteaux de table, s'il s'aijit de simples jH-c.lteurs, il soit mis
«ura livu lo loiiO'jmaln vonclrcat 11 mal,
tel, en PlouianO, liirsqu'un Ohoulenient se nrl
oies nrircnt on ('orliis pour cadenux, etc., fin :i une exiijence injustifiée,
produisit • soudain. I.'iiu des ouvriers, du
IrvIllAP
demander sc.s pri.v ot comparez.
Hiijni : Itio.
'
nom di! Cli'ae'li, cl ileniPiirailt ft Kernabat, visllez-la,
Henu
au olioix A tout marlasjo faiDlfflrond
en Salnt-Plerr,', riil pomplAtpment ense- sant sescadeau
acliuts,
KOparatloiis on tous genres
Ploiiéour-Lanvcrn
i.vfin»
iniiRti'mps di'J^ un (llff.'rcnil veli siius l'i)l)OUli'iiie;il. Se» camarades soignées et garanties, Unison de coii//,iiire.
«^liili' 'iili'i; li>s ruIlIviilPUPK Nli-nlis .Mii- s'emprcNsfreiit de lui parler sepours: mnis
L a mévente des pommes de terre
<li)0 fl .l'an OurnDou, k |iropn.H d'un droit (lunnd Ib nrriviM'eiit A hout de |i.> di'gaKcr Dans tins les c.ifOs le publie peut consomlecteurs connaissent déjà les pressan<lo paxt.i-'u, Miuloo nyanl di'riili''r"iiii'iit 11 (itnit dOIft trop tard; l'inforluiiO cjrrler mer Cl m no apùrlllf ou riUostif, lu qiiai'l tesA'os
démarches faites par M. Jean Jadé, déIniitaliP mil! Inuritro (i l'citln'o du pussago, avnit cesse de vivr
Vic/i|/-C'«lcs/i'ii«.
Uicn
spéolllor
lo
nom.
«'IG
pute,près
de divers niinisires intéressés pour
Lo corps fui ti'an.HportO peu apris h son
U pu iiiNluliM' ipi'"lli< n'y rpnl.i pus longattirer leur atlenlion sur les stoclis de pomt(mi|i» M.iM, l'n plus dp II» liurrlcro i-nlu- domicllo.
mes do terre existant dans le département
\0i<, I a coimttilu l.i imilllutinii de quiilfo
du Finistère. Tout récemment encore notre
Saint Elol
jOlllliV pcininlcr!!. Il mHiliçonno (UuMinou
ilCroui' représentant faisait i'o(er p:ir le conir
••i
imidH
or.i
«PIP»
lnd(Jllpaln.
d'UM •
.. Grand Pardon
seil général du l'tnislire
tiii ro'U dans le
I.a KciiOunncriu va
otiurpor d'i'clnlrclr
meme sons,
Quelques Jours seulement nous sOparenl du
l'atralru,
grand pardon, pardon Ineonteslablement lo
M, Jean Jadù, nient dc receroir ta lettre
Giiiolan
Lanil)^xollcc
plus rpinarqiialile de la rOglon, aprôa «u
BUieanle dc M, le ministre de ('.IJI-RIIHIIPC
Oonooura d* poulains
mengol. tant A cause de la foulo de Cor
Vous avez bien voulu me signaler la si' Vuytg* Mnt bilut
noualllals cl LOonards qui y ucoourt (îue
Par mesure exceptionnelle le conseil tuation dans laiiuelle se trouvent les enlll«iliniin. 30 nn», ouvph'r f'ir»prnn par la plOto des pf'lprlns. Dans ce pays, municipal de UiilcUin a decIdO qu le pon- valeiirs du l''lnlsli're. aetuellenient enc.ire
(Julm- ailonno A l'Olcvagc ou au commerce des cours communal pour les poulains de 1 an en possession de stocks Importants de pomk l.iiiiil" < ili'C, H voyatti' dp l'arln
.,, ciro nnini (l'un lilllpt. OP iiVsl «lievaux, cliaeim sait, en effet, que son In- et 2 ans aura lieu cette nnnéo le lundi de mes do Icrre dont la vente s'est consuièrajicr K.iiw
ji.i!. la pri inl^rn fols n>ip p.ii'pll fait lui est tOrOt ost de s'assurer la protection du la Pcnleoéte, 21 mal.
blcnient raleiille. Vous me demandiez d'inropruch". AUIMI In li'lliiinal corroollonnPl grand saint KUiy, patron des clip\aux.
lerveiilr auprès de M. le Mlnislrc des Tra(le nuiinprr ti'p»l-ll iiumlrd
s^yêre f C'est pour cetlo lionno raison que, chaque
Landivisiaii
vaux publics pour en faciliter le transport
Hon I>K:.I (1 PU IP condanumiit, pur di'foul, n anniiu, nous voyons augmenter le nombre
par un abaissement des tarifs el auprès de
Aeeldants
t) Jour» de prison et ÏOO (rum'H d'ainonae, do ceux qui viennent, de pi'i^s et do loin,
M. lo Ministre dc la (iiierre alin que ces tuM. Alain, commerçant ii Morlaix, entrait bercules soient achelOs nar rintcndance misoit pour n<mereler eclui qui a prolOgO ou
LnndCda
sauvi! leur» elicvaux, soit pour Implorer en ville, en auto, par la rue de Laiulerneau, litaire pour les troupes de la RUlir. enfant, lo Jeune MallOgol, AgO de
M. Oiiiliamun Pcrldrln, liwcrll msrlllme son sceours. Ils semlilcnt ainsi se rendre lorsqu'un
10 ans, dObouoha par une autre rue et
J'ai appelO l'attenllon du gouvcrnenienl sur
DU Ooiiiuui, «x-<inponrt-IN,illrp dp inanœu- compto, et avec raison, que saint Ulol nime vint
80
Jeter
l'auto. L'enfant fut re- cotte question. M. le Minisire des Travaux
\rp. i ' 'l. iMli lli.) .1 l'.Miprsvrnn'h. vient d'oli- surtout A accorder une protection partlou- levé aussitiJt; sur
il élait fortement contu- publics fait connaître que de nouvelles rOIcnir il" .M. II! dliopipur de l'innnrlpllon ina- lliNro ot cftlearo A ceux qui viennent le sionné.
duotlons de transport pour les pommes de
rlllinp il ijiiliiiuer, In lirpvol dp pairon au prior chcis lui; c'cst-A-dIre dans l'OglIso
— A peu près au ini'^mc moment un terre ont OlO rnvisaijées au coiir.< dc la réIjnrnaK". M. la-rlilrln, vu «Pf «n'i-'i'i'"»'»
qui lui n Oli' consaerô depuis de» sKiples
autro
acclilenl
survenait
non
loin
do
la
vision du tarif socclai intOrleur et cimniun
n'tt l'u» uu fl uubif d'examen.
et frOquentOo do tous temps par leurs
gare, M. Floc'li, commissionnaire A Plou- par P. V. 2 et 102. Les avantagea n'juvcaux
vieux pîrci).
U e h * •«rMilon
gar, descendait en voilure vers la gare. A sont li's suivants ;
Saint Kloy, patron de vos chevaux, vous un momoni donnO, voyant qu'il ne pouIl y n nuplmipj Jour» un vlolllard tlo
1° Ci'Oalioh d'une tarillcallon par expédi,75 nn-i. (ilivler K'rmoal, Clalt noi'upi* ii n!- attend donc en foule le 10 mnl pour éoou- vait plus maltiiser son cheval, M. Floc'h tions
do 1.000 kgs et 0.000 kgs parllcuiièretor
vos prlOroB el vous accorder le secours sauta de sa voiture; il ne se Ht aucun m.il.
Tfitter du (ti>i!nn'n Kur la Rrf'vp. Survint
Jean S,ilO'..i, 'iH nns, eliniiffpur ft l'tiilne do* domando, et, niiisl, vous rctourncroï le Le cheval continua sa route A une vitesse ment favorable au petit et moven cummerco.
2"
nOdiicllon
sensible des prix, à partir de
soir
do
cetlo
ffte
ohe»
vous,
heureux
et
folle, Jusqu'au moment oi'i la voiture, verprodulls ililinl(|''.e!i de l'Aliprwrac'li, et
dont la di niouro se trouve A proxlinlli» du satisfaits do votre pieux cl beau piMcrl- sée et renversOe A plusieurs reprises, fi- GÔO km. pour les envois de 10.000 kgs.
L'attention des rOseaiix a OtO appelOe, en
nit par entrer dans le soi meuble de la
la pri'VP 011 travallliill Kermoul. Quelquo nape.
Vous nurex aussi toute» faclIltOa pour roule. Il n'y eut A dOplorer quo aucloues outre, sur l'IntOrOt qu'il y aur.iit A reporter
pu pi 11 du holddf n, SHIIUI rpRanla le vlell- asslsloi' aux ofllecs de l'Ogllse, ainsi; la dOgits matériels.
à 300 km. le point de dOpart de celte rOduci
i
i
iid d'iin miiuvalx œil Pt lui RP|iroolitt do 1" messe aura lieu A 7 heures; la grand'tion.
ritpolip' lin gr)(<mon nul, ai«nlt-ll, lui np- messo sera cliantOe A 11 heures; les vêEnlln line tarincollon rOdiiile a 01,' nrOvue
Lniilioiinrncnu
«larlpn.iil. I.u vieillard voulut lui ri>pllquer, pres, A 3 heures, suivies do la procession
en faveur îles poiiinies de terre dc senienLa tolra devait avoir lieu lo 0; ce Jour ee,
l'intraiil iilnrw en uiie violente cnlPro, Sa- ot do la hOnOdlcIlim du Saint Sacrement.
expOdlOes de certaine» régions dan.s la
étant un dimanche, la foire est remise au
lou 1P fr.inpn hrutHlcniont h coups do
période du 1" février au .11 mal, el les réM, Le Cot, elianoine titulaire de Qulm'tiolnv.'t Pi 11 roup!< de Hnliot, et lui oceu- por, oliantcra la grund'messo, ot M. Goa- lendomaln 7 mal.
seaux étudient la possibilité détendre ce
•lonha i!'- rni'len couUnloiis,
régime A toutes les provenam'cs du t,'rriJou, routeur d'Hanvce, donnera lo aormon
Plougoulin
Sur pl.iiiilii de Kermoal la opHtlarmcrio do oirconstanee.
tolre.
'de Laniillls n ouvert une en(|uMe,
Arrestation d'un voleur
Lo canllquo de Saint Eloy sera vendu A
, Il y a lieu d'ajouter qu'un nouveau tarif
la Sacristlo.
•yves nizlen, 17 ans, Journalier, habitant homologué le 10 mars dernier, a prévu la
l.an(1crnr«u
le StanB, a 010 arrOtO ta semaine dernière création d'un par.agraplie du tarif P. V. 2
llni(<t«Mi>« d* otiampagn*
pour différents vols commis par lui. Inter- ot 102 prévoyant, en vue de faciliter les
Salnt-Picrro-Qiiilbignon
rogé par le parquet de Morlaix, Bizlen a relations directes du producteur au conT>09 lioiilolllpfl do plinmpmnc ont iJli.' voTaureau furieux
avoué le vol do quatre tilpvelette.s el d'une soniniali'ur, des nrix très réiluils pour les
li'ps A In V'ii'" de LanUpriioan, djn» un \vaVers
le
milieu
de
la
semaine
dernli'irp,
montre. Co dernier objet aurait OtO re- e.'ipédillons de pommes de terre effeetuées
Moii PM (irrlmippiiipnl k la pptitp vjii'xp,
M, iQ < hi)f do
t porté plalnio uao- un taureau traversait la plaeo do la Mai- vendu par lui, pour la somme de trois par sncs do M kgs.
rie,
quand
soudain
1
1
devint
furloux
cl
s'Ofrancs,
A une personne peu scrupuleuse
La dirpctinn des Clipnilns de fer déclare
tre liiponnu.
chappa des mains de ses gardiens. L'ani- qui aura A répondre de son achat.
que l'eiisenibln de ces mesures réalise une
Oondimnitlon pour vol
mal, t(*lo baissée, eût sans >doute foncii
Bizlon, qui vagabondait depuis quelque amélioration très appréciable de la tarltlcafiiiv Ip'i Ineltnilpns dp m niirp, m'p Mn- sur quelque passant, si dos lOmoIns de la temps, va sans doute être cnvovO dans une tion appliquée aux pommes de terre, et
rlp T.'IIM'^r, Mii'lP Tnlzan p(»ni»lralt le 18
10 n'Otaient Intervenu». Ils se Joigni- cotonio pénitent laire,
'
qu'elle s'efforcera
d'obtenir toutes aumars d'rnlci' l'.lnv. M. Côurv^^, rptrallL' do rent au gnrdipn iioiir rattraper ot maîtriser
tres amélionitions eonipatibles avec la situaP:ounéventcr
la ni.ii'ini; lit y dOi'olialt uni* aomiiic do l'nnimni. CPIUI-CI fui fortement KgottiS el
tion Hnanpière des réseaux.
attaché A un arbre, après qu'on, lut eut
i.nno fi'.inc!t.
'J'ai d'autre part écrit A' M. le Ministre des
ArréVé munloipal
publics pour lui dcinainler d'enPLiInti; iiynnt l'ti! pnrlt'f
M. Oour- bandé les yeux. Il no tarda pas A so calmer
M. le maire de la commune vient df Travaux
visager
une tarilU'allon de clrciiistance desv^.•.. l.i voli;u!iç ir>Nlilua lu snniinp. La
prendre
un
•arrOlO
Interdisant
la
libre
elr,
A assurer réi'oulpment Irnniéillal des
td.ilnl" fui 'il.irM rolliOp, Maliiri' n-l,», le triculallon des chiens sur le terrllolre de la tinée
LKSNIÎVIÎN. - I.'cxpnsItlDn do c/iA/es, coinmimc
l i i m a l . sal-l du l'nrfalri', H liialnlPiiii le di>pondant un mois A partir du stocks existants iliiiis les pays produe-teurs.
ji'nVs, in/'l'ilio»
i n / t r i i i oc(- -!ja(i;ii'(((iio«
-' "
- do
• 'In ninl.sou
'
llt, Pi •> nindnniii' Miiip Inixan fi six mol» «oi'i'iVs,
Enlln J'.il saisi le Minlslre de la Oiierre de
30
iivrli.
lie lliVKt nvant ubtonu un
dP prN'.n. l a 1111'' .i iMi' cniidamih''P à doux
Tous les cillons devroni Oire tenus A la suggestion apnorlOc par votre lelire.
très grand succès à la folro
m il.t il i In ini'mo pcln*, Touiofols, vu la
Vous pouvez èire assuré que Je ne néou mu.'iclOs, ou tenus en laisse.
rpiMliitli'ii. Ip M'iliim.il leur n accordé le biS- do Lundi deriiKn', uiie nouvelle c.xposlllon l'altaelip,
Cet arrètO a Oté pris par mesure de pru gligerai rien en ce qui m,' concerne pour
tt<!ili'e de la loi (le <>UI'HII<.
et vonie nuro lieu nu innrclié du lundi 7 mal dence,
pernieltre
A l'agrleulliire d'écouler une propersonnes des communes
dans la grande salle do illùlvl Le Houx. voisines plusieurs
duclion ijul est d'ailleur.s narliculièrenient
L e (]oii(|uot
Entrée libre.
4071 enragés. ayant Olè mordues par dos chien» nécessaire A la consoniniation nationaie.
Pnquobot échoué
D'autre part, M. Ueihel. ministre dus réitoscofr
(IhM L, llénnull. .1, |ila(!o Leno.tiosnovon,
gions libérées, aijanl fait ronnaiiro que ses
• T,O pa(|III'hnt
Mpnri
DP L,I Cimpaanlo
Remise da réoompenies
sercises uo faisaient plitsd'achal de pommes
UEI (IIAI^'I'UI.I l
i
'
i
i
i
u
l
H
, NV.ill (|iilll(> Ilue- vmn trouverex un gr.md choix de ohaunûres
R\o>.-.\.VR'M. /I dvslinallon de A.MVR». Il (>lalt pour Rarcnnnett ot llltutles, soulier* el bai de
M. Alain Beuî:ll, capllainc du vacht de terre depuis l'J'JI, .'11. Jean Jade a reçu
»'nliï' .•..iiiirdl iimlln en rade de LLR;^', el y commuiiiantca. (iiiolil^ d prix iitcoiHpaniblet. " Natallna II », et François Oiilllou, marin le mot suicant dc M. la ministre de l'agriNV.ill D'II.crquiJ 3(10 lonnpH de vlaiulo puntimonier A bord du mémo liAllment, onl ob. culture.
PPK'C. L."rill soil-, Il renirtait DP Brest,
Choix liidioleux des matières premières, tenu uno mOdallle d'argent et un tOmolMon cher député,
VPIB I.'' Havre. I.N MER Ctall LII'llp; et pour- torrçfnctloii parfaite,
tout du la chloorée gnage de sallsfacllon pour le dOvouement
I
M. lo Ministre des régions libérées me
tant, IINIM^ Ù hauteur DES I>L,MREHJ«OH, PR^S
dont Ils ont, fall preuve le 2 Juillet 1022 transmet
voiro lettre du 10 courant rela<|p l'IIIIH" IH.H Hliiin'.T-SalilunH, le navire roulUncnt Idént, sain et nutritif au moment o(i leur ya'Mit Otaft assnllll en
<iit <111 L'HOP. A \ H I I - I I doiini' HUR une ro- pur oxuclloucc. Dion exiger le paquetage plpln golfe de Uaseognc par une violente tive A la vente des pommes de terre dans
le
Finistère.
«L.E? L'II iivait-LL tnuphO une T'nave'; L.a Urolssoiit.
4502 tempête qui dura trois Jours.
:rlio!.C N'I>t pati pnoore llrifp nu elalr. Tou.le charge un Inspt'eleur général de se renJIJIII'.I L É' L IT ipio In paqiiPliiit ni eau, el dut
dre sur plaeo pour aviser aux mesures A
I•P|LR^LU•^^';R tliPiiiin pour venir S'I'plioiier
Occupallons sOdcnlalrcs et gros mangeurs, preiulrc.
mir la (III;VN dPii nianp>I-HidilunB. Trol.'< REin Gralii de Vais avant le repas du soir.
Klles me parals.ient ennslsler comme Je l'ai
M'IRQIII IIII IIP In dli'prllnn du» MF)IIV''niPiit«
fait dans d'autres dénarleiiients, A faire
FLU pnil FIMPIIL NUMLLOT PNVOYI*^ 8UR IP,'» IIPUX
connallre
au public l'oxislenee de ces stocks
jfiniir PH-. YPR IIR I •iifloupp LE liai MU. I<a prpet A obtenir, si .le le puis, de nouvelles faciML'Tp i ' tuUvp do rpnlloupinpiit dpmpura
lités
de
transport.
vaille. I ' S PIIKHAIIER* qui W ti-ouvalent I»
Croyez quo Je n" vais rien négliger p'iur
liord du piiijunbol fui'pnt emliarqiiiVi NUR le
seconder d.ins celte circonstance les cullt•IL Haplih! '>, dn la OOMPAKNLI» d"» Vapeur»
vatours du Finistère.
QUIMPER
IlrPiiliiU; LLH durfrt repreiidro L,? r e s t o Uo
Votro bien dévoué,
leur V'IV.IXE pnr vole fi'rri>p.
Pandant 3 |ours ii»ulem«nt i
Un violent
CIIEHON.
jLe .. l.ipiirl 1' "sl un lipnu paquelmt de SAMEDI B, LUNDI 7 li MARDI S MAI
Jpsoph Lopin, 3'! nns, nmpulO d'une
Tréboul
"Jîiï nii'ii'pH iip iPiiir, 18 mftros de large,
Jambe, trouve bon de solliciter l'aumrtne;
cl Jniiui'iiiiL 10.3 m tonnPH.
réta Intima
NOTRE COSÎUME
R É C L A M E mais l'argent qu'il rOcolte no lui sort pas
I.CH iKiiivpuux ccfinln toiitâ.i merrrcdl pnur pur*
Le 24 avril, tout le personnel dc l'uilnc
laine, façon tailleur, doublé Ulne qu'A manger, il lui sert A s'enivror. DerreliiiT do 8A poHltlon n'ont pas ou plus
nièrement il terminait sa quèto dans un do M. A. Chancerelle Olalt en fête, A l'ocdo sui'uis ijiiu ooiix do la \olllc.
hétel, quand lo pronrlOlalre l'Invita A sor- casion de la décoration d'une quinzaine do
tir. Lopin obOlt; mais avant de quitter i'O- yleu.v employé» do l'usine.
F r s
tabllsscmcnt il tint A remercier lo proprlOLo Coiiquet
Tréguenncc
lalro
par un violent coup do poing A la liRateaux goémonnlaft
gure: i. C'était lA, dlsalt-ll, sa manière haVilain Bire
bituelle do remercier les iloliards. »
qi • lliin fl ' l'' podi'e de n.'ivnlr s! le»
nAelipiii' lin ^;n|•nlon doivent Pire a.«lrPlnt»
tJn Jeune culllvateur de 18 ans, Vin,'ent
Fila Ingrat
permiH de conduire >i,
Assorllmenls de Tous Arllcles pour
Cossec, a Oté arrOlO et OerouO A la m.ilson
à l'Olit" liim dM . !<^purlll.'
deii pxcurslonDans la soirée de dimanche, un Jeuno d'arnlt do Quimper pour avoir tenté d'abuhyanl pimr l;ul la
ser
d'une illlelte de 0 ans.
P
R
E
M
I
È
R
E
C
O
M
M
U
N
I
O
N
maniruvre
do
1»
ans,
llcrvO
Cornée,
se
nliflpi ]'• iiil.int 1,1 .alson lialni'.'ilnv
disputait avec sa mère siiiis aucun motif
J,f n.iiM-Ntri't'Ulre d'I'Uït h la Marine
sérieux.
Au
cours
de
la
dispute,
il
s'emModèles KxoUisîfs • Prix les plus réduits
fntiieliiinilij n noliitlonni» la (pipnllnn nul Inpara d'un couteau A cran il'arrCl, et essaya
Pegen l<anr Iclovot lioll rtod nr Iiari-cz
4I!IV«SI< lin noiiilii'p IrA» Inipurlaiil (le bade frapper sa mère en s'Oerlant „ qu'il vou- o k u u » dn ziil en oiliz incuicudi an autrou
VOIR
NOS
É T A L A G E S lait
teaux t''''Mi()nnlPi') de nuire I'IJHIOII.
une
mort
La
mailieureiise
mère
put
Douo
! Kvlt Uana eo talvoudus linoiit oui
1.
pOiilioiMs de RoiWnon» ne sont ni
toutefois esquiver les coUps.
Leur gant notonnou. Ar C'hiric. Cloria,
MPS pri'iiii m mil, ni IIPH passaupr», pmpruiiL
r
police,
avertie,
vint
urrOtor
le
forCrodo,
Sanctus, Agnu» Uel a gavot c Leur
lant un "i rvliin rOwullPr de Irànsportii, mali
cené.
u n A . IJgucn
4jtj
'dei (iiivrlriK nu piiyiianH de U ciMe, cmÂUm m f o m p a » tfutf dm
branm
liaiielii',' pour le travail spi'plal do la ri!Ivrognerie
L a <iOoted»s R u b i s »
loltc Pi '|iii, tn tuul ca». ont une cxprtLe 24 avril dernier doux ivrognes, ^ n n
rli'nce nu iiiiiup, uno pnunal.4*.i4ipp dp.i IIPUX
Ar Bwclla gwin ovit proja
Carriou et François nertliolom causaient
!'t une liul ituil',' d" la nipr, «IwnUinient
du
scandale sur lo parc. t)n agent, nvant
'li<t''an(i'>r'--! fi la plupart de» tourlsles pn T r o n t n r - P o i f i t r — v i n s e t AIOOOIS voulu
Intervenir, fut copieusement inl'urlO
rromenatlp. Il n'y a done p.i* llpu d'Impo- «lie Turonne t9 it-93, Vi-e»l, — Tlllfbiiii 4. 81 et jmalmenO.
Al.als d'autres agents dtant
l i ' r aii\ t^nlimir.i ftot'monniPrH qui pratlOn domando dei voyageurs pour la cam- venus a la rescousse, les deux OncrgumèipiPiit <n n'alitl; iiii" pCelie de forme spil- pagne.
nes
furent
conduits
au violon on attendant
Il y a plusieurs mois, le monde mOdIcal
r.iali' la deilïTOiii'u du I' permis de cond'Otre transférés uu parquet,
était mis en émoi par l annonee d'une méduire. "
dication nouvelle des afreclions artliritlLoHitovcn
Accident
qiios.
Knfani rtnvoraé par un* auto
M. Kcribin, chauffeur d'aulo nu service
Ktuiliée et expérimentée dans le secret
de
MM.
l'Iffnrd
et
Lo
Tlieiitr,
quittait
Pcndepuis près do hiill ans, cetlo découverte
Il y a f|uclniif« Jours le dopleiir Odeyi!
hars pour venir remiser son auto à CJulm- faisait, disalt-on, disparaître presque Imrevenait - n iiulnmcbllo de Ploulder, quand,
• s - 8 , RUC KtRAVEL - BREST
per quand 11 renversa Mmo Lo Cliiern, mOdlatoment, sans cialiilo de rechute, les
dan» la il' sppnln du 9I-K»prlt., Il se trouva
!4 nns, demeurant 15, rue du Chapeau rlimnntismes, la goutte, la selalique, etc.
«oudain fnec ù fiieo avee un groupe do Jeu
Houge,
qui, elle aussi, rejoignait Ouimpor
rp9 t lli rn rpil rentraient clieî ou*. En
11 n'y n qu'un an que nos médecins franon compagnie de son mari, do ses deux çais purent se procurer, en noniiirc limité,
pirer, l'un de ee» tfeoUerâ fut
\outanl
bébés
et
de «a sœur.
Jiappé par lu nniile-lioup de la \olluro. I,n
les ininuseules ampoules qui leur permidoi'tPii s'iiiiOln nufHlIftt et »'empriifi»a auAu moment où l'accldcnt so produis», rent do faire A leurs malades les plus graMme Le Ouern poiissu Instlnetlvement ik vement atteints des petites piiiOics qui en
linin (I • rinfiiiit, i;i'lul-p|, fort lielireusncOté la voiture qu'elle, polissait, ot dans la- que» .jours, souvent même en quelques heuiiiPiil, I 10 l'iirlult niio de» contusions Ii!g6quelle so trouvolent ses deux enfanta res ot sans aucune douleur, les guérls-'
rcs.
CIIATEAULIN
Ceux-ci ont ainsi OchappO A tout necldont saient déilnitlvenient.
L'IIdphnl'Cfiinfroul
Quant A la mère cllo a étO transportOc A la
Après In dlphlérlo, la syphilis el bien
Tantativa da eambrlolaga
•laïaura
clinique Chnuvol dans un Olat iilarniaiit.
d'autres ulïocllons, volcl que les aoeldents
Dans le courant de la semaine dernière,
On
ne
sait
uu
Juste
comment
l'accident
do l'arthrltlsmo vaincus par la science
.Iran Prl^nnl, 00 nn!i, dampstiqup (In un matin qu'il venait A la gare pour rcsont guérissables par quelques pIqOres.
ferme ft Ki'iasodpt, s'est gravpmpnt lilpssi) prondro on travail, M. Kiliiiond Guigne 80 produisit.
Pour répoiidro a do nombreuses demanau lira* );iiuplifl iivpfl SR fauellle, tandis cooRlnta qu'un carreau avait été cassé sur
Trafic d'or
qu'il i?tall opi.upij A pouper du foin.
la porte de la salle d'attente, La ealsso •Mmo veuve Oalbrun, marchande foramo des un dos Docteurs de l'Institut AndArtlirltlque <le Fraiico donnera dos conI l a 010 Qdiiilii il riiospipp ctvll (lo llrcst, avait été visitée; mais comme son contenu domeurnnt
31, rue Neuve, A .Qulmpor. n
est enlevé tous les soirs, le cambrioleur proposé A plusieurs personnes do Combrlt sultations chaque semaine:
OuoHMiint
Lundi 7 mal, A Lorlént, Grand Hôtel des
on fut pour ses frais,
do leur acheter dos plécos d'or do 20 fr Voyageurs, do 13 A 17 licures.
M téléphona
Uno enquête est ouverte.
au prix de 20 francs.
Alardl 8 mal. A Brest, HOtol Continental,
I»ôur co âlt elle a élé condamnée A do :I0 heures à midi et do 14 heures A
Nos iPPlPurs «n rappellent quo te conDrasparts
|i)ll Bi'iHii'Bl vot.1 l'an dnrnler un eriJdIt de
150 francs l'amende par lo tribunal cor- 17 heures.
BliO.OOO fniiiu» pour la pos$ d'iin cAblt
P«rden d* Stillaltal
rcetionnol.
Mercredi 0 mnl, A Quimpar, Hétel de
,tfl«iih«iili|iin «nus-innrlu reliant Ousssant
Le pardon de 6t MIoliel aura lieu comme
l'EpOe, de 10 heuros A midi et de 14 liouConcat'iioau
'U «ontinrnt ot l'OtablIssoment d'un oirouU d'habttudo lo dimnnclio 13 mal, srand'moaso
res
A 17 heures.
idai
"lan»
'
l'Ile.
•auvataga
t u r la montatm)|A tl II.
Ils apprendront nvco tatisfaollim qu» te
Dans
1
après-midi
du
Ï
3
avril,
M.
.Tumouilla... «lu nthlo »ero entrepris bientôt.
•ueeèa w « Mimana
lion Le ^^^ltrc, marln-uéehcur, so trouvolt
Le rootP tuivro il brof dtflnl.
Le» Jeunes Yves Kordraon, éléve ii l'é- sur la cale du quai Pénérolf, quand 11
AJoutcfis quo lA C " dus olipmins do for cole. libre, et Vvcs Cavellat, élève k réoole aperçut un enfant se déballant rtnns l'eau,
Héparteiiientaiix assurera l'envol rtiroot des publlmia, ont passé «voe lueeèa Pexamen prorondo do deux métros ft cet endroit,
olls postaux di s gnre* de Brest aux tloi pour robtentlM des bourses dos eollègos M. Lo Mnttro se Jeta courageusement A
QUniPERLE
'Ouessant ot Mol^no.
et lyeéei, rélloltattana aux Jeunoi lauréats. leau et fut nsscz hnurcux pour ramoner
rfarfa A flaur da paau
l'enfant sur lo quai. L'ucto est d'autant
Un m y l
lui mériloiro que M. Le Mutlro est loM. ,Touquot, coupeur 6 la maison GorOhftteauneut du Faou
,Dana In oourant de U lemalni
rme et déjk «\«noéien ége.
hlorre, pêclialt lo 23 avril dans la LaTta,
M«M»«n«, «'un Mdavra
aux abords de la forlnb de M. Calvec. Une
autûes jours on découvrait un
aneullle avait mordu A l'hamoeon; et, peur
fflOOMBIIItt
Champ. Oe cadavre no
la .retlMr de l'eau, M. JouaUot dut empié'•«tsM* M orlm*
ter unlantlnet aur la prairie de M,-Qalves.
ilî"..®?!™. «•«nier numéro nous avons Co dernier en lit la récntfdtte au pteheur.
Mlsssmeflt le irlali
r
TIERCELKT
P
SiGasNû
AiTogilInelîlii Qiiiier
125
s'est plaint d'avoir été frapiiO. M. ilalvet
prélenil avirfr
d'atiord iiisullé par M.
Jouqucl; il avoue avoir safsl le pêctieur
p.ir les yêicmeni» el l'avoir, rudement secoué, mal.i II nie avoir frappé.
Deauceup de liruil |iour peu de elioset
Ai'Ziuio
Concours da tir
Volcl les résultats <iu cancoiirs de Ur
organl.i''- par le patrnnsKP .IMinne d•.^rp
dArzano'el ([iii a eu lieu'|,-s dimaiiches 8,
15 el 22 avril.
1-r
i,.
, p, ,, rtoiissln. de nédéné; 3'. I-. I.,. H„(., ,rAizii 10 ; i". 1'". Le Houx
de HOilén'i; 5v I,. l|,..s|, i\. d'Arzano; r,'.
P. llalvar. il lli'',|éné: -, . Kl.
de
Mali. llloiiec. d'Arzaauliligoin:ir,'li
no; !l", L. Cl
d'Arza.io: 10*, V. Coiirtel, d'Ar/.ano
, .1. L,' Call. de Giillllgom.arrli: 12
lluen
zit; l.!-, J. Mente •; ir>',
zano.
Slof-lan
La Folr»
La deuxl,''me foire île Mo.'Man e
celte année avec la i'é|.> de l'A
est rcporlée au jeinll i ; mal.
Chemins de Fer départementa x
TRAIMS SUPPLEMENT.ilRCS
Foire d* Qouesnou
Mercredi 9 mal 1923
/•— De lireat il i;oiie<nnii. — llrfX iléinrt
m i l . 10— Uiiilitollu! 10 h. ;t — 1.0 lîiila
10 h. 30 — C.oui'Jiiou ai ilv.'e 0 li.
. f — O • Goiifsiinii 0 ItreU — i;oii„iii,iii rté|,,iri
' I h . - L o t t i i r a 11 h. tt - l.'>iiil„:/-!l|..; a n ' l
llh.l» — Lumbéiellw gare II li.
- Dicst airivêa 11 h.3>.
Pardon do Qouesnou. /•— Dt tirent ù /'M'icncf. - I!i«.t ilé
13h.:f0clinii lil— I.ainl)éz"llec I ! li.4leiU
— I.n liuia t.l h .,.1 et 14 U. 10 — Cou,
nrrivi'Oi 1'. h. (i.'ct U h. l'i — l'tahoanej
rivées l i h. a; et t ; h. 40.
S-—Dc l't.iheancc a Uie«t — Plnl'ennec dépirts 17 11. et 17 li. 10 — (ioii«siioii déparn
17 h. 30 cl IK b. 21 - Le lliita 17 ii. 41 et
l.S II. :il — I.iinliézfllco urrC'l 17 h. 4< et
18 11. 3S - L-im',"/ell,-c uaio 17 h. «t et
IX II. 41 — Kresl arrivé,s 18 li. Ki el 18 h. ti:.
ha oiilro lei trains pérlo-li'iiiei prévus A
l'Iioiaii-i! eu vi,;uûr. uiiriiiil ,,|;iil,-oieiil lieu lo
leuJI 10 mai, lumiiie les Jeudis onliiiuircs.
PAGES CHOISIES DE MGR D'EULST, avec
liiiroducti'in de Eugcu'! lUlfl'AlN, S. .1.
Voliiiiice in-8 écii de XXXVUiSO ji., 10 fr.
(J. de Olgord, éditeur, 15, rue Cissette,
Pari.s).
Mgr (l'tlulst est mort en ISPO, mais 11 a
lal.HsO une o'uvre eonsidéralile el un nom
vénéré ; sa mémoire est dcniciirée vivace.
yu'il s'agisse d'apologétique ou de niarale.
d'ascé.^c ou do piété, partout son cniprcini''
est celle d'un maître. Par se.-i écrits, p.ir
son Iniluence, par le rayonnement dc sa
bonté, pir t'iinporlanee des o'iivres o(i 11 a
(IgiirO cimiiie inltiuleiir ou coinnie guide, il
a complé parmi les plus grands ii'iins do la
lin du X I V siècle (d'un siècle qui ne fut
pas seulement <• stupide „). Sa trace, resl''e
profonde, ne doit pas s'évanouir. — lie s'érleiix ouvrages (sa Vie siirlout, par Mgr
Baudrillarl) onl raconté ses ti'avaux et situé
ses Oci'lls ; on n'ajoutera rien A ces documents de la l'oeonnaissanee. Mais il n'Otait pas
inutile de prOlever sur les quelque vingt
volumes du prélat Illustre (malgré l'embarras du choix), une anthologie sommaire. On
nous la présente Ici, A l'usage d a amis du
beau langage cl des pensées liante.'». El [oui
lecteur sfnecrc en reconnalira l'aetualité. L-'s
problèmes traités par l'illustre Conférencier,
Heeteur, Piédiialciir et Député, - fonde,
ments du devoir, dignité du mariage, dangers du laïi'lsme, responsabilités du savoir
— mérl|,'nt qu'on les envisage eoe'jre:le fera
t-on mieux qu'en Olndlaiit Mgr d'HuLst ?..
Foi cl Science, ces deux lunilcres. ont véci
cliez lui eu si parfait accord, qu'il semble
avoir été provlilcnticlleiiienl marqué pour
nous montrer, longtemps encore après sa
mort, les voles do la paix. On le gontall
avant la Ruerre ; après la guerre, ses le
çons ne seront pas moins utiles.
Les présentes Pages choiiiei ont êlé grou
pées sous trois rubriques assez larges
Apologie, Morale. Mystirei, avec d,' courte»
Introductions destinées A parer tani bien qiu
mal aux Inconvénients d'une pulilieallir
frasmenlalce. Klles seront préci,'u.s,'s aux
prêtres, trop nombreux, qui n oni pu, faute
de ressources, connaître l'u'uvre entière.
Tout elicéllen, par ailleurs, y trouv.-ra prallt,
i;t nous iiensoiis qu'A plus d'un esprit travaillé par le doute, A plus d'un incroyant
même, ce recueil apportera quelque lumière
et une aide pour aller à Dieu.
OÙ il est démontré qu'il ne faut
pas toujours prendra Is temps
comme il vient.
M i s n e y e
ciiMii
MtaejAjt
S
S
Ooiirt
avav
»t-HOR3
coTtrclSuna
occiipatl,
Vi-I lalncmtnl (oui nnyi, voui ne i«lrouvfr«/.
,
qnl..nv«
lo iiuii,'! ! Iippure
sa rrv.ort,!«
son» ressort
ressort,In
OLA«en, le cnui.t
cnôTi|.éci:,liM,
"P-' •Il "n»
,In M. OLASen.
«pé,
t;
«édicul. Muni de la nouvelle ncrolc, .1 coi,,,,
remède iniVillible qu'i a «auvé el iii^rt îles millier» de p.,r»oiiiie, .,ii
donc la sant^ qu'en idopianl
. OUI la p.^pulaliou iiiilvcrseirc ej»
-up u iO .'iiiiii-cs «IVxpchenrr.
«le P.TrîN. est le .seul rvconnu ofB1 so„pi, il t u eu 4uel<|iu awla»
du ll.TlUCi.
M. Houxe), .L.a'.x Mares-,
M. I ii'liard, .1., n Sl-(îlles. par rilei- oilaîe-MopIclIci (I.-et-V.i. iu !(••
euéra
IIIIE ',1 TI».
liais, P.
M. GLASER
n!
l>. .iM.'O'e 1 lui reodr*
vlsilo dai
vhic h^vaaleï, c i U fer»1 ffralu
((ratuilcmeiit t'euuTile ctï jppu
AU
L«N> LUUXUMI.LTH.»:
V:«iiin-«, ;> mai. Il.-itcllerie du liatu'lil
Lo>.ne!
n ir.i , ii.M.'l d.- Franc,..
I.orii-:)!, 0 ii.ai. liflsel de Uretagoc.
St-P<»l «îe l.ci
I j mai, llftlct .le l-'r»ncc.
Poiiiiv.v. 7 laai, liotcl Ue la Gare.
LiilidKI -iiiii 1 , liai. llAltl du (À>:iiiiiCfO.<-.
M o r i n i x , l.' i;i,ii. Ilôlel dc la l'inie.
CliAtoi iilii
,(8'1:1 h 1, 11" (;r4iid'.M*l«,>n.
Bi-I'*t,s mai, ilO cl i:oiiti:ien'al.
Q,iiinp<M'l<'. I
liOlel t.ion d 0 ; et Voyag.
C.-irlialx, !» ,iiiii. ilOIel de France.
Uiiiiii|ior, 11 1,ai. Il.-.tcl ,l,j l'l-:|,é,T.
l.iX'iiiliiiS 10 mai, 11,'ilel ,lc la Gare.
iMiiiijâiiip, s.i o 'dl .1;. Ilfllcl dc l"r,>:icr
Uouai-iicucz. U mai. 110 el ,lp France
Poutriciix, -.S aial. l ' J i i l i . , , Oiiad liCtoL
B r e s l , IJ mai. HOtol Goniineulal.
L ' é m t n e n t aide de M o r m i e u r C L A S E R recevra A
LOUIIC-.K-, samedi J mai, I l i . t ' l de l'iance.
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Ceci est plus parllculièrem^nt destiné
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aux tnip ii'imliivu\ malades <|ui, ayant en
vain lutté c,mtre leurs soiifri-anees. .se réslgnenl avee désespoir A une exisl'-'occ f.iltv
d'un peipél.uei iiiarlyre! El cependant,
|i"aueoup de ces mala,l,'s l'.'lrouv-.n'alent
UM: MAISON
j
ccrtalneiucnl la santé s'ils se coiillalcnt
aux Pilules Pink.
Prenons, par exemple. le cas de M. et
A,lies -e.'. vus
M"" IJcIigand, qui exercent la profession
CMII and,'S
UltEST - Tél. 6.»
de lapidaires au Monl-Salnt-tîuiéon (Seine- disposée;! loul genre de coin
mcrce. Libre de Ixiatlon.
et-Marne).
Ilvliiile
do .M- ( ; i i r i - i i i c u r , 11c Elude de .M- Lm-iD, notaire*
S'.-i.livsscr à .\I. Cloaroc,
M. et M"" Dellgind onl élé tous deux
laire au Hour^-Ulauc.
Hour'-U
Guipavas.
le » lieux.
malades, le mari pondant un an, la fcmni'
VoIon
Etude de M' PriKOiil. notaii
pendant plus de deux ans:
t
a
i
r
a
.
à
l'ioiidalmézeau.
Ma miladie a débuté par d'. violents
I" j e u d i 10 iiiiti, i I h., au p.-ir suilo de décès, en l'étude.
mau:v dc téle - - Ocrlt M. Deliuand — bieii
biiiii'i; dc Plouvlun, sali,
Le Uiiiiaiichc
I» Mal
taira,
1,H accompagnés de douloun-iis-s erampi'
iîia:», à heures et demie,
le JciKll 10 mnl i!»'i:i, i Marzlou:
d'estomac el d'un grand ahall,'nient physi
lia
la
coinnmnc
de
Ploii
11.
3'.l,
eu
l'étudo.
1
ue et mord, .l'avais, en oiilre. des ponil!
vieil, au terroir do Koru/.oc
Pramiar lot
e rOtO, de l'cssoufriement, des étourdis
bituOi i!ii la Conimune do
Pramiar lot
ments. mais c'était surtoiil le» maux de
i.BiialIls et par cxicasioa eu
U N CHAMP
tête qui me faisaienl soulliir. Aucun médi
en
Pi>r<po(ler.
coiic
dcLniidi'dn.
cainenl n'avall pu me soiil,if!''r. IJ,.- n'est
dit Par<!-.Mé»-iiitriioii, coti
Contenance
:
l
i
h.
40
a.
(15c.
Pramiar lot
(pie du Jour ofi l'a! commeiiié le trailc
ti'iiant
71
areslW.
1 11. prairie.
F e r m e d e Kéringâr
ment des l'ilules Pink, que Je nie suis senil dont
Mise ù iirix : ï.i{l>« f r .
!•>
'
.
'
0
sep
Libre
de
jouissance
louée
aux
éj)oui iiorrlen
mieu.x. tJt J,j recmnats que si Je .nils liien tembie procliain t'.i.' i
Dauxlima lot
rrançois.
—
portant auj'iui d'Iiul, c'e.n aux Pilules Piuk
itiseâ
prix:
>4(>.«>IK>
f
r
.
DEUX CHAMPS
Dauilima lot
que Je lu dois.
Deuxièma
lot
F
e
r
m
e
du
G
r
a
n
d
M
a
r
r
ie
dite l.aiiu»<v.ii--.MpKi't Parr
M'"" Deligand, accusait des troubles éga
^lè» fall. c iiilenaiit on lou. e a .Moiisi.;ur et Madcinoilemenl sérl, ux:
eilc i'ronosl.
—
>, .te ne pouval.s pas manger dc viande,
— nous dli-elle — J'avais de conlinucU
Trolslim* lot
Trolsiimat;'
iléranirements de corps el J'i-iais tombO'j au 1) ur'i de LBuildiil, Vue
F e r m e de T r o h o n a a
dans un tel étal d.! faiblesse mie Je pou- Slip, r.ie.
louée il .Monsieur Xleirica
U N CHAMP
Libre de joiiis-sance.
vais A pein-^ marcher. Je souiTrais égaledit Gi>ariMii-ar-MéH. divisi i'rançois-Maric.
(Voir les altlclie»).
ment de ïii.iiix de téle el Je dormais trèf
en
deux,
l'oiitenant
1
hectare
Quatrlima lot
très mal. Kii bien I les Pilules Pink m'on!
.Mise à prix : :(.ilO» fr.
I.ES
l ' A l t C E L L K S 18 p.
débarrassée de tous e s maux. Je me sens
i;iause de réunion pour vc^ l'Jp et '20 p, ayant façade aur
A préseni t,iut A fait bl,?n.
i.uutll 14 mai i
1 li. 3 l.ils.
la route de l'iouguerneau,
Les trouilles dont souffraient M. et M"
Etude de .M- PltlGI'I.N' f .
I.oués à M. Yvc.< Le fîuen près du l'ont de Paludcn et
l'un
Deligand Olalent bien symplomatiqu
A. Tliéveo-ar-i'iout, en jil.îiu au T.l .seiiteiiibrc 19'ii.
profoii'l appauvrissement du sang et d'un Pl»iid:i!iiiéxeuii.
co.îiprtsci dans la location d(>
iin'ailili>s,'iiienl du sv t,''m;'
•
u.^rveiix. C','st
l'Iludes de .M" .Maiiai-li cl la ici nie de I rolionun liite k
P'iiiri(tiol les Pilules i nk onl si M,>n réussi
Séoheriss à
« c l z , avoués A .Morlaix : d, .Monsieur .Merricn.
n'est (|ii-.'ii elT.'l
s pilules «,int vraiment en 'i luis.
4-1. Ji* Quciuî, not.iiic à i'iou
S'adresser pour tous renselun réKéni'ialeiu lu sang el du système
vorn
et dc .M- ll<-Iloc, 1,0 ^nemeiils ù l'élude de -11.
nerveux li'Jis d,' pair, nianifi'slant toujours Elude de .M- Pi-lKOiit, nolairo tairoA Lauilivisiau.
I-'^m-N^
ù
l'ioudatmé/.eau.
une rapMe et duralil eflle.ieitii eonire l'a
Elud,' de .M* Cozio. notaire à
néini". la ehloros la neiir.islliénie. ralTal
louiicour-Mcncz.
blisseiiienl jrOnOral l"s troubles de la crois
en l'étude.
l'I lu relour dMg,
En l'étude d,; .M- QUEUE,
r.'i'rV
Lo Liinill ttl tuai ii)<iU. notaire à l'icuvoin.
'l'ouïes l'iiarmaclcs: 4 fr. r,0 la botte :
24 fr. les r. liolles, plus 0 fr. r.O de timbre- 1 heure 30.
Lo .\Iai ili !.( uini Ii)<i3, « le n i e r e i edi I t t m a i I 0 S 3 . t
I heure, i la mairie dc Woutaxe par bolle. DéprtI : Pharmacie P. UarU hi'urof, d'
néour-.Méncz, de la belle ferr,'t, 23, rue Ballu, Paris.
ou Sailli-Pnliii.
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de Kcrinaz<i, en PION<1 l l a M I a t l o n
(;oiilcnaiuc : Quatre licciii'o(ir-M<îicz, comprenant :
tares environ.
Libre do Juiiissanoe au ÎO Sol d'édifices et
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'ssues
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Labour. . . . !3 h. 97 a.
Mise
a prix : :l..;oo fr.
Libre lo
septembre pro/.liVa/ioii.ife-t'ie'Kntieprise privée a'sul
'
r
e
s
.
.
.
.
.
6
h.
81
a.
.1. .MANWClt. 4r,J
Jelile au contrùlode i'ICtal). foiidéc eu I,S I0, chain tn;3.
""'i,;:
l-'aeiilié de traiter avant •;t ide do .M- Le <iac, notain •Ll a' an idl lei ss .. .. .. ..
iilTri' aux rentiers un iilaceinent réniiimira7 h. 33 a.
à Lannilis
teiirpar ses tarifs, dont les taux vimnent l'udjudicatiuii et par lot.
Conten.nnce totale 38 h. 78 a.
Voir les arilches. _ _ 1591
d'élrc ê'naiblement angincnlés, en niOme
Tenu
par
bail
expiran
en
temps iiu'uiio sécurité 'atisnhie par les g i - Étude de tvl 'yiîc'i-é, ii'ôt.iiro à A V E N D R E
taire, ou l'i tiid '. lo iiiervi-cdi ri.'j. A vendre en î lots avec
rantios ((lie préscnf,' sa situation lliiaMciuii',
Plouvorn.
laculté
dc
réunion.
lU iiittl l!l'i:L à I h. 1|.>.
résultat d'une gestion éconoiiic et prudeiilo
Sur la mise à prix de :
Lot unlqua
poursuivie pendant prés d'un st.'clc.
46S>
Demander tarifs- et
renscigiieiient.s 1,< dimanche U mal l U Ï » , Eu Incomiiiuiie du Urunncc !>0.(tOl>fr.
Eludé
de M* QuaflMl, notalra
;iaUiltK au siéiri! social, ii Paris, 2. rue l'il- ; h . au lieu de Pciiveni, près
h Lannilis.
ct-\Vill, ou chez les agonis généraux nu bon:g <le Ploiiturii.
provlm c, et iKilariinient ù M. .Mer, Ot, rue ,1e
ïoii-i meubles uieublauts.ii>5:) ou Hoia-Yvoii, coasistiint 0
oialsoiul'habitationavci-étam
.Siani, A llrest; M. Ui'rnrd. 2. r.to d Aigutiloi), Dro.st ; ,M. Ivénuiaiilon, .'.. Quai l.ooii, A Etude dc .M' fJiiv, notaire ù éeiirlc, crèche, soiie ù porcs,
A 1 tieure.
Dresl, place Wilson (succe.s- ffiange, niai.so'i i tour avei mai
Morlaix ; .\f. L a u n a j - , r u e Graveran. CliAscurdo.M- llertiicau ,1e Cha
EnU
laN
commune
l . aI E
nniliti
ur, tous ce» dillces couvert;
teaiilln: -M. Korloc b, ',', place roiTC-au-Duc,
E F EdoR B
zal'.
en
ar.loiscsetc:i
tr,\<
l)on
étal
yulmper.
KiiJ
au Dréîidou contenant l liect.
cour, aire, |iuiis, terres tant 31
ares, llbw le ïS septembre
A V E N D R E par adjudCc"- chaii.ics que fioiile.^, pr.s
«75
taillis, 1,' tout porté
tinn, le luuill Itl mal l'JltS, prairie,
u c Idastr.- de fa .section 11 iCtudc de M- Albert SiaMB.
ù 11 beun"i. en l'i'-tiide.
notaire
à
St-l'ol-de-L«on.
luméros
3U,
315,
3lU,
318,
3'!',
C'hui liag h'.) peus UlasKot pep tra cvit
En totalitù ou jiar partie au 3Î.'. 3«.1,3;), secU.iii
numépar,'a — lia lilasUet eu aiior, slouaz ! — u gré
des ramateurs.
<:l.v<^
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t!3, 1;.), r.'ii, i;il, IJ-.', 133, Mi. eu l'élude, lo lundi T MMI, t
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i:oniini.|i;iii.t", iluiroiirant ù
Laiidi'incMii, plaio S.iint-'i'lioniap, n'
ont \onilii it 1* .\I.
.!iiHi..pll-,\liiili! I!li;liiii'd et 2* à
.M. Jcan-Yvis-M:iilo liorijot,
eommoirai.tii, iloniciirant tous
deux à l.îhdornr.'iu, place StTiuin as. Il* ;t, i« fiinds di; coinmerco d'iislon-.IU's do inéiiafjo
et lie iiioroorio oxploilé ik
l.andoriK'au. | 1 u-o .Snint-Tboinaii, n< 4, l O iipro'iaiit l'enseigni', II) nniii ouniini'rilal, lu
I licnléli-, i'iiriialaiida;;!', lo mali'ilol M'i v.inl l\ finii i;\ploilalliili et ii\s mai'cliaiidliies e.tlsliiiit on i\.aK.'i'ln.;
Los i)|.puMtlnns, devront
eiru liilli; I à |n Ino do lori lusion, d.iUs lo.-idix jours do la
luvsi'niol m orliim el soi'ont
r.'i.'iirs à Lundi rncaii, pliico
Miint-Tiioniiii, n* 1, au tloyo
du liiiiclM ili! ooinn oix-o.
(.'oito liisiMll»M l'.sl luilc en
reniin\(.||i.|iii..nt diûollo panio
dans lo nii'inio Joiirnal « l.u
Ciiiiriioi' ilii I liiiîUM'u », il la
dulo du .M avril 11/21.
Pour Umivii.nio Insertion,
IJl:lN.
-1015
p t l n i ê i i ^
par iltiiiailsn iUUU
. - «l«lrc.
ïïïigere^
Ittlitll
'iil iiiiU lt>'<U, à
m.
•Êtiido do fl- F,riie»t llJou. np'
' tiilre h PlouiHt\lfc.feo«hrl»t
PloiiiM^-îft
•
"Ë. É Ë L B ^ O C ' H r
F o n iddoouurr--''CCoonnssitrruucctle u f , à
lie
iiifririllrusi
pitilo
I N G E N I E U R
A N C E R N E AAUU --
BRABANT ï i coiinuc
U ' E M I E T T E U S e
m m m
,
id ftiInlR
Bn l ét'iido'-et par Itf
rnlnl».
féro de JI-. Xtlmi, notaire il
l'Iounévez.Lrti-liilst.
Le veiKlreitl !•' iiiiii .l'JlJ,
il 14 heures,
,•
PromIcP loi
''
l!n la eoiiinnii c do l'IoiiiiéV»"/, Lim Iii-ImI, .iux dc|)Oiidanci s île I.ocl rist.
teFEMWEl
i
^ u l e fomino qui sourrre'''l")itl troob1fi qi)'elé(û)('|ui.'ri1<r
la Mcnalruatioii, Rèi;lcs iné.'uli.MOs ou doiilfiMii'Mses,
enavaneouiii;iiiolai il. Perles hlunchcs,MaIn'Ji'isintéi-ieii res, MotrUf.Fil)r,)mn.SnlpiMtl te. Ovaritp. suites
ao Couches, Ku. rinfiiifiiii.jiil ri.ai (|uoii f;iisaiit ii.-j;40 ilcla
lulo
f'Dt le iiiiiilt»
• Dlla.^•<'•l•, iiuluiro &
JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY
^ ol'Dnoiilti., (Oiiiiiiiît
uiilqueinont cimq.oséo do planlos inolfensiM'-j.iuis.;ant
.Jet et ili'iuii iiairu ili.
taUoni!l-re\p|..ii:iii,iiienunes
nionteesliONd.inlde liiii;;nf;s anm-os.
DESICNAIION
Ile duorse-i iialiire.j il'ni.o conLa .l()i;Vi;\Ci; .lu l :»|.l.é .S«M;itY est f,iil"e.v|iiesi'Bb U
(lu Floutenance tulale lie ij b.aii a. 'JJ c.,
si
inent pour t'in rir toutes les iii.ibidie.s de la leniine.
fnaH>M>:iutil<iH, uii llou tlo
dont :
l-.lle
le.< ;;iiéril bien pan e qu'elle deliarrassi- l inti-i iour
Sa Kiii vi'zi'Mu!ii -l/cila,
Sous labour
4b,Wa.n'e.
de
tons les éléiiienls ritiisil,|.;s ; ,;l|e lait cireiili-i lo saiij;,
Premier Ut
.Sous |)l és
bi lu
di.i-o!i;;eslionii.; les i.r;:aiies, on même tciiips qu elle les
(• Vue iiitiiKoii (I linliltnSous landes et
cicalriso.
l l m i nyiiiii vv/-ilo-vli»ti««(ic,
piituie.j
1 10 C(1
élnicn et t;i«<ilor.
La J«t;vi-\c.F, .le I .-ildK- SOI ltV
Sol des éilillces,
2* Uiio vi'iivlio t't uno Ki'nu<
ne peut jamais élre nuisilde, et timie
cour cl aire
5
BU «ciilri'jol;:! uni, vuu\crlaii
personne ijui .soulTio d'une inauvaiso
en nrdolnrH,
cireiiLilion du it.iii;', soit Virice»,
IvPfnmblc
Oli.'j'la 0;c.
.3- Du iili'o A l.niti'o ot un
Phlébites, H<jmorr,)id«!i.s(iii di. i'KsLe tout poiié au cailastro
ouiirlll ft pnlllo.
tomac, on des Nerfs, Chaleurs, 'Vasous les lo»
de la SOI tlon
peurs, EtouKcmcnts, soitiiialai,>csdu
V Au ll0^l•'0Ul•^t (to In malCa»»Io([ue général Cil'. V . lur (Jemancla
îiii;
.'i:). '.!ii|i, •;ii|,,
•on, uno urôlii* t) poroM voiii s w
•.'I7p cl virp. i,'j.<p, 21Sp et
vcrio on lullo.i ot uno «irtclio
•Ji.sp. •,•:! p. &-!i;|i et j.'îi; p, x j ,
D ' A G E
ftvaolios t'uuvurli'un chuuiiic.
Qualilé B courante, 1res risistinle,
3 ;.).
a.'s, 2::, p et <::, 11, -.'si;,
CJ r,j,Htlï
doit employer I.1
" L A
F R A N C E "
5- Un lonr covivcil on tuiles
?:i7, ;I;KI. :IUI,
•,'i,ip et
118 kilog.
«t uno iiinixiii
luui' couQuulilé B B , extra risislanle
vGjp, au.', 'joip et -.'liiip, Jiii,
« r t v on i hnuM e.
M a c h i n e s agricoles françaises
•m p et r n p.
JOUVENCE DE L'ABBÉ SOURY
132
—
6' Un Jiii'tUu, iionmul JnrLihro du jouissance le •;!!
Opitaui frAnçaii, ouvrier! (rantaii
en (o'jle conll.ineo, car elle (.-uérit tous les jours des
Oln an-'linvi', luntiMiniit enviscplenilire l'J.'j.
145
;nilliers de desespéréc,s.
ron IGavo'I, nuniui o liMT.
.Misea prix; iO.OOO I r .
32 BouhcarJ LaSnnea
Il est bon do f.iire cliaqiio | nr dos InlorliD j-! aven
7* Uno |K<ll(i> iti'nliiv, nonv
Ocuxlirne lot
].;iudo
(lo
M];rni,*t
illoir,
iiOl ' H V G I E N I T I N E des DAIWE.S. I a boilo. 4 fr^^^
R
E
N
N
E
S
mOo t'ooniiov mi'Ti'rton, oonloKn la iiiénio coininune. au
tiilro à l'touni vo/.-l.uolirist
mut 3 nruK
o , nuniiiru IWH,
La
JOUVENCE de l'Abbé SOURY, pn.(>ir.i! il la
lieu
dit
Cillac.
D i r e c t i o n Q ô n i r o l o : 7 9 , r u o do M o n c c o u - P A R J S (8-)
i «MMlon N.
. .
Phiirni.-icio M„(ï. l)i;,MO\riKlt. « EloiiiMi. se trou.0 .Jaos
Dein |t ùcesdet.-i fesuus
»• Aiitrn polilo |iriiirlp,
toutes
les jihurinicies. l.o Ilucoa e fr , j,lus iiiiij .t O Ir. (JO
labour.
lionuDi'O Focniioo • ni - (Jouer,
tond : a fr. (JO,
"
'
Lapie niéreaiilieroisillvisr
UliiiaïK liu (I iiiiil Ill'iU, ù
contanitiit7 mus lo v., iiun.âio
en dcii.\, itilo "an; .ir-Cbiin:
1 bonro ilo r.iprés-inidi,
tWll do In Kouilon N.
B
E
i
a
H
H
H
M
H
H
n
B
a
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H
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Illin et Parc-ai-Cbure-Dras
Il sorii |inii'édépar lo nilnisMIho i pHx : (HlOti I f .
SOURY. i|ui llo
; |-.i,)bf'. SOURV
po tée au c.idastre smis les 11
loro .M- l(i..)ii. noialio ù PlouMuxltm* lot
i-tla siKiiatiiTC de Mat;. D:;mo.\-TiER <r. r,u»,. '
,i;,2et 133 réiinis, seelion
névcz-Lrciii
ist.
Ur.o nnivello <l« tcrro lopour
une
coiile:;ai;co
toiale
dé
Au d(iniM;o do Madame
bourolilo tunnn
.Mcunmlos,
1- b. 07a. ^ne.. i:l. ln.U7c.'.'Uc,
Péran. il Mculin Dongor,
V o s
C h â l e s
â prun(lr>' iiii nul un clitiis un
LaiJeuxIémedito
Piouiuivoz-Loi'.hrisf, à In
(le I'oau,x do T a u p e s ,
clminp (lu nv'ir.o nom, ooiilc
Goarem-Voan, lavonio
aux
i
iiclioros
pnbilniint M iii'i'" UJ 0., nnniui'OM
bour,
n'
113,
seoqnos
l'.o
1
J
lils
clos,
et
leurs
Fouines,
Loutres,
1107, HiivS lie lu si oilonN.
bancs, un liiilTot vaisselier, 1
tion A, au sud du
V o s
L a i n a g e s
Mise (I t.nx • ll.i.oo I r .
Renards,
Putois
lioririKC
et
sa
boito,
tables
et
n'
1.
1
3
ctyallonanf,
Trol>l6m« lot
bnni's, nsloiisiles do ouislno
d'une conlenaiico
toute
l'annco
Uno nniv-vllu de ( o n e m
et
de
miina.,'!',
un
bulfet
il
2
de
4S
a.
4U
c
<8a.Vlc.
hduvalilo nouiniro Mcsnatlos,
corps, étau'oios, un lit noyer
13, rue du Picbi;ry
contenant lâ arcs DJ i-., nuV o s
S o i r i e s
aveu i;iirniUiro coinplcto, I talînsemble
lb.r)",a.i,(Ja
Planclio» pour hniiBar», ren;l«c9. malsons, eto... Lo métro oario : a.llO, 3. -J.UO
im^roiilU.M.OJ, llulUc lu «ou
Peaux de Taupes
Q U I M P E R
ble
do
toileilo,
nanilluro
de
Mloc
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prix
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10.001)
Ir
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ebonilnée. l udivs, 1 armoires.
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Ml»oài)rlx : l.ltOOff.
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lioiirnlite,
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Hue(, av.iiies il lJle^t. et de
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r r - r r r DE
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Jusqu'au
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I
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^
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notaire
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Cou
labour rt on iînmlo iiai'llo
tnnibi'i! l'jji ; oonlunaneo i 4 h.
quct.
«ous lande, noniinoii UonruniUJ a, 82 0.
F U M I S T E R I E
& P L 0 1 B E B I E
Vll-Avcl, <:iin:oiiuni environ
• i ' r c f f o » nu terroir do KerN'uttendu plu» pour avoir u n
no aros, iiunioro .VJO 1/J ot
le 10 mut I0'2;l l'i 2 benres.
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il
l'année
A
.M.
lin IVtudoet|;ar le mlnisiér
KIp, looilon N.
Coinmiii'c do ItoKvoII.
£liau!l9g9 Ceniral — Conlructisu et Réps.-alisn de Fcurneaiii
Uuijâouun ; Contenuncu : 1 b.
do .M' Her.;ot, notaire au Con
i\ prix ; • 1100 I f .
Promior lot
l i a . (H 0.
quel, te j e u d i 17 iiiiii rj'j:i
Ceito vente a iHii ordonnée
A
I.en-Uaol,
prés
KersuenMise 11 prK\: 211.000 fr.
yi.ncicnne
Maison
à une beure et demie de l'a
YOON
par un ]u',;oniont du trlbniial
S'adrosôr^l ,\i' li-oriicot, no^ nee :
prOsniidl.
vlvil do Lircfit du .U avril IU;>.I,
taire,
2.1,
ruo
do
Mairie,
45:;,s
Premier lot
envofflah'c. rtndu
ooMinron:"'! : niai<iin et dépenICn 1.1 cuiiiimine do l'Ioii
A la rtquit* do i
Successeur
dances,etun cliniiip dit 'i Pure
niofjTuei'.
!• .Mnio .ii.iri( -i;iiiudlno VIluiiriifs. u
Au lieu dit l>(>ii( L'lli'i|ii(:kl
TEL : 3-OG
ouroux, veuve do .M. L;hiuilo<
Coi.tonanee : ares.
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CIlIl'Ill'Ulcil'IIOIlIlKtO
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Woui;ii t,'M},ioiila«, commis
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nolairo au Coiiquel, déposl-^
cuiller des elinrKe».
l'Ioiiedorii, iiiio iiiiilKou
talie <lu cailler dos cbarijos
(Aman e lioi)i:cr lirczaMchl.
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—
a
H O U L O G i C i d i : — iJ£.)OL'ii;tiis:
à i'iiiiiiiéveiittr. Jouissance
(lo ,Mon!.icur AInin Qiilllion,
avoués co-licilaiils.
.'ii,r.i
Immédiate.
i!t):
«us-niniinié, subroge tuteur
Uos niln 'iirH (.Millllon.
Eludes <le M- B Vieliot, avoué
liliidu de .M' l.t'-oii, notaire il
Fait et i6lli,'é |i;ir l'avoué
il lliesl, lu.j llo Si.im, n 2i
— Tiens... c'est dfôlc, tout nii(;iiicii(c e t m.i
Lai'dornoaii.
H
poiir<ulviint coiissL-né.
de .M' L<; Culliitrli. avoue J
lil.-iuclilSKouKO n'iuigmculo pas lo prix du lavii(;c
Elude de M* Erutiard, nntalri!
volonHrcfil. cl de ,M- Cdhk,
A Urest, lo :in avril i'.i.'ï.
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Pa.-taiif,
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Hugo
est
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l
ecpeiiduiit
t.iire a Hanvcn.
taire.
Paul 111! Kl'.
.MAISON' i)i; (;o\i.'iA,\ci-;
Pour toiia rcnscli.'iioineiitJ,
En 1 élude, lo Jeudi Ul
— ... Ce n'est pas «Stounant, j'ai ou'i dire que
Voulez-vous construire ?
•'ndrossir ii .M' OI'I.ASSKII,
niiii, il M lioiircs.
UiC """I
notaire ii l'lnue,miol-!)aoula.i,
Kn
deux
lots
de
<
G
R
A
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rfOïXD'HORLOGES&REVEILS
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ilièi-cs
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le lUiiKli i.i niai
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ullia iicos; ai-(ieli-s patir c-ailoa'i
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liliiwlstié il llrosl (a.J.) lo
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sonroos,
1 c.iiix lavoirs,
téro do .M' l.éun, notaire.
uno piiroolln do terre, partie
y,!.(100 Ir
dans Indii'-trios. clicniins do Ki'-Clioirs. 1,0;;. di-e.
au I" oc!,
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Lanilie/.;'!;.
•.•.
itîJ
iiaiit a liocliirvs,67aros,47ueii- voilures, niatérlol état do iioiit, Prodnollon el voiili> L'arantio, F E R M E d e K e r s l r o u x
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4i 51
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6.1,
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RtMONTOIR, Honim.. ou Oiimt, tu NICKEI. n e ! 'r.
taies iivoo boiiiix arbres, mouli'Ki'iW, /i!.< moins c/iéi'os.
ou
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ri:ui,l0
.1,«;uillcnir,
Troisième
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Vonto - Koliiinffi) - Ililpaiiitloas
Auv dopciidaiicos do Kor- Etude de M' Barjou, nolairo iiolaiie a l.o-.'i;-.\•'II.
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i.e .louili I - iii.ii 10123, À
Par neto ïoii'a "solni; privrt,
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inlidi.rib'e. nommé Liaveniii;sic.N,\'i';o.\ :
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vnp«(ir. très gnnl ho ond.
lasocllonA.
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.Morlnlx, ruurnlr . DuttvdMo'it
Hnccadas, 12, ruo Urlzeux,
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«i'iO leinLro prochain.
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laoam, oqmpinM'. Tout aoto mandatlonH., S'iidroaior au eosaolre^ nu complot, Miirquo apollUor 0 knvoo'h nr Sirop
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Les nbontiemcnts pnvloiit
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& IMPRIMERIE
4 — ^ ù e , du Château — 4
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(la ligne) Ofr.75
RiSclanie, en 4' page
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Dernière colonne de la 3' page .
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Minimum par insertion : S fr.
Avec adressa au Journal; 8 fr. en sus par & insertions
Pour la publicité «xlra-iégionalf.
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Les MaaaicrÙii r«cui ne aoat paa rendus
Us auront une répfrcussion certaine sur
toute la région montagneuse encore disddente,
A
P a r o l e s t o u o h a n t e a d«t P i e Z I .
/Jais une audience solennelle accordée aux Français gui avalent fait le pùIcrJtàiiic de Home pour assisler ù la Ueallhcation
de Sœur Thérése de l'Enfant
Jéslis, Sa Sainteté Pie XI prononça des
paroles touchantes que nos lecteurs seSturt «0 bor e'halon eno
taoro'bnli
ront heureu.K de connaître :
Ha itartoo'h «r Qroia «nn bor Or«ti l.«
Clioi'ii. ii't'!» olitfi's l'Ils di) rrnncc, ilo
Noii'u l'Iiùro l'iunoo, — eoinnK'ni;ii lo
l'iiiio — Il Nulid cal II'6H doii\, IK'S l'onHiiInnt ilo vous vbli' ions cnsuinhlo, do vmis
onibi';i»»i'r d'un l'ouii'd qui nst bien piiia
oiicoi'c lu l'OBiii'd (lu cœiii' qui) lo l'rgiiid
loa yeux, (i|)i'i'>9 vous avoir pnHm's ou roua un fi un ol nnr('s nvoir onlcmlu lo miiiiliUiiio cuiiiincnlali'o du votni in'OsiMico
nn» h pni'olo du i'ilvOquo do niiycux ot
AN lIKUl.
IIKIOUX qui iKiuH II dit voiro Jolo si sliiDtZ UOI'KI.IOU KlliSIKN
c6ro, si prnfoiido, hI ciUosio...
tioo Kui
...I.ii biciilieiii'ouso Tlii'rf'so no sornll pas
snllKfiilli', ni nmiH nous boniion» il la Juli'.
si lilnlllnio qu'ollo fiH. Kilo veut polir noii»
13 S Llil stnnjK^NND'AnK.gw, i lU 10 su s iO lo fruit Hph'liui'l quo lo bon lllou ii voulu,
n Busi'llant coilo bcnuiii devant nos VOTIN.
l.ehr l.odnli, t'"J. Vill
Ilo veut quo do li» Jolo et do la, (ilolro
l.tiir Ut!Uon, f)H.i. (/(»(>',
ous pansions ft rimltntlon do coilo quo
4 la 10 SI •i
141, I, ilOKII'.MI, 11101701'.
I!i m 9. I * N II.Miiizni'ii Ail SAI.I. I i i lU r i U iU nous /Siuii» nvoo tant d'aiii'Ki'i'SBo...
... Or qucllo est l(i plus bcllo icc;on quo
10 m s. i:iiAi.u, e^koli.
4 II 10 ï i 4 14
MU 1(1 potllo TlR'r^so nouH donne? Plairo lui
N 1 ' i . i ' I K K M . HAÏI.CIN.
4 (II»
'• VrxAXT, iiior/or
4 M 10 !IUIl l'J lion nii'u, Qininr lo bon Illoii, lui piairo ut
4 7 iO ÏS t> U l'olnu'r on faisant «a volonti)...
Ko/kn, liovuiinui'.
in>i
l'ulsHo ccll" IdOo former la base do
4 0 10 Û 0 21)
ÏOS Su! III' i'KNTiiKo^r.
lio plus soliJo voriu ot so nipandio do
I.tiir U K O O I I . puj. «/.
vos ou'Ui'S, dans les cœurs du tous Nus
Uor 1.0 Uiill, lioj. S'iO.
m» (la Franco 1 Quo "'olio uraïul'', n'Il.i
cliiTo fainlllo do France, quo la gloiloiiso
l'igllso do l'i'anuo dcvleniio ainsi plus (tlorii'iiîi.' iMK'ilii'i!. qu'clio Kardn Hurioul la
S-loh'u (10,hl si lai'KomiMit ni('rllOu d'iMi'o npnli'i' ., .MÎ'O dos Saints
(pic Ions H'S
Ils du Kianeo socondcnt toujours ilaviinliigo colto ninfînillquo et fiicondo inaienillO
et quo collu-oi domouro toujours la plus
L a P a r l e m e n t est rentrâ,
niardl, pure gloiro parmi tant do gloires do Notro
clifro
Kranciï I
8 nia/, après cinq acimtnca (le vacuiicea,
l'orii'S avco vous la hiîiu'dlollon quo
vous l'Ies venus domondor (ni Pèro odiiiniuiil Ou'ullo soit avco vous tous ol iivno
Sur h rapport de M, Colrat, garde liaiiiin do vousl l'oilcz-la aussi h tout
dex Sceaux, le ijouiieriiciucnl a
dMdi •olro Riand pays, (i toiito votro clii-ro pnde di'fi'rer à la Uunlc-Cour
le dfpulé tl'lo; ptirii'i'.-Ia ("i vos l'ili'fl, il vos vlilapos,
vos fovors, il toulos les porsonnns qui
coiiimunlste M a r c e l Oaohin, Moiimousnus snnf lo plus chC'ri's, il vos petits enseau et autres ar/ltnleuru liiculpi's
d'utfants,
il vos viellinrds, h vos malades surIciilal
contre la sûreti de l'iitat.
tout, qui, en raison du leurs souffianees
Le Sàwt se reunira donc en cour de mOmes, sont l'objet des spiiclnles toudrosliistlce le 21 mat, Il y a lieu do prévoir 803 divines; en un mol, «oyei! les messaque cette ri union sera une puro forma- gers do noli'o bOni'dleilon et ipio celle-el
lité pour permettre ù lu hante
juridic- vous aecimipaune (mis les jours do yolra
tion de se comlltiier
et laisser eniiulte vie; et, eommu I'KKHSO dans ses prieures
doiniindo et nous le fait demander sans
i la commlsnlon d'inslructloli le »oln lo
cosse, (iirelo dcineuro en vous, uiilo il tonde faire son œuvre jusqu'au jour où. le» tes les Ki'ilcca ot il toutes les faveurs du
débuts
s'oiuirtront.
bon Dieu
En attendant, le» Inculpés ont été mis
tn liberté
provisoire.
Ites oarneta médloauz.
liappelonê /eiii's noms ; Cachin, MoHConnaltra-t-on
toute
l'étendue,
du
moiMjieaii, Treint, Maranne. Plétrt, Gour- scandale ? Les arrestations
continuent
deuux, iMrtime,
Sémar' Cazals Jacob, à tlarsetlle, à Versailles aussi ; et volli\
Musset, Niiefftr,
qu'un médecin et un pharmacien
vien«*«
nent d'être écronés à Brivcs, dans la
iVoito publions plus loin un décret Corrhe, Ce sont le docteur tlaqe et le
eoncenuwt le» «tudes aeoondaites. ' pfiarmaclén
Pougnel.
Le notiiienii .iVo/uip sera ,jiahi doute
• ;
. ..A;
. '. ;
dll'ersch,eni''àppmm
•
I<M aéfaitf
I » glaoo. On t m
Poirrfe moiiKnt onrcv veuf siiripuf mi
que le paquebot (,n.
ministre d'avoir pris une décision >mi nfapMe d'Halifax
attendre la conclunlon des
Interpella- mitln. arrivé dans ce port le 'i mai, raptions de la Chambre, qui avidvnt quel- porte qu'après avoir traversé le dvtro t
une barrière
d^
que chance de ne terminer en l'un 2.000. Cabot, Il rencontra
M, Vlctoii Uérard, président de (« riace impénétrable, qui l'oblii/ea i\ qui!CvmmlKnIon sénnlarlale
de l'enseigne- er sa route normale et à passer par
,
,
ment, a pris une uiécliantc plume poiti Halifax,
Le Cunndn avait ri snji bord quatre
écrire tout .wn méfuntenlement rt so/i
paquooot i r o u ç a l H la
homunume Léon, et lut aniumcer
qu'il passagers du
donne ta démission de président de Iv «Provence» c(Ji/)n.sn/i(i(i par les f/laces
dite Commission,
, . dans cette région depuis quatorze jours
M. Ilerriot
se propose
d'Interpeller, et sérieusement uuurié. Le capi alnç et
i' de la Provence refusèrent de
son frère en radicalisme, Ducros, aussi,
et de même .U. (icoi'flc.'i Leynues
On qi^ttcr leur bateau, bien que leur pro.
parlera donc, et lonquement : puls^ vision de charbon fût presque totale
, „ , ,
la Chambre absoudra de f/rand cœur meut épuisée,
D'autre part, on annonce de Saintele minisirj
qui a su ai/lr.
Pierre cl Mlquelon que les
embarcatiim
rancalses de pèche Miidclon, l'cli:;,
le (lénéral Are/iinard
a été nommé •Yiinco et HrctiiHno o;i/ été coulées pal
membre du eoniivil nailonal de la L é les (tiaces flottantes.
g l o n d ' h o n n e u r , en remviacement
du
Cinq marins ont été sauvés. Les auijéiiéral ^/aiinoiiri/,
décédé,
tres sont supposés avoir
péri.
Ar zizun a zeu
il
GBQUlSBPASSfi
comme il ne sa re/ùuepas au bout de dix ser
condts, il est déclaré battu par Imock-out.
Le public fait une magnifique ooalion à
Car/ientier.
Une ocalion comparable attend M. Malvy, le condamné de la Haute-Cour radicale,
le iour oii 1$ collège électoral du Lot lui
aura roucerl les portes de là Chambre.
Lo 0 auiit prochain, l'ancien
ministre,
cher ù nos ennemis, aura purgé la condammition ù cinq années de bannissement nue
lui in/ligea la Haute-Cour.
Aussitôt,
annnnce-t-on, il rentrera d'Fs/iagna en
France, et il posera sa candidature en 192-1.
Quehjucs manitous du « bloc des paue/ies II paraissent plutôt pénéa. Mais le
sieur Maleg doit (tre un si bon laïque que
tout lui sera pardonné.
A
U n canon français chantera l'Ave
Maria.
Un canon français vient d'être expédié à novercto {Italie), aux fins d'être
fondu avec d'antres canons
provenant
des armées alliées. Le bronze de ces canons servira ù fondre une cloche qui
sera placée sur la tour de
l'ancienne
forteresse de .Hovereto et sonnera tons
les soirs /'Ave Mnrlii, en l'honneur des
soldats tombés pour ta triomphe
dn
droit et de la liberlé.
la biiu ar Frans
Il
— .\ilnn'u ! a lavaro niciu' a liini.
.'Vtlai'ro, ia, N'eo kct evil va llijad'ji',
va c'iu'cdit.
N'eo kol evit va flijadiii' co c riz eiin
hcvolcp goiilonii eiir woch kciita, liag
liirio ex oun mniitret oc'li ho iievciii,
muntrct o welout cz cuz abng' da c'IiouIcnii, pcvar bloaz hebkcn goudo ciir
viklor koiislet d'onip kcmcnt a c'iioad
ha keii bruz disnianlr: da biou ar
Frans '.>.,.
'Ilog'on, n'c kct o kuzat ho glcnved eo
0 Icii ar o'iilaiivoiir da barca. Evit ar
boblou co hevcl, Ha pobl ar Frans a
zo klanv, klanv gant moiii' a gletived.
Ra welû da viana unan anezho, an
hini hen laka var nn hcnt da vont da
notro, an hini a roio ar Frans d'an
estrcn ma n'o lakaer ovez.
* *
n i c v e l l i e n po devezourion, po galvet
da zont gant h o r c'houarnamant.
Ha sctu m a vezo gwolnt hep dale
f a m i l l o u a-bez o t i r o d e k euz a r Suis
ivcz, evit eu c m ziazeza er G'hreisdez
euz ar Frans, o doaro ar Vrotonod a
zo cet d'an Dordogn.
M i n i s t r h a pretetcd a l a b o u r aunau da gompoza pob i r a evit-ho e
p c v a r d e p a r t a m a n t : Haute-Garonne,
Ger.s,
Lot-ct-liaronne,
ïarn-et-Gal'onno.
l l o g c n , m a n'ema k e t ar Suis cnn
A l l m a g n , al lodenn vrasa martczc euz
lie l'obi a zo h a i i t o r - b o c h .
H a n t c r - B o c h e d o tout e F r a n s ! . . .
Peur 0 sono h e u r ar Bochcd g w l r i o n ?
Bezit sur n'o zalco ket pell, ma k e n dalo'li ar c'havel da j o u m goullo c kcr
ment a i l a zcpartamancliou. Pc ar
c ' i i o u a r n a m a n t a raio ho zoiij da
o'hclver a r o'hamaladed trciit-ze, po
0 touint anezho h o - u n a n q, nobeudou...
da c'hedal diredek a vandenn.
Hak, an histor a zo aza da ziskouez
p e i r a a o'iioarvez gant ar b r o i o u lia
n'o duuz na bugalo n a k a l o i i n da lakaat ho douarou da dalvozout: an est r e n a dou, a nobeudou da gentn, a
vrôz da o'houdo, beteg gailout lavarout :
M o ar mestr ama !
Da b i o u ar Frans ?... '
0 Broiz, d'id-to, m a kat'oz, evit cul
lodenn da viana.
Dalc'h da f a m i l l soiin onn ho zav ha
disll'abez o k r e i z ar m o r a zizurz h a g
a vreinadurez a v e r v enn-dro d'ezhi.
— Dalc'h start d'as Feiz. — Ha bugale iac'b cr c'havcl !
Goudo lakaat da dalvczoïit da b i n v i dcgcziou 0 o'hailint en em asienn v a r
douarou all, ken p i n v i d i k pc p i n v i d i koc'b, diiezet gant ar Gasconed ha
Gallaoued a l l ken digaloun.
Da b i o u ar Frans ?...
D'id-te, v a Breiz, m a karcz !...
COBENTIN.
"""m^&m.
Kur zulvez o pouniienii
Ilcd-a-licd eur blascnn...
Ilask B w e l o p t
ii:
..
»
K Wells eur plac'lilg...
Neket soun ar jikolodenn eo emaoun
o vont da gounla dcoc'h; rak ouspenn
ar jikolocienncd a en em anavezo
aman.
E u r zulvez, ela, e welis eur plae'big
o tostnat ouz eun angroe/. a botred
iaouank, iiag a blae'lied a l l eveidi. A r
r e - n i a n lioli a oa bodet en dro d'eun
dallez hag a weie sklear : « T o s t a i t ,
eine an dallez : an neb a zo ar niuia
goloet c zaoulagad a j o n i digoroe'h
a-ze e spered e v i l gwelout a-bell en
t r a o u a zo da c'Uoarvezout. T o s t a i t
ela ; lia.dioc'li ar gouicnu a reoc'h ouziu gousladik on lio spered hoe'iiunnn, e t i s k u i l l i i n d'coe'li ar pez a
e'hourvezo ganeoc'b. »
Ha meur a blac'b, meur a botr ivez
a doslae... kcit lia ma e'iiellent loslant.
,\baouo an ainzer ma 'z a ar baiafennou lia ro.rla o c-^kell ouz ar (joulnu. .-xr
bnlal'ennou n'o dou.s ket e'hoaz desket
d'o daoulagad eliom hep beza trellet.
•Vbaoïie an ainzor ma 'z a nr M a r i a n i gou da e'iioulcun, ouz i t r o n bo daoulagad goloet. ha dimezi a r a i n t cr bloaziTian — (daousl ma 'z eus bet respontet in d'ezo dieu pe deir gwecii d i j a
en diou pe deir vloavez diveza) — ar
m a r i a n i g o u n'o deus ket kollct ar v o a zaïiiant da doslaat pa vezont galvet
gant niouez diouganus an i t r o n .
Uogen, nekel au dud iaouank hepken eo a vez gwelet o k r e d i e diouganerez itronezed gwidreus. Pemzek d e r .
vez a zo e kleven eur pazelenn — lia neket farsal eo a rae ar gazelenner, dioe'h
be glevout — o t i s k i e r i a ez eus el
lee'Ii-ma-lec'ii eur medisin b r u d e l bag
en deus kavel, clouez e dud klanv, eur
plac'ii iaouank hag a zisluiilii an ainzer da zont ken difazi ha t r a .
Fizians am eus er vedisined: meur
a dra o deus bel arnzer da zeski epad
ar bloaveziou m'o deus uzet brageier
war bankeier ar skoliou. Nemet e i i v i r i n d'ar medesiii ma 'z eus hano anezaïi aman n'en deus ket g r a c l eur souri
kavadcnn evit beza dizoloel, etouez e
glanvourien, eur plac'h iaouank hag
a z i s k u l i h an amzer da zonl
Daoust ha peb h i n i ae'hanomp n'eo
ket goest, kalz pe nebeut, eus kemeul
man'.' Ha pa ve eur mouciiouer g a n l i
war he daoulagad, pcp plae'ii, nemet
cliod e ve, a ouezo lie deu.s glao da baka
ma 'z a d'ar v o u r e ' h da brena pebr pa
glev an orne o Icrozal a - d o s l ; ha ne
da k c l ei' meaz lici) lie disglaoier
L a v a i e l am oa d ' i l petra a en em
gavje ! » P i o u eo an den ha n'eo k e l
bet en em gavcl gantan lavarout ar
ger-zc eun dro po dro da eur c ' i i r o u a dur pe da eur e'Iiamalad 1 E u n amezog
am eus bet ha ne e'iielle dont d'ar gear
eus ar marc'iiad nemet mezo. Hogen,
seulvui en deze i i o i l e l a ainzer oe'li en
em vczvi, seulvui c falvezc gantan di
g o i l e amzer war lient au distro : d'ar
c'Iialoup, ncket d'ar p i l t r o t i k , eo teue wnrzu e iociienn. Hag eun dervez
ne e'bellis kol m i r o u l da lavarout d'e
zan: « Ma kondale'bez, va f o t r , emaoul
war da benn e lenn ar C'bampoul. »
A r pez a e'iioarvezas co.
l i a diouganor oun evil kement-se
la, evel ma e'hellit beza hoe'h-unan
Naa
l zanagee
ia
ljiza,
zfK
l ei 0 o'iflarl.
Konipren a rit ez au da goaiz d'hoc'h
cuz ail omgaim clro ar bco hag ar
niaro.
Vai'lono lier bro n'o dcvoo kcl, a
dnigaro Doue, por« o brozol brnz e b ^ ;
Gant an amzer gaer o tisfro mare
Allas t ai' niaro n'o. ohan mor.sq- ; nd ar c ' h o a r i û u braz, redadck var v a r c ' h .pancfo ma ton. ivcz bugaligoii da c'Iic- houarn, emgann foot-bail, h a me oar.
iicl, lin nr lied, po da viana fin au diul, Ha da zul pe'urlïôsa eo a vezo lakaei
u ou cm gavfo o berr ainzcr,
ar c'hoariou-ze, — da
da heur an
El- mcmos pocnl en cm gavfcmp, ofilsou, da h e u r ar gousperou m a n e o
goudo hiri'oc'h amzor, ma n'e c'hou- ket zokcn da h e u r an oITcrenn bred.
ncsfo kcl ar bco var nr niaro, ma n'c
H u g ovit kalz, evit an hanter brana
zisUciiufo kct or (î'havel miiioc'h a vu- ouz ar iaouankizou, goazed ha m e r galo egcd a diid a gascr d'nr bcz,
c'hed, a n devez sul, an devez a zisl l a g cno co cmaomp onn lient d'en kuiz, a vezo an tenna, ar sjiuisa devez
om ganiil, cvcl ma liskoucz ar roll ouz euz ar zizun.
nr viigalo gnnct hag euz an diid ni;iro
K v i t an darn vrasa, am beuz lavaer Kr.ius or bloavcz 1022 :
rct, ken morc'licd ha gonzod.
760,SiO kroiiadur gancl, 080.207 don
E v i t g w i r , ar r o h a n'c vezint kei
maro.
h o - i i n a n er c ' h o a r i a iclo da welout.
bco n'en dciiz goiinozol iieincd oe'h ober eun hent h i r r , o clioum do
70,570 var ar maro, — c Icac'ii H7.028 e lioiidu h e u r i o u cuz renx. cnn ho z.iv
Ul' iiloavOK 1021, 150,700 cr bloavez enn-dro d'an dachenn, didan an heol
1030; — lia c'houz ur zeisvod lodenn bcro. Dour livet, gwerzct ker, a vezo
eur ar c'iirosk, 10.130, a zo bet gouno- kavet da el'a, — a w a l c ' l i evit chench
zet gant Hroiz, o tiskonta an lllc-clar b o u l t r c n n b r e i n n i j e t or l'ourn enn
A
,'1(1 conseil dis ministres tenu le f
eur iod ha, n'e dalv k c l , a d r a zur, ,n
La France s'appréle à glorifier L o u i s Vilainc.
mal, M, Le Trocqucr, minisire des Trti Pasteur, D'antres nattons s'associent ri
Finistor, 0.285; f.ijlcs-tlii-Xnrd, 1.510. iod a g a r o u d i b r i !
vau.v publics, a ait savoir (ju'il s'éiali cet hommage rendu ri l'un des plus
Morbilian, 2.723, Lolrc-Infi'ricurc, 321.
Epud un amzer-ze, an d u d deuci
mis <rac((ird avec le ministre des /•'/• grands bienfaiteurs de l'humanité.
Departamiint an lilo-ct-Vilaiiic a zo d'am oad a vezo azezet pe gourvozoi
iifi'iiîfii «iir la disiiusitlon
dn projet df
C'est ainsi que le 3 mal, le chargé d afloi concernant lu création d'un
oïtloo falres du Japon I ù Parl.i,
Parti, accompagne
accompagne du da ziskonla ablamoiir m'en doiiz, evit var al lelon didan eur wezenn bennali
'âtlonHl des routes.
l'ambassade et de nomnom- ho zizoDor ha kcnta gwocii, roet ar
personnel de l'ambassado
eno 0 r a i n t eur pennad kouskat être
liucorr donc un oroanisme de plus. hreuses personnalités de ta colonie ja
gouiiit d'ar ninro: 12.080 nnu-o, 11.078 daon daol k a r t o u po d o m i n o ; ono (
Des offices /loics devons en avoir
ponaisc, s'est rendu ii l'Institut
Pasteur,
revendre ti l'heure actuelle. Leurs meiu où il a été l'si'ii par le docteur Houx, di- giui'vcicz hcijkon; 711 dcn iiebeutoc'l! t i s k u i z i n t ho o'horf, cnn dishcol, pel
lires sont certc.lnemcnt animés d'e,vc«l recteur de cet établissement, entouré de onn doparlanianl-zo !
diouz ar b o u l t r c n n .
Itules laleutlons,
et lu compétence n ses collaborateurs.
P o l i i n i ar l'ura euz an daou r u m m '
leur fuit pas défaut.
Conduit
dans la crgpte, devant m'
Ile qui manque, ce sont les ressoin
tombe de Pasteur, le chargé
d'affaires i,. .Q'iïbnta a drouz: ar beo a c'hoiine- A r iaouankizou a responto... o k c u
reii. Lis roules ne se réparent ;)(i.v avec du Japon a remis an docleur Poux de.iix' LÎs'nz vnr ar maro o 07 dejiartamant cr dalc'her, o redek miiioe'h-mui.
lie bonnes
intentions.
qrands vases de porcelaine et un chèHa ped anezho, ped kaut n'o dapin
que de intl.OOO Irancs, produit des fê- blftavca J021, c 73 deparinmaut er k c t klenved, ne d a p i n t ket ho m a n
bloavez
1020;
—
vurloiio
ii'u
(i'iiuunotes qui ont eu lieu au Japon en l'honl.eMi'ii'^lùrcileR
lunanecai-ientdointlihcr neur de Pasteur et qui doivent
servir ziiz inul ncmcd o DO dcpartainanl. Dn zolvcii, po var an dachenn, pc cnn heni
ovit mont ha distrei? A r pez a zo sur.
l'instiliii. luvurout eo: cnn ouspenn 1 dcpuria
we slalisli'iiie inbircsMnte, qui sa ni/- aux recherches que poursuit
««
o l l en cm g a v i i i t skuisod'h abenn a!
vorte à M i n p 6 t s u r la r e v e n u g l o b a l
maiit var 0 a • maro a c'hoiiiiuzuz var
/lOiir l'anme tU'JI.
,
l u n v i n l i n cgcd ma oant d'nr znl v i n
Icn.o
var
ar
bon
!
KUe noitr, n/i/irend f/ite l'imiiat
ni'nerùl
ï j e s m o r s de l ' a r m é e d ' O r i e n t .
tin, goude eur ziinvez labour talvou
M a n'oc'h kot ncc'lict, c'iioui drcist
•itcbal et nroiiressif sur lo vcocm no J'i'iii •
Le transport
Arcluriis, venant de
dek.
ne, en h'raitee, f/uc 7(11.000 contribuables llcgrouth,
via Salonlqiic, est arrivé la oll goazod hag a c'hotizanvaz kciiicni
Hag an dra-ze. kaer a vqzo sonjal pc
'Hom iH'U cxielc tlîj: millions de l'amilks
semaine dernière ri iUni'.ip/(/e. H mpalrle ovit .savctei ar Frans, peira a fcll
Autrement dit, ccl iii>/i(H n'atteint que les corps de '102 militaires
l a v a r o u l , n'eo ket f u r , — ii'oo k e t fur
français, d'iioo'h ousponn ?
iH b'raiirnis par J.OOO. piiH'Jhour 100.
doid 'l'ia ugant appartenu it l'armée d'Odra zur goazcd o kreix ho briiil a berz den, n'eo k c t f u r d r e i s l - o l l
Cela lient it Oi inndinite <hn rciêim
rient et 10 ri l'armée du Levant.
maliens. Lu Frame est un /.((//s i/o roUithag ho ncrz a jonmaz drc gant ha d n bcrz tud a z i v a r .ir meaz, bepred enn
uroi rictairdi, ilc f i tHs commeiranls et de
ear vroz h a labour a w d o ' h d'ho i z i l i
vil var an dachenn, cpad ar brczcl
iiiodealts artisans. La i-('pai tition île ,h
C'hoari, ia ! C'hoari iiep en em Inz;
P o u r ses l e c t e u r s a l l e m a n d s , r i i u
.Mos
an
dislruj-ze
a
oo
gract
araog
ar
••ir/icssa (t relie ilca / rojlla est ausm ilém
innnlt6, organe du parti
co/iiHm;i(.sic.
avad.
•.•ratiiiae qu'an /jciiI le
miliaitor.
écrit, sous le titre ; « En route.,, veto bloaz 1020, hag cr bloaz-ze, hcn lava
Ezomm cbed da gemcr skouer e pol
La concenirolion do la fielleuse en nue
rot am bciiz hueloc'h, ar bco a c'iioii
le crime »!
. ,,
lues maii'S est une li'pen'le dont l'Hadc des « Le qénéral Weggand a (lUilté lou- uezaz 150.700 var ar n u r o ; ou.sponii t r a var bon amozeien a Vro-Zaoz,
'ialUéa ajuit justice.
Eno, d'an 28 a viz elirel, e-kichnin
lou, allant prendre ses « glorieuses "
.Si l'un se reparle H la slaltHlt'jUO On fonctions de haut commissaire en .S'(/- (limi wecii kcmcnt ha varlcnc.
l i a ncuzc, ha ucuzc; c broiou ail Londres, e ioa oun emgniui brnz e l n
niiniili'e ilc,i Finances, on constata tncar- rle. Le galonnard est d son affaire. H vu
ar g w e l l a c ' h o a r i c r i e n f o o t - b a l l en;
•me l'JÎ tierminea
possédant plus d'u
mener sa pelile guerre ri lut tout seul, c'iionz, ovel Bro-Zaoz, Ilali hag AU
million de reotmi, acquittent
mlition avec la peau des autres, bien entendu ! )• iiiagn, ar brczcl a ziskaraz gnazcd ivoi: ar ronautelez.
•J« f)-antH <t elles seules, tandis que les
A b o i l evel a do.sl, tud a oa dircdel
Les chefs soclulhtes, qui ont foii/oiir.s Kvolkont, niver an dud a grcskaz, cr
59'J.OOO conlilbuablra ayant moins ih
lancé leurs hommes dans les grèves cl
dro v i l , abenii sarr-no? zokcn em
bloaz
1021,
euz
a
001.128
cnii
Alimngn
'JO.OOO Ji'ancs na ocrBCiit qtw 40 millions
banarres, tout en se tenant
prudemnieni
dero'heni, pn n'o dleo an abadenn di
loit .l /"oiB iii''ins.
^
ri iarrlère, entretenus iiar les cotisation': iOl.018 onn Itali, SOO.'iW c Bro-Zaoz
geri ncmcd da deir heur goude kreis
des naïfs, essageni de détourner I alDA Invarout oo: a r bco a c'iioiinil
doz antronoz. Da lavaront'eo e ioa eur
lenllon
en
essui/ant
de
salir
les
gloirer.
war
ar
maro
5
kwoeh-hautor
muioo'h
A u Maroc, le 'I jnal, un groupe i»o
o'helo'had tud enn-di-o d'an dachenn
bile a attaqué, dans la réalon ' f j " " ! " de la France. C'est un jeu auquel II ne ogod c Frans o Bro-Zaoz, 0 kwoch
18 heur araok m a tioo lu'za eun dr;
tes hauteurs dn Dlebel hou-Uehdl, nii devrait pas élrc permis de se livrer.
hnnfcr cnn Itali, koiilz lavaront 10
tnd-est de 'l'afilnirl,
, ,
,
bennak da welout.
A
kwcch
etiu
Allmagn.
Couverte par des partisans de la li'Ha petra a oe da w e l o i A ? ' D r e i s t - o l i
O
u
f
I
r
e
s
p
i
r
o
n
s
;
la
boxeur
Car/enlirr
Kur
\vcL'h
c'iioaz,
daoïibl
lia
n'oz
ouz
jlci», préparée par des tirs
d'artlIlcHe
emgann otro an dud a oa deuet d:.
• • par uii
un avion et par un barritf/e
réglés
barriige est redevtnn champion do France des poidn kct .abeg da gaoïit ncc'li, ha da o'hou
genla l i n g ar rc niverusoo'h o doa porde mllrallteuies,
Itrallteuies,
l'attaque
l'attaqua « été
<!/«! vivevive- lourds, et iûloji sera candidat <t la dê/.u- lenri: da biou or Frans ?,,.
mtnt menée. Les dissidenh,
ultcndàut lalion aux iU'oehaines élections.
tozet an heur dereat. OU o klaskeni
Voilày
n'esl-il
pas
oral,
deiu
noucclics
Da
biou
an
douaroii-zo,
soudardcd
lion tmnpea dans d'autres rét/lans, ànl
beza er r e n k kenla. Ao'hano taoliou
vté coitlplètement
surpris
et refoulés sensntlonnelles.
ko» ha iaouunk, da biou an tloiiorou
ha chaeh-blco. M e u r a h i n i a goueza?
vers' la haute vallée de l'Oued Drendt, 1 ^.'nmOiwc sont les Français qui étuiant 20 à zb bot Irompot gant ho c'iioiic
d'an douar o v i t beza hanter-flaslrel
Dans ta région de rusxa, les^ troube» inconsolables depuis le L'4 se/'teinhrc.Jour
fraucaliies ont opéré avfc le même bpn- otï la « poululn u Oeorgcs Carpantkr, .jus- zcnii,ilio marlezo ruziot gant ho koad être troid nr ro all. Oiispenn eur mil, n
heur. Vin attaque voHoi/nlrlquti
a M i»«'fr<w'« champion dn monde /lour la boxe, ruzlot da vlaiiii gant goad ciir mililoiiii dleaz mont d'en em lounaoui', an hanlancée dans la matliiéf dn fi «m/ no/Wi-t ae'aÙ fté battu par le n/tgre Sild.
Iianlcr ouz ho kamaladod ?
ter anezho n'c o'holljbnt k e t sovel cpad
te» Btnt Haintrt.
les premiers
obkcy • / i f vont pouvoir respirer M dot'imr. Dian eiz dcz k o n t a ; ha 48, f^valUlabozel.
Ufs ont été rupUimtnl
alMnt», m » maneht, leur/aoori è\tt mesuré (i Pans
fù jMdtnls.
bénéffclml
d\n
Urrblu awr un autre « poulain », Marcel S'dlas, • Solaoult ;
a dicaz beza dougot var oouii d'an hosqu'Il.a
abattu
â
se»
pieds.
Irh'accidenté,
orU réagi dans la aeuilf. • '
•
!
"AbÈiiu vi'oma, h o r gouzout a r i t , kalz pilai.
^.Sleeei ooiia Intéresse, saches que Car
^fl
itol/t
progression.
Dam
^fj
mp patllt de tioli'e orogressl
Muioo'h a l u r n c z I , ,
l'tnfier parut sut" le ring reeétu d'un pei- B u l j u d o douB savot ho neiz onn N o r lolrée, nmim'ifla
farouchf
iiaïAdi, 0 lu'oiz douarou p i n v i d i k diNo laza nag on on» laBci, zoken o
ôbfec îfH Wiolr lirtt, burdd de bandes noires, tandli\
idee BenI Bouseris, Ions le
We^tllee portait une tolie de chambre maroisèt; I l a l l a n e d h a Bpagnolod o deuz c'hoari.
ul.
;
étalent
. . ^
ilaleni ntletnls.i
nlltin
>11
—
vraQt kemont a l l eus ho, su, ha d'ozho
lier a continué le '6 mat,
- ,
LatalatUr
Ua ma n'omp ket bol o proBoslonnou
«P
i( iHP.
nothjldne
M ^ u t , . q y l l i â r i ' d a r n y.uia, al laboUr ar RoâtiOqriou, )3èz(«n|Qônj dâ Vont
'AiPV'. m
i !
da.brûsfliii<nn«ù-ar
.
Pion n'eo ket ivganer?
deus; ker c'iircdabl oo ela bag e zaou
yamalad. Hag e iavar petra ? K l e v i l :ien: « Ma 'm eus bevcl belcR an oadman, emezan, sur awale'ii n'eo nemet
ablamour ma ' m eus alo debrel hag
evel ar pez a blije d ' i n ; pa ' m beze
e'boanl g w i n ee'li even g w i n ; pa ' m
beze c ' i i o a n l dour ec'li even dour. K i g
ha pesket... E u r slomok, klcvit, evit
ma vezo mat, a rank beza boazel azaleg ar iaouankiz du c'iiouzanv pep
boued ha peb evaeli l »
Dainpel, aval : setu eur potr hag en
deus bel slomok. Ha piou lier rebcelio
d'ezan '> Ha koulzkoudo, ha lavarout
a c ' h e l l i l cma ar wirionoz s a n l hcnman'? Daousl ha rcd e ve pell amzer
d'eoo'h evil kaoul. etouez bou'h anaoudcgez, eur goziade/. beiinag hag a zo
bel o k l e m m gant ar boan slomok
edoug lie buliez, azaleg lie 18 beleg be
dek vioaz ba p e \ a r - i i g e n l
E e'bcllfe
ar j u c b u e n n - z c , d'Iie zro, l a v a r o u l
d'coe'h ne e'heller beva koz nemel beva
a rafet g a n l leaz.
Ken dislicnvel oo an dud en o ncrz
bas,' en o ezommou war ar poent-se,
ma kav d ' i n ema ar wirioiiez g a n l an
h i n i a l a v a r : « Ha ovo lia ra zebro pep
slomok diouz ar pez a c'hell gouzanv,
pa 'z eo g w i r pep den en deus e slomok. E n i eur vi, ba mae'li h e u g i l en
eur lie eva, dibaol co ma n'iien rcslaol i l k e t ; ba n'en dczo g r o a l vad cbcl
d'coc'li. Eun all, bag e komzcn anezan
er zizun dremenet, a zo deuel a-benn
da lounka eur v i ha t r e g o n l bemdcz
d'e z i j u n i . Ha c ' b u i pe bennez a vevo
ar e'bosa'? L i v i r i t . . . mar gellit I
N'eus forz pcgcn a n a l I r a co kementse d'an boll, an lioll, koulz lavarout, a
zo I r o e l koulzgoude da rei ali d'o nesa
d» ober eveldo: « Ev dour va mignon,
a lavar u n a n ; netra n'eo ker iae'hus
ha dour feunteun. « — « Ar g w i n eo ar
mestr da zigas ncrz d'an den » a l a varo eun all.
Ha niar»d-eo eur si beza alo o klask
ebacba bon ncsa da ober eveldomp,
eur si bilian n'eo ken. Dre garanlez,
peurliesa, eo e roer eur seurt aliou.
A r mêmes si. aval, hon eus e kenver ar p o l i t i k . Unan a gav d'ezan ne
c'hell beza roue ali ebet nemel ar bobl,
bag a giasko ober eun diskipl eus pep
den; unan all ne wel silvidigez ebet
d'ar vro iiemet eur roue a v i j e en be
fenn, hag a glask ivcz ober eur rouei i s t eus a bep den; eun Irede a e'halv
an deiz ma vezo pep dcn roue lia pep
Ira e boulin.
Ha g w c l i l p c l r a o deus grcet ar r e man er l l u s i i ; g w e l i l p c l r a o deus g r e a l
ar ro genla e Frans epad ar revolusion
v r a s ! IJindan an bano a frankiz o deus
kuzel liement a iieskinercz, ma '/. eus
p c l l e l ha ma c bcller alo l a v a r o u l : " 0
l'rankiz, na ped m u n i r ne vez k o l g r o a l
bcindez en da hano. "
F u r o C h eo an iliz pa c'boulenn ma
ne vezo cliacliet den ebet drc forz davit-hi.
Mac'h lieskinfomp nebeutoc'h hon
nesa, daoust ar bed hag bon a ial'e
falloc'b on dro ? Nemel gwelloc'h ne
iafo, a grcdan.
« Sinn... p e v o r v c l !•
Dre a bep seurt doaroou e leu darn
l u d a-benu da denna a r c ' l i a n l diganl
0 nesa.
E u r e ' h a n f a r t eus Monlpellicr. A n doque c hano, a vanko pcvar m i l l u r
da eun i t r o n eus ar vro. Komenniidurez a gasas da b o u - m a n da zonl da
douch lie a r c ' l i a n l en eun holel eus
kear.
A n i l r o n a deuas; ha great o voe d'czi
m o n l ebarz unan eus kaiii))rou an hôtel. Gwreg Andoque a donnas eun
d r u i l l i a d b i l l e j i eus ba ialc'h. Nemet
abarz roi be e ' h o n l d'au i l r o n e l i s p l o ga.s d i r a g hou-mai» eun t a m m paner.
Er meniez amzer e loimc eur revolver
eus ho godell; ha? en eur lakaat ar
revolver dindaa f r i an i t r o n e lavaras
d'ezi: « Sinit,... pe pmaoo'ii m a r o ! »
.An i l r o n a zinas. Uwennek ebel n'he
Ma karfen, — elec'h skei war skoaz devoe. aval, e v i l ar z i n a l u r a roas; ar
c ' i i o n t r o l co, rak dre ar paper a zinas
va amezeg en eur l a v a r o u l d'ezan
ec'li anavezo beza rescvel peinzek m i l
« Dioual ! » — em bije gellet ober Ivez l u r d i g a n t Andoque.
evol nia ra nn iU'onezed war ar plasen
Neniet ar c ' i i a n f a r t - m a n nag e
nou : azeza w a r eur gador, lakaat eur e'hwrcg a deuas o zro da veza p.iket.
mouebouer war va daoulagad, kreg'
Kondaonet i n t bot da d r i bloaz p r i z o n
dorn nn dcn, lia sevel vn fonn warzu gant lez-varn an H é r a u l t .
an env on eur l a v n r o u l : « Mo a wel
Labouriou divent
eun h e n l ; . . . w a r an hcnl-se eur e'harr
t u i n p e l ouz eun t o r r - k l e u z azioe'h eul
En Amerik ema bro al labouriou-ze.
l e n n ; . . . bag el lenn euii den o ryuonva
E u r p o u n l cinacr o v o n l da ober,
etouez al iée'hid hep gellout en em ziadrepz an aber Hudson, bag a vezo,
hep mar ebel, an l i i r r a en e icz.
farlui dioulan!
A r p l l i e r o u hen dougo o dezo 11(5
Nag a draou ne weler kef, pa garer
huelded, bag ar pounl e - u n a n en dozo
hag a zigouezo da w i r ker buban hag 777 m e l r h i r r d e r . 12.552 t o n d d i r ar pez a wel' pcp diouganerez w a r ar h o u a r n a ielo d'Iien ober.
blasenn.
E u l lee'bcd a drizck melr a vezo Iczet f r a n k war daol ar p o u n l evil ma
N'eus nemel eun doare, er bed-man c'bello Iremen an dud hag ar c ' b i r r i .
Pcvar garr dre dan a c'iiello m o n l
da anaout an ainzer da z o n l : pleustr
.'ikoaz-oc'h-skoaz droiziin; lia kounfa a
war an amzer dremenet, lia tenna ane
rcer e tremeno pemp m i l karr dre bour
zan an l i o l l genteliou a c'heller. Mar dre ar pounl. Kement-iiian no lako da
d'oe'h boazet da eva muioc'h egel veza souezel nemel an i i i n i ne gompren
ezoïn; ha mar d - o c ' i i cbomet diou pe ket pogemenl a draiik a vez, d'ar zadeir gweeh d i j a en Uent gant ho ko
dorn lia d'ar zul dreistoll, er c'hoslezfad, e c ' h e l l i l lavarout d'coe'h hoc'h
se eus kear New-York.
unan, hep r a n k o u t m o n t da g a o u l eun
Xiiericn
diouganerez : " Ma kcndaie'iiez. va
f o l r , e vezi kavet m a r o e foz an hent
A n ni.ier Barbet a zo dcuct a-bcnn
eun deiz a zeuio. »
eus an laol-kaer a c'boanlae ober pell
Pep diougan a l l nemel bennez a zo a zo. T r c u z o l en deus ar Maiicb, mont
ba dont, être ar Frans ba Bro-Zaoz.
grae'liacli.
C'hui a lavaro n'eo kct kement-se
Lan ar c'hovel
eun nevezenti. Nann, a dra zur, rak
(i
poil a zo abaouc ma Ireuzas B l e r i o l ar
î l a n c h evit ar w e t h kenla.
Eun nevczenli eo. daoust da ze, o
veza ma ranke B a r b o l ni.jal gant cur
e'harr hatr on dovoa e vekanikou l o i r
gwecii nebeuloc'b a nerz eget niekanilAa k c B k i n o u i p k e t r c h o n n c s a kou i i i n i Uleriot.
O veza ma leu nerz eur mokanik eus
Na tud a zo er bed-man ha n'eo kel
f r a n k o maneh evel ma tlefe beza 1 an heol a zev evit m o n l en dro, e wel
i
l
e po lee'li ema aman an nevczenli,...
Pep t r a endro d'eomp, koulzgoude, a
ziskouez ez eo eun dra v a l gouzanv hag inloresl ar vro.
Eur priz a 25.000 l u r a ioa k i n n i g e l
bon amezeg da ober e e'hiz, ba pa nu
b i i j f e ket ur e'hiz-se d'eomp... (gant d'an neb a raje ar veaeh-se e v i l ar
ma ne vezo ket giz hou amezeg eur wceh kenla.
Kouezcl eo bel meud ar Zaozon en o
r ' i i i z f a l l hag a-enep ar goure'hemen
dorn pa o deus klevcl ez oa deuel B a r nou a rank eur o'hristen h e u l i a ) .
Kemeromp t r i goziad da skouer, ma bot a-benn eus o daol. Unan eus o
nemel
ienva
k a r i l ; i r l goziail Iremenel ganto o e'bazelennou ne r a
c'iiuntved bloavez. Digant eur seurt abaoue, o sonjal n'eo m u i Bro-Zaoz ar
pez
ma
'z
oa
gwechall,
da
lavarout
eo
l u d eo mat goulenn ar remed evit beva
koz. Ha komzgoude ar remed a r o an eun ener.enn e savele g a n l ar mor en
cil n'eo ket henvel ouz an h i n i a r o ai dro d'ezl. E gwelloe'b I r a eget en d r a man e llcfe ar Zaozon sonjal. Po ma
u'Iienta nag an Irede.
feli d'ezo sonjal e kement-se, ra zonAr e'iienla, marvet n ouzon m u i
Jlhl.
ivcz n'ema ket ar F r a n s e savete
pelee'ii, a dou e hoii doucou n'en deus
0
kichenn an Alln\aRn. Ha neuzo, n i a r bevét bqieg e d r i blouz ha kant nemet
alilamour m'en devoa en e m ziouaiiel leze, e savint murae'ii a du ganeonip
bepred diouz on eva : « N'am eus evel eget n'o deus g r e a l abaoue pevar
nemet dour em buhez, emezan. » Ha b l o a ï .
mat en deus great I
A n eii, tremenet e bemp bloaz na
kant gantan, a gan d'eomp eur zon DEUX SERVICES DISTINCTS. A N E
diàbenvel. Eus Bourges, po a zlwar
^ A 8 CONFONDRE :
dro, eo g l n i d i k ; hag er vro-ze ne ga
ver nemeur a everten d o u r : « Gwin
Bourges a zo ker o'houek, emo ar c lioCBEftUBS POSTAUX ~ RENNlUS,
ziad-man, ma ne o'hell k e l e u n den
beva hep-d'han. Blskoa* em b u l i M LB COURRIKR DU FINISTÈRE C/C^ '
ev«t-eur
eu» evéf
eur bantd d o u r l ! » Ha U P f l i t o i j i » ; . u !
P g ^
It.
„• £.1,,..: ; ..
fi^cno
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k
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n
nebeut-son
Bon a n trede iiêi
a f t ^ t o » «ofliB. Sé.li ylflftS )>I k a a t .en
KELEIER
Mon Carnet
UN H O M M E ILLUSTRE
M . LE M A I R E DE LISIEUX
La gloire est décidément la plus capricieuse d«s déesses. 11 y a des gcn»
qui s'escriment, de leur mieux, pendant
des années, sans pouvoir arriver à la
moindre célébrité. I l y en a d'autres
qui, du premier coup, sans le plus petit
effort, deviennent illustres : la presse,
subitement, retentit de leurs exploits.
Te) e s t l e c a i d e M . !c maire de Lisieux.
H i e r , il n'était connu que de ses administrés. Aujourd'hui, la renommée aux
cent bouches a répandu au loin le récit
de ses triomphes: il est l'homme du jour.
L e grave Journal des Débats lui consacre
un article : en première page, s'il vous
plait ; le non moins grave Correspondant
le célèbre dans son dernier numéro.
Qu'a-t-il donc fait, ce brave magistrat
municipal ? Peu de chose. Qu'a-t il
écrit î Quelques lignes. Mais la quantité n'a rien à voir avec la gloire : tout
dépend de la qualité. M . le maire de
Lisieux a tout simplement esquissé un
geste et pris un arrêté. Cela a suffi.
Le geste était beau ; l'arrêté sublime.
Leur auteur est au pinacle.
Voici l'histoire. L e Courrier a longuement signalé le» fêtes magnifiques, qui
ont eu lieu à Lisieux, à l'occasion de la
translation des restes de la Bienheureuse
à qui la piété populaire a donné le nom,
si doux et si caressant, de n la petite
Soeur Thérèse ». Ses reliques ont été
solerncllement portées, du cimetière de
la ville où elle avait été enterrée, dans
la chapelle de ce couvent du Carmel
qu'elle avait édifié pendant sa brève existence terrestre.
A u point de vue de la loi civile, ceci
était une exhumation. E t aux termes du
décret du 2 3 prairial an X I I , les conditions d'une exhumation sont réglée» par
l'autorité municipale : il fallait la permission de M . le maire de Lisieux, pour
que la translation pût avoir lieu.
Mais, comme dit le rédacteur des
Débats, « M . le maire ne partage
pas, pour la Sœur Thérèse, le» sentiments de ses administrés. Ses opinions
laïques sont hostiles à la g'oiification de»
vertus chrétienne». »
.'Htwi^'
Cependant cette hostilité n'est pa»
telle qu'elle ne puisse cédcr devant une
bonne somme. En tout bien touthonneut
d'ailleurs : cette somme devait tomber
dans la caisse municipale. Le premier
magistrat de la commune pouvait transiger avec ses principes, ".i les finances
donîl avait la gestion en tiraient un
profit sérieux. Aimons ce bon administrateur ! Alors M . le maire a fixé son
chilïre : « un chiffre tellement fabuleux
qu'il y avait de quoi équilibrer le budget de la ville pour une génération ».
Malheureusement ce petit chantage a
échoué net. E t voici que s:s administres,
les ingrat», »e sont retournés contre
M . le maire: pétition, interpellation au
conseil municipal, etc... M . le maire a
préféré capituler. Mais, ayant renoncé
à faire jusqu'au bout son geste de prohibition, il n'a pas renoncé à expliquer les
motifs de son attitude : et il a pris alors
cet arrété immortel, dont il faut espérer
que le texte sera affiché, ou plutôt gravé
sur le marbre, à la mairie de Lisieux,
au-dessous du buste que son auteur a
mérité.
En somme, de quoi s'agit il ? De savoir, uniquement, quels srnt les intérêts
du commerce local. Lorsque la ^ u r
Thérèse était au cimetière, les pèlerinages allaient au cimetière ; maintensnt
que la petite Sœur sera a'j Carmel, c'est
au Carmel que l'on ira. Ceci mérite d être
examiné de près. Prenons, pour cela, le
point d'arrivée des pèlerinages : la gare
évidemment. Mesurons alors la distance
de la gare au cimetière ; puis la distance
de la gare au Carmel. C'est la première
qui est la plus longue. Si la Sceur Thérèse reste au dmcticre, les pèlerin» seront
obligés de faire à Lisieux «un séjour plus
prolongé : point très important pour le
commerce. » Qui ne voit immédiatement
que le transport au Carmel aura de» inconvénients graves ? Et puis, autre chose,
les marchand» dont les boutique» étaient
sur le trajet gare-cimetière ne vont-ils
pas être lésé» 7 En conscience, n'ont ils
pas droit à des dédommagement» ? En
conscience, le Carmel n'cst-il pas tenu de
le» leur accorder ? Aussi M . le maire
s'est-il fait l'interprète des doléances du
commerce, ou tout au moins de certain»
commerçant» pour que....
Mais ici, lecteurs, recueillez-vou» un
instant ; mettez-vous dan» l'état d'ime
nécessaire pour goûter les finesses du
style de M . le maire de Lisieux ; je
connai» peu de ligne» comparable» è
celles-ci dan» la littérature irançaiae ;
écoutez de toute» vo» oreille» :
<r ...pour que le Carmel, demandeur, en
raison des sommes considérables mises à sa
JispoiitioH, pûf. Je ta propre îniHative, *n
toute liberté.examiner, tout à fait en dehors
de ta demande d'exbumation, lit ne M serait pas postibt*. eàus ta forme tju'U apercevrait, de donner satisfaction à ces doléances, cette salitfacHon d'équité
pouvant en effet consliluer une
ohUgi^
morale du Catmth »
Cette période savante, aux repr|»c*
ménagée» avec art, cette phra»*.ondoyante, au balancement hàrni9nicini,««»
CKpre»»ion» furtdiquc», ctt appel I ï m I è
ta loi M M ^ C , «Ait ccl* vlth» M
foàOf
i k w U e d'une m*ir«cnMnc
l ^ a . ' forme ime. a d j j * ^
de rhMpri^pM
m
l E COURRIÉR DU JPimSTÉRE
Mnimc, fo(i ilmpla, vottc mtm« un peu
kfuiaU )
« Céiûca, m«!$ ( i i ^ i i n à i n t t . »
Oui,pour nvoir exprimé, avcc unaifcil
iqupic c» *i orlglRil, tai cIciiclirM» finaïf
cHers de ()«Nlau«* un» de »«« afiminlttrli,
M . le malv«<ic Liil«ii)iiniiri»itllH<'ilmtnf
l'iuréolc 4ggloire iv'l nimhc îuôurd'hui
•on front. Appluuditionf i i l a r e n o m m i c
cUc a fiilt un heureux choix I
La petite Sueur T M r è t e n V t - c l U pai
«lit qu'cNc « paueralt ion ciel k faire du
bien tut la terre > 7 M . le maire de Liaieux
ne peut ifinorer celte parole calibre. E t
il aide, de «on mieux, la Sceur T h i r è i e
k rjali»cr cette promette,... en la faliant
earlchir tes aUtniniatréi I Quel record I
,
BBPPA
Lo congrès d M iiiristcs, q u i «e r é n - , eÛammées.'^Taule» m i t lésions se re
nira À Rio de Janeiro en lOM» a W eonaulssenl au toucher ét au inouve
cupehi d« codifier les foli InleriM- mortt que l'on fait exécuter à l'artieu
tlonalos oriiiSrlcnlncs et' d u plan ê latlon avec la main. Dans cette affcc
tfon le boulet se porte en avant et le
Coata-RIca pour une cour de Justice e loval s'appuie sur la pince, mais ce
américaine.
s gne Indique aussi bien les bottorles
Pierre L E D R E F F
du. pied que coUes du boulet. I l faul
donc avant d'entreprendre aucun tral
teinonl se bien rendre compte do l'en
droit où siège lo mal, cl agir en con
séquonoe.
Les bains d'eau froide sont à re
commander nu début d'une bollerle du
boulot. Leur durée doit être do delix fi
L'Allemagne s'est, «no fois de plus, trots heures par jour: el dans l'intorvalle
on entoure le inombro do flanelle
moquée do noiis, et avec la... dirons
quo l'on imbibe de toinlure d'arnica
nous complicité do l'Angloterro ? sim
Co Irailemcnl duil durer une huitaine
Piémont nous dirons: la neutralité de Jours; au bout de ce temps, h1 l'in
bionveillflnte. La presse anglaise est llanimation n'a pas diminué, Il faul
bien fAchée do l'Incident; ost-co parce avojr recours à la pommade d'iotturo
de potassium iodurtie, dont voici lu
ouo l'Allomagne a voulu duper loi
préparation : (On en fait une friction
Frnnco-bolgos on leur offrant 8 mil
iar jour pendunl une douzaine do
liarda ù se partager, après avoir re
oura.)
connu leur devoir huit fois plus ? Non
pas: mais parce qu'elle a été trop maodure de potassium
8 parties
ladroite, exigeant l'évacuation préaIode
i
—
lable du la Htihr et affirmant sa volonté Axonge
32
—
do résistance passive. Aussi lo « T i
Botterles du plod. — Le pied, par
mes », jonrnar do M. Honar Law, .
suilo de sa slruolure, est un des organes le? plu.s fréquemment at-leints
suggéré donccmont au Rcluh do sou
de boIlcrio.M. Non soulement il supmettre toute la question, somme
porte le poids de l'uniiual, mais il parpayer et modalités, ù un tribunal intloipe encore fi l'eirorl de la traction
iernutionnl. Au.ssi le cublnot anglais
SI la marche s'elTeetuait sur uno survoulu « aider » MM. Poincaré et Theu
face unie, il supporterall plus facilenls il rédiger la réponse à M. Cuno
ment co douille fardeau. Mais lo cliosoin inutile {
inin est souvent glissant,d'autres fois
•*
mal uni, d'où des tiraillemont.s, des
oITorts plus inlPiisos sur un point de
La note franco-belge, longue el rarticulatlon quo sur un autre. Sounette, réfute lu sinistre plaisanterie vent nussi CPIIO holle oornéo vient À
boclio, et nfllrme la volonté des vainêtre heiirlée vloloiiimonl par des corps
durs, d'oi'i uno inflaininnlion plus ou
quoura,
moins intense qui laisse dos traces
Vlolallons du traité. — Le Reieh
peu apparentes d'abord, mais qui avec
accepté, en mai 1021, lo chiffre ot les le temps so traduit en une boUerio
modalités do sa doUe. Puis il n'a pas L'homme luI-mOme, en appliquant
payé, l i n moratoire partiel lui a été sous lo plod une armature do fer, dans
accordé. I l n'a pas payé. Alors enfin, le but de la proliSger contre l'usure
conformément au traité, la Franco ot dos roules, provoque bien souvent dos
alTections gr.ives. La ferrure pratila Belgique ont saisi le gage
quée par dés ouvriers peu intolligonis
Résistance, — Lo Reich, en résis
et maladroits est une opéruliou uni
tant, viole le traité, qui lui interdit de peut causer des accidents souvenl difconsidérer cette prise de gage comme lloilos ù réparer.
un acte d'hostilité. C'est pourquoi au
I l suffit d'étudier In conformation
cuno proposition allemande no seni
lu pied pour avoir une idée do la frc}uoncc et de la gravité dos nfreolions
recovaole, tant que la résislancè due cet organe si bien constitué coponrera
dant par le Créateur, Malgré toutes
Offres ridicules. — La France a les précautions prises par lu nature
avancé 100 milliards, ot la Belgique
lour défendre son œuvre, lo pied est
16, pour rAllemaçnc; elles ont encore
0 siège d'une foule do maladies: fouroutre la charge des pensions, la moi
bure, oignons, seimes, bloimos, jiivard,
tié do leurs dommages à réparer. Et crapauds, elc,, dont nous causerons
plus tard.
lo Relch leur jette un os ù rongci'
Lorsque les boltories du piod ne
entre olles deux !
-mutent pas aux yoiix, on les reconnaît
AInal dons, tnndls qiio les contriius
aux signes suivants: le boulot est ornnvnlilos ponitnnt qunli'o OHB par lo» ardinairement porté en avant; lo plod est
muet RllomaïKlog Roi'nlont vxpositos ti roaplus
chaud que son correspondant; si
tor InilOniilmont dnns la (ItfsoliUlon, l'Allo
on franpe dessus avec un marteau, ou
mngno PonlinuornU h constriilro llhrpmont duna la noiir ot ulllouni do noiivallm si on fait dos pressions aveo une triuulnos, dos Imula-fouriiuaux, don ooronii
poiso, l'animal signala do la douleur
d«« nmloH, doa olicmlns do for. 1.» DCIKI
en So défendant ; soumis ft un exoreicf
(|uo ot lu Krano» Ront riisoluos k no uii» Il boite de plus en plus; si on lo fait
Buutrnr optto inltitillO
inarelior sur un terrain doux ou sur
Coinnil.sslon Internatlonirle, — Le du sable il boitera moins quo si on
exerce sur une roule ou sur un sol
Traité a in.slituô la Gommission det^
dur; enfin si les membres sont portés
Réparations; il est inutile ot interdit
on
avanl et qu'il s'avance avec peine,
lai' conséquent, do la dessaisir ou de
on doit redouter la fourbure.
a remplacer,
(d snture)
L'aint des Cainpngnes.
Otu'ontles. — Lo Rolcli fait dos promesses. 11 en avait fait d'autres, qu'il
n'a jamais tciiuos. Alors?.,, « La F r a n
ce cl la Belgique, dit la réponse, no
.sauraient se contenter do nouvelles
déclarations allemandes. I l leur faut
des rortltudes. »
18 M O I S : 10
F R A N C S
Rhénanie c l ROhr, — Ici nous de
LES RÉPARAmS
La Seniaeii Etin
l erie
La Conférence de Lausanne
Les Turcs icfuscnl de disputer le
Tûgiuie iiidicinire des étrangers, ol
voilù la iîiférencc on pitiinc, roiunic
le T) février dernier.
Eli Koniinc, la demande K^gltimc
tics ullii", no porlc que sur lui seul
oint. Dnrnnt je régime lininsltolrc
û uns pendant lesquels le (iouver
iieinent (nrc procèdcrn A unu réorga
nisullun jiidieiulre, il ne pourra pas
(j' avoir pour les élrungers d'arresta
lions, do perquisitions, d e visites d o
inielliiiireM, de détention, sans lo
visa (Ic9 l'oncllonnalros étrangers en
gagés par lo gouvcrneniont tiu-c et qui
auront élé choisis parmi les Jurisites tka pays n'ayant pas fait lu
guerre de 11)14. Cela dans les. seules
;v)rconscrip(ions judiciuiiTs de Sniyrnc
e t de Constuntinonle.
S
Les
alliés
(Angleterre,
Italie
r r a n e e ) avaient sonoé d'abord k po
tier sur In décision d'isim^t. Le géné
i-al Pellé n Uni par y aller £cul ot
mr annoncer que. Paris,, en mfiniô
enips, adressait une note énergique
il Conslnnlinopte-Angora, ix propos
jdes inouvcincnts de I r o u p c s turques
mir lu fronli{;i'e Syricniu*.
Or tout lo droit que les Alliés cou
Hcrvcnl ft leur nationaux par ce pro.
ot, c'est en .loninie lo «Iroit de l i q u l
ler, avant 1U28, leurs coininerces et
leurs situations, et de s'en aller. Car
les guranllos olTertes sont illusoires
et il n'est pas bon do se inottro sous
le bAlon des Turcs, ou leur cime
terre. Cbiétivns et ua|boliques le sa
iVont,.. A l'excès.
L a Conférence « réserve •> donc
l'ortlelc des Capitulations, et continue l'examen des autres questions.
Cette inanlèie d'imposer des con«
dltionii do |Kiix & un enueml, battu
abondiMninuiit ot dépourvu do flnaneus, est proprement admirable.
Î
S
Bavièra
L e déploiement d'armes et do forces niililali'cs, le 1" nini. par les
troupes d'assaut nationalistes, a été
tellement scandaleux mi'unc réaction très iiotto se prodMit. Bagarres,
protestations, conuamnntions, toute
la IjTC. Fnut-11 redouter une guerre
civile? Faut-il croire U une prochaine
dictature Hitler? Ce foyer d'agltalllon,. trop proche do la n u i i r , est h
létouller.
RoumanU
*
?
If
! Il
i
Ce poy9, qni a beaiKOup soufTert
Ide la guerre (les Boches s'y conduisirent un hordes d'Attila^ se relève raldcInent, — non sans brimer les exongrois devenus ses sujets, ot en
. Particulier les catholiques. Les contributions arriérée? ont fourni 2 milliards et demi do Ici, et kss impôts
réguliers ont été doublés (9 milliards
nu Heu do 4 et demi). Iôur amortir
en 40 ans la dette extérieure et poyer
le milliard et demi déjà exigible, un
e m p r u n t 4 % a été émis et largement couvert, Il reste ù exploiter Tes
fichosscs naturelles du pays: l'agriculture est en imiuense progrès ;
quand les capitaux étranaers auront
été sollicités, les mines (Te charbon,
de Ilf^nite, de pétrole, ht houlll'e
blanche seront mises on valeur sclentiflqiiemcnt. O n peut faive conliancc
jk lu Roumanie.
fi
Hongri*
L e comte Bethlen, président du
Conseil, demande à la Coiumisslon
ides Réparations de l'autoiiscr ù engager les ressources et lu.<i biens,
Jiypothctiués nu profit des AHlés par
le Traite de Trinnon. (kjl.t pour gar a n t i r deux emprunts: le premier, k
court terme (40 {i 80 millions de couronnes-or) pour restreindre l'inflation fiduciaire; le soroud (!M)0 ii 050
millions do couronnes-or), ù long
terme, pour les besoins généraux du
pays. — L a Hongrie parait k plu«ieurs trop agitée, trop « m l Itaxiste » et royaliste. Elle possède u n
H o r t h y , qui fut mais qui n'est plus
roj-nllste (sauf peut-fltre en faveur
de Horthy). Mais un Seipel vaudrait
«lieux.
i?
I!
ifï
a
Pologne
Lo moi'échal Foch est reçu on
randc poinpo et avec enthousiasme,
léjù marécnal ô j France et moréchal de Grandc-Rretagne, le voici par
Surcroît maréchal de Pologne, citoyen
kVhonncur do Vnrsovle, ôMd-crolx
ido l'ordre V l r t u t i militari. — I l oura
Vitudlé lo sltuotlon militaire, consolidé l'ulliance franco-polonaise, et
paré k des dangers éventuels du cAté
de l'Est, o(i la Lithuanie
regrette
V i l n a , o(i la Russie menace ouvertement, et d u cAté de l'Ouest, o(i lo
Reich ne se résigne pas.
ir,
S
'12
k
Etala-Unis
M . Hughes a déclaré nu Sénat que
le gouvernement ne réclamera pas
aux Aillés le règlement «le leurs dettes: la France et la Belgique, dit-ll,
« n t assez k taire dans la H l i b r ; l'Ito11e se réorganise; la Pologne souffre
d ' u n change trop variable. Seule la
Tchéco-SIovaquie a offert u n certain
, remboursement. I l semble donc que
la grande République tioceptera, finalement, d'être payée sur les bons
' o l l M n m d s do la série C, les phia aWa• lolrea, mais qui, si Wnalilngton entend les faire rentrer, venlreroat aaas
Jraiiier.
Conffronct
•
..
<
"
f
3
ttf: à^J^Menealtaa
«MB*
MauateitmifnatM
.éM
S réparUr
comme suit : Etat, 1 million
407.000 francs; département, 433.620
francs; commune,. 280.680 francs.
2» AllocuUon do la prime à la naissance
d'un enfant dons toute ïamillo complant au
moins trois enfants vivants.
Les primes annuelles soraient environ do
3.100 par commune, engageant une dépense de 1.530.000 francs, à répartir :
HIat,
1.025.100
franea;
département,
102.940 francs; communea, 201.9G0 francs.
Lea communea ont été consullécB pour
connaître lo décision éventuelle des conseils municipaux dans les deux cas envisagés.
288 communes sur 298 ont fait parvenir leur réponse: 7 ajournent leur décision;
3 sont d'avis quo la prime soit accordée au
delfi du 4' ou du 5' ou du G» enfant; 30
refusent de collaborer k l'effort du département parmi lesquelles, Qulmper, ni-est,
\Iorlulx,
Lambéitellec,
Le
Gullvinec,
l'i-nmarcii. etc.; 139 sont d'avis que la
prime soit accordée nu delà du 2* enfant
vivant: 62 autres exprimant leur préférence pour l'allocntloiï au delà du 3', maia
colliibororaient ù l'effort du déparlement
si le conseil décidait l'allocation de la primo
au delà du 2'.
SI l'allocation au delà du 2' enfant est
adoptée, on obUent un total de 201 com
muncs représentant
4.478
naissances.
4.500 en ciilffres ronds, pour lesquelles la
dépense annuolle s'élèverait 4:
4.500 X 300 = 1.350.000 francs
dont 2G7.300 fi-ancs au département et
178.200 franos aux communes.
D'autre part, 47 communes se sont pro
noncéps pour l'alliocatlon do la primo seule
niiMit au delà du 3* enfant vivant. SI le
consnil général adopto cotlo façon de voir,
les 201 conmiunos précitées se rangeraient
à sou avis.
Ou Aurait ainsi un faisceau de 248 com
munes (201
47) s'assoolant à l'effort
du déparlement et en cblffrcs ronds, 6 p.iyer
aiinncliement 4.100 prime», soit 1.230.000
franco, dont 243.540 francs incombant au
lépartcmcnt et 1C2.3G0 francs aux com
muiies.
Au coa o(i lo p.onaell général adopterait
tout autre solution que 1 une des deux cidessus visées. 183 communes ont déclaré
collaborer à l'c/fort du départemont; pour
ces oommuncs. 11 y aurait à allouer 4.000
primes au delà du 2' enfant ot 3.200 au
delà du 3'.
Tel était l'élat do la qucatlon, Impor
tante entre toutes puisque, mémo dans le
l-'lrilslére, se pose lo problème de la natalité. L'excédent des nalasanccs va toujours
n diminuant: 10.021 en 1920, 7.173 en
1921, 0.285 en 19221
AprôB en avoir délibéré, le conseil péné
rai:
1» Approuve le projet de règlement dé
lartomonlttl présenté par M. le préfet
1x0 la prime à 300 francs; son allocation
à parUr du 4" enfant vivant, dont 07 0/0
il l'Etat, 10,8 au départemont, 13,2 aux
ommunes;
2° Vote les crédits nécessaires pour que
lo fonoUonnomoiit des primes ait lieu "
compter du 1" Janvier 1924.
Les citoyens Masaon ot Ooude font des
réserves: Il leur en coûte de reconnaître
lo mérite des familles qui donnent des dé
fonsoura ft la pairie.
Quant il M. I,e Louédec. nu lieu de primes aux famlIlOB 11 préférerait des aubvonllons... aux villes où la natalité est la
plus forlel
âbonnenpinsl ma
li m
vons citer textuellement ;
1,0 Oouvcrnpinont lielgo ot lo Oouvcrnnmonl frunçnls ont d()pld(* qu'il» iru'vnnuc.
rolont le» torrltolros nouvollomoiit oouupilH qu'A moiuro et on proportion do» piilonunl» plfocUidg, IN n'ont lien h cliangor ti
ollo riisolullun, i.
" l U no peuvent, nu surplu», j'ompfelier
0 romnrqiier que la noto allemande n'cBt
d'un bout (i l'nutro quo l'expression h polne
vollOo d'une rc'vnlle sY»li!matlquo oonli'o le
trullO do Versidlloi, SI ollo pouvait firo
prlflo on cnnslili'ratlon, cllo nlioullralt falaomunt tt lu defilruotlon tulalo ot dOllaltlvo
do fo tralti>, h la niJcossIli! d'on ndKOolor
un milro ol h la rovanolio morale, (Toononique, pollUquo ol mllltalro do l'Allemngni!.,,
« I.o» Allk'» devr,lient lui rcndro linmc'diatomont lo liiimtnoo do la olauao do lu
nutlnn la plus fuvorUitP, co qui lui pormotIralt (lo pi-onipi' (les ruine» qu'elle a ocoumuliio» on UelBlque ol en Franco pour »'as«uror rapidomunt la i<up('rlorlli\ Induatrlolli»ur lo9 paya qu'elle a dcivaslb»,,,
» I.a nclKlquo ot la Kraneo devraient
abandonner lour» gagea; olles dovralent
rester oxpnBtfe.s à la vloloneo de» agonUi
du gouvernement allemand; et, en retour
do tou» eos saciillcea,. elles rooovivilont une
folH onooro quelques mots sur du papier.
n Lo goiivurnoment allemand, s'il veut
bien fairo un retour sur lul-mOmo, no s'iitonncra point qu'elle» refusent un lai
mnrelirt, »
Et mainlonant^ attendons les nouvelles intrigues. Le Reich sait qu'il
[)out compter sur l'Angleterre, dont
'aberration ne s'explique pas. Ou bien,
ollo s'explique seulement par la haine
do la Haute-Bunquo oontre la France,
ol les motif.s do oelte haine sont d'ordre religieux autant quo d'ordre politique. Les Ktats-Unis, trop bochophllos jusciu'alors, somblonl fraîchir ;
semblent. La Russie el la Turquie,
soiitnnii.s par l'indaslrio allemande,
.«•.ouliennent lo Ilelch par leur olistruction do Lausane. La nitte n'est pas finie.
'»
Lo procès d'Essen oppose lia bassesse sournoise dos criminels' boclios
k la loyauté longanimc dos soldats
français. Sous ce nom do criminels
boches nou.'S comprcuons M, Krupp
von Uohlen, le grand chef, qui rejette
toute la responsabilité sur les quatre
dlrocleiirs de ses usines; ces directeurs, M'M, Hriihn, Hartwig, aSsterle,
Reinsklaus, qui n'ont rion vu, rien su,
rlon ontondu, disent-ils, ou bien ils
n'ont rion compris; en tout cas ils sont
certains do n'otre pas coupables; l'émoutier Millier, qui a commandé l'nssaiil contre les soldais français nifMS
qui ufllrmo avoir voulu, co faisant, les
sauver. Sauvages et menteurs, tous
ces boches. En face d'ouit, co bravo ot
00 bravo homme, lo lieutenant Durieux
(48 ans) qui fait avertir les bochos,
par deux fols, avant do faire tiror,
puis c|Ul fait tirer en l'air, qui ordonne
ensuiCe de tirer le plus haut possible
ol qui enfin, pour sauver ses nommos^
so résigne ii commander: Feu! E l tout
cola sous les projecliles de toute espèce, et au milieu de milliers d'onnemls I
Quelle différence nvoe ces boches
qui croient so tirer d'affaire en niant
tout, comme co pholn^fraphe auquel le
Conseil do guerre mm.'rc to.-^ photos
qu'il a prises, et qui déclare n'avoir
absolument rien vu I
P. L . D .
— Lo jugement a été rendu mardi.
Krupp est condamné h 15 ans do prison et 100 millions do marks d'amende,
aolt environ 4 miUionB do francs de
notre monnaie.
pan-amlrloalnt
L a Conférene* VIMT de M termiM r l a r n qv'anetui a c t o r d n'ait été
« I t t l a l i v r 1» queiUon
arme*
n w U naval!, l a
des nation*
américaines «t l a doetriae 'do MotiVOëk
Cepcnidant. certaines mesures relatives k d'antres oBestions ont été
« d o p t ^ . Detn
M Î f t é s . dont l'nn
K S L ^
^
m a ï q u * de
> oule«M «( d'un dlipenaatra aatUul>econleux
k l'hoaô ,dlo Lampeur*«agago de» dépenses s.'SIsmnt A Ii8.67& fr. 00 sur lesquels
fo déparisment conlribuera pour 50 0/0.
Rleuvsmtnt de la population. — Lo tableau du mouvement do la population du
département pour lea années iffm et 19Î2
HO- présente comme 11 suit;
Naissaneca d'enfants vivanta. — 1921 :
l!».4ItO ; 11)22 : 18.570 ; 1022, en moins
020.
Morts-nés. — 1921: 739; 1922: 090 ;
19?!i, en moin», 49.
Mariages. — 1021: 7.818; 1922: C.OOS;
1922, en moins: 1.1B3.
Divorces. — 1021: ir,4; 1922: 131 ;
10Î2, en moins: 23.
Décès. — 1021: 12323; 1022: 12.291 ;
1922, en moins: 32.
Roeonnalssances d'enfants:
Illégitimes. — 1021: 458; 1922: 532 ;
1922, en plus: 74.
Transcriptions ou rectincatlons. — 1921:
4.431; 11)22: 1.C18; 1922, en.plus: 2.813.
Primas è la natalité. — Comme BUlto aux
coneriisloris rirlsea en noflt 1922 nîir h commission do l'Intérieur, M. le prefel a mené
une onquOto près des communes en vue
d*éta1)llr un projet déllnlUf de réglementation do primes à la natalité.
L'Kttif supporte 67 0/0 de la dépense :
les 33 0/0 restant sont & répartir dons la
proportion de G/10 pour le département et
4/10 pour la commune.
Le faux ftwyen do 300 francs par primes
éljuit pris cowino buse, deux eus sont à envisager:
1° Alloeatlon do la primo do 300 francs
il la naissance do tout enfant sun'enant
dans une famille comptant au moins deux
enfants viv.-mts.
Les primes annuelles seraient environ de
7.300 par commune, eng.igeant une déenae de 7.300 x 300 = 2.190.000 fr.anc3
Coltivateurs,
soigne; votre bétail
Veltepist tftt bouUt
L u ^ l o r i e s du boulai sont
eoup plus rares qu'on ne lo croit. S n
«nfel, oans Itmmense malorlld dos oas,
la bouletura provient d'une lésion des
tondons ou du pleo.
i
> Lorsque loa aurfaees articulaires
ibbNdiqtte, laisse, tes. traee*
iia nero
d'MDs.
Nombreux sont les parents qui
prennent soin d'abonner leurs Jeunes
gens au COURRIER DU P I N I 8 T E R C
leur entrée ii la easerne.
Mais nous avons constaté que ta
plupart, d'une part, négligent la réJuotlon (lo prix qun noMa .ivouu ui(<irt«,
d'autre part, omettent de renouveler
l'abonnement au bout do l'année, privant ainsi leurs militaires du Journal
au moment où II leur serait peut-être
le plue utile.
Aiiesl opoyons-nou» devoir mo<t<fler
nos eondltlona, et mettre la période
d'abonnement d'acoord avec la nouvelle durée normale du service obligatoire.
A partir de maintenant, pour 10
francs une fols versés, tout soldat on
marin breton du Finistère pourra peoevelP réaullèrement le COURRIER DU
F I N I S T E R E pendant un an et demi, oii
( u'il soit appelé par le aarvlco: France,
( olonles ou Etranger.
10 francs, tous changements d'adrssse compris, — prix unique, c'est>
k-dlro qu'il sera exigé de ceux qui auront laissé passer 3 ou S mois de leur
temps de service avant de s'abonnen,
aussi bien que de ceux qui auront la
précaution de a'Insorlre dès leur I n corporation.
10 francs : ce prix étant applicable
il tous. Inutile de nous demander ce
que tel ou tsi devront payer. 10 francs
pour tous : seront considérées comme
non avenues les demandes d'abonnement non accompagnées de cette
somme.
En même temps que la première
adresse, les Intéressés devront nous
Indiquer l'époque prévue pour leur l i bération, — ou la ciasso et lo oontlnrgent de cette classe d * ' ou 2*) auxquels Ils appartiennent.
E t toutes les fols qu'il y aura lieu
enaulte de modifler t'adresse, Ils a u ront soin de nous rappeler oelle où en
dspalcr lieu Ils recevaient notre Journal, — ceci pour éviter toute confusion
de noms. Le plus simple es sera du
Joindre une des dernières bandes à ta
nouvolle adresse.
Situation flnanolère dta communes, i M. lo préfet donne communication de la si
tuatlon budgétaire des communes.
I. Siltialion
bvdgéiniye ; les budget»
communaux se sont'réglés dans des conditions satisfaisantes et sans déficit Important.
I I . ICmprunts : le montant en capital
(les sommes restant dues par les communes sur leurs emprunts ou autres dettes,
s'élève à 231.4.')0.9GO francs en augmcntaUon do 1.5GG.928 francs sur le chilTre de
1921.
i n . Impnsiliona : lea receUea ordinaires
et cxlraordinairea des communes, y comprla les restes à recouvrer sont de
;)8.238.87G francs.
Les dépenses ordinaires et extraordinal
roB, y compris les restes à payer, s'élèvent à 38.545.035 francs.
Le total général dca centimes commut
naux s'élève ù 24.952, accusant une diminution de 0.489 on faveur de 1922.
Los 298 (jonmiuncs du département sont
Imposées, savoir: 2 do moins de 15 centimes; 17 do 15 à 30 cenUmea; 63 do 31 à
50 eentimca: 138 de 51 à 100 cenllmoa .
48 de 101 à 150 centimes; 20 de 151 à
'iOO centimes; 10 au-dessus de 200 centimes.
La moyenne dos Imposillons par com
muno est de 84 cenllmes en 1922
(105 c. 50 on 1921).
D'uiio façon générale la situation budgé
taire des communes s'est aenalblement
améliorée en 1922 pour loa raisons suivantes:
1° Stricto observation des Instructions
préfoctoi-alea rolallves aux dépenses comiiiunalos;
'i» Kxcellenic gestion des con.iîclls municipaux et (iévouement dos maires;
3" Importance des attribution» aux communes sur lo produit du fonds commun
des contrlluitions Indirectes et Bur celui
du décime additionnel à l'Impôt sur le clilffre d'affoircs.
A noter que la Bltuallon budgétaire d.js
communes rurales eat nettement meilleure
quo colle des communes urbaines.
Oantonnlera communaux. — L'écliellc
(Suite;
des salaires des cantonniers départemenAulitanoa médloalo gnutulte. — l,o ayn- taux (270, 280, 285 et 290 francs), est
;lli'ut de» phiirmaoloii» du t-'lnlstère s'iitall applicable à parltr du 1 " Janvier 1923,
ofusO, on 1I)2'J, fi acpoiitue la nlduiilkin aux cantonniers communaux.
de Iti 0/0 Bur lo tuilf pliarmaoeullqui! vorégimo nouveau Impose une charge
tiîo par lo l'onaell giîneral et avait touto- do Le
19.80Ô francs, dont lo départomcnt supfol», ft tlire do hlenvelltance anvers lo oon- portera
le tiers soit 6.600 francs. Mais los
Boll gilniiral, eonaonli h proroger Jusqu'au Indemnités
do déplacemcnis, bleyclettes,
I " Janvier lft2,'t lu romlae do & 0/0 ad- résldoneo, rcsient
à la charge exclusive
mise pi'linltlvemenl Jusqu'au 1" mal iti'.!'.;. dos communes.
lie nouveaux pourparlor» ont (itd «ngaLo Conseil décide:
?(!» aveo lo ayndlcat, C'olul-ol so rohiso à
1" Quo l'avancement d'uno classe à la
uute l'iiductlon du larIC pUurmacoutIqiie,
Iminédlatemcnt supérieure sera acmats s'est ml» U'acoord aveo la eonunlB- classe
cordé
par les maires et aur avis do l'agent
slon do vdrilleallon dos miimolre» do l'na- voyer en
ot agrément du préfet, sous
KlHlanea nu'dlealo gratuite dans Ba BOanoc condition chef
d'uno anclonncté de huit années
du ao mars 19Ï3 pour lu niallsatlon d'6- dans ohaquo
classe;
eoiinmlos par lu diminution du nombre des
2* Quo lo départoment participera pour
mddioamonts et la limitation do la quollliï
des iniidloamcnts détlvrOs par ordonnanoe. le tiers do la dépense, déduction faite de
En oonsdquenoo ont ét<) admises des mo- la promièro tranche do 50 francs, laissée
dlllcatlons que lo conseil général diicldo à la charge exclusive des communes;
3" Qu'un crédit do 8.000 francs sera
Introduii-o dans le rôglomont du servlee
gratuit de l'asslBlanuo médloalo cl phar- Inscrit au budget de 1923 pour assuror
l'applIcaUon do la mesure dônt 11 s'agit.
inaeeutlquo.
Volet quolques-unsi do cog modiflcaOendarmerla, —. Relèvement du prix des
tlons:
baux: caserne d'Arzano, 495 f r . ; caserne
1° Prohibition absolue de eortalns mé- do Goncarnoau, COO fr.; caserne do Laadicaments, bien quo eeux-ol Bolont Inscrits meur, 495 fr.; casorne do Pont-Aven,
au tarif;
495 fr.; caserne do QuimperW, 400 fr. ;
g' Paiement do l'Indemnité de « aorvtco caserne de Bannaleo, 045 fr.; caBcrno do
de nuit 0 11 ootto mention Indiquant l'houro Uospordon, 710 fr.; do 010 fr, h Slzun ;
oat portée lur l'ordonnance;
do êOO f r . & La Fouillée.
y SupproBslon do l'Iademnllé de 8 fr. (0
En outrfe. pour l'aménagement d'un cinRllouéo aux pliarmaolonB poiu' délivrance quième appartement les augmontatlons suido mddloamemB do sept liouros & nouf lieu- vantes sont accordée» aux propriétaires :
ros du soir et do sept heures (k huit heures 500 fr. à Brloo, 440 fr. ft Slaurf, 127 fr. à
du matin ot allocation d'uno Indemnité de Plouaévédé, 160 fr. ft La Fouillée.
oinq franoR par ordonnance pendant lea
Un crédit de 1,100 franos oat voté pour
heures de' somoo de nuit de nouf hou- réparations & la tolturo do la gendarmenle
r«i Ou soir & sept houres du matin ;
de Oulmper.
4* Llmllatloa dos doses do corlalnR méMonumsnts htltorlquss.
M. Dcladloamonts.
porte, avoué & Ch&tsaulin, est désigné
Enfants assiitt*. — L'an dernier, tes pour faIro partie de la commISRion déparpris dtsient fixés comme suit:
tementale des monuments historiques en
1 Jour à 1 an, 60 francs par mois : 1 »n remplacement de M. Ouey.
,t oni. CO; t ans & Q sdr, 10; 8 ans &
- - Les MoJets de reRtauratlon concerans, 8B; 9 ans à 18 «ns. 80 francs.
nant la chaj>ello Notre-Dame de BonneL«s piscsmenls d'entants de 8 a 18 ans Nauvelle, & Looronan; l'église Notre-Dame,
lont r4sulle>8, en rsvanohe ceux de 1 Jour au Polgoet; la chapelle de Salnt-Herbot,
h 2 anB Ront nuls: el ceux de 8 ans à 8 ans on PIonévez-du-Faou,. s'élèvent rcaneotlvetrès rares.
mont ft 2.103 fr. 82, 6.472 fr. 88 et
Ls ooaMlt ftdnéral porto los prix de pon- 11.221 fr. 02.
sloa dos pupilles figés do moins de 8 aas,
En vuo do porter los contributions sousstix tiux ^ l - s j r è s :
orltes par les oominuaes ol les partlouJour k 1 Sn, 110 frsnes Bsr mois; 1 sn llera aux ohllfres de contribution totale deI sna, SOI 8 tas a » sas, tS> troaes.
Me par les Beaux-Arts, le conseUgénéBMot» 4,000 frsoss peur subvenir I la
vpte ISS erétUts suivants; Lâron^,
îsell GéDéa
r
llS|!»qrtettr» U . Jaaufln.
l»t!on9f!ft»«R« i ' î ï S l e S ^ ^ i w n ISSf^N
[u-F«au.
'
lUon du département à l'agrandiiiBcmont de l'écui i j do mon (a <U Lannilis
dont la dépense codlenr t9.199 • fr. 85.
— La carri^cc de l'otmor, à Rleo. étant
sur lo point d'être épuisée, le conseil général voto un crédit do 8.000 francs pour
construction d'un cliomin d'accès a la nouvolle carrière aise dans la propriété de
Mme do Brémond d'Ar».
Le conseil général:
1* Décldo rucquislllon des terrains nécessaires pour permettre la continuation
do l'exploitation do la carrière
di'partemenlale de Pewnguer, en Pcnliars ;
Autoriai»
•ervlo» vioiaai ik «ntronrendrs l'exploltâUon de la caiTière d»
Coalmorean, en Plogonncc, en remplacement de ta carrière do Quamcc, dont l'cxploltaUon est devenue trop onéreuse:
3» Vote un crédit de 30.000 franc», dont
26.300 francs pour aciiat de terrain», cl
3.700 francs pour conrtructluB-d'ilft ctieniln d'accès & la eawii-re de Coalmorvan.
L'ouverture de la première session ordinaire du conseil général est Uxée au
liiuill 17 septembre.
I angtiy, Loula, veuve, à Santec : — Tanôiir
der • ^ T i n . r »
Cba>leî7'à^:
D»h,'. r ' • i P ï ' V Joan-M/irie. veuve, k Saiirt} - V'^riné, dirtstopiie, k Plouguer.
n^çau ; — Thomaln, Krancis Jt Brest - _
VuT^JZVi^r-
k «AdiV-'fho.
Tréguer.
J,vcs, â la Roche-Maurice '
Tréguer,
I vça. aà (.ouesnou
Ciouesnou ; — Treut —Nicola»
>>çs.
à
i réouergat : - Trévarln.
à Scaer-t
Tmmëu;
l'Hôpltal-ciamfrout : ' _
Jean-Maric. à SaInt-Pabu T - - ' V e l l y
Yx-?»'
Dans le Clergé
Tout candidat, au moment où il s'inscrit
en vue de la première partie ilu ba'-calauréat,
fournir la garantie d'.-s pr-inièrcs
Par décision de Monseigneur l'EvSque.ont étudo»doitclassique»
communes, en JusUllant
élé nonmiés :
qu'il a subi aveo succès un examen spécial,
Vicaire à Poudalmézcau, M. Calll, vi- qui comporte seulement d.'iix épreuves
caire à Loctudy ;
ccrites, 1 une de latin, l'aulre d» grec, et
Vicaire à Loctudv, M. Pérennès, vlcalrc qui est passé deux année» avant le bacca
a l'Ionévez-Porzay ;
lauréat.
Vicaire à Ploné\-ez-Porzay, M. Huiban
Un arrflé mijilstéricl dt-termin''r.i les mo
vlcaii-e li Klzon.
dalllés de cet c.>;amen que tous les éièvt
devront subir dans les m'ornes condition
absolues d'anonymat pour la correction de»
copie», ainsi que los-cas exceptionnels où
ce délai do doux ans pourra être réduit.
T1THK II
De la « Semaine Religieuse » :
Art. 7. — L'cnpcigiiemciit secondaire pu
Le Pèlerinage diocésain à Lourdes aura
iilic n'est accessible qu'aux élèves qui Jiislieu du 25 au 30 Juin.
Voici les prix des billets : lis sont les tlllent d'une Instruction suffisanle pour suivre
les programmes de la classe où ils
mêmes que l'an dernier.
désirent entrer. .
l"clijso 2'cl. 3-cl.
Un
arrêté ministériel d'iorminera* pour
De Brest
202 f. 177 t. 115 f.
chaque classe, les conditions de celte Justi
Do LaiiUcriieau
255
173
113
llcation.
De Oulnipor
23i
159
100
Seront respcclivemcnt considérés comme
Prière instante de ne faire aucun envol possédant l'Instruction suD'isante pour en
d'argent avant que la direction du Pèleri- Irer dans la classe de sixième et dans cclie
najjo n'en donne avis.
de cinquième, les élèves qui auront subi
Nous admettrons dans nos train.?, en 3' avec succès, soit la première, soit la deu
clasia feulement, un certain nombre de xième partie du ccrlmcat d'études primaipéli-rins Jouissant, au titre de mutilé» do res.
guerre ou au titre de membre» de femillo
Art. 8. — l'n arrêté ministériel fixera I
«ombreuse, d'une réduction de prix supé- iioroire» et 1"S programmes de l'enseigne
rieure il colle qui nous est accoi-déc, c'est- ment secondaire public.
à-dire au moins 40 %. ToJilcfols, le nombre
Art. 9. — Le présent décret sera apnlica
de pèlerins admis à ces titres sera très res- blo, dès lo 1" octobre 1923, pour les élèves
trcinl, atin que ne soient pas privé» de pla- qui entreront dans la cl.is»e de sixièm
ces les pèlerins ordinaires qui, eux. n-j .-auf on ce qui concerne les conditions d'ad
Jouls.seiit de réduction qu'en voyageant dan< nilasioi) prévues à l'article 7.
nos trains spéciaux.
Art. 10. — Dos décrets ultérieur» d-HcrPrière de nous signaler, lor.s de l'inscrip- mineront le nouveau régime des bour»
Uoii, lo nombre .de» pèlerins ordinaires, d'enseignement secondaire, ainsi que Ii
c'est-à-dire voyageant aveo nos billets do inodalllés d'adaptation du nouveau plan d'e
pèlerinage, et le nombre des autres. Ceux- tudcs à renseignement secondaire des Jeu
ci devront prendre leurs billet» à leurs gane» nlles.
res rcspccllvcs, le jour ou la veille du déArt. 11. — Le décret du 31 mal 1902 rcl
part, el recevront de M. le Directeur du tif au plan d'études secondaires est abrogé
l>èlerin;ige, une autorlsaUon de prendre sauf en ce qui concerne los élève» qui sont
place dans ses trains spéciaux.
actuellement en cours d'études secondaire».
Ils auront à payer la somme de 15 fr. à
Art. 1'^. — Le ministre de l'InstrucUon
la Direction du pèlerinage.
publique cl des beaux-art» est chargé de
— Nous nous occupons, dès à pré- l'exécution du présent décret.
sent. d'organiser une voiture pour malal-'ait à Paris, le 3 mai 1923.
des couohéa. Ce sera la première fois, deA. MILLERAND.
nul» la guerre, que nous emmènerons à
Par le Président de la République :
Lourdes de grands malades, et nous espérons y recevoir à cause de cel.i, de la U ministre de l'instruction publique
cl des beaux-arts,
bonne Vierge, meilleur accueil en"ore et
plus abondantes bénédictions.
Léon BERARD.
Pèlerinage diocésain à Lourdes
Les Chemins de fer départementaux et les
nutilés et réformés titulaires d'une
carte d'invalidité à double barre ble/e.
Les mutilés et réformés bénéficiaires de
l'article 10 de la loi du 31 mars 1919 (assistance permanente d'une tierce personne),
sont informés que la c.irte d'invalidllé à
double barre bleue dont ils sont titulaires,
leur donne droit, sur les ligne» d'inlérét local du département, au demi-tarif pour euxmêmes ot à la gratuité du voyage pour le
guide dont ils ne peuvent se passer.
Ces dispositions sont applicables aux premier et deuxième réseaux, à la ligne de
Brest au Conquet et au service marillme
enlrc Brest, Le Conquet, Molènc et Ouessant.
L'adressa des lettres et colis
pour nos soldats
en Allemagne occupée
Le Sous-sccrétarlat d'Etat de» P. T. T.
communique les note» suivantes :
Pour éviter les retards dans raelicminement des correspondances et même le» pertes d'envols de fond» à dcstlnallon des
I-'rançiii» résidant en Allemagne occupée, il
est recommandé Instamment d'Inscrire sur
l'iidresso l'indication du secteur postal militaire, avec la mention « Poste Restante »,
sauf pour les villes d'Aix-la-Ciiapclie, Bonn,
Coblence, Cologne, Créfeld, Ludwisslnfcn,
Mayence et Trêves, pour lesquelles les correspondances porteront la mention : i. Aux
soins de la Section Economique
Le public est admis à envoyer par la poBte
gratuitement, à ch.iquo quinzaine, un pauct du poids maximum d'un kilogramme à
estinatlon des militaires de l'armée du
Rliin. Ciiacun de ces militaires recevra de
son unité, uno fois par quinzaine, un « Bon
pour un paquet postal graluitf Viique .lo bé-,
néllciaire devra faire parvenir.aux personnes susceptibles de lui envoyer des paqucta.
Ces bons seront valables pendant un mol».
Lea paquets gratuit» seront acceptés aux
guichets de» bureaux de poste sur la pré»cntatlon de ces bon».
3
Fédération régionaiiste de Bretagne
Après entente avec M. L. Qulnlou, 1" ad
Joint à la municipalité de Quimper, la dat'
du Congre» primitivement Ilxéc fin Juillet
est reportée S fin août, du mercredi 29 au
lundi i) septembre.
Celte mesure a été prise sur les réclamations de professeurs et d'étudiants, pour
qui le» derniers Jours do Juillet sont la
période de» examens.
MÉDAILLE DU TRAVAIL
suivant :
P^sennes dont les noms
MEDAILLES DE VERMEIL
de Lorient. à Lanriecla Société
ttn.'ir-'-"
M Mo
maison veuve Girres
çt d» Penanros (ils, Ù Concarneau • MI „ A
Co
! B
d
Péton.
à -Tréboui ; Mme
•uve Léyidé, oi
dans la maison C. et
A. Lemarchand, àricrc
Iréboul : Mme veuve
contrcmallrcsse dans "
nc-ai:
° P'.aanros llis. i Concar
MEDAILLES D'ARC,ENT
ma:son
maison Lemarchand flis î-i r t r û f l l s / ' r T r ^ boul ; Mme Ubelhc, ouvrière dan» la m i
son L e m a r c l i a i d - n u c r - ^ t a l m n
^çiion. ouvrière dans la ma son Lemareinn i
s et pctit-niB, à Tréboul : Mme vem-e
l
v ï Û v e ° r C . f „-,
M f^-ldinière
maison
enanrosdans
llIs, àf Concar\eu\c Garros
et de Penanros
ncau
Mme Cloarçc.
ouvrière liis
dans la maison LemarchaSd filTetlêm^^^^
(Suite el
fin)
carneiii
MntS.-ti-lour,''«^"""ros
fils, la
à ConMme» Médailles de bronze
carneau ,• Mme
ouvrière dans
mai
1.0 Page, Yves, à Chiteauneuf-du-Faou
.11.
ooB.
manœuvre
dans
la
mnisnn
i
nmi,.
— Le Page, Corcntln, à (Julmper ; — Page,
Plerrc-Marlc, à Lambézellec ; — Pallier, çhand fils et p e U t - l l i r à ' l Y é ^ l • Mlle
Uourlaouen, ouvrière sardinière dans la ma
Krançois, veuve, à Landéda ; — Palut, Jean
son Veuve Garros et de Penanras m f
.viarle, à Cléder ; — Le Pape, Alain, à Qulm
per ; — Le Pape. Erasme, au Gullvinec ; —
Le Pape, Gustave, au Guilvinoc : — Paul,
O t-®filf"à
Lemarchand fii» Cl
Yves, veuve, .à Saint-Pabu ; — l'cllan, Jo- P
|ieiu-nis, a Irébou : Mme veuve r.nvit
seph, veuve, à Ploudalmézeau ; — Pellay
pctuifils "à Triboïï^'n'i
«is ^
Jean, à Poulh'.n ; — Pellict. Jcan-Loul», '
!
Gucrncc, chauffeur
Dinéault ; — Pelloté, Jean-Louis, à Brest . r i
'nduslrleile de Lorient, à Lan- Le Pemp, Vincent. & PIogastel-Saint-Ger- ïi»,.
riec ; Mlle Helou. ouvrière friteuse < in» H
inain ; — Pcnnanéacli, François, à ErguéCliarles piance.êlle et i s! à P!o ,Gabéric ; — Pennareun, Jean, veuve, à DiS J. n T •'."U^"' ouvrière dans a maison
w e
Chancercllc, à Ploaré ; Mm?
néault ; — Pcimec, Jean, veuve, à Salnt.Marc ; — Pennec, Hervé, à (Juimper ; — veu\ç Kerivol, ouvrière dans la maison r e.
marchand fil» cl petit-fils | Trébou? • M
Pcnnor.^, Jcan-.'viarie. à Lcsnevi-n ; — Pcn
von. Louis, au Gullvinec ; — Pérénès. Coren
son'ffiei-eîHn'''^/'^'''''.^''''''^ "an» ï i mailin. à Dinéault ; — Pérénncs. Jean, à Salnt?
fil.»
frère», à Concarneau ; Mme
Tliois ; — Perllzou, Prospcr, à Lanrivoaré
I.agadec ouvrière dans la maison Lemar— Pérou, Corcntiii, ù Trégouroz ; — Pérou, cliand fils et peut-fils, à TréboSl T M X LaJulien, au Guiivinec ; — Péron, Corcntin
'n^'"'»" Lémarchwd
Oouézec ; — Péron, René, au Relecq-Ker- fililss ei
et petit-fils, à Tréboul : Mme Laviner
iiuon ; — Péron. Yves, veuve, à Brest : — i ' ï ^ n Z ^
induslrielle'de Lori?n !
a Lanriec ; M. Le Meur. ex-ouvrier ferblanPerot, Alain, à Lapirivo;<ré ; — Perrot, Jean
et fil» frère», à
Marie, à Guipavas ; — Perrot, Jcitn, à SalntHenau ; — Perrot. Joseph, veuve, à Lan- Concarneau : Mme veuve Le Moan, ouvrière
déda ; — Perrot, Jean-.Marie. à Chau-auiin
Perrot, Jcan-Loul», au Gullvinec ; — Per- fiL ft TrîhnT-V/"?'"''.''"'! "'s e' Petll.n» i 7 ~
•
Le Moigne. mancEuvre
son, Jean-Louis, veuve, à Lanarvily ; — Potfil» et petition, François, à Plouarzcl ; — Phélep. Jean- flî, à Tréboul ; ^marchand
Mme veuve Lijeour ou.Marie. à Ploudanlel ; — Phélep. Jean-Marie, Uls,
'an'riee^
industrielle d^Lorlent à
i Guipavas ; — Philippe. Y'ves, à ErguéPr ^..n
""vrier boîtier
Gabéric ; — Philippe, Jean-Mjrie. à Quim- «omîi
nenffl.^
'i',
Lemarchand fils et
per ; — Picard, Sébastien, à Scaer ; — Pi- friër'hlf-'.i"
^'•'^'î''"'
=
Lozachmcur.
oucard, Jéréme. à Liindlvlslau ; — Pichon, èh-fnrt m ".^''".'^.'''i'; "••'"S '••« ™alson LÔmarFrançois, à Slzun ; — Pichon, ,Iean, à Dià Tréboul ; Mlle Lonéault ; — Pinvidic, Toussaint, à Plouider
ch J i ï
0"vnère dans la maison Lemar— Piriou, François, veuve, à Guipavas ; — ch,ind fils et petit-fils, à Tréboul ; Mme LoPlantée, Louis, à CliSteauneuf-du-F.iou ; — cln'.Tflî
iî'?""
Le™»?:
Plassard. Louis, à Brennills ; — Plouhinee,
petil;;ils. à Tréboul ; Mme
cuve Madezo. née Korguelcn, ouvrière dans
Cuiliaumc, à Ergué-Arniei ; — Plouzonnec,
Pierre, au Gullvinec ; — Pluchon. Goulven, n w h ^ ?""».'''^"""'''''"^ '"8 et peUt-nis. à
ù Lampaul-PIoudalmézeau ; — Pochât, Jean- Tréboul ; Mme veuve .Madézo, ouvrl.'.re dans
Marie, uu Gullvinec ; — Podeuc, Pierre, nwhii'.lfPM'''""?.'"'^'"'"'
et petit-filsri.
veuve,, à Lanrivoaré : — Poirlel, René, à
li-éboul ; Mme Marec, ouvrière dans la niaiErgué-Oabéric ; — Pondaven. Eugène, i
son Lemarchand 111s et petit-fils U Tréboul;
Loc-Brévalaire ; — Pontiiou, Louis, i CluV
teauneuf-du-Faou ; — Poquet, Guillaume. J Mme Mme Journalière dans la mai.son Rôdcl
'Z'"';:^-Concarneau
; M. Miraux.
Ouéménéven ; — Poquet, Corentin, veuve, i X ^ l f
gérant de 1 usine Amieux fr.'-rc» et Cic, à
Plomodlcrn ; — Poquel, Gabriel, à (Juimper
Minl-Guenolé-Pçnmarch
;
Mme
Montfort,
— Postée, Joseph, à Hlec-sur-Bélon ; — Po-i,1'?
"ené et Robert
Ic-laouen. Corenlin, au Cuilvincc ; — Poutlaiancerelle.
à
Ploaré
;
Mme
veuve
quen, Jean-Louis, à Landivislau : — Pouli- fil» et petll-fils. à Tréboul ; Mme Péronveuve
ciuen, Pierre, à Landerneau ; — Poutiquen
l-rançois, à Quimerch : — Poulmarcb, Joseph, à Brest ; — Prémcl. G.abriei. à Plouia Tréboul ; Mme
der ; — Prigent, Tanguy, à Guipronvel ; —
^
'.""J"",'"",'*
®''eiété lnduslr;ell-î
Prigent, Jean, 6 Brest : — Prigent, Louis, ï w w k'^™!'' c Lanriec ; Mme Pézenncc. oudc Loricnt,
à Lambézellec ; — Prigent. Je.in-Loui.s, à r
®
Piciiavant, ouvrière huiLainbézelleo ; — Prigent, Jean, à Gouézcc ;
— Prigent, Auguste, à Lambézellec ; — iouse dan» la maison Ch. Chanccrclle et
f Is. à Ploulimec ; Mme Poquet, ouvrière
Provost, Guillaume, à Ploudalmi'-zeaH.
t^han'crellc et fils,
Ouéau, Laurent, à Cléder : — Ouetrélec,
Jean-Marie, à Oulmper ; — Oueffolec, Au- à Plouhinee : Mme l'ors. ouvrière dans la
guste, à Trefriagat ; — Queffélec, Pierre, à maison Lemarchand ot pctit-fils. k Tréboul,
Quimerch ; — Ouégulncr, Jean-Marie, à .Mme veuve QuéJen. ouvrière trieuse dans
Sainte-Sèvé ; — Quéguirier. Je.-m, à Lambé- l L i " ' ? "m^ Krsué-Gabéric ;
zellec ; — Ouélcn, Jean, veuve, à Ergué-Ga- •Mme Quilhv c. ouvrière dans la maison Lebério ; — Ouellec, JérOme. ù Plougonvclin ; "'^"•.h-'n'l flls et petit-fils, 4 Tréboul ; Mme
— Qucincner. Jean-Louis, ù Cléder ; — Qué- Mvélédcr, ouvrière dans la maison L e m a r méiier. Yves, à Cléder ; — Quéniéneur, Eu- chand nis et petit-llls. à Tréboul : Milr
gène, veuve, à f-ainl-Renan ; — Quéméré. b-oum, ouvn.-re sardinière dans la maison
Jean-Louis, à Saint-Evarzec ; — Ouentel. Ju- veuve Carres et de Penanros fils, à Conles, à Brest : — C'uén'. Jean, à l.andunvez : cai-ncau ; Mme Sléphan. ouvrière frileuse
— Quéré. .Jean, à Ploudiry ; — 0"éré. Co- II.ins 1,J maison Ciiarlcs Ciiancerelle et fit»
Kr
rentin. à Ergué-Ciabéric ; >— Quéré, Jean- .1 Plouliliicc : !Mme Tiiomas, ouvri.'-re dan?
rS
Marie. à Cléder : ~ Quéré. Jean. A l.i llodu- la mai.son I.cmarchond fil» et peUt-fils a
Maurlcc ; — Quéré. Paul, à Cléder ; —
V' î'-l^'l""'' directeur de la sucQuéré, Jean, à Landivislau ; — Quéré, Fran- cursale de la Société Paris-France, ft Quimçois, à Plouarzel ; — Quiiiien. Jean, à Daou- per ; .Mine Tréliuidic. ox-employée dans M
ias ; — Quillien. Yves, à Logonna-Daoulas ; maison René et Robert Chanccrclle. à
— Quiniou, Jean, à Sainl-M.irc : — Quentric. Doua menez.
Nicolas, à Bodills ; — Quiviger, Loui.s, veuve.
il Cléder : — Quiviger. Hervé, à Cléder.
Haguénùs, Raymond, veuve, à Miiizac ; —
ilavaloc. Laurent, à Cliilcauncuf-du-l-'aou : —
iy
Haphalen, André, veuve, k Plogastel-SalntOermain ; — Rebours. Alexandre, à Saintc
i
n
c
v
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T
Pierre-Qullblgnon : — Le Rcsic. Jean, ù Er(du 7 au IIS luin)
gué-Oabéric ; — Reungoat, Mandez, à Lamliézellcc ; - Richard, Allaiii, à Brest ; Prcmlirc
... Départ dc Morlalx S
iUchard. Jean, veuve, à Gouézcc ; — Riou. huit heures.journée.
SaInt-Jean-du-Uoigt, aller cl rel'Icrc, à Ercué-Gabéric : — Riou, Yves, à tour par petit
chemin
dc fer (si possible)Cléder ; — Riou, Jean, à Cléder ; — Riou, en auto ; Morlaix, Carantec,
Taulé, SaintJoseph, au Conquet ; — Riou, Jean-Marie, à l'ol de Léon, Roscotf (déjeuner)
; rentrée
Crozon ; — Riou, Jcan-IMarle, à Sibiril ; — par Plouescat, Kerjean (chàteaui,
Plouitobert, Joseph, à Crozon : — Rognaul. Hervé, vorn, Morlaix (coucher-souper)
à Dinéault ; — Roliou, Pierre, à Cléder ; —
Deuxième
journée.
—
Départ
de
Morlaix
à
loignant, Jean, à Plounéventer; — Rolgnant,
l-'rançol», à BOdill» ; — Rolland, Germain, liuil heures (autos), Salnt-Tliégonncc, Guiilliau,
Lampaul,
Landivislau
(déjeuner)
'îiveuve, au Gullvinec : — Rolland, Jacque». à
Quimerch ; — Rolland, Marc, veuve, à Plou- zun, Commana. La Peuiliée, Loqueffrcl.
wstel-Daoulag ; — Ropars, Paul, à Plouzé- Saint-Ilerbot, Huelgoat (dlncr-coucher)
Trolilèma journée. - Départ dc Huelgoat
v-édé ; — Rosec. François, à Plouzévédé ; —
Kosec Paul, à Cléder ; — Rosec, François, à à hu t heures (autos), Carhaix. Chateauneuf.
Pleyben,
Ch,iteaulln (déjeuner). Quimerch.
Cléder; — Houat, Jean, à Scaèr: — Roudaut,
Pierre, à Plougar ; — Roudaut, Jean, à La- Hosnoèn. Térénez. Le Faou. Daoula». Landcrneau
(dîner-coucher
: BI Impossible counarvllly ;
Roudaut. Jean, à Ploudalmé-/.eau ; — Roudot, Pierre, à Brest : — Roué, cher, aller à Brey oprè» le dîner).
Quatrième
journïe.
—
Brest. Matinée, reYves, à Plouider ; — Roué , Jean-Marie, à
os ou visite par mer de Landévennec (déSlblril ; — Le Roux, Olllvier, à Landivislau ;
cuner
ù
Brest).
Après-midi,
Plougastel par
— Le Roux, Guy, à Ploudiry ; — Le Roux, Jean, mer ; en autos : Plougastel. pointe
de l'Arveuve, ft Cléder ; — Lo Roy, Yves, à Porl- morique, retour par Landerncau, Brest
(dîI.aunay ; — Le Roy, François, à Guisséuy; ner-coucher).
— Le Roy, Jean, à Dinéault ; — Rozec, JoCinquième ioumée. — Départ de Brcat S
seph, à cléder.
Le Saint, Jean, à Loc-Egulncr-Salnt-Thé- huit heures. Saint-Plerrc, Trcz-HIr, Plougoovclln,
Saint-Mathieu, Le Conquet (déjeulîonneo ; — SalaOn, Yves, à Lesncven ; —
SalaOn. Yves, à Brieo ; — SalaQn, Félix, à ner). Trébabu, Saint-Rcnaa, porspodcr Argenlon,
Ploudalmézcau, Lannlll», Lesneven,
Ploudalmézeau ; — SalaQn, Coulven, à Mllllabcnnec, Gouesnou, Brest (dtncr-coucher).
zao ; — Sallou, Jean-Louis, à Plouzévédé ;
Sixième
Journée. — Départ de Brest t
— Sallou, Pierre, à Crozon ; — Salomon,
Jean-Marlc, à Guipronvel ; — Sanquer, Jean- huit heures, par bateau à Quélem ; puis,
en
autos
:
Camarct, Dinatt, Morgat (déjeuMarie, à Ploudiry ; — Scaon, Joseph, à Plonéveî-du-Faou ; — Sellé, Alain, 4 Plouzé- ner). Crozon. Telgruc, Satatc-Marle du Mévédé ; — Sellé, Jean, & Mlllzac ; - Séveii. nez-Hom, Locronan, Douamenez, Beuzec-CaD*
Laurent, & Gh&teauneuf-du-Faou ; — Slbl- Slzun. pointe du has (dlnei^coucher).
Septlim* jonraée. — Départ de la point*
ril, Joan, au Faou ; — Simon. Gabriel, à
Pouldargat ; — Simon. François, là. Plou- du Rai à huit heures uutos), Audîerne,
zané ; — Simon, Francot», à Loc-Brévalalre; Pont-Croix. Contorft, Douamenes (sL Is
— Slzorn, Jacques, à Ergtié-Cabérlo ; — Sou- veille, le paasage a été trop rapide). Qulmblgou, Guillaume, ft Ploudir}' ; — Sparfcl, per (déjeuner). Repos. Banquet et coucher.
Butuim* jooméa. — Quimper, Plonéour,
Joan, 4 Ploudiry ; — Stéphan. Hervé, a PIougonven ; — Stéphan, Jeao-Marle, k Pont- Plomeur, Penmarcli, Loctudr, mt-ÎVtbbé,
PAbbi; — Sttehan, Jean-Marie, à PonU Bénodet (déjeuner) ; après déjeuner, remonl'Abbé i — Stépitan, Joao, au Gullvinec : — tée de fOdet et descente avec les vedettes:
Stéphan, Henri, k Trettlagat ; — Stéphan, reprise dcs^ autos fc Béaodst, BMêll.
Jean, k Qulmper ; — Sterrinou, Joseph, & Foueanant, Goncaraeau (^«(HsouoberK
Mwrttaw lasmis. - . W j S r t ds ConcaN
Qulmper ; — Stum, Jna. (t Ptougastel-DsounsM h luia bfiurss
ias.
Talabsrdon, Victor, k lloscott ; — Tatarrnslq. tfBthttda» t FMspoder^:
Vsteo.
Hpoyeau régime Iles Etoiles secDDilalres
Le « Journal 0[ficicl u du i mai a publié
le décret suivant :
TITRE 1 "
Art. • 1". — L'en»eignement secondah-e
cx)mprcnd un cnsemblo d'étude» d'une du
rée do sept années. II fait suite au cours
d'études primaires élémentaires Institué par
rarlicle 1" de la loi du 28 mar» 1892.
Art. 2. — Tous les élèves suivent le même
plan d'études pendant les quatre première»
années.
Indépe.'idamment des autres matières
communes, le latin est obligatoire pendant
ces quatre premières année» (classes de
sixième, cinquième, quatrième ot troialèmc)
et le grec pendant deux années (classes
de quatrième et troisième).
Art. 3. — Dans le» classe» de Bccondc et
do première, lea élèves ont lo ctiolx entre
l'enseignement classique et l'enseignement
moderne.
Dans l'enseignement classique sont continués le latin à titre obligatoire et le grec
à titre falcultatlf. Les élèves qui subiront
le» épreuves Eupnlémentalre» do grec bénéflcloroQt, pour radnilssibillté et l'admlaBlon, d'avantageB particuliers qui seront déterminés par lo décret relatif au régime du
baccalauréat. L'horaire du grec est réparti,
pour ceux qui ne poursuivent pas l'étude
do cette langue, entre le ft-ançais et la langue vivante.
Dans l'enseignement moderne, le latin el
lo grec sont remplacés par une élude plus
développée du français et celle d'une secondie langue vivante.
Art. 4. — Depuis la claase de sixième Jusqu'au terme dq
de première, lea programmes et les horalïes de sciences sont
ea mSmes pour totts tes élèves.
Art. D. — Les classes de philosophie et
de mathématiques sont scoessibles aux élèves qui proviennent ds Is clasie de premiti^ (pfetls qiifMit «ti Isw option.
'
' II.— i s . baccalauréat sat ta sandlloa
tfs reil|9i0noinsi][t fecoi^datrs.
-
Médaile de la Faniille Fraoçaise
Le recensement
de la classe 1924
La nouvelle loi do recrutement prévoit
que les Jeunes gens ayant atteint oi> d''vant
al teindre l'âge de 19 «ins au cours de l'année 1923 seront recensés de telle façon que
les tableaux de recensement soient publiés
le 1" Juin 1923 ; ces Jeunes gens ne divront, irallleurs, fllrc Incorporés : ceux nés
iivonl lo 1" Juin 1903, qu'à partir du 10
mai 1924 ; ceux nés entre le 1" juin et le
31 décembre 1903, qu'à partir du 10 novembre 192'i.
I l est donc procédé actuellemenl par les
soins de» préfet» et des maires ou rccense/hcnt do la claBsc 1921.
Les Intéressés ou leurs rcpré.-icnlants légaux sont invité», en conséquence, à consulter les africhcs apposées à ceUe occasion et à se rendre à la mairie dans les
délais fixés pour y faire la déclaration à
laquelle Ils sont astreint» en exécution de
l'article 10 de la loi du 1" avril 19Ï3 sur
le recrutement de l'armée.
-UrS'TantïSr = V v S ' P'^fc-Marlo, à Lambézellec ;
î-î
.f""";»!», à la Roeho-Maurice :
Y\inec, Pierre, 4 Plomodiern.
i
Semaine Touristique du FinistÈ-
ite
f x i B o u i i M E à ' S r n i a & T Ë f i f
gant, a oûldbrd Uarle, M6ro de Jésus c(
mOro do» hommes
PI "
.'«uditnt
tes utllces, Un oheeurs do Jeunes
;en!i et de Jeunos fllle» du Polifoiit ont luL'rptiMé'u»MBoatlfls mtfliiUlrs Rrégorle me».
voici' l'horalro des oniros uu sanctuaire
do N.-D. du t''uigoiit lus 10, 13, IJ lil. 27 mal
ot lu 3 Juin :
Mobjos ; .S h., 0 11, 7 h., 8 11.
tiruuU'lu«llêl il 10 heures.
A '.i b. ti?, Vàpros, tiei'iuon,. i-alut.
Losncvcn
•nfant seul uns auto
D,m» le courant de la semaine dernière,
un Jeune entant de 8 ans, Jean Lo Verge,
demeurant rue do Jérusalem, Jouait ù la
bnlle en face du la maison paternoile
qûund ddbouelia uiu; nuta venant de la
pâce Le KId, L'enfant tout occupd à courir apriis sa balle, n'entendit pus l'arrivde
de l'auto, 11 fut ronversd par lu voiture,
cl ueiie-oi lui pasuu sur lu corps. L'automobiliste stoppa aussitôt et releva le
blosad qu'il transporta au domicile de ses
parents.
Le dootenr Orteyi!. manUi! en toute hftto,
vint donner ses soins au petit blessd. Il no
constata, heureusement, qu" do» contusions sans gravité.
Aote stupld»
Leï,
Il y a quelques Jours, M. Pierre Le Le:
^ de la
_ soierie rade.anique
.
dlreolaur
sltude il
proximitd Uo la garo, s'apercovull qu'un
vanilalu s'diait Introduit du nuit dan» son
dlubiisscment, el y avait sectifnnd quatre
courroies do tran.snitsalun. Le prdJuUlue
eausd à I^. Le Lez esl Ue 120 franu» environ.
On su demande vraiment quelle iUde
peut pousser un liomniu l'i uoniiiiuttre Ucs
actus d'une si gramie slupidIliSI
L'Hôpilal-Camtrout
Malado sur la voli publlqua
Noi'I Ouillion, 77 ans, demeurant au
Pouligou, dtait alld fatro des emplettes H
Brest. Vers 1 h. 30 do l'aprèa-mlUI il so
trouvait aux halles Saint-Louis lorsque,
pria U'un malaise subit. Il s'affaissa. Holcvii
par Ue» passants, 11 (ut transporté d'urgenco t niûpllal civil.
PlouRuerncntr.
Epavss
M. Jean L'Haïr, euUivatour 4 l'Odeven,
en Guissdny, a recueilli sur la grève une
caisse do caoulchnuo on feuilles quadrillées posanl environ 00 kilos. Une autre
caisse semblable a dtd ree.ueilllo par M.
François Kouduul, marin-pdchcur au Corrdjou, en Plouguornouu.
PIoiiiléour-Trez
Pour avoir voulu mettra la paix...
Il arrive souvent que, lorsqu'on veut séparer doux combattants, ce» deux derniers
»o rolouruont contre la per.sonne qui veut
les séparer. Et ce n'ost pas soiilomont
cho!; los hommes qu'il en arrive ainsi; oeta
arrivo dgalomont clicz los vaehes, paralt-lU.
I l y a quelques Jours, en effet, Mme Le
Roux fut tdmoln J u n combat ik coups de
corne» entre doux vaotios appartenant a
dos proprldtalros voisin». Elle voulut séparer les belligérant»»; et ce fut pour son
mal. car elle fut projetée dans un bourbier, et assez giièveniont blessée il la tCte.
SaInt-PierreQuilbIgnon
outrages et «lolonoas
Le iP novembre Uernior, une patrouille Ue
marins, conduite par le quartier-maître Adpriou. UescenUait le clicmln de la OranUe
hivlère, quanii il Ht la rencontre U un
groupe de Jeunes pona dont l'un d'eux, le
nommd Ilemeule. Hogor 22 ans, était on
vélo. Celul-cl vint so Jeter contre le guartler-mattie. Une altercation s'en suivit qui
dégénéra blonlrtt en injures et violence».
Demeule a été condatnnd 4 15 Jours do
prison par le tribunal correctionnel de
Brest. Ses compagnon», Charles Manao'n,
1» ans, manœuvre, récidiviste, a été condamné fi un mois rie la mémo peine. Paul
Lo Catr, apprenti il Tarsenal, et Germa n
Lo Coz, manœuvre, 16 an», ont été acquittés, comme ayant agi sans Uiacorncment.
Mort lublto
Le î courant. M. Maurice Mével, 00 ans,
Uomicliid 94, rue Jean .laurès. consacra son
après-miUl ù ram.isscr de l'herbe seolio
Ulins los maral» Uo Cuileri. Le soir venu.
M. Mével ne rentra pas. Do très bopjie
heure Uans la matinée, sa femme. ijiquiiHo,
se mit !i sa reeliorciio en coinpagnin U un
voisin. Vers 9 lioiire». M, Mével fut découvert dans une prairie près de Castol-anDaol; il était dlonUu »iMr le Uo», et avait
cessé de vivre.
,
,, ,
D'apri'» les constatations Uu mdUeoin
appelé sur les Houx, la mort serait duc a
U)ie attccUon c.irdlaque.
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'lueneo lie» pn?UI.'nteur», n'a (ait quo s'aocr.iltie Ou Jour un Juiir.
l.o» eiiranls uni eu dgalement leur soM I S S M
18 iFilIt >
in.'iui'i: leî (.'uruiiln du» ciimmuulona uoloniietli'H, au nomliro de tOV, aont venu» du
DRCST
KU avril uu 3 mal ; le 4 et lo & mal ont dtd
Ch«mbr« (l«i NoMir**
riinMacieit aux tO cnfunis do la eommuuliiii
pnvOn. M, le.curd-Uoyen do Ploudul" LOI notnlra;! OIT l'arnMidUMimAiit de
PhMib ><tunlt on imitHfnliWtf gMnili> le uid<e,ui iU'OiilUii lu mlstilun île» enfantH,' et
eut
pour
cnll.iiiarnteur!) : MM. adidbarl,
leiutl 3 uwli «nt prucdUti k l« lUNiiiiititluii
Bo ilcnx iiiuiiibrvit iit< li-iir Olianiliru en l'cm- reeleur du Trd<illUiilO: l''l»o'h, vlealro -vil
Ifiliiueinniit «hi M' (juciUvI, itohtiro li Liinm- Luulian, el Huud, vluiiire il Plourln-Plou,<Ii!t, ut (lu M* Ldou, notulro A taïuU'riuMU, dalind/.e.iu
l.e.i enruits auisl ont dld admirables de
: iai'i'lv(t!i uti luriiio <lu leur iiiuiulai: vl nim l'OObuMiii' \ijl.iidi'. Ils nnt deiiuld aveu attonaijflbliiH.
tlnn
IntlruelioiiM etalro» et ainiples, qui
Il' uiit litd ooninD's mcnibrct d« la Cliiuii- leur loH
mit lUiV tiil>'.>; lU ont RoOtiV tout parliro pour ti'«J» »nn : M» liinutr, nutiiiv- & tit iiliiMenient
l'"V|'l|u.iMun deg Tableaux, si
l.niul<'rni:au, et M* ll.iijuii, iiulnii't< t'i l.t'o- bien iliiiuii'e pli'
.Ni llom».
Uuo
Niili'i'
li.tme
Kuraalnl bdnlaio le»
, l.a tllinmliro Un (llsi'lnlliu' pniir l'ovor- biint oiiMiors. ijtii do
viennent d'dvanudllsor
l'SIr.d lll'M-ll)ï/t ««il i'i)mpii>nV iMlimi» huiI ; avei'
tint
du
iliHniienieiit
In pari)l»»o do
i' M' HniiHiiy ili)» lii'H'i'li», iiiitHiru A Diiuli- l.aniliinv'/,. et qu'elle maintienne
dans lo»
Inii, piVnlilniui M' Cliomlimul, mitiilri' Il ONpi'ilK ot dan» tes cieur» le auuvenir
i Hiiint-Hvimn, Hynillo; M' Dllimiior, lintniro il paiiili.'» ilo vOritd enlenUucs pondant des
les
IMouxaittl, l'iippni'ti'iii'; M* M.iiigtilii, nu- Jours bdnls do lu mls»lon.
X..,
tiilM il IrCHt, iworiiuilici M* dn Hmlfllui'
au l>or!!li!, iioiitli'a ft 8iUut-l)oimii, trOHuricr; arand Pardon d* Notr«>Dama d« Karsalnt
1/.HUJU, iM)U>li'o (l I.uriilopm'nii, cl BurLe dlmanclio do la Trinlld, grand pardon
Joii, luitali'd ft l.«iini'vi'ii, iiKMiibroA.
M " Le (Inrro, do l.i'siipwii, »t Ouonnour, do la uli.ipeltu du Nutre-Damo Uo Korsaint,
Mi'.44es basse» it 4 h , n U. l / i et 7 11.
Hu lluin'M-liluiii', i'i!oonim(>iit «niiiiiiOii nuONml inessii à I» li. Hosulro il i 11. 1/4.
kalroit litiiioralrci*, nuKlatulciit (k lu rt!iiiiiluii,
Vdprn» A ;i 1>,
ni«uv«rturo du Jardin ketAnlqu*
l.a piol'eKKtiiii partira du bourg lo matin
. Pur (ircJra prOfi-i'lnrol et niir propiisltlon il U 11, et ruvlcmlra au bourg il rlssuo des
tfjvarablo Un Ulrui'ti.>ur du Soi'vitio di' Sanld vdpriH
'Me lu .Mui'lno on (li\ta Uu U niul lOïil, lo
l.ii iliMiinelie in.illn, de 4 h. il P h., on
dardin Bolnnlqua- ot lu Mimilo d'MlHtnIro Nn- ennres,>ier.i el on UlMtetliuora la Salnto ComMiirollu di^poiuliint do VIIAplt.il Morllliiic, iiiuiiluii a 1.1 Cliapelle.
riin l.unnnuroii, ni'runt oiivcrlst itu piilillo
Ce |irtir-IA. lo« pi''lerin», qui viendront A
oiiti Ion juiidlg ot (llinni\('lioi< du oliuitii» 1*0- la rhanelte du Nolre-|i;inie du Korsaint.
iii(lni< (lo U hoiiriv< in fS Uotii'CH, Jiistrirmi peuvent gagner une Iniliilgeueo Uo 7 ans
ot Ue 7 qii ipanlnlneH. puiirvu qii'll» y prient
aux Intention» du Suiiveruln l'nntlfo. S'il»
ii'plvmljro ili;!J.
se cnnfosNunt et eiinmiiinlent, lia peuvent
f„
Acoldont
gagner uno InUulgeni'o ptiiiilCrc.
•
1" fniir.inl, M. Knlalilp, (>mpli>.vt'alclio?.
Bris d* olôturs
n»vU'ii
AI.
btilpliuii,
au
port
i'
IIIM'VIJHIIIII
kU Ul^lllUlt'HtlIllUIll ilu
Frantjols r)ag<irn, 34 an», nmcon & Lani(i
I* Bruto, » Il s'ciiliet'jc
dunvez, so prdsentalt clini; lo eultivatour
Dialtro (pil UU Ht voiimiquor qii'U nVhUt pan Yvog IloivO. Il y a di^Jii (pielque temps. Or,
giruOt^t d« roNlor ioua Ioh irti«ii. Au nio- llervd rcTusant Uo lui ouvrir, Dagorn enii\ont inOino où II Hï'Ioljiniilt, u flOolio d'uno fomia la porte ti coupa do plods. Traduit
•rue piimnlt nu ilnHau» d'eux, d uni? brl- piiur ce fuit devant lu tribunal oorrootlonSuellu, t'h tiniibunl, »ttol|inU M. KMinlUo A nul do Brest. Dagnra a dtd eondamniS &
la lOto, <Jotul-cl s'nffulttua et perdit oonunU- Ï 5 (ranes d'amcnUo.
fancfl.
^ Il (ut conduit «UHnltiM dan» uno ollnlquo
Lniiildut
ito lu vlllo, ot II dut y «ublr l'npi'ratlnn du
Arrostatlon
'trilpa», Mnlurd Iwh Holns qui lui (iiriMit
JtlonnOs, lu bloniii) gucoombn au bout do qucl,Tcan Mli^s. 29 ans, marln-pdolieur i MoquÂ jourH,
saneuu, dialt sou» lo coup U'un mandat
M. t'sldhle talnso uno veuve ot doux on- d'amener pour vol, coup» ut blessures. Il
Vauls.
a dld arriHd samedi par les gcnUarmos et
• i M i i h bord
mU il lu UIsposItioa du purquot do Brest.
Au couru dus oxoi'olocH que (.tlsalt en
Lo Coiiqiiot
mor lo conlro-lorplUour » Kabylt» », le ma,teint Pranqolt Orouet tomba ni malcnoonL'aocidsnt. du « LIparl •
trcusoniviit nur une botte de ter qu'il s'cntilUit fortement le noz et la ligure. Il (ut
On ne saurait encore dire au Juste com
ludml* d'urfienoe <i l'hôpital marlllino,
mont s'est produit l'acolili'nt Idont noui
avons
parld dan» notre Uornler numtfro. Le
iHM i bord d'un torpIlUur
service d'bydrograplile u fait effectuer des
• 11 y a Quclquoi) Jour*, dans le courant .sondage»
dans les parages où l'aooldent
do l'iipr^K-inldl, doux mntololH HO dlspuproduit; Il y a ddonuverl do nouvel
t,lient A bord du torpilleur « Buino », liir.i- s'est
le» roehos; mais ces roche», selon lo eomniio lo moU'Iot almuffour 1,0 Ster, Jean nianilant Uu paquebot, ne so trouvent point
.vciulul Intervenir. Mal lui on prit, car lot sur la route MUlvle par lu <> LIparl. »
doux vnmiiiii» «0 rolourn6ri<nt oontre lui
Le Udcliargemeiu du paquebot s'est
cl lo muèrent d« coupa do pied et du poInK. continud de (uoon normale ; 30i) tonnas enIleluvit uvco doB oontualonH inultlple.<(. prln- viron de vlanile avarlde seront noydes au
ïlp.ili'nii^nl & la (ui!0, le chauffoui' a Ole ad- largo; une grande partio de la eargaison a
jBiU il'ui'BeiKO ft l'Hdpllitl marllluio.
dtd transborUdn sur un vapeur anâis, ou
trunsportdo il Brest pour ^tro plaode dans
BrijciioKan
lios wagons spdolaux.
(In grand nombre do curieux se sont
T«n4«tlv« d* eambrlotag*
rendus dlmanclio aux Blancs Sablons pour
• Pondunt uno abaonoo do Mlle Anna Cor- assister aux opdrallons de ddoliargement
nco, roeevcune A lu garo do Brlunoniin, un du navire.
nialfalloui' n'oHl Inlrudult daaa lu «.lUe d'atPrisai noarltlmia
tente et a tontO do piindlret p.u' cffraellon
'duiis tu local Uu Mllu Cornoc.
Les Inscrits marltliuo», veuves et asoonUants du quartier du Cnnquet, dont los
Lniubézollcc
noms suivent, ont un munilut Uo parts do
prises maritime» il lour Ulspositlon:
Oambriolig*
Au bureau Uu l'insorlptlon marlllmo &
'Tiani< lo courant Un la «emalnc dernk^re, Ouossant: Nicolas Cliuntll, matelot, il Kerli\) cuui'!< U'uiio nuit, dus niiiUalluui'it «u vlan, OTiO fr. ; Dupont et Mme, ndu Anne
•ont InlroduIlH diins un atolier
• • iT HlUi
dllui' dan« Maluorn, ui'tru ot uéro Uu matulot, t Lola cour du la mairie, ot aniKU'lonun
. la quella», tiOO (r.
.M'ionunt A
'commune de Liumbd^clluc. Hh y ont lou8'
Au bureau Ue l'insorlptlon maritime au
Irall deux rouleaux do tuyaux do nlomb d'une Conquet; Bolliorol et Mme, ndo Marie Lahalcur de plUH dn 200 (raitov. imo rapide iiiour, piire et mi''ro du matelot, ii LamiriquHto Uu uommlKwIi'o Uu police ne tarda puul-Plouurtel.
m il ftiiMUier l'arreslatlon Uoh coupables
Au bureau do rinscrljjllon maritime â
Hont; Ouiilon (lundi miuta-iivro, demeu
L'Aborwi'ueli ; veuvo Dard, ndo Marie
i-ûnt H Puntundxun, (HmÎI pïiiiiU'urH" fol.H COU' Klocli, femme du nr.dtre. ^ Plouguin, 650 fi'.;
(lumad; AlcxanUru UuHtlu et Ulicuit? Le Por» el Mme, ndo Marie Kavd, n6ro ot
jOall.
miiro du matelnt. h Ouiasdny, 400 fr. ;
Interrogé», lin nuiront par avouer leur liroguenneo et Mme, ndo .Teanne Le Ooff,
iSrcIn et di'.oinrôront avoir oucliô lu produit ç^ro et mùro du maître, .il Lannllls, OOO fr.'
Wi! leur vol dunn l'uiiolon oliiiotl6rij amdrl- .Tuun nrauioulld, iuNre Uu qiiartlor-mattro,
i\ Korrlgunl. un Oulssi'ny, Ï5l> (r.; François
*"ï!» ont dld lalHnOs en liberté prnvltinlre.
Sllvesiro,
kllvcslro, pdru
piiru du tiuarller-maUro,
tiuarlier-maure, ftil SalntPubu. ÏOO fr.: Oalfinu et Mme, nde Marie
Carobrlolnsa
Oudrd. pi're ot m6re du m.itelot, h HlouTi>n(1lH nno Mme lluurbl.'<, mûaKc^rc <1 gunrneaii, 400 fr. ; Louis Haleon, matelot
K o r a i t iruM-llunlii, nxslKlult Niini"<ll (riirulor S Plouguerneau, l^fiO fr,; Horvfl Appriou,
aux ohHciiuoii U'uii eiilniit du \ i.i«+i;a îi<, un malulot, mOmo rdsldenoe, OOO fr,; veuve
cambi lnicur piJniSIra dan» «a Ucnu'urcn|)ri''a .leun Ogop, nde Mario Kersdbet, mftre Uu
^n avoir Iracturrt In porte. Quand Mino matulot, il Le»niel, on Plouguerneau,
loui l i h rcnlra olieii ull«, ullo lui toute iiavrtlo 300 fr.; Jean Oudganlon, p^ro Uu matelot,
jo voir lo dO-fOi'dro qui K'unaU duii» la il LanUdUa, !00 fr.
clinnilirc. Un ruplUo o.xnnipu lui permit do
conniator que 3000 rriino!i avaient disparu,
QuiPlII*
alnul quo quoliiuoH vClomeiitH.
. , ,
rencontrant un malin 'sur les quais.
Le conimlMNalro do police di< humln'xcl- In Se
pilote .Ican ydindneur, 4R ans, et l'asIcc, avisé Uu vol, a ouvort uui- ciniuiVo qui plrunt-pllulr
Krunçols I,o Bnlto, 2n ans, so
110 mu ii|uai'a ooi'taluemuut pa.i U'uiiiciior querellèrent
il propos do pilotage. La quel'an'u.Htullon du uoupnlilc»
relle ovalt ddjii ddgdndrd en Uitto, lorsque
sutvliil lo fi'6re de M. I,e Boite. Il saisit
Laiidoriicau
yudmdneur pur la taille, le Jola à terre, et
Oollldon
mit ainsi lin au pugilat. , , .
,
,
Oudmi'neiir a portd plainte contre le»
' V n enmjon automobllo de la IJrnaerlo de
Kdt'lnou et une lourde voKiwe, charRtfi' do deux frère».
«arliic, «ont ontrdit en oollliiinn il hauteur
L r FoIffolH
du pont Ue Lunderneau, l / u n ries oonilui
Dan» la deuxlô no moItU* du XIV* sidcle,
teuf» voulut appuyer lur mi giunlie pour
«mpéeliiir quo la colllaloii ne no piwlulKlt; Dieu, pour nô-imponsor la fol do nos nnoi!mais, fuute Uu place, lu camlun alla donner tros et l'MOiiiir.ipter leur tondre pltftô ciivur»
la Vloruo Mar u, lit ffernior et liourlr «ur la
Uana lu devanture du d>fblt l.o Brait,
l e s ddKats «ont puiument mut<.U'lold.
tombe Uu panvie âlniln un lys inervcllloux.
Sur l'S pétales Uo eo lys Otalont (jravds ces
Laiidiinvcï
Uoux mots ; /tri» A/nria.
Million
L« souvenir do oc grand mir.iolo ntllre,
chaquo
uiindo. U« nonil)roux piH irlns au
La parolHBO Uo l.andunvet vient d'avulr sanctuaire
do Notre-Dumo du Kolwoi't.
tinc Kt'iinUc mission. Du 15 au ti» avril, ce
Cotte
année,
lo» nNsdolallons outhollquos
<ut la mlKHlon duH Rrande» iieiHimiio»,
Uo
cliols
Uo
8.)u» la prùsldcnco do
La proinlùre neniulno a Ott* pr'.VHlUio par Mj:r riCvûiiiie,fn'iiitlo.
i)Kia
lio doux cants conscrit»
M. le clianolno liarlliou. cunJ-iluyeu du illriiji'a pur
lo
chanoine
un
LnnnlIlH, qui eut cuiumo cull.ilioratuura ; K'i'oupo d't'lùvcs de la Hcti'aito CarUinal,
la
MM. L« Ulluin, routeur do l'imivlon! I.e i;iin,'riH;nllon <lo.i oriiiielliio» dodola Hrost.
roo
d'Aldatl. rcctuur de «ouoanou; tilUuu, reoHi'Ost, l'éoolo do N.-D. do Lourdo.s
lâur Uo Cullorou: Mord, roctuur do L.i Kulllon.
sou» la dlicolliin de M. Calvo?;, curMftytii»
PeulllOe; llunry, vlonlro ti IWico, ot l'iiull- do
Losncvon, l'oonlo St-.lullon, do tittiattr-'
fluen, vicairo il Plabonnec. A la lin do miau,
lu C:oni{i'(gallon dos Jeun» tlllos.do la
IBctlo ioinninc, il ;y a ou iTiO conuiiuniona, parolsso
liunilurnr'au, sou» la dlfeotlon
l'iln,
M. l'abtid Korl
-, curd-doyen
,. . do ClrV Uo M. lodoohan'ilno
Corrc, currt do l.andnt^
.teauneuf, prd»ldu lu locundo Kom.ilno. Ses neaii,.., sonl déjii venus
bonoror. lomoi'olcr
fcollaboraloui'M fuient : MM. ll.iUOiluu, et Invoquer In nul«»aulo protootrlco
du l.éoil.
jcurd-dnvuu de Plabonnoo; llaron, routeur
La
di'Viitlun
des
reni/i
siii altlro chaïuo
Sio I.nùonna-Daoula»; Orall. reoteur U.'
illni.incbo
Uo
mai
dos
milliers
dopMcrlns
Ëerlffnau. Uelleo, vlealro il l'niillail. Mono!
•vlaali'o a l'Iouzaml, ot Prluenl, vieali'o fi .lu sunclu.iiio ilo N,-D. du KolgoUt. Dl iianBrleo. Collu Bomaino, Il y oui uao cumuui- ctio dcinior, duiiau conis personnes y ont
rdinniuiilii. tii le l.iiiiu ro ilo (iUOlu il Nurlo,
M.iili! lui Kor.i IlUclo. mtc lo prâ>crvora do
Ceilo mission uvnlt dlô annonodo depuis lieux
inan.x ijul lo nionacoiil : luraltonallsiuo
iin an, et ponUant lo» 0 mnU qui l'oni pn^ «t lo «onsuall.imo,
t-dUdc, In l'IurKO p.tl'olsitlal a'dUa appUqiK^
Dlmanclio
U mol, la Rrand'mosse a. <tâ
i l la priipnrer,
par M. l'ubtii! Paul, piotosBour do
On peut dire (pie le» LarnlKHlcn» onl rO- oliaiilùo
lOloiicoM
au
cntlûo
dn L'<Hnuvon. M. lo our )
iondu h peu pria tou» il rappel do Dieu. DO;,
c» preiiiliMH motnent», on u pu coiistali i' ilo F.unUotnoaii n pro.slUu los VOpro» ot Uon10
la
lii'iiiidlclliiii
du
T. B. 8. M. l'abbi) llolQur t)onn<^ voluntd, cl celle liiiiino vuliinli;.
«Ilmulde par le ïolc, ot numil iiar l'dt»' loo ipi'iilossrur, dan4 un liretiin pur ot élO-
Î
LÀM)EH!VE.\II
Ancienne M a i s o n L o Pafle-Quéguen
Ll'NE.VU LU PARI';, Hucoessour
9, ruo do la Fonlatno Hlaiiche
présonto i\ sa lldiilc ollontiilo un grand assortiment do laines i» matelas, crins, pliinios et duvets — o mllls il Ht — lolli-s et
tissus on tiius genres — facs et bactie.^ —
cliillo» unis, brodés et A Iinnses do suie do
toutes nuaiii'Ci — arllulos Ue clioinlftcrlo —
(i doa prl.\ exccs'iivoinont avuntaijeux.
Co"i|)<e c/ioijucs posliiux n*
lWph..SS.
Allm m roamp
f
CouffUr du Hnlstèfo
J—
ta mal IIIM
AR WAZ-DOal
notra w«r ur puolr ahourtnt-7C. An
Imor a vorvo m c gi'O'^: 'logon ne zl»kuuii/ii» notrn,
— Mat, cino'/.nn en cur îtcvel on o
xiiv (ia vnnl. luiil, rcd o vo 'la klask o
l«no"li-all,
i l a k i i l n rc/ no'Imnoun.,, ncr'liol
Kti illKoiii'/..)ti) m ihin snn|nl ^von
Ibrits, Blefiin ; no oan kol o o'IiciJul viir
tiourl gpulciin,,. No zlsluvaran licl... i>'. rnlUnl. Ar SIciriin koi on doa dalo'hol
ibun barrck goiil va Joi'|i, .'Mol koiiin- war 0 linor kolt ma oa choinol inibiun
nren a rois, n'oun kol ovU roiii>ount kosa Hvon or «car; lia breman e roo
«c'Imnoul hci) gouïoul lucnoï or bno- dor-zlgor d'o isioukrans.
Kun (Ira a o'Iioarvozas noboud
'rod. M» vljfl bel Ynnn,,. W n r ar golou-zo (iiir vouez u zavos lilwar druu- goudo.-/,i> hag a o'iiwrizionnns doun
en 0 siiered ar zonj n'en doa kol skool
ou lin iior.
.
.
^
Mit )ii) u liodor kon inol l u n n , fall,
Eur î!."«{)ornvoz da nnz nn yoas \ v o •Aiiinii niiiai).
. . .
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l ' a welus ar Jezokei o korn an daol nlg da goro'het ar cnoul bel Iaket war
melulienn o
kavaa oun ounnor
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% voiistros war bcg e dood, Btofan, o
»rcdt 0 oa Yunn o du gunlan, a i l » - koonvol-lioll. Al loon paour en doa
klerlai* udurro o o'Iinant, ganl muloo n bono'li 0 kuoul o alan hag a zlwasko
oan kcn a viojo d'ar galoun da rnnna,
Ip eoï endro-ninn o wolel o o'Iiolle mnga
vonig a oulo nwnlo'h polra vo« gronl
fcun lainm flzlnii* dn gnout « o'houda
ïlgoenvi ni loenod. 'Met n'eti don kot
Jenn, Uro ma kluvo «uoian, Yann a
« a noo'hot-inaro, Blkon ne rojo ar «okon our voznd ujiutlh hag our skutraromm, d'our Jczokol, nan, biken. No dellad dour dindan o «orn, Owolol on
doa bol Ivo!! o dad o loulln eur vloo'h
Jello kel rt'uian, aval, lavaret porak,
UWU Wt
viiip kot
nvw «v
— CHrli'
to, emoian, n'omp
re koonvot ovol lioumnn, BonJ en doa l o Vèrr wnr a» ohorp belffhott. 'Mol, va ken oil'< komtou e dad! « Skel e kreli
«nv« TFLN
iîad, mo gave
(Tin ho peii aonj kreskt ar flank muta kocnvol », 'Mot n'en
e n e d - k o r n «r
. ^
M „y.t.r' «
«1n oloened-korn
bloai • leu. dlje Mkon ar pnloun da obor an drale. Martr«ze d'an a u N i t «ua an deli
JOTT TOIR vloc'H.all o » imp da bovw
jOi
OK. Botu 00 rod sonjal «n amior da 0 vijo o'nbaz oui labourer bonnng or
parkelor Iro-war-dro, PIgnat u rea»
° M e l a n a 'welas e ea koll. K l a i k a war our c'hleui hag e weias du-hont
« t kaout eun lamro pa ao e holto kot on lu>all d'ar park ar Stefan koi o
loa» ar waremm en no fo», Ooulenn tenna trvin, Yvonig a honas warnnn:
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Murie-Catliorlne Torreu, veuvo Carlou,
38 ons. Journalière au Oacrec. un CinUeaulin, fttiaalt on vlllo lu Ulstriliiitlon Uo Journaux pour lo coiuplo U'un déposilaire. A la
lin du mol» elle purcuvait lu montant Uu»
abonnomunls; mais il lui est arrivé U'oubllur, — volonlaUcmeul. s'onleiiU — ,<lo
rendro l'argunt, au ilùpositalre. Kilo a uinai
détourné une liunlalnu du francs au préju
dico do ce durnicr. l,e Iribunal eorruulloii
nel de CliaioaulIn lui a intligé, pour oe
fuit, uno pelno de 15 Jours de prison.
Ce n'est pas l i la promièru condamnation encourue par la veuve r.arlou.
B M l s s e M N e
ii,,ji
aux
chevaux
d'armes
f n coneoui-s primes de majoration n i i r ï
lieu 4 Cuil
lu vendredi 13 Juillet l'J.':i.
4 11 h. 30.
l ' n e sonuiic de 5.00'J franc.i est allouée
pour ce «Mineours.
1' Pont adnil.s à pren re p.irt 4 ce concciurs les cliovaiix honjgres et Jemenls d'j
3 ans 1/2 4 ft ai
iivs-niéri nionlés en
selle et en bride et f; Munt nartie d'un él<
v j g e siliié dan» le» déi rti'inents des COtes-dii-Niird. du Finisi. re, ilii .Morbihan e t
d'Ilie-et-Vilaine.
Seuls les animaux de 3 1ins 1/2 p'Hirr'iiit
après
M , rê N o u r , patron Uu bateau de pèche
1 8 9 4 , se livrait 4 la pOche aux m a q u e reaux dans la nuit du 4 au ,'> m a i : il se
trouvait dans les paraees d'Annon quand
Il fut assaUii par un violent orage, La f o u dre tomba 4 b o n i , brisa le indt et causa
des avaries 4 l'avant Uu bateau. Fort Ik-Ureusement, aucun des hommes de l'équipage n'a été atteint. Le bateau a pu rejjagnor lo p o r t .
• ^ | . i i / r t diction.
« . i i . i h se. l u ne gaver e ncp
pcni. aii.-i; eus ar prcx
o c iioiilcim i;r.urizoa
lia r
,
l
A
«
O
(
e
l
lA CLAVERIE,
-Il | . l l / l , M 1 u - ii.i • l;e
i,t cxpo?.l.1/ ,. /,, I..-1 .• 0 1,1Il >r m.
.,l 1.1' I.,
c m lc-/.ont
-1 1.,
ol (.1
!»iu lc.H'r
1
.lalvesoiit,
,ii .
iM rl..rl.
c p ' f , Irc-I.
?
Murlaii
PiuguKan
Accident d'auto
Even no voe kol evil niirel da j a r neal spoualus pa glevas ar paotrsaoul.
— N'pus kel nan, an daonel-ze eo a
zo oc'li Uoskina ac'hanonip abaoue
icoU-ull. Mo ranko gouzout hag o rankin, n lavaras Kven, hag eo'h aslenne
adarre e zorn sorrel warzu an cnobour
no buoupze kel dn obor droug d'ezo.
Kur ziilvez, wardro niiz Owengolo,
cloui,''li dont warzu ar gear ar Pennanster kot a guneras an bont-karr
u >!i d'an luniin poiikor bilian e oa ar
Jezekoled o clioni ennan. Daou gleuz
uliel a beuilli nn lionl ponn-da-bcnn.
gwez dero vaouank warno o voudnl
ganl on avol von a c'houeze. Er rodleo'liiou hag er skonsellou, hag or grolzonn dlgonipczet gant kern ar o'hezeg ar poullou dour melon a oa stank.
Ar c'hlrrl o treinonn dro cno en devozlou araok o doa strinkel an dour
fank ouz ar c'hrlzennou, ar poz u lakea war ar yeol plkou gwonn honvol
ouz plkou koar ouz cur r'hrez-dilhad.
Aweehou ar poullou a oo brasoe'h hag
a .sparlo nn hent a-bez: pazlnnlor great
gant ar bouleler o Iraon ar c'blouz po
tnoln Inolot en dour a ziskouez'o dro
boloac'h e Iromoned.
,, ,
Bven 0 yoa gant nn hcnl, hop sellol
zoken e pcleao^h p laolo o dreld, kolinl
mn oa on • zonjou. E n eun taol eur
vouez a Iakcas cur c'hrldionn da redek dre o gorf.
— Hnl Even. o vont da ober eun
lomm-tro emaer t
Stefan, harp ouz our gloued, a oa o
llouall 0 zaoul.
.
,
.
Yal Stefan; ha le »o oo'h ober
paolr-BoouU'm eut aoun t
— Yal ar mero'hed a doua kasat
lio'tianouà. odMre d'an oferen-vintlA;
me t o i ^ be Iakeont ao'banot» da obor
aâtopel » 4 i a t t , i r * t e iman<!*ezo. _
.
,
• lirolla» 4a « i M M i I t t . I b ^
d r t M V i i n » d'ui» « i i i « d r u n .
h. t
I l ,1.-1 .le I l-;(,éc.
A p r è s les p r i < actiiols, il .lovlent c h a q u e
j o u r .)lusdini(-iie à ceux p o u r q u i la r o l i a i t c
a sou-;é. do I i;re luc.o avec Ipiir» uiodesU?»
r c * o . . u s a u X i l e p o i i s c s ( l c | i n - n i i ( ; r e noeessilc.
A ceux-là ta route via^'-re s u r t o u t depuis l a
. ai..rail.111 des t.iIIIX l'i
liant d - s n o u v e a u x
tarir.-, iillio le
al n; ii-.lo ellicace, on l e u r
pr«ciir,ii)t inimo.h
iiei.t et p o u r toute
l e u r <'\i.-.taiic.-, l'ai
.-iitatiDn do r e v e n u s
q u i tour est li.di^p.
l>lc p o u r vivre. Toiitcfois, o - l l e (ip.>la1i
/-••nip.jrtant l'aliéual i o n d o l l i i i l i v r du c„.,pi il (H-uiiomiso, ne doit
Otrc r.-alis.-(' qu'a ui a-.ii iciiiio et i m p o r t a n t e
C o m p a g n i e , cni lllf! l . N i i i . M i i t c - V i e ( E n t i o prise p d i C c as (i|e||ic a u o . i i i l i . l l c de l ' K l a t .
ton Joe e n Ii'.n,( t .l..iit ta a i t i i . i l i j i i niianciôre
assure a s.-s i e i . t . e i s vi.isins quelles q u e
bdicnt les eue.. iisUiiocs, l a plu.s i i i d i s r u t a Ide soctiiilc)v
Keiisoi;;iieuiçuts r o : ; t l . l e n l i e l s c t pro.^pcct u s - l a t i i i l s «Il .-Jl.'ï.: s()ci:,l. î , r u e P i l l e t \ M I I . à l a i i s , et ri.o.'. l.-s a;;eiits g é n é r a u x
e n p r o M n . c e l not.iiiiiiiont a ; .M. M o r , SV,
l u : d e tîaiD, à l-ircst ; M . H é i a r d , i , r u e
..'.•vlguillûii. l î r e f t . .M. K e r o u a i i t o n , 5, Q u a i
d e l . e o i i . 4 .'Horl.iiv; M. L a i i i i a y , - \ rue (iravcf i n , C l i - i l e a u l l n : .M. Kor'.ocii,
plate Terre»
a u - D u c , .1 Q u i m p e r ,
avoc tliubre pour transmission.
ÎSS"
On
DéwortH,
VENTE
notalro
''"'"*
miLe H i i m e d l 2 J u i n I 9 ' i : i , il a s u b r o g é t u t e u r do.i
ii'urs l i u u d a u t .
U lieuros.
F
a
i
t
et
i'odi.;â
p
a
r
l'avoué
U n l'otudc ot par le miid-i
tero d<! M- D a n - u y .ic< DcS^-i t.-. p o u r s u i v a n t s,iu-.si,'né.
A U r e s t , lo 8 m a l Id.'S.
notaire 4 Lu;,don;i'aw. l'iiiiiinis
P a u l iiiji-: r.
a cet o'Tet et d é p o s i t a i r e d u
P o u r tous roiisei^nc ncnt
catiior lies chai-.r.-R.
iuiressor à M- U . i n ^ u y d.
DESIGNATION :
Uésorls, n.ilairo 4 Lan.le
Lot unlitfv.
A u x dépcniiaiioos d.i T r a o n - :caii ou 4 .\1" I l u c t et D o i i e
.VOUé.s.
i i e u z l t , on l . î i n eriii'.-iii,
l';nrc.;i.<lri- i B r e s t (a. j . ) le
de tori-e l n b ; u r a b l e , appelé l e u r n i il l-).-3.
(;o.irom-Hi-uB,ac'.uciloin<jiit on
l-'dli.»
case
.
Ucfu
iri.ls pai-colles, section
A , tr.iis fi-ancs.
n
(538 p, conteOi
.^lirnO: J01;Ï1;UX.
nant
lh.65a.';0c
l i n e iiaroniio (te
10(11110 n o m , sccl i m A , 11- SUS p,
coi tenant
6) «.
i:n champ
do
loii-e
l:ib.)i;r,iblo,
iippuio C(iare:ii-urootii.ii A ,
l'rat.
1.' S09 p,
. . cunt.
--
tlanimi a reas goude war ar poungoa.
nad niol(;honu a oa eu o c'iiii-iienii :
— Du-iiian ne '/. eus bof{ad iii.-k-iionn
l'bel mil bcll zo. lias anol po, i-;il;. me
lavar d'il, ar zaoul n'eo kel blifvnet o
c'hroe'lienn warno cvcl ar re-iiiun. Ma
ne vije liol bel eur irviiioiin beiniu({
da roi d'ezo, n'ouzoun Uot peii.V-. e
c'hçllfo al loened paour oliotn war o
zreid.
Stefan, o welei o rlioruo I-.veii wa','
e dro, a wela» e oa eun dra bennag a
nevoz, Even koulslioude a c'horto„o an
dro (la zeveni e vonoz.
— Ma ne peus l<el a velclienn. n eo
kel yood a vaiik d'il on da brat, Kven,
ome Stofan en eur ober cur zell ouz
c zaoul.
— Kr bloaz-inan, ya; niel cr bloaz
a zpu i
Mac Kven a glaskas-Innn c daoulagad ar Jczokei. DaouliiKad ar Jezekel
n joine gla--i-du evel dour-doun diroufenn.
Abenn bloaz amnn an hanter cas
va frnl ne vo ken "met broan botl; an
hanler-all a vo mal da ober inouded.
Khan a roas eur pcnnadig araog
kregi da vad.
..
— Divarbenn an dra-zo eo, cnd-eun,
e oan deuel d'az kaout.
Daoulagad ar Slefan a droas adarre
warzu e zaoul.
— T u I glazigl... malk. gagn vras...
Stefan a zispegas eur men ouz ar
c'hleuz hag e sllapas ken brao ma
yeas da blada e kreiz elre daou gorn
ar vloo'h laër. Even a welas sklear pends e oa kollet arôg zoken beza displogot e vnnoz, 'Met e zonj on doa o
kondero'hcl :
j.
, ,
Ar waz vras a ya d ar rioher
(step), dourot da brat gaitti, ne ra ket
, ken nomeur a vad d'an douar. M« gaj,
I d l n token e ra mutoo'h a «rou« «goa
^ « vad
slbtoBoad UmH* *tn
qeud
.•li.' 1 ,v. .
•
Demaiide
'tude, sise 4 Droit, r.;e Aini^.TI-IÉ ['"1.;
-al Hévciilcre, n- J.
La dito vente as fera coninic |0I- edo ,MOItl.Al.\, uu mé0 Ifo m.irl pour travaux
il aoto dit ci-do<8.is le s.im.'di deux juin l'.)M,i\ I l heures, (•si, rieurs, la feainie pour soin rota.le et par fcl ininislére gner 3 varlie» et b.issc-couri.
de .M- DA.MillY DUS UK- I.ou'C n-nt indépend.iiit.
S adi-esser 4 ,M' Vérant, noà SIÎKÏS. iiolaii-o (l L.in.lcr
leaii, coiiiinis 4 cet cnet et '^''O ^ Myrlaix.
iéiiositairo du Ciliier dos
i.avge;
Elude do M
. - Ciiiilcrui, notai
En pr.'sence ou apr.-s a p p e l
r" à l.esneven.
l-;tudcs do i l * l ' a u l lluol,
d o c t e u r e u d r o i t (succ-osseur de feu M - S o r s i i l a r d l .
.iviiué a Brest. 13, r u o V o l t a i r e et do M" I t o i - î e x , a v o u é
4 Urest, r u o A m i r a l Kovoillore. ti- 3, et M ' U n i i K u . v
doriioau.
D l.cur
UN REMÈDE U A VIE CHÈRE
DiPLOMÊ NOTAIRE
La
Aot A.
><, "lil
lii II. 1 (:..ii'iiieiil.H
.Mr >. t.,11
li(V,-i ,(r Kiaïu-O.
el r.iot. 11. -11.? '.'•'. lioicl 'le l-'rancp,
I-I.er
li-,lii Conimeiee.
I ' M l l o / . I j . .1 II llôK-tdé n-iiropo.
/Jr
i.»
,n
aa disitono»
—irik rtiu
(llv a. -i>.-i,ii .il • Losodcniiou •
ii'iiiiI)i-oiie-oii a;- c'tiof
•Hi lu- .iiitxi il \o'. ro.'t cvlt nctra,
a;,' iK-i lia .)iir/.o (i(.n, d an iicb a gar skri;i (la
C L A U E R I E , '.lai. f a u b o u r g
aliil M a r l l i i l'AKlS.
achèterait E T U D E
dcx
Il
au
idl.i,
n-,eri 'i.oe
a V3<». II" dnt P r .
1 ;i M.,(rl ,|,-U(;taii<t-.\l,il:i.,n.
ii-i ' . Il.lirl .1» Lion d Or.
li|i.-«.
P . M. — Oui, en principe, et moyennant
que par ses progrès l'élève Justine qu'elle
mérite d'être soutenue. — Vous n'avez sans
doute pas oublié que pour être admis 4
c<incourlr cette année. Il fallait remettre I.i
demande et les pièces cxigi-es lo 7 mal au
plus tard.
Trégtinc
Vol
;
hu n c i z ,
gaoïil i r
i
• l-lln,
BOITE AUX LETTRES
U n cultivateur de P e u m e r i l , Henri L e
Drozen, revenait de la foire Ue C'uimper
ten-jnt une Jument par la iongo, lorsiiu'arrivé 4 Dourgras, il enleudlL venir uno a u tomobllo. L o D r e z e n se rangea, puur laisser passer la camlonnclto; mais la Jument
fut tamponnée et renversée; elle eut une
latte cas.sée, L a camionnette appartenait
M , Nédélcc, de P l o n é o u r - L a n v c r n .
is
clavÈRIE!
8 ' Les chevaux seront
ibord examinés
montés en selle e l aux
lis ailur.'s. Ils
ser.inl vus dans l'onlre
p r j g r a m n i c et
p.ir groupe de i ou â.
•xani..'n p.it-tcra
n'Maninieiit sur le m o d
•s aptilii.les, le
dressage 4 la selle el r j g ' des animaux
présenté».
!t- T o u l éleveur ayant nbl.'nu. pour un de
ses produits, une prime de inaj ir.Ulon. aura
lu faculté de nu pas livrer ce produit 4
la Ucmonte, s'il trouve plus avanlagenx
pour lui du le gardur. Dans ce ca», Il no
t..>ucher,i pas le ni.>ntant do la prime, mais
il recevra un cerlillivat atteatant que tel
cheval de son élevage a mérité la N» P r i me do majoration 4 ce concours.
L e maire de Plovan porto 4 la connaissance
des entrepreneurs
Ue
marbrorie
u'U recevra Jusqu'au Ulmancbe 13 mal,
4 heures, ù lu mairie, les proposition» Uu
umission pour r é r e c t i o n U - co m o n u ment, Les pian e l (l»vi» sont disposés 4 la
Irio oii' l't< intéressé» peuvent en prenUre connaissance.
Montant
iipproxlmallf
des
travaux :
1 4 , 0 0 0 francs,
-
Arthrllliiiios, un Oraln do Vais avant le
repas (lu soir, tous les 2 ou ,'l jours, élimine les texines Uo l'acide uriquo.
le.il.r.l ,
uni d.i
cuncoiir».
PJovan
Crectlcm d'un Monument aux Morts
pour la Patrie
(liri'->r milli(nin> a dod
e» i.i. .iwkfoi. t>.>u<«ll»a » zo
.1 . . , i . , i i i l , ) < i
a
Doiiariicnez
La foudre
U n forain. Eugène C.ourlaouen, avait installé sa boullque
sur la place; p u H , le
ir venu,^ 11 avait cmlMilié sa m a r e i i m diao et
l'avait ruiniséu
Uans su
voilure,
qu'il lois.sa sur la place peniiant la nuit, i.e
lenUemain matin, il put constalor que lo cadenas qui rerniait la porto do s,i voiture
avail ét - fracturé, et qu'une niKUililé de
mar. luiniiisos valant de 1,000 4 1,'^00 fr,
avait été enlevée.
On recherebe les voleurs.
1,11 .-I- i.-,l 1
1 000.01)0
« 000 (uliu i,«c-b rt.ii) iiivdisln a ro aU
„l- <1 ' ; Luiivuiuloii d i zougcnn ar
.0 (C.
leai,ie,i, I,, 5ivizl,>ïi;r ar p n t i - i ^ .i.-u 1.111,) eu bor bro a zo
11 sera iieeorjé uni' prlni de niajorati.in
4 lout ehi'val |,I-.''SIMI|I''. »'i esl j.ig-i liiKiio
par le Ooniilé de reeevHr l'-'t eneouiMgement, et s'il est vendu à i Hemont".
2" Cette prime R,. seca piVi'V que lorsue l'acliat sera ili-vonu (IfUnitir. c'e»(-àire après rexiiiratlon des (ieiais l'.'.gaux do
garanlie.
3 ' Par décision ininisiéi ielle en date
2 mars l'.Wi. la prune do maioration s
payée inlégralenieiit
au
HMpi-i.-t.iire
aura prési-nté et vendu 1 iiiinia'. Le li
d.' la prime qui revenait .-Ml n'isseiir
lui esl plus acquise. ce|i -ri
béiiéllel.!
la primo a u naisseur de t.Mit cli-ival
selle vendu 4 l.i l'.eiiiuiile U.\éo par 1'
n''té du 7 Janvier l'.if.',
4- Los J.un.Mil» laiss.-..
aux éleveurs
Cnmmo poulinières ne poi •ronl pas prendru part 4 ce conounr.
n I les sujet.- do
p u r sang amrlai».
0° T o u l cheval ne S',>ra admis 4 concnur l r que si son iinipriélaire en fait par écrit
la demande au Coninianii >iit du
Dépôt
avant le 13 j u i n 192Î, à midi, en lui aUrusSJiit la carie d'on'Kiiiu du ciieval,
0- Aupun oliev.i! ni' pinnr.i être engagé
s'il n'a déJ:V ét.' liéelir.- par i" même propriétaire au Dépôt (le U.'iii.into avant lu
1 " Janvier
Janvier I I W ,
1" 'l'ont concurrent iiiil, 1. • j o u r du cons à rappel du
cours, no se pi-é.-eiiU
ittribiié sur la
niiinéro qui lui aui-a
llsto d'inseriplion, pu irra être mis hors
ItlORLAIX
QUIMPERLE
Chambre dos Notaipsa
. Chambre d-^s Notaires
Le» notaires de l'arrondissement ont
consUtud ainsi qu'il suit leur uhambru
A u cour» d'uno réceiilo réiinion, l.-s nopour l'année 192if-lfl24 :
de l'an'onflls-iem-nt
onl
composé,
UN CHAMP
M* Alain, notaire 4 Lannieur. président; taires
ainsi
suit, leur C l u . u b r j p'Hir l'aniiéo
M- Moal, notaire 4 Saint-Pol-de-Léon, I î i 2 a - qu'il
{
9
'
i
4
:
syudio; M* do Husunan, notaire 4 Ouimi: M . Tréisuler, notaire 4 O'i"'"IJiiu, rapporteur; M' Le Bail, n ilaire 4 Mor- r l ePrésident
n ; svnUic. M - Ilai'ij". leilaife 4 M.i.-ian;
ialx, secrétaire; M' Le Vaillant, notaire 4 rapporteur.
M ' Etclui-oiiac, n..l.ii;e ii ijiiini
Plougasnou; M* Poullquen, notaire 4 Lan- p e r l é ; neeré'.airo.
not 1
* l'ovcon.
divlslau et M ' Manchec, nolairc 4 Sizun, Ouiinperlé; trésorier. MM"
Morv.in mt'i
membres.
Scai"'c.
Fdte agricole
Clohars-Carnoi't
Un concours est oITert aux cultivateurs
Attachez vos chiens
et éluveurs do l'urrondlssement par la Société U'ttgrluuiture de Morlaix, Co conuuiii-i
M . le maire d - ( l i o l n r s vient U-' pven'Iro
oura lieu le lunill 21 mal, 4 2 houres, soin MU .iri-'Hé intenlisant i,i iiin.'• ciroul ili'in
la présIUuncu du M, Lurquut, suus-préfet des ciiien» ilans la coniniu
penilinl undo Morlaix.
période do doux mois à U'aïur du .'i; avril,
liant
45
Au programme Ue ce concours figurent
p-uCet arrête e<t pris par mesnil'i.og ai-oniio,npdiverses primua aux taureaux, vaches el .lunée, un cliien suspocl ay.,nt passe .-iur
(;.i..rc;iigénisses (les races Durliam ot Armoricaine. le territoire de la coiniimno, iien-aant p l u - lir.is. s( lus laniios,
Deux prime» de 120 francs sonl alTec- sieurs congénères.
section A , n- iiul p,
tées aux tauruuux appartenant aux syndicontonalit
lit
M
lioc-uilolé
cats d'éluvage.
Total a;)proxiVol dD lapins
Les Jeunes sujets de 6 mois 4 1 an des
inutif
3h,10a.'.'i;c,
races Armorlcalno.s et Durham deslinés l\
Dans la nui! du '.'H au 2!i avril, un m a l .i.nii.-^saneo par m a i n s , le -.".)
la voulu, pourront Cire exposés. Suivant faiteur s ust introduit d.ius uno r-'inlse ap1 «J.
l'Importance du lot exposé quelques prix partenant 4 M . .lean Coi-cieroeli, du b'iurg, sopt-Mibre
.„iK • à | . r l \ : l o . O D O Ir.
pourrout être mis 4 la disposition Uu Jury
Ce te voote a oie o r d iiiiié.
Une somme Uo 400 francs est attribuée à • y a dérobé quatre lapin i i a r j u ^ o i i e i i t d u li-iliun il (;i
ert ui
en il Mo
l.u g"iM;
une expo»ll,iiin U'uvic.iitturo.
Ml .10 iir.'st, CM d..io di
Dos primes sonl également affectéoi 4
Saîiit-Tlniriei
mal t'i-.'i,
rendu
un concours Ue bourro et Ue cidro.
A la roquAte d* :
Noyé
3 niéiliillii's seront attribuées aux meilI- ,\ili, !•• .. .... s o . l a o u e i i . c . '
leur» deviUrs présentés par les élèves d'é'
Bertrand Duran.l, 311
3'.l on<. Journalier 4
libatairo majeur,•, do.i.e ii'ant
cotus ruratus.
Enfin, unu exposition d'outillage agricole Kersaini. s'en alluil le Uiiiianclie 'JS a \ r : . à .«iosc lUez, en . l a i i i l - 1 iiu. au
rendre
visite
4
un
cousin
li.ilulaiil on vi M l l u Mari(-,i<!aiine .laoucn
sera Joinlo uu uoncuurs.
Pour tous renseignements, s'adresser 4 lage voisin. I l einmonait ave.- lui d ii-i d - céMiatiiirt.- m a j e u r e don.cuM. lu sccréluire du la Société d'agriculture ses enfants, ûpés Uo 8 el r.' ans. l.o s.ur. rant à .MesoDUOz, on t a i . i t
les doux enfants, renlrèront .seuls, liis.mt
Tiionaii.
de Morlaix,
(iiie iuur père s'était rendu d i n s une i,-i-in"
:t
.M. I'''r3;i<.''ns . l a o u e n ,
Landivisiau
Je BannaV-e cl leur avait c i i i n i . i n à e (!.•
célibataire
m u j e i r,
de
rentrer ù la maison. Lasse d ' j t u - n d r o . .Mme
ii.iv.iiaiii a Mo,-lu,.O/., en blAooldent mortel
Durand se remiit 4 la fei-iiu inliqu.;.; ;
riii»Man.' a n i s - a u i laiit o.i .son
M, Hervé Lo Der. 40 ans, cultivateur ù mais on n'y avait p.is vu liucaml i. ei-l l u m i piM-suUuel. iju a u n o m e l
Kervuniis, faisait, le 2 courant, dos cliar- seuiemonl par René Le Bras, do Pnnt-ll
C'JiniiKi l i i i o u r :;o( miiiour.s :
ir.ind
rols de fumier pour lu compte de M ice. <iue l'on appril le passage de lu
.ican, Auiio-.Marlo ot Au^'uste
Etienne Grall, et aveo l'attelage de ce der- sur lu vieux pont de l'Isole, (.e pr,n! él..nt l i o u u a i l .
nier, M, Yves Al)grall, qui travaillait dans très éiroit. on suppose que Du.'ând tera
D e i u a n d e u r s c.i-l it-ros-îcs,
un champ voisin de celui où se trouvait tomiié 4 l'eau cl so sera n-ivé.
ayjnl
j n l |pou.- avoue ,M' 1 a u
M, Le Ber, entendit soudain le bruit U'un
Durand étail pore de sept cnr.'.nls, c l il
lUicl avec I cliiiii de do,. 1
«IteiaKe qui parlait au galop. 11 couru l atlondait son liuiiii^me.
cili'. cil .son i tudc sise à Urobi
voir (le quoi 11 s'agissait; et il trouva le
i-(ie V(jltair Il' U .
Scaèr
maihoui'cux Le Ber gisant sur lo sol, La
Ct i
Vol d'outils
voiture Uo fumier lui avait passé sur le
V .,. Yves Hou. aul, iloineii
corps.
i-.nit 4 liul ;non. •n Uorâiiil
P o u r un cicptomano, tout est 1
drc. Et c'est ainsi qu'un tjiiriii a ih:iri.:n.iiit
Plalieiinec.
••lonescnt
4 M , Bourvic, carrier .'1 p j r l i . n : - ! ! go!, a été
,1- ,\ilio .d: 1 lioiid iti», e
Accident mortel
enlevé (le la carriéro de K-rii.iil..)i-.
Ul.alaii.- m; jro. iie.i.CJianl
Le 4 courant, Mme Oulliou, couturière
I.a goiuiurmorio esl sur i - s tiaccs du
au ni.-me li.
revenait do sa Journée quand, 4 l'entrée voleur.
,,
,
Aulros (1. 111.-0 ir-i' avant
ilKïs avoc
d'un cliump
•hump elle trouva le cultivateur
T e r r i b l e accident
I„)ir,- avoiio
soi
l'"ran<!oi» Philip,
liilp 01 ans, de Lannurion. gl
c-i.-ct
011 .1.'
un .-li.ifauA la papelerio (!•.< Cascail.saut sous sa oiiarrotto ut ne dcmnanl piui I
l.a-
o
uwAtuî
être pré.-ieiités en lilH.
Dans le coiiranl de la semaine it-Tnière,
un incendie s'est déclaré Uans la Ueinouru
de M , Le Bloc'h, m e r c l c r , et M . Oruncliee,
harcullor, pl.u;e T o r r c - a u - D u u . I l
fallui
aux pompiers une bonne buuro Uu pénibles cfforls avant Uo pouvoir so reiulru
maîtres Uu feu. Les cause» Ue cet inccnUlu sont UcmourC'US inconnues. Les dogùts
sont élevés.
la SciiUiqiic l'huinatisinale.
Tous les médicaments ayant Jusqu'ici
fait faillite Uana lo traitement de la sclatlquo rhuniatismalo. on essaya tour 4 tour
les agients piiysiquos: lumière, massages
vibratoires, eleotricité, air chaud, stypagc
froid par le cliiorure d'éthyle, etc., et il a
bien fallu reconnaître que ces Iraltements
étalent aussi pou eftlcaccs que leurs prédécesseurs. Quelle ne fut pas la surprise
des premiers médecins utilisant contre les
affections rhumatismales et goutteuses lo»
remarquables propriétés d'un nouveau médlcamoiit mis 4 four disposition l'automne
dernier, en s'aporcevanl qu'en peu do
temps In sclatlque rhumatisiiiaie disparaissait chez los malades auxqiiuis on faisait
dos piqûres de NItroyt La voie était ouverte; les essais se multiplièrent cl aujourd'hui. la guérlHon pratique de la sciallque
est un tait aouompil en quelques plqOres
senibiablua 4 colles avec lesquallcs ont fait
disparaître les rhumatismes, les arthrites,
douleurs Intercostales, lumbago, en un mot
loi plupart des affuctllolnts arthritlquo.s,
(i'est la méthode employée par l'inslltut
Anti-Arthritique de l'Yance. l'a docteur
spécialisé Uans le traitement donnera se-i
consultations chaque semaine ;
Lundi 14 mai, 4 Lorisnt, HOtel des Voyageurs, do 13 4 17 heures.
Mardi 15 mai, 4 Brest, Hôtel Continental. de 10 h. 4 midi et de 14 4 17 hcureo.
Le 10 mal. Hôtel de l'Epée, 4 Quimper,
de 10 4 midi et de 14 à 17 heures.
Koulskoudo an oumii-i' u yen wnr
wasàl; anel o oa edo o vont d'en om
lozol «a gouoza.
— N'ous for.i ponôs oo koliol, a
zonjas ar paotr. Me ya da osa lie
zoulla.
Toslûl a rcas ouz ni locn en eur lavaret konizou llour hag en eur obor
ailazlk d'ezi. Ha prloim o skoas oun
taol kountoll o krolz ar llank kleiz. Ar
gounloll a rlsklas war ar c'hroe'lienn
re slignot hag n zerra.s war e zorii. An
ounnor a glusku.i lee'hel; re zempl c
oa evil inonl pell. Vvynig n do.stft»
adairo oull.
— Hou! koanllifl... liou...
An daclou a zalle anrzan. Bkoi a reqB
cvelalo on our dmo hl ur c'hriiiî'lieiiii.
Al ioen a i'ea.«i oui lanim, ar pounloll
oo'li hlja nn e ROstez. l'',un aezenn n;<rlu3 ha boradou gwad a slrlnkas diouU
gant Irouz our zoron'iK?! e'iioozel o
kronvi.
W a r an boni, c Irnon nr |iarl< o oo
iud 0 vont d'o c'iioan. Yvonig a hopas
warno. Kerkenl o wela.s paoti-ud T m o n nl.Lonn o lainmet drolsl ar c'hleuz
hag 0 tonl d'ar rod.
— To zo eur gwaz, \ v o n i g , hag ez
out. Laka our goloen on toull d'ozan
da Jom dlgor hag o c'holll mont dinooli, d'ar gear,
— Mo yelo nsumcz ganlan, eme
unnn anezo, gant aoun,..
Mol Yvonig 0 00 chomol eun dra
hennag vimr n «aloun. Pltfncl o oo
adacïe war ar o'iilouz. Blofan a oa o
vont o'ar goar.
.. .
Penmoo'h I ponnioo'h I ome ar
paolr, n bouoz e bonn; n'oul k e a 'met
eur ponmoç'UiI
^ , „ .
Hag e p M eur penoad» foll gant e
Mbéélefan»
U tJii
bnonm
Ar Btt'Blia gwin ovit prcja
Î
Sf^ÊfSfSÊBÊ^^BSBK^
an (fwrf cfa
L a <1 C o t e d e s R u b i s »
guérfr
£ l r « aa doareou •
VM
k i n n i g e t d'eoc'h e v U p a r e *
" C o u e z i t dibabA a& dotîre m a i "
11» lec lM-d a 7,0 c ««•<•€, (aotit evc3 m l *
ela. lia l u I lUlt (tu ililins iicinct en eur
K w l r sp.MalMt l u i ci, r y l louzou Il3g m
.Icus di.sUoutfZct p f d j ud,ilv
An Aot. A. C L A V C R l E . a r s p e c u i u t
lu
1, lu II I.-I .lri! bevar c'horn ar
i T . l . en i|,.-«.« iiiv.i<iirt. cvlt kae kutt an
.li,l..-i.ii I..1,. . •H'i'j, Ê j u r i ^ j u tiin'odeus ke<
CMCoiirs de primes de majoralion
QUIiMPER
Incendia
R A m S » ^
nu (j»ua avant rapM du aalr,
U&e Nouvelle Méthode pour
GUINOAMP
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il ODteO
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i!il Qnu
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O U t R I S O N •>• LA O O N « T I I » A T I O ^
G
M P O T DE REMONTE M
L e parquet de Morlaix s'est renrlu 4 T r d flez lo 4 courant, au siilet d'un Infanticide
commis par une Jeune fliic Uu pay.s.
L'enquête a révété que Eugénie M z o u r ,
20 ans, cuilivatricu. a mis au nionUe, lo
3 mal, une petite llllo; l'enfant était née
viable mais la mère criminelle i'.'l'iiilTa en
lui m e t t a n t la main sur la buuciie ot lu
nez. " ' T r o u v a n t que l'ifnrant
no mourait
)aa assez vite 4 t o n gré. elle lui frappu la
été contre son sabol ; pul.s cil" alla enfouir
le cadavre Uans uno fosse qu'elle creusa
dans un terrain voisin.
La llile Nizour. dont l'ineonilultc est notoire, a été mise en état d'arr>:stalion et
écrouée 4 la maison d'arrêt do Morlaix.
D e u x ou trois pa^lilh'S
VUI 'i-I'l3t
le? r e p a s tucllitciit l a d i g e s t i o n .
IflOlSlUil-SiMB
sont gravcraent blessés: Vincent L e C M , L e
M a o u t , Colas et Slnqiiln.
Tréllcz
Deeoent* de parquet
Ploiiyé
Pardon de Saint Salomon
Dimanche de la Pentecôte: vêpres à la
chapelle & 3 hnurcs.
Lundi de la PenteoOte: messes & 7 heures et 4 8 heures; grand'niosse 4 10 heures.
Courses do chevaux il 9 heures.
Snint l l e r n i n
• r l i ds oMture
Yves-Sfarle Le Corre, 23 ans, carrier au
Moulin Doucen, a été condamné 4 DO fr,
d'amende par lo tribunal oorroctionnel do
Cliftleaulin pour avoir enlevé et brisé deux
barrières scrvont de clôture à des champs
appartenant à M. Pierre Tanguy, adjointniuiru du Saint-Hcrnln.
Trégoiirez
i ' 'I
Bris de oldture
Pour avoir brisé 4 coups de cailloux la
porto d'entrée de la midson d'habitation do
Mme veuve Le Munn, de Korlinuus, M.
François Corre, 49 ans, cultivateur, demeurant à Ménoz-MéiUc, a été condamné
4 2& francs d'amende par le tribunal corruclijonnel do Clidteaulin.
dag« s est effondré sur le sot, d'une dizains
de œèUcs de hauteur. Plu«Mhs puvrlers,
qja travBllUleçt «ar cet éohafkudafe, ont
été entraînés avec lui; parmi eux quatre
signe de vlif, M. Philip allait prendte un
oturgemcot de UiOe, et sa voiture, ea yersont, a dû l'iicrawr.
Pîoiirin-Horlai'T
Amateur de poule»
Un :amateur de poules s'est Introduit
dans le poulailler de M. Joan-Kramvjls Glorenneo, boulanger au bourg, et l'a mis b
sac. Onze poules ont disparu.
Kcrioz
OMquee
Mardi dernier ont'été célébrées tes ob
sèques de M, l'abbé Horollou, enfant do la
parolsso. D'une honorable famille de oultlvatuurs. Il avait été remarqué par le (anieux rcctuur M. Latrellle, qui lui donna les
premières lugons do latin, en même temps
qu'au futur Supérieur du Séminaire fran
cals de Kome, le T. R. P. Le .Floch,
AprÉs d'excellentes études, M. Horellou
(ut ordonné prêtre co 1888, et presque
aussitôt envoyé comme vicaire ht PlourlnPloudulmézoau, 0(1 il fut très apprécié. H.
Orall, curé do Pluudalmézeau voulut bientôt 80 l'attacher, et leur étroite. oollaboratlon prodpisit longtemps les meilleurs fruits.
Malheureusement le surmenage minait les
forces de M. Horellou, qui dut se reposer
un an et demander un poste moins (atlgant. L'aumOnerio de la Hctralto de Qulmpcrid lui (ut aecordéc ot 11 s'y dépensa do
lout cœur. Itetlrd l'an dernier chez los Dames AugUHtinos de Pont-l'Abbé après uno
cruelle opération. Il a auocombé à une criso
d'urémie. M. Horclluu laissera le souvenir
d'un prêtre zélé, très bon et très pieux,
d'un préUioalour pleio de dootrlne el non
aan» éloquenoe, d'un poète agréable (les
lecteurs Ue Felz ha Brelz le savent) et d'un
latiniste dont lo talent, nourri de la lecture Inuessanlo des olasslques, étonnail les
romains eux-mèmos.
Mil la ville de Lewueven,
rue du Folîîoét, n- 17.
l.\E FKOIMUKTE
4 usai;e de commeroc, connua
soiis Uî nom do licstaurantdu
Cordon Ulou^
Mlbn-: ETUDIÎ
A VENDRE
111', iiurqi.e lict ird, en parfait
eut.
l'oiir tons rcnselsncmcuU,
s ail.e-.sor a M" Guillerm.
'Pour cire mieux Utiffi
Îdèpervermoin/
•floiETDIOmVOsVtllMBTO
ei.B7-ll. s.;. di Siir
BKEST
HOMMES
=
DAMES
=
=
ENFANTS
GROS
Salon
ENTRÉE LIBRE
d u
Cycle
DÉTAIL
^ ^ ' l ^ ^ g ^ E S T
81CÏCLETTERflUTIEfICO'ài'LEÎE,I|araiilie2ai!sdtpuiiJ5ofr.pi)urhoiMU
—
—
—
—
— 38oIr.paurdsiiii
_
DEMI-COURSE «Tourde Frarcs 1928» I^STR
Ayii.NCl'; ni:s CVCl.Ks : « (iurtiior », u Itoyal-l-'abric»,
(t M é ( ano i>, (1 (jloriu ». u l.a iiraciou.se », u ,llgo -,
CVCL ,:-;s A .MOl'l-.Uli: (I It.mn- et «Curtuor..
Alvlici- de Uoiittratâ«ii»
nri.'il: an dour no red kel ken hag a
jom da ober boulllienuoii dour gworn
na daiont nelra d a i loeni'.l. Ma. an
dour-zp, a zo noa/.us evidout-ie, a
rofo ar vulie/. d am Iral-iiu.', DruaUOK
awalc'h ovol ma ouzout. MP lakafe d.i
waz (la -zonl on lu-iiiaii d au or.ial. Ii.i
Kolu a rafe evil va founleun. l e ne guljos kot iiaiz a dia. lia mo ra.io mu
au dour-zu d'm,
.
Ar JezoUol a jome mut ha dihuv P\p
our piiloz. Ne oa 1>PI PU •' oaz: luvai-o.
e vlio bel e oa o vale war an Urcin. l'.vtn
a sKoas ouii lai)ii«-all d'au Uroiiioiiii
da zanka dcunnuc'li or beo,
_ Ua da zonj-to war an dra-zc,
^^Heman no oa kel kon evil ohom dillnv; en cm lakal a rcas da vale a-liod
ar gloupd evel cur bleiz lanet en our
Kaoued-houarn. Kven a zoUo oulan a
uoslez, pur niousc'hoarz p pleg o vuzpllou. C'iioari a roa broman ovel cur
c'haz ganl cul logoUcnn.
— Ma "m bi.|e gouczet pom^s pm bijo
Iakeat ac'hanoul iton neCliel...
Stefan ne voo kel kcn evil dore hcl
war an imor a groze çn e greiz :
Netra evil nelra! a dioc bas-liea
^'Evcri a droc'has e Cher d'ezan d'à
dro :
,
Nan, nan, nan, cmezan, nelra
evil netra. Ne foll kol d ln kaout da
zour evil cur bennoz-Doti». F n em gievomp war eur priz: dck lur ar bloaz a
rofen d'il.
,
— Gwerz d'in da w a r e m a pe nelra...
Even
_ c'Iiica» V g a r u t uag
en em
a lavaras gousladlk
— Gouzout a rez O'otin kot evil
• ^ ^ T o u t T t «iiJf 5-rza t
_ Q r M t b M d«us n w i ^ W i w z
^
Brîz... ha heuMWOmm heQiO m M i o c *
a jorp
•inhres des
OUVERT le DIMANCHE
Sm-irles Sfiorinvs icarto exigé».
— 'l'a! la: ta! n'oun kel cat dall
e'hoaz, a drugare Ooue, Evcnl Da val>
hena co en dous Uavci ar respounl-ze.
'.Mot .-irabal d'il dont da gounla pifTou
d'iu-me. Me oar, Kven, hag c ouzoun,
ne pous gi'cal marc'liad ouz ar Bri«
iiemct (loudo ma oan me bct oui da
Kaout. Lavar ar c'hountrol "ta I
— lia pa vi.jp gwir, cnic Even, hcn
lilasii iiac'h, n'ouii kel evil monl cncb
.i am luigale.
— .N oui kel evil monl, n'oul kel
ovit monl! nan. ziir. ma loskoz anozo
da vinouclla ac'hanoul evel ma keront.
— Mo oar polra nm PUS da obpr. mo
zonj. lia neuzc ma'm eus kenlcliou da
ie.-<eo n'oo kol digunoz-ic eo: da vilianna ne 'm PU- kel Iakeat nikun eus
va liugaie da deu'hel diouz ar gear evel
ma pous-te greal gant ar rust ma 't
out bel oulo evil ar wcch.
— l'coc'h war an dra-zc 1
— Pcrak leuler ar m6n kenta T no
i-an ken 'met disteuler anezan.
— l'p PO n ZI) Uirriek d'ar pez a
c'iioarvcz. Ma pcfe harzet our da v t h
ha gwoi-zel da vvarpmm...
— Ya! a droc'has Even, ar gurun on
c vouez, iita 'm bi,ic gwnrzet d'il va
waremm, ne vijo kel bet U $ r e l d'in vn
cd. lorrel va glouiji, diankel va zaoïit,
.>ilankel va feunteun, n'eo kel an d r a zc co a fell d'il lavaret ?
Stefan a orjeltas eun lammtg war •
drcid. evel ganl eur barrad^vel. Ho»
gon kement ze ne badas kel.
— Martezc avat, emeMia rok ha d U
chck, en our «una livenn e
•bred gant ar gozni. E r t a U a v M M nous: (Tvi-ert d'in da warsram»pe u e l r w
gor divaza co.
,
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sFcfan a dr«e
rOk bremaa pa ne b» ket k t t r n - e S W
«•zaa.
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F I N I S f l R r
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COSTUMES
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MARCHE HEBDOMADAIRE
fromciif.i.'ifr.OOù *ll fr. « ; nraiiif, J3fr.01 4
aii fr. 00 : Iiriif, ;t4 Ir. !iO à 3îi fr. 00 ; sarrasin.
31 fr. 5J & 33 fr. LO scij'f, 32 ir. !iO à
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Bas de l a r. de Siam et
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o m i ^
JJrurrci, marchands français: 7fr.CO li 9fr.ûO.
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io kilo; centrlIuKcs, 8 fr. CO ù 10fr. ïîi.
(is'ii/sdo Drctagiio. pur colis do >.000 œufs,
gros, 270 d 3£0 ; ordinaires, ïiO a !!60.
Etudes do M* C. F o u r n i e r ,
Mui'chû niix bourrages
jov
,rvAv
u.mors
coHc'oif/ia
I - a Cimpclle, « M,m. - Aux 529 kll. ea avoué ii Urcst, ruo de la
Mairie, n- l î , do M- L e
bottes do !> kilOH : Palllo do blé, 105 à 1:0 fr. ; C n l l o c l i , avoué à Brest, ruo
INGÉNIEUR
d'avoine, K) ii 110 i de siiigle, 110ai3S; luzerne, du château, n' 11, de M* CheFondeur-Constructeur, à L A N D E R N E A U
100 iSiio; foin, 170 4 220.
m l u n n t , ut de .M' d e Rodell e c (lu P o r z l v , notaires à
• Conslruclion
en séries
M u r c h é do In V i l l e l l o (P-nrls)
lôIi^li'iriTdKÏM
^ a i i i t l<cn.in.
delà merveilleuse petite BRABANT *i connue
lleriiirui
nul
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viiliioiiiem_teu>
Miayi*,
vous
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reirouvtre»
dono
11.....I....
,
" no In «onli quVn mlnpia
ailontatit
le nouvel iippnrrll.
A.NlMAU.t
r n u MOYB»
int In riipiilnUon
,
univotielle
nelle ioil
laini ressort ilo
ESPECES Amenés reniiiis TENDANCE
.lui! a 40 iiniircs il'*xpirlgiice.
U iionvol niipnroUiiBnt r«««orf
tif
uel
•ttilo (lo Taris, est lo seul rcconim om
Un l'étude et par le minisnrns Médionl. Miml
compromli «oiibîo iféii en nùeïoûo iiotiï'ù
. Sans voMloIr toMl U'ahord sa l'avouer,
, '"'T"
MnnI ilo
Ilo la
la nonvolla
nonvollé peloto
potblo AA cdmproiiiôn
t i r e de .M' Cheminant, notaire
Tes mnlndos le» plus «coptlquiia tlnlasoiit MinJUu InfulUlbia qui • «auvù ebuuOrl do» mllllcra do penonnoi aftelntes do Jiernici,
'
*
à
Saint-Renan
Bœufs
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pair Ctro Ir.iproaironnila (t lu locturu dos w ..
vo'o* OBSdo f RIou*,
u b u v ip.
» !Allalro(Morbihan), hornlo euSHc
—
Le H a i n c d l U J u i n l ! ) 2 3 , à
M, nouxol, J.,aux .Varo3-fIe.Hnlnottos.ooni,
Vacties.. 1 iioU 1 li'3
S 75 5 50
oombroi\x oxnmplvs do rofllcncllii duK
«
une
heure et demie de l'apres.
Taureaux
S72
COJ
ii (X) 5 20
IUI«B PInk puldldH diina Ica Jourmiux. Et
—
4 65 9 30 midi.
• e u a puii, ruiiiu do fnlro IVH»al do cas pir M
'.'.V
Paf 11 Ofn)llaw..\lord0llos (I.-ol-V,), hornlo» «uérlos.
E T VOUS EMBELLIRA EN MÈNE TEMPS Veaux . . 2 307 2 18C
En
la Commune de L o c Moutons, t2 «39 10 llfiS ferme
4 50 g 00
wlc», qui ont donmi PIIPÎ! Iom autre» d'mis»! w' i i i ' u ' i " l"?'®?." i*- "o
,<'0 Rlvlûi'os & Triitnao (Lolro-Inf.), hornlo guiSrlo.
SI, après l'emploi du premier pot de Crème l'orcs. . . 3 804| 3 lOi
5 80 8 28 m a r l a - P l o u z i i n é .
ton» rdsull'itH, devient l'Ideo lanelnaïUo,
•M. Unis, P.. ft la .Mai'llnlùro do Vai'odos (Lolro-Inr.\ hornlo guôrlo.
l'Mi!» (lo dorrliro la tClo, cDinmo l'on dit.
. Di^roux (l« donner nus mnlodoi u
A l
A O J F B Invlto touloi les porsonnoi nUelnleide Tokalon, vous ne constatez pus déjà que votre
Bi lia henu Jour, ou so diîeldo, couuno l'a apoprïuvolniniMIaledocesréiullatii, I V I a U k A S C K liornlci, elTorti, descenlo,.^ lui rendre peau est devenue plus douce et plus lisse, que
con.sistant en l u a l H u i i d h a
A l t Kl'"' aobrliillo Lavnud, doul nous pu- vlills dant lei vllliii aulvaaiot, où II Ara gratulltmout rofuTdo
>ul do coi
c«i apuarel
apparelli. Allos donc tous de B li. ù 4 b. A i votre teint s'est éclalrcl d'une façon frappante,
b i t a t i o b , bâtiments d'oxploi
tllon» ol-dairAou!i la lellro ot, commo ello, liront, 13 mul, Hûtol Continontal-,
Q u I i n p o H é i 18, HOtol Lion d'Or et "Voyag et que vous semblet rajeunie de plusieurs
tatlon et diverses pièce» do
«n l e rrijuull du blen-^'lro nuo le:» niuloH . Lo»uuvcn,
annces, l'argent que vous aures dépensé pour
bVVUUVVII. |.t
M mal,
lilUi, IlOtcl
IIUH-L do Franco
t ulmpoi', la mal, HOtol. do l'Upée
-ispû
terre,
figurant au plan cadasPlnk ont (iroeuii); « Jn «uls «Inoôroment Mt-Pol-do-LaSon, 15 mal, HOtol do Fronoo,
L'aolmt de ce pot vous sera remboursé sur simple
Uuli)((a«np, samedi 10,. HOtol do Franco.
Noonnalimunto aux Pilules Plnk — iioua L m i t l H I - l n i i , tu mal, liotcl duCommoroo,
demande et sans aucune dlttlculté : un cerlincat D o u n r i i c n e z , s mai. — Deurre (la livre) tral ù la sccilon F, sous les
l ' o u t:rluux,
rli
•:b
mot,
(0
0
3
h.),
Grand
HOtol.
I
I
"
KiO.
108. 17C, 177, 305, 3(iG,
«orll M'"' Quliilello Uvaud, demeurant & ' Oliateaullii, 17, (8 à 3 h.), U " (Jrand'.Mnlson,
de garantie à cet elTcl se trouve dons chaque étui. 1 fr. S'itt 5fr. 2); œufs (la dou7..)3 fr. O'à 3fr. -.'5
3fi7, 368, 390, 31)7, 398, 399, 401),
Vniofrnneho- du-Pi>rlgord ( DoWûgno). — .
Qu'une promesse si foruielle et si netto puisse
Bœufs (le kilo sur pied', 2 fr. xOù^fr. 30 •0), 405, 510, 537, 541, 590, 591,
J'ai fuit iino'vure au iiuil!i do mars dcrêtre ainsi donnée pour la Crème Tokalon, c'est vaches, 1 fr. CO ù 1 fr. 11» ; veaux, 3 fr. 23 i
V A R I C E S DÉPLACEMENT TOUS ORGANES O B É S I T É
Blnr. ,Io sciuffriila do l'ustomae, J'avais des
îcrtnlnement la meilleure preuve que cette 3 fr. 50 ; n:outons, 3 fr. 40 & 3 fr. SO ; porcs 557. 558, 517 . 511, 509, 508, 514,
513, pour une contenance toIranoo
«•uehcmars ot surtout dos ncrls inaladua. T r a i t é de l a H e r n i e - B r o c h u r e des B a s 4 V a r i c e s e t C e i n t u r e s f
rrème est réellement elllcoce pour rajeunir et air. 00 4 S fr. 2.i.
tale de 11 hectares 03 ares 51
A la ti'iilalOniu hultv, J'ai senti du mieux,
v e n t r i è r e s . S z t r a l t de l ' A l b u m des c e i n t u r e s M a i l l o t s
j surdemaadt imbelllr l'éplderme. Ce phénomène s'explique
l'aille,
113
4
113
fr.
les
303
kilos
;
foin,216
fr.
centiares.
L'appiitit, si capricieux clic:i mol, est deicicntillqucment par le fait que In CrèmeTokalun 4 218 fr.
venu meilleur, .l'al pnssd tout l'iiti], elioso
Sur la mise .'i prix do: vingtaourrlt et tonifie la peau, lui infusant une vie
l'onnnes de terro (aux SO kilos) 6 fr. BO
ram, sans In moindre Indisposition, J'ai
cUki mille francs, ci, !2u.0l>0
PAYSAOES D'OCCIDENT, par JOIIANNES
Q u a l i t é B courante, trli résiihnle.
grioo do ces dilicloux paysages et 5 ren
«ouvelle. C'est oinsi que la Crème Toltalon 7 fr. 10.
fait part do ee résultat & mes amies nul inu
f
r
.
lonne & l'éplderme un renouveau de beauté et
JOKIUIKNSEN. Traduit du danois aveo Indrc, autant qu'il tflalt possible, le caraelôr;
complimentaient sur m.-i bonno mine,
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Q u a l i t é B B . Mira ritiitanle
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d'un style qui est celui d'un maître do la
I.a'idei'iieaii, s mai. — Beurre (la llTro\ Marc McscoH, colicitant. Jus» .lal repris trois boites do Pilules Plnk
les rides précoces, polies d'oie et autres mnr
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/fP/f£S
les 8EPAS
2 ou 3
d'un JiiKement sur rcqtiOtc,
>• Vous pouvez publier eotto letli'o, ,To
N. U
Un de» grand» avantagea de ta 31 fr. .'104 :i;i fr. ; orRO, 2;! fr. 4 '.Ufr. !i0:8arraziu tion
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30 tr 4 31 fr. : avoine, 30 ir. 4 31 fr.
Vrème
Takaton
e»t
qu'elle
ne
tais»e
aucune
la proohaino
Fôto
MatlonaÊo
do
rien
et
p6lorln
franciscain,
qui
a
pris
si
sonffl'antrs y puisent un bou conseil pour
l'aille (aux 30J kilos) 110 4 113 fr. ; foin Brest, ie 2â avril i;i23, enre- Prévoye*
trace de luisant, toal en faisant adhérer la
leur lanU). »
chaudement, pendant la guerre, lo parti do
istré,
poudr» Hane façon parfaite
de plu», elle 130 fr. 4 14Ufr.
Pilules PInU sont nn trèi puissant
la llclglque et de lu France. Joliannos JoerM o r l n l x , s mai. — Bourre, 3 fr.SO 4 4fr.OO; A l a ilciliiindc de :
n'occasionne Jamais de pousse ie duvets et
r^Ki'niirateur du sanK et tonlquo du sysi» ,Mme .Marlc-Krani;olso IMii- pour Pavolsement — illuminations — Feux d'Artifices
gensen est avant tout uii pu6te do la nature.
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dan» tous le» bons magasins.
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torisée
de .M. Marc Mestolï, c u m i i i a n d o s
•A.'^
itiiKsr
T é l . (j.cî
vaclie, 2 fr. <04 fr. 30 : venu, 2 fr. 80 4 :) fr. (.0 :
nqurasthi'nlo, l'afralhllsseinent gdmJral, les connaît, lo Danemark, sa patrie, l'Italie où
cultivateur,
avoo
lequel
elle
mouton, 3 fr. CO 4 3 fr. a ; porc, 4 f r 30 &
Il a tant vicu, la Beigiquo, l'Angleterre et
maux d'pstomae, douleurs, IrriÏK'Ularitiis
demeure à Kurlscouaicli, en
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tbottosplu^ Ofr.vi dn tlinbro-tnxo par hotte,
mAlée d'une Ironie qui charme et enchante.
envoyé
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tivateur,
époux
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TiiéOolbert 33 fr. 00 ; orée, 28 fr. 3J 4 27 fr. oll.
D(5pftt : l'Ii" I'. Barrot. n vun llollu, Paris,
Lo traducteur s'est attaehrt k conserver la
rèse Hall, demeurant il Kcravez des I U I I H I g t O les détruira en 10 min
l'aille, lïO fr. 4 130 fr. ; foin. 120 4 1. 0 fr.
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Etudos do M l'iorro Colin et
linpot, veuve de M . Olivier
La plus anci<-nne I olii-ino.î (Hnçatio
l i n o l , av
n
avinit<a
A Droit, ot do
l'iool),
cullivatriee,
demeurant
ïnnlm.l dln!rt<-.i.o,it ou Public.
i
M
Ji
k
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M< ilei'iiol, notalro au Con
Kerlarguy, en Locinaria
MONTRES • BIJOUX
Plouzané
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r a i s o n . ^ p o u r p r eé f é r e n l c u ? ^
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célibataire majeur, cutllvaou ACIgK noir, Buruiin..^^...
„
dcpua
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ABOCWT.
drpiif•. 4 a fr.
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demeurant
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lênarcuat,
Chli'iii'itieii-Doatrsto
En l't'tudo ot par In mlnlsIAro
en l-'luiizané ;
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FieuiM
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KdiolnidiPtrii
de .M* lior);ot, notnlrunuCon.Mme .Mar:e Meseoff, épouSUCCGsiSKtin
r;Uot, l o ) o i i d l 17 inni Ill'iU,
<latis ia
Itoyion
se assl.stée et autorisée ue ,\I.
A uno hi'uro et demlo do l'nMOHI.AI.X. Kscnllcrs
, ,
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l'i'opriétés,
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cultivatrice, veuve de .M. Kran- Vente - L'ciiange - Réparstions
VFNTP
>>!en«i <1.
0 batlio, oïDplacomont 4 pullle,
ADJUDICATION
I t n i b
mineurs
1 ois l'tiiiippof.denieuranta lierçourtll ot diverses plicos du
en l'dtudo.
A B G R A L I .
Le l u n d i 2!î m a l , ù 11 heures
merrlen-ftras, en la commune
Catalogue
gênerai
6
.
V
.
Nii
demanda
forrp.
il sera proci d • on l'étude c
le Plouzané, agissai.t tant en
I.«v<>n(li'0(ll1"lulu I 0 U 3 ,
Contoi.nnoo ; 33 arcs I I oonson nom personnel que comme Cycles & Quincaillerie par le nùiiii-téi.' lit; M- Gcifroy
ti U heures.
notaireà Plouc-i-:it il 1.1 venteiJ
llaros environ.
tutrice naturelle et iésate de
1 " lot
Hue Sairit-Thomas
. i i U o 4 p r l x i 7.UOO tr.
("iaude, Perrino et François
A LochriMt, un PloiiuiSU N E
M A I S O N
OeualtiiM lot
L A N I t E H N E / t U
l ' i i i l l l p p o t , ses enfants ml
vcz-LocliflHt.
d'habitation,
et dépci»
Kn la ouniniuno du Loo-.Marieurs
issus
de
son
dit
m
»
daiicus
t
i
l
u
f
c
s iiu bourg d.
La Jolie Ferme de Troblly
du Tracteur 9
• O
O
O
F p .
rla-IMouzaii<).
I lage ;
Etude de M* Provostlo, notaire L a i i l i i M i o r u c a n , apparicnau
Machines agricole*
firancaisea
d'une
oontenunco
totale
du
A u lorrolr do K c r l o i i a à Ploudalmézeau.
8* M. Olivier Labbé, marciiand
aux mineur,* Le itcst.
U h. 09 u. o'i 0.
•ounrii,
Capitaux françait, ouvrieri (ran{ait
Inscrive:-voiiB
<le mile pour vire cortain d'avoir voiro
boucher, demeurant h BrestJouissance immédiate.
Llhro do loulssancc, lo 20
I' Deux garonno.s sous lalîccouvraiice, rue Vauban, n'
tude, le
Mise i pri.-c. r u j o I r . 4(,o
i racfom-pour In moisson. fCondiliona
de paionioiil)
'nlniiihrn ifr.'ô.
tfl-i.ï.
scptoinhro
bour i 'I' Un ohunip, torro
32 Boulevard
Lalnnec
i
l
,
a;iissant
on
qualité
de
suï
l
m
a
i
Itl'Jil,
À
1
b.
31),
de
i
l
A l'Agenco " F O H D "
Allso ix prix : 4 0 . 0 0 0 fr.
labourable, lo tout so jnlgnant,
brogé tuteur <1 ad boc » des petite f c i ' i n u du Cléguor, en
RENNES
e* lot
Contenance : '.i hectarox â}
mineurs i'hiiippot susnommés IMuudaltuéy.euii, tenue par t t u d e s d c M - M a j i a e h e t B c l a :
A R O l A E â L
M«(*nlclen, 0, rus de Paris
D i r e c t i o n O é n é m l » : 7 0 , r u o do M o n c e a u - P A R I S ( 8 ' j
M â m o coiiiinuuo, lieu dit
arca S'j centlaros environ.
0' .Mme .ieanne Gao, cultiva Quéméneur jusqu'au 2'J sep•
Lambjjcllee-I'roit - Tél. 'i-'iO
avoués à .Moriaiv, et do -M
Plllac.
A l l a o i p r i x i 7.«iOliIr
trlce, veuve de .M. Claude Phi- tembre prochain.
l l i ' I l e c , liccncio en droit, no
t
Trelaléme lot
lippot, demeurant ù iênarcoat, Mise i p r i x : 3.;;00 fr. 4i;0:
Daux Plècès da tarra
taire à L.Tiulivisiau.
Bn la commune do Loo-Ma*
en la commune de Plouzané,
sous
labour,
oontenont
onsomr l « PluiiEnn<>.
a','iss.nit tant en son nom per- Etude de M ' Provootlc, notalro
blo 1 h. ^s a. CO e.
Aa terroir de K o r l o i m ^ Ploudalro^zcau.
sonnel q i 0 comme t u t r i r e naM i l } à prl.Y : 1U.OOO fr.
•ounrii..
Le i i K i r d i l l i ' j u î i » 1923.
turelle et légale de Jean-.Marie,
8
'
lot
Trois champs, terro labou; heuies de l'.ipi , s-mldi, oi
François, Jean, Claude, MarieM é m o comiuuno, a L o lutude
et par le ministère i!i
Jeanne,
Yve.'!,
Oabriel.
Julie,
en
l'étude,
lo
ï
»
l
u
a
i
lO'iU,
h
cbrUt,
I l I N inaimies ooniaflieuses D r - ^ n
Im^v^Î
' ^ ' î l c n t i i c o ; a hontnrc» 15
.Î• iicliec, notaire à Landivi.
ean. Louis ot .Marguerite Pbi- 1 h. 30.
BfM 1)0 vcntlurcs environ.
Un
Champ
iippot, ses entants mii.eurs is- l i n S : t t u ( - P n l ) i i , 8 0 i i » - l c r - siau. dr> la
Mise & prix ; ii.'iOO fr.
FERUE du rEKQnSR
sus do son liit mariage ;
do toiTo labourable, noinniii
nie, au iirendu, de 4 h.
Quatrième lot
Puro-ur-Vur, eontenoiit 37 a.
10* M. Jean-Marie Gac, culti- louée à Guéçanton, 700 fr. et en la tonuuuhc do l . u n h o i t a r
En la oonimuiio do S a i n t n
e
a
u cnmpicnant ; m,ii.--C[
SO cent.
l'ImpOt,
divisée
en
2
lots.
vateur, demeuiaiit à Hcun, en
Plerro-gulhlRiioii.
d'habitation, éditic-s d • c ^ p k i
Mise ù prix ; îl.OOO tr,
l'Iûuzaiié, agis.sant en qualité Mise à p i i \ : 2 3 . 0 0 0 Ir.
^ A U terroir do KiSrouilol.
talion,
puils c l j.ii'dinct, sol <>.
4' lot
En
P
l
o
i
i
d
i
i
l
n
i
é
x
c
a
i
i
,
MOiisde subrogé-luteiir « ad hoc ?>
Vuo M A I N O N (HIUIIIIUIIOII
Un Ti-<snoz, lieu dit Laiinrdes mineurs i ' i i i l i p p o t susiioni- I c r i i i c à Mezou Crugueil, dépendances01 lesiones chau
Muvcrio on ardoises, ayant
dos
et
iroiilcs-.
i'oi qii<î le (ou
louéu à Héllés.
chuu<!xoii.
niés.
Planches pour hangars, remises, maison.?, etc... Lo mi'tre carro : a.iiO, 3 ,
fts-do-ohnussOu ot n:unsardC8
46G3 est tenu par Ji-aii-M.-irio l ' i n v l
Ayant M* L e C a l l o c l i pour Voir les aaiches.
• n v e n t e d a n s t o u t e s les b o n n e s
Malsens.
Un
Champ
aVeo orOoho uuuvorto en
dic
(.'t
e.-it
.l'uiio
coi;t.'iiani<
avoué, avec élection de domiQ U A N T I T E C O N S I D E R A B L E de B A T T E N S . C A B R I O N S
eltaumo en appontls, ){rnn!;«
do terro labourable, dit Parc»
cile en son étude, sise ruo litude de M* P r o v o s t i e , no- totale cada>!r:ii.-(lol.jiioctar
oouvcrtcen ardoises, uiioparUsina A
(Finistère) ar-Stréatylas, contenant Sô a .
13 aies '.'U eeiiti.iies.
provenant do la demoliilon de camps américains
du Château, n- 11, k Urest.
taire à Ploudalmézeau.
•cllo dito Ar-Jartiln et un
UO cent,
Mise à prix :ii>.()00 f r .
Le cailler des charge.», clauoliainp (lu torio laboural/lc dit
iilso 0 prix ! a . a n o fr.
L'avoué poursuivant.
ses
et
condllions
de
la
vente
Paro-ali-Toussoc.
Pour |ilus amples rensolsno«'.W
J . .'' i i i a c l i .
est déposé en l'étude de M' i u u d l 4 j u i l i
I h. 1/:.
^Conlonnuco i 3i arc» 73 cenmeiits, oiinsiiltur les uilieiioa
C.heiiiiiDtiit, notaire à S.iintDEPOT DES FEUTRES BITUMES " L A
V U L . C A N I T E "
tlaros environ.
et lu Cour/il)]' du
l''inislèrc,
P R O P R I É T É
Ilei ai', où l'on peut en pieudre
Mlso t p i U lil.llOO fr.
du .'i mai l'jz.i, ou s'adresser u
pour toitures
Etude de M- r . Li .»ji, nol..ir€
connaissance.
aubourgdePIolidnIiiiéxeau,
H'adrofsiT, pour tous renM* Hlou, notalio.
4001
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lu manière accoutumée, aux tout commerce, «.ec jardin
notiilro
otiilro au Conquct, di^pusl1 a I r c.
Jour, lieu et heure susiiidi muré et grand ciiamp coiitigu,
Ltuiio do M* Ë i ' u c s t R i o » ,
Etude
do
.M"
L
o
Cac,
notaire
ilro du eal
eahter.di's.
Ea l'étude c! p.ir io minis
([ué.s, en présence de : f .M. le tout divisé en 3 lots, loue
notalro ti
l'Iounévoz-Loù Lannills
et h M " C O U N ot
Olivier Labbé. cl dessus nom- ju8 lu'i'ii l'J'2!l. il M. Jean Gour- tere d.> .M- l.é.ii:, l u t a i r c .
christ.
La photographie PIERRE, da Brast
4010
•vouiïs co-llollanls
Le K a m e d i '.'« m a i 192:»
mé, en sa qualité de subrogé- veni.ec, t.'Ôali'. l'an et l'impôt.
ù deux heures de i'aprés-miOâ
PriWlont au Iid<'i1u ollont(:ilo qu'cllo offro un MIIIIOI'IIU
i i t c u r des mineurs Claude,
taire, en i'i'tiide, lo i i i e r c r c d l Perrine c l l'iançois Phlilupot : Voir les allii-hes, ou s'adresa^rniKllMNOiiiuiit trùH «olgnO à partir d'une ounimundo
ser à
Provostic, notaire à L a
propriété
Eu L u u l i o i i u n i c u t i :
l U m n l I t l ' i U . à 1 h. 1|'<.
M , R u o d u P o i i t , 14
d iino (.0 izuli.o du phijthu(;ruphius.
A T E L I I R D'HOHLOOKRIE
? M. .loaii-Marle Gac, aussi i'ioudalmézeau.
'.OJU
Lot uniquo
La F e r m a de T r o f a g a n
ei-(ie.ssus nommé, en sa qual.a maison iiossL'do dos appareils pouvant photo,çrade Saint-Jacofc
BREST - RECOUVRANCB
Kn la coinitiuiie du D r c u u e c lité de subrogé-tuteur des mi Ktude de .M» l ' r u v o K l i c , noen Lopcrhct. comprenant
phiur rar iilni|iorto (]Uol temps do U h. d u n i n t l u A
ojuipronuîit iiAlinu'iils d'luil)lncui.-f l>iillippot, 1S.SU3 du ina7 II. <ltl NOil'.
tatldii ( t d'exploittulun
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taire à Ploudalmézeau.
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riai;o do .Mme Joiiinc Cac et
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toiTos
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divor.'io.s
nalur(Js,
taies .ivec bcai^x lu bre.s. m o u
OUVHIP.nS «l>KGIAI.I8TI'.8
ou Ho!s-Yvon, consistant en de .M. Ciau'ie i'hiiippot, décédé
d'uiio
coiitonauou
totale
du
Elle
pi'lo
BU
cltantOiede
ii'adr«ias«r
i
lin avec loiialjlc, élang et chu4, r u e F o n t a l n a B l n n c h e
inaboiui'iialiltalionavec étage, ou cu.\-mtmes dûment ajipcet de travail, pour Hommes, Dames & Enfants
11 il. 7'; II. 4fl 0.
te d'eau.
Ociiiie.
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lé;i.
La Ferme de Lanhalès
l,(U.o à iM, Yvo.s n^mlaln,
Jouissance immédiate, sau
graiifie, maison à four avec
Grand choix do Pantoufles, Espadrilles,
Jusii'au '.i'J seplonibro lO.'O.
1011 r les prés qui seront li.S'adresser, pour tous ren- en L n n d i i u v c / . . 7 h. 37a.
four, tous ces idillces couverts
1 0 - 1 4 , ruo Jean-Jaurès BRBST
Logi-ments neufs, louée ù RiPuur tous roiisclgi emonlR,
iros do lûtaiioii le
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UmndChelxd'CarluRcrio
Oaloohes
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de
Limoges.
en ardoises e t en 1 r(5s bon état : seigneuionts, à .M- Ciiemiiiant chard,
jus(|u'cii l'JiG.
s'ndri'SBvr à M* Itlou, notembre proch.iin.
llijouteilo et l.uuoilorio
cour, aire, puits, terres tant ou do Hodciiec du Porzie, notaire.
4(i03
Mise à pi i.v : :|.;.000 f r .
Articloi pour .Marlaucs
P l t l X t E 8 T ' T x ' S A V A . M AGEL'.V
chaudes nue Irolde.», prés, taires à .Saint-i-tcnaii, un à S'adiciiscr ù .M' Provostic,
.i7ui
Voiries aniolies.
4r;'
prairie, taillis, lo tout porlii .\1" Fournicr ou Lo Callt oh notaire.
(Amun o'Uotiiier
Oreziineltl,
hrmi dlmuith» H HUstpris-mH
au cadastre de la section l i , avouàî-4. Urc'st.
Etudes do M ' Eriiost C r o U l'4liot>rédigé eonrormémenl lîtude de M- P r i ^ e u l , notaire
numiM-o.s 311, 3I.'>, 310, 318, 32(i,
Hiiiil, ftvou('s (ioctour ou
à Ploudalmézeau.
32J, 3:;3,3it, Kf>ction A , nunie- â la loi par l'avoué soussigné
(irolt, deniiiiiraiil ii .Morlaix,
Kludos do M* Loinolne, no '
ij
G. l''OUHNlHÎ!,
ro.s IW, 101, lO:, 10.1, 118p, t î l ,
î i , Placo i.'dinit', do M*
talro <k St Pol (lo Ii(jun, et
avoué-licencié,
1?3,
i m , 1311, 132, 133, 131,
d é t r u i r e les
BALAY, 188, ïueSe Parli, VInoennei (lilpt)
l l e l z , nvoui', dutteur en
La l i c l l f p o l i t c f o r m e ilt
do M • CrolHNniit ot U u l / ,
hn.rejji.stré à l i r e b t , l e s mai en i'étuiic.
135,140, pour uno contenance
druii, doineuriint ù .Morlai.v,
Peiiqner - l'runu - i-:iorii,
rili, lourlt, campignoli, loin, pin, eortnui, nninli I
avou(}« (t iMorlulx,
, U'
. ikcu
totale do 13 hectares 32 ares 112); folio
Le
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10, Pli 00 Oonilc, et de .Mcommune
de Loporhet, d'unt
raatealeun
nt et à peu
Uefi-aitt
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trois Irancs.
68 centiares.
I heure :;0.
L e i i i o l i i c , noiuue ù Saintcontenance do ô ii. 00 envi^ ^ j j ^ r r ^
3
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rien ne réimll .iu»!i ndiniraiiicment iîue le I
ninl
Le receveur (.signé) :
l'iii-rie-liéon.
Ladite ferme est lou(jc jusron.
liail
tiiiî.
Ferme de KEROUENT
loaTi,
J O l r r k u x . en S a i n l - P a l i i i .
qu'au 29 septemijre 103(1, ù i l .
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Vlllo de H ( - P o l tl« I.0OU.
et .Mme Jules Paugam.
T m W N Q ' l i ^ l B E T
avec jardin fruiiieret I champ
Contenance
: Quatre hec- y atieiiant. I.ilii-e de locatlor
A Qriinch-.Mlkdal, ruiilu do
coillo qui 5 Innti lo lltfoii pour tuir 1.500 UuDtl
Jlise à prl.-c : rt.l.OOO f r .
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Bantoi',
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"" <=*" D'iNsi'Ccàs:
l ' o u r tous renseignements,
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l . u V o a d i ' u d l U l t i«fnl lt)V!i,
Tenue par M.M. Tanguy et
t lac on <JV.i.i«( 2/, Knvot franco conlrtl.iiott S.« d
s'adresser ù M ' Le Gac, noS'aiiiesser à M- Danguy des
6 l:i heures et demie.
Brianl.
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taire.
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Etude do M« «uentol, notalro
au t e n o i r d o Ménez-al-Lan.
boanluz. A r gwella louzou
Elude do M* Barjou, notaira
— Muis.in du Conll.inco —
G O U R T I L
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411 Mors Kcrgalr.oz : B oros 01.
l ' i lieures.
ooiiltiiant 2 h. 47 a. tU.
livet, ha d'ar nierc'hed jelnct
VoI0n>
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DESiaNATION :
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céderait
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biens
Ktude
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Unil,
notaire
gant Iio oad.
Etude de M* «Jti.v, notaire i
,
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Le tout lou() Il Joun-Marlo
A Ucrvuii. en la commune on terre;
à .Morlaiv.
U t l ann aot. Moreul, doktor
Bre.st, place w ilson («ucccson l'étude. I>i i i i u r d i illl iiinl
do PI«u/.<>viWI«!.
Cerre Juiqu'au W sept.
.foiiis.snnco immédiate.
1^11 la commune de l.aniiiliM
iipntlUer e kavoo'h ar Sirop
seurde M' boiiiieau de ChalllUUft 1 h. I | ' .
Promisr lot
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Celtique,
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brudet
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F E R M E
1 . 3 Ferme deMBscanton-Bras
Eu Moutliiiilol, b KerRin!par .M. NoiU Uuével.
terri ar pa/..— A r gwella Iourdon, iKio m a l k t i i i d lmlillotoile qu'elle si-ra exploitée
I/PUnQC
snitc na
Commune de «>i(iiil-.\lariiii au Drézidou cuntenant 1 hoct.
H;a(jies.-er à M- C H I Î M I - zeior evit ar chatal a gavoc'ii
tluii siius ardoises, ICilijneiit
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par los consorts Grali lo îli
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des
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soplonibre 1033, contenant Iti N A N l , pour renseignements. cno Ive. Kaslt di ho tour, ho LaFERlIflEduPETir-KÉRIViN tl>23
4675 tion, le liiiKii 21 m a i ls>2U.
pulasaiit lorllliarit ((«o l'on |mi.«o (loiincr u u n onroiits.
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krainch, ho coad, hog o v e z j
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Oommuiio rto (.'IdSdor.
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Adrossez-vous à :
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Libre 11U S'Jseptoinbro.iaîr, et line snim-tormp, conio3- ICoraudren-Hiiclla, de .ï h.
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P. MÉNEZ. Landerneao g «dresser à l'étude.
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à proiulro divnB la n> .18!!p de
4- Kcraudren-Hras. do 13 h.,
I lATioNs loee r.rn jorus
la seoilon A.
c.vpl
>iléo par M. Illlliou.
Etude do M* (lo Lullore»!,
dMGrudirilitSirliHD
«uut lo samedi «t dimauulis
Mlau ù pi'U : ll.OtiO I r ,
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notaire àMOrlalv.
P.MU.B LU nllBTOli
Q'uttrièra* lot '
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Plouvorn.
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par .\I. l.araiifc. •
(lontoiiahoo environ U lieoRalalrog. Arrangements posToute» fo\plo;iutioii facile.
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tltiles. pour déméhâgcmcnt. Facilités de paiointeut.
ft p r o n d ^ (l»ns lo ur 57i do In
^D Plouifor.:
S'ad-foUjor, !i T u l i p e s d'Ar- . Pour viiltcr et traiter, «'â_pour ,
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section A .
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(çn totalité ou par lolB).
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IWB<teft(CalvttlW.i4078 drostcr * M* Guy, notaire. M i s
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VSTE sr.;.,""-'""
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ON DEMANDE A ACHETER
CAPITAUX
Q r Seules elles sont consues pour vos terraios
UNION FONCIÈRE DE FRANCE''-^p'
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1 50
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< riaient les qiientions en
firs/iens : el elwvnne avait ses M'oeals
lionr sontenir qnc, de lontc (^vUlence,
i lle (levait i>assrr uv(aU toutes les «ii(IV,f.
.1/. Chéron inÛla pnur (jit'on en finit
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do la
niajoiiti'.
Itestail la (/nrullon He la R u h r , (')
pro/ios des rvèdlls demandés pone Voccinmllon.
Sucialistes et radicaux voulaient ouvrir Inum'dialement
le dihul,
Sur ta demande dn président du Cmi$ell, uni posa la (inestlon de coitllance,
ce dM'ut (ut fixé uu 2'i mal, soit <) mardi
procliuin.
L « i orédits^cnonc/rs pour l'oooupation de la R u h r H'a/ipU'iuuront ù hi
période comprise entre le dihut de janvier et le ;U mal, Us s'élèvent «ii total d
231.511.87.1 francs, dont M2,02.1.'l0t) fr.
an litre
militaire
(chiffre
réduit
à
U7.r)ll).UU0 fr, par des annulations
de
crédits prévus pnur l'entretien
('i l'inlérienr de troupes prélevées pour servir dans lu JUiJir,
Sans plus allendrc,
le 11 mci, lu
Chambre Invitait M, (leorfles Leimues <1
« continuer u le discours commencé il
1/ a plus d'un au, sur la réforme de
l'enaelgnemont secondaire.
Ce que l'ancien
minislre
avait
dit
dans la première partie de co (y/scoms,
lui-même s'en rappelle assc: peu sans
doute. Muis, le ministre actuel u tranché
la question par an décret. Vctte façon
d'agir ne saurait avoir l'apprQl>alion de
H. Leiiiiues d'fûlant qu'il n'est pi
pas
"
Léi
aussi partisan du taliii que M,
Léon
Dérard, qu'il est même le père du programme de 1UU2,
iSur cette question on pourrai!
d'ailleurs discourir pendant des semaines fit
des mois, ou mime des années, sans
épuiser le sujet, sans amener un accord dans un sens ou dans un autre. Le
programme de li)02 convenait à beaucoup, lundis nue d'autres
trouvaient
qu'ils n'en avalent jamais dit asseï de
mal, il en sera de même du régime
Léon Hérard,
ht putH, c'est M. Leggues qui parle,
ils. de. la gauche t
au.v apiih
« Vous videre les lucées «ii profit des
Instilulions
libres Votre réforme est
inspirée ^d'nn
esprit
antimodcrnlstc
Aussi est-elle désapprouvée par la maioritc des\ professeurs de l'Université, «
— L'an dernier, riposte M, Léon Bérard, le icorps professorat s'était prononcé enlièrcment en sa faveur. D'autre part, si vous ne me reconnaisse: pas
le aroil de dire à un enfant ; « 3"n feras du latin », comment vous étes-vous
permis, en 1!)()2, de lui dira ; « Si tu
n'apprends pus le latin, tu apprendras
obUgatotrement
l'anglais
ou /'«/(<••
mànd »,
lit les rieurs sont plulôt du coté de
celte riposte.
Mats ce n'e.U pas fini.
Vendredi prochain
on recommence.
M'oublions pas que, pendant ce temps,
le budget r e i t e en panne.
Il parait que le Sénat va enfin s'en
occuper un de ces jours, heureux «J'nvoir vu un déficit
de -1 milliards
ne
Iransforiner,
pendant les vacances, en
lin excédent de
millions,
K.vci'ulent
provisoire,
malheureusemtni. La commission sénatoriale des
Finances a bien opéré, sur les dépen
ses votées (> la Chambre, </m compres
stons n'élevant à 1.218 millions,
liénls
ttront.telles
ù lu discussion
'/ N'est-ll
phi à craindre que la plupart des ridiic
Vohs soient anmiléet par la Chambre
ou même par le Sénat ?
Plfiù rassurantes sont M
pliii-values
, lelt évaluations biidflélalre» mic le»
\slatallon» faite» pendant
1" <Wmeslre ifo l'année 'permettent Id'espil
rer. lillès s'élèveraient ù 2.317 millions
Avec d'autre» redressement», le bM
otl s'équilibrerait
de celle façon
Hrcelle»,
23.135
million» . dépenses,
Hecell
.758 mllflon».
excédent de recettes
22.758
minion».
382 mlltloh».
' .Ajoutons nue le dernier emprunt des
bon» ù 8, V, et lU ans, <i produit
la
somme de 0.778 million» dont 'i.SOOjnil
Hon» de louncrlptlon»
en numéraire^
""S
"
ï
, . .
là9Hén%i iélali appelé mardi ù chof' Ident, en remplace»lr un Tl04'Préildent,
ment de M,'A'IéxuHdre Bérard, décédé,
, La lutte était cli'çon»crlte entre MM,
fiuilave BIvet el Iteué lienouU: /'«u) et
l'autre radlcaux-ioctallite»,
,
i
L« (troupe de la hanche
démocriU.
• que, auquel II» appatifennent,
avait dé'
itgné M. Mené Remull.
Mal» c'est ^M;.
(iuijav« mvelnftlji'étéjlj.
par 103
••.«. vUux, «
ôû^dMi .
"
iiue, est mort
' année.
Ir.iiénicur, né <1 Foi.r, le M novembre
1S'2n; m. de l-'rcycinet fut déléf/aé près
de liamhetta, au minisière de la Guerre,
pcr le (louvernement de la Défense nationale. Depuis II fut ministre des 7'ravau.v puhites, des Affaires
élrannères,
et de lu Guerre, président dn Conseil.
l>rotestant, M. de l'reucinet n'était pas
un sectaire. ; plutôt un habile, qui avait
mérité le surnom de « souris blanche »
pour s«n art (ii louvouer entre les- parlis.
On lut doit le projeï de loi connusous le nom de « plan l'roiicinet
», sur
l'achèvement des chemins de fer et des
voles navigables.
ICn lfi87, Il fut candidat ét la présidence de la liépubllque
; il n'obtint que
70 suffrages cl c'est M. Sadi C'(;i')io( qui
fut élu.
lUi 18!)0 II entra ù l'AcademtQ française, en remplacement
de M, l^milc
Augler,
w
L a fôto nationale do Joanns d ' A r c
bien que conlrariéc
pur le mauvais
temps, a donné lieu ù de grandioses
manifestations.
/I l'aris,
le cortège, entré dans les
mœurs et réglementé
dans une belle
union sacrée, a été splendide. Le gouvernement avail préalablement fait son
Uammai/è officiel ù la stalue de la place
des l'grumidcs.
Le cardinal Dubois assistait du porche de iSaint-Aunustin
«ii
dépari du défile. Le II. V. I.lwnde
a
prononcé ù Notre-Dame de l'aris, devant une foule immense, le panéggrique doni des extraits ont été comnutniqués pur T. S. F, ('i tu France entière,
Soulignons encore les grandioses soIcnniUs de Uouen, oit se tenaient à cctlc
occasion les lùtats généraux des familles française», La présence du minislre
qui a assisté au « ï'c Deum » et d'une
cinquantaine de partemcnlaircs est « signaler, La scène des jeunes filles de
Ihimremii et de lioueii jetant des fleurs
sur la Heine, lombcuu de Jeanne d'Arc,
a été particulièrement
émouvmitc.
/I ïlame se sont déroulées,
dimanche,
avec i'hubiluelle
magnificence,
les ccrémonies de la béatification du cardinal B e l l u r m i n .
Après q u ' i l n'en reste plus on on
découvre encore.
Le juge d'insiriiclion
de Marseille a
fait placer sous mandat de dépôt le
docteur Charles l'iaton, professeur de
clinique ggnécologiqiie ù l'école de plein
c.vcrcice : de Marseille, coHS('(//cr général do la Lotère cl adjoint au maire do
Marseille, inculpé dans l'affaire des carnets médicaux.
D'auris
l'accusation,
sur
environ
45.000 ft, d'ordonnance
signées par lé
docteur Platon, une trentaine de mille
francs se rapporteraient
ù des ordonnaiicés dont les malades réformés et
mutilé» n'auraient
jamais eu connaissance,
Vieux Platon, te doutuls-tu
que ton
nom serait un Jour mélé ù de pareilles
hisMres '/
On annonce que (Fautres arrestations
semalionnclles
sont
imminentes.
On n'a pas oublié te t r a î t r e U l l m o
qui fut condamné, en 1008, à la déportallon perpéliielie
dans une enceinte
forlifiév
i>our crime de haute
trahison.
Depuis treize ans l'e.v-ensei(ine de vaisseau subissait sa peine ù l'ile du Diable.
Or, ces derniers temps, il donnail des
signes' de trouble mental. On est Intervenu en sa faveur et Ullmo a vu sa
')eine commuée en celle de la déportaion simple. .Ualade, vieilli, il se traine
péniblement dans les rues de Cagenne:
ce n'est plus le brillant njlducteur d'antan.
Le-tO mot, ù Toulouse, M . Oaillaujt.
accompagné de quatre amis, a renconlré
sur. ses pas un qroiipc d'une
cinquantatnu de camelots du roi, ù la tèle duiiel se trouvait M' Ebelot, avocat ù la
loiir d'appel.
Ce dernier accuse M, Calllau.v de i'nvolr menacé de mort, et d'avoir essagé
de mettre ses menaces ù e.vécutlon lors
de la rencontre.
Quoi qu'il en soit, une altercation se
lirodulalt entre les groupes ; des coups
,'urent échangés et M, Calllaux fut renversé et blessé ù la téte. Après un premier pansement dans une
pharmacie.
Il fut conduit ù
l'Hùtcl-Dlcu.
Un chien-loup, dont il se faisait continuellement
accompagner,
a
disparu
dans la bagarre. Il ferait bien de le
remplacer par un tigre.
Parmi les nombreux radicaux et socialistes qui s'empressèrent de télégraphier leurs condoléances ù M, Calllau.v,
citons les citogens Goiute et Masson.
Son siicccss<îir cii la présidence
dn
iiartl, M. llerriot,
voulut Interpeller
t)
a Chambre vendredi, tandis que le
communiste
Moutet, avertissait
Léon
Daudet qu'il le tenait pour responsal>lc
sur sa téte de la sécurité dn u muHie
du bal »,
Inlurpellatlon
ajournée.
Des grèves sont signalées en BelQlquo, dans les services publies
principalement ; — grèves partielles
surtout, éclatunt tantôt sur un point, tantôl »ur un autre, sur les chemins de
er, dans les postes et télégraphes, etc.
IJCUJ- effet, — et probablement leur but
aussi, — est de paralyser la via écunomlgua dn pag».
Le» hommes du bataillon
des chemlu» de fer et du balalllon de télégraphie de campagne, des classes H)l.'> ci
• été rappelés sous les dra-
AD
etre
an Horolacli nag an Qeol
• « An hciir goz a zo trcac'h », a skriveiiip-ni, gant cun tanimili Icveucz, c
hanter niiz cbrcl.
Hag 0 gwirioncz an tlnrn vuia euz
ar o'Iiaiinadetl o doa diskouezot, kcnt
lia konici" lio anizcr diskniz cvit Pask,
h'o blijo k o i d'czlio doiTt da zirenka
an horulacliou bop bloaz, pa n'c ioa
ha n'cz ouz abeg tulvoudck ebed d.'Jien
ober.
N i a gi'cdaz cla cz oa ochu da zorc'honni gant an heur-hanv; ha padal
ar zorc'licnn a zo savet a ncvez, evel
pa n'c dcfc kct ar Ganipr gwolloc'h da
zelaou ha da zi?i'vioha.
H a soin pclra oo ar c'hoant Uaont
ncvezonliou !
Gwechall
Epad kanlvcjou ha kanlvcjou all,
an diid n'o anavcs.jon! kcn hoi-olacli
ncnii'd an heol. Eur zell ctrczcg ar
c'houluonenn vraz-zc, zokcn pa \-C-m
nioïK'hcl gant ar c'hounionl, ha pcbhini a lounc dcindoft n po l)ocnt cuz
an dez on oni gavo. Kvit gonzout coun
pour en oni gavo krciz an dêz, cur
nicrk a vezo greet var luogor an ti pc
enn treuzoïi. Divezatoc'h, oun hanterkclc'li po liiDiler-cadran a oo morket
aman liag ahont, var an iliznu po tiez
a wol da golz tud, ovit anaout hourioii
all an doz. Enn nadoz vraz a vozo, cun
nadoz ha n'c droo kct; ar skoud anozhi, liorvoz m'en eni ginnigc d'an licol,
00 a lavaro pour o veze 0 heur, pour
Kreisdez, peur H honr.
An heur just bopred, hop poueznu
da z e v d , na res.'-ordou da starda, na
tregas ebed <la gaouf.
uc caz a iua; po konloo'li an oll a
zantuz an ezmnni da gaout on heur e
peb korn cuz ho zi, hag enn ho godell.
Ac'hano horolaehou lia montchoii,
— da hcuiia honr an heol, cuz ho
gwolla.
« Bnz ho gwolla » a c'honlonnc
c'hoaz gwollQc'li pcurvuia: dalc'hmad
vaiierc'h, po araok. Mes an ncp a ra
onz lio wella n'eo ket da voza tamalIct; hag horolaehou 'ha montchou a
rea cla euz ho gwolla ovit en cm lakoat ha choum a-unan gant an heol,
An taoliou kenta
Ar brozel a douaz da zivarc'ha peb
ira, da zirciza ar sporejou; hag unan
beiinag, ar niinistr Honnorat, a zonjaz n'o vol'o ket ar gounit d'ar Frans
neinod lakaet a vole cmgann cl leac'h
ma n'c ioa ket e'hoaz nemeur, cuigann
otro an horolach hag an heol.
Evit lavarout mad, pcll a ioa an horolaehou a oa araog heur an heol
ama, lia varlorc'h ahont.
An oll avad a gompreno koment all,
hag a roc ho usant. An heol a vez gwelot abrctoc'h o Strasbourg cged c
Brest: tost da enn heur abrctoc'h. E
Paris ivcz an heol a vez gwolot abrctoc'h cged c Brest, divezatoc'h avad
cged c Strasbourg. Da lavarout eo :
o c ' i r c n cm henteha var an 'heol, peb
kcar, peb parrez, c deuz ho heur, dishcvcl, diouz heur ar gear dosta. P »
verk an heol kreisdcz e Brest, o Paris 0 lavar kreisdez ha 25 minut.
Ha niad a ioa goulskoudc kaout oun
heur hovel dro ar Frans a-bez, cuz an
cil korn d'cgilo, ablamour d'an trainidu dreist-pll.
Setu — bloavez 1801 — ma oo disklcriet: hour ar Frans a vezo lieur an
heol 0 Paris; an oll horolaehou publik
eonnet var an hour-zc I
Divezatoc'h, bloavez 1911, chenchamant all. Easoe'h a oa cvit <loarc d'an
dud a vor heulia heur Bro-Zaoz cged
houlia heur Paris: po kentoc'h, ar
Zaozon o veza niverusoc'h var vor,
liour. Bro-ÎSaoz a oa hculiet gant
muioc'h a vartoloded. Hag ar Zaozon
a lavaro d'ar Fransisien: Pcrak n'c
rafec'h kct d'omp an enor da houlia
lion heur o lestciii a vignouniach? N i
onn dizro, a heullo ho « système metrique » cvit hor niuznllou.
l i a doo, lezonn nevoz (0 a viz meurs
l O i i ) : hour ac Frans a vezo heur saoz
Qroonwich.
Kalz a zonjaz n'c roa ket ar chen
chanmnt-zo nomenr a onor d'omp —
— hag ar Xaozon a dleo ankounao'iiaat ho fr(jjincsa, . dolc'hcr
ho
niuziiliou koz ; — ncbciid goulskoudc a o'hrosmolaz, o Brciz ncbculuo'h c'houz cged o leac'h all,
0 veza m'oniaomp, onn hor c'hornbro. (ostoo'h da llncnn Grocnwich cged
da hini Pari.<, ha ma oamp dro zo ha
m'omaomp'e'hoaz tostoc'h d'hon heur
gwirion : o leac'li Sri minut n'o jou
momj) mui nomed 17 minut ha kart
araog hour Brest.
Un arrêt dé. la cour d'Orléans
avait,
en 11)15, placé sous séquestre le chât e a u de Ohambord, en alléguant que
la,prince
tille do Bourbon-Parme,
son
propriétaire,
appartenait
ù la nallonalltè autrichienne,
• Le pttnce a protesté, en faisant souleidr qu'il n'e»t nullement sujet
aiitrlcl\ieu, et que »'ll a tervl dans les rangs
Peseuft ozomm a c'hcllc boza da
de l'année autrichienne, ce fut ù la condition expresse de n'ctrc pas employé o'houlcnn'ha da c'houl'c'hemonn cur
sur le front
^rançai»,
jonchdmaiil muioc'h 7 Evit hcr c'hom
La Cliambic de» reqûéte» de,la cour pren eo redi))0za parizian cvit doaro
de oà»»ation a rejeté le pour,vol du
prince Elle de Bourbon-Parme,
attendu hag ovel nm n'oun kol parizian, me
Qii(| M pj'/iice ifvalt accompli son acr- n'am bouz kct kompronct e'hoaz.
i>ioe, a(Kin( et pandaltl'.lf» guerre, dan» i^.Kpjntr.on à ran licbkcn cz oo oun dra
l'armée mtFlohifnne,
ou il était attaché
miijUii);t»]j.i'j(iii. li<?ar .Jbç^sij^ <lis
liar.ntt .ou'owi devait-donc
te
Ipaidaeji,
comte AdtrieMtfi;,.
' iwiai|£.0lwetdd''h:.'ètiii;>a'i\
. Danserien Paris
Pf
iviti I'
:JuiL
Kompren a ran an dra-zc, hag hen boch, co a vezo hculiet bcp hanv cr
lavaret ani beuz araok hirio. Raklal e Frans, er Beljik, c Bro-Zaoz.
M a c'helire an amzor dont da veza
lavariz ivez avad c c'hellet l'oi ar vadzo da vidierourien kcar hep chench kaeroc'h da hcul ?...
X'euz fors ponaos n'c varvimp kct
penn da bep tra, 'horolaehou hag all ;
awalc'h a ioa en cm glcvout, être niistri abrctoc'h. Er c'honlrol, ma tigoucz
ha labourorien, ranna an amzcr, reiza gan-omp beza galvct epad un hanv,
an devez onn hevelcp doarc ma vole enn ti-kcar o vczimp lakaet cun heur
eohu an 8 hour labour onn hanv abenn kosoc'h.
H a ncuze, ncuze, sclaouit ha klevit:
pemp heur o leac'h c'houec'h pc ?ciz
ochu abars nemeur gant ar geraouez !
heur."
Eun hevelcp renkamanl a zo bet zo- A r park a zougo founnsoc'h eost, an
kcn greet e mcur a leac'h, dre emgleo, ejenn a lardo c berroc'h amzcr enn
hep jozonn, er zunveziou diveza-ma. hc graou, ar vioc'li a roio.muioc'h a
M a kredet n'c ziskouesfc ket an oll kc- leaz hag a amann, hag ar iar a zosvo
ment a volontez vad o keariou all, ar brasoc'h viou, ar mekaiiikou a droio
monnad-lezenn kinniget gant an aotr. lijeroc'li, hep col, gant nebeutoc'h a
Billet a c'helle beza awalc'h: an 8 heur c'hlaou, etc.
pemdeziek échu abenn 5 heur enn
An aboslol Poincarc hcr c'iinne dihanv, abenn 0 heur or goanv.
mcurs er Gampr, o komz cuz ar burHogen, kannadcd Paris ha re ar zudou a zo da c'hedal a berz horolach
c'heariou braz all a fellc d'ozho kaout ar Boch tronet da rou.ancz.
ho heur, ha var eun éi'o morka an
Dre ze
hour-zc d'an oll,
nebeutoc'h avad
ORENTIX
evit ar gwir labourorien eged cvit an
• 0 » 0 « 0 « 0 « » c : > « » 0 Œ » 0 « i
danserien h a •danserozcd, hag ablamour drcist-oll d'an novcïenli.
Tenn eo bet an abadenij; epad daou
zevez ez euz bot diviz c" Oampr; hag
enn diviz-zc cz cuz bet y.<emcnt a hinior ha ma v'ijc bot ar c'hodri etre gwir
Fran.«i.sien ha nignouned'ar.Boch, —
Pcll a 7.0 abaouc ma '-Î^CO marvct
cvel pa u'n c'iiellfc mui ai' Frans heulia hc 'lient gant au heur goz, na kous- ar garanloz evit cur roue'e kalon an
kat dinec'li hop gwelout cmgann cire darn vui^ eus ar Fransisien ; ha
horolach an don hag hegl an Aotrou ItoulzgouJo na 'z eus bet gwclet biskoaz eun niver lier hras a rouiuiezed
Doue !
en hor bro hag abaouo ma 'z co savet Marianne ,(ar. Itcpyblil:), war an
tron.
Pep keiir ho dons Iiirio lie rouanez:
a veae'li nia 'z eus daou viz abaoue
nV' zalelmp kct pcll da gana enn-dro
ma rea kear Bariz eur gouol en enor
d'ar chôiori-ze ; hon lenucrien a aiia- ilii rouanez ar Owenan ,— (po rouavez hor sonj poli 'zo.
nez an arlizanezetl, ma kavil gwelLavaromp hebkcn c oc, onn dez kenloc'b). — Eun loullad mat a zimezelta, torret au heur goz hep hini all ebed leU a enor a ioa cnclro d'ar rouanez;
hag eur gouel Uaer o vije bet heniiez.
da gemor hc leac'h !
Gwolla 'zo, an heol a joumaz; liag a paiieved nia teuas ar glao da roi
dra zur o tleo mousc'hourzin o welont o'iioant d'ar « Gwenan » da zislrei
d'o c'iiestenn elec'li choni ejiad cuii
ar « prenved-douar » oij'h eu cm ziliauter derve.: cla vont ha da zont drc
frcta.
ruiou kear, evit kcslal nicl war beg
la, gant aoun emiclians ouz Iio clek- toodou an dud.
tourien, eun darn deputced a zonjaz:
Pej) niiclicr ivcz a fell d'ezi kaout
pa''z co dioz en cm glcvout, torromp hc ruuiinez: Brest, n'eus ket pell, a
un hour goz o lozel gant ar c'houarna- re.a eur gouel en enor da rouanez dr
c'iiovi. Da c'hedal an deiz, m'oarvat,
mant ar garg da verka unan nevcz.
•Ha 285 député, cvcl Bouilloux-La- ma raio cur guuel all en enor da skuIloi'or.uU ar i ulUU I
font, GuuO, OuCpratl lia Was.-iuii, u voHag en lioll pcariou cz co henvcl.
t'aa an artikl kcnta, o lavarout :
Hogcn ar c'iiiz da zibaba rouanezed
« L a loi du 0 mars 1011 fixant
l'heure n'eo ket deuet o kear lieplcen; ar <!'hiz
légale est abrogée. »
a zo 'liropet ivcz d'en oin skipna war
'Freuza a zo bel a viskoaz cul labour ar mcaz, beleg ctoucz al labourerienpeuz-eoz_i scvel eup dro ft zo tennoc'h douar o-uuan.
Er zizun drenienet o lennen Ucpeurlicsa.
H a g an cil artikl kinniget a lavaro : menUnian war eur gazetenn :
« Syndikajou labourerien ôuar ar
« L'houvo légale est fixée par décret
C'iialvados o dous dibabct rouanez al
rendu en conseil des ministres. »
labour-douar.
Hola! a griaz cul lodenn euz an aoKekel cur plac'h iaouank eo a zo
Irouned, d'ar Gampr co da ober Iczen- bet dibabel, aval; hogen eur c'invet;
nou, ha nan d'ar vinistred. Gwelout a iaouank i|iag lie deus diskouezot ez eus
rcomp petra a fell d'hoc'h: an oll vi- danvez mat oc'h ober anezi.
An ilron Yvona Girard eo hano ar
nistred, Ghcron hag all, a zo ali da
lakaçit an horolaehou arftog an licol rouanez. Labourerez-douar a vielicr,
n'iio deus e'lio;iz neinot 27 vloaz. D i epad an h a n v ; ha dro zo, roi galloud mezct co da eun Jen hag a zo bel gwall
d'ezho da verka an heur publik a vc vac'hagnet er bre/el. Hogcn, hen-inan
lavarout: grcèt eo an t a o l î
ne c'iiell labourai, ncmet nebeut ; an
Arabad eo !
itron, gant sikour eur inevel hepken,
H a g or wech-man alvokaded an heur 00 a rauk cla kas an atant endro. An
goz a 00 trcac'h, drc 2 5 i mouez a-enop alani, aval, n'eo kct bilian anezi, rak
bez' ez eus c'iiouee'h ugcnt dervez
233, enn dcspct da skoazcll Bouilloux- arni, slag oull; ba war ar c'houec'h
Lafont, Goud, Guépratt lia Masson,
ugent-sc n'eus neniet pevar dervez
Torret an heur goz cta, hag heur nc- arat prad; an ncmorant a zo holl
vez ebed, epad ciz dez. Eur wech douar-labour. »
e'hoaz an heol a gendalc'haz da bara:
I l a g ar gazetenn a gendalc'Ji, en eur
anez, mar or bije ranket Iremcn, cvcl roi d'eoinp poUred ar rouanez :
sklerijenn, gant ar skcd euz montchou
Il An itik a laka an ilron Girard d'al
ha pandulennou an aotr. Bouilloux-La- labour, an anaoudek ma 'z co en lie
micher, ar garantez a ziskouez kaout
font, 0 vel'c bot trist hon doai'c.
ovit ar vichcr a ra,... hag Uo c'iioantiri
he-unan ouspenn, a zo bet penn-abeg
lua 'z eo bot dibabct da rouanez gant
nioueziou an holl labourerien-do.uar a
Dimcurs divoza, abadcnn all: red a ziwar-dro. »
Eur poltred liag eur meuleudi co ar
ioa kaout eun heur.
re-ze ha n'am eus nelra da lavarout
H a pa n'o c'hcllc mcrka g-welloc'h, anezo. A galon vat zoken cc'h anzavin
ar Gampr a «avaz a nevez an heur ez eo din an ilron da vçza rouanez,
goz — heur Grcenwich — c doa tor- mar d-co féal ar ijoltred a rcer anezi;
ret d'an 0 a viz mae, o lavarout avad: hag cz eus Icc'h d'bc meuli evit ar gaAn horolaehou publik a vezo lakaet lon hag an itik a ziskouez kaout d'al
eun hour abrctoc'h, bcp bloaz, azaleg
kernel c livirin cun dra :
an diveza sadorn a viz meurs beteg ai"
W a r blasenn vras Caen — nia vez
c'honta sadorn a viz here.
great ar gouel c Caen — ar rouanezA r c'hannaded a zivar ar mcaz a
inan a c'tiello kaout war hc zro al lez
enebaz cuz ho gwclla : mes rc ar c'hea- a zere; nekcl niank a ziniezelled a enor
ripu braz, hag ar vinistred Poincarc a vezo kavet o tiegeziou ar vro cvit
ha Trocqucr evol-d-ho, a huanade ke- derc'hel tost d'ezi lia kaeraat ar gouel.
mcnt ma kavjont 278 mouez a-ciiep Ha kcn din ha n'eus forz pc rouanez
all 0 vezo ar rouanez-nian da dremcn
250 da ober ho zaol.
Ar vrasa sotoni marlezc a oe lava- dro ruiou Caen; ker kaer lia n'eus forz
po hini ail gant eur gurunenn pennouret gant Herriot, raear Lyon.
od cndra d'hc fonn Ija troad cur fouet
— Pcrak klemm, emc-z-hau; al la- en ho dorn o giz gwalcn ar roue.
bourorien douar ivcz o devezo da
Hag 0 cliomo, daoust da zo holl, eur
c'hounit gant an hcur-hanv, dro m'o rouanez djstcr... eur rouanezlK !
dcvozo eun heur muioc'h da ziskuiza
Ilouancz war ar blasenn? la, m'oarpo da gouskat !
val. Ncmot nckct rouanezed eus ar
Eun hour muioc'h? — Nemcd cun seurt-se co a dlefomp gwelout war ar
hour noboutoc'h a vc kontoc'h, evit ar moaz otoucz al labourerien douar. E
rc da viana a zo a dost d'ar c'hcariou. pc Icc'h all 0 c'hell an itron-nian beza
O veza ma iclo ar vicherourien abrc- gwelloc'h ha muioc'h rouanez egct en
hc c'hear-ho-unan ?
toô'h d'ho labour, ma foU dl'oïho kaout
Hogcn, gwplit ar rouontclez lie deus
ho loin araok kuittaat hq'isl e tleint
hou-nian cno; ha gwelil al lez lie
pedi merc'hcd al leaz d'en cm gaout deus: c'houec'h ugenl dervez arat, eur
abrctoc'ii ivcz, bep mintin.
gwaz mac'hagnct, hag cur mevcll Eur
A-hoiit-all, an heol cvcl diagont co rouantclez kaer: c'houec'h ugcnt dera c'houarno .labour ar parkeier : ar vez arat! Hag eul lez.., cun dcn hanter
gllz n'c zavo kct kentoc^h ha da ho- Uag h i 1
rolach ar gar mcrka cun heur abrc- • Oouzout a ran o c'hell beza bras lie
fcadro, daoust ma n'ho deus ket cul
toc'h.
lez diouti: pa vez kalz douar da ruilha,
Diou hour eta, unan er gcar cvit al
hag eun tamm itik d'al labour, daou
labour,- cùn all enn hent hag o kcar. zori hanter a c'hell àto tonna pratik eus
N I a lavtir e'hoaz n'a ioa gwir ezonim oun tttant. Livirit d'in, koulzgoudo, hag
ebed euz nii direnkamant-ïe'.
awalc'h eo kement-so? Ha no c'hellMes ar Bariziancd a dlo beza kcn fot ket godai gwelloc'h diouz cur gwir
curuB hdi' ma vont deuet oll da veza rouanez? Ar vro — a r rouanez vras
-r- hiig.hi a dcnn eus 'ronantolcz houmilliounçricn enn our gouskat.
man an holl vad a dléfo tonna ?
H a ma n'o-ra ket bromon an A l l inouanez? Gwir rouanez? la, ma vijo'
minted ho 'zonj da rapari penn-da•dek don po ouspenn war ho zro ha
lleiin, hag 0 :berr,aaizer,;àn dismantr. ipemp-'gwooh ;muiûo'h a cosl e n - h e
dodarou. Neuzo,'ha'nëuza hepkbiv a'r
ijiBBavo ,oîiîioI\an8, (ça, iiu pennoii fall vro' à-bcz. a(c!hëllifo' stoul d i r a i i . ; •
.à'rdMdtvgati^^ti; onor £(t«e| d'o«ho ç. . •-^^JMeit-o.'hpl. a - l a v a r o ; marlcze :
[•"'.An itjSou;n'jio,d.o^
Ràk, heur §kJt_ A l i i n ^ ; an IXclir >m'n>ùgvru; "lievézi dlmezet fio; Jl.
mearSTO W c'If«fflpj«<>!rstm,
Rouanezed
ha Rouanteîeziou
An heol a joumaz
An heur boch
/
•
.
.1:
zians a c'iieller kaout cla c kavo, eua
deiz a deuio... »
Ln; pcp flzians a zo aolreol. NohiPl
n'emaoun ket aman o pleustri war an
nmzer- da zoni; ouz an aiiizer lii.'io
hepken eo e sellan. Ha^' e lavaran :
Eur rouanez trist eo an hini n'iie
deus cvit boll lez neniel eun den banler
pa ho deus cur rouantclez a c'Iioueu'Ii
ugcnt dervez arat. Hag ablamour ma
'z eus kalz a rouanezod eveliii ba Ualz
a rouanteîeziou cvel lie hini, ar Krans
a rank mont da ge.'^lal ed diuant an
o.^tren cvit kaout bara ker da ici d he
bugale.
O rouanezed Ereiz, gwir ro'.iane/cl,
c'hui da yliana, gant al leziou iiivi'rus a vugnlc a wcler endro (reoi 'b, iin
c'hui 'zo kaer clouez an bo!l roua:i' zed all I Hag bo rouanteîeziou, peg.
bilian bennag int, a zo pinvidik liai^' a
zoug frouez, c-skoaz meur a ruuunt
lez all brasoc'h egelo .1
Bicl.
KELEIE
D a r v o u d war
a n licut h o u a r n
Mon Carnet
A PROPOS D E .
LA S E M A I N E
TOURISTIQUE
Les organisateurs de c c t ï î ramcvsc
Semaine tcurisH.juc du Vinis'.ér:, qui doit
avoir lieu du 7 au i 5 juin, ont des idées,'
beaucoup d'idées : les unes .sont bonnes;
les autres le cor.t moinf.CephLîoinèncn'a
rien que de Ir.'.s humain et de très banal.
On aurait le plus grand t.irt d'en vouloir
à ces excellentes sjei.s pici.-.s, de dévouement et pleins d in!c:ii)Oi,', c.xeelJentes.
M a i s le droit reste intact, quand U.-ÎC
idée nous paraît délest.JjIe, de le d i r e .
Je me permets d'user de ce droit, avce
le maximum de ccuitoisie.
Dans un des journaux qi;!
!c plus activement de tjr.jcr
Icuristiqiic, je lisais, tics réce
entrefilet dont je reprodui»
ment la partie essentielle :
l'occupcnt
ii Semaine
iiment, un
textuelle
Eun darvoud a zo c'Iioarvezot deiz
ar laou-Bask war al linoan vilian a ia
eus Gourin d'an Oriant.
EiJo an train war an dhiaon a zo
kichenn Plouay, pa joiiias iruiiuii u
zav. Ar vcacho'urien a voe iaolel an cil
war egilc; lia kcrkent m'cilont ..âvet fi
voent gwelel, en o zrel'u, o liîaiiinieil
cr nieaz eus ar vagoniou lia:? o vo;it
d'ar red pc a zcou pe a gleiz dre ar
pai'keier.
Pelra a oa c'boarvezot el:i ? Ar
marc'h-du en devoa great l.iiniii
eliouk-e-benn, ling a ioa dislaolet di
war al linenn, e rojou panlan er vaiin.
pecler vagon marc'liadourez a oa diniel
ivez diwar ar railhou. An daou zen a
oa war ar niarc'li du a voe pakel ùiiidan hcn-dian, lia llaslret.
JJlrag an darvoud.man, peger gl.To'barus bcnnag c c'Iicll beza, c c'Iioll'T e'hoaz lavarout: a drugare Jiouo !
Hak, c-f;\virionez, ma vijo bet c'bnarvozet kant metr pelloc'b, kazi .sur e
vijc bet eat an train a-bez d'en cai
douler cr lile." fc-eorft'.
Pe c c'Iioarvezo drouk, pe e fisniie70 levonez, dc-Itoiiip douja da ioul an
UolUC'balloudek,
en'iHiscdc
Oicnrchw.
nn.r dut/igas .îui
;,tissfr,l...
Le I
sa colore.
cil. et. jiur un dcuul
iHUi>rc:„,iic,
se J'xc
dans la iiiémnirc
ilii t(M\sU\
fr^'^t /ic:i de
chose et c'est beaKc.oup. rjivtn-l. >:,-t
acciifil
est enlhonsiuste.
siiii/di:
et diarurant,
er.
t:urt;ut,
'juitnd U se re/.itc
Un •citlane en
cdUige.
l'ùiW'iurd
Us (iHldril.'s
loa,;c.', ctes po.!S
que truverscni
ti eireiiit
de in
Scinair.e
tuiiristi.jun
ne s'(n^:'ircraic!it-cliis
pas de
telle idée,' Le:-> e.ir.tuntc^ lirct-)r:.s sont dceorati fset pleins
d'ori.;tnaldé..Sidn'ignorp,
par ailleurs, le j-rix de certains d'entre
eux,
qui re/iréscnici
t de petdes richesses.
Et
puis, pourquoi
ne pus CIT.'/ACR cette idée de
Il bicncenue n f
Ce serait si. joli,
de faire
parler
la
Bretagne par ta cuix des
pcliti.
Eun darvoud all
Eun taol amzor, eus ar r r wasa a
c'helîcr yweloul, en deus siiool war
deparlaiiianeliou
an
lllc-et-Vitninc
hag an Or/;c.'l'iez, gwez, ha drevajou
o ucus bet da c'bouzanv war cul lec'iied
a bl'inp
c liouoe'h lr:inl inoli (.U O
Treiriblay ba kear Domlroiit. Ar pourventcnn n'Iie deus cspernet nelra. E
darn alaneliou, an dismantr a zo ker
bi'as ma ne vezo ket r» eus 00 mil lur
evit lier rapari. llener av •• cirnue »
Violet, o vont dro an lient eus .Mençon
da Zonifionl, a wclas peder e u s ' a r
seiz voelur en devoa o veza skubet an
eil pell diouz rben; tud ar « cirque »,
eur pemzek anezo, a voo gloazet kalz
po ncbeul. En cun tacliad eus an hent
daou bried hag o daou grouadur a voo
paket dindan o c'harr; edont a-zevii o
o'Iioulenn sikour pa voe samnict U unini
ar c'iiarr diwarno, lia dislaolet pell
ac'liano. E koat bras Andaine, ar gwez
a zo bet hejet kenicnt, ma '/, eo cun
(Iruez o gwelout; darn a zo torrel, darn
disc'Iiriziennct; ba mar d-eo gwir ar
pez a lavarer, e c'iieller kounla ouspenn hanler kant mil gwezenri diskarel, er c'iioad-se ncmot ken. E c'Iiellit
krcdi n'eo kct bet cspernet an drcv;ijou
gant ar barr kazerc'li a gouczas da
lieul ar gourventenn. Darn eus ar e'iiazero'li-sc a oa kenient liag eur vi dube.
Evidemment, le tableau est i d y l l i q u e :
< Les fillettes à l.i mine éveillée,... I t s
garçonnets prés d'elles,... les voix fraîches,... les cJiants de montagne,.., la
bienvenue aux étrangers qui passent,...
lu Bretagne qui parle par la voix de ses
petits... D
O u i , c'est un tableau idyllique et pastoral. E t , à le contempler c:> imagination, je sens une douce émotion envaliir
mon cœur. J'ai peine à reienir quelques
larmes...
Seulement, voilà : il y a /a réalité ; Ta
pauvre réalité, qui seia, je le crains f c r t ^
beaucoup moins idyllique. Comme ces
a petits Bretons n seront bien gentils, les
chers touristes leur donneront des sous'"
ou des bonbons, ou des gâteaux. E t les
gentils « petits Bretons », p.xreils à Icus
les gamine, calculeront les bénéfices nefs
de l'opération qu'ils peuvent faite sur le
dosdeschcrs touristes Et ils la recommenceront... Ce ne sera pas, je vout le
garaniis, pour les beaux yeux de no»
visiteurs; mais pour des profits beaucoup
plus palpables.
Ne glcver kct lavarout c vije bot
c'boarvezot drouk bras gant kalz a
dud.
I l a g c u n d:ir%'oud-all
c'Itoaz
Eur o'Iiarr-nij, great cvit kas tud
eus Paris da Loundrez, a zo bet kro;,'et
an tan ennan, ling a zo deuet da en eiii
llaslra war an douar, e kichen Contv,
e departamant ar Somme. Cbouei'-'li
den a oa ennan: tri veacbour, ba tri
vleiner. O c'houec'h int bet lazet. Unan
eus ar veaeliouricn a oa eus Uro-Zaoz,
unan all eus ar Finlande, hag egilc
eus New-'i'ork.
Ar c'houec'h korf maro a zo bel arcliedet ha kaset da iliz Monsures, an
iliz tosta eus al Icc'ii ma oa kouezct ar
c'harr-uij,
Lur
blaijarcnn
Berla Vazo a zo kemenercz; ba -i?
vloaz ho deuz. Hetek ho 27 vloaz n oa
cboinet fur. Abaouc. aval, hc deus
c'hoariet hc fenn fall, lia diou wccli
warnugent co bot kondaonet gant al
lez-varniou. Tanvaet lie deus ar zoubenn e prizon meur a gear vras.
Edo warnez dont eriiicaz eus prizon
Iloazon pa gavas tro da veza goudoret
o prizon Piiris. Lez-varn ar Seine en
deus hc c'iiondaonet en dro-man da
bcvar bloaz prizon. Ugcnt vloaz « intcrdielion do séjour » a zo bet roct
d'ezi war ar niarc'bad.
Dre ar binijenn-man ez co difennet
d'ezi laliaat hc zrcid war baveou Paris
epad ugcnt vloaz. Belo neuze n'Iio devoa nemet 220 vloaz eus ar binijennze. Breinan hc deus 2 i 0 bloaz.
Sonjal a ra d'in e ticfc Berla "Vaze
beza henvel ouz meur a gluker gwin
hag a anavezit: pa ziskargit d'ezo cur
banne en o gwerenn ne glcvit anezo o
lavarout paouez da ziskarga neniet pa
vez leun chek ar werenn. Kena oa brcman, ken nebeut, Berla n'oa ket kroget da lavarout d'ar varnoricn :
« Awalc'h I awalc'h I Paouezl!-'la I »
Eun drcmm feuket a pomer evit lavarout kement-se; nemet en lie diabarz
0 tic sonjal: « Kendalc'hil; ugcnt vloaz
muioc'h pe nebcutoc'li, war an niver am
eus dija, n'int ket peadra d'am Iakaat
da ober gwad fall! »
Evit cur blabarcun, set 'azo unan I
Tcod ar
vtigalo
Lorsqu'on
fiarcûuri
laï:u!ir„:,
parcrenifilc, — on U Dau'./Ut.iK
c.-i ibUour
,lc
iu ro-.ac. à i'cntrcctlcsOotin-^,
c 1 rencontre
des '/rou/ies
d\-nf(tnli
rui.
(.V.'i atoars
lie chez eux. Des nll-IUr.
à U !.iini: ccdllec l'Orleid des /lauicrs
rcr..
'le Jhr.'.rs ;
des gcrçonncts
s.n.t
auprt a -lies et er,tonnerd de leurs ccjix- ,"ra:i,' Cu :i:s (I chants
de
lAoniaanc
et ;/i!(Si.yf(,i nc'i i: sont
oljcrlc.';,
La conclusion, c'est tout simplement
que, sans beaucoup tarder, tous nos gentils
«petits Bretoni » ne penseront plus qu'à
une seule chose : obie.'ur des chers touristes, par des Heurs, par des chants, par
des grimaces, ou par un joli costume, des
sous bien sonnants, ou d'autres cadeaux
de même envergure... u Combien t'a rapporte An kini goz ? Dis-moi, 'Y'anni<,
combien t'as fait aujourd'hui? » O p r c sa'ismc succédant ù l ' i d y l l e 1 Chute
amére I
Soyez-en sûr, cher lecteur : j'ai à mcn
actif assez de tourisme pour savoir cc
que je dis..., que ceux q u i ne connaissent
pas cc « sport » m'accordent l'honneur
de me croire sur parole...
Le prototypede l'enfant pour touriste»,
c'est le petit Italien : empoisonnant le
gamin, littéralement ! Ces gaillards-li se
mettent à dix p ur vo !s ouvrir une porte
ouverte. La dtrrm.r^ l'ois que j'allai i
Sienne, il m ' i n io;;)i->j deux douzaines
dans les jambes : i N voulaient tous nie
montrer u l.i c -s.r ..v.'..i S.tnla ! » (L.i
maison de la Sainte ; sainte Catherine de
Sienne, natuvell.-meiit). Je suis oblige
de reconnaître que ccs petits Sicnnois
étaient charma.".t»... M a i s je dus leur rc>
pondre, en faisant appel â toutes mes
connaissances d'italien :
« M e » pauvres enfants, pas un de
vous n'était e n c c r ; ne que je savais où
te trouvait la maison de sainte Catherine ! FIanquez-;r.oi la paix I »
E t comme ils étaient viaiment mignon»
et pa» t r o p crampons, ils mirent leurs
petits doigts dans Ici:is petits nez... et
ils n'insistèrent pas.
Dans une autre ville, — mon cher San
Gimignano aile belle lorri, — le» gamins
m'assommèrent tcHement que je dus me
résoudre i en prendre un, comme guide.
Celui-li me défendit contre les autres.
Les nouveaux arriviMits s'cxclamaieiit :
« Sa Seigneurie a déjà un iambiito I »
M o n bambine ne savait, au surplu», rigoureusement tien ; et son seul souci était
d'empêcher sa culotte de «Kgringoler
complètement...
'
Lavarout a rcer c teu ar wirioncz
eus ginou ar vugale. Ar pez a zo sur,
gcriou rust a dou ivcz anezi awcchou.
Si l'on veut q u r , dnns dix ans, les peEn eun tiegez eus Kcrne, ha no da
morse an ozac'h anezan d'an oforcnn, tits Bretons en soient l i , il n'y a qu'à le
0 voo klcvet, n'eus kct pcll, unan eus dire...
ar vURalo o c'houlenn kcnicnt-man
Je préviens seulement que renfant
ouz 0 vamm: « Miiinm, ha peur o vczln-mo bra? awalc'h cvit cbom liep qui a pris l'Iiabitude d'Mler faire des :amont d'an ofcrenn, cvcl ma ra va malces devant le touriste, garde; peur
zad ? »
Iculc sa vie, Véchine un peu ^tyie.
•
Evel ma ra va zad I Setu ola ar
Nos enfants de Bretagne ne sont pas
skoucr hag a vozo froet ar vugale fia
- . • , ) ••
^ ' ' '
hculla araok peb hini all. Ha mar d'-co faits pour cela !
Parent», empëchci! vot enfants it'kllef: •
ur skouer-zo unpn^fall, pchcuz,,6amm
cyit'ar genenl !
" • •
« u ^ v a n t di'è ItoiiwVtés V » '' • "
'
No«ite lypipiraiiitt de faretomilL.
DctnnnaezLe Oeurrlar.tfu Flplsttr»^ Wrbiaie.' C'est, uhf ' r c j ^ t t e ^ . ^ ' l i
dans' toules les,.blhliolh^ques des
garoe du Flnl^ïlô^'Ot , , ,Î - j . ,
, i n W tenons.; iVlIaiè i l y à^quçlti^'j
i quoi'nouî ferïon* encore btcn
LE 'COtRUIEIi DU FINISTERE
^ I g î i n r r o n t nou»^7î««TloM ^ ^ ^
Tes Expéditions d«
.«uTqu«r le K n t ) m c n t a u x « n f m t * d e G h c s l i;épnratloni: U population n'A
I
I l u nux dépôts do coko do gaz.
Ateiures
allemande^,
T o u t yhyd,C'est, tout ilmplcmcnt. iittrt
Mgn(H,
g « u r q u i emprunte 16s trains alliés
pour sortir des pays occupés, est p a i sible de prison; en outre i l c^t recon
duit nux limites des pays occupés
F e u i l l e s arrachées
Les ohcminots et fonclionnairos q\
Mon
Carnêt
collaborent avec nous sont raenac*
et parfois brimés. L n po|lce c r | m l
I
D a n , le dernier numéro de
| S t dtsTeï V f t s . - ' ^ s t ' r
A l Jeunts, k R. P . Synav«.
P . . fait | forcée do j o u r en Jouf, suiloiit (çj
un tri» vif éloge de la traduction des vue do la propagande anti-alliée
Piaiwits de M . l'abbé Henri Pérennés
Représailles
alliées.
Pour punir
professeur d'Ecriture Sainte au grand les sabotages perpétrés o u voulus, la
Séminaire de Quimper.J'enregistre,avec circulation ferroviaire- est Interdite
un vif plaisir, le jugement très pondéré,
aux Allemands par les franco-belges,
tantôt pour 4 Jours, tantôt pour 1 2
très motivé, trs^s flatteur, du Père Synave
•Je n'ai point la compétence nieessalre o » imngino la rtnd pour la vie compour exprimer un avis quelconque sur le »»"'« « ï n u i i l l a i ç ,
. c i y i p ç , ^des
li
Te'nlaf.^'^Jiïi
J!^
I V
J
, h J{«viie dit Jeune), en pareille matière,
[donne un relief tout particulier h l'apprédation si favorable, portée par le
•avant etdominicain
distingué compatriote,
critique
sur le livre de liotre
à
11
1 M o n cher Monsieur DiwaI,
HJe recommande & votre bienveillante
attention le Ircisième article du Correspondant du 10 mai.
InItIligenlipauca.
Cordialement ii vous
B.
«'««'hon
sont occupées, ù Marlcn, KIrcalinde
Gcrthc, ainsi que les usines do prO'
duits chimiques Kale, Melster-Lu
cius, et Badisii-Anllino qui comptent
ngjis pajlp du
pa?,
nous
p a Puisqu'on
r m i les plusneImportantes
monde
W
N'oubliçiiis pas le programme de la
fêto !
Pour débuter, vers 11 heures, défilé
triomphal de tous les républicains « dignes de oc nom ». do. la gare ft la salle
du banquet.
Ensuite, congratulations et invectives
par s M.^f. Herriot, député, maire de
Lyon, successeur de M. Calllaux à la
présidence du parti radical-socialisto;
Avril, député des Côtes-du-Nord ; Bouilloux-Lafont, Coude et Le Bail, dcpulés
du Finistère i Le llars, sénatour-iuairo
do Quimper.
Pour « clôturer dignement cotte belle
journco »,wbal ft grand orchestre, sous
la bénédiction du « saint la'ique ». —
A quel couple lo record do la dîmso ?...
Les invectives des orateurs ne seront
pas toutes pour les cléric.iux : une
bonne part en sera réservée* à ItL rpinçaré et ft son gouvçj-nement.
Chantera-t-on f « Internationale et
r .« Hymne dçs soviets ? ». N'antici
pons pas : des bourgeois « dignes du
nom » pourraient prç.ndrp pQur s); maU'
quer à l'appe}.
Lo certain est quo la nécessite sera
démontrée et reconnue « d'intensifier
encore la pi^'bpagandc en vue de la la'i'
oisatlon de l'enseignement publie. ».
I l parajt, en effet, que nous faisions
çrl-eur ei) croyant que l'enseignement
public âvait été laïcisé. Saqs doute
s'vtàit^Jn arrêté ft mi-chcmin.
- " ' W l t ' !" (iiachino va être remise en
nlflrchc 'i les citoyens Nardon et Blayau
IjIfXlgcf^ et les camarades se sont déclarés prêts ft pousser ù la roue — (à
l'unanimité, assure le Cri du peuple,
<lui disputé du Finistirc
l'honneur d'ê
^ 0 l'organç jP,ltitj-^. pu p r é f t ^ du (Jo
))
Lo général Pollé Invllo Ismot-Pacha
a déjeuner. M, Vcnlzélos invite Ismot
Paclm l'i déjeuner. Ismot dtfjoune, dé
Joune, et 110 se déboutonne pas. Uo,
pondant, la Banque d'Adioncs, it
'(Aux propositions ridicules
du Uon,stanllnople, o éti! dépouillée do son
IRi'Ich, l u Franco et la llolglque cncalsso par les Turcs, qui arsuont
l'avalent tenu & faire aussitôt, d'uc- do_ l'état do mrorro„ ontro eux et les
l'cord et seules, la réponse nette et | U'recâ. Los Alliés" rûelninënV ros'som
négi^tlvc qui s'imposait. L'Angleterre mo.s déposées par leurs ressortls
Is'cn était plainte, et r i t a l l e môme, sants; les Turos unnonoont froidement
^«ctùellcmcnt
u n peu piuV «nglocommission .spwlalo va llqult h i l c , aurait désiré un eitercice d^cn- i^®
H
n
l
'
s
t
ffïS'LSa
I 'pou près ftVîâ.
« ^ bien
. « . . . qu'une
i...
zéro, Ditc,s-vous
soulo quostlon, au fond, Intéresse les
[LÇiirs réponses sont pou cnc,9ura
;ros alliés: collo du pétrole. Qui obMCantes pour lo Heich, qiais pas en'
icndra Mossoul et son pétrolo? Plus
itifri'ônicnt
satisfaisantes
pour
la
•Franco et la Belgique. E n cnct, elles c.xaçtçmont. qui obtiendra lu trans
W o n t r e n t bien nu Reich qu'il n'offre PoUî^??
, ,
prts assez, mais elles ne l u i disent
travaille
.pas co qu'il doit faire, et surtout ce Z «''^'^^ntr «"lonrn
,^û'on f e v r a lui fairo s'» »'efuso de L'l"d.ifondt-^c^éilerglSl^L'crJ cTrio"^
açxcciilcr.
,
' i
Janvier, crut pouvoir oiUralnor
\ Quoi qu'il en soit, tçstimoi.\s les dans son slilaKo Français, Belges, Ita
lions,
Potlto-lintente; parce
"que la
ôtes.
M
I
i
^
nohr nous occupait. La Franco sa réf L'Aunhtcrrc
: «
Vos prbposi
serva. L'Amérique annonça une poli',ilons ont causé u n grand désappoln
tique do représailles eonlro les Socié'tcinent et une impression défavora
tés pétrolières étrangères établies sur
|}ilc,.. Vous olTrez une somme bien , son territoire .(étrangères « i a n inférieure au montant modéré (pro
glaises).
Fort probablomont, 'Amérique et
posé par M . Bonar L a w ) , donc ontlè
j'cmcnl inacceptable par les Alliés. Orando-Uretagno Uniront par s'arranL e paiement est subordonné à des ger, par dos accords locaux ontro les
deux grandes lirmos
Standard-Oll
> i u p r u n t s internationaux,,, fort dou
(Ami'riquo)
et
Iloyal-Uutoh-Soholl
/teux. et au succès desquels jl'Alicmn'
(anglo-hol andaiso). Et los autres nagnè n'a pas d'intérôt.
>
tions deviendront leurs tributaires :
..
Vous ne précisez pas les ga
telle sera la paix turque,
fSijitlcs; vous ne donnez que do va
Igues assurances, u n renvoi ii de f u t u
.'xdi négociations qui dans l'cspice
l e s Soviets ovaient envoyé M, .Voqanquçnt de valeur pratique,
rosky à Lausanne pour participer aux
e » Aussi lo Gouvernement do Sa travaux do la Conférenco. La Suisse
lajeslé
port, l e v a i t refusé do lo considérer comme
. , cst-il
„ persuadé,
• ...
i -pour
i j . i t sar-Aii
.ue dans son propre fnieret,
I A»c- agent diplomatique, puisque les « PuisMaffne reconnaîtra
Vavanlaae qu'elle
sanees Invitantes » no l'avaient ni inA se lùonirer
plus disposée à saisir
vito ni admis. Or tandis qu'il soupait,
l l M Tcaliiés de la question,
et, écarlo ,10 mal, à l'hôtel Cecll,,M. Conradl
lianl
ioul faux-fuuant
et toute con«"Jot russe dont os bolçhcviks on
'trôvcrsc, s'altach<lra
â considérer
de
i
nhmifinn
t>t ù iiûntir»
nrnnnft. I
' a tUÛ dO troiS ballOS dO TOnouveau
et à. '"'."are
us proposi^ j^çj,
^
secrétaire
'fions de manière à en ,raire «ne. lase ......u,.,
„ ruvu doux
uuu.\ balles
mmi.- Uuus la
Ahrons a
^fossiblc
pour une disçMtiffa
«lié- " jambo
l'épaule — sans
Jambo et
et uno
uno dans
dans l'épaule,
fiçiirtf. »
gravité; et lo sous-ordro ^DlbrilkowsAii'llalic
r « Déjà l'Italie n'avait p u Ky, doux bayes dans lo vontro. Après
JSciîèplcr le chiffre proposé par M . Ho- quoi. M, Conrodl s'est .constitué prl
sonnlor.
iiaV Luw, beaucoup trop réduit. Elle
Evidemment los Soviets fulminent
^'clonno quo le Relen joffre une contre lu Suisse,'qu'ils veulent rendre
/jolnmo grandement Inférieure ik tout responsable; or M. 'Vorosky avait reà u ' o n pouvait raisonnablement at- fusé les scrviops do la police suisse
cliirrrc, quelque minime qu'il soit, Mais cos gens-h'i, qui adorent assasilendre... Toutes indlcatlonu concrè- siner, no souffrent pas qu'on leur rontes manquent pour l'emprunt, les | do là parolllo. Ils parlent do supprimer toutes les concessions accordées
'garanllcs, les gages.
aux 000 Suisses demeuri's en Bolohéi> L n proposition allemande ne vlo; pulssont-lls no pas los aupprijner
k'e^rcscnte dono pas u n plan métho- oux-méines
lUlquo et complet, comme i l aurait
Fooh en Pologne
ulé Indispensable, pour pouvoir donner Heu même à une discussion de i
Après les fêtes inoubliables do 'Var,
jtrlnclpc. Cette attitude renforce une | sovio, lo nèlorlnago h N.-D, do Ozos
opinion qui
trouve u n certain crédit! toehown, la visito ft Lomberir qui fut
r
là iavoir que rAllcmagnc cherche à l'héro'iquo boulevard contre rinvaslon
Isè soustraire
a 1 accomplissement | ukrainienne (un complot communiste
lljê ses actions propres.
| contre lo maréchal a été éventé ft
L e document italien conclut on toi.nps), la desconto dans los minos do
'«)iii(eill«nt nu Reiclï de faire de nougemmo do Wiollozka a éti' un onf o l l e s propositions, ..ceeplablcs cette a t î î i r i l r o ' ^ l U f î i T i ' ^ ' ^ r .
f
M. Vorosky assassiné
ï
' L'exloutîon' du miitropolllo tlq PéjrosracT Oenjainlo, le rt'ccn) pi'ooAs do Atgr
CIcpTak, rexdoutlon do Mgr Budklcwluz,
romprlBonnomont du patrlarcbo Tykhon et
les («on&ce» profilrôos contre lui on attendant soil Jugoment ont provoqué uno Wglumé horreur, uue univorscllo n'probatlon.
t a pDi'séoutloil qui frappe 4 la lôlo dos
confossIODS rellglouaei do la Russie n'âpargne pas les ministres du cuUr, ni les
simples fidèles: combien sont tnofts vlcti
mes do leur .attaohomQDt ti leurs cro^qn
OOBi
Nous protestons unanimement contre un
réglmo do-violence religieuse nue ilen no
saurait motiver; nous faisons appel h l'opinion publique du monde entier pour que,
por tous los moyens en son pouvoir, elle
uido à inettro tin tf la persécution qui
opprima nos fcèios do Russie et pour
qu elle s'emploie i j j i Bçcoui'ii: les malliçureuses victimes.
Le cardinal Dubois 61 Mgr Chaptal
ont signé les premiers, avec les rabbins, ministres protestants, etc... Los
Soviets continueront. Mais il est bon
d'élovor contre eux la, vois do Ja justice
et do i'indignntion.\
•"
'•
^
P, L . D ,
Médaille d'or (Ui-cYmmandant Jok Pascal au pjtron Mllln.
Le 12 avril 1922, notre canot - Madeleine »
do 1 Aberwrao'h, alerté et mis il i'çau en
six mUiutes, arrivait iissez il lemps pour
sauver trois personnes (Jul allaient «tra
submergées sur une tête do roche du groupe
» Carzin », puis deux femmes dans la mCr.io
situation, sur « Carrec-an-Evcn ».
Lo hûvctago do ccs rescapés fVi't tris
délicat, lo canot na pouvant «-.-iprociicr et
devant agir à l'alUo de v-^-ti-vIenl,
U fait honneur ù l'Uiitlftilvc de niJlro patron .Milia et de ses canotiers.
LE CONQCET
Prix Pierre et Ma'rguerilo Engcl (1,000
francs) il partager entro : Lucas, patron
du I. r.énOral .loffre
Frédéric ilit lilou
et ICugi'Mio Frédéric, mal dois, du Cuiiquet.
Médaille de vermeil au patron Lucas.
Le US mars 19'22, par fort coup de vent
d(! nord-ouest, un vapeur anglais, le « City
of Francfort », so perdait de nuit sur la
rociio de a Ranvel », ii rentrée du .. Four
Lo patron Lucas, du " Uénéral Jotfrc
sorti pour la pCclie, l'apercevait au p'»lit
Jour et n'hésitait pas, malgré U iiirr. ii s'en
rapprocher et ii tenter le sauvctaf-'c des survivants qu'il anercevalt sur l'arriére, II s'agissait d'un bébé qu'on lui lança et do deu.ï
ofllclcrs épuisés qu'on embarqua après les
plus grands efforts. C'est miracle (iiie ce
peut bateau ne se solL pas démoli çonlro
l'épave dy vapçur.
à l'honneur : intrépide pourfendeur de
la clèricaille, et champion Imbattable
(les syndicollstcs « illégalistca 1
PONTfiîVAL'
Prix Carié Marliii (WO f'rancs) au eanot
'I Georges Bréant
de la statlun do l'untusvai,
^MiVlalllc d'or do Mme Ducoroy au paU'On
H
a
m
r
I
e
l
s
«
liies
La SeiÉe Ettiire
lES BÉPABATIONS
m - . ^ f ^ î ^ î e , - ,
g l S k f W «lo los derniers détails d'ordro nillltaire nui assureront la mise au point
I do l'ullianoo franco-polonaise : c'est
I lo résultai essentiol du long voyage,
lô Varsovie, lo muréçluil Foeh s'est
C?",''"
V'""»,"";,
"
P"® f^''
iliiTîiS
rÊm-ot
l'Europo Contra
Centrale, qu'il e s t ' b o f l S
retenir ft nos cOtés.
Angleterre et Soviets
1
» du Finistère et l'un de ses plus
ougueux orateurs.
?[uo
Le veinard, lundi 11 isorji doublement
•
^ O n aflirme que le Reld.' no r e e p
«nencei-a qu'eu Juin ft c.-iuscr. "l'ant
J l s pour lui. Plus II atlend, plus 11 se
Tulnc, E t la rage dus snlioteurs
Iprouve assez que notre occupation
«le la Ri'ihr est le bon moyen.
" • N e scralt-il pas plus v'imple, cefejKlant. que VAIlemaflne acceptât
/ p r e n d r e à sa charge Po. scrvlee'des
emprunts belges, français. Huilons
'contraulés pour la roconslrucllon
Wes refilons envahies ? Elle n'aurait
pas ft verser, dès l'abord, des capl
t a u x énormes qui ne sont pas inobl
...
u.iv ne
nu se
Bc
llsablcs
actuellement.
Elle
chari
peu ft p e u . nous serions déllvré.s
. de.
ce boulet des six milliards annuels
intérêts do nos emprunts français,
iqul arrête notre essor économique
Ce n'est qu'une solution. I l y on a
d'autres. Mais que nous en yoylops
enfin uno réalisée I
mayeai sont omoloyiia. La oonOseallen dea
bloDi cultuels,.la-profanation des «gtlsos,
goi toinplea, das.synagogues, la purodie
ttes oéréinonle» rtllgleussa. Ioa doolos ofOclolles athdos, là prison, los suppllcos,- la
mort. Tout
mrs on œuvro oa vue du
•uooôs djûn^ ontroprlsô ii la fols Baorllfgo
M. Lloyd Oeorgp avait cajolé los So
l'espoir do faire clioz eux
|
p,.otostcr plusieurs fols contre ios
agisseinonts bolohéviques. Propagande antlanglaiso en Perso» en Afghanistan, aux Indes, séviees eonlro les
| sujets britanniques; conllscutlon do
oha utlers; réponse Insolonto ft la re
quûto on faveur des ooclésiastlquos
I condamnés: Moscou faisait tout pour
irriter Londres. C'est pourquoi lo 7
i/.M attentats en Rhénanie et « I l h r . mal, lord Cur/.on expédia oux Soviets
• ^ ' P r è s d'Oppenhclm, « n e sentinelle | uno sérlo do réclamations quo l'on a
française est tuée d ' u n coup do feu. Justement appelée « ultimatum », oxi. •ir.n. m irnin • ^ m m i K ^ u f i i n
i« J S"""'' satlsfaotion daus los 10 Jours,
train Cologne-Iierlln, le |
' /'. î ^Dans
ï a ^ n nlowironaa^?.»
"" voIr dénonocr on p a r t i .
Jipilain(^ Morange est frappé «t ou- oullor lo traité commercial angfo-sotragé par plusieurs ofAeier» boclies vlf^tlque.
fen clviJ.
j
Los Soviets protestent qu'ils sont
, V U n pont sur route est dynamité I parfaitomont on règle, et que Londres
près do W a l t r o p : 40 mètres de rails Interprète mal les conventions Intorflont enlevés. U n pont métallique sur nationales et l'accord do 1021, ,Tar.l e canal Rheln-Herne -saule peu
'
,
peu
avant lo passage d'un train, qu'on '
France et Bolchévie
Arrête à temps. Une mine dérivante
'éHplose à cent mètres d'une écluse
La France subventionnait depuis
d u canal: peu de dommages. — E t c . , Ijnip (1 BD.000 fr. ,par an)' lo lycée do
Le Coûrr'ier du Finistère est un journal gentil, gentil I Tout lo monde on
convient, tout le monde et en particulier les seigneurs de la « défense la'ique » ses obligés, i— ses obliges poilr
l'oxccUcnto réclame qu'il Jour fuit, très
grnclcuscmont.
Vieille habitude ft laquelle 11 .se gardera do déroger u propos du grand congrès quo ces Intére.ssnntes personnes
tiendront lundi prochain dans la capitale do Pcnn-ttr-hed, — A yotrc serviiio,
mesdames et messieurs I
Congrès projeté et mémo annoncé
pour lo lundi do Pâques. Pourquoi a-t-il
été retardé ? I l paraît quo lu plupart
dos parlementaires invités s'étaient cin•pressés do répondre qu'ils étaient retenus par des engagements antérieurs.
Etait-co vrai 7... était-ce siini)lcmcnl
uno échappatoire 7... Ceci plutol, pensèrent les çfgnnlsntours. Mais, rira bien
qui rira lo dornlef. Nçus allons remettre notre journée au lun^Jl rfe (a Pentecôte U
VSKtf
Quimper n'aura rien perdit pour attendre, — les a la'iquçs M. slpp plus, qu
contraire.
-v
•
Au contraire, en cITct. L'b lundi do
Pûques ils n'auraient pu quQ fûter la
vlctolro de la lumière sur les ténèbres...
clérlcalcs ; lundi ils pourront en inênio
temps so félicitcr du triomphe du progrès révolutionnaire sur li^ staguallon
sociale»
'
R. la «ÏÎLîîîinm*îïïi».
il
«1 d M ^ a o u r s j n iTdfoTMf^'ÙM i»ïr«..Hn<.H^
;lj|
c m -««allurilqirt
t«s«iÂ 1 " P e ' S
luftrss:
dtfraeliler
eonsl(Ur<e
«rwec 4 Î » T î é ï u î i . t . teus • lek
H i T i i s e M Ile eresl
BREST
1 La Fcte do Jeanne d'Are
La féle de Jc.nnne d'Arc a été d;?nen-::nt
célébrée H Uresl, non sei:I'.m,;i:l p. r lous
les catholiques, mai» par tous
i.aliiok-s: elle a élé un», vraie f.-lo iiala.nMe.
Dans outes les é^'Ii.-cs les oriii-'-s oui
ff."-!."^.-?
et uu i:oi:;i,r«
Imposant de llùèi-s r U venu
dilïerenîs pa:iOgvrinu..M d'î c-l:-^
verilaliiement nui,-,; sainte ii.il;,
que l'on ne se lasse pua aadii.i.";' i d !ioiiorer.
En vil>,
/.diners publies et
nombrçuses niai-jns parlleiiliùcs Ua
yoisés: drap.îiix iiicolor-s,
toutes cou!'urs. Imaces il.' U < I- :!.,!laient HUX I-M.:tics:'.•!;;,ain r.-,.- li'. de
zeie pour nieilro .. à l'h..iincur .. .;ic qui
fut autrefois l-jut .. à ia i "i:"
Les bùtimei;H sur rj.le u',
meiil arboré le ci-md p:.
La revue li.ibiluolle d. s imures fut p.issée lians la maiinée s-jr le cour < d'.\jol
par le vlcc-aniircil UuMic.-nil,
.:et mantime. Cette revu-; e.%1 i.;:i
-ie
ie 'i"o les
Brestois ne so lassent p.is
voir. Mulfrré le temps maussau", en <•l'vl, (.-lande
était la foule qui se |ir.--.iil d'au bout à
l'autre de l'ImiiK-n'ê Cours.
Et la fouie n'étail pas lU '.':;-! di'tisn dan>
les rues, le soir, a i li"iir..' d. s iliuiuin-dions
sainte Jeanne, prolOtez notre l ijucci
1,'Oqnipagc du » Georges Rréant » à exéculé des sorties dans des eontlilions iJ^-ii'
cales et a valilanimeiil concouru nu .sauvetage da barques de pèche en pOril,
SAUVETAGES DIVERS
Prix baron et baronne Léopold n.->villler
(500 franc,s), ii parlager entre : .Mi.i-v.iii,
pali'on du bateau de pCcho i' Angc-Gardlen i,
et Murvan fils, mousse.
Apercevant au larg-, des •• GlOnans » un
,,• Asseclstlon Csthollquo des Chef»
canot chaviré, par très gros temps, le jiade Famille do la Région Ercttoiso
tron Morvan réussit ii siiuvcr deux des n.tuLes elicfs de famille oaOïoiiqu
s„n!
fragés,
.nvi-.-s
(jU" l'A. C. C. F, a .le.- eo esp..,,.
l'ri.v Edmonil Curnlcr (COO fran.-s\ i p.ir- dauls niilil.-li-c.i
<ians
l.>ul
tî.ger entre : llemi Tanguv, p,ilroii <Iu sk'op Vili.'s de (jui-niion et on l..nil
jire •
upO,
Anna » : Le Vourcii, matelot ; (Juv Tan;.,n-enls souei-iix de i.i 1,'IU IllOguy, malelot : Jean Deganlon, p;ilri.n du raie de leurs llls soldais
r.
sioup .. Saint-Pul » ; Malliurin Deganlon et inand,;r parle coirispond.iiil ;'i,iil I OlllJean-Marie Heganlon, ma|(5lets.
Di-.'sC M. Paul, ,'15, r-:,..
]. i i i i l i ll.iir.- dAvec une partie <ie l'équipage du « S^PiitPi'tstiitcr ta curic d\iUUCix-ul11,-pi
do
Pol » ont réussi à nMiiurquer et à ,SiUiver C. r .
I A. C.
la " N,-D, des VIeloires » qui, pnr suite
de la violcnco de ia tempOlf, ii'iHait plus
Assistance JudI-iaIre
mallre de sa maiia-vre cl dérivait vi-rs 11Iiure.'.u d'A.ssist.;!!-- imii.-i,
l'i 11large, Impui.ssant ù g;iKiier par sc-j moyens
.In^-li,
le purt voisin do l'diitusval.
samedi
mal Jt'i:;, à I h. M
lai.iO
Prix Constaiico ("00 franc.s'. à part-ircr midi.
enlro : ,)ean Uop.uilon, patriMi du si'op
Au Concell do ou'i-i-o m.iritime
.. Salnl-Pol » ; .le:iu-,Maric Beganluii. Malliurin Tanguy cl Yves T.uiguy, mal.jlots.
Oi(/i-.if;e,s- el rrieli; ,n. — I,,. m.-il.-lot ni.'-ca
Ayant
eliavirer le sloop .. lona ». pivs nicicii liicharii. Jeaii-Lciuis. du pi iroil -i- lui
de Pontusval, les quatre hommes du •• S,iinl- eanee, do l'arsenal (!<• Ilie-t, a comiMi u la
Pol » se porlèrenl
son secour-s et fur'.nl, semaino deniirru dev.ini lo Cous.-il de
assez heureijx pour ramcucr saiij et sauf ?uerro pour ivresse manifoMo, réiiollion cl
Son patron.
ylolonccs envers un ayciit de la lurco pu
Prix do 100 fi-.mos !i : M.\r. Melon"!-, ma- bll'iue.
'
telot du caunt de sauvetage de Caiiiari t -,
Lo s a\r:i dernier, vc-r.s IR h. :;o, alor.« qu-il
Sevcur, cullivaleur à l'Ile de Hulz : Tarlu, passait sur le pont Xalloiial ou .-tal d ivrc>sc
ouvrier il la pyrotcelinio de Saint-Nicolas, il fut appruheiidé par uu (îi-iKl.iniie iiiariti
à lircst.
me. l-urieux, liichard frappa lo seiidanno
Iles ini-'dailles d'areenl sont (léoernées à: truii couj) lie j)olii};oM pleine liu'uie. eu lui
M^^. Mr.uu, enlrepriiieiu- de ii'ansport, à disant: u Huns, ramas-o i,-a : » lo menac
Caranti-o ; Taufuy, gucltcur sémapiioriquc, de lui casser la fiL-urc à la pr.-iuiéro oc
à Ucs-.Mcii.
ion. Le matelot Richard a elé coiidaniir
nioi.s et
Juurs de prison, plus
jours
ENFANTS ET JEr.N'i-S GENS
Prix Gabriello Lcniairo (100 fr.mes'*. .'i pour 1 ivresse.
( n déferleue. — f i i matelot ilo l- classe
René Lucas. t< ans : l'an dernier, ii KériiyPenmarch. Il n'hé-sila pas ii se j.jtor à l'e.iu •lu'J'depOt des équipages do ia llolle. Le
tout diabllié, par près de Irois nièii-es île 1 allée, Christophe, oui inoiilpé.ie iloserlio;
fond, pour sauver un caniarudo qu'il ra- eu teinpsde Rucrrc. A l'i'.\pir.iti iu (t'uio
pornilssuui qui lui avail été accordée le IJ
mena sain et sauf.
Les prix suivants ont, eu outre. Clé attri- iiovomlire UU", Le 'l'alloc crut Imn donc pas
rejoindre sou dépOt. Il resta ai,i.-i eu «H t
bués :
Gabriello Lemalro 'KM francs) à l.> jcuao d absencc Illégale jusqu'au -.'7 mars l!-2.l
;lale à laquulloil fut arrêté par la ''ciidarCorcnline Ilalberl, 10 ans,
l'ile Ti"iy.
Ces enfànls n'ont pas hésité
n'putidr.i niorli? à l.cvailois-Perrct (Seinel- I,e malelot
i l'appel de gens eu danger, â risquer 1' ur Le I allée a cto coudaiinjé ù •.; a; > do travtf vie, cl les membres du jury ont pensé qui puulics.
ces récompenses seraient pour eux un ciiDollars
courageusement ii continuer dans la vii:e où /
Vol
Us s'étaient de si ijoune heure cng-igia.
•Tân r d e v e n , 0 0 a n s , J o u r n a l i e r
i
Cr.'ao.'iiboll ', e t sa f e m m e M a r i e S é g u l e n
pou..M
n..Hraiont - h o z l e u r v o i s i n e , M m e v e u v e
Prim 1. dans la nuit du -i- au-- ,') m a r s d o r
ili-i-oi)orent d i v e r s o b j e t s moblnier. Ils
liers et dos i o l u a i l l e s .
Çoronliçi ést Intonsolablc 'de n'avoir
pas reçu d'invitation pouç assister ù
l'opération, p u moins cspèrè-i-il que
les dirigeants auront ramabillté do pu
blie^- un compte rifndu complet et exact
En attendant, ii'il était méchant, lui
qui entend fréquemment parler de co
éducation cl d'enseignement sexuel, i l
so demanderait si ce n'est pas en cela
quo doit consister la hucisation, — en
cela, dan» l'eîsoignemcnt se.\uol 11
lustré
do...
tableaux
réalistes
Car, ft en croire une publication qu'il
a sous les yeux, k plusieurs syndicats
d'institutrices boichcvlstes demandent la
liberté ê la maternité dans l'enseigne
niênt », — c'est-à-dire, explique l'ccri
vain, « le droit, pour les maîtresses
d'école, d'avoir des enfants hors ma^
riage et aussi de les supprimer ; et cela
pour donner l'eXemplo ft la jeunesse.
Corcntin, qui n'est pas méchant, et
qui a horreur des exagérations, ne veut
pas supposer qq'e ce soit là, déjà, l a
« la'ieisution » rêvée par le « comité de
défense la'i'quo » du Finistère ; autre
ment il faudrait convenir qu'il est grand
temps de remplacer dans le titre le ujçt
défense par un autre plus vrai.
Quoi qu'il soit, que ces dames et
messieurs émancipés se hâtent de nous
fixer. Ils doivent penser qu'il ne nous
est pas indifférent de savoir si Josette
et Jean, qui so croient des avancés, ne
sont pas plutôt des arriérés alors qu'ils
5'arrête.nt ù prOuct Jç pi»riagç çjyiJ.
les pderms do N.-D. de nu-neneol pea»
dant, leur séjour dans cette paroisse.
») Le samedi et le dimanche de la Trinité, tous les traîna omnil)U3 s'arrêteront
au passjçe U niveau iiS,, situé à S km. di
ltum.''ngol.
Outre los trains réguliers, 11 v aura, 1-i
dlmanciio soûle,nent, quatre trains spéciau.-t: 1' uu premier train partant dj
'juinip,?r vers 1 li. 15, arrivant face Runiengol vi-.^s 8 h, 45, et poussant |usqu-i
Lauil •rneau; — ï!» ua autre train parfan;
de Oiiimpi r ver.i 17 li., passant devant Ruiiifenôl v,.-rs IS b. 30, cl coBliuuant jusqu'à
Landorne.u;
3" Un iircmier train pr.r',,>nt de Lancier,
ncau vors 7 li. 20. passant devant Rumengol vers 8 11. 20 el conliiiuaiit Jusqu'.i
yuiriipr:-; — /," un second Ir.dn partant da
i.anilorne,,u vers 15 |j. 40, pissant devant
Rum. ng .l vers 10 b. /|0, cl arrivant ù.
Quuiii.or vers 18 heures.
Los poli-rins qui voudi-ùnt descendre iV
celle Sl.iiion de liunicngol devront s'étr-j
uiiinis d'un billot i doslinati.in de la k j x j
située au delà de l.i dite station.
H i T o i i s s i e y i ) ciiàMiii
CU.\rE.\LLL\
Chambre dos Notaires
r.fs Rolaircs de l'arrondissement on't
oonstilué ainsi qu'il suit leur ebarnbre d,di...npjiiio pour l'année l!'23-iy2-i;
l'iésidenl. M* Traonouez, notaire aa
l-.i iu: syinlio. M' Keivorn, notaire à Orjzon ; raiiporteur. M' Grouan, notaire il Ou
lUOIK•voii ; scc.-êlaire. M* Le Guvad-r
ii".-|ii,s. nol.iiro à Ch.-ileaulin; tiOsbrier,
.M- Dilris.si-r. notaire i Iluel^-'out, membres:
M' Giiiriioo. nolaire ii Ci!.!! ••sunouf'
l'aou cl .M" Coiian, notaire ù Telgruo,
Union Flnlstéplcnne des Mutilés
et Réformes
I i i m a n e h c C mai, s " tenait sa:ie B1IÎ;>
l'as.sombl.-o g é n o r , d o dos m u t i i . - s e l p - f - j : n i é s II.' I l g i i o r r e : l e C o n s e i l d a d n i i n i s t r a .
l i o n s o t a i l d é j à l o i i n l d . m s b i n a t i n . - o o:,
v u e d e p r . - p , , r - r c e l l e a s s e i n l . l o o p . ^ n é r j ! •.
L e ç a i n a n d e lli,»:!. s o c r ê l a i i e
g'n..ra!,
i l o i i u f I c o l u i " d e Sun r a p p u r t m...i-al e t l i n i i i o i . . r . I l e x p o s e 1. s n o i n l i r e u s o s d . - m - i r ciies cn'eotui'-s i.ros des a u l o r i l o s riiilila,r - s ot
Judii-iain-s on
favour dcortairi.
camarades qui n'obl.-naiont p i s iour dû. K
f . ù l r i ; n a M | U - r q u e Jos C l i a m ; . i - , - s o n ! d o n i i . foive d - lui à Ilivors vu-iix volos r . i n d - r liior, nol.-.iiiuHnt le r o l o v c i i o n t d i l . . u x d - ,
h i a j . j i - a l i i i i i s p o u r b'S e n f a n t s d o s v o u v o s .
q u i d,.' .-1110 a m o n t é
500 franes.
11 i ! i s i - . l . ' p r i - s d e s c ; u n a r , i d ,
pros'.n'-.
p o u r o i i l ' i i i r d ' e u x u n o iiropaw', iide aoliv
o u f . i v e u r d e la S o c i é t é . P l u s i - i rs mulil'-^
o u v - u v o s a y a n t o M o n i i s , d i s f , i o ion 1 roion'.
I i o u v o i r d é s o r m a i s se i l o s i i i l o r e s •r do 1 i:n i o n : ils n u b l i o n l q u e
d ' a u t r e s n-ont pli
" U l e u r f l i a u o e e l i l f a u t c n n t i i u i e r ù t'
v a i l l o r p o u r < u x ; i l s u o se d . i i i l . ^ n l p a s s u r t o u t q u e si l a g a r d e n ' e s t p a s i i i , ) n ! è o v i ^ - i l a n l e l a lr,i 0 - s p e n s i o n s p e u t ê l r o e x p o . à s u b i r des m o d i t l o a t l o n s q u i s e r . u o n t d--saslreiisos p o u r l e u r égoïsme. l.e m o m e n t
n ' o s i p a s r n o o r e v e n u d e se di.-.|iersoi-.
L ' o r d r e d u j o u r p o r t a i t e n s u i t e lo r . - i i o u volleim-nl. de la série B d u Conseil d ' a d m i nistration.
Le camarade Paul L o >renn, vlce-nrêsid e n t . il q u i l ' é t a l d e sa b l e s s u r e n ' à pa-i
peiiuis d'assister à U réunion, est
rééji
par aoflaiiiations.
W •
Expliquons-nous.
yers la ml-avrlI, des élections au Conseil départemental do l'enseignement
Puis le camarade Riou, secrétaire gén-!primaire ont eu Heu chez nous comme
ral, annonce <iii-il refuse le ron-nivellom-nt
de
son mandat. Celle nouvelle ost forl mil
dans tous les autres départements.
accueillie par l-assembb'-e; et le camara-le
Partout, ou peu s'en faut, la lutte fut
Le Baie insiste partioulioremont pour qu-;
Riou revienne sur sa décision, montranl
>assablcment ardente ou entre syndicales sei-vioes (|u-il peut encore rendre à i l
Istoï et nmicalistes, ou entre syndicaSociété. Toutes les instances sont vaines.
listes ft l'eau do rose et syndicalistes
L'embarras est grand pour lui trouver uu
extrémistes, dits juo^çovitcs, .djts cgmromplai.-ant. Fin.deinent le docteur Vour,-li
accepte
de remplir les fonctions de secrémunlstes.
taire
général: il l-aceepte il regret, car li
Œuvres
de
vocations
tardives
L e t r i b u n a l c o r r e c l i o n n e l de B r e s t v i e n t
Car i l faut savoir que les Instituteurs
charge
est
lourde, el son éloitfuement dd e c o n d a m n e r L e s i c v e n i\ 2 m o i s d e p r i Ciiàteaulln ne lui facilitera pas la besogne.
Comtiiuntqiic.
et institutrices officiels se divisent en
s o n e t s a f c i u m a i 1 5 J o u r s d o la, m i m e
Hardi I les isprits libres de la la'i
trois grandes fractions, ous teudiuiccs
Il y a toujours dans nos eamp.ignes quel- p e i n e . ,
1,'aml Rémond du Ciiélas, avant quill-i
Cli.Ueaulin, ne peut plus être élii aux foncque I En avant l'auto dei prolétaires ques braves Jeunes peus qui regrettent ne
nettement tranchées.
,
'
Stuplde
amusement
tions
de trésorier, et l'on décide que cej
pas
avoir
étudié
autrefois
poiir
devenir
J" Tous reconnaissent le bo.sûln do nouveau style ; et sus i; .« Ja yie étri
fondions seront données au secrétaire gé•To.seph M o r v a n , 2 0 a n s , d o m e s t i q u e
i
létre, lis so croient actuelleiiienl dans
se grouper en associations; mais, cer- quyc, antinatuïtijç J >>..r'
'Impossibilité d-enirer dans un séminaire B o l i a i s , e s t u n p e u f a i b l e d ' c s p r i l . 11 a , o n néra i.
• •• CORENTIN
Sont réélus comme IViembres du Cnns-^'I
IKirce qu'ils ont atteint '-'5, 30 ou U5 ans. o u t r e , l e d é f a u t d o b o i r e ; e t s e s c a m a r a tains, les anciens prlnoitMlcmont, res(J'osl uno erreur, on u-est Jamais trop vieux d e s e n p r o f i t e n t p o u r l u l f a i r e , J o u e r d e s d'administration: le camarade Pierre Gourpectueux de l'autorité, ne veulent pas
pour devenir prétro — mais Jo di.-J pour t o u r s . R o c c m m e n l i l s l u l c o n s e i l l è r e n t d e vesf, Mme Jcaugeon, .Mme Gouet et Mmi
de la forme syndicale, le gouvernement
devenir un bon prêtre — pourvu qiron ail s e m e t l r c e n t r a v e r s d e l a l i g n e d é p a r t e - Le Moal.
et les trlbûpnux déniant aux fonctionLe camarade Le Blanc, délégué de Porlles aptiludcs indispensables cl les qualités i n o n l a l o . e t d e f a i r e d e s s i g n a u x p o u r a r requises pour remplir avec ferveur le mi- r ê t e r l e t r a i n . M o r v a n t r o u v a Je t o u r p l a i - Launay, désire céder ses fonollous de dénoires lo droit do constituer des syndls a n t , e l le Joua.
légué
communal .'i un autre. Mais le délénistère
sacerdotal
dont
le
but
esl
do
saucots. Ils ont des « amjçplçs
sapt
gué de Lcuban, Poupon, insiste fort à proL- t r i b u n a l c o r r e c t i o n n e l d e B r e s t v i e n t
ver les aines pour la vie éternelle du ciel.
les amicallstcs.
pos pour que chacun reste à son poste
Les pieux jeunes gens qui so seiitenl de i c o D d u m n c r i l JO f r a n c s d - a m e n d e .
dans J-intérêt de la Société; et lous so
•avoir la vocation sacerdotale et désirent, en2* La plupart ne se laissent pas arrangent ii sen avis. Le Blanc accepte donc.
Goucsnou
trer dans un séminaire pour commenoer
rôtçr par ces scrupules. Le gouverneleurs
éludes
pourront
donc
obtenir
salisConsommations à bon mtrcht
ment interdit lo syndicat aux fonctionfaction. Il y a des écoles spéciales pour ia
Kdcrn
l'occasion
de r A s o e n s i o n ,
J o u r de
naires 7 Quand mime, et à plus forle
formation sacerdotale des vucatious tardiLe grand Pardon de Notre-Dame du Nigrande
féle ii Gouesnou, M. Eugène Pelleau
ves.
raison, vivo lo syndicat des instituteurs!
comme de coutume, le diVoici quelques malsons ofi les aspirants 32 ans, débitant au bourg, avait fall ample ver, auradelieu,
la Pentecôte, 20 mal. La grand-3" Mais i l y n syndicat et syndicat,
au sacerdoce pourront B'adrcsscr des main- provision de boissons diverses qu'il avait mancbe
logées dans sa cave, l'n groupe de marins messe sera chantée par M. le Chanoine
comme U y a socialiste et communiste.
tenant :
Kervéuoael, curé-doyen de Pleyben ;
Œuvre de vocations tardives, n- 2, rue el de civils découvrirent oette réserve, et en de
Les Instituteurs et Institutrices syndicale sermon sera donné par M. le Clianoin-3
des Marron!:!crs, il Montmagny (Selne-el- profltcrent pour boire .1 saliélé. En s'en A.
ASSEMBLËE GÉNÉRALE
listes s'Inscrivent donc soit au syndiMocuner,
supérieur du collège de LesCelle œuvre est devenue dlocé.saine. allant. Ils rencontrèrent Je.nn Péron, 15 ans
cat national afllllé à la C. G. T. réfor- dt l'Offlc» Central des CEuvrts Mutuelles Olse).
Ile rc(;oit tous les Jeunes gens du diocèse ébéniste, 47, rue de Saint-Marc, il Brest, cl neven.
O r d r e des offices :
agricoles du Finistère et de l'Union des de Versailles qui désirent devenir préIres cl lul conseillèrent do faire i sou tour comme
matrice, soit au syndicat extrOmiste
S a m e d i 19 m a i , i i 4 h e u r e s :
premièrfi
lul sont dans les condilions c,\lKées d'âge, lis venaient de faire eux-inémeii. Mais au
Syndloats agricoles du Flnlstirs,
tourné .vers Moscou.
"
près il la cliapcllo d u Niver, proccssioa
l'Intelligence et de vertu. ïilie rei;oit moment où 11 allait mellrj; ce conseil il
c.véeullon,
Péron
fui
surpris
par
M.
Pelleau
dite des
Miracles,
procession et
coufcsussi les jeunes fleiis d'autres diocèses qui
L'AsscmblOo gOn^rale do l'Ofllco Central
Plainte u été portée contre lul.
sluns.
'i!iir/.iycii( ù enli-ee dans le clergé de Verdos Olînvros Mutuelles Agricoles du l'Inls- saitlcs.
Dimanche 20 mai, confessions,
messe»
Ce
seininaire
prend
aussi,
dans
la
Les élections aux Conseils départe- tère et de l'I.'nlon dus Syndicats Awloolcs mesure des places disponibles, des clères
Gtiiissc'ny
b a s s e s A 5 , C, 8 h e u r e s ; l a e r a n d ' m c s s e à
mentaux de renseignement primaire of- du l'injslèro se tiendra 4 Uiâteaulln le lundi pour d'uvlres diocèses. On prend les juuiius
10 h. 1 / 2 au c h a m p d u pèlerinage.
Coupe
de
goémons
da la l'enlocôto, 21 iiinl.
Les vêpres il 2 h. 1/2, suivies de la progens à partir de 18 ans,
frident nux trois fractions uno excelLa coupe du goi'mon de rive et du vaPROORAMME DE LA JOURHEE
S-adiesscr à M. l'abbé Garnlcr, Supé- reeii aura Jicu du 15 mal eu 13 Juillet procession et de la bénédiction du Salât Si-<
lente occasion de SQ compter i .elles se
crcuient.
8 Iiourcs 45, Scn-Ico pour les morts de» rieur.
chain.
sont comptées.
familles des Syndiques ; l» Heures, Messe cl
Laz
OEuvre de vocallons tardives, 5 SaintL'arrêté munloinal est afilolié .1 la porte
Elles so sont comptées. Et ç'a été la Rcqu eni ; 10 licui-es, A la nialrlo do Cliâ- Gulliiem, par Sainl-Jeon do Fos (Hérault). de la lualrli'. où los lutéressés peuvent en
Soyons bons pour les animaux
leaulli), Assemblée générale do la Coonéi'uCelle œuvre est destinée exclusivement prendre connaissance.
débAclo des amlcallstos, attardés dans tive
de l'Ofllco Ocnli-al ; 12 liciires, Danauet;
Procès-verbal a été drossé par la genJeunes gens qui, sajis avoir encore llxé
des scrupules d'un outre Age. Les man- IJ tieiu'cs a o , A la mairie do Cliiteuuiln, lux
darmerie locale contre ,Ican Gaonac'li.
Ucrsaiut-Plabeniico
eur choix entre lo clergé séculier el la
40 ans, cullivaleur à Roz-Plas, qui maltraidats que ces arriérés détiennent encore As,scnibli.'e pOniirale do rUnlon des Syndi- vIo religieuse, ont cependant la volonté
Vol
cats Asricoles du Finistère ; DIBCOUI'S du bien ai-rélée de devenir prêtres.
trait ses clievaux d'une façon inouïe, ou
dans \cs conseils do renseignement pri- Président
; Rapport du Secrdlaire géniii-al ;
Il y a quelques Jours Mlle Marie-Yvonne les accablant de coups de fouet. Les t-'S'adresser au Supérieur.
maire se réduisent ft une vingtaine pour Uiifercnco do SI. Vincent, directeur de la
Sainl-Elven, moins «le celte .scène ont affirmé que Ca-jSection <les vocations tardives, ii l'école Le Ilir, 72 ans, cultlvatrioe
toute la France, cependant que les syn. station agi'ooomlquo du Pinl9t6ro ; Suj«t : cléricale do Konllonguc, Jllrauias (Uou- s absentait pour aller travailler chez un ujc'll était couluniier du fait.
Conseils aux cultivateurs vendeurs de lalL ches-dii-niii'me).
neveu, A son roloiu-, elle constata qu'un
dleallstos occupent près de 3S0 sièges
Le Cloîlre-l'leyben
(Co quo chacun doit savoir pour produli-e
S'adresser U M, l'abhé Mazel, Curé il malfaiteur était entre chez elle; tous ses
A Paris, ailleurs encore, ces derniers, un lait liJgal) ; Conférence de M, Belbéocli
meubles, en cD-ol, avaient été fouillés.
Incendie
Miramas (Bouches-du-Hlione).
pour souligner leur victoire, n'ont trouvé ri'csldenl du syndicat agricole de DouarncN. H. — II exi.ste d'autres écoles de vo- Mais le voleur, pour tout bulln, n'a pu emLes époux Philippe s'élalent abîcnlés dj
nez, sur l'Araont de Chanoe ; Communica- cations tanlives sur lesquelles les Jeunes porter que quoique nieniie monnaie dissirien do mieux quo de conspuer vigou
che-/. eux, laissant seuls leurs deux ention
"
Ion do
do M.
M. Rodcllec,
Rodcllec, Sccrdtairo
général do gens pourront so renseigner auprès du »/iuioe sous une piie de lliigc.
rcusement lo chef du gouvernement 1
fants; \'vonne, i1gée de 4 ans, et Thérèse
La gendarmerie enquête.
Union
dos
Syndicats
Agricoles
du
rinisclergé
do
leur
paroisse.
,'»gée de 20 mois. Pendant leur absence un
Et chez nous ?
til-c, sur 1 Assurance Mutuelle contre les
incendie
se déclara dans l'étable; celle-ci
L
a
u
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I
P
l
o
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a
r
z
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l
Dans le Finistère 11 fallut deux tours Accidents du travail agricole ; Discussion
fut cntlci-oment consumée, et une génlss.j
Mortel accident
y resta périr dans les Ilammes. Le feu se
do scrutin ; c'est dire que la lutte fut des vœux.
Tous lus Syndicats afnilés fc l'Offlco CenUne septuagénaire, Mme veuve Hamon, propagea ensuite A une meule de paille el
chaude. Finalement les syndicalistes ex
tral et, !i l'Union des Syndicats Agricoles
suivait la route qui va de Plouarzol il Lam- un las d-ajoncs, qui furent également détrfimistes l'emportèrent ft une majorité du Finistère sont invitOs il sa faire l'ÉDrépaul, lorsque vint i passer une automobile. truits.
scnter à cctlo réunion.
considérable.
Atteinte de surdité, Mme llamoii ne se gara
La petite Thérèse a eu le bras et l.'s
pas. Elle fut tamponnée par l'automobile mains grièvement brûlés.
Voici d'ailleurs les chiffres,
et projetée sur le sol. Grièvement blessée,
On ignore les causes du sinistre: mai.-i il
1 " TOUR. ~ Instituteurs
publics.
.Mme llamon succomba peu après.
ost 4 supposer que les enfants, livrés .1
Inscrits, 800 ; votants, 830 ; suffrages
ux-niêmes, se seront amusés U Jouer avea
Nombreux 8ont les parents qui
Laudcrncau
le feu.
—
exprimés, 792 -, majorité absolue, 397
Commo tous les ans, à parelllo époque,
La Kermesse du Patronage (20-21 Mal)
la fcoclété centrale do sauvetage des nau- prennent soin d'abonner leurs Jeunes
Pleyben
MM. Kerbrat, directeur d'écolo ft Plou
ions au COURRIER OU F I N I S T E R E
En vue de la Kermesse organisée au
gonven, 343 voix ; Le Tallec, Intituteur fragés H distribué des réconipeuscs aux
»
Horrible mort
leur entrée i la caserne.
sauvçteiirs qui ont fait preuve du plus
pront du patronage Salnt-Frani,-ois. un
au Relecq-Korhuon, 337 ; Dropler, ins. grand dévouemcnX en so portant ou secoiu-s
l'ne fillette de 3 ans, Jlarlc Kergnit, du
Mais nous avons constata qu* la pressant appel fut fait il la générosité dos
lllago
de
Keriann,
est tombée ai-,-olonteltltutcur ft Kervès (Lopèrcc), 33e ; L'Ha- de personnes eu danger de so noyer. Ces plupart, d'une part, négligent la r é - habitants de la ville et do la campagne,
loniont, le dimanche 14 mai, d.ms une marrldon. Instituteur ft Beuzec-Conq,. 318 ; récompenses ont été distribuées le "jeudi 10 duotlon de prix quo nous avons otterto, laquelle était sollicitée pour la première ndtc
coiilen;ml
de
Feau
bouillante. Après
mai, a lafcorbonne,par lo vice-amiral Toul'autre part, omettent de renouvelei* fols. L'appel a été entendu et nous som- avoir enduré d'atroces souffrances li
Querné, instituteur ft Plobannalec, 118| ehard, président do.la Société.
mes en mesure d'afllrmcr que cette fête
abonnement
au
bout
de
l'année,
p
r
i
ICI lie a buccoinié des suites de ses brùBlayau, Instituteur ft Pont-l'Abbé, 92.
Parmi les sauvcUiurs il l'iionneur nous
est assurée du succès. Aussi le comilé
ures.
sommes licureux do relever le nom de plu- vant ainsi leurs militaires du Journal nous prie de remercier les généreux donaa* TOUR ,1
au moment où II leur serait peut-être teurs de la ville et de la campagne.
sieurs do Kos compatriotes du Finistère .:
LE3G0NIL
le plus utile.
Au programme: nombreuses «ttractlons:
MM. Drapier, 412 voix sur 77<1, élu {
Aussi oroyons-nous devoir modifier et des saynètes ou comédies dont .. Hors
Prix Adclson Cousin et deux prix baron
L'Haridon, 380
élu,
Cadre
»,
L-Agneau Bêlant »,
L'Idée de
et bai-onno Léopold Uavlltler (1,000 francs) nos conditions, et mettre la période
MM. Kerbrat, 343 yolx 1 Le .Tidlec, d
la station do l.eseonll.
d'abonnement d'aooord avec la nou- Colette » et « Cordon cl Bas Bleu »,
338.
11
est
dono
il
présumer
qu'une
foule
conMédalUo d'oj; EdJnéo et Reaû au patron velle durée normale du service obligasidérable assistera ù cctlc Kermesse cl
Dans la 2* catégorie (Institutrices
pu- Colo.
toire.
déliera les cordons de sa bourse pour la
Carantec
Ces prix Técompensent deux sorties du
bllgilea) Mme Goubln, directrice d'école
A partir de maintenant, pour 1 0 sauvegarde de l'ûine de nos Jeunes gens.
Enquête
ft Molilan, tut élue au 1'* tour par 514 canot « Amiral de Maigret ».
Lo 30 août, par forte brisa du sud, son franes une fols versés, tout soldat ou
Lesncven
t'ne enquête de commodo et Incommo»!»
voix sur l . l O l inscrits, 970 votants et patron Co'io sauvait l'équipage du bateau de marin breton du Finistère pourra reest
ouverte
sur
le
projet d'acquisition du
L'ne réunion générale des membres de terrain de Korlizou, en
030 suffrages exprimés.
péelio « Esturgeon . qui b'élall défuucé sur cevoir régulièrement le COURRIER D U
vue de la conslrucF I N I S T E R E pendant un an et demi, où la Soolitè hippique de Lesneven aura lieu lion d'uu lavoir.
Au 2' tour, la lutte so trouva circons- l'ilot Men-ar-Oroas.
Lo 21 octobre, c'est encore sur les mêmes
u'Il soit appelé par le service: France, le dimanche 27 mal, il 10 11. 1/2, .salle de
M.
Jean
.Mescam,
propriétaire
au bour^,
crite entre Mme Collarec, institutrice ft roçliers
la mairie.
quest jeté, par fort vent d'est, le
olonles ou Etranger.
Brest, de la fraction dite modérée, et bateau do péclio Asscz^Vlte ». Ses six boni
Des questions très inléressantes devant est désigné pour recevoir les récUinatlona,
10
francs,
tous
changements
d'aMme Lo Gall, institutrice ft I^crnllis, mes, bolafvé» par la mer. ne furent sauvés dresse compris, — prix unique, c'est- être traitées, .M.M, les éleveurs sont priés
Landivîiiiau
qui aUne tellement le Bon Dieu que voque grioe à l'Intervention d» notre canot à-dire qu'il sera exigé da ceux qui a u - de ne pas manquer il la réunion.
Séance rèoréaUve
qui, bienimana'uvré, put venir mouiller au
Le Bureau.
lonjlert elle enguirlanderait lo prêtre le vent et les- rccuellilp.
ront laissé passer 3 ou 6 mois de leur
Les Jeune» gens du Patronage Sslali
Ruincngol
portant aux malades et les flllettca se
temps de servie» avant de s'abonner,
Joseph. Landivlsiau, donneront une séance
ILE DE SEIN
récréat\-c
le dlmaDche 20 mal, à l'issue des
signant ft son passage.
aussi
bien
que
de
ceux
qui
auront
la
Grand
Pardon
de
la
Trinité
snus
I.t
préPrix baron Méquet et baron et baronne
Et Mme Le Gall fut élue par 424 l o i x Léopold Davllllor (l.liSI} froucs) à la station précaution de s'Inscrire dès leur ln> sidence de .Mgr Dupare, évêqua de Quimper vêpres.
voici
le
programme particulièrement
et de Léon.
do l'Ilo do Soin.
corporation.
contre 410 ft Mme Callaree.
Vendredi 25 mal, — A 17 heures, pre- Intéressant :
10 francs : ce prix étant applicable
Pour solslr toute la slgnlflcation do j^jMédaillo d'oj; Arlhur yioletto ou patroa
Le Roi des Oubliettes (P. Camille)'*
à tous, Inutile de nous demander ca mières vêpres, bénédiction du Saint Sacreces choix, i l faut so rappeler quo
La nuit, vors trois heures du matin, dans que tel ou tel devront payer. 10 francs ment, — A 20 heures, chapelet, prières du drame en 4 actes.
Le Crime de la Placo Plgalle, vaudevlll»
MM. Drapier et L'Haridon sont deux 00 eadro slnlstra des parages de l'Ile de pour, tous : seront considérées comme soir; confessions Jusqu'à 22 heures.
Samedi 20, — De 4 heures il 9 h. 30, en 1 scto.
illustrations du groupe d'Instituteurs Sein, on aperçoit des signaux do détresse. non «venues les demandes d'abonnel.e C»ml)rloleur débrouillard, pantomine.
On arme notre canot l " . Amiral Barrera »,
messes d'heure on heure. — A 10 h. 30.
condamnés récemment au maximum do qui so dirige sur ces faux d'appel au sement non accompagnées de cette ftrand'messo chantée par M, Corrc, recteur
Intermèdes: monologues et clioeurs it
deux
voix égale».
la peine, par le tribunal de Brest, pour cours.
d'Audlerne
;
sermon
par
AI.
le
chanoine
•omme.
Pédel, recteur de Combrlt. — A 14 Ii. 80,
«voir fondé, de concert avec l'aimable
Li-bas, lo vapeur « Canteleu » est éclioné
En mémo temps que la première vêpres,
Aeeldent
—
A
18
lieurcs,
procession
«
de»
Josette Cornée, un syndicat non seule- sur la. Téta du Cliat. Dans ces paragcB, adresse, les Intéressés devront nous Miracles », — A 21 heures, oliapelet,
D.ms la matinée du dimanche 6 courant*
équivaut ti perdu.
Indiquer
l'époque
prévus
pour
leur
l
i
ment illégal mais c nettement révolu- échoué
prières,
confessions.
le
Joune
Jean
Abgrall,
de Kcrfaven, se diDéjft les hommes de l'équipage ont abantionnaire ».
Dimanche 27. •— A 3 heures, messe 4 la rigeait il bicyclette vers la ville, quand è
donné lo navire, mais los baloliilùres oi'i Ils bération, — ou la classe et le continun
tournant
de
la
route
il fut su>i>rls par
cliapcllo du Couronnement. — A l'église,
f Co sont des révoltés », avait ajouté sont entassés font de l'eau. Le» feu* rouges gent ds cette olosss ( 1 " ou 2') aux- il
2 heures, première messe avec chants : uue automobile qui le projeta sur fe route.
quo brûlent hos eanoUers ramènent l'espoir qusls Ils appartiennent.
Le
Jeune
homme
se
releva
avec
légères
le procureur de la République.
chez ces maltieureux. <• Ck>uri8e, oe feu
Et t o u t M les fols qu'il y aura lieu Çuls messes d'heure en heure Jusqu'à confusions; sa bicyclette fut sérieusement
h. 30. — A 10 h. 30, A la chapclle du
- - Parfaitement, ont répliqué ton rouge^ô'ost. lo bateau do sauvetage. » C'est •nsulto de modifier l'adresse. Ils a u détériorée.
Couronnement, Kranil'messe chantée par
grande majorité leurs collègues, des
ront soin de nous rappeler oelle où en M. te chanoine l'édcl. Monseigneur tcnint
Ploucscat
Los canotiers do l'Ile do Sein ramonèrent
révoltés t c'est pourquoi nous les éll- vingt naufragés. Que. nous sommes loin de dernier lieu Ile recevaient notre Jour- ohaprllo; — sermou par M. Corre, reoteur
Nol^t
nal, — c e c i pour éviter toute oonfuelon d'Audlerne.
soiu «n un déa au «ouvernemeot M , . catta oSta des naufrageuh) d'tntan t
M. r.ouls Rosec, l'ieeocté
rient
de noms. Le plus simple oe sera de
A 14 II. 30, vfiprps solennelles, aUacuUon
H s t d l t les. « laïques » .
L'ABERWHACif
Joindre une des dernières Iwndes à l a de Monseigneur, procession et bénédiotion de subir avec succès, devant U chambre
lUppelons encore que M. Drapier ést _Prl» Soplilè besésilses et Jacqiio» nalvin nouvelle adreeee.
des notaire» de l'arrondlBsement de Mnrdu Saint Siierenicnt.
(1,000 foweaj 4 la itaUoa U«
Nota. — « ) Monseigneur dispense -de Jalx. ses examens de prUJCipal clcre. r-.,
sseréUire d u « ipomité de défense lal- ncfégllBCs
l'Aberwrae'lu
i'Bbstinenae Via samedi des a"trc-Tenips liDltaUeaa<
RECRUT5MSMT DU CLERGÉ
IlioniieiiieDts militaires
18 MOIS : 10 FRANCS
RÉCOMPENSES AUX iSAUYETEDRS
H r M i n n N e Morlalu
S
' S e
d e , Dussell o i / condomne quatre «aboteurs-es- dre la connalssanoo c f l'amour de la
lonsi rex-lleutenant Slagetter, à | France dans les populations du Gau
n ^ t i l'employé Sadowsky, travaux case,
Par oontro M. Herriot, député-maire
r ^ n é s k peraétulté : Beiker, 15 ans
ld« travaux forcés; W e r n e r , 2 0 ans do Lyon, attire et oholo les dé égués
russes
ft la Foire do Lyon: dé égués
cémpllces récoltent de la prlllAai le commerçant Z i m m e r m a n n
fioii'ni? rl wŒ
T aan n
î ,î7!a n
: a: ; fo traitement
I
l
o quo Tleurs^ « frètes
v
« éÎn?i e ru rT Kuuil r=a m
»S font;
Hé dessinoteur flisp nfc 6 ans.
,
subir ft M. Goûtant ?...
^Désormais les d é l û u é s supérieurs
Notons que la perséeutlon rollglouw l l é s pourront ftiterdire toute clrou- *e continue de sévir là-bas. On atilatlon. de Jour comme de nuit, et les "opo®
17 religieuses eothollquos
aMtehandlsea en souffrance dans les
arrêtées, que la Tnhéka exëCm^s vont « t r t v e n X o a nux ^^^
o»»»®' <!"«
'^dèle* amouW» o o n f o los bourreaux du patNarohe
'tykhon sont mfttés par les mltrallfod.Mit non-réclaraé dans lo délai leusss... l e no^we de sang se renou.
-i» l i l ' '
I voile tous los jours. Contre cos crimes,
' v a h k i , E n marks] uns (rentalne 11®' autorités relljnrlousos de toutes los
>
l i f l l l K «oît « M e e n t i î K ^
»»
Chronique Rdgionale
tE"COURRIEttTï)tJ FlNI$rERE
riouBonvoo
BnMytllt loui un éboulwnint ^
T.niull 7 mal, vcri i n liourp*. M. Sl<
iiun, uldd (l9 iiC8 lieux itlf «{ d« «on volulii,
I. ho ijoour, cuitlvalouri ^ Koiliuolvi!»
ihnr)(0iilP0t du ii.\bii] U.iui
oarrlofo ili
,lui<rduiil, pour rOparor l'ulro 6 ballro.
. Tout ù coup, un polll (ii't^'txi' <>» «o un
ilii-liant (M la lairjOro, Mut loiotor «ur U
SiM» du M, stO|ili:iii; cidul-rl «xoiuiim U
k'airlci'o vt crut <iili.'ndi'o uii lu'ult loui'd.
A'Ilc, IIH N'i'ni|it'0!,siMciit do MO l'olli'of.
A )<i<lno 1.0 Scuur ut KIO|>li:iu l'urcnt-lti
Vuli (|uuUin<'4 TM!!, iiiruiio |<i'o»io mutio Ud
ulilo Htf UiituuluH do l.t ru^rll^ru.
' l.a l'Iiarrt'llu i t lc;i deux Jllii lo Irouvul'Mit (.'ii!ii.'voli:i; l'un de* lllii Clull oiironoil
|ii9i|u'iiu cuu; iiwlH, piutOKd pDi' lu l'uud
ilu \<';lduulo, Il ii'uvalt iiuoun iiiiil. (In put
r.iolU'iarnt K<
Ou.itit A l'nulro, Il
vall vcitsO Ua \lvio lorai|u'il |>ul CUd Ud'
;.i{ii.t, /
j^vw .
•^^(t .Ylctlmo lilult i i i o do SO
'
VluuuC-vcz-Loc'Lria(
Coupo d* goémon
'l'.e nirdro do riouui'vcï-l.oolii'lsl, clicva
llor do 1.1 lA'iflon d'Iionaour, n priti l'ari'^tâ
iiilvunt, uiipi'ouvO |)or l'odinlidiili'iitloii iiU'
"ilHIouio; lu coupo du eoânioii iioiiuniS II'
hon, ou plus viilenircinunt (iiploon, coinnoncora lo Ï 8 cuur.iul. nu luvoi' du «ololl
lour HO tciniliici' 1H
octoLirc, nu cou
ilior du Duk'll. Il cit aliMoUiinont liilordit
lux poraouiicfl nun donilulHôi'» datiif l.i coin
nunu do so livrci'
la l'Ocollo du dit KUO
non. Ko» coutravcntiou!) uu priâont nri'NiJ
oroni ooiiHtauics par piocùa-vcrtiul pnf les
;i«rdc?.-côli>n pn'pojOa ft la «uimiliniioo do
a coupu du ^gOuiuu bur tuut lo llttoial do
& çomniuiio,
l>l«o rsnduet par MAI, aullluimt Ktrva'
r«q, Louli ârgadonnao et 0. Moatlo, atnal
qu'un montloguo plola (^humour par M.
Cavai'l4, doniiàtcut uaa sbirmiiDtt imnni»
lion do 'galotd.
Kt cnnullo AF. Otie)leo, coniollKr d'ar
r«n^lia«mon( du canton de Plogaaiel
baliil-acrmnin, en un breton trâ pur. In'
vlU Instammont la JcunoHso préaonto (t le
Kroupcr plus quo .lamal» pour la diSfonte
do ses iJOct al à coutiuuur la lulto do Icuri
alui's,
lU enllii peur terminer, M. l'abbi) Le
Ooasuuen, do su p.trula nutorlaiio, avoo une
o»p,!rlunoo quo lui dolino di!Ji( son long dtivouomunt (i tuules uos luuvrcs, lit uom|irenJro ft tous le» adluirenls los nvantaKOH quo pouvaient donner dans l'uvcDlr
tous ues HfoupuinonlH dont lu but ost do
fallu uotro l'runuo plus bollo, plus unio
djns l'ordro, et dans I;i bello tul do nos
pires.
A 2 liourrfi, nouvcllo nMinlon au Palro
nago oti dirrilroiiU \uiux furent adoptOs h
l'unanlailtO.
M. I.o UuasKUen prit fi nouveau l,i parole
ot Inelsia parlicullOremcnt sur lu uOeossIti)
do 1,1 diffusion do la bonno iirosso partout
où 11 serait possible cl ulllo do l'iulrodulro.
ApriSa quelques sayniiles bien Inlorpri!Itfos nue M.M. Moallo, liuullur, Ciargadonnuo, llallnco el JOzi'quel, les coniirosalsloa
«u rendirent do nouveau 6 rc'ijllso pour
nsslalee nvunt do BU BiïRnrcr h lu bOncdlotlon du Trùs Sidnt-Sacrcmenl.
Un dernier mol do M. lo CuriJ qui romcrcm les eoMKressIstea d'Clro venus si nombreux ft son appel, ot chacun so retira ciuportanl do eollo bello Journiio los mollleures re'solullon» et lo souvenir d'uno groaUo
et franclio eoniralcrniti!.
rant au village de Kerbruk, par la gendar'
BOITE AUX LETTRES
voa'lnîtOlonÇ?^''"®"'
^ e . 81 votu no voua
merle locale. 11 était Woulpé de vol au préfoua u n o M s p u
Lôra^ft à I'ôtuoi}.
judice
do Mmo veuve Wrvran, débitante &
lui, une aomffltUiiai A'taSiîS^Hm,
ttéoec
Bien envoyé. Par dea lois de conltseauln.
llon los 0 lalquei » e'emparont des biens Coadry.
Loraquo la femme arrive à un certain fige,
.Ju
" H - T S'"."'» P " reçu lea
B. 4010. w Lea ayanU 'drgtt lont Ie«
epotéalasllquei et oongrânanlstes; et après
.j«l les et engrais lora do son entrée en
P'
les dangers qui uienaoent sa santé se font
J"
s'être Installés dans ces ^tabllssemonts; Ils
loulisance, vous ne pouvez les retenir que mllltalrea qui ont «U réforméi pour bleade plus ou plut nombreux et finissent mCme,
SI
v o u s . êtes
« t e s Vpropriét
i ' o p 7 l ê t ï ï r e . 7"l V a ° u l " T u-e ' r î —
l n o | ï ï r ë a ^ ^ ^ ^ m i l a T e a ' M i î w M ^ ' ST
jl vous
disent: Voyez comme nous aolgnons le pou.
aurea
ou maladies oontract^fM.
aaicvn'
si Ion n'y prend garde, par provoquer des
ou l'autro des deux conditions soit réali- » véea au
•>•• service.
—-•<-•
pie 1
troubles «érleux, parfois même IrréméA QuImporlJ Ils n'ont eu garde de mandiables.
quer 6 la tradlllon. Los Urgullnes av.inl été
Fort heureusement, la nature avertit de
deatalalca, dans leur bel (îtahlissement la
rapproche de l'orage, elle en aTcrtit par le
litude de M* P r i r e n t , notaire
CESSATION 0'ENrREmS& &E BATTAGE
munlolpulité HO haia d'installer uuc école
nhansement qui se produit dans les foncA Ploudalmézeau.
primaire supilriouro de lliles.
A veodi'o batteuse A giand travail, batteur de 0 m. 75.
tions de l'organisme, prl iclpalement dans
AI.\nCIIE
H
E
B
D
O
M
A
D
A
I
R
E
Mais la loi Combes cile-mtmo n'osa
certaines fonclloiis essentielles chez la tem- i vole noriinle avec locomobiie à cisence de l'i dix.
Fromentfli fr.OOù 04 fr. UO; avoi'iif, 66fr.!50 à
faire lillero dea droits quo cerlalnea r.imllM;it>rlîl en bon eiat ; prix luoilùrci.
iiie.Ktceohunfc*
''' <"> ; s'i-rasin
lea pouvaient avoir sur la propriéti!. Kt do f'1 .''••Jî i""»"'
«;ulve/.. au l'oueuQuu. eu l'Ioucuat Cucrr.iad par en l'étudo.
)nentindic|U8(|uî
^jjj
crainte d'Olro ehasaL'o it son tour, la muni 02 fr, bj A 0') fr. M i seiglt, 03 fr. 00 à >n Ir. n»
Le Lundi S I mal 1023, ^
le sang a bc-ûln r>a:imeur.
clpalllé Jugea liublle do demander l'expro
t Ijcurc 30.
HALLES DE PARIS
d'être purliie,
priatlon, prétondûment pour oauso d'uililté
reconstitué, le
14 mal
publique. Et tant nu'fi fuire, ello demanda
système nerveux
llcitrret, marchunds frantals: 7fr.00 A 10 fr.
en Kaiut-i'abu.
beaucoup, enclos et ferme.
tonlllé, tout t'orkilo ; ceatrlfuges. U fr. SO k 11 fr. liO.
Conlciiaiicc : Quatre LccLiOS pouvoirs publies n'ont pas cru de le (/'.'u/.<do
ganisnie, enlln,
llretagno,
par
colis
do
1.000
œul»,
liics environ.
voir aeeueliilr la demande, 'l'onaee, la mu
d'être énergique'Venue
par MM. Tanguy et
ilcliiallté veut renouveler sa démarche en gros, iao 4 310 ; ordinaires, 2S0 A 250, .... ....
ment soutenu et
Bi'iaut.
Murclié aux fourragc.s
Imitant l'effet au seul enclos, o'esl-ii-illr:
BREST, 7 9 et 8 1 , rue de SUm
stimulé. C'e-t U
Libre
le
20 septembre prola partie du couvent oCi so trou\e l'écolc , I.N CImiiollo, I ; Mai. - Aui 520 kll. on
LINHKKII';, 'l'OlLLTtKS i,i! OO.M.ML'.MO.V
le rôle dos l.'lluchain to;3.
primaire supérieure.
liottiis do a kilos : Palllo do blé, 105 à 1 lO fr. ;
les Pink et c'est
faculté de traiter avant
Conlru ses prélenllons et son projet, M. d'avoiiio, 7J A 110 ; (lo seigle,
S O L D E S DE CONFECTIONS ET MODES
4130 : luîorac,
ce que ces piluI aUiudication ot par lot.
Peyron a éievd la propleslatlon siilvnolo ù tSO A 2l3j foin, IOJA 215,
dep. 1,45 - C0HÏI.4GKS coton dep. 4 95
les acuumplisVoir tes attlchea.
4333
lu dernli'>rn séance du conseil muiiiclpal:
ItOUES
lilietltcj
l.iuagc
ou
colon.
U-p.
1
9
5
0
seiit,
e;i
ollet,
Mnrclifi Ile In VillRtto (PnrI.s)
'I Messieurs, vous venez d'entendre lo
f/onrf
BRUM£T '
nai'faitemcnt
rapport do M. lo Malro sur uno nouvelle
l)icn.
ANTMAl^
C\VEi;Z.\ MAliCllAD
MMi ..l JiA l'..!
paix MOYEN
Etude do M* Barjou, notalr»'
dcmando d'exprepriutlon du couvent des
A l.esueven.
PeudemédlcaUrsullnes. En résumé, en votant eonire ESPLC£3 Amtiiés Vciidiis TlïMO.tNCB ' w T
net
'
Auguste
HiiXAi'D.
nicnt.4
possèdent
cette expropriation, la première fois qu'elle
ù louer pour l-;iiide de M- Itouec. licencié
d'aussi
puissannous n été demandée, mes collègues do la
(Cl. l'iurro Petit,)
iiioi<, Cham- ou dr.'P, iiot.ili-ei l'Ion,-se.,i,
, .
tes propriétés !émlqorilé et mol avions raison, 11 esl, en Uœufs . . 2 7;'3 2 717 bonne
3 30 G GO
i'.ii la ville de Loïnevcu
ge ierairicos que los Pilules l'ini< et peu de lire moublèe, cïiiipa'.;ne onviVoches. 1 i'ilO 1 3'30
—
3 30 G vo
rue de .lérusaicm.
muno 110 peut spéculer sur des lotisse- Taureaux
Mi.'.lloanients peuvent donner d'aus.-.! pro- roiis de Urest X'airu olircs au
M
!)7a !179
2 «0 ts su
journal.
ments de terrains. Volli pourquoi l'expro Veanx . . 2 S32 2 832
bant.s
témoljn.'ige.s
de
leur
ellicaoilc'!
que
M
Le
iiiiu'dl
'2!»
in.'ii
ù
4 81 u GO
A usaeu de commerce et fonda
priatlon do lu ferme do uel-.^,ir vous es Montons, 13.470 14 014
ceux qui sont iounietlemout publié» cl dont
»
licurcs de raprcs-miUi.
4 70 .!) 40
de comnierco.
refusée.
volei un nouvel exemple :
l'orcs. , . 3'44i| 3 4i4
Etude de M- I.o Ho
DO' Kll I élu.le et par lo iiiinis
U 10 » n
—
•l'»us.:iance au 2D septembre
Il 1.0 rapport qu'on vient do vous lire
M " Auguste Renaud, demeurant 107. rue
tero de .M- Hns,'c.
l'J.'J.
A V I S
m"
foconnu, par les conclut i\ une autre solution, qui, après
JIoutTetard, A Paris (V-;, a en elTet, déclaré :
Ui-:siONATION :
nombreuses peraoniios qui avoir passé à la commis.'^lon dos Unancos
S'adresser au dit M' Barjou.
« J'ai été tn'is t-prouvce iiar le retour d'âge. A D J U i f f i N " t ^ - i ' r V
y ont fuit Iffurs nnliats, quo la bijoutorle nous demande de voler simplement l'exproL a ferme d e Brsné7a!an
Ce sont principalement les neris (|ui me
d é p a r U i ï ) e i ) l
Pennarun, 8. quai Carnot, Obitcaulln, est la priation do l'enclos des Ursullnes, occupé W l a P B l j é s d u
faiialent souffrir. Aussi jo me télicite d'avoir le j. iidl ï l juin IUS3, ù 1t'.i PIoiicKi'ul, d'une (.iinlc- Elude de M* Barjou, notatro
h.
1,
(Ml
l'étude.
plus importanic do toute lu région, ot, à actuellement par l'Ecole primaire !Sui>ii
nance
de cinq journaux envisuivi lo traitement des l'iiules Pinii qui m'a
A l.esneven.
Kn la commuiic de Kcr-ron. Tenue par .M, .Mellouel
qualité «Jiale. lu moins clièro.
vicurc des Filles.
lOIIUII.
noiini'iioiicz,
mai. — Beurre (la livre)' parfaitement rclahlie. »
Avant
(In
fairn
vos
uclial.q
on
liorloiforlc,
Libre de location, au 2LI sepConcni'iicnti
Mais, depuis votre vole, un fait nou .1 fr. !i'lù5fr. 2,:œuf,s(la douz.)3 fr. Olà 3fr. -.'5.
1.04 Pilules Pink sont d'une elTicacilé int"
lof.
~
Kei'livcr,
iiialliijoiitoi'lo, iti'tùvroclo, couteaux do table, veau vient da so p
produiro. La Cour cl'ApUreufs Ile kilo sur plndi, 2 fr. i O i 2 fr. 30 ; o.intestée eonlro rancmle, la iieuraslhénie, KOii d'IialiKulioii et divers tcnihie prochain.
Monitr* mtrln
<-n l'étude, le mardi 2i> uial
arllclos argoiit en ('orins pour cadeaux, rte,, pol de tiennes, par
par lugcment rendu lo 22 vaches, 1 fr. 00 à I fr. 70 veaux, 3 fr, .W à 1 airaibll.'isement ^'éiiéi-al, l(?s troubles de la iàll:nonls d'exploitation, cou- .Mise a prix : S8.OOO fr.
Pour tous ron.ieiïncmnots, lîi'iaa t h. t|.>.
wtl pCclicur do maiiucrcaux do Nrtvez n vl.slle/.-la, demandez ses prix ot comparez, mars lOiO, e'cst-à-diro tout dernièrement
croi.s-sance et du retour d'àgc. los maux
erU
en
chaiiino,
courtiis,
isIloau cadeau nu choix k tout marlafto fal- déclare valables les droHs des rcvendi
A .M- lio.scc, notaire. Ko l'ioiidaiiiel, A ICerguc(iplurc un B(|uul0 incsurant C mùtrca do
d'e-'.oniac, I irrégularité de< périodes.
sues et dépendances, section .s'adresser
'• fr ' 00 i r"f-"îi"'' ^
'' ^
'
rcon, une iiialKoii d habitaMK-MK l'-rUUli;
lua^. cl pcMaiit ;j.oflO kll«». Cii iiiunnlia 8,-tnt ses achats. Réparations on tous genres
uants el ordonne la lleltallon A la barre
'loutes
P
l
i
:
4fr.50
lu
boite,
'.ii
fr.
los
If,
11"
I.'Slp,
l-'B-'ii),
i:83p
et
tion sous ardoises, lùtimciit
l'aille, l i i i'iio'lr. les 300 kilos ; lolo,210 Ir.
inann avait Cti! fliijnalij par di:.H proiuenfuis soluners ut (.'aranlles. Mnison de coiillnucc.
fi boites, plus 0 tr. riD de timbre-taxe par boile. 2.S2|), cont.'ii. totale 20 a. i j .
à
21','
Ir.
is tuiles, cbamp derricre:
u
Tribunal
de
Quimporlé.
Nous
voici
donc
aoQt II avait lallli Talru clavlicr la biruuo
.Mise à prix : il.000 fr.
Pominea do terre (aux S!) kilos) G fr. 00 A Dupût : Ph" P. Barret, 2;:, rue Datlu, Paris.
Contenance: 3 arcs 30.
ArllirlIUi'uea cl rhiimallsanls. (ivllej les en présence d'uno vcnle par llollatlon, qui.
Tun ciiup do quouo.
'l- lot. — Au même lieu, le iiii>iiie (iMir, A î heures cl iMise a prix : 3.000 fr.
crises.
Un
Uraln
do
Vais
avant
le
repas
du
vu
les
dispositloiis
des
revendiquants,
peul
ji'A|ii('a M.» raplinu lo monslro fui nnicnO •loir.
liiiiup, dit Parc-Uaouanlcr. demie d" l'iiiiré.i-iMidi.
l aculté de traiter avant l'adentraîner fa Ville et ses Ilnances dans une Cidro (la barri<iuo), 113 fr. A116 fr.
•nr la cale, où les CtincoriiuN purent l ad
DESI(JNATION :
judication.
ioûi
scclion 13, n' l'.'ii.'i, cont. Il» a. 10.
dépense dont on no peul prévoir la Ihnilc.
:Morl!H.x, t! mai, — beurre, 4 f.-.OOà 4 fr.30:
inir.îr. 11 fut \oiulu A M, Mjulkr, Uiicctcur
Mi.se A prix: a .iiiO fr.
Co quo dcmaïulB M. le Maire, c'est d'écar- oeufs, 3 fr. 23 4 4 (r. Oo.
Pourquoi la ItoulanKÈro esl-elle a,.,
U N
CHAMP
V.usiud un <lîcu.c(.'c-Uau(|.
'
.')'
loi.
—Havénac'h,i;liiiiiii>
ter
tout
prétend,inl
en
demandant
l'exproIn relno des elilcori'esî Parce qu'ello est
Ho'Uf (lo kilo sur pied), 2 tr. 10 ,1 2 fr. 30 :
terre laljourahlc cont ;u a lïiudcs cic M. Bnrjoii. notaire
it Parc-Havéna(!'h, section F, de
Douarncnc?
sup(!rleurc ."i la meilleure, et la plus (!oo- prlallon. Celle solution no peut ûlro plus vuclie, t fr. i;Oii 5 fr. OU ; vo.au, 3 fr. UO 4 3 fr. 00 ;
la renne de fin-névalai11; cil à l.esneven. et de .M' Kosecv
I- 1, coiit. 3,-, a. 40.
nomi(ph', puisiju'U eu faut moins quo do admise quo la première.
l'Ioiiom'al,
coi.tMiant 70i arcs M< Mil 11 Iliqoiicscat.
mouton,
3
fr.
73
«
:)
fr.
81.
I
Auto «n f«u
-Mise A prix : /<.(»00 tr.
Il Kn effet, la mise A prix fixée par la
toulu autre.
iiU ccnliarcs, iou,i .'i .M •Mcll'aillo, 114 fr. A 113 fr. ; foin. lôO 4 »»ii fr.
tiins ^.)pl^s-midl du mcrcrodl, !) con
volonCour, est do 150.000 francs. Mais si vous
4" lot. — A Lanhir. «-Iiaïup jq,
t.
libre
de
location
au
'
2
'
J
Pommes do terni, 7 4 9 fr. tes 30 kilos.
rint, M. MnRny, dlrixtcur du CrOdlt Nau
taire.
l'exproprialion, le prix de base
:iit Parc-ar-.\I,'n''e. section U, '
iiibro prochain (1 1?:).
Volii l'i'poqiie des pardons. N'oubliez pas demandez
luis (i Doiinrr.cni".'., so rendait en nnlonio
Ciilro (la harriiioo , liO fr. 00 4 150 fr. CO.
esl
déjii
fixé
dans
le
mémo
arrèl.
par
les
:)o
niai
102.'».
K'
iiiorcriMli
tlM,
cont.
10
a.
:iO.
NA
GOLLIT
K E T HOC'H
•e a pi ix! li. ioo fr. i
bilo A l'ont-llrclx et Audlorno. Il urtivall & que II' plus urand choix do Bouliers vernis experts, soit ;100.000 francs. Il faudra v
Si>Iiit-l»ol-(le-l.i;oii, S mai. — Uciirre)
1 h. 1/3, on l'ctudo et par le
-Miso à prix : I.ÏOO fr
d'('li');.iiiles ehaussures do toile se trouve
A M Z E R nag hoc'h arc'hant en ancr.
ajouter les frais il'experllsfs, lea drolls la hvi'o, -i fr. i:o i 3 fr. CO ; œafs la dùuz.,
knl-rnile d" l'int-urolx liirsipio SDUilain lo el
.V lot. — A Pcniic'K'^s, prnl- l';tu,lo de .M- l'c ni:.iid
'1'" M' B/'Hou.
jrrtînrvoh' il>'iscnci> do non (lulu Ocliila; en chez L. Hinault, 5, place l,cllû. L«sne»«n. d Impense, déjà llxés A 12.220 francs, el, 3 fr. 00 4 3 fr. liO.
N'EN E M LEZIT
K E T D A rie, dite .•Vr-PoiMiiioc. .••cction Corrff, doch'ur cil droit ' . - ''-" Plonider
ce qui est A prévoir, les pourvois en eassiif lot. - A Iv rhi iiiet. pré».
«lu In^liiiit la voUuic devint la jir'ile des
, n- «7.!, ociiit. I.S a. lu.
notaire a
A t.esnevi;
Lesneven.
Kroineiil
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gant
promesaou
Arllirlllquos, goiillcux, diabilllnues, le bon llon qui peuvent nous enlralner dans de iolifle, ','ti fr. tO à
la gaiv. un .•iiaiiip.'dit l'arc
Miso A prix : '2.000 Ir.
rc
ilaniiue'*, et ello
tai'du paa U Cliv lOtr. 01 ; oi-olne, 3D fr. 00 4 i l o u r , l i l u s k i t iientOG'h a n d o a r e M A T
foni^tlonni'inent du fulo et des reins est nombreuses années de procédure.
-Uei •
1/ lot. — Dans Méoliou-arjUidl • ( n eendics.
<n fr. IIII ; orffe, 30 fr. OU 4 u» fr. ; Sorrazin,
tal'r°o"" ar-Herien,
cdiitciiâ t 4,' a.9i).
assuK! en buvant uu repas Vichy-Otloitlna,
Il Je no crois pas non plus qu'en di'liors 32
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Go
bian,
piti-cellc,
scolioii
F,
fr. 00 11 32 fi'. .'iO.
ii'i' tt paa d'aceidciit do persoiiDcs,
en l'cliole le iM'ii'di ; hi'in Mise A prix :'«.iMio fr.
la quesllon droit, le prétexte d'utilité puI t da gaout ar spesialist honcst hag
' li.):l, cont. 3 a. .W.
l'oaiinoj de terro nouvolies, SO tr. CO los 100
l!t'2:t, A I 11. 1/; d nne i V i i i . .
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nourniap, Liorjlilhpio ne soit reicmi dans les Ministères,
roiiesiiaiii
anaoudok eus tl au Aot. A . C L A V E R I E
•Mise A prix : .!(io fr.
Alla a foomp
mn aua Ua
bfona
fiM'ini.' an Gninvou c i
i- ^-O'' conleiiaiit U a. 10.
mémo pas pour cause d'uililté communale. kilos.
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Parts.
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ti-nian
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lot.
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Peiilouc'h,
piM'.
Articliuuls,
130
fr.
03
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140
fr.
00
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olenons.
•.a mort dt Danlilou
.ImlKVe 'n^renanùnàisô^
.Mise à prix : «00 fr.
Nous no pouvons, vraiment, pas saerlller
L a <(Cote d e s R u b f s »
a r bed ; abaouc 40 vioaz a zo n'eu dciis ton lie chniiii) dit Parc-Pen- ctalile o;i ardoi-cs courlil cl
encore des dépenses ou faire de nouveaux 33 fr. 0;) 4 4.1 fr. 011 ; éclialoUes, l'Jj fr. 00 4 dro
.Mcnez-ar Cador,
bavint qu'un inysIC'rp plaluc'h, s(!cliou 15, U' l.iOlp, «ix cliamps d'attache
Uet clianot d.i vont war wcilaat bomde/.;
Ar lîweliit ywin cvit prcja
emprunts et le commerce, dé|i Imposé, de- 200 (r. 00 ; ail, Ou ir. 00 4 Ui fr. 00.
b.
de terre lahouia'jle.
fa!! ,|iisi|u'iol sur la mort du p<>ii< Daiili!a. m.
liag 0 zoaro da entent oiiz an disUeunou cont.
mande
gr,\ce.
C'fsl
pourquoi,
comfne
l'réj u ; . e : i u e par Jeai.-Louis
I.CKiiovuii, ti mai. — lioorro in livre),
l i u . Ile niystiru vient d'OIro Oiolalrcl. l.a Trofflcuf-Poiriof — v i n s e t AICOOIB
Mise a prix : 2.:îOO fr.
hag an avol'.'iinou on dcus roct ar pare,
Je volerai contre le nouveau
ïillf IVinK liui a en efrol demandé (i Cli'o cn- liim / iJicnnc l'.)•\>|^^•), /ii'fW. - TiUjiboai 4. 81cédemmént.
8- loi. — A K"rliv,'r, danprojet d'expropriation (les bdllmenis dé- 4 fr. 4 11 fr. »u ; (cufs (la douz.). :t fr. 73 4 4 fr. 2j. aberin vroinan, d'an nivor manlrus a bevar
llondMo par lo JULM: d'Inatrucllon. lillo lui
Mécliou-Hiaii.
pni'i'elle,
secOu Ucmuiido doj voyageurs pour lu cuin- pemlanl de l'ancli'nne conprégation dos Da- \ eaux (le kilo sur plod.i, 4 fr. 30 4 3 fr.
milllonn a dud.
a létélo ip.i'elio i.Mall l'auteur do la niort pHiinc.
tion U, n- ll.'3, cent. Il a. iU,i'.lu.ic de .M-Henri Le Houx, i l a.
mes Ursullnes de Oumperlé. «
Qiiliiiner, / ! mai. — Dciirre lalivrei: fr.30
Po seui't gwarantiacti a i l a dalvhouiiS'.n pore. Il Keinlilerall, cependant, ipic,
huis'.icr à Saiiit-Hciia'i.
| .Mise A prix ' 7.000 fr
.Ml.s<? à iirix ; 1.00(1 fr.
tr.
7b
;
reiifs
;ia
don/..),
3
fr.
4
3
fr.
30.
4
4
d:in'< ses riWOlallon!». ello aurait clierclid i>
nez f
r.e maire, M. Lo LouéJce, rOnondil, en
t)' lot. - Dans .M.'choii-MezIlœuf
(le
kilo
sur
picil;
n
fr.
u.)
4
ii
fr.
iiii;
l(ll'''nMer «en i iline. I..i inOre. ijul était ditIt
cta,
c'hul
ivBZ,
da
gaout
.•\r
speslalist
subBlaaee;
vcaii, 4 fc. 00 4 4 fr. 31 ; vache, » fr, uu 4 » fr. »«/, l)ruilet. Ilo ti2;ciiierout a r.iio, azaielt 9 h.
.Iciiii • l'rOvcnMveiiiCUt, u l!10 IHiSSOo ta
—
Nou.s 'demandons l'expropriation moiilon, 3 fr. 00 à 3 tr. 10 ; |iorc, u» fr. uu
K«l"t-Ko«ai., place aux
•Îii'ile l'rovisoiro.
Il (jS.p, loiil.
a.
Choux,lo IdiKli !il mai l!»li:l
I)ct"g 4 h., cr e'hcarlou-nian;
pour e.iiiso d'utilité piiblhluo pour que.
.îi^c A firix : 1.000 fr.
l'roment (aux 3J k.) nu te. »•. 4 ». fr. un ;
.M se à prix : : .000 h,
,
j,.
I)i>ii;irii<Mii'/,,
UKîrc'iicr
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i.'lot.
—
Dans
.MéchouPour
tous
renseignements,
soiKin,
2s
fi'.uo
4
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38
tr.
C0
4
bon marché c'est, éviilemmcnt, d'en voler'.'
Vu c.implaut, fr.iis en sus s'adiesser à M- Guillcrm.
riofôitiico
Pr.it Allan, autri* purctello, u' 1721
.M. Lo l.ouéd.'c so décime hnpiilïsaut A lo- 'l.i Ir. 00 ; sarrazln, 33 fr. 00 4 3'J fr. 00 : orco,
LK ll()i;.\.
GOURIZOU
MAT-DREIST
I
Parrion do N.<0, do Lorott*
I V.i:, cont. .1 a. .^0.
••3fr. OO
' 4 2Ulr. 0).
Comment guérir los vieux rhumatismes ger nul renient « «os élèves ».
cvit
lilonveitiu
ar
nia.ninon,
ar
c'bof,
.ir
.Misiï A prix : «00 fr.
, T)lrnani''io V7 mal, our.i lien le liardon de
E
u
le
de
M*
Quétnnec,
doc- Ktude de M- Guillcrin, n o
Laicou
coucou
1
Vous ètes-vous demandé pourquoi les
c'hroaslec'iiiou laos'.i. ha;; cvit an dud ro
1.J' lot. — A Kcrvlzouarn,
U <liapi'llo du N.-U. du Lorelle, rn IMu- rhumatisants
en droit, notaire A Poiit- tairo A I,csne»en.
soulïreiit dea années cl des
lard : ar ro wella int, ar ro skanva, ar ro ai'oeiie dans Méiiiou .Men- teur
uonni'e. Volel l'ordro des Kerelees;
l'Abbé.
l
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n
n
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n
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Chemins de Fer de l'Etat
sans arriver A la giiérlson, alors
(;sa da ziiu.'enii.
ir, seclloii U, II' GSUp, cont,
Hainoill ÏU mal,
vôproH h fi licuro». années
l i C U T C P®*" adjudic,ation
qii on vient (i bout do beaucoup d'autres
Vol do dentelloa
GOUAIKOU A C'HIZ N E V E Z H A
a. :i7.
lilmaneliu '.'1 mal, 1" messe (i 0 li. ; malaiiles
I L H I t volontaire.
La
Direction
des
Cliemhis
de
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de
l'Elat
N'EUS
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Le P mars dernier tflall Jour de foiro A
li' liiesso il 1 h.; (irand'meHHU A lU II. l / U ;
•Mise
A
prix
:
000
fr.
Le Lundi i iuiu,A '.îicures, Kn la vitlc de LeitaovMi^
eonnaissez-voiis pas (luloiir do vous naimalce. Mmo Audran, conimcr(,'anlo A Lo- a l'honneur d'Informer le public qu'elle ouriViltuIlnn (lu Ho!.,ilro h V li.; vc^pês A deaNu malades
li" loi. — \ Kerlouarn, p a r en l'Ktuilc.
rue du t'olcniit, n- 17. ,
g
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vrira,
le
dimanche
13
mal
11)23,
l'arrêt
de
scufl'rant
depuis
fort
longUne
P R O P R I É T É
rlunl, venait do li'rmlner son marché, et
S II. l/'O et ensulto proeessloii cl liOnùelle
dite'raclietT-.Mez-an-aoJ
234, K.iubours Saint- .iartin, PAItlS.
lemps sans avoir, eu dépit de tous les d'emhallcr ses marchandises. Mais, — dls- Tr(>groni, silué enlro les gares de Uelle-lsleHllelion ilii 'I'. S, S.iepomenl.
A usa;e de commerce, connue
coiioii it, ir li.i, cont. (j a. •!:>.
l)(''g.ird
cl
de
Ploiiarct,
au
service
des
vovaIrallemenls,
obtenu
autre
chose
qu'une
A Ponh''ar. |iai-c<>lle dite A Kcriiiazcas, on PonI sous le nom de Itestaaraat
1.^ IIP sso Kci'a elmntOc par M. Mniiclier, légère el passagère améllorallim? N\ivcz- Iracllon ou nrécipllatlon'.' — elle oublia geurs sans b.igago cl des chiens accompa•t'aclicn Pc niK'ai', scclion li, n JAbl»', comprenant hàtimc:it du Cordon Bleu.
l(ieei,>talro do l'I'IvOelu! et le Hermon sera vouii pas, alors, été frappé de l'impuRsaneo une boite conlcnant une quantité do dcnlel- gnés. poin- les relations (par billets slniple»i,
et ti'rres d'une contenance di Jouissance en 1015.
«li'iiiiil par M. Ciullluu, vluniru b, UrKuii.- do lu suleneo'/ Avcï-vou» doj.'t vu un kcuI lea évaluées A «00 francs. Kilo lit publier à deiiil-iiiaces, aller et retour, mililaires et
:'Ji, cont. i a
le fait; mais la bollo no revint pas. l.a ru0 liectarcs 18.
•Mise ù prix : !IOO tr.
ces malades guérir coiuplèlcmenl ot
MIÎMIÎ lîTUDIÎ
meur iniblitiue, pourlant, accu.'iall J.ieciin's billeis (le chiens;, entre cet arrêt et-le»
.Vise A prix ! NN.OOO f r .
Voir
los
alllches.)
, I.Uhdl '.'8 mal, pOlerInaRe onniiel dos d»
ire.s, halles ou arrêts do la section de
léllnltlvumeiifj Assuréincnl non; car lus- Malco-ste, marobaiid do poissons, de l'avoir
IHjur tous renseignements, Diverses parcelles de terre
'tirunis l'i l.t i hapelfo do N.-li. do l.urelle,
!iol-l)rieiiii
à
Morlalx;
lulel
l'art
médical
no
disposait
d'aucun
volée.
Une
eiKiuéto
rapidement
menée
perC
l
ciiui
lots,
aux
dépendances
l'adi'i'sscr à M- Le ttocb, 110ui'S.ii' « 10 licures, cl eiiHiille iiruoc.sHlou férilablo spécllhiuo capable do faire dlspa" l.'.ii'iêt de Trégrom sera desservi par
mit do constuler (lUc la' rumeur iiiibljtiuo
174,- d« Ki'nna/.éa-i.
taiie.
'I e.insOciatlou de.s cnfanis ù N,-Li, de Lu- rallpo
les rhumalismes, les douleurs rhu- n'élalt pas fausse. La nilo Malcoste. im les trains suivants.
10 Hl', marque GélariL en
(Voir ici alllches).
tell.'.
matismales,
lus
arllirlles,
la
guulle,
scla'touissaiice le 2U septembre parfait état.
l."s 0 ilernlerfi louru de mal, on dll la tlipu', lumbagos, ele„ cl pourlant oo ne elïct. avall déJA transformé uno parlle lit!
•
SENS ikPAIR
la marchandise en cois cl en coiiïcs, et
Pour tous renseignements,
1927.
ri".s!.o h lu cliapell» do N.-l>. de l.oretlu!
Tmlo r,ia, A 7 h. 30 ; train 027, A 13 li. 23;
les rcini'des (lui manquent mais aValt caché le reste dans un pailler voisin. train
Pour tous ro:iseignemciit.<, s'adresser 4 M- GUILLERM.-'
iiil y cnli;ii(l les confosnloiiH des lldOle.H qui sont pas
033, A 20 h. 11.
.Moiisiciii' LE VEItGË,
nombre InlmaKlnable est lul-mérne
Les époux Malcostc, auteurs du vol, onl
s'adres.ser
A
My
i
KIN'M'X;
tieiivont )inKni.'r uno Indulyenco [ilOnIcru leur
Ktude
de M- Traonouëz, noSENS
PAIR
l'aveu do leur hieflleacllé. Depuis près comparu devant le tribunal correiitinimcl
ET
méi-niiicicn i Letnei-cn, fera le
Ittii; culldiDuun ordlnalrea,
d'un an coiiendant, 11 en exislo un, qui, (lo guimperlé, el ont élé condamnés h, Tr.iin 5'iS, A 8 h. 4'( ; train Û2G, A 13 h. 33;
i-:tiiile de .\1- .Martin, notaire taire au l'aoïi.
trajet,
en
eaniioii
automobil(>,
enoiu'o rolatlvemenl peu connu, apporte la 2 mois de prison chacun. Co n'est pas l,( train 'JOD, i 20 h. 17.
de l.esiiovon à Uiinioui;ol,
Ploniolin
ADJUDICATION
tV.VV""
soliillon du problème.
les !«it. 2(1 et «7 mai. Avis
première fols qu'ils ont maille ù p.irtlr
INDILICOTOMO
Co lie fut, il n'y u qu'un nn,.quc nos avec la Justice.
aux
pèlerins, qui pourront se
en l'étude, le lundi 11 Juin
la
CrèmeTokal
e
n
réalité
ce
miracle
Chemins de Fer départementaux
.T.ieques 1.0 Brusq, ï(î ans, avall f i t liO- médecins purent se procurer en nombre
renseignerplus amplement au- l'^n l'étude, le mardi l i Juin iiPJit. A deux heures.
Cloliars-Curiioët
L'explication en est fort simple et toute fenuiio pr. s ue lui.
|iiTi.'i> par M. Cuïim, do l'IoBonnco. l'our llmllé les minuseules ampoules dont lo li4718; 1S).'3. à i heures.
De la iieiie feriue de Nélz
peut l'aeileiiieiitsr rendre cdiiipte qu'après toiil,
I'iii iiHnoï Ma reeoiinalasaneo (i ee dernier, quide In.leclé sans aucune douleur sous la
AVIS AU PUBLIC
Au .Minilin de la Jtottc, en Vxan, en la commune de QuiLa
taxe
oit
la
taxe
leaii
des
malades,
A
l'eudmlt
le
plus
il
ne
s'agit
iiiilicmcnt
là
d'un
fait
iiiiiacutcux
:
y, ni' irouva non ilo mieux cpie tlo s'en aller
nuM'v'li, contenant 40 hectare.s.
Piabennec.
La Compagnie des Chemins do Fer T)é- le résultat est obtriiu par voie d'endusiiiosr, pliél'ii eiiinoiUnt deux Jeunes clilenv. L'un de ittoint, c'est-à-dire au siège même de l'af17 ares, libre au 29 septembre
l'U pour ne s'y Cire pas conformé, o'estv 'ii.v-el rovint du lul-m(!mo A lit maison de feetlon, soit aux doigts, aux poignets, nu A-ilIre pour avoir ventfu a fr. 40 un p.iin parlenienlaux du I''hiisloro a l'honneur d'in- nomênr physique bien connu. Kii etVet, les pré- On d e m a n d e à a d i e t o r Dne jolie Mmsoii HABITATION I 2i.
473S
a\e.' t'tage. A l'état neuf, ijelit
t<'in niallri); mais II est Ctahll que L>o Urusq cou. A la iianehe, aux genoux, uux pieds, de a iîlios, nior.s qu'il no devall le vendre l'iirnier le public qu'en raison des fêles do cieux alimciils dermiques qui entrent dans i,-»
PROPRIÉTÉ
A i'éiiaule, l'ait disparalire en quelques que ''I fr. ao, M. 'l'aiiguy, boulanger à Ln- la Pentecfito les modillcutious ci-après se- rompii.sition dciaCrénicTokalon sont réellement PETITE
Kvall tenti! do vcnilro le secoud.
('.' i iietu U'IndOlIcatosso lut vaut U mois Jours, les rhumatismes, leurs doiiiours, la oiiouarii, u élé gratillc d'un proccs-verbai. ront apportées dans lo service des trains Absorbés par les pores de la pc.iu qu'elle iiourrll do i-ix A dix liectarcs, .située A j'joù"islancc au''.''J 6ci;teiiibrc Ofl dCIlWnde ou débutante
périodiques pour les journées des Lundi 21 et tonlile, lui infusant une iioiivctie vie.
goulle, lu Bciatlque, etc., et leur» conipllUo prlaun.
proxiniitc d'un boiiri.', dans u
calliolii(ue pralifiuanle pour
et Mardi 22 Mal.
callons.
Mcllnc
C'est ainsi (LUC la Crème Tokalon donne à l'èpi- rayon de (iuel(juc.s lulouiétrcs •Mise A prix : 7000 I r .
Clialcau environs .MorUix.gé""Y
P0Ht-Cl0i.K
de
jeunesse
:
dernie
une
cionnontc
appan-nee
C'est ce traitement nul oat Rclenllflquedo
la mer ((i a 8 au piusi et Faculté de ti'alier avant l ad riciKus recommandations.
!
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judication.
meiit appliqué A rinsllhit Anil-Arihrillque
Les trains périodiques N " 15C et ir,i ello cllaee les rides, pattes d'oie el autres inar- ayant pavillon ou aile compo'. Oongrio do la Jountiio Oathollqut
,
V"" dotiucrdavlJ, Carantec,
M. Minière, euitivateur A Mellae, pos- entre Lesneven, Plahi.nnec, Lesnevcn, se- ques de l'àgc et, rn ralTeroiissant les tissus relâ- sée de deux ou trois pièces
de Kranee, Il donne de si brillants résui.,<
i Pont-OroU
473.'
de M' y 11 ré, notaire à d'uiistcie).
lals, (lu'Il esl déjfi connu dans presque sède une maison A Pcnn-Lan, louée u la ront mis en circulation comme los diman- chés, clic tend A l'aire disparaître les plis el libres de suite pour vilicgia- Elude
Plouvorn.
^ 'î.e Oongriifl do la Jeunesse eall.ollquo du toute la Kranee, Ouire que ceux qui souf- veuve Caille. 11 y a quelques Jours on ve- ches ordinalrc.s.
bajoues. Dès les ))remières applications, vous ture.
r.'iiilon, réunissait un nombre d'adlu^renls frent depuis des umii''es, y tniu\cnl lrè.q nait l'avertir que la porle do celle maifi^
coiislalcrez que votre peau est deJA devenue plus
Un bail en cours pour la
eliùlcau
nul dépassa toutes nu."! esp''rmiceR, surtout rapidement une guérl-,on complète. Il faut avall élé enfoncée cl arrachée. Cel acte iKT Le marché de Lesneven étant reporté au douce et pliH iis.'ic el que votre teint s'est éclai rci; forme
ne serait pas obstacle A l'cuvvu prés bourg Plou-UmDaus
ména^'c liom. Iles maiD4
mant (lunuOo lu plulu ueriistanlc de U lua- ajouter que ce trallemeiil ne présente vandalisme aurait été commis par une hando Mardi 22 Mal, les trains périodiques el- bienlot, vous serez cinerveiilce de vous rendre à l'achat.
aprè.s
seront
supprimés
lo
Lundi
21
Mai:
orn.,
Isacb.
cohd
llni'i'.
do
.jeunos
gens.
aucun danger, ne demande quo quelques
S'adresser au bureau du .louissanoe au CO septembre eiiip. hasac rc, fem. lib. ou
Train l.')2, do Lesneven A Plabeiinoc ; couiiile que In Crème Toltalon vous a embellie
[i^s !» licurcs, (l.ins la l)elle
do mlmil.es à chaque séanoe. n'entrave en
M. iMinlcro u porté plainte.
oiir. Rcfcr. exl;?.
mi^
jouriiiil avec timbre pour 1023.
133, de Piabennec A Lesneven; 111, de et l'Bjeiinie d'une façon frappante.
Pour visiter s'adr
["ont-Croix, Bc n'unissaient bien près do rien les occupations du malade cl, est ù la
L'n
essai
de
Crème
Tokalon
ne
vous
coûte
rien,
.1710 •M. .Mouster, l'ranvois pour Sad. nu jouni. avec timbrrtt
iransmt.ïsioii.
Urinnogan
A
Lesneven;
145,
de
Lesneven
Qiicrriou
10» lioiiimc» avant r^poiulu h l'appel du portée des moins forlunés,
pourlraiisuiisslon.
à Brigoogan; 253, do tA'sneven A Plouescat; car cetto crèmo est vendue avec la (farantie
traiter au notaire.
lortiilo l.t représentant presque toutes les
Jus(priel, Jamais hemlilaliles résultats
Vol da pailla
formelle que lo prix d'neliiit vous sera rrniconnais234. do Plouescat A Lesneven.
ominiineM du cantnn. Ilem.u'qui» lo proupe navali'iit été obtcmi.s el l'on peut dire
liourso sur simple demande si elle ne vous doncuisiUi'
pour Urest A U Presse libérnlc du Finit'
Kn
outre
les
trains
supplémentaires
eiM.
Lacroix,
ordonnateur
du
bureau
In l'Ioz.Hot eomprenant iia J''unes (,'ens. maintenant (pi'uiirès la rage, la syphilis et
ne jins eiitièrcsatisfactimi sou»tous les rapports!
est deniaïul.'e A On demande coniinefe.lilere
fl'oii* suivirent nveo boaucoup do reeiiollle- blim d'autres maladies, le rhumatisme, do bienfaisance, avait acheté récoiunient aprcs seront mis en elixulation le I.undi un ecrtilleat de garantie a cet cITet est Joint A lionrL'ooi.-e.
niotcl
de
l'Ouest,
A
Poiitor
21
mal
1023,
entre
Lesneven
et
Brest
;
me
de
chambre,
une jeune
1.000
ligs
do
pallie
en
vue
de
la
réfecllon
our
rnonl la me-vio dilo & leur InIcnKon par même ancien, est aujourd'hui déllnlllvochaque pot. "V'ous la trouver» dans tous les
(Maiicie).
pi'cs
le
.Moiil
lille
s,iclia:it
1
1
1
1
peu
coudie.
d'uno maison en chaume uppurlenant audit
a_'c, etc.;
IM. lalii'O liu l'iipe, profcJseue au l'olll- menl vaincu par la st<ieticc,
!• — fie Lcsiiercii à Bresl
lions magasins.
St-Michcl. lîcféreiices exiyci'B
Prendre adresse au journal. !i tr. le kilo.
bureau, cl louée A Mmo Harnay.
(iiJinlnalrc,
Lesneven,
départ,
17
h.
15
—
Le
FolConsull. I.undi
mal, Lorlent. Grand
Tandis que l'ouvrier réparait la toiture, goel. 17 h. 21 — Le Dre.niicc, 17 li. 32 —
N. B. — L'n Ires 'grnnil aenniagc ife la Crème
• A l'Issiio do la messe, réunion !\ l,i P.tlli' Ilùlel di's Voyageurs, do i;i ù 17 heures.
la femme Ilarnay ii'emparalt do tous les Loe-Maria, 17 h. 40 — Itavêan, 17 h. 50 — Tokalon esl cei lainenienl qu'elle ne laisse pas
lu Palronage, sous la liaulo rtlreellon di'
Manll 22 mal, Breat. IPMel rontlnenlal, débris
de
pallie
qui
tombaient
A
terre.
M.
In
moindre traee de liiiaiint, tout en faisant
kl. 1,0 ttuusuucn, directeur <les (Wuvres dn 10 heures A midi et do 14 heures A
Piabonnoc. 17 b. 54 — (Jouesnou. 18 h. 14
Lacroix lui défendit do toucher ù celte — t.n Ilufa. 18 h. 2» — l,ainb('-/.ellee. mdliérer la poudre d'une façon parjaîte; de
lloeiianlni.s 00 .leunessi', usslsto do M, le n heures.
menue
paille,
qui
devall
être
revendue
au
flua
elle n'oecasionne Jamais de pousse de
uur''.d0>en do Ponl-Croix,
Mercredi sa mal. Qulmper, IIiMel do urollt (les pauvres do la commune. I.,e3 (arrêt), 18 11. 36 — l.ambézellco (gare), tUuieU et n'irrite pus Véjiidenne le plut dilicat.
i0
,|ians cette Biîaneo fut d'ahorilrtonni?un
Kpéo, do 10 heures ù midi et de 14 heures travaux Unis, M. Lacroix ramassa tout ce 18 h. 40 — Brest, 18 h. 50.
'ifiniplo rendu des associations
tfla17 heures,
2* — De lircsl à Lcsneoen
qui restait de paille et la remisa dans tm
Tîrest. départ, 1!) h. 20 — Lambézcllec,
local dépendant do sa maison, et voisin de
F O N D É E en 1 9 0 G
M,' l'.d.liil .ludit nous parle du pa(rona(«e
L-mSECTICIDE
la maison de la femme Ilarnay. Ccllo der- i!) h. 31 ~ Le mifa, 1!1 h. 30 — Ooiies»l'Ai|d|rriie, et fnll russorllp d'iino ninnl6re
C.APITAL: 1 0 . M I L M ( ) . \ S de Francs Vl-l^SliS
11011,
1!) h. 52 — Piabennec, 20 h. 07 —
COLtiERT
nière s'entêta A s'introdulru dans ce local
Mr.'s eluiro et bien dijvoloppfo tous les
Havêan, 20 li. 17 — Loc-.Maria, 20 b. 25 — les détruira en 10 minutes, même les œui
po.ur y dérober la palllo tant convoitée,
Jivunl.iHoi quo la lounesse |iuul truuvor A
Le Drcnneo, 20 ii. 33 — Le Folgoiit,
Siège Social :
.\i;r„rr do Ultl':sT:
.Walnto a été portée contre elle,
c Hroiipi r, il.inn les ôchanKCW d'IdiJcn, do
20
h. 40 — Lesneven, 20 h. 51.
l'nllnienis, d'eiitr'aldo môme, «ou» la Ul8, R u e J . J . Rousseau — N A N T R . S
15, K U K UK LA. M A I U f E
Scal'r
QlllMI'KnLE
2» - L o m a r d i 22 m a i 1 8 3 3
•>i'i'il'in de maîtres lielaln's.
B U R E A U X
Les trains périodiques ci-après seront
Krapriitaira ot locataire
Apres lui, .M. Yves Ilarlou, do Ilou/oc,
Lai'oou oouoou
ÉTABLISSEMEMT THERMAL
M, Hue .lu rol.,'o; i. U.'pré.seiiUnt : M. I.K ftniS fils.
I.KS\KVK.\
mis en ('Ircujalion lo ,\Iardl 22 Jlal en raiJiniis dit, nveo beaucoup do lustcasq, (|uel
Le r> courant, M. René Le Goff, culilva- son
Grande
Place
—
LAI: L'KJ.
du morché do Lesneven:
l'Ii.'ii ueH nssoelalliins lUulonl oppolilcu (i
Il y n quelques semaines, le Courrier teur et son locataire llluillaunie Le Herre,
SAI\r-Hi:.\'AX
Place d,! la Mairie
M-: tj.
lilro ii.ins les cominiineH ruralua, oi'i les du /'iin.'i/ci'e, ripostant aux Coffrant de la comparaissaient devant le Juge de paix.
Train 152, do Lesneven A PlabenncO ;
LAXUlVIilAH
Hue de .^.liiiM'id
—
H \ N'O '.
inilssi'M souvent OlulKniJes Ica linoN des
défense laiqiie n ((ul usent afllrmer quo Tout ne s'arrangea pas enlro eux, paralt- 15:i, de Plabennen A Lesneven; 144, de
I.A\UKI«MCALI
LI-;
I. . 1'' Aimé,
'.'U,
Ituo
de
la
Itivc
Eglise se dûslnleressa toujnur'i des mal- 11, car au retoui- Ils se rencontrèrent sur Itrlgnogan A Lesneven; 145, de Lesneven
iiuhes laissaient Isoliiea pua mal de liuiilics
i.i: L d T .
IIAUl'I.AM
Hue de l'l';i;li.sc
liourcux, leur posall celte question:
kolonb'H,
A Urignogan; 253, do Lesneven A Plouesla
route
el
échangèrent
des
coups.
Ce
sera
PLOL'UALMI::7.LAi;
Houle
de
PI
Connaissez-vous beaueuup do villes do une nouvelle occasion pour eux de conipa- cat; 254, du Ploiioscat A Lesneven; 155,
•f'ell" ^('•ineo Irrmini'e, un banquet (oui
jr.imlll.il n'unissait les CnnKreHdlslei h l'Iirt- quehpie Importance m'i vous u'ooeupiez raltru devant lo Juge.
(le Lesneven à Salnt-l»ol-do-Léon; 102, de
Paiement satis/r.iis des coupo,—
fj,-;,
'le /.>,„() • Iiileiris
li'l (lluaKueii ni'i |,'s Httendait un oxccllont pus, tulH do vilains enuenus, di'S établlsseSaInt-Pol-dc-Lêon A Lesneven.
Uons A échéance à I an, lntrri-t.< j,
: davar: r> 1/J V.
Vol
ncnls édlllés par l'Kgllse nu les Congrégalll.'Ienner ; uno l'ranelio cordlalilC, dans
•
Pour
les
heures
de
passage
dans
les
ga'l'ouies
operalious
de
liourse
el
d.
namiae
l'ordre lo plus parfait n'n cosiiC do riJgnor llons: (Voles, liospiees ou nulles refuges,
Nombreux Hôtels et Villas
.lean Mon, 45 ans. Journalier agricole res, so reporter A l'afUciio du 0 novembre
vt
011
les
déshérités
de
la
vie
(Paient
uel>cudaiit k rep.is. Au desHcrt dm clianitont
sans domlelle fixe, a été arrêté le 8 cou- I U 2 2 .
lÉii
^ g t a i l e
AOJUDiCATiOH
AUX
BRETONS
AUX BRETONS
AUX BRETONS
Ferme it KEROUENT
A VENDRE il L'AMMBLE
ON DEM.
ADJUDICATION
UNE MAISON
Iluiw
ADJUDICATION
3
ADJUDICATION
l
ADJUDICATION
ADJUDICATION ;
VENTE JUDICIAIREnJ^rv^t^'l^^
Chaussures RlVIÈRE-i
•
'A VENDRE
-
UNE FERME
A VENDRE Tesê'îi'^'
EMBELLIR
RAJEUNIR
ADjlïtioN
MAISON A VENDRE
Cuisinière
Papici' blanc fa"
BANQUE
MASSIOT&C
RUnAISES
<
VICHY
Ouvert depuis le r Mû
» Ur«lcr
ll.'iK archer
lien n'u o'Iiar
Wur un douar. >
gcmenne nr c'hclou cpountus ma 'z co
niuro cur mab.
Ar vninm-goz, deuet dn veza pounner-gleo Rant nr gozni, n'he doa kct
I I , — E u r c'helou fall.
F.vcn en doa .sonjcl c pei) trn. Couklevct mnt ; edo o vont dn c'houIcnn
xout a n n cta no yen kct ench d'al
dignnt (iod pctrn OR n nevez, pa 'VI'elus
li'«cnn on rur xlslrel nn dour war c
Eun devcx nilz kcrzu;' 'dn firelstciz, ar vnmm, lie fcnn ctre he dlvrcac'h, o
brnt, rnk kinnigct en doit an digoll d'nii nmpoent ma ctio Evcn, bet gant c tifronkn wnr nn daol. Hng he komprcd'iir .Irxvkel,
vugule o c'hounlt gwlniz, o pnouez dls- uns rnktnl. N'u lavaras uciuet cur scr :
, — Mul 1 Sirphan, kiro d'ax (ro : ne
Lnliournt a rcjont n-)!cvrl. Abcnn an
— Pchlni 7
f O kct va ^varclnlll lia nie 'lit bo Ua noit un bantor rus iir prat n ua Kwnzlct, tornla e gezeg, nr fnktor n xlgouexas.
.— Kelelcr zo, cmcznn, en enr dcnna
— Kou...
your I .Soin Ivr* vn «cr «llwciu,
Iûr wnx vrii.soc'li u xl^nsc nn dour hng cur giirtennig vclen dlotiz c zac'li. Kven,
Eur c'IiHrmig vonn-vonn, gnrm eun
(;\vol<<| « vo I
11
0 rnnno olro nr «'niioulitou. Da nentu n oa o wnic'hi e xnouarn cr veol harp hclxez tlzet en he c'haloun, hn difrontîwclcl 0 vo t
1'
nn dour, dnoust d'cuan (In vexa loua- ouz nn tl, n zirrnmmns dlgantun nn kndennou 0 hijns he nsgre. Ne ouele
(•,,. i
,',, nus, n dcuo aousiudik-goustndik wnr 0 tainni napcr hep Inret çrlk.
ket ; ar vanimou rc goz ne c'hellont
' Uuit itcvri nniiilfl Iciii, ^vardro pcnu lerc'li : au tlouar n cve clcli!, Nemct
— NVo kct dfgant nr «notred co, cmc- kct ken goueln.
ikenU inU Uu, Uvcn ling lîitrii n «liiolax «vol ma oa diskcnn qnnt nr prut no oa znn goudc bczn sellet ouz nr skritur.
Evcu n vàice du-man du-bont, o klask
mcb n vnMranch \viir o Kkoux liag n kot c'honx cchu o labour hug an dour
Mont u rcus da dapout e lunedou wnr cun dra bcunag da ober, cun dra benk!ei(lcra« h«nl nr c'hàii e |)clcnc'li 0 on a Iwuliho oncxo kainmod ha kainmod- .rizcnn r 'v^'cle, hn war drcujou'nn nor e nag da dapout evit tcc'het pell dlouz
(ar foeitne^. Hlouur «« an auixor du
An dovcx wnrloro'h 0 voo pourvvnxiet. lennus nr gartcnn, Ciod a oo en c gl- ar skeudenii doanius a oa bco dirag c
ôïn r r mnrc-io f i n ttr liloni ; nr mou- Kn cur vont d'nr gciir, Evcu n Joinns chcnn ; ar vainm goz cr penn-all d'nn spcred ; korf c vab nstennbt du-hont
chlft-nve), 0 grcno bcg or yrot gnntnn, cur ponnad e krolt on ode da lollet l( n zllnpue t w z .
wnr nn crc'h, marvet cnnnn glacmcnn
I OR «vel floiirlg an n»nv d'nn douar. oux o labour :
; — « Skrlvn n rnn d'eoc'h cvit kcar valiez,
An dlskar-amucr nr6g mont huit a ro«
Ar vugale a oa en em Iakeat ouz taol
Mo xon], eiuctnn, n'hon dcus kct kol- mcnn d'coc'U eur c'hclou meurbed glnil'nr bed o lovciiou kaUra ; evel da bar< let hur poan.
dlrng o skadilll. Hogen da bep loniad c
o'barus...
D
ilatxlou o'houcka nn linnv, ar rlchodoll,
Uciudox Even a yca dn wclet ha ne
Eveil u drcllas c zaoulngad en c benn rankent seac'bi o daoulagad gant o
II laonenon, nr inclcgan n nljo a vod on kut lukcat freux eu c brnl, Eur xU hng a liorjella» wor e xlveskcr. En cm manch, dallet itta oant gant o daelou.
ria vod i an alo'hoiicaor, o plâiiat d'an xun a drcmenns hep novcxcntli Sctu n a hnrpa rankas oaz on nor. Cod n bcilAs Ar maro a zo cun c'hcvrln (mystère)
senr, a gane o xAn vrnva da zant Pcr, jornits an tiek bep mont wnrdro ar da neac'h an tl da ober eun dra bcn- ken efreizus ma ne Jom kaloun cbct
na kox nn yaouank aUeblant dirazan.
Evfn e 'uiwn, dal nin cal ont cr nica» wnx. Koulskoudo telr pe boder xlxun n a ^ . ,
lUouz nr n o n , en doa miittcl c brcde';oude 0 yoas «darrc da obor cun tnmm
— « Dcac'h mlntln en cur orzailh E glac'hnr an dud didroïdel-ze, «uspcnn
nr bonn iskis da goU ar c'big eus
'iou o tcc'bct, N'eo kcl litp bcia pouoro dre eno. Fldnuilouo t labour vrao Hou a voe glonxct cm c'hlcbbnn gant
oc'hig.eoa Ivexmarteze eun draljcnnag
i«l pia iK'P ira en don Rrkiat e tonj da oa gr6nt d*èxan, Lakcnt on bet eur m£u eun tcnn en b vrené'h.
Ulrcl ar ^Vl)l war 0 brni, Stefan, tna bras dn atankn otui nn dour ; nr ^vllx
Mont a ren koulskoude war nrAk. eus an aoun a waske gwechaU o znduu
JH en 0 wJr o tinac'h c cour, a vlje vras oa ilnnkct a-hed ousnenn dek 'Met eur volcd a strakas tost d'con^. pa varve unan k a t d'exo pell dloux ar
Voue.nl da gon ap Iraou dirng al Ici- kainmod. Ne oa ket trawoic^h c'hoox. Me voe tnolet d'an douar, «abntuct. Pa vro. E nnnon paour a Jomfe da c'houijyarn. Eur 'wceh cat war an htnt-ie. n'or Ar Jexekel en doa klcuxct dounnoc'h dettJoUn onnoun va unim e wcllz Kou zaïiv betcg deiz nr varn vras Ucp knout
«et evil dont kcn war ar c'hii :. mont c wax 0 unan ha great cun toul! bras nstennet to»l d'in, eur goull en e c'hou- mor.iB eul leac'h do ziskulx e izill :
1 rèr a vnreo da vureo, a otcr da otor : e korn o brat ; dlOsoc'h n-xe e vljo d'ar ïoug. Nebeud goudc c voen knsot d'nr evelse nnoon ar re veuzct a ya, n ya,
ur baperono a -c'houlenn eun ait, hqu> Pennanxler adober e labour. Bven n e c'hianvdl, hn n'ouxoun ket petra eo o ruz ouz traon islounkou ar mor, stoket oux ar reler Ictmm ha kasct bepred
tan unan e l u a i , LakIt ho torn t l>o folingalounaii ket. Keinent a tmor a la- deuet ho mab da vëxa... »
war arôk gant nert dall
wnrrennou
rrac'h 'od a veto fanto : evel un dor« keas ma r e d u adarre an dour, Ke re« ' An tammig paper-ze, machoufret, (couranta). Ra zoun ba rearclilan
ipreN'
oa ar
iKurvi
dat k«t pall, avat ; en duvet warlerc'h nanonxot, k * n dli» e lenn,; kamm-kar- felz eh o c'haloun evlt beta gwaxkct
non
• r a n k u itaf^.^darre gant al labour, rlgamm e linennou aroUdennet gant
int cur scurt aoun. Met karet o dije
ynr 0 Vbaaonnl ..evlt an < M * w â vav Anlronaa h«n.vei. .Beteg an. n«vei amxer eun d o m dlwUlek, dorn eul lobourcr
UIWW fQMTdletMkou
ttjfNwwiHn» • B « i M M hlV«l«(t S'AQMi» i I r M t «lloui i^'oarva^ «p t a n m paper dlstet'tiQ «
' t - n dira» s . t f a o u l a ^ koct. fi
3,
Ut Courrier du rinltl4r»
m nul r,ill3
AR WÂZ-DODR
?
h
nr mlntln, ni labour a vezc fregct nbcnn
nn uox,
mab, cvit gellout lilja wanian, liervez
nr c'hiz, ter gwech nr bodic beuz bcnnlget : kredi n rennt c vije bel e nnaon
c Kvvclloc'h stud (lu vont ulrag c grouer.
Knrct o dije bet kas ar c'horf dre nn
Iliz d'ar vered, b» rci d'ezan eno eul
leac'h dcrcnt dn ober nr c'housk hir n
bado kantvcjoii hn kantvejou : evelse,
d'o mono, e vije bet ciin lia kiok pcp
ir.i. Hogcp nr zonjou-zc ne oant ket
skicar en o spcred. Eun dra, tra ken, n
oa skicar évite : Kou ne deuje ket ken
d'ar gear ; ne wcljent ket ken unezan.
(".liom utiio hep cwelct e zrenim kurct,
hounnez on ar boan a waske anezo
drcist ar re-nlt. Ken cwlr co e vuzul an
don ar c'holl n ra diouz an diouer en
dcus, hep klask gouzout line cun droug
co e gwlrloncz. Diwczatoch pn vezo
haba.skeat o glac'har, bu stouleat dl(ronkadcnnou nr c'hig c komprenint
penôs' Doue n zo madelez-holl ha ne 'z
eus dreug-nll cbct iiemct ar pcc'hcd.
nremou e klcvcr trn ken ar c'hIg o
kicnim gant cun taol k m gldes ; n'o
dcus kct c'hoaz nn ncrz da lavarct ; Rn
vczo grciit Ho youl !
An delz 11 voe kavct hir bag al labouriou donjerus. Traou nr bcd-nian a zo
ken dUter e kcnvcr traou nr bed-all !
Hag o gwirionez dor nr bcd-all co n on
dlgoret d'ew) gant or c'hevrln-ze (mystère) : disunrti cun cne divnrvel diouz
eur
c'horf a rank mcrvel. Hep mnr
ebet nr maro a c'hcll bcza cur Vad d'on
hini a varv : ar zciit o dcus mail dn
lmlndl d'ar bcd-man. a zo cvlto eun
raonfcniiu n znëlou. Mcrvel c stad dercat, eno co cmnn nn d.tic'h. Kou.
dnoust hn prcst c on pa voe galvet ? Ar
zonj e c'helle o mab, c marc pc vare
eus c vuhcz soudard, bcza tcnnet warnnn kounnar Doue a vroude <t c'haloun
dreikt muzul,
Dloux nn noz an amxer 0 c'holoaf
bug ar glag « eji .cm iaikeas 4a gouofi^
â
munut da genta, lia pildour (la c'houde.
Scrret wariio an nor n'o devoe diducllalt cbct iicmet klevct ar Klao cr mcaz o
.skci war ar gwer a (taoliou stank hag
an dour o koucza gant nr Korzciiu er
veol.
Edo koan o tivogedi war an daol pa
nlevjot trouz boutou 1er lachet cr porz.
Frcstik goude nn nor a zigoras hag cur
vouez laouen ha yaouank a zavas:
— Drebct koan ? Me oa dcuct da
glask va Iod.
— Yunn I a lavaras c'houec'h mouez
a^gevrcd.
Vann a dnolas -war cur bank c vantell ' Rleb-tcit hng n yeas da ncac'h an
ti. Gwcict pe Rcntoc'h santout » rras
dcustu c oa dlgouczet cur c'hclou fall
bennag : dlês o« ar pcnnou. Divinout
a rcas hntl pa luvaras c vaiiiiii en cur
bokat d'ezan kalounck, o I ya, kalounck :
— Hcnian da vihanna a jom c'hoaz
ganen.
— Lan 7 n o'houlcnnas hen, n vouez
izcl, aounig ràg nr gwnlleur spountu.s.
Ilng c klcvns c vamm o larct cuu
hano n varvas en he c'bcrc'hen cire
dlou ztfronkadenn :
— Kou...
Yann ne ourlas ket. Rc voazct c oa
da glevct youc'hadennou n tioan nr rec'hloazet na ronketlou ar rc doc'hor ;
rc gustum c oa du wclct korfou nmro
astennet •war an dachenn poulindet en
0 gwad. Yann ne ouclas kct, met santout n rcas cun taol en c galoun u 1nkcas c benn da drclli. Pa azezas war
benn ar skaon dn xrcbl cun tamm asiamez gant ar rc-all, ha pa baras c zaoulngad wnr an arrcbeuri n'en devoe kct
01 levenex a ftavc d'ezan en dijc bet o
welct adarre ar gear. Ouz ar goulou c
welas ar eweleon-kloz o hiia,
e
krelx, an iioioraj e koat kelvex lugerPlu, taranrt wacRl fcniMm d barret-
hir ; ouz ar siuiiiial taiiiiiKui kig hag
anduilh u istiilhouc ; eu o.-ilcd kcllon
lanu ha inoudcd (ar iiioudcd eu doa
lieu troc'hct) o doa gicat cur bcm
glaou ruz, ha tost d'c/o ar c'Iiaz koc
goiirvczct a roc'bc gant c hlijadur.
Ha padal an traou-ze hoH, dcac'h
ober vad d'e caloun, a skuizc anczan.
I a oa o tout d'ar gear dindan ar claohras e oa fr(>alzel Rant ar zonj e o«
prcst da crruout cr Kcar.
Ar gear I tra c'Iiouck d'ar galoun ha
ne ouzoïnp mat hc zalvoudcgcz nemet
pa bon dcus tict dioucret anezi t Epad
dervcziou inouiis an talbenn. Yann nag
n c'Iioant en doa hct da vont d'ar gcari
Hcn a gave d'ezan c ua trawale'h aa
dra-zc da Iaknt eun drn da vcza ctlrux.
Ha sctu ma vclc e oa poaii ivez cr gear
cvoi du-lK>ii( war ar c'hiettziou : |nra4l
H-hoiit, aman (jlac'har. Ha Yann • conJ»
ennnn e unan.
Pe «loricd en doa great ar bc4 pa
oa skoet er c'hiz-ze 7 Hurluct en doa
l.)oiie diouz c Iczenn, diouz c vuhea;
klaskct en doa diskar nn nenr ha Iakat
ar baradoz war" nn douar-man : Do«e
a zigase d'ezan da xonj pcnaos hen eo
nr Mcstr ha ne c'hcll an dcn nctra Heb(tnn. Met i, l'cnnanstcred petra o 4 m
srcat da jaoha wnrno kounnar D o u a T
Ne oant ket eun tlcgez kristea marteze T Ne xentent Icct ouz gourc*hemci(t
non Doue hag an Uiz 7
An den a ya dall pa ne êv ken teel
e vouez c-iinan : red eo silaou* ar voaet
n zav cr c'houstians. Ma 'n 4IJe he si*
laouct Yann en diie tclevet aneci « M
ret : Arabat d'an oen embana « «MÉM
lea e-unan ; e zan,rlex n'eo ken
wlr gaoM hag hen eurjLiouf,d. An de«
n«r a gO|W< seh gwcchViiidefc j(bg M
t
ADa
êndOt-litél^
ti
il
tÉ^^HMRRÎER'DlI
ENFLURE
0E5
CHEVI|LE5
P.
V,
TT'OEA
''^NSNFJPUTIA,^ ARTICULATIONS
C O R 5 . .
iP
HAUTS T A L o ^ ^ f e s
^'^.pftR DÉFAUT
VENTE
le miu'di n h i l n I0S3, à U
licurcs, on l'otucie ol par lo
niinlslère du M- Cliarlo.<i Dancuy dos IK'Bcils, ootaire à
Baouias, commis i cet effet
et dépusitairo du cahier des
charsics.
Oieionation dos bitna à
yonilro .•
Promior lot
Au.\ dépendances du boiir?
d'Ii-vlllac, en ijordurc do l'ancioiino roule rovtiio,
^ e u R S OCCASION
ECOBCHURES
tiNTRiitaooioTâ
_ (lo M' Paul-Huet, doc!(!«• on droit,''(successeur
do feu M'.Sorgnlard), avou(ï
, A Ure6t,-13, ruo Voliiilrc, de
M- Marcel l^nrlos, llccnciiS
en droit, avoué h Mrcst, 3,
ruo Amiral Udvcillti'o, et do
' M* Cliftrle^ DHntfuy des
IXSRcrtM, nol.iireà Daoulas.
,
UNE
NE SOUFFREZ PAS OES PIEDS
Il
P E P P
I
O'oat
le
de
LES CHALEURS
moment
vos
de
divers
vous
débarrassep
maux
de
pieds.
Vont n'avoi qu'k falro illssoiiitrc une petite pul|;n<>s do Siiltrntes
nodoll dam un bnln do plodii ciiuud Pt voui tremper Ici picda pondont unDdbiiiiin do nili\ulci dmiH cotto caurciiduu miilU'Iiiulcct Iie6roniont
o.xyKiinée. Un bnlu «In»! pr^pur*) opporlo un nouliigonicnl ImmiSUInt au*
pire» laurrrancM et (tuirU mpidemont les divora uinux do plodn vauid*
pur la olmleur. 1* futlgiic et la pri'SKian do la oliunnuuro : touts
enliuru ol inourlrljsHrc, toulo ncinmitldn do douleur et do bt&lura
uUpurnItaonI oummo pur oiioliantcmcnt. •
Loo Snltriitc» Itodcll inmolliKcitt Ion durillons Ion pUi!i i^paln, Irx cnri et
niiireii rnlU>sll6A douloiUoua'cii (i un toi point qu'Un puiivont {lie enlevés
facilement iinns cuyjtuu ul raiiolr, opiiullun toujouiii dnngcrcuso.
Do par HCA MaprlolOa o«eptlque.i, Troa sullratùo provient et combnt
«nicacement l'InltAtlon et lu manvulnn oileur d'uno trnnHpIrnIlun oxcesMve. 1)« toln hiilna riimeltent et entretlçuQcut les lilcdii Bcnulblca «t
faollemrnt endolurti en purrntt étaf.
Le» Sttll'raltii Hoilett « tinthiit il un prix modlt/im dans loulfi It»
tenue» plturmacU'u. UtJ'umi <ou<n conti c/açont et cxigta tUt
i'allratei.
DÉCLARATION D'UN PÉOIGURE BIEN CONNU)
« J'kl irouvi (iMiin loi Stllpaiu nedtll U meyon pour
louligtr «t nuirlr rupJitclntnt lot dlvcr* maux d* pledi
dam an •aufTpo giniraloinent par «ull* <1* «olliiH*, d«
ppooilon» d* !• chauuup* «t d* l'iohaufttmtnl qui «n
ratullt.
L, VITHAÇ, ^ '
80, P«Mngo (Ici PrlnCMi railf.
iDsiiior i S l
n
E . B E L B É O C ' H ,
INGÉNIEUR
Fondour-Conotructour, à X - A N D E R N E A U
TAILLEUR
=~ Coiisiruclion eu siifics :
do la mci voiltcuso pctilo BRABANT l i connue
8 cr 10, quai de Lion
U'eÎETTEUSE
prévient sa nombreuae
Ollontile de l'orrlvnco
de C H A P E A U X pour la
oampugno.
— Trt'3 Icllv qiia/i'M —
PniX
AVANTAGEUX
Etûïïê.s do M' Louis GOIObui-t.
iloricur en droit, avuuo ù
lirosi, nio du CliAtuau n*
•t do M* Diirjou, tiotairo ù
tosnoven.
VENTE
Tl
En l'tMudu et pnr le nilnis
l i r e do M» IJuiJou, iiolnli'o (t
Lo.sni^vcn.
1.0 iiiiu'iii 19 iiiiii m u a , u
t hourn ;;0 do riiurès-inldl.
DliSlONAflON:
/ '
Lot unique
Kn la (Oiiniuuo do SnliitMti«<ii.
U f i r n o dePiB-ir-Qttiir
CoiislBtantoninulMoiiCk'VOu
•ur l'CZ-riP-cImussiT, d'un » taev,ticurlo,(il nblo, souo, r rnng»,
Tq tout bouvort en avdulsiifi,
«Ire, vaux, polit Jnnilu et Is(U08, oiidaHtrito Hocitun A, ii"
814 et 37t bis ooulonaiit.....
3 a. CO
l'n oliunip, dit AlIilort, «oatlon A,
13 a. SO
w 37;i
Un autre dit i>ari>
Ui'ne, section A,
63 a. 30
n- 3M
un autre dit l'aruor - IVat; Bcclluii
A, n* a:i!i
33 a,
t n o pralrio (autrefois en dcUN), suctlon A, u" a37 ot
33H . , ,
i : a. »)
Au torrelr do l'cun»
toun-Vor,uno puroellc.dlloaoaroinar • Gi'flo'h, avuo
unovonellodeseï"
vifudu h I £4t, suetlon A.
U3I
S7 n. 10
Avi mOino lieu, unu
paroc'lln dlio Lannoc-nrOrao'li, soc»
tlon A. n' 8:0
I l a. SO
Au tiuT. do IMoiimt'
no\i, une pk:co du
terre, dlioUearomVoaii - l'on - l'iou, miinpu, stellon A.
«•50»
4C a.
Au nord du nrOcOdent, toii'fllii «t
portion do prù,»oci|on A, 11- k'8 p.
8 a. 40
Contonancototale'J li. m')". ïo
Alise (t prix: Six nilllo(ianci>,
Ol, U.OUtt f f .
Ct'itJ vonto a lieu on vertu
d'un JiiRcniont ronilu par lo
Tribunal civil do Hrusl, lo
avili l!i.':l, onrrgistrA.
A l« requête de i
l'Mniu .Marlii-l.oulso Féroé,
«t M. Lauront Tbiinaut, son
mon, oti autoritù, cultivateurs,
fi- ^demeurant
onncMnlilQ nu lieu
du Un, Cl) Tri gai niitco i i- M.
i'AuRusto l'oroo, Oroiix dodaniu
Mnric-i.ouiso Lo Vcrn, cultivateur, demeurant l\ Kcrvolln,
en i'iouldor i 3' M.i AUKUSIU
t e Vern, oplibntalro iniijcui',
ouItlvatiMii', demeurant A l'onlan, en Snlnt-Mcon ; 4 Î, Yves
Lo.Vcrn, ciilllvntouv, veuj do
domo Mario.-.loaniio l'éroo,
Mlssant on (|uaUt<t do tuteur
1461)1 do.Aiitulnollc, Oabrlvllo
«t Ifrançols L« Vcrn, ses trois
ont&nts minours, Issus do son
dit, innrinKc, demeurant avco
lui & Ponlan, on iduInt-MOcn ;
6' M. Yves Jjùost, (lultlvwtour
demeurant (k GrOao'h'.MIIioo,
«n PluunOventor, naissant on
ifalltii do'tulcur datll <lo Vlofrlno IjOost, nilneuro Issue du
noriago do M. Jean-Yve.i
léest.aveo danio Mario-l''ron«
flolio J'Oroc, tous deuxdOcùdés.
Ayant M» L. OijlObart, pouv
••vourt.
La vonto aura lieu on pr()tenco do : Al. Jeun-Mailo Lo
yorn, subionâ tutour ml-lioo
demnlnours Le Vorn, ot do
.Mmo Jeunno-Aline lîdarn,
. veuvo do M. Fronçoli tiost,
eubrvf éo-tutrlco nil /ian do là
Mlndiire Uost, ou eux dOmont
eahler do« oharaos, olaii*
et eondltlons <iu lu vento
t d<<potu on l'dtiko do M*
irJou, notaire U LoHnevoii,
,00 l'on peut ou piendrooun*
Qunlilô B B , Mira riiistanlc
IIORLOUERIE -
L 47,.
«ALCYOll»
00d'Huronio j
tant
132
145
tÉttr nalûrçi tthV
&
'ét 'léflil"(l
Ca'.harino èt î- Nlôflas Mçr
van, SOS deivx onfattts mlDourj
nés dosôndltmarlàsfo î 8; M
Fronçols t o çarfh,'.voui d]
ÂQ()IO MOIIO-AQHÂ I^Î'DR^TL
oux rti
dalilû mlïltali'e,l)ôurrollor, dfi^
mourant ii DciOulas, àglssatit
au nom ot opiïimo tuteur datll
du mineur Maurlc
ton nov eu, uû du
feu M r'rançols
do dumo Marie-Çathorlno Le
Cann ; 4' Mme
i me .Catherine l'ago,
vou\o do M, Not'l Lo Cunn,
employée aux ehomlng do ter
do
l'Ktat, doWlourant ii
... l'Ktat
ruo de i]ollcéh(i.^so, i
ngis.sant tant CH PH^Û' nûiri
uu bosoln qu'au nohi
eolivmo tutrice naliirollû cl légalû
de Jeanne Lo Ciinn, sa lillo
mineure, née do spn dit ipU^
i'ia«e, autres lûtéfe^sOs ayttht
iiour avoué M- Alarcôl 130rlt!|,
llooiiclé
on droit,
av()u
élection do domlcllo on soh
etudo siso Ct brest. 2 ruo Amiral ilévoilléro, n' 3,
La dito vonto so fera commo
11 est dit el-doesus io mardi
dou/.o Juin 1023, il 14 heures,
en l'étudo et par lo mlnlstéro
do M- CiiarUs Danuuy des
Déserts, nolairo il Daoulas,
commis il qot effet ot dô|1osltalro du oahior clcs charffos.
ISn présonoo do : !• Ai. François Lo Cann, voiil do damo
if.-A. Kordraon, époux do Mario Dourch, sus-nommé, suliroKé-tuteur dos minours Catherlnc et Nicolas .Morvan, et
do lu niincuro Jeanne Lo Cann,
sus-nomrtiés ; 2' M. Ilené Hcblschinguo, employé des ohortiins do ter, demeurant ii VorsallIeH, ruo Dasso, n' 37, subrugé-tutour du mineur Aiaurlco Gulilorm aussi sus-nommé, ou eux dûment appelés ou
renrésentôs.
l'ait et rédl,té par l'avoué
poursuivant soussigné il Uro.çt,
lo 30 uvrll I0;3.
i'aul HUET
Pour tous l'enselgnomonts,
s'adresser à .M- Churlc.s Dancuy dos Désertë, notoire ft
iJaoulas, et il M " lluot et Borlos, avoués il iirost.
4727
l&i
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lOOATiOM
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-
— T i i o p h .
s
La Quincaillerio PfiRAN
s a , ruo Joon Jnurûa
— ^
BREST
« e recommaado
de
avec
NE PAS CONFONDIIE
par
son
grand
i g u i s i n i è r e s
tôle
et
porte
boiSj o u AU
sar
la façade,
choix
f o n t e
marobant
au
charbon,
U HAISOR gartnlil tia appateila et tt charga di la poia
Livvaison
VOIR
NOS
RAYONS
FEMIIiES i
a doniicda
TOI. a-3fl - DREST
SOlIFFBEZ
|dn,Walndlfl« inlérlourita, HA(rl<e,t'lhranio, nAmnrrn-j
I ajeii, aultea de CouohoM, ovai-Kou, Tumeur*, l'urlua
I Elanolicai elo,
,
R E P R E N E Z
O O U R A Q B
I bar 11 existe un romAdo inoomparablo (|ul a sauvri dos
I milliers do mulhourousos eondamnOos à un martvru
porpituel, un roinùdo slinplo et Jacllo, qui vous «uOrira
I laromotit sans poisons, U'ost la
'
JOUVENCE DE lABBÉ SOURY
I
r X i n i I S qui SOUVFRIIZ, nurlox-voiis esxayd tons
les. traltonionts sans rOsultnt, iiuo vous n'avez pus lo
(Irait do dôHospuror, ot vous dovcd,
Lao'«at
JOU
VENCE rfbti SOURY
le aaint de U femme
I
n M M K S qnl S O U r F H B S . do nâlos lrrtuull(ircn, arannipai;néc« do
oulours (tant lo vontro ci les
Ido Migraines, do Maux; (l'Uslomao,, do constlpoilon,
I VortItfOsi l'Uourdissomentïia, Vnri(!C8, ilCnwrroïdes, oto.
I Vous nui eriilunoit la aoàceetion, les Chaleurs, VIL«ocldonti (il»
l U E T O U n U'AGK, fallee utago do la
S
,
JOUVfUCE DE LA
' BBE SOURY
[qui voil* KUt)i'ira Rflrdhiont,
îVLTiXvcttLÉ'à
118 kilog.
ORANDCHOIXD'HORLOGES&REVEILS
DaitiioM do
flancnlIloH,
otievnllèro»
nlItunouH, nrtlvIoM |ioui< ondcnux
Jllcliers de léparalhni de monirct, ptnduUt, hi'ioux
[irosMf pour tou* ronsellonti » M't5(5l«l)iir», aVoud
, ^ , M T B L b l l l l t
;
• • • • • t
Il• • •• • • •
»
fc iStnovfln "'j®"'
- . .UOKliKHAHT,
acclvur en <(roJ/, auoiid.
Mise ft prix ; Trois cents
francs, ci, !IIH» fr.
Trolalème lot
Au lieu du Veiliéneo-CrOis
et dépendances, on la coninnino do DnoulnM et par extenblun en la pomnuino d'irvllluv, iiiio fei'UKj portée au
cadastra do UiuiulaH, seelion
unique, sous les II" .'j4;>/l.S7,
IDl, ;i37/l!lî, m . !i3i;/20H, 'Ml,
21,1, 2M, 22'.', 22). 220, 2'M, 225,
'.'2îp, ol au cadastre (l'irvlllac,
sectiini l', sou» le.s n" 1, 5, 0,
et section G, sou» ios n» 50),
fiUO, 5*0, iSC, 6S7, 58f-', i83, le
tout contenant sous lond environ !) hectares.
Lo tout loué Jusqu'au.2n soptcmbi'o 19'JO pour 700 fr. l'un et
les Impôts,
Mise il prix ; VinRl-oinq mil
.0 francs, cl, Uil.OOO tr.
1
Quatrième lot
Au llou iiu S uiilunoc, comnuiiie <lo f)uouln.>i, une maiwoii, (U'c'^ciics, Jardin, chartip
ot prairie pories nu cadastre
do Daouins, section unique,
sous les n" lui. t'JC, tii7, 198,
101), i'JJp, 537, 102, iOip. ,140,
187, 'JOOp, eoMtonaiit environ
37 ui'os S7 ccniiures,
Lo tout loué Jusqu'au 29 .«optomliro lOJO pour 110 fr. l'un
et les impôts,
Miso il prix : Cinq mille
francs, ol, li.OOO fr.
Ccdo venlo a été ordonnéo
p.ir un juaeinont du Tribunal
oivii do première Inslaneo do
Uroit, on date du vinst-noiif
novembre i'J,:',', enregistré, rendu, il la requCio de;
Mmo Jeanne Lo Cann ot do
M. l'"rancols-iMario Lu Cunii','
son inuii, agissant tant en pVivé nom au besoin que pour
l'usiislor ot l'autavisor, |es
deux culllvatours deoieurçnt
ensemble .TU Vclilénfic, com;
muiio do Daoulas, .l'yailt pQjlr
avoué
M' I\>ul fluef; (JoctJlir
en droit, avec élecilon do domlclio en son (StUdo M.'îd &
Bcest, rue Voiialre, n- tl;- -(i;-'
lît do
iMmo Mario Lp
Caiiii ot M. Jcan-Maiiç Noi'(hand,
son
mari
on auloilté
etV
UU
VU llà.VV,
two VIUUi
oullivateurs, (lemeurant diU
semble ii irvlllao; 2' M. LoulS
Morvàn, veuvo do doi)|o l^rl'o;
Eludes do M" Kerbiû^cli et
Bidiâu,notaires & Drieu, et
»tar<;!er, rioUiro a Châteauliii.
E n j i s s i o i j
d ' O b t i g a U o n s
7
d'Emission : 5 0 0
francs
Intérêts
payables
soit net à verser ; 4 8 2
fr.
d'avance
50
Oljllgalions remboursables au pair dans dix ans, avec droit do roinbour.somcnt
anticipé en totalité ou on partie, ik dater du 15 novembre 13:c, soit par vole do tirage
au sort, soit par raciiat en Bourse.
L e s souscriptions sont reçues ù l a
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Etude de M' Provostio, nolairo
à l'ioudalméxoau.
ADJUDICATION
•21 mai f.l'iU, ù 1 il. 311, de la
EN EVERITE, ou ciment amianté :
Ardoise.', tûlos ondo.I' o< puur toiiui os, [rr.i:.;:i.'5 louillcs platcs
pour pialonds, oioisou et inui» i.iiniiiio-.
Tuyaux oimont,
L ii'uihù, >.
ot!
S'ADKKS^SEIÎ aux ETABLISSEMENTS SPECK, iO. me
Jaiir.'s lanoiunno nio do Pari.s , HUIC-ST.
Dotilo fci iiie du CiOt;iior, on
I>Ioiidaliiié/.caii, toiuio pur
(Jiiéniénoiir Ju.sciu'uu 2U soptenibro proi :liain.
Mise ii prix ; 3.;!00 fr.
iîtudo de M' Provoetie, nutairo
à Ploudalniézeau.
AOjyiJiCMiON
i'ao;;:
en l otudo, le SU niui iU'JJ, ii
1 h. 30.
lin .Suîiit-Paliii, Boun-feriiic. au iiivndi], do -i h, SS,
iouéo il (iuéânlon, 701) Ir. et
l'inipùt, divisoo on 2 lot.«.
Mise à prix : iiii.OOO tr.
En IMuiidiiliiiézenii.KouB
feriiiiî il Mozou Cru.,'»!.!!,
Iouéo il iiéiios.
Voir les allioiics.
4CU3
^
l'^tiule do .M' l'rovosiio, notaire à l'ioudalnié/.oau,
i
^
^
S3, a u , &7, ruo de La Tour d'.\uvcr4dc, LA\'
Tëléphono zë
Mme
Vvo LAURENT,
successcur
Spécialité de voitures
Chiiriliis ang|i:iit, girJini
légéres caoutclioutées.
Roues caoutchoutées
Road'Carts et Trotteuses
tous systèmes. ,
lEG'HED
HRÛGME
d'élevage. Dans la vallée du
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par U' minisière de l'Ar/ncullure
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décembre 1022. Il en résulte que le nombrc des animuiix
de l'espèce
bovine,
qui était de 11787,710 en lUl.'), et qui
s'était abaissé ù 12,250,820 en 1010, s'est
relevé ù 13,575.840,
Pour l'espèce porcine, le total de l'espèce qui s était abtdssé de 7.0:i5,85» en
lOUt. « !i.080,030 en 1018, s'est relevé ù
Û.10.'>.740 en 1022.
i'our l'espèce chevaline, le total qui
.l'était abai.isé de 3.220.1180 en 1013, à
2.232.030 en 1018, s'est relevé à 2.778,270,
Pour ieapèec ovine, par suite du
anque de beri/ers et de lu
diminution
des terrains de parcours, le relèvement
a été plus lent. L'effectif,
qui s'était
abaissé de 10.t31,!l{)0 en lOn,
à
8.000.000 Cil 1010, ne s'est relevé qu'à
0,782.420,
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1
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40
41
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yn en l'oloiino et en 'J'clièeo-.Sloriiqiiie,
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rentrer en l'^ranec. Il n ehi reçu
) lin
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lupiddique.
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tjiwnis, svUiii mut liul>lliule —, t'i'toiic
lies fiDinimlon. cl l^<•ll^rlc^^ lis sertilvcs Loiil-i Parleur ; kalc liniio n :in niir-zijii'lh ont rendu ri iiii'lh rendront en- linii 01.111 neboiid inliiidii V.o d IIiocore ù In i-'ranee, il, l'iilnearv a lermlni^ C'Imll lia dru ar bod n-lie», - muioo'li
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de lionen, et devant des a liniiu cgocl pa vcvc.
'lOmn la-vllle
mininiistes, v'ent-ù-dlre des vciiUiints, M.
l'iou 00, ha peira co bel? Lavarcl
l'ulneari^ ie deiudt, en effet, du ulurlftee ox ciiz bel of gazclleiin-ina da vij;
Jeanne » la Vailliinte
C'eut, dtl-il,
do la vieille place dit kui'zii diveza.
.•\bc:in iioiizo 0 ioa kaiil vln.n ; aliatiiip,
Mare/lé, en M31. i/ne te bûcher de
Jeanne d'Arc a jetf nur la France entth'e ma c'iianaz (27 u viz keiv.ii
soii:
la lneue.i de la libération
prochaine,,. vloaz var 'n ugent abaoïio ma v^rvnj!
Vendant le pruch
de l'hfroïne,
dlt-tl
encore, iin lord unalah s'écrie ; « /Wi I (8S a vi« gwotigolu 1SU5).
la valllanle fille l Que u'e.il-eUe An- • Kpad lio oll viicz liOiiU- Pn^lenr a
ylalae / » Le» Kornuimh ont un s'ècrleri no don a wiy.iosoî:, dcii a skianl, don
* Que n'eat-elle Sormande f » Anjonrd'hnl Jeanne d'Arc est Lorraine comme a l'oiz; hag ciiorul eo, eiiii oll broidu,
elle est Française ; elle Cil de lonte.i les uvc'l uiian eu;', brasa niad-dlM-roiirlcii
provinces de lu France, « Jeanne d'Arc, an diid liag an anevalod.
iwtrelols,
a rétabli la fraternité
entre
.Mad-obcroiir an anevaled Ivez. Ouz
tous les Français réconciliés i comment
vous. Normands, dont les aïeux ont été ho «'blenvcjou gwasa, iivel nizcl nr
les témoins de son supiilicv el de son miio'li, araok kloiivejoii an dud, en en
marlfire, ne serle:-vons pas aujourd'hui oni cinmellaii da goiila, ovil klask a
les pins fidèles nardlens do la concor1)0 lea'.''li po a bctra 0 IcuonI, lia dro
de'/ »
zo gwoloul gwolioe'li pnnans cnelù
Disons qu'une délériatlon de mimnastes liuplals, forte de plus de 2U0 jiifl»!- oul-lio.
Ha.ç lien drci.st-oll, lien ar c'Iienla.n
bics, ussistalent <i cette fùte.
anavexac, c tou ar r.'lilcnvejtui, r/. eo
iakaol lia magot kleiivejoii an diul liag
M . Gaston Galpin, député de la Sar- an anevalod gant eiir souri aiuproIhe, vient de mourir <'( Alenron, rt l'ù(ie vaned muiiul — k o n nimiut lui nia n'e
de H2 an.-!.
Pendant la fluerre de 187», M. Galpin oiifcl lio gwclonl gant al lagad — a
fut sous-intendant militaire à l'armée de i;o 0 virvi a villlcrou nim-ilro d'nmp,
lu Loire,
Clin ear, lia zoken cnn diabars ac'liaUurunI son séjour un parlement,
il noinp, t.!vcl koiilz lavaruni 0 kcino-nt
se trouva toujours parmi les défenseurs ha ma lehroinp po a efnmp.
des idées d'ordre et de liberté. Il était
Kiir wooh anavoKcl panl-hn an aiiiinscrit au i/roupe de l'Entente
républlcuinc démocriitlijue.
pr0vanc(l-20 luig ho binim. anal 00 0
Iloo Pa.>ilcur hag ho zi^kibion beic.i
doiigol da glask pcnaos on cm y.i^.obor
h o njoréolial l i y a u t o y , <7111 m l à suptoHcr, il !j a trois mois, une viotûitu criiic oiiz ar gwasa ane/.lio, peli'a a o'Iiollo
i/e foie, eii/ui rcc/iula/iarlasuite,
dent de miroiil oiil-hn hag wv/. hn had da
rcnIriT en France, H sa rend ù Vie/ii/, où vuvii enn-omp ovol a dn.-l d'oinj), po
il doit l'aire une cure de eingt Jours, Sa ho nuniga pu 0 dcfo gallul krogi pc
• • a l ' iiitentinu
enre terminée, le maréchal
gcncl.
'.le rejoindre le Maroc sans dtliui
lia dro gln«k awalo'li, gaiil ho oll
skiant, opad hirr amzei', Pasiour da
gonla, he ziskibion var ho lore'li, n
M o r t de M g r Bonnot.
.M//r Uonnel, doi/en ilo
l'épiscopal doiiz kavel romojmi hag an donro da
français,
vient de mourir à . ViiUers, onebi ervad oiiz elciii a wall-glonvodont II était, deimis 187U, l'évéquc trèt jnn, ovol ma 'x en ar paz-innniv (orniip),
(i/ftu'', .
Mjir llonnet était iid 11 Lanaoune en droug-ar-o'lmro (lélano^). «r vnsoiiu,
1835. Il entra au Grand Séminaire di- ar e'holera, nn typlinïd, olo.
Mende en IHftS. fut ordonné prêtre en
l'ii' pnnn konla 011-5 ar brozi 1, ))obdévembre 18ôU, et après un court vica- liini ae'hanno'li, evel-d-oiin \a-UM,Tn, a
riat, lut ravi an diocèse de Mende pcr
Mjir lialu rt, éi>é<iue de l'érluneux. Ce- la\araz m'oarvad: N'e voxn kul awah-'h
Ini-cl i^fi l'attacha d'abord comme secré- d'h(M' znndardcd beza l'ali'"h"i ganl nr
taire, pids, en 1872. comme vicaire f/é- bolnjoii; ar e'hloiivojiui spo.euz a nisni'ru!, i:n 18<0, Il fut préconisé et sa- karn inarlo/.o miiino'h o'Iioai! niiozlio.
cré évéque de Viviers,
M a n'o zavasi na oholéra na bosoiin,
Il n'avait alors iiue 41 ans. M. Jnks
Simon, alors mlnlsire
des cultes, di- ma n'o doiiaz ket an lypii'iïil d'en om
sait après avoir donné audience ou nou- asloiin nomonr, ma o'hollai! an darn
vel éiu'i/uc : « .Vous venons de nommer vnla oiiiî ar c.nndarded mae'liagnol hn
ivéïjuc un enfant de chivur, »
hrovol lio izili boxa dionallol rtuii un
totaïui-i, hoiinni! da Znno a dra znr,
bonnoi'. ivoz da llasloiir ha tl'hi! zisT h é o r i e et p r a t i q u e d o l v e a t Otro
kiblon.
• '
. - , ..
d'aooord.
t
' Quiconque s'érlye en théoricien
doit,
n'est-ll pas vrai, comnwncer pur mcltre
sa théorie en prathiue. C'est du moins
ce que les dlrli/eants bulr/ares ont pensé,
* du
• vroje
'V de loi diii' les
' •
Voici le te.rte
que le //ouvrrne
iilllaiies commitut.ites (/•
bureau de la
nient va déposer sur
Chambre 1
. . . .
— iiunn IdUH le» villages ImlK.U'UB «l'i se IruiiM'nl dix l'leoUurH cûnimunl»l«K, Il niTi» eri'i! uno coniiiiilno,, «11
l'onlltiiunnl pour l'usiige coiuuinn tbUh
les i>luns jnculilu.H ut limiioiibles don pnr(isans (lu uoniniipiIsMin, ,
Arl. a. — I-n eoiiIlKnalInn du hi'tall, des
torri'B, du ninlilllor d( »t [Hirllsiinii du eonn
nuirtlNiiiu aura llmi iiar les HOIM:) dus lio
liillés <|ii la |ii'o|)rli!tù runilo uorreHpondan
au iravall,
'
, ,
,
Art. !). — l.cH cunuilunauk*H ainsi Insll
scrunt adndidsIrOe» l'ur «nu aulorllil
srfNiMIflim liifiilc udMiiiMs^'ii d'un reprtfsen
lant 'lu Conseil municipal, d'un vuprdfli'n
tiuil iJu gouvernement- el des trois re|lri!
Hcnlinls Vins par lui» fomniunlsti'H slini
illsllni'tloji entre les enfants, les femmu*
et le» hommes.
, •
. Art. t. — lin cotillstjuera sonlenient les
hicnii des adlnirenls ilu eommunlsnie. L,a
(•nminunuuli> se eonipnsei'u dus riindllus
dcn'ciimninnlides.
. ,„
Arl.
~ IJOM mundires d'une fanilll
miC Konl p.lrlIs.mM dd
nci'oiit
prlv»)» itu Jour p.irl d'hc'rlluKe, laipielhUM'» •djSvuluo h la rommunauti!.
.
•,
Art. fl. — Tous tes membrus do la eonV
nfinnalitrt 'vivent d'après les n'haïes enmmunes, travaillent pendant un temps diilurmini suUH un eimlrôle el reçoivent leur
nonrrlluro çt tout eo qui hur est mîues
>,.ilro du uiafinsln do la eonununaut)!, au
moyen de.eoupons,
fJeUil qui eut au oomplo de la eonuiiU'
nautû et qui. eommi^nee (i pianger aulrer
ment que en qui esl priWu pour tous sera
lusllli' sur In place ilulillque. ' •
-.-. It nom temble que c'eut là le niellleur moyen iie IIIIWif <M'-«WMMUlWffr»
i(e/r«nr i ' '
ti.
lozcl oun tonn kanol c pop ru evil ma
tivorllll'o pep lozirok ha ma parfe c
zaoulagad war 0 inlorest, ».
Clouarnourieu Fraus, b.og nr
ziam-d, a zonjas, d'an ampoenl, edo
Franklin o larsal. Ha deu ne ieas larkoc'li ogol heja 0 skoaz en eur lenn 0
bcunad-skrid.
E o'hollc Franklin boza o farsa!, rak
ar farsorez a blijo d'e/.au. .NeJiiot dindau 0 l'arsc:-oz 0 oa boazi-l da pu/.al
ar wii'iouoz evil an iieb a lakajo 0 boaii
da gouipren.
Hor gouàî'nnurion, liirio. a zoiij
d'ozo ivoz no ra an dud iliwr.i; ar no-az
nomel farsal pii loveront oz eo awale'li
da eun don sevel gaul an heol lia mont
da gouskal ganlan, lia n'eus ezom ebet
da roi eun taol biz d'an nadozeiiu hag
ober d'an liorolach baie oun ou:' araog
ho l'oent ovil ober eun dervez mal.
Uirin, ovol gweehall, ar Barizianed
a c'iiellfe, gant an eur cvcl m'cma,
monl euu oui' kenloc'li d'o pwi'lo, lia
sevel eun our abroloe'h. Nouiel ar
Bari/.iaiiod a gav gwolloe'li dovi goulou
belek mil lell en noz evil kînerout o
llijadui', ha cliom en o gwele goudoze
bulok lireizdeiz.
Hag bor gouarnouricn a car nekol
farsal eo a ra a)' Bariziane.l, IIUB lioll
goariz nll ganto, pa c'iio n'drouznul,
monl o-belbi nia no rozonl kot lezi'l
da zovi goulou ar polla ar gwella eu
noz,
Krout a rafe! ne ve d m ail
d'an cur nemet an JJouc on deus ho
e'hrouoi. An iloiz, c-gwiiionez, a zo
urcat cvil labourai, bag an noz cvil
konskat lia diskuiza:
An hool a zo
savel, gwol da inleresl », a lavare
Franklin. Ha Franklin a oa don fui'.
<1 Au heol a zo kuzel; boc'li d'an
dans ha d'ar blijadur! » a lavar biiio
potred koar: «1 Ouz •ililcrijoiin ar goulou 00 e c'hoai'zor ar muia ! »
Kaer aiii eus klask hadigîask, 0 gwir,
no welaii kel perag c rankimp adarro
r t i eun taolik biz d'hon nadozemiou
nemol abIau)our ma z eo dcuel ar blijadur da voza niostrez an our.
P¥'eo mestr an eiir ?
Deroal 00 ola 0 ri>koiio>l'el aiiauiidogoz vad ovil Luui.s Pasiour, - - deroal a borz an oll, oiiz ho porz-c'houi
drulsl-oll, lud ft zivar ar moaz.
Evit gwir, d'hou'h-hu co a reaz a:
riiiiiu n vad.
l>ft dud koar n'o roaz vnd noiiiod
enn-lio hag cvit-ho ho-iman; d'hno'hliii n reay, oiispunn vad ovil linc'h anevalod ha zokon 0 l'rone/. lio liuiiinui;
rak, kent hag ovosaal ervad oui! kloiivpjou an don, lia zokeii oui! kloiivojdii
an aïKival, Pa.slciir a glaskaz hag a
gavnz an lu da onebi onz klonvo.joii
gwasa ar reziii hag ar gwiii, hag ivoz
onz ro pronvod ar soiz, a zo enr biiivi^ligoz ovil cur o'iiorn brax oiiz ar
Frans.
I I u droi.xboll, • - dro nno eo oz eo
ar iiinià briidol eiin ho Uuioz — l.onis
Pasteur eo a gavaz ar romod ouz an
arraj.
Arao-z-haii, onii don bol lagol gani
onr (i'hi 1)0 oiir o'haz klanv n'en don
nomed ar mnro da o'hodal, onr mnro
skrljiiz. Illvizikon, OUI) dro 1.000 oiiz
an rtnd lagol ovol-so n zo savulael.
Vardro ar hloavoz 1885 ou n kavnz
Pasiour nr romod, Img 0 roaic ho gonlii
liaroansoii. A r 'vriid on om skignaz
duo or bod ovel oui lue'hodeiiii; hag
niialok nonzo, ovol_ hirio mnlno'li
o*ho(ii!, 0 lirodjor U'hn' di.
••'•''• Miv
<liûn.
Mig&m'i
d'czho da o'halloul roi digomer d'an lioun a o'hellfe boza savel er Frans
oll dud rouzondik 0 defc ozonim anez- abonn disul, cvil paea biiuviou gwclho, ablamonr tl'ezho du e'iiallonl ivoz loo'h, nslillnu gwelloc'h d'hon lud a
kondaloMier «la glask lia da zizelei skiant braz.
Hag an aolrouned-man a c'hello
romojou talvuudiiz ovil klL'iivejou ail
ncnzo klask pisoo'h, auaniil gwclloc'h
an dud.
« Inslikil Pa-lour »: nag a wooh o ar o'hlonvejou, kaout rcmojon gallniileniiil an hann-ze er c'hazellcnnon dusoc'h da enebi ouz hor poanioii,
pa gomzonl onz hid faget ganl chas kaout znken nerzusoc'li lcmp.siou cvil
klanv! Ha kciila gor an dud-koiz-zo, drusaal hoii douarou hag ivoz louzou
cvcl hini ho c'iierenl ha niignouiiod, ail da viront ouz amprcvaned fall,
ovol hini an aotr. moar, a zo ivoz : cvcl ma 'z eo an hini a zo kouozot
var an avalou douar 0 Içac'liiou a zo,
Buan, alVo d'an Inslilnl Paslcur !
, Daoïi lio.s|)ilnl Pasleiir a zo o Kraus, da vouga jio da zibri l'rouez ho touuIri zpkcn; Paris, Lyon, I,ill. Hag o ron, d'ho rivina e borr anizer.
•Kalz nevczcntinu kacr or beu.s gwovniil cirezeg eiiu-Iio an dud lagcl a
lel 0 loiil onn hon amzor: cleotricité,
c'iiell lavaroni : savolael onn.
E v i l gwir, savclaol inl mar on 0111 lelograph ha léléphnii hop orjal zugavpnl abrod awalc'h: u'ez ouz kot kcn, ha polra o'iiuaz ?
N'en kol oolin.
uiian dro vil lia n'en kot nonzo dioiialFizians onn hon tud gwizick; ha
lel ouz an arraj, ar c'hloiivod slu'i.iuz.
Hogon, tiid a zivar ar moaz, cnn Im skoazoll d'ozlio.
E \ i l hor mad eo, hag e Icslcni a
lotioz co c ra ar chus klanv hn Irouz ;
n'o dcnonl kel 0 koar, rc a drnuz 0;'. onaoïulogez vad c-konvor Loni.s Pascuz cnn, ha buan a vent lazol. Clinni teur, hur brasa mad-oljorour euz huii
00 a zo e rlskl da voza lagcl gan'-!u>; amzcr.
ha dro zo ivez c'iioiii eo 0 peuz ar
. \ r mcdisin brudcl Cùlmello. nnan
vrasa anaondogez vad da ziskoucz 0- euz hc ziskibion, co bon disklcrio 0
konver Loui.'-. Pasteur, ovil bcza, ha Paris dimeurs divcza.
n'u ve kcn, kavet ar rcmcd nn;; an
Dri! ar remejou kavel gant Pa>lcnr
arraj.
hag ho ziskihicn, olrc ar bloavozion
1800 ha 1010 ar Frans 0 douz gallcl
savotoi hn lincz da 00.000 ar bloaz ouz
G'hoiii a zisliuuezo hno'li iinaniidi'ho bugalu lagel gunl klenvcjou spegez vad o koinor jicrz er podoiiuou
guz.
goiiro'homouiiol abenn disul, 27 a viz
00.000 buez ar bloaz, 1.800.000 e
mao, gaiil an .Volrou 'n ICskob, cnn
ngent vloaz, savetaet dro skiant Pasoll iliznii, ovil an don a skiaiit-zo, a na
tour, cr Frans ncmcdkcn.
ivez ouii don a J'ciz.
E leac'h ma varve lî gwcchall gant
IVhnui a ziskonozo c'hnaz hoo.'h
an typhoïd, ar c'iirojp, ar ruzel, ar
auaoudogoz vad o roi onii iioboud
scarlatine, po an drco. 2 a zo savclaol
gwontieion cvil ar pnlirejou, karli'uhiviziko.i.
iion pe melaiennon paper 11 vezn liinBeunoz ola hag enor da Louis Pasnigol d'iiuc'h, disul ivez, gant bugalc
teur, ha skoazell d'an dud a skiant a
])eurliesB.
gor;- var lie roudou !
Hed a vezn roi niiiioo'h cgod ma lalCOREXriN.
vczo an Iraoïi-ze. N'o kcl onn tanl
kcmin-werz on a vozu disul c Frans
onn oiinr ilii liaslc.i-;; cur gesl eo
kenio(Cli.
Knr go-l evil prciia bonviou liag
oslilloii da ziskihion Paslonr, d'ar vodi.slnod lia lud ail a skiant braz a zis•Tosuô, gweehall, n'en dovoo kot kopign hn ainzer hag ho gwiziegez da menl, a c'iioari gaut an lieol li;in o
glask an jievezenlioti a c'iiello skau- deus liirio lior e'iiaïualiulod o l;lask
vaal ar vnez, ouobi ouz ai- ('"lilenvo- gouzout po oz 00 oun dra val pe euu
jou, — po znkoii diskara buaiiu'.-'h au di'a lall oljer d'an lioroliieliou abrelaat
eus euu cur en lianv.
cnebnuriou or (^'honla draill.
•An " cur nevc/, » n'eo kol liel invauHag ar poeul-ma ivoz en douz lio
lel ganl ar I''ran.çizion. An Allmai'led
honoz, allasI Ho VIMZ o'hoaiil d'en cm co u gava.s mat, edoUg ar hrozo!,
droinpla i)u da drnmpla 0 dimz r,R re o.'honri euu dro-gamm d'an lieol, (lia
a lav'ar n'o vozo nuii hrozcl. Brozol a ma n'o dije e'hoariol nomel an drozo bol. ha brozi l a vozo da varc 0 gaiiim-/.o no vije kel liol komonl .a
vare. koil ha ma vozo liid var an dranu wur o c'iioustians liag a io bredouar. Ha gwas' u zo d'ar bubl ha n'en manl)
An Alîmanlod, aval, n'o deus ket incm gavo );ol pi-oslnc'h, pa dcuio an
oncbniir d'hcu laga, cged ma oamp vanlol an eur-ze ken neboiil. An don a
zonja." onni da genta, m'oarvat, a zo
cr bloavcz UUi.
iriaro eue c'iiant, vlnaz a zn, po ou.aAu .Mhuagn a oa pre.slne'h ogod- ponn. K liano a zo Franklin; liag ousomp, • - ha lavarnnt a u'heller li'c 11- pcnn ma 'z co brudet evit beza kavel
rollaz an dr.iil nomed pa on om grcduz an lu da ziarbenna ar gurun diouz an
pi'osl awalo'li, — presl gant lio c'ha- liez liag- au louriou, brudol co ivo/, evit
nolinn hag c l'nnllr nerznz, prosi gant e l'urnoz.
ho c'hiri'i-iiij, prosl gant ho aczenn
D'ar 20 a viz obrol 1784 0 c'IielleL
ampoezouîul da vouga, da zalla, da
lemi cur ponnad-skrid en eur gazeIcski pc da rosla.
tonn eus Paris; liano cbcl n'oa en
Mon lud a skianl n'o defc bikon traon anozan, ha nebout a dud a ouckrcdol 0 o'Iiellfo l'allagricz an don zas 0 oa bel skrivel gant Franklin.
moni bolok en om zorviohnnl cnz hoO voza oal, da dreineu oun nozvoz da
velep ariiinu. Red a 00 kredi, goiidn di eur c'Iiamalad, Franklin a zaleas
gwclonl, ha nonzo bon Ind a skiant ono liirroc'li oget ne oa boazol d'hon
a glasknz hag a gavnz kor gwas, -- ober: loir our diouz ar minlin c oa pa
en 01)1 daolas war c wele en e gampr.
cnn tammik ro zivezai ovolkeiil.
Xo badas kel pell c gousk, aval; rak
Arahad en e e'hclU'oiil lioza laiiol
diliuuel c voo gant an turmut a rea
our wech ail: pa rankcr ou cm zis- nn dud er gamiu' azioutan ;
konez kriz, ra vozinl kriz, gant an ac« Korkent ma liliunjon, emozan, 0
zenn, ganI au nloelricilé, gant an iji- chomis souezol. o wolout pcgor sklorinnu a bep souri.
jennot 0 oa va c'hnmpr; kaout a rcas
l.nvnrel oz onz bol 0 vezn ar breznl- d'in 0 on eun douscn c'hpulaou 0 lulion da zdiil brezcllion ijinnn; ha gorni dirazon; aboucz frôla va daougwir 00; muioo'h-miii ar znndardcd lagad ])opken 00 e wclis c teuo ar .sklcon om zraillo, en cm voiign, en om rijenn dre va frencstr: va mevcl en devoa ankounnc'hact scrri ar slalal'ou;
lazn, hep eu om welonl.
hag an lieol, ulicl dija d'an ampoenl,
Poiiaos'/ ll'an dnd a wiziegcz braz a doue da bara warnoun dro ar slalad'hon diflnnnl, ha da garnit da o'hon- fou digor. Obcr a ris neuzc eur zcll
do ha komoul a c'hollfo slioi ar gwasa ouz va horolaoh — euu liorolach bag
Inolinn ha komonl a c'holll'e mirnut a icn endro, mar d-ous unani — bag 0
onz ijinnii po aiizonn an onobonr da wclis ne oa o'Iioaz iiomot e'iiouee'li
cur... C'houee'h cur lia doiz braz! Kcobcr komoul a zrong ha ma karfc,
menl-se n'oa kot pos.subl! lia me ha
.\n dra-zo 00 nr brezol; nl)or d'au
lao da zollout ouz va ahnannk, rak 110
onehour ar gwasa ma o'hollor no'li en gredeii kot 0 c'iiolle an licol beza ker
om :;ionall ouz ho diioliou, ar gwella miutin d'ar e'houlz-so eus ar bloaz. An
ma o'hellor. Trisl eo ranknul bon la- almannk, aval, nm zlfazias, on cur roi
varoul; mes, kigor po loue.
d'In da annout edo un heol 0 vont da
zcvol mintinoo'h-mintina bonidez bclog an doiziou diveza eus a viz ovc:).
Hogoii, p"êurliosa,an anlronnod habil« Eur gavadonu a oa hounncz bag a
zo o douz nolieuloo'h a vadou egcd a rens d'in son.ial. Hu da gonta, pauevu
skiant. Pasiour a on pannr-rann, ha an turmut a reas d'in dlhnna abrcHranly, lad au lelograph hep orjal, a toc'h egel kusluni en dcrvez-se, e vijen
cliomet kousket c'honz opad pcmp po
zo poil da voza millinuuor.
Hag hn bonviaeliou, an oslillnn m'n o'houcc'b eur. Hogen, pcd a dud a zo
boindoz oc'h ober kemonl-so? Lakomp
douz ozomm cvil klask ha gweloul el
0 vije 0 Pariz kant mil familh hag o
leao'h ma n'o wel kol al lagad, ovol deus ezom eus cur e'Iiartouroun gouknmonl Ira ma ranknnl kaonl cvil lou koar bep our... »
ober oi'vud ho osn, a gniisl kor,
kcn
Hag .iboucz .icdi eu doare-zo F r a n ];or ma n'o o'hollont kol, niiez, kaonl klin a gavas 0 o'hello nr Barizianed
anezho ar pez a vc dorent, ar pcz a arbofll n 00.075.000 livres tournois ».
zo red, — ma rafont da viana gwol- N'oa kol cur begad, war n wolit 1
Il Pcbeuz kavadenn,. ha pegcf bras
loo'h gant muioo'h a aro'hanl,
D'ar c'hoiuirnamant a v o d a r o i d ' o z - lalc'had nrboollet, cmo Franklin, mar
gollfot roi da gomprcn d'ar Barisiaho, cnz a hiU'z ar vro.
nod 0 vo mat d'ezo rcn o bultcz diouz
A r c'houarnamanl a ro eiin draik an hool, en lianv da viUana J
boniink,
ro nebend; muioo'h a rol'o
pnnol'o ma rankfo jieiizo gnulonn hirroo'h diganl nr vro.
ra;.'u)ct ponaoz sanka koncnt-so 0
13 leac'h pniineraal nn laillon ovil ponn .ar Barizianed ?
Franklin, en 0 bonnad-skrid, a ginkcmont-so, on dciiz sonjot hor pedi da
roi ,hon-iman cim draik bcnnak a vo- nigas tri zoaro da zont nbenn eus kcmnnUso :
lontoz vad; easoc'Ji 0 kavinip roi ovolDa gejita : Ober da bero'honnod an
so, ha dlskoncz n ralmp onsponn ' 0
liez pacft oui loiz nour (24 lur d'an
kompi'onomp an ozomm or bcuz ouz nmpoent) cvIt kcinent prenestr hag u
a dud a skiant braz, 0 knmpronomp .ion)fo .serrol nr stalafou warnan goudo
nr vad u rcunl.
ma vljo savot nn heol.
< 1
Bvil-nn oll e lahnuroiit ; dorcal eo
D'an eil : Lakaat' alrlz an nrz war
ar gouloù ; hag, Bvil-sc, . lakaat eiir
d'an oll roi skoazell d'ozb.o.
Polra 00 da liinionnnu roi enr bjl- gward war dor. pcp marc'hadour evit
lol kanl hir, ha d'an dnrii vnia roi enr inirout nn.vije roetrouspcnn oui lur
c'houlou bep sizun da bop familh.
p.i»' rp&yav. r«(il • AH-'d Isloua- ho.-uuî»'^ Z jSNH irittii î Ma Ti
n-V ve -kct ncinsùr •p'éfoiÏj'Mïliif(
;
.'éù'9"ifii •tth'oùî'i'émed
'^Hit^fli^'ÏWr p B m p w
'
'Jtriata''iir.>tolïoa,
ÔHVftklWK i i v f i f i i 'ho
•Jest»,o(WBtotir d'iioaz
Ar Plemmer.
KELEIER
iVag a c ' h o a r i e v i t p e t r a !
E GronobI ez qji.s ganet er zi/.nn
<lromou<>l eur polriK bihan hag on devoa dauu bonn. podor brec'b, ba loir
c'iiarr.
Paour koaz polrik. Ha paourcz keaz
inamm .1
Em- slioucr vat
Eun dorvoz rnuo ar Spagu a gavp<
mal diuas our c'haiiuad eus 0 be:z 0;i
gaoul roue Hro C'hall Herry IV.
Hogen. pa on om gavas 0 paioz nr
roue, ar e'haunad a gavas lien-uian
war c bai'loehou o c'hoai'i gant e vu;rale; uuaii eus ar vuâ'e a ioa war 0
K''in; lia daousl 1110 ii'ouzoïi kel po 0/.
oa oui las!ez frweslign gaut ar rinio ;ie
n'oa kel, krodi a l aii edo o o'iioari lii.mehik ganl e grouadur. Ha ne ki'l ar
rouo 00 ou dovoa au nobeula plijadui-,
Ouz ho weloul. kannad ar t^paîi a
jomas evi'l feukol. Kaiuil a rea d'e/.au
n'oa kot din eus our rouo diski'nu ken
izol belek o'Iioari bouehik puni 0 vu^cl.
Diouz drennu ar e'haunad ar rouo a
anave/.as posourl sonj a ioa on o beiin;
bag a e'houleunas (runnn oulau: " Aotrou kaniiad, ha Inipalo hoe'b ens? »
<1 la-da II. a respoulas ai' o'haunad.
<1 Mal, ome ar roup, neuze e kondalc'bau ganl va e'huari. »
E-gwirione/. araok boza rouo, da
lavai'oul no lad ar bobl, llorry IV a io.n'
lad u familh, bag e vugale a oa ar re
nesa d'ezan.
:\'ag a bod lad a familh a vo uial
d'ezo keiiioroul sUnuer dinuz bor mue
koz. Eur bonuoz e vije evilo elioin cr
goar d'ar zul da noz da o'hoai i bnui liik
Kanl o bi'gale. eloo'h ohoni <la sli'aua
er vouri''h war zigaroz ober eun aller
bennas ha n'eo mail cbel ho ober.
ôn Carnet
CANONISATIONS
LAÏQUES
ET
RÉPUBLICAINES
Je recontrai,ces jours derniers,comme
il m'arrive souvent, un de mes bons vieux
amis, qui est « Laïque et Républicain ».
A4oi aussi, je suis « lai'quc et républicain D. Seulement, voili : no'js ne donnons pas à ces mots exactement le mcme
sens ; et cela nous conduit parfois à quelques discussions sans malice, — nous
n'avons de malice ni l'un ni l'autre, —
que je rapporterai ici, de temps en temps,
pour l'édification des lecteurs du Courrier.
Ce jour-là, mon ami, que je désignerai sous le nom d'Anatole, était fort
excité par la perspeclive d'un transfert
solennel de grands homme» au Panthéon.
I l m'aborda d'un air triomphant :
— Eh bien, oui ! Pourquoi pas? Vous
pensez, comme cela, tout bonnement,
que l'on va bisser à l'Eglise le droit de
promulguer des canoniïations ? Quelle
hérésie ! Nous avons eu l'enterrement
laïque, le b-sptème laïque, U mariage
laïque, etc... Nous aurons bientôt la
confirmation laïqut, voire même la pénitence laïque...
— Pour les Républicains qui auront
mal voté ?...
— Pourquoi ne voulez-vous pas que
nous ayons la canonisation laïque 7
L'Eglise a tout accaparé. Qu'elle rende
gorge I E t qu'elle restitue aux vrais
Laïques et aux seuls Républicains, —
d'ailleurs je ne sais pas pourquoi j'emploie ces deux expressions : elles sont
synonymes, — ce que, venue avant eux
par suite de circonstances historiques
désastreuses, elle leur a méchamment
arraché.
Ilag a dud na weler kot beindoz o
rcdi'U v.arlorc'h ar voualc'h wenn. belek lerri o gouzouk lia Ko!l o lenn
av.'ochou !
E Brn-Zaoz oz ou» our uiinislr —
minislr au U'oiograph hag ar postou —
hag a die hezo, m'oarvat, eus ouenn ar
fui lukined-so a vez gwelol war ar plasennou o o'iiluja o arc'haul digant ar
c'hinaoueien on eun doaro pe zoaro.
Ar iiiinislr-man a oar oz eus kalz
lud dro 0 • rouantoloz- hag a redfo
bolog ar penn polla eus nr bod cvil
eun UiDhr. liag evil mirout oulo da
skuiza keir)oul 0 redok, evit berraal
au hoiil eli'i.'zo bag an tii)jbrou a glaskonl, ou deus lakeal digori 0 Loundrez
eun <> o.\posiliou » evil hull dimbrou
ar bcd.
'J'rouion ba Ironien a ra lud dirag an
armoliou gwor kaer m'en kuzel enno
an limbrnu digas"! eus a bop korn eus
ai' bod. 'J'romon u reoul, l'vel ma lreu)eu
ar vugale, d'ar ianu, dirag paloz ar
iiiariiioiizien 0 jardin vras Paris. Evit
ma no vozo greal drouk ebet d'ar marmouzion — (n ous nomel plouz on o
diabarz.; 'met an dra-zc ne vern keP ;
— hag ovil nia no vozo kel lorrol ar
gwor in'inl klozel dindano, oz co difonnol dont or palez gnnl bizior. Evil
ma ne vozo kel lorrol e wer lia laercl
— Idée intéressante 1 Mais qu'est-ce
pe Uibozel 0 dimbrou, ar minislr saoz
n'en deus kol kavel oz oa awale'b di- qu'une canonisation laïque 7
fonii onz a;i dud loslaal ganl bizior.
— C'est une déclaration d'immortalité.
JCun limhr a zo, droist ar ro ail, hag
— D e quelle manière déclare-t-on
0 kcmeror inuioo'li a zoursi a)iozan. qu'un homme est immortel ?
i;un liinbr eus ar (iuvanno 00, bag eun
— Par une loi : cela va de soi.
limbr a wonnek n'eo kon. Eun tiiubi' a
— Ah 1... Qu'ordonne cette loi ?
wennok'? la;... nemol n'en deus bi'oui'
ail ebol : o-unanik oma er bod: our
— Le transfert, au Panthéon, des
voualc'b-weuu, eu 0 ioz! Hag 0 e'hollit cendres de l'immortel.
kompren au avi a ra d'au dud a dre— Les « cendres », dites-vous, mon
mon dirazau, hag an danjor m'ema ar
gwor da voza toi'rot warnan.
cher Anatole... qu'est-ce que les « cenGaut aoun na vije laerol, an limbr
a zo bol asurol ; ovol ma vez .".suret an dres » 7
arc'bant or bankou a-om-b al laer, pe
an liez a-oueb au lan-gwall. Evil peJci Anatole parut un peu interloqué
gomonl eo asurol'.' Evil oun nelraik : par l'outrecuidance de ma question. Je
eur millioun liafc eiz kanl u)il lur 1
Hag e kav d'eoe'h u e'hellor lezol continuai :
— Il fa'jt distinguer, je pense : si
cur seurl tonzor ganl cur werenn bopiken evit heu dioual diouz al lacr'? O l'homme a pjs»i au four crématoire, les
I r a ! Ar minislr n'oo kot soloc'h egot «cendres», c'est une réalité;au cas conoun ail: ananul a ra priz 0 varc'liadourcz... llaK o voza ma 'z on kamalad traire, c'est une métaphore. Les « cenbras da vinislr an arme, on deus gou- dres » d'un homme qui n'a pas été « crèlonnot ouz lion-nian l'oi d'ezan kemenl me », cela doit sans doute représenter,
ha ma karo a zoudarded evit ma no en style officiel, ce <1 je ne sais quoi qui
vozo ohauet na deiz na noz da ober n'a plus de nam dans aucune langue, tant
gward war au limbr muia karot.
— Ha neuze ?
. ,
, . il est vrai que tout meurt en nous, jusEfeiz, 0 livirin: Ma n o dnus Itel qu'à ces terme» funèbres par lesquels on
ar Zaozon gwelloe'h iniplij egel bf>ii- désignait nos malheureux restes. » Voyez,
nez da ober eus o zoudarded, l a deuinl soit dit en passant, quels progrés nous
nivorusoo'li d'ar Iluhr da zikour bor
avons fait depuis le xvu' siècle: au lieu
re da obcr d'ar Bne.li plega 1
d'une longue phrase, un peu ampoulée
Ha n'eo kcl gwir ?
pour notre goût moderne, il suffit d'un
Tokoti a c liiz ncvcz
mot : le» « cendres ». Enfin, laissons
An lokou divaloa, bcrvez va zon.j, eo les définitions. Alors ce transfert des
ar ro a vez ar muia proz warno ganl « cendres u, au Panthéon, rend un
ar mcrc'bod er c'beariou. Ma vijenl,
cboaz c'hoaz, m a l da zioual diouz ar homme immortel 7
glao po hcrrder an heol, an tokou— Eh, oui I M . le rapporteur ne
zo no vije kavel enno nemcL cun lian- l'a-t-il pas dit, tout récemment,au Sénat?
ter abeg.
y
Hag nbeg obel ne vez kavet, daousf. 11 s'agissait, vous le savez comme moi,
d'ozo beza divalo, en lokou cn)a deuet de» cendre» de Renan, de Michelet et
u» o'iiiz anezo bren)au c Sladou-Linu- de Quinet. Le rapporteur a déclaré en
net an Amerik. Tokou lîolo inL gant substance : «. Messieurs, nous vous decur vroclienn houarii sankeC enno
cvcl beg eur groaz war cun tour; hag mandons d'accorder la consécration offia-rcz an diskouarn cz eus dieu gro- cielle d'immortalité — entendez-vous ? —
gennik stag outo.
t Michelet, Quinet et Renan... L'autre
Eur vrochenn bouarn'? Evit pclra jour, à la Sorbonne, le ministre a
'la, va Doue"? Evit netra ail ncmel cvil
digomeront ar c'holeior bapr nr niuzik entr'ouvert à Renan les portes de l'ima voz skignet. bcmdcz dro aiî oabi ganl mortalité... I l faut maintenant que le
an T . S. F. An diou grogennik ouz nr Sénat le» lui ouvre toute» grande». »
skouarn a ra d'an dud a zougenn an
— Je ne comprend» pas trè» bien.
tokou-zo klevout nn boll golcier-zo
.— Je le regrette pour vous, c'est
dro ma 'z eonl, hep rankout en cm
zirenku e v i t o c'hlovoul.
pourtant clair ; mais je vais, puisqu'il le
Eur gavadcnn vrao eo an tokon-zo. faut, vous mettre l<» points sur les i : il
Nemet n'int kot mat da voza dôugot s'agissait de faire voter, -au Sénat, une loi
gant pep don. Mar lip pous ozom da
labourai 0 vo gwolloo'h doQO'h delc'lier 5>rdonnant le trai^sfeVt au Panthéon des
lio penn dizçlo egot o dtrugcnn.
cendtc», de Michelet, de .Quinet,et.
i i ) l
f-î..i!f
. ïê'nàn. .,Xran»pôrter le» çipdfeÂ
«vî^^r D f t d u fcfehw ilP.IniBCl-1.,, ; ,.
d'un Kommi;à{t t>i;ii{.Kéon, ou lui f puw-ir
'loùtès
i'
loiitès gran«»jl<s
.porte* 4 e . r i m m o r ^ /
liïè'V,' c'est la^ mèinc^cl»b*ïr'Vig<»urÉ'ui«i
ment la même chosc. I l faut uni loi
pour mettre des cendres 3.1 Panthéon.
Cette loi accorde l'i-nmorlaiitc. Cela est
limpide. Et je ne co.-nprcnds pas que
vous ne compreniez pas...
— Je commence à sjisir. Mais enfin
il me reste un doute : je pensais que
l'immortalité, — si immortalité il y a, —
ne pouvait être décernie, — si décernéc
il y a, — qu'au bout de q'jcïquesViècIcs;
après épreuve faite. Qu'une loi déclare :
« Cet homme est i.nimottel, » voili, je
l'avoue, qui bouleverse nies idées...
— Je ne me charge point de vous
expliquer ces choses. J'ai r.'ime plus simple : je crois ! L'honor.-ible rapporteur a dit : « I l appartient au Sénat
d'ouvrir tojte grandes 5:s portes de
l'imniortalité. i> Puisqu'un r.ipporteur le
dit, c'est qu'une loi peut accorder l'immortalité.
— On a voté uic loi pj'ot déclarer
que Jean Racine était immortel?
— Ce n'était pjs c:;cori dans les
usages...
— Non, certes ; et, à eeitc époque
arriérée, il suffisait d'ocrirc y|//jj/(c pour
devenir immortel : ce qui, mon cher
Anatole, est en somme à la portée de
tout le monde. N'importe qui, le premier venu, peut écrii-c un chcf-d'ceuvrc.
N'importe qui ne peut obtenir que ses
propres « cendres » soient transportées
au Panthéon : pour plusieurs raisons,
dont la meilleure serait peut-être que
lorsqu'on en est réduit à l'état de
« cendres »...
— Mais ceux auxquels on va décerner les honneurs du Panthéon et de
l'immortalité, nc>s trois saints à nous,
nos trois saints hïques, ont, eux aussi,
écrit des chefs-d'œuvre...
— Vous avez lu, mDn cher Anatole,
beaucoup de chefs-d'ceuvrc de Quinet?
— Quinet fut « un des fo idateurs de
notre République et de sa base première, l'école laïque... »
— Entendu, entendu. C'est, si je ne
m'abuse, l'honorable rapporteur qui a
dit cela au Sénat. Je ne vous demande
pas de me réciter le discours de M . Labrousse. Je vous deniande de me «itcr
le» titres des chefs-d'œuvre d'Edgar
Quinet quc-vous avez lus... Allons, rappelez vos souvenirs...
Anatole « séchait » manifestement.
J'ajoutai avec gravité :
— Voyons, ce n'est pas si difficile que
cela. Je vais vous aiJer, vous mettvc en
train... Répétez après moi : Montaigne,
les Essais ; Pasc.il, les Pensées ; Corneille, le Cid ; Racine, Athalie ; Moliéret
le Misanthrope ; allons, vous y êtes...'
un peu de courage... vous voilà lancé...
Quinet...
. — Mais... l'école laïque...
Eh bien, je VO'JS assure, que je ne
pus jamais tirer autre chos: de mon excellent ami Anatole, brave homme au
fond, un peu radicalisant, un peu anticlérical, grandisfimc défenseur de l'école
laïque, avec qui j'éclwngcais récemment
ces propos décousus, sovs les démocratiques ombrages d'une promenade publique. I l était évident qu'Anatole n'avait
jamais lu dix pages de Quinet. Je fus
pris pour lui d'une grande pitié et je lui
soufflai :
— Jlkasvênis...
I l me regarda, les yeux dilatés...
— Ahas... quoi ?
— Oui, parfaitetr.ent, iniistai-je : te
Cid,Jtlhalie, \c Misanthrope,
Ahasvérus...
Alors, profitant, un peu traiteusemcnt,
de son ahurissement, je lui glissai le dernier numéro de la revue Le» Lettres
et, lui désignant le premier article : Sur
trois Canonisations (laïques et républicaines), signé : Maurice Brillant, j'ajou*
tai :
— Lisez donc ça. mon cher Anatole ;
à notre pro.haine rencontre, vous m'en
direz votre avis.
Et, comme je filais vivement, je l'entendis murmurer :
— Ahasvérus,
Ahasvérus...
I I parait que cela lui avait produit l'effet foudroyant d'une révélation...
BEFPA.
A LA CHAMBRE
L'n grand cU-bal a eu lieu mardi i\ I.i
Gha)))bre à pmpos dos cnHIits «le i;i
Uuhi'. Ce fui .M. Louis Ouboi.a, d<-pul<'<
de la Seine, ancien l'rr-.-iidcnt «le l:i
Co)ninissii>u dos Itrparalions, qiii ouvrit le débat. Apres avoir e.xaiuinci
loul d'abord si, dev.iiU les mai)<|ui:^
monts roitorés de l .Mlomagno, n o m
étions en drnil do prendre les mesni'os nui molivent le^ rrédits do)>tandés par le gou\ernemrnt, .M. Dubois
déclara que ihaciue luiissanco signulaire du Iraité (ie Versailles peut prendre les moyens qu'elle Juge opporluus pour forei-r t'All'>magno A tenir
SCS ougagements, saiii pour cela violer le trailé.
« La Franeo, rtil-il, a usé do beoiîcoup de palieneo vis-H-via de l'AHcniagnc. el aussi vis-A-vis do certain'»
alliOs. Si elle s'est décidoû à prendre
dos gages contre l'AIlcmagno c r i m i nelle et félone, eile a bien fait. Elle en
avait le droii cl mémo le devoir. »
Il supplia donc la Chambre do voter
les crédits nécessaires demandiJs par
le gouvernement. « Tous les bons
Français qui sont ici. dil-il; donneront
au (Jouvcrnemenl. c'cst-a-dire à la
France, cette marque do contlancc. »
Le discours de M. Dubois fut saluiî
par les applaudisscmcnis ft peu pr^ï»
nnanimcR dn la Cliainluo. l'extrème(ffluolic oxoeptoo. Puis la discussion
f u i renvoyée il plus lard.
Nous en reparlerons.
Calme jusque-là. la siâneo allait
.bi»nl<rt cun»aitre'lc twOttllA'-lJîPi-v-'.sjdenl. annonçiiU: cA ^ta'ftt q a ' i t vehait
de recevoir de M. Ara;ro:\iito;de*iBd^
d'interpellation 'Sur te^. m f
eonwte. prendre-tes Goiivcc
t h réccUi'eric®; lë'afintsrréI des Fiiâ». ^
bM, YtouF réprimer lea indltorâ(t.QM
Arrestations. — Entre Stoele et ÉsM son a<trolnl«traiion.
son, six saboteurs sont arrêtés, dQo(
.«'Pour bion comprendrci la raison w trois membres d'une organisation oS'
tttniulto que déohalna ootto iutorpeU térloure & là n u h r .
litlon, 11 est nôossalro de savoir,
Los trois directeurs do la Badisoho'
V u n o campagne d'une oxtrânio vlonoo ost aoluolicmont monde contre Aulli|ie, usine occupée par nous, sont
> Arago par une faction radlcale- Incorcérés à Ludwigshafen, pour yôloiallslo, qui l'uoouse d'avoir tidrlto slstance h nos ordres.
un gro» revenu, et do n'avoir pas
Lo directeur des finances de Bo
lilt la déclaration néoosaairc, o'o$t.à. chum ost condamné & Il ans do prison
Jro do s'être Ainsi soustrait A l'iin* gt 1,B00 francs d'amende, pouc l'çfus
do rcnsolgncments.
Li!'o3( pour répondre ft octto bam
Trois saboteurs do téléphones sont
agitn que M. Arugo doinnndu la diS'
nussion aussi nrocliuiito quo posslblo arrétés ù Wilgarwison. A Dussoldorf,
Jrte son intorpollntlon. M. Aiuigo ostlme lo Central télophoniquo ayant été sa^ u o dos indisurétloiis ont ctiS coin- boté, la ville ost punio d'uno amondo
Bmisos nu prollt do uolto faction r a - do 0.000 francs. La poste, de Buer reIdlonlo-soolullato et du Journal qu'elle fuse do vendre dos timbres et de don{Houtlont.
ner le téléphone à nos hommes: oc• <1 Ln Boorpt profosslontiol voulu pnr
f a loi sur l'iuipdt sur lo revenu a été cunôo militairement, on représailles.
'Le baron Krupp von Uolilon ot ses
ÂloliS, d i t - i l . Jo dirai dans quels dus...êlns, mais 11 faut que les oontribiiu- complices, lour pourvoi cn révision
'ibios ii'ulcnt pus) it s'iaqulétor. Los ayaii^ élé rejeté par le (iinsoil do
,)oontestallons outre lo Hso ot les con
guerre, so sont pourvus eu cassation,
^ribuablos no regardent quo lo.i inlé> u Paris. Ces criminels se croyaient
VQSvés, Quoi do nlus cunlUlontIul nuo trop haut placés pour quo lo chtttijios déclarations des Industrlols et ues
«onrtiiorçinnts, si l'on no veut pas nuo mont pût los atteindre, lis déchantent.
"itout orédit leur soit retiréI QUOIIDS C'est iliii do rire.
{sanctions, quelles mesures lo juialtiti'o
Deux ouvriers bochcs, qui avalent
«il>uii)lo-t-ll prendre y Co sorall porter attaqué uu oflicler français, sont con,la plus grande attolnto it l'Impôt sur damnés ù mort par conltimacc. U n
l e rev(>nu quo do no pas défondro Ios
.«onlrlbuublos ooutro les iiidisorétlonM autre, qui attaquait & Bolingen un
Ades fon(\iionmilrosl Pour uiol, J'ul été conlromallre français, a été blessé
p 00 Mujpt on butte aux plus odieuses par coltii-ol d'un coup do rovoivor cn
pleine imitrino.
joaloinitfos.
i !
J, » Or, 11 y a aussi le crédit moral &
néfondro. La violation du scorot proifdssionnol nu prolit d'un Journal n
Idoniu^ prétoxto aux pires utlaquos ol
'idux plus monsongi>res allégations. Du
Téalilé o'ost une oampugno élceioralo
,<(ul commonool On veut s'en prondro
«à riiunuour d'un adversaire polUlquoI
% ûr (hMiuinde do M, Vnrenne, la
'Ghanibro ordonne la discussion Inimétdiato.
M. Arago fait alors l'oxposé do
l'alTairo, I/udmlnlstratlon des ConlrU
Imllnn.s dlrootos, oyant & régler uno
affaire do suooes.'don et ft établir los
bénéllros d'un Journal, s'ost entendue
Bvoo lo coutrlbuablo lul-mônio pour
dlIToror lo paloinont do l'impôt jusqu'au'jour ou les conipte.^ seraient nrl'fité.i dônnllIvMiionl. « Ofi e.it la dl.s•slffiulatlon » drmnndo-t-ir? E l ou quoi
«otiP fnïon do procéder Juatillo-l-ello
'là canipagnp menée contre mol 1
" M. do Laslcyrlo, ministre des F i nances, dotnandn niors la parole. I l
déclare quo la loi sur l'impôt sur lo
rovoiiu o.il la mémo pour tous :
« Tous los con
Irlbuablos, dit-il,
fortunés ou non, doivent être ot sont
traités de la mémo façon; mais éga
lomout ils ont droit .& toutes les ga
antii>.<* quo lour donne la loi. L'odml
islrnllon accomplira sou devoir ot Jo
jn'pU'orcoral do faire rcspcctor par
mes agonis le soorot profe.islonnol.
PouUélro y a - t - i l ou violation do co
seorei. Uno onquéto est ouverte ot les
coupables seront frappés avec toutes
•les rlgupurs de la loi. >»
11
1,
Sonner des bonéfloos, —^ Pas de tuono*
lÔle l'Etat,
Le franc dans la S a r r o
A' partir du i'» juin, la monnaie
Xrançttlse y sera seule légale.
Cotte niosuro a pour but do mettre
Un au malaise économique dont souffre la population do la Sarre du fait
do la ciroulotlon slmultanéo dans le
Boesin de deux monnaies, dont l'une
ost stablo, tandis quo l'autre ost presque oomplôtomont dépréciée. Por ailleurs, cotte réforme est appelée à contribuer & consolider la prospérité générale du pays un instant compromise
par los oonlllts do salaires issus en
grande partio de la dualité inonélaire,
ol qui ont servi do prétoxto nu déelanobomont do la dornjoro grève des m i neurs exploitée par la sullo dans un
but polltiquo.
La fébrile soviétie
M, Tobltchérlne adresse i\ la Suisse
uno note la rendant rosponsabio do
l'assassinat do M. Vorosky. La Suisse
refuse d'on tenir compte,
Bien fait.
M. Trotsky vitupôro ii Moscou contre
la Franco, qu'il accuse do soudoyer
contre la. Riisslo los Etats voisins. I l
veut renforcor l'armée rouge et spéciaIçmont la notte aériouno. — Los Allemands l'y aident do toutes lours forces.
Le JRKIU rétablirait los relations
diplomat quos, interrompues par los
massaoros do Nicolo'i'ovsk. I l demande,
on échange do ses concessions ; r que
la Hussle prouve sa sincérité, 2" qu'elle
lui vende à un prix normal la partio
nord do l'ilo Suknallno, dont 11 occupe
le reste. — Sakhallno ost richo do pro
dults miniers do toute espèce, spécia
lonient do pétrole.
S«l,sle.»i. - - Do nombreuses saisies
ont été opérées dans divoreos localités, a la suite du refus des munlcipalilés do payer les amendes qui leur
01,; élé innigocs, Parmi les plus grosses saisie.^, Oa millions do marks (environ 80.000 fr.) ont été confisqués
dans les caisses municipales de Coblciilz ot un total de 112 millions do
L'humoriste bulgare
marks (environ ao.ooo fr.) dans les
La Bulgarie est Infestée de commu.
caisses dos fonds do secours do Dus
nistes. AI. Slambouliski, président du
seldorf,
Conseil, a trouvé lo moyeu élégant de
Uo même, M M . Tcngolmann et s'en débarrasser, par uno loi qui va
Wustouhoiror, directeurs de mines être .proposée. Dans tout village où
près d'Esson, refusent de payer leurs vivent dix communistes, tous leurs
amendes de février. Leurs meubles biens meubles ot immeubles ,sonl con
sont chargés sur autocamions et en- llsqués, mis en oommunauté, admi
nlstrés par lo Sovlot local. Le droit
levés par nos soldats. M.M. Thyssen et d'hériter est supprimé, conformément
consorts, également récalcitrants, so
aux principes communistes. Le Soviet
ronl également saisis.
délormino la durée ot la nature du
travail do ses membres, ot paie ceuxExpulsion.^. — Plus de 000 chemi
ci
cn bons do nourriture, do vûtenols do lUiénanic suivent leurs cama
menls, eto. Tout communiste qui s'érades trop boolies. Et lo général De^ cartera dos règles du communismo
goutte informe tous les agents do la par exemple on mangeant avant les
voie forréo que, faule par eux de re- autres ou uno autre pitance, sera fu
prendre immédiatement leur servicct sllié sur la place publique.
ils seront aussitôt expulsés, oux ot
Nous demandons que lo mrtme .sys.leurs familles. Expulsé, on mange tème soit appliqué en France. Nous
proposons lo lînlstôro commo terrain
mal. Ils plieront.
d'expérionces, s'il ost nécessaire; MM
P. L. D,
los instituteurs communistes, qu'en
dites-vous 't
dlquds a'oDt Bit bien compris/ quo la doffiJ'i'SS- U'BUgoiODlatlon do capital do
«00.000 franoB a été aoouelllle S ' e o U i o u slWKie. « C'est la ranooa do votre prospérité » disait àvéo raiBon le oommisaitiro
aux comptes.
lit nous dIronÉf quo c'est & l'honnour
dca syadlquiiB do l'avoir si bloa «ompris,
une brassée de gerbes,- au totdps do
gorla
i moisson, sur le gcrbler do soo mr^,
pour l'aider à soutenir sa famille. Quolquos heures après le père de famlllo on
porta autant, no sachant rloo, ft Bon frère
garçon, en dlBatU : « Il f a ^ bi«î que ie le
sccûuro, puisqu'il , n'a, poiîonne à ouftivçr
Bft terre. » Le lunnsfnali) chacun fut étonné
do voir quô Bon gerbier n'avait pas diininu({, La nuit suivante, Ils renouvelèrent
Ceux qui s'atleudalent a trouver Ici un lé'ur cli!\rlté de la veille; mais ils se roocompta rendu détaillé dos séancoa do i'as- conlrèrcnt, et comprirent lout. •
scnujleo do Chatouulin vont so trouver un
C'est UB exemple que nous voulons lipou déçus, .11 nous semble, on olTet, qu'il vrer a la méditation des syndiqués. N'estnous Bufilt ds montrer uno fols de plus aux co pas un peu ainsi qu'ils devraient prosyndiqués, et à ceux qui sont cn passe do céder, au lieu do ne penser qu'à cuxlo deveiiir, quo nous sommes remplis des mCmes ot de se désinlérasuor du sort do
mclilourcs dijposiUons il lour égard, et quo leurs voisins? MamUvil unicuique Deus de
nous suivons d'un œil attentif et bionvcil- proximo suo. Les syndicats seront, ou ne
Uint los dirréi-ent» efforts qu'ils font vors seront pas, sulvoiit quo leurs membre^
uno organisation profosslonnello parfaite,
s'Inspireront ou non de l'esprit de cliarllé.
IDu rosto, lo président da l'OflIce Central
C'est a co seul prix ciuo nous verrons,
avait ou l'Iicureuso idée do faire appel au par ou.x, s'élever uno .lérusalem nouvelle,
concours d'un sténogrnplio de prolcssion. où Dieu répneri on mallie, et qu'il comLes syndiqués sont donc sûrs do piuvoir blera de ses bénédiclions et de ses faveurs.
avoir iiicntot sous les yeux un compte
Les
syndicalistes
nnistéiioiis,
nous
rendu tiCs complot do t«ut ce qui a élé dit l'avons vu, sont animés de plus eu plus de
a f;li(U'',iulin. Co csmpto rendu fera l'objet cet esprit.
d'uno brocluiro spéciale ; et nous n'engageons pas seulement les syndiqués ft so
procurer cclto brociuire au moment où cllo
paraîtra, nous cng.igoons encore tous nos
lecteurs non-syndiqués (i y chercher — cl
Ils l'y trouveront — la raison qui doit les
amener au syndicalisme,
Et cela ait, Il nous plult do nous étendre queqiuo peu sur deux rapports qui
furent pix'sontés à l'ABsemblée et qui nous
ont paru offrir un Intérût spécial il tous nos
eetcurs indistinctement. Nous voulons parer de doux rapports do M, Vincent, directeur de la station agronomique du l'inlstèro, sur la quesUon du lall, et do M. Belbéoo li,>prcsldent du syndicat agricole de
Douornonez, sur l'argent de chance.
l'eut-être nous 'orrivc-t-ll, quelquefois,
de mettre au pilori, dans nos colonnes, do
braves culllvatours qui se sont vus condamner par los tribunaux pour éorémago do
lait. G est que les tribunaux eux-mêmes,
narfols, sont les premiers coupables. Autant Ils devraient, et autant nous voudrions,
être Impltoyabios pour les vrais fraudeurs,
autant Ils doivent, et autant nous désirons
ménager les cultivateurs do bonne fol qui
peuvent so trouver poursuivis pour fraude
sur lo lait.
Car II arrive, et très souvent, que des
culUvateurs do bonne fol sont poursuivis,
Quo l'uut-il pour que los culUvateurs no
soient pas poursuivis? Tous ceux qui ont
suivi la causerio si Intéressunte do M, Vincent savent dés à présent ii quoi s'en te-
Le trafic
des carnets médicaux
à Brest
, L'arllcle Ci do la loi du ;tl mars lOiO
donne le droit, aux pensionnés de la guiTi-c,
il la grutuilé des soins médicaux et pliarmaceutlques néeessIlOs par la blessure ou
la maladie qui a molivé Ja réforme et
donné, liou ii pension.
Pour bonéllcior de cctic dlsposlllon, les
Inéressés doivent se faire lascrlre à leur
mairie. 11 leur est délivré un carnet, avec
lequel Ils peuvent se présenter, toutes les
fols qu'il ost ullle, uu médecin de leur
clioix. qui détache un feuillet lui permettanl de so faire régler la consultation. Sur
la présenlaUon du mémo carnet et de l'ordonnance du médecin, le pensionné peut
égulcment obtenir graluilement les Rédicaments prescrits: l'Elat solde toutes les
lournilures.
Il eût élé surprenant, que des abus ne
fussent pas signaié.s. Au su de tous, certains pcnsioimés, non contents do so servir eux-mêmes, prêtent leurs carneis aux
parents et amis, qui se servent avec la
même facllilé.
Les médecins ne peuvent en effet connaître tous les ayants droit; et, ce qui est
grave, quelques rares médecins ont vu,
dans rinstitution des carnets médicaux, un
moyen facile do grossir frauduleusement
lours bénétleps aux dépens do la Prlneesse,
c'est-à-dire du pays. Se faire présenter des
carnets, cn déiaeher des feuillets pour des
consultations multiples non données, voilà
en nuelques mois lo procédé.
Mais, tant va la cruciio à l'eau.... que
quelques malins ."io sont fait pincer, ii
Marseille, à Versailles, ailleurs encore, cl
même à Drest.
A NOS ABONNÉS
a l ioniaoca do son abonoomcnt est consia i i i commo réabonné st doit le prix pour
uno nouvello année.
Eo coaaéquence, nou» prévenons noi abonnéj dont l'abonnement expire F I N M A I
qui n'auront pa> retourné lo premier auméro de J U I N quo dans quelque» jour»
nom leur fcron» préientcr, par le lacleur, une quittaiioo do 8 franc», à laquelle
il» voudront bion réserver bon accuoil?
La» abonné» domloiliéa hor» du Finistère
aont invités à envoyer eux-mémoa le montant
de lour réabonnement.
Teute demande do changement d'adresao —
laite a uno époque autre quo réchéance de
l'abonnement — doit élro accompagnée de
l'une dos dernièrca bandes du jourual et de
60 cootimes en timbres-coKle.
.L'hpure d'été, déjà votée par la Chambre,
vient (léiro votée par le Sénat, par IW voix
contre ma.
La date d application ii'cit p.i3 cticoro
li.véc.
SEMAINE RURALE
DE L E S N E V E N
'OT
14, 18, 13, 17 Juin 1923
Jeudi 6oir, 14 Juin ; arrivé
Scmainiers.
^ Vendroill 15 juin : 0 h. 30, mosse ; I h., inslructlon du H. P. de (Janay : les
Associaiiiuis profos-ionnclies au point de
vue clirélloii : _
h. 30. pelit déjeuner ; » 11. M. confêreni'o d'ouverture : .M. Hervé
de (iuébiianl, président de l'Ofllce Central;
— iO h., le rôle de la lonune d.ms la coriior.Uion iigncole : M. Henry, président du
Syndicat agricole de l.cnimn ; _ n li 30
déjeuner ; — li li, :m, iléjiart cn c.imions
auliaii.ibiios : - 13 h. 30, lisim
la p™.
prié|« , 0 .M. Va(.|i..i.onl. présiil.'iit do la Société déparlementalo d'Agriculture, Oiierrus
en La lorcst ; — 17 1;. 15, retour .'1 I,fsneyen ; — 17 il. 30, une tournée de mission
bretonne en Dordoïne : M. P. L<, DIIKUI, adiiilnislraleur d.< l'Union des Syndicats agrlcuK's du rinislére ; — un "mot sur le.-!
caisses riiralos ; — is h. 15, pri-l-re, instruction bretiinno do .M. Kerbaoi, curé de
Piouose.it : lU h., diner et si.irée, (Conférence agricole avec projeetiona, iiar M.
boui'dilie;.
Samedi 16 juin : 6 h. 30. messe : — 7li.
m.->lruclion du H. P. de Canay : Que faire
à un groupé d'iiomme» dans une paroisse rurale '.'; — 7 li. :in, pelit déjeuner;
— 9 il., le inercanlilisnie : .M. de Hodciiec,
secrétaire général de l'Union dos Syndicats
agricoles du rinisl.'.ro ; — 10 h. 3Û., l'élevago dans lo Finistère : M. Uieas, direetenr
de la .. Brelagno Hippique .•: — 11 h. 3»..
déjeuner ; — 13 h., Msilo à la station de»
Haras ; — 15 h., les buts du Svndiealismc
agricole : M. de Lestapi», délégué de l't,'nion Ceniraio des Syndicats Agricoles ; —
17 il., riiygièiie de la ferme : .M. le docteur
Dujardin ; — 18 h. 15, prière, insiruelion
brelonne de .M. Kerbaol, curé de Plouescat ; — 19 h., diner, snirée. (Veillée bntonne aveo le concours de clianteiirs et diseurs bretons, .sous la direetlon de .M. l'abbé
Con((. recteur de Locquénolé).
Dimanche 17 juin : 7 b., messe de communion, insiruelion du H. P. do (i.oiay :
Les devoirs du clicf dans »a famille cl
dans sa maison ; — 8 h., peUt déj./uner ;
— 10 II., messe iiaroissiaio avec pl.ic.'s réservées pour les Ijoniainiers et ions l.-s meinbrcs des Syndical» agricoles, sur pré.senialion de leurs caries syndicales ; — i> |i..
i.snqucl ; — 13 11. 30, grande réunion de
clûluro, hous la iirésidenco de .Mi,-r i'l-;véque ; allocution de .M. H. do (;uél)i.iani.
président do l'Ofllce Centrai ; ail.icuilon
d.j M. do Lestapis. déiéKué de l'L'nion
Centrale des Syndic,Us A(;ricol,-s ; l,a
Commune agricole professiiimic-lloinent orP misée : ^l. Tinévez. iclminislraleur de
1 Dfllce Cenlral (en bre|„n) ; lllslonque
lie l'organisation svDdicile agricole (l,in»
i.i l'inislère : M. Tlioi,
dent d.> l'Oflleo Cenlral (IM; hretoi,': -pr.
ciillon de .Mgr Duparc.
Prix do la pension (vin compris) : 30 fr.
Ce programme monlrc l'i-iporlanco quo
l'aiilorllê diocésaine attache a celle premii'ro réimiiin. ,M.\I. les Curés et U-cleurs
voudront hlin pro-lei' leur choix sur le»
J.îutu's lioninie» cl chefs de culture les plus
cap.ibles (l'avoir pour leurs concitoyens une
acii.iii profondément chrélienne. car lo désir do .M.iiis'liriieur rKvêiiue esl que les
Si-mainiers soient, les premiers éléments de
confréries rtirales qui seront eomme l'arniaturo rclj.rleuso ile.-i Œuvres syndic-iies
cl mulualisle.-;. H sorall souiiailai le (|ue ch.ique cant.in nous fournisse u!i ou deux de
Prts repré.seniants d élégués par le clergé nuroisslal. En outre, ooiis cciiiiplon» .sur un
grand nombre d'agriculteurs pendant l.i
Journée do clôture du dim.inclie 17, que
M^r l'Evéque pi-ésideri
, et dans laqufilo nous serons lieureu.>: de recevoir le
mot d'ordre qui piéciscra l'aclion <lapostolai.
Prièro d'adresser au plu» lét les noms
iI.:'S Semainiers à M. le clunoino Alfred Le
Hiiyj directeur dioC-Sain des Œuvres, à
Ouimper.
Les Agricillleurs qui auraicnl l'intci-.iioii
de venir à Lesnoven le dimanclie 17. et de
preiuliv! part au repas en commun devront
S'! faire Inseriie à l'avance, par une simple
carte à l'adresse de .M. rAuiiioiiicr de la
rclralle, à I.csneven.
La
?
?
LES REPAHATIONS
ne rOFFIGE GENieAL
MM DES S Ï N H S AGRICOLES
ASSISES DU FimSTÈEE
M
V
i
f ;
«
»I
\
1
acoroll
i t o le rendement.
Epa?
irgncr c'est aussi rendre service auj
pays.
La Franco po-scdc do ti-ès grande» richesse», mais pour les mettre cn valeur, L
le.l cxploili r. l'Ile a besoin do beaucoup do|
capitaux. L'Epargne, lui cn fournit el doiti
lui cn fournir ciicorc davantage.
I
Un exemple montrera comment l'Epirgnei
favorise la production.
I
l'n propriélilre possède un champ trèsl
fertile, cependant n'ayant ni matériel dej
culture, ni urgent pour cn achctcr, il no S
Iiout le travailler. l,e champ no produit!
rien. 110 lui rapporte rien. Mais si ce pro-î
priélaire ,i un voisin qui a des économies |
et qui lui prête d.T l'argent, Il pourra sol
procurer ce qui lui manque. Bien cultivé!
son ciiainp produira une abondante récoltai
de froment,
(
Celle belle moiss 01 à qui la devra-t-onî!
à I Llurgnij ; »,ins les écoiiornics du voisin,
faute de Inalérlcl le cliamp resterait inculte.
Qui cn bénéllelelM
Le propre'iairc ; avec le prix do la récolte,
il rembourse son emprunt cl paie tes lutéréls.
Le vol-in y gagne, on lui rend plus qu'il
na d'.nni'.
*
Eniiii 1.' pays lout entier cn lire grand
rrolil. La récolte de blé étint augmentée
on en achètera nnin» à l'étranger, le blé Cl
par conséquent le pain sera moins cher.
L'Epargne on le voit rend d'immcnse.î W
servlce.s, c'est une nécessité et un devoir S
d,; l'cncour.iger,
»
Les Caisses rurales rempli-sent pleine- K
ment co rôle.
S
Installée dans la commune, à la Dortéc da f
tou», la Caisse Hiirale reçoit cn dépôt l'argent des épargnants. Elle les met à l'abri
di.» risque» de» perles ou de vols, les vois
iéla.s deviennent trop fréquents. La Caisse
llurale rcinliourse l'argent déposé du Jour
au lendemain, loui en donnant un intérêt
assez élevé, du i % en général.
i'
Ajoiilons eniln que la Cuisse Rur,ile donna des garantie» que nul aulro emprunteur ns ; '
saurait donner aussi complètes, ausî sûres. •Du reste, apn-s avoir vu quel» sont le»
avantages do l'Epargne, nous verrons cn
détail quels sont le» avantages que io.s
Caisses Hurales ijrés 'nlenl "pour lés ioar- giiants.
Et d'abord, qu'est-ce que le lait? so demande M. Vincent. Qu'est-ce que le lait
Le nouvel horaire
" légal
puisqu'il faut employer co mot?
" Le lall, dit la loi, est le produit Intégral
des chemins ds
fer
de la traite totale et Inlnterrompua d'une
fcmuile lalliùre bien portante, bien nourrie,
A rortir rlu f juin â:i2-'!, 1111 noovcaii aerric»
et non .surmcnéo. Il doit être trait propredo traias sera rni.s en vi-ueur sur les lignes de
mont, et no doit pas contenir do colos.Normandie, de lireiagne et t!» Sud Ouest.
trum. 1.
^'ous pulilierons lo n^miel lioniro. en ce qui
IVuucuns diront que voilà beaucoup de
concerne
notre région anssitjt qu< nou» aui-oui
mots pour désigner un seul produit. Et
ol)tenu lc< renseignements complets. En atleupourtant, dans cette définition, tous les
danl,
s'ttirosser
uui ciieis dcgure.
mots doivent filro pesés par chaque cultivateur, Heureux ceux qui trouvent la
UN
MALCHANCEUX
bonne volonté et la eompétonco d'un M.
DOITË A L X LETTUES
Vincent pour les aider à peser et ik comNous no savons si tous les coupables
prendre ces motsi
ont
élé
appelés
à
rendre
compte
do
leurs
'Vraift! tolnle. — Pour comprendre ce
Notre boîte a-it lettres étant ré.ieroée cxctiinous Ignorons même si tel eu
mot, los culUvateurs devront savoir que iigisscmenls:
siiemeiit A no.î teoteiin, il n'e.U rfponlu <nn
tel, qui so félicitent de l'intervention d'une
les matières grasses, —- les plus précieu- loi d'amnistie, n'auraient pas été mieux que
paria, roie du journal, et seulement aux corses — contenues dans lo lait, ont une ten- le 11' Pollen à leur place sur les banes do
respoiidnits'iui joijnciU 1 f r . pour cftaout
Conflit gréco-turc
dance — plus qu'une tendance, puisque la correcllounclie de Brest, vendredi der'/ucstion posée.
0 est uno loi do chiinio organique — il renier.
Artisan. — Olierchcz pIulOl parmi vos
Tandis quo la Grèce, ennn, so ré- monter il la surface. De même que la crème
Quoi
qu'il
on
soit,
le
n'
Pollen,
30
ans.
connaissances. Nous ne connaissons aucun
signe il offrir dos concessions territo- ost montée il la surface du vaso au bout orlpinalro do Plouga.stei-Daouias, peut dire
étaldissement
qui consente à prêter à co
d'un
ccriain
temps,
do
mémo
il
remonte
riales
la Turquie, au lieu ot place il la surface dans les mamelles do la vache. qu'il n'a pas ou .•;« chance. Médecin de la
taux. Les lianque» sérieuses ne prêtent
Mais, on plus do l'inlerpollotlon
d'indemnités pécuniaires impossibles, Le promior lait do la traite, c'est-à-dire le Marine, le 15 septembre 1920 il démlslonKUère
d'ailleurs
qu'.à ceux qui offrent des
Aragi., il y avait uno autre inlorpolla
on annonce des oscarmouohos on Tlira- lait qui, dans la mamelle, so trouve au- nnit pour prendre la suite du II' J.anicot,
immeubles en garanlio.
.\rmorlque,
à
Itecoualors
Installé
ru
!
tlon do M. 'Viitopnt Aurlol, sur los' me
co;
coups
do
fusils,
coups
do
dvnaniilo,
ilOBsiis, ne oonllendra donc pas la quanUn lecteur P. P. — Cette jouissance ne so
« Los hauts-commlssalres nilié.s
Un mois k peine s'était écoulé, que
sures quo lo Gouvornomoiit conipto
elo, En stylo dipiomutiquo, i'horizon tité do malièros grasses que conllemlra lo vranee.
perd pas; mais d'autres perspnnes peuvent
dernier s'élabllàsait rue de Siam, malgré
îjrendro pour réprimer l'évasion do» Conslanllnoplo préparent l'évacuation s'assombrit.
rlernior lait sorti — c'osl-à-dlro le lait qui 00
•
ivolr
acqui» un droit de propriété par la
qu'il avait signé de ne plus
do leurs natlonnux, en prévision do
trouvera .Tu-dessus dans la mamelle. l'engagemont
valeurs niobillitros cl los non-déolara
preserlntion de trente ans. Question beauexercer à Hrest, ni mémo dans un rayon de
l'éclioo des pourparlers de LausanD'ofi
la
nécessité
do
la
traite
tolale.
coup
plus
comjilexe qu'il ne vous le semble;
tions en matière d'impôts sur lo rc
Amérique et désarmement
kilomètres. Pour comble, im des iiiullne, » Cpllo note dos journaux indique
Irailo Iiiiiileironipue.
— Ceci, dit M. 25
il est inipossilile. sur des indications aussi
venu.
lés qui so faisaient soigner par Janii-ol
assoî; oxaotomont lo degré do conllanoe
Vincent,
ost
lo
caraetOro
mémo
de
ta
vasommaires,
de nii.jux vous renseigner.
A polno lo député soolnllsto a - t - l l do l'Kuropo. Mais on tient Jusqu'au
L a 4* Conféronoo pan-américaino che ; c C3t un animal assez doollo en gé- était parti habiter Caen, m'i il pouvait difUn lecteur qui n'a donné aucuns Indicaprononcé quelques porolcs, qu'un vé
do Sanliago-do-ChlIi v ont do se ter- néral nui#id on le trait, mais qui n'aime pas llellement oblenir les soins que iiécossitnil
bout.
élat; 11 fallait on c fi'ei élatilir le cartion pour lui répondre. — Il semble bien
rllablo luniullo so déchalno. Lo tu
miner. L'argentine s'est oppo.séo aux qu'on la taquine par deux fols, SI l'on v son
net au nouveau domicile do .seoour-: de
qu'il s'agisse d'un bail à loyer; dans co
Oapliulatlone. — Los Turos obllen
multo no fiiil quo s'accroître quand lo
auffinenlntlous (déguisées) des forces «•vient par deux fols, on effet, la vache plu», à coite époqui', li.'j iio'di'eins ci,dent
l is, la prorogation serait due; mais pour
ministre des Klnanoos veut s'expliquer, nont quo lour suppression totale soit militaires ol navales, contre l'avis du peut Iris bien ne pas donner lout son lait; cn dé.saccord avec l'admiiiii,Irai ion, i !. I.'s
répoudre aveo cerlitude 11 faudrait voir les
après qun M. Arago a élé diroclemenl onvlsagéo, Dos mosuros favorables aux Brésil cl du Chili, A noter doux pa- d'ofi uno porto sérieuse, puisque c'est pré- consultations eralulles étaii.nl suspeidues
h iiix. Donn.'z toujours un congé par huistnis on causo pnr M, Aurlol. Tout dé- étrangers pourront être prises, mais roles do M, Montes de Ooa, délégué cisémoiit lo dernier lait, c'est-à-dlro le à Caen, Rolllcilé pr'.r l'intéressé et' y
sier.
meilleur, qu'cil» refuse de donner. Kt co
b a l doviiMil im])os.sil)lo, au polut quo non comme suite dos Capitulations,
argentin. « Notre iiays oomple doux lait resté dans la mamelle no so relroii- parents de coiilimici- ii rcxnijni,! IIU II ' .MP. L. «. I t . — Si votre question est sé10 Pré-tlilunl prend lo parti tlo so cou
•>. Il'
Itabllasementa religieux, scolaires; fols plus do mallrps d'écolo quo île sol- vcra plus: pour chaque vache, cn olïel, la nicot à délivrer des ordiomaii
rieuse. nous retretlons de ne pouvoir
eut la faililessc de se laissiT 'air...
vous
liriiiner le ri-nseignement demandé. SI
vrir. Ln séanoo est .su.sponduo.
nospltnllors. Los Turos no voulont dats. — Nous voulons consacrer au Irailc correspond à une composition clii- Pelli'n
n'était uno irrêgiilarlié, d'.iutanl (|i :e !..
vous voule; plaisanter, allez à la prochaino
A la rtvprlse, lo mlnlslro dos FInan
traiter quo dos élobllssomenls fran- dévoloppemont dos richesses niiiuroi- inlinio qui ne varie pas.
D' l'plleii n'avail iaiiiais vu li- hénêfii. Mir'.
foire
ou ,'iu prc,mier pardon de chez vous:
ces (leniando Ji s'oxiifillnuor. « On s'ost çais, anglais, italiens, ol seulement do los du pays los sommes quo le niililaTraite d'uno vache saine. — Il est très
Au nom dn loinlsIiTo dos Pensions, parvous, y l-ouveiez des trains blindés.
important do savoir qu'une vache non lie civile, .M< liui'ios,
môuris, dit-il, .sur inos déclarations
ceux qui existent déjit, Los Alliés ao- risme angloulirail, »
avoué,, réi
-,
---lanw
"onton Bian. — Envoyez ImmédiateJ afflrnui qu'aiirés los oxplloatlons ap- oeptonl de payor la douane turque pour
Buenos-Alros approuve. Washing- saine ne peut donner un lait sain. Une l.nOO franc» de dommiiw.s-inlérêts. Ses
ment un ciinlrc-congé par huls.sier, dès qu8
portées à optlo Irlbuno, Il n'y a rion lo» objets du eulle ot los matériaux de ton est moins content: il n'a pas con- vaolio tuberculeuse donnera un lait tuber- eonciuslonsi sont souti-nucs, rn uno l'u-m.:
vous aurez reçu le congé. Votre propriéculeux;
uno
vache
apliteuso
donnera
un
par .M* .Masseron, b.ltonnior, qui,
qui puisse porter allointe à I honora- oonstruolion.
quis lo Sud-Amérique tout oiitior.
taiii! ne pourra vous expulser sans vous
Init aphloux, donc un luit dangereux; une modén'e,
lie même que devra lo faire -M. CJuilMiard,
bilité do M. Arago ot tt l'osllmo dont
avoir appel.;, deyant le Juge de paix, à qui
vache attehile do mamnilte donnera un procureur
Pierre L E D I I E F F .
do
la
llêpubliqni-,
lient
co.iiple
Amnistie.
—
L'Angleterre
demande
vous demanderez une prorogation.
11 Jpull dans colle (ibambro. n
lait qui no trouvera pur grâce devant l'a- nu D' Pollen de
»lnoérll.5 ot de sa Dello
nal v.so... ni devant los tribunaux I
Doux ordres ilu jour sont présentés que los émigrés, qui avalent fui ConsT. F. 43. — C'est uno question qui est réatliludo pendaiil la guerr,-, de même que
hn ce qui regarde la propreté du lait, du
par MM. r.afTonl ol Vlnoonl Aurlol. Lo lanlinoplo devant l'arniéo komalislo,
glée
par l'usage des lieux: un an ou trois
peu d'impurlaiiei,. de la sommo on
ulsspnt rentrer on Turqulo, ol quo los
lout lo mciiide so rend compto qu'il di*- eau.».;:
ans suivant les lieux ; Io plus souvent Un an.
iplnlslra dos Mnanocs demande l'ordre
le
préjudieo
causé
à
rivlal,
si
|.ré)end
uniquement
do
la
propreté
mémo
de
50
personnes
oxcoptées
do
l'aïunlsllo
il y a, no dépasse pas 185 francs.
•çu'Jour pur ol simple, « J'altacbo i»
a vache, do la propreté des mains de In Judleo
aient douzo mois pour liquider leurs
Aiirè.^ cela, la làeiie li-i iléfonseur. M*
cet ordre du Jour, dll-ll, une slgnllioa
per.TOnne employée à la tralto, ainsi que Kolilard,
biens,
A
voir.
dovenail
ruIaUvemenl
fii'ii".
tlon (lo conflanco. «
de lu propreté des ustenHiles dcsllnés à Uolenons que
les meilleurs ronseitineinonirniirer et à recevoir le produit do la tralto. Kont fourni» sur
Kl, par •iOI voix oonlro i R i , l'ordre
Conflit flréoo-turo. — Los Alliés
le 11' Pollen, qui, i.vjut
Seul lo mot " coioslrum
à l'ospeel déoouvi'it Kl (•arneis oubliés pur .son prédu Jour pur ol simple ost odoplé.
avalent demandé aux Turcs et aux
»
.si rébarbalif, pourrait bien dérouter nus iléeessiriir. s'était empressé de les rrudre
Oroos do renoucor fi toulo indemnité
iooteurs.
Tous
savent
cependant
quo lu aux liluiaires.
do guerre, Los ()roo.i uvalont acoopté
lall d'une vaeho ninivollemont vélée a une
Cn qui ressort do toun cns débats
Jugement à hiiiluino.
co » saorilloo ». Les Turcs refusèrent.
colorallon
Jaunâtre
spéciale
qui
dure,
tout
'esl (|iio lo Hooret on jniait'>re do déola- 1.0S Orées réclament doue pour leurs
au piu.s, uni- dizaine do Jours après
LE D' JANICOT
allon d'iinpôl tuir lo rovoiut n'est pas nationaux dos doniinngos d'un mondu Finistère
io velar, : or» c coloration est dile ii ce
toujours entliVroniPut gardé coimno 11 'ant égal
<pic les . i .'ii.Mes nppeiient lo « coioscelui des dommages exigés
Le D' Janieot ost un de ceux qui peulo dcvi'nll, ol pomitu» le veut la loi, qui
lrum
..
'..i-.
on
général,
los
lalllei-s
ne
lar los Turos, ("ipux-cl neousont io,'<
L'Assemblée Oénérnle do l'ornco Central sont pi'< ;M.iiilélés par co jiolnt de la loi; vent dire: riieurcuse amnislie.
lm])oso ce aoorpl aux foiiollonnalros.
Jreos d'avoir dévaste» l'Asio-MInouro,
Cependant la clianeo l'abandonna au
les Oliuvrcs Muliiollos Ag^le.olc.^ ot de leur liitiîicl, on effet, s'accorde tel avec in
inoondlé Smyrno, ruiné les plus rlolios l'Union des Syndicats Agricoich du t'ini»- loi;
car ce eoioslnim est une maUère spé- ileniier moment; el o'osl. pour l'inslgniprovlnoos do l'l'",iiipiro oUuiiian, ol ré- tèro s'est tenue ù Chaieauiiu lundi dernier, ciale ahnolunienl nécessaire au Jeune voan ; llante ."ionime de ;i5 francs qu'il est pourolainonl un arhiliage, — lies Turos 21 mal.
c'est pour le veau que la nature a ci'é.> suivi. Pour li's milliers ei les ilizaine.i de
S'il ost vrai do dire que l'humanité se celle niailère; et it ost rare — i pari, le miiilc'i's lie francs qu'on lu soupcjonn.; d.sont dos ngneaux tout blancs, Lo sang
s'être fait reinellre i'r.iiid«leiisem';nt, rien
eomposo
de
plus
do
morts
que
do
vivants,
cas
de la mort du veau — qu'un lait co- à
ilu peuple arménien qu'ils ont anéanti,
lui réclamer: il les ii cmpoidiés, il les
nn peut prnsqui; cn dire de mémo du svn- loslral soit mis en vonto.
no ooiiiplo pas I
fardera, l'amnislii' ayani passé le boui-lieni
dleallsmo (Inistérlen, Sus premiers promoMalgré iDUles los précautions, touteAgé
do 'lO ans, llls d un eiicf de liviBREST
Aooord polono-turo. — Los deux teurs et un grand nombre do ses inomliros fois, un ciiilivateiir peut toujours être sion à la Préfei'liirn de Caen, ot n:ii'ion
pays vont roprondro les rolalions rii- font nartic, nous l'espérons, de l'église poiiriiuivi. Il y a des vaches, on effet, dont méde.^ln do la .Marine, le D' .laiileot s élull
Courses dn Polygone du 10 juin
triompliante;
ot
c'est
pour
on
fiioiliter
l'on.\v.nnl do savoir quand ol commeni
le
lait
naturel
ne
renferme
pas
les
,18
iloinai.iqups « intorrompups dopul.-- Iréo il ceux d'entre eux qui font enonre
iiislaili' coinm" mCiii.'cin elvli à Touliui. A
Le comité do la Souiété lilppljue de Brest
le Hoieh nous fora do nouvelles pro705 I pnr lo dornlPi- partage do la partio do l'égilsc souffrante que ios diri- tiO grammes do matières grasse» par lilro la déclaralioii ilc: guerre, dira le proeKieur
inlurmo .ses .sociétaires ainsi quo les perexiKées par la loi. On a vu d. s vaclies dont de la UénubliiUM. .. li élail déjà moi'.ilo
posllioiia, on disoulo la teneur do ces l'ologno, Jaiiini.s la 'i'iirt|uio n'a resonnes
s'intérc.ssa: t aux cour.ses orjranlséCB
•jo.mls actuels tiennent ii ouvrir leur assem- lo lait ne renfi'rmo quo ;iO à «3 gramm
ment brûlé dans ci..tte vilie. .. llajpo,
luturos propositions. On jiarlo do 60 connu los partages iniquos, qui furetr blée générale annuelle par un seivloo ndi- par
par la Société, que los coiirocs qui devaient
litre. Lo propriétaire de ces vaches pout ilaiiH la marine, .. ses tliefs l'envoyèri nt
avoir
lieu
l(! diiii:mciie :i juin, sont remise»
1P péril» mortel do l'Kuroiio » au 1 leux. Admirable dogme de la communion donc être poursuivi tout en ét.int de bonne Brest par mosiire disolpliniiiro. •• C'est .iinsi
milliards, do 120 milliards, de prélôau dliiia,.clie 111 du mémo mois.
•vcmoiils sur lo capital individuel, .XViTI" sliic.lo, fl'psl (lono avpo uno cor- 1 es saints I Délicieuse entr'nldo do la terre fui; et il n a rien de mieux à faire que de se qu'il résolut ilo s'élalilir à Hi'est aprCs la
\o !n IWe des juréïappeicsà siéger au cours
iludp d'pnlonlp iiuo sont abordés les et du ciel, et dont le» fruits ne peuvenl débarrasser do ces vaches de qualité in
ilémoblllsatlon. I.a direelloii d.i ilispei.jal
Conceric Botrei
d'impôt triNs lourd sur lo revenu, do
antitiiberciiieux lui fut eonilée; île plus, ii il,; l.i sessi.jn du rJ.'3.
robli">nios polilltiups. Juridiques ot pas être négligeables 1 Coutume pieuse qui férieuro.
Le barde Bolrel donnera deux concert»
concordats anglo-alloinands... toute
fut
elioisi
commo
expert
du
Irilumal
ci
•iinin"rpinux inscrits au prograuimp est ot doit Otro roiigieusemont conservée I
Un autre conseil pratique et très im.MM.
Jurés
titulaires.
lo siiinodl 2 Juin, «a
« Salle le» Art»
C
'I H
.
lino littérature do riiiconnu. Rappe- euimniin.
portant donné par M. Vincent aux lalllors pour iifs ai'i'lileiil.s du travail. Les U
ajoulés nu l'ait qu'à Toul.m il r.iiillaiiine l e lîoy, eiillivoleiir ii Plonûerneau. soirée, cl le dimanche :t Juin, cn inalinCe,
est « do bien mélanger lo lait avant de ci-dessus,
lons soulomont quo M, Boriar Law, cn
avait élé mis à l'index p.ir si-.i conrii;rc:
l'iene l-'rançoi-i Ch.iu^st, colliTaleur à l.ennon.
A l'issue du service et do la niosso de servir les clients. »
L.iiiibé/.cIIcc
j.invipr, prétoiidait ilxor lo total h. FIO
jusimaicnl, p.irall-il, ce.s mai quos de con
Jcaii-l'iiMTO Kuîen. cuiliviileiir ii Uiiimilinu.
Démission de M. Bonar Law
Uoquiem, les délégués de presque tous les
No pouvant nous étendre diivantage
nanec.
mlllittrds, et quo M, Mussolini lui
Jean-Fiançoi-i llourniant, cnllivatcur k L'ollurec.
Docouvorte d'un cadavr*
syndicats affiliés û l'Union se réiinissaicnl nous no pouvons mieux faire que de conseil
Théreii
de
iluéléran,
|ihnriii,icien
à
l'ioniMcul.
avait d'^filarô co chiffre inacccptablo.
Dans le courant de Li semaine dernière.
Lo pronilpr mlnlslro anglais n dé- à la malrio do Chftteaulin, graoieusenionl lor à ceux qu'intéresse la queslion laiUère
Cola dit, résumons los faits cxpo.«és
Jean-.McoIm llriand, cultiraleur à Saint Timrien
.^f. Fers, meunier A Bohar», s'apprêtait à
L e Hoir.h pout fournir inflnimont plus. missionné, les docteurs lui inlordl- miso à leur disposition: l'Assemblée géné- l'achat de lu brochure qui reproduira In
l'audience par M. Houiet, contrôleur oh'
Fiant;ol»Stépliari, nniiii pilclieur & Uouarncuez, ouvrir les vannes de son moulin, iorsau'U
rale
do
la
CoopéraUvo
de
l'Offloo
Central
extenso
l'utile
causerie
de
M,
Vincent.
Plu
Un mol do Washington serait lo «
sonl 11 parole publinuo, ^ cause du
des services d'assistance à la préfeutiin l.ouis .Maris MlifOI, i-nliopri:neiii- au Conquet.
aperçut un cadavre ilou.int sur l'eau. Le
était ouverto, et in président. M, Hervé de sieurs y trouveront leur profit... et plu
de Quimper, et par M* Masseron. avocat l'dmond VincsnI. ri-trailé à l.niilMut
samo, ouvro-loi » do colto cavertio do l'état do sa gorgo. d'osl un conoerl Uiiébriarit, donnait louturo des rOsulUits sieurs aussi, peut-être, éviteront un pru
cadavre élalt celui d'une femme, et 11 fut
ilo la parlio civlli5 nul deniunJe lO.OUU fr. riorie l'osloUee, 0«|>eil ù Cai-liaix.
unuiiimo
du
rogrota
dans
lo
pays,
oii
reconnu
pour étro celui de .Mme Jaoucu.
voleurs hormétiquomonl fermée. Mais
moraux et financiers de l'année 192'2,
ces toujours désagréable
do domm:iges-lnlêrêf».
I.onis-Cliiirits
lloué,
r.
Iitilé
à
lliKljoal
39 an», iloniiciliéo 23. ruo Jean Jaurès, i
.M,
lioiiar
I.aw
ost
très
jioiiulairo,
ol
o(i
Ces
résultats
so
sont
trouvés
excellents.
Washington no demande rien
l'Al— Vors la lin Uu premier trimestro 1921
I
ran;ois-,Marin
Ar»l,
ciillivaleui
à
iirélia.
I.auibézelleo.
Un bénéllee net de 08,707 francs a permis
M. noulet rocevail dos mémolru.'j da Breet Cnillaumo I.o Corro, comnierv. A Lmnliérarïe;.
lomagiio, cl veut exiger do la Franco l'on no voit Kuèro lo suoopssour idéal; do
La inallieuieuse souffrait, depuis quelque
consacrer de» sommes Importantes à diM, Stniiloy iialdwln ost lo candidat do
Et nous ne pouvons mieux faire, non Celui du doelour .lonlcol s'élnvait
Jo n l.ho!illi, eiillivulcur à f'iouvien.
Je puifmont liitôgrnl do sa dotlo.
temps, do liouble» neuraslhéiiiquc».
alio droite du parti; lord Dur/,ou a vers comptes d'amorllHsemcnts, de réser- plus, pour résumer l'intéressant rapport do 17.000 francs. Des .mémoires da pharnui
Yvc»
Coiian,
relriiilé
à
Si
l'Ieria
Qiiiibignou.
ves, cl do distribuer aux syndicats afililés
Henri-Fraucoin Carudec. cuIllTateup ^ l-ioaré.
L'agitation coiumuiiisli< en Rillir se plus (lo clinnoos, NI l'un ni l'autre ne des rlstourneii, variables suivant l'impor- M, lleibéoe'h, sur l'argent do chance, que ciens, alteiHnaient de 15 à 30.000 franc».
I.C <>oii(|(iet
lie reproduire loi lo texte d'uno aftlclie qui
Une vérlliuallon s'Impo.âlt, En un an loi
développe. Tracts contre M. Poincnré, sont fi'ouoophilos. i'ouUélro M, Hald- tance des afTaires faites par chaque syndi- a été tirée par les soins do rtlfOce Centrai. mutilés du déparlemenl avalent coûté Laurent Livinec, cullitaleiir à Kirnt-Fnigant.
Pilleur» a'cpaveg
Jacques
Siépban,
roinmervunt
à
I
rellloïut.
win,
plus
iiomme
d'affaires,
moins
im.
oal,
et
allant
depuis
la
modique
somme
de
confûronoos coiilro roncupalion, disLa pratique dite do l'arg<'nt do chance I,800.000 francs do soins médicaux. Sur Jean Gautier, négociant à Lanmeur.
80 oenUmcs au syndicat do Combiit, Jus- a I.donné
Nés lecteurs savent que le vapeur « I.I-» '
cours contre los industriels tant fran- pulsif nous serait moins défavorable, qu'à
à de regrettables abus qui celte somme, Brest avait reijn 750.091 fr
Albert I.ourent, pliarmaclen ù l'ont l'Abbé.
la sommo plus imporlanto de 000 et HOiilùvent lieu
Avoo M, Uonar Law, nous Jouissions
Or, tandis que le dép.artemcnl compte Ilemt Savinn, eult a l'l(n;ail(l-,>;uii,l-iirrmaiu. pari " s'élalt échoué tiiix lllancs-Sablons.
partout de vives protcsUations.
çais
qu't\lloiTiands,
excitations
h d'une noulralilé biouveillaulp, Avoo guMiyios franc» au syndicat do Sainl-Polil a pu êlie remis à Ilot et a regagné 1« '
15.500
mutilés.
I';
chiffru
pour
Brost
est
Jacques Le Iknair. oominerîanl à LiinduduS.
D'une coutume Jadis charilablc II ne seulement do 1.500 à 2.000.
port de Brest.
;
« l'aclion )• : roiisenible nst nsscii Im- lord f'.urzon, la nuance sera moins
qiie kvnom: les quelques sous dont
Charles-Vfes Uuillcu, rclia té â lliielgonl.
\vaut do pouvoir fiire remis à flot.
. 1. Uestion bonne ». Tels sont les doux reste
portant. Du désordro^pourrait on ré- piai,saute.
Aulro stallslique: la moyenn» annuelle PIfrre Cii.irle), conifllMcr nuiiiieip;.! à Iircsl.
le
vendeur
faisait
l'abanikm
au
protll.
des
"
'.'.''""•J
"
décharger
une
bonno
mots par lesquels lo commlasairo aux pauvres, sont devenus dix, vingt, trente des .soins donnés à chaque mutilé en
sulter. L'aiilorito militaire a pris ses
J(au Caton, coiunieriaiit à heriiilis
(l'est IVf. aUnlojr Haliiwin, clianpo- comptes a résumé son rapport.
partie de sa cargaison; et plusieurs tonîranes et davanbige; qu'en reçoivent au- franco revient à 52 francs; pour lo mutilé Joseph .Mailiii, ciiiliviiicur a l'Iounév-ri-Lbcliri^l. ne
jqosiH'os, ot re:àlroint la liborto do pa- llor do l'Heliiquior, qui romiJlaoo M.
de viande avarléo, ainsi que de noiiidu Kinislère celto inoycnno est do 7é fr
jourd'hui les nuilheureux?
Franvols
lllïlen,
forgeron
a
Gul|iii»ru.
breux
barils do graisse avalent été jetés »
role.
llouar Law. Agé do GO ans, habile aux
le mutilé do Brest clla s'êlèv.j
Dans l'Intérêt des vendeurs-et des aclie- pour
Jean-.VIIehel Uou/nrd, cnillfateur h Ktijuil/leo. la rncr.
380
francs
I
.questions
fluaiieiftres
et
coinmtinalos,
Jean .Murie Martin, proprl<!lalre à l.an'luuTO].
En Icrmlnont notre compto rendu do tcurs, 11 Importo quo la queslion do l'ArI l faut ajouter quo bion des ouvriers
Un
grand
nombre de marins ..Jcheurs et
La vérinealion permit do constater qu'à Claude Cahloch, eultivaiour à ItosvolT.
nous l'aurions souhaité plus francodo Chance no puis.se soulever audo culUvateurs des environ» sont venus
«'agitent, surtout, l'I causo du maluiso phile. Mials dans l'opourronoo, nous no l'Assombiée généralo des sj-ndieats do gent
19S!0, nous disions: n Le paysan breton cune conlcstalion: Il faut donc la régler Brest la moyenno des ordonnances variait l'raiiiou Dohollou, «elller a .Moilali.
sur
la
pl.-igc,
attirés par ces époves dent
«jcononiiqi'to. Los mineurs réclament pouvions rûvor mieux. Uouno chance 1 bougo. C'est son droit; c'est son devoir, avec précision dès la conclusion dos mar- de 20 à 50. Elle» émanaient pour la plu- i'ieirc-.Mario I.o DOUKOCI, mareyeur à Cair.aiel
II» voyaient lo proOt à tirer. Les bartis d«
part du T)' .lanlcot cl do ceux do ses son- .Milliau lloiliui. ailj spi'o a St-Ca.lou en Sbua. graisse,
Co n'est pas pour ln chambardement; c'est chés.
un salaire <lo HO.WM) marks par jour
surtout,
fusaient l'objet de leurs
pour la prospérité do l'Agrloulturo, et, par
Il est Inadmissible qu'à l'heure du paie- frèrea qui ont fait l'objet d'une instruonon Kranvoii Ar/iir,cuiiitateur ( l'IouarzcL
canvoltlac». Mula le» douanier» veillêrcnL
ot une avanco do 2l)0.0U0 nmrks. •< Peu
Pologne et Dantzig
là même, pour la prospérité do la France, • ment lo cultivateur se vole rotcnir, sous Les honoraires perçus çn 1921 par lo D' l'ierro L'onihl». midro du Poi.lhoii.
Quatorze,
purinl
cc»
marin» et cultlvatourl
nous importe, disent ceux do Bochuni,
Lo paysan brelon a bougé, on oITct, prétoito d'argent do chanoo, do' courtage ,Isnicol s'élevaient à 78,59! fraiks; fiour Vfei l.andrela. cuili'aleur k MeUTea.
ont élé graliflêB d'un procès-verbal. Maja
La villo libre do Danl>.lg n'accorde Nous
(la traviuillor pour los Allemands ou
l avons pu constater lundi, à la fois ou autre, uno sommo dont il n'a pas élé les deux ou trois autres docteurs qui ont
gré
leur
sal-disant
Ignorance
du délit qu'iu
été l'objet d'uno Instruction la meyennc
ik noire alliée l'aooiVs libre h la par los résultats proclamés par le prési- question au moment do la venlo.
Jurés
suppléant».
pour les Français. Nous voulons ga- pas
cammellalenl. II» devront oomtMraltn
était de 4.000 ù 5.000 francs; quant aux
mor, la sountlsslon do ses douones (> dent do l'OflIcn Contrai, por lo nombre do
bientôt
devant
le»
ti-|bunaux.
Louis
Clinret.
pamire
en
bflment
J
Qn^nippr,
C'est contre la ilxation arbitraire de mémoires des aulres médecins, ils va
gner ussM pour nourrir nos femmes l'autorité polonaise, l'égalité do droits délégués présents, ot par l'ardeur quo
retonuo qu'il y a llou de protester.
Kdouaiil-Frantol* iMénez, Imprliueurè (Juimper
riaient cnlro 5011 et 1.000 francs.
ét nos enfants. » li'est que, si les gros aux resAorllNHants polonais ol dantsl- montraient eo» dernhirs, par l'Intérêt qiplls celte
Acheteurs el vendeurs I
l-r«nçoi<-Plerr«.,Miirl« Colc, relr«ll4 a yulinri«f
l'iottgucrncau
Niimhialont
porter
aux
questions
tant
cooLo même écart est encore constaté au
industrlola peuvent tenir lo coup cols, «le., malgré le traité do YorPour
supprimer
entre
vous
toute
cause
Ëiiiila
Gainler,raarcliand-lallleurt (fuinipei .
qun syndlnalfls. Lo paysan bre- de, diflloulté, motto«-vous bien ,id'aocord, Jourd'Iiul; mais lo contrôleur ne déscapôr»
Arreatttlon
jjrftce & lours réserves, les ouvriers saillos. Il La moiitalité du Sénat dn pératives
ton A si bien bougé qu'il donno aotuoilo- on
vos marchés, sur la prix not pas d'en avoir l'cxpllciillon.
I.a peniMrmerlc de Lannillj ei ml» ea
«ont & bout ot céderont à notre mal- Danlclg est la monlalllé prusalonno » mont l'Impression d'une forco, d'uno grundo ot concluant
En
attendant,
ce
qui
lo
surprend
encore,
déllnltlf auquel nulle modlfleiitlnn ne
élat doncstatioa le Journalier agricole
I r U o los promlors. Kt lo reste suivra. déohiro le mlnlslro polonais Slrzyns- fnroo; ot, -r- 00 qui ost mieux, — d'uuo saurait Otro apportée, pour un moUf quol- c'est quo presque toutes les ordonnonoe»
Yves llRuen, accusé d'avoir outragé uns
kl, » La Pologne a sur lânlzig los foroo dlsnlpllnéo ol sûrement organlséo,
douteuses comprennent du plasma muscuoonquo, h l'Iieuro du règloment,
jeuno nllelto do 14 ans, alors quo cellc-«
On avait parl6 d'augmenter nos ef- droits ot privilèges qui découlent do
gardait un treupeau.
Uno Hlmpln comparaison permettra do
SI, en dépit do ecs accords, des diffé- laire, du vin do quinquina, des pastilles
fectifs dana la UUhr. La Dolglque a sa souveraineté sur la villo libre, eon- mesurer tout le travail coopératif et syndl- rends s'élèvoni, ils soron* constatés par do goudron ou Valda. C'est ainsi qu'ou
I . — Avantages de l'Epargna
démenti «émolument, Ln Franco son- furmétnenl au paelo rte la B. D. N. •>
Ml Aoflompll on ces dernières innées, De un agent assormonté lorsque les vendeurs cours do 1922, la quantité do qulnquin.i déMoiitaué
syndloata qui répondlront à l'appiu do on monlfestoront lo désir; quand ollo le livrée à Drest, surtout par deux ou trois
gerait à d e i mesures spéciales, pour
A eelle-oi de poser sur la Ville ré- 3li
Tout le monda le sait, répargne rend de
Arrestation*
l'Ofllcp Central cn lOiO, au lendemain de jugera opportun, l'Union dos Syndicats médooliis, fut do 12 à 13,000 litres. En
reposer M I hommes; p o u t - ^ r o ren- oalollranle.
grands
services,
cependant
la
prallque-t-oD
1921,
un
cn
avait
délivré
à
peu
près
aulu (hivrro, lo ohlITro passa à 70 syndloats agricoles fiira porter lo litigo devant les
II y a quelques jours la gendarmerie d l
tant aux 1,500 mutilés do nresl ainsi que autant qu'on le pourrait 7
foroemon) dos (rotipos do la r e l i v e .
afnilés on Bcptombro 1920. La prouve do tribunaux, »
,
procédait à larrcstation i â
H ne partit 004 InuUle de rappeler l'in- Saint-Renan
la bonno volonté syndicale des Flnlstérlens
II.000 flacons de jus de viande.
Pologne et Tohéoo-Slovaquie
Mais rien d'ofAolot,
Jacques Joneour et Jean Meudeo qui por-^
M, Delbéoo'b nous a dit tous les efforts
«tait fMtfl. Kt cetto prauvo était slnoèro,
Pou do temps après quo la presse eut térêt do l'épargne cnr 11 semble qu'aujour- talent dti sacs do farine, et dont mtltudel
fait»
par
l'Oflloe
Central
pour
combattre
L a séance continue. C'est tout.
Le jnaréchal Foch. {t son passage tu piilsqu'aujourd'hul le nombro dca syndicats les abiia auxquels ootte eoutumo a donné éventé l'affaire, M. Boulot roçui la visite d'hui nous soyons Irup poitéa à vivre au semblait suspecte. Interrogés, il» avouèa
rent avoir volé cette fartae olie» M. PeN
Prague, a décidé MM. Massarick, pré- «fflllés ost monté, gr&oo à la propagande llou. Il nous a dit toute la blcnvellUnce du D' Janlcot venu lui dire qu'il sacrifie- Jour le jour.
A '
doi By&dioatii existant antériouremont, à
Epargner co n'est p u se priver du né- rot, meunier à Plouzané,
rait quelques billets do mille si l'arfalre
sident, cl Bonés, promior mlnlslro 107, avoo un nblttro do syndiqués Rtt»l- dont lo préfet du Flnlstèro a fait prouve était
arrêféo. Hcpoussé aveo indignation, le cessaire ni de légitime délassement, mais
Ils furent alors fouIlléB, et on troUT»
A»iaMlnat. — Lo sapeur du génie tchèques, fc venir proohalnemant à gnant 1.1,000. Do plus, 2X0 aBioclatloos envers l'Oflloo au sujet do cette eoutumo, D' Janloot nt uno visito Identique, sans c'cst, on supprimant toute dépeni,a mutile,
Joneour porteur d'uno somme da ii k
Balmon .a ê(6 (uA & coups dn revolver, Paris; pour resaorrer les liens do l'«n- sont groupéos autour de l'Oflloe Central ) PulB. après uno dlBOUSsion vivo ol animéo, .plus do sucoèB, a M. Ilalllard, directeur de niellie de cété le surplus de tes ressour- 23 francs. C'était, disait-il. le produit d i
M.
doQuébriand
rnmèno
la
question
à
son
MutasIloB-loceiidloa,
l'Offloe départemental de» mutilés. Il In- ces. c'cst agir dans son propre Intérêt cl ta vonto de vieux chiffons. Or. 0 fut facl'
sur la locomotive qu'il dirigeait, îi lente. B n mémo temps il a souligné mutuèllea-aaoldrnts,
point: aurons-nous dus agents aBsormeh- torvlnt également auprès de quelques té- aussi
OBIMOB rurales, ou sutrea. Magninque ilo
dans celui du pays.
lement établi que cette somniA provenait
Bonn. — Lea aanodons ordinaires sont la nécessité de l'accord entre la Po- ralBon qui ne demande qu'a s'épanouir da. tés ou n'en aurons-nous pas? Cotte ques- moins.
C'est agir dan» son intérêt.
d un vol commis au préjudice du gendrd
logne ot la Tehéco-Blovaquio ot la oestion ost unanimomont résolue par l'afflrprises.
Bref,
&
l'audionco
lo
D'
,Tanlcot
n
élé
de
M. Perrot. Ce dernier en effet, avait
En
effet
l'épargne
permet
de
parer
aus
rismatlvo.
I.es
syndlquéB
peuvent
être
sûrs
et qui fait déjà dd tflnlatèro un
Allontaifl. — Dans l e secteur belge, salion dos conflits inutiles. Knlro la vantago,
quo tout ce qui pout Atro.falt on leur fa- présentil sous les couleurs d'un proiltour ques et aux aléas do lav.e. Malades devenus onutumo do garder dans uno casBett». suT
nussie ot l'Allemagne complioes, il des départomonta rran;als IOB plus puis
llgno Hertm-Weatorholt un train de faut la barrière de l'iinteate Coulralo, sammsnt organisés. Lo préaldont de i'ofn
veur par l'OtDoo Contrai no manquera pas peu sorupuloiix, sous les traits d'un escroc vieux, l'ouvrier, U> domestique, seront heureux une étagère de son maulln, une certains
pour tout diro en un mot.
d'avoir des économies. Lo fermier, le pro- somme d'argent. Cette caisse avait «tuce Geotrid trouve — ot C bon droit — qu'il d'être f«lt.
tnarohandtset a déraillé, sans dom- sans nssure.
MA lui
LATL OBt
AAS pa»
mLtkm AAmAmJf
. . réjouir do oeB
Espérons qu'il est lo dernier dans notre priétaire. eux aussi quand ils auront à fairo paru. et pou\ait contenir à quelques soua
ne
défendu de se
mages.
région à BO mettre dan» co cas. S'il y en a
ace à de» dépenses Imprévues seront heu- près la sommo trouvée Bur Jonoour. De
A
rtaultata. Nous noua en réjodlsgons «TOO
d'autres, quo bonne et prompto justice soit reux de retrouver l'argent qu'ils auiont mis
Sur U liffoo Grefeld-Forsthaus, une
lui; et II nous pnrmottra do fui adrosser,—
t h e m i n t d * fer aufrlehltnt
ilu». Joneour avait IraTallié au moulin. H
Et —• pulBqu BUBBl blea il faut uno con- faite. Krauder l'Ktat o'PBt voler.
•5 cOlé,
t)omb9 exiMoM ot fait dérailler \>no
ui était dono asseï fade de oonnattrs
•h,'!
«yadlqué», — miB »pé- oluslpn à tout. — que oonôlurons-nous de
Le tribunal do Brest a romi» Son jugeDn plus, l'épargne, et ce n'eat pas là sa t'exiiiteoce de cetto cassette.
. Cohlinuant sa politique do réformes olftiei félloltatloiu,
loeomoUv^ ntdeuKltoie attentat ÀU
oatte journéot
ment k iiuttaino.
' "
moindre
utilité,
donne
a
chacun
lo
moyen
Dans son Voirnoo en Orient, LamarUno
Un? preuV0:idus pérénjntolre doJaAltan«me «adwlfi;.,
, .i t>t d'économies, Mgr Boipei a souiriis
d'améliorer sa Hituation. Uu domestique
au 'Oonsell' national un projet eréant ilté du lyndlCBllamo nnlstérloa.'oit l'auR- raoontn;,d'aprè» les. traditions orlenlaleB,
Rumcngol
avco l'argent qu'il aura épargné, pourra
'A h mina Biumenihal,
« H u n « loeb:
« n orgaïasme sjiéeUl dss abemins de menUtion du otplUI jugée néeessalro par mie J l r t ^ e m . a été bàtln sur un terrain
t » «rantf PardM ,
s'établir, devenir fermier, peut-être un Jour
Demandes
U
Ooui>rlep
du
PInisUra
l'OfflM 0 « n W Î 7 a n q mllilonB, et plu», illustré b£r Is cittnté de doux Arbaos. C'ér.'eioelleirte musique du païAwure do
Suf J u ? * *
••
^ ' ^ t o a a i ^ ferféSératix. W e a p i t a l d'exploitation dWtiros anDUtlleB ne se pouvant faire, en taient deux frèreB, l'un p»re de fwnllie, dans toutes les bibliolbànues des propriétaire. Leurs économies permettront
au propriétaire au fennlnr do perfeetloanor Lesnevcn prêtera Bon oonoour* aux^verc a r affat
' • . «'éièwraU * 4 J nJIUona. da / r a n o i . -ent,-aveo'â oapltal roBtrelDt. .Iiea. syn-i l'autro vivant BCUI. Co dernier, U nuit, gares du Finistère,
leurs exploitations de les sugmeatcr, d'en ses oérémonioB do dimanche.
i
f! '
L'entreprise serait administrée cornierolaroment, et organisée de façon &
les Caisses Rurales et l'Epargne
f
ihronique
MisseiM de Brst
rmne OE
too fr., I.lvlo,
LESNCVEN
M i s s d i L i i i lliipiir
d u Xéunài 0 8 M a l
Tour r^peiirtr* «ii.v ((«maiid»!
dt H«mfcr«ux cl/enf*
Querrien
^
Inetndi* «t'mtnMM
Louis Oourlay, 32 ans, du moulin de
Korivest, et Gabriel Hamon, 33 ans, manœuvre, demeurant au Uorréquer, en
Qiilmpcrlé, se trouvaient à Coat-Ravallec
{Tins la nuit du 14 au 15 mal. Ils étalent
munis de plusieurs filets, et avalant été
amenés lA par le besoin qu'Us ont de braconner. Mais avant do commencer leur
brucoimage Ils .voulurent prendre quelques
repoa. llamon s'endormit bientôt. Pendant
son sommeil, Oourlay lo quitta, et alla mettre lo fou A un tas do lande appartenant i
.Mme veuve IJorncr cl situé A une vingtaine
do mùircs A peine do son habltallon. Réveillée pur la lueur, Mme Dorner ouvrit la
iorte; mais elle fut^rutalcment Interpcléc. cl menacée par CWirlny.
Pur deux fois ensuite Uourlay contourna
la maison et frappa A la porto de Mme
norner, qui lui demanda alors son nom,
Gourlay refusa do le lui donner et la mena(;a du feu. Lu proprlélalre, affalée, sorlit
par uno autre porto et alla chcrchcr du
secours chez ses voisins, Louis et Jean
Allain. cultivateurs A la Villcncuve-Oombot.
Ces derniers raccompagnèrent et trouvAreiit Gourluy couché près du tas de lande
consumé. Ils l'invitèrent A s'en aller, ce
qu'il lit en disant; « Je pars parce que Je
veux, mais seriez-vous dix. Je n'ai pas peur
et Je vous tuerai. »
Dans la mutinée. II revint cnooro chercher sa bicyclelle qu'il avait perdue et que
Mme Dorner avait trouvée et remise A la
jMuIrlc. avant (Uie Humon, qui s'était ré
veillé, eut pu la retrouver. Au cours .le
ses rcchcrches, vers 8 heures, ayant rencontré Guillaume Allain, Agé de 71 ans,
llamon aurull glfflé le septuagénaire.
La gendarmerie a ouvert uno enquête.
Elle a commencé par saisir les tllets prohibés doiil la valeur esl do 150 francs.
, QUIMPER :
«ootlon: 1" prli, ISO fr, ot fflédalllc
do brojxc, Mignonne, ft M. Ouoinnon,
•raoonnlara plno4»
'raiilO: 4' iirlx, loo fr,, Stella, è W, TluSProc6s-verbal a (!l(! drcssii contre Jean
aul, Bodills; a* prix, 15 fr,. Lorraine, ù Ooalabr(>, 37 ans. et Jean Lijour, 18 ans
Souéli'o, Salnt-Martln-dos-Chanips, manœuvre, demeurant rue dos Ht'guaires,
Vctiilra ICI CliMct, Solcrici
naco Armorloalno, — Tauroaux. r— 1"
l.aintgci cc Merctrlca a(>ollon! 1" prix, 1«5 fr,, Dninbln, A M, pour avoir litd surpris au moment où Ils
posaient des llleta ot dos lignes de fond
Ouoinnoc,
Tauli(; 8« prix, 100 fr,, Bantuto, dana lo StiSIr près du village do Pontus
Salie
A M, l.avlop, Ploulgonu; !)• prix, 75 fr., quet, en Korfounteun.
Hoitrio, A M. Maonv, PlouziSvt'dii ; 4» prix,
OoAlahriS est un vieux braconnier qui „
inmi
50 fr., tlnprioorno, h M. Tb(!paut, Bodills, diijft
eu maintes fols maillo A partir aveu la
1" menflon lionorablo, Castor, A M. Thô- Justice.
iiaut, Ilodills; ï ' montlun honorable, Btbô,
l'i'poque (Ion imnlons, N'oiUillPi pas A M, l.i>on, Slznn! !!• mention lionorablo,
Arrestation '
Jtuc II' (ilin Kfa'irt l'I'ol* ilu «niillcin vciiils Du,((uosolln, A M. Carrior, Plouvorn; 1'
1,0 fl mal, la gendarmerie a mis en tital
X't ilVlt>(,'arit(<( cliudDsiirca Uo tollu 80 trouve mention honorable, t.'alllot, A M. Tluipaut d'arrestation
l'ouvrier
menuisier Louis Lo
(ulicz L, Hinault, &, iiUuu l.uilA, Lnntvtn. Uodilla.
Drtian, 41 ans, sans dondclle llxo. Il i
,
section; 1" prix, 20(1 fr, et médaille tait enipari!, quelques Jours auparavant,
do 1)ron?,p, niciivonuo, A ^t, Olllvlcr, Lan- d une blcyolotto d(ipoat'o dans rentr(io du
dlvlslau; S* prix, 150 fr.. Bobisclio, (i M .d(!bll Lo l,ay, place Terre au Duo, Il se
Giiâi'lôii l'.iphlo et (Uinililc (lu liiuinntlsmo (lui'Kuen, l'IounOvez-Lochrlal ; a» prix, rpnd t ("i Plogonnoo, cl s'embaucïm chez
«iiclcii (lu léioiil, ili'H lumbnRos, sclnllquos, i.'i fo„ Bornkiuo, A M, St(!plian, Oulolan ! M, TundO, patron menuisier; puis 11 cm
^^ prix, 75 fr.. Brigand, A Mmo vouvc prunUi 4a fr. 50 A M. Tnnd(5, en lui laissant
BOMMIIJIOM (IIVOMCS, poulto, CLO...
.Mi iiio Iralloiiioiit <iii'aux liiHtIliils do Paris Troadoc, Saint-Servals; S» prix, 50 fr, sa blcyeletto pour gage. Muni do cotte
Boneour,
A M. l'apo, Ploujean.
somme Lo DrOun s'en retourna A Quim
et
el N.irilos, Mwolumciit InonoiisU. (!0Nseollon; 1" prix, 150 fr,; Parade, A pcr pour y fuiro bombance.
U M ATIONS il lirosi, Mardi ••'!» iH.ii, llolot
M.
TliOpant,
noclllls;
2«
prix,
100
fr.,
Lu blcyclctla appartonalt A M. Jean Lo
oiiliiii'nl.il,
d»! 10 hoiu'iis t[ fi liourcs ot à
lilMI'l'IH, Mci'riTdia(/ iii;i/,
lioiiroa, .A«ura, A M. c.rall, Plourln.
Plouzonncc, complu7)le A Quimpcr.
Monllon honorable; Aphone, A M. OuclnJ^lxitos A duiiiicilu. ilciiMciKii" 1,'ratiiita,
nee, TaiilO,
tH>ri'o<|i. i\ M. lo Miiifoclii-'Oliot,t.
Douarnciicz
Foniellos, — 1" soctlon; 1" prix, 100 fr.,
l U ! Hobiùi', N'aiilun
Mort aubits
Bantiulso, à M, MInlot, l'iouignoau, 2'prix,
O fr., lllKVlna, A M. Oulgor, Ourlan; 8'
Lo 18 courant, dans l'apriSs-mldl, lo
Ainsi lionin»,• .|i:tK' ni
plus rluMv, et (ioniiaiit H
|)rlx,
H
O
fr.,
Argontlne,
A
At.
P,
Souôtro,
Jeune Joseph Arvor, moussa A bord de la
rn |.|iiM la farullo d'oliloiili' pour rlon do •SiiInt-MiirlIn-dos-llhamns;
prix, 00 fr., barquo .. Basilique do Salnto-Aime » desnpliiididOM CH<li>aux, Viillïi co (|U« disent Bliivleo, A M, l,avloo, Ploulpoau,
cendait au port pour voir si sa barquo (Stalt
iîoH iiu'uaRi'iros ou cxlacaiit parluul linii'
1" montlon hoiioralilo, Caroline, * M.
wai'.nio ravoi lto ; la chlcoi'oi! tiruliis-d Or, A. Coatlvy, Ploulgneau; 'i" monllon bonora- ronlr(!o. Se sontunt pris d'un malaise soudain, Il rentra chez lui; puis II monta au
blo. Bag(d, à Mme veuve Kagot, Sliun.
grenier où 11 s'ùtcndlt et se mit A lire.
2» Hocllun; t " iirl.\, 120 lo., Alice, A
Peu apriSs sa môro entendit un cri aIgU
AUa a foamp
an duti tim
beonm
M. Olllvlcr, Pl«unovo7..t,oohrlst; 2». prix, elle courut au grenier, et trouva son illi
Iticc-siir-Bélon
La «Cotedes Rubis»
100 fr., Barnimo, A M, Olllvlor, PlouniHoz- InanlnuS. Elle lit mander un docteur d'ur
I.doliHst; a» prix, 80 fr„ Baguette, A M, gonce. Mais eclui-ol, Ja'las, no put que
Vandallemo
Ar Rwcllii (îwin ovlt proja
Thomas,
Ploui'nal-auorrand;
4'
prix, constater lo diîciSs.
Le 15 courant, M. Lanclen, vétérinairo 4
TrPBaur-Foiritr — v i n s o t A ï o o o i a 50 fr., Câline, A M, Olllvlor, Plount'vo/.Quimperlé. laissait son automobile A l'en
Mort «ubll»
/{KO '/'«runiip t9-Vl-'.'3, lli'oal. — TlKpbini 4, 01 I.oohrist ; 5' prix, 25 fr., Botsv, A Mmo
Iréo du chemin (iid condidt au village do
On doiiiandu do< vo,vat{i'ur.s pour lu ouu> vouvo Troadoc, Sidi\t-Scn'als; (>• prix,
Af. Alain Celton, vieux loup do mer de Kerfuric. Larsqu 11 revint, il trouva les
25 fr„ nOguoulle, A M, Lt'ou, SIzun,
70 ans. et bien connu de Douarnenez. a doux glaces do sa voilure brisées. On no
rsKiiis
a* seollon : 1" prix, 120 fr. ol mildalllc 6lé IrouviS mort A son domicile, ruo Je.m sait oxacleincnt pur (|ul fut commis cet
d'argenl, Ponuno do terre, A M. Thomas, Jaur(5s. Cotto mort subito n produit une acte de vandalisme; mais do forts soupPliiuogal-ducrrand; 2* prix, 100 fr., At- profonde impression dans l'entourage de (;ons pèsent sur dos Jeunes gens qui, A ce
lata, A M, I.avloo, Ploulgnoau; a» prix, M. fielton. Il Jouissait en oITet do l'estime moment, se trouvaient pris de boisson.
50 fr„ Pnupoulo, A Af, Nloolas, Salnt-T'hi)- g(!ni!rale; et il menait depuis quelque
(|ui esl ouvcrio ne manquera
Kuniioo; 4'jirlx, 50 fr., Putoaux, A M, tjouè- lempH mie vie paisible aveo son fils et sa pasL'enquélo
d'éclairclo l'airulre cl do découvrir les
U'o, SuInt-Marlln-dos-Chumps.
bcIlc-mie.
coupables.
- 3 - 8 , RUC KÉHAVEL - BREST
1" inoiiliou honiirahlo, Pas(pdne, A M.
Foucsnnnt
F(>roo, PlouRasnou; V" nicntluu honorable,
Scaiir
X.,,, (i M. Sli'phan, Clulclan,
Vol
flontra voli»
(;i(li>gorlos spijolalos. — Un prix 'do
Kn vue du paiement d'une traite quelle
180 fr. A Illinnis, appartonani au Syndicat
En mars dernier, M. Joseph Morvan,
d'(M0vaR0 do Plouk'iioau (Uurhum); un devait hientiM effooluor. Mme Le Bris, propriétaire i Keriiosrop, gageait comme
prix (lo 120 fr. A Bonbon, appartenant au 30 ans, cummcr(;onte A Kerbiricn, avait
servante uiu; Jeune llllo de 1(1 ans, Mario
une somme do 050 francs dans le
Syndical d'iMcvago do Morlulx (Armoricain), plaod
dont la mère habito A Méneztlroio d'un meuble do sa chambre A cou- SIéphant,
DRNSPNRTH
Suint-Jcan.
cher.
Lorsque l'enoalsscur se priisenla
Arrnstntion
Lo
2
mal
qulttult la forme
Mmo Lo Bris s'en fut A son tiroir; mata sans prévenir,luet servante
Oh«vil «mbtlli
sans motif aucun, Lo ienOulllaïunc Chiniinoc, dooUor bien connu sur les 050 francs (Hi'ollo avait plucOs
t r ,1'Uir du maroliO do la Hcmnlnp di'r- des
demaln
.M.
Morvan
-eonsluta
la disparition
Morlaislen», viont d'Otro nrriit() pour elle ne retrouva (luo 800. Le reste avait
rk^ro un cliuvul l'inballO, iitlolc» (\ un rh.ir avoir viild dos petits iii'tlohauts dans un disparu.
de la montre de sa feiiune. Cetto montre
- n'd, (IcsoiMidall la nio prinolpalo du cluiuip d('POh(lant do In (orn e d(ï Ty-Hrna,
ft IMIIII'
valait une centaine de franos.
IjuurK (i »ini) vitt'ssu fullp. I.c hriKiulli'i' do
Les souOTons se portèrent sur la Jeune
Saint Marlli;. Au moment do «ou arrosPonhai'H
P'ndarniorlP tasiaya l>li<n d'arrOU'r l'animal; en
servante. Interrogée par la gendarmerie,
talion II fut lrouv(i porteur d'un furet, ot do
nul» co fut on vain, tNi pou plUH luln lui dix boursos A lapins. On lui drossA donc,
Argent dlipnru
ceiln-ei Unit pur avouer avoir dérobé la
,1i'un.< ('(inuc.rlt, Jean Kalaun, fut plUii licu- siJanoo tenante, un pr()<l(^s-vorbul pour Udllt
M. nom! Guonncau, manœuvre A ta montre, Kilo avait mémo l'intenllon do la
l'oux; Il purvlnt h nalBlr lu lirldu du l'Iu- do cluitise en temps ])rohib(.'.
Torro N(dre, a (iti' douloureusement sur- rendre, dit-elle... si elle no l'avait pas
v,d i-l t\ Ui midlrlBiM-,
pris de constater qu'une somme do 150 fr. perdue 1
AihMui aocUU'nl do pi'i'Bunno n'est ti slpluciio duns le tlrou' do son armoire, avait
LniidlviHiaii
tn.dor.
ûti! (t(!rol)i.'e.
•'enooura d'étalona poatlari
Une onquiMo n litO ouverte pnnc rctrou
Cniunrot
Voici loi rûllati du concours qui a au llou lo vor lo voleur.
Obiiquti
14 niul tt l-andlvliliiu i
Miinll ont ou Hou ^ Caniaivl Ion olisi'')Mou<*oiir-Laiivcrii
1" prix, 500 fi'.. VImn, h M. ,loan InUan, do
quiM (lu plliito d'avlun I.u Mon, dituiWUt au IMonnii»of.-l,oohrlHt ; 8', 400 fr., fiiiven, A M.
Brutalité
fiiurs do l'aooldont Kurvcnu li Moniiuroa, Yves Syahim, do I'loun6vonlor ; S'.'lîifr.. i'Iatn,
M.ARCIIR I l Ê n U O M A D . M R E
Jean-Mario .Fuou, 40 ans, cultivateur,
Hur la lluno aiirlonno l'arIs-I.nndroH, — il M Mlngain-I.o llnn, do .S.iInt Dorrlon ; 4*.
(u'cldont (pii) nuuN iivunx rclali) dans nu» aaofr,, ifrh'itn. A M. t.. Mosn.wor, d« l'IountS sortull un Jour d'un champ dont 11 noijilFrompïK.OI fp.OOii n. fr.îi) : nooiiip, 04tr.OO à
Koli'Icr (lu la Honmino donih'-re.
voiitor ; 5», 3'Ofr. f.'/omn, A M. !•", lloliou, de gou do former la barriCire, Sa voisine 6:1 fr. 00 : 'K-'ir, fil tr. OJ A 70 fr. 00 ; sarritHn
1,1' iMon lalH,so uiio vouvu ot uno llllolto. l.onillvisinu ; tV, aOO fp,, l/IHi-r. h M, K,-l„ (iuil- .Marlo-Jos(''phe Quorrlcn, lui en lit la re- Ci) Ir. Ol A Ui fp. CO; sei'jte, 5'J Ir. 00 « O'! Ir. ».
•iinn,
do l'loiii?oiirvost ; 7', ,".00 fr , Uml, A M. marque, Mais oetio rcmar(iuo n'eut pas
R«ml(» d* midalllst
l'bcur de pluiro A Faou. car 11 bouscula su
II.VI,l,l!:S D E PARIS
Tnil.< ni(>dalllo» do Hnuvotapn ot doux riullloii. do Morlulx ; 8'. (/'mW, A M ,1. Hohou, voisine, lu renversa, et la frappa de pju
do
Landlvlilnu
; »•, '.T.O fr., tlrhnni,. K M, Giill'J2 mal
liïnuilKnaKi'H ofllolol» do Hatisraotlon ont
sieurs
coups do pied.
nciirres,
inai-clnrnli
: i;fr. rO A10 fr. 20
»'I0 ivinl.i lo l!i mal aux Inwrrltd J«an C.or- liiuaio Jacob, do PloinHry ; M' «:;o fr.. l/ltra, A
Lo tribunal corroctlonnel do Quimper lui loUllo;con;il(ui'.M rni«c;nl3
M.
Jean
t.o
lin.
do
Saint
Tliduonnoo;
11'.
Vtlra,
fr. W)4 II fr. 00.
jico. A, Conioo, lllni't, Hormol, ot Morvan,
• Inlllgi', pour ce fait, une amende do 25 fr.
à
M.
J
-M.
Oiilllou.
do
Morlalx
;
la*.
200
fr.
Ur(Kii/^do llr.tu;'ne. par colis ilo I.OOO œufJ,
pour lo dOvononu'nt dont lia ont fait nrouvo
nu oours du Hauvol<i((o do l'i^tulpRuo du hithi, an m4mo ; i;)', Vnum, A M, Vigoureux, do
gros, 310 A 4iU ; ordinaires, i:0 à i'fO.
Olrliion ; 14', VOtfr, Cnlun, A M, Muri;ol Hoiiolier,
dundoo « I.InolH », ubordd ol vuuUv mi do
lUni'clié ;uix ïoiin-agos
bnnilornoan ; 15', 200 fr., Usharh A Mina veularjt- dn Longïtilp par lo vupcur aniiirloaln ve ïroadoo,
I,r» C:hu|»(>llo, lll.Vt.M. - An* !i2) lill. en
deSiiInt-Sonals ; I0',20nfr.. Urnia,
Tulcalbosa City. »
A M. (iui>guon do l'IoiiHonrvest • l"', ïOi fr.. Vrhottes de !i kilos : Paille do blé. 10.1 it 1 0 fr. ;
m«, à M. Ciinlgucn, do TroniUéno ^ ; IS-, '.'OO fr.,
d'avoine, 7;i lï 1 U :(le sd^le, 105 à 130 ; luierne,
rriK. A M, Joiin (iudguon.do Pluugoiu'vnst ; 1U-.
1^0 A Ï0:>; foin, lU.i ù :;i;>.
â'aloool qui tu«
20.) tr„ VUlt, A M. Joan OuitKuen, do 'iriilUvA
fÛIAIPERLE
Miu'clié Ue 11» Viiictic (Paris)
5farlo OaliJon, fommo Morvan, n'avait ne».
21 .-liai
pas (11' domicile llxo. Kilo dormull inOhic
Polio* dea ohlent
:
(/(«mniin
If,
A
M,
.1.
(lulllou,
do
Montions
«pu'lcpiofuls l.'i où lo oidro la faisait clioir .Morlulx iUrtiii, A M. J.-K. Itohou, do t.andivl
Un
chien
enrage'
ayant
traversi!
la
ville
ANI.MAU.K
patx MOVIÎN
car ollo avait un falhlo pour lo oIdro ot sluu: Vuiilin,i\M. Oullluumo Jacob, do l'IoudlrT: dans lo courant do la semaine dornlire,
ESI'lkliS Ani'iits Vciiiliis tendance vil" net
l'ali'iôl on K*'»(tral, Mais a foroo do boiro inwal. A M. Yvos 1.0 Oofr. de Ilodills : Vriaqe, A M. le mairo a pris un arrêté Interdisant la
on Unit Honvont par tomber dana un mal M, J.-M. Gulllou. do Morlalx ; l/nion, A M. J.-F llbro elrculution des chiens sur le torrltolre
heur lrri!nuW]lablo. C'ost oo qui est nrrlv(! iN'oi'niand, do Uulolun ; Ul, A M, J. Ln Itout, do do la communo pendant une période de
à Mario (lalt'on, Htant Ivro, ollo oat tum- TromuouiJ/.un ; Ulilii, à M, Marcel lloucher, de 00 Jours.
IJœnfs . . 2 012 2 f,70 calme
.1 20 C 40
t>(!o dans un nuits HltU(^ sur lo bord do la I.un loracau ; Torpllloiir, A M. Jean Guditucn. do
Vuches.. 1 osi 1 1)17
3 15 fi iO
A
r
z
a
n
o
(121 tiSt
roulo, ot priifond d'uno qlunzaino de mo- l'loua(ivo^l.orbl'ht; l'gulin, A M, Borv(t Gui
'l'aureaux
2 80 3 eu
2
K i i
Veaux
.
.
S
ires. mio n'en psl sortie qu'à r(!tat do oa- varch, do l'Iougar ; l'iuipt, A M. Joan-Plerra
i
Si u 00
Ohlan enpagi
7 070
Montons. 8
4 . S O
9 1)0
Cueir, do riougar,
Lo 14 courant, dans l'apris-mldl,
l ' o r c a . .
. a (W'.) a C«9
—
U 93 8 B J
chien pénélrult dans la ferme do
Ploiiz6vé(lé
TWorry," au Vllluret, ot tentait de mordre
vol <t« (Ino*
lo, chien de garde do la l'ermo. Poursuivi
SianMa rAoria'tiMi
. îfmo r\olKnant, ridtlvatrloe H fiaaf, avait
ar M. Tldercy, le chien fut tué A coups
I.os Jeunes gens du Patronage Saint- a
ARTHRITIQUES
lalss() pri's du l,iviilr un paquet do linge
fouroho. M. Lannlon, vétérinaire, commoullW, (lu'ollo comptait lessiver lo lemfe- Yves dunnoronl 2 8()anocs rikrdiitlvos, le mis A l'autopsio, a déclaré lo chien enra-'é.
inaln. Mafs le londc-maln, (luand ollo revint dimanche 27 mal, ot le dlmunche 3 Juin,
M,
le
nmiro
a
ausslt(}t
pris
un
arraé
nu tr.ivall, lo llnRo n'(?talt plus i\ l'endroit A l'Issue ries vêpres.
«)(1 ollo l'avait liilssiv un filou l'avait omAu programme: « Blol al Liardou i> (L, Interdisant la llbro elroulatron des chiens
porl(<. I.cs houpi;ons do Mmo Hoignant so Rll(''s), et « Ar M((vel Lacr», et comme In- sur le territoire do la commune.
j)ortiro:il sur lo.t tfpoux lialtfn(), oultlva- termèdes, de nombreux chunts et monoloSlcls^vun
{i;urs à Sidnt-Cllldau, Unn ponpiliiltlon faite gues bretons.
au domli'llo do oos dornlors permit do d(!Prix des places; grandes personnes,
Brutaliti
rouvrlr lo linge vok'. Us l'avalent encli(} 1 fr, 50; enfants, 1 frane.
Albert Slrault, voyageur ae commerce,
dans, lour Ht.
et Jean Ooarant. no vivent pus en tri's
Sniiit-rol-^dfî L é o n
],os l'poux nalRn(* ont (Ui» condamniin
bonne Inlolllgoneo. l,e 15 courant Slrault
Élimine l'Acide Urique
rhaoun h un mois do prison imr lo tribuvoyageait A bicycletto, cl se trouvait quelGonoouri-Apronvo «lytnlon.i postiers
nal C4>Toolluunol do (:li:\loaii[la
Il
WÊA
Volol loi rdialtats du cniii.'oura d (Stalons qsl a que pou pris du boisson. Cheinin faisant II
rencontra un troupeau de bosiluux apparLfiz
eu llou A .SalDt l'ol, lo 0 mal :
tenant A Cloaranl. En passant A hauteur dos
H O P E U S
E U N
{-•primo, ('<71111,alotan. taille 1 m, 57. pnr Oust animaux. Il lit une cfuile: rien d'étonnant,
Uno inàfliri
et pur Jument do trait. A M. .lo in-Kr. Troailno. dn car une bicycletto supporte mul lo cidre I
Marlo-I"nino(ils(»
Korbourr'h,
temmo Clidor,
MOfp, ; 2 . U'iiirii. uld/.aii, 1 m. CO. par Kurloux, Siraull n'en |irlt aux unimUux, no
Awi'o do 40 ans, il oomparu do- iVi.aiiKet nmwarelt, k M,LoldB l'cren, do l'Ioud- pouvant s'en prendre dlrootoiuoul A leur
vanl li« trlliim,-il porrootlonnol do CliMcau- nan, 400 fr. ; a-, llrn ihr, rouan. 1 m.6'1, par propriétaire; 11 les . pour.sulvlt aveo un
]ln pour avoir port(> dos ooiips do fourolio (/iiimiiii ot pur Jument do trait. A M. Laurent couteau, et frappa deux buuvllluiis et une
<1 Mario-Anne
(luon ot MtU'Ie I.n Ouon,
uuu
do Trenaoïillnun ; 4'. Uiinnliit. oulitiro. vache,
nos MilsInoH. Kilo n ftil rondamndo A Andri^
< m. UT, par Ornti)/ ni pur Jument l'2s:ing. A
aoarant, A qui un préjudice de 200 fr.
iC franos d'amoiido iivoo sursis,
M, Krançiili AbRrall, du Sulnt-V(,uïay, 310 fr. ; environ est ainsi causé, u porté plalnto
S, Viiial, oloinn, 1 m IW, pur iViii';;i»ou A'uvwm contre Slrault.
Lociiinria-lloi'rlot»
ut {iidorre, A M, llanion Mo;d. do l'Iouitnan,
Aooldant mortal
:ia0 fr. ; 0', L'un », ulnmn. 1 m. 118, pur /Viitigau
Nizon
Nil ankounao'balt liot cma douct or vro
Tr.inijols I.allgnu travaillait au fond ot Jiirnli'. aloîm, à M. l'uni Spugnol. do Plouar Bi)esiall.st brudet eus 11 au auL
Aooldant mortel
il'un pulls dans l:i cnrrlJ'ro do Oarsalatm. iiWildO, :.V0 Ir. ; T', t/.i'l. aloian, 1 m. 118. pur
Lo Jeiull III mal. M. Jeun Narzul, reve- A .
lnrs(|u'utio lourde ciminn dittaolu'o du oA- IVaonrl ot iliiéiimi. A M l.ouhi:iioi|uer, do l'IoudC L A V E a i E .
Jdo vint tondior Hur lui. Il oui lo o^^no nan, 3)0 li'. ; (;•, fc'l. a«bi''i'o, Ini.Ml, pur J/aïuu» nait on automobile do llonoarueuu. Au lieu
Arabad (.'o (l'tt0(Vh, dro loziregez, chom
dit
Crotti-Uent-Korgoz. 11 trouva devant lui ho|) mont dn c'huuhîin kuzul uutau : d ho
•li^fonoi;, et mourut au bout do queUnies pt h'iii'". A M. Krau'.ola Argouareh, do l'IouréJiuures.
viidit,
fr. ; I.*, Unuiiic, aln/.un 1 m. U:i. pur uno femino q(d menait i\in porc. 11 corna ù lec'licd no u kousto, nuuzo.
lia (llvezutud'li ho pezo mil geuz o voza
iViiMiPdl et Uiiiher, A M. (Jllvlor AMoiuirch, dn plusieurs roprlses; puis il obliqua A gauSulut l'ol, :.00fr, : 10-, Tnivap, Ijul, I m. Ul, cho pour éviter tout aceldont. Mais sou- bot kel lozirok, hag 0 veza lezet da vont
dain lo noro. lui aussi, voulut prendre co
ar (Vieil et WiMmii-i' ou lltrCHlt, A M. I.onit ccMé de lu route. La feinmo le suivit, aveo oblou d'eoo'h an dro-vat u u'avech da
(Iron, do Plouihian, iCSO Ir. ; 11', Viiai. alnian, l'intonllon de le ranger dans la douve. A ce ontont ouzoc'h boc'h-unan hu du barea.
Ar !spoHluli.sl hu ligemero azalukO h. betuk
1m
par l'miietm et t'^mur. A M. IlorvAliiol- moniont la volturo passait A sa hauteur. La
«Bou, do Mo»paul. ïili fr ; 1S',
iili!/.ttn pliiiulfeur freina; mais no put éviter un 4 lieur c ;
Kumiioi-,
sadorn ÎG, .1 vao, H(^tfil de l'Epéc.
loniul, t m.Ils. pur /.vol Duniii. A M. Henri Silttd, aooldenl. ll«|>péo pur lo eapol do la voilure
MOllLAIX
de >alnl l'ol, 'Jod fr. ; 13'. Vsrl, aliKun, I m.lM. la femme fut projetée A lorre et trulnée IJroMt, soi 27, IlOtol (JontiueutnL
Le Oonoourt Agrlool»
l.4;siivv«ii,
lun -.'S, iloteldo France.
|)ur hejuniiun ol Ju(nont toi kSHg. A .\l, J.-Kr, sur un parcours do quelques métros.
l'nol, mourz 21), llOteldc France.
Vblel los résultats du oonoours ARrlcolo ïroadoo, do Chldor. 2!i0 Ir. ; 14'. Vmnue, 1ml, Ouand on lu releva, ollo avait lo crAno frac- Kahtcl
LIIUIHVIMIO,
inorc'hor :iil. Il" du Commerce.
mil a ou Hou lundi dornior sur !i place du 1 m. 117, |iar l.'oorrl ot Jument Je trait. A M. Y, turé et no donnait plus signe do vie.
BIuiitrouiez, i.iou 31, Hôtel do l'Europu.
S(tT6re, do Saint l'ol, SOU (r, ; U*. IJifn, nioznn,
Poullet :
La
victime
est
lu
veuve
Le
Dun.
du
vilI m.
sani;, A M, lage du Crouz-ltent-Kergoz.
111. 57, |inr
par /'tpur«(i
f-iru(-fiii nt
ni Jument
judioni 1/2
i/s sunf;,
H.d'o liiu'Imm, — Tauroiiux, — !'• B(>O- 1
fJ
flon, J" prix, Hifi fr. ot uno miSdallIo d'ar- Jae(|ueHAutrot, do lMou6nun. '.'00 fr. ; 1M , llgiirn,
et Ilahay, A M, oui»
K"nt, (JiiivadoH, & M. Souétro, Salnt-.Mnr- alciun. 1 m .'iil, par
cvlt klenvelou ar muniiiiou, ar c'hof, ar
Pont-Avon
(ln-drs-(;liamn»; 2' prix, 100 fr., Ilona CiiOr, dn Plodvorn. 3 0 fr. ; (7*,. L'iiiforine
iiforme, uuc'hroasleo'blou luosk, ha){ cvlt an dud rc
Vagabondage
imi'lo, h M, (înrnilly, llodills; ;i« prix, 75 fr., liAro 1 m, 117, pur Oïlfin ot lier, A M.LoulsCailr.
lard : ar ro wclla lut, ar ro skanva, ar ro
ciilffon, fi M. l.iion, Slwm; 4« prix, 7li fr., du l'iouvorn 2i>0 (r ; 18'. Uriu, bul, I m .'41, par
Les gendarmes ont procédé, lo 13 mal, osa da zouïenn.
Mllo,
Mmo veuvn Troadoc, Sulnt-Sorvals. /•ulriarelie cl jumont do trilt, A M. Vvoi lll«as, A rarrestallon do Yves Gilles, fil» ans, oriGOURIZOU A C'HIZ N E V E Z
HA
•i' soollon: 1" iirlx, ÏOO fr„ Nougat, h dn riouvorn, '^011 fr. ; !«•, diiii, liai, 1 m.88. par ginaire do Ployben, pour vagubonduge, ot N ' E U S K E T A RE A L L Ë V E L D O ,
Jl, 1,0 liras, milolan; ï" prix, 150 fi'„ In- i'/eiircM nt CVdfuI*, A M.CIiiudo Govioo.do Ploud' défaut do paplerH d'hbmttté. Il u déclaré
Ki'nu, il M. Contivy, iMoulgnoau; 3* prix, nan, .00 Ir,
ue t>us avidr do dondollo llxo; mais II oxor- B r o , - v t o t i a n A o t . A . C L A V E R I E ,
«5 fr., l'Iorrot, A M. Tournlor, l'ioujoan,
(jalt a-t-ll dit, lui petit commoroo consis- 234, l-'aubourtf a.iliit-.,iarllu, l'AHlS.
"
•
1
.•!5SHH!SB_
JU«
.T seolton; I " prix, ÏOO fr., Loth. à M,
tant on achat do crins qu'il revendait en
!M>irvan, IMnuKUvrnoMU ; ï * prix, 100 fr„ a U I R I « O N 0 * LA e O N S T I F A T I O M
iroB.
l'rinoo, il M. (loiuit, llcitHorhol.
il a été éoroué nu violon, en attendant
Konwlleii. — 1" iieotlon: 1" prix, ISOfr,,
do comparaître devant lo tribunal correc• a craiD «vo.it raoïi* du «ixr.
AuitMlu, a M, P, Houiitro, SuInt-Martln-des!S détruira en 10 minutes, même les u;
tionnel.
La MAISON TIERCELET
d* BREST
R
da l'Hôtel LE ROUX, à Lesneven
f
INSTITUT ANTI-ARTHRITIQUE da FRANCE
i
picino-
Chaussures R I V I È R E " ^
BulIsliQ G i i e r G i a l
S
VICHY
CELESTINS
Le c o M K M i t du la laini
Co nul prouve l'action Immédiate d«s Pilules Pinli sur l'organisme, c'est lo réveil
de l'appétit qui so mauireste d'une façon
très prononcée dés le commencement du
traitement.
Lo réveil de l'appétit Indique que les organes, sous l'inlluence du sang plu» riche,
plus (jénéreux, que leur apportent les
Pilules Pink, reprennent leur fonctionnement normal et quo le travail de reconstitution des forces s'opéi'o déji eu d'e.vcclleiites c jndltlons.
Telle est bien l'Impression que l'on a i la
lecture de la lettre que non» a envoyée .Mme
Laurette Tinguely, demeurant A Vcliy —
l'onccnex (Haute Savoie).
« Jo «uls ti-és lieureuso d'avoir fait usage
do.s l'ilules Plnk
— nous é c r i t
Mme Tlnzuely.
— Depuis Ion?"
temps, j'avais
trciiuemment de
violents
maux
de léte cl d'ostomao. Je n'avais
1>I'.IS du tout
d appélit. Ma mine pile et mon
clat de raiblps.ip
taisaienl peinr A
voir. I.c Ir.iitonioi:t des l'ilules
Plnk m'a fî liieii
léuaslfiucjcsuls
aujourd liuicoinptelemcnt remlWn;e Lauretto
Les maux de tète, los mau.x d'csiomae,
la perte de l appélil, los mauvaises di;estlon.s sont des slsi.es cetl.iln» de l'appauvrissemoiit du i-aiii; et do r'affalblissement
des nerfs. G'.?st préclséiiicnt h! rôle des
Pilules Pink de régi'néier le sang et les
forces norveusps. JCllcs possèdent à ce
point de vue ito.s proprb-tés extrcn.emont
acilvcs. C'est ii,)i(r(iuiii elles sont touJoura ompli)yC(!s avec il aussi heureux réBUitJts contre faném.e, U cliloro.'c, la neurasthénie, I(ÎS niisraincs, l'arfaiMiasemeiit
Sénéral, l'iriéïularitn des perlodcn, les
troubles de la cruissance et du retour d'ise,
Toutes Phi": 4tr.!i0 la boite. 21 Ir. les
Gboilos, plus 0 fl- Su da timbre-taxe par tioile.
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Birize.ôlizlolipsur
i " Tiraga lo (3 Août 19S3.
L«» (lr«g«i
,.al-m«Bt liM LxiIh •-..niDt lieu
cntDIT rONClER DB FKAMCE.
• o U K r l u t i o n oiiTerto d«> lo ) « Mol 1923
JUMiii
H «oBoucr^Bc*
dtiponil,!*».
On peut ftousorire
par Bon»
Cor-eapondanso.
II
GOURIZOU MAT-OREIST
aitAlI«S»VALS
é]
Le Oourrior du PInlitérs
M mal tOUJ
AR WAZ-DOOR
.'A
Ken trcBttsel on nr pnolr mu rankas
tnont fP mea* da aveli o benn. Tavct o»
nr arne. Mouch avcl vbvt ken, ar c'hoummoul a oa touiot no ouluU dare pcnôs ;
hoK a>' -itvrod a Itiio akicaroc'h eflet blukoaa on oabi awtilc'hvt ; ha drcUt ur
r c a l l cr O'hrel.itoli pikou skedus an
M Roue a xcblanto keinenn d'an eneou
l ^ e i i a r e t o tcu ar pcoc'h warlcr&'h nr
hrezél, al levenoi warlorc'h un ankcn.
'Met Yiinn oa ro laliet ovlt aevél e zaouInaad 'wnrr.u an nonv. No wele k«t kenlu'oeud «n anu»'houlou nn traou en
(lijtt bel krmcnt n blijadur oui o flwoIci e doarcou-all, traou dialer drelao o
tinan, o'houck ha lalvouduH pa 'a lut
Iion traou-ni ha pa VM poil amxer ma
n'hon doiM kot o gwelet : ar c'hrac'holllann, nr b«rnlou-kolo, ar c'hreier,,. Dre.i
cul leue bihait^ o vlcjal a ilskouexe e on
'9 c'hortoz 0 Icai ; er mechoil eur
iharo'h a baoat* ken a laone, 'Vann ii
m a v c M » ar Clicrne. Mont a reaa er mechosl. Ten?ai-<lu ^ oa. TontAt a reaa oui!
« r bldoch, rn eur floaeitl outan s ar
iiiarc'h a uroas c bcnn haR a c'houesas.
y»nn a M u l a i CHMII domi» e fronoUou
>var 0 lannarn. 'M>l pa wclns ar innrc'h
na oa nrira d'eian, o lUtroï» o benn
flvcl diwar faO : aliailflnu Yann hafl an
li«nolou brtto a Uvare no voent ket
doucat d'e oliounit, °
Deuct 0 o« oln da ve«a eatren beteff
«n 0 dl T G loonod ne anaToaent ket ken
nnewn, .Hag nn dri«-ie ivei « greikaa
lUo'har «r nondard. Mont a
o'
Hdanra Mttjau «n
iperad I w k w dlAi
0 oa 0 ben» inn Knve d'czun c oa eur mutoc'li c'honz gant an taol un don e
pouci Kpounlus vvnrniin,
.skoct, Ar c'hotisket n dcimS d'ezan
KuJicn ou o vont dn zrnllhn liinn d'nr deustu, Hogon en c gousk .fkeudennou
c'hezcB. Ynnu n yeici dn rtrcl d'oznn j .•iouuntu.s n zihunns en e bonn, ken
murli'zo c kusjo kttit nr zonjou n vour- .sklcnr, ken beo mn vijo bct laret c oant
rcvc aiiritnn. Euzpti a luvnrus en cun gwir. Kou en don lainmet dreist ai
tnol :
c'hlou/. hng u rede wnrzu Ilnennoti nn
~ Lan Jexckcl n lo Ivcz cr |]cnr, bct cncl)ourien. Awcchou o rlklis wur an
crc'h hng ar skorn hag o kouezo d'an
torrct c vrcnc'li gantan.
A flotuat du coin/ c tcujoiit dn gozcnl dounr. Pndal eun toulhid togou hounrn
dl'wiirbcnn nr wn*. Eùzcn u gountns bcgou hir a deu d'ezun gant err. Unan
d'oznii pcnn da benn ar peu a oa anczu, eur peziad den anezan, a jom
c'hoarvvxi't abaoui> ma oa diflur ur brc- a-zav, a gas c (uzuUh beteg picg c skoaz,
xi;I. Yann u zibaouo hep Icusicvl eur ger. n cUn plz hag n denn. Kou tlzet e krelz
An dralihurcz oa en he itav pell n 0 dal a zo dlskarct d'an trnon r eur
oa, hag an danu vrrur u ua atau gant .strilh gwad u zlvcr diouz o c'houli, o
nn huvcloj) knoz. PHOIK'I; a rankjont pa ruzin an crc'h on o glehenn.
Yann a zell ouz an hinl en deus tcnglovjont Yvonig o c'hervel anoxo d ar
nct war c vrcur hng tt losk eur grlabatcc.
lîpiid nr bcdenn o brcdcrlou ne dav- dcnn :
— Lan t
Jont ket : gwaaikt no rejont ken. Silaou
a rca evel en cun huiivrc !
Ya I Lan Jezckel, plegct brcman war
gorf
c vrcur o c'hoarzin yud cvcl eur
Owero'lioa Vari, leun a druoz
blclz,
Yann, gwaskct c guioun, n droc
tlo poztt onvor, mo ho ped,
hag a zi.stroo on e wclc o klask pellùt
PunôN biskoas don on o viilior,
ar skuudcnn viUigot ; kal'r en doa en
N'en deus na (twelot nn klevet
llo plje lezot on abandoun
em ïlfreta o weTo atao nr Jczekol • o
NIkun « gomoiit a datiJo
cfhoarzln war gorf Kou. Hol m'a c'hellfc
D'en cm erfoodl dliooo'ii a Raloun
hen mont d'ezan I,.. Scll I plou co heDauuat poger l>ras pvo'hor o vijo...
mnn î Eun dcn n zlspak adrenv kcln
Ar gcriou no douent ket ken eu» e ar muntrer ; hcn co, Yann o uniin.
giiloan cvcl a-hont .war ar c'hleualou pa Mont n ra goustad ha didrouz war an
groie ar c'hunollou : ncuio Doue a oa erc'h, evel cur c'haz o vont da dapout
trel
tost d'i'ian ; lantout a rca koul« la,va- eul lapoua. Lan «n deus e glevet
ret eun dorn holl-c'halloudck ha ma- a ra e benn. Re zlwezat, avat t eun taol
i l e l c m 0 kas hng o tigns anrxnn. Anca krenv-spountus cji deas stlapet anezan
penAs en dlje Icc'hot dloXit kement a d'an douar, maro-mlk.
Yann a zihunas en eun taot, bcrr
rIsUou 1 Hn gweitlet en doa mont war
« dlroad da bardounn d'an Itron Varia warnan hag ar c'houu^teiin o ruilhal
Humengol. Brcman en doa nnkouna- v/ar e gorf. Ë vamm he doa dlgoret nn
o'heot «n dra-tse evel nn traou-all. No oa nor>weie hag a c'hoolenne outan :
— Pctra erru goner. 'ta, Yann, pa
ken 'met eur «onj «n o benn : Kou, o
a k M i er cTtltue 1
vrenr, oa maro ; pei-ag heu 't.-r- N'eui netra. Runvreal a rean.,.
— Echu «r bedenn Yatin ne aaleai
kel * vont d'a,«wi«. B | w l M o n n i k u l i
Bn « m t e l a reat ndarre da gousket ;
« 0 » ifant M b M t en do* |r«at, ba bnji aa nrrelop traou a vele atao dro
c gousk, Pa zihuna.>> diouz nr mintin ar
c'hilhcien n'o doa ket c'honz kanet d'ar
goulou dciz. Elcac'h bcza drant ha' dlskuiz cvcl ma vczer pcurlicsa goudc cun
nosvez konsked, Yann n on asik e gorf,
pounncr c bonn, c spered doanlct gwa.soo'h c'honz egct en devez arok. Kcnta
Ira n ziouanns en c .spered voc ar a'honnt
da vont da wclct nr prat. Teulcr a rcas
imn trnnch war e skonz ; ma vije bet
kouczet eur forc'h dindan e zorn en
dijc tapc.t krog cnni ken buhan ; rak
ne ouic kel kniz pctnre lubour e rafe.
A-vcae'li cat cr nieaz diouz ar pcnnad
hcnt doun n zo c kiehenn an ti, Yann
a zantns ycnienn ar mintin o flommn e
groc'honn. Skorndt, en doa cpad nn
noz. An douar, karget a zour abaouc an
dere'hent, a oa kalet ba riklus ; poullou-dour goloct n gl«r da bcp kammed
hag a slrakc dindan e drcld : tachou c
voutou soudard r, Jprae unet war ar
glercnn.
En cur drcmenn 4llrng ode cur waremin Yann n wela.s,,eus ko.stcz ar mor,
touriou-tan o tarzn'. Henvcl a rens anezo
dre o hnno : tourTtù^ Daz hag hini Carantck. Ezomm o idoni c'hoaz, cvlt donre,
dn zi.ikoucz an ôd ' d'nr bigi pc d'al
li.stri 0 verdol en d<-''>valijct>n hag or
vorlu.scnn. Er c'iiornàouok unan pe ziou
stcrcdcnn a oa c'honz digor o Ingad ;
al loar, disliv, a o<* o vont da guzet
adrenv an dremm>.vel. An hcol ne oa
ket savct : eun tacha4 ruz-mcteu cr ZavHcol a ziskoueze, avat, ne caleje'ket nemcur.
l'ed gwech en e vnhcz c oa bet Yann
choinct a-zav dirag, an ode-ie da zclict
ouz ar pei a welo.hiilo t Mil son' a
dcuas d'ezan d'an >dfouKimm ; son. ou
tcner, sonjou o'houck a reai vad d'e
-.
galoun evel cun tanlad tan a ra vad
d'an Izlll skliuet. ^'nkounao'hcat en doa
en eun taol o «%lnii'|tar } pe gentoc'h
skeudenn e vugniea^b fang t yaotintikti!
miciifioN t . i r .
VENTE ""n
litude de .M- l'rovoxtii-, no ..eÂ .rcst. luc de la " ^ ' • " ^ ' ' l l ï h R i i r d n w i S C O U l l c h
taire a Ploudalinézcau.
La dite vonle s« fora commalconsistar.l en iiiaisuu d'hni: a été dit ci-df;ssus, ie .'cudl bitailou. bitlments d'explolitiudl /j juin lU:i;l,A 1 h. l / : •-'1 Juin )1)23. A ) .l heures, ca tatlon et .llversea teire», pour
I élude et por le iv.inisiére de une contenance totale du
P R O P R I É T É
M- C'ucntef, notaire A Perspo- u tiectares 3ares5l.
aubourg:dcPloiidaliiié2eau, der, commis A cet effcl et dé- Mise i prix : ÏH.OOOIr.
rue de I'loii;uin. propre i poi-itan c du cahier dos char- Louée Jusqu'au 23 septembre
tout coniniei'or, .«.eo Jardin b'e-',
J
,|15;8 nioyenoaiit « J ir. l aa.
muré et El and chjui|i contigu,
Ln présence ou aprCs aprf!|iii,pûtj eu «u».
47iii
te tout divisé en lots, loue de: l"'.Monsieur Yves Ssouz
Ju8.|u'cn
à .M. .le.in i^'iour- r.oj. il.'mourart su Kuiz.-.n, cn'i;^;^^
jj.
notaire.
vcnncc, l.;00f; . f j n et t impôt ;.iii)t;l'.orrc-(.iuilbignon.
fu|'ct-do Léon
Voir les atliche.s. ou s ailres •irocé-tulcur des mineurs Co-I
ser A .M" Provoitic, notaire .1 lin.'ot 2° .Monsieur Kran<;ofs-|
I'Ioudalnié:'.cau.
«(JV.- •M.irio (.;oliii, marin de coin-1 ADJUDICATION
1.1 .Mercredi 0 Juin I 9 ï 3 .
iiicrce, d'.'meiirinl au ï^ptrnoe.' 2 heures.
••n Porspodor, sulirogé-lutcur; Kn lltixcoff, A Kerguenec.
liiude do .M- l'i-o xli
| 1 L'i\ CHA.MP terre l.ibou
taire à i
o
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lu
d
a
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i
o
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c
j
u
. .iu mineur Pondaven.
Fait et rédigé par l avoué rallie, Liors Le Rou.x, A. 0%
poursuivant sniissicné i lîrcst, et
627, 50 ares.
•Mise A prix: liLOnOIr.
La Ferme de Lanhalès le 23 Mai 102'j.Paul IIUBT.
2
CHAMP,labourablc.Parceu Laudiiiivez. 7 h. j7a. %c.
Pour tous rcnselenenicnts Stréat
C. 106. 3rt ares.
Logements neuls, louée à Ul s'adresser !i
(Jui.'nIol, no- .Mise Moan,
A prix : 10.000 (r.
chaid. Juii|U'en l'JIc.
laire à Porsp.nler, ou ^ M " 3 (•.ll.\MP,
labourable, ArS'adresser à. .M' l'rovoslic, niiet et Kournier, avoués !i Ver.epuic. 0. 175.
li arcs.
nulaire.
-1701 Urest.
Knregistré .1 BrosI la. J ). ^!lê i prix 1 U.OOO Ir.
En
S.tiul
Pol-d«-LéoD,
3
Etudes (le ,M' Paul Huot, doc • '^3 Mai 1923, folio
froméal.
tour en droit, (sucoosseur C J S i )
4 i;.\ PftK. C. 253 et :S3,
lioçu: Trois francs.
de feu .M' boiyni.ird).
^lené: .lOUrEt.'X 18 a 43.
avoué à Bre.-^t. 1.1, rue Vol- 4773
.Mise a prix : ,'î.OOO fr.
taire, et de M' Fourniep,
Le tout tci.u par .M. iN'icola»
avoué A Urcst, rue de la l';iudes de M' Paul lliiet, Guéjueii
docteur
en
dr,
ii.
avonéM.iirlo. n* t2, et de M'
Quoiuel, notaire A l'or^po- A Prest, 1.1, rue Vo taire, .louissance au "0 scptcnilitr
475;de .M- Marcel lioriex. licen- procl'.ain.
(Jer.
cié en dioit. avoué à lirest,
rue Amiial Héveillcre. 3, cl iituilo de M' llosec. licencié
M' Daiiirii.v de* Dë- en droit, notaireiPlouescat.
l.(! Jeudi 21 Juin 1923, A de
KortH, notaire A LaiiderM heures.
ADJUDICATION
noaii.
Kn l'étude et par le mini
Le mardi -Jt) iiml l!>'i:i, A
par ticitatlon Jud
téro do .M' Ouontol. noluiro ."i
;
heures de l'apré.s-midl.
ciaire.
I'ors|ioilcr. commis à col cOTct
lin
tétuJe et par le minisLe
Nuiuedl
'i
juin
r.)'i;),
A
cl dépositaire Ou cailler des
ttfie de M' Hnseo
li heures,
cliar(!os.
DIÎ5ICN.\TI0N :
Kii
fotude
ot
par
te
niii.ls
DU?IGNATin,\ :
Lot uniiii'o
' l(H-edeM-Danu'uyi'esnosoils. La ferme ds Brénôralan
Kn I I communo .lo l..inildut, iiolairc à Laiidorncao. i innini.'- o:i IMuncKcn). d une (xiile.1 lu-t ellet et déposiiaiio du iianco de cinq journaux oiivlau terroir «le Mczaiicou.
cahier dos cliar-cs.
UtÊ PETITE FEHime
1011. reiiiie par .M. .Mellouét.
conipron.int deux maisons iflia- Au\ dépeiiilances de Traon- I.iliie de location, au'^J itepbtlulion. h.'tliiiients d'expluitu- lieiizil. en l.nn îeriieaii.
teiiil • prochain
Diverses plecuK <t« terre
tion cl (ii'penilancos. savoir :
A |)ru : 'Jll 000 fr.
d'uno cnnti.Miaiico lotalo iippro- Ml:
tous iCMScian(>iiieiit<,
tHAISON PRItVCIPALE
sser A .M- ltii«i;o. notaire.
d'habilation couverte on ardoi- xiniali\e de 3 h. 10 a. 2-) o.
idfJniii.,sanoo
par
mains,
le
29
ses, élovée sur ro::-dc-ciiuu3MICMIC I.u;DU
septe.olire fl'M.
séo, d'un étage et Krenier.
CiintiKUii au pi«nun oou- .Mise à pri.-i : 10.01)0 Ir.
ADJUDICATION T';.?;:*
clijiil: «litre maison couvorlo
ou ardoises possédant rez-UO litude de .M- Potilii|ucn le même jour. A J heiiies cl
notaire A l a livisiau.
cliaussée. él,ig^ et gronior.
demie (le l'aiin-s-iiiiiti.
Au sud-ouost des maisons :
DESIONATION :
dic-ntlon
orl
on
ardoihStun-iit ooiiv
et volo
UN CHAMP
SOS. divisé en trois. servanl taire.
de terre tabourahle contigii i,
de souos A por os et (l'étahlo.
lOn l'I'.tude. Ip .ICIKII 7
forme de lir,'iio\a!aii, e»
Au sud-est, soue i porcs Juin t!)<.2;l, A 11 h. du matin la
l'IoiioM-nt, COI t'iiaiit 7i', arcs
sous tiioiis.
lin la commune de .Salut- ';l contiaies, loin- à M. .MetAu midi dos iKlilmenls : Hervul.M, au lieu de I.oslem- louot. libre de location au a
cour oliiso; UU nord; courtil liiau :
cpteiuhre prochain |I9;3).
cpteii
dit .. t,iors-an-Ty
dans lePremier lot
-Mise a prix: (!..!(I0 Ir. 472S
quel se trouve un puits.
l'no lermi- comprenant
1,0 tout cadastré
C, ba'.lm,-lits d'b.ibilatloiiel d'e\
„„„,„„,>
. / ,!•< section
litude de M- « i i y . notaire à
numéros i02
ooiitei laiiee totale, tonds sous
rroiiles.d'ui.f Hrest, Place Wilson, suee.'s><Mir de .M" liortiioau de
.'-ililii't lU'iV,"
'"'•îconienaiicetotalcde l h . s ; a
IM co
Au
AVEIDREDEGREAGRE
ot s.
au; P ...a-!
, . i l u„o, o-,.ce
Douxtèmetot
ciiano ' lit•• 'ni,.,,
Parc-Allem
ot diverses pie oiisotiild.? ..u si parénieur.
iliisln .oollon
niiiiit
''"i
coiitoii.ii.o. La ferme de Eseheglas
ol .'il
pour une i I,ntouance
iunani,!, m,aie do 2 h. » • ii. :M c.
l.ilii-e lo J!) septrinhro l.i.'i.
de 2 alT i:i oonli
Conlisu
00 l'Ii.i11,M, et en -Mise A prix: 7.<MM» fr.
La
Ferme de Kéraudren Bras
oriiiiftf
Jouissance
pour
les
dcul)«rihiro (lu ehoinin
"'••''"I''''''
«'^Pti-'iiv
ouuvoi'lo en tiiiios. i lire A lût
La
Ferme de l'Hermitag»
lie, eiiiplucement à bois cl a '"''' procliaiii.
fourra(;es.
I l'our tous renseicrnomoiits, i'outes sises à Laiiibi-zolti-O.
Au nord duilil couilil cl s'atlresserii .M' POULiyUK.N', l'une cimtonaiice chacum;
.notaU'c
d'environ 5 heotares.
.1774
eonllKU: eliaiiip dit
i;:.ido de M- LIi GALLIC,, liOUras
oaduslr,
numéro 392, pm uni ','|"?'"'|Iîtudcsde .M. itiirioii. notair
taire A Uospnrden.
nanoe ilo 31 aiv's 70
liares.l
i,,.snovon. et da .M- Itose.
Au midi duitit du
autre, i,,,.;,!,.^ l'ioiir-scat.
rl'aini) dit " Pnrc-.M
iaire, le j f i i d i 7 juin
V o Io n
daslro teelion C. iiuinori 398. A D J W O N
t a i r e . à l i heures, un i:orpM «lit
pour uno oonli'naiioc d 10 ares le NIER.-redl ;10 mai I !)',!:». »:i(im<fnl M un parfait état avec
80 ciiUiarcs.
i 1 h. 1(2, (Ml l'étude et |>ar le 0 hecMres onviroii de bouiie.s
Ciiamp (lit
Parc-ar-Leiir. inini.iti'iro de M liarjou.
terres labouraldcs et prairies,
f,-uenr ou " Parc-.Môon
ca.
situés A l'entrai, eu Kernélin Ploiilder
ciastré section C. numéro i l
v«-l.
tlot.
—
A
ICerbi.iuet,
pro.s
ont. nance de la ijaio, un tdiamp, dit l'.in; Jouissance par mai;,3 au 29
pi.ui- 1
ontiiir.
27 ares
conlena t 4; a. 'J,i. iepteniliie prochain.
Séehi!
Koon 111. A Les ai-i>erien,
All.S, A prix : Uii.OOO fr.
.Mise à prix : -i.mio ir.
o»uuo-V
lad;
soc-l 2lot. — A Douriiiap, Liors- Une is d otrros sullisante.<:.
tlon C.
1102
u
ira lerail avant l'adjudica,i„-o iio
une co ,i,.f,
de G '.o'i.'rcoz. coiilenaiit <1 a.
tion.
l'O eouti .teiuiiLC di, G .ut!. Mise à prl.x : CliO ir.
Pou
tous ron3ei'.înementf
Autre siiohnrio
ao.'-mon •''
- A .Moiiez-ar-Oador:
à Pors-,.an'eis^ iiis' ?adaslré,P.-«'.«eI!c de terre lal;omah',e lUtro scr a M- LtiGAt.LlC.
section c niiiii.in, OSI Dour Alise a prix : ;i O ir.
à luiier pour
une Cl
ïïësL V
o ' r 1/-'
•i mois, Cham0« (
l'ilUares
" • ' oiitfviatil (iii .i. .;U, e.lant l>r« mouUtée, campagne environs de 1 ;v.st. Paire otïres au
tare nlonaiiVe tutalo: 1 hec-''.'visode Parc-Cro.s.cjntei
journal.
Mis,? "r'^pr^l r ' H u i r m I t t o l
l^V
f r a n c , ci. 8.000 fr.
•''
^ '\cio/it. 1 a:c
Cette vonle a clé ordonnée Bar.,ii, coiitonai 1 lu a. o...
A la Pre.tse lilwrnlf. du Finispar iupomont du Triiiunal ci- Mise a |.nx : I-«OO fr.
lerc :
l i l de Drosl, on date du 2 mal . hadi-.v.sor aux dus Al" 1
eiiibal•1739 Papier hlaiic our etc.;
1923 oiiroHisIré. ivnilu A la jou et lios^
requ.Me de: t" Moiisioiir Fran-';—;—..
^ .
•1 Ir. le kilo.
C0l»-.Marie IMndaven. veuf de Etude de M' OtH^nS notaire a
Mad.inio OabrlcIto-AIaiK- Co-| l'Iouvorii.
ADJUDICATION t^li'd^^fc
A VENDRE
VENTE
VEliTE
VENTE
A VENDRE
ON DEM.
A VENDRE Demandez
h Courrier
sant tani. on son nom por ù Peuverii pros l i o u r j l'I.;..- du Finistère dans toutes
.soiinot (pio au n»iii ot oommo.voni.
lutoiir naturel ol léa;al doi Joui.ssance au 29 soptomiire
les
Bibh'of/ièr/ucs
Jean-AIarie Pondaven, Mon (ils 19;3. Pour vioitor s•adl•e.^.>er à
mineur issu do son marlai,'o;M. -Mouster. l'rauf-ois
Ides
(rares
da
Finistère
avec .Madame Gahrielle-.Marlc-.tiaiier au notaire.
peeundraallDIREIZElEMHOKOF
I r r o n i i m i j s irlali; P
Etude de M* Preveitlo, D«ttlr«,Collo, suinommét.
Etude* de M> F o a M M i ;
A Ploudalméieau.
Demandeur ayant U* Paul,
* e l « » » H u c t pour avoué aveo Ateo
lion de domicile en «an étude avoué, rue
CbltCMi, ntt, et de U » Cbenilkant
en l'iStade, le !t8 mai lUSU, i sise A Brcit, 13. rue Voltaire
El: 2* Madame Marle-Jcanne- et Rodellec da Porzl«, no1 h. 30.
Kn 8aiu(>Pnbu, soii«-fcr- Colin, vcuvo do Monsieur taires i St-Rcnan.
iHe, au lirendu, de 4 h. ES, Jean Colin, dcnicurnnl A Ker
louée à Guégantûii. 700 fr. ci gai'adoc. en Lanlldut. agissant] _
au nom et comme tutrice iii-| uu l étude et par le minis
l'Impôt, divisée en '.' lot«.
urctle et légali de Marie-A !ne ,Are de W- CHEMI.VAXT. no
Mise â prl.< : 2;».000 Ir.
Hn Ploiirtuliiiéi'.eau. Huiiit saouzanct et Claude baouza- tatre i êt-Kenan.
forme A .Mezou Cioguell. net. ses petits enfants mi- Le Sauieill 0 Juin fOS3,
neurs.
louée Â Héllés.
A-une heure et demie do l'aprés-. v
AulrP demandeur ayant pour ,„i(j)
Voir les alllcbeB.
4603
^ m s 9 m m 9 a B s e OESB» O
^ K nuis à votre disponitiun. Madame,
pour vous embellir si vous lo vou/JSfJ les bion, ot pour vous rajeunir en
mânie temps. Vous aerez cmerveillée
de ooDstater oaiome j« rends la peau
douoe et linae et comme, aveo mes
bons aoius, le visage retrouve et conserve toute la fraîcheur de la jeunesse.
Ne croyez pas qûeje vous promotte
plus quo je ne puiase teniv: la si jolis
M " HuKuette Duflos, de la Comodia
Française, n'a-t-ello pas dèolarA que
toute femme soucieuse dn préserver
•on teist devrait m'employer 1 Suives!
aoD conseil et vous vous en trouvores
bien Du reste, si Je ne tisns paa ma
promesse de vous rendrn plus belle
et de voua rajsusir do plusieurs
années, l'argent que vous aurez dépens* pour mol vous sera remboursé
sur simple demande.
O d n A O ^ ^ U a i o t L
NOTA. — Potir lu remboarttment iiuntionné
d-dttult lin cernttctt dt /arar.tlr fat Jollil à
chaiim pol, I.a (Ji-fine ToUtlon tf Iroate Jani
toatf»
bonnet maiônf.
a zalc'he e .spered a-bcz hag a guze e
c'hlac'hnr a-grenn.
Urciiiiin edo o tiskenn gant an henl
doun n Bas d'e barkcicr. Dre ma 'z a
Yann n îavar o huno ; a:i hcnt n zav
aman a gas d'ar waremm-nuin-warenim.
an ode-man d'ar pnrk-nia-park. Kement
boehad gwcz n zo war ar c'hIeuzio;i.
kement bojenn lann a zav wnr ar c'iirizcnn dorgennek n zo annvezct mal gantan. Houman co c vro, houman co. J-.ur
richadel n dreiiz nn hcnt dirazan ; cur
voualc'ii a guita hc c'hhid a denn-askcll pa drcmenn ; cur c'houlin (lapin)
a oa, me zonj, hervcz ku.stun»
1. Oo'h eva RIIZ, po o p.MRL,
0 ptldrolat hng o c'honrl. •
n dec'h cvcl cul lue'hedenn, sounn e
lostlg gwenn.
En tu klciz emnn nr c'ho.id. Ar c hoad 1
nag a druou ivcz cr gerig-xe I an ncizi,
ni lus pu oa c'honz eur c'brcnnard nnczan ; diwezatoc'h ar pila gwcz, nn
trcc'hi kcuneud, an destum gwlal hag
ivor c. rea gaiito c voutigi cpad an dcrvcziuu glao. Ha kant ha kant Ira ail,
cur mbr a draou o'houck. ne gnve hano
ebct d'czo, hag a skul)o c boaniou, hag
a inkcn dudi cnnan leiz c galoun.
An hcnt a droc krenn n-zehou en qur
ziskenn hag a zigammc ndarro deustu,
eUn wnrzu ar prajcier. A-zehou cur boehad halcg : eur wazig dour n goueze
diouz cur waremm gant eur roc'h flour
ha Ilpou» ; eur gorzenn haleg ou* ar
roc'h a zUkoueze c pcicac'h c yca ar
bootrcd-saout dn eva. Pcd g^^'och en
doa hen evet cno Ivez ! En lu kleiz
eur foenneg vihan kiozet gant ar
c'hoad war xoubllh c peleac'h |.'n
doa klcvct ken allet an durxunelled o
kana. Eun tammlk pclloc'h an hent
doun n échue Img an druonlenn a »lgore frank. An avel yen ne deue k«t
ken beteg eno : eor Trummen dan»
sklsaef, arat, a c l o i o e an traou, ncroet
^SBTMMMMMB^
II ttOll TIEBGELET |
BREST "
BREST
S3-35
-37,
rue Emile
Zola
—
(eiilie le Cluunp de Palaillc ot ta Place Latour d'Auvcrijiie
I SSliM^d
Pour répondre aux
demandes do tioiiitiroiixollonts. ta .«lal
KcHi voudra .se.s arlictes .-i la
Foire de Lesneven
I
mb^M^^
Ilu l . l j s n i 2.V MM
dans ta salle de 1 llutel Lli imU.V.
a-hont azioc'h an diou renkad hale(4 a a.samez. Bez:i co ar vadclez divent ; ma
heuilh ar richer oenn da benn c oa ne veiz (goinpren) ket atao an den o
tevoe'h ar gwiskad. Ar prajou oa diès venoziou eo ahalamour ma 'z co re
da welct a dreuz nr avt-l-ze ; ne wcicd zem))l e spered : al lapou.s-noz ne c'hell
jicmet llnenn hir ha du ar c'hlcuziou. ket selict ouz an hcol. Ilogen rcizcl co
En tu-all d'nr c'hân gwarimuiier cc'lion pcp Ira evit brasa mad ar bed. Ar maro
n zavc sonn. Er pemi jiella roujou ar a zo dor ar vuhez. Yann en eur ruilvilin ne ycont ket c'hoaz en dro. Trouz hal .m triiou-ze en e benn a zantc «
ebet nemet hini ar richer o tont g.ant Raloun o tigcri. evel ma c'hoarvez pa
err a zindan ar uount bras. Eo ! .setu vez taolct diwar hor c'hein cur zamm
eur fouet o slrakaX cur c'harr o tibrada re bonnner. Hep gouzout d'ezan e oa
en cur wigourrat hag en cur storlokat. crruet o traon ar c'hân. Eur waremm
Prestik goude eur vouez frcaz a zavas da drcuzi bag e vije en c brat. Kerzet
en tu-all d'nr c'hdn en cur voulc'ha cur a rca brcman dinec'h e spered, skanv
e dreid.
zôn.
En cun ttiol c WCIR» adreuz ar vo»
— Lom, ar portczcr I eme yann.
Hag en doc c'honnt da youc'hnl d'e- gldell eun dra hennag o tispaka diouz
zan evel m'en dijc grcat cun nebcud ode cur prat. Yann a gavas d'Czan c oa
e benn o voudinslla, rak klevet n ixa
miziou arok :
— Lom 1 Lom I mez a rez d'ar c'hil- trouz henvcl ouz klemmou eul locn
glouzcL KreKi a rens e troad c drancli
hcien.
Petra zonjfc nr portezer o c'houzout Rant c zaou zorn. Ne fazic kel : eun
e oa hcn ken ahred-ze o vont d'e bral ? den a deue warzu cjiiian gant err en
Yann a gavas furroe'h dcrc'hcl war e cur gicmm, klemmou nec'het ar wazed
deod. Plijndur a rcn d'ezan koulskoude a WRsk wnf o foan gant o holl ncrt ha
l(lcvet ar vouez-zc, hag en desped d'e- n'int ket evit derc'hcl wjir o c'halonn.
zan e oa ivez en ein lakeat da gana son Yann on doa truez. Pa anavexas nr Stcr
ar portezer. Kaout a rca ar bed plija- fan koz. Ilcman en doa aoavezet Yann
durus adarre ; blaz a gave d'ar vuhez ivez, evit doare. rak chom o rc«.s a-iavw
cr gcar, tcnn alies, 'met brcman e wele Yann a zonjas dcnsdu e oo bct, cvet ktissklcar kcmeiit-se, ken c'houek cvelato. tum, o fruga ar waz. I>crag e ouele l a ?
Nan. c gwirionez. Doue ne oa ket bct rag ar c'hicmmou en do.i klc\-el n oA
didruez en e genver pa 'n don lakeat Icnvou kouHikoude. Ne oulc kel kalz pe^
anezan da c'henel er c'hornix didrouz Ira da zonjal ; eun dra hcpken oa
hn pcoc'hu»-zo eus ar mcax. N'eus fors auet * n'co ket evit obcr vad c oa ken
uegen pell ha pegen pi.s c sellcwar e al)ivd-»c dre eno.-Ha^ ar gxvad a lave
lerc'h en c vuhc/ ne wele nemet made- d:\ tien M nr zoudard gant itr vulumegir*,
letiou n berz an aotrou, plijaduriou
Tî<<ilc ne linvc ket muloc'h eget cur
saourek ha reiz a garg ar galoim a zudi pcnL Yann crruet to»t awqlacli d'ezan
hep drasti ar c'horf nn saotri nn ene^. a iiopas :
Kou oa bet lar'het... 'Met hcn e unan
— l'ctra c'hoarl j a n w
Slcfan. lia'
c'helle e ziakjir I Pa zonJ er .«nlziou trn c hoarl ganei 7
•
spountus eràbn o paouez trcintnn ne
Stchn a r.a«at da mpouot.
c^hcll ket «ontpren zoken p ^ & t en deut
— Yann t \ani» î b w ^ u e i »
gellet dont beo nc'bane. iiràn,^ gwlriom » i>oue n t sko kçt gant e faou w r n
(Oa
genduti'htr).
Au terriilr Oo Vlulfioï, un
chuniii do lorro lahoura-
WiisleDr MJiSliDi
TAlULBUn
S CT 10, (juaidi
Lion
l^ND^JiNEAU
privIuDt 1(1 uomliroiifi*
OII»iilùlo ds VurrlvMuo
(to C H A P E A U X |)oii(< la
cumpaKQO.
— Triis l/vite i/w(i(i(J —
l'IMX AVA.\TAGI<ai\
ftlKlOS II» M' l^. VIclKI»,
avuuo II iIroMt, rue dn i<iniii,
Ji' '.M ! do .M' Collii, nviiiut u
Ki'Ofil, et ilo M'llvi'KOl, 110tniro nu CoïKiiict,
VENTE
Kn loludo et pnv lo iiiliiliiIfiTilo M- ItlCHCiUT. iiotalic
uu Oonquct,
,1.0 Juiidl 7 Juin ID'JU, A
il 11. I,.' (In iniillii.
D E S I G N A T I O N
:
Kn !u coniiimuu du Couquel.
••
Ppomitr lot
. l'.n mviilv du t-'omiuot, rue
hcrcinp'iii,
UNE MAISON
•I lltililiiilloii ooiivul'Io on
nrdoiscs ; 4 on'clios «ouvci'-
les rn anloisc», et coui'. ho
tout OOIltCllUIll I Ul'O U8 CVII-
tiares,
, Mlso ft prix ! SU mlllo
Traiics, cl. ().o«o fr.
DouxMm* lot
Altenaiil lui iilgiio» nord do
la propcdonlo,
AUTRE
MAISON
tUre»''"
Mlïé A pilx ! Mlllo qurtHo
ccuufiaïu's, el, l.tOO Ir.
VlniH-iiliiKnio lot
A\i toimir dii Ttiil'.i!». nu
clmiuii du lerro l!ili(j\iralile,
coijJoiuiit
iir(;M 'js ecnlljtoH.
Mise .'» PII.V ; Milld oii.i
cenl.H IriiiKs, i l, t.iiiii) Ir,
Vlngt-duijU'ùino lot
Au niemu lerioir, itiilrn
clmuip do terto lalioiniible,
coijloiiant Mare»(.1 eenll.nres.
MU à prix : ,Mlllo «ix i;cnls
fruiiC!!, el, I.noii Ir,
VhiuMiultHini» lot
Au nninio tciroir, un <M>UI'111. loiileiiant aros.
.J'i!"-"'''P'.lx : Wiiaiio ceiila
(rane.x. el, 4<m» fr.
Vlnot-noiivlèmo lot
Attenant au auil du pri'od
iienl, nu cliauiii do tnrro l.i
iour,iiile en partie, ot en au
i;e. jurlle, lande, oonlonant
,).> ari N ,'rl cenllnrcs.
MI.<o ù prix ! Si* ocnls
Irancfi, d , Iloi» tr.
, Trenli6mo Ict
Au dit tenolr, i)u vliaïup
<lo teno lalic.urallle, contenant si oie< SI eenllarcji.
Mise a prix ! Mlllo huit conls
francs, cl, l.tuu» ir.
•S'adres.-or pour tous rcn
Helunenu'nts. à M' liersîot
nolidio çliavL'O de la vente, ot
il M-; IC. Viohot et Colin
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•Mise ù prix ; /(O.OOO tr.
Inlmnriilile, ouiilenant 4y ares
4i) cenllaidii.
Oouxlimo let
^ .Vlsn ft prK ! Deux mlll
Mémo coniniuiio, lieu dit
huit cents trane«,cl.U,(l()Ofi
l'ill.ne.
OInquIim* lot
lifu\plùcuH<l<<(errci«ouH
Au torrolr do KOroiivcl, un Inliour.
Courlll do teiro labouralil
eonlenant ensemble I li. 65a,
oonlonant k; arcs nii ccnllarc
COe.
.MUo il urlx i Mlllo Iriinc
Mise (I prix ; 10,OUI) Ir.
cl. I . O O O f r .
troisième lot
.
. •Ixiim* lot
Mémo voniuiiiuo, ti I.oAu terroir do Kcrnaffiaiit
Olll'i>l.
MU clmu>i» do lorro lahoiiru
t'n Çliiiinii (lo terro It».
ulo, conteniinv 17 nroii m ccn
Iiouraltio, noniniù l'aro-urtloresi,
Ynr, coiilonant.lTa, ';0 c.
Mlfo A prix : Huit ccnl»
Mlso il prix I il.Otld fr.
pulasant forllllant quo I on 'puisse ïlpnner aux onmnis.
fronce, cl. fUlO fr.
Quatrième lot
Septième lot
,Kn TrciUv., iloa dit Lanar. Dana .Mcisou-Ulan.Prat-M.
c lioud'i'.en.
lou, unu iiai-t'ollo do terrn . l u Cliiimn <lo IcriM» lii.
Inbourahlo, coiitcnont 2 arox linnralile, dit l'are-ar-sirOat«'onliaroN.
Ul,is, contenant'.'il n, W) c.
M I N O à prix ! Dcu.x cents
Mise ft in'i.x : U.'idd tr.
Iraiicx, cl. iiixt fr.
l'our plus amples ronsolHuItlimo lo;
pnumenu, consulior les alllAu terroir uu l'icrré, iiii olies el lu foiin'u'i' du /''inisohnuiii do torro labournlilo
/i)re du mal liaj, ou «'adreaooidenant C8 uro»40 centiares, 8uri(M'H10U,nulalro.
47U8
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IMIICN, cl. U.OOO II',
Vlnoennesmini)
Etude do M' Hrnect lllou, noNeuvième lot.
Ax tei'idir du HriMioslou
u n vliiiiii|> do terro lnl>uura'
A VENDRE
DE GRE A GRE
l)lo, contonunt 11 aïoi 70 von' en
la coinmuno de IMouutStIarcB.
v«;z-L,oulirlHl.
Mlso fi prix ! Six oenifl , f Sur la roule du bourfr \
franc», cl. l i n » fp.
l'ont-ar-Uost, nmiNou d'Iiabl,
^ Dliilèm* lot
tatloii couvcrio on ardoise»,
Au torrolr du nnihnstou, ayant rei!-do-clmusHe(>, (Jtntto
M A I S O N OE C O N F I A N C E
uan« un cimnip uomnmn. otpronlor, waicr-elosct, ouIm pium
ponomméo
tie
Êm
fégton
uiiu iini'uvllv Uo lerro I . I I J O U dnatrOo aeelloii II, sous lo
abir cuniunant i uresUii con
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MlaoùprlxiMllledouxconts
__La licllu iinlllo forme <lo
iranu.o, i l i . u o n fr.
s'adroaaer a M' QUIilNiNI'X
Pouqiior - Trftoii - K l o r n .
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muii,' |inroullo, eontonant II
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s'adresser lu ra»oiion do la ncnu ou & MM. Goroller et
Koinzct a voz brozo'
ti'oiio», Compagnio gtim'rnlt li'nnial* 8aocad«g, U, ruo llrlzcuv,
Cl, UOO If,
aniinne, l'j, ruo Duquosno, it Qulmpor.
nol(. — Untrcit dro pa4:IU3
VlngtMt<unlèm* lot
Urest.qul délivre aana frais
sionnou lllz St-Malanl.
bimiiiiie» A u t o m o t o
Aliénant k l'ost, nutro nnr- los billets do passaco par mer
««llo do torro labourable, oon< ainsi (luo tes tlelteta do che- ot k a P u r a n , «onMcsmrjlICtudosdcM-'Monnolietnclz,
tenant 0 arcs 09 continrc».
mins de for amârlcalns Jus- loiiroo, los mollis chitrea.
avoués ft Morlaix, et do .MWlao II prix i Trois conls qu'ft destination.
Vonto - Kolmnffo • Uéimrtllaai
ilollou, lloencié en droit, nofranoD, ol, l i o o Ir.
talro ft ijandlvlslau.
^ ^ VlngtêusUmo lot
ABORALL
AU tcri'olrdo Prat-Mlllii,uuo
| a r c « l l e do terre labourable,
I.n mardi l i l Juin 1093, ft
•ontonant 8 ares OB oontlaros,
Uni JuBii d'Ire-LIINinN
a houros do l'aprég-mldl, on
Mlso è prix : Quatre oonts
SptoUlltilidert'ialri.coiitoauxol
rpludo ol par lo mlnlslùro de
traiios, cl, 4 0 0 fr.
Km SiUut-TlwmaB
ilsdoaxen lou«gonroi,gsranlli.
J • Uc lee, notoire ft Landlvl„ , yintt-troliMm* le»
RIPAmOS THtia KlIQNll
LAIVUEnNEAV
slau, do la
„ B n la vlllo du Oonquot,
Tout <H luiKil» A Ltiimtti, «n
firandruo, uuo inalnnu d'li«<
fMtdec/ieiJU.f.aurcnl.liiillêur
S l U t l a i i oouvortp ou ardoises;
roui lia laiiieiHii à Sl-Henaii,
en la cuinmuno do Lnulionnf«pur î çsblnot (l'alioncos. Conprii lu /lalUi. A f.aiidli'lilaii,
manco 1 oro.
maison
OUI Ml vimredin, Orandt
uno teuiio (k .domaine con- d'habitation, édltloes: d'oxplolphei, m face de chez If, Xiri
Béablo «ltu«o oommuno do tatlon, pulls ot Jardinet, sol ot
Aoo&tr-""''''"'"®''""'
vlin, toulançer,
PKUMEHrr ot appoléo Miiw dépondaneosotlostorres ohau_ VInaUquMrMm» let
— Wallon cl« Conllnnce —
Cmtrto
(Vnn-T)'aon. (.'ont.
ot froldos. Toi quo lo tout
En la commune do Plou35.,h. M.., S'adrossor tk M* dos
tenu par Jean-Mario l'invlQUJîINNEC, notaire l'k l'ont- est
et ost d'uno contonanco
^ f n " * l e s aunes do Lanleust,
TAbbé ou L M,M. ilarol ot dio
totale cadastrale do 15 hoctaros
to m o l l M Indlvlae
d'une
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MUV
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Bornholni
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Vis, " 5 13 aros SO oontlaros.
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Mlso ft prix : i)(».000 fr.
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MUiîi, cadiisiriiu seelion A , n'
374ei:i71 bis coulonaiit
3 a. CO
Un elianip, dit AlMors, Kectlon A,
u'
13 a. 30
Un uuti'8 dit l'arolîrax, aeetlon A,
n. 53 a. SO
Un autre dit r'.i'ronr - l'ral, «eetion
A, n- :i;ij
33 a.
Uno prairie (nutrefols en tluuN). neotlon A, n - 337 et
:i:)S
12 a. 50
Au terroir do t'cunteuii-Vor.Mne parcelle,diluGouremar - liruc'b, aveo
unovenelliuleiicr. .
vitudû ,'1 l E.st, scclloM A, n- i«l
27 a. 10
A u inOme lieu, uno
parcelle, dite Lannoe-ar-Cirae'li, section A, II'
11 a. 80
A u terroir de l'IouniOnou, uno plceo
do terre, dite Goaroin • Vnan - Peu l'iouménou, section A, n'.MB
4G a.
Au nord du iirOet^cent, lorrain et
portion de pré,
Bcclion A, n- 51JS 1)
8 a. <10
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LE DOMAINE
L'ERMITAGE
,dune DE
nuperliciô
d'environ
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1' iMnIson do mnltrc ,'ivec
ardiin fruitier et d'agrément,
0 lout cloN de murs ;
1' VuHleM liAdiuculs IIIOlerii)*N servant ù la préparation dos tripes ii la modo de
Caen ;
3' Porclinrlo
amcnagéc
pour .'ttlU porcs ;
l'ïeurl» et Rlnblo spa
Ciflusea. Mellerio ;
.V 'l'urroi^ et prairies,
nuisseim traversant toute la
propriété ; pièce dv.nu, sour
cés abondantes.
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ino!i iilli\;..i', et . j.i.use eu
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i.i .i: le dame CaVdi'oi: plis.', on j . .
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besoin (|ii er. s.i .;,i -ilité do t u trioo r u t u i c i i o et iéj-'alo i l d
.Miitio-Ai! 1, l.'.çi.- .M- i-'iMli A b h a Il
( j l i i . i - r . 5.1 li. li- i i i i i i c i i r c j
is.siio d'i S'.n 1
- r iiiari.ificj
el lo dit î. 11- i;.
tanii
pour
et i: iiiorisor s,i
leiiiinv (pi'oii s i c.i :.li|.> de c o lul.'or
M dl!"':;
MonM.ei:- Vv '.•s' A h t r a i l
A M . i n i o i i Dilivi,-:, j ropriétidro( i ; i l i \ , i l o i i i ' . d.'iiicn; .nt ft P c l leiiz. en l';.-,un.--ri: - l i o z , p r l «
on .-a ,pi.,l:! ; d - ;,iiliroKé-lu-.lour :..l li.i,- .1.' M 1, iineurc A l i Kiall A l i i i . d i c n (1) I n i o r , s u s ii'.n.iiioo; i,v.,..! M
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I... .-.hi,.: .les ••!,.. .li.'S dios.s.l
poi.:- |.,l,.T.If ii M V. ni." est*
d.'|,os; e-; r . In i .i.- M" Cii-i
<l..nn.'-'. iiM.iii • ,•. Ijri;/ii,)K,in.
on l ' I j u i i o i . i i i - T : .•:.
...i l'.,i<
pou! en p n n . i i . .••, Mii.iissnno.-.
I.'...lii|.;ie .i;,,;i i,iira »ieii e i i
ri-OselOie du siihlr..;<.;-tlj!..|l.':
ii.l lioo .io l-i u-.'ift iro Ab>:',i,t
.4J.li,,niO!i <iiiA;..r (j u lui d ù ir inUK lon-OM
pnomo'
laidomioo. 110t;.in:
lii-iHn.i; • n. on PI.JU-.
iioonr- loz, ot •M" Borlcs ot
l'ounii
;i lirost.
ot r.:.l
conronii.'-.
mont
1.1 lui p.ii' l'av.jU'i
pUUI.sllI'
iMlilK.-:.
ivouo-liccnoié
1* Un lot do ino ormes.
Ciidiisli' 00 êcli.un I-;, niim.;r.i
—
1)1) eluMie ^.
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3*
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5 frOne».
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_
nomme
. Coll.• v.-nl.i a li. Il cn v e r t u
porte. 11...-Ml'.
.il,lit,
.Menez-Dlvisl u, contonaji
d'un 1i i t - ' u i i - n l oontiM.lictoire
iivo'.i' i. i-.h.-'. olrn, el d.!
enviioii 1 h. '
el (|..lllillif r. ii.:lu llil !• |.' T r i M'
Lo
Goasqiien,
notalro
à
Mise à pi Ix : ii.OdO tr
hunal eivii do Hr.'isl. le 18
S- l Champs, n" Jij- et lii
.\vril
1!)2o'.
cni\
•uist:
Section l.t. (;oiilen:incc!).ja.S
Entre :
Mise à |)rix : /i.O(il) Ir.
.M.,lisieuv • .1.>.'.n-Piori/;
• lie
/J' l'n Ctiainp. n* 2:ib;.s .sec
nei-trot. Illlliv..!I.'iir, N.'lir de
I.e
.i.-cdi 2:; j i in prolion U, contenance lu ii. :iu
ii;;ne! ( :laudi.ie .l.'Z.'. .piel, ,1..îhain
nx
• le I . 1 -Mise !i prix : a.iioo fr.
i m i i u n l ii U. ;-.:I i . n \ „ il on .Mi.•li.
1(1- 'l Uai-enncp, au iionl
Ilzao : 2" .MijidaiiK • .M,iiio•Jl.l
au bord de U route du Cl
>voimo l î e r p „ l ,
.M.oisl.'iir
-c en la Tille
teaulia, contenant enviro
Malhiiis i Li. I l i r . s..11 iiuiri. oui
-Kaoïi, il
Gj ares.
l'ii.ssisU• el r , i u l
, eiilliva•.)jll.lio..li,
Mise, il prix : i.iiOO fr
teors. .i|.-i:i..|ir,ii 'il en seniDIe ii
11- l;ne prairie on Castjiion
Kerd..n' iMl. on Mili;-,:..•;
Mii.1 ...x
.is ooirii,
ince l'nit-Trévoalor, rr lis
danio .I.'i.mi.-P,
• Iî.'ii--..i,
l'i
!<e.-(ion Ij, contenant ÎO a. OU, cl -MoUf ieiir Ki-.ii
I... I)lu,is,
.Mise à prix : '."..iOO Ir.
s..Il mmri. qui r .
L- .'i. r . i i i Preniiîr lot
il- l!n ciiainp, n- Ip. socii
i.iriso. Clllli\il|. •iirs.
i::i 1,.
A, au coucliaiit de la li^ne d
IMllt Cl |S. illblo à Iv.. 1 .'i'aivai, 1 eul-.lii
i.lil,
clie.niii de r<;r. Co:iteaan
on .Mi!i>
i.-n.n.i'•lUaiiproximative -.Oarcs.
U. m:. n.lèiii', i
•M- n..Mise .'i prix : l.ijdo fr.
lies poi
• ..l.'.'iioii
.1.U
13 l,.i petit.; f.M'iiie il
llo delll il'Iio'ëH' !•i.in 1 !i|.l.. :,iso
•'il.>11..
Iiei'voriinl, (jouissance jiii
ii l i r o t l , 3, ruo ;
il i;.;••...ii-1d.. Cbatcaumeiliatel comprenant 3 brit
101
lil
nients, 2 eourtil.-:,. prairie:
Et
UNE P O R T I O N fîE TERRAIN
et I cliiinip.
Miidii nie
:Mii
• ,1.,.,nr.e do .,1
,it,- .'Ir
r. j
.Mise à prix : !),0 )0 fr.
i-n.
Ultl'
iii-l
'IVi!
. l i' L'n courtil, n- '.'y,
lelh
-M;.
un
•
lali.i
sec
lion A.
lile, iil
;ii!ii,ie
.Mise à prix : 1,000 tr
.1.' .Mcn.-i. • Yv.
ttis lo uuI.MI, lui ias,isle l |- loii
.11 n
..rio
'""La Gi'iinde Fei'iiii
lleUliUlt eiisoilllii
K
lil faii.Mi, on .Milizae; lu Jit. • d.ii
l'SIIde KK iVKII.VA!
i:.di..n priso tînt
Mm
,1Ulill
i.d./'•iM.iiiiel au lie,- o'in, îi'i l'on
c.-;ntonai)t eiivlri)ii II li. .vi.
•iir \ii'
jfcilI"'
|U,j|ilo do lulric. • n-'' .•llo
.Miseapiix : iîO.OUO fr.
i.'i:-. .1
rplii d 0110
plll.•C^.lo do I-lV.!leoi l>
l'our to.is rciisoi^'iiomentf
'l.
ll.'U .!•
i ;ll
ni.1J2«
llilo ininouve,
sadrcs- cr aux notaires cliar
llo
Ir.^s .••
iOI
•J-osi .luiivnii. !• iii,,n;i(:e: et l. lit
gc.s de la venie.
.171
II.. nièi.j
lil e!
..JIJOU l.ini pour as.-^ isie et I.'0i;ii;m
il.^'io , 00
•uv 1,1 r^.ll
Etude do M- l.i; Bail, notaire Hitoiisor â feninio < n'en
iiialito do co-lutour d ; la I I
ii Morlaiv.
.Mi'so ii p:i\ • Cliui mille
loure lîei>:o).
fr,incs, ci. t;.000 fr
I.n.fendoui's. vaut M- C.n
Oeuxièmo lot
Fn I cumiiiun.; Ilo I.oii. Commune de .Salul-.MurlIu in pour avijiii ilVOl' élo li.
lo
duniioiio
en
:iin
éhido
liiin.
oauiiouldcH Chiinips.
I lîrosl. (i. ruo l'AiKulllon.
Ui-I'.i •ju.
1,0 cahier dos i;li,iig.."i lires!
Au Il u
LaFERMEduPETIT-KÉRIViN
P-i'Ion-Hczir-iU; n,
comprciia:.t l!"dinicnls d'habi- pour arvonir ii 1,1 Vlllo e:
on l'étuir lo .M- (In
• -«0
UNE PROPriETE RURALE
tation et (I c.\ploitalion
ne notiili-o ii Urest, i 1'
Terres labmii.im].',..-•.'•e d^^ lï'.'i iie.lls et
on iironiiro odiin.ii-i s.im
I.^ries (!.•
rablesel M'i-jors •,)
i
peiit, i.tiiidl.'iilioii
aura li ou
Lande et bois . .
d llllO 0..!,!
Pré
•neo do .Monijiour •iv.
heelîl-f
..11, !,' I.- nu ollo
.me
iros
luu, IKiiix lie d.im.' .lo,iniil<
•M.. 1,1 1110 .Mart.>
t .(.Il
jon r'i:lliv;.|.'Ur ol e.,uiii
Contenance lot..
• I i'I.
d.' -Monisitor
l.'iiioii.'.inl
ii
Hoe-Avol
ni.
Libre iiu
•in.
l''I..Ol
I.t'lllhl f l'J2
pli.-; eu sa i]iii.lil
en .Mili:
Pour ton:
Mise ;i |..
Dix mlllo
lient
le nilir
-l'.iliMir ad h.jc do
s'adresser ii r tu..
jnco, ci . 10.000
la min iir. li.'rxot.
C.'lte 1.•.'Ml.' (' I |i0iu'6ui\;'>
S'adrcss. r pour tous ron.
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"1 ,1 ^.•lIl,•llt r c n Etude de .M» .tlercicr, notaire
Igneilienl i ii .M- Onm.''s, no
I |.i,r I
,il oi\ il II.»
tairo ii Ur.' si, ii .M» (iuormouv
•lo Cl lil
nuliiiro i.ii Houi'K-Ul.ino. cl , te;iuli.| i, 1,1 dl
du !• ' -Mat
M " lîories ot Culii!, avoués ,
ft ICerlobiet, f>n CluUvnii.'iii
r.-sl,
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l'ilil. et, r, .lluo oniif, ..'m. ;
par:
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1.1 loi. p, ir fia ou 1' mtu
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l>;e
I' m.Tnl. cliaiivouo-liceiiclo
i
Urest,
3
,
il.•n
la
\il„t
Derrici e 11 i ii.i
cliainp
ruo .\ininil UévoilM'ie ; di
1,1,
i-Faoïi, eu
pouvant tre traiisloriii' en
M- Fouriiicr. avoué-licend,.
or ad licti
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jardin.
cié à Hrcsi. !•-', ruo de la
.1 .'an-Mario:
iiiineiii-s:
S'adresser à l lude
47(13
Mairie, et do M- Cudeiiiicv
-Marie: en
notai n? ii Hrignogan, ei
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•i' UNE AIRE A BATTRE
coiil.:
iioij.u:-.'. s.lllM p.',-lixposiliOM nublinue lundi au midi des liabilallons cl- fossi. lii. di •iii.'ir.iint en la \Tiî'»
8 mai, de 2 a 5 lieurcs, salle ilOBsus, oadastroe soolion F. d o c l . ùieau neii!'-(lii-l "1011, avi.i't
des ventes, j, rue du Chi'iteau nunior.) 1380. pour uno oon- p.iiir av..11;.•• M" M, IVOl f , i l t .
tenanoe do (l aros K) o.'iiliaroi; ; deiueiu.int .•>11-si ii ( . I l i l e a i . l i l l ,
l.':ii.Ijudi i-ali.Mi a! ira lieu ei»
Etudes do .M' ltuu<iue(, gra3" UN COURTIL
n.-,' .il" M.jiisi .'i.r Pi..ri'.>
dué cil droit, i^relller de paix, lit .. Llors-al-I,eur ... oaPloudalmczcau et de .M- Pro- laslré section F, nuiii.'ro 1381. .0 C. ,il!, il (illier. d.' mouraiii e u
Cil.ile l u n o i r f - d u voque, iiot.iire, IMoudalméiciur une eontonanco do lil V liio d
Kii.iu,
,a qiialil-' .10 s u l i r o arcs i'O oenlliires:
ad li.if .1.es lIllll' O H
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lile •• .Mnlin-nr-l'orz ... o.i- Fil.di' li.rii s.us-n<iiii:.i
i;t :uix Cl,llisO.S ' o t C.l.di-.
ft Cuzi,l-vad en St-l'abu, le lasli'oe soolloii I', niimOro lions
du Oiiliier d. •s
iliurdi 2!) niai I!)23 ft midi, i.'18.'!. pour une oonleniinoo
d
i
.
-s
.M' !..! lîoasHacii..
l
ï
aros
80
coûliaros;
cbcz Mme veuve l'otin et conf'.
inriiis el •léllOhè . It
n..l;;ii
1° UN CHAMP
sorts
si.n
ion
I I \ i î llo de C l i . i tud'o.'
80US
PATURE
usiensiles di
illl, " Fii.'iniioo-Créis
oa.liis- te.,on euf-il u-F.vou. 011 tout.»
..
niénaiie, lin
niio
p
po.su
oui
oii
p:-eildre oonçerie, meubles: lits, aiiuoires, tré soolion 1", niiniéro ):is,'i, UiiisSi
ntoiiant '23 aro» '.0 coiiliiii-: iclies. coffres, horloge, bufraulin.
ir. M,ii
fets. vaisseliers, tables, chai- ros;
II CI.VI'OM'I-K.
0" UN Ch'AMP
ses, commode, fourneau ; charKnrogi
i:i.:iio,.iiilin. I.)
rue», herses, baltiMisuetacees- nomm.> .. I>.iiv-Sl,'pli,iu ... cnx-l.uik 'm.i; 'i;
folio TO,
slrO s.'etion F, num.'ro 1387,
solres. tarare, eliarrette, liarvo I!'.
iitonunl 53 ar.'s iO ccnlianais, beau lit-cIo» style breton;
l.oi'ii:
frin.
hache lande, récoltes en terre, rcs;
c m . _iMjCl.ON'.
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fourrages, bois et engrais...
un bateau de pCche et sou noninio .. KoiMinuo-iiOao'h ...
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47GS
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Provoatic, n.ilmo ft PlouICtude do M» Guv, notaire à
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diilni.-zouu.
Urest. Place Wllsoii (Suc- nomiiio " .M Lannoo ... oaibs.
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Chazal;.
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Mai 1923 - Site en travaux, le week

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